Provincial capital and city in North Kivu, DR Congo
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The South African government is facing sharp criticism after representatives of the sanctioned M23 rebel group attended a peace and security dialogue in Magaliesburg, Gauteng, without proper vetting. The Thabo Mbeki Foundation hosted the event, which aimed to address conflicts across Africa. The presence of M23, just months after 14 South African soldiers were killed in clashes with the group in Goma, has sparked outrage. International Relations Minister Ronald Lamola insists the government was unaware of M23's attendance, stating his department did not review the guest list. M23 spokesperson Lawrence Kanyuka, who led the rebel delegation, defended their participation, calling it a step toward peace, and criticized the Democratic Republic of Congo for boycotting the talks. Elvis Presslin spoke to M23 spokesperson, Lawrence Kanyuka
Xipolleja a la banyera musical d'Altafulla Ràdio. El millor so del moment mesclat amb els millors temes dels 80's i 90's. Dirigit i presentat per Enrique Quero. podcast recorded with enacast.com
Julia- Gerald rumored split up, eto ba yung third party?Goma, nag-sorry!Nep babies, 'wag titigilan!
Xipolleja a la banyera musical d'Altafulla Ràdio. El millor so del moment mesclat amb els millors temes dels 80's i 90's. Dirigit i presentat per Enrique Quero. podcast recorded with enacast.com
Cong. Richard Gomez, lilinawin lang namin ...Gldys Reyes, wwalang bang utang na loob sa GMA 7?"Ba't may mansion ang tatay ni Heart sa Sorsogon?!"
En RD Congo, la rentrée des classes est particulière dans l'est du pays : c'est la première depuis la prise de contrôle des territoires dans le Nord et le Sud-Kivu. Malgré les doutes sur cette rentrée scolaire, les écoliers ont répondu présents. Reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula et Fidèle Kitsa.
Xipolleja a la banyera musical d'Altafulla Ràdio. El millor so del moment mesclat amb els millors temes dels 80's i 90's. Dirigit i presentat per Enrique Quero. podcast recorded with enacast.com
Christian Esguerra speaks with Mayor Bernie Tacoy, who wants an investigation into the flood control project, funded supposedly upon the initiative of Rep. Richard Gomez, in his town.
Hii leo ninaungana na mwenzangu Ruben Lukumbuka ambaye hivi karibuni alitembelea mji wa Goma ambako alikutana na wasanii kadhaa ambao wamo mbioni katika kuhamasisha Amani na mshikamano wa jamii kupitia Nyimbo zao, na leo kwa namna ya pekee tutaungana na msanii mkongwe wa miaka mingi katika mji huo ambaye amejiwekea sifa kubwa katika eneo la maziwa makuu MACK ELSAMBO Kataka ambaye kwa zaidi ya miaka 30 amekuwa akiimba AMANI
Christian Esguerra and Edu Mansanas talks about Goma's claim of a 'media spin' after reporters sought to take his side on a flood control issue in his congressional district.
Xipolleja a la banyera musical d'Altafulla Ràdio. El millor so del moment mesclat amb els millors temes dels 80's i 90's. Dirigit i presentat per Enrique Quero. podcast recorded with enacast.com
Passer manager avant 30 ans, être augmenté avant la fin de l'année, lire quatre livres par mois, jouer davantage avec ses enfants, perdre cinq kg, courir le marathon... dans tous les domaines, il est possible de se fixer des objectifs. Cela constitue une façon de s'améliorer, d'apprendre encore, d'être une meilleure version de soi-même. Au risque parfois de s'éparpiller, de viser trop haut, de se perdre en cours de route. À force d'allonger sa liste d'objectifs, de se mettre la pression, la quête du « toujours plus », se transforme en perte de confiance et manque d'épanouissement. Faut-il tout simplement arrêter de se fixer des objectifs ? Avec Anne Fourié, ancienne cavalière de compétition et ancienne manager en entreprise. Fondatrice de HappyPerf, entreprise de formation et coaching mental pour les particuliers et les entreprises. Autrice du livre Arrêtez de vous fixer des objectifs - développer performance et confiance en soi sans se saboter (Eyrolles, 2025). En deuxième partie d'émission, la chronique d'Haussman Vwanderday, un autre regard sur l'économie en Afrique. Aujourd'hui : les applications de tontine sont-elles la solution pour éviter les discordes entre amis et familles ? En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. ► Andrino Akuda Kangela, à Goma, imagine une Afrique sans barrières, fondée sur la libre circulation des personnes et des idées. ► Nadia Edodji, blogueuse togolaise, interroge la difficulté à reconnaître sa propre valeur, entre éducation discrète et culture du silence. ► Mélissa Wyckhuyse, journaliste française, signe un billet fort sur la santé mentale dans les rédactions, après une conférence aux Assises du journalisme de Tours. Cette émission est une rediffusion du 31 mars 2025. Programmation musicale : ► Benjamin B – MC Solaar & Jok'air ► Kamigaz – Pause
Passer manager avant 30 ans, être augmenté avant la fin de l'année, lire quatre livres par mois, jouer davantage avec ses enfants, perdre cinq kg, courir le marathon... dans tous les domaines, il est possible de se fixer des objectifs. Cela constitue une façon de s'améliorer, d'apprendre encore, d'être une meilleure version de soi-même. Au risque parfois de s'éparpiller, de viser trop haut, de se perdre en cours de route. À force d'allonger sa liste d'objectifs, de se mettre la pression, la quête du « toujours plus », se transforme en perte de confiance et manque d'épanouissement. Faut-il tout simplement arrêter de se fixer des objectifs ? Avec Anne Fourié, ancienne cavalière de compétition et ancienne manager en entreprise. Fondatrice de HappyPerf, entreprise de formation et coaching mental pour les particuliers et les entreprises. Autrice du livre Arrêtez de vous fixer des objectifs - développer performance et confiance en soi sans se saboter (Eyrolles, 2025). En deuxième partie d'émission, la chronique d'Haussman Vwanderday, un autre regard sur l'économie en Afrique. Aujourd'hui : les applications de tontine sont-elles la solution pour éviter les discordes entre amis et familles ? En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. ► Andrino Akuda Kangela, à Goma, imagine une Afrique sans barrières, fondée sur la libre circulation des personnes et des idées. ► Nadia Edodji, blogueuse togolaise, interroge la difficulté à reconnaître sa propre valeur, entre éducation discrète et culture du silence. ► Mélissa Wyckhuyse, journaliste française, signe un billet fort sur la santé mentale dans les rédactions, après une conférence aux Assises du journalisme de Tours. Cette émission est une rediffusion du 31 mars 2025. Programmation musicale : ► Benjamin B – MC Solaar & Jok'air ► Kamigaz – Pause
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Dans la presse internationale, de nouveau, ces photos d'enfants et d'adultes qui tendent désespérément des bassines en fer, espérant recevoir de la nourriture. C'est à la Une du quotidien espagnol El Païs, qui titre : « La ville de Gaza officiellement en état de famine, à la veille de l'invasion israélienne ». Une famine « entièrement provoquée par l'homme », accuse le Guardian, citant les experts qui ont défini les critères sur lesquels l'ONU s'appuie pour décréter l'état de famine. « Une famine », précisent encore les experts, « qui est entièrement d'origine humaine et qui pourrait être stoppée ». La presse israélienne, elle, s'appuie sur les déclarations du premier ministre Benyamin Netanyahu, qui parle de « mensonge » et de « diffamation », comme le rappelle en une le Times of Israël, selon lequel « le département d'État américain rejette en grande partie le rapport de l'ONU ». Le Jerusalem Post, lui, préfère titrer sur les dernières déclarations de Donald Trump selon lequel « il reste probablement moins de 20 otages en vie à Gaza ». Quant au quotidien d'opposition Haaretz, il n'évoque pas la famine en Une, mais révèle que sur ordre du Shin Bet – les services de renseignement israéliens –, deux médecins étrangers bénévoles (une américaine et une française) se sont vu refuser « l'accès à la bande de Gaza ». Peine de mort requise contre Joseph Kabila Également dans la presse internationale, les réquisitions dans le procès de Joseph Kabila, en RDC. « Au Congo, le ministère public a requis la peine de mort pour l'ancien chef de l'État Joseph Kabila, accusé d'être l'instigateur du mouvement rebelle AFC/M23 », titre Le Soir. Une réquisition chaleureusement accueillie par l'assistance. « Pluie d'applaudissements dans la salle d'audience, aucunement surprise par la sévérité des réquisitions, au vu de la gravité des charges qui pèsent sur Joseph Kabila », poursuit le quotidien belge. L'ancien chef de l'État est notamment accusé « de participation à un mouvement insurrectionnel, trahison ou encore apologie de la rébellion ». Joseph Kabila n'assiste pas à son procès. L'un des avocats de l'accusation, rappelle Le Soir, ironise : « Monsieur Kabila, aujourd'hui, est gardé par les forces spéciales rwandaises. Quand il veut venir à Goma, il passe par le Rwanda ». Joseph Kabila est même accusé d'être, en fait, « un Rwandais du nom d'Hippolyte Kanambé », « ce qui met en doute son lien filial avec son prédécesseur Laurent-Désiré Kabila ». Du côté de la défense, poursuit Le Soir, on parle de « manipulation d'identité d'un héros national », alors que le parti politique de Joseph Kabila, le PPRD, évoque un « procès bidon ». « Qu'importe les critiques et les polémiques », conclut Le Soir, « le verdict de la Haute Cour militaire est attendu très prochainement dans la capitale kinoise ». Business de la maltraitance en ligne Enfin, en France, la presse continue de s'interroger sur la mort en direct d'un streamer, qui se faisait appeler Jean Pormanove. Il était le souffre-douleur de deux autres hommes, scènes diffusées en direct sur la plateforme vidéo australienne Kick. Mediapart décrit ainsi les jours qui ont précédé la mort du streamer qui était consentant, du moins au début des violences subies : « douze jours de sévices physiques et psychologiques, au cours desquels le streamer est frappé à plusieurs reprises au visage. Il est également étranglé, sorti brutalement du sommeil, rabaissé, moqué, insulté ». Mais selon l'autopsie, ce ne seraient pas les coups reçus qui ont provoqué la mort de Jean Pormanove. Il n'empêche, Mediapart parle d'un « véritable business de la maltraitance en ligne, encouragé par des fans prêts à payer pour ce sordide spectacle ». Des scènes diffusées donc par la plateforme australienne Kick, pas du tout effrayée par les réactions indignées, puisqu'elle « a remis en ligne, jeudi, les vidéos des sévices subis par le streamer avant sa mort », révèle Mediapart. Images qui sont restées accessibles jusqu'à vendredi dans l'après-midi. Preuve que la régulation de telles vidéos est loin d'être acquise. À lire aussiBande de Gaza: «Il s'agit d'une politique qui consiste à affamer une population bloquée»
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les tensions entre le Burkina Faso et l'ONU, la nomination d'un consul général kényan à Goma et les résultats surprenants du premier tour de la présidentielle en Bolivie. Mali : Choguel Maïga sous pression judiciaire Au Mali, l'ancien Premier ministre a été inculpé pour « atteinte aux biens de l'État ». Que lui reprochent les autorités maliennes ? S'il est reconnu coupable, quelle peine risque-t-il ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Burkina Faso : la coordinatrice de l'ONU déclarée « persona non grata » Les autorités burkinabè ont déclaré « persona non grata » la coordonnatrice résidente du Système des Nations unies au Burkina Faso, Carol Flore-Smereczniak. Comment expliquer cette décision ? Est-ce le signe d'une rupture définitive entre les Nations unies et Ouagadougou ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI. Est-RDC : Nairobi défie Kinshasa ? La nomination d'un consul général kényan à Goma a suscité l'indignation de Kinshasa. Pourquoi Nairobi n'a-t-il pas consulté au préalable les autorités congolaises ? Goma, étant une ville sous contrôle de l'AFC/M23, cette nomination peut-elle être interprétée comme un signe de soutien ? Avec Adolphe Agenonga Chober, spécialiste des mouvements armés dans l'Est de la RDC, professeur à l'université de Kisangani. Bolivie : fin de règne pour la gauche ? En Bolivie, le candidat du Parti démocrate-chrétien, Rodrigo Paz Pereira, a créé la surprise en arrivant en tête avec 32% des voix au premier tour de l'élection présidentielle. Comment expliquer ces résultats ? Quel avenir pour le parti de gauche de l'ex-président Evo Morales ? Avec Christine Delfour, professeure des universités en civilisation latino-américaine contemporaine, spécialiste de la Bolivie.
A l'occasion de la Journée des travailleurs humanitaires, ce 19 août, nous mettons à l'honneur Etiennette Mukwanga.Psychologue clinicienne congolaise, spécialiste des questions de protection et de violences basées sur le genre, elle s'est forgé une expérience solide à Kinshasa, aussi bien auprès des enfants des rues que comme maître de stage au Centre neuropsychiatrique de l'Université de Kinshasa.Recrutée ensuite par l'agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA), elle a été envoyée à Goma — où elle se trouvait en début d'année lorsque cette ville de l'est de la République démocratique du Congo a été prise par un groupe armé.Dans cet entretien accordé à ONU Info, Etiennette Mukwanga raconte pourquoi elle a choisi de se vouer à l'appui psychologique dans un cadre humanitaire et revient sur l'expérience qu'elle a vécu en début d'année.(Interview : Etiennette Mukwanga, Spécialiste en Santé mentale et Soutien Psychosocial à l'UNFPA Goma; propos recueillis par Cristina Silveiro)
« Depuis le début de la semaine, la tension monte entre les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, et la rébellion [du groupe] l'AFC/M23, l'Alliance Fleuve Congo. Les deux parties s'accusent mutuellement de violations répétées du cessez-le-feu alors que le processus de paix de Doha marque le pas » : constat établi par le site congolais Actualité CD. En effet, précise-t-il, d'un côté, « l'armée congolaise a dénoncé "l'attitude belliciste" de la coalition M23/AFC, accusée de mener de "multiples attaques" contre ses positions au Nord-Kivu et au Sud-Kivu, assorties de "massacres ciblés" de civils. » Et de l'autre, « l'AFC/M23 affirme que Kinshasa poursuit "ses manœuvres militaires offensives" en vue d'"un conflit à grande échelle", et ce malgré la signature de la Déclaration de principes du 19 juillet dernier à Doha. (…) Ces échanges de communiqués interviennent dans un contexte d'impasse diplomatique, relève encore Actualité CD. Les discussions directes prévues il y a 10 jours à Doha entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23 n'ont pas eu lieu. Selon la médiation qatarienne, les deux parties "continuent de travailler" à la mise en œuvre de la déclaration de principes, notamment sur la création d'un mécanisme, avec la participation de la Croix-Rouge internationale, pour l'échange de prisonniers. Ce point, qui devait être réglé avant le 29 juillet, bloque la suite du processus. » Négociations au point mort Le Monde Afrique s'interroge : « Le Qatar parviendra-t-il à ramener la RDC et les rebelles de l'AFC-M23 à la table des négociations ? Alors que les parties devaient conclure un "accord de paix global" censé mettre fin aux violences qui déchirent l'est congolais au plus tard hier, 18 août, rien n'a été signé et les négociations semblent au point mort. » Et « les combats ont repris au Sud-Kivu, constate également Le Monde Afrique, notamment où le M23 est en train de conquérir des espaces dans le territoire de Walungu, au sud-ouest de la capitale régionale, Bukavu. "La seule certitude pour le moment, c'est qu'on est dans un enlisement diplomatique complet", résume Onesphore Sematumba, spécialiste de la RDC pour International Crisis Group. » Parmi les points de tension, note encore le journal, outre la question de la libération des prisonniers, il y a celle du « rétablissement de l'autorité de l'État congolais (…) : pour Kinshasa, cela signifie que le M23 doit quitter Goma et Bukavu au plus vite. Mais le mouvement rebelle s'efforce au contraire de reconstruire ce qu'il appelle un "État" dans les "territoires libérés". » À lire aussiPaix en RDC : entre restauration de l'État et projet fédéral, le bras de fer entre Kinshasa et l'AFC/M23 Coup de pression de Washington ? Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, résume ainsi la situation : « à Doha, Kinshasa et l'AFC/M23 n'ont pas avancé d'un iota et l'impasse des discussions se paie « cash » sur le terrain. (…) Pour débloquer la situation, deux options sont sur la table, estime Afrikarabia : un énième coup de pression de Washington, qui hésite pour l'instant à endosser le rôle du gendarme, ou bien une reprise des affrontements directs entre l'armée congolaise, qui s'est considérablement renforcée, et l'AFC/M23, qui a énormément recruté et maîtrise encore le terrain dans les zones qu'elle contrôle. Mais le temps presse. L'impasse à Doha retarde l'ensemble du processus de paix globale et la mise en œuvre de l'accord de Washington. Un blocage qui fait craindre un nouvel embrasement de l'est congolais. » Le Kenya jette un pavé dans la mare D'autant, complète Le Pays au Burkina, que « dans cette guerre sans fin qui ne dit pas encore son nom, certains pays donnent l'impression de pêcher en eaux troubles pour mieux tirer leurs marrons du brasier congolais. » En effet, relève le quotidien ouagalais, « dans ce contexte particulièrement explosif, la nomination par le Kenya d'un consul à Goma, occupée par le M23/AFC, ne passe pas aux yeux des autorités de Kinshasa qui y voient une forme de légitimation de l'occupation de la ville par les rebelles. Une situation qui pourrait exacerber les tensions avec Kinshasa qui a toujours accusé Nairobi de parti pris pour Kigali, connue pour son soutien au M23. C'est donc le lieu d'appeler la médiation internationale à redoubler d'efforts, s'exclame Le Pays, en pesant de tout son poids pour que les uns et les autres reviennent à de meilleurs sentiments et tiennent leurs engagements, pour donner une chance à la paix, afin de ne pas prolonger inutilement les souffrances des populations. » À lire aussiPaix en RDC : l'AFC-M23 et le gouvernement congolais vont-ils reprendre le dialogue ?
Con Carlos Pocaro repasamos sus percepciones sobre los momentos de desorden ydescontrol en Medio Oriente y Africa.En SiriaEl 8 de diciembre de 2024, una coalición de grupos rebeldes —principalmente Hay'at TahriralSham (HTS) junto con facciones respaldadas por Turquía— lanzó una ofensiva relámpagoque tomó Damasco y provocó la caída del gobierno de Assad. Este huyó a Rusia, donde fueacogido con asilo político.Fue el fin de más de 50 años de gobierno autoritario de la familia Assad. La caída del régimenimplicó un debilitamiento notable del apoyo regional a Rusia e Irán y del influyente papel deHezboláEn marzo de 2025 se desató una ola brutal de violencia contra comunidades alauitas en zonascosteras como Latakia, Baniyas y Jableh. Familias enteras fueron asesinadas mediante actosatroces, como descuartizamientos y humillaciones, provocando una aterradora escaladasectariaEsta realidad ha estado marcada por violencia sectaria, crisis humanitaria masiva y un futuropolítico aún incierto.En LíbanoIsrael ha lanzado una serie de ataques dirigidos que destruyeron estructuras clave deHezbollah: entre ellos, el jefe Hassan Nasrallah, su adjunto Hashem Safieddine, varioscomandantes regionales y gran parte de su arsenal e infraestructura militarLa ofensiva de 2024 incluyó la destrucción de bases, túneles, depósitos de armas yfortificaciones, y confiscación de más de 155.000 armas, 13.000 lanzamisiles antitanque ydrones.El gobierno libanés, bajo el mandato del primer ministro Nawaf Salam, aprobó los objetivos deun plan impulsado por EE. UU. para retomar el monopolio del uso de la fuerza, incluyendo eldesarme de Hezbollah.Aunque hay avances institucionales en materia de reformar y fortalecer el Estado, el sistemapolítico sectario y la influencia de Hezbollah en el gobierno complican la transiciónEn el CongoDesde 2022, la RDC ha enfrentado una grave crisis humanitaria e inestabilidad en el este delpaís, principalmente por la resurgencia del grupo rebelde M23, que ha avanzado y capturadoimportantes ciudades como Goma y Bukavu. Este grupo ha contado con un fuerte respaldomilitar de Ruanda, incluyendo el despliegue de tropas de Kigali.La ofensiva más dramática ocurrió en enero de 2025, cuando el M23, con apoyo de Ruanda,capturó Goma en cuestión de días. La RDC respondió acelerando el deterioro de sus vínculosdiplomáticos con Ruanda, acusándolo directamente de “declaración de guerra”.El 27 de junio de 2025, se firmó un importante acuerdo de paz, conocido como el WashingtonAccord, con la mediación de Estados Unidos (con el rol destacado del gobierno de Trump),Qatar y la participación de los ministros de Relaciones Exteriores de ambos países.Este acuerdo tiene un fuerte componente geoestratégico: EE.UU. busca asegurar acceso a losminerales críticos del Congo en lugar de que entren por influencia china.
« Depuis le début de la semaine, la tension monte entre les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, et la rébellion [du groupe] l'AFC/M23, l'Alliance Fleuve Congo. Les deux parties s'accusent mutuellement de violations répétées du cessez-le-feu alors que le processus de paix de Doha marque le pas » : constat établi par le site congolais Actualité CD. En effet, précise-t-il, d'un côté, « l'armée congolaise a dénoncé "l'attitude belliciste" de la coalition M23/AFC, accusée de mener de "multiples attaques" contre ses positions au Nord-Kivu et au Sud-Kivu, assorties de "massacres ciblés" de civils. » Et de l'autre, « l'AFC/M23 affirme que Kinshasa poursuit "ses manœuvres militaires offensives" en vue d'"un conflit à grande échelle", et ce malgré la signature de la Déclaration de principes du 19 juillet dernier à Doha. (…) Ces échanges de communiqués interviennent dans un contexte d'impasse diplomatique, relève encore Actualité CD. Les discussions directes prévues il y a 10 jours à Doha entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23 n'ont pas eu lieu. Selon la médiation qatarienne, les deux parties "continuent de travailler" à la mise en œuvre de la déclaration de principes, notamment sur la création d'un mécanisme, avec la participation de la Croix-Rouge internationale, pour l'échange de prisonniers. Ce point, qui devait être réglé avant le 29 juillet, bloque la suite du processus. » Négociations au point mort Le Monde Afrique s'interroge : « Le Qatar parviendra-t-il à ramener la RDC et les rebelles de l'AFC-M23 à la table des négociations ? Alors que les parties devaient conclure un "accord de paix global" censé mettre fin aux violences qui déchirent l'est congolais au plus tard hier, 18 août, rien n'a été signé et les négociations semblent au point mort. » Et « les combats ont repris au Sud-Kivu, constate également Le Monde Afrique, notamment où le M23 est en train de conquérir des espaces dans le territoire de Walungu, au sud-ouest de la capitale régionale, Bukavu. "La seule certitude pour le moment, c'est qu'on est dans un enlisement diplomatique complet", résume Onesphore Sematumba, spécialiste de la RDC pour International Crisis Group. » Parmi les points de tension, note encore le journal, outre la question de la libération des prisonniers, il y a celle du « rétablissement de l'autorité de l'État congolais (…) : pour Kinshasa, cela signifie que le M23 doit quitter Goma et Bukavu au plus vite. Mais le mouvement rebelle s'efforce au contraire de reconstruire ce qu'il appelle un "État" dans les "territoires libérés". » À lire aussiPaix en RDC : entre restauration de l'État et projet fédéral, le bras de fer entre Kinshasa et l'AFC/M23 Coup de pression de Washington ? Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, résume ainsi la situation : « à Doha, Kinshasa et l'AFC/M23 n'ont pas avancé d'un iota et l'impasse des discussions se paie « cash » sur le terrain. (…) Pour débloquer la situation, deux options sont sur la table, estime Afrikarabia : un énième coup de pression de Washington, qui hésite pour l'instant à endosser le rôle du gendarme, ou bien une reprise des affrontements directs entre l'armée congolaise, qui s'est considérablement renforcée, et l'AFC/M23, qui a énormément recruté et maîtrise encore le terrain dans les zones qu'elle contrôle. Mais le temps presse. L'impasse à Doha retarde l'ensemble du processus de paix globale et la mise en œuvre de l'accord de Washington. Un blocage qui fait craindre un nouvel embrasement de l'est congolais. » Le Kenya jette un pavé dans la mare D'autant, complète Le Pays au Burkina, que « dans cette guerre sans fin qui ne dit pas encore son nom, certains pays donnent l'impression de pêcher en eaux troubles pour mieux tirer leurs marrons du brasier congolais. » En effet, relève le quotidien ouagalais, « dans ce contexte particulièrement explosif, la nomination par le Kenya d'un consul à Goma, occupée par le M23/AFC, ne passe pas aux yeux des autorités de Kinshasa qui y voient une forme de légitimation de l'occupation de la ville par les rebelles. Une situation qui pourrait exacerber les tensions avec Kinshasa qui a toujours accusé Nairobi de parti pris pour Kigali, connue pour son soutien au M23. C'est donc le lieu d'appeler la médiation internationale à redoubler d'efforts, s'exclame Le Pays, en pesant de tout son poids pour que les uns et les autres reviennent à de meilleurs sentiments et tiennent leurs engagements, pour donner une chance à la paix, afin de ne pas prolonger inutilement les souffrances des populations. » À lire aussiPaix en RDC : l'AFC-M23 et le gouvernement congolais vont-ils reprendre le dialogue ?
Les soins des pieds sont lourds d'enjeu, si l'on tient compte de l'importance de cette partie terminale de notre anatomie, pour la station debout comme la mobilité. Pour continuer à préserver notre capacité à marcher, les infections et douleurs au niveau des pieds ne doivent pas être négligées. Certaines affections peuvent se révéler bénignes (verrues, cors…), mais certains symptômes doivent pousser à consulter en urgence, en particulier chez les malades chroniques, diabétiques par exemple, pour éviter des complications. Comment prendre soin de ses pieds ? Quels symptômes doivent alerter ? Qu'est-ce que le pied diabétique ? Muriel Montenvert, pédicure-podologue, présidente de l'Union Française pour la Santé du Pied (UFSP) Dr Pascaline Ngolo, dermatologue à l'Hôpital provincial du Nord Kivu, à Goma en RDC. Programmation musicale : ► Badjero – Ai menina ► Amaarae – SMO.
Les soins des pieds sont lourds d'enjeu, si l'on tient compte de l'importance de cette partie terminale de notre anatomie, pour la station debout comme la mobilité. Pour continuer à préserver notre capacité à marcher, les infections et douleurs au niveau des pieds ne doivent pas être négligées. Certaines affections peuvent se révéler bénignes (verrues, cors…), mais certains symptômes doivent pousser à consulter en urgence, en particulier chez les malades chroniques, diabétiques par exemple, pour éviter des complications. Comment prendre soin de ses pieds ? Quels symptômes doivent alerter ? Qu'est-ce que le pied diabétique ? Muriel Montenvert, pédicure-podologue, présidente de l'Union Française pour la Santé du Pied (UFSP) Dr Pascaline Ngolo, dermatologue à l'Hôpital provincial du Nord Kivu, à Goma en RDC. Programmation musicale : ► Badjero – Ai menina ► Amaarae – SMO.
The city of Goma in the conflict-hit east of the Democratic Republic of Congo was seized by the M23 armed group earlier this year after intense fighting with government forces. How has the city changed after six months under the group's control?After retired police officers in Nigeria held demonstrations earlier this week calling for better pensions, we look at wider pension provision and ask if young Nigerians see pension planning as a secure path to protecting their retirement? And could there be a new type of diabetes that accounts for the rising number of cases among young people in Africa.Presenter: Richard Kagoe Producers: Tom Kavanagh, Sunita Nahar and Nyasha Michelle in London. Blessing Aderogba in Lagos. Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producer: Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
The city of Goma in the conflict-hit east of the Democratic Republic of Congo was seized by the M23 armed group earlier this year after intense fighting with government forces. How has the city changed after six months under the group's control?After retired police officers in Nigeria held demonstrations earlier this week calling for better pensions, we look at wider pension provision and ask if young Nigerians see pension planning as a secure path to protecting their retirement in the future? And could there be a new type of diabetes that accounts for the rising number of cases among young people in Africa.Presenter: Richard Kagoe Producers: Tom Kavanagh, Sunita Nahar and Nyasha Michelle in London. Blessing Aderogba in Lagos Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producer: Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
Hii leo jaridani tunaangazia msaada wa kibinadamu nchini Nigeria, na mradi wa nishati ya sola ya kusaidia wakulima nchini Ethiopia. Makala inakupeleka nchini Afrika Kusini na mashinani nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo DRC.Shirika la Umoja wa Mataifa la Mpango wa Chakula Duniani (WFP) nchini Nigeria limesema litalazimika kusitisha msaada wake wa dharura wa chakula na lishe kwa watu milioni 1.3 kaskazini-mashariki mwa nchini hiyo ifikapo mwishoni mwa mwezi huu kutokana na ukata.Mradi unaoendeshwa kwa ushirikiano kati ya serikali ya Ethiopia, Shirika la Umoja wa Mataifa la Maendeleo (UNDP), ubalozi wa China wa kutumia nishati jadidifu ya jua kwa umwagiliaji, umeleta matumaini mapya kwa jamii za wakulima katika mkoa wa Sidama, kusini mwa Ethiopia. Katika makalaShirika la Umoja wa Mataifa linalohusika na masuala ya watoto UNICEF kwakushirikiana na wakfu wa LEGO wametengeneza video yenye kuonesha familia nne na jinsi zinavyopambana na malezi ya Watoto wakiwa ni wazazi kwa mara ya kwanza. Leah Mushi ametazama video hiyo ya takriban dakika 30 na hapa anakuleta simulizi ya familia kutoka nchini Afrika Kusini.Na katika mashinani Noella Bagula, Mwanachama wa Alleluyah Safe Space ambaye ni mama mkimbizi wa ndani kutoka Goma nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC, ambako wanawake na wasichana wanapitia ukatili wa kijinsia katika migogoro. Bi Bagula anasema yeye sasa anajua jinsi ya kujilinda katika hali hatari kufuatia mafunzo yanayoendeshwa na shirika la Umoja wa Mataifa la Idadi ya Watu na Afya uzazi, (UNFPA) katika maeneo salama yaliyotengwa kwa ajili yao.Mwenyeji wako ni Assumpta Massoi, karibu!
Un document de plus paraphé ce week-end après l'accord scellé à Washington le 27 juin entre Kinshasa et Kigali. « La quête de la paix dans l'est de la RDC avance donc sur deux fronts distincts, mais complémentaires », souligne Econews. Le texte conclu au Qatar ouvre la voie à un cessez-le-feu, mais, selon le média congolais en ligne, la « population de l'est, épuisée par des années de violence, observe ces développements avec un mélange d'espoir et de méfiance ». « Les Congolais doivent rester lucides et se dire que cet accord ne guérira pas en un jour les plaies béantes de Goma ou Bunagana », prévient aussi Le Pays. Un accord à transposer sur le terrain Econews, encore, rappelle que « les précédents accords ont échoué en raison du manque de suivi ». « Ces accords de paix sont comme des papillons, beaux et éphémères », prophétise Le Pays, « le plus souvent écrasés sous les bottes de la cupidité et des ambitions démesurées des prédateurs ». D'ailleurs, le journal congolais Le Potentiel grince : « les véritables gagnants dans cette affaire sont les États-Unis », comédiateurs dans ce conflit donc avec le Qatar. « Sans tirer un seul coup de feu, ils obtiennent un accès stratégique à une part importante des minerais du Congo contre une promesse de paix. Une paix monnayée, floue, sans véritable levier de transformation pour les populations », souffle le quotidien de Kinshasa. La situation au Sahel au cœur d'une rencontre entre la presse et Abdelmajid Tebboune Selon Dernières infos d'Algérie, le dirigeant a « rassuré » à propos de la menace que peut représenter la crise sécuritaire au Sahel, insistant sur « la grande expérience de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ». « Le pays a beaucoup aidé les frères maliens à surmonter la crise et reste disposé à le faire », mais l'Algérie refuse la présence de mercenaires russes à sa frontière a averti le président Tebboune. Les combattants de Wagner, et maintenant ceux de l'Africa Corps ont toujours « irrité » Alger rappelle TSA. Le Matin d'Algérie note en revanche les nombreuses lacunes d'un « pathétique monologue » du président Tebboune, dans un « exercice de communication bien huilé ». Aucune question sur les conséquences dans les relations avec Moscou, rien non plus sur les accusations de certains acteurs maliens qui reprochent à l'Algérie une certaine complaisance à l'égard de réseaux jihadistes opérant dans la région. Des mercenaires africains engagés par la Russie en Ukraine El Pais commence par évoquer le sort d'un Nigérian, il s'appelle Oluwagbemileke Kehinde. Il a été engagé comme par la Russie où il était venu faire ses études il y a quatre ans et a été capturé il y a quelques jours par l'Ukraine. Son cas est loin d'être isolé, Moscou promet à des Africains de travailler pour l'armée russe loin du front. L'offre est alléchante : « 2 000 euros par mois et un passeport russe », liste El Pais, mais en quelques semaines, « l'appât qui les a poussés à signer un contrat se transforme en cauchemar ». Ils sont alors envoyés dans des assauts massifs, meurent ou sont faits prisonniers. Comme le Nigérian Kehinde, des centaines de ressortissants de dix pays africains se sont retrouvés pris au piège, sauf qu'ensuite « ni la Russie, ni leur pays d'origine ne les réclament ». D'ailleurs, selon les archives de la diplomatie ukrainienne consultée par le média ibérique, seule Lomé s'est préoccupé du sort de ses ressortissants captifs.
Kerwin Mayizo propose une programmation spéciale consacrée à Goma et à la paix au Congo. Avec les chansons de Bramsito, Gims et Dadju, Gradur, Ferre Gola, Innoss B et Koffi Olomidé, Kalash Criminel, Fally Ipupa, Felix Waekwa et Alesh. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Bramsito - Free Congo Lexxus Legal feat Tiken Jah Fakoly - Oser la paix Gradur X Ninho X Kalash Criminel X Josman X Youssoupha X Damso - Free Congo Ferre Gola - Plus jamais seuls Gloria Bash - To kufi Delcat Idingo - Bukundi Koffi Olomide - Chante Goma Fally Ipupa - Stop à la guerre Felix Wazekwa - Pourquoi ça au Congo ? Alesh feat Zozo Machine - Wenge politica Retrouvez notre playlist sur Deezer.
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(00:00:35) Pourquoi 40% des jeunes européens ne semblent pas convaincus par la démocratie ? (00:09:17) Des algues rouges pour une viande moins carbonée (00:13:58) Goma, grande ville de RDC sous le contrôle des rebelles
209- Formula 1, Fernando Alonso y los mejores pilotos de la historia con Virutas de goma (Parte 1) Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
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C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ». Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ». Des turbulences pour le clan présidentiel Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' » À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».
Mouvements ou sons incontrôlés, répétitifs et soudains, les tics surviennent plus généralement chez le garçon, entre 5 et 7 ans. Si la plupart du temps, ils n'entrainent pas de difficultés importantes, ils peuvent être difficiles à vivre en société. Le syndrome de Gilles de la Tourette est caractérisé par l'association de tics moteurs et vocaux sur une durée de plus d'un an chez un individu. Quelles sont les causes des tics ? Peut-on les traiter ? Dr Andreas Hartmann, neurologue et responsable du Centre de référence pour le syndrome de Gilles de la Tourette, à l'Hôpital de la Pitié Salpêtrière, APHP, à Paris. Pr Célestin Kaputu, neuropsychiatre – neuropédiatre, chef d'Unité de Neurologie pédiatrique et chef de département de Neurologie au Centre Neuro-Psycho-Pathologique / CNNP, Faculté de Médecine de l'Université de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons un point sur l'épidémie de Mpox qui sévit toujours en République Démocratique du Congo. Interview du Dr Abdoul Karim Sangaré, médecin et coordinateur médical de l'ONG internationale ALIMA, basée à Goma, pour la mission ALIMA RDC. Programmation musicale : ► Barry Biggs – Lonely girl ► Luedji Luna, Juls – Com amor bahia.
Mouvements ou sons incontrôlés, répétitifs et soudains, les tics surviennent plus généralement chez le garçon, entre 5 et 7 ans. Si la plupart du temps, ils n'entrainent pas de difficultés importantes, ils peuvent être difficiles à vivre en société. Le syndrome de Gilles de la Tourette est caractérisé par l'association de tics moteurs et vocaux sur une durée de plus d'un an chez un individu. Quelles sont les causes des tics ? Peut-on les traiter ? Dr Andreas Hartmann, neurologue et responsable du Centre de référence pour le syndrome de Gilles de la Tourette, à l'Hôpital de la Pitié Salpêtrière, APHP, à Paris. Pr Célestin Kaputu, neuropsychiatre – neuropédiatre, chef d'Unité de Neurologie pédiatrique et chef de département de Neurologie au Centre Neuro-Psycho-Pathologique / CNNP, Faculté de Médecine de l'Université de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons un point sur l'épidémie de Mpox qui sévit toujours en République Démocratique du Congo. Interview du Dr Abdoul Karim Sangaré, médecin et coordinateur médical de l'ONG internationale ALIMA, basée à Goma, pour la mission ALIMA RDC. Programmation musicale : ► Barry Biggs – Lonely girl ► Luedji Luna, Juls – Com amor bahia.
L'occupation de Goma et de plusieurs localités dans les Kivus à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) par le M23 depuis la fin janvier a créé l'un des contextes opérationnels les plus complexes que la mission de paix de l'ONU, la MONUSCO, n'ait jamais eu à affronter.Certaines de ses bases se retrouvent aujourd'hui dans le territoire sous contrôle de facto de l'AFC-M23 et la Mission a dû s'adapter et innover pour continuer à remplir son mandat de protection des civils, en misant sur l'évaluation des risques, l'alerte précoce et le dialogue avec les communautés.Dans un entretien exclusif accordé récemment à ONU Info, la cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita, évoque la complexité du terrain, les efforts de négociation pour garantir des évacuations sécurisées de civils et de militaires, mais aussi le rôle de la mission dans l'appui aux multiples processus de paix en cours.La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU revient sur le triple objectif de son déplacement récent à Goma, y compris les discussions directes et l'écoute des dirigeants du AFC-M23. Bintou Keita insiste : « Il faut accueillir toutes les initiatives et s'assurer qu'elles produisent des résultats concrets pour les populations ». Pour elle, l'enjeu reste clair : permettre aux Congolais de retrouver « une vie décente », avec un accès à la santé, à l'éducation, à l'eau, loin des violences et du déplacement forcé. « Donnons une chance à la paix et faisons en sorte que les initiatives qui sont en cours aboutissent à des résultats sur le terrain, pas seulement dans les capitales ».▶️ Écoutez l'intégralité de l'interview.(Interview : Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU en RDC et cheffe de la MONUSCO ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
A quatre mois de l'élection présidentielle, la collecte des parrainages citoyens a commencé en Côte d'Ivoire. A Goma, l'AFC/M23 s'est exprimé pour la première fois dans une conférence de presse depuis l'accord signé entre Kigali et Kinshasa : ils ont demandé l'abandon des poursuites judiciaires à leur encontre. Enfin, nous recevons dans ce journal la réalisatrice Yamina Benguigui pour son film "Rumba congolaise, les héroïnes", sur la trace des oubliées de ce genre musical iconique.
Manuel y Natalia celebran a Jhon Da Silva y Juan Martínez, quienes ganaron el León de Plata en Cannes Lions por su innovador torneo de "Pelotica de Goma". Además, analizan el top 10 de las mejores películas del siglo XXI y los memes más virales de Julio Iglesias. ¿Cómo convirtieron un juego callejero en arte premiado internacionalmente? Los creativos revelan su proceso, mientras el equipo debate si el ranking de cine coincide con sus favoritos. ¡Un episodio lleno de orgullo criollo y cultura pop!
In Episode 215, Dave starts the show discussing Trump's repeated SCOTUS wins before turning his attention to a peace deal in Congo, the US economy, tariff's, and a potential Fed rate cut in September. After all of that, Dave circles back and discusses the SCOTUS ruling allowing South Carolina to prohibit Medicaid money for Planned Parenthood. Dave closes the show with a round up of news and current events related to the pushback on mass unchecked migration in the UK, Northern Ireland, many EU countries, Australia, and the US. Article Links: Justice Amy Coney Barrett humiliates Justice Ketanji Brown Jackson over her apparent ignorance of American law by Joseph MacKinnon from Blaze Media Congo and Rwanda will sign a US-mediated peace deal to end the conflict in eastern Congo by Edith M. Lederer at the United Nations, Justin Kabumba in Goma, Congo, Ignatius Ssuuna in Kigali, Rwanda, and Matthew Lee in Washington from SRN News Key read on inflation rose last month and Americans cut back on spending from SRN News Fed's Kashkari expects two rate cuts this year, with pause possible by Ann Saphir from SRN News MASSIVE WIN: Planned Parenthood takes major hit to abortion 'care' by BlazeTV Staff Noem prepares to deport 500,000 immigrants from one long-troubled island by Candace Hathaway from Blaze Media Support Dave by visiting his new website at Two Rivers Outfitter for all of your preparedness needs and you can also visit his Etsy shop at DesignsbyDandTStore for fun clothing options. Available for Purchase - Fiction: When Rome Stumbles | Hannibal is at the Gates | By the Dawn's Early Light | Colder Weather | A Time for Reckoning (paperback versions) | Fiction Series (paperback) | Fiction Series (audio) Available for Purchase - Non-Fiction: Preparing to Prepare (electronic/paperback) | Home Remedies (electronic/paperback) | Just a Small Gathering (paperback) | Just a Small Gathering (electronic)
C'est ce vendredi 27 juin que les ministres des Affaires étrangères de la RDC et du Rwanda doivent signer un accord de paix à Washington, en présence de leur homologue américain, Marco Rubio. Jusqu'à ce jour, à la demande des États-Unis, les termes de l'accord sont restés secrets. Mais le chercheur américain Jason Stearns a réussi à en connaître les grandes lignes. Jason Stearns est le co-fondateur de l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il enseigne aussi à l'université Simon Fraser, au Canada. En ligne des États-Unis, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Jason Stearns, quelles sont les grandes lignes de l'accord qui doit être signé ce vendredi ? Jason Stearns: On ne connaît pas le contenu exactement. Mais ce que nous pensons, c'est que ce sera un accord comme beaucoup d'autres accords dans les deux décennies passées entre le Rwanda et la RDC. Il sera basé sur le principe que le Rwanda se retire et que le Congo mène des opérations contre les FDLR, ce groupe de rebelles rwandais. Donc c'est le point, je pense, le plus important de l'accord. Parmi les points les plus controversés pendant les négociations, je pense, il y a eu le fait que cela soit mené simultanément, c'est à dire que le Rwanda retire ses troupes et que, d'une façon simultanée, la RDC commence les opérations contre les FDLR. Le problème avec cela, c'est que, comme c'est simultané, les deux côtés peuvent dire que l'autre n'a pas tenu ses promesses et que le Rwanda puisse dire que l'armée congolaise n'a pas assez fait contre les FDLR. Cela est d'autant plus vrai que les FDLR se trouvent, une grande partie au moins des FDLR, se trouvent sur le territoire contrôlé par le M23 et l'armée rwandaise actuellement. Donc c'est parmi les grands défis je pense, et il y a des autres aspects de l'accord aussi, le fait que le Rwanda devrait pousser le M23 à se retirer des grandes villes, dont Goma et Bukavu surtout, et le fait que le Congo devrait permettre aux M23 de se convertir en parti politique et de participer à la démocratie congolaise et, en même temps, le fait de laisser les combattants du M23 soit rejoindre un processus de démobilisation ou, au cas par cas, rejoindre l'armée nationale. Et à court terme, est-ce qu'il y a un mécanisme qui va s'assurer que l'armée rwandaise et les rebelles FDLR vont bien quitter le terrain du Nord et du Sud-Kivu ? Il y a un mécanisme conjoint de vérification qui sera mis en place par les deux pays avec une participation des États-Unis. Il faut dire que le calendrier pour la mise en œuvre de cet accord est ambitieux. Ça va se traiter dans les prochains trois mois. Et donc, pendant ces trois mois, il y aura une participation des États-Unis. Et je pense aussi que les pays de la sous-région pourraient justement veiller à ce que les deux côtés sont en train de mettre en œuvre les accords. Et si les États-Unis rentrent dans ce mécanisme conjoint, est-ce à dire que les satellites d'observation américains vont aider à vérifier tout ça ? Je pense, car c'est depuis 2023 que les États-Unis se sont vraiment engagés et je pense que ça va continuer pour la collecte des informations. Qu'est-ce qui garantit que l'armée rwandaise et les FDLR vont se retirer du champ de bataille ? Il n'y a pas de garantie comme tel. Donc je pense qu'il faut se poser la question : Qu'est-ce qui motive le Rwanda et la RDC à signer cet accord aujourd'hui ? Donc je pense qu'il y a des bâtons et des carottes. Les carottes sont surtout d'ordre économique. Donc, les Etats-Unis ont promis toute une série d'investissements dans la région. Côté minerai, il y a des compagnies privées américaines qui seraient prêtes à investir dans les mines à l'est de la RDC. Mais le traitement et l'exportation des minerais se feraient à partir du Rwanda. Donc comme ça, les deux côtés seraient encouragés d'investir dans la paix et pas dans l'instabilité. Alors l'un des problèmes, Jason Stearns, c'est que les rebelles du M23 ne sont pas conviés à la signature de l'accord de ce vendredi à Washington. Est-ce que ce n'est pas préoccupant ? C'est préoccupant dans le sens que le Rwanda pourra toujours dire que, voilà, ils ont tenu leur côté de l'accord. Si les M23 ne mettent pas l'accord en œuvre, ce n'est pas leur problème, comme ils ne contrôlent pas les M23. Or, nous savons que le Rwanda a une forte implication dans la gestion du M23, si on peut le dire ainsi. Mais le Rwanda pourrait toujours nier cela. Alors en effet, le gouvernement congolais espère que, si l'armée rwandaise se retire du terrain, le M23 va s'effondrer. Mais est-ce que c'est si simple que cela ? Ce n'est pas si simple dans le sens que, dans les mois passés, le M23, surtout depuis la prise de Goma, a mené des opérations très sérieuses pour recruter des milliers de nouvelles recrues, pour amener toute l'élite locale dans des camps de formation, pour mettre en place une administration parallèle sur le terrain avec des services de taxation, des services d'administration pour peser sur les chefs coutumiers, afin qu'ils se réorientent vers le M23. Donc il sera difficile de démanteler tout cela. Et donc je pense qu'il est important, pas seulement que l'accord soit signé, mais que, dans la mise en œuvre de cet accord, il y ait un suivi, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les autres acteurs impliqués de la sous-région et des Nations Unies et de l'Union africaine pour veiller à ce que le M23 aussi rejoigne le processus de paix. Avec Joseph Kabila et Corneille Nangaa ? Leur sort n'a pas été évoqué par cet accord, donc c'est parmi les grandes inconnues. À lire aussiVers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»
In conversation with Takudzwa Mharadze In this episode of Africa Right Talk, the conversation unfolds against the backdrop of the upcoming international conference themed “Advancing Justice through Reparations: Reparations, Restoration, and Renaissance,” that was held from 2–3 June 2025 in Pretoria, South Africa. This landmark event was co-organised by the University of Pretoria, the University of Goma, the University of The Bahamas, and the Bahamas National Reparations Committee, in collaboration with key African Union human rights bodies and CARICOM. The conference brought together academics, policymakers, activists, and experts to explore strategies for reparative justice, with papers to be published in the 2025 African Human Rights Yearbook. Central to this episode is a compelling discussion with Takudzwa Mharadze, who emphasises the need for unified Africa-Caribbean action to demand reparations, restore dignity, and challenge the lingering impacts of colonialism and slavery. Drawing on the African Union's recent designation of 2025 as the year of reparations, the speaker highlights the importance of learning from the Caribbean's efforts, particularly CARICOM's ten-point reparations plan. He critiques narrow, financial-only views of reparations and instead champions a broader, holistic agenda that includes debt cancellation, cultural restitution, education reform, and decolonization of knowledge. The episode underscores the necessity of building a robust, inclusive continental reparations framework, one that unites Africa and the diaspora through shared history and common purpose. The University of Pretoria and its partners are commended for their role in convening diverse voices and fostering a platform for sustained collaboration and policy influence through research, advocacy, and regional solidarity. Takudzwa Mharadze is a PhD candidate in Development Studies at the University of Johannesburg, where he is undertaking research on Food and Nutrition Security, Adaptation and Resilience in the Context of Climate Variability in Zimbabwe: The Case of Gokwe-South District. His study critically explores the intersections of climate change, food systems, and rural livelihoods, with a focus on enhancing community resilience in vulnerable regions. Takudzwa brings over a decade of experience in development research, monitoring and evaluation, and academic and policy analysis. Throughout his career, he has engaged with diverse development themes including climate justice, disaster risk reduction, sustainable agriculture, and social protection. His practical experience spans both governmental and non-governmental sectors, where he has contributed to policy formulation, programme design, capacity building, and impact assessments. Currently serving as a part-time lecturer at the Zimbabwe Open University. T. Mharadze is an early career researcher with a strong interest in academic publishing. He is committed to contributing scholarly knowledge that bridges research, policy, and practice to address pressing socio-economic and environmental challenges in sub-Saharan Africa This was recorded on 2 June 2025. Youtube: https://youtu.be/MpQFogU6lns Music and news extracts: Inner Peace by Mike Chino https://soundcloud.com/mike-chinoCreative Commons — Attribution-ShareAlike 3.0 Unported — CC BY-SA 3.0 http://creativecommons.org/licenses/b...Music promoted by Audio Libraryhttps://youtu.be/0nI6qJeqFcc Limitless https://stock.adobe.com/za/search/audio?k=45259238
Au milieu des montagnes du territoire de Mahagi, sur les rives du lac Albert, coule la rivière Kakoye. Ce cours d'eau sépare la chefferie de Mokombo en deux : la rive ouest, perturbée par la présence de groupes armés, et la paisible rive est, n'ayant jamais connu d'attaque de groupe armé. Aucun milicien n'ose traverser la rivière que les habitants disent magique. Conséquence : cette zone sécurisée accueille des dizaines de milliers de déplacés qui continuent d'arriver en provenance des rives du Lac Albert. De notre envoyée spéciale, En ce milieu d'après-midi, Martine revient du champ le dos courbé. Son grand âge lui a fait oublier sa date d'arrivée dans le camp de déplacé de Guenguere 3, elle qui a toujours vécu sur les rives ouest de la rivière Kakoye. « Je me suis déplacée jusqu'ici parce que mon village a été attaqué. Mon beau-frère a été tué à la machette, certains enfants de la famille aussi. Nos maisons ont été incendiées et nos biens ont été volés. Alors, je suis venue ici », se souvient-elle. Martine accuse la Codeco, une milice qui dit défendre la communauté Lendu. « Je n'avais connu un tel conflit avant. Même quand j'étais petite. Depuis, c'est très difficile. On n'a rien à manger. Si je ne travaille pas comme journalière dans le champ qui appartiennent à d'autres, comment je vais manger ? Et comment nourrir mes enfants ? », s'interroge-t-elle, désespérée. Malgré cette extrême précarité, les huttes continuent de se construire. Les déplacés sont attirés par la sécurité qui règne dans la zone, en majorité habitée par les Alur. Cette communauté n'a formé aucun groupe armé d'autodéfense et n'est engagée ni dans le conflit communautaire qui oppose les Lendu et les Hema, ni dans les récents affrontements dans la zone littorale à proximité du lac Albert qui opposent les militaires congolais et un nouveau groupe politico-militaire, la CRP. Des affrontements que Silver a fuis il y a trois mois. « Il y a eu un combat acharné. C'était vers une heure du matin, se souvient-il. On a d'abord entendu des coups de feu. On a entendu des bombes. Nous avons pris la fuite d'abord une première fois en septembre dernier. En février, il y a eu de nouveaux affrontements entre les militaires congolais et la CRP. » Ces nouvelles arrivées entraînent des difficultés supplémentaires, déplore Justin Twambe Urumgwa le président du site de Guenguere 3. « Nous manquons de latrines, nous n'avons pas de douches et pourtant, il y a de nouvelles personnes qui arrivent et qui augmentent encore le problème. Pire encore, il n'y a pas de l'eau potable ici. Parfois, les gens se bagarrent à cause des quantités insuffisantes d'eau potable », déplore-t-il. Ces trois derniers mois, 1 880 personnes se sont ajoutées aux 8 000 déjà installées. À lire aussiManenji Mangundu, directeur d'OXFAM en RDC: «La situation humanitaire est très précaire à Goma»
C'est un nouveau phénomène. En Afrique, de plus en plus de pays se livrent à une « guerre » de leurs espaces aériens. Dernier exemple en date : en avril dernier, le Mali et l'Algérie, réciproquement, se sont fermés leurs espaces aériens. Le Niger a fait de même contre la France. Et la République démocratique du Congo a pris la même mesure contre le Rwanda. Quelles conséquences pour les compagnies aériennes et pour les passagers ? Ibra Wane est le directeur, pour l'Afrique, du courtier aérien français Avico, qui est spécialisé dans la location d'avions et de moteurs d'avion. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la dernière crise entre le Mali et l'Algérie en avril dernier, les deux pays se sont mutuellement fermé leurs espaces aériens. Et concrètement, les avions Paris-Abidjan, par exemple, ne peuvent plus survoler le Mali s'ils sont passés au-dessus de l'Algérie : ils doivent donc faire un grand détour par le Maroc et le Sénégal à l'ouest. Quelles conséquences pour les passagers ? Ibra Wane : La première conséquence, c'est d'abord pour les compagnies aériennes elles-mêmes, parce que ça allonge beaucoup le temps de vol. Ça peut aller jusqu'à même 50 minutes de temps de vol supplémentaire, ce qui renchérit donc le coût du carburant, le coût d'exploitation global de la compagnie. Et comme vous le savez, le poste de carburant est le premier poste de coûts directs pour une compagnie aérienne. Imaginez donc un allongement du temps de vol de 50 minutes, ce que ça peut être comme coûts supplémentaires. Est-ce que, du coup, les passagers de Corsair, de SN Brussels, de British Airways ou d'Air France payent plus cher leur billet depuis le mois d'avril ? Non, je ne pourrais pas dire que ces passagers payent plus cher les billets, parce que les compagnies aériennes ont chacune une politique commerciale différente. Je ne suis pas certain que toutes les compagnies aient répercuté le surcoût sur les billets des passagers. Mais il est clair qu'un surenchérissement des coûts qui perdure, cela mènera forcément à une augmentation des tarifs à long terme. Et ces 50 minutes de vol supplémentaires représentent quelle surconsommation de kérosène ? Cela représente à peu près jusqu'à un sixième ou un septième de surconsommation de kérosène pour tout le vol. Si vous avez un vol Paris-Abidjan par exemple, qui fait six heures et que vous augmentez 50 minutes de vol, c'est presque une heure de vol de plus. Vous voyez, vous avez augmenté à peu près un sixième de vos coûts de carburant et c'est énorme. Alors, on dit beaucoup qu'Air France est la compagnie internationale la plus impactée par tous ces événements. Mais est-ce que la compagnie Air Algérie n'est pas aussi touchée ? Elle l'est forcément, notamment en ce qui concerne le Mali. Je m'explique. Un avion qui survole l'Algérie n'a pas le droit de survoler le Mali et vice versa. Bien entendu, si les vols d'Air Algérie vers l'Afrique passaient par le Mali, tous ces vols-là sont complètement impactés. Absolument. Autre événement politique qui impacte le transport aérien, le putsch de juillet 2023 au Niger. Depuis cette date, les avions français n'ont plus le droit de survoler ce pays qui représente un cinquième de la superficie totale de l'Afrique de l'Ouest et qui est au carrefour de plusieurs couloirs aériens. Quelles conséquences pour Air France ? Vous savez, selon la convention de Chicago, chaque État a la souveraineté complète et exclusive sur l'espace aérien au-dessus de son territoire. C'est ce qui s'est passé avec le Niger. C'est une affaire bilatérale entre le Niger et la France. La conséquence immédiate, c'est qu'aucun avion français ne peut survoler le territoire nigérien. Il faut donc passer par l'est ou par l'ouest pour pouvoir rallier des territoires au sud du Niger, sur le continent africain. Et quand on regarde une carte de l'Afrique, on voit que, pour aller par exemple de Paris à Douala ou de Paris à Kinshasa, il faut survoler le Niger, sinon il faut faire un énorme détour ? Il faut faire un énorme détour, en effet. Absolument. Autre évènement politique : la conquête de Goma par les rebelles du M23 et l'armée rwandaise. Depuis ce mois de février, la République démocratique du Congo interdit le survol de son territoire aux avions rwandais. Est-ce que la compagnie RwandAir est impactée par cette mesure ? Ah oui, elle est forcément impactée. De toute façon, le territoire de la RDC, comme vous le savez, est tellement vaste par rapport au Rwanda que la plupart des vols vers l'ouest du Rwanda devaient passer par ce territoire-là. C'est vrai que cette compagnie est totalement impactée, en effet. L'un des faits majeurs de ces deux dernières années, c'est donc la fermeture de l'espace aérien du Niger à tous les avions français. Est-ce que cette mesure très restrictive profite à d'autres compagnies ? Je ne crois pas. Quand il y a une restriction, cela ne profite à personne, ni au pays qui a restreint, ni aux compagnies. Donc, nous espérons, nous, dans notre profession, que cette affaire connaîtra un épilogue favorable dans les meilleurs délais, aussi bien en ce qui concerne le Mali et l'Algérie que le Niger, parce que cela ne profite pas du tout à l'activité. C'est une crise. Ça renchérit les coûts aussi bien pour les compagnies aériennes que pour les populations et que pour les passagers. Donc cela n'a aucun bénéfice pour personne. Mais maintenant qu'Air France et Corsair ne peuvent plus atterrir à Niamey, à Agadez ou à Zinder, il y a nécessairement d'autres compagnies qui en profitent ? Je ne crois pas. D'abord, Corsair n'y allait pas, de toute façon. C'est Air France qui allait à Niamey, tout simplement. Et de toute façon, il ne faut pas oublier que cette affaire du Niger avec la France s'accompagne aussi d'une restriction des voyages eux-mêmes, parce que les problèmes de visas se posent aussi. Je crois que les relations sont telles que les voyages vont être complètement réduits. Oui, le flux des passagers a diminué sur les vols à destination du Sahel, c'est ça ? C'est ça. Absolument.
L'information fait les gros titres de la presse congolaise : le Garde des sceaux, Constant Mutamba, démissionne. Cette démission, pointe le site congolais Actualité CD, « fait suite à une série de controverses judiciaires et politiques qui ont ébranlé son mandat. Constant Mutamba avait suscité de grands espoirs lors de sa nomination en mai 2024, mais les récents scandales, notamment les accusations de détournement de fonds, ont précipité son départ. Ses ennuis ont pris une tournure décisive avec la levée de son immunité parlementaire par l'Assemblée nationale dimanche dernier, à la suite d'un réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation. Accusé d'avoir détourné 19 millions de dollars dans un projet de construction de prison à Kisangani, il a également été visé pour outrage aux corps constitués après avoir dénoncé un prétendu complot politique contre lui. Ces accusations, combinées à l'interdiction de quitter Kinshasa et à la menace d'un mandat d'arrêt, ont rendu sa position intenable, le poussant à remettre sa démission. » Soupçons de corruption « La descente aux enfers se poursuit pour Mutamba », s'exclame Objectif Infos. « Le jeune ministre va sans détour passer du piédestal au banc des accusés. » « Le ministre de la Justice Constant Mutamba démissionne en pleine tempête judiciaire », lance le Journal de Kinshasa. « Ce nouvel épisode de la “Saga Mutamba” plonge une fois de plus le gouvernement congolais dans la tourmente, à quelques mois d'échéances politiques majeures. Alors que la présidence de Félix Tshisekedi tente de préserver sa stabilité, ce scandale met en lumière les fragilités persistantes du système politico-judiciaire en RDC. » « Constant Mutamba dans de sales draps ! », renchérit La Tempête des tropiques. « Pour les uns, cette affaire constitue une leçon pour certains responsables des institutions publiques qui gèrent les portefeuilles de l'Etat comme leurs boutiques. D'autres pensent qu'il s'agirait d'un règlement des comptes ourdi contre un ministre qui commençait à inquiéter certains magistrats véreux et de nombreux réseaux de malfaiteurs. Mais pour couper court à toutes les spéculations, la justice congolaise n'en sortira grandie que si le prévenu Constant Mutamba bénéficie d'un procès juste et équitable. » L'arroseur arrosé ? Jeune Afrique revient sur le parcours de ce jeune ministre de 37 ans : « Nommé Garde des sceaux en mai 2024, Constant Mutamba avait promis de réformer un système judiciaire qu'il qualifiait de “malade“, reprenant en cela les termes du président Tshisekedi. Il n'en aura pas eu le temps : malgré ses efforts pour échapper au couperet, affaires judiciaires et tensions politiques ont eu raison de lui. Ancien candidat à l'élection présidentielle de 2023, le fondateur du mouvement citoyen Nouvelle Génération pour l'émergence du Congo promettait de lutter contre la corruption et de promouvoir la transparence, avant que les soupçons de malversations financières ne viennent ternir son image. Il a tenté, en vain, de trouver une issue politique à ses déboires. (…) Constant Mutamba avait en effet publiquement dénoncé un “règlement de comptes“, précise Jeune Afrique, orchestré par des adversaires politiques, pointant du doigt des relations conflictuelles avec la Première ministre Judith Suminwa et le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, qu'il avait accusé de faire partie d'un “groupe de mafieux“ cherchant à l'humilier. Mais ces déclarations ont aggravé son cas. » En première ligne contre Kabila et le Rwanda Désormais, relève encore Jeune Afrique, « l'avenir du ministre déchu reste incertain, tout comme l'impact de cette affaire sur la dynamique politique congolaise. Constant Mutamba est en effet le ministre qui a ordonné la saisie des biens de l'ancien président Joseph Kabila et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre ce dernier, accusé par Félix Tshisekedi d'être le “véritable patron“ de l'Alliance Fleuve Congo/M23, la rébellion soutenue par le Rwanda qui contrôle les villes de Goma et Bukavu, dans l'Est. » Qui plus est, note Actualité CD, « depuis la résurgence de la rébellion du M23, Constant Mutamba était en première ligne pour s'attaquer au Rwanda. Il avait été à la base de l'ouverture du procès public de Corneille Nangaa, leader politique de l'Alliance Fleuve Congo, ainsi que plusieurs de ses complices. (…) Constant Mutamba avait (aussi) promis une récompense à toute personne qui parviendrait à arrêter le président rwandais Paul Kagame qu'il qualifiait de “criminel de guerre“, suite à son soutien à la rébellion de l'AFC/M23. » D'ailleurs, relève encore Actualité CD, les autorités rwandaises « n'ont pas caché leur satisfaction face aux ennuis judiciaires de Mutamba. »
Bintou Keïta, cheffe de la Monusco, s'est rendue à Goma — une première depuis que la ville est tombée aux mains des rebelles du M23. Un déplacement sous haute tension, alors que les initiatives diplomatiques se multiplient. Sur le plan politique les consultations pour un gouvernement d'union nationale peinent à réunir. Christian Moleka, analyste politique, coordonnateur national de la Dypol est notre invité pour décrypter la situation.
Kate Adie presents stories from the US, DRC, Hungary, Nigeria and Italy.There's been a heavy crackdown in Los Angeles after more than a week of protests over US immigration raids. Federal police had been targeting undocumented migrants in workplaces across the city. In a marked escalation, President Trump deployed the National Guard and the Marines, which drew sharp criticism from California's governor, Gavin Newsom. John Sudworth followed the story.Hugh Kinsella Cunningham visits a mental health clinic in South Kivu in Democratic Republic of Congo, where he hears from psychotherapists how they are helping people deal with trauma. Earlier this year, the Rwanda-backed M23 rebel group took control of Goma and Bukavu, in the latest chapter of a conflict that has blighted the lives of civilians for decades.Ellie House has visited Hungary's east where a vast Chinese-owned lithium-ion battery plan is under construction. She hears how China's forays into the European EV market are being welcomed by PM Victor Orban, but with trepidation by some locals.In Nigeria, a small town in Ogun state transforms into a vibrant cultural festival each year, drawing business leaders, traditional rulers and visitors from the diaspora. It celebrates the cultural identity of the Yoruba people. Nkechi Ogbonna went to watch the festivities which had a political undertone.And finally, Alice Gioia has been in Italy's north, to the town of Pavia, where the Pavese dialect is fast dying out. Across Italy, 90 per cent of the population using these dialects are over seventy. She reflects on what the loss of the Pavese dialect will mean for her.Series producer: Serena Tarling Editor: Penny Murphy Production coordinators: Sophie Hill & Gemma Ashman
En RD Congo, c'est la première visite officielle de la cheffe de la Monusco depuis la prise de contrôle de Goma fin janvier par l'AFC/M23, appuyé par le Rwanda. Bintou Keita est dans la capitale provinciale pour une visite de trois jours. Elle a rencontré les chefs du groupe armé.
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# Señora bonita, véngase a lo más cancelado, lo más desinformado, lo más ‘funado' del internet, de este mundo y los que vienen. Aquí está la Radio de la República, el peor noticiero con su tuitero favorito.