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durée : 00:06:14 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 700 Marines et plus de 4 000 membres de la Garde nationale sont déployés à Los Angeles, sur ordre de Donald Trump, pour se tenir face aux manifestants qui s'opposent à des arrestations musclées d'immigrés. De nombreux éditorialistes dénoncent une dérive autoritaire du président républicain.
durée : 00:10:00 - Journal de 18h - Les militaires de la Garde nationale ont été déployés à Los Angeles dimanche apres deux jours de manifestations et de heurts face aux arrestations massives d'immigrés. Les autorités locales dénonce une "décision incendiaire" de la part de l'administration de Donald Trump.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, le suspect du meurtre d'un musulman dans une mosquée du Gard s'est rendu en Italie et le député PS Jérôme Guedj chahuté par des manifestants qui l'ont accusé d'être sioniste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici l’essentiel de l’épisode du lundi 28 avril 2025 pour l’émission La commission: Le droit de manifester au Québec, c’est un droit acquis. Mais manifester devant la résidence d’un ministre, là, ça vient atteindre la vie privée d’un élu. C’est ce qui s’est passé hier alors que des membres d’Alliance ouvrière du Syndicat des travailleurs d'Amazon Laval, affilié à la CSN se sont réunis devant la résidence du ministre du Travail, Jean Boulet, à Trois-Rivières en début d’après-midi. Y a une cycliste qui a pogné toute une débarque comme on dit la semaine passée à Montréal. Elle est entrée en collision avec un autre cycliste sur une piste cyclable et elle s’est fracturé la clavicule. Elle a fait une sortie dans le Journal de Montréal et sur les réseaux sociaux pour dire que son casque lui a sauvé la vie! C’est pas la première fois que la question du port du casque obligatoire est débattue, mais une fois de plus, la cycliste d’expérience a de solides arguments pour convaincre notre ami Luc de traîner le sien plus souvent. Imaginez que vous attendez depuis 3 ans pour avoir une greffe de rein et que vous recevez un appel un samedi après-midi pour vous annoncer la bonne nouvelle et qu’on va enfin vous opérer lundi. Mais 3 heures plus tard, vous recevez un autre appel pour vous dire ; Ouin ben y a pas de chirurgien disponible lundi à l’Hôpital Fleurimont. Désolé pour le faux espoir !!! La saison du BBQ débute. C’est tellement bon un steak ou des brochettes sur la BBQ ! Mais si on s'en tient à une nouvelle étude, il faudrait manger l’équivalent de moins de deux poitrines de poulet par personne par semaine pour réduire les effets environnementaux. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:04:24 - 500 manifestants pour défendre l'hôpital de Bagnères-de-Bigorre
En Europe, les Italiens occupent une place à part face au risque de guerre et la volonté européenne de se réarmer. Ils sont 62% à estimer qu'il y a d'autres dépenses plus urgentes que la défense. Un pacifisme qui conjugue deux héritages : celui du communisme et du catholicisme. Le 5 avril, une grande manifestation se tenait à Rome contre le plan de réarmement annoncé à l'échelle européenne. De notre correspondant à Rome, Ils sont des dizaines de milliers à avoir défilé, samedi 5 avril, dans le centre de Rome, à deux pas du Colisée, avec un slogan : « Non à la guerre et au plan de réarmement européen » proposé début mars par la Commission européenne. Sur la scène, celui qui a organisé la manifestation, Giuseppe Conte, l'ancien chef du gouvernement italien et patron du mouvement Cinq étoiles : « Je crois qu'il y a ici une idée forte et claire que tout le monde a en commun. Nous disons non à ce plan fou de réarmement. Nous disons non à 800 milliards d'euros qui seront dépensés non pas pour un plan sérieux de défense européenne, mais pour armer les pays membres. »Dans la foule, on est venus de toute l'Italie. Nadia et Maria ont pris le train depuis Naples pour venir dénoncer la rhétorique belliqueuse de certains pays européens. Dans ses mains, Nadia tient un montage-photo fait pour l'occasion : « C'est un char conduit par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui roule sur l'Agenda 2030, les objectifs que l'ONU a fixés pour qu'ils soient atteints d'ici à cette date. Et parmi ceux-là, le numéro seize, c'est justement la paix. C'est la page. »Un peu plus loin dans la foule, Stefano distribue des tracts anti-Otan. Antimilitariste depuis des années, il se bat notamment contre les nombreuses bases de l'Alliance atlantiquedisséminées sur le sol italien : « La société a besoin d'investissements dans la santé, l'éducation. Nous n'avons pas besoin de tout cela. Nous avons seulement besoin de paix. »Les catholiques aussi présentsOutre les courants de gauche et pacifistes, une autre frange de l'Italie est foncièrement contre la guerre : les mouvements catholiques. Il y a quelques semaines, une grande marche est partie de la ville de Saint-François, Assise, en Ombrie, jusqu'à Rome. Mouvement parmi les plus importants de la galaxie catholique italienne, la communauté Sant'Egidio est connue pour ses médiations de paix et son travail humanitaire.Mario Giro est le responsable des relations internationales de l'association. Il nous explique d'où vient cette forte opposition des Italiens à la guerre : « Il y a une explication politico-culturelle. Disons la culture catholique, et aussi ce qui reste de l'ancienne culture communiste, sont foncièrement contre la guerre, surtout les catholiques. Après, disons, l'enseignement des papes du siècle dernier. »Face à la course aux armements, l'Italie veut maintenir une voix singulière au sein de l'Europe, celle d'un pays médiateur. Ce pacifisme, plus ancré que chez ses voisins, a des racines profondes qui se résument dans sa Constitution de 1948, où il est écrit noir sur blanc que l'Italie répudie la guerre.Un reportage à retrouver dans notre intégralité dans Accent d'Europe ou l'application PureRadio.
En Europe, les Italiens occupent une place à part face au risque de guerre et la volonté européenne de se réarmer. Ils sont 62% à estimer qu'il y a d'autres dépenses plus urgentes que la défense. Un pacifisme qui conjugue deux héritages : celui du communisme et du catholicisme. Le 5 avril, une grande manifestation se tenait à Rome contre le plan de réarmement annoncé à l'échelle européenne. De notre correspondant à Rome, Ils sont des dizaines de milliers à avoir défilé, samedi 5 avril, dans le centre de Rome, à deux pas du Colisée, avec un slogan : « Non à la guerre et au plan de réarmement européen » proposé début mars par la Commission européenne. Sur la scène, celui qui a organisé la manifestation, Giuseppe Conte, l'ancien chef du gouvernement italien et patron du mouvement Cinq étoiles : « Je crois qu'il y a ici une idée forte et claire que tout le monde a en commun. Nous disons non à ce plan fou de réarmement. Nous disons non à 800 milliards d'euros qui seront dépensés non pas pour un plan sérieux de défense européenne, mais pour armer les pays membres. »Dans la foule, on est venus de toute l'Italie. Nadia et Maria ont pris le train depuis Naples pour venir dénoncer la rhétorique belliqueuse de certains pays européens. Dans ses mains, Nadia tient un montage-photo fait pour l'occasion : « C'est un char conduit par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui roule sur l'Agenda 2030, les objectifs que l'ONU a fixés pour qu'ils soient atteints d'ici à cette date. Et parmi ceux-là, le numéro seize, c'est justement la paix. C'est la page. »Un peu plus loin dans la foule, Stefano distribue des tracts anti-Otan. Antimilitariste depuis des années, il se bat notamment contre les nombreuses bases de l'Alliance atlantiquedisséminées sur le sol italien : « La société a besoin d'investissements dans la santé, l'éducation. Nous n'avons pas besoin de tout cela. Nous avons seulement besoin de paix. »Les catholiques aussi présentsOutre les courants de gauche et pacifistes, une autre frange de l'Italie est foncièrement contre la guerre : les mouvements catholiques. Il y a quelques semaines, une grande marche est partie de la ville de Saint-François, Assise, en Ombrie, jusqu'à Rome. Mouvement parmi les plus importants de la galaxie catholique italienne, la communauté Sant'Egidio est connue pour ses médiations de paix et son travail humanitaire.Mario Giro est le responsable des relations internationales de l'association. Il nous explique d'où vient cette forte opposition des Italiens à la guerre : « Il y a une explication politico-culturelle. Disons la culture catholique, et aussi ce qui reste de l'ancienne culture communiste, sont foncièrement contre la guerre, surtout les catholiques. Après, disons, l'enseignement des papes du siècle dernier. »Face à la course aux armements, l'Italie veut maintenir une voix singulière au sein de l'Europe, celle d'un pays médiateur. Ce pacifisme, plus ancré que chez ses voisins, a des racines profondes qui se résument dans sa Constitution de 1948, où il est écrit noir sur blanc que l'Italie répudie la guerre.Un reportage à retrouver dans notre intégralité dans Accent d'Europe ou l'application PureRadio.
Des Québécois qui ont vu leur Tesla incendiée lundi par des manifestants lancent un appel au calme. Entrevue avec Mariela Rodriguez, propriétaire d’une Tesla vandalisée lors d’une manifestation.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Yves Francoeur, président de la Fraternité des policiers de Montréal, qui critique la direction de McGill, accusée de tolérer une hostilité constante envers les policiers tout en sollicitant leur présence lorsque la situation dégénère.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Des foules immenses se réunissent à l'appel de l'opposition pour demander la libération d'Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul, emprisonné depuis le 19 mars. Le face à face va se poursuivre, dans un contexte marqué par la montée de l'autoritarisme encouragé par la victoire de Donald Trump.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Des foules immenses se réunissent à l'appel de l'opposition pour demander la libération d'Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul, emprisonné depuis le 19 mars. Le face à face va se poursuivre, dans un contexte marqué par la montée de l'autoritarisme encouragé par la victoire de Donald Trump.
Ecoutez RTL Soir avec Vincent Parizot du 29 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.
durée : 00:23:05 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - La colère gronde dans les rues et les universités serbes depuis le mois de novembre, date où un accident dans la gare de Novi Sad causait la mort de 15 personnes. Un drame qui, pour les manifestants, résulte de la corruption et du dysfonctionnement des institutions. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tara Mirković Journaliste au Courrier des Balkans
durée : 00:05:23 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les manifestations, menées par les étudiants, durent depuis début novembre.
durée : 00:03:21 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Plus de 40.000 personnes, selon la police, ont manifesté dimanche dans le centre d'Athènes et à Thessalonique (nord) réclamant "justice" pour les familles des 57 morts de la catastrophe de chemin de fer de 2023, le pire accident ferroviaire en Grèce.
durée : 00:03:21 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Plus de 40.000 personnes, selon la police, ont manifesté dimanche dans le centre d'Athènes et à Thessalonique (nord) réclamant "justice" pour les familles des 57 morts de la catastrophe de chemin de fer de 2023, le pire accident ferroviaire en Grèce.
durée : 00:03:21 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Plus de 40.000 personnes, selon la police, ont manifesté dimanche dans le centre d'Athènes et à Thessalonique (nord) réclamant "justice" pour les familles des 57 morts de la catastrophe de chemin de fer de 2023, le pire accident ferroviaire en Grèce.
Jour d’assermentation pour le Donald ! Freeland et Gould se lancent dans la course à la chefferie du PLC. Trêve à Gaza? Il fait froid au Québec! Stéphane Venne est décédé vendredi. C’est le retour de Star Académie. Tour de l’actualité sportive. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Jour d’assermentation pour le Donald ! Freeland et Gould se lancent dans la course à la chefferie du PLC. Trêve à Gaza? Il fait froid au Québec! Stéphane Venne est décédé vendredi. C’est le retour de Star Académie. Tour de l’actualité sportive. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Nos auditeurs estiment que les policiers n’interviennent pas par peur. Discussion avec Stéphanie Villeneuve. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés à Tunis pour réclamer la libération des opposants et protester contre la politique du président Kais Saied, au 14e anniversaire de la révolution de 2011 et de la chute du dictateur Ben Ali. Les manifestations incessantes à partir du 17 décembre 2010 qui firent fuir le dictateur Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier, marquent le début des Printemps arabes.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Il y a eu une manifestation sur une toiture de l’Église du Gesù à Montréal où des feux pyrotechniques ont été tirés; on sait qu’il y a eu des prières devant la basilique Notre-Dame. La provocation est-elle plus importante devant des lieux de culte? Entrevue avec Alain Pronkin, spécialiste des religionsPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Géorgie, la colère gronde depuis les législatives de fin octobre. Les manifestations pacifiques pro-européennes sont réprimées avec toujours plus de violence par le pouvoir pro-russe.
L'Allemagne est le pays européen à avoir accueilli le plus de réfugiés syriens depuis 2011 et le début de la guerre en Syrie, près d'un million de personnes. Passée la joie de voir tomber le dictateur Bachar Al-Assad, de nombreuses questions se posent pour cette diaspora toujours très attachée à son pays. Salomé Henon-Cohin s'est rendue pour RTL à une manifestation de Syriens à Berlin, dimanche 9 décembre.
durée : 00:03:30 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - L'effondrement du auvent en béton de la gare de Novi Sad le 1er novembre a fait 14 morts. Selon l'opposition, c'est cet accident est le résultat de la corruption publique généralisée dans le pays. Les manifestants demandent la démission du Premier ministre.
durée : 00:03:30 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - L'effondrement du auvent en béton de la gare de Novi Sad le 1er novembre a fait 14 morts. Selon l'opposition, c'est cet accident est le résultat de la corruption publique généralisée dans le pays. Les manifestants demandent la démission du Premier ministre.
Une grande journée de mobilisation était prévue, jeudi 7 novembre, à Maputo, la capitale du Mozambique, à l'appel du principal opposant. Venancio Mondlane revendique la victoire aux élections générales du 9 octobre, et dénonce des irrégularités lors du scrutin. D'après les résultats officiels, il n'a remporté que 20% des voix, derrière Daniel Chapo, le candidat du Frelimo, le parti au pouvoir. Venancio Mondlane appelait donc à une « journée de libération du Mozambique » mais « des gaz lacrymogènes tirés par la police ont interrompu les manifestations », relate Africanews, qui précise que « des centaines de partisans ont été pris dans des échauffourées avec la police ». « Les rues habituellement animées étaient désertées, précise le site internet Afrik.com, les commerçants fermés, les banques ont suspendu leurs activités », alors que la tension grandissait. La situation a d'ailleurs poussé l'Afrique du Sud à fermer temporairement son principal poste-frontière avec le Mozambique. Après presque un mois de contestation, « au moins 20 personnes ont déjà trouvé la mort » : c'est ce qu"indique Wakat Séra, qui se demande combien de victimes faudra-t-il encore. « Tout porte à croire, selon le site d'information burkinabé, que face à la riposte musclée et disproportionnée qui lui est appliquée par les forces de l'ordre, le mouvement de protestation n'est pas au bout de sa lutte. Lassés des 50 années de règne sans partage du Frelimo, les manifestants semblent avoir résolument opté pour le changement ». Wakat Séra s'interroge encore : « À quand des règnes justes et des élections de paix en Afrique ? La question reste posée, estime le site burkinabé, surtout pour un Mozambique dont l'économie exsangue et des conditions de vie difficiles, ont poussé nombre de ses citoyens à migrer vers des cieux plus cléments ». À cela s'ajoute une « crise sécuritaire », rappelleLe Pays, avec « l'insurrection islamiste » dans la province du Cabo Delgado. Le quotidien burkinabé appelle donc les protagonistes à la « raison », « aussi bien l'opposition qui doit comprendre que la rue n'a jamais été une solution durable et pérenne, que le pouvoir qui doit éviter de faire dans la répression aveugle ». « Ces fortes tensions postélectorales sont la preuve que la démocratie au Mozambique a encore du chemin à parcourir, ajoute Le Pays. Et c'est ensemble que les acteurs politiques parviendront à la bâtir ». Début de la campagne pour le référendum constitutionnel au Gabon « Sauf tremblement de terre, le "Oui" devrait l'emporter », affirme Le Pays, pour qui « le doute n'est d'autant pas permis que le pouvoir aura tout mis en œuvre pour cette victoire dont le principal bénéficiaire n'est autre que le président Brice Clotaire Oligui Nguema ». Le journal burkinabé rappelle que la nouvelle Constitution proposée par le gouvernement de transition prévoit « l'instauration d'un régime présidentiel, avec suppression du poste de Premier ministre ». « Le terrain est donc déjà balisé » pour Brice Clotaire Oligui Nguema, selon Le Pays, « puisqu'il est le seul membre de la transition autorisé à se présenter à la prochaine présidentielle ». « À n'en point douter, ajoute le journal, la suppression du portefeuille du chef du gouvernement, vise, en réalité à lui donner les pleins pouvoirs ». L'éditorial en Une du site internet du quotidien national gabonais est moins tranchant : ce référendum constitutionnel, prévu le 16 novembre, est un « rendez-vous politique majeur », est-il écrit sur l'Union. « Chaque camp, chaque citoyen, devra pouvoir s'imposer par la justesse et la pertinence de ses arguments ». On sait que « l'objectif premier est de permettre au pays » de sortir du processus de transition, est-il encore précisé, avant de conclure : « Vu sous cet angle, l'idéal serait que le "Oui" l'emporte ». Le Maroc compte toujours plus d'habitants C'est le résultat du recensement pour 2024 : même si cet accroissement démographique ne fait que diminuer depuis 1960, la population a « plus que triplé » sur cette période, selon Le Matin. Le Maroc compte désormais 36 828 330 habitants. Une « dynamique démographique portée principalement par le milieu urbain », selon le quotidien marocain, qui précise que cinq régions abritent plus de 70% de la population, et sept grandes villes concentrent plus d'un tiers de la population urbaine du royaume : plus de trois millions d'habitants à Casablanca, plus d'un million à Tanger, Fès et Marrakech.
durée : 00:02:01 - Le grand format - Lundi soir, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans la capitale géorgienne, deux jours après les législatives entachées par des accusations de fraude. Elles dénoncent le poids des pro-russes dans la politique du pays.
durée : 00:02:03 - Le grand format - Pour répondre à la mobilisation contre la vie chère, la préfecture a imposé un couvre-feu dans certains quartiers de Fort-de-France et du Lamentin, ainsi qu'une interdiction de manifester dans quatre communes. Une autre annonce cristallise la colère des Martiniquais : l'arrivée de la CRS-8.
Un « dialogue de sourds », c'est le titre de Jeune Afrique ce matin après un cinquième jour de manifestations contre la vie chère dans le pays. Le président Bola Tinubu a pris la parole, dimanche, pour calmer la colère, mais son attitude « très gaullienne » dit le journal, n'a pas suffi. Alors que treize personnes au moins sont mortes dans les manifestations selon Amnesty International, le chef d'État a déployé « un discours télévisé qui se voulait fondation d'une réconciliation nationale », mais il n'a pas, regrette JA, « esquissé le mea culpa que les manifestants endeuillés » attendaient. Dans la même veine, « alors que ses concitoyens parlent de "souffrance" et de "faim" » Tinubu se montre « vague » et « répond (…) "création d'un espace de dialogue" ». Bref, résume Wakat Séra au Burkina Faso, « les appels au calme et au dialogue (…) sont tombés comme de l'eau versée sur le dos d'un canard ».La presse nigériane du même avisAinsi le Sun qui, citant le prix Nobel de littérature Wole Soyinka, souligne que « le fait de servir des balles là où l'on demandait du pain est une régression inquiétante ». Et l'auteur mondialement reconnu de poursuivre : « les marches de la faim constituent un SOS universel (…) ; elles servent à avertir le pouvoir qu'un point de rupture a été atteint et donc, sont un test de la conscience qu'a le gouvernement du désespoir » de la population. Quant au Guardian nigérian il reprend les propos de l'ancien candidat à la présidence Peter Obi, qui tance Bola Tinubu : « vous et votre équipe n'avez pas été élus pour agir en spectateurs des manifestations, mais pour alléger la souffrance du peuple ». Une piste : réformer l'agriculture du pays C'est ce qu'appelle de ses vœux le Vanguard, selon lequel « l'agriculture est (...) un effort dans lequel chacun peut choisir de travailler ou d'investir » et donc autour duquel « des conditions favorables devraient être créées, en faveur de chacun, y compris des gouvernements » étatiques. Quelques pages plus loin, un éditorialiste abonde : « aujourd'hui, les communautés rurales sont passées sous la coupe de bandits ; des millions de fermiers ont abandonné leurs fermes ; et pourtant, ceux qui ont des terres dans les zones urbaines et péri-urbaines refusent de faire pousser leur propre nourriture ». Quoi qu'il arrive, le gouvernement a tout intérêt à offrir une solution pacifique, conclut le Vanguard toujours : « Le président ne peut pas nous tendre un rameau d'olivier tout en nous mettant le couteau sous la gorge. » Également à la Une, une chance de médailles aux JO Ce mardi, l'Afrique a les yeux rivés vers l'Algérienne Imane Khelif. Car, « contre vents et marées, » salue Tout sur l'Algérie, « la boxeuse (…) a réussi à accéder aux demi-finales du tournoi de boxe » des JO, dans sa catégorie, les moins de 66 kg. Contre vents et marées, car la sportive s'est retrouvée prise dans une polémique sur son taux de testostérone élevé. Fédération mondiale de boxe, CIO, autorités algériennes… tout le monde y est allé de son insinuation ou de sa réaction. Pourtant, rappelle le titre algérien, « le comité international olympique a rappelé que les tests effectués par ses services ont démontré qu'Imane Khelif est bien une femme ». Ce qui pousse Jeune Afrique à s'interroger : « c'est quoi, une "vraie" femme ? ». Le site s'insurge de l'« insoutenable mise à l'index » de ces athlètes « jugées trop masculines. » Il y a Imane Khelif aujourd'hui, mais il y avait avant elle, la coureuse Caster Semenya, la Kényane Margaret Wambui ou l'Indienne Dutee Chand. Autant de femmes arborant « une anomalie naturelle, qui ne doit rien au dopage » et qui sont pourtant « sommées de [la] corriger par une hormonothérapie », « de se consacrer à de nouvelles disciplines » voire de « changer de catégorie et concourir avec des hommes. » Alors même rappelle JA, que « nombre de scientifiques assurent qu'il n'est pas prouvé que ce taux ait un quelconque impact sur les performances des athlètes ». Et de toute façon, ironise encore le titre, « les basketteurs, par exemple, ne sont pas vilipendés pour leur grande taille. » Quant aux athlètes hommes, « ils n'ont pas tous le même taux de testostérone » et malgré cela, « nul ne songe à les classer par catégorie en fonction de ce taux ». Conclusion : « de là à juger ce règlement sexiste et misogyne, il n'y a qu'un pas que l'on franchit allègrement ». À bon entendeur…
Ecoutez RTL Matin avec Antoine Cavaillé-Roux du 21 juillet 2024.
Au moins quatre manifestants propalestiniens grimpent sur le toit du Parlement à Canberra ; En France, Roland Dumas, ancien ministre socialiste des Affaires étrangères et ex-président du Conseil constitutionnel, est mort hier alors que les tractations de l'entre-deux tours des législatives se poursuivent ; le Hezbollah confirme la mort d'un important chef militaire dans une frappe israélienne…
durée : 00:11:54 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - En Arménie, les mobilisations massives contre le Premier ministre Nikol Pachinian se poursuivent après avoir fait des dizaines de blessés la semaine dernière. - invités : Claire Mouradian Historienne, directrice de recherche émérite au CNRS
Céline Dion à la cérémonie d'ouverture des J.O.? Le Grand Prix en anglais seulement. McGill et le journaliste qui se fait bloquer l'accès Segment LCNPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Journal en français facile du mardi 14 mai 2024, 18h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AbRS.A
durée : 00:04:16 - Géopolitique - par : Gallagher Fenwick - Partons dans un État clef du sud Caucase, riverain de la mer noire au sud de la Russie, voisin de l'Arménie et de la Turquie entre autres. Nous sommes en Géorgie où le bras de fer se poursuit entre le parti au pouvoir et des dizaines de milliers de manifestants.
Tous les samedis et dimanches soir, Thomas Schnell reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.
durée : 00:04:16 - Géopolitique - par : Gallagher Fenwick - Partons dans un État clef du sud Caucase, riverain de la mer noire au sud de la Russie, voisin de l'Arménie et de la Turquie entre autres. Nous sommes en Géorgie où le bras de fer se poursuit entre le parti au pouvoir et des dizaines de milliers de manifestants.
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Aujourd'hui, Julie Martinez, Antoine Diers et Étienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Après-midi tendu à Dakar. Plusieurs manifestations ont éclaté dans l'après- midi dans plusieurs quartiers de la capitale sénégalaise. Des manifestants qui protestent contre le report de la présidentielle. Des heurts ont éclaté avec les forces de l'ordre.
durée : 00:05:53 - La Revue de presse internationale - par : Julie Pacaud - D'après la CGT, 1,5 million de personnes ont manifesté mercredi à travers l'Argentine pour protester contre le programme de dérégulation de l'économie promis par le président Javier Milei.