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EVENEMENT LIVE BORDEAUXLa confiance… vaste concept, pourtant si important dans la vie d'un être humain.Vous avez peut-être toujours manqué de confiance en vous parce qu'on vous a répété quand vous étiez petite que vous étiez nulle, que vous ne saviez pas faire que vous n'y arriverez jamais que le monde extérieur est dangereux. Vous avez donc peut-être grandi avec des lunettes de la peur et non de la confiance.Pas facile dans ces cas là d'être parents et de réussir à donner ce sentiment de confiance à nos enfants. Une des définition donnée par le Larousse est : Sentiment de sécurité d'une personne qui se fie à elle-même.Cette notion de sécurité est primordiale. La confiance naît par le biais de la relation parents/enfants ou en tout cas via la personne qui prend soin de l'enfant.Elle peut aussi être donnée par l'entourage et notamment à travers l'école.Vous l'avez compris, ce sont nous les adultes qui aidons nos enfants à ressentir de la confiance en eux dans leurs premières années de vie.Dans cet épisode, je vous partage 3 choses que vous pouvez faire pour favoriser la confiance de votre / vos enfant·s.N'hésitez pas à partager vos tips pour encourager vos enfants à avoir confiance en eux.
Où l'on parle de snobisme, mais aussi de Matthieu Chédid.
{REDIFFUSION} de l'épisode 46 du 26 aout 2019***Série Best-Of***Anne Ghesquière reçoit Matthieu Chéreau pour évoquer l'importance de préparer nos enfants à demain ! - Épisode #46Dans cet épisode avec Matthieu Chéreau, j'aborderai les thèmes suivants :Comment la 4ème révolution industrielle va-t-elle nous impacter ?Et quid des grands défis environnementaux puisque nous savons que l'humanité vit peut être ses derniers instants ?Que faire face à ce constat que l'école n'est pas adaptée à nos enfants pour le monde de demain ?Faire autrement pour innover nécessite d'être rebelle, or on nous apprend tout le contraire !Il faut aussi redéfinir l'intelligence, que sera l'intelligence de demain (si nous existons encore) ?Donnez-nous des exemples d'écoles dans le monde qui préparent le monde de demain ? Green School Of Bali, Amanins en France, WeGrow, Deep Springs college, etc.Qu'est-ce que le Life Hacking ?Qu'est-ce que permettre à nos enfants de devenir conscients et comment ?Qui est mon invité de la semaine, Matthieu Chéreau ?Mon invité est un entrepreneur dans le digital depuis 10 ans. Père de deux jeunes enfants il explore les pédagogies nouvelles et les enjeux du futur. Il est l'auteur d'un ouvrage aux Editions Eyrolles : Préparons nos enfants à demain.Nous allons parler de l'obsolescence du système actuel, de la révolution en cours et surtout explorer les nouvelles voies qui s'offrent aux enfants de demain.Quelques citations du podcast de Matthieu Chéreau : "On apprend d'autant mieux quand il y a de la diversité""Cela peut aussi être un plaisir d'apprendre à vivre avec les autres""Les apprentissages ont besoin d'être vécu dans le plaisir et s'applique pour tous""L'écoles fait tout pour que les enfants ne soient pas rebels alors qu'elle est essentielle"Suivez Matthieu sur le site : matthieuchereau.comRejoignez-nous sur notre nouveau site Internet et abonnez-vous à notre Newsletter https://www.metamorphosepodcast.com/ Soutenez notre podcast en rejoignant dès maintenant la Tribu MétamorphoseRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Spotify /Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Suivez l'actualité des épisodes Métamorphose Podcast sur Instagram, découvrez l'invité de la semaine et des surprises ;-)InstagramFacebookPhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, Marc-Antoine Le Bret nous emmène sur les réseaux sociaux des stars qui ont beaucoup de choses à dire en story.
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La question démographique, bien que souvent galvaudée et utilisée à mauvais escient, reste importante dans notre monde aux limites finies. Sa courbe exponentielle qui explose depuis le milieu du XXème siècle est une composante importante de la destruction de la planète et fait présager des combats d'accès aux ressources effrayants. Si on rajoute les perspectives écologiques qui nous attendent rationnellement et les constats dramatiques actuels : pénurie d'eau douce, géopolitique qui réarme les pays, extrême droite et autoritarisme qui prennent de la force partout, dômes mortels de chaleur, épidémies, cancers, pollutions inertie, voire recul politique, inflations, pénuries de blés, d'huiles, de lait infantile... tout ça ne donne pas envie de donner la vie. Car quelle vie ? Et pour quels impacts d'épuisement des ressources supplémentaires ? Comment envisager faire venir au monde des enfants dans ces conditions et perspectives ? Et puis, en termes féministes, comment aborder le paradoxe entre maternité et libération de son injonction ? Et si on choisit finalement dans un projet de parentalité, dans quels termes ? L'adoption ? La conception ? La parentalité partagée en tribu ? Et après, avec quels garde-fous écologiques et féministes ? Quelle éducation ? Parentalité, féminisme et écologie : un triptyque impossible ? On a abordé ces questions avec nos deux invitées, mères et autrices sur la question : Amandine LAFFONT, mentor Edeni sur la Classe Virtuelle Parentalité éco-responsable et consultante écologie Audrey VERNON, Comédienne et autrice, dont les textes doux-amers démontent avec acidité et humour le capitalisme, l'écologie libérale, la destruction de la nature. Elle est notamment autrice du seule-en-scène et livre Million Dollar Baby, lettre à son futur enfant dans un monde qu'on détruit. et puis votre fidèle servitrice en animatrice, Hélène DE VESTELE, enceinte éco-anxieuse de 8 mois au moment de l'enregistrement. Nous avons aussi cité un certain nombre de ressources : Une conférence de Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents L'enfant dans la nature, un livre de Matthieu Chéreau et Moïna Fauchier-Delavigne Une interview d'Emma Haziza sur la crise de l'eau, mère de 4 enfants pourtant joyeuse Portrait du colonialisme, un livre de Jérémie Piolat sur comment nous avons été privés de nos danses, rituels d'éducation, chants non marchands ... Mon Ishmael de Daniel Quinn, roman initiatique autour de l'éducation, de l'enseignement des tribus et de l'enfance. La puissance des mères, de Fatima Ouassak, sur la puissance révolutionnaire (écologique et décolonialiste) des mères lorsqu'elles se soulèvent pour protéger l'avenir de leurs enfants. Article "Les sociétés véritablement matriarcales sont des sociétés partenariales et égalitaires." sur Partage-le, blog d'écologie radicale et féministe Terre et Liberté, d'Aurélien Berlan
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-)A très vite!LAISSONS LES ENFANTS JOUER DANS LA NATURE - Diffusé en octobre 2019On a tous ce souvenir, petit, de nos sorties en forêt, de l'émerveillement ressenti à manipuler la nature. La joie en grimpant aux arbres, en découvrant les escargots, en construisant des cabanes.Malheureusement en l'espace d'une génération, ces expériences de bonheur profond et d'émerveillements à la nature ce sont petits à petits réduites pour laisser place à la vie à l'intérieur et devant les écrans.Selon une enquête de 2016 de l'institut de veille sanitaire, quatre enfants sur dix ne jouent jamais dehors pendant la semaine. Les colonies de vacances sont de plus en plus difficiles à organiser, tout comme les classes vertes.Cette déconnexion à la nature a des conséquences sur nos enfants et leur comportements, notamment sur le niveau de stress ressenti.Heureusement, dans le monde entier, des écoles dans la forêt fleurissent.Matthieu Chéreau est co-auteur du livre “Les enfants dans la nature, pour une révolution verte”.Avec Moina Fauchier Delavigne, journaliste au Monde, ils ont fait l'état des lieux de ces écoles magiques, qui enseignent en pleine nature.Le livre est passionnant, tout comme notre entretien.Bonne écoutehttp://matthieuchereau.com/https://www.reseau-pedagogie-nature.org/https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/05/04/on-a-coupe-les-enfants-de-la-nature_5294128_3232.htmlhttps://livre.fnac.com/a13526706/Moina-Fauchier-Delavigne-L-enfant-dans-la-nature?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla366875966876%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=Cj0KCQjwoqDtBRD-ARIsAL4pviCYzk6nMflDg4CuTDsu8-C8z3mgEtbWAh-PMU8B9jRL3ndhkaEOgYwaAuo-EALw_wcB&gclsrc=aw.dsSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Antoine Desmet est l'artisan derrière la marque de switcher haut de gamme Made in France DESS (dess-equipement.com). Il travaille avec des artistes poids lourds du métier tels que Matthieu Chédid, Jean-Louis Aubert et quelques autres. C'est dire la qualité de ses produits et le niveau de son expertise. Il était au salon du Paris Guitar L'article Antoine Desmet au Paris Guitar Festival, fabricant de switcher haut de gamme DESS est apparu en premier sur La Chaîne Guitare.
Mon ami m'a trahi
Ce n'est que lorsque nous sommes brises que l'Esprit se repand
Quand Jesus eut acheve toutes ces instruction...
Le jugement dernier est definitif
Il separera les brebis avec les boucs
Le serviteur qui avaient recu qu'un talent l'avait dedaigne
Le maitre leur confiera beaucoup dans le ciel...
Christ conference des dons varies a differentes personnes...
Les vierges filles avaient laisse passe l'occasion favorable
Il existe Dan's l'eglise deux sortes de personnes:les sages et les folles.
Que tous les serviteurs de Christ soient a la place....
La semaine dernière, Extra classe était dans le massif des Corbières pour parler de la classe dehors. Nous avons voulu savoir si le milieu urbain, voire hyper-urbain, était aussi propice à cette forme d'enseignement que la campagne. Réponse avec Alexandre Ribeaud, enseignant en classe de maternelle dans une école parisienne du XIXe arrondissement, située entre le périphérique extérieur et un grand boulevard. Kit Canotech de Réseau Canopé sur la classe dehors. « Enseigner dehors en cycle 2 et 3 », parcours Magistère, Réseau Canopé, 2022. « Enseigner dehors dans le secondaire », parcours Magistère, Réseau Canopé, 2021. Référence citée par Alexandre Ribeaud : Chéreau Matthieu, Fauchier-Delavigne Moïna, L'enfant dans la nature, Fayard, 2019. La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Chaque mercredi, découvrez un nouvel épisode d'Extra classe sur votre plateforme de podcasts préférée. Suivez-nous, écoutez et partagez… Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et réalisée par : Aurélie Dulin Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Mixage : Simon Gattegno Secrétariat de rédaction : Aurélien Brault Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2021 Transcription : Je suis Alexandre Ribeaud, enseignant en école maternelle à Paris (dans le 19e). J'ai une classe de 22 élèves de petite et moyenne sections. C'est une école polyvalente qui est située dans le quartier Rosa Parks, en zone d'éducation prioritaire. On a une grande fenêtre qui donne sur une rue. On aperçoit quand même quelques arbres. C'est typiquement parisien. On est dans un quartier qui est assez urbain, dans une zone qui était séparée de Paris par des entrepôts qui ont été rasés. Pendant plus d'une dizaine d'années, voire plus, il n'y avait rien à part cette barre d'immeuble où habitent tous les enfants de l'école. Comme tous les jeudis, on a été dehors ce matin. Le dehors, pour nous, c'est le square d'à côté qui au départ n'est pas beaucoup apprécié par les parents parce que ce n'est pas forcément bien fréquenté le soir. Faute de mieux, on a été dans ce square qui, finalement, est super. On a trouvé un arbre qu'on peut escalader, on a tout un taillis d'arbres dans lequel on peut passer. Il y a une énorme diversité de végétaux, tout un parterre aussi de fleurs qui est changé régulièrement par les jardiniers. Ce qui m'a incité à démarrer cette pratique de la classe dehors, c'est la lecture d'un livre de Matthieu Chéreau et Moïna Fauchier-Delavigne [L'Enfant dans la nature, Fayard, 2019] qui a déclenché quelque chose d'important chez moi. J'ai compris que la classe dehors n'était pas une lubie de développement durable ou d'écologie, ce qui aurait pu être en phase avec mes valeurs. Mais j'ai l'impression que c'était un besoin essentiel de l'enfant. Le besoin d'être dehors, c'est plus du tout un réflexe que les jeunes ont aujourd'hui. La principale cause est les écrans évidemment mais aussi la crainte des parents qui préfèrent avoir les enfants tranquillement à la maison, devant un écran. Ils ont une impression de sécurité comme ça. Les premières choses qu'on observe quand on est dehors, c'est déjà une énorme sensation de bien-être et d'apaisement. Pour les élèves évidemment mais aussi pour les enseignants. Tout d'un coup, on se retrouve dans un endroit où on n'a pas de problème de bruit, de matériel et de place. La deuxième chose qu'on va vite observer, c'est une cohésion de classe qui se crée. Quand il pleut, c'est encore mieux : on revient de cette matinée, on est plein de boue, on a l'impression d'avoir fait un stage de survie. On a vraiment vécu une expérience collective. Le troisième aspect, c'est une capacité de concentration des élèves qui augmente. J'ai un exemple très précis à ce sujet. J'avais une jeune élève qui s'appelle Mariam. Quand elle est arrivée en petite section, elle était très agitée dans la classe, elle dérangeait beaucoup ses camarades, elle ne rangeait rien. Elle avait envie de tout faire en même temps. C'était une « catastrophe ». Lors de la première séance dehors, je propose de faire des herbiers, c'est-à-dire une petite feuille de carton avec un scotch double face dessus : les élèves vont chercher des feuilles et font quelque chose avec. Et on voit cette petite Mariam se concentrer sur un herbier puis finalement deux herbiers successifs pendant plus de 30 minutes. On l'a regardée avec Concilia (mon Atsem) et on s'est dit qu'elle était capable de se concentrer longtemps. Elle n'a pas changé, le fait d'être dehors n'a pas changé sa personnalité en une fois mais elle nous a montré qu'elle était capable de se concentrer. Elle a changé notre regard et on l'a abordée complètement différemment dans la classe. On lui a proposé des choses beaucoup plus ambitieuses et, en milieu de petite section, elle faisait des puzzles de 100 pièces, passait 3/4 d'heure sur ses peintures à faire des choses très colorées, très longues. Je pense que ça a vraiment changé son année. Tout le lien qui va avoir lieu entre le dedans et le dehors est très important. J'ai décidé de me concentrer sur deux choses : le jeu libre, qui est une notion tout à fait intéressante et qui est dans les programmes depuis 2015. Et puis le langage. Dans la classe, au retour de cette expérience du jeudi matin en dehors, chacun va verbaliser ce qu'il a fait. Ils me font une phrase qui commence par : « Ce matin en forêt, j'ai... » J'ai noté toutes ces phrases toute l'année, ce qui m'a permis de constater que, en fin d'année, les phrases étaient quand même beaucoup plus longues qu'au début. J'imagine qu'il n'y a pas que le dehors qui a joué là-dessus. Évidemment, ils ont grandi et ont fait d'autres choses dans la classe. Mais il y a du langage qui s'est créé. On est parfois revenu sur des phrases dites par untel : « Ah, tu te souviens, t'avais dit que t'avais fait un câlin à l'arbre. Donc est-ce que t'as fait un câlin à l'arbre cette fois-ci ? » Après, j'ai enregistré en mettant des fiches, j'ai appelé des photos « action » où on voit un enfant en action. Et dessous c'est marqué : « Malio fait un câlin à l'arbre. » Ça marche très bien parce que ça leur donne aussi des idées de ce qu'ils vont faire la prochaine fois. Je prends l'exemple du câlin à l'arbre car, typiquement, la fois d'après j'ai eu des élèves qui sont allés faire un câlin à l'arbre. Prendre des risques pour grandir, ça veut tout dire. C'est aussi ce qui est complexe dans cette pédagogie, dans cette pratique. Culturellement, j'en parlais tout à l'heure, les parents ont la crainte aujourd'hui de voir leurs enfants dehors. Et puis on est dans une société où il faut absolument maîtriser tous les risques. Mais essayer de ne pas prendre de risque, c'est à long terme faire beaucoup plus de tort à la société et aux enfants que d'essayer d'en prendre. Il ne s'agit pas de prendre des risques mais que l'enfant, l'élève, sache lui-même ce qu'est un danger. Mes élèves grimpent à l'arbre mais personne n'est jamais tombé. Ils jouent avec des bâtons. Autour de moi, j'ai assez peu de gens qui se sont fait crever l'œil par un bâton quand ils étaient jeunes, c'est quand même assez rare. J'ai beaucoup plus de bobos le jeudi après-midi dans la cour de récréation. Être capable d'accepter les risques, c'est aussi être capable de faire confiance à l'enfant. Je trouve que c'est intéressant aussi dans la pratique du jeu libre car, à un moment donné, on lâche un peu prise et on suggère à l'enfant d'apprendre par lui-même, d'aller chercher ce dont il a besoin. L'enseignant a un vrai rôle dans ce jeu libre : verbaliser, en faire un apprentissage, faire confiance. Ça m'a plus surpris cette année que l'année dernière mais quand je leur ai dit, lors de la première séance cette année : « Vous avez le droit de jouer avec un bâton et de grimper à l'arbre », ils m'ont vraiment fait répéter, ils n'y croyaient pas, me regardaient avec des grands yeux. J'ai compris qu'ils n'avaient pas cette liberté même avec leurs parents. Si l'enfant ne l'a jamais, il ne peut pas se construire complètement. Il se construit pleinement parce qu'il a cette liberté, qu'il va devoir faire des choix, devoir apprendre à maîtriser son corps, ses risques, etc. En plus, il est dans la nature donc le corps est entièrement mis à contribution. Donc, sortons !
Tous les autres hommes de ce temps jouissaient des plaisir du monde
Mes paroles ne passeront point.
Il y aura des signes dans le soleil,dans la lune et dans les etoiles
Jesus reiter sa mise en garde contre les faux Christ
Vous verrez celui qu'on appelle ..
Les signes de la fin du monde
Prenez garde que personne ne vous seduise...
Quelles pierres, quelles constructions!
Jesus etait venu pour chercher et sauver les brebis perdues de la maison d'Israel
Jesus avertit les juifs de sa generation du jugement final
Leurs ancetres avaient tue les prophetes de l'ancien testament
Ce qui sort de l'homme, voila ce qui le rend impur
Quand ns jurons par quoi que ce soit qui appartient a Dieu, ns jurons par Dieu
Jesus porte maintenant quelques accusations contre les chefs religieux juifs
Jesus avertit ses disciples de ne pas appeler personne pere.....
La verite est que le Messie est a la foi le Fils de David et le Seigneur
Aimer Dieu et aimer son prochain
Au ciel, les hommes seront comme les anges...
Rendez a Cesar ce qui est a Cesar et a Dieu ce qui est a Dieu
Car il y a beaucoup d'appeles, mais peu d'elus...
Guillaume Durand et ses chroniqueurs se sont installés pour trois émissions à Marseille, au Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM), conçu par l'architecte Rudy Ricciotti. Pour sa réouverture au public, le MuCEM met à l'honneur Jeff Koons, avec une exposition visible du 5 mai au 18 octobre 2021. Au sommaire : La lecture en streaming Jusqu'alors réservé à la musique et à la vidéo, le streaming touche désormais le livre et les magazines. Contre un abonnement mensuel, des plateformes offrent un accès illimité à une bibliothèque de contenus. Youboox, une startup francophone, a connu une véritable explosion pendant la pandémie de Covid-19, tout comme ses concurrents YouScribe ou Amazon. Mais qu'en est-il de la rémunération des auteurs ? Diabaté et le LSO Treize ans après son enregistrement en 2008, gros plan sur la sortie de « Kôrôlén », un album de Toumani Diabaté, de ses musiciens maliens et du London Symphony Orchestra. Pour mémoire, Toumani Diabaté, qui a déjà reçu un Grammy Award, a également collaboré avec Björk, Damon Albarn ou Matthieu Chédid. Les DJ's au chômage Plus d'un an sans clubs et sans grand-messes électroniques : la pandémie aurait-elle mis fin au règne du DJ et tué la musique dance ? Où sont les David Guetta, Laurent Garnier, Bob Sinclar, Martin Solveig et autres The Avener ? Invitée : Hélia Paukner, conservatrice du patrimoine, responsable du pôle art contemporain du MuCEM. Présentation : Guillaume Durand. Avec la participation de Michel Cerutti (RTS), Sylvestre Defontaine (RTBF), Laura Tenoudji (France Télévisions), Yves Bigot (TV5MONDE). Depuis le MuCEM, à Marseille.
Les paiens ont donc recu la vigne, c'est-a-dire le royaume de Dieu
Dieu acconde plus d'importance aux actes qu'aux promesses.
Ils le suivaient bien mais refusaient de l'admettre
Une religion qui ne porte pas de fruit est une religion morte.
L'appeler fils de David, c'est-a-dire MESSIE...
Zakarie avaitprophetise que le Messie entrerait dans Jerusalem monte sur un ane
En chemin vers Jerusalem...Baritime fut gueri en raison de sa foi
Dans le monde,les hommes cherchent autre les premier....
Tout se deroula exactement comme Jesus l'avait announce