Place in Galicia, Spain
POPULARITY
durée : 00:03:41 - Au moins 500 taxis dans les rues de Pau et la mobilisation continue
Rubrique:documents Auteur: bathild-bouniol Lecture: Christiane-JehanneDurée: 29min Fichier: 27 Mo Résumé du livre audio: Suite du Recueil. Biographie de l'ami de CHATEAUBRIAND qui l'évoque bien sûr dans les Mémoires d'Outre-tombe. De son vivant, Joubert ne publia jamais rien, mais il écrivit de nombreuses lettres, ainsi que des notes et des journaux où il reportait ses réflexions sur la nature de l'homme, sur la littérature, la vie politique de son époque, et sur d'autres sujets, dans un style volontiers aphoristique. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Le hooliganisme repose-t-il sur un socle de nature politique ? On en parle avec Jean-Michel De Waele, politologue et sociologue du sport à l'ULB. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneuse. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:59 - L'info d'ici, ici Maine - Plusieurs secteurs de la ville du Mans sont en travaux actuellement, pour accueillir les futurs bus Chronolignes, mais pas seulement. Un chantier "réseau de chaleur" est en cours rue du Port, et la rue du docteur Leroy va être entièrement refaite. Ce secteur est donc difficilement accessible.
Peindre certaines rues devant des lieux fréquentés par les enfants et les jeunes (écoles, lycée, maison de quartier…) afin d'adoucir…
Rubrique:documents Auteur: bathild-bouniol Lecture: Christiane-JehanneDurée: 20min Fichier: 18 Mo Résumé du livre audio: SUITE DU RECUEIL. La vie du peintre Raphaël. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
En août 2022, le parlement adoptait la loi relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l'action publique locale. Depuis l'adoption de ce texte, les communes de moins de 2000 habitants ont pour obligation de donner un nom à chacune de leurs voies. En France, cette pratique date du Moyen-Âge et à l'époque, il s'agissait d'une appellation liée à l'emplacement géographique, à l'importance ou aux commerces et établissements qu'elles abritaient. On trouve encore des traces de ces anciens noms partout dans le pays comme la ”Grande-Rue” de Nancy, la “Rue du Pré” à Paris ou la “Rue des Bouchers” à Lille. Comment cette pratique a-t-elle évolué ? Et qui décide des noms ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. À écouter aussi : Antibiotiques : comment éviter leurs effets secondaires ? Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Faisons-nous l'amour assez souvent ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez culture". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 1er décembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:47 - On a suivi la parade des pilotes dans les rues du Mans pour les 24h motos du Mans
durée : 00:02:43 - Les petits bonheurs, ici Pays de Savoie - Chaque rendez-vous avec les anciens combattants est l'occasion pour Thierry de porter fièrement ses médailles et ses décorations militaires dans les rues de La Roche sur Foron
On Wednesday's Football Daily, Phil Egan brings you reaction to all the Tuesday Champions League action, as Borussia Dortmund and Aston Villa were dumped out.Luis Enrique will enjoy a 'cervecita' while he watches Real Madrid's tie with Arsenal.Jude Bellingham eyes a comeback, whilst also wanting his team-mates to run more.Mikel Arteta insists that his Arsenal side have no fear.And just who are Manchester United eying to possibly replace Andre Onana?
On Wednesday's Football Daily, Phil Egan brings you reaction to all the Tuesday Champions League action, as Borussia Dortmund and Aston Villa were dumped out.Luis Enrique will enjoy a 'cervecita' while he watches Real Madrid's tie with Arsenal.Jude Bellingham eyes a comeback, whilst also wanting his team-mates to run more.Mikel Arteta insists that his Arsenal side have no fear.And just who are Manchester United eying to possibly replace Andre Onana?
durée : 00:02:00 - L'info d'ici, ici Périgord
Fini le boulevard du Général-de-Gaulle à Dakar. Voici le boulevard Mamadou-Dia. Au Sénégal, les autorités débaptisent certaines rues portant des noms français. Pareil au Mali, au Niger et au Burkina Faso. Mais comme le sujet est sensible, au Sénégal, le Premier ministre Ousmane Sonko confie cette nouvelle nomination des rues à un Conseil national de la mémoire et de la gestion du patrimoine historique. Michel Ben Arrous est géographe et chercheur associé aux universités de Genève et de Saint-Louis du Sénégal. Au micro de Christophe Boisbouvier, il analyse la stratégie du pouvoir sénégalais. RFI : Le boulevard Charles de Gaulle qui devient le boulevard Mamadou Dia, c'est tout un symbole, non ? Michel Ben Arrous : C'est un symbole, c'est une boucle qui se referme. Mamadou Dia, pour mémoire, c'était le président du Conseil à l'époque de l'indépendance du Sénégal, dans un pouvoir bicéphale avec Senghor. Et Mamadou Dia était déjà opposé à De Gaulle.Au Niger, il y a quelques mois, le nouveau régime a rebaptisé le boulevard Charles de Gaulle, boulevard Djibo Bakary, du nom du Mamadou Dia du Niger, celui qui avait appelé à voter « non » à Niamey en 1958… Oui, tout à fait. Donc, tout cet effort-là est fait au Niger, comme d'ailleurs dans les autres États de l'AES, au Burkina et au Mali.Est-ce que derrière tous ces changements de noms au Sénégal et dans les autres pays du Sahel, on peut parler d'une réappropriation de leur histoire par les habitants ? Oui, certains vont même jusqu'à parler de « décolonisation symbolique ». Mais sur la réappropriation de l'histoire, c'est tout à fait vrai. D'autant plus que c'est l'histoire des sociétés colonisées qui avait été occultée par cette toponymie coloniale, par ces pratiques de nomination commémorative toujours à la gloire de l'entreprise coloniale française. Donc les histoires locales avaient disparu, étaient devenues invisibles. Effectivement, elles reviennent en avant. Maintenant pour parler de « décolonisation », c'est peut-être un petit peu plus compliqué dans la mesure où le principe même de nommer des rues est une importation totalement coloniale. Et le principe de nommer des rues avec des ambitions idéologiques, une toponymie commémorative, ça aussi, c'est une importation coloniale qui tranche totalement avec les pratiques, on va dire anciennes, mais qui existent encore, de nommer des grottes, des arbres, même à Dakar.En 2022, quand il était maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko a débaptisé cinq avenues qui portaient des noms français en disant « En France, vous ne verrez jamais une rue Hitler ». Que pensez-vous de cette comparaison ? Je pense qu'elle appelle deux séries de remarques. La première, c'est qu'il utilise la toponymie comme un instrument de politique internationale. Ces renominations, elles ne s'adressent pas seulement aux ziguinchorois, à ses administrés, elles s'adressent aussi au public international qui peut l'écouter. Et elles sont en particulier un outil dans ses relations avec la France. L'autre série de remarques, c'est le sort qui a été réservé à ces renominations. Au départ, à l'époque coloniale en tout cas, c'était très simple, les noms venaient d'en haut, c'était l'administration coloniale, le gouverneur et un conseil administratif qui donnaient les noms. Sous Senghor, c'était encore plus concentré, c'était par décret présidentiel que les noms changeaient. Progressivement sous Abdou Diouf, puis surtout sous Abdoulaye Wade et ensuite Macky Sall, cette capacité de renommer a été dévolue aux collectivités locales. Donc a priori, Ousmane Sonko était tout à fait fondé quand il était maire de Ziguinchor à proposer des changements de noms de rues. Mais le gouverneur de l'époque, qui n'avait a priori aucune capacité d'intervention dans ce dossier, a voulu contester les noms qui ont été invalidés par la Cour suprême. Donc ça montre que les collectivités locales n'ont jamais été jusqu'à présent épargnées par les sollicitations du pouvoir politique. Et ce qui change et ce qui peut être apaisera ou clarifiera les compétences de chacun, c'est le projet de rebaptisation qui a été annoncé par le président actuel Bassirou Diomaye Faye en Conseil des ministres, en décembre dernier, et qui prévoit de créer une commission à laquelle participerait le Premier ministre, donc l'ancien maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, à laquelle participeraient aussi le ministre des Collectivités locales, le ministre de la Culture et le secrétaire d'État chargé du patrimoine historique, en collaboration avec les collectivités locales. Donc, il y a un équilibrage à trouver, qui peut être clarifiera les choses, qui apaisera peut-être ces questions de renominations.À Saint-Louis du Sénégal, il y a une statue du Général Faidherbe, le colonisateur français du Sénégal, qui a failli être déboulonnée en 2020 lors de la tempête politique provoquée par l'assassinat de George Floyd aux États-Unis. Et puis finalement, elle a résisté, elle est toujours là. Comment l'expliquez-vous ? Oui, certains voudraient la conserver comme symbole historique, d'autres voudraient l'enlever. On se focalise parfois sur l'inscription de la statue sur son socle, qui est évidemment intenable, qui dit « Au gouverneur Faidherbe, le Sénégal reconnaissant », ça je ne pense pas que ça va durer très longtemps. Mais on se retrouve à nouveau dans une symbolique où, pour faire place nette, si j'ose dire, les collectivités locales réemploient finalement des techniques qui sont d'importation coloniale. De la même manière que la nomination des rues, les statues commémoratives, ce n'est pas quelque chose qui a une longue existence en Afrique. Changer une statue pour une autre, c'est réemployer des techniques, des pratiques qui finalement sont peut-être l'héritage colonial le plus profond.À écouter aussiSénégal: «Les populations n'utilisent pas les noms coloniaux des rues»
Découvrez l'incroyable traque du groupe Action Directe, l'organisation terroriste d'extrême gauche qui a secoué la France dans les années 80. De ses premiers actes spectaculaires à ses attaques meurtrières, leur lutte armée s'est inscrite dans une époque où violence et idéologie se sont entrelacées. Qui étaient ces hommes et ces femmes prêts à tout pour leurs convictions ? Qu'est-ce qui les a poussés à franchir la ligne entre militantisme et terrorisme ? Course poursuite dans les rues de Paris Février 1987. Cela fait dix ans que le commandant Serge Savoie traque le groupe terroriste Action Directe. Ce soir-là, dans une ferme du Loiret, il tient enfin sa revanche. Rouillan, Ménigon, Aubron et Cipriani, figures de la lutte armée, tombent sans résistance. C'est la fin d'une cavale, mais pas d'une idéologie. Car pour eux, même menottés, la lutte continue. Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Michel Vaujour, le roi de l'évasion : petits vols de voitures (1/4) [INEDIT] Michel Vaujour, le roi de l'évasion : une série d'évasions (2/4) [INEDIT] Michel Vaujour, le roi de l'évasion : l'ennemi public n°1 (3/4) [INEDIT] Michel Vaujour, le roi de l'évasion : la liberté pour de bon (4/4) Crédits : Textes : Lola Bertet Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Production : Bababam En partenariat avec Upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:01:47 - Le "like", ici Lorraine - Des rues du centre ville de Verdun sont depuis peu éclairées en bleu. Le maire, Samuel Hazard, a publié des photos jeudi 3 avril sur son compte Facebook.
Ça chauffe dans le quartier Saint-Michel à la suite de la mort d’un homme aux mains de la police. Tentative de meurtre à Laval. Deux vies fauchées par un camionneur imprudent. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
C'est une musique aussi trépidante que la ville dans laquelle elle est née, Kinshasa, la capitale de la RDC et berceau des Kin'Gongolo Kiniata. Le groupe s'inscrit dans cette lignée des musiciens des rues qui font vibrer sur scène l'âme de la ville. Leur musique, ils la fabriquent de A à Z, à partir de matériaux de récupération, ce plastique, ce métal dont Kinshasa ne sait plus quoi faire. Guitare, Basse, Percussions, tout l'orchestre est fait main ! Et ça donne une vibration unique intense afropunk électro.Julien Ekutshi, dit Béné Mingi et Junior Mulenga, dit Djino Bass, membres du groupe sont les invités de Sur le pont des arts. Kiniata est sorti sur le label Helico Music/Autre Distribution.Ils sont en concert vendredi 4 avril 2025 au studio de l'Ermitage à Paris. Au programme de l'émission :►Café Polar Catherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Claire Calland, autrice canadienne installée en France, qui vient de publier une Histoire du Polar en BD (Humanoïdes associés). ► Rendez-vousDirection la Côte d'Ivoire, Abidjan, à partir du 4 avril 2025 et pour quelques jours, devient la Capitale du Jazz. Le jeudi 10 avril, une soirée spéciale Jazz au féminin accueillera, entre autres, Jahelle Bonee. La chanteuse et musicienne ivoirienne nous parle de cette soirée spéciale et de la place des femmes dans la musique jazz. ► Playlist du jour- Jahelle Bonee - Nwolè.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
C'est une musique aussi trépidante que la ville dans laquelle elle est née, Kinshasa, la capitale de la RDC et berceau des Kin'Gongolo Kiniata. Le groupe s'inscrit dans cette lignée des musiciens des rues qui font vibrer sur scène l'âme de la ville. Leur musique, ils la fabriquent de A à Z, à partir de matériaux de récupération, ce plastique, ce métal dont Kinshasa ne sait plus quoi faire. Guitare, Basse, Percussions, tout l'orchestre est fait main ! Et ça donne une vibration unique intense afropunk électro.Julien Ekutshi, dit Béné Mingi et Junior Mulenga, dit Djino Bass, membres du groupe sont les invités de Sur le pont des arts. Kiniata est sorti sur le label Helico Music/Autre Distribution.Ils sont en concert vendredi 4 avril 2025 au studio de l'Ermitage à Paris. Au programme de l'émission :►Café Polar Catherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Claire Calland, autrice canadienne installée en France, qui vient de publier une Histoire du Polar en BD (Humanoïdes associés). ► Rendez-vousDirection la Côte d'Ivoire, Abidjan, à partir du 4 avril 2025 et pour quelques jours, devient la Capitale du Jazz. Le jeudi 10 avril, une soirée spéciale Jazz au féminin accueillera, entre autres, Jahelle Bonee. La chanteuse et musicienne ivoirienne nous parle de cette soirée spéciale et de la place des femmes dans la musique jazz. ► Playlist du jour- Jahelle Bonee - Nwolè.
durée : 01:00:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1997, "Lieux de mémoire" consacre une émission aux noms des rues de Paris dans les 18e et 20e arrondissements. Habitants, écrivains, maires, facteurs : chacun donne son avis et partage sa connaissance des lieux. - réalisation : Virginie Mourthé
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
On commence avec l'ouverture du procès de Gérard Depardieu - Le comédien était cette fois-ci bien présent au tribunal
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Oui à la végétalisation de 500 rues : Paris, ville-jardin ?
Aujourd'hui, dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la végétalisation de 500 nouvelles rues de Paris. La troisième votation citoyenne à vu 66 % des votant être favorables à cette mesure. En revanche la participation n'a jamais été aussi faible avec seulement 56 489 électeurs se sont déplacés, soit 4,06 % de participation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:22 - Journal de 18h - Des dizaines de milliers de manifestants ont convergé dans la capitale serbe pour protester contre la corruption et pouvoir en place.
durée : 00:10:22 - Journal de 18h - Des dizaines de milliers de manifestants ont convergé dans la capitale serbe pour protester contre la corruption et pouvoir en place.
En Afrique du Sud, le sommet du G20 aura lieu en novembre prochain à Johannesburg. Récemment, le président Cyril Ramaphosa s'est rendu dans le centre de la ville, une zone où les services publics peinent à assurer les services de base, comme la collecte des déchets, où de nombreux immeubles sont contrôlés par les gangs et où la criminalité explose. De notre correspondant à Johannesburg,Lors de sa visite, le président s'est inquiété de l'état de la ville, notamment avec le G20 qui approche. Mais sur le terrain, de nombreuses organisations n'ont pas attendu cet événement pour tenter de nettoyer le CBD — le centre des affaires. Une centaine de personnes de différentes organisations de la ville, publiques ou privées, arpentent les rues, pour nettoyer.« Ici, c'est de plus en plus dur de faire du commerce, déplore un vendeur de rue. Il faut que les choses changent. Donc, quand on voit cette campagne de nettoyage, on les soutient. »Les personnes qui nettoient portent un gilet jaune et chaque groupe est escorté par des agents de la brigade anti-crimes pour sécuriser l'action. « La rue est sale, il y a plein de déchets, beaucoup de trous dans la route, des fuites d'eau… Là, je prends mes gants, décrit Zitha, qui participe au nettoyage. On a aussi des balais et des sacs-poubelle. On prend les déchets et on les jette pour rendre la ville plus propre. »« Moi, je dis qu'on mérite des postes permanents !, revendique Zanele, qui fait partie de l'organisation d'intérêt public Clean City et a obtenu un contrat de trois mois avec la ville. Le président doit nous recruter s'il veut que la ville soit propre. Oui, il y a des solutions, c'est que le gouvernement nous propose de vrais emplois. On attend de nous qu'on nettoie la ville, mais on a l'impression qu'il y a très peu de considération pour notre travail ! »« Pourquoi le président n'est-il pas venu avant ? »Le président sud-africain Cyril Ramaphosa s'est rendu dans les rues du centre la semaine dernière. Il s'est dit choqué par l'état d'une ville qui « tombe en ruine », selon ses mots. « C'est quand même pas une découverte !, s'indigne Minah Malakoane, membre d'un Conseil de quartier. Quand il est devenu président, c'était déjà comme ça, il aurait dû venir il y a des années. Pourquoi maintenant ? Parce qu'il y a le G20 ? Non, ce n'est pas sérieux… »L'habitante et membre d'un Conseil de quartier ne décolère pas : « Le G20 arrive, alors il s'y intéresse enfin. Mais ça fait longtemps que les crimes sont quotidiens, qu'on n'a plus de feux de circulation, que c'est difficile d'emmener nos enfants à l'école le matin. Et maintenant, avec le G20, le président se décide à venir dans le centre, mais pourquoi n'est-il pas venu avant ? »Le président sud-africain a aussi exposé son projet de reprendre les bâtiments occupés par les gangs, nombreux dans le centre de Johannesburg.À lire aussiMmutla Mojapelo sculpte du plastique pour réfléchir à sa place dans le monde
Le cadeau de Fab à Mymy pour le 8 mars.Participez au Fab & Mymy Show : envoyez-nous un vocal !Abonnez-vous au podcastRejoignez le DiscordL'épisode en entier et en avance + une rubrique exclusive : sur Patreon !Suivez Le Fab & Mymy Show sur InstagramEnvoyez-nous un mail : coucou@lefabetmymyshow.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:documents Auteur: bathild-bouniol Lecture: Christiane-JehanneDurée: 56min Fichier: 50 Mo Résumé du livre audio: Les Rues de Paris, Nicolas Poussin Biographie de cet artiste, vie en France, en Italie. Relations avec Richelieu, le Roi entre autres… Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
À Moroni, où les ressources restent limitées, les réparateurs de téléphones ambulants ont su s'imposer. Sans boutique, sans local fixe, ils travaillent en plein air. Armés de patience et d'ingéniosité, ils sont les sauveurs des smartphones en panne. Qui sont-ils ? Comment se forment-ils ? Et comment fonctionnent-ils en réseau pour faire face aux pannes les plus complexes ? Plongée dans cet univers où chaque jour est un nouveau défi. De notre correspondant à Moroni,Dans les rues animées de Moroni, ils sont là, installés sous un parasol ou à l'ombre d'un mur, outils en main. Ces techniciens, souvent autodidactes, réparent téléphones et tablettes à ciel ouvert, souvent avec des moyens limités, mais avec une ingéniosité remarquable. « J'ai appris ce métier en 2009 dans une école technique iranienne, témoigne Illiassa Mohamed Hadji. Après ma formation, je me demandais comment j'allais pouvoir faire pour vivre de ce métier parce que je n'avais pas les moyens de créer une société ou de louer un local. J'ai décidé de m'installer dans la rue, ici, à la capitale. »À écouter dans 8 milliards de voisins Déchets : comment passer du « tout jetable » au « tout réparé » ?Une coopération entre ces techniciens des ruesPas de concurrence entre ces réparateurs ambulants, mais plutôt une coopération. En cas de panne difficile, on fait appel aux collègues. « Quand un téléphone s'éteint tout seul, c'est souvent compliqué. Moi, je regarde des vidéos de techniciens indiens ou pakistanais sur YouTube, explique Bousri Ali Moussa, qui s'inspire d'experts en ligne. Mais ici, dans la rue, on manque beaucoup de matériel. Il y a des outils qu'on aimerait avoir, mais comme on n'a pas de local, on fait avec ce qu'on a. »Des prix abordablesLes clients, eux, apprécient la transparence et la rapidité de ces réparateurs. Contrairement aux boutiques, ici, tout se fait sous leurs yeux. Et les prix sont abordables. « Au départ, je n'avais pas prévu de faire ce métier, mais la crise économique m'a poussé à m'y intéresser, confie Ahmed Moindjié, qui a appris le métier sur le tas. J'ai approché une personne qui s'appelle Nico et c'est lui qui m'a appris ce métier. Une journée normale de travail, parfois, je peux gagner 25 000, 50 000 ou 10 000 francs, tout dépend du travail journalier. »Un métier précaire, mais essentiel, où le bouche-à-oreille est la meilleure publicité. À Moroni, ces réparateurs de fortune s'adaptent aux évolutions technologiques. Tant que les téléphones continueront de tomber en panne, eux auront du travail.À lire aussi Pour le Mondial 2026, les Comores « ne s'interdisent pas de rêver »
Serà un carnaval emotiu pel fet de substituir el pare, Francesc Figueres, al capdavant de l'Agrupació dels Independents del Carnaval de Sitges però continuista respecte als canvis organitzatius que l'entitat va engegar l'any passat i que passen pel rejoveniment de moltes colles i per l'augment de la participació en cada una de les decisions i fins i tot per tenir més presència en els actes de carnaval més enllà de les rues. Enguany l'entitat treu al carrer un total de set carrosses, una d'elles molt nombrosa, després que finalment la plataforma de Cases Noves hagi decidit no sortir, tampoc traurà colles infantils tot i que no descarten fer-ho en anys futurs. Les plomes i la brillantor tornaran a destacar en les seves colles en un Carnaval que es presenta tranquil però pel que Andrea Figueres creu que hi ha marge de millora, sobretot en l'inici de les rues on aposta per una megafonia única que faciliti agilitzar-les. L'entrada Andrea Figueres, presidenta dels Independents del Carnaval: “crec que li hem de donar una volta a l’inici de les rues i tornar al model de megafonia única” ha aparegut primer a Radio Maricel.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
A 10h, ce jeudi 30 janvier, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Étienne Liebig, éducateur, et Camille Fournil, infirmière libérale, débattent de : "Éclairages, trottoirs ... nos rues sont-elles sexistes ?"
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Étienne Liebig et Camille Fournil débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:14 - Le Zoom de France Inter - Après les révélations des accusations d'agressions sexuelles visant l'abbé Pierre, la Ville de Lyon va retirer son nom de l'espace public. La municipalité a aussi décidé d'installer une instance mémorielle pour mettre à plat tous les cas critiques.
Tennis Legend est à Melbourne pour vous faire vivre les coulisses du 1er Grand Chelem de l'année !! Interview avec Hugo pendant la quinzaine.Hugo fait parti de l'équipe Extia montée par Arnaud Frey, qui regroupe 6 joueurs pro : Terence Atmane, Arthur Rinderknech, Constant Lestienne, Hugo Nys et Arthur Cazaux.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés à Tunis pour réclamer la libération des opposants et protester contre la politique du président Kais Saied, au 14e anniversaire de la révolution de 2011 et de la chute du dictateur Ben Ali. Les manifestations incessantes à partir du 17 décembre 2010 qui firent fuir le dictateur Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier, marquent le début des Printemps arabes.
Après les fêtes de fin d'année et du Nouvel An, dans la ville de Bukavu au Sud-Kivu, en République démocratique du Congo (RDC), l'heure est à la propreté des quartiers. Des travaux communautaires, communément appelés « Salongo », sont organisés dans la ville chaque samedi, entre 8 heures et 10 heures, afin de remettre les rues en ordre. De notre correspondant à Bukavu,Entourée des bouteilles plastiques, Neema Birugu, la trentaine et mère de trois enfants, balaye sur son avenue à Bukavu, en RDC. Pour elle, le « Salongo », c'est d'abord une discipline personnelle : « Pendant la fête, moi, mes enfants et certains amis, nous avons bu du jus. Mais après, les enfants ont jeté les bouteilles vides presque partout dans la cour, jusque dans l'avenue. Alors, ma tâche est de les ramasser. Car après la fête, c'est la propreté. »Généralement, le « Salongo » est effectué en petits groupes, par axes, selon les affinités. Jérémie Muziraboba est membre du groupe des motards volontaires. Il a déposé sa moto pour tirer une charrette pleine d'immondices : « Il y a beaucoup de saletés. Beaucoup de commerçants ont jeté des immondices, des sachets, des paquets de biscuits, les restes des choux et légumes vendus par-ci par-là. On a jugé bon de donner de nos petites énergies pour rendre la ville propre. »Au centre-ville, l'administrateur du marché de Nyawera Chikwanine Shanyungu Shabadeux, salue le « Salongo » et demande un coup de pouce pour faire mieux : « Je vois que c'est un peu propre, mais ce que je demande à notre gouverneur, c'est de donner un véhicule à chacune des trois communes pour l'évacuation des déchets. »À lire aussiRDC: Bukavu en manque de denrées après le blocage des routes dû au conflit avec le M23 Des résultats, mais qui méritent de l'encadrementCe sont surtout les lieux publics comme le rond-point Major Vangu et la place de l'Indépendance qui sont visées par les jeunes membres de l'association Briquette du Kivu, pour faire bonne impression et attirer les visiteurs à l'instar de la Kényane Wanjira Mathai, directrice régionale pour l'Afrique de l'institut des ressources mondiales WRI. Elle exprime son admiration : « Nous sommes très fiers ! Ici, c'est un symbole de la restauration. Nous serons en partenariat ensemble pour la ville de Bukavu. »Mugisho Zihalirwa Joseph est le coordonnateur de la cellule de communication à la mairie de Bukavu. Il loue les résultats de l'effort collectif : « On produit 9 896 tonnes de déchets par jour. L'autorité urbaine s'est décidée de rendre Bukavu plus propre qu'avant, et c'est dans ce sens qu'après les fêtes, le maire exhorte les habitants de se mettre au travail ! »Le « Salongo » peut-il suffire à l'évacuation des déchets urbains ? Appolinaire Bulindi, habitant de Bukavu, pense de son côté qu'il faut aller au-delà et qu'au vu de ses conséquences sur le trafic, il faudrait l'accompagner d'autres mesures : « Quand vous faites le ''Salongo'', ça signifie que le samedi, toutes les activités sont bloquées de 8 heures à 10 heures. Il n'y a aucun véhicule qui roule. Est-ce que vous vous rendez compte de toutes ces conséquences-là ? Il faudrait réfléchir dans le sens d'engager un service pour faire la propreté. »Des experts en environnement se disent, eux aussi, partagés sur le « Salongo » ; ils l'encouragent, mais à leurs yeux, il faudrait mieux l'encadrer.À lire aussiRDC: ONU et officiels congolais se réunissent à Bukavu pour mobiliser des fonds en faveur du Sud-KivuÀ lire aussiRDC: à Bukavu, une manifestation contre la guerre dans l'Est et pour exiger de Kinshasa des sanctions diplomatiques
Mikel Arteta is whinging again, and it's getting on everyone's nerves. On today's podcast Niall, Marley and Joel discuss the FA Cup clash between Arsenal and Manchester United at the Emirates, including why the Gunners gaffer is under some pressure. Plus the boys talk Moyes' return to Everton and if Big Ange is also feeling the heat at Spurs. Keep up to date with us on our socials here: Twitter: https://twitter.com/FSDPod Instagram: https://www.instagram.com/sportsocialofficial/ Telegram Group: https://t.me/FootballSocial Niall: https://x.com/niallmccaughan Joel: https://x.com/JoelTudor00 Marley: https://x.com/91Marley Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
À l'occasion des fêtes de fin d'année, nous vous proposons de réécouter ce reportage sur la jeune artiste fraçaise Gobym.
Tous les matins à 7H10, on vous donne des bonnes nouvelles.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 12 décembre 2024.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.