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Le Colonel de Guerlasse, après avoir reçu des nouvelles préoccupantes en provenance de l'Atoll Ondulera, décide de reprendre la situation en main et de se rendre sur place. Mais, comme toujours dans cette histoire, il y a un petit détail qu'il ignore. Le révérend Père Paudemurge a soigneusement gardé secrète une proposition pour le moins surprenante : le professeur Ménerlache, dans une tentative de rationaliser son cœur de savant, veut que Mademoiselle Troussecotte prenne la place laissée vacante par Adèle. Si le Colonel avait été au courant, il est certain que Mademoiselle Troussecotte n'aurait pas été incluse dans le voyage. Mais bon, à l'heure qu'il est, il se retrouve à voyager avec elle, tout en ignorant totalement l'absurdité de la situation. Au départ du QG du SDUC, l'adjudant Tifrisse, dans un acte de dévouement désespéré, leur remet une bande magnétique étrange découverte près de la Tour Eiffel. Ce qui est caché dedans ? Laissons le Colonel et ses compagnons se dépatouiller avec cette nouvelle énigme !*** Fiction radiophonique de Pierre Dac et Louis Rognoni - Producteur : Jean Bardin - Réalisateur : Jean Wilfrid Garrett - Avec : Héléna Bossis, Roger Carel, Pierre Dac, Claude Dasset, Jean Piat, Paul Préboist, Lawrence Riesner et Alain Rolland - Première diffusion : 01/08/1967 sur France Inter - Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre l'Algérie et la France, le torchon brûle de nouveau. Suite à la décision d'Alger, ce dimanche, d'expulser douze agents consulaires français, Paris prend une décision identique et rappelle son ambassadeur en Algérie. Après le coup de fil Tebboune-Macron du 31 mars et les gestes d'apaisement qui avaient suivi, la surprise est totale. Comment en est-on arrivé là ? Va-t-on vers une rupture des relations diplomatiques ? Le Franco-Algérien Lyes Djebaili a milité pour le mouvement démocratique Hirak à Alger et dirige aujourd'hui en France le collectif Algérie Droit Devant. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à cette nouvelle escalade entre l'Algérie et la France ? Lyes Djebaili : C'est regrettable. C'est incompréhensible. Les relations franco-algériennes s'acheminaient vers une détente, vers un dégel. Et puis subitement, les relations se crispent davantage. Manifestement, on a l'impression que les deux présidents, Monsieur Macron et Monsieur Tebboune, malgré leurs relations personnelles, qui sont de bonnes relations, n'arrivent pas à se parler comme naguère le faisaient Monsieur Bouteflika et Monsieur Chirac. Là, c'est quelque chose d'inédit, du jamais vu depuis l'indépendance de l'Algérie depuis 1962. Le rappel des ambassadeurs côté algérien et côté français. L'expulsion de douze agents consulaires et diplomatiques français et algériens. Tout cela ouvre la voie vers la rupture des relations diplomatiques.Vous craignez une rupture ? Je le crains. Je crains cette rupture entre la France et l'Algérie parce que c'est inédit depuis 1962, une fermeture des deux côtés. Les ripostes sont fermes de part et d'autre. Voilà, espérons des jours meilleurs pour les relations franco-algériennes. Après tout, ce sont des relations historiques, profondes où s'entremêlent les relations de famille, les relations de culture, du sang, ainsi de suite. Voilà, en tout cas, en tant que militant, en tant que franco-algérien aussi, l'Algérie, c'est mon pays de naissance. Et la France, c'est mon pays d'adoption. Et je me sens aussi bien Algérien que Français. Et c'est la raison pour laquelle j'appelle de tous mes vœux au dégel de ces relations et au retour tant soit peu à la sagesse.Alors, il y a huit jours, après le coup de fil Tebboune-Macron et la visite à Alger du ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, tout le monde pensait que les deux pays allaient reprendre le dialogue, la coopération. Et puis depuis ce week-end, patatras ! L'Algérie décide d'expulser douze agents français et la France réplique comme vous le savez. Comment expliquez-vous ce nouveau raidissement ? Moi, je rappelle, en tant que militant des droits humains, en tant que militant pour la démocratie, pour l'établissement d'un État de droit et de citoyenneté dans mon pays, je rappelle que, dans un État de droit, la justice est indépendante. Honnêtement, je ne sais pas les détails de cet enlèvement de l'influenceur algérien…Amir DZ, oui… Et donc de la mise en examen et de l'arrestation vendredi dernier par la justice française de trois Algériens de France, dont un membre du consulat d'Algérie à Créteil, près de Paris…Oui, mais ces trois personnes qui sont impliquées dans l'enlèvement… Personnellement, en tant que citoyen, j'appelle à l'indépendance de la justice parce que nous militons pour une justice indépendante dans notre pays d'origine en Algérie. Laissons la justice faire son travail. La justice en France est une justice indépendante. Je ne pense guère qu'elle soit soumise, assujettie à l'exécutif. Mais j'appelle aussi bien l'Algérie et la France à retrouver les chemins de la sagesse pour renouer un dialogue d'égal à égal pour le bien-être de l'Algérie, de la France et des deux peuples algériens et français.Donc, vous pensez qu'après l'arrestation de cet agent algérien du consulat de Créteil, Alger n'était pas obligé d'expulser douze agents français d'Algérie ? C'est une décision qui était lourde de conséquences suite à une décision de justice. C'est un yoyo diplomatique. On retombe dans les travers alors que nous étions tous heureux que les relations franco-algériennes repartent de plus belle.Est-ce que le fond du problème, ce n'est pas la reconnaissance de la marocanité du Sahara par la France ? C'était il y a neuf mois…Oui, chaque pays est souverain dans la prise de sa décision. Maintenant, est-ce que la France aurait pu garder sa neutralité, rester neutre ? Est-ce que cette reconnaissance allait passer par le Parlement ? On se demande. Moi je me le demande, en tant que citoyen sachant les conséquences de cette reconnaissance. La France, c'est un grand pays qui a toujours su garder une certaine neutralité. Monsieur Macron aurait pu garder cette neutralité vis-à-vis de cette question du Sahara occidental. C'est une question qui dépend de l'ONU. C'est une question de décolonisation. Elle dépend de l'ONU. D'ailleurs, entre le ministre des Affaires étrangères français, Monsieur Barrot, et le ministre des Affaires étrangères algérien, Monsieur Attaf, il y avait un communiqué conjoint disant que la question du Sahara occidental dépendait de l'ONU.À lire aussiFrance-Algérie: Paris annonce l'expulsion de douze diplomates et rappelle son ambassadeur
«Tout est nombre», disait Pythagore. Loin d'être nos ennemis, les chiffres sont nos alliés, partout à l'œuvre dans la nature comme dans nos sociétés humaines... Et si on se laissait embarquer par la magie des nombres et même déstabiliser par les mathématiques de l'amour ? Laissons-nous embarquer par la magie des nombres - peu importe que vous soyez fasciné par les chiffres ou que vous détestiez le calcul- si tout est nombre, comme le disait Pythagore, il est grand temps de comprendre que les nombres, loin d'être nos ennemis sont nos alliés : À l'œuvre partout, dans la nature, comme dans nos sociétés numériques et jusque dans notre cerveau humain statisticien dès la naissance ou presque : comment se réconcilier avec les nombres ?Avec - Étienne Ghys, mathématicien pour l'ouvrage Ma petite histoire des nombres paru chez Odile Jacob - Antoine Houlou-Garcia, membre associé de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité et enseignant à la Fondazione Demarchi à Trente (Italie) pour l'ouvrage Mathématiques de l'amour chez Flammarion.Musiques diffusées Sam Cooke - Wonderful WorldFlore et Yannick Moréteau – EuclideBensé - Les mathématiques
«Tout est nombre», disait Pythagore. Loin d'être nos ennemis, les chiffres sont nos alliés, partout à l'œuvre dans la nature comme dans nos sociétés humaines... Et si on se laissait embarquer par la magie des nombres et même déstabiliser par les mathématiques de l'amour ? Laissons-nous embarquer par la magie des nombres - peu importe que vous soyez fasciné par les chiffres ou que vous détestiez le calcul- si tout est nombre, comme le disait Pythagore, il est grand temps de comprendre que les nombres, loin d'être nos ennemis sont nos alliés : À l'œuvre partout, dans la nature, comme dans nos sociétés numériques et jusque dans notre cerveau humain statisticien dès la naissance ou presque : comment se réconcilier avec les nombres ?Avec - Étienne Ghys, mathématicien pour l'ouvrage Ma petite histoire des nombres paru chez Odile Jacob - Antoine Houlou-Garcia, membre associé de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité et enseignant à la Fondazione Demarchi à Trente (Italie) pour l'ouvrage Mathématiques de l'amour chez Flammarion.
Le 9 mars 2025 Par Patrice Nagant ___ Patrice nous rend visite ce matin avec un message percutant, un message qui nous encourage dans notre combat quotidien. Avec sa passion connu pour l'Évangile et sa puissance, il nous montre combien Jésus prend tout sur lui afin que nous voyagions légers, avancions avec assurance et restions solides face aux épreuves. Non seulement il nous encourage au "bon combat", mais il nous rappelle que la victoire est déjà acquise, car c'est Dieu lui-même qui la remporte pour nous. Patrice a ce don de révéler, avec simplicité, que la bonne nouvelle traverse toutes les époques de la Bible, et demeure la même aujourd'hui. Dieu est constant : son plan ne change pas et ne changera jamais. Son amour et son engagement envers l'humanité bouleversent tous les concepts humains de divinité. Laissons-nous transformer par ce message rempli d'espoir.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Jean-Loup Bonnamy et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est la Saint-Valentin ! Et à cette période, il y a deux types de personnes : ceux qui aiment préparer des surprises, des dîners aux chandelles… et ceux qui lèvent les yeux au ciel en mode “encore cette fête ?”Mais peu importe de quel côté tu te places, une chose est sûre : l'amour fait toujours parler. Certains y croient encore, d'autres pensent que c'est une illusion.Alors aujourd'hui, j'ai envie de te rappeler pourquoi, oui, l'amour existe encore. Pas juste dans les films ou les pubs de chocolat, mais bien dans la vraie vie.J'aimerais te rappeler que l'Amour Véritable est une personne, celle qui a donné Sa vie pour nous, cette personne qui nous a aimé en premier, même quand nous ne le méritions pas. Cette personne c'est Jésus-Christ. Laissons son amour nous remplir et nous permettre d'expérimenter l'amour avec notre prochain. Et si tu doutes encore, laisse-moi te donner quelques preuves…Découvre 4 raisons dans cet épisode de podcast avec Saphy Urbano et si tu y crois encore, laisse un commentaire et une note à la fin. Bonne écoute à tous
On jase des Canadiens avec André Roy et Stéphane Waite.
EVENEMENT LIVE BORDEAUXLa confiance… vaste concept, pourtant si important dans la vie d'un être humain.Vous avez peut-être toujours manqué de confiance en vous parce qu'on vous a répété quand vous étiez petite que vous étiez nulle, que vous ne saviez pas faire que vous n'y arriverez jamais que le monde extérieur est dangereux. Vous avez donc peut-être grandi avec des lunettes de la peur et non de la confiance.Pas facile dans ces cas là d'être parents et de réussir à donner ce sentiment de confiance à nos enfants. Une des définition donnée par le Larousse est : Sentiment de sécurité d'une personne qui se fie à elle-même.Cette notion de sécurité est primordiale. La confiance naît par le biais de la relation parents/enfants ou en tout cas via la personne qui prend soin de l'enfant.Elle peut aussi être donnée par l'entourage et notamment à travers l'école.Vous l'avez compris, ce sont nous les adultes qui aidons nos enfants à ressentir de la confiance en eux dans leurs premières années de vie.Dans cet épisode, je vous partage 3 choses que vous pouvez faire pour favoriser la confiance de votre / vos enfant·s.N'hésitez pas à partager vos tips pour encourager vos enfants à avoir confiance en eux.
Se lever avec l'envie de vomir plusieurs jours d'affilée, ça a fini par me mettre puce à l'oreille : Est-ce que je serais pas en train de ressentir physiquement les conséquences de ces atrocités dont on est spectateurs depuis quelques temps ? Dans cet épisode, on essaie de réfléchir ensemble, entre mes milliers de blablas hors sujet, à l'importance de préserver notre esprit de la folie ambiante. Et à comment rester un individu éveillé. "La guerre autour de nous, ne dois pas devenir la guerre en nous. Car tout commence avec nous-mêmes".
Pour ou contre une nouvelle Constitution en République démocratique du Congo ? S'exprimait, hier, le 25 novembre 2024, pour l'opposition, Olivier Kamitatu, le porte-parole de Moïse Katumbi, qui est résolument contre. Voici ce matin le point de vue de la majorité, par la voix du député national Augustin Kabuya, qui est le secrétaire général du parti au pouvoir Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et le vice-président de l'Internationale socialiste pour la zone Afrique. Que répond-il à ceux qui soupçonnent le président Félix Tshisekedi de vouloir briguer un troisième mandat en 2028 ? En ligne de Kinshasa, le patron de l'UDPS dévoile sa stratégie. RFI : Augustin Kabuya, pourquoi dites-vous que la Constitution de 2006 n'est plus adaptée aux réalités congolaises d'aujourd'hui ?Augustin Kabuya : Je me pose beaucoup de questions. Pourquoi quand, nous Congolais, nous voulons réfléchir sur notre propre loi fondamentale, ça suscite le débat ? Le Gabon a récemment changé sa Constitution, ça n'a pas suscité des réactions comme nous les vivons dans notre pays. Est-ce que c'est interdit à un peuple de réfléchir sur sa propre Constitution ? D'ailleurs, la Constitution dont nous discutons aujourd'hui n'est pas la même Constitution que celle votée au référendum de 2005. La Constitution de 2005 avait deux tours pour les élections présidentielles, mais aujourd'hui, nous sommes arrivés à l'élection à un seul tour. C'est pour vous dire qu'il y a eu des retouches sur cette Constitution. C'est pour cela que nous disons vouloir revisiter cette Constitution. Nous devons même la changer, puisqu'il y a beaucoup d'anomalies qui ne facilitent pas la tâche au bon fonctionnement des institutions.L'un des articles les plus en vue de la Constitution actuelle, c'est bien sûr l'article 220 qui dit que le président est élu pour cinq ans et qu'il ne peut faire que deux mandats maximum. Souhaitez-vous une révision de cet article ?Nous n'en sommes pas encore là. Ça, ce n'est que le procès d'intention que les « opposants » sont en train de prêter au président de la République et qu'on ne voit nulle part dans ses interventions. Jamais, il n'a fait allusion à la modification de l'article 220.Pour réformer la loi fondamentale, il y a deux options : soit réviser la Constitution actuelle, soit changer de Constitution. Quelle est votre préférence ?Je m'inscris dans la logique du chef de l'État, exprimée le 23 octobre dernier, il avait parlé soit de révision, soit de changement.Justement, le 23 octobre 2024 à Kisangani, le président a annoncé qu'il allait désigner une commission nationale « chargée d'élaborer une Constitution adaptée à nos réalités congolaises ». Ne serait-ce pas le signe que vous allez changer de Constitution ?Nous n'en sommes pas encore arrivés à ce stade. Ne cherchez pas à faire dire au chef de l'État ce qu'il n'a pas dit ou bien de lui prêter des intentions qu'il n'a pas.Pour réformer la Constitution, il faut passer soit par un référendum, soit par un vote favorable des 3/5e du Parlement. Quelle est pour vous la meilleure option ?Je préfère que le peuple règle cette affaire.Donc, par référendum ?C'est prévu par l'article 218 de notre Constitution.Alors, depuis la semaine dernière, l'opposition se mobilise contre votre projet et elle affirme que vous préparez un coup d'État constitutionnel...Bon, c'est un procès d'intention. La démarche de l'opposition est purement démocratique et constitutionnelle. Nous sommes tout à fait d'accord avec leur démarche. Mais là où je ne partage pas leur point de vue, c'est quand ils utilisent les mensonges pour faire passer leur point de vue.Alors l'opposition précise que, pour elle, votre principal objectif, c'est de permettre au président Félix Tshisekedi de briguer un troisième mandat en 2028.En 2011, Joseph Kabila avait modifié la Constitution, où nous avions quitté l'élection présidentielle des deux tours pour aller à un seul tour. Est-ce qu'aujourd'hui Joseph Kabila est au pouvoir ? La réponse est non. Ce ne sont que des mensonges montés de toutes pièces.Mais si vous changez de Constitution, les compteurs seront remis automatiquement à zéro et le président sortant pourra à nouveau se présenter en 2028...Mais si la population décide, qui suis-je pour m'opposer à la volonté populaire ? Laissons le peuple nous départager sur cette question. La démarche de l'opposition est de dire qu'ils vont mobiliser la population. Mais nous aussi, nous le disons, nous allons mobiliser cette même population pour nous départager.Dans l'Union sacrée, il y a aujourd'hui au moins trois acteurs politiques : Vital Kamerhe, Modeste Bahati et Jean-Pierre Bemba, qui espèrent que le chef de l'État se retirera en 2028 et qu'ils pourront avoir à ce moment-là leur chance pour accéder à la magistrature suprême. Ne craignez-vous pas que ces trois leaders ne quittent votre coalition si demain l'horizon devient bouché pour eux ?Écoutez, depuis que nous avons commencé, vous insistez toujours sur le troisième mandat. Est-ce que vous étiez avec le président de la République ? Non. Est-ce qu'il s'est confié à vous ou à tous ceux qui parlent qu'il a l'intention de briguer un troisième mandat ? Non. Tout ça, ce sont des procès d'intention puisqu'avant de parler sur un sujet, il faut entrer en contact avec la personne concernée, pour qu'il vous dise si réellement il a ces intentions. Je fréquente le président de la République, il ne nous a jamais dit qu'il allait briguer un troisième mandat. Mais pourquoi tous ces débats ?À lire aussiOlivier Kamitatu (RDC): «Félix Tshisekedi veut du prêt-à-porter pour sa dérive dictatoriale»
Send us a textEn ce dimanche du Christ, roi de l'univers, Martine Kouadio-Gokra nous invite à redécouvrir la véritable nature de la royauté de Jésus. S'appuyant sur les textes du Livre de Daniel et de l'Évangile selon Saint Jean, elle met en lumière une royauté d'amour, basée sur la vérité, l'humilité et la simplicité.À travers cette méditation, Martine nous exhorte à réfléchir : vivons-nous cette royauté d'amour dans nos actes, paroles et relations ? Laissons-nous inspirer par l'exemple du Christ pour proclamer avec assurance : “Il est le roi de ma vie.”Rejoignez cette réflexion pour nourrir votre foi et découvrez comment exercer cette royauté d'amour dans votre vie quotidienne. Abonnez-vous pour plus de réflexions, partagez vos pensées dans les commentaires et célébrons ensemble la gloire de Dieu.
Jean-Noël Barrot, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, répond aux questions de Sonia Mabrouk aux sujets des menaces nucléaires russes après les frappes avec des missiles longue portée ukrainiennes.
Stand Up to Racism est une association antiraciste et antifasciste. Elle a mené sans relâche des contre-manifestations en août 2024 lors des émeutes islamophobes et antimigrantes appelées par Tommy Robinson, militant d'extrême droite, jusqu'à mettre fin à celles-ci. Dans cet épisode, Weyman Bennett, représentant de l'association, nous raconte son parcours et explique comment la défense s'est organisée pour faire face au tourbillon de violences racistes dans lequel l'ultra droite a plongé l'Angleterre pendant près de deux semaines.Entretien, réalisation, montage : Bertille HyvonDoublage : Antonin YeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vincent Perrot vous emmène au Musée de la rue du temps qui passe. Ce n'est pas un musée sur les comtoises, pendules et autres tocantes, mais plutôt un village du début du siècle dernier recréé avec passion par Michel Boom et sa fille. Laissons-nous transporter au début du siècle dernier, à Allas-les-Mines, en Dordogne, où nous attend Christelle Boom pour nous guider à travers ce temps que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître. Ecoutez C'est ça la France avec Vincent Perrot du 20 octobre 2024.
Abonnez-vous à la Newsletter : mailchi.mp/372ce005d7cc/explizik Cette semaine dans Explizik, On va prendre un peu de recul, laisser l'actualité de côté et essayer de réfléchir à plus long terme. Laissons de côté la charge que Tik tok porte aux labels indé, nous aurons l'occasion d'en parler la semaine prochaine ou la suivante car le contrat Merlin arrivant à expiration le 01/11, il va encore se passer pas mal de choses. Prenons du recul donc et plaçons nous du point de vue d'un artiste qui cherche à faire grandir sa communauté de fans, ou de celui d'un manager ou d'un label qui l'accompagne dans cette entreprise.
Si vous êtes jeune, que vous avez entre 20 et 30 ans, et que lors de votre adolescence ou de vos études, vous vous êtes senti porté par des ambitions patriotes ou conservatrices quand le reste de votre classe regardez Quotidien, vous avez forcément croisé la route du Raptor dissident. Un vidéaste bien connu, dont la chaîne Youtube a été un véritable arsenal pour démonter les délires woke de l'époque. Vous connaissez forcément aussi Julien Rochedy, auteur et ancien cadre politique, dont les livres et conférences, sur le féminisme, Nietzsche ou encore l'écologie ont surement éveillé votre culture politique et votre esprit critique. Le raptor a publié il y a quelques jours, une vidéo de plus d'une heure sur la question climatique. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle est très controversée. Aujourd'hui Julien Rochedy lui répond et revient avec nous sur les derniers bouleversements politiques et sociétaux des ces dernières semaines.
Notre discours est saturé d'assertions que l'on présente comme des évidences jusqu'à ce qu'on les examine de plus près et que l'évidence disparaisse. L'une d'entre elles, c'est presque devenu un mème du discours public convenu, est que « nous laissons un monde en piteux état à nos enfants. » Décryptage.
Et si le RDC devenait une superpuissance en Afrique, et dans le monde ? C'est la thèse défendue par notre grand invité de l'économie RFI / Jeune Afrique : Junior M'Buyi, fondateur et directeur général de JPG Consulting Partners, expert en finance et en stratégie internationale originaire de République démocratique du Congo puis auteur d'une riche carrière dans le secteur bancaire en Europe. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), le natif de Kinshasa élevé en banlieue parisienne dresse d'abord un bilan du sommet Chine-Afrique auquel il a participé au sein de la délégation congolaise. Junior M'Buyi analyse les relations entre Pékin et le continent : comment remédier aux déséquilibres de la balance commerciale ? Comment renégocier les partenariats ?Auteur récemment d'un ouvrage sur son pays (Une superpuissance africaine en devenir - Quand la RDC s'éveillera / Editions de l'Aube), il développe ensuite ses idées pour développer les infrastructures, le système éducatif, le secteur financier (remédier à l'absence de banques nationales), les industries extractives (mines, pétrole et gaz) et améliorer le climat des affaires. Il souhaite aussi favoriser la résolution du conflit avec le Rwanda grâce à des médiations internationales avec l'aide de la France et la Belgique, anciens pays colonisateurs.En fin d'émission, ce passionné de football parle de son engagement pour la formation des agents de joueurs en Afrique (en vue de se conformer aux règles de la Fifa au sein de son autre société 11 Management Sports.
Et si le RDC devenait une superpuissance en Afrique, et dans le monde ? C'est la thèse défendue par notre grand invité de l'économie RFI / Jeune Afrique : Junior M'Buyi, fondateur et directeur général de JPG Consulting Partners, expert en finance et en stratégie internationale originaire de République démocratique du Congo puis auteur d'une riche carrière dans le secteur bancaire en Europe. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), le natif de Kinshasa élevé en banlieue parisienne dresse d'abord un bilan du sommet Chine-Afrique auquel il a participé au sein de la délégation congolaise. Junior M'Buyi analyse les relations entre Pékin et le continent : comment remédier aux déséquilibres de la balance commerciale ? Comment renégocier les partenariats ?Auteur récemment d'un ouvrage sur son pays (Une superpuissance africaine en devenir - Quand la RDC s'éveillera / Editions de l'Aube), il développe ensuite ses idées pour développer les infrastructures, le système éducatif, le secteur financier (remédier à l'absence de banques nationales), les industries extractives (mines, pétrole et gaz) et améliorer le climat des affaires. Il souhaite aussi favoriser la résolution du conflit avec le Rwanda grâce à des médiations internationales avec l'aide de la France et la Belgique, anciens pays colonisateurs.En fin d'émission, ce passionné de football parle de son engagement pour la formation des agents de joueurs en Afrique (en vue de se conformer aux règles de la Fifa au sein de son autre société 11 Management Sports.
Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast "Le petit monde d'Antoni" ! Commençons par le feuilleton de la formation du nouveau gouvernement. Avec le départ d'Élisabeth Borne, le poste de Premier ministre semble ne pas vraiment faire rêver les prétendants. D'après Roselyne Bachelot, certains députés seraient même prêts à se "raviser" face à cette lourde responsabilité.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Chaque matin de l'été, à 8h15, Lionel Gougelot reçoit une personnalité au centre de l'actualité. Ce mardi, Benjamin Haddad, député de Paris du groupe Ensemble.
Les entreprises font aussi leur rentrée. Philippe Fleury, le directeur général de la FER Genève, était invité de Béatrice Rul, pour dresser les grands défis des entreprises genevoises, pour cette saison à venir.Travail Suisse réclame des hausses de salaire jusqu'à 4% pour faire face à l'inflation et à une crise historique du pouvoir d'achat:"C'est la traditionnelle valse du début des négociations où les syndicats hurlent ce qu'ils veulent. L'année dernière, ils avaient réclamé 5% et obtenu 2%. Ces 4%, cette année, n'est pas raisonnable. Il faut voir, branche par branche, les réalités, ce qui a été accordé et cela ne se résume pas à une augmentation des salaires. Laissons les branches négocier!".Les multinationales ont enregistré des bénéfices record, l'année dernière avec des bénéfices record pour l'Etat de Genève: 1,3 milliards. Genève reste cet îlot de prospérité dans un contexte très compliqué pour nos voisins?""Absolument et cela devrait continuer, avec de bonnes perspectives".Les relations avec l'Union européenne semblent au point de mort, depuis trois ans:"Il y a eu un flottement médiatique pendant deux ans. Mais l'année dernière, il est sorti des lignes directrices de ces négociations. On pousse pour que ces négociations aillent de l'avant, nos entreprises ont besoin d'un accès libre, non entravé, au marché européen et de pouvoir faire venir de la main d'œuvre européenne"
A 10h, ce jeudi 15 août 2024, les GG : Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de : "Khider autorisé à passer son permis, laissons-lui sa chance ?"
Il était une fois dans lʹOuest, C'era una volta il West, est film italo-américain de Sergio Leone sorti en 1968, emblématique du réalisateur italien. Ses codes artistiques révolutionnent littéralement le genre. La beauté des images, ses personnages hiératiques et surtout la musique dʹEnnio Morricone en font un film incontournable, quasiment légendaire. Sergio Leone traverse le western avec lʹélégance dʹun prélat italien, y ajoute la bouffonnerie de la Comedia del Arte et lʹœil de Michel-Ange. Il détourne les codes du bon, de la brute, du bandit, du fermier, de lʹéleveur, du promoteur, de la femme qui veut se refaire une vertu. Il pose sur lʹAmérique et la conquête de lʹOuest le regard dʹun européen qui adore les histoires de cowboys et dʹindiens. Au centre de ce film, il met la rivalité des intérêts pour lʹappropriation des terres. Le chemin de fer, le progrès va bientôt passer par là. Et ça défouraille à tout va sous un soleil de plomb. Claudia Cardinale tient dans le film le seul rôle féminin du film. Face à elle Jason Robards, Henry Fonda et Charles Bronson. En Europe, le film fait un triomphe. Mais pas aux Etats-Unis où il est amputé de nombreuses scènes. Peut-être quʹil est trop européen comme western Allez savoir. Aujourdʹhui dans Travelling, nous galopons vers lʹOuest en tentant de piocher quelques éléments de réponses. Laissons-nous emporter par lʹunivers de Sergio Leone, par lʹharmonica, par la beauté des paysages, par le regard de Charles Bronson et la méchanceté dʹHenri Fonda. REFERENCES Ennio Morricone en 1988 sur la RTS Hommage à l'immense compositeur italien Ennio Morricone décédé à 91 ans. En 1988, il était de passage dans l'émission Bonsoir pour une longue interview remplie d'anecdotes personnelles et professionnelles. Il y raconte par exemple sa collaboration avec son ami Sergio Leone pour les films "il était une fois dans l'ouest" et "il était une fois en Amérique". Le réalisateur Sergio LEONE parle du rôle de la musique dans ses films. Puis Ennio MORRICONE (en italien) expose sa théorie de la musique de film et parle de sa collaboration avec Sergio LEONE. 1969, Sergio Leone sur "Il était une fois dans l'Ouest" TéléMidi du 29.02.1972. Sergio Leone et sa trilogie Interview de Sergio LEONE par François CHATEL. Il parle du film "Il était une fois la révolution" qui fera partie d'une trilogie. Le 3ème volet sera "Il était une fois en Amérique" se déroulant au Mexique.
durée : 00:10:27 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - Olivia Gay, violoncelliste, va jouer tout l'été sous les arbres pour sensibiliser aux dangers que courent les forêts. Elle l'invitée du 7h50 de France Inter.
durée : 00:10:27 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - Olivia Gay, violoncelliste, va jouer tout l'été sous les arbres pour sensibiliser aux dangers que courent les forêts. Elle l'invitée du 7h50 de France Inter.
Laissons-nous guider par le Saint-Esprit. Il est le consolateur, le conseiller divin, l'Esprit de vérité, le défenseur, il nous enseignera et nous guidera dans toute la vérité. Soyez bénis. Dons sur l'IBAN ou le RIB : BE06 3632 0289 3122 PayPal : sagentile74@hotmail.com
Des souvenirs dʹenfance, la Provence, des collines, un été, des promenades parfumées au thym, le chant des cigales, et une partie de chasse mémorable. Dans Travelling, nous vous emmenons sur les traces de Marcel Pagnol et dʹYves Robert dans un film qui transpire la joie et le bonheur dʹêtre enfant. La Gloire de mon père, dʹYves Robert, sort en 1990, tout de suite suivi du Château de ma mère. Deux romans de Marcel Pagnol, le premier sorti en 1957, adaptés au cinéma 17 ans après la mort de lʹécrivain réalisateur. Amoureux de la nature, fasciné par lʹenfance, Yves Robert sʹamuse beaucoup à tourner ce scénario de Louis Nucéra et de Jérôme Tonnerre qui fait la part belle au texte original. Car les mots de Pagnol volent entre les images, et ancrent le récit dans une époque révolue, dans une vieille ferme dans lʹarrière-pays marseillais, la garrigue, les amitiés, la découverte de la nature, et le temps merveilleux des vacances dʹété. Une enfance idéalisée, magnifiée, dans laquelle Yves Robert impose sa marque. On y retrouve la légèreté de sa Guerre des boutons. Le film plaît. Beaucoup. La Gloire de mon père, nommé quatre fois aux César, est suivi par Le Château de ma mère sorti au cinéma la même année. Le public vient en masse. Yves Robert est un homme heureux qui rend les gens heureux. Vous lʹavez peut-être déjà deviné, mais moi jʹadore Yves Robert. Lʹhomme et ses films. Car il a le don de glisser un sourire sur tous les visages même en parlant de choses graves. Et ça fait du bien. Laissons-nous transporter, emporter. Le Mistral souffle. Sentez les odeurs de lavande, la sécheresse de la terre, et écoutez le bruit assourdissant des cigales. REFERENCES Marcel Pagnol à propos de son livre "La gloire de mon père" Lectures pour tous - 22.01.1958 - 09:16 - vidéo https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00015137/marcel-pagnol-a-propos-de-son-livre-la-gloire-de-mon-pere Vladimir Cosma, grand entretien https://www.rts.ch/info/culture/musiques/9757998-les-grands-entretiens-vladimir-cosma-faiseur-de-tubes-du-cinema-francais.html#:~:text=Vladimir%20Cosma%20a%20fait%20de,alors%20des%20films%20de%20propagande. A l'occasion de la sortie du film "Le château de ma mère", le journaliste André GRANDIS interviewe le réalisateur Yves ROBERT et deux acteurs du film : Nathalie ROUSSEL et Didier PAIN. https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/rac08033020/page-cinema-yves-robert-le-chateau-de-ma-mere
Le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, ne chôme pas depuis son investiture au début du mois. Il faut dire que les attentes des Sénégalais sont énormes. « Appliqué et méthodique, il apprend, en accéléré, note Jeune Afrique. Bien conscient du fait que le changement ne se fera pas sans heurts ni pressions, et que d'immenses espoirs ont été placés en lui. (…) Jeune cadre de l'administration réputé intègre, Bassirou Diomaye Faye incarne ce vent de changement qui souffle sur le Sénégal : la volonté d'abandonner des années de politique libérale tournée vers l'Occident et de se débarrasser d'une façon de faire de la politique basée sur l'élitisme, les marchandages et le clientélisme. Bassirou Diomaye Faye le sait : dans un pays très jeune où une personne sur cinq est au chômage, les espérances de ceux qui l'ont porté au pouvoir sont à la hauteur de leur impatience. »Du pain sur la plancheJeune Afrique cite Pape Mahawa Diouf, porte-parole de la coalition Benno Bokk Yakaar, présidée par Macky Sall : « on reconnaît les maçons au pied du mur, prévient-il. Diriger un pays, c'est autre chose que des slogans politiques. Mais Bassirou Diomaye Faye a la confiance des Sénégalais. Laissons-lui le temps de s'installer. »Autre réaction, toujours à lire dans Jeune Afrique, celle d'Ibrahima Fall, cadre du Pastef, le parti présidentiel désormais : « ce n'est pas la personne qui importe, mais ses valeurs. Tant qu'il les incarnera, nous resterons avec lui. Mais nous avons du pain sur la planche. Les jeunes qui sont dehors, on ne peut pas les décevoir. C'est maintenant que le travail commence ». Et Ibrahima Fall de donner au nouveau président « jusqu'à décembre » pour faire ses preuves.Du temps !« Sénégal : les lourds chantiers du nouveau président Bassirou Diomaye Faye » : c'est le titre d'un long article du site Le 360 Afrique qui décrit par le menu toutes les tâches qui attendent le nouveau chef de l'État.« Renégociation des contrats pétroliers et gaziers, sortie du franc CFA et souveraineté économique, voici le triple défi auquel fera face Bassirou Diomaye Faye durant son quinquennat. Au-delà des actions prioritaires, dont la bonne gouvernance et la réduction du coût de la vie, ces trois chantiers nécessitent du temps et pas seulement, pointeLe 360 Afrique. La stratégie du nouveau gouvernement qui repose sur le "Projet" et l'attelage gouvernemental composé de compétences avérées issues essentiellement du parti au pouvoir – Pastef – constituent, estime le site, un atout indéniable. »À lire aussiSénégal: le nouveau gouvernement met l'accent sur l'assainissement des finances publiquesLutter contre la vie chèreJustement, mercredi 24 avril, Bassirou Diomaye Faye a démarré l'un de ses chantiers prioritaires : la baisse des prix des denrées de grande consommation.« Diomaye planche sur "un plan d'urgence" avant le 15 mai », titre WalfQuotidien. « Après avoir reçu le patronat et des secrétaires généraux des organisations syndicales représentatives pour des pistes de solutions aux problématiques liées à l'emploi, à l'augmentation du pouvoir d'achat, le gouvernement veut s'attaquer à l'épineux problème des prix des denrées de grande consommation ».Et« il a enjoint le Premier ministre et les ministres en charge du Commerce et de l'Industrie, des Finances et du Budget et de l'Agriculture, de lui proposer, avant le 15 mai, un plan d'urgence opérationnel de lutte contre la vie chère. »« Le gouvernement à l'offensive contre la vie chère », lance le site Seneplus. « Le plan d'urgence doit être "assorti de mesures hardies de baisse des prix des denrées de consommation courante [et] de certains services essentiels", préciseSeneplus. Pour le président de la République, les associations de consommateurs, les industriels et les opérateurs économiques doivent être associés à l'élaboration de ce plan. »Pape Alé Niang : de la prison à la RTSMercredi 24 avril, en Conseil des ministres, ont été annoncées plusieurs nominations importantes. Une quinzaine à des postes de direction des grandes administrations et services de l'État. « Plusieurs directeurs généraux passent à la trappe », s'exclame le quotidien 24 Heures.Parmi les nommés : Pape Alé Niang, journaliste et directeur du site d'information Dakar Matin, qui prend les rênes de la Radiotélévision Sénégalaise (la RTS), en remplacement de Racine Talla. « Une nomination plébiscitée par une bonne partie des militants du nouveau régime au vu de l'apport du journaliste dans la quête pouvoir », relève le site Seneweb.Ses articles et ses vidéos, très critiques envers le précédent pouvoir, lui avaient valu d'être emprisonné à plusieurs reprises. Sur son compte X, ex-Twitter, Pape Alé Niang se présente comme « un journaliste sénégalais engagé pour les causes justes. » Et qui « se bat pour une véritable société démocratique ancrée dans la bonne gouvernance. »À lire aussiSénégal: les ministres placés sous l'autorité directe du Premier ministre Ousmane Sonko
Comme chaque année depuis que j'ai lancé le podcast, je consacre un épisode entier aux animaux aquatiques, à l'occasion de la Journée mondiale pour la fin de la pêche et des élevages aquacoles, qui a lieu le dernier samedi du mois de mars. Une fois par an, ce n'est déjà pas assez par rapport au nombre de victimes, mais c'est le strict minimum que je me suis fixé. Saviez-vous que l'émoji crevettes qui représente une jolie crevette toute rose et courbée ne représente en fait pas du tout les crevettes telles qu'elles sont de leur vivant, mais les crevettes une fois cuites et prêtes à manger ? En fait, scoop mais : les crevettes ne sont le plus souvent pas roses du tout ! Et autre information que vous ne saviez probablement pas : ce sont très certainement les animaux les plus nombreux à être exploités pour la consommation humaine... Avec mon deux invitées Léa Guttmann de Shrimp Welfare Project et Elisa Autric de Rethink Priorities, on décortique (ok jeu de mots de très mauvais goût, j'avoue) le sort des crevettes exploitées, à la fois celles qui sont pêchées et celles qui sont élevées. On ne lâche rien pour tous les animaux aquatiques sentients ! Pour plus d'informations sur les meilleurs moyens d'aider les crevettes ou de construire des campagnes sur cette question, n'hésitez pas à contacter Elisa Autric : elisa.autric@gmail.com ________________________________ Références et sources citées dans l'entretien : - Journée Mondiale pour la Fin de la Pêche et des élevages aquacoles (la JMFP) - Shrimp Welfare Project - Rethink Priorities - Charity Entrepreneurship Program - Rapport "Shrimp: The animals most commonly used and killed for food production" co-écrit par Daniela R. Waldhorn et Elisa Autric - Fishcount - Food and Agriculture Organization (FAO), agence des Nations Unies : - Épisode de Comme un poisson dans l'eau avec Tom Bry-Chevalier sur l'altruisme efficace - Article "Pre-slaughter mortality of farmed shrimp" écrit par Hannah McKay et William McAuliffe - Super webinaire avec Hannah McKay - Rapport "Welfare considerations for farmed shrimp" écrit par Hannah McKay, William McAuliffe et Daniela R. Waldhorn pour Rethink Priorities - Shrimp Welfare Report - Article de vulgarisation écrit par Léa Guttmann dans la revue de la Fondation Droit Animal - Épisode de Comme un poisson dans l'eau "Laissons les poisson dans l'eau" - Le principe de précaution vis-à-vis de la sentience, formulé par Jonathan Birch Recommandations d'Elisa Autric et de Léa Guttmann : - le post du EA Forum "Strange Love - Developing Empathy With Intention" - Le podcast How I Learned To Love Shrimp par Amy Odene et James Ozden ________________________________ SOUTENIR : https://linktr.ee/poissonpodcast Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant et sans publicité : votre soutien est indispensable pour qu'il puisse continuer à exister. Merci d'avance ! Les comptes Instagram, Twitter, Facebook, Bluesky et Mastodon du podcast sont également à retrouver dans le link tree ! ________________________________ CRÉDITS Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant créé et animé par Victor Duran-Le Peuch. Charte graphique : Ivan Ocaña Générique : Synthwave Vibe par Meydän Musique : Flying High par Fredji
Investir quand les marchés sont au plus haut, une folie ? Laissons les statistiques répondre !
Rubrique:nouvelles Auteur: jules-claretie Lecture: Christiane-JehanneDurée: 04min Fichier: 03 Mo Résumé du livre audio: « Laissons tout cela partir, laissons s'envoler les hirondelles ! Mais comment tant de choses, dites-moi, peuvent-elles tenir sur un morceau de papier satiné? Trois cent soixante-cinq jours c'est bien court, c'est bien long. Je ne regarde pas sans un certain frisson Almanach nouveau. S'il pouvait parler, s'il pouvait nous dire... Bah! qu'il se taise! Toute nouvelle année est une nouvelle maîtresse. » Bonne et heureuse nouvelle année 2024! Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Vous avez déjà entendu cette phrase ? "Votre vie est le film dont vous êtes le héros". Si celle-ci s'applique à tout le monde, l'histoire que je vous propose de découvrir est carrément digne d'un roman. En 2020, Déborah Laurent est journaliste pour la télévision Belge. Elle, son mari et leur fils vivent une vie dont ils ont longtemps rêvé dans le désert de Palm Springs en Californie. Tous deux sont travailleurs indépendants, ou "freelance" ce qui aux Etats-Unis signifie liberté tout autant que précarité sociale, et notamment sur le plan de la santé. Alors quand la crise du Coronavirus a commencé à pointer son nez dans la société Occidentale, Déborah a du réagir et vite : elle a pris la décision de rentrer en Belgique en catastrophe. s3gQuelques mois après ce retour précipité, elle se confiait au micro de French Expat et revenait sur une suite d'évènements aussi surprenants qu'angoissants mais avec l'humour qui la caractérise. C'est l'objet de ce premier épisode.Un an après, alors qu'elle se prépare à partir vivre sur l'Ile Maurice, Déborah faisait le point à mon micro. Des regrets ? Pas exactement mais beaucoup de questions et une détermination poussée. Comme vous allez l'entendre, elle n'a jamais abandonné son rêve Américain. Même si celui-ci a évolué avec le temps. On évoque la suite dans le second épisode sorti lui aussi aujourd'hui.Avec Déborah, on va bientôt vous raconter la suite de son histoire puisque sa carte verte "exceptional ability" vient d'être acceptée par le gouvernement Américain ! Laissons lui le temps de s'installer et restez par ici pour découvrir ce que ses aventures Américaines lui réservent...French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avez-vous déjà entendu cette maxime : ≪Votre vie est le film dont vous êtes le héros≫ ? Si cette idée s'applique à chacun, l'histoire que je m'apprête à vous conter ressemble davantage à un scénario hollywoodien.En 2020, Déborah Laurent, journaliste pour la télévision belge, mène avec son mari et leur fils une vie dont elle a longtemps rêvé dans le désert de Palm Springs, en Californie. Elle et son conjoint sont des travailleurs indépendants, des freelances, ce qui aux États-Unis signifie à la fois liberté et précarité sociale, notamment sur le plan de la santé. Lorsque la crise du coronavirus a commencé à se manifester dans la société occidentale, Déborah a dû réagir rapidement : elle a pris la décision de rentrer en Belgique en urgence. Quelques mois après ce retour précipité, elle partageait son expérience au micro de French Expat, revenant sur une série d'événements aussi surprenants qu'angoissants, mais toujours avec l'humour qui la caractérise. C'est l'objet de ce premier épisode.Un an plus tard, alors qu'elle se prépare à s'installer sur l'île Maurice, Déborah fait le bilan au micro. Des regrets ? Pas vraiment, mais beaucoup de questions et une détermination accrue. Comme vous allez l'entendre, elle n'a jamais abandonné son rêve américain, même si celui-ci a évolué avec le temps. Et surtout la préparation acharnée d'une carte verte "talent".Déborah Laurent reviendra bientôt pour partager la suite de son histoire, car sa carte verte exceptional ability vient d'être acceptée par le gouvernement américain ! Laissons-lui le temps de s'installer, et restez avec nous pour découvrir ce que ses aventures américaines lui réservent...French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Guinée-Bissau, le bras de fer se poursuit entre le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) et le président Umaro Sissoco Embalo. Le chef de l'État accuse le chef du parlement, Domingos Simoes Pereira, d'être directement impliqué dans ce qu'il décrit comme une tentative de coup d'État. Réponse de l'intéressé ce vendredi sur RFI. Domingos Simoes Pereira accuse le président d'avoir cherché un prétexte pour dissoudre l'Assemblée et il rejette cette décision de dissolution. RFI: Le président Umaro Sissoco Embalo affirme que vous êtes personnellement derrière ce qu'il a qualifié de « tentative de coup d'État ». Que lui répondez-vous ?Domingos Simoes Pereira : Personne ne croit à cela, d'abord parce que j'étais en réunion avec trois autres éléments à ma maison quand on a appris que les deux ministres sont arrêtés. Et j'ai continué en compagnie de ces éléments jusqu'au moment où l'information est arrivée, qu'il y a eu un coup de force pour les libérer. Mais ce qui est aussi étonnant : aller prendre deux éléments qui sont arrêtés pour les transférer à la garde nationale, comment cela peut représenter une tentative de coup d'État, comment ? Comme je l'ai dit depuis le début, monsieur Emballo avait besoin d'un cadre d'anormalité pour justifier sa dissolution de l'Assemblée.Pour vous, il n'y a pas eu de tentative de coup d'État à la fin de la semaine dernière ?Il n'y a pas eu de tentative de coup d'État. C'est maintenant qu'on a même une tentative de coup d'État institutionnel envers l'Assemblée nationale populaire. Quand vous regardez notre Constitution, il est clair que le président n'a pas la compétence de dissoudre l'Assemblée nationale populaire.Sur cette question, le président Umaro Sissoco Embalo affirme que dans un cas où l'implication de l'Assemblée est établie, il a le droit de prendre une telle mesure de dissolution du Parlement…D'abord, où cela est-il écrit ? À quelle disposition de la Constitution fait-il référence ? Tous les constitutionnalistes qui connaissent notre Constitution soit en Guinée-Bissau, soit au Portugal, soit au Cap-Vert, sont en train de répéter exactement la même chose : C'est une violation flagrante et qui ne correspond qu'à l'intérêt politique de monsieur Emballo de charger l'Assemblée nationale populaire parce que c'est Domingos [Simoes Pereira] le président de l'Assemblée, donc il faut de toute manière l'empêcher d'être candidat dans l'élection présidentielle qui doit se tenir l'année prochaine.Est-ce que vous entendez vous et le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) faire obstacle d'une manière ou d'une autre à la dissolution du Parlement ?Il n'y a pas de dissolution. Non, il a fait un arrêté dans lequel il propose de dissoudre le Parlement. Le Parlement est là. Ce n'est pas l'arrêté qui dissout le Parlement. Aujourd'hui, la garde prétorienne empêche les députés d'accéder à l'Assemblée. Donc, il faut trouver un autre moyen pour qu'on puisse continuer à travailler. Et on va le faire.Ce que vous dites, c'est que la décision du président de dissoudre le Parlement n'a pas de valeur juridique ?Oui, car elle n'est pas en accord avec la Constitution, article 8.Donc pour vous, cette dissolution est nulle et non avenue ?Cela n'existe même pas. Ce n'est pas une question de nullité. Elle n'existe pas.Est-ce que pour vous, on est potentiellement au début d'une nouvelle crise politique majeure en Guinée-Bissau ?S'il y a ce risque, c'est un risque qui a été provoqué. On a un président de la République qui est intéressé à ce qu'on soit encore une fois dans une situation de crise alors qu'on vivait un moment d'espoir. Les Bissau-Guinéens étaient convaincus que c'était la bonne fois... les choses marchaient bien... Donc, le président était le seul intéressé à créer ce cadre de déstabilisation, à se donner la compétence de dissoudre le Parlement. Heureusement, notre Constitution ne lui donne pas cette compétence.Comment peut-on sortir de cette crise, selon vous ?Il ne faut pas contraindre les institutions au silence. Laissons l'Assemblée nationale populaire travailler. Le président sait déjà qui est coupable, il a dissout le Parlement, il va former un gouvernement de son initiative. Ce n'est pas ça la définition de la démocratie.La communauté internationale reste pour l'instant très prudente sur la crise actuelle. Qu'attendez-vous d'elle aujourd'hui ?La communauté internationale a un devoir envers la Guinée-Bissau parce qu'elle accompagne la situation interne, elle sait que nos institutions restent faibles. Et le sommet des chefs d'État qui va se produire ce dimanche à Abuja sera une opportunité que les chefs d'État auront pour demander que les institutions soient rétablies, pour que la normalité institutionnelle puisse fonctionner.
Quel vin choisir pour une raclette réussie ? (leçon n°230) ------- Vous vous demandez quel vin choisir pour sublimer votre RACLETTE ? Laissons de côté les choix évidents et les tableaux d'accords préconçus. Dans cette leçon vidéo, je vais vous dévoiler la méthode pour construire l'accord entre mets et vins
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Dans la mine d'or Bookmakers #24 - L'autrice du mois : Céline MinardNée à Rouen en 1969, Céline Minard a étudié la philosophie et travaillé en librairie avant d'arpenter, dès 2004, les sentiers les plus aventureux de la fiction francophone contemporaine. Cette fine lectrice du « Quichotte » est révélée par la critique avec « Le Dernier Monde », monologue métaphysique et burlesque de l'ultime habitant de la Terre (Denoël, 2007). Depuis, elle honore le crédo d'une « littérature transgenre », avec notamment « Bastard Battle », bataille médiévale teintée de manga (mention spéciale du prix Wepler, Léo Scheer, 2008), le western « Faillir être flingué » (prix du Livre Inter, vendu à 100 000 exemplaires, Rivages, 2014) ou les nouvelles S.-F. de « Plasmas » (grand prix de l'Imaginaire, Rivages, 2022). Céline Minard vit et écrit aujourd'hui dans le massif des Corbières. Céline Minard (3/3)« Mes romans débordent les genres, les décadrent, les dévoient, les collisionnent. Ils sont transgenres. Ce qu'il faut déboulonner, c'est le cadre. » Pour ce troisième épisode consacré à l'art de Céline Minard, ouvrons sa caisse à outils et regardons quels boulons font tenir la charpente de ses textes si spacieux. En cavalant d'abord dans les plaines de « Faillir être flingué », western naturaliste débarrassé des traditionnels oripeaux de virilité. Dans lequel un cow-boy en crise peut se promettre, « devant le premier nid qu'il avait observé depuis sa renaissance, que la connaissance des oiseaux serait la seule science à laquelle il s'adonnerait pour le reste de sa vie. Et la collecte des contes, le seul passe-temps ». Pour ses lectures personnelles, la romancière confie chercher la sensation « d'être perdue et retrouvée, baladée comme jamais, dépaysée et accueillie sans bien connaître le protocole et sa signification. » C'est l'effet produit par « Plasmas », son recueil de nouvelles de science-fiction, bâti comme « une entreprise de désorientation ». Où des nomades nés dans l'espace après « l'extinction des feux » étudient les archives de la Terre. Où une pisteuse agile apprend à vivre au contact d'une société de grands singes, sous la menace de drones tueurs. Où l'on peut « développer une idée aérienne de la sexualité » et entretenir « des relations de plusieurs degrés de sensualité » avec des plantes. Peu après « Plasmas », Céline Minard livra dans « Libération » sa définition du mot « imaginaire » : « Muscle psychique à l'origine de toutes les émancipations. Son contrôle ou le contrôle de son usage est un enjeu majeur pour les sociétés pyramidales. Puissance ou superpouvoir projectif, prospectif et microgravitaire, l'imaginaire est quotidiennement à l'œuvre dans le monde réel qu'il façonne, dément, fore, réforme, et avec lequel il entretient des échanges de gaz et de mucus revigorants. »Laissons-nous revigorer par l'imaginaire de Céline Minard, par son « goût de la frontière et le passage de celle-ci, discret ou tonitruant, toujours illégal ». Enregistrements : mars 23 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Montage : Mathilde Guermonprez - Prise de son, réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Samuel Hirsch, Richard Gaitet - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Clarisse Le Gardien - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
durée : 00:36:54 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux, Camille Blanès - Laissons-nous dériver sur la Loire, et hissons la voile à bord de la Rabouilleuse ! - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
Laissons le bouillonnant Jojo’s Bizarre Adventure : Battle Tendency, pour nous laisser aller. Paresse, procrastination et manga. Voilà le programme que nous avons concocté à l’occasion de la journée mondiale de la procrastination ! La... L'article Paresse et procrastination dans le manga – #5DC – Saison 8 – épisode 24 est apparu en premier sur La 5e de Couv' - Le podcast de débat autour du manga !.
La rhinotillexomanie, ou plus simplement le curage de nez : ce réflexe hérité de la plus tendre enfance est hautement banni en société. Et si 9 Français sur 10 avouent se curer le nez avec leurs doigts à l'abri des regards, ils ne sont pas aussi enclins à déguster les trouvailles faites dans leur cavité nasale.Chez les tout-petits, en revanche, le fait de goûter les crottes de nez fraîchement extraites résulte d'une expérimentation très naturelle. La mucophagie, qui consiste à mettre en bouche ses crottes de nez et, pourquoi pas, à les manger, présente-t-elle un risque pour la santé ?Que contiennent les crottes de nez ?Pour déterminer la dangerosité ou non de l'ingestion de mucus provenant du nez, il faut d'abord comprendre de quoi sont constituées les crottes de nez. Produit par des cellules spécifiques situées dans les voies nasales, le mucus sert à piéger toutes les substances indésirables qui pénètrent dans notre nez. Il contient des enzymes et des anticorps qui lui permettent de lutter contre les bactéries et virus propagés dans l'air.En plus d'être constituées de microbes propres à la flore nasale, les crottes de nez sont donc riches en allergènes, en poussières et en microparticules présentes dans l'air respiré. Celui-ci peut parfois charrier du plomb, des agents présents dans les produits d'entretien ou d'autres éléments microscopiques néfastes pour l'organisme.Que deviennent normalement les crottes de nez ?Si le mucus, après s'être chargé de poussières et de microbes, coule naturellement à l'arrière du nez vers la gorge, les crottes de nez ne subissent pas toutes le même sort. Elles sont constituées de mucus séché, et se baladent librement dans la narine. Certaines arrivent aussi dans la gorge et seront éliminées lors de la digestion. D'autres suivent le chemin inverse et progressent vers l'entrée des narines. Lorsque l'on se mouche, on récupère ces fameux morceaux de mucus séché dans le mouchoir.Alors, est-ce dangereux d'avaler des crottes de nez ?D'après Jean-Michel Klein, vice-président du syndicat des ORL, il n'y a aucun risque à ingérer ses propres crottes de nez. La digestion permet d'éliminer tous les microbes et résidus capturés par le mucus. En revanche, le curage de nez doit être réalisé avec douceur afin de ne pas décoller la croûte présente sur les parois internes du nez. Le cas contraire, il est possible d'enclencher des infections par un staphylocoque doré, habituellement présent dans le nez.Il faut également nuancer le propos en considérant qu'une ingestion massive de mucus occasionne parfois des troubles digestifs chez les tout-petits (pendant une rhinite par exemple). Laissons-les donc explorer leurs sécrétions nasales, mais en se lavant bien les mains après et en éliminant les crottes de nez récoltées sur un mouchoir jetable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce concierge s'appelait Gunpei Yokoi, un Japonais né en 1941. Bricoleur dans l'âme depuis enfant, il étudie l'électronique mais pas vraiment studieux, ses résultats scolaires l'empêchent d'intégrer les géants du secteur. Il doit se rabattre sur un emploi de concierge, électricien, homme à tout faire chez un modeste fabricant de cartes à jouer créé en 1889. Et dont le nom est assez poétique puisqu'en français, il se traduit par "Laissons la chance au ciel", en japonais : "Nintendo". À l'origine, Nintendo est spécialisé dans les cartes, pas encore Pokémon mais des Hanafuda, un jeu traditionnel japonais. Comme Gunpei Yokoi s'ennuie ferme dans ce boulot, il commence à bricoler des jouets dont un Ultrahand, un bras extensible façon Inspecteur Gadget qui permet de ramasser des objets à distance. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.