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L'ex-rébellion touarègue du nord du Mali a accusé mardi l'armée de nouvelles frappes aériennes sur ses positions. De son côté, l'armée malienne explique dans un communiqué sur les réseaux sociaux, avoir procédé à des frappes aériennes dans le secteur d'Anéfis, mais "contre des colonnes de véhicules de groupes armés terroristes". Pour en parler en plateau, notre correspondant au Sahel Serge Daniel.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le successeur de Macky Sall à l'approche de la présidentielle, sur la résurgence de l'État islamique en Syrie et sur la 4ème inculpation de Donald Trump en Géorgie. Sénégal : qui pour succéder à Macky Sall ?Le début des parrainages doit commencer le 28 août 2023 et Macky Sall n'a toujours pas annoncé qui lui succèdera au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar. Qui sont les candidats potentiels de sa coalition ? Les nombreux candidats ne risquent-ils pas de créer des divisions dans cette alliance entre différents partis ? La décision de Macky Sall fera-t-elle l'unanimité ? Avec Théa Ollivier, correspondante de RFI à Dakar. Mali : la CMA riposte face à la présence de Wagner et des Fama à Ber Au Mali, des affrontements ont éclaté entre l'armée malienne et la Coordination des mouvements de l'Azawad près de la ville de Ber. Depuis le départ de la Minusma, le 13 août 2023, les Fama et Wagner occupent la ville. Peut-on s'attendre à une contre-offensive de la CMA pour reprendre la localité ? La médiation internationale pour le suivi de l'accord de paix s'est-elle exprimée sur la rétrocession ? Les autorités maliennes privilégient-elles la lutte armée plutôt que l'option diplomatique ? Ont-elles les moyens de reconquérir l'Azawad par la force ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. Syrie : vers une résurgence de l'État islamique ? En Syrie, depuis le début du mois d'août 2023, une quarantaine de soldats syriens ont été tués dans quatre attaques de l'État islamique. Peut-on parler de résurgence de l'État islamique dans les zones contrôlées par le régime syrien ? Quelle est l'efficacité de la lutte anti-terroriste menée par l'armée syrienne ? Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'IREMAM (Institut de Recherches et d'Études sur les Mondes Arabes et Musulmans), spécialiste de la Syrie. États-Unis : 4ème inculpation pour Donald Trump Lundi 14 août 2023, Donald Trump a été inculpé pour avoir tenté d'inverser le résultat de la présidentielle 2020 en Géorgie. C'est sa quatrième inculpation en l'espace de quelques mois. Quelles sont ses chances de s'en sortir juridiquement ? Sa campagne pour la primaire républicaine peut-elle être perturbée par ces épisodes judiciaires ? S'il était emprisonné, pourrait-il tout de même faire campagne pour la présidentielle ? Avec Laurence Nardon, responsable du programme Amériques à l'Ifri.
Au Niger, la junte menace de poursuivre le président déchu Mohamed Bazoum pour "haute trahison". "C'est ubuesque", répond le ministre nigérien des Affaires étrangères, Hassoumi Massoudou, sur France 24.
Au menu de l'actualité :Haïti : une experte de l'ONU préoccupée par l'attaque contre le Juge Wilner Morin. Le bataillon sénégalais de la MINUSMA satisfait de sa mission dans la localité d'Ogossagou au Mali.En ces premiers jours du mois d'août, nous continuons de célébrer la semaine de l'allaitementPrésentation : Florence Westergard
Bola Tinubu a été désigné le 9 juillet président de la Cédéao, l'organisation sous-régionale. Défense de la démocratie, mise sur pied d'une troïka chargée de réfléchir sur les transitions démocratiques et les questions de sécurité, nomination d'un émissaire pour rencontrer les autorités maliennes, burkinabè et guinéennes… Le nouveau président nigérian a très vite imprimé sa marque. Quelle sera sa marge de manœuvre ? Va-t-il pouvoir renouveler une institution très décriée ces derniers temps ? Francis Kpatindé, spécialiste de l'Afrique de l'Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris, est l'invité de RFI. RFI : Francis Kpatindé, Bola Tinubu, peut-il relancer la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) ?Francis Kpatindé : Oui, apparemment, il donne le sentiment qu'il peut relancer la machine. Il veut rompre avec l'atonie des deux quadriennats de son prédécesseur. Il semble vouloir prendre toute sa place dans le jeu diplomatique régional.Le retour du Nigeria sur le devant de la scène diplomatique était souhaité en plus par de nombreux dirigeants ouest-africains.Absolument. Vous savez, être le pays le plus peuplé d'Afrique, la première économie du continent, confère des responsabilités. Et je n'oublie pas que le Nigeria est candidat à un siège même permanent au Conseil de sécurité de l'ONU en cas d'élargissement.A peine désigné, Bola Tinubu a tenu un discours très ferme vis-à-vis des juntes militaires actuellement au pouvoir dans la région. Mais que peut changer son arrivée sur un plan politique ?C'est très important, le poids politique, géopolitique et diplomatique du Nigeria en Afrique de l'Ouest. Quand le Nigeria est enrhumé, comme on dit, c'est toute l'Afrique de l'Ouest qui tousse. C'est normal que Tinubu veuille peser. Je pense qu'on revient vers le pouvoir de Sani Abacha dans les années 1990 et de Olusegun Obasanjo. Bola Tinubu connaît l'Afrique de l'Ouest parce qu'il y a vécu, il a fait des affaires au Nigeria, certes, mais également en Côte d'Ivoire, au Ghana, en Guinée. Donc, il connait la région, et je pense qu'il veut mettre un terme aux atermoiements du Nigeria ces dix ou quinze dernières années.Trois pays, le Nigeria, le Bénin et la Guinée-Bissau ont été chargés de réfléchir sur les transitions démocratiques et les questions de sécurité dans la sous-région. Dans ce cadre, Patrice Talon va prochainement se rendre au Mali, au Burkina Faso et en Guinée. Cela veut dire que le président béninois va désormais plus s'impliquer sur les sujets régionaux ?C'est très intéressant, parce que, jusque-là, le président béninois Patrice Talon était très réservé sur les sommets régionaux, ou même panafricains. Ses relations avec Muhammadu Buhari [l'ex-président nigérian, Ndlr] étaient plutôt tièdes. Et avec Bola Tinubu, il semble plus volontaire à rejoindre pleinement la grande famille diplomatique ouest-africaine. Il a même accepté d'assumer des responsabilités. Il y a une volonté de la part du président Bola Tinubu de renouveler les médiateurs, les missi dominici qui vont dans ces pays avec des résultats plutôt mitigés.Sur un plan sécuritaire, il est question de relancer la force en attente de la Cédéao. Quels pourraient être ses moyens humains ?On peut imaginer mettre sur pied une force, l'Ecomog de la sous-région par exemple, en puisant dans le contingent ouest-africain qui est présent actuellement déjà dans la Minusma [la mission des Nations unies au Mali, Ndlr]. La Minusma est en train de passer la main. Ceux-ci n'auront plus qu'à juste troquer leurs casques bleus contre les casques blancs de la Cédéao.Mais la Minusma était financée par les Nations unies. La force en attente de la Cédéao ne sera financée que par la Cédéao. De quels autres moyens financiers pourrait-elle disposer ?Cette force sera financée par le Nigeria, qui n'est pas un petit pays, il faut le rappeler. Et le président béninois insiste beaucoup sur un point : c'est que les États de la région doivent mettre la main à la poche. Donc, il faudra le Nigeria, des pays comme le Ghana, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, qui sont les mieux lotis de la région, et qui doivent mettre la main à la poche. Il en va de la sécurité de l'ensemble des pays d'Afrique de l'Ouest.Et on pourrait imaginer, selon vous, un financement peut-être onusien ou européen, voire d'une manière générale de la communauté internationale ?Je crois que ça arrangerait même la communauté dite internationale, parce que ça allégerait son implication et les suspicions que ça entraîne, et pousser plutôt à une force régionale. L'Ecomog, qui a été créée en 1990, qui a compté jusqu'à 20 000 soldats et officiers, a contribué à amener la paix au Liberia, en Sierra Leone, et même en Côte d'Ivoire. Donc, ce sont des soldats qui connaissent la région. Et je crois que si on trouve un financement, si le président nigérian décide vraiment de mettre le paquet, comme l'ont fait certains de ses prédécesseurs, ça peut être une solution qui sauverait la face de tout le monde.
Radio Mikado FM, la radio des Nations Unies au Mali, est le sujet de notre édition spéciale. Elle a célébré en février dernier 8 ans d'existence. Emettant à Bamako et dans les régions du nord du pays, cette radio est aussi appelée la voix de la paix et contribue à donner une visibilité aux actions de la MINUSMA, la mission des Nations Unies dans le pays. Elle accompagne aussi les autorités maliennes dans le cadre du retour à la paix. Le bilan de ces 8 ans d'existence avec Martial Asseme, chef adjoint de Mikado FM.Présentation : Florence Westergard
Salve, salve, Cacdista! Veja os destaques do Resumo de Notícias da semana (30 de junho a 7 de julho): - Cisjordânia: a maior ofensiva militar em 20 anos de Israel contra o território ocupado; - MERCOSUL: 62ª Cúpula marca início da presidência de turno brasileira; - TRR: Ricardo Lewandovski é nomeado ártitro titular de tribunal do MERCOSUL; - Fundo Amazônia: Suíça anuncia doação imediata de R$ 30 milhões; - Guatemala: Justiça suspende resultado do primeiro turno das eleições presidenciais; - MINUSMA: A pedido do Mali, CSNU aprova retirada de missão de paz do país africano; - FAO: com apoio do Brasil, chinês Qu Dongyu é reeleito diretor-geral da Organização.
Moçambicano que perdeu um olho durante a repressão policial exige indemnização de cinco milhões de euros. Livro "Eduardo Mondlane: Uma Voz Silenciada" traz novos dados sobre o assassinato do primeiro presidente da FRELIMO. Missão de manutenção da paz das Nações Unidas no Mali tem até 31 de dezembro para abandonar o país.
Depuis le 30 juin dernier, la Minusma organise son retrait, qui devra être achevé d'ici la fin de l'année, soit dans six mois. Après dix ans au Mali, le départ de la mission onusienne, exigé par les autorités maliennes de transition, pose de nombreuses questions. Des enquêtes sur les violations des droits humains dans le pays pourront-elles toujours être menées ? Sur le plan sécuritaire, comment le Mali compensera-t-il le départ des Casques bleus, présents notamment dans le Nord ? Le départ de la Minusma pourrait-il être l'occasion de troubles, comme ce fut le cas lors du retrait de la force française Barkhane ? Niagalé Bagayoko, présidente du Réseau africain pour la sécurité, revient pour RFI sur la situation malienne. RFI : La Minusma va disparaître, et avec elle, les enquêtes de sa division droits de l'Homme. Est-ce que les Nations unies auront d'autres manières de surveiller les violences au Mali, celles des jihadistes et celles de l'armée malienne et de ses supplétifs russes ?Niagalé Bagayoko : Le départ de la Minusma va créer un vide en matière d'investigation des violations de droits de l'Homme et d'exactions contre les civils, mais la mission était déjà entravée de ce point de vue-là. Il reste encore aujourd'hui un expert indépendant des Nations unies en la personne d'Alioune Tine. La question qui se pose est : quel accès au terrain sera-t-il en mesure d'avoir ? Le Haut-commissariat aux droits de l'Homme aussi a une mission en la matière, mais il y a, il ne faut pas l'oublier, une procédure judiciaire lancée par les autorités maliennes contre certains des personnels onusiens qui ont contribué à la rédaction du rapport de Moura, donc il sera beaucoup plus difficile pour des acteurs internationaux, qu'ils relèvent des Nations unies ou d'organisations non-gouvernementales – comme Amnesty, comme Human Rights Watch –, d'avoir un accès au terrain.Les Casques bleus ne peuvent plus réagir en cas d'attaque contre les civils que pendant trois mois. Après le 30 septembre, ils n'y seront plus du tout autorisés. Est-ce inquiétant ?Malheureusement, la situation des civils est alarmante depuis un grand nombre d'années. La Minusma a réussi à sécuriser les civils dans certaines zones, et on constate d'ailleurs que c'est dans ces zones plutôt situées dans la partie septentrionale du pays qu'il y a eu un certain nombre de protestations pour déplorer la décision des autorités maliennes d'exiger son départ « sans délai ». Mais on voit ce qu'il se produit, notamment dans la région de Ménaka : avec l'État islamique, les Nations unies se sont révélées elles aussi, malheureusement comme la plupart des acteurs nationaux ou internationaux, très peu en mesure de protéger ces populations civiles. Malgré tout, certains estiment que le départ des Casques bleus constitue un effet d'aubaine pour les groupes jihadistes, qui pourraient augmenter leurs attaques. Selon vous, c'est exagéré ou c'est à craindre ?Bien sûr, c'est à craindre, c'est ce que l'on voit dans les zones où la mission n'était pas présente. Il est à craindre aussi des attaques contre les personnels de la Minusma. Il faut rappeler qu'il s'agit de la mission la plus meurtrière [de toutes les opérations de maintien de la paix de l'Onu – NDLR], donc d'ici le 31 décembre, il est à craindre une hausse des violences contre ces personnels-là, et à terme, contre des civils dans une situation qui va se rapprocher, malheureusement, de celle qu'on connaissait au début de la crise en 2012. Est-ce qu'on a déjà des éléments sur le plan des autorités maliennes pour la sécurisation du Nord, où se trouvent la majorité des bases militaires onusiennes ?Pour l'instant, les autorités maliennes font surtout état de la « montée en puissance » dont elles affirment pouvoir se prévaloir depuis l'année et demie écoulée qui, selon elles, a commencé dans le centre du Mali et qui a vocation à s'étendre sur l'ensemble du territoire. Des opérations qui se sont traduites par une certaine reconquête de certaines zones, mais si l'on prend par exemple le fameux village de Farabougou, qui avait beaucoup attiré l'attention, il semble avoir été totalement vidé [de sa population, qui a dû fuir – NDLR]. Mais, ce que l'on constate avant tout, c'est la hausse des tensions depuis le début de l'année entre les autorités et les groupes armés signataires de l'accord de paix, ce qui laisse penser que des hostilités pourraient reprendre dans un avenir relativement proche. Lorsque l'armée malienne a récupéré les sites laissés par la force française Barkhane, il y a un an, on a connu l'épisode de Gossi : le Mali avait accusé les soldats français d'avoir laissé derrière eux un charnier, la France avait dénoncé, images à l'appui, une manipulation orchestrée par Wagner. Est-ce que le retrait de la Minusma pourrait donner lieu à ce type de séquences ?Il ne me semble pas que les relations entre les autorités maliennes et la Minusma étaient aussi dégradées qu'elles ne l'étaient entre la France et ces mêmes autorités. Il y a d'ores et déjà, notamment dans la capitale Bamako, des mouvements très hostiles à la Minusma. À mon avis, il faut s'attendre à des manifestations célébrant le départ de la mission, mais je ne suis pas certaine que l'on atteigne le degré d'horreur de ce qu'il s'est produit à Gossi.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la décision de la Cour d'appel britannique de ne pas expulser les demandeurs d'asile vers le Rwanda et du lien entre dérèglement climatique et l'élevage de bovins. Royaume-Uni : l'expulsion des demandeurs d'asile vers le Rwanda jugée illégale L'expulsion vers le Rwanda des demandeurs d'asile arrivés illégalement au Royaume-Uni a été jugée illégale par la Cour d'appel britannique. Comment expliquer cette décision de la Cour d'appel ?Les autorités britanniques contestent cette décision. Pourquoi tiennent-elles autant à ce projet ? Quelles options leur reste-t-il pour obtenir gain de cause ? Avec Charlotte Boitiaux, rédactrice en chef adjointe du site Infomigrants. Mali : départ des casques bleus à la fin de l'annéeLe Conseil de sécurité a acté le retrait de la Minusma d'ici à la fin de l'année. Comment va s'organiser le départ de plus de 13.000 soldats en l'espace de six mois ? Quelles sont les alternatives pour maintenir la sécurité dans les régions où ils étaient déployés ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. Irlande : faut-il abattre des vaches pour sauver le climat ? L'Irlande envisage de tuer 200.000 vaches pour faire face au dérèglement climatique. En quoi cette décision pourrait-elle aider à réduire les émissions de gaz à effets de serre du pays ? D'autres pays pourraient-ils emboîter le pas de l'Irlande ? Avec Rémi Prud'homme, économiste et modélisateur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement.
Majalisar Dinkin Duniya ta amince da matakin janye dakarunta dubu 13 da ke aikin wanzar da zaman lafiya a Mali bayan da gwamnatin sojin kasar ta yi matsin lamba don ganin an kawo karshen ayyunkan rundunar ta MINUSMA da ta shafe shekaru 10 a kasar. Yanzu haka gwamnatin Mali ta kulla alaka da sojojin haya na Wagner daga Rasha domin samar da tsaro a kasar. To ko mece ce makomar tsaro a kasashen yankin Sahel bayan kawo karshen aikin rundunar a Mali? tambayar kenan da Abdurrahman Gambo Ahmad ya fara yi wa Dr. Yahuza Getso, mai sharhi kan lamurran tsaro a Sahel.Ku latsa alamar sauti don sauraron tattaunawar tasu...
Dans ce Club, entretien avec un auditeur de la DW au Mali et des commentaires sur le référendum constitutionnel, l'insécurité, le départ de la Minusma...
Fin de mission ce soir. Et à partir de demain, bouclage des cantines et lever de camp pour les Casques bleus, au Mali... C'est ce que veut Bamako et, sauf contrordre, ce que devrait décider, ce vendredi, le Conseil de sécurité des Nations Unies.Sur place, Maliweb a déjà tourné la page de la Minusma, invitant ses lecteurs à « changer de logique pour réinventer (le) pays », afin de « faire naître un nouveau Mali plus prospère qui fera la fierté des générations futures ».La Minusma, histoire ancienne ? Le journal bamakois L'Essor ne laisse pas entendre autre chose, en soulignant que cette décision de retrait de la Minusma a reçu « le soutien sans ambages de la classe politique malienne de façon générale et de la société civile ». Du reste, relève L'Essor, la douane vient de recevoir instruction « d'interrompre immédiatement les importations de tous matériels à destination de la mission onusienne jusqu'à la date de son retrait définitif du territoire du Mali ».Comme quoi le Mali « veut qu'on obéisse à son injonction ! », pointe le journal Aujourd'hui au Faso. Compréhensif, ce quotidien ouagalais souligne que la Minusma est la mission « la plus coûteuse de l'ONU », (1,2 milliard de dollars par an).Entre Bamako et la Minusma, « le divorce est déjà consommé », formule cet autre quotidien burkinabè qu'est Le Pays. Lequel journal admet qu'au Mali comme en RDC, les missions de maintien de la paix des Nations-Unies engloutissent des budgets « colossaux » pour des résultats « pas toujours à la hauteur des attentes des populations en terme de sécurité ».Issa Malick Coulibaly contre-attaque En Côte d'Ivoire, Issa Malick Coulibaly hausse le ton dans la précampagne électorale. Candidat du PPA-CI à la mairie de Korhogo lors des élections municipales du 2 septembre prochain, cet ancien ministre de Laurent Gbagbo répond aux récentes attaques de son rival du RHDP, le député Lassina Ouattara, alias Lass PR, un personnage « sans envergure ni épaisseur politique », énonce Le Temps, à Abidjan. Lequel quotidien proche de Laurent Gbagbo se borne, en fait, à publier des extraits d'un article du journal français en ligne Mondafrique. Dans le portrait du candidat du RHDP à l'élection municipale de Korhogo, ce site rappelle que Lass PR fut « planton » à la mairie de cette ville du nord ivoirien, « avant de s'expatrier durant 25 ans aux Etats-Unis, où il exercera notamment la profession de technicien de surface dans un restaurant ». Face à lui, Issa Malick Coulibaly se garde « de nourrir le sentiment d'hégémonie de sa noble famille dans le septentrion ivoirien », pointe Mondafrique. Evoquant les « nombreux dons publics » faits par Lass PR durant cette pré-campagne, Issa Malick Coulibaly dit à ce journal que, lui, agit plutôt « dans discrétion » et signale que les populations bénéficiaires des dons de Lass PR les considèrent « comme humiliants et même dangereux pour leur sécurité ». Lass PR, du balai !Dans cet entretien à Mondafrique, le docteur Issa Malick Coulibaly assure avoir noué « des partenariats locaux solides avec les Soroïstes, avec l'APR (Alliance pour la République), le RPP (Rassemblement pour la paix et le progrès), l'AIRD (Alliance ivoirienne pour la République et la démocratie) », le tout venant s'appuyer sur l'alliance avec le PDCI-RDA, qui « fonctionne bien », dit-il. Et il assure que liste qu'il conduit « sera constituée de conseillers municipaux de ces six formations », avant de saluer « l'ensemble des autres communautés religieuses de Côte d'Ivoire et de Korhogo, avec lesquelles (il) entretien(t) d'excellentes relations ».Tshisekedi, le discours d'un chefLes 63 ans, enfin, de l'indépendance de la RDC, dont l'intégrité territoriale est menacée par une force d'occupation étrangère, a dénoncé le président Tshisékédi. « Qu'avons-nous fait en 63 ans d'indépendance ? », se demande en Une, Le Nouvel Observateur. « Il est temps que cette question nous taraude l'esprit jour et nuit, enjoint ce journal kinois (…) En ce 63ème anniversaire de l'Indépendance du pays, il importe aux Congolais de prendre conscience de la tâche qui est le sien, de se mettre enfin débout pour bâtir un pays plus beau autour du majestueux fleuve Congo, comme le souligne le refrain de notre hymne national ».Comme le souligne Media Congo, le président Tshisekedi encourage le gouvernement de continuer à maintenir l'effort pour « que toute aventure belliqueuse sur la terre congolaise soit suicidaire pour quiconque la tenterait ».
durée : 00:02:39 - Un monde d'avance - Le Conseil de sécurité de l'ONU a entériné la fin du mandat de la Minusma. Les Casques bleus ont jusqu'à la fin de l'année pour quitter le Mali.
Fin de mission ce soir. Et à partir de demain, bouclage des cantines et lever de camp pour les Casques bleus, au Mali... C'est ce que veut Bamako et, sauf contrordre, ce que devrait décider, ce vendredi, le Conseil de sécurité des Nations Unies.Sur place, Maliweb a déjà tourné la page de la Minusma, invitant ses lecteurs à « changer de logique pour réinventer (le) pays », afin de « faire naître un nouveau Mali plus prospère qui fera la fierté des générations futures ».La Minusma, histoire ancienne ? Le journal bamakois L'Essor ne laisse pas entendre autre chose, en soulignant que cette décision de retrait de la Minusma a reçu « le soutien sans ambages de la classe politique malienne de façon générale et de la société civile ». Du reste, relève L'Essor, la douane vient de recevoir instruction « d'interrompre immédiatement les importations de tous matériels à destination de la mission onusienne jusqu'à la date de son retrait définitif du territoire du Mali ».Comme quoi le Mali « veut qu'on obéisse à son injonction ! », pointe le journal Aujourd'hui au Faso. Compréhensif, ce quotidien ouagalais souligne que la Minusma est la mission « la plus coûteuse de l'ONU », (1,2 milliard de dollars par an).Entre Bamako et la Minusma, « le divorce est déjà consommé », formule cet autre quotidien burkinabè qu'est Le Pays. Lequel journal admet qu'au Mali comme en RDC, les missions de maintien de la paix des Nations-Unies engloutissent des budgets « colossaux » pour des résultats « pas toujours à la hauteur des attentes des populations en terme de sécurité ».Issa Malick Coulibaly contre-attaque En Côte d'Ivoire, Issa Malick Coulibaly hausse le ton dans la précampagne électorale. Candidat du PPA-CI à la mairie de Korhogo lors des élections municipales du 2 septembre prochain, cet ancien ministre de Laurent Gbagbo répond aux récentes attaques de son rival du RHDP, le député Lassina Ouattara, alias Lass PR, un personnage « sans envergure ni épaisseur politique », énonce Le Temps, à Abidjan. Lequel quotidien proche de Laurent Gbagbo se borne, en fait, à publier des extraits d'un article du journal français en ligne Mondafrique. Dans le portrait du candidat du RHDP à l'élection municipale de Korhogo, ce site rappelle que Lass PR fut « planton » à la mairie de cette ville du nord ivoirien, « avant de s'expatrier durant 25 ans aux Etats-Unis, où il exercera notamment la profession de technicien de surface dans un restaurant ». Face à lui, Issa Malick Coulibaly se garde « de nourrir le sentiment d'hégémonie de sa noble famille dans le septentrion ivoirien », pointe Mondafrique. Evoquant les « nombreux dons publics » faits par Lass PR durant cette pré-campagne, Issa Malick Coulibaly dit à ce journal que, lui, agit plutôt « dans discrétion » et signale que les populations bénéficiaires des dons de Lass PR les considèrent « comme humiliants et même dangereux pour leur sécurité ». Lass PR, du balai !Dans cet entretien à Mondafrique, le docteur Issa Malick Coulibaly assure avoir noué « des partenariats locaux solides avec les Soroïstes, avec l'APR (Alliance pour la République), le RPP (Rassemblement pour la paix et le progrès), l'AIRD (Alliance ivoirienne pour la République et la démocratie) », le tout venant s'appuyer sur l'alliance avec le PDCI-RDA, qui « fonctionne bien », dit-il. Et il assure que liste qu'il conduit « sera constituée de conseillers municipaux de ces six formations », avant de saluer « l'ensemble des autres communautés religieuses de Côte d'Ivoire et de Korhogo, avec lesquelles (il) entretien(t) d'excellentes relations ».Tshisekedi, le discours d'un chefLes 63 ans, enfin, de l'indépendance de la RDC, dont l'intégrité territoriale est menacée par une force d'occupation étrangère, a dénoncé le président Tshisékédi. « Qu'avons-nous fait en 63 ans d'indépendance ? », se demande en Une, Le Nouvel Observateur. « Il est temps que cette question nous taraude l'esprit jour et nuit, enjoint ce journal kinois (…) En ce 63ème anniversaire de l'Indépendance du pays, il importe aux Congolais de prendre conscience de la tâche qui est le sien, de se mettre enfin débout pour bâtir un pays plus beau autour du majestueux fleuve Congo, comme le souligne le refrain de notre hymne national ».Comme le souligne Media Congo, le président Tshisekedi encourage le gouvernement de continuer à maintenir l'effort pour « que toute aventure belliqueuse sur la terre congolaise soit suicidaire pour quiconque la tenterait ».
L'Onu vota per il ritiro della missione Minusma dal Mali, con il rischio di abbandonare un paese cruciale nel Sahel all'instabilità (e a Wagner). Twitter tenta il rilancio di immagine per riconquistare introiti pubblicitari. Green e digitale guidano i nuovi corsi di laurea per l'anno accademico 2023-2024. Sono gli argomenti della puntata del 30 giugno di Start, il podcast del Sole 24 Ore
Le Conseil de sécurité de l'ONU a mis un terme immédiat, le 30 juin, à la mission des Casques bleus au Mali. Une exigence de la junte malienne qui fait craindre pour la sécurité de la population dans un pays toujours en proie aux attaques jihadistes. Les invités de cette édition sont Bakary Sambe, directeur régional du Timbuktu institute et spécialiste de la sécurité au Sahel, et Serge Daniel, correspondant France 24 et RFI dans la région.
durée : 00:58:21 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Clara Marchaud revient de la région de Kherson, en Ukraine, toujours sous les eaux suite à la destruction d'un barrage / À la demande du gouvernement militaire du Mali, le Conseil de sécurité de l'ONU devrait acter la fin de l'intervention de la mission de la paix déclenchée il y a dix ans. - invités : Clara Marchaud Journaliste indépendant basée en Ukraine pour L'Express, Le Figaro et Mediapart ; Alain Antil Directeur du centre Afrique subsaharienne à l'IFRI, enseignant à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille et à Paris I Sorbonne; Seidik Abba Chercheur associé au groupe interdisciplinaire de recherche en Histoire de l'Afrique (GIRHA) à l'université du Québec à Montréal
El Alto Comisionado para los Derechos Humanos aboga por la “tolerancia cero” contra la violencia de género hacia las mujeres que participan en política. La ONU pide a Francia que “aborde seriamente los profundos problemas de racismo” de su policía. El Consejo de Seguridad ha aprobado por unanimidad poner fin a la Misión de la ONU en Mali, la MINUSMA.
À la une de la presse, du vendredi 30 juin, la marche blanche en hommage à Nahel, marquée par des affrontements entre jeunes et policiers, la fin de la Minusma au Mali et le Tour de France qui va débuter à Bilbao.
Mit: Der Wagner-Aufstand in Russland, MINUSMA in Mali, der European Media Freedom Act, die Wahl in Griechenland, knapper Mindestlohn, Sham Jaff zum Britischen Ruanda-Deal, bittersüßen Nachrichten, Deutschland Radikal und Pizza. Mit einem Limerick von Jens Ohrenblicker
Le gouvernement britannique a connu un nouveau revers : la justice a déclaré "illégal", le 29 juin, le projet controversé d'expulser vers le Rwanda les migrants arrivés illégalement au Royaume-Uni. Mais le Premier ministre Rishi Sunak a immédiatement annoncé vouloir saisir la Cour suprême.
Irene Horejs in conversation with Boubacar Haidara and Bart Ouvry WHAT NEXT IN CENTRAL SAHEL A deep dive into the Crisis The central Sahel — Burkina Faso, Mali, and Niger — has changed dramatically since the armed insurgencies that emerged in northern Mali in 2012. Despite the initial success of counterterrorism operations led by France and the force of five neighbouring countries (G5 Sahel), despite the UN Peace keeping mission MINUSMA and the EU military training mission in Mali, integrated also by the Austrian army – the deterioration in security has been worse than anything experienced by the region in recent times. Aggressive extremist organizations, community-based armed groups, and criminal gangs have proliferated and serious human rights violations, including by security services and civilian deaths have reached staggering levels. In 2021 and 2022, the army took power in both Mali and Burkina Faso prompting harsh reactions by the West and the organisation of West African States ECOWAS. Mali´s new leaders reacted by requesting the withdrawal of French troops, tightening operating conditions for MINUSMA and engaging with Russia for military support through the Wagner group. Since August 2022, France relocated its military operation to Niger and EU countries reduced their presence in the EUTM. How can these developments be explained? What were the short comings of the peace agreement mediated in 2015 by neighbouring countries, the African Union, the UN and the EU? What happened to the EU “comprehensive stabilization strategy for the Sahel”? What is the way forward for the EU in this new context? Welcome: Georg Lennkh, Former Austrian Special Ambassador for Africa Boubacar Haidara, Senior Researcher at the Bonn International Centre for Conflict StudiesBart Ouvry, Ambassador and Head of the EU Delegation to Mali (until April 2023) Günther Barnet, Department for Regional Cooperation with Africa and the Middle East, Austrian Ministry of Defense Irene Horejs, Former EU Ambassador to Niger and Mali
Unter deutscher Beteiligung soll seit 2013 die UN-Mission Minusma in Mali zur Stabilisierung des Landes beitragen. Ein Jahrzehnt später fordert die malische Regierung den Abzug der Blauhelme. Der Vorwurf: Die Minusma hat ihr Ziel nicht erreicht.Rühl, Bettinawww.deutschlandfunk.de, HintergrundDirekter Link zur Audiodatei
C'est une semaine cruciale qui s'ouvre. Ce lundi, le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion sur la mission en République démocratique du Congo. Et surtout vendredi, doit prendre fin la Minusma, mission de paix des Nations unies au Mali, et tout porte à croire qu'elle ne sera pas renouvelée après dix années de présence. Quel est le bilan des OMP (opérations de maintien de la paix) déployées depuis 75 ans à travers le monde ? Comment les adapter aux nouvelles menaces ? Quelles alternatives ? Pour en débattre :- Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne à l'Institut français des Relations internationales (Ifri) et enseignant à l'Institut d'Études Politiques de Lille et à Paris I Sorbonne- Thierry Vircoulon, coordinateur de l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'Institut français des relations internationales (Ifri).
C'est une semaine cruciale qui s'ouvre. Ce lundi, le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion sur la mission en République démocratique du Congo. Et surtout vendredi, doit prendre fin la Minusma, mission de paix des Nations unies au Mali, et tout porte à croire qu'elle ne sera pas renouvelée après dix années de présence. Quel est le bilan des OMP (opérations de maintien de la paix) déployées depuis 75 ans à travers le monde ? Comment les adapter aux nouvelles menaces ? Quelles alternatives ? Pour en débattre :- Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne à l'Institut français des Relations internationales (Ifri) et enseignant à l'Institut d'Études Politiques de Lille et à Paris I Sorbonne- Thierry Vircoulon, coordinateur de l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'Institut français des relations internationales (Ifri).
Comment tout à la fois, lutter contre la pauvreté et le réchauffement climatique ? C'est le défi du Forum de Paris. Appelant à une « mobilisation » pour les taxations internationales, la France va réallouer aux pays pauvres 40% de ses droits de tirage spéciaux, c'est-à-dire la monnaie-maison dont elle dispose dans les comptes du Fonds monétaire international. Hier, déjà, une annonce, le rééchelonnement de la dette publique zambienne. À Lusaka, la capitale, le News Diggers applaudit. Le site de ce quotidien zambien rapporte les félicitations de la directrice générale du Fonds monétaire international à son « cher frère », le président zambien Hakainde Hichilema. « Vous ne rembourserez pas votre dette », lui a dit hier Kristalina Georgieva, s'enthousiasme le News Diggers. Félicitations également du site Le Djély. Lequel « se réjouit pour la Zambie, en défaut de paiement depuis 2020 ».Les leçons de Mahamat Idriss DébyChangement de ton, en revanche, de ce journal guinéen, au sujet de Mahamat Idriss Déby. À la tribune du Forum de Paris, hier, le président de la transition tchadienne a appelé à la « suppression pure et simple de la dette des pays africains pour compenser les dégâts énormes causés par les dérèglements climatiques », Le Djély, trouve anormal que Mahamat Idriss Déby soit « accueilli dans tous les cénacles, comme s'il était un dirigeant ordinaire » alors qu'au Mali, le président de la transition « Assimi Goïta est cloué au pilori à tout bout-de-champ ».Si Emmanuel Macron « déroule le tapis rouge et sert ainsi de parrain à un dirigeant dont tous les opposants sont contraints à l'exil », Le Djély se demande « en quoi une telle attitude serait (…) si différente de l'approche russe ou de la Chine ? », bucheronne Le Djély. Un et indivisible Mali ?C'est aujourd'hui, à Bamako, que l'Autorité indépendante de gestion des élections doit annoncer les résultats du référendum constitutionnel de dimanche dernier. Dans un communiqué, hier, les groupes armés signataires de l'accord de paix de 2015 affirmaient que le scrutin n'avait pas été organisé dans les zones qu'ils contrôlent, notamment dans la région de Kidal.Et dans l'attente des résultats de ce référendum constitutionnel, ce matin, à Bamako, le quotidien Malikilé, en Une, rapporte l'opposition « ferme » des groupes armés réunis au sein du Cadre Stratégique Permanent pour la paix, la sécurité et le développement. Lequel « ne reconnaît pas la constitution en raison des irrégularités qui ont entaché le processus » et se dit convaincu que « le retrait de la Minusma sera "un coup fatal" porté à l'Accord pour la paix (et une) menace pour la sécurité au Mali et dans toute la région », énonce Malikilé.Qui veut la peau de Matata au Congo ?En République démocratique du Congo, l'ancien Premier Ministre Matata Mponyo est poursuivi pour un détournement présumé de plus de 200 millions de dollars américains destinés au projet du parc agro-alimentaire de Bukangalonzo. Candidat déclaré à l'élection présidentielle du 20 décembre, cet actuel sénateur d'opposition, Matata Mponyo a récusé hier le procureur général près la cour constitutionnelle qu'il accuse d'être instrumentalisées pour l'éliminer de la course à la magistrature suprême, tout comme il avait auparavant traduit en justice le président du Sénat Modeste Bahati pour atteinte à ses droits. Pour bien comprendre cette procédure, le quotidien congolais Le Phare signalait avant son annonce que Matata Ponyo « continue » d'être privé de ses « immunités » depuis leur levée il y a près de deux ans. « Par conséquent, le Sénat considère qu'Augustin Matata Ponyo reste à la disposition de la justice, qui peut actionner le levier des poursuites judiciaires à tout moment ». Dont acte.Résultat, « Félix Thsisekedi s'acharne-t-il contre Augustin Matata Ponyo ? », se demande Afrik.com. Prudemment, ce journal africain en ligne se borne à souligner qu'à quelque six mois de l'élection présidentielle, « la tension monte de plus en plus en République Démocratique du Congo ».
Conferencia Internacional para la Recuperación de Ucrania en Londres. Putin habla en un acto en Moscú y conocemos la situación en Zaporiya con Fran Sevilla, nuestro enviado especial. Entrevista sobre Mali, cuya junta militar ha reclamado la salida del país de MINUSMA, la misión militar que mantiene la ONU en el país africano. Decenas de reclusas muertas en un motín en una cárcel de Honduras. Enorme tensión en la provincia argentina de Jujuy. Y muchas cosas más. Escuchar audio
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la visite de Mohamed Ben Salman à Paris et sur la mise à la retraite d'une cinquantaine de généraux au Tchad. France/Arabie Saoudite : les enjeux de la visite de MBS Moins d'un an après une première visite en France, le prince saoudien Mohammed ben Salman est de nouveau à Paris pour une dizaine de jours. Malgré la polémique qui entoure ce séjour, pourquoi Emmanuel Macron tient-il à se rapprocher de l'Arabie Saoudite ? Avec Guilhem Delteil, journaliste au service international de RFI. Tchad : 48 généraux mis à la retraiteÀ la surprise générale, un décret de Mahamat Idriss Déby a mis à la retraite près d'une cinquantaine de généraux. C'est une première depuis plus de 20 ans. Qu'est-ce qui a motivé le président tchadien à prendre une telle mesure ? Quelles conséquences cette décision peut-elle avoir sur l'armée ? Avec Esdras Ndikumana, journaliste au service Afrique de RFI. Pourquoi le Mali demande le départ immédiat des casques bleus ? Le 16 juin 2023, le ministre des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a demandé le « retrait sans délai » de la Minusma. Quel est l'intérêt du gouvernement malien à formuler cette demande maintenant ? Cela a-t-il un lien avec le référendum constitutionnel du 18 juin ? Minusma : le Conseil de sécurité va-t-il acter la demande du Mali ? Alors que le mandat de la Minusma arrive à échéance le 30 juin 2023, le gouvernement malien a déclaré vouloir un retrait immédiat des forces onusiennes. Est-ce que cela signifie que le Conseil de sécurité actera cette décision dans 10 jours ? Quelles sont les mesures envisagées par le gouvernement pour pallier le départ des casques bleus ? Mali : quels seront les impacts du retrait des forces onusiennes ? Alors que la Minusma a permis de créer de nombreux emplois, notamment dans le nord du Mali, quelles conséquences un départ anticipé pourra-t-il avoir sur notre économie ? Les divergences sur le sujet ne risquent-elles pas d'amplifier la crise interne du pays ? Avec Niagalé Bagayoko, présidente de l'African security network, spécialiste des questions de sécurité au Sahel.
La justice malienne est saisie d'une action engagée par l'État contre la Minusma, accusée d'espionnage après la publication d'un rapport accablant pour l'armée nationale. Cette plainte fait suite à la publication d'un rapport du Haut-Commissariat aux droits de l'Homme de l'ONU, fondé sur une enquête de la division des droits de l'Homme de la Minusma. Il accuse l'armée malienne et des combattants "étrangers" d'avoir exécuté au moins 500 personnes à Moura lors d'une opération antijihadiste.
Au menu de l'actualité : L'ONU souligne la complémentarité de sa Mission au Mali devant le Conseil de sécurité Le rôle vital des femmes dans la lutte contre la désertificationJournée de l'enfant africain avec le témoignage d'un ancien enfant soldat congolais Présentation : Cristina Silveiro
Au menu de l'actualité :La fracture mondiale en matière d'emploi s'accentue, l'OIT sonne l'alarmeSahel : le Réseau Action Climat souligne le lien étroit entre le dérèglement climatique et la sécuritéMali : des projets de la MINUSMA favorisent l'autonomie des jeunes filles à Ménaka Présentation : Cristina Silveiro
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les tentatives de dialogue entre les forces vives de Guinée et les autorités de transition, sur la candidature de Ron DeSantis à la primaire républicaine et sur la fin du partage de comptes de Netflix. Mali : les Casques bleus sur la sellette ? Un nouveau rassemblement pour demander le départ de la Minusma s'est tenu jeudi dernier (25 mai 2023) à Bamako. Quel regard portent les autorités maliennes sur ces manifestations ? Face à ce ressentiment, la mission des Nations unies pourrait-elle partir ? Avec Serge Daniel, correspondant régional pour le Sahel. Guinée : vers la fin du bras de fer junte - Forces vives ?La semaine dernière, le tribunal de Dixinn(Conakry) a levé le contrôle judiciaire de neuf opposants. Des hommes politiques poursuivis pour avoir soutenu des manifestations contre la junte. Parmi eux, il y a Étienne Soropogui ou encore Fodé Oussou Fofana, des figures de la classe politique guinéenne. La levée de ce contrôle judiciaire fait partie des revendications des Forces vives de Guinée. Les FVG qui ont posé plusieurs conditions pour renouer le dialogue avec les autorités. Cette mesure intervient quelques jours après la libération des leaders du FNDC. Cette multiplication de gestes de la part des autorités peut-elle permettre une relance du dialogue avec les Forces vives ?Avec Matthias Raynal, correspondant de RFI en Guinée Conakry. Présidentielle américaine : Ron DeSantis peut-il battre Donald Trump ?Sur Twitter, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a annoncé sa candidature à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle de 2024. Il est le principal rival de Donald Trump. Quelle stratégie compte-t-il employer pour battre l'ancien président américain ? A-t-il ses chances ? Avec Françoise Coste, historienne, professeure à l'Université Toulouse 2, spécialiste de la droite américaine et du parti républicain.Netflix : pourquoi la plateforme met fin au partage de comptes ? Il n'est désormais plus possible d'utiliser le compte Netflix d'un ami pour regarder sa série préférée. La plateforme américaine a, en effet, décidé de restreindre le partage de comptes. Pourquoi met-elle un terme à cette pratique longtemps tolérée ? Face à la concurrence, Netflix ne risque-t-il pas de perdre des abonnés ?Avec Philippe Bailly, président et cofondateur de NPA Conseil, spécialiste de l'économie des médias.
Al-Shabab have carried out an attack on a base of the African Union Transition Mission in Somalia, housing Ugandan troops. The base is located around 100km from the capital, Mogadishu. The militant group said they captured the camp and killed dozens of ATMIS soldiers, but there's been no independent confirmation. We hear from Kenya's Nancy Karigithu, who is in the running to become the first African woman to head the International Maritime Organisation. Thousands of demonstrators gathered yesterday in the Malian capital, Bamako, to demand the departure of the UN mission in the country, known as MINUSMA. And Uganda's parliament has passed a bill increasing paternity leave from four to seven days. MPs said they got the idea from neighbouring Kenya, where male working employees get two weeks of leave.
Ablavi Nodjigno est togolaise et Commissaire principale de police, chargée de la sélection et du recrutement au Département des opérations de paix à New York et pour la MINUSMA, la mission des Nations Unies au Mali.Son travail au sein du maintien de la paix permet d'apporter de l'espoir aux hommes, aux femmes et aux enfants qui en ont besoin, a-t-elle expliqué.Dans un entretien dans les studios d'ONU Info, elle explique les défis qu'elle a rencontrés, surtout sur le terrain où elle a vu des femmes, des enfants et des hommes qui ont tout perdu. Elle a vu qu'elle pouvait apporter une lumière aux communautés qu'elle a rencontrées et être un modèle pour les femmes et les filles de ces communautés.Elle a terminé cet entretien par un message, celui du 75ème anniversaire du maintien de la paix : La paix commence avec moi, avec vous, avec nous tous. Mais c'est aujourd'hui et maintenant.
Au menu de l'actualité :Soudan : l'ONU estime à plus de 3 milliards de dollars les besoins en aide humanitaireLa situation sécuritaire au Sahel examinée au Conseil de sécuritéAteliers de lutte contre les armes légères à Mopti au Mali Présentation : Cristina Silveiro
Au menu de l'actualité :Le monde doit se préparer à des températures records, alerte l'OMM.Le Conseil de sécurité a examiné de nouvelles approches pour restaurer la confiance dans un système international sous tension.Au Mali, la MINUSMA apporte son appui dans la lutte contre la prolifération des armes légères et de petits calibres.Présentation : Florence Westergard
Au menu de l'actualité :L'ONU s'alarme de l'escalade de la crise des migrants en Méditerranée centraleAu Mali, la MINUSMA continue de contribuer à la protection des civilsLe Président de la Commission d'enquête internationale indépendante sur l'Ukraine témoigne de l'état d'esprit de la population. Présentation : Florence Westergard
Au menu de l'actualité :L'ONU lance un appel à la transformation industrielle afin de réaliser les Objectifs de développement durableAu Mali, la MINUSMA sensibilise les populations aux risques des mines et engins explosifsJeunes reporteurs de l'ONU en action à Genève Présentation : Cristina Silveiro
Au menu de l'actualité :Malgré les défis, l'Afrique est sur la voie du progrès.La situation des droits de l'homme en République centrafricaine reste très préoccupante, selon un expert indépendant.Au Mali, la MINUSMA aide les agents pénitentiaires à effectuer leur travail malgré les multiples contraintes.Présentation : Florence Westergard
La Journée mondiale de la Radio, qui est célébrée chaque année le 13 février, est une journée importante pour la radio des Nations Unies au Mali, Mikado-FM, alors qu'elle fête son 8e anniversaire.Selon son chef adjoint Martial Asseme, Mikado FM s'efforce, depuis sa création, d'être un vecteur de paix et de cohésion sociale.Emettant à Bamako et dans les régions nord du pays, cette radio est aussi appelée la voix de la paix et contribue, selon lui, à donner une visibilité aux actions de la MINUSMA, la mission des Nations Unies dans le pays, et à accompagner les autorités maliennes dans le cadre du retour à la paix.Martial Asseme est au micro de Sory Ibrahim Maiga.
Dans cet épisode, le chef de bataillon Guillaume, de l'Ecole de guerre-Terre, raconte son mandat au sein de la MINUSMA et les difficultés à continuer à opérer face aux obstructions des autorités maliennes.
Les autorités maliennes ont annoncé, dimanche 5 février, l'expulsion dans les 48 heures, du directeur de la division des droits de l'Homme de la Mission des Nations unies au Mali, Guillaume Ngefa-Atondoko Andali, devenu "persona non grata". Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a "profondément regretté" l'expulsion du diplomate au moment où la force de l'ONU évoque un possible retrait du Mali de ses troupes. Les précisions d'Ange Nomenyo, correspondant régional de France 24.
Au menu de l'actualité :Les médicaments contrefaits tuent des centaines de milliers de personnes dans les pays du Sahel, alerte l'ONUDC.Il est urgent de restaurer les zones humides : c'est le thème de la journée mondiale cette année.Au Mali, un projet de stockage des armes légères et de petits calibres vient d'être lancé par l'ONU. Présentation : Florence Westergard
Au menu de l'actualité : Mali : l'ONU appelle à remplacer les troupes qui se retirent de la MINUSMA Objectifs de développement durable : un nouvel outil d'évaluation des projets liés à l'eau Arthur Langerman revient sur sa collection d'images à l'origine de l'expo FakeImages Présentation : Cristina Silveiro
Au menu de l'actualité :Deux ans après le coup d'Etat au Myanmar, l'ONU soutient les aspirations démocratiques de la populationMali : la désinformation entrave l'efficacité de l'action de la MINUSMAL'UNRWA a besoin de 1,6 milliard de dollars pour financer ses opérations cette année. Présentation : Jérôme Bernard
Dans un entretien accordé à ONU Info, le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Mali, El-Ghassim Wane et chef de la Mission des Nations Unies dans ce pays (MINUSMA), est revenu sur la situation politique au Mali et comment la mission travaille avec le gouvernement malien sur la fin de la période de transition et le respect du calendrier convenu.Au micro d'Alban Mendes de Leon, il explique que les régions du nord et du centre du Mali sont toujours confrontées à des défis majeurs en matière de sécurité, y compris des violations des droits de l'homme.La MINUSMA, au-delà de son travail d'enquête, de documentation et de publication de rapports liés aux droits de l'homme, mène un travail tout aussi important dans le domaine de la formation et du renforcement des capacités.El-Ghassim Wane explique aussi comment la mission onusienne lutte contre la désinformation qui se répand au Mali et dans les pays voisins. Pour faire passer l'information exacte, elle travaille avec les communautés locales, organise une émission hebdomadaire sur la radio de l'ONU au Mali, Mikado FM, ou encore travaille avec les influenceurs et les jeunes blogueurs.
Au menu de l'actualité :Journée à la mémoire des victimes de l'Holocauste : Guterres dénonce la montée de la haine et appelle à tenir nos responsabilités Examen de la situation au Mali par le Conseil de sécurité Myanmar : deux ans après le coup d'État, le Chef des droits de l'homme de l'ONU constate une régression inimaginable Présentation : Cristina Silveiro
Em Angola: Professores percorrem longas distâncias para dar aulas. Governo egípcio constrói "nova capital administrativa", localizada no meio do deserto. Alemanha vai retirar o seu contingente militar na MINUSMA no Mali em 2024.