French fashion designer
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durée : 00:48:11 - La 20e heure - par : Eva Bester - La créatrice de mode Vanessa Seward est connue pour les lignes chics et intemporelles qu'elle a insufflées à la maison Azzaro, avant de fonder sa propre marque. Depuis cinq ans, elle s'est lancée dans un nouveau défi : la peinture.
Dans cet extrait, Vanessa, créatrice de mode et artiste peintre, revient sur son processus créatif lorsqu'elle peint ses toiles. Elle nous plonge dans son univers créatif et raconte les coulisses de son travail en tant qu'artiste. Quelles sont ses inspirations ? Qu'est-ce que cela lui procure ? Comment est-ce qu'elle travaille ? Quelle est sa routine ? Ses rituels ? Où est-ce qu'elle peint ? Que fait-elle de son temps libre ? C'est à découvrir dans cet extrait d'interview inspirant. Et pour plus d'inspiration et de contenus exclusifs, inscrivez-vous à la newsletter TheBoldWay : https://www.theboldway.fr/newsletter La newsletter TheBoldWay, c'est chaque jeudi un mail court mais impactant avec des contenus exclusifs, des idées et des ressources pour vous aider à progresser et innover. PLUS, lorsque que vous vous inscrivez, vous recevez le best of du podcast : les 12 leçons les plus importantes que j'ai tirées de presque 400 interviews, ainsi que les playlists de mes épisodes préférés et les plus écoutés. Pour vous inscrire, cliquez ici !
[Rediffusion - Épisode sorti initialement en 2017]. Pour ce 20ème épisode, nous accueillons Vanessa Seward, après 9 ans chez Chanel, 2 ans chez Yves Saint Laurent, 9 ans à la direction artistique de Azzaro, et 6 collections capsules pour A.P.C., elle lance en 2014 sa marque éponyme Vanessa Seward. Dans cet épisode Vanessa revient sur son parcours et la génèse de sa marque, elle nous parle de ses collaborateurs, de ses collaborations artistiques et de son secret entre autres pour vaincre les périodes de doutes . C'est un épisode passionnant, j'ai adoré interviewer Vanessa, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter.
Vanessa Seward "Le guide de la gentlewoman" (JC Lattès 2022) Somerset Maugham « Mme la colonelle » ( Pavillons Poche. Robert Laffont 2010) Écriture, fragilité du pouvoir, tragédie de l'existence, haine des conventions sont quelques-uns des thèmes qui baignent ces nouvelles, et que Maugham décline dans un style à la fois incisif et empreint d'une grande tendresse. L'Angleterre, bien sûr, l'Europe, mais surtout les voyages et les colonies ont la part belle dans ce recueil, et sont évoqués au travers de portraits au scalpel de ceux qui ont fait le choix des îles. On découvre au fil de ces histoires la morale immoraliste de l'auteur, pour qui les mariages légitimes sont souvent boiteux, tandis que les couples socialement mal assemblés sont parfaitement heureux. Ainsi cette nouvelle "Jane" où une veuve vieillissante épouse, au grand dam de son milieu, un jeune homme de vingt-sept ans son cadet et qui se transforme grâce à son "look" lui brisera le coeur quand elle décidera de divorcer. Anticonformisme radical, insolence et légèreté. Il est question dans ce recueil de : "Mme la Colonelle", "Jane", "La force des choses", "Le savoir vivre", "l'élan créateur". Choix musicaux: Bertrand Burgalat "Paola" et Bryan Ferry “You go to my head”
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.
Vanessa Seward est convaincue d'une chose: les vêtements ont un pouvoir. Celui d'apporter de l'assurance aux femmes. L'argentine, parisienne d'adoption, a fait de cette conviction un de ses codes vestimentaires. Formée au Studio Berçot, elle a fait ses armes dans de grandes maisons comme Chanel, Yves Saint Laurent et Azzaro. Elle nous raconte son rapport à la mode depuis l'adolescence et comment des maîtres comme Karl Lagerfeld et Loris Azzaro l'ont formée. 3 phrases clés: - 7'25: "Ma mère était notre idole absolue. On trouvait que c'était la plus belle femme du monde. Elle avait un style affirmé. C'était très inspirant" - 8'55: "La mode est un métier futile. Mais j'essaie de trouver son côté noble. En tant que je femme, je sais que lorsque l'on porte quelque chose qui nous va bien, ça nous donne une petite force" - 17'07: "Karl Lagerfeld fut mon mentor. Ce fut incroyable pour moi d'être à ses côtés pendant neuf ans. Il était au coeur de la création, de la conception jusqu'au produit final"
Coulisses d'une Capsule Collection Co-Brandée avec Sylvette Boutin-Lepers, Directrice des Partenariats chez La Redoute. La Redoute est la 1ère marque Française à créer une Collab en 1969 ! Cinquante ans plus tard, avec plus de 100 collaborations à son actif, La Redoute a développé une véritable expertise en la matière ! Quand on pense "Collab", on pense tout de suite aux marques de Mode. La collaboration a permis à beaucoup de marques d'émerger ou de se pérenniser dans un secteur hyper concurrentiel comme celui de la Mode. Deux marques, deux univers se rencontrent et créent un "Co-branding" : un mix fou entre deux identités ! Un Co-branding permet : Aux marques établies d'aller chercher le "second souffle" en termes de désirabilité, de créativité ou d'attractivité Aux petites marques d'aller chercher de la visibilité, passer à l'échelle, pénétrer de nouveaux circuits de distribution, etc. Dans tous les cas... de se faire connaître, gagner en crédibilité et en savoir-faire. La collaboration tout le monde en parle, mais peu comprennent comment la mettre en place et la normer. Sylvette Boutin-Lepers, directrice des Partenariats Image et Créateurs chez La Redoute nous parle de ses meilleures Collabs Mode ! Retrouvez cette interview en vidéo Programme ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ 1:08 - Parcours personnel et histoire de la Redoute 4:07 - Les enjeux du partenariat 5:23 - Comment identifier un partenaire idéal ? 10:00 - Comment gérer l'opérationnel ? 12:22 - Les grandes phases de création 15:03 - Les procédures légales 16:10 - Les canaux de communication 21:39 - Case-study : About A Worker x La Redoute 26:32 - Comment mesurer le succès ? 33:19 - Exemples de collab réussies 34:46 - Mauvaises expériences 37:18 - La collab est-elle le retail d'aujourd'hui ? 40:00 - Inspirations Interview ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Sylvette, quel a été votre parcours pour arriver à la direction des Partenariats ? J'ai débuté à La Redoute en 1993 exactement, j'avais une folle envie de rentrer dans la vie active. J'ai commencé par des jobs de vacances à La Redoute et je ne suis plus jamais partie ! Je ne me suis jamais ennuyée. J'ai débuté en tant que gestionnaire, avant d'être acheteuse, j'ai ensuite rejoint le département Presse. Pendant quelques années, j'ai dirigé l'équipe de style de la marque en propre (70 % des collections) que ce soit en mode ou en design. À ce moment, je m'occupais déjà des collabs créateurs. Depuis quatre ans je me consacre complètement aux capsules créateurs et aux partenariats, un riche et beau sujet. Il y a donc de vrais enjeux derrière ces partenariats ? Oui, il y a de vrais enjeux car on veut donner corps à une promesse et un engagement qu'on a depuis le début : soutenir la création ! Cette créativité, ce sens de la création a toujours été dans son ADN. L'idée de départ de collab créateur est venue en 1969 où le prêt à porter et la haute couture n'était pas à la portée de tous. L'idée était de rendre accessible le style aussi bien en termes d'offre de collection style, qu'en termes de prix. En 1969, la première invitée fut Emmanuelle Khanh, et depuis cela n'a jamais cessé. Comment identifier un partenaire ? On l'identifie ou il nous identifie. Je contacte des créateurs, je suis toujours en éveil : les salons, les écoles de mode, la presse, les relations... Mais aussi de plus en plus de jeunes créateurs qui m'approchent. C'est un métier de contact, les choses se font assez naturellement. Les réseaux sociaux: Twitter, LinkedIn ou Instagram sont aussi un excellent moyen de me contacter. Beaucoup d'humains, mais qu'est-ce qui fait qu'une marque se distingue d'une autre sur le papier ? Il faut partager les mêmes valeurs, c'est vraiment une envie partagée. Je pense qu'il faut avoir envie de faire un bout de route ensemble. Les choses qui fonctionnent bien sont des choses faites avec beaucoup de simplicité et de naturel. Il n'y a pas de cahier des charges établi : impératifs de volume, maturité de marque, etc. C'est avant tout une histoire de rencontre, de sens. Quand j'approche un créateur, je n'arrive pas avec mes idées que l'on pourra faire dans nos collections. Je viens pour avoir le parfum de sa marque, son ADN. En revanche, je dis ce que je ne souhaite pas. Par exemple, nous ne ferons pas de fourrure, pas d'Angora, pas de Mohair. Il faut beaucoup de respect et beaucoup de transparence sur ce type de démarche. Lorsque deux marques ne sont pas sur les mêmes process, comment ça se gère sur le terrain ? Je travaille avec une équipe très réduite. Il faut que ce soit un circuit très court, que le créateur soit mis en confiance aussi bien sur la partie création des vêtements d'accessoires que sur la partie "communication". Je préconise une équipe extrêmement réduite : le créateur, une modéliste (technicienne du vêtement) et moi-même. Je délègue ensuite à des équipes dédiées (commandes, marchés), mais cela n'est pas visible pour mon partenaire que je ménage au maximum. Qu'est ce qui se passe entre le moment où il y a un brief établi et le moment où la collection arrive en magasin ?Quelques mois seulement ! 1ère rencontre : on décide de travailler ensemble 2ème rencontre : en présence de la modéliste.On travaille ensemble à délimiter la collection : mode, accessoires, nombre de silhouettes. C'est le moment de mes recommandations. En général, je préconise seulement 2/3 silhouettes sinon on s'y perd un peu ! On travaille sur base de croquis, de pièces existantes sur lesquelles on va s'adapter pour en faire des exclusivités.Le créateur nous fait part de ses envies en termes de matières, de supports, du moindre détail jusqu'à la couleur des boutons ! Trois semaines après : nous lui présentons nos recherches. La modéliste les présente. Trois semaines après : la pièce est montée, on la présente au créateur. Trois semaines après : second essayage. On vérifie les choses à modifier. 1 mois après, séance de shooting. Entre deux, on a eu un partage avec notre Direction Artistique sur la partie communication / shooting Mise en ligne sur notre site, sur notre e-shop, à l'international (26 pays) et dans les corners Galeries Lafayette. Comment est-ce que ça s'organise au niveau légal ?Le créateur cède ses droits ? Et la répartition des coûts ? Cela dépend. On ne peut pas donner un chiffre moyen. La règle de base chez nous : il y a toujours un intéressement du créateur au chiffre d'affaires, accompagné d'un tarif fixe. Niveau plan de communication, il y a une feuille de route ou c'est au cas par cas ? Je pense que dans comme dans tout sur tous les sujets, plus les gens sont impliqués, plus ils verront un intérêt à ce qu'il font. Pour que les créateurs soient satisfaits, il faut qu'ils soient dans toutes les étapes. On partage tout, c'est indispensable. Pour le shooting par exemple, ça arrive souvent que le créateur soit habitué avec un photographe ou ait des envies particulières. Cela contribue aussi à la visibilité pour ces jeunes talents. On parle des jeunes talents mais il y a d'autres formes de collaborations. Il va y avoir collaboration avec des grandes maisons qui ont beaucoup été d'actualités pendant un certain temps. Je pense que tous les plus grands noms ont pu nous faire l'honneur de créer une collection avec La Redoute (Saint-Laurent, Sonia Rykiel, Karl Lagerfeld...). Il y a aussi ce que j'appelle la toute jeune création où des collections étaient très intéressantes avec un grand niveau de créativité. Donc là c'est plus, d'un côté, un soutien à la jeune création avec des jeunes méconnus de personne, qui n'ont pas encore intégré une école de mode ou créé de label. Puis d'un autre côté, un soutien à la jeune création connue de la presse et d'un milieu petit. Il y a aussi des collaborations avec des marques. Ce ne sont pas forcément des créateurs mais des marques agiles et dans l'air du temps. Cela permet d'aller nourrir de nouveaux univers, il y a une vraie communauté et un vrai intérêt. Enfin, des projets différents qui sortent du cadre. Par exemple, on a fait une collaboration avec l'Olympique Lyonnais Féminin. Là, c'est une autre forme de collab qui rebondit sur un évènement et nourrit notre propos d'aider la jeune création. Aujourd'hui vous aviez envie de nous parler d'un type de partenariat que vous avez brillamment mené chez La Redoute et qui sort complètement du lot. Pouvez-vous nous en dire plus ? Je vais vous parler d'un partenariat que nous avons fait avec About A Worker, un duo que j'ai rencontré il y a quelques années avec un discours qui m'avait beaucoup intéressé ; mettre l'ouvrier, l'employé textile au cœur de la création. Ils étaient en train de préparer une collection avec des femmes emprisonnées dans une prison à Venise et je me disais que faire travailler les personnes qui ne sont pas du sérail de la mode est très intéressant. À La Redoute nous avons des entrepôts, un centre logistique et des employés qui touchent du vêtement, préparent les vêtements mais qui ne sont pas intégrés dans le processus de création. Néanmoins, ils ont un avis sur le vêtement. Donc l'idée est partie de là, j'ai proposé au duo de faire des ateliers de création avec un certain nombre de workers de notre entrepôt. On a proposé le projet aux collaborateurs de nos entrepôts. Beaucoup de personnes ont répondu favorablement. C'était l'idée d'une collection collective. Je donne cet exemple là parce que c'est aussi une forme de collaboration, nous avons créé des vêtements que nous avons vendu. Mais cette collaboration était totalement différente parce que vous avez des personnes créatives d'univers très différents qui avaient envie de s'exprimer sur le vêtement. Elles n'emploient pas forcément les mêmes termes, ne connaissent pas forcément la différence entre une viscose et du polyamide. Il n'empêche qu'autour de ce vêtement, ils parlaient le même langage. Le processus a pris plus de six mois et il y a eu une belle visibilité. Sur une opération comme celle-là, comment mesurer le succès ? Qu'est-ce que vous utilisez pour tracker ? C'est une des grandes forces de La Redoute de savoir que tout ne peut pas être au même niveau. Il y a des créateurs ou les collections sont plus commerciales que d'autres. On fait cela pour un soutien à la création. Il faut innover ! Cela va au-delà d'une capsule créateur, on parle d'échange, d'humain. Évidemment, on a envie de vendre mais ce n'est pas le sujet premier. Il doit y avoir une adhésion en interne. Le succès vient aussi de la contribution des partenaires. Comment La Redoute a-t-elle capitalisé pour donner écho à cette opération ? De nouveaux leviers ont-ils été activés par La Redoute sur une opé comme celle-ci qui casse un peu les codes ? Non, pas plus que d'autres. Peut-être effectivement une exposition au sein du design. Quand on fait un partenariat créateur les moyens sont toujours à peu près les mêmes selon les opportunités et selon le partage avec le créateur. Cherchez-vous en ce moment chez La Redoute des nouveaux partenariats ? Je cherche toujours. Quelques fois on ne trouve pas mais je suis toujours en veille, d'un tempérament curieux donc tout m'intéresse. Je ne ferme jamais la porte, encore une fois il faut qu'il y ait un sens. On peut me contacter via LinkedIn et Instagram sans aucun problème. Avez-vous d'autres idées de collab réussies chez La Redoute ? On peut mettre beaucoup de choses derrière le mot "réussi". Je vais donner ma vision du "réussi" : Vanessa Seward avec une notion d'élégance à la française qui va bien à La Redoute. La collection Sœur qui a des codes qui nous conviennent bien. Dans un autre registre, Mossi qui est un jeune créateur que j'aime beaucoup. Et bien d'autres, je n'en préfère aucune, je les aime toutes ! Comment faire pour se prémunir d'une collab qui se passe mal ? Avez-vous eu de mauvaises expériences ? Il peut y avoir un premier contact parce qu'on est curieux et, de façon évidente, on se dit que ça ne va pas forcément être intéressant pour x raisons. Je veux juste de la transparence. Les choses doivent se faire naturellement, créer un lien de confiance. Quand je ne sens pas, on ne fait pas. Je n'ai pas de mauvais exemple car ça se fait toujours en bonne intelligence et parce que l'on a envi. J'ai en face de moi des personnes extrêmement passionnées avec beaucoup d'énergie, je me dis qu'il y a forcément quelque chose à faire. Selon vous, la collab est-elle déjà le retail d'aujourd'hui et demain ? Je ne sais pas, on voit beaucoup de collab et c'est un bon moyen pour se faire remarquer mais il faut qu'il y ait du fond et du sens. Est-ce qu'il y a chez d'autres marques des collaborations que vous auriez aimé mener ou qui vous ont tout simplement inspiré ? J'aime beaucoup en ce moment celle de The North Face avec Gucci. J'aime les associations qui sont quelquefois un peu surprenantes. C'est bien de faire des associations quand ça a du sens car cela semble assez évident mais quelquefois quand c'est moins évident ça interpelle un peu plus. ▶ La suite ?
HABITUDES // ÉPISODE N°17Son style est inimitable, sa façon d'en parler aussi. Homme de musique, producteur, auteur, compositeur, arrangeur, chanteur et patron du label Tricatel, Bertrand Burgalat aime les costumes chics, les cravates larges et les lunettes aux verres fumés, à tel point que la question se pose : s'est-il construit un personnage?Il dément farouchement. Eduqué au vêtement par son père, ancien préfet, épaulé par sa compagne, la créatrice Vanessa Seward, Bertrand Burgalat raconte ici un parcours stylistique marqué par le rock de son adolescence, très loin de la récupération fashion... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Au programme de cet épisode de En Mode Actu, Rossignol ouvre à New York, La Redoute collabore une fois de plus avec Vanessa Seward, Le Slip Français en plein bad buzz et le groupe LVMH qui renforce son soutien à La Fabrique Nomade ! Abonne-toi pour encore plus d'infos mode et lifestyle ! Check notre application Cabine : https://www.cabineapp.com Crédits photo : Rossignol La Redoute Le Slip Français La Fabrique Nomade Crédits musique : https://www.youtube.com/channel/UCOmy8wuTpC95lefU5d1dt2Q
S’il y a une femme qui incarne l’élégance à mes yeux, c’est elle. Valérie Tribes vous invite à passer 40 minutes en compagnie de Vanessa Seward. Cette grande brune à l’accent irrésistible a accepté de revenir devant le micro de Chiffon pour nous parler de sa collaboration avec La Redoute. A cette occasion, Vanessa nous confie ses doutes face au difficile passage du cap de la cinquantaine, avec beaucoup de dérision et de bienveillance.Dans cet épisode inédit, elle nous raconte son enfance auprès d’une mère "fantasque et élégante", de son amour de la mode, de confiance en soi, et de sa rencontre avec La Redoute. Vanessa aime les ceintures, les foulards, les robes, les trench, le bleu cobalt et l’élégance naturelle. Sa définition de l’élégance ? "L’harmonie". Où puise-t-elle son inspiration ? "Chez toutes les femmes". On vous avait dit que Vanessa Seward est un modèle d’élégance !Cet épisode est réalisé en collaboration avec H&M.
S’il y a une femme qui incarne l’élégance à mes yeux, c’est elle. Je vous invite à passer 40 minutes en compagnie de Vanessa Seward. Cette grande brune à l’accent irrésistible a accepté de revenir devant le micro de Chiffon pour nous parler de sa collaboration avec La Redoute. A cette occasion, Vanessa nous confie ses doutes face au difficile passage du cap de la cinquantaine, avec beaucoup de dérision et de bienveillance. Dans cet épisode inédit, elle nous raconte son enfance auprès d’une mère « fantasque et élégante », de son amour de la mode, de confiance en soi, et de sa rencontre avec La Redoute. Vanessa aime les ceintures, les foulards, les robes, les trench, le bleu cobalt et l’élégance naturelle.Sa définition de l’élégance ? « L’harmonie ». Où puise t elle son inspiration ? « Chez toutes les femmes ». Je vous l’avais dit que Vanessa Seward est un modèle d’élégance !Valérie TribesCet épisode est réalisé en collaboration avec H&M. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, je reçois celle qui incarne l’élégance décontractée. Elle m’a reçue dans son bureau vêtue de son uniforme quotidien : tee shirt et jean slim. Car oui, Sarah Lavoine reste une fille cool qui n’a plus rien à prouver : des boutiques, de multiples collaborations, des collections capsules, des chantiers, et depuis peu, la création d’une ligne de prêt à porter. Cette dernière lui colle parfaitement à la peau : simple et chic. Son ambition « n’est pas de révolutionner la mode ». Sarah fait « de la mode anti mode ». Elle résume son style en un mot : « intemporel ». Elle aime les belles matières, les jeans, les mini-jupes qui mettent en valeur ses jambes, les paillettes et les vestes. Dans cet épisode, elle nous parle de sa fille Yasmine qui adore le vintage, mais aussi de ses amies Emmanuelle Alt ou encore Vanessa Seward. Sa définition de l’élégance ? « C’est avant tout une allure ». Je vous l’avais dit, Sarah Lavoine est l’incarnation du glam et du cool ! Valérie Tribes Réalisation Gautier Carbonneaux Cet épisode de Chiffon est réalisé grâce au soutien de la marque Gemmyo. A l'occasion des fêtes, cette marque symbolisée par un petit chat rose s'associe à Chiffon pour vous offrir 10% sur votre commande avec le code CHIFFON10 aussi bien sur l’eshop https://www.gemmyo.com qu’en boutique. (Offre valable jusqu'au 31 décembre 2018) See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans sa tête, on a toujours 20 ans mais entre ce qu’on ressent et la réalité, il y a toujours une carte d’identité, un miroir et le regard d’autrui.... Les médias nous présentent des "quinqua-géniales" pleines d’énergie et des "sexy-génaires" affriolantes au bras de fringants jeunes-hommes mais dans la « vraie vie », est-ce si facile que ça de vieillir en 2018 ? Et du côté des hommes ? Comment vivent-ils la fuite des ans ? Ce podcast s’intéresse au décalage que les femmes ressentent entre leur âge intérieur et l’image qu’elles renvoient. Comment arrivent-elles à gérer toute les injonctions contradictoires d’une société qui, tout à la fois les exhorte à rester jeunes à tout prix et en même temps, les encourage à être elles-mêmes, naturelles et à accueillir le temps qui passe avec sérénité. La créatrice de mode Vanessa Seward (48 ans) puis Antoine de Caunes (65 ans) deux personnalités au look très juvénile, parlent librement de leur rapport à l’âge. Le sociologue David Le Breton explique pourquoi la prise de conscience de son âge à certains moment clé de sa vie peut être si douloureuse. Arnaud Aubert, neuroscientifique et enseignant chercheur à l’Université de Tours démontre que les rides ne sont pas vraiment un problème dans la perception de l’âge. Le Docteur Sylvie Poignonec, chirurgien-plasticien, confie les attentes de ses patient(e)s en matière de rajeunissement et sa propre perception de l’âge. France Carp qui publie Anatomie d’une femme épanouie, journal hormonal de mon corps aux éditions Hugo brise le tabou de la ménopause. Vous pouvez écouter Happiness Therapy sur le site Madame Figaro, Apple Podcast, Soundcloud, Spotify, Deezer, YouTube ou via son flux RSS. Et suivre toute l’actualité de nos podcasts sur Facebook, Instagram et Twitter. Happiness Therapy est proposéen partenariat avec Lancôme. La vie est belle en Lancôme… Lancôme l’affirme : le bonheur est la plus belle forme de beauté. Son ambition est d’offrir à chacune la liberté de s’épanouir, de sublimer sa beauté et sa féminité, quel que soit son âge, quelle que soit sa couleur de peau, et en lui offrant le meilleur de la science, avec des innovations majeures qui marquent leur époque.
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, je reçois celle qui a contribué à remettre les seventies à la mode : robes imprimées longueur midi, blouses en soie, chemises à col jabots, jean taille haute, bottes à talons. Vanessa Seward a créé sa marque éponyme en 2014 après avoir fait ses armes chez Chanel, Saint Laurent, Azzaro ou encore APC. Née à Buenos Aires, cette grande brune à la silhouette parfaite est devenue incontournable dans le paysage de la mode parisienne, mais Vanessa est tout sauf une it girl. Elle protège sa vie privée et c’est un privilège de la recevoir dans Chiffon car Vanessa est l’incarnation de l’élégance discrète. Elle m’a reçue au sein de son bureau dans le 6ème arrondissement, habillée en « VS » de la tête aux pieds : blouse en crêpe de chine à l’imprimé mauresque, jean taille haute ceinturé à la taille et bottes à talons. Cette grande timide s’est livrée en toute simplicité et douceur. Sa définition de l’élégance passe par une harmonie intérieure… et une connaissance de soi. Et c’est exactement ce que Vanessa cultive. Cet épisode de Chiffon est réalisé avec le soutien de la maison de joaillerie parisienne Ofée qui vous offre 15 % de réduction avec le code «CHIFFON » sur sa nouvelle collection de pendentifs « carat ». Ofée ce sont des bijoux tout en finesse qui collent à la peau et vous accompagnent toute une vie. Et en ce printemps, la maison Ofée a décidé de créer une collection à petit prix afin que le luxe soit accessible à tous. Son nom ? « Dessine moi un diamant ». Ce sont des petits pendentifs très discrets en forme de différents diamants… Aller les découvrir sur le site https://www.o-fee.com/fr See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, Valérie Tribes celle qui a contribué à remettre les seventies à la mode : robes imprimées longueur midi, blouses en soie, chemises à col jabots, jean taille haute, bottes à talons. Vanessa Seward a créé sa marque éponyme en 2014 après avoir fait ses armes chez Chanel, Saint Laurent, Azzaro ou encore APC.
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, Valérie Tribes celle qui a contribué à remettre les seventies à la mode : robes imprimées longueur midi, blouses en soie, chemises à col jabots, jean taille haute, bottes à talons. Vanessa Seward a créé sa marque éponyme en 2014 après avoir fait ses armes chez Chanel, Saint Laurent, Azzaro ou encore APC.
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Dans ce 12e épisode nous allons à la rencontre de Marie Rucki et Jean-Denis Franoux du Studio Berçot. Le studio Berçot est une école de style qui a formé des designers qui ont fait et font toujours la mode. On compte parmi eux Camille Bidault-Waddington, Lou-Menais de Journée, Isabelle Marant, Ivan Mispelaere, Natacha Ramsay-Levi la directrice artistique de la maison Chloé, Martine Sitbon, Véronique Leroy, Charlotte Chesnais, Yasmine Eslami, Vanessa Seward pour n’en citer que quelques uns.Dans cette épisode nous revenons sur le parcours de Marie et Jean-Denis, ils donnent leur définitions de la mode, et essaiment quelques conseilles précieux aux aspirants entrepreneurs.Je vous invite à liker notre page Facebook entreprendre dans la mode et à vous abonner à notre podcast sur Itunes et surtout à nous laisser un commentaire ça nous aide énormément. Et bien sur je vous souhaite une bonne écoute!
The Simple Sophisticate - Intelligent Living Paired with Signature Style
~The Simple Sophisticate, episode #151 ~Subscribe to The Simple Sophisticate: iTunes | Stitcher | iHeartRadio "There is something about the French woman, a sense of freedom that must read and show in the way we dress." —Marion Cotillard No one has yet pinpointed when the allure of French style came to epitomize the pinnacle of effortless, chic style, but nonetheless, the flattering stereotype continues to be perpetuated and this post will do the same. Why? In all honesty, if you have been to France, you have seen it. You have crossed paths with the style seen in Paris that embodies classic staples worn with such ease and confidence that the woman appears to be on her own catwalk wherever she goes. Now not every French woman embodies the qualities oft associated with simple, chic, effortlessness just as not every American woman is intrigued by fast fashion and putting more in her closet (if you are a reader of TSLL, I am pretty confident you do not fall into that traditional American stereotype). But since the French woman has lessons to share when it comes to the style of quality over quantity, and demonstrates how magnificent it can look, people from around the globe have taken note, which may be why so many non-French women have impeccable, signature style as well. "What defines French Style? An effortless chic attitude - the Parisienne always wears great basics. It's about clever mix and match." -Evelyne Chétrite Wherever we find the inspiration that moves us to shift and change our wardrobe, it is worth investigating exactly what the fundamentals are of that particular approach to style. To begin, I must make a confession, I am not someone who enjoys shopping for clothes, but I do thoroughly appreciate and feel most confident when I know the clothes I am wearing work well on my body for whatever occasion I may be involved in. Thus, I have always wanted to drill down to how to cultivate a dependable, chic wardrobe that is versatile and lasts. So it was not a surprise when the French woman's approach to style caught my attention. Let's take a look at how to incorporate the 10 fundamentals of French style into our lives so that we too can look our best, spend our money wisely and limit the time we spend in shops and online boutiques so that we can go about enjoying the simply luxurious lives we have created. 1. Staples over trends "In an era of excess, Frenchness speaks to a certain kind of abstinence - but also of a noble refusal to compromise on quality, as well as the confidence to resist tacky gimmicks." —Lisa Armstrong, The Daily Telegraph Watching the seasonal runway shows are great fun and full of inspiration and ideas what new way to wear a button up blouse or what to pair with a knee-length skirts, but don't hop on the bandwagon if it's a one-season phenomenon. How do you know if it's a one season phenomenon? Ask yourself, would you wear it if you hadn't seen it on the runway or if wasn't cheered by Vogue and the fashion elites? If the answer is no, then just appreciate it and move on. Staples may seem safe or boring, but as we will discuss in #2, when you purchase well, know your body and tailor to your needs, you will shine. And the key word is you. You, rather than your clothes will be what everyone will notice and that is the intent to dressing well each time we step into our closets. Instead of considering what will draw attention, what will shock, what will woo onlookers, ask yourself "what will look best on me and help me elevate to feel and do my best?" Return to those clothes again and again and again, and you will never be disappointed. 2. Invest, don't skimp A French woman will have Chanel ballet flats and maybe even a Mulberry tote, but she won't have oodles of ballet flats in her closet or more than a few handbags unlike an average American's closet that is overflowing with bargain finds that may have looked wonderful on the rack at Ross but no longer shine two or even five years later. Hone in on what you need, save up and purchase what you love and will continue to use for years to come. My Lanvin ballet flats were an investment (always order one to a half-size larger than your regular size), but they were exactly what I had always wanted for years. When I finally purchased my first (I have two now - beige and black) pair, the price was expected, and I continue wear them at least 2-4 times a week (they continue to look wonderful and work with a long list of outfits). 3. Subtle over shocking Choose neutral hues that work with your skin tone in order to infuse a multitude of options. The white jersey tee works beautifully under your blazer, but it can also be tucked into a pencil skirt worn with heels to offer a high/low look to the office. Don't forget to wear it under your leather jacket as well paired with your favorite jeans. Shocking, while fun, has a shelf-life. Subtle again allows the woman to shine rather than the clothing. 4. Fewer but better You will have fewer items in your closet and what a beautiful sight that will be when you walk in. Clutter is stressful, too many choices can numb us and make it difficult to choose. Fewer, but better options simplifies the process but amplifies the outcome. 5. A skill rather than a sport As I mentioned at the top of the post, I honestly do not like to shop for clothing. Beginning when I was a young girl, I became quickly frustrated looking for clothing that fit my tall frame and thus began to see wardrobe building as the goal, not a sport that would waste hours of my day. A significant part of why I share what I learn and discover about style on TSLL is because I want to alleviate the frustration that I had so that you too, whether you love shopping or not, will be able to shop well each and every time, utilizing your time wisely so that you can enjoy the life you have built. Do I love beautiful attire and the craftsmanship, absolutely. If I could snap my fingers and have the wardrobe of 10-15 staple items for each season hanging in my closet that look brilliant on my body, I would snap away and spend the time I would have been shopping walking my dogs, working on a creative project, traveling or any one of the hobbies I enjoy. And so TSLL exists to reveal the tools we all can possess so that we each can build our signature wardrobe without feeling we have to do so each season, because we truly do not if we shop well. 6. Keep it simple A beautiful silk blouse paired with designer jeans that fall just to the ankle worn with a stunning pair of Roger Vivier flats. Nothing else. Classic pieces, quality pieces. Trust your purchases so that when you do pull them on and pair with them with the other items, you will know they work. Another reason to have fewer, but better items in your closet is that you become more familiar with them as you will have had them in your closet for many seasons. You will begin then to trust what you have, what looks flattering on your body and what other items might pair well with it. The simplifying of the process is a significant factor to loving and trusting your style. 7. Subtle, but sincere statement pieces Begin to let go of the costume jewelry. I used to regularly have my large tear-drop earrings that were not that expensive but fun conversational pieces, and then I began to realize I didn't want my clothing to be the conversational piece, I wanted to be talking about topics of more substance. So I purchased these earrings and wear them with nearly every outfit. They are simple, basic, but just the right femininity for work and play. A simple pair of diamond studs would also work beautifully. The key is to not be afraid to invest in a few investment statement pieces, but make sure they are subtle so that you can wear them for years and perhaps a lifetime. 8. Find what works and wear it regularly If blazers are your flattering cut similar to Emmanuel Alt, then include a couple of quality blazers in a variety of hues in your closet. If you know crew necks are better than v-necks, stay loyal and do not deviate. Such a discovery of our style takes time, but so long as we pay attention, are willing to explore and try something new if other approaches aren't working, we will eventually find what works for our bodies, lives and comfort. Over the past few years, one of the trends that has become my signature is the jumpsuit. Not everyone loves the jumpsuit, but it has been a staple in my wardrobe - layering with blazers, wearing long-sleeve monochromatic versions in the winter and splurging on a versatile silk jumper by Vanessa Seward when it went on sale that takes me to work and is ideal of cool summer afternoons with sandals. 9. Mix the high and low As much as your investment items are the foundation of the French woman's wardrobe, not every item you wear has to be über sophisticated. Wear a pair of boyfriend jeans with heels (low/casual - boyfriend jeans; high/dressed-up - heels) or a bomber jacket over a camisole worn with an over-the-knee pencil skirt and sandals. The balance of seriousness with playful displays prowess of how to build and wear a wardrobe exuding confidence and personality. 10. Elevate yourself, don't hide The clothing you wear is meant to spotlight the talented, intelligent, fun and curious woman who you are. While clothing can offer some armor in a world that can be difficult at times, don't hide completely behind your sartorial choices. Let your signature shine. Choose clothing that regardless of the designer label is made well and elevates your confidence. Stick to what works, let go of what doesn't and dress for you, not to mimic what you should do. Part of embracing the French woman's approach to style is reconciling with the clothes you must get rid of, but on the flip side when you don't have to go shopping as often to fill the gaps or find that one item that you just don't seem to have, you will discover an ease with knowing what to wear when that will be priceless. As much as I love the power of the sartorial choices we make, I have always wanted the clothing to be the background (an impressive background, but still in the background). While being known for what one wears is initially flattering and a temporary confidence boost, it is knowing that the woman each one of us offers to the world is more than what she wears is valued far more than the clothing and image she projects that motivates me to fine tune and all but perfect my approach to style. And each time I gain more clarity, I look forward to sharing what I learn with you. May we all fine-tune our wardrobe so that we may make a worthwhile first-impression but follow through with a breath-taking performance offered by our intelligence, charm and wit. ~SIMILAR POSTS FROM THE ARCHIVES YOU MIGHT ENJOY: ~The Francophile's Style Guide: The 14 Essentials (podcast episode) ~Why Not . . . Master the Art of Dressing? ~Why Not . . . Organize Your Closet? ~20 Ways to Live Like a Parisienne (podcast episode ~How to Cultivate Your True Style All Year Long - inspired by Ines de la Fressange's new Parisian Lookbook (podcast episode) ~Shop TSLL Capsule Wardrobe boutique here ~As my way of saying thank you to listeners of the podcast, I have produced two new episodes for this week due to my loss of voice last week and inability to have a new episode as each Monday for over two years (except in one other instance) there has always been one. I appreciate your understanding, your well wishes and your interest in living simply luxuriously. Here is the link to episode #150. Have a lovely week. ~21 Life Lessons Learned in South Korea Petit Plaisir: ~The Curse of La Fontaine: A Verlaque and Bonnet mystery by M.L. Longworth ~begin with the first novel in the cozy, set in Aix-en-Provence mystery series, Death at the Chateau Bremont ~Image: French model Ophelie Guillermand captured by Tatel Velasquez Download the Episode
Comment développer et consolider une marque de mode dans la durée ? Comment allier sophistication et simplicité ? Une voie possible consiste à s'adosser à une marque établie (APC) et communiquer à travers des influenceuses choisies via un bureau de presse bien introduit dans le milieu : Lucien Pagès et Vanessa Seward vendredi 1er juillet au festival des sas à l'IFM. Rencontre animée par Bastien Daguzan (IFM/Management 2008), CEO de la marque Lemaire. Plus de conférences : http://podcast.ifm-paris.com/