Podcast appearances and mentions of Raymond Depardon

En France, raconter l'Algérie nous confronte toujours à un passé douloureux, un présent non apaisé et une mémoire à vif. Kamel Daoud, journaliste et écrivain nous ouvre les portes de ce pays à la fois si loin et si proche. En lien avec l'exposition Son oeil dans ma main de Raymond Depardon et Kamel Daoud (jusqu'au 5 janvier 2025 aux Champs Libres)

Ses photos mythiques ornent les rues de Paris et de Saint-Denis jusqu'au 24 septembre Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Je suis très heureuse de vous proposer une nouvelle reco culture sur le thème des JO et de la photographie, dans Paris. C'est gratuit, et cela se passe à ciel ouvert, pour découvrir les photos somptueuses de Raymond Depardon, à travers un parcours adapté aux familles. Je vous laisse découvrir cette initiative portée par Art dans la Ville et son co-fondateur David-Hervé Boutin.Ressources :Site officiel : https://www.lartdanslaville.com/nos-realisations/raymond-simon-depardon-x-samsung/Parcours avec carte interactive : https://www.paris.fr/dossiers/instants-jeux-olympiques-122Dossier de presse : https://www.lartdanslaville.com/wp-content/uploads/2024/06/Dossier-de-presse-Depardon-compressed.pdfJeu de piste : https://www.musee-en-herbe.com/depardon-wo546.htmlHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, le réalisateur et photographe Raymond Depardon.

Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce vendredi 17 mai, c'est le réalisateur et photographe Raymond Depardon.

Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, le réalisateur et photographe Raymond Depardon.

Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, le réalisateur et photographe Raymond Depardon.

durée : 00:20:25 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Le photographe Raymond Depardon publie "Les années déclics" avec le journaliste Gérard Lefort, qui commente ses photos. Il raconte la façon dont les Jeux olympiques ont été photographiés à travers l'histoire moderne.

durée : 00:12:02 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Il sera témoin de l'effervence des années 60, 70 et 80. Cette fresque d'une génération pétillante et marquée en toile de fond par l'actualité en France. Le photographe Raymond Depardon publie des archives de ces années-là dans "Les années déclics", au côté du journaliste Gérard Lefort.

durée : 03:00:19 - Le 6/9 - par : Mathilde Khlat, Benjamin Dussy, Elodie Royer, Maëlle Polsinelli, Marion L'hour, Ali Baddou - Aujourd'hui dans le 6-9, Ali Baddou reçoit le photographe Raymond Depardon à 7h50, pour son livre : "Les années déclics" avec Gérard Lefort (Seuil), et à 8h20, le photographe revient avec sa compagne Claudine Nougaret pour évoquer les jeux olympiques. - réalisé par : Marie MéRIER

durée : 00:05:05 - Le coup de coeur FB Orléans - Antoine De Baecque, le délégué général du festival "Récidive 89", nous dévoile chaque jour les principaux temps forts à ne pas louper jusqu'au dimanche 31 mars dans le cinéma des Carmes et à l'atelier Canopé 45.

Travailler avec le réel est déconcertant dit Raymond Depardon Pourtant, nombreux et nombreuses sont les artistes qui s'y frottent; qui aiment glaner les témoignages, ceux de la vraie vie. Collecter la parole pour entendre ce qu'elle dit mais aussi ce qu'elle ne dit pas ! Prendre pour prétexte la collecte des récits pour permettre la rencontre, les rencontres. Récolter des paroles pour tisser des histoires. C'est le procédé qui devient méthode chez l'autrice, comédienne et metteuse en scène Cécile Morelle ! Pour elle, il n y a pas de petites histoires, il n'y a que des histoires ! Une mine d'or de l'intime qui lui permet de faire une œuvre non plus uniquement à partir de celles et ceux qu'elle rencontre, mais une œuvre d'elles et d'eux ! Elle attache une importance rare aux oreilles qui vont venir écouter ces histoires glanées. Elle invente des écrins hospitaliers pour permettre l'acuité de l'écoute, et augmenter la rencontre ! Car en tirant le fil du récit intime, l'écho qui en revient est souvent politique ! Cécile Morelle est mon invitée dans ce 62ème épisode du Beau Bizarre, pour parler de deux de ses projets actuellement en tournée. D'abord LA TROUÉE, une traversée dans la ruralité paysanne depuis le point de vue féminin. L'histoire de corps de femmes dans des corps de ferme. Et puis DANS DE BEAUX DRAPS, une collecte d'armoires et de mémoires pour des récits de tissus, qui essuient les colères et drapent les mystères. Avec les apports de Raymond Depardon et Donna Haraway. Et la précieuse participation de Jérôme Sallé et Laetitia Troussel-Luber. LA TROUÉE sera présenté le 14 mars 2024 dans le cadre du festival cabaret des curiosités du Phénix. DANS DE BEAUX DRAPS sera présenté le premier WE du mois de juin dans le cadre du banquet, organisé par la Maison du Théâtre d'Amiens. Site de la Cie de Cécile Morelle : https://www.cielecompost.com/ Site de la Maison de Théâtre d'Amiens : https://www.amiens.fr/Vivre-a-Amiens/Culture-Patrimoine/Etablissements-culturels/MTA-Maison-du-Theatre-d-Amiens Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram

ESSENTIEL, les rendez-vous du jeudi – Annette Wieviorka Elle reçoit Sarah Farmer pour son livre « La modernité est dans le pré. La campagne française après 1945 » aux éditions Flammarion. À propos du livre : « La modernité est dans le pré. La campagne française après 1945 » paru aux éditions Flammarion Depuis la fin du XXᵉ siècle, habiter la campagne française est devenu un fantasme partagé à l'échelle mondiale, mais aussi une réalité. Dans un contexte d'urbanisation et de mondialisation, on ne compte plus les best-sellers qui décrivent l'installation dans une fermette rénovée, ni la floraison de résidences secondaires dans les contrées les plus reculées du territoire. Pourtant, loin de rendre compte d'une simple nostalgie de retour à un âge d'or des campagnes, ces phénomènes témoignent d'une redéfinition de la ruralité au sein de sociétés post-agraires. La modernité est dans le pré retrace cette mutation sans précédent, tout en replaçant les itinéraires des femmes et des hommes au coeur des transformations du paysage français. Sarah Farmer analyse notamment la place et le rôle des néoruraux, le bouleversement des terroirs comme en témoigne le travail du grand photographe Raymond Depardon, mais aussi l'immense nostalgie qu'a provoquée le départ de milliers de Français lors de l'exode rural. Entre les utopies de retour à la terre, le succès des mémoires de paysans ou la naissance du mouvement écologiste, c'est une nouvelle France qui se réinvente, contribuant ainsi à redéfinir la place des villes et à interroger les chemins de l'avenir. Sarah Farmer est professeure à l'université de Californie à Irvine, ancienne élève de Robert Paxton. Parfaitement francophone, elle connaît très bien la France où elle séjourne pour écrire ses livres, notamment dans une ferme au cœur du Limousin. Elle est l'auteure d'un ouvrage remarqué sur le village martyr, Oradour-sur-Glane, 10 juin 1944 (Tempus).

durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En mars 1988, le photographe et documentariste Raymond Depardon, et l'ingénieure du son Claudine Nougaret, racontent le tournage de leur documentaire "Urgences", réalisé aux urgences psychiatriques de l'Hôtel Dieu de Paris. - invités : Raymond Depardon Photographe, réalisateur, producteur, scénariste, journaliste; Claudine Nougaret Ingénieur du son, productrice

Focus on Photographers is a new, potentially annual exhibit that opens at the Howland Cultural Center in Beacon on Saturday (Jan. 13) with a reception from 1 to 5 p.m. Curated by Larry Kershberg and Ronnie Beth Sauers, the exhibit will begin in a big way, with free talks by photographers William Snyder and David Burnett. Snyder, who will speak at 2:30 p.m., is the director of the photojournalism program at the Rochester Institute of Technology and a four-time Pulitzer Prize winner. His subjects have included an exposé on the deplorable conditions in Romanian orphanages, a National Transportation Safety Board crash investigation, Hurricane Katrina and athletes at the 1992 Barcelona Olympics. Avalon by William Loeb Carl Lewis by William Snyder Collage by Jane Soodalter Face to Face with a Blue-eyed Black Lemur by Sandra Belitza-Vazquez Rifton Nightlife by Pierce Johnston Ruth Bader Ginsburg by David Burnett Village Halloween Parade NYC 1986 by Tony Cenicola Snyder also was the official photographer for The Who for 19 years, has shot the Rolling Stones, Foo Fighters and Pink and is the co-author, with Eddie Vedder, of Join Together (With The Band). "I'm not interested in basic, good-looking, clean, safe, predictable photographs," Snyder has said. "I want what it feels like. I don't always get it, but it's my goal." He will be followed at 3:30 p.m. by Burnett, whose work has been published in National Geographic, TIME, Newsweek, LIFE, STERN and Paris Match, among other publications. He also has published collections of his work such as 44 Days: Iran and the Remaking of the World; Soul Rebel: An Intimate Portrait of Bob Marley and, most recently, with Raymond Depardon, September in Chile 1971-1973, which documents the coup against Salvador Allende. Burnett is also co-founder of Contact Press Images, a longstanding New York agency, and was on American Photo's list of the 100 most important people in photography. In recent years, he has worked with Photographers for Hope to create a workshop for homeless news vendors in Glasgow, Scotland; in 2017 the group visited Newburgh for two weeks to shoot and mount a show that also became a book, Newburgh Rising. Today, Burnett has a studio in Newburgh. Other photographers participating in the exhibit are Sandra Belitza-Vazquez of Newburgh, who specializes in nature and travel; Tony Cenicola of Beacon, a staff photographer for The New York Times; Pierce Johnston of Beacon, who shoots the Hudson Valley; William Loeb of Beacon, who uses Photoshop to enhance and modify his images; and Jane Soodalter of Cold Spring, who focuses on macrophotography. The Howland Cultural Center, at 477 Main St. in Beacon, is open most Saturday and Sundays from 1 to 5 p.m. The show will continue through Feb. 25.

Un documentaire est-il du cinéma ? Qu'est-ce qui distingue un film documentaire d'un long métrage ? La réalité et le réel sont-ils une seule et même chose ? Réponses dans Une histoire du cinéma documentaire, racontée par Patrick Leboutte. Enseignant à l'INSAS, à la Cambre, dans une Ecole des Beaux-Arts à Liège, Patrick Leboutte défend un cinéma de geste tel qu'on l'aime. Il dirige la collection Le geste cinématographique aux Éditions Montparnasse. Ce premier épisode nous ramène aux Frères Lumière, jusqu'à Raymond Depardon en passant par Robert Flaherty, Jean Rouch, Jean Vigo, Bunuel, Henri Storck, Joris Ivens, et bien d'autres. Une série en 4 épisodes signée Jean-Louis Dupont. Photo : 'Nanouk l'esquimau' de Robert Flaherty, 1920 : Nyla et son enfant (Domaine public) Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Depuis son premier voyage en 1972, le photographe belge Harry Gruyaert, membre de la célèbre agence Magnum, est fasciné depuis par le Maroc. Dans un beau livre intitulé « Morocco », il partage en 120 clichés son admiration pour les couleurs, les ombres et les lumières, les formes et les espaces de ce pays. Un photographe qui pense couleur, qui cadre couleur. C'est ainsi que Raymond Depardon décrit notre invité, membre comme lui de l'agence Magnum. Pourtant, contrairement à beaucoup de ses comparses de la prestigieuse coopérative internationale fondée par Capa, Cartier-Bresson et quelques autres, Harry Gruyaert n'a aucune envie d'être considéré comme un journaliste.Sa formation et ses inspirations tiennent beaucoup plus du cinéma et de la peinture. Il est vrai qu'en voyant son travail sur la couleur, la lumière et les ombres, on pense souvent à de véritables tableaux. Mais des tableaux dont les harmonies révèlent un lieu et une époque, et qui racontent à chacun d'entre nous ce qu'on veut bien leur faire raconter. Avec souvent une étrange tension, une part de mystère, qui leur donnent un caractère à la fois singulier et reconnaissable.En témoigne son dernier livre qui nous emmène dans un des pays qu'il a le plus arpenté : le Maroc. « Morocco », le nouveau livre d'Harry Gruyaert, est paru aux éditions Textuel.Harry Gruyaert est l'invité de VMDN.Reportage : Solène Gardré a vu, au Théâtre de la Tempête, la pièce de théâtre « Cœur poumon ». Une pièce qui nous plonge dans l'univers des soignants, en reconstituant sur scène un service de réanimation pédiatrique.

ESSENTIEL, les rendez-vous du jeudi – Annette Wieviorka Elle reçoit Sarah Farmer pour son livre « La modernité est dans le pré. La campagne française après 1945 » aux éditions Flammarion. À propos du livre : « La modernité est dans le pré. La campagne française après 1945 » paru aux éditions Flammarion Depuis la fin du XXᵉ siècle, habiter la campagne française est devenu un fantasme partagé à l'échelle mondiale, mais aussi une réalité. Dans un contexte d'urbanisation et de mondialisation, on ne compte plus les best-sellers qui décrivent l'installation dans une fermette rénovée, ni la floraison de résidences secondaires dans les contrées les plus reculées du territoire. Pourtant, loin de rendre compte d'une simple nostalgie de retour à un âge d'or des campagnes, ces phénomènes témoignent d'une redéfinition de la ruralité au sein de sociétés post-agraires. La modernité est dans le pré retrace cette mutation sans précédent, tout en replaçant les itinéraires des femmes et des hommes au cœur des transformations du paysage français. Sarah Farmer analyse notamment la place et le rôle des néoruraux, le bouleversement des terroirs comme en témoigne le travail du grand photographe Raymond Depardon, mais aussi l'immense nostalgie qu'a provoquée le départ de milliers de Français lors de l'exode rural. Entre les utopies de retour à la terre, le succès des mémoires de paysans ou la naissance du mouvement écologiste, c'est une nouvelle France qui se réinvente, contribuant ainsi à redéfinir la place des villes et à interroger les chemins de l'avenir. Sarah Farmer est professeure à l'université de Californie à Irvine, ancienne élève de Robert Paxton. Parfaitement francophone, elle connaît très bien la France où elle séjourne pour écrire ses livres, notamment dans une ferme au cœur du Limousin. Elle est l'auteure d'un ouvrage remarqué sur le village martyr, Oradour-sur-Glane, 10 juin 1944 (Tempus).

En tant que tireur, Payram a travaillé avec les plus grands (William Klein, Josef Koudelka et Raymond Depardon). Et en tant que photographe, il n'a cessé toute sa vie de travailler autour de la notion de l'exil, lui qui a dû quitter l'Iran quand il avait 20 ans. Il est invité à l'occasion de la grande foire internationale annuelle Paris photo qui ouvre ses portes au public le 9 novembre. 

Dans la STORY, présentée cette semaine par Sony, et sa gamme de boîtiers hybrides plein format Photo et Vidéo, qui depuis 10 ans, innove pour les Professionnels et les amoureux créateurs d'images, Benjamin nous parle d'une étape importante de la carrière d'un des plus grands photographes français, lors d'un reportage au Chili, au début des années 70 avec le témoignage de l'intéressé, Raymond Depardon et du photographe Louis Poirot. Cette STORY est issue de l'épisode " S705 - Zooms ou focales fixes ? " diffusé le 19 octobre 2023. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Pierre-Marie Salomez et Rony Studient, Quentin Caffier, Xavier de La Tullaye, Robin Jafflin, Raymond Depardon et Luis Poirot.

Dans le GRAND DÉBAT, nous vous proposons une grande discussion sur l'inextricable problématique que rencontrent beaucoup de photographes - zooms ou focales fixes ? - avec le journaliste spécialisé Pierre-Marie Salomez du magazine Chasseur d'Images. Pour enrichir la discussion, nous avons également le plaisir d'écouter les témoignages du photographe Raymond Depardon; de Rony Studient de la boutique IPLN.FR; du journaliste Xavier de La Tullaye; du photographe et réalisateur Quentin Caffier et du photographe Robin Jafflin. Cette émission est présentée par SIGMA, fabricant indépendant d'objectifs et d'appareils photos 100% fabriqués au Japon. Ce GRAND DÉBAT est issu de l'épisode " S705 - Zooms ou focales fixes ? " diffusé le 19 octobre 2023. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Pierre-Marie Salomez et Rony Studient, Quentin Caffier, Xavier de La Tullaye, Robin Jafflin, Raymond Depardon et Luis Poirot.

Dans le QUIZ, les auditeurs du podcast Faut Pas Pousser les ISO posent leurs questions à notre invité, le journaliste spécialisé Pierre-Marie Salomez du magazine Chasseur d'Images. Dans le QUIZ, les auditeurs du podcast Faut Pas Pousser les ISO posent leurs questions à notre invité, le journaliste spécialisé Pierre-Marie Salomez du magazine Chasseur d'Images. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Pierre-Marie Salomez et Rony Studient, Quentin Caffier, Xavier de La Tullaye, Robin Jafflin, Raymond Depardon et Luis Poirot.

Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.FR, nous présentons le nouveau Laowa Aurogon, la nouvelle imprimante Epson SureColor P5370 et revenons sur les lauréats du Wildlife Photographer of the Year. Ce FLASH ACTU est issu de l'épisode " S705 - Zooms ou focales fixes ? " diffusé le 19 octobre 2023. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Pierre-Marie Salomez et Rony Studient, Quentin Caffier, Xavier de La Tullaye, Robin Jafflin, Raymond Depardon et Luis Poirot.

Dans le DÉBRIEF présenté par IPLN.FR : le spécialiste photo & vidéo, notre invité, le journaliste spécialisé Pierre-Marie Salomez du magazine Chasseur d'Images analyse nos scénarios de prises de vues et nous donne ses recommandations en termes d'optiques : zoom, focale fixe ou les deux mon capitaine ! Ce DÉBRIEF est issu de l'épisode " S705 - Zooms ou focales fixes ? " diffusé le 19 octobre 2023. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Pierre-Marie Salomez et Rony Studient, Quentin Caffier, Xavier de La Tullaye, Robin Jafflin, Raymond Depardon et Luis Poirot.

Dans l'épisode S705 du podcast Faut Pas Pousser les ISO, nous recevons le journaliste spécialisé Pierre-Marie Salomez du magazine Chasseur d'Images avec qui nous allons essayer de répondre à cette inextricable problématique que rencontrent beaucoup de photographes : zooms ou focales fixes ? Pour enrichir la discussion, nous avons également le plaisir d'écouter les témoignages du photographe Raymond Depardon; de Rony Studient de la boutique IPLN.FR; du journaliste Xavier de La Tullaye; du photographe et réalisateur Quentin Caffier et du photographe Robin Jafflin. Cette émission est présentée par SIGMA, fabricant indépendant d'objectifs et d'appareils photos 100% fabriqués au Japon. Cette émission reçoit également le soutien de MPB qui est tout simplement la plus grande plateforme en ligne au monde pour acheter, vendre et échanger du matériel photo et vidéo d'occasion. Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.FR, nous présentons le nouveau Laowa Aurogon, la nouvelle imprimante Epson SureColor P5370 et revenons sur les lauréats du Wildlife Photographer of the Year. Dans la STORY, présentée cette semaine par Sony, et sa gamme de boîtiers hybrides plein format Photo et Vidéo, qui depuis 10 ans, innove pour les Professionnels et les amoureux créateurs d'images, Benjamin nous parle d'une étape importante de la carrière d'un des plus grands photographes français, lors d'un reportage au Chili, au début des années 70 avec le témoignage de l'intéressé, Raymond Depardon et du photographe Louis Poirot. Découvrez également le DÉBRIEF, présenté par IPLN.FR : le spécialiste photo & vidéo et le QUIZ qui fait la part belle aux questions des auditeurs.

durée : 00:50:04 - Grand Canal - par : Eva Bester - Pionnier de la photographie couleur en Europe, inspiré par le pop' art américain des années 1970, le photographe belge présente une magnifique exposition chromatique, "La Part des choses", au BAL, une galerie expérimentale à Paris fondée par Raymond Depardon.

Parlement sur france.tv Le pari de Parlement, c'est de rire de notre institution européenne. On suit Samy (Xavier Lacaille) qui fait ses débuts en tant qu'attaché parlementaire à Bruxelles alors que le Brexit vient d'être adopté. Il assiste un député, Michel (Philippe Duquesne), au comble de l'incompétence alors qu'il lui faudra faire adopter un amendement sur la pêche. Pas aidé par son supérieur, il devra donc trouver lui-même son chemin dans ce dédale bureaucratique et diplomatique qu'est le parlement européen, avec son lot de coups bas et manœuvres politiques douteuses. Alliance, trahison, comprendre les rouages du système parlementaire va être un sacré entraînement pour Samy. La saison 2 le voit plus expérimenté, mais pas toujours plus compétent.Créée par Noé Debré, accompagné de Maxime Calligaro et Pierre Dorac, deux auteurs qui ont travaillé plusieurs années dans les institutions européennes et qui se dédient maintenant à l'écriture pour la télévision. On sent ainsi une vraie volonté de coller au plus proche de la réalité tout en restant humoristique, car c'est le défi de la série : être drôle et pédagogique à la fois. https://youtu.be/LoLulXVr7os Miracle Workers sur le pass Warner Disponible depuis peu sur Prime via le pass Warner, Miracle Workers, c'est quatre saisons déjantées d'une comédie anthologique (les trois premières sont dispos). Chaque saison de Miracle Workers raconte une histoire indépendante, avec un scénario complètement différent, bien que certains acteurs puissent reprendre des rôles récurrents entre les saisons. Tout commence au paradis avec un groupe de personnages attachants qui travaillent pour le Bureau des Miracles, une division divine responsable d'accomplir des miracles sur Terre. Le casting principal est composé de Daniel Radcliffe, Geraldine Viswanathan et Steve Buscemi. La deuxième saison se déroule à l'époque du Moyen Âge, plus précisément pendant l'année 1347. Enfin, la troisième saison présente un tout nouveau scénario qui se déroule au XIXe siècle et suit un groupe de pionniers entreprenant un voyage sur l'emblématique Oregon Trail pour atteindre l'ouest sauvage des États-Unis. Humour décalé, acteurs brillants, situations absurdes, Miracle Workers est un ovni qui pourrait en charmer plus d'un. https://youtu.be/_G6pTrh0u7o Brigade mobile sur arte.tv Suivie par une équipe de télévision qui fait son portrait de gendarme, Audrey Langlois pense intégrer en Auvergne la brigade de recherche alors qu'en réalité, la voici mutée à la brigade mobile, service de proximité en camping-car dirigé par la joviale adjudante-cheffe Lily Frédéric. Une mission qui est loin de l'enchanter sauf quand un double homicide est annoncé et qu'elle pourra être sur le dossier. Le mockumentary Brigade mobile réunit à nouveau Marie Lelong et Louise Massin, jouant ensemble dans Loulou, une série coréalisée par Fanny Sidney (Dix pour cent). Avec Brigade mobile il s'agit de sa première création et elle y filme l'Auvergne. Elle-même qualifie la série de The Office par Raymond Depardon. Et c'est vrai que rien que le générique d'ouverture et la musique nous rappellent beaucoup la comédie culte. Pour ceux qui aiment J'irai dormir chez vous et The Office, laissez une chance à Brigade mobile où à part les actrices principales, de nombreux personnages sont campés par des non-professionnels et où on ressent une véritable sincérité pour appuyer l'humour (et il y a une petite blague gilets jaunes dès le premier épisode). Les épisodes font à peu près 10 min pour une websérie comique. https://youtu.be/rXqRZ4ViqNk Ces trois comédies ont toutes été projetées en avant-première à la nuit des comédies de Séries Mania et sont disponibles aujourd'hui sur différentes plateformes. L'édition 2024 de Séries Mania se tiendra du 15 au 22 mars.

Parlement sur france.tv Le pari de Parlement, c'est de rire de notre institution européenne. On suit Samy (Xavier Lacaille) qui fait ses débuts en tant qu'attaché parlementaire à Bruxelles alors que le Brexit vient d'être adopté. Il assiste un député, Michel (Philippe Duquesne), au comble de l'incompétence alors qu'il lui faudra faire adopter un amendement sur la pêche. Pas aidé par son supérieur, il devra donc trouver lui-même son chemin dans ce dédale bureaucratique et diplomatique qu'est le parlement européen, avec son lot de coups bas et manœuvres politiques douteuses. Alliance, trahison, comprendre les rouages du système parlementaire va être un sacré entraînement pour Samy. La saison 2 le voit plus expérimenté, mais pas toujours plus compétent.Créée par Noé Debré, accompagné de Maxime Calligaro et Pierre Dorac, deux auteurs qui ont travaillé plusieurs années dans les institutions européennes et qui se dédient maintenant à l'écriture pour la télévision. On sent ainsi une vraie volonté de coller au plus proche de la réalité tout en restant humoristique, car c'est le défi de la série : être drôle et pédagogique à la fois. https://youtu.be/LoLulXVr7os Miracle Workers sur le pass Warner Disponible depuis peu sur Prime via le pass Warner, Miracle Workers, c'est quatre saisons déjantées d'une comédie anthologique (les trois premières sont dispos). Chaque saison de Miracle Workers raconte une histoire indépendante, avec un scénario complètement différent, bien que certains acteurs puissent reprendre des rôles récurrents entre les saisons. Tout commence au paradis avec un groupe de personnages attachants qui travaillent pour le Bureau des Miracles, une division divine responsable d'accomplir des miracles sur Terre. Le casting principal est composé de Daniel Radcliffe, Geraldine Viswanathan et Steve Buscemi. La deuxième saison se déroule à l'époque du Moyen Âge, plus précisément pendant l'année 1347. Enfin, la troisième saison présente un tout nouveau scénario qui se déroule au XIXe siècle et suit un groupe de pionniers entreprenant un voyage sur l'emblématique Oregon Trail pour atteindre l'ouest sauvage des États-Unis. Humour décalé, acteurs brillants, situations absurdes, Miracle Workers est un ovni qui pourrait en charmer plus d'un. https://youtu.be/_G6pTrh0u7o Brigade mobile sur arte.tv Suivie par une équipe de télévision qui fait son portrait de gendarme, Audrey Langlois pense intégrer en Auvergne la brigade de recherche alors qu'en réalité, la voici mutée à la brigade mobile, service de proximité en camping-car dirigé par la joviale adjudante-cheffe Lily Frédéric. Une mission qui est loin de l'enchanter sauf quand un double homicide est annoncé et qu'elle pourra être sur le dossier. Le mockumentary Brigade mobile réunit à nouveau Marie Lelong et Louise Massin, jouant ensemble dans Loulou, une série coréalisée par Fanny Sidney (Dix pour cent). Avec Brigade mobile il s'agit de sa première création et elle y filme l'Auvergne. Elle-même qualifie la série de The Office par Raymond Depardon. Et c'est vrai que rien que le générique d'ouverture et la musique nous rappellent beaucoup la comédie culte. Pour ceux qui aiment J'irai dormir chez vous et The Office, laissez une chance à Brigade mobile où à part les actrices principales, de nombreux personnages sont campés par des non-professionnels et où on ressent une véritable sincérité pour appuyer l'humour (et il y a une petite blague gilets jaunes dès le premier épisode). Les épisodes font à peu près 10 min pour une websérie comique. https://youtu.be/rXqRZ4ViqNk Ces trois comédies ont toutes été projetées en avant-première à la nuit des comédies de Séries Mania et sont disponibles aujourd'hui sur différentes plateformes. L'édition 2024 de Séries Mania se tiendra du 15 au 22 mars.

Thierry Marx nous reçoit un midi chez Onor, son tout nouveau restaurant gastronomique. Un espace qui lui ressemble, « simple, épuré », où tous les objets choisis par la décoratrice Mathilde de l'Ecotais ont été recyclés.Le chef âgé de 63 ans évoque son enfance dans le quartier de Ménilmontant, à Paris, auprès de parents et de grands-parents qui défendent le goût de l'effort, la culture gastronomique populaire qui s'est ouverte au cosmopolitisme au gré des vagues d'immigration, ses souvenirs du pain Ganachaud, son déménagement à Champigny-sur-Marne dans la cité des Bois-l'Abbé où le seul divertissement est l'hypermarché, son initiation au judo et à la boxe, son arrivée à l'école hôtelière et sa découverte de la France rurale, son travail du gâteau, sa définition d'un bon produit, son regard sur l'art culinaire dans une société de plus en plus fracturée, son admiration pour Raymond Depardon, Ernest Pignon-Ernest ou Enki Bilal et la nécessité d'allier tradition et innovation afin de penser une cuisine adaptée aux défis de demain.Il revient aussi sur ses goûts musicaux : « J'étais plus Trust ou Renaud, qui dépeignaient l'univers dans lequel j'ai grandi. Plus tard, je me suis ­intéressé à NTM ou à Kery James, ils faisaient la même chose. Puis, un jour, je me suis surpris à aimer Schubert ou Liszt. Quand j'ai découvert l'art lyrique, je me suis dit ­finalement que ce n'était pas si mal. »Depuis quatre saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Imène BenlachtarRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les fêtes de fin d'année ne sont pas terminées et Noël non plus. L'association France-Ethiopie Corne de l'Afrique organise sa traditionnelle fête pour le Noël éthiopien samedi 14 janvier à partir de 16h. Cela se passe au Centre Culturel de la Vie Associative du 234 Cours Emile-Zola à Villeurbanne. Au programme pour commencer, une conférence de Raymond Depardon et Jean-Claude Guillebaud, les invités d'honneur de l'événement. Ils sont les auteurs du livre La Porte des Larmes, Retour vers l'Abyssinie, récit en images de leur voyage dans la corne de l'Afrique dans les années 90. Un retour sur leur expérience avec des photos prises au plus près de la population. “Raymond Depardon va sur le terrain, là où les gens vivent”, explique Shoki Ali Said, président de l'association France-Ethiopie Corne de l'Afrique, très heureux d'accueillir les deux hommes. Cette conférence souligne le thème de la fête de cette année : les 125 ans de l'amitié entre la France et l'Ethiopie. C'est alors la fraternité qui est mise à l'honneur, une évidence pour Shoki Ali Said qui veut “renforcer les liens culturels” entre les deux pays. C'est gratuit et ouvert à tous mais il faut réserver. Déjà 300 personnes se sont inscrites, un bonheur pour Shoki Ali Said qui veut que la culture soit ouverte à tout le monde. Autre grand temps fort de la soirée, le défilé de mode organisé par la créatrice éthiopienne Ruth Woldeselasie. Marraine de l'association, elle est venue depuis Londres pour apporter ses robes mêlant tradition éthiopienne et modernité. “Cette association symbolise l'unité de l'Ethiopie. C'est mon devoir de venir soutenir des projets magnifiques qui rassemblent au-delà des Ethiopiens [...] et je viens pour montrer la richesse de l'Ethiopie moderne et ancienne,” explique-t-elle. Un repas traditionnel et la cérémonie du café seront aussi proposés mais il faut réserver. Cela coûtera 20 euros pour les adultes, 15 euros pour les étudiants et 10 euros pour les enfants jusqu'à 15 ans. Réservations par téléphone : 04 78 84 75 86 ou 06 60 57 66 22 Par mail : franceethiopie2008@gmail.com ou shoki.jama@yahoo.fr

durée : 00:55:22 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Alors qu'il publie un nouveau livre de photographies prises entre 1979 et 2006, intitulé “Entre-temps”, Raymond Depardon évoque, au micro d'Arnaud Laporte, ce qui nourrit son travail, et la façon dont son regard empathique nous donne à voir autrement le monde dans lequel nous vivons. - invités : Raymond Depardon Photographe, réalisateur, producteur, scénariste, journaliste

Às vésperas de completar 79 anos, Sebastião Salgado diz estar pronto para “dar lugar aos jovens”. Nesta entrevista exclusiva à RFI Brasil, em Paris, um dos maiores fotógrafos do mundo explica que não pensa em aposentadoria tão cedo, mas quer dedicar mais tempo à edição do vasto material acumulado em mais de 50 anos de carreira. O franco-brasileiro participou de um evento sobre fotojornalismo na Academia de Belas Artes, na noite de quarta-feira (23). Maria Paula Carvalho, da RFI “Eu já estou velhinho, vou fazer 79 anos em fevereiro. Eu acho que está na hora de eu deixar lugar para os jovens fotografarem. O que eu estou fazendo é editar o meu trabalho de mais de 50 anos como fotógrafo. Há muita coisa que eu nunca escolhi, nunca editei e acho que chegou o momento”, disse, momentos antes de compartilhar com o público momentos marcantes de sua longa experiência atrás das câmeras. “A diferença da fotografia para outro tipo de informação é que se o fotógrafo não estiver lá onde a coisa está acontecendo, ele não tem a imagem. Ele busca a informação na fonte e isso leva você a ter um conhecimento bem vasto do mundo”, afirma. Ao longo desse tempo, Salgado viajou por mais de 130 países registrando pessoas, paisagens e diferentes culturas. “A fotografia documentária é a forma de vida da pessoa que a realiza”, explica. “De uma maneira geral, tudo me marcou porque dificilmente eu posso dizer que um país ou algo que aconteceu na minha vida seja mais importante do que outro. Pois o que eu fiz em fotografia na vida foi a minha vida, foi a minha forma de vida”. O mineiro Sebastião Salgado é "imortal" da sessão de fotografia da prestigiada Academia de Belas Artes francesa desde 2016, uma das honrarias culturais mais importantes do país. O debate sobre fotojornalismo lotou o auditório do Instituto de France e reuniu outros grandes nomes da fotografia francesa, como o cineasta Raymond Depardon e Pascal Maître. “É um evento que eu não faço só, nós somos 4 fotógrafos, e falamos da preparação, de tudo que é preciso para montar uma reportagem”, explica Sebastião Salgado. “Eu acabo de fazer uma reportagem sobre a Amazônia brasileira, em que passei 7 anos na Amazônia e fiz dezenas de viagens e tudo isso exige produção, autorizações e uma preparação interna”, ensina. Testemunha de como vivem os homens e do estado atual do planeta, Sebastião Salgado falou à RFI sobre a importância do fotojornalismo em tempos de guerra e de fake news. “Em mais de 50 anos que eu faço fotografia, o que acontece hoje, não é muito diferente do que sempre aconteceu. A única diferença é que hoje está acontecendo muito mais perto do núcleo principal do planeta, que é onde você domina a informação e as finanças, no centro do imperialismo do planeta. Então temos a impressão de que hoje é mais importante do que foi, mas sempre foi a mesma coisa”, compara. Um novo Brasil O fotógrado premiado também comentou o resultado das eleições presidenciais no Brasil. “Eu espero que o Brasil agora mude. Nós tivemos um governo profundamente predador, que destruiu as instituições. Não é um problema de ser de direita ou de esquerda, é de um governo que destruiu instituições centenárias”, observa. “Por exemplo, desmontou-se a Funai, que era o filtro de penetração nos territórios indígenas, era a proteção das comunidades indígenas e a proteção desses territórios. Mas esse filtro deixou de existir. E o território ficou aberto a invasões. Temos hoje invasão de mais de 20 mil garimpeiros no território Ianomâmi”, revela. “Houve uma destruição do Ibama e houve uma destruição massiva da floresta amazônica”, lamenta Salgado. “Espero que o governo que chega respeite as instituições, respeite a cultura, as comunidades, as minorias e seja menos violento. Esse atual governo trouxe uma violência brutal para a Amazônia que não existia”, acrescenta. A exposição mais recente de Salgado em Paris, "Aqua Mater", lançava um novo alerta à crise climática, convidando o público a uma experiência estética e sensorial em torno de um dos assuntos mais sensíveis da atualidade: os recursos hídricos. Vivendo em Paris, com viagens frequentes ao Brasil, o fotógrafo nomeado Cavaleiro da Legião de Honra na França comenta sobre a forma como o Brasil tem sido percebido no estrangeiro. “O Brasil hoje é percebido de uma forma muito especial no exterior. Os brasileiros eram vistos como um povo razoável, um povo pacífico, mas o que acontece no Brasil hoje choca profundamente o resto do mundo”, destaca. “Eu acho que uma nação a gente tem que trabalhar de forma pacífica, humana e não violenta. Eu tenho grande esperança que o Brasil vai funcionar de outra forma”, conclui.

“Planches Contact“ 13e éditionFestival de photographie de Deauvilledu 22 octobre 2022 au 1er janvier 2023Interview de Carolle Benitah, artiste en résidence,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 octobre 2022, durée 9'13.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/10/31/3339_planches-contact_festival-de-photographie-de-deauville/Communiqué de presseDirectrice artistique de Planches Contact,Laura SeraniPlanches Contact, un festival sans entraves par Laura Serani, Directrice artistique de Planches ContactVous souvenez-vous de cette photo de Cartier-Bresson réalisée en mai 1968 ? Elle montre un homme d'âge mûr, élégant, costume sombre, chapeau vissé sur la tête, observant un graffiti de la révolte étudiante : « Jouissez sans entraves ». Ce pourrait être le mot d'ordre de Planches Contact. Cette photo qui confronte deux univers opposés, qui interpelle, qui s'ancre dans la ville fait écho à l'esprit du festival et aux conditions privilégiées et assez rares de production et de présentation, permises par le support sans faille de la Ville de Deauville. Conditions encore plus importantes pour les artistes dans le contexte actuel où, contre vents et marées, le festival de Deauville demeure une sorte d'îlot protégé où l'on peut regarder autour et produire en toute liberté.La préparation de Planches Contact est un long « fleuve intranquille », un bouillonnement, une boucle ininterrompue d'une édition à l'autre, entre l'élaboration du programme, la succession des résidences, la production « en directe » avec les artistes, la conception de la scénographie et la construction des installations, jusqu'au partage avec le public.Comme chaque année, un critère important de sélection est la variété des regards et la multiplicité des langages photographiques et des sujets traités.Démarches documentaires, récits imaginaires, poétiques, en images fixes ou animées, approches décalées, tous ont leur place. Les artistes ont pour seule consigne de profiter du territoire et de cette aide à la création, c'est-à-dire de prendre le temps de l'explorer en suivant leurs centres d'intérêts ; puis de laisser leur créativité s'exprimer librement en développant leur projet selon leurs propres codes, sans limites.Se libérer des entraves, c'est aussi briser les frontières.Briser les frontières entre les cultures avec une programmation internationale allant de l'italien Stefano de Luigi au Sénégalais Omar Victor Diop en passant par la Franco-marocaine Carolle Benitah.Briser les frontières entre les générations avec des figures incontournables comme Bettina Rheims ou Raymond Depardon, et des photographes émergents sélectionnés dans le cadre du Tremplin Jeunes Talents.Briser les frontières entre les disciplines. À côté de la photographie, la vidéo, mais aussi l'architecture, le dessin, la musique et l'édition ont leur place au festival. La présence de l'actrice Jessica Lange, invitée d'honneur, crée également une passerelle avec le cinéma américain, cher au coeur de Deauville. Briser enfin les frontières entre le visible et l'invisible. Puisque, depuis son invention, la photographie a permis de tout montrer – les pays lointains, les terres inconnues, les tribus les plus reculées.[...]Laura Serani, Directrice artistique de Planches Contact Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

“Planches Contact“ 13e éditionFestival de photographie de Deauvilledu 22 octobre 2022 au 1er janvier 2023Interview de Laura Serani, directrice artistique de Planches Contact,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 octobre 2022, durée 9'23.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/10/31/3339_planches-contact_festival-de-photographie-de-deauville/Communiqué de presse Directrice artistique de Planches Contact,Laura SeraniPlanches Contact, un festival sans entraves par Laura Serani, Directrice artistique de Planches ContactVous souvenez-vous de cette photo de Cartier-Bresson réalisée en mai 1968 ? Elle montre un homme d'âge mûr, élégant, costume sombre, chapeau vissé sur la tête, observant un graffiti de la révolte étudiante : « Jouissez sans entraves ». Ce pourrait être le mot d'ordre de Planches Contact. Cette photo qui confronte deux univers opposés, qui interpelle, qui s'ancre dans la ville fait écho à l'esprit du festival et aux conditions privilégiées et assez rares de production et de présentation, permises par le support sans faille de la Ville de Deauville. Conditions encore plus importantes pour les artistes dans le contexte actuel où, contre vents et marées, le festival de Deauville demeure une sorte d'îlot protégé où l'on peut regarder autour et produire en toute liberté.La préparation de Planches Contact est un long « fleuve intranquille », un bouillonnement, une boucle ininterrompue d'une édition à l'autre, entre l'élaboration du programme, la succession des résidences, la production « en directe » avec les artistes, la conception de la scénographie et la construction des installations, jusqu'au partage avec le public.Comme chaque année, un critère important de sélection est la variété des regards et la multiplicité des langages photographiques et des sujets traités.Démarches documentaires, récits imaginaires, poétiques, en images fixes ou animées, approches décalées, tous ont leur place. Les artistes ont pour seule consigne de profiter du territoire et de cette aide à la création, c'est-à-dire de prendre le temps de l'explorer en suivant leurs centres d'intérêts ; puis de laisser leur créativité s'exprimer librement en développant leur projet selon leurs propres codes, sans limites.Se libérer des entraves, c'est aussi briser les frontières.Briser les frontières entre les cultures avec une programmation internationale allant de l'italien Stefano de Luigi au Sénégalais Omar Victor Diop en passant par la Franco-marocaine Carolle Benitah.Briser les frontières entre les générations avec des figures incontournables comme Bettina Rheims ou Raymond Depardon, et des photographes émergents sélectionnés dans le cadre du Tremplin Jeunes Talents.Briser les frontières entre les disciplines. À côté de la photographie, la vidéo, mais aussi l'architecture, le dessin, la musique et l'édition ont leur place au festival. La présence de l'actrice Jessica Lange, invitée d'honneur, crée également une passerelle avec le cinéma américain, cher au coeur de Deauville. Briser enfin les frontières entre le visible et l'invisible. Puisque, depuis son invention, la photographie a permis de tout montrer – les pays lointains, les terres inconnues, les tribus les plus reculées.[...]Laura Serani, Directrice artistique de Planches Contact Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Si vous n'avez pas encore vu Le monde de demain, c'est le moment de rattraper la série pour le bonheur de vos oreilles et de vos yeux. Et c'est l'occasion également de revenir sur des séries françaises disponibles sur Arte.tv. Brigade mobile Suivie par une équipe de télévision qui fait son portrait de gendarme, Audrey Langlois pense intégrer en Auvergne la brigade de recherche alors qu'en réalité, la voici mutée à la brigade mobile, service de proximité en camping-car dirigé par la joviale adjudante-cheffe Lily Frédéric. Une mission qui est loin de l'enchanter sauf quand un double homicide est annoncé et qu'elle pourra être sur le dossier. Le mockumentary Brigade mobile réunit à nouveau Marie Lelong et Louise Massin, jouant ensemble dans Loulou, une série coréalisée par Fanny Sidney (Dix pour cent). Avec Brigade mobile il s'agit de sa première création et elle y filme l'Auvergne. Elle-même qualifie la série de The Office par Raymond Depardon. Et c'est vrai que rien que le générique d'ouverture et la musique nous rappellent beaucoup la comédie culte. Pour ceux qui aiment J'irai dormir chez vous et The Office, laissez une chance à Brigade mobile où à part les actrices principales, de nombreux personnages sont campés par des non-professionnels et où on ressent une véritable sincérité pour appuyer l'humour (et il y a une petite blague gilets jaunes dès le premier épisode). La saison vient d'être disponible sur arte.tv. https://www.youtube.com/watch?v=92DW-iuOHVo J'ai deux amours À 40 ans, Hector a un énorme problème : il vient de retrouver Louise, son premier amour d'enfance et d'en tomber à nouveau amoureux. Et c'est un énorme problème parce qu'il est homosexuel, en couple avec un homme qu'il aime depuis de nombreuses années et avec qui il souhaite avoir un enfant (avec Anna, la meilleure amie de Jérémie interprétée par Camille Chamoux). Toutes ses certitudes sont bouleversées. La mini-série en trois épisodes réunit Francois Vincentelli, Julia Faure et Olivier Barthelemy dans cette crise de la quarantaine un peu différente. Sexualité, désir, se mêlent dans ce programme qui parle de bisexualité, polyamour. Une mini-série française où on vient aborder des thématiques encore trop rarement discutées, avec un ton léger pour parler de sujets sérieux, c'est dans J'ai 2 amours. La conversation aurait sans doute pu porter encore plus loin en restant dans la dramédie, mais en tout cas la série coécrite par Olivier Joyard et Jérôme Larcher et réalisée par Clément Michel peut se démarquer par son sujet. https://youtu.be/WFpWnQC50_0 H24 Sous-titrée 24 heures dans la vie d'une femme, H24 suit 24 femmes différentes dans des histoires inspirées de faits réels heure par heure. Les 25 épisodes sont écrits par des autrices européennes, et on peut plus les voir comme 24 courts-métrages sur la même thématique. La compilation met en avant le sexisme subi sous toutes les coutures, avec du revenge porn, du harcèlement, et tous types d'abus. Si la réalisation est en partie signée Nathalie Masduraud et Valérie Urrea, les créatrices du concept, de nombreuses actrices connues ont participé à ce projet, en insistant que ces expériences sont le commun de toutes les femmes. Chaque épisode a beau faire que quelques minutes, l'impression qu'il laisse peut être plus lourde. Certains seront plus réussis que d'autres, mais ce qui est sûr, c'est que chaque thème abordé est un sujet révélateur de la situation de la femme aujourd'hui. https://youtu.be/ViX_TncxVS8 Arte nous prouve une fois de plus son avant-gardisme et son engagement social. Des séries originales françaises pourront toujours trouver un foyer.

Si vous n'avez pas encore vu Le monde de demain, c'est le moment de rattraper la série pour le bonheur de vos oreilles et de vos yeux. Et c'est l'occasion également de revenir sur des séries françaises disponibles sur Arte.tv. Brigade mobile Suivie par une équipe de télévision qui fait son portrait de gendarme, Audrey Langlois pense intégrer en Auvergne la brigade de recherche alors qu'en réalité, la voici mutée à la brigade mobile, service de proximité en camping-car dirigé par la joviale adjudante-cheffe Lily Frédéric. Une mission qui est loin de l'enchanter sauf quand un double homicide est annoncé et qu'elle pourra être sur le dossier. Le mockumentary Brigade mobile réunit à nouveau Marie Lelong et Louise Massin, jouant ensemble dans Loulou, une série coréalisée par Fanny Sidney (Dix pour cent). Avec Brigade mobile il s'agit de sa première création et elle y filme l'Auvergne. Elle-même qualifie la série de The Office par Raymond Depardon. Et c'est vrai que rien que le générique d'ouverture et la musique nous rappellent beaucoup la comédie culte. Pour ceux qui aiment J'irai dormir chez vous et The Office, laissez une chance à Brigade mobile où à part les actrices principales, de nombreux personnages sont campés par des non-professionnels et où on ressent une véritable sincérité pour appuyer l'humour (et il y a une petite blague gilets jaunes dès le premier épisode). La saison vient d'être disponible sur arte.tv. https://www.youtube.com/watch?v=92DW-iuOHVo J'ai deux amours À 40 ans, Hector a un énorme problème : il vient de retrouver Louise, son premier amour d'enfance et d'en tomber à nouveau amoureux. Et c'est un énorme problème parce qu'il est homosexuel, en couple avec un homme qu'il aime depuis de nombreuses années et avec qui il souhaite avoir un enfant (avec Anna, la meilleure amie de Jérémie interprétée par Camille Chamoux). Toutes ses certitudes sont bouleversées. La mini-série en trois épisodes réunit Francois Vincentelli, Julia Faure et Olivier Barthelemy dans cette crise de la quarantaine un peu différente. Sexualité, désir, se mêlent dans ce programme qui parle de bisexualité, polyamour. Une mini-série française où on vient aborder des thématiques encore trop rarement discutées, avec un ton léger pour parler de sujets sérieux, c'est dans J'ai 2 amours. La conversation aurait sans doute pu porter encore plus loin en restant dans la dramédie, mais en tout cas la série coécrite par Olivier Joyard et Jérôme Larcher et réalisée par Clément Michel peut se démarquer par son sujet. https://youtu.be/WFpWnQC50_0 H24 Sous-titrée 24 heures dans la vie d'une femme, H24 suit 24 femmes différentes dans des histoires inspirées de faits réels heure par heure. Les 25 épisodes sont écrits par des autrices européennes, et on peut plus les voir comme 24 courts-métrages sur la même thématique. La compilation met en avant le sexisme subi sous toutes les coutures, avec du revenge porn, du harcèlement, et tous types d'abus. Si la réalisation est en partie signée Nathalie Masduraud et Valérie Urrea, les créatrices du concept, de nombreuses actrices connues ont participé à ce projet, en insistant que ces expériences sont le commun de toutes les femmes. Chaque épisode a beau faire que quelques minutes, l'impression qu'il laisse peut être plus lourde. Certains seront plus réussis que d'autres, mais ce qui est sûr, c'est que chaque thème abordé est un sujet révélateur de la situation de la femme aujourd'hui. https://youtu.be/ViX_TncxVS8 Arte nous prouve une fois de plus son avant-gardisme et son engagement social. Des séries originales françaises pourront toujours trouver un foyer.

Dans la STORY, présentée par FUJIFILM et sa gamme d'appareils GFX, le grand format numérique pour tous, Benjamin nous présente le livre Siempre Que de Céline Croze, un projet personnel réalisé pendant un tournage au Venezuela et exposé à la prochaine édition du Festival du Regard. Cette STORY est issue de l'épisode " S504 - Au coin du feu avec Éric Bouvet " diffusé le 6 octobre 2022. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Dans le GRAND DÉBAT, nous vous proposons une grande discussion AU COIN DU FEU avec le photographe et photojournaliste Éric Bouvet. Pour enrichir la discussion, nous avons également le plaisir d'écouter les témoignages du photographe Raymond Depardon; de Jean-François Leroy, le directeur du festival Visa pour l'Image; d'Alain Genestar, le directeur de Polka Magazine; de Amaury Mestre de la Roque, le rédacteur en chef de CIDJ.com; de Franck Portelance, ex responsable des relations extérieures chez Fujifilm et de Jules Bouvet. Cette émission est présentée par FUJIFILM et sa gamme d'appareils GFX, le grand format numérique pour tous. Ce GRAND DÉBAT est issu de l'épisode " S504 - Au coin du feu avec Éric Bouvet " diffusé le 6 octobre 2022. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Dans le QUIZ, les auditeurs du podcast Faut Pas Pousser les ISO posent leurs questions à notre invité, le photographe Éric Bouvet. Ce RÉPONDEUR est issu de l'épisode " S504 - Au coin du feu avec Éric Bouvet " diffusé le 6 octobre 2022. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.fr, nous faisons un focus sur les nouvelles versions de DxO PhotoLab 6 et DXO ViewPoint 4, la caméra Sony FX30 et l'exposition à la galerie Fisheye d'une sélection de photographies issues du festival photo de la Gacilly. Ce FLASH ACTU est issu de l'épisode " S504 - Au coin du feu avec Éric Bouvet " diffusé le 6 octobre 2022. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Dans le RÉPONDEUR, nous donnons la parole à des proches d'Éric Bouvet : Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Alain Genestar, Thierry Choquart et Nicolas Seurot lui laissent un message. Cette émission est présentée par FUJIFILM et sa gamme d'appareils GFX, le grand format numérique pour tous. Ce RÉPONDEUR est issu de l'épisode " S504 - Au coin du feu avec Éric Bouvet " diffusé le 6 octobre 2022. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Dans l'épisode S504 du podcast Faut Pas Pousser les ISO, nous recevons le photographe et photojournaliste Éric Bouvet pour une grande émission AU COIN DU FEU. Pour enrichir la discussion, nous avons également le plaisir d'écouter les témoignages du photographe Raymond Depardon; de Jean-François Leroy, le directeur du festival Visa pour l'Image; d'Alain Genestar, le directeur de Polka Magazine; de Amaury Mestre de la Roque, le rédacteur en chef de CIDJ.com; de Franck Portelance, ex responsable des relations extérieures chez Fujifilm et de Jules Bouvet. Cette émission est présentée par FUJIFILM et sa gamme d'appareils GFX, le grand format numérique pour tous. Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.fr, nous faisons un focus sur les nouvelles versions de DxO PhotoLab 6 et DXO ViewPoint 4, la caméra Sony FX30 et l'exposition à la galerie Fisheye d'une sélection de photographies issues du festival photo de la Gacilly. Dans la STORY, présentée par FUJIFILM et sa gamme d'appareils GFX, le grand format numérique pour tous, Benjamin nous présente le livre Siempre Que de Céline Croze, un projet personnel réalisé pendant un tournage au Venezuela et exposé à la prochaine édition du Festival du Regard. Découvrez également le RÉPONDEUR d'Éric Bouvet et le QUIZ qui fait la part belle aux questions des auditeurs. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Éric Bouvet et Raymond Depardon, Jean-François Leroy, Alain Genestar, Amaury Mestre de la Roque, Franck Portelance, Jules Bouvet, Jean Christophe Béchet, Cerise Bouvet, Sophie Bouvet, Thierry Choquart, Nicolas Seurot et Céline Croze.

Photographe, réalisateur de documentaires, et co-fondateur de l'agence photographique Gamma avant de devenir l'une des grandes figures de l'agence Magnum, Raymond Depardon est l'auteur d'une œuvre monumentale. Dans ses photos et ses films, il a abordé le monde rural, la guerre, la vie quotidienne des gens, la politique… La galerie Russo Yubero à Genève expose du 2 au 16 septembre le travail du photographe, issu de son livre "Errance" (paru en 2014).

durée : 01:20:03 - Les Nuits de France Culture - Par Yaël Mandelbaum et Julien Marrant - Avec Jean-Pierre Beauviala, Alain Bergala, Martine Bianco, Raoul Coutard, Eliane Delatour, Raymond Depardon, Jean-Paul Fargier, Jean-Michel Frodon, Serge Toubiana, les collaborateurs de Aäton : Martine Bianco, Thora Van Male, Yves Rivière, Pierre Michaux et Jean-Luc Godard, qui ne sera jamais loin, cheminant à travers les "Histoires du cinéma" - Réalisation Manoushak Fashahi

Lynnette Blanche is a marketing executive, photographer and co-founder of the Desire Path dao. Born in Alaska and raised in Florida, she made her way to New York in 2006. Like many before her, she found the city and its people, a playground for her curiosity and growing interest in the human condition. In 2018, through the encouragement of a friend, she set aside her iphone and picked up a Hasselblad 501cm film camera and has been shooting ever since. Inspired by Bernice Abbott and Raymond Depardon, she aims to capture the kaleidoscope of humans across the city's 8 million souls. https://foundation.app/@Lynnette https://www.instagram.com/lynnetteblanche_ twitter: @lynnette --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app Support this podcast: https://anchor.fm/thewrongadvicepod/support

durée : 00:53:39 - L'Heure bleue - par : Laure Adler, Céline Villegas - Quand un homme d'image, le photographe Raymond Depardon rencontre un homme de mots, l'écrivain Kamel Daoud, cela donne une exposition inédite qui rassemble deux visions de l'Algérie jusqu'au 17 juillet à l'Institut du Monde Arabe et un livre. Kamel Daoud est notre guide dans l'Heure Bleue.

Dans cet épisode, nous avons rencontré Yves Jeuland, réalisateur des documentaires politiques les plus marquants de ces vingt dernières années, à commencer par Paris à tout prix (2001) sur la bataille pour la mairie de Paris entre 1999 et 2001. Pendant deux ans, il a suivi les prétendants, les faiseurs de roi, les intrigants, en totale liberté. Yves Jeuland a aussi braqué sa caméra directe sur François Hollande à l'Elysée dans Un temps de Président, en 2015; et cinq ans plus tôt sur le dinosaure de la politique montpelliéraine Georges Frêche dans Le Président. Il raconte les coulisses de ces années passées à observer les politiques, au plus près, l'évolution de la communication politique, et comment concilier ce statut d'observateur avec ses engagements militants. Vous pouvez voir Paris à tout prix (2001) en streaming sur Youtube. Regardez aussi l'émission Rembob'ina sur LCP, consacrée à Paris à tout prix, présentée par Patrick Cohen, avec Yves Jeuland et plein de morceaux choisis du film, sur Dailymotion. Parmi les autres films d'Yves Jeuland: Le Président (2010) sur Universciné. Un temps de Président (2015) sur Orange VOD Les gens du Monde (2014), sur le service politique du journal Le Monde pendant la campagne présidentielle de 2012, sur Universciné. Charlie Chaplin, le génie de la liberté (2021) Les trois recommandations de films d'Yves Jeuland: sa perle introuvable: La solitude du chanteur de fond, de Chris Marker (1974): “c'est les douze jours qui séparent le concert unique qu'Yves Montand va donner au bénéfice des réfugiés chiliens à l'Olympia, en février 74. Et c'est ces quelques jours de répétition. Il a très peu de temps pour remonter sur scène alors que Montand ne va pas chanter entre 68 et 81. Et là, il dérouille son corps, sa voix. Et on le voit répéter, c'est du cinéma direct. C'est formidable. Et en plus, sur l'artiste le plus formidable au monde, qui est Yves Montand.” Disponible en streaming sur Youtube, sur abonnement et/ou en VOD sur Tënk. sa référence: Les Portraits, d'Alain Cavalier (1991): “cette somme formidable et inépuisable qui me séduit tellement” où le réalisateur filme à la fois des artisans, leur travail, leurs mains, leurs outils, et explicite son travail d'artisan à lui, derrière la caméra. Les liens pour en voir quelques uns (il y en a 24) : Disponibles sur abonnement et/ou VOD sur Tënk: La rémouleuse, La gaveuse, L'opticienne, La matelassière, le filmeur (autoportrait vidéo). Le film qui lui a donné envie de réaliser: Son tout premier documentaire, à lui: “C'est le film où tout d'un coup, je me suis dit. Mais bon sang, mais j'adore ça. Mais ce métier est fait pour moi. Mais je ne vous donnerai pas le titre parce que vraiment, je conseille à personne de le voir!” En bonus, la recommandation de doc politique d'Yves Jeuland: La conquête de Clichy, de Christophe Otzenberger (1995), film culte sur la campagne cantonale à Clichy (92) et le candidat RPR Didier Schuller, sans filtre. Pas de lien streaming ou VOD, mais le film est disponible à l'achat en DVD ou dans toutes les bonnes médiathèques. Et la référence en la matière: 1974, une partie de campagne, de Raymond Depardon: le réalisateur suit au plus près, en caméra directe, le candidat Valéry Giscard d'Estaing à la présidentielle de 1974. Au départ une commande du candidat VGE pour sa campagne “à l'américaine”, il sera interdit et ne sortira qu'en 2002. Disponible en VOD sur Universciné et Arte boutique. Des documentaires qui vous ont plu? Des réalisateurs que vous aimeriez entendre? Contactez-nous par email undocunsoir@gmail.com ou sur notre compte Instagram.

http://polaroid41.com/andre/ Mardi 1er juin 2021, 23h26. Je pense que j'ai assez de doigts sur une seule main pour comptabiliser nos rencontres. La première fois c'est le bruit du moteur de son tracteur qui m'a poussé à grimper à flanc de montagne derrière notre maison de vacances. Il y faisait les foins, seul. Je l'ai salué de la main, il m'a timidement répondu tout en continuant ce qu'il avait à faire. Je suis resté planté là, au bord du chemin, à le regarder travailler. Quand il a eu terminé les andains je lui ai demandé s'il avait besoin d'aide pour la suite des opérations, il m'a répondu que non. Je suis à nouveau resté là, sur le talus, à attendre. Une heure plus tard, on chargeait la première remorque de foin ensemble. Il n'avait pas besoin de moi, mais puisque j'avais l'air de vouloir, et surtout de savoir faire… Il faisait partie de ces paysans qu'on apprivoise, comme le raconte si bien Raymond Depardon dans Profils Paysans : montrer patte blanche, gagner leur confiance, être capable de travailler avec eux, comme eux, sans jamais se montrer intrusif. A la fin de la journée, on a bu une bière fraîche et échangé trois mots, juste l'essentiel. Il s'appelait André. André Gayou. Le foin qu'on venait de rentrer serait vendu aux propriétaires de chevaux, dans le hameau d'à côté. Il habitait à Buillac depuis toujours. Quant à moi j'étais là pour quinze jours. Ma fille (unique à l'époque) avait sept mois, et la famille de ma chérie avait l'habitude de louer une ancienne bergerie dans le village, on perpétuait la tradition. On s'est quitté comme on s'était rencontré quelques heures plus tôt, un peu vite, sans rien se promettre. Le lendemain après-midi, André klaxonnait sur son tracteur devant la maison pour que je grimpe sur la remorque. Un autre chargement de foin nous attendait plus loin. On a fait équipe comme ça pendant toute la durée de mon séjour. Le soir il me rétribuait en salades et en framboises que j'étais fier de ramener au gîte pour le dîner. L'année suivante, je me suis présenté à sa porte dès mon arrivée pour qu'il sache que j'étais de retour. Mon séjour « coupe de bois de chauffage » pouvait commencer. André venait de se voir attribuer un lot de neuf arbres, des hêtres, qu'il fallait abattre et débiter. — La lune est descendante, m'a-t-il dit, c'est le moment idéal pour aller chercher ces arbres. Ils sont au fond d'un ravin, ils mesurent jusqu'à 30 mètres de haut, ça risque de ne pas être facile. Mon ami Serge arrive avec son treuil, on ne sera pas trop de trois. Je faisais donc partie de l'équipe d'André. Cet été là, il m'en a dit un peu plus sur sa vie. Quand il était jeune, il était supposé reprendre la ferme, mais l'épidémie de brucellose en avait décidé autrement au début des années 60. Le petit troupeau familial est tombé malade et le moral du père avec. On l'a encouragé à se trouver un métier ailleurs alors il est rentré à l'équipement, comme il dit. ... Polaroid intégral (photo, texte et audio) disponible sur : http://polaroid41.com/andre/

Cette semaine, Un doc Un soir vous propose deux épisodes simultanés pour un thème aussi complexe que prisé des réalisateurs: le passage à l'âge adulte. Deux épisodes pour deux films: Les bonnes conditions de Julie Gavras, sorti en 2018, et Chante ton bac d'abord de David André, sorti en 2014. Deux chroniques sociales très différentes pour aborder l'adolescence, le déterminisme social, les choix de vie et l'héritage familial. Pendant treize ans, Julie Gavras a suivi huit jeunes, de leurs 16 ans à leurs 29 ans. Le film commence sur ces huit adolescents, élèves du très chic lycée Victor Duruy dans le 7ème arrondissement de Paris, tous issus de milieux sociaux très privilégiés; et s'achève sur des adultes qui ont fait leurs choix de vie, parfois attendus, parfois surprenants. Le film, diffusé sur Arte en mai 2018, est disponible sur le site VOD de la chaîne. Les trois recommandations de Julie Gavras: sa perle introuvable: L'esprit de‘45, documentaire de Ken Loach (2013), sur les changements sociaux-économiques de l'Angleterre dans l'immédiat après-guerre, pendant le gouvernement du travailliste Clement Attlee. “Moi qui ai grandi ou appris l'histoire de l'Angleterre ultralibérale avec Thatcher. Et puis tout ce qui s'en est suivi. J'ai découvert un pays avec une idéologie et un enthousiasme, mais un humanisme tellement différent que ce qu'on voit aujourd'hui que ça vaut vraiment le coup de le voir.” Disponible en VOD sur UniversCiné, FilmoTV, Orange VOD, et en streaming sur Vimeo. sa référence: Hitler, connais pas! , de Bertrand Blier (1963): Composé de témoignages de onze jeunes gens interrogés en 1963 sur leur vie et leurs aspirations, une enquête sur la jeunesse réalisée par Bertrand Blier, alors âgé de vingt-deux ans. “C'est un film uniquement à base d'interviews, en noir et blanc. C'est des jeunes qui sont assis sur un tabouret au milieu d'un studio. Ils ne font que parler et tout est dans ce qu'ils disent, et dans le travail de montage.” Disponible en VOD sur Arte, et Orange VOD. le film qui lui a donné envie de réaliser: 1974, une partie de campagne, de Raymond Depardon: Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre de l'Economie et des Finances, se lance dans une campagne présidentielle « à l'américaine ». Raymond Depardon, sur commande de VGE, suit partout le fringant candidat et capte des instants rares et historiques de la classe politique française. Longtemps censuré, le film ne sera diffusé pour la première fois qu'en 2002. “Je l'ai vu à la Cinématèque à 10-11 ans et je suis contente de l'avoir fait parce que c'est la première fois que je me suis dit qu'un documentaire, ça pouvait être aussi passionnant qu'un film de fiction.” Disponible sur Arte VOD La recommandation bonus de Julie Gavras, qui ne rentre dans aucune de nos catégories: Documentary Now: “C'est une émission faite par des anciens de Saturday Night Live qui reprennent des documentaires mythiques et qui en font une espèce de parodie en 20 minutes. C'est très drôle et c'est vraiment formidable à regarder parce que ça permet de voir toute la diversité formelle possible des documentaires.” Disponible sur Netflix (catalogue US) et Canal Plus Des documentaires qui vous ont plu? Des réalisateurs que vous aimeriez entendre? Contactez-nous par email undocunsoir@gmail.com ou sur notre compte Instagram.