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En Algérie, c'est dans un mois, jour pour jour, que la présidentielle aura lieu. Le chef de l'État sortant, Abdelmadjid Tebboune, affrontera deux autres candidats, Hassani Cherif du parti islamiste MSP, et Youcef Aouchiche du parti historique FFS. Est-ce qu'une alternance est possible, au moment où trois candidats recalés et 68 autres personnes viennent d'être arrêtés pour des accusations de trafic de parrainages de candidatures ? Akram Belkaïd est rédacteur en chef au Monde diplomatique et ancien chroniqueur au Quotidien d'Oran. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Lors de sa première candidature en décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune avait le soutien du chef d'état-major de l'époque, Ahmed Gaïd Salah, mais celui-ci est décédé. Est-ce que le président Tebboune a aujourd'hui le même soutien de la part du nouveau chef d'état-major Saïd Chengriha ?Akram Belkaïd : Au vu des événements de ces dernières années, on peut dire qu'effectivement, il y a une espèce de tandem qui s'est mis en place avec un président qui n'a pas souffert de contestations en interne et un chef d'état-major qui est tout aussi présent que son prédécesseur. Donc il suffit de regarder les informations en Algérie pour voir que l'activité du président de la République est bien couverte, mais que celle du chef d'état-major l'est tout autant. Donc, on a une espèce de tandem qui fonctionne plutôt bien et on n'a pas de signes de tension entre les deux partis.Quand Abdelmadjid Tebboune a été élu en 2019, l'Algérie était en plein bouillonnement politique, c'était le Hirak avec des milliers de personnes dans les rues tous les vendredis. Or, aujourd'hui, les Algériens semblent être retombés dans une profonde apathie. Comment expliquez-vous ce phénomène ?Oui, c'est la répression qui s'est mise en place. Beaucoup de gens sont en prison et le régime aujourd'hui, sa grande urgence, sa priorité, c'est d'empêcher que le Hirak ne renaisse. Et donc toute initiative, susceptible de créer de l'agitation ou de la contestation, est dûment combattue. Et c'est ce qui explique aussi cette apathie visible en Algérie.On vient d'apprendre que 71 personnes soupçonnées d'avoir trempé dans un trafic de parrainage de candidats ont été arrêtées sur décision du Parquet d'Alger. Parmi ces personnes, il y aurait trois candidats recalés pour la prochaine élection, notamment la femme d'affaires Saïda Neghza. Qu'en pensez-vous ?Là, on atteint un point totalement incroyable, je dirais. C'est-à-dire que même un processus de recherche de parrainages peut être entaché ou serait entaché par rapport à trois candidats qui, en plus, ne représentent presque qu'eux-mêmes. Donc c'est le genre d'épisodes qui, à mon avis, vont renforcer l'idée, dans l'esprit de nombreux Algériens, qu'il n'y a rien à gagner à aller s'aventurer dans le monde de la politique et de la contestation.D'où le risque d'une forte abstention le 7 septembre prochain ?Effectivement, l'abstention, c'est le point important. Ces derniers scrutins ont tout de même été marqués par une très, très, très forte abstention. Beaucoup d'Algériens sont très réticents à s'engager une nouvelle fois dans une contestation. Donc, la meilleure manière dans ce genre de situation, c'est de voter avec les pieds, de s'abstenir, de démontrer que ce n'est pas une raison pour aller offrir un plébiscite au candidat du pouvoir. Et donc le taux d'abstention sera un élément intéressant à analyser le soir du 7 septembre.Les deux seuls candidats autorisés à se présenter cette année face au président sortant, c'est Hassani Cherif du parti islamiste MSP, et Youcef Aouchiche du parti FFS, très implanté en Kabylie. Quelles sont leurs chances respectives ?À moins d'un séisme majeur dans la vie politique algérienne et dans les tréfonds du système, personne ne pense que ces deux personnes vont être élues. Soyons clairs là-dessus.Donc, vous avez deux personnalités qui représentent néanmoins des courants politiques importants dans la société. Hassani Cherif, c'est le Mouvement de la société pour la paix, c'est une certaine vision de l'islamisme, une certaine vision du nationalisme algérien aussi. Le Front des forces socialistes de Monsieur Aouchiche, ce n'est pas que la Kabylie, c'est aussi tout ce que l'Algérie peut compter comme esprit moderniste, laïc, plutôt engagé à gauche.Donc ce ne sont pas non plus des courants politiques marginaux. Et c'est d'ailleurs intéressant de voir que le régime a toléré ou a laissé faire et a accepté que ces deux courants puissent figurer.Donc ce ne sont pas simplement des cautions du régime ?On pourrait l'interpréter comme ça, mais je pense que ce serait être, je dirais, insultant à l'égard de ces deux hommes politiques, parce qu'ils représentent des mouvements politiques réels, et je pense qu'eux-mêmes ne sont absolument pas dupes du résultat à venir. Mais ce sont deux partis, le MSP et le FFS, qui ont estimé qu'il valait mieux être présents dans ce scrutin plutôt que de le boycotter. Parce que la vie politique algérienne est tellement compliquée quand vous êtes dans l'opposition, quand vous n'êtes pas dans le sérail, que le fait de pouvoir participer à une campagne électorale pour la présidentielle est une opportunité à ne pas gâcher.À lire aussiPrésidentielle en Algérie: «il n'y a pas d'alternative crédible» à Abdelmadjid Tebboune
[This show is produced in Somali only; English caption of the show context is down below] Todobaadkaan #TubtaNabadda, waxaan uga hadleynaa isbaheysiyada ama ururada caalamiga ah ee dalalka iyo diblumaasiyadda nabadda ee adduunka, iyo sida Soomaaliya uga faa'iideysto wadahadalada caalamiga ah. Barnaamijka waxaan ku wareysan doonaa Axmed Gacal, Hormuudka kulliyadda siyaasadda ee jaamacadda caalamiga ah ee Soomaaliya, oo ka hadli doona muhiimadda isbaheysiyada dalalka iyo diblumaasiyadda nabadda, iyo sida xiriiradaas ay qayb uga yihiin nabadda caalamka iyo saameynta ay ku leedahay nolosha dadka Soomaaliyeed. Waxa uu sidoo kale ka hadlayaa heshiisyada isbaheysiyada caalamiga ah qaybta ay ka qaataan horumarka dalalka. Martidada labaad waa Axmed Cabdi Haaddi, oo ka faalooda arrimaha siyaasadda iyo xiriirada caalamiga ah, waxa uu noo sharxi doonaa sida diblumaasiyadda nabadda iyo isbaheysiyada caalamka ay uga tujumayaan wada shaqeynta iyo ka hortagga colaado dhaxmara dalalka caalamka. Waxaan sidoo kale weydiinayaragtidiisa ku aadan doorka Soomaaliya ee isbaheysiydaas. Waad nala wadaagi kartaa aragtidaada adigoo dhageysanaya idaacadaha aad ugu jeceshahay. Radio Mogadishu (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Kulmiye KNN (2:30 p.m., 8:30) Radio Baidoa (1:30 p.m., 9:00 p.m.) SBC Radio (1:20 p.m., 7:30 p.m.) Radio Garowe (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Cadaado (1:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Risala, (2:30 p.m., 9:00 p.m.) Radio Dalsan (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Hiranweyn (1:15 p.m., 8:15 p.m.) Radio Galgadud (2:30 p.m., 9:00 p.m.) Radio Kismaayo. (2:30 p.m., 7:00 p.m.) Waxaad sdoo kale ka helikartaa Podcast qybtaan iyo qaybaha kaleba: iTunes: https://podcasts.apple.com/ke/podcast/tubta-nabaada-path-to-peace/id1373615264 Stitcher: https://www.stitcher.com/show/tubta-nabaada-path-to-peace TuneIn: https://tunein.com/podcasts/Podcasts/Tubta-Nabaada-Path-to-Peace-p1120872/ ------------------------------------------------------------------------------------------- This week on #TubtaNabadda, we discuss multilateralism and diplomacy for peace in today's world and how Somalia can benefit from international dialogue and global solutions. We interview Ahmed Ga'al, Professor at the Somali International University, about the importance of multilateralism and diplomacy for peace and about the connections between global solutions and the everyday lives of Somali people. We also explore how multilateral agreements contribute to peace in the country. The second guest is Ahmed Abdi Haddi, a social science and international relations analyst. He will explain preventive diplomacy and how multilateralism and global cooperation translate into the prevention of local conflicts. We will ask about his thoughts on Somalia's position in the present world. The programme is presented in Somali by Ali Gutale and Fathi Mohamed. You can share your views by calling in your favourite radio station during the show today at: Radio Mogadishu (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Kulmiye KNN (2:30 p.m., 8:30) Radio Baidoa (1:30 p.m., 9:00 p.m.) SBC Radio (1:20 p.m., 7:30 p.m.) Radio Garowe (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Cadaado (1:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Risala, (2:30 p.m., 9:00 p.m.) Radio Dalsan (2:30 p.m., 8:30 p.m.) Radio Hiranweyn (1:15 p.m., 8:15 p.m.) Radio Galgadud (2:30 p.m., 9:00 p.m.) Radio Kismaayo. (2:30 p.m., 7:00 p.m.) You can also listen to the podcast of this and previous episodes of this show on: iTunes: https://podcasts.apple.com/ke/podcast/tubta-nabaada-path-to-peace/id1373615264 Stitcher: https://www.stitcher.com/show/tubta-nabaada-path-to-peace TuneIn: https://tunein.com/podcasts/Podcasts/Tubta-Nabaada-Path-to-Peace-p1120872/ ----------------------------------------------------------------------------------------
In deze aflevering ga ik in gesprek met marketingcoach Ahmed Bader. Wat is zijn verhaal en welke dingen in zijn leven zorgden ervoor dat hij nu staat waar hij staat en is wie hij is? Een gesprek over volgers kopen op Instagram, kiezen voor geld of voor je hart en dé manier om te groeien op Instagram. Je maakt ook kennis met Boy, de hond van Ahmed, die op de achtergrond regelmatig van zich laat horen. Veel luisterplezier! Meer weten over Ahmed? Ga dan naar https://gosocials.nl Wil je meer over mij weten? Check dan mijn website: https://nannekevandrunen.nl/ Heb je vragen? Stuur dan een mail naar nanneke@nannekevandrunen.nl of stuur me een DM via Instagram: www.instagram.com/nannekevandrunen Music by www.gosoundtrack.com --- Send in a voice message: https://anchor.fm/nanneke-van-drunen/message
L’ALGÉRIE, UN AN PLUS TARD… Il y a un an, le vendredi 22 février 2019, les Algériens se soulèvaientpacifiquement contre la perspective d’un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 20 ans, affaibli par un accident vasculaire-cérébral survenu en 2013. Avec le « Hirak », nom de ce mouvement populaire, l’Algérie entrait en protestation. Des femmes, des familles y participent massivement impulsant un caractère pacifique aux manifestations. Le 11 mars, le Président Bouteflika annonce qu’il ne se représentera pas etfinit par démissionner le 2 avril. Dans les mois qui suivent, un bras de fer oppose les manifestants à l’homme fort du régime, le général Ahmed GaïdSalah, chef d’état-major depuis 2004 d’une armée qui est un acteur social et économique doté d’importantes ressources financières : son budget s’élève à 12 milliards de dollars, soit 25% du budget de l’État. Des élections présidentielles se déroulent le 12 décembre 2019, sur fond d’abstention massives (60%). Elles portent au pouvoir Abdelmadjid Tebboune. Le 23 décembre, son principal soutien, le général Ahmed Gaïd Salah décède brutalement. Durant cette année, des ministres, de hauts responsables, des hommes d’affaires, mais aussi des officiers supérieurs, hier tout-puissants, sont envoyés en prison ou sont écartés. Mais les exigences populaires, qu’il s’agisse de la mise en place d’un gouvernement composé de personnalités indépendantes ou la remise à plat des institutions avec, éventuellement, l’élection d’une Assemblée constituante, demeurent insatisfaites. Aujourd’hui, sur 42 millions d’Algériens, les trois quarts habitent en ville, 30% ont moins de 15 ans et 45% moins de 25 ans. La jeunesse n’a pas connu la décennie noire de la guerre civile des années 90. Dix-sept millions d’Algériens sont connectés chaque jour sur les réseaux sociaux, qui ont joué un rôle essentiel dans la mobilisation. Leurs slogans : « 1962 territoire libéré – 2019 peuple libéré », « qu’ils dégagent tous », « tous des voleurs », « État civil, non militaire ». Actuellement, 1.300 personnes restent visées par des enquêtes judiciaires et 140 sont toujours emprisonnées selon le Comité national pour la libération des détenus. Plusieurs scrutins à venir – référendum sur la Constitution, élections législatives et municipales anticipées – marqueront l’évolution du rapport de force entre la rue et le régime en place à Alger. En attendant, les manifestations se poursuivent.
Nous vous parlons cette semaine de la situation en Algérie. Un an après les soulèvements populaires, les Algériens appellent toujours à un changement démocratique et au respect de leurs droits fondamentaux. Des dizaines de manifestants et d’activistes y sont toujours en prison un an après le début des manifestations en faveur de la démocratie. Après les élections présidentielles de décembre 2019, les autorités ont remis en liberté de nombreux activistes incarcérés, mais des figures emblématiques du mouvement emprisonnées depuis septembre ou octobre derniers se trouvent toujours derrière les barreaux. Nos invités sont Miloud Chennoufi du département d’études de la défense au Collège des Forces canadiennes Toronto et Sara Nacer, Cette Montréalaise d'origine algérienne a réalisé le documentaire engagé «Qu'ils partent tous». Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 28 février 2020 - 44:41 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20200228-WEF15 Découvrez nos articles les plus récents sur l'Algérie Algérie : « Tout le monde doit partir, pas seulement les têtes d’affiche » Samir Bendjafer, journaliste à la section arabe de Radio Canada International, était de passage à Alger tout de suite après l’annonce de la prochaine présidentielle. Il rend compte, au micro de Maryse Jobin, du climat politique qui règne en Algérie après sept mois de contestation populaire. Décès d’Ahmed Gaïd Salah, homme fort de l’Algérie Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l’armée algérienne, l’« homme fort de l’Algérie », connu également pour avoir poussé l’ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l’âge de 79 ans d’une crise cardiaque selon la présidence algérienne. Il aussitôt été remplacé par un autre militaire. Algérie : la rue ne digère pas l’élection d’un ex-fidèle de Bouteflika Tebboune a reçu l’appui de 58,15 % des personnes qui ont voté selon l’Autorité nationale des élections (ANIE), mais le taux de participation n’a été que de 39,83 %. Il s’agit du plus faible taux de l’histoire des élections présidentielles pluralistes de ce pays du Maghreb. L’art pour soutenir la révolution du sourire en Algérie Depuis le 22 février 2019, une révolution populaire pacifique et unique au monde est en marche en Algérie. Le soutien de la diaspora algérienne au Canada à la révolution du sourire qui balaie l’Algérie depuis le 22 février dernier n’est pas que politique. Aussi, il ne se résume pas aux manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis près de neuf mois au centre-ville de Montréal. Le rôle de la diaspora dans la transition en Algérie Une année après le déclenchement du mouvement populaire en Algérie, un regroupement de plusieurs partis et associations de la société civile algérienne, le Pacte de l’alternative démocratique (PAD), appelle à la tenue des « assises nationales pour l’alternative démocratique et la souveraineté populaire ». L’expertise canadienne en aéronautique au service des étudiants en Algérie La coopération dans le domaine aéronautique entre le Canada et l’Algérie est solide. Sur l’initiative de l’Algéro-Canadien, Abdelkader Kherrat, ingénieur chez Bombardier et enseignant à l’École polytechnique de Montréal, s’est tenu récemment en Algérie une compétition en aéronautique. Développer les entreprises émergentes en Algérie avec l’expertise canadienne Des membres de la diaspora algérienne au Canada se réuniront à la mi-février à Montréal pour discuter de la relance du développement économique de leur pays d’origine à partir de leur pays d’adoption. Deux associations d’Algériens du Canada ont uni leurs efforts pour organiser cet événement. Le meilleur de la semaine en images window.jQuery || document.write('
Nous vous parlons cette semaine de la situation en Algérie. Un an après les soulèvements populaires, les Algériens appellent toujours à un changement démocratique et au respect de leurs droits fondamentaux. Des dizaines de manifestants et d'activistes y sont toujours en prison un an après le début des manifestations en faveur de la démocratie. Après les élections présidentielles de décembre 2019, les autorités ont remis en liberté de nombreux activistes incarcérés, mais des figures emblématiques du mouvement emprisonnées depuis septembre ou octobre derniers se trouvent toujours derrière les barreaux. Nos invités sont Miloud Chennoufi du département d'études de la défense au Collège des Forces canadiennes Toronto et Sara Nacer, Cette Montréalaise d'origine algérienne a réalisé le documentaire engagé «Qu'ils partent tous». Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 28 février 2020 - 44:41 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20200228-WEF15 Découvrez nos articles les plus récents sur l'Algérie Algérie : « Tout le monde doit partir, pas seulement les têtes d'affiche » Samir Bendjafer, journaliste à la section arabe de Radio Canada International, était de passage à Alger tout de suite après l'annonce de la prochaine présidentielle. Il rend compte, au micro de Maryse Jobin, du climat politique qui règne en Algérie après sept mois de contestation populaire. Décès d'Ahmed Gaïd Salah, homme fort de l'Algérie Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l'armée algérienne, l'« homme fort de l'Algérie », connu également pour avoir poussé l'ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l'âge de 79 ans d'une crise cardiaque selon la présidence algérienne. Il aussitôt été remplacé par un autre militaire. Algérie : la rue ne digère pas l'élection d'un ex-fidèle de Bouteflika Tebboune a reçu l'appui de 58,15 % des personnes qui ont voté selon l'Autorité nationale des élections (ANIE), mais le taux de participation n'a été que de 39,83 %. Il s'agit du plus faible taux de l'histoire des élections présidentielles pluralistes de ce pays du Maghreb. L'art pour soutenir la révolution du sourire en Algérie Depuis le 22 février 2019, une révolution populaire pacifique et unique au monde est en marche en Algérie. Le soutien de la diaspora algérienne au Canada à la révolution du sourire qui balaie l'Algérie depuis le 22 février dernier n'est pas que politique. Aussi, il ne se résume pas aux manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis près de neuf mois au centre-ville de Montréal. Le rôle de la diaspora dans la transition en Algérie Une année après le déclenchement du mouvement populaire en Algérie, un regroupement de plusieurs partis et associations de la société civile algérienne, le Pacte de l'alternative démocratique (PAD), appelle à la tenue des « assises nationales pour l'alternative démocratique et la souveraineté populaire ». L'expertise canadienne en aéronautique au service des étudiants en Algérie La coopération dans le domaine aéronautique entre le Canada et l'Algérie est solide. Sur l'initiative de l'Algéro-Canadien, Abdelkader Kherrat, ingénieur chez Bombardier et enseignant à l'École polytechnique de Montréal, s'est tenu récemment en Algérie une compétition en aéronautique. Développer les entreprises émergentes en Algérie avec l'expertise canadienne Des membres de la diaspora algérienne au Canada se réuniront à la mi-février à Montréal pour discuter de la relance du développement économique de leur pays d'origine à partir de leur pays d'adoption. Deux associations d'Algériens du Canada ont uni leurs efforts pour organiser cet événement. Le meilleur de la semaine en images window.jQuery || document.write('
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Ahmed Gaïd Salah est donc décédé quelques jours à peine après avoir installé au pouvoir un président selon son coeur et ses intérêts bien compris. L'avenir est donc ouvert.
durée : 00:25:23 - Journal de 12h30 - Puissant chef d'état-major de l'armée algérienne, le général Ahmed Gaïd Salah, pilier du régime, est décédé ce matin d'une crise cardiaque à l'âge de 79 ans. - invités : Marc Ivaldi directeur d'Etudes à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), professeur d'économie à la TSE, l'école d'économie de Toulouse.
Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l’armée algérienne, l’« homme fort de l’Algérie », connu également pour avoir poussé l’ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l’âge de 79 ans d’une crise cardiaque selon la présidence… »
durée : 00:19:55 - Journal de 18h - Le chef d'état-major de l'armée algérienne, le général Ahmed Gaïd Salah est mort ce matin d'une crise cardiaque à l'âge de 79 ans. C'est lui qui a organisé la démission du président Bouteflika sous la pression de la rue, avant de devenir la cible privilégiée du Hirak. Réactions sur place.
durée : 00:14:52 - Journal de 18h - Vingtième vendredi de manifestation contre le pouvoir à Alger, et à nouveau une forte mobilisation. Les slogans ont à nouveau ciblé le général Ahmed Gaïd Salah, chef d'état-major de l'armée.
Au sommaire : Brexit Usée par l'interminable casse-tête du Brexit, qu'elle n'a pas su mettre en oeuvre, la Première ministre britannique Theresa May démissionnera le 7 juin 2019. Est-ce un échec personnel ? Qui pour la remplacer ? Et quel impact sur le divorce du Royaume-Uni avec l'Europe ? Algérie Tous contre Ahmed Gaïd Salah ? L'homme fort de la transition algérienne, patron de l'armée, confirme maintenir le calendrier constitutionnel en bravant l'immense majorité du peuple et des élites. Que va-t-il advenir dans un pays où l'armée, dernier rempart contre un chaos politique, s'oppose désormais à la volonté populaire ? Quel scénario politique pourra l'emporter dans les semaines à venir ? Inde C'est la plus grande élection de l'histoire mondiale. En Inde, neuf cents millions d'électeurs étaient appelés à élire leurs députés au cours d'un vote marathon étalé sur six semaines, entre avril et mai. Succès haut la main du Premier ministre Narendra Modi : les nationalistes hindous, au pouvoir depuis 2014, sont reconduits pour cinq ans. Est-ce l'idée même de l'Inde qui était en jeu dans ces élections ? L'Inde est-elle toujours la plus grande démocratie du monde ? Comment évaluer sa puissance et son statut dans les prochaines années ? Fin de vie C'est la triste histoire d'un homme, un patient tétraplégique en état végétatif depuis plus de dix ans, devenu le symbole des débats épineux sur les questions de la fin de vie. L'affaire Vincent Lambert met-elle la France face à ses hésitations bioéthiques ? Alors que la Belgique, notamment, a posé un cadre légal précis, pourquoi la France peine-t-elle à statuer ? Sur les questions de société, a-t-elle du retard ? Le pays est-il profondément conservateur ? À la frontière entre biologie, éthique, culture et religion, comment aborder la mort ? Invités : Vaiju Naravane, éditorialiste et correspondante pour l'Europe du quotidien indien « Hindustan Times » ; Élisabeth Roudinesco, historienne de la psychanalyse ; Mireille Duteil, chroniqueuse à l'hebdomadaire français « Le Point » ; Jean Stern, journaliste indépendant. Présentation : Silvia Garcia.
Ce qui se passe en Algérie est littéralement hors normes. Chaque vendredi, dans toutes les villes des centaines de milliers de personnes, dépassant probablement le million, défilent contre le système FLN. Je reçois des photos de partout, de celles que les medias sauf rares exceptions ne répercutent pas : elles sont impressionnantes. On pourra toujours dire que le nombre de chômeurs est tel - un jeune de moins de 24 ans sur trois « tient le mur » toute la journée, un Algérien sur deux est sans emploi sur une longue durée – que le défilé hebdomadaire tient lieu d’occupation. En fait, une fois encore dans l’histoire moderne puisqu’ils ont été les seuls du monde arabe à mener une guerre d’indépendance, les Algériens se distinguent incroyablement de leurs « frères » . Ils sont en train de leur donner une leçon sans précédent. La première, hélas invisible là encore dans nos médias, est la mixité hommes-femmes dans cette irrésistible houle protestatrice. Qu’elles soient en cheveux ou hidjabées, en pantalon sexy ou en robe longue, de tous âges, de tous milieux, elles sont aux côtés des hommes et portent banderoles en arabe ou en français avec la même fougue. Les femmes occupent volontairement l’espace public, en masse. Depuis le 22 février, c’est la marque d’un bouleversement général encore difficile à analyser. La seconde leçon, toujours absente des commentaires médiatiques, s’appelle la non-violence. Ce n’est pas un hasard si des pancartes à Alger évoquent Gandhi. Renverser progressivement un régime tout puissant par la toute puissance pacifiste est déjà une gageure. Mais qu’un peuple marqué par la violence coloniale et qui a lui-même usé de la violence, y compris contre lui-même pendant une décennie de guerre civile contre les islamistes qui a fait près de 200 000 morts entre 1991 et 2000, atteigne cette maturité est tout simplement exceptionnel. Pour la planète musulmane, une révolution. La troisième leçon, toujours absente des commentaires, directement liée à la précédente, concerne le temps long dans lequel s’inscrit délibérément ce soulèvement à la fois irrésistible pour le peuple algérien et irrépressible par l’armée algérienne. Après l’étape une, je dégage Bouteflika, pourrait s’achever bientôt l’étape 2, je dégage le chef d’état major, Ahmed Gaïd Salah, homme fort du moment qui tente de calmer les ardeurs renversantes. Il vient de donner un gage en arrêtant et même incarcérant pour corruption, laquelle gangrène tout le pouvoir civil et militaire, quelques uns des hommes d’affaires les plus riches d’Algérie, dont l’ex patron des patrons. A écouter mes amis algériens, ce gage est très insuffisant. Et j’entends de toutes parts que l’élection présidentielle prévue pour le 4 juillet prochain, sera boycottée par le peuple. L’annulant ainsi de facto. Car de tous bords, les Algériens réclament un tel nettoyage qu’il devra comporter, pour la troisième étape, un candidat indépendant à la présidentielle différée, qui n’aura ni de près ni de loin touché au système, pactisé avec lui. Un scénario à l’ukrainienne. Reste à le trouver, comme aussi les hommes et les femmes nouveaux leaders, qui piaffent dans les starting blocks. Car, il faut le répéter, outre le FLN, l’islamisme politique est fini. L’histoire, qui aime les symboles, a d’ailleurs enregistré la semaine dernière la mort en exil d’Abassi Madani, le leader du FIS de sinistre mémoire. La page que sont en train d’écrire les Algériens de là bas est enfin une bénédiction pour les Algériens d’ici. Glorieuse si elle se poursuit ainsi, elle apporterait notamment à nos jeunes d’origine algérienne une fierté inconnue. Elle pourrait leur permettre de passer outre la haineuse resucée contre le colonisateur et la honte tue de la décennie tragique.
Au sommaire : Notre-Dame De quoi Notre-Dame de Paris est-elle le symbole ? En quelques minutes, lundi 15 avril au soir, le choc suscité par l'incendie de la cathédrale parisienne s'est mué en vague planétaire. Pourquoi cette émotion mondialisée ? Que représente la cathédrale sur le plan culturel, historique et religieux ? Les braises encore fumantes que se posait déjà la question de la reconstruction. La somme faramineuse du milliard d'euros de promesses de dons a été atteinte en 48 heures. Que penser de ce flot d'argent ? L'incendie a bouleversé le calendrier politique du président Macron qui devait livrer le jour même ses conclusions après le « grand débat national ». Les mesures présidentielles fuitent. Sont-elles à la hauteur de la crise des « gilets jaunes » ? Algérie En Algérie, mardi 16 avril, les manifestations se sont poursuivies, le président du Conseil constitutionnel a démissionné et le général Ahmed Gaïd Salah a prononcé un discours très attendu sur la situation politique. L'homme fort du pays a désavoué le recours par la police à la répression des manifestants et a promis de protéger les citoyens. D'où sont venus les ordres pour utiliser la manière forte ? Le succès du mouvement dépend-il de sa capacité à résister à la tentation de la violence ? Le chef de l'armée a de nouveau condamné les complots que seraient en train de tramer certains partis. Mais cette fois-ci, Ahmed Gaïd Salah a accusé nommément le général Toufik. Quel rôle joue l'ancien chef des services de renseignement ? Et après près de deux mois de contestation, quelle solution politique ? Rapport Mueller Informations sensibles, confidentielles, compromettantes... Le rapport final sur l'enquête russe a été publié jeudi 18 avril dans une version expurgée de toute une série de détails. Cela risque-t-il de laisser l'opinion publique américaine sur sa faim ? Le ministre de la justice William Barr peut-il vouloir dissimuler les éléments embarrassants pour le président Trump ? Invités : Jean-Christophe Ploquin, rédacteur en chef de « La Croix » ; Ana Navarro Pedro, correspondante à Paris de l'hebdomadaire généraliste portugais « Visao » ; Akram Belkaïd, journaliste au « Monde diplomatique », auteur de « L'Algérie en 100 questions, un pays empêché » (éditions Tallandier) ; Dick Howard, philosophe, politologue franco-américain, auteur de « Les Ombres de l'Amérique. De Kennedy à Trump » (éditions François Bourin) ; Jean-Sébastien Sauvé, historien de l'architecture (depuis Montréal). Présentation : Silvia Garcia.
Vos quatre animateurs vous invitent cette semaine à vous interroger sur le sens à donner à la révolution populaire qui a mené à la démission du président algérien. Les autres régimes autocratiques de la région doivent-ils se méfier d'un autre printemps arabe? Entrevue avec Miloud Chennoufi, membre de l'Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 5 avril 2019 - 42:28 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20190405-WEF15 Découvrez nos archives sur le même sujet Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a officiellement remis sa démission Nouveau rebondissement en Algérie. La télévision d’État vient d’annoncer la démission d’Abdelaziz Bouteflika après 20 ans au pouvoir. Lâché par l’armée, le président démissionnaire tire donc sa révérence après les pressions de la rue. Pour comprendre la situation, on joint Omar Aktouf, intellectuel algérien et professeur titulaire à HEC Montréal. Algérie : le président Bouteflika inapte à gouverner, selon le chef d’état-major de l’armée Dernier coup de tonnerre en Algérie. Le chef d’état-major de l’armée algérienne a déclaré Abdelaziz Bouteflika inapte à gouverner. Pendant un discours retransmis en partie à la télévision nationale, Ahmed Gaïd Salah a réclamé que la plus haute juridiction du pays active l’article 102 de la Constitution, qui prévoit la destitution du chef de l’État. « Système dégage », scandent des Algériens de Montréal, Bouteflika se retire Des manifestants se sont réunis pour la troisième fois à Montréal pour exiger que le président de l’Algérie retire sa candidature pour un cinquième mandat, même écourté. De « Bouteflika dégage », le message pour celui qui s’accrochait au pouvoir est maintenant « Système dégage ». Un sentiment partagé par des manifestants montréalais. Chômage, droits et dignité bafoués - NAR ou jeunes Algériens à la croisée des chemins La cinéaste d’origine algérienne Meriem Achour-Bouakkaz décrit, dans un documentaire de 52 minutes intitulé NAR, ce qu’elle qualifie de « forme de violence extrême en Algérie » : l’immolation par le feu de jeunes et de moins jeunes. « Il y en a assez pour que ça m’interpelle et que je me pose des questions sur la société algérienne aujourd’hui. » Le partage des mémoires, de l’Algérie coloniale au Canada Le 1er novembre 1954 éclate, en Algérie, un conflit violent qui se conclura, en juillet 1962, par la reconnaissance de l’indépendance de ce territoire, occupé depuis 1830 par la France. Les morts se compteront par milliers sur tous les fronts. Cette guerre de décolonisation fera aussi de nombreuses victimes « collatérales » : pieds-noirs, juifs, harkis n’auront d’autres choix que de quitter ce pays du Maghreb. L’épreuve d’un ingénieur canadien détenu en Algérie pendant plus de trois ans C’est l’histoire de Pierre Demers dont la vie a basculé en mai 2009 et qui a été arrêté avant même de franchir les douanes à Alger. L’ingénieur québécois faisait des affaires dans ce pays depuis près de 10 ans en soumissionnant sur des contrats de hangars d’avion pour des bases militaires. La firme montréalaise Lemay réinvente le concept de la médina en Algérie La firme de conception architecturale Lemay obtenait en 2013 un contrat en Algérie. C’est en soumettant un projet de médina réinventée avec le Consortium EXP que l’entreprise remporte le Concours international de la nouvelle ville d’El-Ménia située non loin de la vieille ville de Constantine, qui sera la capitale de la culture arabe en 2015. Nos images de la semaine window.jQuery || document.write('
Vos quatre animateurs vous invitent cette semaine à vous interroger sur le sens à donner à la révolution populaire qui a mené à la démission du président algérien. Les autres régimes autocratiques de la région doivent-ils se méfier d'un autre printemps arabe? Entrevue avec Miloud Chennoufi, membre de l'Observatoire sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord. Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 5 avril 2019 - 42:28 ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20190405-WEF15 Découvrez nos archives sur le même sujet Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a officiellement remis sa démission Nouveau rebondissement en Algérie. La télévision d'État vient d'annoncer la démission d'Abdelaziz Bouteflika après 20 ans au pouvoir. Lâché par l'armée, le président démissionnaire tire donc sa révérence après les pressions de la rue. Pour comprendre la situation, on joint Omar Aktouf, intellectuel algérien et professeur titulaire à HEC Montréal. Algérie : le président Bouteflika inapte à gouverner, selon le chef d'état-major de l'armée Dernier coup de tonnerre en Algérie. Le chef d'état-major de l'armée algérienne a déclaré Abdelaziz Bouteflika inapte à gouverner. Pendant un discours retransmis en partie à la télévision nationale, Ahmed Gaïd Salah a réclamé que la plus haute juridiction du pays active l'article 102 de la Constitution, qui prévoit la destitution du chef de l'État. « Système dégage », scandent des Algériens de Montréal, Bouteflika se retire Des manifestants se sont réunis pour la troisième fois à Montréal pour exiger que le président de l'Algérie retire sa candidature pour un cinquième mandat, même écourté. De « Bouteflika dégage », le message pour celui qui s'accrochait au pouvoir est maintenant « Système dégage ». Un sentiment partagé par des manifestants montréalais. Chômage, droits et dignité bafoués - NAR ou jeunes Algériens à la croisée des chemins La cinéaste d'origine algérienne Meriem Achour-Bouakkaz décrit, dans un documentaire de 52 minutes intitulé NAR, ce qu'elle qualifie de « forme de violence extrême en Algérie » : l'immolation par le feu de jeunes et de moins jeunes. « Il y en a assez pour que ça m'interpelle et que je me pose des questions sur la société algérienne aujourd'hui. » Le partage des mémoires, de l'Algérie coloniale au Canada Le 1er novembre 1954 éclate, en Algérie, un conflit violent qui se conclura, en juillet 1962, par la reconnaissance de l'indépendance de ce territoire, occupé depuis 1830 par la France. Les morts se compteront par milliers sur tous les fronts. Cette guerre de décolonisation fera aussi de nombreuses victimes « collatérales » : pieds-noirs, juifs, harkis n'auront d'autres choix que de quitter ce pays du Maghreb. L'épreuve d'un ingénieur canadien détenu en Algérie pendant plus de trois ans C'est l'histoire de Pierre Demers dont la vie a basculé en mai 2009 et qui a été arrêté avant même de franchir les douanes à Alger. L'ingénieur québécois faisait des affaires dans ce pays depuis près de 10 ans en soumissionnant sur des contrats de hangars d'avion pour des bases militaires. La firme montréalaise Lemay réinvente le concept de la médina en Algérie La firme de conception architecturale Lemay obtenait en 2013 un contrat en Algérie. C'est en soumettant un projet de médina réinventée avec le Consortium EXP que l'entreprise remporte le Concours international de la nouvelle ville d'El-Ménia située non loin de la vieille ville de Constantine, qui sera la capitale de la culture arabe en 2015. Nos images de la semaine window.jQuery || document.write('
Au sommaire : Tournée de Xi Jinping en Europe « Le temps de la naïveté face à la Chine est terminé » constate Emmanuel Macron à l'occasion de la tournée du président Xi Jinping en Italie, à Monaco et en France. L'Europe vient-elle seulement de découvrir l'impérialisme économique de la Chine, porté par son gigantesque projet des nouvelles routes de la soie ? Devrait-elle suivre l'exemple américain et se méfier de Pékin ? Derrière les sourires de façade, la visite en France du dirigeant chinois s'est-elle bien passée ? Algérie L'ère Bouteflika vit-elle son crépuscule ? Le général Ahmed Gaïd Salah a précipité les événements en appelant à la destitution du président pour inaptitude. Cela suffira-t-il à calmer la contestation des Algériens qui veulent la fin du régime ? La presse algérienne l'assure : après 20 ans au pouvoir, Abdelaziz Bouteflika ne sera plus à la tête de l'Algérie d'ici très peu de temps. Mais la période de transition qui s'ouvre pose de nombreuses questions. L'armée est-elle en train de jouer la montre pour préserver les intérêts du régime ? Pourrait-elle au contraire se positionner au-dessus de la mêlée dans l'intérêt du pays ? Concrètement, qui prend la tête de l'Algérie ? Violences intercommunautaires au Mali Peut-on parler de nettoyage ethnique dans le centre du Mali ? Jamais depuis 2012 et le début de la crise le pays n'avait connu un tel massacre. Des dizaines de personnes ont été tuées méthodiquement dans le village d'Ogossagou, ciblant la communauté peule, dans une région devenue l'épicentre des violences. D'où viennent les rivalités entre Dogons et Peuls ? Nourrissent-elles un cycle de représailles ? Pourquoi les forces maliennes et internationales n'interviennent-elles pas ? Donald Trump Le rapport de l'enquête Mueller ne recommande pas de mises en accusation formelles contre Donal Trump, mais le président américain est-il pour autant exonéré ? Même si plusieurs fronts judiciaires restent ouverts, s'agit-il tout de même d'une victoire politique pour lui ? C'est ainsi, avec un poids en moins, que Donald Trump a continué à exercer ses activités, recevant notamment le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, en pleine campagne pour sa réélection. Invités : Pierre Haski, journaliste à France Inter ; Géraldine Muhlmann, professeure de science politique et de philosophie à l'université Paris 2 Panthéon-Assas ; Rosa Moussaou, grand reporter à « L'Humanité » ; Alberto Toscano, correspondant en France de la radio italienne Radicale. Présentation : Silvia Garcia.
durée : 00:14:54 - Journal de 22h - L'armée algérienne demande à son tour le départ d'Abdelaziz Bouteflika. Le chef d'état-major, le général Ahmed Gaïd Salah, veut que le président impotent soit déclaré inapte, en vertu de la Constitution.
Au sommaire : Algérie Abdelaziz Bouteflika promet une présidentielle anticipée sans lui, dès que les Algériens l'auront élu président le 18 avril 2019. Le maintien de la candidature à un cinquième mandat du chef de l'État a-t-il attisé la révolte ? Le pouvoir reste sourd aux revendications de la rue et les manifestations se poursuivent. Le sort du régime est-il entre les mains du général Ahmed Gaïd Salah, considéré comme l'un des personnages les plus puissants du pouvoir actuel ? La situation en Algérie peut-elle devenir violente ? Lettre aux 28 d'Emmanuel Macron À deux mois et demi des élections européennes, le président français est passé à l'offensive. Emmanuel Macron a publié une tribune dans les 28 pays de l'Union européenne. De Berlin à Rome et de Londres à Bucarest, le texte a-t-il été reçu avec scepticisme ou bienveillance ? Ses idées pour une renaissance de l'Europe sont-elles inspirées et audacieuses ou risquent-elles d'accentuer la division entre populistes et europhiles ? Journée des droits des femmes « Quand les femmes s'arrêtent, le monde s'arrête ». Ce slogan utilisé en 1975 par des Islandaises qui s'étaient mises en grève pendant 24 heures, est repris en Belgique, à l'occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes. Un collectif féministe, appuyé par des syndicats, a décidé de frapper un grand coup. Le principe d'une grève générale est-il efficace pour faire entendre la cause des femmes ? Invités : Agnès Rotivel, rédactrice en chef-adjointe à « La Croix » ; Richard Werly, correspondant pour « Le Temps » ; Béatrice Hadjaje, rédactrice en chef-adjointe à RTL ; Akram Belkaïd, journaliste au « Monde diplomatique », collaborateur du « Quotidien d'Oran » ; Sophie Léonard, journaliste à la RTBF (depuis Bruxelles). Présentation : Silvia Garcia.