Podcasts about Soudan

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HYPE
LE BILAN DES JEUX, USA vs RESTE DU MONDE, LA FORMATION FRANÇAISE !

HYPE

Play Episode Listen Later Apr 20, 2025 45:51


Hype fait son retour pour cette nouvelle saison, avec un nouveau format, Podcast vidéo. Plus chill, plus tranchée, on se retrouvez-nous sur nos plateformes pour évoquer l'actualité hype de tous les baskets ! Au menu de ce premier épisode : Retour sur les J.O de l'équipe de France de Basket ! L'émergence du basketball africain à travers l'exemple du Soudan du Sud. USA vs reste du monde, quelle marge ? La formation à la française, fait elle de la France , le 2e pays de basket au monde ? Be a part of HYPE !Retrouvez l'émission complète sur YouTube : https://youtu.be/4YsXNIRO7g4Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cultures monde
Retour d'Iran // Au Soudan, le risque de la partition

Cultures monde

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 57:59


durée : 00:57:59 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Charles Emptaz qui rentre d'Iran ; suivi d'une table-ronde sur les deux ans de guerre au Soudan, où le pays risque de se scinder en deux. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Charles Emptaz Réalisateur et grand reporter indépendant; Raphaëlle Chevrillon Guibert Chercheuse à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), associée au Centre d'études et de documentation économiques, juridiques et sociales au Soudan (CEDEJ) de Khartoum; Jérôme Tubiana Conseiller aux opérations de MSF, particulièrement focalisé sur les questions de réfugiés

Cultures monde
Table ronde : Soudan, le risque de la partition

Cultures monde

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 36:34


durée : 00:36:34 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Boutées hors de Khartoum en mars 2025 par l'armée régulière du chef de l'État soudanais Al-Bourhane, les Forces de soutien rapide (FSR) d'opposition dirigées par Hemetti cherchent à contrôler l'ensemble du Darfour, au risque de voir le pays se scinder en deux. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Jérôme Tubiana Conseiller aux opérations de Médecins sans frontières; Raphaëlle Chevrillon Guibert Chercheuse à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), associée au Centre d'études et de documentation économiques, juridiques et sociales au Soudan (CEDEJ) de Khartoum

Le débat africain
Gabon, Soudan, Gaza… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 39:00


Au sommaire : Brice Oligui Nguema est sorti vainqueur de la présidentielle au Gabon avec 90% des voix, selon les résultats provisoires. Réel changement ou continuité ? La guerre au Soudan entre dans sa 3ᵉ année. Comment y mettre un terme ? Enfin, nous parlerons de la situation à Gaza où l'armée israélienne a transformé 30% du Territoire palestinien en zone tampon. Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale.  ► Avec la participation de : Seidik Abba, rédacteur en chef du site Mondafrique.com  Ahmed Newton Barry, journaliste burkinabè  Sory Ibrahim, journaliste à la rédaction RFI Mandenkan

L’arbre à palabres | Deutsche Welle
Guerre civile au Soudan: quelle issue?

L’arbre à palabres | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 38:35


​Il y a deux ans, le 15 avril 2023, débutait la guerre civile qui, depuis, continue de faire des dégâts humains et métiers. Eric Topona et ses invités reviennent sous l'Arbre à palabres sur les raisons de ce conflit et proposent des voies de sortie de crise.

Chronique des médias
Le Soudan cherche à échapper à l'oubli médiatique

Chronique des médias

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 2:56


La guerre au Soudan, deux ans après son déclenchement, est en grande partie passée sous les radars médiatiques, sauf peut-être cette semaine. Ces deux ans de guerre ont été l'occasion de réunir une conférence à Londres coorganisée par le Royaume-Uni, l'Union européenne, l'Allemagne, la France et l'Union africaine, organisation dont le Soudan est membre, même si son gouvernement, l'un des belligérants, n'était pas convié. Alors, au-delà des 800 millions d'euros d'aide promise, cette rencontre a été utile pour jeter un coup de projecteur sur ce qui est, selon l'ONU, « la pire crise humanitaire au monde ».En deux ans de combats entre les forces armées soudanaises du général Al-Bourhane, qui a repris Khartoum, et les paramilitaires des Forces de soutien rapide du général « Hemedti », qui vient d'annoncer un gouvernement rival, on compte plus de 150 000 morts, 13 millions de personnes déplacées et une situation de famine qui menace la moitié de la population. Et face à cela, on peut dire que le monde regarde ailleurs. Un seul exemple, sur toute l'année 2024, TF1, la plus grande chaîne d'Europe, n'a mentionné le Soudan que trois fois dans ses journaux télévisés, d'après l'INA.Témoigner et informer malgré l'exilCe ne sont pas seulement les médias d'information internationale qui documentent sur l'horreur de la guerre. Ce sont d'abord tous ces civils qui témoignent par des vidéos en filmant les exactions, comme on a pu encore le voir dimanche lors des massacres de Zamzam, près d'Al Fasher, opéré par les Forces de soutien rapide. Ce sont ensuite tous ces journalistes qui poursuivent leur travail en exil. Selon Reporters sans frontières, ils sont 431 à avoir fui vers les pays voisins, pour les trois quarts en Égypte, et on compte une dizaine de médias soudanais qui continue de couvrir ce conflit sans avoir de bureaux et en étant sous la menace constante d'une expulsion. Ils sont implantés au Caire, mais aussi en Ouganda, au Kenya ou au Rwanda. En Égypte, des conditions de travail problématiquesProblématiques parce que l'Égypte du maréchal Abdel Fattah Al-Sissi soutient de façon inconditionnelle le régime officiel du général Abdel Fattah Al-Bourhane. Il y a près d'un an, la chaîne Sudania 24 a dû par exemple interrompre ses émissions depuis le Caire quand un opposant à la guerre, issu d'une coalition civile, s'est exprimé. La chaîne a pu ensuite les reprendre, mais le programme politique « Derayat al-Hadath » a été définitivement arrêté en décembre. Depuis, l'équipe subit des intimidations qui prennent la forme d'expulsions du pays, mais aussi de menaces de mort ou de campagnes de diffamation quand elle n'est pas obligée lire des communiqués de soutien à l'armée soudanaise.À lire aussiSoudan: des centaines de réfugiés au Caire cherchent à rejoindre Khartoum en bus

Journal de l'Afrique
Édition spéciale : deux ans de guerre au Soudan

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 16:37


Après deux ans de guerre, le Soudan est un un pays détruit et sa population est prise en otage par deux généraux qui se disputent le pouvoir. La situation humanitaire est désastreuse, avec un accès très réduit à l'aide. Dans cette édition spéciale, découvrez les témoignages de notre correspondant régional, qui s'est rendu sur place il y a un mois. Nous évoquerons également la situation sanitaire, notamment au Darfour avec Michel Olivier Lacharité, responsable des opérations d'urgence à MSF.

Reportage International
Restitution d'œuvres d'arts africaines: un fond franco-allemand pour rechercher l'origine des œuvres

Reportage International

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 4:34


La coopération franco-allemande passe un nouveau cap. Désormais, le deux pays coopèrent sur la question de l'origine des objets culturels d'Afrique subsaharienne détenus dans les musées des deux pays. Il y a un an, un fond a été lancé et trois projets sélectionnés. Les diverses équipes de chercheurs se sont réunies pour la première fois la semaine dernière à Berlin. De notre correspondante,Une conférence ouverte au public en plein centre de Berlin, puis deux journées de travail entre chercheurs, ont officiellement lancé le fond franco-allemand de recherche sur la provenance des objets culturels d'Afrique subsaharienne. Au total, plusieurs dizaines de chercheurs vont travailler pendant trois ans. Ils viennent de France, d'Allemagne, mais aussi du Cameroun, du Sénégal, du Bénin, du Mali ou encore de Tanzanie, des pays qui ont été colonisés par ces deux puissances au XIXe et au XXe siècle. Julie Sissia est responsable scientifique de ce fond. Elle nous en explique le concept :« Les gouvernements français et allemands ont fait le constat qu'il était nécessaire pour ces deux pays, qui renferment les collections d'objets d'Afrique subsaharienne parmi les plus importantes en Europe, de mettre en commun les ressources des chercheurs de provenance et aussi les ressources dans les universités et dans les musées, pour faire la lumière sur les circulations des objets qui participent d'un phénomène de colonisation qui est, on le sait, un phénomène européen. Les histoires ne sont pas exclusivement nationales, quand bien même la France et l'Allemagne ont des histoires coloniales qui sont très différentes. La colonisation allemande s'est arrêtée plus tôt, elle a commencé plus tard que celle de la France. »À lire aussiRestitution des œuvres d'art africaines: la France et l'Allemagne lancent un fonds de recherche« L'effet Macron » propulse trois projets de rechercheCe projet de recherche franco-allemand n'aurait pas vu le jour sans l'impulsion donnée par le président Emmanuel Macron sur la question de la restitution des biens culturels aux pays africains. Après son discours de Ouagadougou, en 2017, le président français a restitué 26 biens au Bénin. Pour Hamady Bocoum, ancien directeur du musée des Civilisations noires de Dakar, cette étape a été cruciale :« Il faut reconnaître que finalement, c'est la parole du prince qui a le plus porté. Je veux parler de ''l'effet Macron'', quand il a déclaré ne pas pouvoir accepter qu'une large part du patrimoine culturel des pays d'Afrique soit en France. Il a projeté de les restituer dans les cinq ans, ce qui n'a pas pu être fait, mais il a quand même ouvert les vannes. J'ai la naïveté de penser que les lignes vont bouger malgré de réelles résistances. »Désormais, c'est une nouvelle étape scientifique qui commence. Le fond franco-allemand a sélectionné trois projets de recherche. L'un d'entre eux se concentre sur plus d'une centaine de restes humains, des crânes, des os, des squelettes pillés par les colons dans les actuels Cameroun, Tanzanie et Namibie. Des restes humains conservés dans les collections de l'université de Strasbourg. Sylvain Djache Nzefa coordonne la route des chefferies au Cameroun, et il participe à ce projet de recherche :« Ils viennent de la Tanzanie, du Cameroun, mais il y a un travail encore beaucoup plus poussé que les historiens sont en train de faire sur leur origine exacte. Ces restes humains font partie de quelle communauté ? On parle de 1902, 1905, pour le Cameroun. Comment était le territoire ? Comment étaient organisées les chefferies traditionnelles ? Voilà de quoi il s'agit. »À lire aussiLa restitution des œuvres d'art africainDes objets culturels et objets du quotidien seront analysésUn autre projet vient de débuter. Il concerne les objets culturels issus de la communauté banama et spoliés dans ce qui était le Soudan français au tournant du XXe siècle. Une partie de ces objets se trouvent au musée du Quai Branly à Paris. Une autre, encore plus importante, à Hambourg, en Allemagne. La plupart ont été « rapportés » par l'ethnologue allemand Leo Frobenius, dont il faut désormais analyser les archives. C'est l'une des taches du chercheur allemand Richard Kuba :« On a énormément de matériel visuel, des photographies, des croquis, des aquarelles. Un but de ce projet, c'est d'utiliser ces images, mais aussi les archives écrites, les journaux de voyages qu'on a, qui sont extrêmement difficiles à déchiffrer parce que c'est un monsieur qui a une écriture à la main compliquée. De ramener ça, de le mettre en contexte avec les objets qu'il a collectés au Mali en 1907 et 1908 de la région des Banamas. »Le troisième projet se concentre sur des objets du quotidien, des instruments de musique, des objets cultuels, des ustensiles de cuisine, familiers, mais souvent méconnus dans leurs sociétés d'origine et dans les lieux où ils sont conservés. Les chercheurs souhaitent les relier de nouveau à leurs communautés, et notamment aux femmes, et donner la parole à celles et ceux qui ont été exclus dans l'histoire coloniale.Au final, ces différents projets de recherche donneront lieu à des publications, à des expositions. Mais le but est aussi de créer une dynamique scientifique, avec d'autres pays qui, comme la France et l'Allemagne, possèdent des collections issues d'Afrique subsaharienne. 

Reportage international
Restitution d'œuvres d'arts africaines: un fond franco-allemand pour rechercher l'origine des œuvres

Reportage international

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 4:34


La coopération franco-allemande passe un nouveau cap. Désormais, le deux pays coopèrent sur la question de l'origine des objets culturels d'Afrique subsaharienne détenus dans les musées des deux pays. Il y a un an, un fond a été lancé et trois projets sélectionnés. Les diverses équipes de chercheurs se sont réunies pour la première fois la semaine dernière à Berlin. De notre correspondante,Une conférence ouverte au public en plein centre de Berlin, puis deux journées de travail entre chercheurs, ont officiellement lancé le fond franco-allemand de recherche sur la provenance des objets culturels d'Afrique subsaharienne. Au total, plusieurs dizaines de chercheurs vont travailler pendant trois ans. Ils viennent de France, d'Allemagne, mais aussi du Cameroun, du Sénégal, du Bénin, du Mali ou encore de Tanzanie, des pays qui ont été colonisés par ces deux puissances au XIXe et au XXe siècle. Julie Sissia est responsable scientifique de ce fond. Elle nous en explique le concept :« Les gouvernements français et allemands ont fait le constat qu'il était nécessaire pour ces deux pays, qui renferment les collections d'objets d'Afrique subsaharienne parmi les plus importantes en Europe, de mettre en commun les ressources des chercheurs de provenance et aussi les ressources dans les universités et dans les musées, pour faire la lumière sur les circulations des objets qui participent d'un phénomène de colonisation qui est, on le sait, un phénomène européen. Les histoires ne sont pas exclusivement nationales, quand bien même la France et l'Allemagne ont des histoires coloniales qui sont très différentes. La colonisation allemande s'est arrêtée plus tôt, elle a commencé plus tard que celle de la France. »À lire aussiRestitution des œuvres d'art africaines: la France et l'Allemagne lancent un fonds de recherche« L'effet Macron » propulse trois projets de rechercheCe projet de recherche franco-allemand n'aurait pas vu le jour sans l'impulsion donnée par le président Emmanuel Macron sur la question de la restitution des biens culturels aux pays africains. Après son discours de Ouagadougou, en 2017, le président français a restitué 26 biens au Bénin. Pour Hamady Bocoum, ancien directeur du musée des Civilisations noires de Dakar, cette étape a été cruciale :« Il faut reconnaître que finalement, c'est la parole du prince qui a le plus porté. Je veux parler de ''l'effet Macron'', quand il a déclaré ne pas pouvoir accepter qu'une large part du patrimoine culturel des pays d'Afrique soit en France. Il a projeté de les restituer dans les cinq ans, ce qui n'a pas pu être fait, mais il a quand même ouvert les vannes. J'ai la naïveté de penser que les lignes vont bouger malgré de réelles résistances. »Désormais, c'est une nouvelle étape scientifique qui commence. Le fond franco-allemand a sélectionné trois projets de recherche. L'un d'entre eux se concentre sur plus d'une centaine de restes humains, des crânes, des os, des squelettes pillés par les colons dans les actuels Cameroun, Tanzanie et Namibie. Des restes humains conservés dans les collections de l'université de Strasbourg. Sylvain Djache Nzefa coordonne la route des chefferies au Cameroun, et il participe à ce projet de recherche :« Ils viennent de la Tanzanie, du Cameroun, mais il y a un travail encore beaucoup plus poussé que les historiens sont en train de faire sur leur origine exacte. Ces restes humains font partie de quelle communauté ? On parle de 1902, 1905, pour le Cameroun. Comment était le territoire ? Comment étaient organisées les chefferies traditionnelles ? Voilà de quoi il s'agit. »À lire aussiLa restitution des œuvres d'art africainDes objets culturels et objets du quotidien seront analysésUn autre projet vient de débuter. Il concerne les objets culturels issus de la communauté banama et spoliés dans ce qui était le Soudan français au tournant du XXe siècle. Une partie de ces objets se trouvent au musée du Quai Branly à Paris. Une autre, encore plus importante, à Hambourg, en Allemagne. La plupart ont été « rapportés » par l'ethnologue allemand Leo Frobenius, dont il faut désormais analyser les archives. C'est l'une des taches du chercheur allemand Richard Kuba :« On a énormément de matériel visuel, des photographies, des croquis, des aquarelles. Un but de ce projet, c'est d'utiliser ces images, mais aussi les archives écrites, les journaux de voyages qu'on a, qui sont extrêmement difficiles à déchiffrer parce que c'est un monsieur qui a une écriture à la main compliquée. De ramener ça, de le mettre en contexte avec les objets qu'il a collectés au Mali en 1907 et 1908 de la région des Banamas. »Le troisième projet se concentre sur des objets du quotidien, des instruments de musique, des objets cultuels, des ustensiles de cuisine, familiers, mais souvent méconnus dans leurs sociétés d'origine et dans les lieux où ils sont conservés. Les chercheurs souhaitent les relier de nouveau à leurs communautés, et notamment aux femmes, et donner la parole à celles et ceux qui ont été exclus dans l'histoire coloniale.Au final, ces différents projets de recherche donneront lieu à des publications, à des expositions. Mais le but est aussi de créer une dynamique scientifique, avec d'autres pays qui, comme la France et l'Allemagne, possèdent des collections issues d'Afrique subsaharienne. 

Journal en français facile
Soudan: la guerre entre dans sa 3e année / Nucléaire: nouveaux pourparlers annoncés entre Washington et Téhéran / France: François Bayrou alerte sur le «piège» de la dette

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mardi 15 avril 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BaSO.A

Les matins
Guerre au Soudan : deux ans après le début des combats, les réfugiés au Tchad racontent la guerre

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 4:29


durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Depuis deux ans, au Soudan, les Forces armées du Soudan s'opposent aux Forces de soutien rapide, une milice paramilitaire. Au Darfour, à l'ouest, les massacres sont violents et plus d'un million de Soudanais, en grande majorité des femmes et des enfants, tentent de se réfugier au Tchad.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Emission spéciale: Soudan, 2 ans de guerre

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 19:30


Des dizaines de milliers de morts, plus de 12 millions de déplacés, une crise humanitaire majeure. Après deux ans de guerre au Soudan, nous répondons à toutes vos questions pour mieux comprendre ce conflit qui oppose le général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l'armée régulière, à Mohamed Hamdane Daglo, chef des paramilitaires des Forces de soutien rapide. Avec Jérôme Tubiana, chercheur spécialiste du Soudan, conseiller de l'ONG Médecins sans frontières.

ONU Info

Au menu de l'actualité :

Invité Afrique
Guerre au Soudan: «C'est la pire crise humanitaire au monde après Gaza, on n'en parle pas assez»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 4:29


La guerre au Soudan a fait « 13 millions de déplacés et réfugiés » en deux ans. Alors que le Soudan, troisième plus grand pays d'Afrique en superficie, est déchiré depuis avril 2023 par un sanglant conflit entre l'armée du général Abdel Fattah al-Burhan, dirigeant de facto du pays depuis un coup d'État en 2021, et les forces de son ex-adjoint, le général Mohamed Hamdane Daglo. Le Haut Commissariat aux réfugiés s'alarme des conséquences régionales de cette guerre civile, avec chaque jour plus de déplacés. Abdouraouf Gnon-Konde, directeur régional du HCR pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre répond aux questions de Léa-Lisa Westerhoff. RFI :  Deux ans après le début du conflit au Soudan, la violence a encore franchi un cap ce week-end au Darfour avec l'attaque et la prise du camp de déplacés de Zamzam. 13 millions de personnes déplacées de force à l'intérieur du pays comme au-delà des frontières. En tant que directeur régional du Haut-Commissariat aux réfugiés pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre, comment est-ce que vous qualifiez cette crise ? Abdouraouf Gnon-Konde : D'abord, c'est de dire que c'est une crise humanitaire aiguë. C'est la pire crise humanitaire au monde après Gaza. Mais malheureusement, on n'en parle pas assez. Et je pense que justement, à deux ans du rappel du début de cette crise, c'est important que vous puissiez nous donner cette opportunité de souligner les conséquences de cette crise et d'appeler les uns les autres à réellement trouver une solution politique à l'intérieur du Soudan.Vous rentrez du Tchad où vous vous êtes rendu la semaine dernière. Ce pays frontalier joue un rôle particulier dans la guerre civile. Quelles répercussions la guerre civile a-t-elle sur le Tchad ? Une des conséquences immédiates, c'est que les populations, elles vont chercher un lieu de refuge. Et le lieu de refuge le plus près, pour certaines d'entre elles, c'est le Tchad. Et on a pu voir des populations arriver, qui continuent d'arriver et certaines viennent même depuis Khartoum et qui ont traversé donc des conditions vraiment difficiles. Et depuis avril 2023, le Tchad a déjà reçu près de 800 000 nouveaux réfugiés soudanais. Et cette année, le Tchad a déjà reçu 50 000 nouveaux réfugiés soudanais depuis le début d'année. Et malheureusement, nous nous attendons avec ces attaques auxquelles vous faites allusion, à davantage d'arrivées. Donc vous voyez, pour un pays fragile comme le Tchad, avec une population de 17 millions d'habitants, sans oublier d'autres réfugiés présents sur le territoire, les réfugiés nigérians qui sont là dans la région du lac Tchad et les réfugiés centrafricains et des déplacés internes. C'est extrêmement lourd.Tous les regards sont tournés vers le Darfour. Est-ce que vous craignez que la chute de Khartoum conduise à une aggravation des violences contre les civils dans cette partie ouest du Soudan ? C'est une source de préoccupation dans cette partie ouest du Soudan. Une préoccupation parce que si les combats se rapprochent de la frontière du Tchad, la crainte immédiate, c'est de voir ce que nous appelons en anglais le « spillover », donc un débordement de la crise sur le territoire du Tchad.D'un point de vue régional, quelles conséquences cette crise, ces deux années de guerre civile du Soudan ont-elles sur les pays frontaliers, sur la région ? On a observé des mouvements de populations vers le Tchad. Nous en avons déjà parlé, mais aussi des mouvements de populations vers la Centrafrique. La Centrafrique a déjà accueilli à ce jour à peu près 40 000 Soudanais dans une partie frontalière assez difficile : Birao, Korsi. Mais il n'y a pas que la Centrafrique, il y a aussi l'Égypte, il y a l'Éthiopie, il y a le Sud-Soudan et nous connaissons tous la situation dans laquelle se trouve donc le Sud-Soudan. Et la conséquence, elle va bien au-delà de la région parce que, à la frontière entre le Tchad et le Soudan, nous voyons des populations arriver qui transitent par le Tchad et qui continuent jusqu'en Libye, voire la Tunisie, et qui ont vocation à continuer en Europe. Donc pour nous, ça montre que la conséquence va bien au-delà des pays voisins. Elle va bien au-delà de la région et malheureusement, on voit davantage donc de Soudanais qui essaient d'arriver aux portes européennes.Il y a aussi la question du financement des activités humanitaires. Quel impact la coupure des financements américains a-t-elle sur cette crise au Soudan ? Elle nous contraint à faire des choix extrêmement difficiles. Au Tchad, déjà depuis 2003, nous avions déjà des Soudanais qui étaient là et nous étions en train de travailler à trouver des solutions d'intégration de ces populations. Mais malheureusement, aujourd'hui, avec cette baisse de ressources, nous sommes obligés de nous concentrer sur la réponse d'urgence dans les zones les plus fragiles.Quelle est votre crainte ? Qu'est-ce que vous craignez que ça puisse susciter sur une crise comme celle du Soudan ? La crainte immédiate, c'est de ne pas être en capacité d'apporter la plénitude de réponse. Au niveau global, pour le HCR, les États-Unis contribuent à hauteur de 40% de nos financements, dans la région ils nous accompagnent pour 60%. Mais il n'y a pas que les États-Unis qui ont baissé (leurs contributions). Déjà, pour les besoins immédiats, dans la région Afrique de l'Ouest, Afrique centrale, on parle de 14 millions de déplacés de force. Aujourd'hui dans cette région, 61 % des enfants en âge d'aller à l'école, âgés de 6 à 17 ans sont hors des circuits d'éducation. Donc, comment continuer à prendre en charge ces questions de besoins qui vont bien au-delà de la simple question humanitaire si on n'a pas les ressources adéquates ?

Reportage Afrique
Soudan du Sud: les témoignages de femmes réfugiées dans le camp de Gorom [3/3]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 2:29


Plus de 10 000 réfugiés soudanais sont arrivés au camp de Gorom, près de Juba, la capitale du Soudan du Sud, depuis le début de la guerre au Soudan le 15 avril 2023. Un conflit qui semble loin de se terminer, notamment dans la région du Darfour, où les Forces de soutien rapides du général Hemedti sont accusées de commettre un génocide. Des femmes du Darfour réfugiées à Gorom se sont livrées à RFI sur leurs inquiétudes suite aux violences qui ont éclaté contre les Soudanais mi-janvier, après que des Sud-Soudanais ont été massacrés par l'armée soudanaise à Wad Madani. De notre correspondante à Juba, Coiffée d'un foulard rose pâle, Amira Adam Bashar, 20 ans, a fui l'enfer d'El Fasher, cette ville située au Darfour nord, assiégée par les paramilitaires FSR. Elle est arrivée à Juba une semaine seulement avant qu'éclatent les violences visant les Soudanais mi-janvier : « La police nous a protégés, puis nous avons été amenés ici à Gorom. Nous sommes enregistrés comme réfugiés urbains, donc nous ne recevons aucune aide. Nous n'avons presque rien à manger ni à boire, et mon frère qui vendait du charbon pour nous soutenir a été blessé dans les violences, maintenant, il ne peut plus travailler. Nous avons besoin d'aide. »L'histoire de Nuha Abdallah Mohammed, 34 ans, est tout aussi terrible. La mère de deux enfants a fui les attaques des FSR à El Geneina, au Darfour ouest, et rejoint son mari établi à Juba comme commerçant. Mais leur magasin a été complètement pillé lors des émeutes contre les Soudanais. La famille s'est réfugiée à Gorom, et a été à nouveau terrifiée par les combats entre forces sud-soudanaises qui ont eu lieu près du camp récemment : « J'aimerais pouvoir quitter le Soudan du Sud, mais je n'en ai pas la capacité. Car c'est insupportable de fuir une guerre, de venir à pied d'un pays à l'autre, pour ensuite se retrouver à vivre encore la même chose. À entendre à nouveau les mêmes sons de tirs et de bombes. Nous ressentons beaucoup de peur et d'insécurité. »À écouter aussiGuerre au Soudan: «L'urgence humanitaire est au nord Darfour»« Nous voulons vivre en sécurité, c'est tout. »Originaire de Nyala, dans le Darfour sud, Azza Haroun Nurein, 40 ans, a la lourde charge de s'occuper de sa fille Ikram, 16 ans, qui a perdu une jambe dans le conflit soudanais : « Avant le début de la guerre, nous vivions bien à Nyala. Quand le conflit a débuté, nous sommes restés enfermés chez nous. Mais un jour, une bombe est tombée sur la maison, tuant ma fille et mon neveu. Et Ikram a quant à elle été grièvement blessée. »La famille a fui en août 2023 et c'est à Juba qu'Ikram a été amputée de sa jambe gauche. L'adolescente garde de lourdes séquelles et a des cicatrices et des éclats d'obus un peu partout sous la peau. Elle ne peut être scolarisée : « Je ne peux pas aller à l'école parce que je ne peux pas marcher, même avec des béquilles. Donc, je reste tout le temps dans notre abri. Ce que je veux dire, c'est qu'il faut que la guerre s'arrête au Soudan et au Soudan du Sud. Et il faut penser à ceux qui ne peuvent pas fuir quand il y a du danger, comme moi qui ai perdu ma jambe, je ne peux aller nulle part. Nous voulons vivre en sécurité, c'est tout. »Cette semaine, Ikram a rendez-vous au centre de réhabilitation physique du Comité international de la Croix-Rouge à Juba, où elle espère apprendre à marcher à nouveau à l'aide d'une prothèse.À lire aussiGuerre au Soudan: après deux ans de chaos, le désastre humanitaire

Le 5/7
Jean-Christian Rostagni - Caroline Bouvard

Le 5/7

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 120:14


durée : 02:00:14 - Le 5/7 - par : Mathilde MUNOS, Amaury Bocher, Elise Amchin - Jean-Christian Rostagni, français expatrié aux Etats-Unis depuis 30 ans. Importateur de vins en Caroline du Nord, et Caroline Bouvard, directrice de Solidarités international au Soudan, sont les invités du 5/7 de France Inter.

Les interviews d'Inter
Après deux ans de guerre au Soudan, "la situation est catastrophique", alerte l'humanitaire Caroline Bouvard

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 6:52


durée : 00:06:52 - L'invité de 6h20 - Caroline Bouvard, directrice de Solidarités international au Soudan, était l'invitée de France Inter ce mardi, à l'occasion des deux ans de guerre civile dans le pays.

Le Reportage de la rédaction
Guerre au Soudan : deux ans après le début des combats, les réfugiés au Tchad racontent la guerre

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 4:29


durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Depuis deux ans, au Soudan, les Forces armées du Soudan s'opposent aux Forces de soutien rapide, une milice paramilitaire. Au Darfour, à l'ouest, les massacres sont violents et plus d'un million de Soudanais, en grande majorité des femmes et des enfants, tentent de se réfugier au Tchad.

Les matins
Responsabilité des Emirats au Soudan / Perspectives économiques / Giuliano da Empoli

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 149:58


durée : 02:29:58 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - / - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marc Lavergne Directeur de recherche émérite au CNRS, au laboratoire CITERS de l'Université de Tours; Xavier Timbeau Économiste, directeur de l'Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE); Giuliano da Empoli Essayiste, romancier et ancien conseiller politique de Matteo Renzi

Reportage Afrique
Au Kenya, les réfugiés soudanais réinventent leur vie loin du conflit et en communauté [2/3]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 2:27


Cela fait deux ans, mardi 15 avril, que la guerre au Soudan a démarré. Elle est aujourd'hui la plus importante crise de personnes déplacées au monde, selon l'ONU, 13 millions de Soudanais ayant fui leur foyer. Quatre millions se sont réfugiés dans les pays voisins comme l'Égypte, le Tchad ou le Soudan du Sud. Certains ont réussi à pousser jusqu'au Kenya, loin des camps de réfugiés. À Nairobi, la capitale, ils essaient de se réinventer une vie. De notre correspondante à Nairobi,À Nairobi, la capitale du Kenya, dans le quartier de Kilimani, le Jayta est devenu le rendez-vous de la jeunesse soudanaise. Dans ce petit restaurant, pas de manières, on y mange comme à la maison. « Nos clients sont des Soudanais, des Somaliens et des Éthiopiens. Mais on n'aime pas les appeler des "réfugiés". Bien sûr, notre vie est finie au Soudan, avec cette guerre. Il faut tout recommencer, pour survivre. Pendant la révolution, on disait : "À chaque fois, nous referons la révolution, si le gouvernement n'est pas bon pour nous" », se souvient Ahmed Albadawi.Les généraux Abdel Fattah Al Burhan, à la tête de l'armée soudanaise, et Mohamed Hamdan Daglo dit « Hemedti », chef des Forces de soutien rapide (FSR), se mènent une guerre sans pitié depuis deux ans. Mabio Swale, 24 ans, a fui Khartoum dès les premiers bombardements : « J'ai laissé derrière moi, mon père, mes petits frères, même mère. Je ne sais pas comment ils vont, s'ils sont en sécurité. La vie au Soudan est très dure : il n'y a pas de travail, pas de sécurité. On entend les armes et les balles partout. J'aimerais bien refaire ma vie au Kenya. Là, je travaille comme serveur. Avant, je rêvais d'être footballer. Aujourd'hui, je veux juste continuer à travailler pour envoyer de l'argent à ma famille. »Ousmane aussi a quitté Khartoum en 2023. Il y suivait alors des études en génie civil. Diplômé ici à Nairobi, c'est vers le Soudan que ses projets se tournent. « Je ne peux pas imaginer mon futur sans le Soudan. Maintenant que l'armée a récupéré Khartoum, mes amis et des membres de ma famille, y retournent. Ils essaient de reconstruire. J'y retournerai, c'est sûr. Les deux généraux viennent du même gouvernement. Mais vous pouvez vivre avec l'armée. Avec les FSR, c'est impossible. Je le sais, je les ai vus, ils ont essayé de me tuer, ils m'ont jeté à terre. D'abord la paix. Après, on cherchera la démocratie », affirme-t-il. En 2024, les Nations unies recensaient plus de 11 500 réfugiés soudanais au Kenya. À lire aussiSoudan: les FSR revendiquent la prise du camp de Zamzam au Darfour, «tuant de nombreux civils»

Entrez sans frapper
Katy Perry dans l'espace/La Mosa Ballet School/Jet de bidon à Paris-Roubaix/Le Soudan entre dans sa 3ème année de guerre/L'Exposition universelle à Osaka

Entrez sans frapper

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 7:57


Katy Perry : mission touristique dans l'espace avec Blue Origin, un vol 100 % féminin Un ballet classique anime le hall de la Gare centrale, la FWB envisage de ne plus subsidier la Mosa Ballet School Accord de Pâques du Gouvernement fédéral Jet de bidon à Paris-Roubaix Nouveau tour de vis homophobe et anti-opposition en Hongrie Instagram et WhatsApp vendus par Meta ? L'entrée du Soudan dans sa 3ème année de guerre Japon : Inauguration de l'Exposition universelle 2025 à Osaka Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage Afrique
Tchad: au poste frontière d'Adré, les destins brisés et les vies oubliées des réfugiés soudanais [1/3]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 2:16


Au Soudan, la guerre civile qui ravage le pays depuis avril 2023 a provoqué l'exode de 9 millions de personnes, selon le HCR. Plus de 600 000 d'entre elles ont fui au Tchad voisin, qui a également enregistré le retour de plus de 180 000 rapatriés tchadiens. Ces réfugiés rejoignent un contingent de plus d'un demi-million de Soudanais qui avaient fui lors du précédent conflit au Darfour en 2003-2004. Alors comment se passent la fuite du Soudan et l'accueil des réfugiés au Tchad ? Comment faire face à un tel afflux ? Reportage au poste frontière d'Adré, dont partent des marchandises de premières nécessités et où arrivent des réfugiés. De notre envoyé spécial à Adré,Ce matin, comme tous autres matins à Adré, des centaines de réfugiés exténués, traumatisés, font la queue pour être enregistré au CNARR, la Commission nationale d'accueil et de réinsertion des réfugiés. Mahamat travaille pour cet organisme tchadien dans ce poste frontière qui sépare le Tchad et le Soudan. « Ce matin, j'ai vu des femmes avec des enfants mineurs. Ils disent que là-bas, il a l'insécurité totale, il n'y a pas de paix. Quand tu vois quelqu'un en face de toi, qui est en train de pleurer, qui a été agressé par des hommes, qui est victime de viol… C'est inhumain », soupire-t-il.Les femmes et les enfants représentent près de 90 % des réfugiés soudanais. C'est pourtant un jeune homme que nous présente Mahamat. « Voilà, ce matin, on a reçu ce monsieur. Il a reçu un éclat pendant un bombardement au Soudan », explique-t-il. « L'attaque a eu lieu le soir, c'est-à-dire après la prière. Il y a eu des morts, il y a eu des blessés, il y a eu des gens qui sont fracturés, il y a eu des gens qui ont perdu leurs jambes. C'était un pillage », témoigne le jeune homme blessé.Des hommes blessés, des femmes violées, des destins brisés. Difficile, dans ce contexte, d'organiser la cohabitation. « Le conflit au Soudan, c'est un conflit politique, mais cela s'est transformé en conflit ethnique. Un conflit entre les arabes et les masalits. Et pour éviter que le conflit se prolonge ici, dans le camp, on les sépare », explique Ali Djimé, manager d'un camp d'Adré. Les Arabes sont donc envoyés dans les camps situés près d'Abéché. Les autres vers Farchana, situé à 50 km à l'ouest d'Adré. On retrouve Mahamat en compagnie de quatre femmes soudanaises : « Ils disent qu'elles sont Soudanaises. Elles sont arrivées au Tchad, mais elles retournent encore là-bas parce que leurs familles se trouvent derrière, là-bas. Elles ne peuvent pas rester », traduit-il.Bravant la peur et le danger, certains retournent au Soudan pour des raisons familiales. Les autres restent au Tchad dans des conditions très précaires. Le retrait de l'aide américaine a eu des conséquences dramatiques. Des projets d'irrigation ont été stoppés net, tout comme le soutien psychologique aux réfugiés. « On lance un appel à tous les bailleurs pour pouvoir prendre en charge ces réfugiés qui sont vraiment dans la détresse », rappelle Ali Djimé. Un SOS pour les victimes d'un conflit oublié. À lire aussiSoudan: situation humanitaire catastrophique à El-Fasher après un an de siège des FSR

Chronique des Matières Premières
Kenya: le secteur du thé inquiet de la suspension des importations soudanaises

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 1:30


Le 11 mars, le Soudan a suspendu toutes les importations de produits kényans. Une mesure de représailles après que le Kenya a accueilli à Nairobi en février les Forces de soutien rapide (FSR), les paramilitaires opposés à l'armée régulière, et leurs alliés. Pour les producteurs kényans de thé, la sanction est lourde, car le Soudan fait partie des dix premières destinations d'export. Plus de 200 conteneurs de thé sont immobilisés. Selon l'EATT, l'association est-africaine du commerce du thé, 400 sacs destinés au Soudan sont bloqués dans le port de Mombasa ou sur des paquebots au large de Port-Soudan. Les pertes pourraient atteindre les 10 millions de dollars.George Omuga, président de l'EATT, demande aux autorités kényanes de trouver une solution diplomatique. Les professionnels voudraient qu'un délai d'un mois leur soit au moins accordé afin d'écouler les stocks de thé déjà engagés dans la chaîne d'approvisionnement.Brouille diplomatiqueMais la situation n'a pas l'air d'inquiéter William Ruto. Dans une interview à la télévision, la semaine dernière, le président kényan a assuré que son pays continuait de vendre son thé au Soudan. « C'est le marché lui-même qui l'oblige », explique-t-il. Une sortie qui a provoqué la colère de Port-Soudan. Dès le lendemain, son ambassade à Nairobi a publié un communiqué, pour remettre les points sur les i.Il est encore trop tôt pour évaluer l'impact de la suspension des importations soudanaises sur le secteur kényan du thé. Elles avaient déjà chuté de plus de 70 % depuis le début de la guerre en 2023, selon le Bureau du thé du Kenya. En 2022, elles avaient rapporté 37 millions de dollars.Vers de nouveaux marchésDans son rapport sur l'industrie 2024, le Bureau du thé du Kenya identifie de nouvelles pistes d'exportation, sur le continent. Parmi elles : le Tchad. Sans accès à la mer, c'est à travers le Soudan que ce pays sahélien s'approvisionnait jusque-là en thé.Mais les principales destinations du thé kényan se trouvent en dehors du continent : le Pakistan reste le premier marché, avec plus de 21 millions de kilos achetés l'année dernière.À lire aussiSuspension des importations kenyanes: le torchon brûle entre Khartoum et Nairobi

Journal de l'Afrique
Plainte à la Cour internationale de justice : Khartoum accuse les Emirats arabes unis

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 15:53


Le Soudan accuse les Emirats arabes unis d'être le moteur d'un génocide au Darfour. Les Emirats Arabes unis sont soupçonnés de financer les Forces de soutien rapide (FSR), accusées de cibler, puis de massacrer les populations non arabes dans la région. 

Le Point J - RTS
Pourquoi certaines actus nous touchent plus ?

Le Point J - RTS

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 13:26


Après le tremblement de terre en Birmanie et en Thaïlande, plusieurs collectes de dons ont immédiatement été ouvertes. D'autres événements, comme le conflit armé au Soudan, semblent susciter moins d'émotions. Comment expliquer l'intérêt médiatique et du public pour certains drames plus que pour d'autres ? Quel rôle jouent les algorithmes, les médias et nos intérêts personnels? Analyse avec Valérie Gorin, directrice de la formation au Centre d'études humanitaires de Genève. Journaliste: Joëlle Cachin Réalisation: Brian Lanni Ressources de l'épisode: Le Dessous des cartes de Arte: https://www.arte.tv/fr/videos/RC-014036/le-dessous-des-cartes/ Revue de presse internationale de Radio France: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/revue-de-presse-internationale Page Youtube du CICR: https://www.youtube.com/@CICRdeParis The New Humanitarian: https://www.thenewhumanitarian.org/ Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch (modifié)

Revue de presse Afrique
À la Une: les droits de douane annoncés par Trump n'épargnent pas l'Afrique

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 4:14


Deux pays durement touchés : le Lesotho et Madagascar. La quatrième plus grande île du monde écope de 47% de droit de douane sur tous ses produits entrants aux États-Unis. Mais pas de panique pour l'Express de Madagascar. Qui titre « Trumpette dans un verre d'eau ». Estimant que les conséquences les plus importantes de ces décisions seront pour les consommateurs américains. Le journal loue le bloc international qui se dresse devant le président américain. L'Express de Madagascar qui cite la présidente mexicaine : « Trump tourne le dos à sept milliards de consommateurs qui n'auront aucun mal à troquer iPhone contre Samsung, Levi's contre Zara, Ford contre Toyota, Nike contre Adidas. (…) « Il ne faut pas (...) en faire un drame », rassure le journal « Même les petits pays exportateurs, à l'image de Madagascar, peuvent se tourner vers ces sept milliards de consommateurs à travers le monde. Hors ce sont les États-Unis qui risquent de vivre en autarcie avec leur politique protectionniste exacerbée ». « Faire un choix entre les plus vulnérables des plus vulnérables »Mais une autre décision de Donald Trump a bien plus de conséquences pour le continent africain : l'arrêt des aides américaines au développement. 83% de l'USAID supprimé. L'Amérique principal donateur des ONG humanitaires et autres programmes d'aides de l'ONU a coupé le robinet dès le jour de l'investiture de Donald Trump. Et les premières conséquences sont là. « Faire un choix entre les plus vulnérables des plus vulnérables » titre Le Monde Afrique. En RDC par exemple, la Guerre entre armée congolaise et M23 soutenu par le Rwanda provoque un afflux massif de réfugiés. Le programme alimentaire mondial réduit les rations alimentaires de moitié. « Sans financements supplémentaires », souffle une responsable au Monde : « nous devrons stopper toute aide alimentaire à partir de juillet ».Autre pays, le Soudan, victime d'une guerre dévastatrice entre armée régulière et forces paramilitaires. 9 millions de Soudanais déracinés ces deux dernières années. Là aussi conséquences concrètes : selon le HCR, source Le Monde « Plus de 500 000 déplacées pourraient perdre l'accès à l'eau potable, aux soins et à l'assainissement par manque de financements ».« Au Tchad » explique le journal « dans les camps autour de Farchana, non loin d'Adré, 160 000 réfugiés soudanais ne peuvent déjà plus être soignés correctement, les ONG locales ont dû cesser leur activité. (…) Quand votre budget est soudainement amputé des deux tiers, on choisit de rester dans certains pays et d'en quitter d'autres », explique au Monde Afrique une responsable d'une importante ONG sous couvert d'anonymat.Mali, Algérie, causes profondes de la criseLa crise diplomatique entre Mali et Algérie observée et commentée dans toute l'Afrique de l'Ouest. Pour rappel, le Mali accuse l'Algérie d'avoir abattu un de ses drones à sa frontière. Ce qu'Alger dément. Depuis dimanche, le dialogue semble rompu. Ambassadeurs des deux pays rappelés et espace aériens mutuellement fermés.Mais selon le site d'information guinéen Aminata, les causes de ce conflit sont bien plus profondes qu'un simple tir sur un drone. Il faut aller chercher l'accord d'Alger de 2015 pour comprendre. « Celui qui est », explique le journal en ligne « conçu comme socle d'une stabilisation durable du Mali par l'intégration politique des (séparatistes ndlr) Touaregs et qui pose comme base une gouvernance territoriale partagée ». Un accord duquel Bamako s'est retiré début 2024. Selon Aminata, ce retrait est « interprétée à Alger comme un démantèlement volontaire d'un mécanisme de sécurité régionale auquel l'Algérie avait prêté son poids politique ». Le journal guinéen analyse : « La crise actuelle préfigure peut-être d'une recomposition géopolitique durable au Sahel. Oppose deux visions : celle (...) d'acteurs étatiques souverainistes, militarisés et tournés vers de nouveaux partenaires, et celle d'une approche plus diplomatique (...) incarnée (...) par l'Algérie ».

Reporters
Revenir à Khartoum : au Soudan, les civils tentent de reconstruire leurs vies

Reporters

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 31:40


Après deux ans de guerre, l'armée soudanaise vient tout juste de gagner la bataille de Khartoum, la capitale du Soudan. Elle appelle désormais les habitants à revenir chez eux. Mais à quel prix ? Nos reporters étaient sur la ligne de front lors de la dernière phase de l'offensive contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Regardez leur reportage exclusif d'une durée de 31 minutes.

Invité Afrique
Soudan: «L'armée a visé la liquidation des commandants des FSR, d'où leur faiblesse structurelle»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 9:04


Au Soudan, le général Abdel Fattah al-Burhan et le général Mohamed Hamdane Daglo, dit « Hemetti » sont d'accord sur un point : pas de négociations, la guerre doit aller jusqu'au bout. Ces derniers jours, les Forces armées soudanaises du général Burhane ont remporté une victoire importante en chassant les Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemetti de Khartoum. Pourquoi cette guerre continue-t-elle ? Décryptage avec le chercheur soudanais Suliman Baldo, fondateur du centre de réflexions Sudan Policy and Transparency Tracker. RFI : pourquoi les Forces armées soudanaises ont-elles pris le dessus à Khartoum ?Suliman Baldo : les Forces armées soudanaises ont été sur la défensive depuis le début de la guerre. Elles ont subi beaucoup de revers parce que l'armée soudanaise, au début de la guerre, n'avait pas des troupes, des soldats d'infanterie. L'infanterie de l'armée soudanaise, c'étaient les Forces de soutien rapide (FSR). Mais depuis le mois de septembre 2024, l'armée soudanaise a pu recruter des milliers de volontaires. Et il y a aussi des volontaires islamistes, des brigades djihadistes du mouvement islamiste soudanais qui se sont jointes à l'armée et qui ont été le fer de lance de cette armée dans cette offensive.Alors, les Forces de soutien rapide n'ont pas seulement perdu Khartoum, elles ont dû se retirer aussi de Wad Madani. C'était il y a deux mois, au sud de Khartoum, et elles n'ont pas pu continuer d'assiéger El Obeid, c'est dans le Kordofan, au sud-ouest de Khartoum. Pourquoi cette série de défaites ?La raison principale du côté des Forces de soutien rapide, c'est que c'est une force milicienne. C'est une force de milice Janjawid où la loyauté des combattants est pour leur chef, disons à cause des liens de clan, des liens tribaux. Et sur le terrain, l'armée soudanaise a visé la liquidation des commandants et cela a mené à une situation où les combattants se sont retrouvés sans liens directs avec leurs commandants. Et donc tout cela montre une faiblesse structurelle dans la formation des Forces de soutien rapide.À lire aussiSoudan: suite aux revers des FSR, le centre du pays passe aux mains de l'armée C'est-à-dire qu'en ciblant et en neutralisant les chefs de clans et les chefs de tribus, les Forces armées soudanaises ont affaibli les Forces de soutien rapide ?Elles ont ciblé, disons, les chefs avec ciblage de drones, oui, mais aussi avec infiltration des Forces de soutien rapide. Il y a par exemple Dalaha, c'est l'un des plus récents. C'est quelqu'un qui a été très illustre dans les rangs des Forces d'intervention rapide et sa liquidation a beaucoup affaibli le moral de ces Forces.Et ce chef de guerre, il a été assassiné où ?C'était quelqu'un qui était dans le centre du Soudan, dans la région de la capitale. Et ses combattants disent que c'était un drone qui a visé son véhicule.Son véhicule a été ciblé par un drone ?Voilà, c'est ça !À lire aussiSoudan: les FSR concèdent la perte de Khartoum, leur chef promet de revenir avec «une détermination plus forte»À Wad Madani, au sud de Khartoum, les FSR ont commis des atrocités contre la population. Est-ce que c'est l'une des raisons pour lesquelles, elles ont perdu le contrôle de cette ville ?Partout, où elles se sont déployées, les Forces de soutien rapide se sont attaquées à la population civile. Dans certains endroits, comme dans l'État de Darfour de l'Ouest, c'était un ciblage ethnique. Pour les Massalits par exemple, c'était des actions génocidaires qu'elles ont commise contre ces populations. Un comportement criminel. Et ce qui fait qu'elles n'avaient pas de soutien au sein de la population. Mais alors, au moment où l'armée soudanaise est arrivée à récupérer Al–Jazirah, et maintenant ça se passe aussi à Khartoum, il y a certaines unités de l'armée soudanaise qui s'adonnent au même type de comportement criminel, c'est-à-dire des escadrons de la mort, qui visent les populations de l'ouest du Soudan, du sud du Soudan, les Noubas par exemple, comme étant des collaborateurs des Forces de soutien rapide, et elles sont en train de les liquider dans des exécutions sommaires devant caméra !Et cela se passe, dites-vous, dans l'État d'El-Jazirah, et notamment dans la ville de Wad Madani, au sud de Khartoum ?Cela se passe aussi maintenant, au moment où on se parle, à Khartoum même. Ces brigades se sont montrées vraiment très systématiques dans la poursuite des soi-disant collaborateurs des Forces de soutien rapide.Malgré sa défaite militaire de Khartoum, le général Hemetti affirme qu'il n'y aura ni retraite ni reddition. Mais est-ce qu'il a les moyens de continuer le combat ?Alors, il y a deux choses, n'est-ce pas, Hemetti a fait ces affirmations, ces menaces, dans son adresse à l'occasion de l'Aïd el-Fitr. Le même jour, Al-Burhan a fait un discours similaire où il a dit : « Pas de négociations, pas de compromis avec les Forces de soutien rapide. On ira dans la guerre jusqu'à la fin ». Donc, les deux belligérants sont vraiment déterminés à continuer la guerre. Est-ce que les Forces de soutien rapide ont la force de continuer la guerre ? Leurs combattants, qui se sont retirés du centre du Soudan, sont intacts et donc les deux belligérants se préparent pour des nouvelles phases de combats.À lire aussiSoudan: une Constitution de transition signée à Nairobi entre les paramilitaires et leurs alliés

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 29 mars 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Mar 29, 2025 48:30


Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré entièrement au changement climatique et à ses conséquences. En première partie, direction le Tchad, à Farchana, où les populations souffrent de ce que le changement climatique leur inflige. Avec la déforestation et la raréfaction de l'eau. En deuxième partie, direction la Bolivie, avec les incendies de forêts de plus en plus fréquents et dévastateurs. Tchad : Farchana, face à une double crise climatique et humanitaire Aujourd'hui, Grand reportage vous emmène tout à l'est du Tchad, dans la province du Ouaddai. Entre Abéché, la capitale provinciale et Adré, ville frontière avec le Soudan, se trouve une petite bourgade d'à peine 7 000 habitants, Farchana. Construite sur du sable, cette ville connait de nombreux bouleversements. Le réchauffement climatique et la déforestation qui frappe la région ont érodé ses sols. Et l'eau se fait de plus en plus rare.À cette crise climatique, s'ajoute le drame humanitaire. Depuis 2003, plus de 50 000 réfugiés soudanais se sont installés à Farchana. Et bien d'autres pourraient arriver à cause du conflit qui perdure au Soudan. Les habitants craignent donc que cela affecte leurs ressources. Alors comment survivre dans ces conditions ? Comment se passe la coexistence entre la population tchadienne et les réfugiés ? Un Grand reportage d'Igor Strauss qui s'entretient avec Jacques Allix.  Bolivie : feux de forêt massifs et déforestation menacent la biodiversité Chaque année en Bolivie, des millions d'hectares sont dévastés par les incendies. En 2024, les feux ont été d'une ampleur sans précédent, dix millions d'hectares, l'équivalent de deux fois et demie la superficie d'un pays comme la Suisse, ont été réduits en cendres. Plusieurs mois après la fin des feux, leurs conséquences se font toujours ressentir : communautés sans production agricole pour se nourrir, personnes âgées à la santé encore précaire à cause des fumées et, bien sûr, la forêt et sa biodiversité qui peinent à se remettre de cet épisode. Un Grand reportage de Nils Sabin qui s'entretient avec Jacques Allix.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 28 mars 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

Journal de l'Afrique
Le Soudan du Sud se "rapproche encore " de la guerre civile, selon l'ONU

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 13:32


L'ONU déplore une situation alarmante au Soudan du Sud et s'inquiète de l'arrestation du vice-président Riek Machar par des forces loyales au président Salva Kiir. Le vice-président a été interpellé dans sa résidence par des hommes armés conduits par le ministre de la Défense et le chef de la Sécurité nationale. La correspondance régionale de Bastien Renouil.

Journal de l'Afrique
Le chef de l'armée soudanaise déclare que Khartoum est "libérée"

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 13:34


Le chef de l'armée soudanaise, le général Abdel Fattah al-Burhane, a affirmé que Khartoum avait été "libérée", après l'annonce plus tôt de la reprise par ses forces de l'aéroport de la capitale, aux mains des paramilitaires. "Khartoum est libérée, c'est terminé", a déclaré depuis le Palais présidentiel le dirigeant de facto du Soudan dans un discours diffusé par la télévision publique. L'armée contrôle à présent l'est et le nord du Soudan.

Journal en français facile
Incendies en Corée du Sud / Volodymyr Zelensky est à Paris / Groenland: «Il nous le faut», affirme Trump...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mercredi 26 mars 2025, 17 h 00 à Paris.  ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | Ukraine, Groenland, Soudan, Corée du Sud: les titres du 26 mars 2025 | niveau A2 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BWug.A

Radio foot internationale
Bilan des Éliminatoires Afrique

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 48:30


Au sommaire de Radio Foot Internationale ce mercredi 26 mars 2025, à 16h10 TU & 21h10 TU : Éliminatoires Coupe du Monde : - Afrique : Fin de la 6è journée ! ; - Amérique du Sud : l'Argentine déjà au rendez-vous ! ; - Les Anglais de Tuchel : un premier bilan encourageant ? Éliminatoires Coupe du Monde Afrique : Fin de la 6è journée !• Groupe B : La RDC et le Sénégal engrangent des points, le Soudan ralentit… Suspense total !• Dans les autres groupes… à quatre journées de la fin, quelles tendances se dessinent ? Des surprises en vue ? Amérique du Sud : l'Argentine déjà au rendez-vous !• Qualification express et démonstration de force face au rival brésilien (4-1).• Brésil en crise : A-t-il perdu son football ? Problèmes sportifs et extra-sportifs… Analyse avec Eric Frosio, en direct de Rio. Les Anglais de Tuchel : un premier bilan encourageant ?• Deux victoires face à l'Albanie et la Lettonie en éliminatoires CDM… Quels enseignements pour le coach allemand après son premier rassemblement ?Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Chérif Ghemmour et Franck Simon — Édition : David Fintzel —Technique/Réalisation : Matthieu Degueldre.

Radio Foot Internationale
Bilan des Éliminatoires Afrique

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 48:30


Au sommaire de Radio Foot Internationale ce mercredi 26 mars 2025, à 16h10 TU & 21h10 TU : Éliminatoires Coupe du Monde : - Afrique : Fin de la 6è journée ! ; - Amérique du Sud : l'Argentine déjà au rendez-vous ! ; - Les Anglais de Tuchel : un premier bilan encourageant ? Éliminatoires Coupe du Monde Afrique : Fin de la 6è journée !• Groupe B : La RDC et le Sénégal engrangent des points, le Soudan ralentit… Suspense total !• Dans les autres groupes… à quatre journées de la fin, quelles tendances se dessinent ? Des surprises en vue ? Amérique du Sud : l'Argentine déjà au rendez-vous !• Qualification express et démonstration de force face au rival brésilien (4-1).• Brésil en crise : A-t-il perdu son football ? Problèmes sportifs et extra-sportifs… Analyse avec Eric Frosio, en direct de Rio. Les Anglais de Tuchel : un premier bilan encourageant ?• Deux victoires face à l'Albanie et la Lettonie en éliminatoires CDM… Quels enseignements pour le coach allemand après son premier rassemblement ?Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Chérif Ghemmour et Franck Simon — Édition : David Fintzel —Technique/Réalisation : Matthieu Degueldre.

Priorité santé
Sommet Nutrition for Growth contre la malnutrition

Priorité santé

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 48:30


À l'occasion du Sommet international Nutrition for Growth, qui a lieu à Paris le 27 et 28 mars, nous parlons de la lutte contre la malnutrition. L'accès à une alimentation suffisante et équilibrée est particulièrement important pour le développement des jeunes enfants. Or, d'après l'Unicef, « dans le monde, un enfant sur 4 de moins de 5 ans souffre de malnutrition », c'est-à-dire de dénutrition, de carences ou d'obésité, avec un risque de mortalité important. En 2016, l'Assemblée générale des Nations unies a proclamé une décennie d'action des Nations unies pour la nutrition qui s'achève cette année, dans un contexte compliqué, après la décision de l'administration américaine de supprimer 92% des financements de programmes humanitaires à l'étranger.Quel est l'impact du retrait de ces financements américains sur la lutte mondiale contre la malnutrition ? Comment prendre en charge les enfants malnutris ? Comment faciliter l'accès à la nourriture aux populations en zones de conflits ?  Eve Gossiaux, représentante d'Afrique francophone du mouvement SUN, mouvement pour le renforcement de la nutrition  Caroline Antoine, responsable du secteur Nutrition & Santé pour Action contre la Faim Dr Rodrigue Alitanou, directeur des Opérations de l'ONG ALIMA  Pr Hanta Marie Danielle Vololontiana, coordinatrice nationale de l'Office National de Nutrition à Madagascar Reportage de Florence Miettaux, correspondante de RFI au Soudan du Sud. Programmation musicale :► M,Toumani Diabaté, Sidiki Diabaté - Je suis Mali► Manu Chao - Coraçao no mar. 

Priorité santé
Sommet Nutrition for Growth contre la malnutrition

Priorité santé

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 48:30


À l'occasion du Sommet international Nutrition for Growth, qui a lieu à Paris le 27 et 28 mars, nous parlons de la lutte contre la malnutrition. L'accès à une alimentation suffisante et équilibrée est particulièrement important pour le développement des jeunes enfants. Or, d'après l'Unicef, « dans le monde, un enfant sur 4 de moins de 5 ans souffre de malnutrition », c'est-à-dire de dénutrition, de carences ou d'obésité, avec un risque de mortalité important. En 2016, l'Assemblée générale des Nations unies a proclamé une décennie d'action des Nations unies pour la nutrition qui s'achève cette année, dans un contexte compliqué, après la décision de l'administration américaine de supprimer 92% des financements de programmes humanitaires à l'étranger.Quel est l'impact du retrait de ces financements américains sur la lutte mondiale contre la malnutrition ? Comment prendre en charge les enfants malnutris ? Comment faciliter l'accès à la nourriture aux populations en zones de conflits ?  Eve Gossiaux, représentante d'Afrique francophone du mouvement SUN, mouvement pour le renforcement de la nutrition  Caroline Antoine, responsable du secteur Nutrition & Santé pour Action contre la Faim Dr Rodrigue Alitanou, directeur des Opérations de l'ONG ALIMA  Pr Hanta Marie Danielle Vololontiana, coordinatrice nationale de l'Office National de Nutrition à Madagascar Reportage de Florence Miettaux, correspondante de RFI au Soudan du Sud. Programmation musicale :► M,Toumani Diabaté, Sidiki Diabaté - Je suis Mali► Manu Chao - Coraçao no mar. 

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Israël : qui est à l'origine des tirs de roquette lancés depuis le Liban ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la fin du statut légal de 500 000 migrants aux États-Unis, l'influence d'Elon Musk dans une campagne électorale du Wisconsin et l'avancée de l'armée soudanaise à Khartoum. Israël : qui est à l'origine des tirs de roquette lancés depuis le Liban ?  Malgré l'accord de cessez-le-feu en vigueur depuis quatre mois, des tirs de roquettes lancés depuis le sud du Liban ont été interceptés par l'armée israélienne au-dessus de la ville de Metula, en Galilée. Le Hezbollah nie être à l'origine de ces tirs. Qui est alors responsable de ces attaques ? Ces derniers évènements peuvent-ils mettre un terme à la trêve ?Avec Paul Khalifeh, correspondant de RFI à Beyrouth.   États-Unis : 532 000 migrants priés de quitter le territoire  L'administration du président Donald Trump a annoncé la fin du statut légal de 532 000 migrants cubains, haïtiens, nicaraguayens et vénézuéliens, arrivés aux États-Unis dans le cadre d'un programme lancé en 2022 par Joe Biden. Pourquoi cette décision concerne-t-elle uniquement les migrants qui ont bénéficié de ce programme ? Quel en était le principe ?  États-Unis : Elon Musk offre 100 dollars aux électeurs du Wisconsin  À moins de deux semaines d'une élection à la Cour suprême de l'État du Wisconsin, Elon Musk promet 100 dollars à tous les électeurs qui signeront une pétition contre les juges « militants ». Une initiative qui vise à favoriser le candidat républicain, Brad Schimel. Pourquoi le multimilliardaire s'intéresse-t-il autant à cette élection locale ? Sa démarche est-elle légale ?  Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle.  Soudan : l'armée régulière peut-elle reconquérir Khartoum ? Après avoir repris le Palais présidentiel et d'autres bâtiments qui étaient aux mains des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), les troupes du général al-Burhan continuent de progresser dans Khartoum. Comment expliquer cette avancée de l'armée régulière ? Quelles conséquences ces reconquêtes ont-elles sur les FSR ?Avec Marc Lavergne, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste de la Corne de l'Afrique et du Moyen-Orient.

Un jour dans le monde
Pourquoi la guerre au Soudan pourrait entraîner une partition du pays

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 3:19


durée : 00:03:19 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Au Soudan, l'armée regagne du terrain face aux paramilitaires des FSR, notamment à Khartoum. Mais chaque camp consolide par ailleurs ses positions.

Grand reportage
Tchad : Farchana, face à une double crise climatique et humanitaire

Grand reportage

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 19:28


Aujourd'hui, Grand reportage vous emmène tout à l'est du Tchad, dans la province du Ouaddai. Entre Abéché, la capitale provinciale et Adré, ville frontière avec le Soudan, se trouve une petite bourgade d'à peine 7 000 habitants, Farchana. Construite sur du sable, cette ville connait de nombreux bouleversements. Le réchauffement climatique et la déforestation qui frappe la région ont érodé ses sols. Et l'eau se fait de plus en plus rare. À cette crise climatique, s'ajoute le drame humanitaire. Depuis 2003, plus de 50 000 réfugiés soudanais se sont installés à Farchana. Et bien d'autres pourraient arriver à cause du conflit qui perdure au Soudan. Les habitants craignent donc que cela affecte leurs ressources. Alors comment survivre dans ces conditions ? Comment se passe la coexistence entre la population tchadienne et les réfugiés ? «Farchana, face à une double crise climatique et humanitaire», un Grand reportage d'Igor Strauss.

Journal de l'Afrique
Niger : une nouvelle attaque jihadiste fait plus de quarante morts dans l'ouest du pays

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 22, 2025 11:10


Au Niger, 44 civils ont été tués vendredi 21 mars lors d'une attaque jihadiste. Le ministère de l'Intérieur a très vite pointé du doigt le groupe État islamique au Grand Sahara. Cela s'est passé dans le village de Fambita, dans l'ouest du pays, dans la zone dite des trois frontières, partagée par le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Un deuil national de trois jours a été annoncé par les autorités.

French Expat Le Podcast
[EPISODE SPECIAL PODCASTHON] Justine Musik Piquemal : Humanitaire et maman, au cœur des crises internationales

French Expat Le Podcast

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 61:49


Peut-on être maman et humanitaire de terrain ?Quand Justine Musik Piquemal a voulu se lancer dans l'humanitaire, on lui a dit : "Les mères de famille ne font pas d'humanitaire." Et pourtant, aujourd'hui, elle est directrice régionale pour l'ONG Solidarités International, et coordonne des interventions dans certains des contextes les plus instables du monde : Centrafrique, Soudan, RDC, Mozambique...Dans cet épisode spécial Podcasthon, Justine nous emmène dans les coulisses de la vie d'une humanitaire engagée.Entre sa première mission en Afghanistan – un pays qui lui est resté gravé dans la peau – et les défis du terrain, elle partage sans filtre ses expériences : négociations sous tension, urgences vitales, préjugés de genre…

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Soudan du Sud : le pays est-il au bord de la guerre civile ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur l'accord passé entre les autorités syriennes et la communauté kurde et les taxes douanières américaines contre le Canada. Soudan du Sud : le pays est-il au bord de la guerre civile ? Au Soudan du Sud, les tensions sont au plus haut niveau entre le président et son vice-président. Qu'est-ce qui a provoqué ces tensions ? L'accord de paix de 2018 peut-il être remis en cause ? Avec Florence Miettaux, correspondante de RFI à Juba.  Syrie : accord historique entre les autorités et les forces kurdes En Syrie, un accord a été trouvé entre les nouvelles autorités et la communauté kurde du nord-est du pays. Quel rôle exact joueront les institutions autonomes kurdes dans le nouvel État syrien ? Quel intérêt le régime syrien tire-t-il de cette intégration ? Cet accord signifie-t-il la fin des opérations turques sur le territoire ?Avec Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen.   Etats-Unis/Canada : revirement de Donald Trump sur les taxes douanières Après avoir à nouveau menacé le Canada de doubler les taxes douanières, de 25% à 50%, le président américain a finalement renoncé à ces sanctions quelques heures après. Pourquoi Donald Trump fait-il volte-face ? Le nouveau Premier ministre canadien, Mark Carney, avait promis une riposte. Sur quels aspects économiques et commerciales pourrait-il contre-attaquer ?Avec Pierre-Alexandre Beylier, professeur à l'université Grenoble Alpes, spécialiste en civilisation nord-américaine.   Et en fin d'émission, la chronique « Un oeil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, les réactions des internautes maliens face à l'augmentation des taxes de téléphonie.

Invité Afrique
Soudan: après deux ans de guerre civile, «le risque» de partition est bien présent

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 4:34


Au Soudan, il y a « un énorme risque de partition du pays », affirme l'Union africaine, après la décision des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemedti de former prochainement un gouvernement parallèle. Presque deux ans après le début de la guerre civile dans ce pays, y a-t-il vraiment un risque de sécession ? Et peut-il y avoir un impact sur la stabilité politique du Tchad ? Décryptage avec Roland Marchal, chercheur à Sciences Po Paris. Il répond aux questions de C. Boisbouvier.

Les matins
Soudan du sud / harcèlement scolaire / Faut-il signer une trêve avec la Russie ?

Les matins

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 149:34


durée : 02:29:34 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Emmanuelle Piquet Thérapeute, fondatrice du centre A 180 degrés, centre de consultations et de formations spécialisé dans la gestion des souffrances à l'école; Mathieu Bock-Côté Sociologue, essayiste.; Emmanuelle Veuillet Doctorante en science politique à l'Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne

Journal de l'Afrique
République démocratique du Congo : fin de la mission de la SAMIDRC

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 17:02


En sommet extraordinaire, les pays d'Afrique australe "ont mis fin au mandat" de leur mission militaire dans l'est de la République démocratique du Congo. Ils ont dans la foulée "ordonné le début d'un retrait progressif des troupes". 

Journal de l'Afrique
Partenariat sur les minerais : vers un accord entre Kinshasa et Washington ?

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 11:19


En République démocratique du Congo, les combats entre les forces gouvernementales et les rebelles M23 soutenus par le Rwanda se poursuivent dans les provinces du Sud et du Nord Kivu. Le gouvernement congolais pourrait proposer un accord minier avec les États-Unis, dans l'espoir d'obtenir un soutien diplomatique. 

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Soudan: Khartoum accuse Abu Dhabi d'être «complice de génocide»

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur les attaques contre les Alaouites en Syrie et la candidature de Samuel Eto'o au comité exécutif de la CAF. Soudan : Khartoum accuse Abu Dhabi d'être « complice de génocide » Dans une requête déposée devant la Cour internationale de Justice (CIJ), les autorités soudanaises accusent les Émirats arabes unis d'être complices d'un « génocide » en raison de leur soutien présumé aux Forces de soutien rapide (FSR). Quels sont les arguments du Soudan ? Comment réagissent les Émiratis à ces accusations ? Si la CIJ se déclare compétente, que risque Abu Dhabi ?Avec Stéphanie Maupas, correspondante de RFI à La Haye.    Syrie : les Alaouites ciblés par de violentes attaques  Depuis le jeudi 6 mars, une centaine de civils de la minorité alaouite ont été tués par les forces de sécurités du nouveau régime et leurs alliés à l'ouest de la Syrie. Pourquoi les membres de cette communauté sont-ils autant persécutés depuis la chute de Bachar al-Assad ? Comment les nouvelles autorités syriennes comptent-elles empêcher de nouveaux massacres ?Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'Institut de Recherches et d'Études sur les Mondes Arabes et Musulmans (IREMAM), spécialiste de la Syrie.    CAF : Samuel Eto'o autorisé à se présenter au Comex Initialement rejetée par la Confédération africaine de football, la candidature de Samuel Eto'o à l'élection du comité exécutif de la CAF a été autorisée par le Tribunal arbitral du sport (TAS). Comment le TAS justifie-t-il cette décision ? S'il est élu vice-président de la CAF, quelles sont les chances de l'ex-attaquant de présider l'instance dans quatre ans ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.