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SAMEDI 14 JUIN 2025Olivier Bourdet-Pees - Cave de Plaimont (Sud-Ouest)À la tête de Plaimont, Olivier incarne une vision moderne et engagée de la viticulture du Sud-Ouest. Œnologue passionné, il révèle avec exigence la richesse des cépages oubliés et des terroirs singuliers. Entre innovation, biodiversité et transmission, Plaimont trace la voie d'une viticulture durable et identitaire.Julien Revillon - Maison Piron (Beaujolais)Depuis 1590, la Maison Piron incarne l'excellence et l'élégance des grands crus du Beaujolais, avec Morgon en signature. Entre héritage familial et vision contemporaine, elle vinifie près de 50 ha de terroirs d'exception. Des vins racés et fruités, nés d'une viticulture artisanale et durable.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec ce pic de chaleur intense attendu ce mercredi dans le sud ouest jusqu'à 38° par endroit, une vague qui va ensuite évoluer vers les régions centre et champagne
On commence avec ce pic de chaleur intense attendu ce mercredi dans le sud ouest jusqu'à 38° par endroit, une vague qui va ensuite évoluer vers les régions centre et champagne
Un pic de chaleur a démarré ce mercredi 10 juin dans le sud-ouest et va s'étendre à toute la France d'ici à vendredi. A quelles températures s'attendre ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un pic de chaleur a démarré ce mercredi 10 juin dans le sud-ouest et va s'étendre à toute la France d'ici à vendredi. A quelles températures s'attendre ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est dans le Sud-Ouest qu'il a fait le plus chaud mardi 10 juin, jusqu'à 35 degrés dans les rues de Toulouse où l'on croisait bien peu de monde. Mais les chantiers de voiries n'attendent pas et les ouvriers du bâtiment et des travaux publics doivent s'adapter à ces températures record. Patrick Tejero a rencontré une équipe d'ouvriers qui doit faire avec et se protéger... Ecoutez RTL inside avec Patrick Tejero du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction l'est de l'Europe. Chaque jour, la Russie est à l'offensive contre l'Ukraine. Missiles, drones, artillerie, le nombre des victimes, le plus souvent des civils, ne cesse d'augmenter et pour l'Europe, le risque d'une extension du conflit au-delà de l'Ukraine est très prégnant. L'Estonie est déjà en position défensive, mais pour s'armer, il faut de l'argent, la part du PIB réservée à l'armement va donc passer de 3 à 5%. En seconde partie, direction le Cameroun, à Buea, dans l'ouest du pays non loin de la zone côtière, dans l'une des 2 régions anglophones. Buea tangente la zone chaude du conflit séparatiste. Estonie : la Défense à tout prix C'est une ex-République de l'URSS située au nord de l'Europe : l'Estonie, l'un des trois pays baltes vit avec la crainte de subir à son tour une attaque de son grand voisin russe. Le pays qui dépense déjà beaucoup pour sa défense - plus de 3% de son PIB - a décidé d'aller encore plus loin. Dès l'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5% de son PIB à la défense. C'est d'après le gouvernement, le prix à payer pour assurer sa sécurité, tout en gardant le soutien de l'allié américain.Un Grand Reportage de Nicolas Feldmann qui s'entretient avec Jacques Allix.Buea, les échos d'une crise oubliée au Cameroun anglophone Au Cameroun, les autorités viennent de célébrer (le 20 mai) la Fête de l'Unité nationale. Mais dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée. Face à face : groupes séparatistes réclamant l'indépendance du Cameroun anglophone et forces gouvernementales. En 8 ans, la nature de la crise a changé. Les mouvements armés se sont fragmentés. Le front s'est dilué en diverses zones d'insécurité.Les civils restant les premières victimes.L'impact est réel, même dans les zones calmes des régions anglophones.En cette année électorale au Cameroun, Amélie Tulet s'est rendue fin février 2025 à Buea, capitale du Sud-Ouest, relativement sûre et terre d'accueil de nombreux déplacés. La population y souffre de la crise en termes de santé, de sécurité, ou d'économie.Un Grand reportage d'Amélie Tulet, avec Alphonse Tebeck. Entretien avec Jacques Allix.
durée : 00:28:45 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Focus sur la cuisine ardéchoise, entre influences méditerranéennes et climats montagnards. Au sud, l'huile d'olive, le thym et les cultures maraîchères ; plus haut, c'est le beurre qui domine, avec les pommes de terre et les myrtilles. Et entre les deux, les vergers et les châtaigniers... - réalisation : Fanny Constans - invités : Claude Brioude Chef du restaurant et du bistrot Brioude à Neyrac-Les-Bains en Ardèche, auteur du livre "Connaître la cuisine Ardéchoise" aux éditions du Sud-Ouest.; Florian Descours Chef du restaurant étoilé la Bòria en Ardèche; Ninon Tanga Cuisinière et chercheuse en culture culinaire en Nord-Ardèche
durée : 00:28:45 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Focus sur la cuisine ardéchoise, entre influences méditerranéennes et climats montagnards. Au sud, l'huile d'olive, le thym et les cultures maraîchères ; plus haut, c'est le beurre qui domine, avec les pommes de terre et les myrtilles. Et entre les deux, les vergers et les châtaigniers... - réalisation : Fanny Constans - invités : Claude Brioude Chef du restaurant et du bistrot Brioude à Neyrac-Les-Bains en Ardèche, auteur du livre "Connaître la cuisine Ardéchoise" aux éditions du Sud-Ouest.; Florian Descours Chef du restaurant étoilé la Bòria en Ardèche; Ninon Tanga Cuisinière et chercheuse en culture culinaire en Nord-Ardèche
durée : 00:28:45 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Focus sur la cuisine ardéchoise, entre influences méditerranéennes et climats montagnards. Au sud, l'huile d'olive, le thym et les cultures maraîchères ; plus haut, c'est le beurre qui domine, avec les pommes de terre et les myrtilles. Et entre les deux, les vergers et les châtaigniers... - réalisation : Fanny Constans - invités : Claude Brioude Chef du restaurant et du bistrot Brioude à Neyrac-Les-Bains en Ardèche, auteur du livre "Connaître la cuisine Ardéchoise" aux éditions du Sud-Ouest.; Florian Descours Chef du restaurant étoilé la Bòria en Ardèche; Ninon Tanga Cuisinière et chercheuse en culture culinaire en Nord-Ardèche
L'oreille en bouche l'émission gastronomique de Radio Radio Toulouse
Grande masterclass autour des produits les mieux "sourcés" du Sud-Ouest avec le "dealer de merveilles" Ghali Jawhari, fondateur de Racé, et en compagnie de Bastien Rabois, Gauthier de Castelbajac et Mikaël Lecumberry. Un véritable antidote à la morosité.
durée : 00:15:47 - Journal de la création du dimanche 25 mai 2025 - par : Laurent Vilarem - Il n'y pas que Paris dans la vie : il y a le Sud-Ouest aussi ! A Poitiers, l'Ensemble Ars Nova présente un beau programme autour de la figure d'Orphée, tandis que l'organiste Jean-Christophe Revel offre une véritable révolution instrumentale à Auch dans le Gers. - réalisé par : Arthur Rayrole
Au Cameroun, les autorités viennent de célébrer (le 20 mai) la Fête de l'Unité nationale. Mais dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée. Face à face : groupes séparatistes réclamant l'indépendance du Cameroun anglophone et forces gouvernementales. En 8 ans, la nature de la crise a changé. Les mouvements armés se sont fragmentés. Le front s'est dilué en diverses zones d'insécurité. Les civils restant les premières victimes.L'impact est réel, même dans les zones calmes des régions anglophones.En cette année électorale au Cameroun, Amélie Tulet s'est rendue fin février 2025 à Buea, capitale du Sud-Ouest, relativement sûre et terre d'accueil de nombreux déplacés. La population y souffre de la crise en termes de santé, de sécurité, ou d'économie.«Buea, les échos d'une crise oubliée au Cameroun anglophone», un Grand reportage d'Amélie Tulet, avec Alphonse Tebeck.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
L'ancien leader de l'opposition Succès Masra a été arrêté chez lui ce matin un peu avant 6 heures. Les autorités accusent régulièrement l'ancien Premier ministre d'incitation à la haine, une accusation renouvelée à l'occasion des violences intercommunautaire de mercredi dans le Logone occidental, région du sud du Tchad.
Marc Leverger est un entrepreneur dynamique originaire de Toulouse, connu pour avoir fondé Brico Privé, une entreprise opérant à l'échelle nationale et internationale. Dans sa quête de renouveau après le succès de Brico Privé, Marc a décidé de se concentrer sur le développement régional en investissant dans des PME locales du Sud-Ouest de la France. Il s'est associé à un fonds d'entrepreneurs, Ressources, qui met en avant la collaboration avec des chefs d'entreprise locaux pour soutenir le tissu économique régional. Ce fonds se distingue par son approche de proximité et son engagement à incarner le développement économique des territoires.Dans sa nouvelle aventure, Marc reste fidèle à son esprit entrepreneurial, s'impliquant activement dans le développement des entreprises locales et soutenant des projets variés allant de la tech à la PME classique. Il s'intéresse particulièrement à des entreprises résilientes et cherche à identifier des dirigeants capables de porter des projets ambitieux. À travers son engagement, Marc continue de promouvoir l'innovation tout en valorisant les compétences locales et en consolidant le tissu économique régional, tout en apportant son expertise en matière de croissance et de gestion stratégique.[00:00:00]: Introduction[00:00:18]: Avantages du train versus avion[00:00:57]: Implantation régionale et Brico Privé[00:02:30]: Développement régional avec Fonds Ressources[00:04:35]: Rôle dans le fonds et relation avec les entrepreneurs[00:05:27]: Création d'un fonds, une aventure entrepreneuriale[00:09:31]: Profil des entreprises ciblées par le fonds[00:14:42]: Processus de sélection des entreprises[00:17:31]: Risque et rendement dans le capital développement[00:19:58]: Facteurs communs de succès des entreprises[00:20:58]: Qualités recherchées chez un dirigeant[00:27:27]: Diversité des secteurs d'activité[00:29:43]: Surprises et découvertes en région[00:31:24]: Avantages des fonds régionaux[00:33:44]: Vision et stratégie de Ressources[00:37:52]: Exemples d'entreprises investies[00:39:04]: Accompagnement des entrepreneurs par Marc[00:44:35]: Culture du private equity en région[00:47:06]: Impact de Brico Privé sur l'accompagnement des entrepreneurs[00:49:38]: Challenges de l'hyper croissance[00:52:28]: Importance de l'apprentissage continuDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vrai Titi Parisien, Antoine s'essaie à divers sports de se mettre au rugby à 16 ans, rejoignant le PUC avec ses 2 frères.Doté d'un physique et d'une envie hors du commun, il est immédiatement retenu dans les sélections locales. Il tape alors dans l'œil du staff de l'équipe de France Junior avec laquelle il disputera la Coupe du Monde !Après seulement 3 saisons de rugby, Antoine s'engage au Stade Français et fait immédiatement sa place en équipe première parmi les stars de l'époque ! Aussi incroyable que cela puisse paraitre, il remporte le Brennus dès sa première année chez les Pros en 2007, à tout juste 19 ans. Il remettra ça en 2015, et décrochera également une Challenge Cup en 2017 !International avec le XV de France et auteur de 16 saisons (parfois mouvementées) avec le Stade Français, son corps usé a décidé en 2022 qu'il était temps de raccrocher les crampons.Aujourd'hui, Antoine et sa petite famille ont quitté la région Parisienne pour s'installer dans le Sud-Ouest, non loin de Toulouse ou il a entamé sa reconversion pour devenir agent de joueurs !J'ai passé un magnifique moment en sa compagnie : vous l'entendrez, Antoine pense différemment, et vous allez comprendre comment celui qui n'avait jamais rêvé de devenir joueur pro est finalement devenu un monument du rugby Parisien.Bonne écoute !-----------------------------
Bienvenue sur notre nouvel épisode de l'Echo des Campagnes, dédié aux couverts végétaux, enregistré au salon Innovagri à Ondes en septembre 2024 - d'où la présence de quelques bruits de fond sonores dû à l'activité du salon !Carole Merienne est conseillère en agroécologique au sein de la Chambre d'Agriculture de Haute Garonne, spécialisée dans les couverts végétaux aussi bien grandes cultures qu'alimentation animale, en pâturages tournants dynamiques et en fourragères. Dans cet épisode, Carole nous livre ses retours d'expérience sur l'utilisation des couverts végétaux dans le contexte Sud Ouest de la France - sols plutôt déficitaires en matière organique, climat plutôt agressif : quels couverts choisir dans ce contexte, comment bien les implanter ? Comment arrive-t-on à trouver un équilibre économique ? Nous ferons également un focus sur la valorisation des couverts végétaux en fourrage, sur le pâturage et le système méteil fourrager.Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:39 - Un mental en pierre d'Arudy - Réécoutez le Si j'osais de ce mercredi 14 mai 2025 où il est question de santé mentale et de l'art de vivre du Sud-Ouest
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:15:29 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Hervé Pauchon, ancienne voix de France Inter, publie un livre qui raconte son périple à pied, du Nord-Est au Sud-Ouest de la France. Il refait aujourd'hui le trajet à vélo. Egalement au programme : So Créative, une association des Yvelines qui aide les personnes précaires à aménager leur intérieur.
PRESS REVIEW – Tuesday, May 6: The Peruvian press are searching for answers after 13 miners were found murdered in an underground shaft. Also: French Justice Minister Gérald Darmanin finally apologises for the police's violent treatment of Liverpool football fans during the 2023 Champions League final in Paris. Snooker has a new world champion: controversial Chinese player Zhao Xintong. Plus, we look at the best and worst of billionaires' fashion at the Met Gala. There's shock in Peru after the bodies of 13 miners were found in an underground shaft. The grisly murders came to light on Sunday with the discovery of the bodies in a shaft operated by Peru's largest gold mining company in the Pataz region. The New York Times explains that the region has seen growing conflict over access to ore recently as gold prices soar amid illegal mining and organised crime.The Peruvian press are leading with the story. El Comercio, a Peruvian daily, calls the attacks bloody and cruel. Peruvian President Dina Boluarte held a press conference on Monday, announcing the suspension of mining for 30 days. El Comercio's editor reacts to her speech, saying that rather than reassuring the public, her message did the opposite. It confirmed the disorientation in the government about how to address the very serious situation of violence and crime in Peru. Another Peruvian daily La República, meanwhile, headlines with the face of the man believed responsible. Miguel Rodriguez Diaz, aka "El Cuchillo", was identified by the president as one of those responsible. The paper reports that he fled to Colombia shortly after her press conference. He had been inexplicably released by the public ministry. Rodriguez Diaz is known for his ties to criminal organisations in the Pataz region, where 39 deaths linked to illegal mining have occurred since 2023. Rodriguez Diaz is allegedly responsible for the murder of four people at another mine last year.Here in France, Gérald Darmanin has issued an apology to Liverpool football fans. As FRANCE 24 reports, Darmanin is French justice minister but back in 2022, he was interior minister amid the French government's chaotic handling of the Champions League final in Paris between Liverpool and Real Madrid. On that day, police fired tear gas and pepper spray at thousands of supporters, injuring many, as authorities blamed rowdy fans. In his interview, Darmanin admitted that France was not ready to host the final, which was moved from Russia in the midst of the war in Ukraine. The editor of Sud Ouest, a large regional paper in France, sees some shrewd ulterior motives in Darmanin's apology. The editor wonders if the apology is an attempt to wipe the slate clean ahead of presidential elections in 2027, in which he intends to run. "When one has one's eyes on the Elysée Palace, you need a political do-over," it says.In the Liverpool press, it's a different story: Liverpool Echo offers a measured response, noting that Darmanin offered his first full and frank apology for the way Liverpool fans were treated. Empire of the Kop, a news service run by a group of Liverpool fans who are professional journalists, are far more sceptical. They call it a "long overdue" apology, but remind us that Liverpool fans' patience actually prevented a frightening situation from getting worse. Furthermore, in his apology Darmanin said he expected a war of hooligans and for this publication, that's an unfair generalisation of fans from both Real Madrid and Liverpool.In other news, snooker has a new world champion! The Global Times reports that 28-year-old Zhao Xintong from China has won the World Snooker Championship after he defeated the three-time world champion, Welshman Mark Williams, in a thrilling final on Monday. His victory is a complicated one. Zhao returned recently to the sport after a 20-month ban over match-fixing that involved 10 Chinese players in 2023. He did not match-fix himself, but was party to another player who did. This is why his victory is somewhat muted in snooker circles. However, for The Independent, there is no doubt he will reach stratospheric levels of popularity in China, where snooker, a quaint British invention, is immensely popular. However you feel about him, Zhao is changing the face of snooker. The Telegraph calls him the Roger Federer of the snooker world.Finally, the press are focusing on one of the biggest events on the fashion calendar. The Met Gala celebrated Black dandyism in New York on Monday. Business Insider offers us a best and worst dressed list of billionaires at the event. On the best dressed list: Wendy Murdoch and her daughter Grace. The former wife of Rupert Murdoch and her daughter were charming in elegant white and gold outfits. On the worst dressed list: Norwegian tech billionaire Gustav Witzoe, in a white blazer cape hybrid with a briefcase of rose petals. Star Wars legend George Lucas also disappointed with his boring navy suit, while Kim Kardashian put together an unimaginative ensemble. Finally, Australian billionaire Anthony Pratt is not doing Australia's reputation for low fashion any favours, as people are disappointed with his lime-green eyesore! It turns out that money does not always buy good taste!You can catch our press review every morning on France 24 at 7:20am and 9:20am (Paris time), from Monday to Friday.
Après presque deux semaines de test du Zoom H4 Essentiel, je te fais mon retour. Et puisque pas mal d'entre vous m'ont posé des questions sur son grand frère, le Zoom H6 Essentiel, qui de plus légitime que Mathieu — détenteur de ce dernier — pour nous en parler ? Aux extrêmes points cardinaux de la France : lui dans le Sud-Ouest, moi dans le Sud-Est. Grâce à la magie de la fibre optique et d'un bon logiciel de conférence, nous voilà réunis, comme si nous étions dans la même pièce, en train d'échanger sur un sujet qui nous passionne : le son, et l'usage d'une solution d'enregistrement accessible. Merci à Romain pour son retour vocal sur WhatsApp — et ne sois pas timide, fais comme lui
durée : 00:25:34 - Le Banh Mi: sandwich vietnamien - Avec son food truck, Saida revisite les classiques de la cuisine asiatique. Banh mi aux produits locaux, gyozas twistés aux saveurs du Sud-Ouest et autres spécialités maison sont à déguster chaque semaine à la Forge Moderne de Pau. Une cuisine généreuse et pleine de passion
Le Canada possède environ le cinquième de toutes les réserves d'eau douce de la planète. Ce sont de vastes ressources, contemplées avec envie par plusieurs, dont un certain président américain aux visées expansionnistes. Donald Trump évoque l'image d'un énorme robinet qui permettrait à l'eau canadienne d'abreuver les terres arides du Sud-Ouest américain. La journaliste Mélanie Meloche-Holubowski explique les obstacles légaux et logistiques qui rendent cette vision bien compliquée à réaliser.
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On parle des anguilles ce matin, plus précisément de leurs bébés ! Vous aimez peut être manger des civelles, ces très jeunes anguilles, de quelques centimètres, on dit aussi les pibales dans le Sud Ouest ! Mais savez-vous que leur pêche est extrêmement réglementée ? Une pêche saisonnière de novembre à avril, réservée aux professionnels avec des quotas. Ce poisson surnommé l'or blanc, est très couru et l'espèce est en danger d'extinction. II y a du braconnage et des trafics organisés vers l'Asie où les civelles vivantes, s'achètent en moyenne 5000 euros le kilo. Plusieurs trafics viennent d'être démantelés. Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 15 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en 480 avant notre ère. C'est en septembre que se livre la bataille de Salamine, une île située non loin d'Athènes. Cette bataille navale voit l'alliance des Cités grecques, dirigée par Thémistocle, affronter l'Empire perse, mené par Xerxès. L'affrontement se solde par la victoire des Grecs. Le roi Xerxès décide alors de rentrer en Asie avec ce qui reste de ses navires et laisse son général en chef, Mardonios, prendre la tête d'un conflit qui va se poursuivre par des opérations terrestres en Grèce d'Europe. Au cours de cet épisode, une femme va s'illustrer, elle se nomme Artémise. Elle a dirigé la cité d'Halicarnasse, en Carie, au Sud-Ouest de l'Asie mineure. Bien que Grecque, elle fait partie de l'état-major perse. Qui est réellement cette femme de pouvoir ? L'historien Hérodote l'admire mais pour d'autres, sa présence à la guerre indigne. En effet, comment des citoyens d'Halicarnasse auraient-ils pu accepter qu'une femme les gouverne et commande leurs navires ? Quel regard, au fond, les habitants des cités grecques portaient-ils sur les femmes de pouvoir ? Comment organisaient-ils les relations sociales entre les sexes ? Comment construisaient-ils la masculinité et la féminité. La vie d'Artémise a-t-elle été exceptionnelle ? En quoi nous éclaire-t-elle celle de ses contemporaines ? Avec nous : Violaine Sebillote Cuchet, professeure à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Autrice de : « Artémise – Une femme capitaine de vaisseaux dans l'Antiquité grecque » ; éd. Fayard. Sujets traités : Artémise, Grèce, Athènes, Epire Perse, Xerxès, vaisseau, capitaine, Hérodote, féminité Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Gersois pur jus, petit fils et fils de rugbymen, c'est dès l'enfance que Jean-Baptiste tombe dans la marmite ovale !Pétri de qualités, il fait ses classes à Auch et en franchit les échelons un à un jusqu'à en atteindre l'équipe première peu après sa majorité ! En 2004, il est l'un des grands artisans du titre Auscitain en Pro D2 ! La saison suivante, il termine meilleur réalisateur du Top 16, remporter le Bouclier Européen et honore sa première cape avec France A.C'est alors que la Capitale de Gascogne devient un peu trop petite pour lui, et qu'il prend la direction de Clermont Ferrand où il passera une saison, avant de filer à Lyon, Bourg en Bresse et Béziers où il a terminé sa carrière professionnelle.Retraité des terrains depuis 2014, Jean-Baptiste est un très, très bon vivant, qui a pleinement profité de sa jeunesse. D'ailleurs, il a pris conscience un petit peu tard du niveau d'exigence que représente le rugby professionnel, et ça lui aura joué quelques tours.Aujourd'hui, Jean-Baptiste est un père de famille calme et apaisé. Superbement reconverti dans l'immobilier, il est de retour dans le Sud-Ouest, et ne rate évidemment aucune occasion de remettre les pieds dans son Gers.Quel bon moment on a passé ! Jean-Baptiste n'est vraiment pas le dernier pour déconner, et j'ai adoré l'honnêteté et le recul dont il fait preuve.Bonne écoute !-----------------------------
Dans les deux régions à majorité anglophone du Cameroun, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Il n'y a plus de front à proprement parler mais des zones d'insécurité, où les armes circulent et où les civils sont les premières victimes. Les conséquences sont aussi économiques, sur la vie quotidienne des habitants. Par Amélie Tulet et Alphonse Tebeck,Sur la route de Buea en partant de Douala, une fois passé le fleuve Moungo, Salim, chauffeur, constate à quel point le paysage a changé : « Avant la crise, juste quand on finissait de traverser les champs d'hévéas, on avait de vastes étendues de plantations de bananes plantain, entretenues et exploitées par la CDC (Cameroon Development Corporation). Mais depuis la crise, les séparatistes ont empêché les travailleurs d'aller aux champs et puis, tout est allé en ruine. C'est triste. »Embouteillages et pénurie de logementsUne fois à Buea, aux heures de pointe, sur l'axe principal qui traverse cette ville du sud-ouest du Cameroun, les conducteurs de taxis ont dû s'habituer aux embouteillages. Avec l'afflux de déplacés, en moins de trois ans, la population a doublé. « Nous trouvons difficile de circuler comme nous le faisions il y a six ou sept ans », se lamente l'un d'eux. « On se trouve confronté à des défis comme la surconsommation d'essence dans les embouteillages, renchérit un autre. C'est vraiment le premier problème : le temps perdu… C'est dur. Il y a du travail, mais ça va trop lentement à cause du monde. La population a augmenté, mais il n'y a pas assez de routes. »Une croissance rapide qui se fait sentir aussi dans le quotidien de cet agent immobilier : « Les habitants des zones reculées de Kumba et de Bamenda viennent ici dans la zone verte de Buea. Ça pousse les propriétaires à augmenter les prix. La demande est supérieure à l'offre, ça affecte les plus pauvres. Certains, pour s'en sortir, cotisent et se mettent à cinq dans une seule chambre. »Commerce perturbé, taxes des groupes armésEn journée, Buea est une ville commerçante animée. Le soir, de nombreux bars sont ouverts. Malgré cet apparent retour à la normale, les « ghost town mondays » (les lundis villes mortes), décrétés par les groupes armés, continuent d'être respectés par une partie des habitants, ce qui fait chuter l'activité.« Je fais des yaourts et je les vends, mais le lundi, les affaires tournent au ralenti, témoigne une commerçante. Comme c'est journée ville morte, les gens restent chez eux. Ils ne viennent pas au marché. Ça fait baisser mes revenus. Ça affecte mon foyer. Parfois, je n'ai plus d'argent pour le lendemain pour envoyer mon fils à l'école. Vous savez, quand c'est lundi ville morte, chacun pense d'abord à sa survie. Alors, tout le monde reste à l'intérieur. »En dehors des agglomérations, sur les axes qu'ils contrôlent, les groupes armés continuent de prélever sur les habitants des taxes : taxes sur les personnes, les marchandises, jusqu'aux corps des défunts qu'il faut enterrer au village.À lire aussiCameroun anglophone: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Pourtant, au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Cependant, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés. Il n'y a plus de front, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. Les armes circulent et les kidnappings crapuleux pour extorquer de l'argent aux habitants sont nombreux. Rencontre avec une rescapée d'un de ces enlèvements contre rançon. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Pour témoigner, elle choisit le prénom Assiko. Début mai 2020, Assiko a 27 ans quand elle est enlevée en pleine rue à Bamenda, dans l'ouest du Cameroun.« On est sortis déjeuner avec ma sœur aînée et vers 19 heures, à la sortie du restaurant, ils nous ont interceptées. Ils ont pris la voiture, ils nous ont emmenées, ils nous ont couvert la tête. Quand ils nous ont libéré le visage, on était dans la brousse. On n'avait aucun moyen d'identifier la route par où nous sommes arrivées. Nous étions très loin dans la forêt, là où on entend juste le chant des oiseaux, et comme un ruisseau. Il y avait une sorte de grange. C'est là qu'on a passé la nuit », se souvient-elle.Une nuit d'angoisse commence alors pour Assiko et sa grande sœur : « C'était terrible… terrifiant. Ils pointent des armes sur vous, vous donnent des coups de pieds, vous frappent. Vous voyez ces marques sur mes jambes, ce sont des cigarettes. Ma sœur avait des tresses. Vous savez ce que ça signifie pour une femme, quand ils arrachent les cheveux, malgré les cris ? », raconte la jeune femme.Elle poursuit : « Il n'y a pas eu de viol. Nous avons eu de la chance. Mais les gens qu'ils ont emmenés avant nous, nous avons compris qu'ils avaient été tués. » Ceux qui les ont enlevées leur prennent tout : argent, chaussures... Ils cherchent également contacts et photos de leur maison dans leurs téléphones.« Être à Bamenda, c'est comme vivre dans une cage »Au petit matin, Assiko reconnaît un de ses ravisseurs : « Il a dit "j'ai fait une erreur". Puis, il a dit ''tu n'as pas changé, tu as la même voix''. J'étais surprise. Il m'a dit ''on était dans le même lycée, tu ne me reconnais pas, mais je me souviens de toi parce que j'avais le béguin pour toi". Il me semblait familier, mais je ne me souvenais pas de son nom. »Assiko et sa sœur ont été relâchées contre plus de deux millions de francs CFA. La victime ne sait toujours pas quel groupe l'a enlevée. Elle se sent toujours fragilisée, cinq ans après : « Il y a cette peur constante que quelque chose puisse arriver, que quelqu'un puisse surgir pour vous emmener. Quand on en parle, tout le monde est concerné, directement ou indirectement. Le calme que nous avons connu en grandissant s'est envolé. Être à Bamenda, c'est comme vivre dans une cage. Ici, à Buea, c'est plus une cage avec un jardin, mais à Bamenda, on est dans une vraie cage. »Assiko n'a jamais porté plainte. Aucun chiffre officiel n'évalue le nombre de kidnappings ces dernières années dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest.À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]À lire aussiCameroun: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]À lire aussiCameroun: des membres de la société civile dénoncent la pratique du «calé calé» [3/4]
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Pourtant, au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Cependant, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés. Il n'y a plus de front, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. Plusieurs acteurs de la société civile dénoncent la pratique du « calé calé » : où des citoyens sont arrêtés en masse par les forces de l'ordre avant d'être relâchés contre de l'argent. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Sylvia est une déplacée, installée dans la banlieue de Buéa, ville du sud-ouest du Cameroun. Régulièrement, tôt le matin, elle doit prend ses cinq enfants pour courir se cacher en forêt : « Quand ils veulent nous prendre, quand on entend qu'ils arrivent, on court. On va dans la forêt... Puis, certains vont vérifier, et si ça se calme, alors on rentre. » La dernière fois que Sylvia a dû se cacher, c'était un lundi. « Lundi, c'était "calé calé" », dit-elle.L'activiste Sally Ndape a les traits tirés après ces nuits passées à travailler sur les dossiers qu'elle défend. Fondatrice de l'ONG Community Initiative for Developmental Action (CIDA), Initiative communautaire pour l'action en faveur du développement, elle a recensé plus de 800 civils raflés par les forces de l'ordre ces derniers mois :« Chaque fois qu'ils arrêtent les gens, ils leur prennent de l'argent. Calculez 50 000 francs CFA multiplié par 50 personnes, ou 50 000 francs CFA multiplié par 300 personnes... C'est un business, c'est une façon d'extorquer de l'argent à une population qui souffre déjà du conflit. S'il s'agissait de lutter contre les groupes armés, de réduire la violence, ils procèderaient aux arrestations, interrogeraient les gens puis les laisseraient simplement partir. Mais ce n'est pas ce qu'il se passe. »« Ces extorsions par l'armée et la police doivent cesser »Dans son cabinet, l'avocat Edward Lyonga montre les différents prix reçus pour son travail en faveur des droits humains. « Quand vous êtes arrêté, vous pouvez être gardé au commissariat ou en cellule pendant 15 jours renouvelables. En septembre, plus de 80 civils ont été arrêtés dans un village appelé Bonakanda. Ils ont finalement libéré un bon nombre d'entre eux, mais 25 ont été emmenés au tribunal militaire, détaille l'avocat. J'y suis allé. Je me suis battu jusqu'à ce que tous soient libérés. Ça fait partie des cas de violations des droits humains engendrées par cette crise. »Pour Félix Agbor Balla, directeur du Centre pour les droits de l'homme et la démocratie en Afrique (CHRDA) figure de la société civile, ces pratiques sont délétères et sapent le retour à la normale : « J'ai rencontré beaucoup de gens impliqués dans la crise, pas pour l'indépendance ou le fédéralisme, mais pour se venger d'un gouvernement qui a violé leurs droits et les a opprimés. Ces détentions illégales, ces extorsions par l'armée et la police doivent cesser, parce que cela incite des Camerounais à haïr l'État. C'est très grave, pour un jeune homme, de haïr son pays. »Contacté, le ministère de la Défense du Cameroun assure que des actions de sensibilisation sont menées et que « les comportements déviants de certains militaires ne doivent pas être considérés comme un comportement d'ensemble ».À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]À lire aussiCameroun: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]
Au Cameroun, dans les régions à majorité anglophone, la violence est une réalité huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes et forces gouvernementales. Pour le Norwegian Refugee Council, cette crise est l'une des plus négligées au monde. Aujourd'hui, les mouvements sont fragmentés, il n'y a plus de front à proprement parler, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. À Mile 14, dans la banlieue de Buea, un centre de rééducation autrefois dédié à la poliomyélite prend en charge depuis huit ans de véritables blessures de guerre. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Sur une dizaine de machines grinçantes, les pensionnaires du centre géré par le diocèse de Buea réapprennent à se mouvoir. Rien qu'en 2024, l'équipe de Sœur Hortensia a pris en charge 49 personnes amputées venues des deux régions Sud-Ouest et Nord-Ouest. « Depuis le début de la crise, si vous regardez autour de vous, nous recevons surtout des patients qui ont subi des amputations, causées par des tirs, des explosions, explique la professionnelle. D'autres se sont retrouvés bloqués dans leurs maisons incendiées, ils ont pu s'enfuir, mais avec des blessures graves, qui n'ont pas été traitées à temps, et ils ont dû être amputés. » Un espace est dédié aux enfants souffrant de malformations parfois liées aux manques de soins pendant la grossesse et à des accouchements précaires. « Donner naissance à un enfant dans le bush, ce n'est pas pareil qu'à l'hôpital. Et avec la pauvreté, certaines femmes enceintes sont mal nourries, déplore Sœur Hortensia. Beaucoup de ces enfants arrivent avec leurs grand-mères. Quand je demande où est la mère ? On me répond qu'elle est partie... Beaucoup sont nés de viols commis par des hommes armés. La fille est violée, donne naissance à l'enfant, l'abandonne et s'en va. »À lire aussiCrise anglophone au Cameroun: stopper la violence chez les jeunes, objectif d'un rassemblement à Bamenda« Elles n'avaient plus des visages d'enfants, elles ressemblaient à des grands-mères »Dans une des chambres, sur trois lits côte à côte, trois jeunes filles, Merlin, Emmanuella et Cynthia, sont amputées des deux jambes. Des rescapées de l'attentat de Nkambe, ville du nord-ouest du Cameroun où, le 11 février 2024, un engin a explosé lors de la Fête de la Jeunesse organisée par les autorités. Merlin avait 15 ans. « Je suis allée voir le défilé. Nous étions debout sur le côté pour regarder. Il y avait de la danse, plein d'autres choses, témoigne la jeune fille. Nous étions là. Et soudain, nous étions allongés sur le sol. C'est tout ce dont je me souviens. Ils nous ont fabriqué des jambes artificielles. Tous les jours, nous les mettons pour apprendre à marcher avec. »Sur le lit d'à côté, Emmanuella, 17 ans, tire le bas de sa robe pour cacher ses cicatrices. « C'était dur à cause de la douleur. Mais à présent, ça va, la douleur est partie. »« Quand ces filles sont arrivées ici, elles n'avaient plus des visages d'enfants, elles ressemblaient à des grands-mères, dénonce Sœur Hortensia. Le soutien post-trauma leur a fait du bien. Depuis, heureusement, elles vont bien. » Un nouveau patient arrive, amputé d'une jambe après une attaque des « ambaboys » contre sa ferme. Il a entendu parler du centre à la radio. Il vient pour une prothèse. À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]
Dans cette édition :Le bras de fer entre le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau et l'Algérie s'intensifie, avec la menace de démissionner si la France cède sur le dossier algérien.Le président Emmanuel Macron détaille son plan de réarmement de l'Europe et de soutien militaire à l'Ukraine, suscitant des critiques sur les risques d'escalade.Un procès inédit met en cause une professeure de français accusée de harcèlement moral sur une élève, mettant en lumière les lacunes du corps enseignant face à ce problème.Le chef multi-étoilé Yannick Alléno mène un combat contre la violence routière et souhaite le retour d'un texte de loi sur l'homicide routier.La chasse à la palombe au filet dans le Sud-Ouest est dans le viseur de la Commission européenne, les chasseurs entendant bien se défendre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée entre séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Aujourd'hui, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés, il n'y a plus de front à proprement parler, mais des zones d'insécurité. Et la population est épuisée. De notre envoyée spéciale de retour de Missellele,Le centre DDR (Désarmement, démobilisation, réintégration) de Missellele, sur la route entre Douala et Tiko, est censé réinsérer socialement les ex-« ambaboys », comme ils sont désignés, qui ont déposé les armes. Au bord de la nationale 3, écrasé par le soleil, six dortoirs, des salles de formation, un bâtiment pour l'administration et un pour les soins médicaux. « Les murs ne sont pas hauts, cela vous montre bien que ce n'est pas une prison, indique le directeur du centre, Bernard Ngone Ndodemesape, en désignant le mur d'enceinte. Le centre DDR n'est pas une prison, mais ce n'est pas non plus un camp de loisirs où les gens peuvent aller et venir. »Capacité d'accueil annoncée : 2 500 personnes. Dans les faits, en six ans, pour la région du Sud-Ouest, le programme a reçu 650 ex-combattants, hommes et femmes, certains avec enfants. À écouter dans Afrique, mémoires d'un continentComprendre la crise anglophone au Cameroun« Je ne peux pas retourner d'où je viens »À quelques pas du mur d'enceinte, des rangées de cages dans un hangar neuf en bois et tôle ondulée pour former les anciens combattants à l'élevage de poussins. Les participants présentés par le directeur, comme Glory, 23 ans, disent avoir rejoint les « ambaboys » sous la pression et non par conviction. « Ce n'était pas vraiment mon choix, mais des amis m'y ont poussée. Mon travail, c'était de cuisiner pour eux. À chaque fois qu'on nous disait : les militaires arrivent, on devait s'enfuir, c'était tellement stressant !, se rappelle-t-elle. Comparé à ça, la vie ici, au centre, est préférable. Je ne peux pas retourner d'où je viens. Il y a toujours des combattants dans le bush et ils peuvent me faire du mal. C'est plus sûr pour moi ici. »Elvis, 28 ans, a combattu dans un autre département de la région du Sud-Ouest avant de s'enfuir une nuit fin 2020. « Tous les jours, nous vivions dans la peur. On pouvait mourir à tout moment. Il n'y avait pas d'hôpital, pas de soin si on était malade ou blessé, témoigne-t-il. C'était très dur. Nous avons perdu beaucoup de gens. La première fois que j'ai vu quelqu'un se faire tuer, je me suis senti très mal. J'ai cherché à tout prix à quitter le bush parce que je ne voulais tuer personne. Je ne pouvais pas continuer là-bas, je me suis enfui et je me suis rendu. »Plusieurs participants reprennent les mêmes formules. Ils se disent désormais libres et attachés à un Cameroun indivisible. Mais ils sont sans réponse quand il s'agit d'évoquer une échéance pour une sortie définitive. Depuis la mise en place du programme, pour la région du Sud-Ouest, seuls 36 sont retournés à la vie civile.À écouter dans Grand reportageCameroun : les échos de la crise anglophone dans la région francophone de l'Ouest
Dans cette édition :Le bras de fer entre le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau et l'Algérie s'intensifie, avec la menace de démissionner si la France cède sur le dossier algérien.Le président Emmanuel Macron détaille son plan de réarmement de l'Europe et de soutien militaire à l'Ukraine, suscitant des critiques sur les risques d'escalade.Un procès inédit met en cause une professeure de français accusée de harcèlement moral sur une élève, mettant en lumière les lacunes du corps enseignant face à ce problème.Le chef multi-étoilé Yannick Alléno mène un combat contre la violence routière et souhaite le retour d'un texte de loi sur l'homicide routier.La chasse à la palombe au filet dans le Sud-Ouest est dans le viseur de la Commission européenne, les chasseurs entendant bien se défendre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
On est en 1979 et Florence vit à Capbreton avec sa mère, sa grand-mère et son arrière-grand-mère. À cette époque, les femmes vivent en moyenne 7 ans de plus que les hommes et le divorce est plus accessible depuis qu'une nouvelle loi est entrée en vigueur en 1975. Poussées par les événements et leur profond attachement, c'est un véritable foyer intergénérationnel que ces trois femmes ont reconstitué autour de Florence, loin du modèle de la famille nucléaire. *** Crédits podcast *** Documentalistes : Anne Brulant - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaire : Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA. *** Crédits archive *** Extrait de l'émission télévisée "Aujourd'hui madame". Reportage de Michel Perrot. Producteur Armand Jammot - Antenne 2 - 04/10/1979
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En plein salon de l'agriculture, Martin se lance dans un nouveau bizness : le fameux canard du sud ouest ! Petit détail qui pèse son poids de gésier : il s'agit de canards du sud-ouest...de la Belgique ! Et tant qu'à faire, Martin essaye de les écouler chez un producteur de canard landais.
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Né à Mont de Marsan dans une famille du rugby, Olivier passe pourtant d'abord par le judo et le basket. Il arrive sur le pré à 17 ans et fait immédiatement montre de qualités remarquables. Seulement 6 mois après ses débuts en Junior à Villeneuve de Marsan, il est sélectionné en Equipe de France Fira et immédiatement recruté par...l'US Dax !S'en suit une folle aventure : régulièrement qualifié en phases finales avec son club, il honore 62 sélections (dont 8 capitanats) avec le XV de France avec lequel il disputera notamment les Coupes du Monde 1991 et 1995. Après cette dernière, il s'engage avec les Natal Sharks, en Afrique du Sud, et remporte son tout premier trophée en club : la Curry Cup !Suite à cette parenthèse enchantée, Olivier fait son retour à Dax, mais après 13 ans chez les Culs Rouges, l'arrivée du professionnalisme le mène au Stade Français avec qui il remporte son premier Brennus en 1998. Cependant après 1 saison, l'appel du Sud-Ouest est le plus fort et il s'engage à Biarritz où il ramène un nouveau bouclier en 2002, après 63 ans de disette du côté d'Aguilera.La tête bien pleine et les pieds ancrés au sol, Olivier a toujours su peser le poids de ses décisions pour faire les meilleurs choix pour lui et les siens. Installé du côté d'Hossegor, sur la côte Landaise, il s'est superbement reconverti dans le tourisme et la promotion immobilière. Il est d'ailleurs aujourd'hui le premier supporter de son rugbyman de fils !Vraiment, j'ai passé un magnifique moment en compagnie d'Olivier : véritable puits d'anecdotes et plein d'humour, on n'a absolument pas vu le temps passer !Bonne écoute !-----------------------------
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L'arrivée de l'électricité dans le Sud-Ouest malgache pourrait sauver la vie de femmes enceintes. Dans la ville d'Ankililoaka, une clinique tenue par des religieuses y contribue depuis quelques mois. L'établissement, qui a toujours fonctionné sans courant depuis sa création il y a 25 ans, a été raccordé à la plus grande centrale solaire de l'île mise en service en septembre dernier dans la commune. La maternité peut désormais fournir des soins plus sûrs et dignes aux femmes enceintes. Un tournant dans cette région à risque pour accoucher. Dans un patio, à l'abri du soleil, les pleurs de nourrissons résonnent. Tous sont reçus en consultation de suivi ce matin. L'un d'entre eux ne fait pas un bruit. Ses jours sont en danger depuis un accouchement compliqué en dehors de la clinique des sœurs d'Ankililoaka il y a trois semaines.Dans la région, les rares centres de soins modernes comme celui-ci peinent encore à concurrencer les tradipraticiens, plus accessibles. Le docteur Antonio, médecin généraliste référent de cette clinique à Madagascar, le déplore :« Oh, il y a des risques, beaucoup de risques. Mais les gens d'ici se disent que c'est le destin des femmes de mourir si elles doivent décéder pendant l'accouchement. Pour eux, Dieu décide si les femmes décèdent. C'est très difficile de sensibiliser les gens à aller dans le milieu hospitalier. »À lire aussiÀ Madagascar, le rôle majeur du secteur privé dans l'accès à l'énergie en zone rurale« Maintenant, avec la lumière, il y n'y a plus de risques »De la lumière stable, de quoi stériliser le matériel et stocker au frais les médicaments... Ce médecin a vu les salles d'accouchement se transformer pour accueillir plus dignement les femmes : « C'est une bonne chose que l'électricité soit là. Je trouve ça même très logique, vu que nous sommes au XXIe siècle. Lors des actes médicaux, ça permet de sauver beaucoup de vies. »Les exemples d'accouchements compliqués ne manquent pas dans la région. Les murs de la clinique ont, eux aussi, abrité des moments difficiles avant l'arrivée du courant. Son chapelet toujours en main, sœur Raveloarimanana Hanitriniaina, la responsable du centre, se souvient d'interventions nocturnes éclairées à la bougie :« Avant, rien que pour le simple nettoyage de la femme qui accouche, on risquait de lui faire mal. On voyait vraiment mal dans la pénombre. Maintenant, avec la lumière, il y n'y a plus de risques. On arrive aussi à éviter les plus grosses complications, comme la déchirure du col qui pourrait engendrer une hémorragie, voir le décès de la femme enceinte. »À lire aussiLa cuisson propre, un pari possible avec l'arrivée de l'électricité dans le Grand Sud malgache [2/3]L'arrivée de l'électricité marque un tournant dans ces zones ruralesLéonie, son bébé de trois mois au bras, attend toujours son tour sur les bancs de la clinique. Elle a fait le choix d'accoucher au centre de son deuxième enfant, rassurée par un cadre médical, et ce peu importe les frais, compris entre 20 000 et 40 000 ariary (soit entre 4 et 8 euros) selon les complications : « Dans cette clinique, on a vraiment pris soin de moi, avec des gestes qui m'ont fait du bien. Dès que j'ai su que le courant était arrivé, je me suis décidée à venir ici. »L'arrivée de l'électricité marque un tournant dans ces zones rurales, où plus qu'en ville, les femmes meurent encore en donnant la vie. Selon les dernières données officielles, 426 femmes décèdent pour 100 000 naissances à Madagascar. Un taux huit fois plus élevé par rapport à l'archipel voisin des Comores.À lire aussiDans le Grand Sud malgache, l'arrivée de l'électricité transforme la vie nocturne d'un village [1/3]
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