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L'Amerique ne fait plus de bébés !En tout cas, pas assez pour l'administration Trump, qui veut voir plus de tétines sur le sol USComment faire ??Donald propose de donner 5000 dollars et une médaille aux femmes qui accepteraient de faire plus d'enfants Poussé par les milliardaires de la tech comme Elon Musk et ses 14 enfants (
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
2ème épisode / 5, de la série sur la sclérose en plaques de l'enfant. Episode 2 : Maladie rare – Diagnostiquer une sclérose en plaques de l'enfant. Invité : Dr Pierre Meyer, neuropédiatre, praticien hospitalier au sein du service de neuropédiatrie du CHU de Montpellier, coordinateur du centre de compétences de la région Occitanie-Est des maladies inflammatoires rares du cerveau et de la moelle, le MIRCEM, membre de la filière Brain-Team. https://maladies-rares.chu-montpellier.fr/fr/centre-de-competence-des-maladies-inflammatoires-rares-du-cerveau-et-de-la-moelle-1 https://brain-team.fr/ 1️⃣ Quelles sont les circonstances de diagnostic de la sclérose en plaques de l'enfant ? [0'31 – 2'43] ✔️ Poussées neuro-inflammatoires : neuropathie optique, myélite inflammatoire, atteintes cérébrales/cérébelleuses. ✔️ Encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) : inflammation cérébrale bruyante (troubles de conscience, convulsions). ✔️ Lésions inflammatoires détectées fortuitement sur IRM pour autre motif. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-sclerose-en-plaques-de-lenfant/ 2️⃣ Comment s'effectue le diagnostic de cette maladie rare ? [2'44 – 4'23] ✔️ Critères de McDonald : dissémination spatiale (lésions à différents endroits) et temporelle (évolution dans le temps). ✔️ IRM cérébrale, ponction lombaire, examens ophtalmologiques. ✔️Nouveaux critères en cours de publication. 3️⃣ Quels diagnostics différentiels écarter ? [4'23 -5'55] ✔️ MOGAD (principal diagnostic différentiel, fréquent chez l'enfant), neuromyélite optique (plus rare), vascularites et infections cérébrales. 4️⃣ Quels conseils proposer aux parents des enfants diagnostiqués ? [5'55 -8'36] ✔️ Rassurer les parents, la SEP pédiatrique bénéficie aujourd'hui de traitements plus performants qu'il y a 20-30 ans, permettant un bon contrôle de la maladie, limitant l'évolution. ✔️Des aménagements scolaires peuvent être mis en place pour accompagner l'enfant. 5️⃣ À qui adresser les jeunes patients atteints de sclérose en plaques ? [8'36 – 10'26] ✔️Orientation vers des centres de référence maladies rares. ✔️Suivi par des équipes pédiatriques, puis collaboration avec les neurologues adultes pour la transition enfant-adulte (vers 16 à 18 ans) afin d'assurer une continuité des soins. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom ******************************* À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.
1er épisode / 5, de la série sur la sclérose en plaques de l'enfant. Episode 1 : Maladie rare – Qu'appelle-t-on sclérose en plaques de l'enfant ? Invitée : Dr Emmanuel Cheuret, neuropédiatre, praticien hospitalier au sein du service de neurologie pédiatrique du CHU de Toulouse, co-rédacteurs du PNDS sur la sclérose en plaques de l'enfant et coordinateur du centre de compétence de la région Occitanie-Ouest des maladies inflammatoires rares du cerveau et de la moelle (MIRCEM), membre de la filière Brain-Team. https://brain-team.fr/ 1️⃣ Qu'appelle-t-on sclérose en plaques de l'enfant ? [0'36 – 2'57] ✔️ Environ 700 enfants touchés en France, plus fréquente dans les régions moins ensoleillées. ✔️ Caractérisée par deux poussées temporelles, espacées d'un mois, et spatiale (plusieurs zones du système nerveux central atteintes). Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-sclerose-en-plaques-de-lenfant/ 2️⃣ Quel tableau clinique doit faire suspecter une sclérose en plaques chez l'enfant ? Quelle différence clinique avec celle de l'adulte ? [2'58 – 4'32] ✔️ Signes similaires à l'adulte : paralysie partielle (hémiparésie), troubles sensitifs (fourmillements), troubles visuels (baisse de vision). Possible somnolence, confusion ou état comateux (plus rare chez l'adulte). ✔️ Autres atteintes possibles : troubles des sphincters, paralysie faciale, mouvements anormaux des yeux. 3️⃣ Quelle est la physiopathologie de cette maladie rare ? [4'33 -6'33] ✔️ Maladie auto-immune : le système immunitaire attaque le cerveau et la moelle épinière avec formation de plaques. ✔️Facteurs multiples : génétique, virus EBV, tabagisme passif, obésité... 4️⃣ Quel est le pronostic de la sclérose en plaques chez l'enfant ? [6'34 -8'48] ✔️ Poussées suivies de rémissions complètes, bien contrôlées par les traitements disponibles. ✔️ Risque de handicap à long terme. 5️⃣ À qui adresser les jeunes patients en cas de suspicion de sclérose en plaques ? [8'49 – 10'23] ✔️ Consultation en pédiatrie ou passage aux urgences en cas de symptômes évocateurs. ✔️ Orientation vers un centre de référence pour un diagnostic précis et un suivi adapté pour limiter l'évolution et prévenir le handicap. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom *************************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
Une fin de semaine mouvementée à Montréal ! Don Nito est libre. 6 adolescents victimes de sextorsion se sont enlevé la vie. Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
A la Une de la presse, lundi 14 avril, une information du Figaro, qui affirme que l'Algérie a décidé d'expulser douze agents de l'ambassade de France, en représailles à l'arrestation et la mise en examen d'un agent consulaire algérien à Paris. L'élection du général Brice Oligui Nguema au premier tour de la présidentielle au Gabon. Et la mort du grand écrivain péruvien Mario Vargas Llosa.
Dans cet épisode, on parle des déclics et prises de conscience qui nous ont poussé à revoir nos brandings, nos positionnements, nos offres et nos prix.(00:00) Intro + jingle(00:34) Ce qui a poussé Morgane à revoir son positionnement et son branding(02:56) Pourquoi Mathilda a décidé de revoir tout son positionnement(05:39) Comment Wesley a pivoté et combiné des services(09:55) Le déclic de Wesley et les effets d'une bonne offre(11:59) Gagner la confiance de ses prospects et développer une audience (Mathilda)(16:18) ConclusionBienvenue sur LA DIFF, le podcast qui démystifie le branding et la communication pour les entrepreneurs les plus audacieux. On est Morgane Tubiana, Mathilda Perrot et Wesley Joachim. Notre mission, c'est d'accompagner les entrepreneurs qui veulent créer une image de marque puissante pour atteindre leurs objectifs. Bref, si tu veux plier le game avec ta boîte, tu es au bon endroit.Si tu kiffes LA DIFF, abonne-toi pour recevoir les prochains épisodes et laisse-nous un avis sur Spotify ou Apple Podcasts. Merci
Le territoire de 15 000 mètres carrés frontalier de la Pologne, de la Lituanie et de la Biélorussie et relié à la Russie à travers les 70 kilomètres du corridor de Suwalki, est à la fois une forteresse ultra-militarisée au bord de la mer Baltique et un territoire qui entretenait avant la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales des liens étroits avec l'Europe. Reportage dans ce territoire « baromètre » des relations UE-Russie. De notre envoyée spéciale à Kaliningrad,Kaliningrad, fin de journée, un stade dans la ville. Une partie de football dans la lumière claire du printemps malgré le froid, des coureurs sur la piste et deux adolescents de 17 ans qui déboulent, sourire aux lèvres, mais visage sérieux. Pavel et Eugène sont venus s'entraîner pour leurs futurs concours d'écoles supérieures. Membres d'un des clubs militaro-patriotiques de la ville, ils visent des établissements d'études militaires supérieures prestigieux en Russie.Pavel postule à l'École navale de Saint-Pétersbourg, « parce que je considère qu'être militaire dans notre pays est un honneur » dit-il ; Eugène à l'École supérieure d'artillerie de Moscou. Ce dernier se définit comme « un patriote qui veut défendre son pays jusqu'à la dernière goutte de son sang ». Eugène se dit aussi « convaincu que les Iskander sont des armes de haute technologie capables d'accomplir n'importe quelle mission et fier que nos scientifiques puissent réaliser de telles performances avec cette arme ».Les Iskander sont déployés à Kaliningrad depuis 2018. Ces missiles sont capables d'envoyer des charges conventionnelles ou nucléaires à 500 kilomètres et peuvent donc atteindre rapidement plusieurs pays voisins directs de cette enclave. Cette fierté de les héberger sur le territoire de Kaliningrad, également siège de la flotte russe de la mer Baltique, est évidemment partagée par le dirigeant de leur club qui a demandé à être présenté sous le pseudonyme sous lequel il dit être connu sur les réseaux sociaux et dans la région, celui de Maxim Maximosvky, 37 ans, fonctionnaire dans le civil, volontaire bénévole pour ce club.« Les Iskander, c'est bien que tout le monde y pense et les craigne », avance-t-il. « C'est même très bien. C'est notre totem de protection. Bien sûr, nous sommes un os dans la gorge de l'Europe. » Reste que Maxim Maximosvky se présente comme très proche de la ligne de l'État russe en affirmant : « On ne peut pas dire que Kaliningrad est entourée par des pays ennemis. Pour moi, ils sont, comme Vladimir Poutine les a désignés, des pays "inamicaux". Il n'y a pas si longtemps, la population locale voyageait librement et souvent juste pour la journée en Pologne, en Lituanie, en Allemagne, par bus. La région était très tournée vers l'Europe, et ses habitants largement perçus dans le reste de la Russie comme presque Européens, tout en étant des citoyens russes. Mais quand les frontières ont fermé, ils sont devenus indésirables en Europe. Les citoyens de Kaliningrad se sont donc rappelés qui ils étaient et ont réorienté leur vie. »La nouvelle donne post-2022En juin 2022, la tension est montée en flèche entre Kaliningrad et ses voisins. Appliquant les sanctions européennes contre la Russie, la Lituanie a bloqué le transit par voie ferrée de certaines marchandises vers ce territoire. Moscou a dénoncé un « blocus ». Jusque-là, tous les mois, une centaine de trains de passagers et de marchandises non militaires reliaient Kaliningrad à la Russie continentale, en passant par la Biélorussie, alliée de Moscou, et la Lituanie, membre de l'Union européenne (UE) et de l'Otan depuis 2004. La mise en place de ce transit était l'une des conditions imposées à la Lituanie lors de son adhésion à l'UE.Après une énorme exposition médiatique, les tensions officielles sont retombées. Mais aujourd'hui, Kaliningrad est surtout reliée pour le trafic des biens à la Russie par des ferrys venus de Saint-Pétersbourg, et si personne ne se plaint tout haut de ruptures d'approvisionnement, on soulève des problèmes de transit. Sous couvert d'anonymat, une cadre d'une usine de viandes a ainsi affirmé à RFI que ses camions vers la Russie continentale pouvaient être bloqués des jours entiers pour de longs contrôles douaniers organisés par la Lituanie, handicapant ainsi ses exportations, très dépendantes de dates limites de consommation. En 2023, des médias d'investigation comme Siena ont eux révélé que des engrais biélorusses sous le coup de sanctions européennes continuaient de transiter par le pays balte. Le ministère des Transports avait, dans la foulée, annoncé un renforcement des contrôles à toutes ses frontières.L'inflation, elle, déjà très élevée en Russie, bat des records à Kaliningrad : + de 10 % rien qu'en décembre, selon les chiffres officiels de l'institut national russe Rosstat.Fondateur il y a plusieurs dizaines d'années d'une entreprise de transport par camion, Serguey Gos affirme, lui, avoir réussi à gérer la nouvelle donne économique sans dommages durables. « Avant 2022, nous travaillions avec presque tous les pays européens, Italie, Autriche, Allemagne, France. De notre pays, nous amenions de la tourbe, du bois, beaucoup de matières premières, et nous importions certains composants. » Aujourd'hui, ce chef d'entreprise affirme avoir réorienté en quelques mois ses activités via les pays classés comme amicaux par la Russie : Turquie, Kazakhstan, Chine. Sa flotte de camions reste très européenne, mais pour ses nouveaux semi-remorques, il dit se fournir désormais auprès d'une usine locale.Si Serguey Gos dit avoir parfaitement encaissé économiquement le choc de 2022 émotionnellement, c'est à ses yeux une autre affaire. « La manière dont les choses se sont passées entre nos collègues occidentaux et nous a été très laide. Et malheureusement, on s'en souvient encore. On attendait une commande d'équipement, elle était payée, et tout d'un coup, l'argent nous a simplement été renvoyé et on nous a dit qu'on ne recevrait rien. On devrait toujours se souvenir, avant de claquer la porte, qu'on pourrait devoir la rouvrir un jour. » Un discours qui résonne avec celui du Kremlin. Celui-ci milite pour la levée des sanctions, mais affirme toujours que ce n'est pas par nécessité économique, mais pour des raisons de principe.À Kaliningrad, peu s'attendent à du changement en la matière. Serguey Gos résume l'état d'esprit général par cette formule : « les sanctions n'ont pas été imposées pour ensuite être annulées rapidement ». Les Européens ont eux réaffirmé leur position la semaine dernière : pas de levée de sanctions avant un retrait « inconditionnel » des forces russes d'Ukraine. Les tensions, elles, continuent à s'accumuler. Un représentant réputé de la communauté d'affaires de Kaliningrad a ainsi annulé une interview prévue avec RFI « en raison du dernier discours d'Emmanuel Macron ». Le président français avait, quelques heures, auparavant, dans une allocution télévisée, fustigé « l'agressivité » de Moscou « qui viole nos frontières » et face à laquelle « rester spectateur serait une folie ». Devant 15 millions de téléspectateurs, Emmanuel Macron avait aussi affirmé que la Russie était « devenue une menace pour la France et pour l'Europe », une Russie qu'il accusait de « tester nos limites dans les airs, en mer, dans l'espace et derrière nos écrans. Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières ».La Pologne ainsi que les pays baltes sont aujourd'hui engagés dans de coûteux travaux de fortification de leurs frontières avec la Russie. Poussés par l'inquiétude d'un conflit dans quelques années avec Moscou, ces dernières semaines la Lituanie annoncé quitter la Convention d'Oslo interdisant les bombes à sous-munitions, tandis que la Pologne et les trois pays baltes ont eux déclaré vouloir se retirer de celle bannissant les mines antipersonnel.À lire aussiSites énergétiques visés: Kiev et Moscou font état de «violations» et se tournent vers Washington
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les éditorialistes réagissent au relèvement des droits de douane par Donald Trump, la collaboration Trump/Musk se complique, l'origine du Covid et la risposte du Rassemblement national. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les éditorialistes réagissent au relèvement des droits de douane par Donald Trump, la collaboration Trump/Musk se complique, l'origine du Covid et la risposte du Rassemblement national. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le territoire de 15 000 mètres carrés frontalier de la Pologne, de la Lituanie et de la Biélorussie et relié à la Russie à travers les 70 kilomètres du corridor de Suwalki, est à la fois une forteresse ultra-militarisée au bord de la mer Baltique et un territoire qui entretenait avant la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales des liens étroits avec l'Europe. Reportage dans ce territoire « baromètre » des relations UE-Russie. De notre envoyée spéciale à Kaliningrad,Kaliningrad, fin de journée, un stade dans la ville. Une partie de football dans la lumière claire du printemps malgré le froid, des coureurs sur la piste et deux adolescents de 17 ans qui déboulent, sourire aux lèvres, mais visage sérieux. Pavel et Eugène sont venus s'entraîner pour leurs futurs concours d'écoles supérieures. Membres d'un des clubs militaro-patriotiques de la ville, ils visent des établissements d'études militaires supérieures prestigieux en Russie.Pavel postule à l'École navale de Saint-Pétersbourg, « parce que je considère qu'être militaire dans notre pays est un honneur » dit-il ; Eugène à l'École supérieure d'artillerie de Moscou. Ce dernier se définit comme « un patriote qui veut défendre son pays jusqu'à la dernière goutte de son sang ». Eugène se dit aussi « convaincu que les Iskander sont des armes de haute technologie capables d'accomplir n'importe quelle mission et fier que nos scientifiques puissent réaliser de telles performances avec cette arme ».Les Iskander sont déployés à Kaliningrad depuis 2018. Ces missiles sont capables d'envoyer des charges conventionnelles ou nucléaires à 500 kilomètres et peuvent donc atteindre rapidement plusieurs pays voisins directs de cette enclave. Cette fierté de les héberger sur le territoire de Kaliningrad, également siège de la flotte russe de la mer Baltique, est évidemment partagée par le dirigeant de leur club qui a demandé à être présenté sous le pseudonyme sous lequel il dit être connu sur les réseaux sociaux et dans la région, celui de Maxim Maximosvky, 37 ans, fonctionnaire dans le civil, volontaire bénévole pour ce club.« Les Iskander, c'est bien que tout le monde y pense et les craigne », avance-t-il. « C'est même très bien. C'est notre totem de protection. Bien sûr, nous sommes un os dans la gorge de l'Europe. » Reste que Maxim Maximosvky se présente comme très proche de la ligne de l'État russe en affirmant : « On ne peut pas dire que Kaliningrad est entourée par des pays ennemis. Pour moi, ils sont, comme Vladimir Poutine les a désignés, des pays "inamicaux". Il n'y a pas si longtemps, la population locale voyageait librement et souvent juste pour la journée en Pologne, en Lituanie, en Allemagne, par bus. La région était très tournée vers l'Europe, et ses habitants largement perçus dans le reste de la Russie comme presque Européens, tout en étant des citoyens russes. Mais quand les frontières ont fermé, ils sont devenus indésirables en Europe. Les citoyens de Kaliningrad se sont donc rappelés qui ils étaient et ont réorienté leur vie. »La nouvelle donne post-2022En juin 2022, la tension est montée en flèche entre Kaliningrad et ses voisins. Appliquant les sanctions européennes contre la Russie, la Lituanie a bloqué le transit par voie ferrée de certaines marchandises vers ce territoire. Moscou a dénoncé un « blocus ». Jusque-là, tous les mois, une centaine de trains de passagers et de marchandises non militaires reliaient Kaliningrad à la Russie continentale, en passant par la Biélorussie, alliée de Moscou, et la Lituanie, membre de l'Union européenne (UE) et de l'Otan depuis 2004. La mise en place de ce transit était l'une des conditions imposées à la Lituanie lors de son adhésion à l'UE.Après une énorme exposition médiatique, les tensions officielles sont retombées. Mais aujourd'hui, Kaliningrad est surtout reliée pour le trafic des biens à la Russie par des ferrys venus de Saint-Pétersbourg, et si personne ne se plaint tout haut de ruptures d'approvisionnement, on soulève des problèmes de transit. Sous couvert d'anonymat, une cadre d'une usine de viandes a ainsi affirmé à RFI que ses camions vers la Russie continentale pouvaient être bloqués des jours entiers pour de longs contrôles douaniers organisés par la Lituanie, handicapant ainsi ses exportations, très dépendantes de dates limites de consommation. En 2023, des médias d'investigation comme Siena ont eux révélé que des engrais biélorusses sous le coup de sanctions européennes continuaient de transiter par le pays balte. Le ministère des Transports avait, dans la foulée, annoncé un renforcement des contrôles à toutes ses frontières.L'inflation, elle, déjà très élevée en Russie, bat des records à Kaliningrad : + de 10 % rien qu'en décembre, selon les chiffres officiels de l'institut national russe Rosstat.Fondateur il y a plusieurs dizaines d'années d'une entreprise de transport par camion, Serguey Gos affirme, lui, avoir réussi à gérer la nouvelle donne économique sans dommages durables. « Avant 2022, nous travaillions avec presque tous les pays européens, Italie, Autriche, Allemagne, France. De notre pays, nous amenions de la tourbe, du bois, beaucoup de matières premières, et nous importions certains composants. » Aujourd'hui, ce chef d'entreprise affirme avoir réorienté en quelques mois ses activités via les pays classés comme amicaux par la Russie : Turquie, Kazakhstan, Chine. Sa flotte de camions reste très européenne, mais pour ses nouveaux semi-remorques, il dit se fournir désormais auprès d'une usine locale.Si Serguey Gos dit avoir parfaitement encaissé économiquement le choc de 2022 émotionnellement, c'est à ses yeux une autre affaire. « La manière dont les choses se sont passées entre nos collègues occidentaux et nous a été très laide. Et malheureusement, on s'en souvient encore. On attendait une commande d'équipement, elle était payée, et tout d'un coup, l'argent nous a simplement été renvoyé et on nous a dit qu'on ne recevrait rien. On devrait toujours se souvenir, avant de claquer la porte, qu'on pourrait devoir la rouvrir un jour. » Un discours qui résonne avec celui du Kremlin. Celui-ci milite pour la levée des sanctions, mais affirme toujours que ce n'est pas par nécessité économique, mais pour des raisons de principe.À Kaliningrad, peu s'attendent à du changement en la matière. Serguey Gos résume l'état d'esprit général par cette formule : « les sanctions n'ont pas été imposées pour ensuite être annulées rapidement ». Les Européens ont eux réaffirmé leur position la semaine dernière : pas de levée de sanctions avant un retrait « inconditionnel » des forces russes d'Ukraine. Les tensions, elles, continuent à s'accumuler. Un représentant réputé de la communauté d'affaires de Kaliningrad a ainsi annulé une interview prévue avec RFI « en raison du dernier discours d'Emmanuel Macron ». Le président français avait, quelques heures, auparavant, dans une allocution télévisée, fustigé « l'agressivité » de Moscou « qui viole nos frontières » et face à laquelle « rester spectateur serait une folie ». Devant 15 millions de téléspectateurs, Emmanuel Macron avait aussi affirmé que la Russie était « devenue une menace pour la France et pour l'Europe », une Russie qu'il accusait de « tester nos limites dans les airs, en mer, dans l'espace et derrière nos écrans. Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières ».La Pologne ainsi que les pays baltes sont aujourd'hui engagés dans de coûteux travaux de fortification de leurs frontières avec la Russie. Poussés par l'inquiétude d'un conflit dans quelques années avec Moscou, ces dernières semaines la Lituanie annoncé quitter la Convention d'Oslo interdisant les bombes à sous-munitions, tandis que la Pologne et les trois pays baltes ont eux déclaré vouloir se retirer de celle bannissant les mines antipersonnel.À lire aussiSites énergétiques visés: Kiev et Moscou font état de «violations» et se tournent vers Washington
Justice en France : Marine Le Pen frappée d'inéligibilité François Bayrou : Les décisions de justice doivent être respectées Les cigarettiers doivent faire disparaitre les cigarettes de la vue des consommateurs Poussée de tension autour de Taïwan : des navires de guerre chinois autour de l'île pour simuler un blocus Des recettes pour faire des blagues Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:33 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Léa Salamé reçoit Jean-Baptiste Del Amo pour son roman "La nuit ravagée" (Gallimard). Une exploration des peurs adolescentes dans une maison hantée, entre une atmosphère à la Stephen King et désillusions. - invités : Jean Baptiste DEL AMO - Jean-Baptiste Del Amo :
durée : 00:18:33 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Léa Salamé reçoit Jean-Baptiste Del Amo pour son roman "La nuit ravagée" (Gallimard). Une exploration des peurs adolescentes dans une maison hantée, entre une atmosphère à la Stephen King et désillusions. - invités : Jean Baptiste DEL AMO - Jean-Baptiste Del Amo :
Tommy Hargrove, adolescent sceptique, se retrouve confronté à l'horreur insoupçonnée des Backrooms. Plongez dans un labyrinthe de néons vacillants et de couloirs infinis où la réalité se fissure.Dans cet épisode intense, Tommy Hargrove, jeune et rationnel, découvre l'existence d'un lieu où le temps et l'espace semblent se perdre. Poussé par une conversation intrigante avec son ami Jake, il se lance dans une aventure nocturne qui le mène jusqu'à un ancien Kmart déserté. Entre couloirs jaunâtres, néons bourdonnants et une entité terrifiante, le récit explore la rencontre entre le doute scientifique et la peur irrationnelle. Parfait pour les amateurs d'horreur, d'urban legends et de récits surnaturels, cet épisode vous invite à remettre en question ce que nous considérons comme réel.
Pour la première fois, l'or a dépassé vendredi, la barre symbolique des 3 000 dollars l'once, avant de redescendre. Un cap franchit plus rapidement que ne l'avaient prédit les analystes. Donald Trump n' y est pas étranger. L'or n'est pas une matière première comme une autre, c'est avant tout une valeur refuge, un investissement que font les particuliers, mais aussi les États quand les autres placements sont jugés trop hasardeux ou trop fragiles. L'or est en quelque sorte un indicateur de peur sur les marchés, il n'est pas étonnant donc qu'en 2025 le moteur de la hausse ait été la politique commerciale américaine.À lire aussiLe marché de l'or bat des recordsLa simple possibilité que Donald Trump puisse décider de taxer l'or, même si cela n'a jamais été évoqué, a suffi à faire grimper les prix du métal précieux aux États-Unis. Et a même conduit les traders à déplacer leurs volumes d'or. Plus de 23 millions d'onces d'or ont afflué dans les dépôts de la bourse de New York (Comex) entre le jour de l'élection et le 12 mars.Achat des banques centralesCette frénésie explique les prix actuels, mais pas seulement. La hausse dure en effet depuis 2023. Un des moteurs, c'est la méfiance des banques centrales à l'égard d'une trop forte dépendance au dollar américain. Elles ont compris avec l'invasion de l'Ukraine qu'elle pouvait subir le même sort que la banque centrale russe qui a vu ses avoirs en dollars détenus à l'étranger gelés.À lire aussiL'or se vend et s'achète comme des petits painsDepuis cette date, elles ont multiplié les achats. La banque centrale chinoise bien sûr, mais aussi d'autres : en 2024, celles de Pologne, d'Inde et de Turquie ont été les plus gros acheteurs d'or, selon le World Gold Council.Contexte haussier à court termeÀ court terme, aucune accalmie n'est en vue sur le front des crises tarifaires, « les perspectives générales restent haussières » selon Saxo Bank. Ses analystes, mais aussi ceux de Bank of America, se projettent respectivement sur de nouveaux seuils à 3 300 dollars, voire 3 500 dollars.Ce dernier scénario pourrait être atteint avec l'hypothèse d'une augmentation de 10 % des investissements dans le métal précieux, selon une note du 12 février de Bank of America, rapportée par l'agence Bloomberg.
Laissez un message vocal à Élisabeth Bois d'Enghien en réaction à ce podcast ici Pour la prochaine session "Humana - The HR & People-centered community", nous trouverons ensemble des solutions pour rendre nos organisations plus engageantes ! Et on est ravi·e·s d'accueillir Margot Wuillaume pour l'occasion ! Rendez-vous le 10 avril au Cook & Book à Woluwe. En attendant, et pour vous donner envie de vous inscrire (c'est gratuit, mais il faut s'inscrire, oui), voici le retour d'une personne qui nous avait rejoint·e·s lors de la soirée précédente ! C'était sa première fois et, puisqu'on parlait de "cultiver les talents" et de nourrir l'avenir, nous lui avons apparemment donné encore plus faim. Poussée par une amie, elle découvre l'univers des soirées Humana, où l'humain et l'apprentissage sont au cœur des échanges. Élisabeth nous promet que ce ne sera pas sa dernière participation, puisqu'elle a l'appétit d'apprendre ! Comment un simple mot — talent — peut-il éveiller la curiosité et nourrir une réflexion sur l'avenir professionnel ? Dans cet épisode, Élisabeth partage son regard spontané sur cette soirée dédiée au cycle du·de la collaborateur·rice et à la permaculture des talents. Entre découvertes, interactions ludiques et discussions authentiques, elle témoigne de l'importance de co-construire des parcours qui font sens. Un épisode à écouter pour comprendre comment les événements Humana créent du lien et inspirent des trajectoires professionnelles alignées. Pour s'inscrire à la soirée du 10 avril 2025 c'est ici Mise à jour 2024 :Les soirées hrmeetup continuent sous un nouveau nom, "Humana". Le nom a changé, mais le concept reste presque le même. Plus d'infos sur Linkedin Humana, c'est :Du fun : un apéro offert par notre sponsor SBEP pour démarrer la soirée dans la bonne humeur. Des échanges enrichissants : des rencontres, des discussions, et de l'intelligence collective. Des apprentissages concrets : des ateliers ludo-dynamiques pour acquérir des outils pratiques et directement applicables dès le lendemain. Séquençage du podcast :[00:00:35] Introduction et contexte [00:01:10] Sur le plan professionnel ? [00:01:22] Qu'est-ce qui motive le plus ? [00:01:43] Le côté fun [00:02:20] La collaboration [00:03:00] Apprentissage lors de la soirée [00:03:32] Le Talent Management [00:04:21] Que retenir de cette soirée ? [00:04:44] Que dire pour motiver à nous rejoindre ? [00:05:08] Invitation à se revoir en avril
Dans cet épisode de Questionner la Sage-Femme, on aborde un sujet aussi méconnu que dérangeant : la pratique encore trop courante des soignants qui mettent leurs doigts dans le vagin pendant la phase de poussée sous prétexte de "faire de la place".
On est en 1979 et Florence vit à Capbreton avec sa mère, sa grand-mère et son arrière-grand-mère. À cette époque, les femmes vivent en moyenne 7 ans de plus que les hommes et le divorce est plus accessible depuis qu'une nouvelle loi est entrée en vigueur en 1975. Poussées par les événements et leur profond attachement, c'est un véritable foyer intergénérationnel que ces trois femmes ont reconstitué autour de Florence, loin du modèle de la famille nucléaire. *** Crédits podcast *** Documentalistes : Anne Brulant - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaire : Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA. *** Crédits archive *** Extrait de l'émission télévisée "Aujourd'hui madame". Reportage de Michel Perrot. Producteur Armand Jammot - Antenne 2 - 04/10/1979
Tout savoir de l'actualité people et média, c'est tous les jours à 7h35, avec Antoni Ruiz sur RFM !
Depuis la salle des appels, Bernard Sabbah n'en peut plus ! Alors qu'il tente de faire avancer un dossier, le robot qu'il a au téléphone le pousse à bout... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Un vieux pêcheur attrape un poisson d'or magique qui lui promet d'exaucer ses vœux en échange de sa liberté. Poussé par sa femme avide, il demande toujours plus, jusqu'à ce que le poisson, lassé, annule tous ses souhaits, les laissant aussi pauvres qu'au début.
Un vieux pêcheur attrape un poisson d'or magique qui lui promet d'exaucer ses vœux en échange de sa liberté. Poussé par sa femme avide, il demande toujours plus, jusqu'à ce que le poisson, lassé, annule tous ses souhaits, les laissant aussi pauvres qu'au début.
Shabbat - Le parapluie et la poussette poussée par un non-juif, permis? by Rav David Touitou
Le MMA (ou Mixed Martial Arts soit en français Arts Martiaux Mixtes) est un sport jeune (né en 1993 aux Etats-Unis) mais désormais entré de plain-pied dans le monde du sport business. Poussé par le succès fulgurant de l'UFC (Ultimate Fighting Championship), ce spectacle fait pour la télévision et les réseaux sociaux est en train de conquérir la planète. NOS INVITES :- Guillaume Duseaux, fondateur du média de référence sur les sports de combat La Sueur- Laurent Pourrut, co-président d'Hexagone MMA- Oualy Tandia, combattant professionnel MMA- Matthieu Letho Duclos, combattant professionnel MMA- Thomas Desson, journaliste RMC SPORT, conférencier et animateur de soirées MMA- Ted Rozenfeld, journaliste sportif spécialisé dans le MMA, fondateur du média Dans la cageDans cette émission riche en témoignages, nous décryptons ce phénomène lancé par Dana White, fondateur de l'UFC et qui en a fait un mastodonte des sports de combat (valeur estimée à 12 milliards de dollars) avec l'aide de Donald Trump dont il est proche.Nous nous rendons aussi à Pretoria en Afrique du sud, dans la salle d'entraînement dont Dricus du Plessis, la star nationale du MMA, est propriétaire. Chaque jour, des combattants notamment africains se préparent dans l'espoir de gagner leur vie grâce à ce sport et marcher dans les pays de Francis Ngannou, champion camerounais de l'UFC désormais à la tête du projet de PFL Afrique.Le MMA se développe en France avec plusieurs ligues dont Hexagone MMA, co-fondé par les frères Jérôme et Laurent Pourrut. Forts de la légalisation de ce sport en 2020, ils organisent des soirées dans plusieurs villes françaises avec le concours de combattants professionnels et amateurs dans le but de créer un écosystème rentable sur le long terme.
Le MMA (ou Mixed Martial Arts soit en français Arts Martiaux Mixtes) est un sport jeune (né en 1993 aux Etats-Unis) mais désormais entré de plain-pied dans le monde du sport business. Poussé par le succès fulgurant de l'UFC (Ultimate Fighting Championship), ce spectacle fait pour la télévision et les réseaux sociaux est en train de conquérir la planète. NOS INVITÉS :- Guillaume Duseaux, fondateur du média de référence sur les sports de combat La Sueur- Laurent Pourrut, co-président d'Hexagone MMA- Oualy Tandia, combattant professionnel MMA- Matthieu Letho Duclos, combattant professionnel MMA- Thomas Desson, journaliste RMC SPORT, conférencier et animateur de soirées MMA- Ted Rozenfeld, journaliste sportif spécialisé dans le MMA, fondateur du média Dans la cage.Dans cette émission riche en témoignages, nous décryptons ce phénomène lancé par Dana White, fondateur de l'UFC et qui en a fait un mastodonte des sports de combat (valeur estimée à 12 milliards de dollars) avec l'aide de Donald Trump dont il est proche.Nous nous rendons aussi à Pretoria en Afrique du Sud, dans la salle d'entraînement dont Dricus du Plessis, la star nationale du MMA, est propriétaire. Chaque jour, des combattants notamment africains se préparent dans l'espoir de gagner leur vie grâce à ce sport et marcher dans les pays de Francis Ngannou, champion camerounais de l'UFC désormais à la tête du projet de PFL Afrique.Le MMA se développe en France avec plusieurs ligues dont Hexagone MMA, co-fondé par les frères Jérôme et Laurent Pourrut. Forts de la légalisation de ce sport en 2020, ils organisent des soirées dans plusieurs villes françaises avec le concours de combattants professionnels et amateurs dans le but de créer un écosystème rentable sur le long terme.
Le 10 septembre 1977, Hamida Djandoubi est guillotiné. Cet homme, dont on aurait préféré oublier les actes criminels terribles, vient pourtant d'entrer dans l'Histoire. Il sera à jamais le dernier condamné Français à sentir sur sa nuque la morsure du couperet. Mais avant cet épilogue brutal, il y a toute une histoire à raconter.En 1974, Houria, 15 ans, fugue et croise Hamida Djandoubi. Promettant aide et refuge, il l'attire dans son appartement où, après quelques jours, débutent violences, abus et séquestration. Isolée et terrifiée, elle endure trois semaines d'enfer. Un jour, Hamida s'absente. Poussée par une impulsion, Houria s'échappe malgré ses blessures. Elle atteint un commissariat, raconte son calvaire et dénonce un meurtre dont Djandoubi lui a parlé. Les policiers, d'abord sceptiques, réagissent en découvrant la véracité de ses propos et arrêtent son tortionnaire. Hamida Djandoubi est en garde à vue, et ses crimes sont dévoilés au grand jour.
Madrid, nouvelle capitale des Latino-Américains. Ils étaient 80 000 il y a 20 ans, ils sont aujourd'hui plus d'un million. Poussés par les crises économiques ou politiques, les immigrés sud-américains ont fait de la capitale espagnole un lieu de refuge. Ils représentent désormais 14% de ses habitants, une présence visible dans tous les quartiers de la ville. De notre correspondante à Madrid,En Espagne, dans son salon d'esthétique situé dans le quartier huppé de la capitale, Annabelle a parfois l'impression d'être dans sa Caracas natale. Cette Vénézuélienne de 42 ans s'est entourée d'employés qui, pour la plupart, viennent de son pays. « Avant, j'avais beaucoup d'élèves espagnols, mais maintenant ce sont toutes des latinas. C'est incroyable le nombre de filles d'Amérique latine qui débarquent. Elles viennent de Colombie, du Venezuela, du Brésil, de toute l'Amérique du Sud. Elles cherchent une opportunité de travail et un salaire pour survivre et avoir rapidement leurs papiers. Suivre un cours d'esthétique, c'est une façon facile d'aller de l'avant, d'être indépendante financièrement et d'avoir une stabilité, car la majorité d'entre elles sont des femmes seules ou des mères de famille », explique-t-elle.Annabelle est arrivée à Madrid en 2018. Elle fait partie de ces migrantes latino-américaines qui affichent leur réussite professionnelle en Espagne. Sa « success story », elle la partage avec les jeunes filles latino-américaines qui débarquent tout juste à Madrid et à qui elle vient en aide en proposant des formations de manucure à moitié prix.Sofia, âgée tout juste de 24 ans, a débarqué en Espagne il y a à peine quatre mois. Assise à une table, cette Vénézuélienne apprend à poser de faux ongles recouverts de paillettes. « Dans mon pays, je ne pouvais trouver aucun travail. La délinquance, c'est horrible. Là-bas, il y a des endroits où seulement pour un regard, on te dépouille. Si tu as une petite boutique, tu dois constamment la surveiller pour ne pas être volée. Sans parler de l'inflation, des taxes ou des loyers très élevés », raconte-t-elle.La qualité de vie et la sécurité sont les principaux motifs qui poussent aussi ces dernières années des milliers de Latino-Américains de la classe moyenne ou aisée à traverser l'Atlantique. Sarah, mexicaine et mère de deux enfants, est venue avec son époux s'installer en Espagne juste après la pandémie. « Les États-Unis n'ont jamais été une option. Ici, nous avons des racines en commun avec l'Espagne. Et en plus, mon époux peut faire valoir que ses grands-parents étaient asturiens, ce qui lui a permis d'obtenir la nationalité espagnole. On a du coup une certaine connexion avec le pays », se réjouit-elle. Comme de nombreux Latino-Américains, Sarah espère obtenir la nationalité espagnole au terme de deux ans de résidence légale en Espagne. La loi permet de solliciter la nationalité à certaines communautés d'Amérique latine.À lire aussiEspagne: grâce à un accord avec les séparatistes catalans, Pedro Sanchez fait passer des mesures sociales
durée : 00:11:42 - La surtaxe sur les grandes entreprises risque-t-elle de favoriser les délocalisations ? C'est l'avis de Bernard Arnault, PDG de LVMH, qui a poussé un coup de gueule en plein débat budgétaire.
Jean-Jacques Farré, auprès des photos à Libération et Télérama, partage son parcours, depuis ses débuts à l'AFP jusqu'au lancement de la revue LIKE en 2020. Il nous parle des évolutions technologiques qui ont rendu la création de revues plus accessible, les relations entre photographes et rédactions, et partage ses conseils pour publier ou créer une revue. Bonne écoute !1'18 – Né dans la banlieue de Grenoble, issu d'une famille ouvrière immigrée espagnole. Marqué par des profs militants qui cherchaient à enseigner à tout le monde.3'00 – Sa découverte de la presse : un voisin postier de nuit lui ramenait des journaux. Il découpait les photos et les colonnes pour recréer des pages.5'00 – Reçoit un appareil photo comme cadeau de communion. Poussé par un camarade, il passe et réussit le concours des Beaux-Arts de Saint Etienne.7'13 – Écrit au rédacteur en chef du journal Le Progrès de Saint-Étienne pour accompagner les photographes. Commence un travail au labo photo le week-end, gagnant plus que son père.11'30 – Participe à des mouvements sociaux à Saint-Étienne, écrit des articles et remplace des correspondants.15'50 – Comprend qu'il veut devenir journaliste. Monte à Paris avec une lettre de recommandation du Progrès et entre à l'AFP.16'30 – À l'AFP, travaille au labo photo et découvre le monde des photographes de l'agence.23'00 – Arrivée au journal Libération : met de l'ordre dans les archives photo et participe à la création de maquettes avec les directeurs artistiques du journal.24'30 – Joie de collaborer avec des photographes comme Gilles Favier, Depardon, Doisneau, Salgado. Confiance totale entre les différentes équipes : photographes, maquettistes et rédacteurs.31'45 – Intègre Télérama en 1996, monte un service photo dans les règles de l'art, puis revient en freelance, travaillant sur des projets variés.40'00 – Lancement de la revue LIKE en 2020, un projet personnel qui rassemble ses apprentissages et met en avant les récits des photographes.46'40 – Grâce aux avancées technologiques, produire une revue est plus accessible. Partenariat avec son imprimeur, Shira, pour assurer qualité et coûts raisonnables.50'40 – Gestion du modèle économique de la revue LIKE : boutique en ligne, incitations aux abonnements, et communication quotidienne avec les abonnés.55'45 – Découvre l'importance des tables de vente dans les salons pour promouvoir la revue, devenant un moteur principal de son développement.1'00'00 – Conseils pour les photographes : proposer tous les genres et restituer les images de façon claire. Mention spéciale pour Alice Pallot et Marine Lagnier.1'06'30 – Protocole pour être publié : se baser sur les sorties de livres photos et offrir un panorama large des pratiques photographiques.1'08'15 – Conseils pour créer une revue : s'appuyer sur ses compétences, ne pas hésiter à copier pour apprendre, et se perfectionner au fil du temps.1'11'10 – Accessibilité des techniques actuelles : être curieux et généreux. Le retour immédiat des lecteurs permet de progresser rapidement.1'15'10 – Le prochain numéro de LIKE (n°19) sort en janvier, accompagné d'un hors-série.Le site de la LIKE : https://www.touslesjourscurieux.fr/Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce vendredi 17 janvier, les raisons de la nouvelle hausse du prix du pétrole nous ont été révélées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 17 janvier, les raisons de la nouvelle hausse du prix du pétrole nous ont été révélées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 214 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.Apple Intelligence déjà en difficulté ?Enregistré le mardi 14 janvier 2025 : enregistrement streamé à suivre en direct sur X, Facebook, YouTube, Twitch et LinkedIn Live, chaque mardi désormais à 17h30.Présentation : Fabrice Neuman, avec Elie Abitbol Au sommaire de cet épisode 214 :Dans une rubrique « Retour sur » (légèrement !) plus longue que d'habitude, Elie revient sur les produits d'Apple attendu pour 2025, en complément de l'épisode précédent auquel il n'avait pas pu participer. On y revient notamment sur l'iPhone 17 Slim, mais aussi sur l'iPhone SE4, et on s'interroge sur sur l'arrivée potentielle d'une nouvelle Apple Watch SE 4 en plastique, moins chère et pensée pour les plus jeunes. On attend aussi un retour d'Apple dans certaines catégories domotiques, bien que certains produits semblent retardés pour intégrer les fonctionnalités liées à Apple Intelligence.Cette même intelligence artificielle est aussi sous le feu des critiques. La BBC a exprimé des préoccupations concernant la fonctionnalité de résumé des notifications d'Apple Intelligence, qui a généré des résumés erronés et trompeurs de ses actualités. es résumés, générés par l'IA d'Apple, apparaissent avec le logo de la BBC, ce qui peut induire les utilisateurs en erreur en leur faisant croire que ces informations proviennent directement de l'application de la BBC. Le diffuseur britannique a souligné que ces résumés ne reflètent pas fidèlement, et parfois contredisent complètement, le contenu original, compromettant ainsi la confiance du public dans ses informations. En réponse, Apple a reconnu que les fonctionnalités d'Apple Intelligence sont encore en version bêta et a annoncé une mise à jour logicielle prochaine pour clarifier quand un texte affiché est un résumé généré par son IA. Est-ce bien raisonnable de la part d'Apple qui justement met le paquet sur ces outils d'Apple Intelligence pour booster la vente de ses produits ?Côté actus : des failles de sécurité dans iMessage, le lancement de la production de puces dans l'usine TSMC en Arizona et les nouvelles gammes d'ordinateurs chez Dell, appelées Del, Dell Pro et Dell Pro Max. Ça vous rappelle quelque chose ?Et puis, le bonus hebdo exclusif, pour nos soutiens Patreon. Cette semaine, Elie et Fabrice comparent leurs expériences avec leurs connexion Internet Free et Free Pro. Bonne écoute et, à nouveau, merci pour votre soutien renouvelé, pour votre fidélité, pour votre confiance. Pour en profiter, rendez-vous sur patreon.com/iweek.Et à mardi prochain, 21 janvier 2025, pour l'épisode 215, dont l'enregistrement sera à suivre en direct à partir de 17h30 sur sur X, Facebook, YouTube, Twitch et LinkedIn Live !Chapitres(00:00:00) Introduction(00:01:34) Elie(00:08:00) Retour sur… Apple en 2025, l'avis d'Elie(00:10:17) Les iPhone de 2025(00:18:57) Une nouvelle Apple Watch SE 4 ?(00:22:21) iPad, Apple TV et les retards supposés d'Apple(00:27:42) Les Mac de 2025(00:32:04) Poussée d'Apple dans la domotique(00:37:25) Dossier de la semaine : Apple Intelligence retoquée par la BBC(00:54:41) Rejoignez la communauté iWeek sur Patreon(00:55:56) Une nouvelle faille de sécurité dans iMessage(01:02:21) Premiers processeurs fabriqués par TSMC en Arizona(01:06:55) Apple Intelligence prend de l'embonpoint(01:12:14) Siri et la vie privée(01:15:28) Dell Pro Max Premium Plus… mieux ?(01:18:08) Nos coups de cœur… ou cartons(01:24:48) ConclusionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Episode #22. Enregistré le 4 septembre 2024. (English version below) Invité : Remi Forsans Impossible de résumer la carrière de Rémi Forsans en une phrase ou une fonction. L'homme, qui gravite dans les sports de glisse depuis bientôt 40 ans, cumule un nombre impressionnant d'aventures professionnelles. Depuis l'ouverture en 1987 d'un shop Quai 34 à Annecy à seulement 23 ans, l'intéressé a démontré un certain goût pour l'audace, un sérieux sens du business ainsi que l'art de flairer les tendances. Après avoir anticipé le succès du snowboard, il a ainsi pressenti le boom du kite et a évidemment su en tirer profit. Poussé par la passion, inspiré, visionnaire et touche-à-tout, il reprendra les rênes de F2 dans les 90's, toujours depuis Annecy. Il démarrera aussi l'aventure Boards And More et la distribution de nombreuses marques, mais sera aussi le rédacteur-en-chef du magazine de BtoB européen Source. Remi Forsans entre à l'EuroSIMA en 2003. Vice-président de l'association, il fera partie des acteurs de la création de la Mountain Division, qui deviendra rapidement la puissante OSV (Outdoor Sports Valley). Rémi aime rassembler, fédérer, comme il le démontrera encore à de nombreuses occasions. Le World Snowboard Day ? C'était lui. L'arrivée de Nike SB en Europe ? Il y a œuvré, aux côtés de Bruno Débauché. Et la liste des faits d'armes de ce personnage discret mais incontournable de l'industrie ne s'arrête pas là. A notre micro, il raconte cette carrière riche, marquée par de sacrés moments de vie, des rencontres, des succès mais aussi des échecs et des trahisons dont il explique, en toute transparence, comment ils ont forgé ce qu'il est devenu. Sensible à la question environnementale et la responsabilité portée par les entreprises, il en accompagne certaines dans leur transition environnementale. Tout en continuant à être présent dans le monde de l'outdoor et des action sports, passionné comme au premier jour. Bonne écoute. Production éditoriale : EUROSIMA Animation : Romain Ferrand / Rémi Chaussemiche Réalisation technique : Fred de Bailliencourt Photo : Stéphane Robin Retrouvez nos podcasts sur Insideurosima.com et sur Apple Podcasts, Spotidy, Deezer & SoundCloud. Merci à la MACS de nous avoir accueillis dans ses locaux de St Vincent de Tyrosse. ENGLISH It is simply impossible to sum up Remi Forsans' career in a single role or sentence. He has been sailing through the Action Sports industry for nearly 40 years, accumulating an impressive number of professional ventures. Since opening the Quai 34 shop in Annecy at only 23 years old, he has demonstrated a daring spirit, solid business acumen and a genuine talent for spotting trends. He anticipated the boom of snowboarding but also sensed the rise of kite surfing and, of course, made the most of it. Driven by passion and constantly inspired, he is a genuine visionary and jack of all trades. In the 90's in Annecy, Remi took over at the head of F2. He also launched the Boards and More adventure, was the distributor for several brands and the editor-in-chief of the European BtoB magazine, Source. Rémi Forsans joined EuroSIMA in 2003. As Vice-President of the association, he was among the key players who created the Mountain Division, which quickly became OSV(Outdoor Sports Valley). What Remi likes is bringing people together and federating, something he's demonstrated time and time again. He sat down with us to tell us about his career and the incredible life experiences he's had along the way. In this podcast, in full transparency he talks about his encounters, the ups and downs as well as the treasons, that, as he explains, have all been elements that made him who he is today. Deeply committed to issues related to the environment and CSR in business, he now assists some companies in their transition towards sustainability. He is therefore continuing his journey in the Action Sport and Outdoor world, with just as much passion as day one. Enjoy the ride.
En Guinée Conakry, le référendum constitutionnel pourrait avoir lieu au mois de mai et les élections générales au mois d'octobre. C'est le calendrier que dévoile le porte-parole du gouvernement sur RFI. Ousmane Gaoual Diallo s'exprime aussi sur Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, six mois jour pour jour après la disparition forcée des deux leaders de la société civile. De passage à Paris, Ousmane Gaoual Diallo, à la fois ministre des Transports et porte-parole du gouvernement guinéen, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Voilà 6 mois, jour pour jour, que les 2 leaders du FNDC, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah ont été enlevés à Conakry par des hommes en uniforme. Depuis le 9 juillet, on est sans nouvelles d'eux. Quelles sont vos informations à leur sujet ?Ousmane Gaoual Diallo : Écoutez, je pense que le ministre de la Justice ou le procureur général devrait faire un point de situation. Nous attendions ce point en fin d'année, au mois de décembre, puisque les enquêtes sont ouvertes de ce point de vue-là, et je pense que, très rapidement, ils devraient prendre la parole pour donner plus amples informations sur l'évolution de l'enquête.Est-ce que ça veut dire que on va avoir la confirmation qu'ils ont bien été enlevés par des forces qui dépendent des autorités guinéennes, sans doute des forces spéciales ?Ça, nous sommes catégoriques là-dessus : ils n'ont pas fait l'objet d'enlèvement par les autorités, par les institutions, par les forces spéciales ou des agents de police judiciaire. Simplement, les témoins de leur enlèvement sont formels : ils ont été kidnappés par des hommes en arme et en uniforme militaire. Donc, même s'ils n'ont pas été enlevés par des forces officielles, beaucoup pensent qu'ils ont tout simplement été kidnappés par un service secret qui n'obéit qu'aux militaires du CNRD.C'est difficile, parce que nous ne connaissons pas l'existence de services secrets qui n'obéissent qu'au CNRD. Donc, ça ne repose pas sur des faits vérifiables.Est-ce que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont vivants ?J'espère qu'ils sont vivants. Je prie Dieu qu'ils soient vivants, moi, je ne peux pas nourrir l'idée qu'ils soient morts, parce que ce serait connu. Je pense que c'est peut-être plus facile que des gens restent vivants sans donner de nouvelles, mais les morts, elles parlent tout de suite. Je crois qu'ils sont vivants, j'espère qu'ils sont vivants et je pense que c'est l'attente de tout le monde, des autorités comme des citoyens de ce pays.Autre sujet très préoccupant pour l'opinion publique guinéenne et internationale, c'est la condamnation ce 7 janvier à 2 ans de prison de l'opposant Aliou Bah pour offense au chef de l'État. La Fondation de l'innovation pour la démocratie, par exemple, que dirige Achille Bembé, dénonce « la volonté du pouvoir guinéen de faire taire ou de pousser à l'exil toute voix dissidente ».Ça, c'est le discours qui est entretenu. Mais il faut faire la distinction entre la critique et la diffamation, parce que la diffamation est sanctionnée pénalement alors que la critique, elle est acceptée dans les démocraties en construction que nous essayons de faire dans nos pays. Donc, il ne faut pas considérer que ce soit une volonté des autorités de museler ou de pousser à l'exil. Aucun responsable politique n'est poussé à l'exil, à ce jour, pour des faits liés à la liberté d'expression ou à des critiques.Oui, mais franchement, deux ans de prison pour une prétendue offense au chef de l'État ? Je ne vais pas commenter cette action, d'autant mieux que c'est un processus judiciaire qui est en cours. J'ose espérer qu'ils seront plus cléments à l'étape suivante.Oui, parce que les avocats font appel ?Voilà, exactement. Donc, j'ose espérer qu'ils seront cléments et que cela va amener aussi à développer des discours plus apaisants, pour faire en sorte que le vivre-ensemble dans notre pays soit quelque chose d'important pour chaque acteur.Voilà 3 ans que les militaires du CNRD sont au pouvoir pour redresser la situation du pays. Et pourtant, la population continue de protester contre la vie chère. Qu'est-ce que vous répondez à ceux qui disent que vous n'avez pas un bon bilan ?Beaucoup de choses ont connu des améliorations substantielles, au niveau du pouvoir d'achat, de l'offre de la prise en charge sociale, parce que les salariés guinéens ont une prise en charge de plus de 70% des coûts des soins, et ça, c'est quelque chose de nouveau. Il y a une augmentation considérable des revenus. D'ailleurs, à l'occasion du discours de l'an, le chef de l'Étata annoncé une augmentation de 30% du traitement indiciaire des fonctionnaires. Il faut profiter des investissements importants qui arrivent dans le pays pour que les populations puissent bénéficier du développement économique et des investissements nouveaux qui arrivent.Le président de la transition, le général Mamadi Doumbouya, avait promis de quitter le pouvoir avant le 31 décembre 2024. Il ne l'a pas fait et à ses vœux du Nouvel An, il a déclaré que la date du référendum constitutionnel serait annoncée lors de ce premier trimestre. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus ?En tous les cas, l'exigence du chef de l'État est de faire en sorte que le référendum ait lieu avant la fin du premier semestre. Donc, dans les prochains jours, je pense que le ministère de l'Administration du territoire devrait nous donner un calendrier plus précis. Donc il ne reste plus qu'à élaborer un fichier électoral et à aller à ce référendum qui est attendu pour le retour à l'ordre constitutionnel.Donc, un référendum avant le 30 juin ?Avant le 30 juin.Au mois de mai ? Probablement au mois de mai.Et les élections générales ?Les élections alors présidentielles qui devraient suivre, je pense, ou les élections législatives, ne pourraient peut-être intervenir qu'au début du 4e trimestre, au mois d'octobre. Parce que on a une longue période pluvieuse qui n'est pas propice à l'organisation des élections. Je pense qu'il faut compter à partir de septembre, octobre pour les élections suivantes.À lire aussiGuinée: six mois sans nouvelles des opposants Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah À lire aussiGuinée: Conakry paralysée par une manifestation contre la prolongation de la transition
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
Le Journal en français facile du vendredi 13 décembre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BEtH.A
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Les plaques tectoniques bougent principalement en raison de la chaleur interne de la Terre, qui crée des mouvements de convection dans le manteau. Ces mouvements, combinés à d'autres forces, entraînent le déplacement lent mais constant des plaques à la surface terrestre. Pour comprendre ce mécanisme, il est essentiel d'examiner la structure interne de la Terre et les processus qui se produisent en profondeur. Structure de la Terre et Convection Mantellique La Terre est composée de plusieurs couches : la croûte (où se trouvent les plaques tectoniques), le manteau, et le noyau (interne et externe). Le manteau est composé de roches solides, mais elles sont capables de s'écouler très lentement sur de longues périodes en raison des températures extrêmement élevées (jusqu'à 4 000°C). La chaleur interne de la Terre provient en grande partie de la désintégration radioactive d'éléments tels que l'uranium, le thorium et le potassium, ainsi que de la chaleur résiduelle de la formation de la planète. Cette chaleur entraîne des mouvements de convection dans le manteau : les roches chaudes montent vers la surface, tandis que les roches plus froides redescendent en profondeur. Ce mouvement lent et circulaire du manteau crée des "courants de convection", qui exercent des forces sur les plaques tectoniques à la surface, les poussant à se déplacer. Forces qui Animent les Plaques Tectoniques Plusieurs forces spécifiques sont impliquées dans le mouvement des plaques : 1. Poussée au niveau des dorsales médio-océaniques : Les dorsales médio-océaniques sont des chaînes de montagnes sous-marines où de nouvelles plaques se forment par le refroidissement de la lave qui remonte du manteau. Le magma chaud s'écoule de ces dorsales, repoussant les plaques de chaque côté. Ce processus est connu sous le nom de "poussée de dorsale". 2. Traction de plaque (slab pull) : Lorsque les plaques tectoniques s'éloignent des dorsales et se refroidissent, elles deviennent plus denses. Cette densité accrue fait que les plaques océaniques s'enfoncent sous les plaques continentales dans des zones appelées "zones de subduction". La force gravitationnelle tire alors la plaque enfoncée vers le bas, entraînant le reste de la plaque avec elle. Cette traction est l'une des forces les plus puissantes qui déplacent les plaques tectoniques. 3. Courants de convection dans le manteau : Les mouvements de convection dans le manteau, déjà mentionnés, agissent comme un tapis roulant qui entraîne les plaques à la surface. Ces mouvements peuvent parfois se combiner avec la poussée et la traction pour accélérer ou ralentir le déplacement des plaques. Pourquoi les Plaques Ne Sont-elles Pas Immobiles ? Les plaques tectoniques ne sont pas immobiles parce que la Terre n'est pas statique. La chaleur interne de la planète et les forces de convection du manteau génèrent un mouvement constant qui se traduit par la dynamique des plaques. De plus, la gravité et la pression jouent également un rôle dans la subduction et le déplacement des plaques. En d'autres termes, tant que la Terre produira de la chaleur interne et que des différences de température existeront dans le manteau, les plaques continueront à se déplacer. Conclusion Le mouvement des plaques tectoniques est un phénomène complexe résultant de la chaleur interne de la Terre, des courants de convection dans le manteau, de la poussée au niveau des dorsales océaniques et de la traction gravitationnelle des plaques subductées. Ce processus dynamique façonne la surface de la Terre, créant des montagnes, des volcans, et des tremblements de terre. Tant que la Terre générera de la chaleur, ces mouvements tectoniques continueront à transformer notre planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il s'agit d'une première en Europe. Sept familles assignent devant la justice française le réseau social TikTok afin de faire reconnaître sa responsabilité dans la dégradation de la santé mentale de leurs enfants. Vidéos promouvant l'automutilation, les troubles alimentaires, la prise de médicaments… jusqu'à des contenus mettant en avant le suicide. Aujourd'hui ces familles réclament des comptes à TikTok. Fort de ses 21 millions d'utilisateurs en France - 1,2 milliard dans le monde. TikTok propose, selon ces familles, un algorithme qui accentue le mal-être de leurs enfants. A savoir sept adolescentes. Deux d'entre elles ont mis fin à leur jour. Les réseaux sociaux sont-ils un danger pour les plus jeunes? TikTok favorise-t-il le mal-être de jeunes déjà fragiles? Comment protéger ces derniers des contenus les plus violents ou les plus sensibles? Je suis Ronald Guintrange et vous écoutez un nouvel épisode d'Affaire suivante, le podcast inédit. Justine Chevalier et Ronald Guintrange reçoivent Maitre Laure Boutron-Marmion, fondatrice du collectif Algos Victima, pour venir en aide aux victimes des réseaux sociaux.
« La graine a poussé, elle est devenue un arbre » (Lc 13, 18-21)Méditation par le Père Michel QuesnelChant Final : "Tu règnes" de Will Abriel
Retrouvez l'interview de Andréa Kotarac dans la matinale de Frontières du 22 octobre 2024. Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
À peine 40 ans et déjà syndicaliste chevronnée, Kamadji Demba Karyom est l'une des militantes de sa génération les plus impliquées dans la lutte contre le régime autoritaire du clan Déby, au pouvoir depuis plus de trois décennies. « Demba est une jeune femme très intelligente et engagée dans la lutte contre l'injustice, c'est une femme qui a de l'avenir, c'est une activiste sur qui nous pouvons compter pour la relève dans ce pays dans le milieu syndical, il y en a d'autres, des jeunes femmes comme elle, mais elle est remarquable, elle peut prendre la relève pour lutter pour les droits de la femme au Tchad », selon Adjudji Guémé, présidente fondatrice du Comité des femmes de l'Union des syndicats du Tchad.Poussées par ses aînés, Demba Kamadji Karyom pourrait prendre un jour la tête de l'UST, l'Union des syndicats du Tchad. Déjà présidente du Comité des femmes du syndicat des greffiers (Synagref), elle assiste également à l'autorité indépendante de lutte contre la corruption. Pour Demba, le syndicat est l'échelon le plus approprié « pour lutter contre la dictature », comme elle l'exprime publiquement lors de ses conférences. Un documentaire signé Clémentine Méténier, réalisé par Sophie Janin et produit par Valérie Nivelon.À découvrir le site de l'Association Survie, à l'initiative de la tournée française de Demba Kamadji Karyom en 2024.
Les virevoltants, ou "tumbleweeds" en anglais, sont des éléments emblématiques que l'on voit souvent dans les westerns. Ces plantes, qui roulent dans le vent à travers des paysages désertiques, sont devenues un symbole visuel puissant de l'Ouest américain. Voici les principales raisons pour lesquelles ils apparaissent fréquemment dans les westerns : 1. Évocation des paysages désertiques :Les westerns sont souvent situés dans des environnements arides et désertiques, tels que les plaines du Texas ou les déserts de l'Arizona. Les virevoltants, qui sont en réalité des plantes sèches, reflètent parfaitement le climat sec et hostile de ces régions. Leur apparition dans une scène amplifie l'idée de vastes espaces désolés et vides, renforçant l'atmosphère des westerns. 2. Symbole de solitude et d'isolement :Dans de nombreux westerns, l'idée de la solitude, de l'abandon et de la dureté de la vie dans l'Ouest sauvage est un thème central. Les virevoltants, qui roulent sans but à travers des terres désertiques, symbolisent cette solitude et cet isolement. Ils évoquent souvent des villes fantômes ou des étendues inhabitées, où peu de signes de vie subsistent. 3. Élément visuel dramatique :Sur un plan visuel, un virevoltant qui roule dans une rue déserte ou dans une vaste plaine offre un élément de mouvement dans un décor statique, sans avoir besoin de l'action humaine. Cela crée une tension dramatique dans certaines scènes, en particulier avant des confrontations ou des duels dans les westerns. L'apparition d'un virevoltant peut suggérer le calme avant une tempête ou un moment crucial dans le récit. 4. Stéréotype du genre western :Les virevoltants sont devenus un stéréotype visuel dans le genre western. Leur inclusion dans les films est souvent attendue, voire humoristique dans certains cas. Ils sont devenus un symbole de l'Ouest sauvage dans l'imaginaire collectif, au point où leur absence dans certains westerns pourrait même être remarquée. 5. Origine réelle :Fait intéressant, les virevoltants (souvent une plante appelée Salsola tragus) ne sont en réalité pas originaires d'Amérique du Nord. Ils ont été introduits accidentellement depuis la Russie dans les années 1870, probablement via des graines mélangées à des cargaisons de blé. Cependant, ils se sont rapidement propagés dans les paysages désertiques du Sud-Ouest américain, devenant un symbole durable de cette région dans la culture populaire. En résumé, les virevoltants apparaissent dans les westerns pour renforcer les thèmes de solitude, d'isolement, et pour souligner les vastes espaces arides du décor. Ils ont aussi évolué en un symbole visuel classique et reconnu de l'Ouest américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Expatriée au Mexique, Armelle souhaitait un accouchement classique et sans douleur, mais sa rencontre inattendue avec une doula a tout changé. Dans cet extrait elle raconte la naissance de son fils sans péridurale. Teaser avant de découvrir l'épisode intégral.