Avec Comme en passant, découvrez des mondes littéraires, philosophiques, artistiques, vidéoludiques pour nourrir votre curiosité envers le monde.
Bien le bonjour depuis la Chine. Je vous fais des poutous et des poussous. En vous souhaitant que du bon.
Premier épisode ? On parle de timidité, d'une certaine manière, à ma façon.
Après une absence, après des tentatives de retours avortées, voici un non retour, mais cette fois-ci, si vous tendez vraiment l'oreille, vous entendrez certes le son tout à fait exécrable de mon micro, mais vous entendrez aussi le silence de Shenzhen. Donc, à bientôt.
Joyeux anniversaire Gilles. Gilles Deleuze dispparaissait le 4 novembre 1995.
Rivages de Gauthier Guillemin disponible depuis octobre 2019 chez Albin Michel imaginaire.
Quelques histoires de chutes racontées au bar des philosophes où Céline met encore la sale ambiance, mais heureusement Michel est là. Gékaude participe à l'épisode. Vous pouvez la suivre sur Twitter @gekaude.
25e épisode de la saison de trop (peut-être le dernier, encore !).
Le 24e épisode de la saison 4 de Comme en passant est consacré à mon début de lecture du texte La Morale de Guillaume Pigeard de Gurbert (dans toutes les vraies librairies philosophiques !).
Quand tu dois crier Halte au feu ! parce que des plombs claquent sur les cailloux. En pleine distorsion, on parle de la morale et de l'éthique, on écoute, on chante un peu hélas, on écrit aussi et on rêve, on attend le grand projet.
22e épisode de la saison 4 où l'on parle du roman picaresque (rien à voir avec Picard ou la Picardie) en se promenant sur les quais de Seine.
Voici le 21e épisode de la 4e saison de CEP. Référence : "Ce que voit l’oreille", d'Alice Folco "La Gardienne", d'Henri de Régnier Théorie et pratique, d'Emmanuel Kant "Le théâtre radiophonique de Beckett, laboratoire de la forme dramatique", de Marion Chénetier-Alev et Sylvain Diaz
C'est sans doute l'épisode 20 de la saison 4, soit le 94e épisode du podcast. On parle d'En attendant Godot de Beckett. Ou on n'en parle pas. On écoute. On tente un truc car ce serait le but de tout podcast... de tenter des trucs ! Alors on tente d'en parler, de Beckett, sans en parler. On écoute aussi un rêve, encore un, un peu barré comme d'habitude (c'est comme ça... les rêves). DISCLAMEUR : d'avance, pardon.
Voici le 19e épisode de la saison 4 de Comme en passant. Merci d'écouter tout ce bazar et rendez-vous sur le site www.commeenpassant.fr pour tous les bonus en vidéo. Kénavo !
Il fait trop chaud ? Pour une fois, on ne parlera pas de la Chine et on ne râlera pas. On va plutôt écouter un "dingo" chanter dans le métro, ma nièce dire deux ou trucs surprenants, tenter de faire du théâtre et ce genre de choses.
Où l'on chante encore. On débat de tout et de rien, on parle de Xavier, du podcast et joue Othello de Chaekespire.
Morceaux de Malicorne, de Tri Yann, cours de chinois, promenade vers le rocher (7e arrdt parisien) et d'autres choses peu intéressantes comme la sémantique générale.
Comme en passant - saison 4 - épisode 15 "Bien entendu. Prenons le cas de la beauté, pour l’exemple. Vous trouvez une femme belle, un paysage beau, mais la beauté n’est pas une donnée de la nature que l’on peut étudier ou une force que l’on peut exploiter." DISCLAIMER ou "avertissement" : c'est pour de rire ! Le temps n'existe pas, désolé.
Je n’écris pas ce genre de choses, je veux dire je ne couche pas sur le papier ce que je pense. J’écris comme je crie en quelques sortes. Dans ce que je viens de dire : “en quelques sortes” n’a pas sa place, ça ne veut vraiment rien dire. Quand on utilise ces expressions, c’est pour meubler la phrase. Il y a toutes sortes d’expressions, ou de petits mots, qu’on utilise, mais qui ne veulent rien dire. On peut se voiler la face et dire que… on fait ce qu’on veut, ou que ça fait partie du charme, mais… ça nous empêche de dire quelque chose, de parler vraiment.
Saison 4 épisode 13 où l'on parle branle content en écoutant de la musique. Bien sûr revenir sur les terres jaunes propulsé par les faisceaux bleu argenté, grandir dans les cavernes englouties d’épices. Sans lutte les cent culbutes mais nous aurions oublié ! La page et le champ des abysses filants dans l’astre et dans l’antre vert fluo trouble flouté par le hublot, au pli du livre redécouvrir à la vue l’adret jaune doré rayonnant en fusion délivrant les ondes propices à l’exploit. S’emballer au dos des combes où dévaler les pistes en tirets de rage rouge et bleu car c’est un volcan c’est vrai. Revenir à la croisée, encore, où les interstices s’estompent en un filet, où l’on s'endort sur des promesses égarées, des illusions déjà perdues, des temps à retrouver encore et encore. Rejoindre la forme par les stries et abandonner en chemin quelques carnets, mais nous avions des regards, j’en retiens ou mon coeur ne se sent pas bien. Ça vibre ou ça gronde, vous savez quand il semble qu’on succombe alors qu’on vit enfin. Celui qui voit, c’est celui qui ne croit plus, mais est-ce qu’il peut vivre, sentir, bien sûr, mais jeter des mots associés comme des traits, c’est beau et c’est misérable, on dirait du Victor Hugo mais faut il ou il faudrait car ce soir ou la nuit déjà de juin, pour lui, ami, demain c’était en mai. Réduire, jeter dans un coin, passer, amitié lavée, et ce diable qui brandit : M’avez vous suivi jusqu’ici, est-ce pour m’y laisser ? Ils ont mesuré 3 fois, et avant de partir, ma tension et la tache au fond, devant le portail, les traces de pas et la boue sous la voûte, il y a de la place à cet endroit, quand les bras s’étendent sur la table pour amortir le front dans sa chute, le bois et la soie, le silence de nos chaînes. Si indiscret, j’allais en fin de cortège, aboyer sous tes semelles, saisir une courbe, une torsade, un accord dans ta voix. Quand je descends la pente, glissant sur les quais habituels, éclairé par l’horloge, au lieu d’y être, je suis encore dans la nuit, sur l’autre quai où j’attends et que tu ne viens pas. Aux habitués, aux habituels, ce sont des ritournelles, nous sommes le 3 juin 2019, enfin.
On aurait jamais cru aller aussi loin dans cette histoire d'espace et de temps. Et comme on n'a pas d'idée pour la suite, on fait un flashback. C'est vraiment très pratique pour raconter autre chose tout en espérant découvrir quelques bonnes idées pour revenir enfin sur la suite des événements. Bref, dans cet épisode, qui est le 12e de la saison 4 (là aussi, on ne pensait pas y arriver un jour), on se permet de présenter quelques nouveaux personnages, à une époque indéterminée, aux origines de l'unité Yetti. Plus ou moins.
Saison 4 épisode 11 - Le sens de la vie est-elle une question philosophique ? Pas besoin d'être un génie ou Wikipédia pour répondre.
Saison 4 épisode 10 - Mon troisième voyage en Chine, visites de grandes villes, retrouvailles et chants bouddhistes.
Saison 4 épisode 9 - Journal de Comme en passant. A la recherche de Platon pour découvrir ce qu'est l'allégorie de la caverne.
Les aventures de L38-Gama nous mènent vers une anomalie détectée en plein territoire sinogalactique. Yetti va vous surprendre grave dans cet épisode. On n'y va pas avec le dos de la cuillière, croyez-moi. Du côté des effets spéciaux, c'est sans doute de classe internationale. En tout cas, nous, on n'a jamais entendu ça avant dans un podcast. "Amazing!" disent déjà les critiques de Glanax IV et d'Aurora. D'ailleurs, en supplément, nous avons retrouvé une archive passionnante d'un séminaire de la très célèbre université Aurora 2 au sujet d'un poète très controversé pour sa relation amoureuse avec un robot. Ce séminaire est intitulé La chair et l'acier, alors n'oubliez pas vos stylos pour prendre des notes ! Incroyable, il n'y aura qu'un épisode en avril, car Xavier aurait été signalé en Chine en l'an 12 151 environ.
Michel est un dur à cuire. Le CEP Project va-t-il intégrer Starcast, le réseau du podcast en mode startup ? On touche à l'absolu, c'est clair.
Voici l'épisode 8 de la saison 4 de CEP. C'est là qu'on se retrouve à suivre L38-Gama en mission à bord du Fei Zhu. Et c'est là que ça part en vrille.
Du multiple à l'un #platon c'est le 5e épisode de la 4e saison de Comme en passant (CEP) où l'on part à l'aventure. On fait une pause dans l'histoire de la Chine pour se recentrer sur la philo, avec un voyage dans le temps qui ne se passe pas comme prévu, mais où l'on apprend, à la toute fin, ce qu'est le coup de génie de la philosophie de Socrate/Platon.
Saison 4 Episode 4 Peut-être avez-vous, un jour, entendu parler de « généalogie » dans un sens un peu étrange, en-dehors de son usage habituel, lors de votre cours de philosophie en terminale par exemple, ou plus tard et seulement d’ailleurs en référence au titre d’un livre du philosophe Nietzsche, Zur Genealogie der Moral. Eine Streitschrift ou en français, La Généalogie de la morale. Un écrit polémique. Dans cet épisode de Comme en passant, le quatrième de la saison 4, nous ferons un tour du côté du texte et de son interprétation par Gilles Deleuze, notamment dans Nietzsche et la philosophie. Critique, évaluation : qu’est-ce que la généalogie ? En quoi le philosophe est-il un généalogiste ? On le croyait juge, chercheur de vérité, etc. mais Nietzsche nous le propose historien ou autre chose, généalogiste… Qu’est-ce que ça signifie ? Pourquoi je m’intéresse à ce sujet ? Normalement, tout auditeur de Comme en passant (big up) sait que ma démarche n’est pas celle d’un vulgarisateur qui tire de son chapeau un sujet de façon aléatoire pour en dire « tout ce qu’il y a à dire ». Si je vous parle de généalogie chez Nietzsche, c’est pour faire un brin de parcours ensemble. Autant il est assez facile de résumer le thème du texte de Nietzsche, autant il me paraît beaucoup plus difficile d’en comprendre la démarche. Nietzsche ne fait pas un essai « contre la morale », il fait la généalogie de la morale. Cette démarche ou méthode, ou on ne sait pas encore, va modifier considérablement la manière de faire de la philosophie, en tout cas, je parie que Nietzsche avait ça en projet. Deleuze dit d’ailleurs que la philosophie de son époque est encore tributaire de Nietzsche. Pas qu’on soit devenu nietzschéen, mais que nous ne pouvons plus penser désormais comme avant Nietzsche. On ne peut pas faire comme si cet Allemand à la grosse moustache et au regard sombre n’avait pas existé. On peut toujours dire qu’on n’est pas d’accord avec ce qu’il écrit, ou feindre de comprendre alors qu’il n’avance qu’une hypothèse parmi d’autres sur la morale, mais on ne peut pas nier cette généalogie et faire comme si ce texte n’avait pas tout changé.
Troisième épisode de la saison 4 ? Mais je ne comprends pas, je croyais qu'on arrêtait ? Ah ba, moi je ne fais pas l'épisode sur Antonin Artaud en tout cas ! Ben c'est bête, j'étais tout juste en train de lire Gilles qui parle d'Antonin... Histoire de la Chine Le moine continue de raconter, à Bajie et Wukong, la fin de la dynastie Qing. Antonin Artaud Lectures d'extraits : Antonin Artaud, Van Gogh, le suicidé de la société Gilles Deleuze, L'Île déserte et autres textes et Deux régimes de fous. Textes et entretiens 1975-1995
Pour passer l'hiver, lisons Au bord de l'eau, apprenons un peu d'histoire de la Chine, écoutons Bajie, Wukong et le maître dialoguer, lisons du Victor Hugo et écoutons de la pop chinoise !
Le cochon s'appelle Zhu (cochon) Bajie (les huit interdits). Le chien s'appelle Bali. L'animateur en fuite s'appelle Xavier. Le philosophe s'appelle Gilles Deleuze. Le roman s'appelle Au bord de l'eau.
Adieu ? Comme en passant termine la saison 3 par un Au revoir un peu étrange. Bizarre même ! Un brin louche ! Si vous voulez faire vivre le #podcast l'an prochain, pour une saison 4, ce sera sans Xavier, mais pas sans vous. Vous êtes l'avenir de Comme en passant. A vous de jouer ! A vous de prouver que ce podcast n'a pas existé pour rien pendant trois années. Et bien sûr, quelqu'un sera là pour vous aider. Rendez-vous sur www.commeenpassant.fr pour savoir comment contribuer à l'avenir de CEP. Salutations !
Que se passe-t-il en décembre ? Que s'est-il passé en novembre ? Et puis quel jour est-on ? Enfin... où est passé Xavier ?
Toujours pas de trace de Xavier. En novembre, Comme en passant fête Marcel Proust à sa façon. Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust, dit Marcel Proust, trop connu pour être connu ? L’écrivain est décédé le 18 novembre 1922. Dans un nouvel épisode intitulé « Pourquoi Proust », nous lisons quelques passages et nous proposons une façon de lire Proust. Nous témoignons de notre propre lecture des textes (on parlera de A la Recherche du temps perdu bien sûr… et aussi des écrits sur l’art ainsi que des nouvelles) et de la présence de l’écrivain chez Gilles Deleuze. Cet épisode sera disponible à la date anniversaire de la mort de Proust. Avec l’aimable participation de Jogging Bonito On leur a déclaré notre flamme dans un épisode loufoque dédié à la course. Ils reviennent pour quelques instants alléchants, pour le bonheur de nos oreilles, les seuls, les vrais, les meilleurs, ce sont Marjolaine, Émir et David de Jogging Bonito ! Post-it de Xavier Je ne pouvais pas terminé terminer Comme en passant sans parler d’un des écrivains qui m’a le plus marqué. Et comme de par hasard, Proust est également largement cité par notre ami Gilles.
Découvre Exquises Fictions, un cadavre exquis auquel participera Comme en passant. L’épisode 2 vient de paraître. Ecoute la lecture des premières lignes de Du côté de chez Swann, de Proust en attendant l’épisode du 18 novembre 2018 intitulé Pourquoi Proust. Sinon, on écoute un peu Antonin Artaud, des bribes de nos habitués, Gilles, Jacques, Michel… Et on se demande Mais que se passe-t-il dans Comme en passant ?
Mais où est passé Xavier ? Présentation des trois grandes théories dites du contrat social, savoir celle de Hobbes, celle de Locke et celle de Rousseau. A partir de la simple définition du contractualisme donnée par Wikipedia, nous déplions les notions présentées rapidement par l’article, dans un premier temps sans l’accès aux textes, afin de garder en tête une sémantique et les zones d’ombre. Dans un second temps, nous plongeons dans quelques pages de Hobbes (Leviathan) et de Rousseau (Du contrat social) pour aller plus loin que l’article Wikipedia en faisant un pas (ou en tentant de le faire) vers une ébauche de présentation du sujet de façon philosophique. Cet épisode sera disponible au mois d’octobre de l’année 2018.
Ce que je fais là, moi je 'sais pas... Et les podcasts des autres : bienvenue aux Brestois de Radiophérique ! Bientôt, on essaie de parler de 3e Espace, super nouveau podcast à ne pas rater. RIP Paul Virilio, un vrai. A ta santé Paul !
Le monstre n’est un individu exceptionnel ni une espèce, mais un phénomène de bordure. Qui nous le fait comprendre ? Melville autant que Lovecraft. Moby Dick autant que Chtuhlu. Pourquoi le philosophe Gilles Deleuze cite Lovecraft ? Pourquoi même parle-t-il et dans quelle circonstance parle-t-il de « monstre » et de « monstrueux » ? Il n’est tout de même pas commun d’utiliser un tel vocabulaire en philosophie. Cet épisode vient terminer le cycle consacré au monstrueux avec ma propre contribution et les vôtres !
Chaque semaine @AureliSarrazin, @valou3375, @CyrilOM_13, @Mickael13088620 et @Twelss regardent un film d’horreur pour vous le raconter dans la bonne humeur ! Découvrez leur émission sur le site http://talfho.com. Et suivez-les sur Twitter !
Spécial monstres avec Dr Zaius : août 2018 Dr Zaius du podcast Cornelius and Zira, consacré à Planet of the Apes, vient nous parler des monstres notamment dans le film culte de 1968. Si vous n’avez pas vu ce chef d’oeuvre de la science-fiction, sachez qu’il y aura une petite partie spoiler à la fin de l’épisode, marquée par un avertissement de Zaius. Une des forces de ce film est de faire changer le point de vue du spectateur. En quoi cela ? Eh bien, aux yeux des singes, c’est l’homme qui est le monstre ! Cornelius and Zira Sur Twitter Sur Facebook Sur YouTube
Draven du podcast 24FPS vient nous parler des monstres dans le rock. Au programme de ce second épisode du cycle consacré aux monstres de l’été 2018, du son, des costumes, des mascottes, des paroles de chansons. Bref, en fin connaisseur et passionné de metal, Draven va nous en mettre plein les oreilles. Un conseil avant d’écouter : Montez le son ! N’oubliez pas d’écouter le morceau du groupe DEFRAKTOR dont fait partie Draven !
Première page - Le Tempo de la pensée, de Patrice Loraux Patrice Loraux fut l'un de mes grands professeurs à l'université Paris I. Toujours actif (conférences...), il est l'auteur de deux ouvrages, à ma connaissance, et écrit encore. Son article Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Loraux Le livre Le tempo de la pensée, Seuil, 1993.
24 juin 2018 - Comme en passant lance une série d’épisodes consacrés aux monstres. Le monstre qui se cache sous le lit, le monstre intime, le monstre de votre série préférée, le monstre d’un grand classique du cinéma, le monstre qui sommeille en vous, le monstre de la mythologie… Vous connaissez un monstre ? Vous en chassez ? Vous en étudiez ? Alors, n’attendez plus, participez ! On ouvre le bal avec Buffy ! Les premiers contributeurs à s’être lancé prestement dans l’aventure sont les copains du podcast Pourquoi Buffy c’est génial. Ils ont réalisé un épisode sur les monstres dans la série Buffy contre les vampires. Je ne veux pas vous en dire trop sur leur participation, mais elle est géniale ! Vous écouterez cet enregistrement spécial dans le 63e épisode (on n’en est plus à compter mais je crois que ça fait 63 épisodes canoniques !) de CEP.
Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte (Der achtzehnte Brumaire des Louis Napoleon en allemand), est un ouvrage de Karl Marx, publié en 1852. Il évoque longuement le coup d'État du 2 décembre 1851 par lequel le futur Napoléon III, alors président de la République française, a pris le pouvoir en France et instauré le Second Empire.
Première page - Lecture de L'Homme sans qualités de Robert Musil.
Où l’on fait un numéro d’équilibriste entre le dernier et le pli. « Un petit dernier » est le 60e épisode à paraître dans votre flux Comme en passant. Vous pouvez contribuer à celui-ci en envoyant votre enregistrement au format mp3 ou wav à contact@commeenpassant.fr. L’épisode paraîtra en juin 2018.
Lecture de la dédicace à Victor Hugo et du premier paragraphe des ILLUSIONS PERDUES de Balzac.