Podcasts about partenariats

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  • Mar 25, 2025LATEST

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NFT Morning, Decouvrez tous les projets NFT et Crypto-art
#846 | Présentation de la plateforme ThePrestige_Art avec Fadi

NFT Morning, Decouvrez tous les projets NFT et Crypto-art

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 39:55


Dans cet épisode, notre invité du jour Fadi, présente ThePrestige, une plateforme innovante qui vise à révolutionner le marché de l'art en ligne en combinant art physique et digital via la tokenisation.The Prestige se compose de deux volets principaux :* Une marketplace dédiée à l'achat, la vente et l'investissement dans des œuvres d'art physiques fractionnables via des tokens. Cette marketplace permettra aux acheteurs d'acquérir des fractions d'œuvres et de les échanger facilement. Le lancement est prévu pour le Q2 2025.* Un studio de création et d'accompagnement qui travaille directement avec des artistes Web2 pour les aider à entrer dans le Web3. Un premier projet avec l'artiste Gully est en préparation, mêlant art physique et numérique avec des collaborations Web3 (notamment avec la collection Meebit).Partenariats clés :* Bonhams, la prestigieuse maison d'enchères collaborera avec The Prestige pour sa première vente liée aux NFTs.* Plus de 300 à 400 partenaires incluant des galeries et des artistes de renom.Token et financement :ThePrestige prévoit également le lancement de son propre token, avec une levée de fonds de 3,5 millions de dollars prévue dans ce cadre.Un Prestige Pass a d'ores et déjà été lancé en août 2024, offrant des avantages exclusifs dans l'écosystème The Prestige.Liens utiles* The Prestige sur Twitter : @ThePrestige_Art * Compte Twitter de Fadi* Profil LinkedIn de Fadi* Gully sur Twitter : @Gully_Art* Prestige Pass sur Magic Eden : Lien vers Magic Eden (pour suivre les opportunités liées au pass)Découvrez ici le replay vidéo de l'épisode: This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.nftmorning.com

Le Business du Fitness | Andy Poiron 
Florence Cultier (Agence PepsWork) - Resofit Meet 2024

Le Business du Fitness | Andy Poiron 

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 36:51


Florence Cultier - Fondatrice de l'Agence PepsWork - https://pepswork.com/  

L'Empreinte
Comment nourrir le monde ? Action contre la Faim nous donne le pouvoir d'agir à ses côtés. Avec Marie-France Beurton, Directrice Déléguée aux Partenariats

L'Empreinte

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 29:36


A l'occasion du Podcasthon, événement caritatif qui réunit les podcasteurs pour mettre en lumière des associations caritatives et récolter des dons, L'Empreinte a choisi de mettre en lumière Action Contre la Faim. Créée en 1979, cette ONG internationale humanitaire française s'est donnée pour mission de sauver des vies en éliminant la faim dans le monde, par la prévention, la détection et le traitement de la sous-nutrition, particulièrement lors de situations d'urgence liées aux conflits et aux catastrophes naturelles. Sa charte des principes humanitaires (indépendance, neutralité, non-discrimination, accès libre et direct aux victimes, professionnalisme, transparence) fonde son identité depuis plus de 40 ans. En 2023, l'ONG est venue en aide à plus de 21 millions de personnes dans plus de 50 pays à travers le monde. Quelles sont les causes ? Comment agit l'association sur le terrain ? Quels sont les leviers d'action ? Comment agir et les soutenir ? C'est ce que nous allons découvrir ensemble dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute !

KAN FC LE PODCAST
Le CF Montréal a dépensé beaucoup d'argent sur Fernando Alvarez

KAN FC LE PODCAST

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 0:48


Afrique Économie
Développer les PME en Afrique: le défi de l'investissement

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 2:20


À l'heure où l'aide publique au développement décroît et où les taux d'intérêt sur les marchés sont élevés, l'accès aux financements pour développer les entreprises africaines est capital. À la clé, la création d'emplois, de richesses et de développement… Dans ce domaine, des fonds privés à impact cherchent à développer leurs fonds et n'hésitent pas à allier financements publics et privés. Il y a 15 ans, Sidi Khalifou reprend l'entreprise familiale CDS spécialisée dans l'eau et l'énergie en Mauritanie. Elle est alors composée d'une poignée de salariés et fait un chiffre d'affaires d'environ 100 000 euros. « J'avais une vision claire sur son développement », explique l'entrepreneur. Cependant, l'ambition ne suffit pas. « Premier frein, il n'y a pas de fonds et le capital est réduit, les banques ne donnent pas de crédits de façon suffisante. Et on n'avait pas suffisamment d'expérience aussi, explique-t-il. [Le fonds d'investissement] I & P avait cette valeur ajoutée d'avoir les deux, d'avoir de l'accompagnement et du financement. Et donc je peux dire qu'ils nous ont accompagnés de très très bas pour se structurer, pour lancer nos premières commandes, pour recruter nos premières ressources humaines, les former. Et ça, c'est fondamental dans la croissance d'une entreprise. »L'entreprise compte désormais une cinquantaine d'employés et porte un chiffre d'affaires d'environ 3 millions d'euros. Dès le début, Investisseurs et Partenaires, I & P, soutient l'entreprise de Sidi Khalifou. I & P est un fonds d'investissement à un impact dédié au financement et à l'accompagnement des start-ups et PME en Afrique subsaharienne. « Ce sont des pays dans lesquels il y a une dynamique entrepreneuriale extrêmement forte. Beaucoup d'opportunités. Ce qui manque, c'est la capacité à financer ces entrepreneurs. Et donc nous, on pense qu'en apportant des fonds et en choisissant des entrepreneurs qui ont cette capacité à créer des emplois, à générer des impacts, nous pouvons aussi générer de la valeur économique et financière pour nos investisseurs », affirme Sébastien Boyer, le co-directeur d'I & P.À écouter dans 8 milliards de voisinsQue recherchent les investisseurs dans les PME africaines ?Partenariats public-privéUn pari qui fonctionne malgré la perception du risque accru qui entoure l'investissement sur le continent. Des acteurs publics, comme la Banque européenne d'investissement, soutiennent ces choix. La BEI vient de signer un nouvel engagement de 15 millions d'euros. « L'une des actions qu'on a, c'est de financer des fonds d'investissement qui eux-mêmes vont financer des actions qui nous semblent prioritaires. », souligne Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI.« Ce qui nous semble plus important, ce n'est pas la nature publique ou privée du promoteur d'un projet, c'est plutôt ce qu'il veut faire de l'argent qu'on va lui donner. Et en l'occurrence, ce que veut faire cet investisseur, c'est de développer des actions qui sont particulièrement importantes pour nous, dans des secteurs aussi charnières que l'atténuation et l'adaptation du changement climatique et les problématiques de l'égalité hommes-femmes », insiste-t-il.Grâce à cette levée de fonds, I & P prévoit de soutenir une quinzaine d'entreprises sur le continent, avec à la clé la création de 4 000 emplois. Sidi Khalifou poursuit son expansion et souhaite poursuivre le développement de son entreprise dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest.À lire aussiComment aider les petites et moyennes entreprises africaines à se financer?

Invité Afrique
Le conflit Russie-Ukraine et l'Afrique: «Les pays africains sont dans une dynamique de diversification de leurs partenariats»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Feb 24, 2025 4:29


Depuis trois ans, l'Afrique a tenté d'adopter une « neutralité stratégique » face au conflit russo-ukrainien. Loin d'adopter une position commune, les pays africains composent au cas par cas avec les belligérants, afin de préserver leurs intérêts économiques, politiques ou militaires. Djénabou Cissé, chercheuse au sein de la Fondation pour la recherche stratégique, analyse cette diplomatie africaine plus « transactionnelle » qu'idéologique… et résolument « non alignée ».  RFI : Le 2 mars 2022, de nombreux pays africains se sont abstenus de condamner l'agression de la Russie contre l'Ukraine lors d'une Assemblée générale des Nations Unies. Trois ans plus tard, peut-on dire que l'Afrique a su rester neutre face à ce conflit ?Djénabou Cissé : Oui, tout à fait. Le positionnement de l'Afrique vis-à-vis du conflit russo-ukrainien est resté globalement inchangé depuis 2022. Concernant justement ce fameux vote du 2  mars 2022, 28 pays avaient condamné l'agression, mais 17 exactement se sont abstenus. Ce qui à l'époque avait été vue d'un assez mauvais œil par les pays européens et occidentaux, mais qui en réalité reflète davantage une neutralité comme vous l'évoquiez plutôt qu'un soutien idéologique à la Russie. Il faut savoir que depuis au moins les années quatre-vingt-dix, les pays africains sont dans une dynamique de diversification de leurs partenariats. Avec la volonté de pouvoir garder une liberté d'échange avec divers partenaires et donc de ne pas avoir de relations trop antagonistes. Et donc de ne pas choisir entre deux camps. Il y a donc même plutôt un retour à un certain non-alignement qui s'est reflété, à la fois par la crise russo-ukrainienne, mais aussi par le conflit israélo-palestinien.Ne s'agit-il pas aussi tout simplement de pragmatisme économique ?Les pays africains importent au moins 30% de céréales en provenance de la Russie, dont 95 % de blé. Et selon la CNUCED, au moins vingt-cinq pays importent plus du tiers de leur blé auprès de la Russie ou de l'Ukraine. Et quinze pays importent plus de la moitié. Donc, suite à l'invasion russe et suite notamment au blocage des exportations ukrainiennes en mer Noire, il y a eu une forte hausse du prix de la tonne de blé et donc de fortes craintes concernant l'approvisionnement des pays africains en céréales. Mais également concernant l'insécurité alimentaire. Donc Tout ceci explique aussi cette position de neutralité.Est-ce que la Russie a été avantagée par ses relations historiques avec l'Afrique ?Beaucoup des relations avec ces pays remontent à la guerre froide, donc il y a des relations qui ont servi de terreau au développement de coopérations plus récentes et en particulier à partir du milieu des années 2000, sous l'impulsion de Vladimir Poutine.Il y a des accords de coopération militaire qui ont été conclus avec un certain nombre de pays africains. Ces accords se sont notamment accélérés à partir du milieu des années 2010 et en particulier au Sahel. Du point de vue de certains pays africains, sans faire de généralisation, il est difficile de prendre le risque de s'aliéner à la Russie en sachant que c'est un fournisseur de services sécuritaires important. Ici, on a encore une fois une logique transactionnelle plutôt qu'une logique idéologique.Dans ce contexte, quelle a été la stratégie de l'Ukraine sur le continent Africain ?L'Ukraine a décidé d'ouvrir un nouveau front contre la Russie sur ce continent. Et en particulier au Soudan, où l'Ukraine a notamment déployé des forces spéciales pour combattre les troupes de Wagner impliquées dans le conflit au Soudan.  Plus Récemment, il y a eu une grosse attaque à Tinzawatène, au Mali, à la frontière avec l'Algérie, qui a causé la mort de plus de 84 mercenaires de Wagner. Et en fait, L'Ukraine avait fourni des drones aux combattants Touaregs qui opposaient donc les troupes maliennes et les troupes de Wagner.Et vous pensez que cette tendance risque encore de se renforcer ?On observe déjà cette ouverture de front par l'Ukraine qui souhaite combattre les troupes de Wagner et les troupes russes partout où elles sont présentes. Mais également une offensive diplomatique, en avril dernier en RDC et en Côte d'Ivoire par exemple. Donc, on a vraiment une implication récente de l'Ukraine, qui est assez offensive et qui gagnera, je pense, à se développer dans les prochaines années, pour contrer l'influence russe principalement.À lire aussiL'Afrique face au conflit Ukraine-Russie: entre neutralité stratégique et réalignement pro-russe du Sahel