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Le Journal en français facile du vendredi 16 mai 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BfyM.A
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode des balado du CAPED,Je suis heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de nos balados, je suis Aurore Gavenda, étudiante au programme de doctorat de sciences politiques de l'Université de Montréal et membre étudiante du CAPED et c'est moi qui animerais cet épisode avec vous aujourd'hui. Aujourd'hui, nous revenons sur un événement qui a agité le monde politique et médiatique lors de l'été 2024 : les campements en soutien à la lutte pour la Palestine. Du mois d'avril au mois de juillet 2024, Montréal a été le théâtre de plusieurs campements en soutien à la lutte pour la libération de la Palestine, notamment sur les campus de McGill et de l'UQAM mais aussi au Square Victoria. Pour présenter rapidement le contexte, un premier campement a été érigé à l'université de McGill le 27 avril 2024 par des groupes étudiants dont les revendications portaient sur la rupture des liens financiers et académiques de l'université avec le gouvernement d'Israël. Ce campement a atteint environ cent tentes et comprenait des installations telles qu'une bibliothèque, une tente médicale, des espaces communautaires et de prières ainsi qu'un magasin gratuit. Des actions collectives et éducatives y étaient organisées quotidiennement. Malgré les pressions conjointes de l'administration universitaire et des autorités politiques, le campement a perduré jusqu'au 10 juillet 2024. À l'UQAM, un campement similaire a été organisé le 12 mai, en réponse à la demande d'injonction déposée par l'université McGill contre son propre campement. Il visait lui aussi à dénoncer les liens des institutions académiques avec le gouvernement d'Israël. Pour nous parler de ces expériences nous accueillons aujourd'hui Safa Chebbi, René et Viva, qui ont été présent.es et actif.ves sur différents campements. Safa Chebbi est étudiante à l'UQAM et impliquée à SDHPP (Solidarité pour les Droits Humains des Palestiniennes et Palestiniens). René milite pour Désinvestir pour la Palestine, collectif de citoyen.nes, militant.es et groupes de la société civile engagé.es dans la lutte palestinienne. Viva est un militant de l'écothèque, collectif étudiant qui milite pour la justice climatique à travers l'art, l'éducation et l'action directe. Le retour sur leur vécu que nous allons effectuer aujourd'hui va nous permettre de discuter ensemble du phénomène du campement militant. Comment le simple fait d'occuper un espace, d'y installer sa tente et de quoi vivre, devient un acte politique radical, une stratégie et une manière de lutter ? Nous vous souhaitons une belle écoute.Animation : Aurore GavendaRéalisation, et post-production : Aurore Gavenda.Invité.es : Safa Chebbi, René, VivaVisuel : Michelle E.J. Martineau. Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Depuis plusieurs années maintenant une transformation profonde anime le milieu du travail ; la quête de sens au travail. Loin d'être une simple tendance post-Covid, cette recherche de sens dans sa carrière professionnelle anime de plus en plus de salarié.es mais aussi futur.es salarié.es ; Plusieurs études menées depuis 2020 attestent ainsi de cette évolution : c'est devenueAu-delà de l'amélioration de conditions de travail, c'est la notion d'utilité sociétale et la valeur travail dans son ensemble qui interroge aujourd'hui. Nous prenons en effet le temps de réfléchir à la place du travail dans nos vies, à ses finalités. Des questions profondément liées à celle de l'engagement, et qui représente un enjeu décisif pour les formations et pour les entreprises qui veulent attirer et fidéliser leurs collaborateurices. Alors, qu'entend-on par sens au travail ? Comment répondre à ce besoin ? Le sens au travail est-ce un rêve illusoire ou une réalité possible ? Pour témoigner sur ce sujet et nous partager leurs expériences nous recevons dans cet épisode 2 invités actuellement en reconversion par conviction et donc quête de sens qui nous partage leur expérience.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Périco Legasse, journaliste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans cet épisode, nous avons la joie de recevoir Sébastien Vauclair, astrophysicien de formation et membre de DarkSky France ainsi que Jean-François Graffand, président de DarkSky France et astro-photographe. À travers leurs interventions, nous abordons les enjeux multiples liés à la pollution lumineuse : perturbations écologiques, conséquences sanitaires, disparition progressive de la nuit étoilée… Nos invités reviennent également sur les actions menées par l'organisation DarkSky, tant sur le plan de la sensibilisation du public que sur celui de la mobilisation des territoires, notamment à travers les démarches de labellisation des sites nocturnes remarquables. Pourquoi continue-t-on à éclairer autant, partout et souvent inutilement ? Comment agir concrètement pour réduire la pollution lumineuse ? Que révèle l'artificialisation de nos éclairages sur notre rapport au vivant, au paysage et au temps ? Cet échange offre un éclairage précis sur les implications scientifiques, environnementales et sociétales de la pollution lumineuse et sur les leviers concrets permettant de préserver l'obscurité comme ressource commune précieuse. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, nous recevons Alain Berset, secrétaire général du Conseil de l'Europe. Défense de la démocratie, reconstruction de l'Ukraine, résilience face aux ingérences étrangères : il commente les missions menées par son organisation.
Pour encore une bonne partie de notre société, les animaux n'ont pas d'idées, ni de croyances – certain.e.s doutent d'ailleurs encore du fait qu'ils souffrent ou ressentent des émotions. Et pourtant ces dernières décennies sont marquées par des évolutions majeures dans ces relations entre l'humain et les autres animaux : évolutions qui ont modifié le statut juridique des animaux non humains, la prise en compte de leurs conditions de vie, mais modifié également nos relations avec eux et introduit les notions de bien-être et de protection animal. Pour décrypter ce sujet et ses évolutions nous échangeons dans cet épisode avec Loïc DOMBREVAL docteur vétérinaire, Président du Conseil National de Protection Animale mais aussi Rapporteur général de la loi contre la maltraitance animale.Plus d'infos : https://3677.fr/https://www.cnpa-asso.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Au Cameroun, à six mois de la présidentielle, le régime se durcit contre les défenseurs des droits de l'homme », déplore Maximilienne Ngo Mbé, la directrice exécutive du REDHAC, le Réseau des Défenseurs des Droits Humains en Afrique Centrale. Aujourd'hui, le REDHAC lui-même est dans le viseur du pouvoir, qui l'a suspendu en décembre dernier et qui poursuit à présent ses dirigeantes devant la justice. « Ce sont des décisions scandaleuses », affirme Human Rights Watch. Quelles sont les situations les plus préoccupantes ? RFI : Le 3 avril dernier, le Parlement européen a voté une résolution demandant aux autorités camerounaises de libérer cinq journalistes. Il s'agit des collègues anglophones Tsi Conrad, Mancho Bibixy, Kingsley Fomunyuy Njoka et Thomas Awa Junior, qui ont rendu compte du conflit armé dans les régions anglophones. Il s'agit également d'Amadou Vamoulké, l'ancien directeur général de la radiotélévision publique camerounaise, la CRTV. Votre réaction ?Maximilienne Ngo Mbé : C'est une petite joie pour nous, parce que les cinq journalistes que vous avez cités, le Redhac a été à leurs côtés. Nous avons mené des actions de plaidoyer depuis plus de cinq à sept ans. C'est donc avec beaucoup de joie que nous recevons cette décision. Nous osons croire qu'elle ne restera pas uniquement sur le papier et que l'Union européenne mettra tout en œuvre pour que leur libération soit effective.Quelles sont les autres personnalités actuellement emprisonnées au Cameroun pour leurs opinions politiques ou simplement pour leurs désaccords avec le pouvoir en place ?Nos pensées vont vers le professeur Alain Fogué, militant du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). Lui a été arrêté alors qu'il allait simplement rendre visite à son président, le professeur Maurice Kamto. Il y a aussi le porte-parole de M. Maurice Kamto, Bibou Nissack, qui a été arrêté chez lui, devant ses enfants et sa femme. Il n'était pas dehors pour manifester, cela ressemble à du kidnapping. Il y a aussi leurs camarades, ils sont 32 aujourd'hui, à rester en prison simplement parce qu'ils ont donné leurs opinions. Il y a aussi le cas de Marafa Hamidou Yaya, dont l'état de santé est très fragile.Marafa Hamidou Yaya a été secrétaire général de la présidence, il est tombé en disgrâce et en prison depuis 2012. Il souffre d'une grave maladie des yeux. Il y a un an, François Hollande a écrit à Paul Biya pour demander de le libérer pour raisons de santé, mais le président camerounais ne bouge pas. Pourquoi cette dureté contre ce prisonnier ?Je ne sais pas si c'est le président qui ne bouge pas ou si c'est la bureaucratie du président qui ne bouge pas. J'ai toujours eu à dire que depuis que je milite — cela fait quand même deux ou trois décennies – lorsque le président Paul Biya a été au courant d'une situation grave il a été prompt à réagir. Depuis un moment, on sait bien qu'il est un peu affaibli par l'âge. Est-ce que son entourage lui fait part de tout ? Je ne peux ni l'affirmer ni l'infirmer. En tout cas, M. Marafa, même pour raisons de santé, humainement, on peut dire qu'il a payé. […] Il devrait au moins pouvoir se faire soigner.Dans six mois, c'est l'élection présidentielle, prévue en octobre. Le parti au pouvoir, le RDPC, demande à Paul Biya, aujourd'hui âgé de 92 ans, de se présenter pour un nouveau mandat de sept ans. Est-ce que cette période est favorable à plus de clémence ou, au contraire, à plus de dureté ?J'avoue que, depuis un moment, on assiste à beaucoup de dureté de la part du gouvernement et du parti au pouvoir. Il ne lésine sur aucun moyen. Maintenant, c'est la même chose pour la justice, la police, l'armée. Vous êtes filé tout le temps, et vous êtes convoqué devant des juridictions. Le ministère de l'Administration territoriale promet la prison à tout le monde. Il empêche même un député de se mouvoir pour présenter son programme politique. Ce même ministère adopte une posture de durcissement de l'espace civique, au détriment de tout ce qu'on entend derrière sur le fait qu'il nous faut des élections pacifiques. Il y a un décalage entre le langage et les faits sur le terrain.Et ce durcissement, vous craignez qu'il s'intensifie à mesure qu'on va se rapprocher de la date du mois d'octobre prochain ?Bien sûr, il n'y a aucun doute là-dessus, si rien n'est fait.Pourquoi ?Parce que le président Paul Biya n'a toujours pas annoncé s'il sera candidat, jusqu'à aujourd'hui, personne ne le sait. Mais on pense que ceux qui sont restés longtemps à ses côtés au pouvoir veulent absolument qu'il continue, car cela leur permet de ne pas rendre de comptes. Ceux qui sont au pouvoir ont bénéficié de tous les privilèges et ont spolié les populations, ils sont à la manœuvre pour ne pas laisser le président, peut-être, aller se reposer et ils vont durcir de plus en plus l'espace. On attire l'attention des pays amis du Cameroun pour que cela ne se fasse pas. Il est donc grand temps que la France joue son rôle, aujourd'hui plus que jamais, pour que cela cesse.
"Je suis l'une des porte-voix de celles et ceux qui ont souffert, je me bats contre les dictatures, les oppressions, les exactions". Tels sont les mots d'Agnès Callamard, secrétaire générale d'Amnesty International. Elle a travaillé au Pakistan, au Kenya, au Sénégal, en Tanzanie ou encore en Inde. Elle a enquêté sur l'affaire Khashoggi, Navalny, Souleimani … Agnès Callamard, patronne de l'une des plus importantes organisation mondiales de défense des droits de l'homme, raconte une vie de lutte contre l'impunité dans un livre, qui vient de paraître : "Une enquêtrice à l'ONU" (éd. Flammarion). Elle est notre invitée.
Le 3 avril 2025, une décision historique a été prise lors du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève. Les États membres ont adopté une résolution visant à créer un groupe de travail intergouvernemental pour rédiger une convention internationale sur les droits humains des personnes âgées, explique Vijay Naraidoo, responsable de la Commission pour les droits des personnes âgées de DIS-MOI. Il ajoute que cette avancée est le fruit de nombreuses années de plaidoyer de la société civile, des défenseurs des droits des personnes âgées et d'organisations telles que DIS-MOI. Vijay Naraidoo nous présente les propositions formulées pour cette nouvelle convention.
Dans ce nouvel épisode nous explorons une autre forme d'engagement : l'engagement et plus précisément le militantisme par l'art. A travers l'expérience d'Emmanuelle Valentin, artiste plasticienne dont les œuvres s'engagent pour des valeurs sociétales, nous abordons les forces et difficultés dans cette forme d'expression, son évolution ou encore les réceptions par le public de ces messages. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Longtemps, le sujet a été tabou... Aujourd'hui, les hommes politiques gabonais acceptent d'en parler. Tous les ans, une centaine d'enfants sont victimes de crimes rituels au Gabon. Il y a 20 ans, en 2005, Jean-Elvis Ebang Ondo a perdu son fils dans ces circonstances atroces. Aujourd'hui, il est sénateur et il préside l'Association de lutte contre les crimes rituels au Gabon. Et une semaine avant la présidentielle du 12 avril, il interpelle les huit candidats. À Libreville, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
Alors que les conséquences de nos comportements sur Terre se font de plus en sentir que ce soit en matière de conséquences du réchauffement climatique ou de destruction de la biodiversité. Et alors que les scientifiques établissement des préconisations pour assurer la viabilité de notre société, des règlementation environnementales voient le jour dans les pays du monde. En Europe, en 2019, les membres de l'UE ont ainsi adopté un ensemble de mesures visant à adapter les politiques de l'UE en matière de climat, d'énergie, de transport et de fiscalité en vue de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l'Europe. Parmi ces mesures, il en existe bon nombre qui concernent les entreprises en leur imposant entre autre des obligations de transparence sur l'ensemble de leurs impacts sur l'environnement et la société par des rapports réguliers mesurant ces impacts. Ces différentes directives proposées en Europe dès 2020 viennent cependant d'être mises sous le feu des projecteurs de l'actualité car le 26 février la commission européenne a annoncé un revirement dans le plan initial avec une simplification des charges de reporting des entreprises ; Nommée Omnibus cette simplification doit encore être validée par le conseil européen et le parlement, elle a quand même susciter un grand nombre de réaction : c'est un vent de soulagement pour certains, pour d'autres cette annonce marque un retour en arrière face aux efforts environnementaux et sociaux fournis ces dernières années. Pour décrypter ce sujet et ses conséquences je discute aujourd'hui avec Laurent Lascols spécialisé en économie de l'environnement et de la finance durable et qui aujourd'hui se dédie a la formation sur ces sujets.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous analysons les enjeux environnementaux et sanitaires des PFAS, ces substances chimiques omniprésentes dans de nombreux produits de consommation, l'eau et l'air - mais qui représentent un risque majeur pour la santé publique et l'environnement. Pourquoi ces « polluants éternels » continuent-ils de contaminer nos sols et nos ressources en eau, malgré leur toxicité bien documentée ? Et quelles sont leurs répercussions sur notre santé à long terme ? Avec l'expertise de Romain Figuière, spécialiste en toxicologie environnementale et doctorant à l'Université de Stockholm, nous examinons la persistance de ces substances dans l'environnement, leur accumulation dans les organismes humains et les écosystèmes, ainsi que les défis qu'elles posent à l'échelle nationale, européenne et internationale. Un éclairage pour comprendre les implications de cette pollution et les stratégies de gestion à mettre en place pour protéger notre santé et notre environnement. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président Ghanéen John Dramani Mahama est arrivée samedi à Bamako dans le cadre d'une tournée dans les pays de l'alliance des états du Sahel ( Mali , Burkina et Niger) . Le président ghanéen est partisan d'un retour au sein de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest ( CEDEAO) de ses trois pays qui ont quitté l'organisation ouest africaine
Le couple est aussi un lieu de résistance et d'engagement pour les femmes. A l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, Bababam vous plonge dans l'histoire de ces couples d'exception comme Marie et Pierre Curie, Frida Khalo et Diego Rivera, Virginia Woolf et Vita Sackville West, ou encore Lee Miller et Man Ray... des couples au sein desquels l'épanouissement de la femme et lutte pour ses droits ont été primordiaux. Beatrice et Mokhtar, c'est la rencontre d'une ancienne sympathisante FN avec un professeur de Persan venu d'Iran. Le tout en plein cœur de la jungle de Calais. Un podcast Bababam Originals Ecrit et raconté par Alice Deroide Première diffusion : 28 décembre 2018 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans ce nouvel épisode nous continuons la série spéciale Table Ronde de Sève le MédiaDans cette série, nous vous présentons a chaque nouvel épisode l'équipe qui se cache derrière Sève le Média. Ainsi, à chaque table ronde et donc à chaque épisode, nous vous présenterons les membres d'une équipe de travail en particulier.Et ici nous vous présentons l'équipe podcast. L'équipe qui se cache derrière vos animateurices préféré.e.s bureau, c'est à dire l'organe décisionnaire de l'association Sève le Média : Jeanne-Louise, Milla, Joseph Mathilde et Maxime. Quel est leur parcours ? Quel est leur engagement ? D'où vient leur envie d'intégrer le média ?Ou encore quelles sont leur missions et leur travail au sein de chacune des différentes équipes ?Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:02 - Caroline au pays des 27 - par : Caroline Gillet - Chronique grand écart entre le Sommet pour l'action sur l'IA sous la verrière du Grand Palais, et une contre soirée militante dans l'Est de Paris. Le tout raconté par Claire Fernandez, directrice exécutive de l'EDRI, un organisme qui représente la société civile auprès des institutions européennes.
Dans cet épisode, Vincent Hervouët analyse la situation tendue à Gaza, où un fragile cessez-le-feu a été conclu. Il revient sur les manœuvres du Hamas, qui a mis en scène la libération de trois otages israéliens dans un spectacle médiatique. L'expert décrypte également les enjeux géopolitiques et les accusations croisées entre les parties impliquées dans ce conflit complexe.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans ce deuxième épisode de la série de podcasts dédiée à l'Iran, réalisée par l'antenne Human Rights de SONU en collaboration avec le CSDHI, nous recevons Azadeh Alemi, militante iranienne pour les droits humains. À travers un témoignage poignant, elle revient sur son enfance marquée par la répression, les années passées en prison avec sa mère, et les épreuves subies par sa famille face au régime iranien.Elle partage son parcours de résistante, son engagement pour les droits des femmes et les libertés civiles, ainsi que la lutte menée au sein du Comité de soutien aux droits de l'homme en Iran pour faire reconnaître les massacres de 1988 comme un génocide. Cet épisode met également en lumière les réseaux de résistance en Iran et l'importance du soutien international face aux vagues d'exécutions qui continuent de sévir dans le pays.Une conversation bouleversante menée par Liza Soualle et Tancrède Martin, avec une introduction musicale réalisée et composée par ce dernier, qui vous plongera au cœur de la résistance et de l'espoir d'un peuple en quête de liberté.
Alors que dans notre société, la "norme" est d'aimer une seule personne, nous explorons dans cet épisode une autre façon d'aimer : le polyamour, en recueillant le témoignage de Angie Triolo, en relation polyamoureuses depuis des années et organisateurice de "cafés polyamoureux" à Lyon. Qu'est ce que le polyamour ? Comment aimer autrement dans notre société parfois conservatrice ? Quels sont avantages mais aussi les écueils ? Où s'informer pour en savoir plus et découvrir cette autre façon d'aimer ? Autant de questions abordées autour de cet échange audio. L'épisode est disponible dès maintenant. Bonne écoute ! Pour en savoir plus sur les cafés amoureux organisés par Angie à Lyon : @salesgossesink sur instragramHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec ce nouvel épisode, nous continuons la série spéciale Table Ronde de Sève le média. Nous vous présentons aujourd'hui l'équipe qui s'occupe des images couleurs typographie etc qui anime les visuels de notre media : l'équipe graphisme. Découvrez en plus sur le fonctionnement de l'équipe, et sur qui se cache derrière en écoutant Gabriela Lisa Marie et Lena dans cette nouvelle table ronde. Bonne écoute!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Eugénie Bastié revient sur le vote du Parlement européen exigeant la libération de l'écrivain algérien Boilem Sansal. Elle s'attarde notamment sur le vote de la députée LFI Rima Hassan, qui s'est prononcée contre cette résolution, prêtant ainsi allégeance au régime algérien. Eugénie Bastié analyse les positions politiques de Rima Hassan, qui semble privilégier les intérêts de l'Algérie et de la Palestine au détriment de la France. Cet épisode offre un éclairage intéressant sur les enjeux géopolitiques et les débats au sein du Parlement européen.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Les droits humains ou les discours de haine ? Voilà le choix auxquel nos sociétés sont confrontées selon La Ligue des droits humains. La LDH publie aujourd'hui son rapport annuel sur l'état des droits humains en Belgique. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
« On est face à un moment charnière ». La ligue des droits humains publie son rapport annuel sur l'Etat des droits humains, et dénonce la « porosité des idées de l'extrême droite ». Après l'accession du Vlaams Belang dans 4 communes flamandes, à quelques jours de l'investiture de Donald Trump, et alors que la semaine a été marquée par le malaise au sein du MR après l'arrivée dans les rangs libéraux de 2 personnalités issues de l'extrême droite, la Ligue en appelle à la mobilisation de la « société civile ». Sibylle Gioe, présidente de la Ligue des droits humains est l'invitée de Matin Prem Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Au Niger, voilà une semaine que Moussa Tchangari, le secrétaire général de l'association Alternative Espaces Citoyens, est en prison. Et l'arrestation de cette figure de la société civile suscite une grande émotion dans le monde entier. Cette semaine, la FIDH, Amnesty International, Human Rights Watch et l'Organisation mondiale contre la Torture lancent un appel commun pour sa libération. Maître Drissa Traoré est le secrétaire général de la FIDH, la Fédération Internationale pour les Droits Humains. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de RFI. RFI : Une initiative commune de vos 4 ONG, c'est plutôt rare, pourquoi cette mobilisation ?Maître Drissa Traoré : Nous avons estimé que la situation est extrêmement grave et que nous devons unir nos forces pour qu'ensemble, notre voix puisse être entendue. Et cette arrestation de Moussa Tchangari montre en réalité que les autorités du Niger veulent montrer du muscle, montrer à la société civile qu'il ne doit pas y avoir des voix discordantes. Donc pour nous, c'est un moment important de se rassembler pour que la société civile, les journalistes, les défenseurs des Droits de l'homme aient voix au chapitre dans cette situation particulière, que connait le Niger, dont nous souhaitons le plus rapidement qu'il puisse s'en sortir ?Selon son avocat, Moussa Tchangari serait poursuivi pour apologie du terrorisme, atteinte à la sûreté de l'État et association de malfaiteurs en lien avec le terrorisme, pourquoi des accusations si graves ?Surtout pour faire mal, pour faire mal à Moussa Tchangari. Mais aussi pour montrer l'exemple. Pour dire que toute voix qui va s'élever à l'encontre des discours des autorités sera matée de la manière la plus sévère. Et ce sont des accusations qui pourraient permettre de faire de Moussa Tchangari un apatride dans son propre pays.Un apatride à qui on pourrait retirer sa nationalité ?Absolument.Alors, du temps du président Issoufou comme aujourd'hui, Moussa Tchangari a toujours dit ce qu'il pense. Et après le putsch de juillet 2023, il a exprimé publiquement son soutien total au président déchu Mohamed Bazoum. Est-ce pour cela qu'il a été arrêté 16 mois après le putsch ?Nous pensons que Moussa Tchangari a été arrêté parce qu'il a toujours été constant. Dans sa lutte pour les libertés, dans sa lutte pour la démocratie, parce que, quels que soient les régimes qui s'échangeaient, qui traversent le Niger, Moussa Tchangari a toujours été constant aux côtés des victimes, aux côtés des défenseurs des Droits de l'homme. Lui-même, Il a porté la voix et aujourd'hui, en réalité, il paye son engagement, il paye sa droiture, il paye le fait qu'il ne veut pas se compromettre avec les autorités qui sont au pouvoir au Niger.Alors, récemment Moussa Tchangari a critiqué deux initiatives du pouvoir militaire, le retrait provisoire de la nationalité nigérienne à 9 proches de Mohamed Bazoum et le retrait des licences de 2 ONGs humanitaires, est-ce que ce serait une raison qui pourrait expliquer son arrestation ?Nous pensons que ces propos de Moussa Tchangari, son engagement, qu'il a exprimés ouvertement, font partie des éléments pour lesquels il a été arrêté et qu'on veut le faire taire. Parce que, en réalité, aujourd'hui, les autorités nigériennes ne veulent plus entendre de voix discordantes. Et on le remarque. Les défenseurs des Droits de l'homme ont peur. Ils sont obligés de se murer dans le silence. Ils sont obligés de ne plus parler. Seul Moussa Tchangari et quelques autres osent encore parler. Donc, il faut les faire taire et malheureusement ils sont en train d'y arriver. Mais nous, acteurs de Droits de l'homme, la FIDH, Human Wright Watch, Amnesty International, OMCT, nous disons Non. Nous serons toujours debout pour que les libertés puissent avoir droit au chapitre, quelles que soient les situations qu'un pays peut traverser.Le prisonnier le plus célèbre au Niger aujourd'hui, c'est bien sûr Mohamed Bazoum, son épouse est également détenue. Combien de personnes proches du président déchu sont actuellement en prison au Niger ?Nous n'avons pas le nombre exact, mais c'est une trentaine de personnes qui sont détenues. Et Mohamed Bazoum est quasiment otage et donc nous pensons que ce sont des faits qui ne sont pas acceptables. Et donc l'entourage de Mohamed Bazoum, beaucoup de ministres de son gouvernement qui a été déchu, sont en prison sans qu'une procédure légale, sans qu'une procédure respectueuse des Droits humains, sans qu'une procédure respectueuse des droits de la défense ne soit en cours. Nous estimons que ce sont vraiment les Droits de l'homme qui sont niés dans ce pays aujourd'hui.Alors parmi ces détenus, il y a en effet plusieurs anciens ministres du président Bazoum, et notamment l'ancien ministre de l'Énergie Ibrahim Yacouba, qui était à l'étranger au moment du putsch et qui est revenu volontairement dans son pays au début de cette année, mal lui en a pris. Pourquoi cet acharnement contre ce Nigérien qui est revenu volontairement chez lui ?C'est un acharnement contre toute personne qui pourrait éventuellement faire ombrage aux autorités actuellement en place. Il n'y a pas du tout de voie au dialogue aujourd'hui. Mais nous espérons fortement que les autorités du Niger vont accepter d'ouvrir le dialogue avec nous, avec l'ensemble des défenseurs des droits humains, avec les acteurs de la société civile. Pour qu'ensemble, on puisse aider à l'édification d'un Niger respectueux des Droits de l'homme, d'un Niger État de droit, d'un Niger qui revient à la démocratie, aux règles de droit. Nous, c'est notre souhait le plus ardent et nous espérons que notre appel sera entendu.À lire aussiNiger: le militant de la société civile Moussa Tchangari en garde à vue pour atteinte à la sûreté de l'État
durée : 00:07:38 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, est l'invité de 7h50. Il revient sur la page qui s'ouvre pour la Syrie après la chute de Bachar al-Assad, celle de la reconstruction.
durée : 00:07:38 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, est l'invité de 7h50. Il revient sur la page qui s'ouvre pour la Syrie après la chute de Bachar al-Assad, celle de la reconstruction.
L'émission 28 minutes du 11/12/2024 76e anniversaire de la Déclaration des droits de l'Homme : chef-d'œuvre en péril ? Il y a 76 ans, le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des droits de l'Homme était signée à Paris. Aujourd'hui, l'universalisme des droits humains est contesté, notamment parce qu'ils sont considérés comme émanant de l'Occident. Par exemple, une Déclaration des droits de l'Homme en islam a été adoptée au Caire en 1990 pour s'adapter aux pays musulmans. Les différentes déclarations islamiques des droits de l'Homme ne sont, en revanche, pas reconnues par l'ONU comme répondant aux critères internationaux, notamment en matière de liberté de religion et de conviction. La contestation des droits de l'Homme vient également de certaines démocraties qui considèrent que le texte affaiblit leur souveraineté nationale. La Cour européenne des droits de l'homme est régulièrement critiquée sur cet aspect. L'historienne Valentine Zuber a consacré son dernier ouvrage, “Géopolitique des droits humains” (éditions Le Cavalier Bleu), à ces problématiques. Directrice d'études à l'École Pratique des Hautes Études, elle est aussi spécialiste des questions liées à la laïcité. Éoliennes, panneaux solaires : la France fait-elle fausse route avec les renouvelables ? 2024 est l'année la plus chaude jamais enregistrée sur Terre et devrait dépasser pour la toute première fois le seuil symbolique de plus 1,5 °C depuis la période préindustrielle, a annoncé l'observatoire européen Copernicus le 9 décembre. Les signataires de l'accord de Paris sur le climat en 2015 s'étaient engagés à ne pas dépasser cette limite. Pour lutter contre le réchauffement climatique, les politiques d'atténuation préconisent le développement des énergies renouvelables, en particulier les énergies éoliennes et solaires. Elles ont deux avantages : leurs ressources sont infinies et elles n'émettent pas de CO2 en phase de production d'électricité. Outre le développement de son parc nucléaire, la France mise sur ce secteur. Les énergies renouvelables représentent un peu plus de 22 % de notre consommation finale brute d'énergie, pour un objectif fixé à 33 % en 2030. Mais, cette politique est considérée comme ruineuse et inefficace par une dizaine d'anciens dirigeants politiques et d'entreprises, comme Henri Proglio, l'ancien patron d'EDF, qui estiment que les énergies renouvelables provoquent “l'inflation des prix de l'électricité” ou encore “l'affaiblissement de notre souveraineté énergétique”. La France fait-elle fausse route ? Enfin, Marjorie Adelson revient sur la récente vente aux enchères des célèbres souliers rouges portés par l'actrice Judy Garland dans le film “Le Magicien d'Oz” et Marie Bonnisseau nous raconte une guerre juridique inédite entre deux influenceuses aux États-Unis, sur fond d'accusation de plagiat. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 11 décembre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Dans cette édition spéciale du Bulletin d'ONU Info, nous recevons l'Expert indépendant des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme en République centrafricaine.Yao Agbetse revient sur son dernier rapport sur la situation dans le pays, dont son plaidoyer pour la mise en place d'une institution destinée à piloter l'exploitation et la gestion des ressources naturelles du pays.Il évoque également la situation humanitaire aggravée par l'afflux des réfugiés des pays voisins ainsi que son appel à la tenue d'une conférence de paix régionale. Entretien et présentation : Cristina Silveiro
Nous sommes le 11 novembre 1948, à Harlem, quartier misérable du nord de l'arrondissement de Manhattan, à New York. James Baldwin, 24 ans, y est venu dire au revoir à sa famille. Noir, homosexuel, il ne supporte plus le climat aux Etats-Unis : il ne trouve plus sa place dans un pays où les injustices raciales, l'homophobie gangrènent la société. Il a décidé de partir. Il n'emporte pas grand-chose, un sac de toile qui contient l'ouvrage qu'il est en train d'écrire et quelques affaires. Il a 40 dollars en poche. Sa mère est descendue pour le voir monter dans le taxi qui l'emmène vers l'aéroport. Là, le cœur battant la chamade, la peur de l'avenir le saisissant, il embarquera dans un vol pour Paris où d'autres d'expatriés américains vivent déjà. L'enfant pauvre de Harlem ne cessera d'être déchiré entre le besoin de se préserver des violences d'un pays en pleine ségrégation et celui d'en être le témoin. A travers ses essais, ses romans comme « If Beale Street Could Talk » et son engagement politique, i lva chercher à jeter un pont entre l'Amérique blanche et l'Amérique noire . Sa pensée trouve-t-elle, aujourd'hui, un écho dans la lutte contre les discriminations ? Ecoutons-le … Avec nous : Yannick M. Blec, docteur en langues et littératures étrangères. « James Baldwin », chez Folio. Sujets traités : James Baldwin : américain , écrivain, ,noir, homosexuel ,militant, droits, humains, ségrégation Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme au Burundi, Fortuné Gaetan Zongo, estime que le respect des droits humains dans ce pays n'a pas fait de progrès. Il observe même « un renforcement de l'impunité » alors que les auteurs de graves violations des droits de l'homme « sont promus à des postes ».Il était cette semaine au siège des Nations Unies à New York pour faire un exposé devant la Troisième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies.Dans un entretien avec ONU Info, il constate également l'absence de dialogue national inclusif alors qu'il juge nécessaire ce dialogue pour des progrès en matière de droits humains. Entretien réalisé par Jérôme Bernard
La situation des droits humains en Haïti demeure extrêmement préoccupante, a affirmé vendredi depuis la capitale Port-au-Prince, l'expert de l'ONU sur les droits de l'homme dans ce pays, à l'issue d'une visite de 12 jours.Selon William O'Neill « les solutions sont là, et existent déjà. Mais il faut redoubler les efforts ».L'expert appelle à lutter contre la corruption et la mauvaise gouvernance mais aussi donner les moyens nécessaires à la mission multinationale d'appui à la sécurité afin « d'étouffer les gangs ».Au micro d'ONU Info, William O'Neill revient sur la situation dramatique.(Entretien : William O'Neill, Expert des Nations Unies sur les droits de l'homme en Haiti ; propos recueillis par Daniel Dickinson)
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur les tensions au sein de la coalition l'UNS en RDC, les raisons résurgence du M23 selon un rapport et le nouveau dirigeant politique du Hamas. Tchad : une ONG dénonce des violations de droits humains à la prison de Koro Toro Dans un rapport, l'ONG Human Rights Watch dévoile de graves révélations sur les évènements du 20 octobre 2022 au Tchad, et sur la mort et les conditions de vie de personnes envoyées dans la prison de Koro Toro. Le rapport mentionne notamment l'implication du général Haroun Tirgo. Quel rôle précis a-t-il joué dans ces événements ? Ces crimes pourraient-ils faire l'objet de poursuites judiciaires, malgré la loi d'amnistie ? Comment ont réagi les autorités tchadiennes à la publication ce rapport ? Avec Christophe Boisbouvier, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : tensions au sein de la coalition de l'USN en vue de la présidence au Sénat Des tensions règnent au sein de la coalition de l'Union sacrée de la nation (USN) au sujet de l'élection du président du Sénat. Comment expliquer ces nombreuses rivalités ? Pourquoi l'enjeu de la présidence du Sénat est-il si important ? Quelles conséquences ces tensions peuvent-elles engendrer pour l'avenir politique de la coalition ? Avec Christian Moleka, analyste politique, coordinateur de la Dypol, la dynamique des politologues congolais. RDC : la résurgence du M23 liée à des rivalités régionales selon un rapport Selon un rapport d'Ebuteli et du Groupe d'étude sur le Congo, la résurgence du M23 est liée à une rivalité géopolitique opposant le Rwanda et l'Ouganda. Pourquoi les attaques visent-elles alors la République Démocratique du Congo depuis 2021 ? Comment expliquer que, malgré cette rivalité, des forces armées ougandaises semblent maintenant apporter leur soutien aux groupes rebelles du M23 ? Avec Pascal Mulegwa, correspondant de RFI à Kinshasa. Israël/Palestine : Yahya Sinouar, nouveau chef du Hamas Yahya Sinouar, un des hommes les plus recherchés par Israël, a été choisi pour être le nouveau dirigeant politique du Hamas. Pourquoi le choix du Hamas s'est-il porté sur cet homme en particulier ? Yahya Sinouar est l'un des cerveaux de l'attaque du 7 octobre. Quelles conséquences cette nomination peut-elle avoir sur les négociations d'un cessez-le-feu et sur la guerre actuelle ? Avec Jean-Paul Chagnollaud, président de l'Iremmo et professeur émérite des universités.
Le Journal en français facile du 12 avril 2024, 18h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AVmc.A