POPULARITY
El coordinador humanitario de la ONU ha denunciado los “horribles informes” que llegan desde Gaza. La responsable de ONUSIDA asegura que las muertes por esta enfermedad pueden multiplicarse por diez, después de que Estados Unidos recortara su financiación. Con el inicio de este nuevo curso escolar en Afganistán se cumplen tres años desde que se prohibió el acceso de las niñas a la educación secundaria.
Alors que la menace de l'interruption du financement de l'aide américaine plane en République démocratique du Congo (RDC), l'ONU s'inquiète du sort de milliers de Congolais recevant un traitement contre le VIH. « Une rupture de financement aura un impact direct sur la survie des personnes vivant avec le VIH », avertit dans un entretien avec ONU Info Susan Kasedde, la Directrice pays de l'ONUSIDA, le programme de l'ONU qui coordonne la lutte contre la pandémie de VIH/sida.La RDC compte aujourd'hui environ 520.000 personnes vivant avec le VIH, et l'épidémie continue de croitre.« Le pays a réussi à mettre sous traitement 440.000 personnes vivant avec le VIH, soit au moins 87% des personnes en besoin de traitement », signale Mme Kasedde, soulignant que la moitié est entièrement financée par PEPFAR, le programme de lutte contre le VIH/sida lancé par le Président américain George W. Bush en 2003.Selon elle, PEPFAR a joué un rôle pratiquement sans comparaison dans la réponse au VIH en RDC - du dépistage au traitement, en passant par la mise au point des laboratoires et de la chaine d'approvisionnement.L'annonce du gel du financement était complètement inattendu et a constitué un « choc total », explique Susan Kasedde.(Interview : Susan Kasedde, Directrice pays de l'ONUSIDA; propos recueillis par Cristina Silveiro)
El Alto Comisionado condena las violaciones y abusos en DR Congo. ONUSIDA advierte que hasta 6,3 millones de personas podrían morir sin la ayuda estadounidense. La violencia sexual contra niños en Haití aumenta un 1000%. La Corte Penal Internacional condena la orden de Estados Unidos que busca imponerle sanciones.
Alors que des progrès significatifs pour freiner la propagation du VIH ont été réalisés à l'échelle mondiale, les Philippines enregistrent la croissance la plus rapide d'infections au virus du sida dans le monde, selon Onusida. Une situation qui s'explique notamment par une éducation sexuelle déficiente et des discriminations envers les personnes séropositives, dans ce pays d'Asie du Sud-Est profondément catholique. Nos correspondants, Nejma Bentrad et Alban Alvarez, ont suivi les citoyens engagés, qui luttent contre cette épidémie silencieuse.
À Kampala, c'est ce 13 janvier 2025 que doit reprendre le procès de l'opposant Kizza Besigye qui, selon son épouse, a été kidnappé il y a deux mois au Kenya, avant d'être transféré de force en Ouganda. Pourquoi le président Yoweri Museveni fait-il poursuivre son opposant historique par un tribunal militaire ? Est-ce parce qu'il en a peur, un an avant la présidentielle de février 2026 ? Florence Brisset-Foucault est maîtresse de conférence en sciences politiques à l'université Paris I et affiliée à l'université de Makerere, à Kampala. Elle répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis le 20 novembre, l'opposant Kizza Besigye comparaît devant la justice militaire ougandaise pour « possession illégale d'armes à feu dans le but de déstabiliser la sécurité nationale ». Est-ce que ce chef d'accusation est crédible ? Florence Brisset-Foucault : Alors, ce n'est pas la première fois que Kizza Besigye a été accusé de collusion avec des rebelles armés pour renverser le gouvernement. Ça avait déjà été le cas en amont de l'élection présidentielle de 2006. À l'époque, les accusations n'avaient absolument pas tenu et il avait finalement été blanchi. Pour cette fois, on ne sait pas encore, mais en tout cas, ça fait partie de ces formes classiques de décrédibilisation de l'opposition, qui sont utilisées par le régime.Alors ce qui frappe tout de même, c'est que Kizza Besigye, qui est médecin, qui est civil, comparaît devant un tribunal militaire ?Oui, tout à fait, et ça, ça fait partie des nouveautés, je dirais, des quatre ou cinq dernières années en Ouganda. Et ça continue, même s'il y a quelques années, en 2022, il y avait eu une décision de la Cour constitutionnelle qui disait que c'était illégal de poursuivre des civils en Cour martiale. Mais ça se poursuit et il n'est pas le seul à être dans ce cas. Il y a quelques jours, son avocat, Eron Kiiza, qui est lui aussi un civil, a été condamné à neuf mois d'emprisonnement pour outrage à la Cour par une Cour militaire également, en quelques heures et visiblement en toute irrégularité.Donc, ça ressemble à du harcèlement judiciaire ? Kizza Besigye disait lui-même, il y a quelques années, qu'il avait été arrêté des dizaines de fois et qu'il avait arrêté de compter. Donc oui, je pense que ce qualificatif est tout à fait idoine.L'épouse de Kizza Besigye, Winnie Byanyima, qui dirige le programme Onusida pour le monde entier, affirme que son mari a été kidnappé en novembre à Nairobi, puis transféré de force à Kampala. Ce n'est quand même pas très courant. Comment se fait-il que le Kenya ait laissé faire cela ?Oui, Winnie Byanyima a parlé de « paradis des kidnappeurs » pour parler de la capitale du Kenya, Nairobi. Donc, c'est évidemment une formule très forte. Là encore, Kizza Besigye n'est pas le seul opposant étranger à avoir été arrêté récemment dans la capitale du Kenya. Il y a eu aussi des opposants turcs, sud-soudanais, rwandais, nigérians qui ont fait les frais de cette pratique. Concernant les Ougandais, ce n'est pas le seul non plus. En juillet dernier, il y a une trentaine d'opposants ougandais qui s'étaient rassemblés du côté de la ville de Kisumu, dans l'ouest du Kenya, qui ont été aussi arrêtés violemment, puis mis dans des camionnettes et transportés de l'autre côté de la frontière pour être ensuite emprisonnés en Ouganda, donc ça faisait longtemps que ce n'était pas arrivé.Dans les années 1980-1990, le docteur Kizza Besigye était le médecin personnel de Yoweri Museveni. Mais, depuis 25 ans, il est son principal opposant. Il a aujourd'hui 68 ans, soit 12 ans de moins que le chef de l'État ougandais. Est-ce que Yoweri Museveni en a encore peur ? C'est difficile à dire. Cette arrestation a surpris beaucoup de monde, parce que Besigye n'était plus tellement sur le devant de la scène politique, c'était une autre figure de l'opposition, Bobi Wine, qui avait pris la suite, notamment lors de l'élection présidentielle de 2021, la dernière élection présidentielle, et Besigye était plutôt en retrait. Donc, on a été un peu surpris de cette arrestation. Moi, la manière dont j'interprète les choses, c'est que c'est une démonstration de force et une manière pour Museveni de montrer que c'est toujours lui qui tient les règles du jeu.À la présidentielle de l'an prochain, tout laisse penser que Yoweri Museveni, qui est aujourd'hui âgé de 80 ans, va se représenter pour un septième mandat. Quelles sont les chances de l'opposition face à lui ? Les chances de l'opposition… Elle est extrêmement fragmentée, éclatée, avec beaucoup de mal à créer des liens et à s'accorder pour une candidature unique. En 2021, Besigye ne s'était pas présenté, ce qui avait permis à Bobi Wine, entre autres, d'avoir un score tout à fait correct de 35 %. En tout cas, un score qui correspondait au score de Besigye à l'élection de 2016. Donc on ne sait jamais. Mais étant donné le passé récent, je ne suis pas très optimiste pour l'opposition.Depuis trois ans, l'un des fils de Yoweri Museveni, le général Muhoozi Kainerugaba, qui est chef d'état-major de l'armée ougandaise, aspire ouvertement à succéder à son père. Mais en septembre dernier, il a promis qu'il soutiendrait son père une dernière fois pour la présidentielle de 2026. Est-ce que ce fils impétueux n'est pas en train d'affaiblir le camp du président ? Ce qu'il faut voir, c'est qu'il y a aussi un autre joueur dans cette arène autour de la question de la succession. C'est le gendre en fait, qui s'appelle Odrek Rwabwogo, qui est marié à la deuxième fille du président, la pasteure Patience Museveni Rwabwogo, et qui a été au départ assez critique de Museveni, puis qui s'est rapproché de lui. Et il y a quelques mois, il y a eu une violente dispute entre Muhoozi, donc le fils, et Rwabwogo, le gendre, sur les réseaux sociaux. Et beaucoup d'Ougandais interprètent cela comme étant une dispute par rapport à la question de la succession.
Este domingo se celebra el día mundial de la lucha contra el sida, enfermedad que afecta en particular a las comunidades indígenas en América Latina. En octubre pasado tuvo lugar en Perú la última conferencia mundial prevención del VIH, una cita en la que líderes indígenas hicieron un llamado a la comunidad internacional para que atienda las necesidades específicas de estas poblaciones, que sufren mayores tasas de infección. América Latina es una de las tres regiones del mundo donde el VIH sigue en aumento aún en 2024. Este año sus líderes indígenas han pedido a la Sociedad Internacional de sida tener una representación permanente en la asociación mundial.Las comunidades indígenas son una de las poblaciones más afectadas por el VIH. Según Onusida, en regiones del norte peruano algunas poblaciones amazónicas tienen una prevalencia de VIH cuatro veces mayor al promedio nacional. El activista indígena y presidente de la Asociación Información para convivir con el VIH/SIDA, el peruano Fernando Chujutalli, aseguró a RFI que la prevención y el cuidado no están adaptados a su cultura. “Nosotros tenemos autoridades sanitarias dentro de nuestras comunidades, como son las parteras, los curanderos los yerberos. Con ellos se debe hacer un trabajo de sensibilización sobre el VIH. Es necesario tener acceso a tratamientos como los retrovirales, y asociarlos con la medicina tradicional. Esto no va a hacer frente al VIH, pero las plantas medicinales pueden ser un buen complemento, para elevar las defensas”, dijo Chujutalli.El líder indígena peruano también se refirió a los agentes comunitarios en salud, que según él son clave, porque conocen los territorios y hablan las lenguas nativas. “Con ellos también hay que hacer un trabajo de sensibilización”, agregó.Por su parte, las organizaciones internacionales están poco a poco reconociendo estas necesidades específicas.“Gracias a la relación con Onusida regional en América Latina, pudimos ser parte este año del informe global, por primera vez. Esto es histórico; a 40 años de la aparición del VIH, estamos identificando los desafíos que tenemos”, concluyó.
Este domingo se celebra el día mundial de la lucha contra el sida, enfermedad que afecta en particular a las comunidades indígenas en América Latina. En octubre pasado tuvo lugar en Perú la última conferencia mundial prevención del VIH, una cita en la que líderes indígenas hicieron un llamado a la comunidad internacional para que atienda las necesidades específicas de estas poblaciones, que sufren mayores tasas de infección. América Latina es una de las tres regiones del mundo donde el VIH sigue en aumento aún en 2024. Este año sus líderes indígenas han pedido a la Sociedad Internacional de sida tener una representación permanente en la asociación mundial.Las comunidades indígenas son una de las poblaciones más afectadas por el VIH. Según Onusida, en regiones del norte peruano algunas poblaciones amazónicas tienen una prevalencia de VIH cuatro veces mayor al promedio nacional. El activista indígena y presidente de la Asociación Información para convivir con el VIH/SIDA, el peruano Fernando Chujutalli, aseguró a RFI que la prevención y el cuidado no están adaptados a su cultura. “Nosotros tenemos autoridades sanitarias dentro de nuestras comunidades, como son las parteras, los curanderos los yerberos. Con ellos se debe hacer un trabajo de sensibilización sobre el VIH. Es necesario tener acceso a tratamientos como los retrovirales, y asociarlos con la medicina tradicional. Esto no va a hacer frente al VIH, pero las plantas medicinales pueden ser un buen complemento, para elevar las defensas”, dijo Chujutalli.El líder indígena peruano también se refirió a los agentes comunitarios en salud, que según él son clave, porque conocen los territorios y hablan las lenguas nativas. “Con ellos también hay que hacer un trabajo de sensibilización”, agregó.Por su parte, las organizaciones internacionales están poco a poco reconociendo estas necesidades específicas.“Gracias a la relación con Onusida regional en América Latina, pudimos ser parte este año del informe global, por primera vez. Esto es histórico; a 40 años de la aparición del VIH, estamos identificando los desafíos que tenemos”, concluyó.
Avec Dre Fatima Kakkar, pédiatre-infectiologue, et Marie-Élaine Métras, pharmacienne, nous allons: Rappeler les notions de base sur le VIH et souligner des enjeux sociaux importants Discuter des différents schémas thérapeutiques d'antirétroviraux pour prévenir la transmission mère-enfant du VIH Distinguer les recommandations sur l'allaitement chez les mères vivant avec le VIH et les traitements préventifs recommandés chez le nourrisson Références:Panel on Treatment of HIV During Pregnancy and Prevention of Perinatal Transmission. Recommendations for the Use of Antiretroviral Drugs During Pregnancy and Interventions to Reduce Perinatal HIV Transmission in the United States: Management of Infants Born to People With HIV Infection. Department of Health and Human Services. Janvier 2023. Panel on Antiretroviral Therapy and Medical Management of Children Living with HIV. Guidelines for the Use of Antiretroviral Agents in Pediatric HIV Infection. Department of Health and Human Services. Janvier 2024. Khan S, Tsang KK, Brophy J, Kakkar F, Kennedy VL, Boucoiran I, Yudin MH, Money D, Read S, Bitnun A; Canadian Pediatric & Perinatal HIV/AIDS Research Group, the Infectious Disease Committee of the Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada, the Canadian HIV and Viral Hepatitis Pharmacists Network, and the Association of Medical Microbiology and Infectious Disease Canada. Canadian Pediatric & Perinatal HIV/AIDS Research Group consensus recommendations for infant feeding in the HIV context. J Assoc Med Microbiol Infect Dis Can. 2023 Mar 1;8(1):7-17. Gouvernement du Québec. La thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH. Décembre 2022. Sections 9.4.1, 9.5 et 9.6.Nesheim SR, FitzHarris LF, Mahle Gray K, Lampe MA. Epidemiology of Perinatal HIV Transmission in the United States in the Era of Its Elimination. Pediatr Infect Dis J. 2019 Jun;38(6):611-616. Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). La voie pour mettre fin au sida : Rapport mondial actualisé sur le sida. 2023.Programme de lait. CHU Sainte-Justine. 2022.-------------------------------------------Captation et montage: Philippe Lacroix, spécialiste en audiovisuel Musique: Samuel Ross Logo: Équipe des communications et du graphisme du CHU Sainte-Justine Montage pour les réseaux sociaux: Pierre-Antoine Bernard Idée originale, réalisation et animation: Émilie Roy-St-Pierre Collègues, ami(e)s et famille, merci pour votre précieux soutien. En collaboration avec le CHU Sainte-Justine, membre du Réseau mère-enfant de la francophonie. © mgparkilo 2024 Merci pour l'écoute! Allez mettre une réaction sur vos épisodes préférés, partagez la bonne nouvelle sur Facebook/Instagram et abonnez-vous pour ne rien manquer
Se activa Alerta Amber para localizar a un bebé de 1 mes de edad que desapareció en Xochimilco Guardia Nacional encuentra 20 paquetes de posible cocaína en sargazoONUSIDA, informa que América Latina cuenta con 2.3 millones de personas con VIHMás información en nuestro Podcast
Coincidiendo con la 25 Conferencia Internacional Sobre Sida, Onusida ha presentado un informe que considera factible terminar con la pandemia de sida en esta década. Nos acercamos a esta realidad de la mano de expertos....
México autoriza nuevo medicamento para tratamiento de VIH. Para hablar de ello nos acompañó el Dr. Jesús Felipe González, Presidente de la Sociedad Mexicana de Salud Pública. Ex Director General de Epidemiología y del Centro Nacional de Control de Enfermedades de México. Un nuevo medicamento para el tratamiento del VIH, fue autorizado por la Comisión Federal para la protección contra riesgos sanitarios. Las infecciones de VIH se multiplican entre las mexicanas, pero siguen sin acceso a diagnóstico y prevención. En el mundo hay más mujeres con VIH que hombres, como recoge el último informe de ONUSIDA. América Latina es una de las regiones que en la últimas décadas ha experimentado un aumento.
La ONU en materia de sida (ONUSIDA) ha establecido como objetivo para acabar con la infección por el VIH como problema de salud pública que, en el año 2030, el 95% de las personas con infección por el VIH estuvieran diagnosticadas, de ellas el 95% estuvieran con tratamiento antirretroviral y de estas el 95% tuviera la carga viral suprimida. En España estamos cerca de conseguir esos objetivos. Como afirma en Fórmula Salud el doctor David Rial, especialista en Medicina Interna y miembro de la Unidad de Infección por VIH en el hospital universitario 12 de Octubre de Madrid, “el cambio en los tratamientos frente al VIH ha sido espectacular. Ahora con una sola pastilla al día se puede controlar la infección y que los afectados hagan una vida normal. Otra opción novedosa es la inyección cada dos meses que facilita el cumplimiento y que se aplica a los pacientes con el virus indetectable”. La parte más negativa de la infección por VIH no tiene que ver con la clínica sino con el estigma social que se mantiene después de 40 años de convivencia con la infección. “Ese es el único fracaso que nosotros observamos en las consultas, apunta el doctor Rial, porque los pacientes nos piden que no revelemos su situación ni a familia ni a amigos”.
Cerca de 2.5 millones de personas que viven con VIH en América Latina y el Caribe, según Estimaciones Epidemiológicas de ONUSIDA de 2022. El estigma y la discriminación siguen siendo generalizados, principalmente en Haití, con 71.7% de los casos. El estigma interiorizado puede producir sentimientos de vergüenza, temor a que se sepa, aislamiento y desesperación. ¿Como apoyar a las personas que viven con VIH y cuáles son los sectores todavía necesarios para abocar? Ester Pinheiro habla sobre prevención de discriminación y promoción de ejercicios de derechos para las personas viviendo con VIH y SIDA con: Javier Hourcade Belloqc, coordinador de la plataforma VIH 2025 en América Latina y el Caribe junto con ONU SIDA Mariana Iacono, Feminista Trabajadora Social- internacionalista y Activista con #VIH Cecilia Valeriano, Directora de Programas de Fundación Huésped.
Au menu de l'actualité : Le Conseil de sécurité examine l'impact de l'intelligence artificielle sur la paix et la sécurité L'ONUSIDA indique une voie « bien précise » pour mettre fin au sida d'ici 2030Droit au développement : le clivage entre pays riches et pays pauvres reste important mais il est plus nuancé Présentation : Cristina Silveiro
La Corte Internacional de Justicia ha dado la razón a Colombia frente a Nicaragua en una disputa por sus fronteras marítimas. Uruguay se está quedando sin agua potable, advierten expertos de la ONU. El último informe de ONUSIDA muestra que acabar con esta enfermedad es posible.
La OMS desaconseja tomar porque no ayudan a controlar el peso a largo plazo y pueden tener efectos indeseados en la salud. ONUSIDA alerta de una “campaña internacional renovada, bien financiada y organizada” en contra de las personas LGBTI. La ONU conmemora por primera vez la Nakba, la catástrofe palestina. La estadounidense Amy Pope será la primera mujer en dirigir la OIM. Música: Ketsa-Within the Earth (Free Music Archive)
La agencia de la ONU denuncia una nueva campaña internacional, bien financiada y organizada contra las personas LGBTQI+. La criminalización y discriminación de estas personas, junto con la violencia generalizada contra ellas, impiden su acceso a servicios de salud vitales.
António Guterres expresa su solidaridad con las víctimas del terremoto de Turquía y Siria y alerta que, pese a conocerse las soluciones a los problemas del mundo, falta “visión estratégica y compromiso”. Expertos denuncian la asimilación forzosa de un millón de niños tibetanos. ONUSIDA evalúa el VIH/Sida en América Latina.
-Localizan a mujer palestina y a sus 4 hijos reportados como desaparecidos-Carriles de la México Cuernavaca serán cerrados por bacheo-Alerta en Ohio por descarrilamiento de tren
En 2019 J&J junto con otras entidades iniciaron un estudio para crear una vacuna preventiva al VIH. Dicha vacuna llegó a Fase 3 y estuvo en los medios el pasado 23 de Enero debido a que no demostró la eficacia esperada creando inmunidad al virus. En este episodio hablamos sobre la desinformación que existió sobre esta vacuna, en qué consistió el Estudio Mosaico, qué fue lo que sucedió con la eficacia de la vacuna y los aprendizajes que debemos tomar de este estudio a nivel científico y social. Este episodio fue elaborado consultando las siguientes fuentes: Sitio oficial del Estudio Mosaico: https://www.mosaicostudy.com/es/ Todo lo que necesitás saber del Estudio Mosaico, Fundación Huesped: https://www.huesped.org.ar/que-hacemos/ciencia/investigaciones-biomedicas/vacuna-vih/ Janssen and Global Partners to discontinue phase 3 of Mosaico HIV Vaccine Clinical trial, J&J: https://www.jnj.com/janssen-and-global-partners-to-discontinue-phase-3-mosaico-hiv-vaccine-clinical-trial Comunicado de ONUSIDA sobre el fin del Estudio MOSAICO: https://www.unaids.org/es/resources/presscentre/pressreleaseandstatementarchive/2023/january/20230123_trial Notas en diarios en español: El País: https://elpais.com/sociedad/2023-01-18/johnson-johnson-anuncia-el-fracaso-del-ultimo-ensayo-que-ha-intentado-desarrollar-una-vacuna-frente-al-vih.html La República: https://data.larepublica.pe/vacuna-contra-el-vih-ensayo-clinico-mosaico-se-cancela-pero-mantiene-la-esperanza-de-cura-contra-la-its-sida Si estás en Costa Rica y necesitás info sobre VIH al igual que conocer organizaciones que trabajen el tema, ingresá a www.juntxs.org Seguinos en redes: IG: @positivxscr Twitter: @positivx Visitá www.positivxs.org para estar al tanto de nuestras actividades.
En el primer episodio del 2023 hablamos sobre la Criminalización y la Descriminalización del VIH en el mundo. ¿Qué es? ¿Por qué abogar la descriminalización? ¿En qué escenarios denunciar y en cuáles no? Todos los detalles en este episodio. Para este episodio se utilizó: La Penalización del VIH (2021, ONUSIDA): https://www.unaids.org/sites/default/files/media_asset/01-hiv-human-rights-factsheet-criminalization_es.pdf HIV Non-Disclosure (2023, ASTTeQ): https://www.instagram.com/p/CnFk84YPH4P/?hl=es Si estás en Costa Rica y necesitás info sobre VIH al igual que conocer organizaciones que trabajen el tema, ingresá a www.juntxs.org Seguinos en redes: IG: @positivxscr Twitter: @positivx Visitá www.positivxs.org para estar al tanto de nuestras actividades.
Aujourd'hui, cette édition spéciale est consacrée à la lutte contre le sida.Chaque année le 1er décembre, la Journée de lutte contre le sida est célébrée. L'occasion de faire le point sur les progrès réalisés mais aussi sur les inégalités qui persistent.Pour Fodé Simaga, Directeur du département science, systèmes et services pour tous à l'ONUISDA, il reste encore beaucoup a faire pour mettre fin au sida.Il était au micro d'Alpha Diallo, ONU Info Genève
La ONU busca 51.5500 millones de dólares para ayudar a los 230 millones de personas más vulnerables del mundo y 1720 millones para cubrir las necesidades de las personas refugiadas y migrantes de Venezuela. ONUSIDA insta a todas las personas a abordar las desigualdades que frenan los progresos para acabar con la enfermedad. Aumenta el número de ataques contra escuelas y personal educativo.
La migración de venezolanos a Perú también ha sido motivada por una búsqueda de mejores tratamientos de salud, en especial contra el virus del VIH. En Venezuela, las pruebas para diagnosticar esta enfermedad o son muy costosas o simplemente se carecen de ellas. Incluso el acceso a tratamientos antirretrovirales es descontinuado. Una situación que según la OMS conduce a la aparición de nuevas cepas farmacorresistentes. “Apoyo bastante fuerte” Según Marlon Castillo, coordinador del colectivo GIVAR que reúne a varias ONG de ayuda a pacientes con VIH, es en Perú que este grupo sensible ha encontrado un sistema de salud más abierto, que a pesar de tener algunas carencias, les ofrece la posibilidad de no interrumpir los tratamientos. “Lo bueno es que sí hay acceso al tratamiento, hay cerca de 4.000 personas en tratamiento: yo creo que en Perú ha habido una red de apoyo bastante fuerte”, explica, añadiendo que “la ley no precisaba que [una persona] fuera de una nacionalidad de manera explícita peruana” para darle acceso a medicamentos. Retroceso En el caso estrictamente peruano, Castillo señala que debido a la emergencia sanitaria del COVID hubo un retroceso en la detección de la enfermedad: “No había una forma de que las personas con VIH pudieran atenderse. Ha habido un retroceso durante estos últimos años. ONUSIDA calcula que son entre 91.000 y 98.000 personas con VIH. De ellas, 74.000 están en tratamiento antirretroviral”. Estas personas están “concentradas en grupos poblacionales de gays, mujeres trans, hombres que tienen sexo con hombres y trabajadores y trabajadoras sexuales y el 99% en este año contrajo el VIH por la vía sexual”, agrega. La OMS y la OPS recomiendan la autoprueba como estrategia clave para alcanzar el objetivo de las Naciones Unidas de que el 90% de las personas con VIH conozcan su estado.
La Journée de lutte contre le sida est célébrée chaque année le 1er décembre.À l'occasion de cette journée, l'ONU invite chacune et chacun d'entre nous à lutter contre les inégalités qui freinent les progrès pour mettre fin au sida.Au micro d'Alpha Diallo à Genève, Fodé Simaga, Directeur du département science, systèmes et services pour tous à l'ONUSIDA, fait le point sur l'état de la maladie dans le monde. Il estime que les progrès enregistrés ne sont pas suffisants.
Ce 1er décembre marque, comme chaque année, la journée mondiale de lutte contre le sida, épidémie qui tue encore 650 000 personnes par an, et contre laquelle la lutte piétine. Plusieurs régions du monde enregistrent une hausse du nombre de contaminations, mettant à mal des décennies d'efforts. C'est dans ce contexte que l'Onusida publie un nouveau rapport mettant en cause le poids des inégalités qui entravent les politiques sanitaires. Invitée exceptionnelle ce matin sur RFI, Winnie Byanyima, la directrice exécutive de l'agence onusienne, répond aux questions de Simon Rozé. À l'occasion de la journée mondiale contre le sida, l'Onusida publie son nouveau rapport : «Inégalités dangereuses». Pour Winnie Byanyima, sa directrice exécutive, des changements structurels sont à mettre en œuvre pour espérer tenir l'objectif de mettre fin à la pandémie en 2030. RFI : Votre nouveau rapport fait suite à celui publié l'été dernier : « En danger ». Cette fois encore, on lit que la lutte contre l'épidémie n'est pas sur la bonne voie. Qu'est-ce qui ne fonctionne pas ? Winnie Byanyima : Beaucoup de facteurs expliquent cela. Nous n'étions tout d'abord pas bien engagés. Le Covid-19 et ses conséquences économiques ont ensuite compromis de nombreuses choses. Puis la guerre en Ukraine, l'augmentation des prix du carburant, de la nourriture, du coût de la vie, ont laissé de nombreux pays en difficulté. En particulier, ceux les plus touchés par l'épidémie, ceux à bas revenus et à revenus intermédiaires en Afrique. Ils doivent faire face à des remboursements toujours plus élevés de leur dette au détriment des dépenses de santé, d'éducation et de protection sociale. Beaucoup de pays dépendants de l'aide au développement ont également connu des réductions de cette aide. Cela s'explique par la dévaluation de leur monnaie par rapport au dollar, mais également car les montants eux-mêmes des aides ont diminué. Tout cela nous mène donc dans la mauvaise direction. Permettez-moi cependant de dire que nous n'allions pas assez vite avant même ces crises. Nous devons donc simplement nous reprendre et mettre les bouchées doubles. Il faut regarder nos données, les analyser et comprendre que ce sont les inégalités le moteur de l'épidémie. En quoi ces inégalités, et particulièrement celles de genre, nous empêchent-elles de mettre fin au sida ? Les régions Afrique de l'Est et australe, par exemple, constituent l'épicentre de l'épidémie de VIH. 54% de toutes les personnes contaminées y vivent. Lorsque l'on regarde en détail, on voit que chez les 15-24 ans, 3 nouvelles infections sur 4 concernent les filles et les jeunes femmes. C'est une crise d'inégalité de genre. Les femmes et les filles ont plus de risque d'infection. C'est lié aux violences sexuelles, le plus souvent des rapports non désirés. Les causes sont notamment le manque d'accès sûr à l'école, la dépendance économique de ces femmes et ces filles, les rapports sexuels tarifés... Vous voyez : les inégalités sont le moteur de ce risque plus élevé. Je suis en Tanzanie en ce moment. Seuls 30% des jeunes garçons et des jeunes filles vont au lycée. Cela veut dire beaucoup pour une fille. Cette fille qui ne va pas à l'école, qui a 12, 13, 14, 15 ans ; elle risque des rapports sexuels non consentis. Elle sera sur le marché quelque part, elle rapportera de l'eau, elle ramassera du bois de chauffage, elle fera des corvées pour subvenir aux besoins de sa famille. Elle sera probablement seule dans un endroit où elle ne sera pas en sécurité et où un homme, un garçon, la forcera à avoir des rapports sexuels. Elle n'aura aucun contrôle. Nous devons mettre fin à cela. Si nous pouvons garder les filles à l'école, le risque est réduit de moitié. Si on leur donne une éducation à la sexualité, le risque diminue encore plus. Je suis donc heureuse que déjà douze pays aient signé le nouveau programme que nous avons appelé Éducation plus. C'est un plan ambitieux pour développer l'enseignement secondaire et pour y mettre en place des programmes d'éducation sexuelle. Il s'agit notamment de lutter contre la masculinité toxique chez les garçons, les sensibiliser à être des gens respectueux, qui ne forcent pas une fille à faire l'amour. C'est ce genre d'action qui fera reculer les inégalités dont souffrent les filles. Il y a d'autres inégalités, notamment celles qui visent les hommes qui ont des rapports homosexuels. On voit dans les régions d'Afrique de l'Est et australe, en Afrique centrale ou de l'Ouest, que ces dix dernières années ont permis de réduire les nouvelles infections et les décès du sida. Mais pas pour les homosexuels et les autres populations clés. Il n'y a presque pas eu de réduction des nouvelles infections. L'explication est qu'ils souffrent d'inégalités dont on ne s'occupe pas. Ils sont criminalisés, et cela renie leur droit à la santé. Ils se cachent donc de la loi. Ils affrontent le regard de la société, qui ne les laisse pas assumer leur sexualité et obtenir ce dont ils ont besoin. Nous devons donc nous battre contre la stigmatisation et ces lois punitives. Ce ne sera pas facile, mais on avance. Je me réjouis de voir que ces dernières années, certaines de ces lois ont été abandonnées en Afrique : au Gabon, au Botswana, en Angola… Dans les Caraïbes également : Antigue-et-Barbude, Saint-Kitts-et-Nevis… Ces pays et d'autres encore ont décriminalisé l'homosexualité. Il y a une opportunité à saisir et nous continuerons de plaider contre ces lois criminelles. Elles n'ont pas de place dans le monde d'aujourd'hui. Elles renient aux personnes leur droit à la santé. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les enfants aussi souffrent des inégalités. Aujourd'hui, 75% des adultes séropositifs suivent un traitement. Ils peuvent vivre comme s'ils avaient une maladie chronique, pour laquelle on prend un médicament et cela suffit. Mais pour les enfants, seulement 52% sont sous traitement. C'est honteux que ceux sans défense, qui ne peuvent porter leur voix, ne puissent bénéficier de ce qu'offre la science. Nous devons donc résoudre cela et fournir un traitement à chaque enfant atteint du VIH. Il faut également arrêter la transmission mère-enfant, car là aussi, nous savons traiter. Il y a des inégalités dans l'accès à la science. Si vous êtes en France, au Royaume-Uni, aux États-Unis, vous pouvez recevoir des injections longue durée. Une simple piqûre dans votre bras vous protégera pendant deux mois. Vous n'avez pas à prendre de médicament et cela vous permet d'avoir des rapports sexuels. Rien ne vous arrivera, vous n'aurez pas le VIH. Tout cela n'est pas disponible dans les pays du Sud, où on en a pourtant le plus besoin. Ces pays en Afrique, où les gens doivent se cacher : une petite piqûre vaudra mieux que de sortir acheter des préservatifs. L'accès aux meilleurs outils de la science est donc inégal. Nous aurons bientôt à disposition des anti-rétroviraux à longue action. Cela pourrait tout changer pour les filles africaines. Vous voyez, aujourd'hui, elles doivent se cacher de leurs parents, de leurs enseignants, de l'Église. Elles font l'amour, et peuvent attraper le VIH. Mais imaginez, si elles pouvaient aller quelque part et avoir cette piqûre. Ce serait efficace pendant six mois. Cela changerait leur vie ! Elles n'auraient plus à se cacher. Tous ces outils ne devraient pas être disponibles uniquement dans les pays riches. Ils devraient être donnés là où le besoin est le plus grand, auprès des personnes stigmatisées et qui en meurent. Pour progresser, il faut certes des programmes comme celui que vous citez, mais il faut également des financements. En septembre dernier, le Fonds mondial contre le VIH, le paludisme et la tuberculose tenait sa conférence de reconstitution. Une somme record a certes été récoltée, mais l'objectif fixé n'a pas été atteint. Comment l'interprétez-vous ? Nous espérions obtenir 18 milliards de dollars, nous en avons eu 16. Ce n'est donc pas une reconstitution complète. Je note que la France est d'ailleurs l'un des principaux contributeurs. C'est impressionnant et c'est un exemple pour d'autres pays. Mais vous savez, chez moi on dit que tout rayon de soleil est bon à prendre. Ce que je veux dire, c'est que nous sommes tout de même parvenus à récolter 16 milliards en période de récession mondiale. De nombreux pays voient les prix du carburant augmenter, cela réduit leurs budgets et malgré ça, beaucoup d'entre eux ont augmenté leur contribution au Fonds de 30%. C'est donc compliqué de ne pas s'en satisfaire. Il faudra alors faire avec et faire des priorités parmi les priorités. Les pays d'Afrique de l'Est, australe, de l'Ouest et centrale ont beaucoup de besoins, notamment car ils sont très endettés. Il y a cette pression sur leurs budgets, et ils vont avoir besoin de toute notre aide pour maintenir en place leurs programmes contre le VIH. C'est pour cette raison qu'avec la France, nous soutenons un certain nombre de pays d'Afrique francophone en difficulté, qui ont besoin d'aide pour continuer le combat. Nous visons un budget de 15 millions de dollars. C'est la troisième région avec le plus de personnes contaminées par le VIH dans le monde. Il faut aussi insister sur le fait qu'il doit y avoir des solutions à la question de la dette. Ce n'est pas juste qu'en pleine crise sanitaire, des pays pauvres doivent rembourser des montants quatre fois supérieurs à ce qu'ils investissent pour la santé de leurs habitants. Dans ce contexte, considérez-vous que la lutte contre le VIH constitue toujours une priorité politique ? Le sida est toujours là. Notre rapport montre même que dans quatre régions du monde, les nouvelles infections ne diminuent pas mais augmentent. C'est dangereux. Jusqu'à maintenant, les nouvelles infections diminuaient en Afrique subsaharienne, en Afrique de l'Est. Elles diminuaient en Asie et dans le Pacifique. Maintenant, on observe des hausses en Amérique latine, en Europe de l'Est et même en Asie et dans le Pacifique. Nous n'allons pas dans le bon sens. Le sida est toujours là : 650 000 personnes en sont mortes l'an dernier. Une toutes les minutes. Nous devons rappeler que ça continue et que cela va empirer si nous relâchons nos efforts. Nous devons poursuivre le combat. Comment faire ? Nous devons tout d'abord nous appuyer sur les données. Elles nous diront où nous devons accentuer nos efforts. Nous devons dépenser l'argent là où il y a le plus grand risque, le plus lourd fardeau. On ne peut pas jeter l'argent partout. Ensuite, il faut identifier les causes : pourquoi des personnes qui commencent leur traitement abandonnent ensuite ? On observe ce phénomène dans plein de pays. Au Mozambique par exemple, c'est le système de santé qui est en cause. Il ne permet pas aux patients de bénéficier du suivi dont ils ont besoin près de chez eux. On voit aussi qu'il y a de nombreux obstacles structurels. La stigmatisation en est un. Elle empêche les gens d'accéder au soin. Nous devons nous en occuper, notamment en réduisant les inégalités qui éloignent les patients des services de soin. C'est une part importante de notre travail. Mais il faut aussi repenser ces services et les mettre dans les mains de ceux qui sont confrontés à la maladie. C'est le meilleur moyen de remettre les choses en ordre, il faut une solution centrée sur les communautés. Il en faut plus. Il faut que les homosexuels, les travailleurs du sexe, les jeunes, aient la main pour retrouver le chemin du soin. Il faut étudier ces services pour comprendre comment les malades les utilisent et régler les problèmes qui les en éloignent. Ce sont ces innovations qui rendront nos actions plus efficaces, plus ciblées. Il faut enfin travailler sur les droits humains, et sur la décriminalisation. Il faut combattre les normes sociales qui rendent le risque acceptable comme les violences sexuelles. Il faut lutter contre le machisme, et la façon dont les garçons et les hommes considèrent le sexe. Ces barrières doivent être levées. Mais cela fait des années qu'on entend parler des solutions basées sur une plus grande implication des communautés. Pourquoi ne sont-elles toujours pas plus répandues ? C'est en fait là que se trouve notre échec. Nous disons mais ne faisons pas. Pays après pays, on le voit : une réticence des gouvernements, un manque de confiance envers ces communautés. C'est à nous de plaider fortement et de présenter les preuves que cette méthode fonctionne. Je reviens de Jamaïque, et j'ai justement vu ça en marche. C'était très fort. Le soin géré par la communauté implique les gens, va vers eux. Celui géré par le gouvernement attend qu'on vienne à lui. Vous voyez la différence ? L'un est motivé par son objectif : atteindre les populations clés. L'autre est plus hospitalier, il reçoit et traite, bien, ceux qui viennent à lui. Ce qui est important, c'est d'avoir un système de santé qui va chercher au sein des communautés, et laisser celles-ci à la manœuvre. Sans ça, non seulement on échouera à vaincre le Sida, mais également d'autres pandémies. C'est cette approche qui fait le travail de prévention. C'est elle qui constitue également la réponse. On ne l'a pas fait et c'est pour cette raison que nous sommes lents. Ou plutôt, on peut le voir ainsi : les pays qui ont mis en place cette approche progressent plus vite que les autres. C'est évident. L'objectif mondial est la fin du sida en 2030. Pensez-vous qu'il soit atteint ? Je suis optimiste. J'aimerais dire que c'est possible, mais il faudra faire différemment. Avec le niveau actuel de financement, avec le manque de progrès sur les droits humains, nous échouerons. Mais si nous décidons de financer, si nous créons un environnement émancipateur, si nous changeons les lois qui empêchent les filles d'avoir les mêmes chances, nous y arriverons. Il n'y a aucune raison de ne pas vaincre le sida en 2030. Nous avons juste besoin de volonté politique.
La migración de venezolanos a Perú también ha sido motivada por una búsqueda de mejores tratamientos de salud, en especial contra el virus del VIH. En Venezuela, las pruebas para diagnosticar esta enfermedad o son muy costosas o simplemente se carecen de ellas. Incluso el acceso a tratamientos antirretrovirales es descontinuado. Una situación que según la OMS conduce a la aparición de nuevas cepas farmacorresistentes. “Apoyo bastante fuerte” Según Marlon Castillo, coordinador del colectivo GIVAR que reúne a varias ONG de ayuda a pacientes con VIH, es en Perú que este grupo sensible ha encontrado un sistema de salud más abierto, que a pesar de tener algunas carencias, les ofrece la posibilidad de no interrumpir los tratamientos. “Lo bueno es que sí hay acceso al tratamiento, hay cerca de 4.000 personas en tratamiento: yo creo que en Perú ha habido una red de apoyo bastante fuerte”, explica, añadiendo que “la ley no precisaba que [una persona] fuera de una nacionalidad de manera explícita peruana” para darle acceso a medicamentos. Retroceso En el caso estrictamente peruano, Castillo señala que debido a la emergencia sanitaria del COVID hubo un retroceso en la detección de la enfermedad: “No había una forma de que las personas con VIH pudieran atenderse. Ha habido un retroceso durante estos últimos años. ONUSIDA calcula que son entre 91.000 y 98.000 personas con VIH. De ellas, 74.000 están en tratamiento antirretroviral”. Estas personas están “concentradas en grupos poblacionales de gays, mujeres trans, hombres que tienen sexo con hombres y trabajadores y trabajadoras sexuales y el 99% en este año contrajo el VIH por la vía sexual”, agrega. La OMS y la OPS recomiendan la autoprueba como estrategia clave para alcanzar el objetivo de las Naciones Unidas de que el 90% de las personas con VIH conozcan su estado.
“Un punto clave al pensar en cómo reducir la mortalidad relacionada con el sida es reconocer que, si bien la ampliación de la terapia antirretroviral (TAR) es absolutamente necesaria para disminuir las muertes, la TAR por sí sola no es suficiente para alcanzar los objetivos de reducción de la mortalidad”, Dra. Laura Broyles del Global Health Impact Group.Sin una acción acelerada para evitar que las personas alcancen una enfermedad avanzada por el VIH, la pandemia del SIDA seguirá cobrándose muchas vidas y no se logrará el objetivo de ONUSIDA de alcanzar menos de 250.000 muertes por año para el 2025.Las personas con VIH que tienen un recuento de CD4 por debajo de 200 células, la OMS las define como personas con ‘VIH avanzado' (que es el término ahora se usa en lugar de SIDA). La principal causa de mortalidad entre las personas con enfermedad avanzada por VIH son dos infecciones oportunistas tratables: la tuberculosis (TB) y la meningitis por criptococo. Para reducir la mortalidad , la Organización Mundial de la Salud (OMS) publicó pautas en 2017 , recomendando un paquete de intervenciones que incluyen detección y tratamiento de infecciones oportunistas para aquellos identificados como personas con enfermedad avanzada.La adopción del tratamiento universal y el control de la carga viral ha resultado en un menor uso de las pruebas de CD4 y es posible que los médicos no identifiquen a las personas que se encuentran en etapas avanzadas de la enfermedad del VIH.
Interview de Michel Kazatchkine, médecin et professeur universitaire.
La OMS no recomienda vacunaciones masivas contra la viruela del mono. ACNUR alerta del considerable aumento en el número de personas que intentan llegar a Estados Unidos por mar, desde el Caribe.ONUSIDA celebra que el gobierno de Chile reconozca su responsabilidad en la esterilización forzosa de mujeres con VIH.
Hoy hablaremos acerca de la tuberculosis y el VIH, a propósito del día mundial de la lucha contra la TBC, conmemorado el pasado 24 de marzo. Onusida insta a la urgencia en el diagnóstico y tratamiento de la TBC ya que las muertes por esta enfermedad entre las personas que viven con el VIH, aumentan por primera vez después de años de disminución progresiva.En este Podcast, se resalta que la atención mundial sobre el VIH y la TBC cambió a medida que el mundo se concentraba en abordar la nueva pandemia. desviando los recursos para enfocarse en atender los daños del Covid-19. Entre 2019 y 2020 se reportó un aumento de las muertes por TB en la PVVIH de 209 mil a 214 mil cuando se venía observando un descenso progresivo desde el año 2006 al 2019. Tenemos que resaltar que laS PVVIH tiene 18 veces más probabilidades de desarrollar TBC. Aunque exista un tratamiento para la TBC que en buena parte de ellos tienen éxito con este tratamiento, la tasa de éxito es de un 77%, por lo tanto hay que enfocarse en el diagnóstico en los tratamientos preventivos, situación que, evidentemente se descuidó en los últimos 2 años. Este aumento es alarmante y sin duda tiene relación con los daños colaterales producidos por la pandemia de la covid 19.
Hace 40 años se conoció el primer caso de sida en el mundo. En la actualidad hay más de 38 millones de personas infectadas, según la Kaiser Family Foundation. Una de ellas es el escritor Sergio Núñez, quien hace más de tres décadas supo que era VIH positivo. El periodista argentino habla sobre cómo se enfrentó al diagnóstico y su experiencia con la enfermedad. Además, la directora regional de Onusida para América Latina y el Caribe explica cuáles son los desafíos para conseguir una vacuna contra el VIH. Para conocer sobre cómo CNN protege la privacidad de su audiencia, visite CNN.com/privacidad
“A pesar de los éxitos, el sida sigue siendo una crisis global urgente. El mundo no alcanzó los objetivos de prevención y tratamiento de vía rápida de 2020 a los que se había comprometido la estrategia de vía rápida del Programa Conjunto de las Naciones Unidas sobre el VIH/Sida (ONUSIDA) de 2015 y la Declaración Política de las Naciones Unidas sobre el Fin del sida de 2016. La mayoría de países y comunidades no están involucrados para acabar con el sida antes de 2030. Esto era cierto antes de la pandemia de COVID-19, pero el impacto de esa pandemia está creando un progreso continuo del VIH, incluyendo la necesidad de una acción urgente” Estrategia Mundial Contra el Sida 2021-2026 Ante este panorama, uno de los objetivos primordiales es la prevención y el diagnóstico oportuno, por ello ONUSIDA tiene entre sus objetivos garantizar el acceso a opciones de prevención combinada, incluyendo preservativos y la Profilaxis Pre Exposición PrEP.
En Mauritanie, 23,4% des hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes (HSH) vivent avec le VIH, alors que le taux de prévalence n'est que de 0,3% dans la population générale. Pénalisés et stigmatisés, ils n'osent pas se rendre dans les structures de soin. Reportage auprès de cette communauté discriminée. De notre envoyée spéciale à Nouakchott, Dans un petit deux-pièces d'un quartier populaire de Nouakchott, dix amis, tous artistes et homosexuels, cohabitent après avoir été rejetés de chez eux. Charihan, 25 ans, a déjà été victime d'insultes et de violences. « J'ai tout le temps peur, même pour la plus simple des maladies comme un bouton ou une infection, je ne peux pas aller à l'hôpital et je vais le cacher, ce qui peut même amener des complications jusqu'au décès ! C'est pourquoi nous les homosexuels, nous avons souvent des IST, des infections sexuellement transmissibles et on le cache jusqu'à ce que ça se développe et que ça devienne une infection parfois incurable », explique-t-il. Le code pénal punit de la peine de mort tout « acte contre nature avec un individu de son sexe ». Même si la loi n'est pas appliquée, ce groupe de jeunes homosexuels préfère consulter et se faire dépister du VIH au sein d'une association communautaire, sans jugement ou discrimination. ► A écouter aussi : Mauritanie, une lutte ciblée contre le VIH Khatré travaille chez SOS pairs éducateurs. Lui aussi homosexuel, il est fier d'aider sa communauté. « Il n'y a aucun complexe dès que l'on est ensemble. Aucune personne extérieure ne peut nous juger. On apporte un soutien psychologique et médical. Que la personne soit homosexuelle, cela ne nous regarde pas. On se bat pour l'accès aux soins. On ne se bat pas pour nos libertés en Mauritanie, une République islamique », soutient-il. Khatré a aidé Ali, Sénégalais de 41 ans réfugié en Mauritanie, à découvrir sa séropositivité et le motive à bien prendre son traitement antirétroviral depuis 2015 malgré les difficultés. « Je change l'emballage du traitement. Je me protège, je cache beaucoup de choses. C'est très lourd de garder ce secret sur la conscience », confie-t-il. Malgré la criminalisation des homosexuels, Abdallahi Ould Sidi Ali, du secrétariat exécutif national de lutte contre le VIH-sida, assure que les organisations de la société civile peuvent intervenir sans entrave. « La Mauritanie tire son code pénal du droit musulman. Mais elle a signé des conventions universelles sur les droits humains, et il y a une scission des pouvoirs judiciaire, exécutif et politique. Cela permet d'agir auprès de ces populations pour améliorer la riposte contre le VIH-sida », affirme Abdallahi Ould Sidi Ali. Sans le respect des droits humains, il est impossible d'éliminer le VIH-sida d'ici 2030, rappelle Onusida.
ÉCONOMIE - Selon une étude de la People's Vaccine Alliance, les trois principaux groupes pharmaceutiques à l'origine du vaccin contre le Covid-19 engrangent plus de 65.000 dollars de profit par minute.Tout le monde ne subit pas la crise. Les entreprises Pfizer, BioNTech et Moderna engrangent un profit combiné de 65.000 dollars par minute grâce à leurs vaccins contre le Covid-19, selon une étude de la People's Vaccine Alliance, qui milite pour une meilleure répartition des vaccins à travers le monde. Ces groupes pharmaceutiques ont amassé cet argent en vendant l'immense majorité de leurs doses à des pays riches, aux dépens des nations moins développées qui restent très faiblement vaccinées, déplore l'association.D'après ces calculs, basés sur les résultats publiés par ces entreprises, le trio réalisera des bénéfices avant impôts de 34 milliards de dollars cette année, soit plus de 1000 dollars par seconde, 65.000 dollars par minute ou 93,5 millions de dollars par jour. Pfizer, BioNTech et Moderna se distinguent ainsi d'AstraZeneca et Johnson & Johnson qui vendent pour l'instant leurs vaccins à prix coûtant.Nouvel appel à la levée des brevets"Il est indécent que quelques entreprises empochent des millions de dollars de bénéfices chaque heure, alors que seulement 2% des personnes dans les pays à faible revenu ont été entièrement vaccinées contre le Covid-19", a déploré Maaza Seyoum, de la branche africaine de People's Vaccine Alliance et African Alliance.L'alliance déplore aussi qu'en dépit d'un financement public de plus de huit milliards de dollars, Pfizer, BioNTech et Moderna ont tous rejeté les appels à transférer la technologie des vaccins à des producteurs dans des pays à faible revenu par l'intermédiaire de l'OMS, "une mesure qui pourrait augmenter l'offre mondiale, faire baisser les prix et sauver des millions de vies".La People's Vaccine Alliance, qui compte parmi ses 80 membres Oxfam et Onusida, exhorte aussi les géants pharmaceutiques à lever immédiatement les brevets protégeant les vaccins anti-Covid, via une initiative de l'Organisation mondiale du commerce, autour de laquelle les tractations continuent.Idèr Nabili avec AFP
C'est la Journée Mondiale de lutte contre le Sida. Discussion avec Marie Engel, conseillère régionale pour l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique Centrale pour ONUSIDA.
Mettre fin aux inégalités. Mettre fin au sida. Mettre fin aux pandémies. Cette année, l'ONUSIDA met l'accent sur l'éradication urgente des inégalités qui alimentent l'épidémie de sida et d'autres pandémies dans le monde. Une éradication qui passe notamment par la découverte et l'administration des bons traitements.
République démocratique du Congo – Environnement sain et alimentation saine – Recul de l'éradication du sida chez les jeunes Au programme de ce bulletin : - violences dans l'est de la RDC : la MONUSCO coordonne son action avec les forces armées congolaises - la FAO met en garde contre les inégalités d'accès à une alimentation saine. - l'ONUSIDA alerte sur le recul de l'éradication du sida chez les jeunes.
Au menu : L'ONUSIDA prévient que les personnes séropositives sont confrontées au double danger du VIH et de la Covid-19 Le PAM rappelle que la sous-alimentation dans le monde ne s'explique pas par le manque de nourriture mais est due aux conflits et au manque de moyens de subsistance Un Casque bleu ivoirien déployé au sein de la mission de paix des Nations Unies au Mali témoigne de son expérience sur le terrain.
El consumo de alcohol está relacionado con unos 741.000 casos nuevos de cáncer registrados en el mundo en 2020. La OPS confirma que Venezuela ha pagado al completo la cantidad para recibir vacunas del COVID-19 de COVAX. Las personas con VIH son más vulnerables al coronavirus pero no tienen vacunas, denuncia ONUSIDA.
ONU Derechos Humanos rechaza el arresto de Cristiana Chamorro en Nicaragua. El tiempo se agota para acabar con el sida en 2030 y los progresos están siendo “demasiado lentos”, advierte un nuevo informe de ONUSIDA. La amenaza de una tercera ola de COVID-19 en África “es real y está aumentando”, mientras continúa la escasez de vacunas advierte la OMS. La ONU pide restaurar 1000 millones de hectáreas de tierras degradadas para frenar la pérdida de biodiversidad
A finales del mes de octubre de 2019, Proyecto Once Trece visitó el Estado Delta Amacuro para realizar jornadas de salud integral junto a organizaciones nacionales e internacionales como ONUSIDA, UNICEF, OPS y Sociedad Venezolana de Infectología. Se visitaron tres poblaciones del municipio Antonio Díaz: San Francisco de Guayo, Jobure de Guayo y Murako. Se realizaron pruebas de VIH de forma gratuita, confidencial y voluntaria a varios miembros de la comunidad Warao, entre los que se encontraron mujeres embarazadas, niños y adolescentes, arrojando una prevalencia cercana al 3%, un valor que se encuentra por debajo de un estudio anterior realizado en 2013. Sin embargo, continúa siendo un cifra elevada. En esa oportunidad se entrevistó a Isabel López, enfermera de profesión y hermana capuchina de la sagrada familia, que lleva viviendo con waraos más de 60 años. Ella nos contó su experiencia acerca de la situación del VIH en esta población y hemos querido rescatar sus impresiones en este post.
La OMS rechaza" las restricciones que ha impuesto este viernes la Unión europea a la exportación de vacunas del COVID-19. ONUSIDA está “profundamente preocupada” por la detención en Venezuela de cinco trabajadores de la ONG Azul Positivo y ha pedido su liberación. Una relatora especial de la ONU visitará Venezuela del 1 al 12 de febrero para evaluar el impacto de las sanciones unilaterales en el país.
Esta enfermedad sigue muy presente. Según los datos de ONUSIDA, en 2019 se contagiaron 1,7 millones de personas. Hubo, además, 690 mil muertes a …
Dans le monde, 38 millions de personnes vivent avec le VIH. Depuis 2015, 3,5 millions d'infections au VIH et 820 000 morts supplémentaires liés au sida sont imputables à des objectifs non atteints. Elles auraient été évitées si les objectifs 2020 avaient été réalisés. Ce sont les chiffres de l'ONUSIDA, qui a pour mission de coordonner des actions des agences des Nations Unies dans la lutte contre le virus. Aujourd'hui, c'est la journée mondiale de lutte contre le Sida, et les experts en sont certains : la pandémie de COVID-19 interrompt gravement les services de lutte contre le VIH. Entretien avec le Docteur Fodé Simaga, directeur par intérim du département « Fast-Track and Investment » de l'ONUSIDA.
durée : 00:11:15 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - A la veille de la Journée mondiale de lutte contre le Sida, l’ONUSIDA se montre pessimiste pour les années à venir : le Covid-19 a encore aggravé le retard déjà pris par la riposte au Sida. Entretien avec le journaliste Paul Benkimoun. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Paul Benkimoun Journaliste, spécialiste des questions de médecine et de santé (anciennement journaliste au Monde)
ONUSIDA pide medidas urgentes para proteger a las personas con otras enfermedades en medio de la pandemia de COVID-19; se acaban los fondos para alimentar a los refugiados en el este de África; Irán y la OIEA llegan a un acuerdo para identificar posibles lugares de actividad nuclear clandestina; y la economía digital contribuye al desarrollo sostenible, resalta un nuevo informe de la ONU.
Las proyecciones son sombrías. La pandemia del nuevo coronavirus no solo ha puesto en jaque las vidas, los sistemas de salud y la economía del mundo, su impacto se extiende también a otras enfermedades previas a su llegada al mercado de Wuhan en China. El 80 por ciento de los programas para atender la tuberculosis, el VIH y el paludismo en todo el mundo han reportado interrupciones en los servicios de salud. Una de cada cuatro personas que viven con VIH ha reportado problemas para acceder a medicamentos, de acuerdo con ONUSIDA. Hasta antes de la pandemia, el doctor Giorgio Franyuti, director ejecutivo de la ONG Medical Impact en México, trabajaba en las selvas remotas del país, diagnosticando y tratando la tuberculosis en el pueblo lacandón. Explica a RFI el impacto que ha tenido la pandemia en el tratamiento y detección de esta enfermedad. "Se ha vulnerado al cadena de suministros de ciertos medicamentos. La gente a veces tiene que viajar 30 o 50 kilómetros para encontrar clínicas de atención primaria en funcionamiento", detalla el médico. En el actual contexto, la Covid-19 se ha convertido en el diagnóstico principal así que otras enfermedades pasan desapercibidas. En India, donde se encuentra ahora Giorgio Franyuti, los diagnósticos por TBC han caído casi un 75 por ciento desde el inicio de la pandemia. En Rusia, las clínicas de VIH han sido transformadas para hacer pruebas de coronavirus. "La tuberculosis mata tres veces más" En América Latina, la falta de diagnóstico oportuno es un problema, señala el doctor. "En México, tenemos alrededor de 40.000 casos al año. Es poco comparado a Brasil. Sin embargo, a muchos migrantes no se les hace detección oportuna. Yo creo que el diagnóstico oscuro es muchísimo mayor a las cifras que tenemos", explica. Pero el principal problema con la no detección e interrupción de tratamiento de estas enfermedades vendría después. El resultado podría ser incluso mucho peor para los próximos años. "Una de las más grandes amenazas globales que existe para la humanidad es la resistencia antimicrobiana. Si descontinuamos los tratamientos, la bacteria aprende a defenderse. El 30% de casos de resistencia antimicrobiana son de tuberculosis. Si paramos los tratamientos se va a desatar un monstruo que no podremos controlar. La tuberculosis mata tres veces más que la Covid-19", advierte. De mantener la tendencia actual, la OMS ha anunciado que la pandemia podría arruinar los avances médicos logrados y devolvernos a donde estábamos hace 20 años. Por ahora la única solución, como explica el doctor Franyuti, parece ser el diagnóstico integral de las enfermedades y no bajar la guardia frente a otras enfermedades que coexisten con la Covid-19.
La riposte au VIH pour les enfants a pris du retard malgré de grands progrès. C’est ce que révèle le dernier rapport sur les progrès accomplis pour atteindre un monde sans sida en 2030. Les enfants meurent inutilement de maladies liées au sida - des décès qui pourraient être évités grâce à des traitements simples et bon marché. Le Dr. Fodé Simaga, directeur par intérim du Département Fast Track à ONUSIDA, estime qu’il faut diagnostiquer non seulement les enfants mais aussi les mères à temps.
La pandemia de coronavirus se sigue acelerando. El domingo hubo 183.000 nuevos casos confirmados de COVID-19, el mayor repunte en un día. El país con más nuevos contagios es Brasil y le sigue Estados Unidos. Un estudio de ONUSIDA alerta de que se están interrumpiendo la producción y distribución de antirretrovirales. Las restricciones de viaje provocaron una caída del 97% en las llegadas de turistas internacionales en abril,
Notre chiffre du jour est 15 toutes les 15 secondes dans le monde, une personne meurt du sida. En 2005, le nombre d’orphelins du sida a par ailleurs passé la barre des 15 millions. C’est pourquoi le 7 mai est la journée mondiale des orphelins du sida. Le syndrome d’immunodéficience acquise, de son nom complet, est le dernier stade de l’infection au VIH, sans doute la maladie sexuellement transmissible la plus connue dans le monde aujourd’hui. Elle est devenue un problème sanitaire mondial depuis la pandémie de la fin des années 70. Les soins ont beaucoup progressé depuis mais du fait des disparités, 95% des patients ne bénéficieraient, encore aujourd’hui, d’aucun traitement efficace. La première trithérapie a pourtant été mise au point en 1995. En 2016, l’Organisation mondiale de la santé annonçait son ambition de mettre fin à l’épidémie à l’horizon 2030. L’an dernier, des chercheurs américains sont parvenus à éradiquer le virus chez une souris, une première très encourageante même si l’application de la même méthode chez l’homme n’est pas encore envisageable. Le sida a également nourri les discriminations contre les communautés homosexuelles, en particulier à Atlanta, où la maladie fut tout d’abord surnommée “gay cancer”, le cancer des gays. La princesse Diana fut une figure majeure de la lutte contre le sida, s’affichant, serrant la main, sans protection, à des malades à la fin des années 80, une époque où la contamination par contact était encore une idée reçue vivace. L’épidémie semble enfin marquer le pas, depuis 2007, mais l’ONUsida, émanation dédiée des Nations Unies, met cependant en garde : si les chiffres semblent diminuer, c’est sans doutes aussi dû à une amélioration des outils statistiques. En attendant, le sida emporte une personne toutes les 15 secondes dans le monde et a déjà rendu plus de 15 millions d’enfants orphelins.
Alors que le coronavirus se localise et la transmission se fait au sein de la population, le Mali s’adapte et fait le pari de la prévention. Dans ce combat, il mise sur trois campagnes de sensibilisation : la distanciation physique, le port du masque et le lavage des mains au savon. Pour Michel Sidibé, Ministre de la santé et des affaires sociales du Mali, et ancien Directeur exécutif de l’ONUSIDA, il faut continuer à mettre l’accent sur la prévention et briser la chaîne de transmission du virus afin d'éviter que le virus ne se propage.
Cuando la pandemia de coronavirus está a punto de alcanzar un millón de casos, la OMS prepara un nuevo plan internacional de respuesta. Un migrante detenido en México muere en un motín provocado por el miedo al Covid-19. ONUSIDA felicita a Portugal por otorgar la residencia a migrantes y solicitantes de asilo.
En 2014, ONUSIDA acordó conmemorar cada 1 de Marzo el Día por la Cero Discriminación. En este episodio hablamos de acciones afirmativas y como los retos que existen a nivel estatal y de Sociedad Civil cuando reflexionamos sobre el VIH. Seguinos en redes: IG: @positivxscr Twitter: @positivxs
En este episodio estuvo con nosotros Juan Jacobo Hernández, quien nos platicó sobre el papel que tuvo el movimiento LGBT y la sociedad civil en la respuesta al VIH en México. Este es el segundo episodio de una miniserie que hemos grabado en el marco del 1 de diciembre, donde queremos hablar del VIH desde una mirada histórica. Juan Jacobo es uno de los activistas más destacados del movimiento LGBT en México, cofundador del Frente Homosexual de Acción Revolucionaria (FHAR) y del Colectivo Sol. Trabaja en la prevención del VIH, la defensa de derechos humanos de las minorías sexuales y el fortalecimiento de los sistemas comunitarios. Ha colaborado para ONUSIDA.
Hoy conversamos en nuestro estudio con la Dra. Celina de Miranda, representante local de ONUSIDA y el Dr. Francisco Carrillo, coordinador técnico de CONAVIH.
Vous avez zappé les infos ? 20 Minutes vous a concocté un récap' audio de la mi-journée. « Minute Papillon ! », c’est deux minutes à écouter sur les supports de 20 Minutes (desktop, site et application mobile) et les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi l’écouter sur iTunes, Deezer, Pippa, Soundcloud et sur les applications de podcast, iOS et Android, sur l’application Google Podcasts (pour Android) ou encore sur l’enceinte connectée Alexa.Au programme ce soir : -La justice ne considère pas que l’Etat est responsable, à cause des "défaillances" de ses services de renseignement notamment, des attentats du 13-Novembre. Elle vient de rejeter un recours formulé par une trentaine de victimes.-Le Mondial a été l’occasion de miser 690 millions d’euros en France. La compétition a permis aussi au chiffre d’affaires des bars, bistrots et cafés parisiens de grimper de 10 %. Par ailleurs, en attendant de vous offrir le maillot à deux étoiles des Bleus, vous pouvez vous acheter un premier souvenir : un carnet de quatre timbres collector émis par La Poste. Et ce sera moins cher.-Google à l’amende. L’Union européenne lui réclame 4,34 milliards d’euros pour avoir abusé depuis 2011 de la position dominante d’Android afin d’asseoir l’hégémonie de son service de recherche en ligne.-Lutte contre le sida : jamais les séropositifs n’ont été aussi nombreux à recevoir un traitement. Ce qui ne réjouit pas l’Onusida, qui craint que cela engendre une "crise de la prévention". Et du financement.-Le paradoxe malgache : l’île a beau être l’un des pays les plus pauvres d’Afrique, elle dispose de l’une des connexions Internet les plus rapides au monde. Et devance même la France.Julie BossartCrédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits -Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Onusida publica en un informe que el n