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Elle est sans conteste la figure la plus détestée de l'histoire de France : Isabeau de Bavière, l'épouse du roi fou, méritait-elle autant d'exécration ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire spéciale ""Ils ont choisi la France !"" Ou les destins de personnages qui se sont fait un – grand – nom dans notre pays. Pour le 2e épisode, Stéphane Bern raconte un choix…imposé avec le destin d'Isabeau de Wittelsbach-Ingolstadt, dite Isabeau de Bavière, princesse allemande devenue reine de France en épousant le roi de France Charles VI, et qui occupe la régence pendant les épisodes de folie de son mari… et en a lourdement payé le prix ! A partir de quand et pourquoi Isabeau de Bavière est-elle devenue aussi impopulaire ? Quelle relation a-t-elle entretenue avec le roi Charles VI ? Pourquoi son destin a-t-il suscité autant de fascination ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Christine Rérat-Maintigneux, historienne et auteure de ""Isabeau de Bavière, reine la plus exécrée de France"" (Fayard) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteure du récit : Charlotte Chaulin. Journaliste : Clara Leger. "Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire d'Isabeau de Wittelsbach-Ingolstadt dites Isabeau de Bavière. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire spéciale ""Ils ont choisi la France !"" Ou les destins de personnages qui se sont fait un – grand – nom dans notre pays. Pour le 2e épisode, Stéphane Bern raconte un choix…imposé avec le destin d'Isabeau de Wittelsbach-Ingolstadt, dite Isabeau de Bavière, princesse allemande devenue reine de France en épousant le roi de France Charles VI, et qui occupe la régence pendant les épisodes de folie de son mari… et en a lourdement payé le prix ! A partir de quand et pourquoi Isabeau de Bavière est-elle devenue aussi impopulaire ? Quelle relation a-t-elle entretenue avec le roi Charles VI ? Pourquoi son destin a-t-il suscité autant de fascination ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Christine Rérat-Maintigneux, historienne et auteure de ""Isabeau de Bavière, reine la plus exécrée de France"" (Fayard) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteure du récit : Charlotte Chaulin. Journaliste : Clara Leger. "Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Sissi, Louis II de Bavière, Jeanne la Folle ou Meghan Markle ont des points communs : la royauté et les problèmes de santé mentale. Dans cet épisode d'Au cœur de l'Histoire, il sera question de la santé des rois et des reines, et notamment, de leur souffrances psychologiques et psychiques. Mais peut-on s'épancher sur ses états d'âmes, quand on est né avec une petite cuillère en argent dans la bouche ? Les souverains s'allongent-ils sur le divan des psys… Ou devraient-ils le faire ? Pour évoquer ces questions, Virginie Girod reçoit le journaliste Thomas Pernette. Chef du service royautés de Point de Vue, il est l'auteur du livre "Altesses en détresse, quand les psys s'invitent chez les têtes couronnées", paru aux éditions Flammarion.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jusuf Hadžifejzović je jedan od najpoznatijih bh. suvremenih umjetnika. Svoj umjetnički put započeo je sredinom '60 tih godina, kada je iz rodnog Prijepolja došao u Sarajevo na školovanje u Srednju umjetničku školu. Nije bio siguran gdje će ga primiti na Likovnu akademiju pa je polagao prijemni ispit na 3 Akademije, u Sarajevu, Beogradu i Zagrebu. Na koncu se odlučio za beogradsku Likovnu akademiju gdje je studirao u klasi Stojana Ćelića. Vanvremenski talentiran i buntovan kakav je bio i tokom studiranja u Beogradu, na nagovor Biljane Tomić, kuratorice beogradskog SKCa, odlučio je na posljednju godinu studija otići na Kunstakademie u Dusseldorf kod prof. Klausa Rinkea. Nakon što je diplomirao sa čistom desetkom na beogradskoj Akademiji sa jedinstvenim radom koji se sastojao od 6 rečenica ispisanih rukom na 6 papira, odlučio je doći u Sarajevo gdje je odmah nakon Olimpijade bio jedan od osnivača umjetničkog projekta Jugoslovenska dokumenta, najvažnije izložbe suvremene umjetniosti u bivšoj Jugoslaviji. Kasnije je pokrenuo i sarajevsko Bijenale moderne umjetnosti, koje je zajedno sa Dokumentima sredinom 80-tih oživjelo sarajevsku umjetničku scenu dovodeći ju u sami vrh scene jugoslavenske i svjetske suvremene umjetnosti. Ta je scena tokom ratnih godina iznjedrila i prvu Kolekciju Ars Aevi, budućeg sarajevskog muzeja savremene umjetnosti. Jusuf za sebe ne voli reći da je konceptualni umjetnik, nego da pripada postkonceptualnom umjetničkom žanru. Bavi se depografijom i analitičkim slikarstvom, a jedan je od najprovokativnijih umjetnika srednje generacije u bivšoj Jugoslaviji, koji je poznat i po svojim provokativnim performansima. Neki od njegovih kontroverznih performansa su imali gotovo proročanski karakter, a takav je i performans "Od kiča do krvi samo je jedan korak", koji je predstavio na Cetinjskom bijenalu 1991. godine. No, njegov najpoznatiji projekat "Prodavnica praznina" je poseban koncept udahnjivanja novog identiteta iskorištenim predmetima koje Jusuf svakodnevno koristi i nakon što im dodijeli certifikat vlasništva njegove praznine dobivaju status umjetničkog djela. U Skenderiji godinama vodi svoju Galeriju Charlama u kojoj je otvorio vrata mladim bosanskohercegovačkim umjetnicima i o kojoj je svojevremeno pisao i New York Times. Učestvovao je u mnogim veoma značajnim međunarodnim izložbama savremene umjetnosti od Berlina, Dusseldorfa, sve do Južne Koreje.U ovoj epizodi smo razgovarali o:00:00:00 Teaser i najava00:04:34 Dolazak na školovanje u sarajevsku Umjetničku školu00:08:41 Studij na Akademiji u Beogradu u klasi Stojana Ćelića00:11:05 Odlazak u Dusseldorf na Kunstakedemie kod Klausa Rinkea00:15:47 Kako je nastalo ime Galerije Charlama?00:18:18 Čuveni diplomski rad na beogradskoj Akademiji sastojao se od 6 rečenica ispisanih rukom na 6 papira00:20:36 Dolazak u Sarajevo i rad na Jugoslovenskim Dokumentima00:27:35 Performans na Cetinjskom Bijenalu iz 1991. "Od kiča do krvi samo je jedan korak"00: 33:50 Rad "Schonne Gruse aus banditen Strasse" 00:38:12 Nastanak "Prodavnice praznina" nakon njegovog povratka iz Antwerpena00:42:05 "Svoj život sam izložio u Prodavnici praznina" 00:47:30 Tekst u New York Timesa o galeriji Charlama00:55:30 U zemljama ex Jugoslavije vrlo jaka scena suvremene umjetnosti01:00:33 Performans "Prodavnice praznina" uživo u podcastu01:13:10 "Cijena mojim "prazninama" će skočiti nakon moje smrti" ______________
Nous sommes à la prison de Landadsberg, dans le sud-ouest de la Bavière. C'est là qu'Adolf Hitler purge sa peine de prison suite au putsch manqué de Munich, sa tentative de prise du pouvoir par la force, dans la soirée du 8 novembre 1923. Emprisonné trois jours plus tard jusqu'au 20 décembre de l'année suivante, le dirigeant du Parti national-socialiste des travailleurs allemands se met à rédiger un ouvrage qu'il intitulera « Mein Kampf », « Mon combat ». L'auteur y expose, dans un style violent, sa « conception du monde », hégémonique, belliqueuse, racistes et antisémite, ultranationaliste. Hitler conçoit son texte comme un manifeste et sa rédaction est pour lui une étape obligée de son parcours politique. En quoi « Mein Kampf » nous permet-il de comprendre l'évolution du langage politique, aujourd'hui ? Un langage qui serait passé de la raison et du dialogue à une rhétorique de l'émotion et de la manipulation. La montée des discours utilisant la peur, la haine et le complotisme sont-ils l'apanage des extrêmes, uniquement ? Dévaluation de la parole politique traditionnelle, manque de cohérence, instrumentalisation des médias, perte de confiance : autant de menaces pour la démocratie Avec les Lumières de Olivier Mannoni, traducteur spécialisé dans les textes sur IIIe Reich. « Coulée brune – Comment le fascisme inonde notre langue » ; éd. Héloïse d'Ormesson. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'histoire d'une femme passionnée par l'art, dès l'enfance, douée pour le dessin. Nous sommes à Berlin où Gabriele Münter voit le jour en 1877. Une enfance aisée mais assombrie par la mort prématurée de ses deux parents. L'année de ses 20 ans, le jeune femme décide de partir sillonner les États-Unis, elle y restera deux ans et y exercera son regard par la pratique de la photographie. De retour en Allemagne, elle accompagne le nouveau siècle naissant en s'installant à Munich. Les académies des beaux-arts sont alors fermées aux femmes, c'est peut-être une chance pour elle : elle s'inscrit à l'école Phalanx dirigée par le Russe Vassily Kandinsky qui encourage ses premiers pas d'artiste peintre. Ils formeront un couple illégitime et secret pendant des années. Voyageront ensemble à Tunis, aux Pays-Bas, en Italie. À Paris aussi, où la jeune artiste découvrira l'impressionnisme et le fauvisme. En 1906, Gabriele achète une villa aux pieds des Alpes, à Murnau, en Bavière. C'est autour d'elle et de Kandinsky que se réunissent les artistes d'avant-garde qui composent le fameux groupe appelé « le Cavalier bleu », « der blaue Reiter ». La Première Guerre mondiale séparer les amants. La Deuxième se chargera de faire éclater les cercles des modernes, les moquant, les insultant, les neutralisant, les tuant. Gabriele Münter échappera au pire, et si ses relations avec le régime nazi restent ambigües, c'est elle qui sauvera une grande partie de l'œuvre de Kandinsky. Kandinsky dont elle fut l'élève et l'amoureuse, dont elle fut l'ombre aussi, éclipsée par une aura, trop longtemps, exclusivement, accordée aux hommes. Retrouvons, aujourd'hui, dans sa pleine lumière, Gabriele Münter … Avec les Lumières de Anne Hustache, historienne de l'art. Sujets traités : Gabriele Münter, Munich, assily Kandinsky, peintre, artiste,der blaue Reiter, nazi Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter mon podcast Le fil IA:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-fil-ia/id1797244733Spotify:https://open.spotify.com/show/7DLZgY60IARypRmVGAlBM0?si=bacee66244884d27-----------------------------Excellente question de culture générale ! Derrière le célèbre conte de Blanche-Neige, popularisé par les frères Grimm au XIXe siècle, se cache peut-être une femme bien réelle. Oui, il se pourrait que Blanche-Neige ait réellement existé — du moins, que le conte s'inspire d'une personne historique. Voici l'histoire.Des frères Grimm à la vraie Blanche-NeigeLe conte de Blanche-Neige, publié pour la première fois par Jacob et Wilhelm Grimm en 1812, raconte l'histoire d'une jeune fille à la peau blanche comme la neige, poursuivie par une marâtre jalouse de sa beauté, protégée par sept nains et sauvée par un prince.Mais ce conte, comme beaucoup d'autres collectés par les Grimm, n'est pas une invention totale. Il est inspiré de récits populaires plus anciens, transmis oralement depuis des siècles. Et selon plusieurs historiens et chercheurs, il pourrait avoir pour origine la vie d'une jeune noble allemande du XVIIe siècle.Maria Sophia von Erthal : la vraie Blanche-Neige ?C'est le nom qui revient le plus souvent dans les hypothèses historiques. Maria Sophia Margaretha Catharina von Erthal est née en 1725 à Lohr am Main, en Bavière (sud de l'Allemagne). Elle appartenait à une famille noble, et son père, le baron Philipp Christoph von Erthal, était un homme influent.Après la mort de sa mère, Maria Sophia aurait été élevée par une belle-mère sévère, qui aurait favorisé ses propres enfants et maltraité la jeune fille. Ce portrait fait évidemment penser à la méchante reine du conte, jalouse et cruelle.Autre détail troublant : dans le château de Lohr, où vivait la famille, se trouvait un miroir dit "magique", fabriqué en 1720 par la célèbre manufacture de verre de la région. Ce miroir, aujourd'hui conservé dans un musée, aurait pu inspirer le célèbre "Miroir, mon beau miroir...".Les nains, eux, pourraient être une référence aux mineurs qui travaillaient non loin de là, dans les montagnes du Spessart. À l'époque, ces ouvriers étaient souvent de petite taille à cause de la malnutrition, et travaillaient dans des galeries étroites, parfois dès l'enfance.Conte, réalité… ou les deux ?Bien sûr, il est impossible d'affirmer avec certitude que Maria Sophia est Blanche-Neige. Mais il est probable que les frères Grimm, qui étaient eux-mêmes allemands, aient entendu cette histoire régionale et l'aient transformée en un conte universel. Ils étaient d'ailleurs très attachés à collecter les traditions orales locales.Comme souvent dans les contes, la réalité historique a été enrichie, dramatisée et symbolisée : la pomme empoisonnée, le cercueil de verre, le baiser du prince… Autant d'éléments narratifs venus se greffer sur un noyau d'histoire vraie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La société secrète des Illuminatis agit dans l'ombre pour contrôler le monde" : voilà une légende qui a la peau dure et circule depuis plusieurs siècles. Pourtant, cette société fondée en Bavière au XVIIIe siècle n'a duré que 9 ans ! Le semaine prochaine, dans Au coeur de l'Histoire, Virginie Girod raconte la véritable histoire des Illuminatis, bien loin des théories du complot qui circulent sur Internet. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 15 septembre 1935, à Nuremberg, en Bavière. Ce jour-là a lieu le septième congrès annuel du parti national-socialiste des travailleurs allemands, le parti nazi. Trois textes sont adoptés par le Reichstag, l'assemblée parlementaire, à l'initiative d'Adolf Hitler. Des textes qui codifient la doctrine raciale nazie en interdisant, notamment, les mariages et les relations sexuelles entre Juifs et Allemands L'histoire parlera des lois de Nuremberg. Des lois qui témoignent de la dimension érotique perverse contenue dans l'idéologie nazie, où la sexualité est instrumentalisée au service de la pureté raciale et de la procréation aryenne. Au service de cette dimension érotique est mise une esthétique qui glorifie le corps « sain et naturel », conforme à l'idéal aryen. Adolphe Hitler, lui-même, s'envisage comme un artiste et sa vision du monde inclut une façon particulière de considérer le désir et la sexualité. Les lois de Nuremberg officialiseront une politique d'exclusion et de persécution qui aura des conséquences dramatiques sur la vie intime de nombreux individus. De quelles manières le régime nazi s'y est-il pris pour réguler l'érotisme et la sexualité à travers le prisme de sa doctrine raciale ? Avec nous : Arnaud de la Croix, philosophe et historien. « Esthétique et érotisme nazis » ; éds. Universitaires de l'Umons. Sujets traités : érotisme, nazisme, esthétique, Nuremberg, Juifs, allemands, aryenne, Adolphe Hitler, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
O Segue o BAba está de volta para a temporada 2025. O podcast do ge retorna nesta segunda-feira para analisar tudo que de melhor aconteceu no primeiro Ba-Vi da final do Campeonato Baiano, vencido pelo Bahia por 2 a 0. Programa debate o que deu certo e errado nas estratégias de Rogério Ceni e Thiago Carpini, quem se destacou e também projeta a partida de volta entre as equipes.
Dr Vlasta Sikimić radi na Univerzitetu u Ajndhovenu. Bavi se oblašću odnosa filozofije i veštačke inteligencije (VI). ________________________________________________________________________________________________Sponzori ⚡️Crux suplementi: Ja koristim Ashwagandu pred svako snimanje podkasta ili pred neku meni lično važnu aktivnost koja zahteva moj fokus i energiju. Pružite prirodnu snagu svom umu i telu:
Dominateur en ex-Allemagne de l'Est, le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD) pousse désormais son offensive à l'Ouest. Et notamment en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où il est annoncé à 15% aux élections fédérales du 23 février. De notre envoyé spécial de retour de Rhénanie-du-Nord-Westphalie,Une petite estrade, quatre banderoles, quelques mange-debout et c'est à peu près tout. S'il n'y avait la sono qui hurle une musique énervée, on pourrait presque passer à côté. Ce samedi matin, à l'heure où l'on fait ses courses, l'Alternative pour l'Allemagne tient meeting dans le centre-ville de Moers. Pour l'occasion, Knuth Meyer-Soltau a coiffé sa plus belle casquette : rouge pétant et un slogan – « Make Germany great again » – qui claque comme la gifle qu'il a menacé de flanquer à un élu écolo quatre jours plus tôt. L'impudent avait qualifié les députés de l'AfD de « nazis » lors d'une table ronde à laquelle ils étaient tous les deux conviés ; le candidat pour la circonscription 139 n'avait pas apprécié.« Ça ne peut pas continuer comme ça », martèle-t-il maintenant au micro. Il est question d'immigration. Le parti d'extrême droite est parvenu à placer son sujet fétiche au centre de la campagne électorale, bien aidé par les attaques liées à des étrangers qui se sont multipliées ces derniers mois. Chaque formation y va de ses propositions. Celle de l'AfD tient en quatre syllabes : « remigration ». Largement tabou il y a encore un an, le mot est désormais parfaitement assumé. « Cela signifie le renvoi de toutes les personnes violentes et non intégrées », éclaire Daniel Zerbin, membre du Parlement de Rhénanie-du-Nord-Westphalie et candidat à Herne. Non intégrées ? « Celles qui ne respectent pas nos principes : l'égalité femmes/hommes, la loi supérieure à la religion… »À lire aussi«J'ai toujours essayé de m'intégrer»: Khallof al-Mohamad, une histoire allemande« C'est le signe que ça va mal, non ? »L'événement n'a pas déplacé les foules. Du moins pas de ce côté-ci de la rue. Ils ne sont qu'une grosse centaine face à la scène, tout droits, comme figés par le froid. Ernst, 58 ans, bonnet BMW jusqu'aux sourcils et parka jusqu'au menton, est venu en famille pour se faire une idée. Il n'est pas certain de voter AfD, mais ne l'exclut pas non plus. Il attend en tout cas du futur gouvernement qu'il « redresse » le pays et cesse de taxer les pensions. Il s'inquiète : « Quand on voit des personnes âgées obligées de ramasser les bouteilles consignées dans la rue, c'est le signe que ça va mal, non ? »Ernst assure cependant ne rien avoir contre les immigrés, « tant qu'ils travaillent et qu'ils paient leurs impôts ». « Mais ceux qui se croient dans un pays de cocagne et qui vivent ici à nos frais… à un moment, ça va bien. » Son fils Matthias embraye d'un ton docte : « Quand on s'installe dans un pays, il faut s'y adapter. Pas changer, s'adapter. Et surtout payer ses impôts ou chercher du travail. » Mais l'intégration est une démarche collective, poursuit le jeune homme. « C'est aussi de notre responsabilité. C'est aussi à nous de les prendre par la main. C'est comme ça qu'on forme une société. » Sur le trottoir opposé, on se met soudain à scander : « Nazis, dehors ! Nazis, dehors ! » Quelque 600 personnes sont massées là, sous la surveillance d'une poignée de policiers et des pancartes aux slogans bien sentis. Louis, boucle dans le nez et ongles colorés, n'a pas encore l'âge de voter, mais il a tenu à manifester « avant qu'il ne soit trop tard ». « Si nous les laissons continuer, nous nous retrouverons ici dans cinq ans en nous disant : "Si seulement nous avions fait quelque chose pour l'empêcher" ». Nina a fait vingt minutes de route depuis Oberhausen pour les mêmes raisons. Elle aussi craint de voir l'Allemagne glisser à son tour vers l'extrême droite. « Il faut poser les jalons maintenant », estime-t-elle. Dans la brècheLa quadra à la tenue arc-en-ciel a de quoi s'alarmer. Douze ans après sa création, l'AfD gagne du terrain à chaque scrutin. Après avoir pulvérisé les scores lors des élections estivales dans le Brandebourg, en Saxe et en Thuringe, elle s'impose comme deuxième force politique à l'échelle nationale, juste derrière les conservateurs de la CDU/CSU. Surtout, sa popularité s'étend désormais au-delà des régions sinistrées de l'ancienne RDA. Dans les très prospères Bavière et Bade-Wurtemberg, elle est donnée en deuxième position. Elle est troisième en Rhénanie-Palatinat et quatrième en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où les sondages la placent à 15%, soit un bond de huit points par rapport aux élections de 2021.« En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, l'AfD s'est engouffrée dans le vide laissé par le Parti social-démocrate », constate Volker Kronenberg, professeur à l'Institut de sciences politiques et de sociologie de l'Université de Bonn. Il explique : ces vingt dernières années, le SPD a peu à peu délaissé le monde ouvrier pour se tourner vers les fonctionnaires, les intellectuels et les jeunes urbains, en se concentrant sur des sujets jusque-là défendus par les Verts. Un choix stratégique qui s'est avéré désastreux, en particulier dans la région industrielle de la Ruhr, où la transition énergétique et le déclin économique, additionnés aux défis de l'immigration, ont engendré un profond sentiment d'insécurité au sein de la population. « L'AfD a su parfaitement exploiter ces inquiétudes », remarque Volker Kronenberg.À lire aussiSortie du charbon: en Allemagne, les défis d'une région en pleine mutationLe parti d'Alice Weidel a beau multiplier les outrances, laisser l'un de ses leaders faire l'apologie du nazisme ou se choisir un slogan inspiré du IIIe Reich, rien ne paraît ralentir sa progression. En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, on est cependant encore loin du raz-de-marée observé à l'Est. « La région, et l'Ouest en général, n'est pas un bastion de l'AfD. Les grandes villes universitaires telles que Bonn, Münster ou Cologne ne sont pas des bastions de l'AfD », insiste Volker Kronenberg. Pour nuancer aussitôt : « Concernant les villes de la Ruhr, comme Gelsenkirchen ou Duisbourg, c'est différent. »« De pire en pire »Duisbourg, 500 000 habitants dont près d'un quart de nationalité étrangère, affiche un air morose. Et ce n'est pas seulement à cause de ses rues sans charme. La ville qui fut brièvement la plus riche d'Allemagne dans les années 50 recense aujourd'hui 12% de chômeurs, plus du double de la moyenne nationale. C'est surtout la criminalité qui inquiète. Si elle n'a progressé dans son ensemble que de 3% en 2023, les homicides, viols et agressions à l'arme blanche ont quant à eux fortement augmenté. Or ce sont ces faits divers violents qui marquent les esprits.« Ça a commencé il y a cinq ans et c'est de pire en pire », déplore Frauke Pilarek. Dans la salle à manger de son appartement du centre-ville, l'enseignante fait défiler les articles de presse sur son téléphone portable pour appuyer ses dires. Radio Duisbourg, 3 février 2025 : un homme poignardé à mort par un Germano-Marocain. Spiegel, 28 avril 2023 : un Syrien de 26 ans soupçonné d'avoir agressé cinq personnes au couteau en l'espace de dix jours à Duisbourg. Rheinische Post, 31 octobre 2023 : un jeune homme avoue avoir poignardé sa mère qui le maltraitait. Frauke n'en revient toujours pas. « Ça s'est passé juste en bas de chez moi ! »Quand elle s'est surprise un jour à changer de trottoir en voyant arriver « un groupe de Syriens », Frauke s'est demandée ce qui ne tournait pas rond chez elle. « C'est tellement contraire à mon éducation et à mes valeurs chrétiennes. » Elle a observé le même changement chez son fils de 17 ans, un garçon « mature, à l'esprit ouvert ». « Je sais que c'est quelqu'un de bien. Et pourtant, parfois, en rentrant, il me dit : "Dans la rue, j'étais le seul à parler allemand". Mon fils se méfie et je trouve ça dommage. » Équilibrer les rapports de forceFrauke parle d'une peur « irrationnelle ». Une peur, dit-elle, que l'AfD « sait parfaitement instrumentaliser ». Elle a longuement réfléchi à la question. « Les personnes qui ne sont pas conscientes de cette manipulation peuvent facilement tomber dans le piège de l'extrême droite. Comme l'Allemagne et la région vont de plus en plus mal, les gens ont tendance à se tourner vers les partis qui proposent des solutions apparemment faciles. »À 100 km de là, attablé dans un café de Bonn, Wolfgang Truckenbrodt plaide « non coupable ». « On s'impose par les faits », assure-t-il dans un français parfait, hérité d'un père diplomate. Son père, raconte le septuagénaire d'un ton aimable, a fait partie de ceux qui, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ont parcouru l'Europe pour faire venir des travailleurs en Allemagne. L'homme au physique imposant, petite moustache et crâne rasé, réclame à son tour aujourd'hui une immigration « choisie ». À 72 ans, dont vingt passés dans les rangs de la CDU, il incarne cette aile de l'AfD davantage tournée vers l'Amérique de Trump que la Russie de Poutine et qui considère la radicalité de ses homologues de l'Est d'un œil désapprobateur. Des victoires à l'Ouest permettraient d'équilibrer les rapports de force au sein du parti, estime-t-il. Dans une circonscription peuplée d'étudiants, Wolfgang Truckenbrodt reconnaît pour sa part n'avoir aucune chance. Il y a quatre ans, il avait obtenu 3% des voix aux élections locales. Il serait cette fois « assez satisfait » s'il finissait à 10%.
Dominateur en ex-Allemagne de l'Est, le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD) pousse désormais son offensive à l'Ouest. Et notamment en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où il est annoncé à 15% aux élections fédérales du 23 février. De notre envoyé spécial de retour de Rhénanie-du-Nord-Westphalie,Une petite estrade, quatre banderoles, quelques mange-debout et c'est à peu près tout. S'il n'y avait la sono qui hurle une musique énervée, on pourrait presque passer à côté. Ce samedi matin, à l'heure où l'on fait ses courses, l'Alternative pour l'Allemagne tient meeting dans le centre-ville de Moers. Pour l'occasion, Knuth Meyer-Soltau a coiffé sa plus belle casquette : rouge pétant et un slogan – « Make Germany great again » – qui claque comme la gifle qu'il a menacé de flanquer à un élu écolo quatre jours plus tôt. L'impudent avait qualifié les députés de l'AfD de « nazis » lors d'une table ronde à laquelle ils étaient tous les deux conviés ; le candidat pour la circonscription 139 n'avait pas apprécié.« Ça ne peut pas continuer comme ça », martèle-t-il maintenant au micro. Il est question d'immigration. Le parti d'extrême droite est parvenu à placer son sujet fétiche au centre de la campagne électorale, bien aidé par les attaques liées à des étrangers qui se sont multipliées ces derniers mois. Chaque formation y va de ses propositions. Celle de l'AfD tient en quatre syllabes : « remigration ». Largement tabou il y a encore un an, le mot est désormais parfaitement assumé. « Cela signifie le renvoi de toutes les personnes violentes et non intégrées », éclaire Daniel Zerbin, membre du Parlement de Rhénanie-du-Nord-Westphalie et candidat à Herne. Non intégrées ? « Celles qui ne respectent pas nos principes : l'égalité femmes/hommes, la loi supérieure à la religion… »À lire aussi«J'ai toujours essayé de m'intégrer»: Khallof al-Mohamad, une histoire allemande« C'est le signe que ça va mal, non ? »L'événement n'a pas déplacé les foules. Du moins pas de ce côté-ci de la rue. Ils ne sont qu'une grosse centaine face à la scène, tout droits, comme figés par le froid. Ernst, 58 ans, bonnet BMW jusqu'aux sourcils et parka jusqu'au menton, est venu en famille pour se faire une idée. Il n'est pas certain de voter AfD, mais ne l'exclut pas non plus. Il attend en tout cas du futur gouvernement qu'il « redresse » le pays et cesse de taxer les pensions. Il s'inquiète : « Quand on voit des personnes âgées obligées de ramasser les bouteilles consignées dans la rue, c'est le signe que ça va mal, non ? »Ernst assure cependant ne rien avoir contre les immigrés, « tant qu'ils travaillent et qu'ils paient leurs impôts ». « Mais ceux qui se croient dans un pays de cocagne et qui vivent ici à nos frais… à un moment, ça va bien. » Son fils Matthias embraye d'un ton docte : « Quand on s'installe dans un pays, il faut s'y adapter. Pas changer, s'adapter. Et surtout payer ses impôts ou chercher du travail. » Mais l'intégration est une démarche collective, poursuit le jeune homme. « C'est aussi de notre responsabilité. C'est aussi à nous de les prendre par la main. C'est comme ça qu'on forme une société. » Sur le trottoir opposé, on se met soudain à scander : « Nazis, dehors ! Nazis, dehors ! » Quelque 600 personnes sont massées là, sous la surveillance d'une poignée de policiers et des pancartes aux slogans bien sentis. Louis, boucle dans le nez et ongles colorés, n'a pas encore l'âge de voter, mais il a tenu à manifester « avant qu'il ne soit trop tard ». « Si nous les laissons continuer, nous nous retrouverons ici dans cinq ans en nous disant : "Si seulement nous avions fait quelque chose pour l'empêcher" ». Nina a fait vingt minutes de route depuis Oberhausen pour les mêmes raisons. Elle aussi craint de voir l'Allemagne glisser à son tour vers l'extrême droite. « Il faut poser les jalons maintenant », estime-t-elle. Dans la brècheLa quadra à la tenue arc-en-ciel a de quoi s'alarmer. Douze ans après sa création, l'AfD gagne du terrain à chaque scrutin. Après avoir pulvérisé les scores lors des élections estivales dans le Brandebourg, en Saxe et en Thuringe, elle s'impose comme deuxième force politique à l'échelle nationale, juste derrière les conservateurs de la CDU/CSU. Surtout, sa popularité s'étend désormais au-delà des régions sinistrées de l'ancienne RDA. Dans les très prospères Bavière et Bade-Wurtemberg, elle est donnée en deuxième position. Elle est troisième en Rhénanie-Palatinat et quatrième en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où les sondages la placent à 15%, soit un bond de huit points par rapport aux élections de 2021.« En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, l'AfD s'est engouffrée dans le vide laissé par le Parti social-démocrate », constate Volker Kronenberg, professeur à l'Institut de sciences politiques et de sociologie de l'Université de Bonn. Il explique : ces vingt dernières années, le SPD a peu à peu délaissé le monde ouvrier pour se tourner vers les fonctionnaires, les intellectuels et les jeunes urbains, en se concentrant sur des sujets jusque-là défendus par les Verts. Un choix stratégique qui s'est avéré désastreux, en particulier dans la région industrielle de la Ruhr, où la transition énergétique et le déclin économique, additionnés aux défis de l'immigration, ont engendré un profond sentiment d'insécurité au sein de la population. « L'AfD a su parfaitement exploiter ces inquiétudes », remarque Volker Kronenberg.À lire aussiSortie du charbon: en Allemagne, les défis d'une région en pleine mutationLe parti d'Alice Weidel a beau multiplier les outrances, laisser l'un de ses leaders faire l'apologie du nazisme ou se choisir un slogan inspiré du IIIe Reich, rien ne paraît ralentir sa progression. En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, on est cependant encore loin du raz-de-marée observé à l'Est. « La région, et l'Ouest en général, n'est pas un bastion de l'AfD. Les grandes villes universitaires telles que Bonn, Münster ou Cologne ne sont pas des bastions de l'AfD », insiste Volker Kronenberg. Pour nuancer aussitôt : « Concernant les villes de la Ruhr, comme Gelsenkirchen ou Duisbourg, c'est différent. »« De pire en pire »Duisbourg, 500 000 habitants dont près d'un quart de nationalité étrangère, affiche un air morose. Et ce n'est pas seulement à cause de ses rues sans charme. La ville qui fut brièvement la plus riche d'Allemagne dans les années 50 recense aujourd'hui 12% de chômeurs, plus du double de la moyenne nationale. C'est surtout la criminalité qui inquiète. Si elle n'a progressé dans son ensemble que de 3% en 2023, les homicides, viols et agressions à l'arme blanche ont quant à eux fortement augmenté. Or ce sont ces faits divers violents qui marquent les esprits.« Ça a commencé il y a cinq ans et c'est de pire en pire », déplore Frauke Pilarek. Dans la salle à manger de son appartement du centre-ville, l'enseignante fait défiler les articles de presse sur son téléphone portable pour appuyer ses dires. Radio Duisbourg, 3 février 2025 : un homme poignardé à mort par un Germano-Marocain. Spiegel, 28 avril 2023 : un Syrien de 26 ans soupçonné d'avoir agressé cinq personnes au couteau en l'espace de dix jours à Duisbourg. Rheinische Post, 31 octobre 2023 : un jeune homme avoue avoir poignardé sa mère qui le maltraitait. Frauke n'en revient toujours pas. « Ça s'est passé juste en bas de chez moi ! »Quand elle s'est surprise un jour à changer de trottoir en voyant arriver « un groupe de Syriens », Frauke s'est demandée ce qui ne tournait pas rond chez elle. « C'est tellement contraire à mon éducation et à mes valeurs chrétiennes. » Elle a observé le même changement chez son fils de 17 ans, un garçon « mature, à l'esprit ouvert ». « Je sais que c'est quelqu'un de bien. Et pourtant, parfois, en rentrant, il me dit : "Dans la rue, j'étais le seul à parler allemand". Mon fils se méfie et je trouve ça dommage. » Équilibrer les rapports de forceFrauke parle d'une peur « irrationnelle ». Une peur, dit-elle, que l'AfD « sait parfaitement instrumentaliser ». Elle a longuement réfléchi à la question. « Les personnes qui ne sont pas conscientes de cette manipulation peuvent facilement tomber dans le piège de l'extrême droite. Comme l'Allemagne et la région vont de plus en plus mal, les gens ont tendance à se tourner vers les partis qui proposent des solutions apparemment faciles. »À 100 km de là, attablé dans un café de Bonn, Wolfgang Truckenbrodt plaide « non coupable ». « On s'impose par les faits », assure-t-il dans un français parfait, hérité d'un père diplomate. Son père, raconte le septuagénaire d'un ton aimable, a fait partie de ceux qui, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ont parcouru l'Europe pour faire venir des travailleurs en Allemagne. L'homme au physique imposant, petite moustache et crâne rasé, réclame à son tour aujourd'hui une immigration « choisie ». À 72 ans, dont vingt passés dans les rangs de la CDU, il incarne cette aile de l'AfD davantage tournée vers l'Amérique de Trump que la Russie de Poutine et qui considère la radicalité de ses homologues de l'Est d'un œil désapprobateur. Des victoires à l'Ouest permettraient d'équilibrer les rapports de force au sein du parti, estime-t-il. Dans une circonscription peuplée d'étudiants, Wolfgang Truckenbrodt reconnaît pour sa part n'avoir aucune chance. Il y a quatre ans, il avait obtenu 3% des voix aux élections locales. Il serait cette fois « assez satisfait » s'il finissait à 10%.
Le château emblématique de Disney, que l'on retrouve dans les parcs d'attractions et dans l'introduction des films, semble tout droit sorti d'un conte de fées. Pourtant, son architecture féerique puise directement son inspiration dans des châteaux bien réels, notamment le château de Neuschwanstein, en Allemagne.Neuschwanstein : le château du roi fouSitué en Bavière, le château de Neuschwanstein est l'œuvre du roi Louis II de Bavière, souvent surnommé le "roi fou". Passionné par les contes et la musique de Wagner, il voulait construire un château qui ressemble à un décor d'opéra. Construit au XIXᵉ siècle, il ne servait pas à des fins défensives mais était conçu comme une œuvre d'art habitée. Avec ses tours élancées, ses fresques féeriques et son décor médiéval idéalisé, il est devenu la principale source d'inspiration du château de la Belle au bois dormant à Disneyland.Louis II ne verra jamais son rêve achevé : il meurt dans des circonstances mystérieuses en 1886, retrouvé noyé dans un lac. Son château, lui, deviendra l'un des plus visités au monde et inspirera Walt Disney.D'autres influences surprenantesSi Neuschwanstein est l'inspiration principale, d'autres châteaux ont influencé Disney :- Le Mont-Saint-Michel : la silhouette féérique de l'abbaye entourée de brume a inspiré la vision de châteaux perchés sur des rochers dans plusieurs films d'animation.- Le château de Pierrefonds (France) : ses tours imposantes et ses toits en ardoise rappellent certaines caractéristiques du château Disney.- Le château de Chillon (Suisse) : il aurait influencé l'esthétique des châteaux de La Belle et la Bête et de La Reine des Neiges.Un château aux secrets bien gardésDans les parcs Disney, les châteaux ne sont pas que de simples décors :- Ils sont construits avec une illusion d'optique appelée "perspective forcée" : les étages supérieurs sont plus petits que les inférieurs, ce qui donne une impression de grandeur irréelle.- Certains contiennent des pièces secrètes ! Celui de Disneyland Paris cache la Galerie de la Belle au Bois Dormant, avec des vitraux animés.Le château Disney n'est pas seulement une invention de conte de fées, il est le reflet de châteaux bien réels, riches d'histoires mystérieuses et de merveilles architecturales. Une magie qui, décidément, s'inspire du passé pour enchanter le présent ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'Europe bouleversée du début du XIXe siècle, épouser Eugène de Beauharnais, beau-fils de Napoléon, devait conduire Auguste-Amélie de Bavière à bien des déboires. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quelques heures de la conférence de Munich, où pourrait se jouer le sort de l'Ukraine, le vice-président américain JD Vance a accordé une interview au Wall Street Journal, dans laquelle il assure « que l'Ukraine doit avoir une indépendance souveraine ». Et, dans le même temps, il « menace la Russie de sanctions, au cas où le président russe Vladimir Poutine n'accepterait pas un accord de paix avec l'Ukraine ». Lors de cette interview au Wall Street Journal, quelques heures seulement « après que Trump a annoncé qu'il entamerait des négociations avec Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine », le vice-président a aussi assuré « qu'un accord devrait être trouvé et qu'il va étonner beaucoup de monde ». Un accord sur quelles bases ? Selon le vice-président américain, « il est trop tôt pour dire quelle part du territoire du pays resterait aux mains de la Russie, ou quelles garanties de sécurité les États-Unis et les autres alliés occidentaux pourraient offrir à Kiev. Cela devrait être réglé lors de négociations de paix. »À lire aussiConférence Munich sur la sécurité : Trump annonce une réunion avec la Russie, l'Ukraine dit ne pas participer3e attentatCette conférence sur l'Ukraine se déroule donc à Munich, en Bavière, où a eu lieu hier une attaque, qui a fait une trentaine de blessés. Le journal allemand Die Welt parle d'un « carnage » et s'attarde sur le profil de son auteur présumé, celui qui a foncé sur la foule avec une voiture. Il s'agit d'un Afghan de 24 ans, dont on avait dans un premier temps affirmé « qu'il aurait dû quitter le pays ». Ce n'est pas le cas, assure Die Welt, il n'avait pas obtenu l'asile, mais « la capitale du Land de Bavière lui avait accordé un permis de séjour et un permis de travail ». Le ministre de l'Intérieur assure par ailleurs « qu'il n'est pas possible de répondre clairement à la question du motif de l'attaque ». « C'est l'office bavarois chargé de l'extrémisme et du terrorisme qui est chargé de l'enquête », sur cette attaque « qui pourrait servir l'AfD, à quelques jours des législatives allemandes », remarque Le temps, en Suisse. Car « en deux mois à peine, l'Allemagne vient de connaître un 3e attentat ». « Ces attaques, explique de son côté Le Monde, ont placé les questions de sécurité intérieure et migratoires au cœur de la campagne, et ont nourri la progression du parti d'extrême droite AfD, hostile aux migrants ». À lire aussiAllemagne : une voiture percute un groupe de personnes à Munich et fait plusieurs blessésLicenciements annoncésDirection les États-Unis, où Donald Trump poursuit sa purge au sein de l'administration américaine. C'est le New York Times qui s'est penché sur la question… » « Les licenciements s'intensifient », nous dit le quotidien américain. « La division des ressources humaines du gouvernement fédéral, a conseillé aux différentes agences de licencier la plupart des 200 000 employés actuellement en période d'essai ». Le Washington Post de son côté, cite le plus grand syndicat représentant les employés fédéraux, selon lequel « les salariés n'ont reçu aucun préavis, n'ont été informés d'aucune procédure régulière et d'aucune possibilité de se défendre ». Un représentant du service public ajoute que « cela prive probablement le gouvernement de toute une nouvelle génération de talents, qui sont ciblés non pas en raison de manquements professionnels, mais parce qu'il est plus facile de s'en débarrasser ».Racisme et dénigrementEnfin, au Canada, le quotidien Le devoir évoque des faits de racisme visant des Africains. Cela se passe dans la ville de Gaspé, au Québec. « Des infirmières et des infirmiers en formation ont vécu du dénigrement et du racisme pendant leur stage à l'hôpital de Gaspé », raconte Le devoir. « Les étudiants africains se voyant confier une double tâche, conciliant le travail de préposés aux bénéficiaires en plus d'être évalués comme infirmiers ». Le travail de préposé étant considéré comme une mission subalterne. « Cela allait », poursuit le quotidien canadien, « jusqu'à empêcher les étudiants africains de poser des actes d'infirmiers ». Certains de ces étudiants « se sont même vus dire qu'ils ne deviendraient jamais infirmiers ». Aucune plainte n'a toutefois été déposée. Quant aux responsables de ces stages à l'hôpital de Gaspé, ils assurent « ajuster leurs apprentissages ».
Une grenade a été lancée dans un café à Grenoble. Stupéfaction encore ! On se dit mais jusqu'où ira cette forme de violence ? Face à tout cela, Éric Piolle a son attitude, très originale, très singulière. Pour Arlette Chabot, "il faut oser le dire, franchement, cela pose un problème". C'est un sujet existentiel en Chine, la natalité, faire des bébés... et voilà que le mariage devient rémunéré. La Chine est en effet confrontée à une crise démographique sans précédent. Elle multiplie les initiatives. D'après François Lenglet, "dans un demi-siècle, la Chine sera un gigantesque EHPAD". Pour la deuxième fois en moins d'un mois, en Bavière, un jeune homme afghan de 24 ans a percuté avec sa voiture une manifestation syndicale. Abnousse Shalmani pense que "en Allemagne, ils n'ont pas mesuré la dangerosité des attentats".
L'Allemagne est polarisée alors que la campagne des législatives anticipées entre dans sa phase finale. Le favori des sondages, le patron de la CDU/CSU, Friedrich Merz, fait face à un front de contestation, y compris au sein de son propre parti, depuis qu'il a tenté, à deux reprises, de faire adopter des mesures sur l'immigration avec les voix de l'AfD. En décidant de s'appuyer par deux fois sur l'extrême droite pour tenter de faire passer au Bundestag des textes contre l'immigration, Friedrich Merz a brisé un tabou et provoqué un séisme politique. Ses propositions de contrôles permanents aux frontières et de refoulement des demandeurs d'asile « sans-papiers » n'ont été adoptées qu'avec les voix de l'AfD. Jusque-là, aucun parti n'avait encore rompu le « cordon sanitaire » autour de l'extrême droite allemande.Dans un entretien à Ouest-France, le patron de la CDU répète qu'il exclut « toute coalition, tout arrangement, toute forme de coopération avec l'AfD ». Cela sera-t-il suffisant pour rassurer les électeurs modérés du parti ? « Il est très clair que la CDU et ses électeurs ne pourraient pas accepter une véritable alliance avec l'AfD, sous peine d'éclatement du parti. M. Merz le sait et il ne prendra pas ce risque », commente Éric-André Martin, spécialiste de l'Allemagne, ancien directeur de programme à l'Ifri. Mais en choisissant de mettre l'accent sur l'immigration et en faisant voter sa motion grâce aux voix de députés d'extrême droite, il a suscité des réactions hostiles dans l'opinion et provoqué des manifestations importantes dans le pays. « Il polarise et il rendra les choses plus difficiles pour lui s'il ressortait victorieux des élections », souligne Éric-André Martin. En dépit de ce faux pas, dont les conséquences pourront se mesurer le 23 février, Friedrich Merz et son Union chrétienne démocrate restent les favoris des sondages. Friedrich Merz conserve ses chances de prendre la place d'Olaf Scholz à la Chancellerie. Si la CDU/CSU continue de mener la course en tête, le durcissement du ton sur l'immigration, dans la foulée de l'attaque au couteau perpétrée le 22 janvier par un jeune Afghan à Aschaffenbourg, en Bavière, provoque de vives réactions. En faisant adopter une motion non contraignante sur l'immigration avec l'aide de l'extrême droite, puis en échouant à faire voter une proposition de loi visant à refouler tous les migrants à la frontière et à restreindre le regroupement familial, il semble avoir perdu des points. De 34-35 % d'intentions de vote, la CDU passe aujourd'hui à 29-30 %. À lire aussiAllemagne: mobilisation massive contre l'alliance entre la droite et l'extrême droiteCDU toujours en têteLe candidat des Verts à la chancellerie, le ministre de l'Économie Robert Habeck, cité par Deutschlandfunk, a déclaré qu'il ne pouvait pas imaginer que les événements de la semaine dernière « n'aient aucune influence sur la décision de vote des Allemands ». Face aux critiques et mouvements de protestation, lors du Congrès de la CDU lundi 3 février, Friedrich Merz a continué de se justifier : « La grande majorité de la population est d'accord avec nous que les choses ne peuvent pas continuer ainsi, par exemple, en matière de politique migratoire. La minorité sociale et politique, de plus en plus petite en Allemagne, se bat actuellement désespérément pour conserver son pouvoir de décision dans notre pays ». Ses prises de position divisent pourtant jusqu'au sein même de la CDU. À cette occasion, sa vieille rivalité avec Angela Merkel a refait surface. L'ancienne chancelière est sortie de sa réserve pour dénoncer le tournant pris par la droite allemande. « Il n'a pas pu éviter la confrontation avec les Merkeliens », souligne le politologue allemand Werner Patzelt, membre de la CDU, qui estime que les « chances de Friedrich Merz de sortir vainqueur de ce conflit » sont grandes.Douze députés chrétiens-démocrates ont pourtant refusé de voter une proposition de loi de la CDU aux côtés de l'AfD vendredi 31 janvier, faisant échouer d'adoption du texte. « Il a toujours critiqué la politique d'immigration d'Angela Merkel de même que sa politique sociale. Il a promis aux membres de la CDU de changer ce programme politique et c'est exactement ce qu'il a fait la semaine passée », avance le politologue, considéré comme un influenceur de la nouvelle droite, professeur de sciences politiques au Mathias Corvinus Collegium à Bruxelles, un établissement financé par l'État hongrois.Le rapprochement de circonstance du député de Rhénanie-du-Nord-Westphalie avec l'AfD risque de compliquer les choses, bien au-delà des tiraillements entre les divers courants du parti. Friedrich Merz doit s'attendre à ce que la constitution de coalitions soit délicate. Après le vote de la semaine dernière, des membres du SPD se sont prononcés contre une éventuelle coalition avec l'Union chrétienne démocrate. Les négociations avec les autres partis risquent d'être tendues et la CDU devra sans doute réduire ses ambitions. Rien ne dit qu'il pourra, au final, mener sa politique d'immigration très stricte, reconnait Werner Patzelt. « Cela dépend évidemment du score qu'il atteindra, mais les négociations qui suivront le scrutin seront délicates, parce que les socio-démocrates savent que l'Union chrétienne-démocrate n'a pas d'alternative, donc le poids du SPD sera très important. Par ailleurs, la CDU/CSU risque de ne pas pouvoir effectuer la plupart de son programme politique ». À lire aussiAllemagne: en pleine tourmente, la CDU prépare un plan d‘action en cas de victoire aux électionsNégociations délicates en perspectiveLa CDU de Friedrich Merz porte un programme libéral au plan économique et conservateur au plan social, radicalement opposé à celui des sociaux-démocrates sur la quasi-totalité des sujets fédéraux. La percée de l'AfD dans les sondages contribue aussi au durcissement de son programme sur les questions migratoires. Lors de leurs congrès, les démocrates-chrétiens ont adopté un catalogue de 15 mesures à mettre en œuvre « immédiatement » en cas de victoire au scrutin législatif, parmi lesquelles le renvoi de tous les étrangers qui se présentent sans papiers à la frontière, y compris les demandeurs d'asile, et le placement en rétention illimitée d'étrangers délinquants. Ces projets risquent de se heurter au droit européen. Selon les règles de Dublin, l'Allemagne n'est pas autorisée à rejeter purement et simplement les demandeurs d'asile sans examen des demandes.Si l'élu rhénan de 69 ans a toujours été profondément européen, sur cette question de l'immigration comme sur d'autres, il risque d'être en opposition à Bruxelles. Éric-André Martin n'exclut pas des tensions à venir avec les partenaires européens et en particulier la France sur les questions financières. Le millionnaire rhénan, ancien président de la succursale allemande de BlackRock, cherche à replacer au centre du débat public la question de l'économie. Parmi les dossiers qu'il aura à traiter s'il parvient à la Chancellerie, Friedrich Merz devra s'employer à rétablir la compétitivité de l'économie allemande.« La marge de manœuvre qui est la sienne ne lui permettra pas, ou difficilement, d'être ouvert à des questions de financements européens communs. Il va devoir produire des résultats, il aura une forte pression qui réduira sa marge de manœuvre et il sera moins enclin au compromis et à la discussion sur des questions européennes qui ne seront pas pour le moment prioritaires par rapport à l'agenda purement national qui sera le sien », pronostique Éric-André Martin. À lire aussiAllemagne: Alice Weidel, l'inquiétant visage d'une extrême droite décomplexée
Bart De Wever devient Premier ministre, un paradoxe pour un nationaliste flamand qui a longtemps dénoncé l'État belge. Son mandat pourrait soit prouver que la Belgique fonctionne, soit échouer et conforter son discours critique. Il semble désormais adopter un nationalisme pragmatique, à l'image de la CSU en Bavière. Pendant ce temps, Georges-Louis Bouchez entretient le suspense sur son éventuelle nomination comme ministre de l'Intérieur, malgré des obstacles liés à son rôle de chef de parti et son manque de bilinguisme. Maxime Prévot, nommé ministre des Affaires étrangères, cherche à asseoir sa stature politique tout en gérant un parti aux électorats divers. Son leadership fort suscite une dépendance interne que son nouveau rôle pourrait atténuer. Le Vooruit, de son côté, tente une expérience risquée : un socialisme sans le PS ni les Verts, en assumant seul les choix progressistes. Ce pari pourrait accentuer la grogne sociale et alimenter des tensions avec Bouchez. Chaque acteur politique joue gros dans ce gouvernement aux équilibres fragiles. Les prochains mois détermineront qui sortira gagnant de cette configuration inédite. Merci pour votre écoute Les coulisses du Pouvoir c'est également en direct tous les jours de la semaine vers 7h40 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Les coulisses du Pouvoir sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/11443 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
O Aos Fatos desta terça-feira (28) destaca o protesto de barraqueiros que trabalham na Praia da Barra, em Salvador, contra as novas normas estabelecidas pela Secretaria Municipal de Ordem Pública (Semop) que delimitam a quantidade de kits no local. Esta edição ainda repercute a declaração do Ministério Público da Bahia sobre retorno da torcida mista em jogos clássicos como as disputas entre Bahia e Vitória.
Vous aimez Stéphane Bern ? Vous allez adorer l'historienne Virginie Girod ! Aujourd'hui, en sa compagnie, découvrez l'histoire de la folie au pouvoir à travers les récits concernant Charles VI et Louis II de Bavière.
Louis II de Bavière est un roi pour le moins singulier. Cet excentrique, replié dans un monde fantasque, se crée des relations imaginaires avec des figures historiques telles que Louis XIV, à qui il rend hommage en faisant construire un château en son honneur. Toutefois, ses extravagances finissent par l'isoler de son gouvernement, qui, ne tolérant plus ses comportements atypiques, le fait interner pour des raisons de santé mentale. Il meurt à l'âge de 40 ans dans des circonstances restées mystérieuses."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Louis II peine à accepter la réalité, en particulier son homosexualité, contre laquelle il mène une lutte intérieure acharnée. Il trouve refuge dans les arts, notamment dans les opéras de Richard Wagner, qu'il vénère avec une passion dévorante depuis son plus jeune âge."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Avec le temps, Louis II supporte de moins en moins la présence des autres. Il s'isole progressivement, au point de vivre principalement la nuit, moment où il se sent véritablement libre. Peu à peu, il perd tout contact avec la réalité, se réfugiant dans des fantasmes extravagants, entre mises en scène théâtrales et décors artificiels."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bien que Louis II déteste la politique, celle-ci finit par le rattraper lorsque ses opposants s'unissent pour le destituer. Ils l'accusent de souffrir de troubles mentaux et orchestrent son internement."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des Champions : B.Munich/PSG : Paris une nouvelle fois battu, tête basse et au bord du précipice. ; - Ligue des Champions, suite : drôle de soirée à l'Etihad ! ; - Ligue des Champions CAF, c'est parti ! Ligue des Champions : Bayern Munich/PSG : Paris une nouvelle fois battu, tête basse et au bord du précipice. 3 revers en 5 journées, la suite et la fin de parcours s'annoncent difficiles avec Stuttgart et Manchester City à affronter. Safonov gardien surprise, surpris sur corner. Luis Enrique persiste dans ses compos surprises, Dembélé est expulsé avant l'heure de jeu. Toujours pas de buteur en approche, la reconstruction se passe mieux avec Kompany en Bavière qu'avec le coach asturien en Île-de-France. L'ex du Barça et de la Roja n'a remporté que 40% de rencontres en Ligue des champions, les rouge et bleu sont-ils en mesure de remporter les 3 derniers matches pour espérer rester dans le tournoi ? - Spectacle dans la SüdTribune du stade munichois ! Les banderoles anti Nasser ont fleuri, pour dénoncer la « ploutocratie Al-Khelaïfi », et les conflits d'intérêts dans lesquels est impliqué le Qatarien.Ligue des Champions, suite : drôle de soirée à l'Etihad ! Les Sky Blues menaient 3-0 après 53 minutes avant que le Feyenoord ne revienne en moins d'un quart d'heure ! De quoi rendre fou Pep Guardiola, apparu en conférence de presse le nez en sang et le crâne griffé ! Rien ne va plus, qu'arrive-t'il aux Serial gagneurs ? - L'Inter aux commandes ! Les Nerazzurri, invaincus, battent (1-0) Leipzig, mais Liverpool, qui reçoit le Real Madrid ce soir dans un match de gala, n'a pas encore joué. - Soirée prolifique à 40 buts. L'Atlético remporte un set 6-0 sur le terrain du Sparta, Bergame éparpille les Young Boys de Berne, Leverkusen se réveille (5-0) face à Salzbourg.Ligue des Champions CAF, c'est parti ! Pour son grand retour, le Stade d'Abidjan tombe avec les honneurs sur la pelouse de l'ogre continental Al Ahly. - Bon résultat de l'AS Maniema Union (0-0) hier (26 novembre 2024) à Pretoria face aux Mamelodi Sundowns.Avec Annie Gasnier : Hervé Penot, Yoro Mangara et Nabil Djellit. Technique réalisation : Lauren Nemausat/Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des Champions : B.Munich/PSG : Paris une nouvelle fois battu, tête basse et au bord du précipice. ; - Ligue des Champions, suite : drôle de soirée à l'Etihad ! ; - Ligue des Champions CAF, c'est parti ! Ligue des Champions : Bayern Munich/PSG : Paris une nouvelle fois battu, tête basse et au bord du précipice. 3 revers en 5 journées, la suite et la fin de parcours s'annoncent difficiles avec Stuttgart et Manchester City à affronter. Safonov gardien surprise, surpris sur corner. Luis Enrique persiste dans ses compos surprises, Dembélé est expulsé avant l'heure de jeu. Toujours pas de buteur en approche, la reconstruction se passe mieux avec Kompany en Bavière qu'avec le coach asturien en Île-de-France. L'ex du Barça et de la Roja n'a remporté que 40% de rencontres en Ligue des champions, les rouge et bleu sont-ils en mesure de remporter les 3 derniers matches pour espérer rester dans le tournoi ? - Spectacle dans la SüdTribune du stade munichois ! Les banderoles anti Nasser ont fleuri, pour dénoncer la « ploutocratie Al-Khelaïfi », et les conflits d'intérêts dans lesquels est impliqué le Qatarien.Ligue des Champions, suite : drôle de soirée à l'Etihad ! Les Sky Blues menaient 3-0 après 53 minutes avant que le Feyenoord ne revienne en moins d'un quart d'heure ! De quoi rendre fou Pep Guardiola, apparu en conférence de presse le nez en sang et le crâne griffé ! Rien ne va plus, qu'arrive-t'il aux Serial gagneurs ? - L'Inter aux commandes ! Les Nerazzurri, invaincus, battent (1-0) Leipzig, mais Liverpool, qui reçoit le Real Madrid ce soir dans un match de gala, n'a pas encore joué. - Soirée prolifique à 40 buts. L'Atlético remporte un set 6-0 sur le terrain du Sparta, Bergame éparpille les Young Boys de Berne, Leverkusen se réveille (5-0) face à Salzbourg.Ligue des Champions CAF, c'est parti ! Pour son grand retour, le Stade d'Abidjan tombe avec les honneurs sur la pelouse de l'ogre continental Al Ahly. - Bon résultat de l'AS Maniema Union (0-0) hier (26 novembre 2024) à Pretoria face aux Mamelodi Sundowns.Avec Annie Gasnier : Hervé Penot, Yoro Mangara et Nabil Djellit. Technique réalisation : Lauren Nemausat/Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Virginie Girod raconte le destin tragique du roi fantasque Louis II de Bavière.Le 13 juin 1886, dans la soirée, deux corps sont retrouvés flottants dans le lac de Starnberg, non loin du château de Berg, en Bavière. Quelques heures plus tôt, le roi Louis II (1845-1886) avait disparu alors qu'il se promenait avec son psychiatre, le Dr von Gudden. L'identification des cadavres confirme qu'il s'agit bien des deux hommes. Mais qu'est-il arrivé ? S'agit-il d'un suicide ? D'une dispute qui aurait mal tourné ?Louis II de Bavière hérite de la couronne de Bavière en 1864, à la mort de son père Maximilien II. Bientôt, ce grand amateur de musique et de théâtre, fou de l'art et l'être de Richard Wagner, est confronté à la guerre, qu'il tient en horreur. Mais peu enclin à gouverner, Louis II préfère faire construire de somptueux châteaux, multipliant les dépenses et suscitant la colère du peuple et de ses ministres. Quelques jours avant sa mort, il est déclaré inapte à gouverner pour cause de maladie mentale et interné dans une aile de son château de Berg. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Ecriture : Frédéric Pennel- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin BibliographieJacques Bainville, Louis II de Bavière, Texto, 2024Jean des Cars, Louis II de Bavière, Tempus, 2010
Radio Foot, 2è émission en direct à 21h10 T.U. (22h10 Paris). Nous avons en fil rouge la rencontre entre le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain, avec Cédric de Oliveira, notre envoyé spécial en Bavière. Nous faisons le point sur la première série des rencontres comptant pour cette 5è journée de Ligue des Champions, en gardant un œil sur les Brestois en Catalogne, ils sont opposés au FC Barcelone, un des favoris de la compétition. Avec Annie Gasnier : Patrick Juillard et David Lortholary. Technique/réalisation : Laurent Salerno – David Fintzel.
Radio Foot, 2è émission en direct à 21h10 T.U. (22h10 Paris). Nous avons en fil rouge la rencontre entre le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain, avec Cédric de Oliveira, notre envoyé spécial en Bavière. Nous faisons le point sur la première série des rencontres comptant pour cette 5è journée de Ligue des Champions, en gardant un œil sur les Brestois en Catalogne, ils sont opposés au FC Barcelone, un des favoris de la compétition. Avec Annie Gasnier : Patrick Juillard et David Lortholary. Technique/réalisation : Laurent Salerno – David Fintzel.
Soirée de gala pour la 5e journée de la phase de ligue de la Ligue des champions. Brest surprenant 4e avec 10 points, déjà quasiment assuré de disputer les barrages du tableau final, se déplace à Barcelone en quête d'un nouvel exploit. Le PSG, 25e et premier éliminé virtuel au coup d'envoi de son match à Munich, doit en revanche rentrer de Bavière avec des points contre le Bayern. En cas de défaites, les 3 derniers matches ne laisseront plus aucune place à l'erreur. Deux rencontres à vivre dans RTL Foot autour d'Eric Silvestro, avec Philippe Sanfourche à Munich et Nicolas Georgereau en Catalogne aux commentaires. Ecoutez RTL Foot avec Éric Silvestro du 26 novembre 2024.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu. Aujourd'hui, retour sur le match PSG-Bayern de ce soir. Le PSG joue gros à l'Allianz Arena ce mardi 26 novembre.
CELÝ ROZHOVOR V DÉLCE 65 MIN. JEN NA HTTPS://HEROHERO.CO/CESTMIR Jedu šíleným tempem, přiznává herec, režisér, moderátor a bavič Ondřej Sokol a počítá přitom s tím, že už tomu tak nebude dlouho. Vlastně dost směřuju k tomu, že zmizí, což neznamená, že přestane dělat. Některé věci jen zkrátka nebudou lidem tolik na očích. Po 23 letech režírování v Činoherním klubu, o kterém odmala snil a nevěřil, že by se někdy mohlo stát skutečností, se zamýšlí i nad tím, jestli to převratné, co mohl dokázat pro sebe a malý okrsek lidí, se kterými spolupracuje, už neudělal. Je přesvědčený, že expirační doba režisérů je omezená, a nerad by překročil tu svoji. Svou budoucnost vidí v učení. Stejně jako jemu před lety na DAMU jeho pedagogové Luboš Pistorius a Jiří Adamíra změnili život a zanechali v něm svůj otisk, on by ho rád spolu se svými zkušenostmi předával dál. Už se na to vysloveně těší, jakkoli mu možná bude „záře reflektorů“ chybět. To teď neví. Říká, že život je stejný jako cesta do hotelu, který zná člověk jenom z fotek. Má pocit, že pokoj bude velký a koupelna krásná, a ono to tak většinou není. Takže nevylučuje, že ještě bude jednou žadonit a chodit mezi lidi, aby mohl vyprávět vtipy. Což mimochodem na povel neumí doteď. Kde bere energii všechno zvládat? Jak mu změnila život diagnostikovaná porucha autistického spektra? Co bylo na konci jeho působení v populární Partičce? Jak vnímá ohrazování se proti nekorektnosti? Nebo co by poradil Miroslavu Donutilovi? Nejen na to mi Ondřej Sokol otevřeně odpovídal a já si jeho upřímnosti vážím. A věřím, že přidanou hodnotu bude mít i pro vás.
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Herec Vlado Kobielsky už 27 rokov hrá v divadle Astorka predstavenie, ktoré naštudovali s Lukášom Latinákom, Majom Miezgom a Robom Jakabom ešte ako študenti. Okrem toho moderuje galavečer Sieň slávy na STVR a v dabingu prepožičal hlas aj Ant Manovi či Deadpoolovi.
Virginie Girod raconte les atrocités commises par Josef Mengele, médecin SS ayant pris part au processus d'extermination des Juifs d'Europe mis en place par le IIIe Reich.En 1946, l'ouverture du procès des médecins de Nuremberg révèle au monde l'horreur des expériences menées sur des cobayes humains par des médecins nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Pendant huit mois, vingt médecins sont jugés, sommés de s'expliquer sur les raisons qui les ont poussés à trahir le serment d'Hippocrate et se muer en bourreaux. Mais durant ce procès historique, un homme manque à l'appel. Il s'agit du Dr Josef Mengele, surnommé "l'Ange de la mort" par ses victimes.Né dans une famille bourgeoise originaire de Bavière, Josef Mengele (1911-1979) s'oriente vers des études de médecine et d'anthropologie. Dans les années 1920, il adhère à la doctrine nazie propagée par Adolf Hitler dans son texte Mein Kampf, selon laquelle il existe une hiérarchie au sein de l'espèce humaine. Evoluant dans un milieu scientifique largement nazifié, Mengele est convaincu de la supériorité raciale allemande. Après l'avènement du IIIe Reich, il rejoint le parti nazi et intègre la SS. En 1943, il est affecté au camp d'Auschwitz-Birkenau et se livre à l'indicible, menant de monstrueuses expériences sur des sujets humains.Thèmes abordés : Seconde Guerre mondiale, nazisme, médecine, expérimentations humaines Au cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1- Présentation et écriture : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie :Franci Rabinek Epstein, La guerre de Franci, FlammarionBruno Halioua, Les médecins d'Auschwitz, PerrinGerald Steinacher, Les nazis en fuite, Perrin, coll. "Tempus"A voir :Emmanuel Amara, Josef Mengele, la traque d'un criminel nazi, Sunset production, 2017
En 1671, Élisabeth-Charlotte de Bavière (1652-1722), princesse palatine du Rhin, épouse Monsieur, frère du roi Louis XIV. A la Cour de Versailles, Madame Palatine détonne par son caractère singulier. La belle-soeur du Roi-Soleil noue toutefois une relation sincère avec ce dernier. Epistolière profilique, ses écrits nous éclairent sur le Grand Siècle, dont elle est une des meilleures chroniqueuses.Thèmes abordés : Versailles, Roi-Soleil, monarchie, alliance, diplomatie Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe1.- Présentation : Virginie Girod- Ecriture du récit : Frédéric Pennel- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie :Thierry Sarmant, L'envers du Grand Siècle. Madame Palatine, le défi au Roi-Soleil, FlammarionChristian Bouyer, La princesse Palatine, Pygmalion
Nous sommes le 16 juillet 1902, à Beaulieu-sur-Mer, à l'est de Nice, sur la Côte d'Azur. Ce jour-là s'ouvre le chantier de construction d'une villa rêvée par l'un des plus brillants esprits de son temps, un érudit : Théodore Reinach, archéologue, juriste, musicologue et député. C'est un projet né dans le contexte de l'émulation d'une fin de siècle où les écoles d'archéologie multiplient les découvertes majeures. Les vestiges de temples et de palais mis à jour prennent une portée politique : les nations se font concurrence, il en va de leur prestige. La mode est aux copies de maisons « grecques », dans un souci de pittoresque. Dans les années 1840, déjà, Louis Ier de Bavière avait ordonné la copie, près de Francfort, de la villa de Castor et Pollux, découverte à Pompéi. Théodore Reinach ne veut pas d'un pastiche et il fait appel à un architecte qui va bien le comprendre : le multi primé Emmanuel Pontremoli. « Je savais, écrira Pontremoli, et les expériences déjà tentées me le faisaient amplement sentir, que toute restauration, reproduction, reconstruction, d'une demeure du passé est vide de sens si on s'attache exclusivement à ce qu'on croit être la vérité, ou la prétendue vérité archéologique. […] L'œuvre ainsi conçue ne pourrait être qu'un décor sans vie, le jouet d'un moment, la curiosité d'une heure. » Plus tard encore, Fabrice Reinach, petit-fils du commanditaire, reviendra sur l'intention de son aïeul : « Ce fut, plutôt, écrira-t-il, la réalisation et l'accomplissement, au-delà de la diversité de ses connaissances, de ses activités et de ses travaux, de ce que représentait pour mon grand-père l'essence même d'une civilisation au visage essentiellement humain comme celui chez les Grecs de leurs dieux et de leur Art, un modèle et une méthode de raisonnement, un ensemble de valeurs littéraires, politiques et philosophiques que la Grèce ancienne nous a transmises. L'Esprit Grec fut à la fois chez lui rêve et réalité, mémoire et présent. » Partons visiter la villa Kérylos… Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Šašek, mistr absolutního rýmu nebo falešný Štěpán Kozub? Své pravé já prý bavič Jiří Krhut odhaluje v písni Zatahuju pupek, jinak se ale prý předvádí. „Nechtěl bych, aby posluchači nahlédli do mé hlavy, co mi jede, když se s někým bavím, protože vidím slova různě otáčená,“ líčí bavič. Jak pozná, jaký druh humoru bude na které publikum fungovat? Jak se zrodila jeho touha bavit davy? A proč je těžké v češtině rapovat?Všechny díly podcastu Host Lucie Výborné můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Šašek, mistr absolutního rýmu nebo falešný Štěpán Kozub? Své pravé já prý bavič Jiří Krhut odhaluje v písni Zatahuju pupek, jinak se ale prý předvádí. „Nechtěl bych, aby posluchači nahlédli do mé hlavy, co mi jede, když se s někým bavím, protože vidím slova různě otáčená,“ líčí bavič. Jak pozná, jaký druh humoru bude na které publikum fungovat? Jak se zrodila jeho touha bavit davy? A proč je těžké v češtině rapovat?
Dans l'Europe bouleversée du début du XIXe siècle, épouser Eugène de Beauharnais, beau-fils de Napoléon, devait conduire Auguste-Amélie de Bavière à bien des déboires. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Nous sommes le 30 avril 1582, à Liège. C'est ce jour-là qu'a lieu l'inauguration des cours au collège en Isle. Un collège situé sur ce que l'on appelle alors l'île de la Meuse (aujourd'hui, le quartier latin de la cité ardente). Nous sommes dans une institution jésuite. Le succès est immédiat : une vingtaine d'années plus tard, 1200 élèves environ se pressent aux portes de l'établissement. Ernest de Bavière, qui sera l'un des plus prestigieux prince-évêques, nommé l'année précédente, dans un contexte européen de guerre de religion, fera même construire un pont pour éviter aux élèves et aux fidèles du quartier la traversée de la Meuse en barque. Un pont que l'on finira par appeler le « pont des Jésuites ». Officiellement fondée en 1540, à Rome, par le pape Paul III, la Compagnie de Jésus se charge de propager et défendre la foi catholique. Le nouvel ordre va rapidement se répandre à travers l'Europe et le monde. Nos régions, en particulier, figurent parmi celles les plus densément ponctuées d'établissements jésuites où, pendant deux siècles, seront enseignées la grammaire, la syntaxe, la poésie et la rhétorique. En dehors de l'enseignement, les Jésuites vont aussi très fortement s'ancrer dans les différents domaines qui composent le tissu social : prisons, hôpitaux, imprimerie … De quelles manières ces « pères vêtus de noir » vont-ils marquer la région de Liège ? C'est ce que l'on voit avec Annick Delfosse, vice-doyenne de la Faculté de philosophie et lettres, professeure ordinaire à l'Université de Liège. Elle y enseigne l'histoire moderne. Elle présente la conférence : « Des robes noires sur l'Isle-al-Hochet : les jésuites et Liège à l'époque moderne » le 23/05/2024 à partir de 20:00 dans la Salle Noppius Opéra. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Ce mercredi au sommaire de Radio Foot en direct 16h10TU (18h10 heure de Paris): Ligue des Champions – la 2è demi-finale aller de ce mercredi à la loupe ! Dortmund Vs PSG : Paris au pied du mur jaune au Signal Iduna Park. Tombeurs de l'Atlético Madrid, les hommes d'Edin Terdić attendent Kyky et les siens de pied ferme ! Luis Enrique quant à lui jouera la gagne. Le technicien catalan a-t-il les moyens de son ambition ? Quelle composition pour quel schéma tactique. Éléments de réponses avant le coup d'envoi (21h) de ce choc avec notre envoyé spécial dans la Ruhr, Cédric De Oliveira. Bayern Munich vs Real Madrid (2-2)Une Casa Blanca à réaction, et un Bayern qui pourrait nourrir des regrets dans une semaine au Bernabeu. Retour sur une grande soirée européenne en Bavière où les buteurs stars des deux camps ont su répondre présent !FC Porto, André Villas-Boas élu président !Le 32è de l'histoire d'un des clubs les plus titrés du Portugal. Pourquoi l'ancien entraîneur des Dragons a-t-il décidé de relever un tel défi ? Marco Martins, journaliste à RFI, nous livrera quelques éléments de réponse.Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Carlos Bianchi, Éric Rabesandratana, Marco Martins et Sophiane Amazian. — David Fintzel et Pierre Guérin — TCR : Matthieu Degueldre.
Radio Foot internationale, deux émissions en direct 16h10-21h10, au sommaire de la 1ère : - La Ligue des Champions à l'heure des ½ finales aller : un ciel constellé d'étoiles ce soir à Munich. ; - Sauver l'institution Bayern, les «Roten», qui comptent des absents, n'ont plus que la C1 pour briller cette saison ! ; - C1 féminine : les Lyonnaises retrouveront les Barcelonaises en finale pour la 3è fois. - La Ligue des Champions à l'heure des ½ finales aller : un ciel constellé d'étoiles ce soir à Munich. Le Bayern, qui en compte six sur le maillot, accueille le Real Madrid, 14 fois titré ! 2 clubs qui ont disputé 28 des 69 finales de la prestigieuse compétition européenne. 2 formations qui se sont affrontées à 26 reprises. Les Rekordmeister de retour dans le dernier carré pour la 1ère fois depuis 4 ans. Les Merengue veulent rallier Wembley, 2 ans après le dernier sacre de Paris.- Sauver l'institution Bayern, les «Roten», qui comptent des absents, n'ont plus que la C1 pour briller cette saison ! Thomas Tuchel aimerait bien soulever une nouvelle fois la «coupe aux grandes oreilles. » -- Quel plan pour les Blancos du «mister» Ancelotti, pour préserver les chances de qualification à domicile ? Attention à l'excès de confiance côté Real, après avoir sorti l'autre grand favori du tournoi, les Citizens, au tour précédent ! -- Un match dans le match : entre compères de la « Three Lions » Kane et Bellingham, un retour aux sources, celui de Toni Kroos, dans un stade où il a connu de bons et de mauvais souvenirs, et celui d'Ancelotti qui retrouve la Bavière.- C1 féminine : les Lyonnaises retrouveront les Barcelonaises en finale pour la 3è fois. Les Fenottes ont sorti le PSG, les Catalanes ont renversé Chelsea à Londres, après avoir perdu le match aller. -- Focus sur Tabitha Chawinga. Pour ses débuts en D1, l'attaquante malawite du PSG a été nommée hier meilleure joueuse de la saison, et pense au Ballon d'Or !Autour d'Annie Gasnier : Carlos Pizarro, Benjamin Moukandjo et Salim Baungally. -Technique/Réalisation David Brockway. -- David Fintzel/Pierre Guérin.
No ar, mais um #NE451ªedição. Na pauta desta quinta-feira, a turma aborda os temas mais comentados do dia, incluindo as falas de Ray Vanegas sobre sua passagem pelo Náutico, a entrevista de Vojvoda e as projeções de Ceni para o Ba-Vi. Ouça agora ou quando quiser.
No ar, mais um #NE451ªedição. Na pauta, os ingressos esgotados para o clássico Ba-Vi, que promete uma atmosfera eletrizante para os torcedores presentes; as análises sobre a chegada de Thiago Lopes ao Náutico, abordando o que o meio-campista pode trazer para a equipe e por fim, a saída de Roberto Fernandes do Retrô também é […]