POPULARITY
Categories
Rubrique:nouvelles Auteur: arkady-avertchenko Lecture: Daniel LuttringerDurée: 14min Fichier: 9 Mo Résumé du livre audio: Arkady Avertchenko, traduit du russe par d'Ostoya, in Candide, grand hebdomadaire parisien et littéraire, première année, n° 45, jeudi 22 janvier 1925. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 00:02:39 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - L'espèce est classée en danger critique d'extinction. En cause, la raréfaction des sardines, leur ressource alimentaire principale, à cause du dérèglement climatique et de la pêche. Une étude document pour la première fois cet effet domino. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Quelque chose ne tourne pas rond à Perpète-le-Bois-Joli. Dans ce village, personne n'a envoyé de lettre au Père Noël. Coco Moustache a décidé de résoudre ce mystère. Suis-la dans son aventure et pars chaque jour à la rencontre d'un habitant du village… Ce soir, toc ! toc ! toc ! Elle frappe à la porte de la famille Lynx. En attendant la fête de Noël, la Grande histoire de Pomme d'Api vous invite à écouter un épisode d'Opération Noël ! Un rendez-vous quotidien du 1er au 24 décembre. La grande histoire de Pomme d'Api,c'est un podcast proposé par le magazine Pomme d'Api.L'histoire du mois de décembre 2025 a été écrite par Alexandra Garibal pour le magazine Pomme d'Api n°718. Les illustrations ont été réalisées par Maria Neradova. Ce podcast est préparé et animé par Bayard Jeunesse. Voix hoste : Aude Loyer-Hascoet. Textes lus par Pierre-François Garel. Réalisation : Sodasound. Productrice : Hélène Loiseau pour Bayard Jeunesse Un podcast Bayard Jeunesse – Décembre 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez l'émission du 01 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fondateurs du Centre Esaïe 58 en Guinée Conakry, Daniel et Léontine Tolno viennent en aide aux enfants et aux personnes très démunies. Tout a commencé avec un "partage ton pain!"Partager notre pain avec ceux qui ont faim: Déjà pendant ses études universitaires, Daniel Tolno utilisait une partie de sa bourse pour soutenir quelques enfants et en accueillir au sein de sa famille, semant ainsi des graines d'espoir autour de lui. £Des années plus tard, Daniel et Léontine Tolno ont créé le Centre Esaïe 58 pour pouvoir accueillir encore plus d'enfants et de jeunes, les besoins devenant de plus en plus pressants. Le coeur du pasteur Tolno est grand, tout comme celui de son épouse Léontine, chirurgienne dentiste de formation; le couple ne ménage pas ses efforts et déploie des trésors d'ingéniosité pour mettre en pratique les paroles du prophète Esaïe: "Partage ton pain avec qui a faim, enlève le joug qui pèse sur les gens écrasés…" Au Centre Esaïe 58, les enfants et les jeunes sont aidés au travers de l'internat, de l'éducation scolaire et, plus récemment, d'une petite clinique de soins, comme l'explique Léontine: "Avec le paludisme et toutes sortes d'autres maladies, il y a de quoi faire! Les enfants reviennent souvent avec des plaies et des maladies infectieuses".En manifestant l'amour du Christ tout autour d'eux, les Tolno voient aussi se produire d'étonnantes réponses aux prières, comme le jour où il ne restait plus que deux sacs de riz dans le grenier du Centre Esaïe 58. Deux sacs que Daniel se sent poussé à donner pour venir en aide à une vingtaine de veuves… "Je n'ai jamais oublié ce qui s'est passé ce jour-là. Les enfants m'ont dit: mais papa, si tu donnes ce riz, qu'est-ce que nous aurons à manger demain et après-demain? Je leur ai répondu: les veuves sont dans le besoin; demain appartient à Dieu. Le riz a donc été distribué aux veuves, et c'est en rentrant à la maison que j'ai reçu un coup de fil, précurseur du miracle qui s'est passé ensuite…" Le partage du pain avec celles et ceux qui ont faim -ou partage du riz, dans cet exemple si marquant- ouvre à des perspectives totalement imprévisibles. "Dieu dit qu'il est le père des orphelins: il accomplit cette parole au Centre Esaïe 58", conclut paisiblement Daniel Tolno.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:44:17 - 3 repas par jour c'est la règle … mais est-ce la vôtre ? Faites-vous l'impasse sur le matin ou le midi ? Etes-vous adepte du « Je mange quand j'ai faim ». Petit-déjeuner sauté, déjeuner oublié, diner tardif : racontez-nous vos habitudes. Avec Séverine Ber Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Novo Nordisk, leader européen de la pharma en 2023, a vu sa capitalisation chuter de 63 % en deux ans, dépassé par Eli Lilly et son Mounjaro. La concurrence s'intensifie sur le marché des traitements contre l'obésité, avec l'arrivée attendue de nouveaux acteurs comme Roche et Pfizer. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Myriam Chauvot reviennent sur la bataille de l'obésité dans l'industrie pharmaceutique, bataille arbitrée aussi par Donald Trump.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Myriam Chauvot (journaliste au service industries des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : BFM Business, Loopsider, extrait « La cité de la peur », extrait «L'aile ou la cuisse», Extrait «Taxi 3». Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine on va parler d'un univers invisible qui contrôle une énorme partie de votre faim, votre énergie… et même votre perte de poids : votre microbiote.Dans cet épisode, je vous explique comment vos bactéries envoient des signaux à votre cerveau, pourquoi elles peuvent augmenter vos fringales ou au contraire réduire votre appétit, et comment les nourrir pour reprendre le contrôle.Vous allez découvrir pourquoi deux personnes réagissent totalement différemment au même repas, comment réparer un microbiote affaibli, et les trois habitudes simples qui changent tout.Un épisode essentiel si vous pensez “manquer de volonté”… alors que ce sont peut-être vos bactéries qui décident à votre place.- Pour découvrir les liens utiles de l'émission, clique ici : https://linktr.ee/sportsantenutritionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Perdre l'appétit » pendant ou juste après avoir cuisiné vient d'un faisceau de mécanismes sensoriels, hormonaux et cognitifs qui se renforcent entre eux.Habituation sensorielle et “satiation spécifique”À force d'être exposé aux mêmes odeurs et vapeurs pendant 20–60 minutes, le cerveau s'y habitue. L'odorat “baisse le volume” (habituation), la salivation diminue, l'envie pour ce plat précis décroît : c'est la “satiation spécifique aux propriétés sensorielles”. Résultat : le même plat excite moins que s'il arrivait soudain sous votre nez. Parfois, on n'a plus envie que d'un goût radicalement différent (frais/acide si on a cuisiné gras et chaud).“Satiété par procuration” via les sensLes sens déclenchent une phase céphalique digestive (avant même de manger) : petites sécrétions d'insuline, de sucs gastriques, activation vagale. Une exposition prolongée (regarder, sentir, goûter en cours de route) suffit à envoyer des micro-signaux de “déjà mangé”, réduisant la motivation à se mettre à table.Grignotage invisible et micro-dégustationsUne cuillère pour rectifier l'assaisonnement, un morceau “pour voir”, un bout de pain pour la sauce… Ces bouchées enregistrent peu consciemment mais comptent. Elles relèvent la glycémie, stimulent des hormones de satiété (CCK, GLP-1), et rasent le pic de faim initial.Fatigue et légère aversion olfactiveLa chaleur, la station debout, le bruit et la vigilance (éviter de rater la cuisson) fatiguent. Le stress léger et la chaleur corporelle élevée tendent à comprimer l'appétit à court terme. De plus, l'odeur concentrée dans la cuisine peut devenir écœurante à la longue, surtout pour les préparations grasses ou très aromatiques : petit début d'aversion conditionnée.Décision et contrôle cognitifCuisiner, c'est décider sans cesse (quantités, timing, assaisonnement). Cette charge cognitive réduit l'attention aux signaux internes (faim/pleine) et peut émousser le désir de manger. Une fois le plat prêt, on “décompresse” — l'envie retombe comme après un effort.TemporalitéOn commence à cuisiner au pic de faim… mais on mange 30–60 minutes plus tard. Entre-temps, les signaux hormonaux ont fluctué et la faim peut redescendre, d'autant plus si l'on a grignoté.Comment retrouver l'appétit au moment de servir• Aérez la cuisine, ouvrez une fenêtre : chassez les odeurs persistantes.• Faites une courte “coupure” de 5–10 minutes avant de manger : sortez de la pièce, buvez un verre d'eau fraîche.• Limitez les dégustations à des micro-tests (et notez-les mentalement).• Servez-vous à table (pas dans la cuisine), changez de lumière/ambiance : le contexte relance l'envie.• Ajoutez un élément de contraste au service (salade croquante acide, herbes fraîches, agrumes) pour réveiller le palais.En bref : odeurs prolongées + petites bouchées + fatigue et chaleur + charge mentale → moindre envie immédiate. Ce n'est pas anormal ; il suffit souvent d'un changement d'air et d'un peu de contraste pour que l'appétit revienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mon podcast t'apporte de l'aide ? -> Tu peux m'aider à ton tour en faisant un don juste ici -> Laisse moi 5 belles étoiles sur Spotify et Apple Podcast afin de me soutenir et me donner le boost pour continuer! Cela permettra aussi à de nouvelles personnes de me découvrir et de profiter de mes outils!
C'est une page sombre de l'histoire irlandaise. Jusqu'à la fin des années 1970, des milliers d'enfants, pauvres ou orphelins, étaient placés par les tribunaux, sous la tutelle de religieuses, dans des institutions censées les éduquer. Or, ces « écoles » dites industrielles furent souvent le théâtre de violences – physiques, psychologiques et sexuelles –, infligées à des générations d'enfants. Quatre survivants, trois femmes et un homme, ont vécu pendant près de deux mois dans la rue, devant le Parlement de Dublin. Emmitouflée dans plusieurs pulls, Miriam se tient devant la tente qu'elle a partagée avec trois autres survivants durant 52 jours. Placée bébé à l'école industrielle de Tralee, dans l'ouest de l'Irlande, elle raconte, à 68 ans aujourd'hui, l'enfer que les religieuses faisaient subir aux enfants « La première chose que les Sœurs faisaient, c'est te voler ton nom pour t'attribuer un numéro : le mien, c'était 1-0-6-1. Elles t'arrachaient ta personnalité, ta dignité, ta voix… Nous n'allions jamais nulle part, nous n'avions ni dentifrice, ni savon, et jamais d'eau chaude. Nos journées se résumaient à coudre, à travailler, pour des gens de dehors. Et pour cela, nous n'avons jamais été payés », témoigne-t-elle. En plus du travail forcé, les religieuses – dont la « charité » n'avaient que le nom – infligeaient aux enfants violences et humiliations. « Elles t'attachaient nue à un lit, l'une d'elles comptait, et elles te frappaient cent fois. Et elles forçaient tes frères et sœurs, et tes amis, à regarder… », se souvient-elle avec effroi. Ces écoles industrielles font partie de ces institutions gérées conjointement par l'État irlandais et l'Église, tout au long du XXe siècle. L'un des plus grands scandales du pays, au même titre que les couvents de la Madeleine, où plus de 30 000 femmes – considérées impures – étaient condamnées à travailler sans relâche, exploitées par les nonnes. Selon James Gallen, professeur et spécialiste des institutions religieuses à la Dublin City University (DCU), après huit siècles de domination britannique, l'Église catholique a su profiter à cette époque de la fragilité d'un État tout juste sorti de la guerre civile pour étendre son emprise. « L'Irlande nouvellement indépendante était en proie à une profonde insécurité sur son identité. On craignait de découvrir que les Irlandais étaient incapables de se gouverner eux-mêmes, que notre idéal d'une Irlande sainte et catholique n'était qu'une illusion. C'est pourquoi les autorités étaient très déterminées à présenter l'Irlande comme un pays moralement pur », explique-t-il. Depuis presque deux mois, les quatre survivants affirmaient ne vivre que d'eau et de café. Et pourtant, rien n'a entamé la force du groupe, selon Miriam : « Je pense que c'est parce que nous avons souffert enfants : nous sommes des survivants, et c'est pour ça que nous sommes plus forts qu'ils ne le pensent. Ils commencent seulement à comprendre la résilience et la détermination que nous avons. Nous resterons ici jusqu'à ce que nous obtenions ce que le gouvernement nous a promis. » Et c'est enfin chose faite ! Mardi, le Premier ministre irlandais, Micheál Martin, les a appelés à mettre fin à leur mouvement. Les grévistes de la faim devraient désormais bénéficier de soins médicaux gratuits, ainsi que d'un soutien financier. Le soulagement pour Miriam, qui dit s'être battue non seulement pour elle, mais aussi pour les 4 000 autres survivants des écoles industrielles irlandaises. À lire aussiIrlande: exhumation de 796 bébés d'un foyer religieux, «nous pensions que ce jour n'arriverait jamais»
C'est une page sombre de l'histoire irlandaise. Jusqu'à la fin des années 1970, des milliers d'enfants, pauvres ou orphelins, étaient placés par les tribunaux, sous la tutelle de religieuses, dans des institutions censées les éduquer. Or, ces « écoles » dites industrielles furent souvent le théâtre de violences – physiques, psychologiques et sexuelles –, infligées à des générations d'enfants. Quatre survivants, trois femmes et un homme, ont vécu pendant près de deux mois dans la rue, devant le Parlement de Dublin. Emmitouflée dans plusieurs pulls, Miriam se tient devant la tente qu'elle a partagée avec trois autres survivants durant 52 jours. Placée bébé à l'école industrielle de Tralee, dans l'ouest de l'Irlande, elle raconte, à 68 ans aujourd'hui, l'enfer que les religieuses faisaient subir aux enfants « La première chose que les Sœurs faisaient, c'est te voler ton nom pour t'attribuer un numéro : le mien, c'était 1-0-6-1. Elles t'arrachaient ta personnalité, ta dignité, ta voix… Nous n'allions jamais nulle part, nous n'avions ni dentifrice, ni savon, et jamais d'eau chaude. Nos journées se résumaient à coudre, à travailler, pour des gens de dehors. Et pour cela, nous n'avons jamais été payés », témoigne-t-elle. En plus du travail forcé, les religieuses – dont la « charité » n'avaient que le nom – infligeaient aux enfants violences et humiliations. « Elles t'attachaient nue à un lit, l'une d'elles comptait, et elles te frappaient cent fois. Et elles forçaient tes frères et sœurs, et tes amis, à regarder… », se souvient-elle avec effroi. Ces écoles industrielles font partie de ces institutions gérées conjointement par l'État irlandais et l'Église, tout au long du XXe siècle. L'un des plus grands scandales du pays, au même titre que les couvents de la Madeleine, où plus de 30 000 femmes – considérées impures – étaient condamnées à travailler sans relâche, exploitées par les nonnes. Selon James Gallen, professeur et spécialiste des institutions religieuses à la Dublin City University (DCU), après huit siècles de domination britannique, l'Église catholique a su profiter à cette époque de la fragilité d'un État tout juste sorti de la guerre civile pour étendre son emprise. « L'Irlande nouvellement indépendante était en proie à une profonde insécurité sur son identité. On craignait de découvrir que les Irlandais étaient incapables de se gouverner eux-mêmes, que notre idéal d'une Irlande sainte et catholique n'était qu'une illusion. C'est pourquoi les autorités étaient très déterminées à présenter l'Irlande comme un pays moralement pur », explique-t-il. Depuis presque deux mois, les quatre survivants affirmaient ne vivre que d'eau et de café. Et pourtant, rien n'a entamé la force du groupe, selon Miriam : « Je pense que c'est parce que nous avons souffert enfants : nous sommes des survivants, et c'est pour ça que nous sommes plus forts qu'ils ne le pensent. Ils commencent seulement à comprendre la résilience et la détermination que nous avons. Nous resterons ici jusqu'à ce que nous obtenions ce que le gouvernement nous a promis. » Et c'est enfin chose faite ! Mardi, le Premier ministre irlandais, Micheál Martin, les a appelés à mettre fin à leur mouvement. Les grévistes de la faim devraient désormais bénéficier de soins médicaux gratuits, ainsi que d'un soutien financier. Le soulagement pour Miriam, qui dit s'être battue non seulement pour elle, mais aussi pour les 4 000 autres survivants des écoles industrielles irlandaises. À lire aussiIrlande: exhumation de 796 bébés d'un foyer religieux, «nous pensions que ce jour n'arriverait jamais»
Salut les sportifs intelligents !Tu manges ton repas, tout va bien… et deux heures plus tard, ton ventre gargouille déjà ?
Retrouvez Morgan Noam sur instagram et son livre « Ceci n'est pas un livre sur le genre » dans toutes les librairies indépendantes.Dramathis est un podcast indépendant, écrit, incarné, monté et mis en musique par Mathis Grosos. Vous pouvez soutenir ce podcast sur patreon.com/dramathis et recevoir des recommandations en échange. Retrouvez-moi sur Instagram, TikTok, Twitch et YouTube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 29 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 31 octobre, deux touristes québécois posent leurs valises en Lozère. Ces montagnes gardent jalousement leurs secrets, et les deux hommes ignorent que la légende respire encore. Une bête. Une faim ancienne et insatiable. Et elle a déjà choisi son prochain repas.Voici un One shot bien spécial, car un événement inédit s'est produit durant la partie. Un événement que seule l'improvisation peut provoquer. NJ a commencé en tant que maître de jeu, mais il y a eu un point de bascule. Une première pour nous. Allez ! Bonne écoute !
Mon podcast t'apporte de l'aide ? -> Tu peux m'aider à ton tour en faisant un don juste ici -> Laisse moi 5 belles étoiles sur Spotify et Apple Podcast afin de me soutenir et me donner le boost pour continuer! Cela permettra aussi à de nouvelles personnes de me découvrir et de profiter de mes outils!
On a tendance à penser le contraire, à croire que lorsque notre ventre se met à faire des bruits bizarres, c'est parce que l'on est affamé. En fait, ce n'est pas tout à fait exact. Même si le fait d'avoir le ventre vide, au sens propre, a un rapport avec ces borborygmes dérangeants. Cette réaction très sonore, c'est tout simplement parce que vous êtes en train de digérer ce que vous avez mangé. C'est votre tube digestif qui déclenche des contractions musculaires pour faire descendre la nourriture que vous avez mangée vers la sortie. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. La question peut prêter à sourire mais la réponse n'est pas si évidente. Être à cran ou en tout cas de mauvais poil lorsqu'on a faim porte même un nom : le syndrome de la colère du ventre vide. Une fringale et ça y est, on s'énerve contre un collègue, un membre de la famille, un ami… C'est normal puisque l'hypothalamus est la partie du cerveau qui régule les sensations de faim et de satiété, et c'est aussi celle qui régule l'humeur. Mais ce n'est pas tout, il s'agit également d'un réflexe de survie. Pour nos ancêtres, avoir faim signifiait ni plus ni moins… un danger de mort. Que se passe-t-il plus précisément dans notre corps quand on a faim ? Ces sensations de faiblesse ne sont-elles pas le signe d'une hypoglycémie ? Que peut-on faire pour éviter la mauvaise humeur lorsqu'on ne peut pas manger ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast écrit et réalisé par Emilie Drugeon Première diffusion : juin 2023 À écouter aussi : Comment lutter contre les cheveux gras ? Pourquoi dormons-nous ? Le sucre des fruits est-il vraiment meilleur pour la santé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Santé Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les derniers otages retenus par le Hamas ont été libérés lundi 13 octobre. Ils racontent comment ils ont été traités pendant ces deux années de captivité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. Dieu comble les cœurs qui désirent sa vérité et sa présence avant toute chose.
84% des français se laissent tenter par un petit dessert alors qu'ils n'ont plus faim
Le secteur agroalimentaire, le retail... honnêtement, je n'y connaissais pas grand-chose. Pour corriger cette inculture, j'ai invité la queen du secteur. Dans cet épisode du Mot de la Faim, je reçois Salomé Charrigton, consultante en retail et agroalimentaire, et créatrice du podcast Sans Filtre Ajouté.Ensemble, on explore les réalités économiques du secteur agroalimentaire : la formation des prix, les relations entre marques et distributeurs, et le rôle souvent sous-estimé de l'animation terrain.Salomé revient aussi sur son parcours professionnel, ses prises de conscience et sa vision d'un commerce alimentaire plus équilibré et plus durable.Un épisode à écouter pour mieux comprendre les tensions et les leviers du retail alimentaire, et les défis que rencontrent aujourd'hui les marques, les enseignes et les consultants du secteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En 2020, Amazon a surpris tout le monde en annonçant la création de supérettes sans caisses aux États-Unis. Cinq ans plus tard, cette innovation est arrivée en France et, plus exactement, à Lille.Ça se passe dans un magasin qui s'appelle Faim, où on peut acheter des sandwichs, des salades ou un couscous à emporter. Vous entrez, vous choisissez vos plats, vous bipez votre carte bancaire et vous sortez ! C'est un concept en cours de test et, si ça fonctionne, le groupe Flunch ouvrira d'autres magasins Faim en France.Dans ce nouvel épisode de Questions Tech, la journaliste Chloé Woitier vous parle d'un magasin atypique : une supérette sans caisse.Et n'oubliez pas : dans la Tech, il n'y a pas de questions bêtes !Vous pouvez retrouver Questions Tech sur Figaro Radio, le site du figaro.fr et sur toutes les plateformes d'écoute.Chronique et rédaction : Chloé WoitierMontage : Astrid LandonPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre le démantèlement de l'USAID au début du second mandat de Donald Trump et les coupes dans les budgets européens, l'aide internationale à la santé est au plus bas depuis 15 ans. Quelles sont les conséquences pour les pays qui en ont le plus besoin ? Quels sont les risques à moyen terme ? Peut-on trouver des solutions de remplacement ? Avec : - Serge Breysse, médecin diplômé en Santé publique et enseignant à Sciences Po Paris, il possède une vaste expérience dans le domaine de la solidarité internationale, avec 25 ans dans des organisations de solidarité internationale en Afrique et en Asie, et des fonctions dans plusieurs sièges de ces organisations. Engagé dans diverses activités associatives et membre du Conseil d'administration d'Action Contre la Faim, Serge Breysse est aujourd'hui directeur général de SOLTHIS et membre du Conseil national pour le Développement et la Solidarité Internationale. À lire aussiAide internationale : l'impact des coupes budgétaires de l'administration américaine
Invités : - Christian Morin, animateur, acteur et musicien. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Gauthier le Bret, journaliste. - Éric Revel, journaliste. - Dominique Grimault, journaliste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Christian Morin, animateur, acteur et musicien. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Gauthier le Bret, journaliste. - Éric Revel, journaliste. - Dominique Grimault, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près d'un étudiant français sur deux déclare limiter ses achats alimentaires ou y renoncer, selon l'Ifop en 2024. Ce chiffre alarmant révèle une précarité alimentaire qui s'installe durablement dans la vie étudiante. Hausse des loyers, inflation, faiblesse des aides sociales : les jeunes doivent souvent choisir entre se nourrir, se loger ou étudier. Les distributions alimentaires et les repas à 1 euro mis en place dans les Centres Régionaux des Œuvres Universitaires et Scolaires (CROUS) ne suffisent plus à enrayer cette détresse. Comment en est-on arrivé à ce niveau de vulnérabilité dans un pays qui valorise l'égalité des chances ? Quel est le degré de précarité des étudiants dans le reste du monde ? Et quelles solutions concrètes peuvent être mises en œuvre pour garantir à chaque étudiant un accès digne à l'alimentation ? Avec : • Julien Meimon, président de Linkee, association qui propose une solution solidaire au gaspillage alimentaire, et auteur de Faim d'études. En finir avec la précarité étudiante (Éditions du Seuil). • Elisa Mangeolle, porte-parole de la FAGE, Fédération des Associations Générales Etudiantes et des AGORAé, espaces d'échanges et de solidarité qui se composent d'un lieu de vie ouvert à tous et d'une épicerie solidaire accessible sur critères sociaux créés en 2011 par la FAGE En ouverture d'émission L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Hoda Jaberian, spécialiste de l'éducation dans les situations d'urgence à l'UNESCO, Afghanistan : toujours 2,2 millions de filles toujours interdites d'école. Chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Grégoire à Bobo Dioulasso au Burkina Faso Programmation musicale : ► Sonfo – Amadou & Mariam, Fally Ipupa ► Survivor – Tshegue.
Près d'un étudiant français sur deux déclare limiter ses achats alimentaires ou y renoncer, selon l'Ifop en 2024. Ce chiffre alarmant révèle une précarité alimentaire qui s'installe durablement dans la vie étudiante. Hausse des loyers, inflation, faiblesse des aides sociales : les jeunes doivent souvent choisir entre se nourrir, se loger ou étudier. Les distributions alimentaires et les repas à 1 euro mis en place dans les Centres Régionaux des Œuvres Universitaires et Scolaires (CROUS) ne suffisent plus à enrayer cette détresse. Comment en est-on arrivé à ce niveau de vulnérabilité dans un pays qui valorise l'égalité des chances ? Quel est le degré de précarité des étudiants dans le reste du monde ? Et quelles solutions concrètes peuvent être mises en œuvre pour garantir à chaque étudiant un accès digne à l'alimentation ? Avec : • Julien Meimon, président de Linkee, association qui propose une solution solidaire au gaspillage alimentaire, et auteur de Faim d'études. En finir avec la précarité étudiante (Éditions du Seuil). • Elisa Mangeolle, porte-parole de la FAGE, Fédération des Associations Générales Etudiantes et des AGORAé, espaces d'échanges et de solidarité qui se composent d'un lieu de vie ouvert à tous et d'une épicerie solidaire accessible sur critères sociaux créés en 2011 par la FAGE En ouverture d'émission L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Hoda Jaberian, spécialiste de l'éducation dans les situations d'urgence à l'UNESCO, Afghanistan : toujours 2,2 millions de filles toujours interdites d'école. Chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Grégoire à Bobo Dioulasso au Burkina Faso Programmation musicale : ► Sonfo – Amadou & Mariam, Fally Ipupa ► Survivor – Tshegue.
durée : 00:05:31 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La France, la Belgique, le Royaume-Uni, le Canada notamment viennent de reconnaître l'Etat de Palestine, avec l'espoir d'en finir avec la guerre à Gaza. Mais l'enclave palestinienne est toujours en proie à la faim, aux bombardements et de plus en plus livrée aux milices. A quel prix ?
Pour écouter l'épisode en entier, tapez "#493 - Anthony Berthou - Nutritionniste - Comment mieux manger avec l'expert n°1 de la nutrition" sur votre plateforme d'écoute.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jamais l'État hébreu, dans sa légitime défense après une agression sans précédent, n'aurait dû s'abaisser à ce point d'inhumanité qui permet à son ennemi de se prétendre au même niveau.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 22 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Brec.A
Les trois-quarts de la commune seraient sous le contrôle des gangs criminels, ce qui fait fuir la population et empêche les agriculteurs de travailler. Reportage. Depuis le début de l'année, les gangs armés multiplient leurs attaques contre la commune de Kenscoff, ce qui a fait fuir plus de 30 000 personnes, confie le maire de la ville, Jean Massillon, à notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Cette violence a aussi perturbé toute la production agricole, et cela menace donc l'alimentation de la région. « Les gangs armés ont forcé les paysans et les agriculteurs à fuir. Ils ont pris leurs animaux, incendié leurs maisons, et leur ont fait perdre tout ce qu'ils possédaient. C'est la première fois dans toute l'histoire de cette ville que des habitants se plaignent de faim », témoigne le coordinateur de la plateforme nationale des paysans haïtiens. Jean-Louis Durant. Le reportage complet de Peterson Luxama. Au Chili, un sommet pour protéger les droits des citoyens face aux abus des nouvelles technologies. Les présidents et chefs de gouvernement du Chili, du Brésil, de la Colombie, de l'Uruguay et de l'Espagne se réunissent pour le sommet « Democracy Forever », qui vise à lancer un mouvement citoyen de protection contre la domination des entreprises des nouvelles technologies et leurs influences politiques lors d'élections, entre autres. « L'Amérique latine et le Brésil, particulièrement, prennent de plus en plus une position pour la régulation des réseaux sociaux », explique Nicole Sanchotene, postdoctorante et chercheuse au NetLab, laboratoire sur internet et les réseaux sociaux de l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ), interrogée par Henrique Valadarès. Et le sommet à Santiago est l'image d'« un effort collectif et un effort d'interaction, palpable notamment au Brésil, mais aussi en Argentine et au Chili ». « Le Brésil peut être un leader de ce mouvement », analyse-t-elle en avançant comme guise d'exemple « le dernier vote de la Cour suprême : c'est une page très importante qui a été tournée. On a vraiment avancé vers la responsabilisation des plateformes. » Face à cela, une étude montre les limites de l'intelligence artificielle : « l'intelligence artificielle ne parle pas maya», dénonce le quotidien El Pais. Son correspondant au Mexique révèle une étude qui vient de paraitre, sur l'aisance de l'IA dans six grandes langues amérindiennes: le quechua, le quiché, le maya, le guarani, le nahuatl et l'aymara. Chacune d'entre elles a plusieurs millions de locuteurs, mais l'IA semble les délaisser. Au mieux, elle les baragouine. «Seulement la moitié des réponses aux questions posées dans ces langues sont correctes, et encore, très courtes et basiques», explique le quotidien. Il existe aussi un biais culturel. «Les réponses font référence au contexte occidental, même quand les questions sont posées dans les langues autochtones». Cette lacune viendrait-elle du fait que ces langues seraient peu importantes ? Alors pourquoi l'IA parle bien plus couramment le basque, qui compte moins d'un million de locuteurs ? Un biais de l'occident, encore une fois... Pourtant, les enjeux peuvent être vitaux, conclut El Pais : un meilleur accès de l'IA peut permettre de développer la télémédecine dans ces communautés, comme chez les Quechuas, où le taux de mortalité infantile est de 44 pour 1000 naissances. L'IA, bien utilisée, pourrait aussi sauver des vies. La guerre entre Harvard et l'administration Trump arrive au tribunal Après des années d'affrontements, le procès s'ouvre ce lundi. Harvard accuse l'administration de violer ses droits constitutionnels en coupant environ 2 milliards de dollars de financement fédéral. Un sujet éminemment politique : le Washington Post publie une grande frise historique de cette confrontation, et rappelle ainsi que Donald Trump en a fait un argument de campagne, depuis son discours de juillet 2023, dans lequel il promet de lutter contre «la gauche radicale» et lance une guerre totale contre «les maniaques et lunatiques», afin de «reconquérir» les universités comme Harvard. Mais c'est la radio publique NPR qui donne à entendre ce qui est en jeu ces jours ci : NPR publie un reportage où on entend Kari Nadeau, médecin et professeure d'Harvard, qui mène une étude clinique de sept ans pour réduire les allergies mortelles chez les enfants. Une recherche totalement suspendue aujourd'hui. «C'est une perte pour toutes les équipes», témoigne cette professeure, «mais nous sommes encore plus inquiets pour les patients en cours d'essais cliniques». «Ces enfants avaient commencé un traitement, l'arrêter les met en danger mortel», alerte la médecin sur NPR. En espérant que ces voix et ces histoires humaines soient entendues par les juges de Boston. Dans le sud des États-Unis, la crainte après l'extension d'un centre de migrants En Géorgie, les autorités ont validé le mois dernier l'agrandissement du centre de Folkson. Il triplera de capacités, pour arriver à 3 000 places, ce qui en ferait le plus important du pays. Mais des organisations de défense des droits s'y opposent, notamment en raison des enjeux de santé... Reportage d'Edward Maille. Le plus grand narcotrafiquant équatorien est arrivé aux États-Unis « Hasta nunca, Fito », titre le quotidien équatorien Espresso, en reprenant les mots du président, « À jamais ! ». Daniel Noboa se réjouit ainsi de l'extradition réussie de Adolfo Macías Villamar, alias «Fito», décrit comme le criminel le plus dangereux d'Équateur. Fito doit être présenté ce lundi à un juge de New York, qui l'informera des sept charges retenues contre lui, et entre autres du trafic de près de quatre tonnes de cocaïne vers les États-Unis. Le quotidien équatorien El Universo rappelle que l'une des conditions pour cette extradition est que ce trafiquant supposé ne soit pas condamné à la peine de mort, qui a été abolie en Équateur depuis plus d'un siècle. Au Venezuela, on célèbre le retour de migrants expulsés des États-Unis Ils avaient été les premières victimes de la répression de Donald Trump, et envoyés sans procès au Salvador. 252 Vénezuéliens, accusés par Washington d'être des criminels, sont rentrés ce week-end, grâce à un échange à trois bandes : le Salvador, où ils se trouvaient, libère les Vénézuéliens, le Venezuela libère dix citoyens américains, dont un Franco- Américain. À Caracas, la télévision Telesur célèbre l'arrivée des ex-détenus, par un dessin où l'on voit des hommes broyés, sous le drapeau américain, qui se relèvent, fiers, en retrouvant leur patrie. Ce qui n'est pas indiqué dans les médias de ce pays au gouvernement autoritaire, et que détaille la BBC en espagnol), c'est que cet accord a aussi forcé Caracas à libérer plus d'une dizaine de prisonniers politiques, enfermés pour s'être opposés au gouvernement de Maduro.
REDIFF - Au menu de l'émission : - La liposuccion et l'abdominoplastie sont deux interventions chirurgicales de plus en plus demandées. À qui s'adressent-elles ? Et quelles précautions faut-il prendre avant de se lancer ? C'est notre dossier de la semaine ! - Les carrés de figue, utilisés comme coupe-faim naturel, connaissent un succès croissant dans les régimes minceur. Mais leur efficacité est-elle prouvée ? C'est notre aliment de la semaine ! - Raccourcir les vacances d'été des enfants : bonne ou mauvaise idée pour leur santé ? C'est le vrai / faux de la semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine, on va parler d'un sujet qui concerne quasiment tout le monde : pourquoi tu manges même quand tu n'as pas faim. Entre le stress, la routine, les émotions et l'environnement ultra-stimulant, on finit souvent par grignoter sans écouter ses vrais signaux de faim. Dans cet épisode, je t'explique comment faire la différence entre la faim réelle et la faim émotionnelle, pourquoi notre cerveau et notre société nous poussent à confondre les deux, et surtout comment réapprendre à respecter tes sensations alimentaires. Avec des astuces simples et concrètes, tu pourras reprendre le contrôle sans frustration ni culpabilité. Bonne écoute !- Pour découvrir les liens utiles de l'émission, clique ici : https://linktr.ee/sportsantenutritionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'été arrive, il fait 34 degrés à l'ombre, le trottoir colle, tu transpires, et soudain… surprise : t'as pas faim. Même pas un petit sandwich. Même pas une quiche froide. Même pas des frites. T'as juste envie d'un truc : un verre d'eau géant et un melon entier dans un frigo.Mais pourquoi ? Qu'est-ce qui fait que la chaleur coupe l'appétit ? Parce que, soyons clairs, c'est pas par choix. C'est pas toi qui décides de devenir une version plus raisonnable de toi-même, toi qui mange 5 repas par jour, dès que le thermomètre dépasse les 30. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:14:25 - Journal de 7 h - Les palestiniens et l'ONU le craignaient, depuis douze jours les médias internationaux tournent en boucle sur la guerre entre les alliés Israël - Etats-Unis et l'Iran et détournent les yeux de la situation tragique que vivent toujours les Gazaouis.
Ils étaient réservés aux spécialistes de la nutrition : les médicaments coupe-faim (Wegovy, Mounjaro...) vont désormais pouvoir être prescrits par les généralistes. C'est une erreur : on ne devrait pas prescrire aussi facilement ces médicaments... Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 23 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:01 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Eve, 6 ans, se pose des questions sur l'époque médiévale. L'équipe des P'tits Bateaux a contacté un spécialiste pour lui répondre. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Tula Jane and her Mother in the Wild read "J'ai faim!" by Elise Gravel.You can support us and the author by purchasing your very own copy here (in English): https://amzn.to/448eGEoAs Amazon Influencers we are eligible to earn on qualifying orders.Become a Premium Monthly Subscriber to get* a 20% discount on Requests + Dedications *OPT-IN for EMAILS!* have your child greeted in the other episodes we publish* be invited to attend a monthly livestream Storytime on zoom with Mother in the Wild *OPT-IN for EMAILS! (These have been such beautiful, connective events…a wonderful way for listeners to meet us one-one-one!) Your support means the WORLD to us!)Click on the link below being sure to "opt-in" for emails so we can contact you to learn your children's names, offer you the discount code + send you the zoom link.https://podcasters.spotify.com/pod/show/mother-in-the-wild/subscribeWe appreciate you so much!
durée : 00:04:17 - Le Zoom de France Inter - Comment survit-on à Gaza ? À l'occasion de la Journée spéciale “Israéliens et Palestiniens face à la guerre”, France Inter donne la parole à Youssef, un habitant de l'enclave. Israël interdit aux journalistes d'entrer dans Gaza, alors c'est à distance, avec un téléphone, qu'il raconte sa journée.
durée : 00:02:05 - Le vrai ou faux - Plusieurs internautes et personnalités politiques affirment que des milliers de bébés risquent de mourir en 48 heures à Gaza. Mais cela résulte d'une confusion entre plusieurs chiffres, par un représentant de l'ONU, bien que la situation réelle soit tout de même extrêmement critique.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.