POPULARITY
Categories
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 25 juin 2025 : Airbags Takata, nouveaux rappels, le gouvernement s'en mêle ; avec Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Fatima Aït Bounoua, prof de français.
durée : 00:10:14 - Journal de 9h - Il surenchérit dans la menace et la population de Tel Aviv sous les bombes le soutient. Dans ce contexte, plus question de négocier sur le nucléaire iranien. Téhéran n'ira pas à la réunion prévue aujourd'hui à Oman.
FB TW WS Le ministère des Technologies de l'information lance ce samedi 14 juin, en partenariat avec la Mauritius Post Ltd, une campagne nationale pour encourager l'enregistrement sur Maupass, le système d'authentification unique pour les services en ligne du gouvernement. Des équipes seront présentes de 10h à 16h dans quatre centres commerciaux : Tribeca Mall, Trianon Shopping Park, Phoenix Mall et Jumbo Riche Terre, pour accompagner les citoyens dans la création de leur compte Maupass. Un compte qui permettra, entre autres, de faciliter les paiements en ligne, comme celui de la déclaration des véhicules. Il s'agit d'une étape importante dans le cadre du Blueprint de la Transformation Digitale 2025-2029. Dr Jayraj Ittoo, l'Officer in Charge à la Mauritius Post Ltd, est au micro de Vanessa Mathews Saramandif.
L'essentiel des nouvelles le 12 juin 2025---Trouvez une assurances auto ou habitation moins chère -> https://bit.ly/infobref-assurances-mois-cheres---Michael Sabia va quitter Hydro-Québec le mois prochain Mark Carney espère finaliser une entente commerciale avec les États-Unis au sommet du G7Rembourser la TPS sur les maisons neuves pourrait couter près de 2 milliards $ sur 6 ansLe gouvernement fédéral est prêt à approuver une ligne électrique entre Terre-Neuve et le Québec Les transporteurs scolaires pourront à nouveau acheter des autobus à essence Le Luxembourg a ouvert une ambassade au CanadaMontréal figure parmi les meilleurs écosystèmes de startups d'intelligence artificielleLa firme torontoise Wealthsimple lance plusieurs nouveaux services qui concurrencent ceux des banques, dont une carte de crédit associée à un programme de remise en argent de 2% sur les achats.WSP Global, une firme montréalaise de génie-conseil en environnement réalise une importante acquisition au Royaume-Uni:Disney et NBCUniversal poursuivent le service de génération d'images par intelligence artificielle Midjourney--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 11 juin 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, prof de français, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent de : Les taxis bloquent Orly/Roissy, le gouvernement doit céder ?
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 19 juin 2022, à l'issue des élections législatives, un fait politique rare, presque incongru sous la Ve République, s'impose : le président de la République ne dispose plus d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale. La dissolution et les législatives de 2024 n'ont rien changé à cet état de fait. Partant, la France est gouvernée dans un flou institutionnel et une tension parlementaire permanents. Le gouvernement n'a pas été investi. Il n'a pas été renversé non plus. Il gouverne. Mais sans majorité. Ce désajustement entre l'exécutif et le législatif serait un signal d'alarme dans bien des démocraties parlementaires. En France, il a été absorbé sans réforme, sans coalition, sans contrat de gouvernement. Un mode de fonctionnement s'est installé : celui d'un exécutif minoritaire qui se maintient grâce aux ressorts techniques de la Constitution de 1958 – en particulier l'article 49 alinéa 3 – et grâce à une culture politique qui valorise le président davantage que le Parlement. Cela nous oblige à poser une série de questions simples mais fondamentales : Que signifie exactement gouverner sans majorité ? Cette situation est-elle pérenne ? Est-ce démocratique, même si cette question est j'en ai conscience intrinsèquement peu rigoureuse ? Faut-il politiquement et juridiquement assumer et admettre cet état de fait ? Bref, cette situation est-elle une anomalie institutionnelle… ou bien le reflet fidèle de notre manière d'organiser le pouvoir politique ? Ce podcast est l'occasion d'éclairer, avec Grégory Portais, professeur de droit public au sein de la Prépa ISP, une question complexe à la croisée du droit constitutionnel, de la stratégie politique et de la culture démocratique : celle du gouvernement minoritaire.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Congo-Brazzaville, le gouvernement a annoncé la fin d'une mesure controversée : la mise à disposition de terres notamment pour des projets agricoles à des entreprises rwandaises. Des accords avaient été signés en 2022, mais ils avaient provoqué un tollé dans une partie de l'opinion. Aujourd'hui, les conventions sont déclarées caduques. C'est une déclaration qui a fait grand bruit jeudi dernier lors de la conférence de presse de la « quinzaine du gouvernement » congolais. « Vous vous rappelez la polémique sur la fameuse histoire des terres rwandaises, la salive, l'encre que tout cela a fait couler, interroge le porte-parole du gouvernement Thierry Moungalla s'adressant aux journalistes. Mais pourquoi vous ne vous êtes pas demandés quelle a été la suite ? Pourquoi on n'en parle plus ? Parce que tout simplement, le dossier est terminé. »Dossier terminé même si aucun document officiel sur cette résiliation n'a été fourni. Les entreprises titulaires d'un bail sur ces terres auraient été notifiées. Le conglomérat rwandais Crystal Ventures au cœur du dossierCe que rapporte le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla, c'est qu'une clause dans les contrats initiaux prévoyait que si aucun projet n'avait été réalisé 8 décembre 2024 sur les zones, l'accord devenait caduc. « Figurez-vous que le 8 décembre, n'ayant pas eu de retour positif eu en tout cas, pas de retour cohérent des entreprises concernées, le ministre d'État Mabiala, ministre des Affaires foncières, qui avait délivré au nom du gouvernement les autorisations, a informé les partenaires que c'était annulé », explique Thierry Moungalla.Pourtant, les zones d'ombre restent immenses dans ce dossier. On trouve trace dans le Journal officiel congolais du 18 mai 2022 de la mise à disposition de 12 000 hectares à la société Eleveco Congo pour une durée de 20 ans dans le département de la Bouenza. Il s'agit d'une filiale du conglomérat Crystal Ventures, propriété du FPR, le parti au pouvoir au Rwanda.Des accords critiqués au Congo-BCe qui inquiétait Kinshasa, c'étaient surtout les accords concernant la zone économique spéciale (ZES) de Maloukou. Des terres à 70 km de Brazzaville, au bord du fleuve Congo, juste en face de la RDC, dont la gestion avait été confiée à la holding rwandaise.Le Congo-Brazzaville s'est toujours justifié sur ce rapprochement avec Kigali. « Dans un premier temps, les autorités congolaises ont fait prévaloir le principe de coopération Sud-Sud à travers ces accords. Ce que nous constatons, c'est qu'il y a comme une espèce de reculade du côté de Brazzaville. Par conséquent, est-ce qu'elles n'ont pas cédé à la pression populaire ? », se demande le journaliste économique indépendant Alphonse Ndongo. « Ces accords ont été critiqués par l'essentiel du peuple congolais, qu'il s'agisse des hommes politiques de l'opposition et même parfois de manière confidentielle, par ceux qui sont au pouvoir ». Ce dossier est-il vraiment clos ? Le ministre rwandais des Affaires étrangères assurait ce mardi n'avoir reçu aucune information n'allant dans le sens d'une résiliation des contrats.À lire aussiLe Congo-Brazzaville stoppe la mise à disposition de terres à des entreprises et entrepreneurs rwandais
Le ministre de l'Economie, Eric Lombard, a annoncé vouloir réduire le nombre de fonctionnaires pour maîtriser les dépenses publiques et réduire notre déficit public. Cette volonté politique peut-elle vraiment se traduire en acte ? Réponse avec Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos. Ecorama du 10 juin 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Face à la pression des déficits, le gouvernement envisage l'option radicale d'une « année blanche » en 2026. L'idée consiste à geler partiellement ou totalement les dépenses publiques, sans suivre l'évolution de l'inflation. Sur le papier, c'est simple : les dépenses de l'année précédente sont reconduites, mais leur pouvoir d'achat réel diminue.Concrètement, cela toucherait trois grands axes :Les prestations sociales (retraites, allocations familiales, aides au logement...) : elles ne seraient pas revalorisées en fonction de l'inflation, ce qui représenterait une économie de plusieurs milliards d'euros – soit environ 3 milliards sur les retraites et 1,5 milliard pour les autres prestations.Les dotations de l'État aux collectivités locales, mais aussi les budgets des ministères : si tout est gelé, la masse totale reste la même, mais les prix ayant augmenté, les collectivités et ministères disposeraient d'un pouvoir de dépense réduit.Les recettes fiscales : en gelant les barèmes de l'impôt, de la CSG ou de la TVA contrairement à l'inflation, le gouvernement récupérerait mécaniquement plus d'argent. Par exemple, la stagnation du barème de l'impôt sur le revenu pourrait rapporter près de 2,8 milliards d'euros.Sur le plan strictement budgétaire, le calcul est simple : quelques dizaines de milliards d'économies potentielles, ce qui permettrait de s'approcher d'un déficit de 4,6 % du PIB en 2026, contre 5,1 % attendus. D'autres études évoquent jusqu'à 15–25 milliards d'économies.Pour autant, ce dispositif suscite de nombreuses réserves :Impact social : geler les prestations revient à les dévaluer, ce qui pèse davantage sur les ménages modestes. La moindre revalorisation a un impact réel pour les retraités ou allocataires.Effets récessifs : en réduisant le pouvoir d'achat, surtout dans les classes moyennes et populaires, le gouvernement risquerait de freiner la consommation et donc la croissance.Injustice fiscale : l'"année blanche fiscale" fait basculer des contribuables vers une tranche supérieure, sans augmentation de valeur réelle de revenu — une forme de hausse d'impôt déguisée.Critiques institutionnelles : le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, y voit un palliatif ponctuel qu'il préférerait substituer à des réformes structurelles et durables.Autre limite : le gel budgétaire ne s'appliquera probablement pas uniformément. Certains secteurs prioritaires (ex : Défense, Recherche) ont déjà des budgets programmés pluriannuellement, difficiles à figer.En résumé : l'année blanche, c'est l'option rapide et radicale, utile pour gagner du temps et alléger le déficit à court terme. Mais elle demeure symboliquement lourde : elle compresse le pouvoir d'achat, amplifie les inégalités, ralentit l'activité et retarde des réformes nécessaires. Le gouvernement doit annoncer un plan d'ensemble cohérent avec ces enjeux avant la mi-juillet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le lent déclin de la SAQ se poursuit. Entrevue avec Yves Mailloux, président fondateur du Club des dégustateurs de grands vins. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Divorce entre Musk et Trump. Jour de bilan à Québec. SAAQclic: la Commission se poursuit aujourd’hui. Deux matchs sportifs à surveiller c esoir. Le taux de chômage en hausse ! Entraves à prévoir en fin de semaine. Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Premier du gouvernement libéral minoritaire en Tasmanie subit une pression croissante concernant la gestion du budget de l'État et les dépenses d'infrastructures majeures.
Le Premier du gouvernement libéral minoritaire en Tasmanie subit une pression croissante concernant la gestion du budget de l'État et les dépenses d'infrastructures majeures.
Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 05 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les influenceurs doivent-ils être reconnus au même titre que les médias traditionnels ? Discussion avec Marc Boilard, chroniqueur. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les restaurateurs demandent au gouvernement Legault de les laisser gérer la répartition des pourboires pour mettre fin aux inégalités entre les employés de service et le personnel de cuisine. Entrevue avec Pierre Moreau, président-directeur général du Groupe Restos Plaisirs. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
IA au Québec. Qu’arrivera-t-il aux contracteurs SAAQclic? Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
durée : 00:02:19 - Le brief politique - La classe politique se déchire autour d'un texte, débattu en séance à l'Assemblée nationale lundi, pour "lever les contraintes" des agriculteurs. Le gouvernement le défend, inquiet de se prendre une nouvelle vague de colère agricole.
Le Sénégal se dirige vers une criminalisation de l'homosexualité. L'annonce a été faite ce samedi par le ministre porte-parole du gouvernement. Il répond ainsi favorablement à un collectif conservateur de la société qui a organisé une marche ce vendredi pour réclamer un durcissement des sanctions contre la communauté LGBTQ.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 23 mai 2025 : "Taxis en colère, le gouvernement doit-il céder ?" avec Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
Annie Genevard, Ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet de l'entrisme des Frères musulmans, de l'attentat antisémite à Washington, du macronisme et de la mobilisation des agriculteurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la colère des Taxis, quelles sont les raisons de ce ras-le-bol ? Le Gouvernement a-t-il un problème avec les gens qui bossent ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la colère des Taxis, quelles sont les raisons de ce ras-le-bol ? Le Gouvernement a-t-il un problème avec les gens qui bossent ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
«Le gouvernement Legault prend les familles de victimes de l’alcool au volant pour des imbéciles» dénonce Antoine Bittar. Entrevue avec Antoine Bittar, père de Jessica qui est décédée en 2017 dans un accident de la route impliquant un chauffard intoxiqué. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:06:46 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Israël a annoncé une nouvelle campagne militaire sur la bande de Gaza, avec "la conquête de la bande de Gaza" et le déplacement interne de "la plupart" de ses habitants. Ce plan divise la presse israélienne et fait craindre un scénario digne de l'enlisement des Etats-Unis en Irak.
Quatre grandes figures de l'opposition congolaise, longtemps divisées, s'expriment d'une seule voix. Dans une déclaration commune, Martin Fayulu, Moïse Katumbi, Delly Sesanga et Joseph Kabila dénoncent la mauvaise gouvernance et la dérive autoritaire du régime de Félix Tshisekedi. Ils appellent à un dialogue national pour sortir la RDC de l'impasse, alors que la guerre dans l'Est continue de faire rage dans un silence assourdissant., Martin Fayulu était l'invité du journal de l'Afrique
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Ce mercredi 30 avril, les deux principales mesures dévoilées par Bercy ce mardi, pour tenter d'enrayer l'afflux des petits colis chinois, ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez RTL autour du monde du 29 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le lycée musulman Averroès, accusé d'entrisme islamiste, a vu son contrat rétabli par la justice. Le gouvernement veut faire appel. Islamophobie politique ? On en parle avec la députée Sabrina Sebaihi.▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:04:08 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Régulation, vacations "obligatoires" dans des déserts médicaux... Face à des praticiens en colère, le gouvernement tergiverse.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:55:41 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi 23 avril autour de Thomas Séchier et Aurélie Herbemont.
durée : 00:13:34 - Prisons attaquées : le gouvernement en visite dans un centre de détention en Isère
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 17 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 17 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la volonté du gouvernement d'économiser 40 milliards d'euros à partir de 2026.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'onde de choc des annonces de Donald Trump a continué de secouer le monde. Les bourses internationales sont en recul et l'incertitude règne. En Australie, le gouvernement ne va pas riposter aux tarifs douaniers imposés par les États-Unis comme l'a fait la Chine en guise de représailles.