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Camille Jaccoux est né avec des skis aux pieds.Fils de guide de haute montagne il grandit à Chamonix et se prend très vite d'une passion dévorante pour la glisse.Au point qu'il n'a jamais imaginé faire autre chose de sa vie.Camille commence par le ski de bosse avant de prendre un virage radical vers le Freeride (ski hors-piste) au milieu des années 90.S'en suivent 10 ans d'une carrière pro exceptionnelle à explorer les montagnes du monde entier sur le fameux "Freeride World Tour".À 32 ans, il met fin à sa carrière et se libère enfin du temps pour un projet qu'il a en tête depuis plusieurs années : créer une marque de skis qui pourrait bousculer les "majors", les marques dominantes de l'industrie.Avec 2 amis et associés, il lance Black Crows en 2006 à Chamonix, là où tout a commencé.Ils misent sur des skis techniques mais accessibles, adaptés à toutes les neiges et surtout sur un design hors des codes de l'époque pensé par le talentueux Yorgo Tloupas.Poussée par l'explosion du freeride, la marque devient rapidement un symbole que les skieurs s'arrachent et envahit les pistes — et les hors-pistes — du monde entier.Camille est un vieux briscard qui a traversé toutes les époques, les modes et les tendances de la montagne depuis 30 ans et s'en est servi pour créer un intemporel.Entrez dans les coulisses d'une véritable “love brand” devenue icône de la culture ski à la française.Vous pouvez contacter Camille sur LinkedIn et le suivre sur Instagram.TIMELINE:00:00:00 : La montagne dans le sang00:16:28 : Flairer la puissance de la création de contenu avant tout le monde00:23:03 : Les meilleurs spots de ski du monde00:28:36 : Bousculer les majors00:39:11 : Le jour 1 de Black Crows00:45:19 : Créer une marque qui résonne bien au-delà du ski00:56:43 : Chamonix, la capitale des sports outdoors01:05:30 : Le hack marketing que toutes les marques devraient connaître01:12:50 : La collaboration iconique de Black Crows avec Colette Paris01:27:43 : Comment faire des US son premier marché01:37:51 : Utiliser les réseaux sociaux comme aucune autre marque de ski01:43:56 : “Les gens pensaient qu'on était 70, on était 14”01:49:36 : Le passage risqué de l'outdoor au lifestyle01:59:12 : Téhéran, Maroc, Japon : les endroits les plus dingues où Camille a skiéLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #509 - Nicolas Mermoud - HOKA - Retourner le marché du running avec des semelles "grotesques”#496 - Sébastien Kopp - VEJA - Faire du business autrement[Hors-Série Red Bull] - Luc Reversade - La Folie Douce - "On est les seuls à avoir un chef étoilé qui fait danser sur les tables à 2500m d'altitude”Nous avons parlé de :Claude Jaccoux, le père de CamilleBlack CrowsBruno CompagnetGlen Plake, un des précurseurs du freeskiBruno Gouvi qui descend l'aiguille des Drus en snowOscar MandinKristofer Turdell, champion du monde de Freeride en Black CrowsJackson Hole dans le WyomingJulien RegnierRabbit on the RoofYorgo Tloupas, le designer de génie derrière Black CrowsAYAQLes recommandations de lecture :Kolkhoze - Emmanuel CarrèreL'usure d'un monde : Une traversée de l'Iran - François-Henri DésérableL'invitation à l'altitude - Claude JaccouxUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a tout juste trente ans, la diplomatie américaine parvenait à conclure un accord de paix mettant fin à la guerre de Bosnie-Herzégovine, qui a fait 100 000 morts et deux millions de déplacés. Mais les accords de Dayton ont-ils tenu leurs promesses ? En Bosnie-Herzégovine, l'État est désormais coupé en deux entités, avec d'un côté Bosniaques musulmans et Croates catholiques, de l'autre les Serbes orthodoxes. Les divisions sont toujours aussi béantes, et imprimées dans le quotidien de la capitale Sarajevo, comme l'a constaté notre correspondant Louis Seiller. Poussée nationaliste en Croatie Et dans la Croatie voisine, on observe depuis plusieurs mois une forte poussée ultra-nationaliste et révisionniste... qui a d'ailleurs motivé une réaction en retour avec 10 000 manifestants antifascistes dans les rues. Pour en parler, on retrouve le professeur de Sciences politiques, spécialiste des Balkans à l'Université de Graz, Florian Bieber. La revue de presse européenne Franceline Beretti On commence par l'Europe qui n'est pas épargnée dans la dernière publication américaine sur sa stratégie nationale de sécurité... L'exposition «Africa Direct» à Kiev Et dans une Ukraine toujours en guerre, et en pleine tractation de paix... certaines institutions culturelles veulent rester debout.C'est le cas du musée Khanenko pourtant bombardé. Il vient aujourd'hui interpeller les visiteurs avec une nouvelle exposition intitulée Africa Direct. Ou comment les luttes décoloniales africaines résonnent aujourd'hui dans un pays en lutte contre l'envahisseur russe. Reportage à Kiev signé Emmanuelle Chaze.
Il y a tout juste trente ans, la diplomatie américaine parvenait à conclure un accord de paix mettant fin à la guerre de Bosnie-Herzégovine, qui a fait 100 000 morts et deux millions de déplacés. Mais les accords de Dayton ont-ils tenu leurs promesses ? En Bosnie-Herzégovine, l'État est désormais coupé en deux entités, avec d'un côté Bosniaques musulmans et Croates catholiques, de l'autre les Serbes orthodoxes. Les divisions sont toujours aussi béantes, et imprimées dans le quotidien de la capitale Sarajevo, comme l'a constaté notre correspondant Louis Seiller. Poussée nationaliste en Croatie Et dans la Croatie voisine, on observe depuis plusieurs mois une forte poussée ultra-nationaliste et révisionniste... qui a d'ailleurs motivé une réaction en retour avec 10 000 manifestants antifascistes dans les rues. Pour en parler, on retrouve le professeur de Sciences politiques, spécialiste des Balkans à l'Université de Graz, Florian Bieber. La revue de presse européenne Franceline Beretti On commence par l'Europe qui n'est pas épargnée dans la dernière publication américaine sur sa stratégie nationale de sécurité... L'exposition «Africa Direct» à Kiev Et dans une Ukraine toujours en guerre, et en pleine tractation de paix... certaines institutions culturelles veulent rester debout.C'est le cas du musée Khanenko pourtant bombardé. Il vient aujourd'hui interpeller les visiteurs avec une nouvelle exposition intitulée Africa Direct. Ou comment les luttes décoloniales africaines résonnent aujourd'hui dans un pays en lutte contre l'envahisseur russe. Reportage à Kiev signé Emmanuelle Chaze.
Schefferville est née d'un pari un peu fou : construire un chemin de fer et une ville à plus de 500 km au nord de Sept-Îles, au Québec. L'historien Harold Bérubé raconte comment cette ville minière a vu le jour le 1er août 1955, en plein territoire traditionnel innu.
Dans l'anonymat le plus total, Ce lanceur d'alerte a empêché l'explosion
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 03 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Enfin ! Après des semaines d'attente et beaucoup de spéculations, Dana White a annoncé cette semaine les affiches des deux premiers événements numérotés de 2026. Alors que Topuria était attendu pour défendre sa ceinture des -70kg, c'est finalement un combat pour le titre intérimaire de cette même catégorie qui va occuper le haut de l'affiche. Gaethje sera opposé à Pimblett en main event de l'UFC 324. Une semaine plus tard, l'UFC 325 accueillera la revanche entre Volkanovski et Lopes pour le trône des poids plumes. Charles Chevallier, Anthony Sterpigny et Yassine Zaouini reviennent sur les annonces faites par le patron de l'UFC et sur l'impact qu'elles auront sur les prochains mois de l'orga.
La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump. À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis
La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump. À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis
durée : 00:10:18 - Journal de 9h - Au Chili, les électeurs sont appelés aux urnes aujourd'hui pour élire leur prochain président. Un premier tour de scrutin alors que les enjeux sécuritaires et migratoires se sont imposés dans la campagne.
▶️ Dans cet épisode, aux côtés de Nina Aguillon et Nastassia Pouradier Duteil, j'ai le plaisir d'accueillir Nora Aïssiouene, Directrice Technique Mathématiques et Applications chez SUMMIT, Sorbonne Université Maison des Modélisations Ingénieries et Technologies.
Auditeurs : - Il y a 6 ans, la vie d'Éric a été bouleversée par une histoire d'amour - Catherine est une bipolaire qui n'accepte plus le trouble. - Annick et son mari son poussés vers la sortie par le maire de leur commune. - 1 an après le décès de sa jumelle, Chantal évoque le deuil avec philosophie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Créer un club de sport, c'est d'abord comprendre l'histoire du fitness. En observant les deux courants majeurs du secteur, Benjamin LARICHE a identifié une opportunité : Démocratiser le fitness en France. Face à un marché en crise et à l'émergence du low-cost aux limites évidentes, il a créé One Fitness Club.Son constat ? L'expérience client était sacrifiée sur l'autel du prix bas. Benjamin a donc imaginé une réponse différente :→ Trois valeurs fédératrices : sport santé, performance, divertissement,→ Un positionnement unique face à la concurrence,→ Une approche centrée sur le consommateur.L'objectif de Benjamin ? Créer un véritable lieu de rencontre. Avec une mixité parfaite - 50% d'hommes, 50% de femmes - One Fitness Club mise sur la communauté et la fidélisation.Pas de gadgets, mais une vision claire : le sport doit rassembler, pas diviser. Son club devient ainsi un espace où chacun trouve sa place, quel que soit son niveau ou ses objectifs.Et toi, prêt à rejoindre une communauté qui place l'humain au cœur du sport ? Site web : https://onefitnessclub.fr/Linkedin : https://www.linkedin.com/in/benjamin-lariche-a4ab62198/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poussé par Donald Trump, un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est entré en vigueur mercredi. L'annonce de cette trêve a été célébrée en Israël, dans l'attente du retour de ses otages, comme à Gaza, meurtrie par deux années de guerre qui ont fait des dizaines de milliers de victimes. Dès lors, faut-il croire en un début de paix ? Quelles sont les suites à attendre de ce plan de paix initié par les États-Unis ?
Une jeune fille de 12 ans s’est suicidée en 2024 parce qu’elle subissait de l’intimidation. Deux semaines après la rentrée, c’était trop pour elle. C’est la coroner Nathalie Lefebvre qui a eu la tâche de formuler des recommandations pour empêcher le prochain. Entrevue avec Me Nathalie Lefebvre, coroner. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tu l'as sûrement déjà entendu : « Elle poussait comme une guerrière » ou encore « C'est son corps qui poussait tout seul ». Mais entre poussée réflexe et poussée dirigée, c'est quoi la différence ? Pourquoi dans les accouchements physiologiques on parle tant de poussée réflexe et pourquoi ailleurs, c'est à peine évoqué ? Dans cet épisode, je t'explique tout.Dans les préparations à la naissance, on me demande souvent : « Quand est-ce qu'on apprend à pousser ? ». Eh bien… jamais ! Enfin pas comme on l'imagine. Parce que pousser, dans un accouchement physiologique, ce n'est pas quelque chose qu'on apprend. C'est quelque chose qu'on ressent. C'est un réflexe archaïque, profond, viscéral. Comme vomir. Tu ne décides pas de vomir : ton corps le fait. La poussée réflexe, c'est pareil.Je t'explique pourquoi on pousse parfois trop tôt (à dilatation complète, sans laisser le bébé descendre naturellement), pourquoi on demande aux femmes de pousser « comme si elles allaient à la selle », pourquoi on les dirige dans une poussée longue, mécanique, souvent allongée sur le dos, alors que… la nature est bien faite. Quand on laisse le corps faire, qu'il n'y a pas de péridurale trop dosée, que le bébé descend bien, alors le corps pousse. Tout seul. Et c'est beaucoup plus efficace.Et puis je parle aussi de la poussée dirigée. Celle qu'on déclenche parce qu'on n'a pas attendu, parce qu'on ne fait pas confiance au corps, parce qu'on veut « accélérer ». Je t'explique les risques : fatigue maternelle, risques de déchirures, instrumentalisation, perte de puissance…Et non, ce n'est pas parce qu'une femme ne pousse pas assez fort qu'elle n'y arrive pas. Ce n'est pas parce que le bébé remonte qu'elle fait mal. C'est souvent juste que c'est trop tôt. Le bébé a besoin de temps. Le périnée aussi. Et si on laisse les choses se faire, on réduit les risques, on renforce la confiance, et on rend aux femmes leur puissance.Merci Morgane pour ta question. Cet épisode t'est dédié. Et si toi aussi tu veux poser une question, écris-moi ! Et surtout… partage cet épisode à une future maman, à une amie, à quelqu'un qui va vivre une naissance. Parce que comprendre, c'est déjà retrouver du pouvoir.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:11 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - La pauvreté est souvent pensée comme un manque – de ressources, de biens, de confort matériel – et comme une réalité sociale à combattre. Pourtant, en philosophie, elle se présente aussi comme un objet paradoxal : condition subie et choix possible, stigmate d'exclusion et ressource de liberté. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Etienne Helmer Philosophe, spécialiste de philosophie ancienne.; Cécile Lavergne Maîtresse de conférences en philosophie sociale et politique
durée : 00:58:56 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Qui étaient-ils, ces "déviants", ces "outsiders" dans l'Amérique urbaine des années 1950, minutieusement ethnographiés par le sociologue américain Howard Becker (1928-2023) ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Jean-Michel Chapoulie Professeur émérite de sociologie à l'Université de Paris I,; Stéphane Tonnelat Chargé de recherche au CNRS, ethnographe urbain et suburbain
durée : 00:58:05 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - C'est durant son exil à Paris qu'Hannah Arendt élabore les concepts de “parvenu” et de “paria conscient” - le premier cherchant à effacer sa différence pour être accepté, le second revendiquant sa marginalité et adoptant une position critique à l'égard de la société d'accueil. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Marina Touilliez Journaliste, conférencière sur les années 1930 et 1940 ainsi que sur l'histoire du racisme et de l'antisémitisme en France et en Allemagne ; Martine Leibovici Philosophe, maître de conférences émérite en philosophie politique
durée : 00:58:03 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - La Bohème, phénomène de marginalité du poète, apparaît, au XIXe siècle, comme une façon spécifique à l'artiste de poser le problème de sa situation dans la société. Mais alors, mythe ou réalité effective ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Martine Lavaud Professeure de littérature française à l'université d'Artois, spécialiste du romantisme, de Théophile Gautier, des rapports entre sciences et Littérature au XIXe siècle; Jean-Didier Wagneur Écrivain, critique littéraire
durée : 00:13:13 - La Question du jour - par : Julie Gacon - Depuis juin 2022, le Nord du Togo est placé en état d'urgence face à la multiplication des violences terroristes djihadistes. Si le gouvernement togolais reste discret pour ne pas affoler ses troupes sur place, les attaques auraient fait 62 morts, dont 54 civils, depuis le début de l'année. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Alain Antil Directeur du centre Afrique subsaharienne à l'IFRI, enseignant à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille et à Paris I Sorbonne
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« L'Afrique entre pragmatisme et malaise démocratique » : c'est le titre choisi par Afrik.com. « Deux jours après l'annonce de la candidature d'Alassane Ouattara à un quatrième mandat présidentiel, nous dit le site d'information, l'Afrique peine à masquer son embarras. Entre soutiens de façade des institutions continentales et critiques feutrées des chancelleries, la décision du président ivoirien révèle les contradictions d'un continent tiraillé entre ambitions démocratiques et réflexes autoritaires ». Afrik.com évoque ainsi le « silence gêné des capitales », alors que « dans les couloirs de l'Union africaine à Addis-Abeba », « les diplomates africains expriment en privé leurs réserves ». « Le continent, qui s'efforce de promouvoir la bonne gouvernance et l'alternance démocratique, se retrouve une nouvelle fois confronté à ses propres contradictions », remarque encore Afrik.com, qui pointe également les mots d'ordre lancés sur les réseaux sociaux, comme « #OuattaraDégage » ou « #ConstitutionRespectée ». Ces mots-clé, nous dit-on, « témoignent d'une jeunesse africaine de plus en plus allergique aux dérives autoritaires, qu'elles viennent de militaires ou de civils ». À lire aussi[Vos questions] Alassane Ouattara entre officiellement dans la course présidentielle Le procès de Joseph Kabila en République Démocratique du Congo. Le journal de Kinshasa a suivi l'audience de jeudi devant la Haute Cour militaire, une audience qu'il qualifie de « décisive », dans le procès intenté à l'ancien président pour « participation à un mouvement insurrectionnel et crimes contre la paix », entre autres. Cela alors que « trois parties civiles du Nord Kivu, du Sud Kivu et de l'Ituri, se sont constituées ». « Des preuves vidéo ont été dévoilées à l'audience », poursuit le Journal de Kinshasa, dont l'une montre Kibaya Bin Karubi, ex-conseiller de Joseph Kabila, déclarant que « les objectifs de la rébellion sont les mêmes que ceux du président Kabila ». Une autre vidéo montre Joseph Kabila lui-même affirmant « chacun doit jouer sa partition, je m'engage à faire la guerre ». « Le procès Joseph Kabila ne fait que commencer, souligne le Journal de Kinshasa. Mais les éléments versés au dossier pourraient peser lourd (…) Les Congolais suivent de près cette affaire, qui pourrait redéfinir les rapports entre justice, pouvoir, et responsabilité. » À lire aussiRDC: projection par la Haute Cour militaire des éléments à charge contre l'ex-président Joseph Kabila Au Mali, l'ancien premier ministre Moussa Mara de nouveau auditionné C'est à la Une de Malijet qui précise que l'ancien chef du gouvernement a été auditionné « par le Pôle national de lutte contre la cybercriminalité ». « Un long interrogatoire », au sujet « d'un message publié sur un réseau social, le 4 juillet dernier », dans lequel il déclarait notamment « vouloir se battre par tous les moyens ». Selon son avocat, « Moussa Mara a maintenu une ligne de défense invariable, répondant avec rigueur et calme aux diverses interrogations soulevées ». « Les enquêteurs auraient démontré civilité et compétence, ajoute Malijet. L'ancien chef du gouvernement a pu rentrer à son domicile en fin d'après-midi, sans qu'aucune accusation ne soit formulée à son égard ». À la mi-juillet, Moussa Mara avait déjà été auditionné avant de ressortir libre du tribunal. À lire aussiMali: l'ancien Premier ministre Moussa Mara à nouveau convoqué par la Justice L'Afrobasket féminin 2025 C'est à la Une de Sénégo : « le Sénégal élimine la Côte d'Ivoire et file en demi-finale ». Les Lionnes ont battu la Côte d'Ivoire, 66-60. « Menées pendant une bonne partie de la rencontre, dans un quart de finale disputée dans une ambiance électrique face au pays hôte, les Sénégalaises ont su renverser la situation dans un quatrième quart-temps très serré, raconte Sénégo. Grâce à une défense solide et à des choix offensifs mieux maîtrisés, elles ont pris l'avantage en fin de match. » « Les Lionnes du basket n'ont pas tremblé, estime de son côté le Soleil. Poussées dans leurs derniers retranchements par une sélection ivoirienne survoltée à domicile, Yacine Diop et ses coéquipières ont sorti le bleu de chauffe pour valider leur qualification en demi-finale. » À lire aussiAfrobasket féminin 2025: Abidjan déroule le tapis rouge aux reines du basket africain
Au Japon, les élections sénatoriales prévues dimanche 20 juillet s'annoncent périlleuses pour la coalition au pouvoir, les sondages prédisant une forte progression des petits partis ultra-conservateurs, nationalistes et populistes. Tout au long de la campagne, ces formations ont pris les étrangers pour cible, ont tenu des propos xénophobes et ont diffusé sur les réseaux sociaux des contre-vérités concernant les immigrés. De notre correspondant à Tokyo, L'archipel ne compte que 3% d'immigrés, soit moins de 4 millions de personnes, pour 120 millions de Japonais. Pourtant, ils sont devenus les boucs émissaires de la campagne électorale. Dans les meetings, on les a accusés de tous les maux et, en boucle, en réclamant la préférence nationale : « Les Japonais étant des êtres supérieurs, ils n'ont plus à passer au second plan par rapport aux étrangers », « Les Japonais d'abord ! Il faut d'urgence mettre fin à ce traitement préférentiel dont les immigrés ont toujours bénéficié », ou encore « Regardez ce qui se passe en Europe. Ce continent est complètement à la dérive en raison d'une immigration incontrôlée ». Des propos sévères, mais « ce n'est pas faire preuve de xénophobie ou de populisme que d'exiger que les immigrés respectent nos règles et que nous, les Japonais, bénéficiions d'une discrimination positive par rapport à eux. Cela paraît la moindre des choses », a-t-on pu entendre notamment lors de ces événements politiques au Japon. Face à cette vague populiste, les électeurs japonais sont partagés. « On ne se sent plus chez nous avec autant d'étrangers. Et beaucoup se comportent mal, en plus. C'est vraiment la double peine », estime une jeune femme. « Enfin des politiciens qui disent la vérité et sortent du politiquement correct, de ce prêchi-prêcha assommant sur ''le vivre ensemble" », abonde une autre, croisée dans les rues de Tokyo. « À mon sens, un pays se grandit en acceptant la diversité qui figure en son sein et en veillant à la coexistence harmonieuse au-delà des différences culturelles », estime à l'inverse un électeur. « Les partis traditionnels ayant tellement déçu, menti et magouillé, les gens optent pour une alternative et se tournent vers des formations populistes. Une telle dérive, c'était couru d'avance », regrette celui-ci. Beaucoup d'immigrés ont mal vécu cette campagne qui, de bout en bout, a stigmatisé les étrangers. « Tous les jours, on me fait comprendre que ma place n'est pas ici, mais dans mon pays. C'est dur, se désole Aung, qui est née en Birmanie. Mais je m'accroche, je serre les dents. Au boulot, je veille à être une employée modèle pour que mon titre de séjour soit renouvelé chaque année, et donc que je puisse continuer à aider mes parents, qui sont toujours en Birmanie. Car mon soutien financier leur est vital. » Contrairement à ce qui a été dit et répété dans les meetings, le Japon n'est pas « submergé par une vague de sans-papiers » : on en dénombre un quart de moins qu'il y a 20 ans. Un étranger sur trois ne vit pas « au crochet de l'assistance publique » : on ne compte que 3% d'immigrés parmi les bénéficiaires d'une allocation de subsistance. S'agissant des incivilités et des infractions commises par les étrangers, on en déplore un peu plus qu'avant. Mais, selon les experts, c'est mathématique, automatique, dû à l'envolée du nombre d'immigrés ces dernières années. Pour autant, le gouvernement a promis un tour de vis répressif envers les résidents étrangers qui n'auraient pas un comportement irréprochable. Et, à en croire un récent sondage, près de 80% des Japonais s'en félicitent. À lire aussiAu Japon, les populistes ciblent les immigrés à l'approche des élections
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 240 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast avec ses chapitres !Tim Cook bientôt poussé vers la sortie au profit d'un nouveau CEO plus orienté produits ?Enregistré mercredi 16 juillet 2025 à 18h30, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès (ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod backstage“ chez Dunod) et Fabrice Neuman(consultant auprès des petites entreprises et contributeur à "Comment ça marche“).Au sommaire de cet épisode 240 : Tim Cook vit-il ses derniers mois, voire ses dernières semaines, à la tête d'Apple ? Face au retard pris par Apple Intelligence et après plusieurs ratés dont l'Apple Car, deux premiers analystes estiment qu'il serait désormais dans l'intérêt d'Apple que Tim Cook cède son fauteuil à un nouveau CEO davantage orienté produits. On en discute et c'est évidemment l'info de la semaine.L'événement de la semaine a eu lieu à Paris, lors du défilé du 14 juillet dernier. Derrière le président de la République, dans le Command Car à bord duquel il a descendu les Champs-Élysées puis en tribune présidentielle sur la place de la Concorde, deux caméras URSA Cine Immersive de Blackmagic Design dédiées au Vision Pro n'ont rien raté et le résultat dépasse toutes les attentes des deux producteurs d'Immersive Flashback qui ont su convaincre l'Élysée de leur confier cette première mondiale au format immersif : Sixtine Rose et Frank-David Cohen raconte à Benjamin Vincent la vision d'Apple "qui a tout compris" et qui a pris “10 ans d'avance“ sur tout le monde dans le domaine de l'immersif. Une interview à retrouver sur près d'une heure dans le podcast “Les Voix de la Tech".Dans notre "retour sur", suite des rumeurs autour de l'iPhone pliant : Samsung Display aiderait Apple à aboutir à la charnière invisible de ses rêves. Et puis, dans le JT de la semaine, nous évoquons la date probable de sortie des beta publiques des futurs OS Apple, la date probable de la keynote Google pour les nouveaux Pixel 10 et le bad buzz à propos de WeTransfer qui a tenté d'imposer l'accord de ses utilisateurs pour entrainer ses IA sur leurs données personnelles.Enfin, le bonus hebdo exclusif réservé à nos soutiens sur patreon.com/iweek : Apple lorgnerait sur Mistral AI pour l'aider à combler son retard avec Apple Intelligence. Une acquisition est-elle envisageable (ou pas) ?À mardi prochain, 29 juillet 2025, pour l'épisode 242, le dernier de la saison, dont l'enregistrement sera à suivre en direct sur X, YouTube et LinkedIn Live à partir de 18h30.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que les fermetures d'agences bancaires accélèrent en France, les assureurs maintiennent leur réseau et développent même, pour certains, leurs implantations en cœur de ville. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée Tifenn Clinkemaillié détaillent les raisons de cette stabilité du paysage assurantiel.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Tifenn Clinkemaillié (journaliste au service Finance des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Richard Damoret/REA. Sons : Allianz France, TF1, « Astérix et la Surprise de César » (1985), Groupama, Incredible Dorothée Pousséo, MAIF, Kriss Papillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFFUSION - Oser la Reconversion est en vacances et revient début septembre avec de nouveaux invités.- Episode diffusé initialement le 17 avril 2023 (épisode #89)J'accueille dans Oser la Reconversion, Léa Torres. Après avoir travaillé en tant qu'avocate spécialisée en droit du sport, Léa a fondé le podcast I am an Equestrian et l'agence de communication Eclat Agency spécialisée dans la création de podcast.Après le bac, Léa ne sait pas trop quoi faire. Poussée par sa famille, elle se dirige vers la fac de droit pour faire comme sa tante avocate. Elle se spécialise en droit du sport car elle est passionnée par l'équitation. Elle rate le barreau. Une claque, c'est son premier échec. En attendant de le repasser l'année d'après, Léa décide de lancer avec une amie d'enfance, un podcast pour les amoureux des sports équestres, I am an equestrian, où elle interview es personnalités inspirantes des sports équestres. Le podcast gagne rapidement en notoriété et de nombreuses entreprises lui demandent de l'aide pour produire leur propre podcast. Parallèlement, elle repasse le barreau et obtient le concours d'entrée à l'école d'avocat. Léa devient avocate. Mais son stage final se passe très mal et elle décide de quitter la profession.Aujourd'hui, Léa est host du podcast I am an equestrian et a fondé son entreprise Eclat Agency spécialisée dans la production de podcast et la stratégie digitale.Avec Léa, on a évoqué sa passion pour l'équitation, le milieu austère des cabinets d'avocat, son bore out en stage, comment elle a lancé son podcast pour faire face à son premier échec, sa vision sur l'évolution des podcasts et ses projets futurs pour son agence. Notes & Références :- Instagram de Léa @leatrrs : / leatrrs - Son podcast I am an equestrian : https://podcast.ausha.co/i-am-an-eque...- Site internet de son agence Eclat Agency : https://www.eclatagency.com - Instagram de son agence Eclat Agency @eclatagency_ : Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube
Elle n'était pas sportive. Elle était journaliste, passionnée de danse, mais loin de l'univers du fitness. Et puis un matin, dans un petit studio parisien, tout a basculé. Une bouilloire renversée, des brûlures graves, l'hôpital, la peur… et puis un déclic.Dans cet extrait, Julie Pujols revient sur l'accident qui a marqué un tournant dans sa vie. Celui qui l'a poussée à changer de voie, à se former, à se reconstruire… jusqu'à devenir l'une des coachs les plus suivies aujourd'hui.Une histoire de douleur, de courage et de transformation. Rendez-vous lundi pour l'épisode complet.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Et si la promesse faite par les algorithmes censés être plus efficaces que le jugement humain était finalement une chimère, qui joue même en notre défaveur ? L'exemple de Parcoursup est un exemple IN-CROY-ABLE des choix politiques qui se cachent derrière ces algorithmes de scoring social, mais aussi des choix techniques qui permettent aujourd'hui de renforcer la possibilité de discriminer certaines populations. Accroche-toi bien, tu n'es pas prêt à entendre ça !Écoute l'épisode complet Parcoursup, banques, emploi : quand les algos décident de votre vie ou cherche directement "Trench Tech Hubert Guillaud" dans ta plateforme de podcast
Un an et demi après avoir commencé à produire ses premiers carburants au Nigeria, la raffinerie de pétrole Dangote se lance dans la distribution d'essence et de diesel. L'infrastructure du milliardaire est soutenue par les autorités d'Abuja, mais elle a encore des défis à relever pour gagner son pari. Dangote Petroleum Refinery l'annonce à grands coups de publicité sur les réseaux sociaux : 4 000 camions citernes, roulant au gaz naturel comprimé, seront en mesure de livrer de l'essence et du diesel à ses clients nigérians à partir du 15 août. Sécuriser des débouchés Une façon pour le raffineur privé de développer ses débouchés commerciaux au Nigeria. « Si vous êtes client de la raffinerie Dangote, on vous offrira des facilités de crédit, explique Philippe Sébille-Lopez, géopoliticien du pétrole. Vous allez commander, par exemple, 500 000 litres ou 1 million de litres, ça peut être des petits opérateurs locaux ou des petits réseaux de stations-service, comme il y en a encore. Il vise un peu tous les marchés à la fois en même temps, parce qu'il prévoit probablement une montée en puissance des capacités de raffinage et donc il faut qu'il trouve des débouchés locaux maintenant. Est-ce qu'au final Dangote a pour vocation de remplacer les trois ou quatre autres raffineries nationales de la NNPC ? C'est possible ». Ces raffineries publiques, bien qu'elles fonctionnent très mal, empiètent encore sur l'approvisionnement de la raffinerie Dangote par la compagnie nationale nigériane, la NNPC, qui, souligne le chercheur, n'a pas vraiment intérêt à lui livrer son brut. « Pour la NNPC, le plus juteux et le plus rentable, c'est évidemment d'exporter pour récolter des dollars et non de prendre une part de sa production pour aller vendre en naira à la raffinerie Dangote ». « Dans la bonne direction » Poussée par les autorités d'Abuja, la NNPC a malgré tout livré pendant six mois 300 000 barils de brut par jour à la raffinerie Dangote, en naira, la monnaie locale, pour lui éviter les risques de change. Mais c'est moins de la moitié de ses capacités. Le système demande donc à être amplifié et pérennisé pour que la raffinerie Dangote devienne rentable. « D'après les derniers chiffres que j'ai vus, on était entre 40 et 50 % de la demande qui était couverte par la raffinerie Dangote, observe Charles Thiémélé, trader chez BGN. Mais son objectif, c'est d'arriver à 80 % ou 90 %, éventuellement même jusqu'à 100 %. On n'y est pas encore. Donc ça va dans la bonne direction, mais il y a encore des négociations à mener avec le gouvernement, il y a encore du lobbying à réaliser pour que la raffinerie soit en position d'être amortie ». Car il faudra aussi, souligne le trader, résister à la concurrence des importateurs de carburant, un secteur très enraciné au Nigeria.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
« Je pense que ce qui a séduit mes parents ici, c'est la liberté totale, une rusticité tout à fait originale, pas d'électricité, pas de voiture, la marche, la nage, la plongée, la pêche…Un environnement bienveillant et calme. »Frédéric est né à Forcalquier en 1950. Il a grandi au Maroc entre Tanger et Casablanca où son père exerçait comme professeur de lettres. Il rentre avec sa famille tous les ans en France pour les vacances qu'il partage entre le Lot et l'île du Levant où il passe plus d'1 mois et demi. Ses parents ont découvert l'île en 1949 pendant leur voyage de noces et en sont tombés amoureux au point d'y acheter une petite maison en 1958. De retour en France en 1968 après son bac, sa famille s'installe au port d'Hyères. Poussé par son père, il se lance dans des études de marine marchande à Marseille puis au Havre. Il fait carrière à la SNCM pendant 25 ans. En 2007, au décès de sa mère, Frédéric s'installe avec sa femme au Levant. Très vite il s'engage dans la vie levantine, comme conseiller au syndic entre 2007 et 2016, puis à partir de 2018 comme adjoint spécial. Avec Frédéric, on a parlé du Maroc, de l'Histoire du Levant, de la zone militaire, des enjeux à venir, de naturisme, de transmission et de cétacés. L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/frederic-capoulade/Support the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
Poussé par Napoléon III, Georges Haussmann, préfet de la Seine, transfigure la capitale au prix de destructions terribles et de chantiers ruineux. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:24 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le numéro 1 mondial norvégien n'a pas réussi à remporter son pari : battre 143.000 adversaires dans le plus grand match d'échecs en ligne jamais organisé. "Le monde a joué aux échec de manière très, très solide", a salué le double champion du monde.
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L'Amerique ne fait plus de bébés !En tout cas, pas assez pour l'administration Trump, qui veut voir plus de tétines sur le sol USComment faire ??Donald propose de donner 5000 dollars et une médaille aux femmes qui accepteraient de faire plus d'enfants Poussé par les milliardaires de la tech comme Elon Musk et ses 14 enfants (
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.
Le territoire de 15 000 mètres carrés frontalier de la Pologne, de la Lituanie et de la Biélorussie et relié à la Russie à travers les 70 kilomètres du corridor de Suwalki, est à la fois une forteresse ultra-militarisée au bord de la mer Baltique et un territoire qui entretenait avant la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales des liens étroits avec l'Europe. Reportage dans ce territoire « baromètre » des relations UE-Russie. De notre envoyée spéciale à Kaliningrad,Kaliningrad, fin de journée, un stade dans la ville. Une partie de football dans la lumière claire du printemps malgré le froid, des coureurs sur la piste et deux adolescents de 17 ans qui déboulent, sourire aux lèvres, mais visage sérieux. Pavel et Eugène sont venus s'entraîner pour leurs futurs concours d'écoles supérieures. Membres d'un des clubs militaro-patriotiques de la ville, ils visent des établissements d'études militaires supérieures prestigieux en Russie.Pavel postule à l'École navale de Saint-Pétersbourg, « parce que je considère qu'être militaire dans notre pays est un honneur » dit-il ; Eugène à l'École supérieure d'artillerie de Moscou. Ce dernier se définit comme « un patriote qui veut défendre son pays jusqu'à la dernière goutte de son sang ». Eugène se dit aussi « convaincu que les Iskander sont des armes de haute technologie capables d'accomplir n'importe quelle mission et fier que nos scientifiques puissent réaliser de telles performances avec cette arme ».Les Iskander sont déployés à Kaliningrad depuis 2018. Ces missiles sont capables d'envoyer des charges conventionnelles ou nucléaires à 500 kilomètres et peuvent donc atteindre rapidement plusieurs pays voisins directs de cette enclave. Cette fierté de les héberger sur le territoire de Kaliningrad, également siège de la flotte russe de la mer Baltique, est évidemment partagée par le dirigeant de leur club qui a demandé à être présenté sous le pseudonyme sous lequel il dit être connu sur les réseaux sociaux et dans la région, celui de Maxim Maximosvky, 37 ans, fonctionnaire dans le civil, volontaire bénévole pour ce club.« Les Iskander, c'est bien que tout le monde y pense et les craigne », avance-t-il. « C'est même très bien. C'est notre totem de protection. Bien sûr, nous sommes un os dans la gorge de l'Europe. » Reste que Maxim Maximosvky se présente comme très proche de la ligne de l'État russe en affirmant : « On ne peut pas dire que Kaliningrad est entourée par des pays ennemis. Pour moi, ils sont, comme Vladimir Poutine les a désignés, des pays "inamicaux". Il n'y a pas si longtemps, la population locale voyageait librement et souvent juste pour la journée en Pologne, en Lituanie, en Allemagne, par bus. La région était très tournée vers l'Europe, et ses habitants largement perçus dans le reste de la Russie comme presque Européens, tout en étant des citoyens russes. Mais quand les frontières ont fermé, ils sont devenus indésirables en Europe. Les citoyens de Kaliningrad se sont donc rappelés qui ils étaient et ont réorienté leur vie. »La nouvelle donne post-2022En juin 2022, la tension est montée en flèche entre Kaliningrad et ses voisins. Appliquant les sanctions européennes contre la Russie, la Lituanie a bloqué le transit par voie ferrée de certaines marchandises vers ce territoire. Moscou a dénoncé un « blocus ». Jusque-là, tous les mois, une centaine de trains de passagers et de marchandises non militaires reliaient Kaliningrad à la Russie continentale, en passant par la Biélorussie, alliée de Moscou, et la Lituanie, membre de l'Union européenne (UE) et de l'Otan depuis 2004. La mise en place de ce transit était l'une des conditions imposées à la Lituanie lors de son adhésion à l'UE.Après une énorme exposition médiatique, les tensions officielles sont retombées. Mais aujourd'hui, Kaliningrad est surtout reliée pour le trafic des biens à la Russie par des ferrys venus de Saint-Pétersbourg, et si personne ne se plaint tout haut de ruptures d'approvisionnement, on soulève des problèmes de transit. Sous couvert d'anonymat, une cadre d'une usine de viandes a ainsi affirmé à RFI que ses camions vers la Russie continentale pouvaient être bloqués des jours entiers pour de longs contrôles douaniers organisés par la Lituanie, handicapant ainsi ses exportations, très dépendantes de dates limites de consommation. En 2023, des médias d'investigation comme Siena ont eux révélé que des engrais biélorusses sous le coup de sanctions européennes continuaient de transiter par le pays balte. Le ministère des Transports avait, dans la foulée, annoncé un renforcement des contrôles à toutes ses frontières.L'inflation, elle, déjà très élevée en Russie, bat des records à Kaliningrad : + de 10 % rien qu'en décembre, selon les chiffres officiels de l'institut national russe Rosstat.Fondateur il y a plusieurs dizaines d'années d'une entreprise de transport par camion, Serguey Gos affirme, lui, avoir réussi à gérer la nouvelle donne économique sans dommages durables. « Avant 2022, nous travaillions avec presque tous les pays européens, Italie, Autriche, Allemagne, France. De notre pays, nous amenions de la tourbe, du bois, beaucoup de matières premières, et nous importions certains composants. » Aujourd'hui, ce chef d'entreprise affirme avoir réorienté en quelques mois ses activités via les pays classés comme amicaux par la Russie : Turquie, Kazakhstan, Chine. Sa flotte de camions reste très européenne, mais pour ses nouveaux semi-remorques, il dit se fournir désormais auprès d'une usine locale.Si Serguey Gos dit avoir parfaitement encaissé économiquement le choc de 2022 émotionnellement, c'est à ses yeux une autre affaire. « La manière dont les choses se sont passées entre nos collègues occidentaux et nous a été très laide. Et malheureusement, on s'en souvient encore. On attendait une commande d'équipement, elle était payée, et tout d'un coup, l'argent nous a simplement été renvoyé et on nous a dit qu'on ne recevrait rien. On devrait toujours se souvenir, avant de claquer la porte, qu'on pourrait devoir la rouvrir un jour. » Un discours qui résonne avec celui du Kremlin. Celui-ci milite pour la levée des sanctions, mais affirme toujours que ce n'est pas par nécessité économique, mais pour des raisons de principe.À Kaliningrad, peu s'attendent à du changement en la matière. Serguey Gos résume l'état d'esprit général par cette formule : « les sanctions n'ont pas été imposées pour ensuite être annulées rapidement ». Les Européens ont eux réaffirmé leur position la semaine dernière : pas de levée de sanctions avant un retrait « inconditionnel » des forces russes d'Ukraine. Les tensions, elles, continuent à s'accumuler. Un représentant réputé de la communauté d'affaires de Kaliningrad a ainsi annulé une interview prévue avec RFI « en raison du dernier discours d'Emmanuel Macron ». Le président français avait, quelques heures, auparavant, dans une allocution télévisée, fustigé « l'agressivité » de Moscou « qui viole nos frontières » et face à laquelle « rester spectateur serait une folie ». Devant 15 millions de téléspectateurs, Emmanuel Macron avait aussi affirmé que la Russie était « devenue une menace pour la France et pour l'Europe », une Russie qu'il accusait de « tester nos limites dans les airs, en mer, dans l'espace et derrière nos écrans. Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières ».La Pologne ainsi que les pays baltes sont aujourd'hui engagés dans de coûteux travaux de fortification de leurs frontières avec la Russie. Poussés par l'inquiétude d'un conflit dans quelques années avec Moscou, ces dernières semaines la Lituanie annoncé quitter la Convention d'Oslo interdisant les bombes à sous-munitions, tandis que la Pologne et les trois pays baltes ont eux déclaré vouloir se retirer de celle bannissant les mines antipersonnel.À lire aussiSites énergétiques visés: Kiev et Moscou font état de «violations» et se tournent vers Washington
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les éditorialistes réagissent au relèvement des droits de douane par Donald Trump, la collaboration Trump/Musk se complique, l'origine du Covid et la risposte du Rassemblement national. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:33 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Léa Salamé reçoit Jean-Baptiste Del Amo pour son roman "La nuit ravagée" (Gallimard). Une exploration des peurs adolescentes dans une maison hantée, entre une atmosphère à la Stephen King et désillusions. - invités : Jean Baptiste DEL AMO - Jean-Baptiste Del Amo :
Le 10 septembre 1977, Hamida Djandoubi est guillotiné. Cet homme, dont on aurait préféré oublier les actes criminels terribles, vient pourtant d'entrer dans l'Histoire. Il sera à jamais le dernier condamné Français à sentir sur sa nuque la morsure du couperet. Mais avant cet épilogue brutal, il y a toute une histoire à raconter.En 1974, Houria, 15 ans, fugue et croise Hamida Djandoubi. Promettant aide et refuge, il l'attire dans son appartement où, après quelques jours, débutent violences, abus et séquestration. Isolée et terrifiée, elle endure trois semaines d'enfer. Un jour, Hamida s'absente. Poussée par une impulsion, Houria s'échappe malgré ses blessures. Elle atteint un commissariat, raconte son calvaire et dénonce un meurtre dont Djandoubi lui a parlé. Les policiers, d'abord sceptiques, réagissent en découvrant la véracité de ses propos et arrêtent son tortionnaire. Hamida Djandoubi est en garde à vue, et ses crimes sont dévoilés au grand jour.
Le Journal en français facile du vendredi 13 décembre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BEtH.A