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Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, l'affaire Andy Kerbrat ouvre le débat sur la consommation de drogues au sein de la classe politique.
durée : 00:03:28 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Sodas, chips, cacahuètes : tous ces aliments sont communs dans les écoles au Mexique. Alors qu'un enfant sur trois est en surpoids dans le pays, la nouvelle présidente Claudia Sheinbaum décide de les bannir. Les chefs d'établissements ont jusqu'en mars pour le faire sous peine d'amendes.
durée : 00:03:28 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Sodas, chips, cacahuètes : tous ces aliments sont communs dans les écoles au Mexique. Alors qu'un enfant sur trois est en surpoids dans le pays, la nouvelle présidente Claudia Sheinbaum décide de les bannir. Les chefs d'établissements ont jusqu'en mars pour le faire sous peine d'amendes.
durée : 00:03:28 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Sodas, chips, cacahuètes : tous ces aliments sont communs dans les écoles au Mexique. Alors qu'un enfant sur trois est en surpoids dans le pays, la nouvelle présidente Claudia Sheinbaum décide de les bannir. Les chefs d'établissements ont jusqu'en mars pour le faire sous peine d'amendes.
Le chat du sac! Québec va abandonner ses garanties dans le dossier Northvolt. Changer l'heure coûte 1,7 milliard de dollars en Amérique du Nord en perte d'efficacité et de productivité. Les rencontre affaires avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'Assemblée nationale a commencé hier soir l'examen de la partie recettes du budget / La France insoumise a finalement retiré sa motion de rejet préalable qui n'avait aucune chance d'être votée / Michel Barnier semble temporiser sur la question du 49.3
durée : 00:02:12 - Le billet sciences - Après deux ans de baisse de consommation d'énergie, le gouvernement veut inciter les Français à garder les bonnes habitudes. La campagne sur les gestes de sobriété vient d'être relancée alors que la période hivernale approche.
Si l'amendement proposé dans le cadre du budget en discussion à l'Assemblée nationale est bien adopté, la France pourrait, simplement via ordonnance, autoriser les casinos en ligne en France Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du budget 2025 proposé par le gouvernement de Michel Barnier.
Aujourd'hui, dans votre podcast le gouvernement wallon protège la construction dans son budget. Pas de coupe budgétaire prévue pour le secteur, qui se dit très soulagé. Les entreprises veulent être plus durables, mais elles ne savent pas comment s'y prendre. C'est le constat dressé par hub.brussels. Le directeur de Trends-Tendance, Amid Faljaoui, va nous parler de la nouvelle décision de la Banque centrale européenne, bonne ou mauvaise nouvelle ? Restez à l'écoute.
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente l'accord survenu entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement Legault, mettant ainsi fin à un long conflit. «On sait que les négociations ont été ardues. Ce qui est important de dire, c'est qu'on établit les conditions de travail pour une période de cinq ans. [...] Je retiens les propos de la présidente du syndicat, Mme Julie Bouchard, qui a dit que plusieurs infirmières ont voté en faveur de l'entente à contrecoeur, que la bataille n'est pas terminée et qu'il faudra en faire plus pour ramener les travailleurs vers le réseau de la santé. [...] Sur le fond, c'est une bonne nouvelle. Maintenant, combien de temps est-ce que ça va prendre avant qu'on en ressente les effets?» -Paul Arcand Autres sujets abordés Le ministre de la Santé Christian Dubé promet de ne pas vous enlever votre médecin de famille; Israël élimine le chef du Hamas, le cerveau des attentats terroristes du 7 octobre; 4,3 milliards de dollars pour les victimes du tabac; Des balles et des flammes pour le propriétaire des deux immeubles incendiés du Vieux-Montréal. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari avec ses invités débattent du budget de l'État 2025 et de la pression de l'opposition sur le gouvernement de Michel Barnier.
La bataille du budget a commencé. On en parlait déjà la semaine dernière, le projet de loi de finances pour 2025 est tombé. Michel Barnier avait prévenu “ça va être dur'”. Le Gouvernement a pour objectif de ramener le déficit à 5% du PIB en 2025, alors qu'il pourrait atteindre 6,1% en 2024. Il table sur des économies de l'ordre de 60 milliards. Et pas de surprise, pour deux tiers de “l'effort”, ce sera une réduction des dépenses publiques. Concrètement, cela veut dire moins de budget pour les services et missions de l'Etat. Le gouvernement lui parle de “maîtrise” ou de meilleure “efficacité”, “réorientation”. Le Premier Ministre disait être attaché aux services publics, à l'école, au sport… Résultat du PLF 2025 : la mission “sport, jeunesse et vie associative” perd 3 millions. La plupart des missions restent quasi stables : donc pas d'investissement. Et une annonce a pas mal choqué : alors que Michel Barnier disait miser sur l'éducation et l'école, le budget prévoit la suppression de 4000 postes d'enseignants. Il prévoit aussi 2000 embauches d'accompagnants d'élèves en situation de handicap. En tout, l'Etat prévoit -2200 postes, les missions budget et comptes publics ou encore travail et emploi sont concernés. L'Etat compte faire des économies sur la sécurité sociale et les dépenses de santé. Thomas Porcher alerte : ce budget austéritaire va coûter in fine très cher aux français les moins fortunés. L'économiste alerte aussi sur la récession à venir et la baisse de l'activité ce qui va créer une boucle et finalement, ne pas réduire le déficit. Sur les 60 milliards, 20 sont concentrés dans l'augmentation des recettes, par de la taxation. Tout d'abord : les grandes entreprises. 9,8 milliards de recettes concernent “des mesures de mise à contribution des profits des entreprises” : ça passe par une contribution exceptionnelle et temporaire, une taxe exceptionnelle pour les entreprises de fret maritime, suspension de la baisse de la CVAE, et la fiscalisation des rachats d'action. Sur les particuliers : 2,2 milliards concernent un impôt pour les hauts revenus avec un taux moyen minimum de 20%. Par contre, il y a aussi 3 milliards de recettes récupérées sur la hausse des accises sur l'énergie (mais le gouvernement assure une baisse de facture de 9%). Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
On revient sur sa chronique parue hier dans le journal, intitulée : Un cancer nommé Amazon. Elle appelle à s'inquiéter davantage du modèle d'affaires de ce géant, qui a des répercussions sur notre commerce de proximité et notre économie locale. Entrevue avec Émilise Lessard-Therrien, ex-députée de Québec Solidaire Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Manon Aubry, eurodéputée LFI, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la nécessite de mettre en place une commission spéciale pour enquêter sur la perte de souveraineté médicale au parlement européen suite à l affaire du Doliprane, de l'offensive islamiste notamment à l'école, de la nouvelle loi immigration et du budget 2025.
durée : 00:02:06 - Le brief politique - Au sein du gouvernement, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau veut réduire l'AME, alors que Geneviève Darrieussecq à la Santé ne souhaite pas "y toucher". Quant au Premier ministre, Michel Barnier, il ne s'est pas exprimé clairement sur le sujet.
Le gouvernement examine la possibilité d'une entrée de l'État français au capital d'Opella, filiale de santé grand public de Sanofi, au cas où les engagements qu'il réclame au fonds américain CD&R, avec lequel le laboratoire français est entré en négociations exclusives pour lui céder le fabricant du Doliprane, lui paraissent menacés, a déclaré mardi le ministre de l'Économie.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Adel Sefiane et Jean-Loup Bonnamy, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:13 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le gouvernement annonce une nouvelle loi sur l'immigration, dès le début de l'année prochaine. Marine Le Pen en avait fait une condition pour ne pas censurer Michel Barnier.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Perrine jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
durée : 00:09:05 - L'invité de 7h50 du week-end - Aujourd'hui à 7h50 dans le 6/9, notre invité est Laurent Jacobelli, député RN de Moselle. Il revient sur les annonces autour du budget 2025, qui sera débattu à partir de la semaine prochaine à l'Assemblée nationale.
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - Des hausses d'impôts et de grosses coupes budgétaires. Le gouvernement a présenté ce jeudi soir son projet de loi de finances pour 2025. Qui gagne, qui perd ? Le point dans cette édition.
durée : 00:22:33 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui, dans le grand entretien du 6/9, nous recevons Marine Tondelier, secrétaire nationale Les Ecologistes – EELV, et élue à Hénin-Beaumont.
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - Des hausses d'impôts et de grosses coupes budgétaires. Le gouvernement a présenté ce jeudi soir son projet de loi de finances pour 2025. Qui gagne, qui perd ? Le point dans cette édition.
Au Sénégal, le gouvernement a annoncé le lancement d'un plan pour aider les déplacés de guerre en Casamance. Ces populations qui avaient fui il y a des dizaines d'années les zones de conflits opposant l'Etat sénégalais au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance sont pour la plupart de retour sur leur terres, grâce aux actions de l'armée sénégalaise. Le premier ministre Ousmane Sonko a annoncé 22 mesures concernant la constructions d'infrastructures et des opérations de déminage.
durée : 00:13:53 - Journal de 7 h - Il a été préparé dans la précipitation et dans des conditions économiques tout à fait défavorables : un déficit public et un endettement record sur fond de profonde instabilité politique.
Albert Spano vous raconte une histoire insolite en provenance du Japon.Imaginez la scène : le gouvernement japonais vient d'être réélu et souhaite publier une nouvelle photo officielle de l'équipe au complet. Mais lorsque le cliché est révélé, les internautes ne tardent pas à le pointer du doigt. Pourquoi ? Parce que le gouvernement a visiblement retouché l'image pour gommer certains détails jugés peu flatateurs.En effet, sur la photo d'origine, les membres du gouvernement apparaissaient débraillés, avec des vestes trop grandes et des chemises qui dépassaient du pantalon. Une apparence négligée qui n'a pas manqué de susciter les moqueries sur les réseaux sociaux. Pour éviter ce genre de critiques, le gouvernement a donc décidé de retoucher entièrement la photo, afin que ses membres paraissent plus soignés et présentables.Mais pourquoi une telle initiative ? Était-ce vraiment nécessaire ? Albert Spano vous éclaire sur les raisons qui ont poussé le gouvernement japonais à procéder ainsi. Découvrez l'histoire fascinante de cette retouche officielle, qui en dit long sur l'importance de l'image et de la communication politique dans certains pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Premier ministre français Michel Barnier doit présenter jeudi 10 octobre son projet de loi de finances en Conseil des ministres. Face au dérapage incontrôlé des comptes publics, l'heure est à la rigueur budgétaire. « Monsieur Attal je serai très attentif à vos propositions d'économies supplémentaires, très attentif ». Au milieu de son discours de politique générale à l'Assemblée, Michel Barnier marque une pause et se tourne vers son prédécesseur qui commence à l'applaudir avant de grimacer lorsque le nouveau Premier ministre termine sa phrase. « Pour faire face au déficit que j'ai trouvé en arrivant. Voilà. » La pique n'est pas passée inaperçue. Depuis qu'il a été choisi par Emmanuel Macron pour diriger un attelage gouvernemental fragile, Michel Barnier répète à quel point il a été horrifié en découvrant l'ampleur du déficit.Barnier face au déficit : un héritage difficileDans un article très complet, le journal les Echos retracent l'histoire de « gouffre de 100 milliards d'euros » apparu dans les comptes publics en l'espace d'à peine neuf mois. D'après les derniers calculs de Bercy au mois de septembre, le déficit menaçait de s'envoler à 7 % du PIB en 2025, deux fois au-dessus de ce qui était prévu en janvier. Michel Barnier s'est fixé pour première mission de le contenir à 5 %, via une coupe franche de 40 milliards d'euros dans les dépenses publiques.Le Premier ministre a aussi arrêté de faire semblant de croire que la France pourrait tenir l'engagement pris auprès de ses partenaires européens de revenir sous la barre des 3 % de déficit public en 2027. Cet objectif est reporté de deux ans. Mais alors que la France fait l'objet d'une procédure de l'Union européenne pour déficit excessif, l'ex-« Monsieur Brexit » de l'UE a dû donner des gages avec un plan de réduction étalé sur 6 ans.Stratégie de réduction : austérité en vueL'heure est à la diète, pour ne pas dire à l'austérité. Les arbitrages ne seront connus qu'après 20h ce jeudi soir, à l'issue du Conseil des ministres, mais on connaît déjà la philosophie générale : deux tiers de réduction des dépenses et un tiers d'augmentation des impôts. Des impôts qui cibleront plutôt les grandes entreprises et les hauts revenus. Sur la méthode, Michel Barnier semble vouloir renouer le dialogue avec les partenaires sociaux. Il a donné des gages en rouvrant les discussions à la marge sur la réforme des retraites et en enterrant la réforme de l'assurance chômage, chère à Gabriel Attal mais contestée par l'ensemble des syndicats.Comment en est-on arrivés là ? Comme le signalait dès le mois de juin un rapport du Sénat, au départ l'écart « tient moins à un dérapage des dépenses » qu'à « de mauvaises prédictions des recettes ». Autrement dit, la direction du Trésor ne s'est pas simplement trompée sur la croissance. Tous les gouvernements ont une fâcheuse tendance à surestimer l'effet forcément « libérateur » de leur politique, nécessitant un réajustement face à la réalité froide des faits et des chiffres quelques mois plus tard. Ce fut le cas en 2023 mais pas plus que d'habitude. Dans leur rapport, les sénateurs pointent une situation plus inhabituelle évoquant une « erreur massive » dans l'estimation des revenus liés en particulier à l'impôt sur les sociétés, à la TVA et aux cotisations sociales.Sparadrap sur un ballon de baudrucheLes premiers signaux d'alerte remontent pourtant au mois de décembre 2023, poussant Bercy en janvier à annoncer 10 milliards d'euros d'économie. Un sparadrap sur un ballon de baudruche crevé de partout. Quelques semaines plus tard, Bruno Le Maire le ministre de l'Économie tente de convaincre Emmanuel Macron d'engager 15 milliards d'euros d'économies supplémentaires. Mais entretemps, la France est entrée en campagne électorale avant les Européennes. Hors de question pour l'exécutif de prendre le risque d'affaiblir son camp avec des mesures impopulaires. Les mauvais oracles de Bercy sont priés de se taire, la question du déficit est mise sous le tapis.La suite est connue : une défaite malgré tout pour le camp présidentiel, la dissolution, les législatives anticipées qui aboutissent à une assemblée morcelée, l'incertitude politique qui dure tout l'été et la « trêve politique » décrétée par le président Macron au moment des Jeux olympiques. Pendant qu'Aya Nakamura enchante la cérémonie d'ouverture et que les Français se passionnent pour Léon Marchand, les athlètes ne sont pas les seuls à battre des records. Le dérapage des comptes publics aussi affole les compteurs de Bercy sans plus personne pour prendre les décisions qui s'imposent.
durée : 00:13:53 - Journal de 7 h - Il a été préparé dans la précipitation et dans des conditions économiques tout à fait défavorables : un déficit public et un endettement record sur fond de profonde instabilité politique.
Aujourd'hui, Elina Dumont, Didier Giraud et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Journal en français facile du mardi 8 octobre 2024, 18 h 00 à ParisRetrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B1c9.A
Direction l'Israël avec cette question : comment les familles d'otages vivent-elles les critiques contre le gouvernement israélien et ses interventions militaires à Gaza et au Liban ? La population est divisée en deux camps. D'un côté ceux qui ne comprennent pas et de l'autre, une frange contestataire. Reportage de Valentin Boissais.
L'exécutif réclame un effort de 5 milliards d'euros aux collectivités territoriales. «Nous n'acceptons aucune des mesures» d'économies, rétorque le vice-président délégué de l'Association des maires de France (AMF).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après la commémoration officielle présidée par le premier ministre Benyamin Netanyahu, les proches des victimes organisent leur propre cérémonie d'hommages, avec des discours critiques envers le gouvernement.
Le Journal en français facile du jeudi 3 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B0qE.A
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
La feuille de route budgétaire pour 2025 prend forme : le gouvernement annonce vouloir faire 60 milliards d'euros d'économie, en coupant dans les dépenses publiques et en augmentant les impôts des plus riches. Gérald Darmanin annonce qu'il ne votera pas de hausses d'impôt. Un bras de fer s'engage-t-il entre la macronie et Michel Barnier ? Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, directeur de la Tribune Dimanche, Carole Barjon, éditorialiste politique et Catherine Tricot, directrice de la revue Regards.
Après Michel Barnier, Marine Le Pen s'est exprimée devant l'Assemblée nationale mardi, avançant ne pas censurer, dans l'immédiat, le gouvernement du nouveau Premier ministre. Un sursis, mais pas à n'importe quelles conditions...
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du discours de politique générale prononcé par le Premier ministre, Michel Barnier mais aussi sur l'avenir de ce gouvernement.
Préparer et présenter un budget, c'est sans doute un des plus difficiles examens de passage pour un gouvernement. Et en France, deuxième économie de l'Union européenne après l'Allemagne, le Premier ministre Michel Barnier et son équipe n'auront qu'un peu plus de deux semaines pour y arriver puisque leur projet doit être présenté aux parlementaires au cours de la semaine du 9 octobre. Le tout dans un contexte des plus difficiles : le déficit public atteint 6% du produit intérieur brut (PIB), deux fois la limite jugée acceptable par les normes européennes qui le fixent à 3% maximum. Mais les trois grands blocs qui dominent la vie politique française – la gauche, le centre droit et l'extrême-droite – sont bien décidés à faire valoir leurs points de vue parfaitement opposés, entre hausse de la fiscalité et baisse des dépenses.Et au bout du chemin, le gouvernement pourrait tomber s'il échoue à trouver des compromis. Comment en est-on arrivé là et comment en sortir ? Faut-il s'attendre à des hausses d'impôts… et pour qui ? Pour en parler, Sur le Fil a invité Martine Pauwels, une des spécialistes du budget au pôle macro économie de l'AFP. Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 septembre 2024.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.David Djaïz, entrepreneur, essayiste et ancien secrétaire général du Conseil National de la Refondation.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE GOUVERNEMENT FACE AU BUDGETLe nouveau Premier ministre a écarté une hausse des impôt et des taxes qui toucherait « l'ensemble des Français », mais non celles qui pourraient mettre à contribution « les plus aisés et les grandes entreprises ». Pour se justifier, Michel Barnier se dit l'héritier d'une situation financière qu'il qualifie de « très grave ». Mercredi, le nouveau ministre du Budget, Laurent Saint-Martin a confirmé que le déficit public devrait dépasser cette année les 6% du PIB. Jusqu'alors, Bercy prévoyait 5,1% de déficit. Dans ces conditions, c'est toute la trajectoire budgétaire française qui se retrouve fragilisée. Alors que la France est actuellement sous le coup d'une procédure pour déficit excessif à Bruxelles, un respect a minima des nouvelles règles budgétaires européennes (3% de déficit) se traduirait par plus de 30 milliards d'euros d'économies en 2025. Signe de l'importance de ce dossier, Michel Barnier a souhaité que le ministre du Budget et des Comptes publics lui soit directement rattaché.Le prochain projet de loi de finances pour 2025 est présenté par Pierre Moscovici, le premier président de la Cour des comptes, comme « le plus compliqué à élaborer depuis le début de la Ve République ». Les pistes explorées porteraient sur la réduction de certaines niches fiscales, le retour d'une taxation sur les patrimoines les plus importants, le gel du barème des plus hautes tranches d'impôts sur le revenu, l'alourdissement de la « flat tax » sur les revenus du capital... Elles ne manquent pas pour récupérer des recettes sur les contribuables aisés. Du côté des entreprises, le premier ministre « envisage une surtaxe sur l'impôt sur les sociétés » - dont le taux a été ramené de 33,3 % à 25 % pendant le premier quinquennat d'Emmanuel Macron -, selon un ancien conseiller gouvernemental.À droite, des voix se sont déjà élevées avec véhémence contre toute hausse d'impôt, de quelque nature qu'elle soit, comme celles de Marine Le Pen ou Éric Ciotti, mais également dans le camp macroniste. En revanche, de fins connaisseurs des comptes publics se montrent bien plus ouverts à cette idée, à l'image du gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Le chef du gouvernement, qui fera sa déclaration de politique générale « début octobre », envisage de présenter le projet de loi de finances au Parlement le 9 octobre, au lieu du 1er, comme le recommande pourtant la loi organique. L'utilisation du 49-3 pourrait faire partie des armes constitutionnelles brandie par le nouvel exécutif pour faire passer son budget dans un contexte éruptif. Les oppositions ont déjà annoncé qu'elles seraient prêtes à utiliser la censure au Parlement.LE LIBAN FACE À UNE POSSIBLE GUERREAprès les attaques aux bipeurs et aux talkies-walkies piégés les 17 et 18 septembre, l'armée israélienne a lancé ses plus importantes frappes contre le Hezbollah au Liban depuis onze mois. Sous la pression de quelques 80 000 Israéliens déplacés du nord du pays depuis octobre par les tirs de roquettes du mouvement chiite, le gouvernement israélien a fini par inscrire, lundi, le retour des populations dans les zones évacuées parmi les buts de guerre. Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a indiqué qu'après Gaza, « le centre de gravité se déplace vers le nord ». La campagne prévoit des frappes massives sur les infrastructures du Hezbollah, son arsenal (environ 150.000 roquettes, missiles et drones), pouvant être suivies d'une intervention terrestre pour installer une « zone tampon » au Liban sud. La doctrine de l'usage disproportionné de la force par Israël au Liban, théorisée en 2006 par le général Gadi Eisenkot, alors chef des opérations des forces israéliennes, sous le nom de Dahiya, une banlieue sud de Beyrouth qui héberge le fief du Hezbollah, continue visiblement à être appliquée. Les responsables militaires israéliens disent vouloir forcer le Hezbollah à mettre un terme à la guerre d'usure qu'il a déclenchée le 8 octobre 2023, en ouvrant un « front de soutien » avec le Hamas. Il s'agissait alors pour Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, de soulager son allié de Gaza en fixant des troupes israéliennes au nord et en semant la panique dans cette région.Depuis plus de quatre décennies, avec la création du mouvement chiite, en 1982, Israël et le Hezbollah s'affrontent sans discontinuer. À deux reprises récemment, ce dernier a pris l'avantage sur Tsahal. En 2000, lorsque l'armée israélienne s'est retirée du sud du Liban après 22 ans d'occupation. Et à l'été 2006, en stoppant son offensive terrestre, ses 40.000 militaires, ses blindés et ses armes de pointe, avec seulement 5.000 combattants très mobiles et efficacement protégés par un réseau de tunnels. Depuis, le Hezbollah n'a cessé de renforcer son recrutement, son organisation ainsi que son arsenal, principalement d'origine iranienne. Se targuant d'avoir tenu tête à Israël, et en tirant une partie de sa légitimité, le mouvement chiite se revendique, à la place de l'armée libanaise, comme le véritable défenseur du peuple libanais.Alors que le président iranien, Massoud Pezechkian a déclaré, mardi, que son allié le Hezbollah ne pouvait « pas rester seul » face à Israël, les mises en garde se sont multipliées de la part des chefs d'Etat et de gouvernement qui se succèdent cette semaine à la tribune de l'ONU. Son secrétaire général, Antonio Guterres s'est déclaré « inquiet de la possibilité que le Liban se transforme (en) un autre Gaza ». Tandis qu'Israël poursuit sa campagne de bombardements contre le Hezbollah, faisant plus de 600 morts en trois jours, et malgré l'appel de plusieurs pays à un arrêt des combats de vingt et un jours, Benyamin Nétanyahou a demandé jeudi à son armée de « poursuivre les combats avec toute la force nécessaire » au Liban.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
En route pour les 20 ans ! Les Grandes Gueules, le talk-show de la liberté d'expression, autour du duo Alain Marschall/Olivier Truchot. Trois heures de débats parfois musclés avec vos GG toutes issues de la société civile : médecin, éleveur, prof, chef d'entreprise, policier, fonctionnaire, avocat... L'actualité vue et commentée par des Grandes Gueules qui défendent leurs idées, points de vues, opinions toujours variées ! Et par les auditeurs du 3216 qui n'hésitent pas à rappeler nos GG à l'ordre !
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !
En RDC, le gouvernement de Judith Suminwa vient de franchir le cap symbolique des 100 premiers jours. Création d'emplois, renforcement du pouvoir d'achat, sécurisation de l'est du pays, constatez-vous des améliorations ? L'équipe gouvernementale est-elle à la hauteur de vos attentes ? Nous dressons le bilan.
Le coup de fil de Michel Barnier à Marine Le Pen secoue la macronie. La gauche, elle, accuse le Premier ministre d'être sous la tutelle du Rassemblement national. Le pouvoir de nuisance de Marine Le Pen est-il réel ? Par ailleurs, le débat autour des OQTF est relancé après le meurtre d'une étudiante à Paris. La classe politique s'interroge sur le fonctionnement de la chaîne pénale. Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, annonce vouloir faire évoluer "l'arsenal juridique".
Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui Johnny Blanc, Barbara Lefebvre et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - L'Elysée a validé la liste présentée ce jeudi par Michel Barnier. Le futur gouvernement sera connu ce dimanche, avec 38 ministres, une majorité de macronistes et un ensemble qui penche plus à droite que le précédent.