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Le décès de la petite Maria, 7 ans, tuée le mois dernier par un chauffeur dans une zone scolaire force la ville de Montréal à sécuriser rapidement les environs d’une cinquantaine d’endroits près des établissements fréquentés par des enfants. Comment peut-on sécuriser ces endroits? Devrait-on transformer les zones scolaires en Plateau? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
durée : 00:54:08 - Questions politiques - Le gouvernement va présenter sa réforme des retraites mardi. Elle devrait prévoir un report de l'âge légal de départ à 64 ans, contre 62 ans aujourd'hui.
durée : 00:54:08 - Questions politiques - Le gouvernement va présenter sa réforme des retraites mardi. Elle devrait prévoir un report de l'âge légal de départ à 64 ans, contre 62 ans aujourd'hui.
durée : 00:02:50 - En direct du monde - Le film "Kurak Günler" ("Burning days" à l'international) a beau avoir été sélectionné au festival de Cannes et reçu de nombreux prix, il est accusé par le gouvernement turc de “propagande LGBT”. Malgré ça, le film rencontre un grand succès dans les salles.
À la une de la presse du vendredi 6 janvier 2023 : la crise des boulangers en France, la chaleur hivernale en Europe, bonne pour le moral, mauvaise pour l'environnement, et la suite du conflit entre les frères Windsor en Grande-Bretagne.
durée : 00:02:57 - Histoires économiques - Pénurie de médicaments : la situation ne s'améliore pas, elle s'aggrave, même. Selon l'agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé il y avait 2 160 médicaments qui ont fait l'objet de signalements de rupture ou de risque de rupture de stock en 2021 contre 405 en 2016.
Elisabeth Borne a reçu ce mercredi à Matignon les organisations syndicales et patronales, avec en ligne de mire la prochaine présentation de la réforme des retraites. Quelle est l'équation budgétaire dans le cadre de cette réforme ? Les explications de Marc Vignaud, journaliste au Point. Ecorama du 5 janvier 2022, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
Le gouvernement tchadien affirme dans un communiqué avoir déjoué une "tentative de déstabilisation" visant à porter atteinte à l'"ordre constitutionnel et aux institutions de la République". "Ce plan a été élaboré par un groupe restreint de conspirateurs composé de onze officiers de l'armée avec à sa tête le nommé Baradine Berdei Targuio, président de l'organisation tchadienne des droits humains (OTDH)". Les détails dans ce journal.
Ce jeudi 5 janvier, l'implication du pluralisme dans l'enseignement supérieur et le taux de remplacement dans les réformes des retraites, ont été abordés par Christian Chavagneux, éditorialiste à Alternatives Économiques, Jean-Hervé Lorenzi, membre du Cercle des Économistes, président des Rencontres Économiques d'Aix-en-Provence, et Jérôme Dedeyan, président de Mon Partenaire Patrimoine, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:41:40 - Un jour dans le monde - Le ministre de la Sécurité intérieure israélien Ben Gvir s'est rendu mardi 3 janvier sur l'esplanade des Mosquées. Figure de l'extrême droite du nouveau gouvernement, sa visite est dénoncée comme une provocation par plusieurs pays arabes. Quel avenir pour la diplomatie arabe d'Israël ?
durée : 00:41:40 - Un jour dans le monde - Le ministre de la Sécurité intérieure israélien Ben Gvir s'est rendu mardi 3 janvier sur l'esplanade des Mosquées. Figure de l'extrême droite du nouveau gouvernement, sa visite est dénoncée comme une provocation par plusieurs pays arabes. Quel avenir pour la diplomatie arabe d'Israël ?
Chronique du dédômiseur du 4 janvier 2023
Tous les matins après le journal de 8h30, Emmanuelle Ducros dévoile aux auditeurs son «Voyage en absurdie», du lundi au jeudi.
durée : 01:45:28 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Retraites, chômage, énergie, immigration... La rentrée politique s'annonce chargée pour le gouvernement. Comment les différentes réformes seront-elles menées de front ? - invités : Bruno Cautrès politiste, chercheur CNRS au Cevipof, professeur à Sciences Po Paris; Stéphane Alliès Journaliste politique à Mediapart
C'est la rentrée pour le gouvernement et elle s'annonce musclée en ce début janvier. Avec pour commencer l'année le très sensible dossier de la réforme des retraites qui sera présenté la semaine prochaine. Pour en parler : Thomas Despré et William Galibert du service politique de RTL.
Ce mercredi 4 janvier, la possible version adoucie de la réforme des retraites une fois décidée, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique La polémique dans l'émission BFM Patrimoine présentée par Cédric Decoeur sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C'est la rentrée pour le gouvernement et elle s'annonce musclée en ce début janvier. Avec pour commencer l'année le très sensible dossier de la réforme des retraites qui sera présenté la semaine prochaine. Pour en parler : Thomas Despré et William Galibert du service politique de RTL.
durée : 00:08:36 - Inflation, l'État veut aider les boulangers - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du lundi 2 janvier.
Chaque jour à 7h25 sur RMC, Romain Cluzel décrypte les indiscrets politiques du jour aux côtés d'Apolline Malherbe. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
Avec : Mehdi Ghezzar, chef d'entreprise. Jean-Baptiste Djebbari, président d'Hopium et ex-ministre des Transports. Et Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion.- Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Chaque jour, Romain Desarbres et ses invités font un point complet sur l'actualité.
Le défi des retraites pour le gouvernement
« Cette fois-ci, plus question de tergiverser, s'exclame Le Figaro. Le gouvernement entame 2023 en s'attelant aux derniers préparatifs de sa réforme des retraites. Chantier majeur du quinquennat, les arbitrages seront rendus publics le 10 janvier prochain par la Première ministre, Élisabeth Borne. En attendant, elle recevra - accompagnée de son ministre du Travail, Olivier Dussopt - les partenaires sociaux ce mardi et demain mercredi pour 'poursuivre le dialogue'. » Reste que les syndicats restent vent debout contre cette réforme. De même que les Français… « 'La bataille va être très rude pour le gouvernement', a prévenu hier Frédéric Dabi, le directeur général Opinion de l'IFOP. Seuls 22 % des Français soutiennent un âge de départ légal à la retraite fixé à 65 ans, le cap initial fixé par Emmanuel Macron. Ce qui n'est pas sans rappeler que les plus gros mouvements sociaux qui ont paralysé le pays ont souvent été liés aux retraites, de 1995 à 2019 en passant par 2010. (…) Les intentions du gouvernement sont d'autant plus périlleuses, pointe encore Le Figaro, qu'elles s'inscrivent dans un contexte économique difficile. Le pic d'inflation est attendu au premier semestre 2023 par la Banque de France. Augmentation du gaz le 1er janvier, augmentation de l'électricité le 1er février prochain… Si les prix de gros baissent actuellement, les ménages n'en verront pas tout de suite la couleur. Accentuant le risque d'une colère sociale bien que le bouclier tarifaire plafonne les hausses à 15 %. 'Il ne manque qu'une étincelle', s'alarme Frédéric Dabi. » Il suffira d'une étincelle ? Justement, « la peur de l'étincelle », lance Le Parisien. « On les avait un peu oubliés, mais ils aimeraient refaire parler d'eux. Un nouvel appel à manifester a été lancé pour samedi prochain sous la bannière des Gilets jaunes. La colère des organisateurs tient en cinq mots 'Retraites – 49.3 – Inflation – Énergie – Carburant' et, comme précédemment, ils s'activent sur les réseaux sociaux pour mobiliser. Pour l'instant, le nombre de personnes s'affichant intéressées par cette journée d'action est très faible par rapport aux grandes heures du mouvement. Et les derniers appels du même type avaient fait un flop, les Gilets jaunes se réduisant à une poignée. Mais la période est électrique, comme l'ont fait remarquer récemment certains instituts de sondage. » Et « au-delà de ce qui pourrait se passer sur la réforme des retraites, le gouvernement se montre attentif à tous les signes de tension, quel que soit le secteur. Pour éviter que le feu qui couve ne se réveille. » Et d'après Les Echos, « une partie de l'entourage d'Emmanuel Macron est inquiète. Non parce qu'elle croit au grand soir syndical. Mais parce qu'elle craint la petite mèche allumée dans un coin, qui catalyse soudain et entraîne, en parlant aux tripes d'un grand nombre. Sur la retraite, un mot maladroit, une situation personnelle qui fait écho… par définition, le coup partira d'où on ne l'attendait pas. Ces derniers jours, une actualité nouvelle a vu le jour. Celle des entreprises qui baissent le rideau face aux prix de l'énergie, comme William Saurin. Ou comme ce boulanger de l'Oise qui appelle à la mobilisation après le bond de 12.000 euros de sa facture d'électricité. Un homme qui émeut, dans une activité qui parle à tous : 'C'est d'un cri d'alarme comme celui-là que tout peut partir', prévient un conseiller. » Chine : une gestion désastreuse de la pandémie de Covid A la Une de La Croix : « l'échec de Pékin » ; le quotidien catholique revient sur la flambée de Covid qui embrase la Chine et souligne que « l'échec du régime chinois sur la gestion de la pandémie est d'autant plus patent qu'il a eu recours à des moyens extrêmes. La stratégie 'zéro Covid' fut surtout une politique de libertés zéro, mêlant répression, hyper-surveillance et désinformation. Enfermer les malades – jusqu'à parfois les emmurer ! – n'a fait que retarder la diffusion du virus. Trois ans après l'apparition de ce dernier, la Chine n'a pas su développer un vaccin efficace. Tout cela contredit la propagande d'un régime qui a longtemps présenté les démocraties comme incapables de répondre efficacement au défi du Covid. » Algérie : la fuite en avant répressive du pouvoir Et puis ce coup de gueule du Monde à propos de la situation en Algérie… « La calamiteuse surenchère autoritaire du régime » : c'est le titre de l'éditorial du quotidien du soir. « La récente arrestation du journaliste Ihsane El Kadi, directeur et fondateur de Radio M et du magazine 'Maghreb Emergent', illustre une fuite en avant répressive du pouvoir, désastreuse pour l'image de l'Algérie, estime Le Monde. L'admiration qu'avait inspirée le spectacle de foules pacifiques et joyeuses du Hirak, qui avait radicalement renouvelé le regard porté sur l'Algérie, n'est plus qu'un souvenir en charpie. L'heure est à la sidération, soupire encore Le Monde, face à la fuite en avant répressive d'un régime en pleine revanche après avoir craint pour sa survie. »
durée : 00:05:40 - L'info vue par France Bleu Maine
Le 1er décembre, l'Inde a pris pour un an la présidence du G20. C'est une fierté pour ce pays émergent, que le gouvernement de Narendra Modi veut également utiliser pour promouvoir sa version de l'histoire au service de sa propre idéologie nationaliste. L'un des slogans mis en avant est en effet que l'Inde est la « mère de la démocratie ». Une affirmation contestée par beaucoup d'historiens indiens et qui dénote avec les atteintes portées aux droits démocratiques dans le pays. Avec notre correspondant à New Delhi, On voit sur une vidéo de promotion du gouvernement indien le Premier ministre, Narendra Modi, prendre symboliquement le bâton de la présidence du G20 – ce groupe des 20 pays les plus industrialisés, devenu de plus en plus important sur la scène mondiale – au nom de l'Inde. Ce pays y est décrit comme « la mère de la démocratie ». On retrouve cette appellation à de nombreuses reprises dans la communication indienne. Elle est justifiée par New Delhi, en s'appuyant sur un livre qui vient d'être publié par le Conseil indien de la recherche historique, sous la coordination de son secrétaire, le professeur Umesh Ashok Kadam. « Des éléments de démocratie sont présents en Inde de manière continue depuis l'époque védique, soit plus d'un millénaire avant notre ère. Mais cela n'a pas été compris par les colons. Ils ont exclu les textes religieux, qu'ils considéraient comme des textes épiques et non de l'histoire, alors que ces écrits montrent qu'il y avait des conseils de village où toute la communauté participait », explique ce dernier. ► À lire aussi : Inde : les laissés-pour-compte du « modèle du Gujarat » « Réécrire l'histoire de manière glorieuse dans le but d'inspirer les générations futures » Ce sont les mots du ministre de l'Intérieur, lors d'une déclaration récente, et c'est dans ce sens que travaille ce centre de recherche public. Avec un risque : celui de tordre la réalité. Car ces conclusions sont contestées par beaucoup d'historiens indiens, comme Mahalakshmi Ramakrishnan, professeure d'histoire ancienne à l'université Jawaharlal Nehru. « Il est connu qu'au Xe siècle, un village du Tamil Nadou organisait l'élection d'un conseil de représentants. Mais c'est un village de brahmanes, les élites et prêtres locaux. Ce n'est même pas au niveau régional, et encore moins généralisé à la société indienne. Ce n'est donc pas la même chose que de parler de démocratie telle qu'on la perçoit aujourd'hui », rectifie la chercheuse. Cet exemple dévoile notamment à quel point, pour les nationalistes hindous au pouvoir, l'histoire est un outil politique qui peut être remodelé pour servir leur idéologie. C'est l'analyse Nilanjan Mukhopadhyay, écrivain spécialisé dans le mouvement nationaliste hindou : Ces gens ont une vision qui place les hindous au centre de l'Histoire. Ils modifient le passé pour démontrer que les musulmans sont des étrangers et des traîtres dans ce pays, et s'en servent pour glorifier l'histoire hindoue. Pour ce faire, ils utilisent les textes mythologiques comme preuves historiques. Par ce slogan, l'inde se targue aussi d'être un modèle de démocratie. Or depuis huit ans que Narendra Modi est au pouvoir, les arrestations d'opposants au régime ont explosé et les journalistes sont poursuivis pour leurs écrits, ce qui indiquerait plutôt un déclin de la pratique démocratique en Inde. ► À lire aussi : Inde : le BJP de Narendra Modi remporte une victoire écrasante dans le Gujarat
durée : 00:02:37 - Le monde est à nous - Comme la France et d'autres pays dans le monde, l'Allemagne est confrontée à une pénurie de médicaments. Les autorités ont décidé de s'attaquer au problème : une réforme est en préparation.
Le 1er décembre, l'Inde a pris pour un an la présidence du G20. C'est une fierté pour ce pays émergent, que le gouvernement de Narendra Modi veut également utiliser pour promouvoir sa version de l'histoire au service de sa propre idéologie nationaliste. L'un des slogans mis en avant est en effet que l'Inde est la « mère de la démocratie ». Une affirmation contestée par beaucoup d'historiens indiens et qui dénote avec les atteintes portées aux droits démocratiques dans le pays. Avec notre correspondant à New Delhi, On voit sur une vidéo de promotion du gouvernement indien le Premier ministre, Narendra Modi, prendre symboliquement le bâton de la présidence du G20 – ce groupe des 20 pays les plus industrialisés, devenu de plus en plus important sur la scène mondiale – au nom de l'Inde. Ce pays y est décrit comme « la mère de la démocratie ». On retrouve cette appellation à de nombreuses reprises dans la communication indienne. Elle est justifiée par New Delhi, en s'appuyant sur un livre qui vient d'être publié par le Conseil indien de la recherche historique, sous la coordination de son secrétaire, le professeur Umesh Ashok Kadam. « Des éléments de démocratie sont présents en Inde de manière continue depuis l'époque védique, soit plus d'un millénaire avant notre ère. Mais cela n'a pas été compris par les colons. Ils ont exclu les textes religieux, qu'ils considéraient comme des textes épiques et non de l'histoire, alors que ces écrits montrent qu'il y avait des conseils de village où toute la communauté participait », explique ce dernier. ► À lire aussi : Inde : les laissés-pour-compte du « modèle du Gujarat » « Réécrire l'histoire de manière glorieuse dans le but d'inspirer les générations futures » Ce sont les mots du ministre de l'Intérieur, lors d'une déclaration récente, et c'est dans ce sens que travaille ce centre de recherche public. Avec un risque : celui de tordre la réalité. Car ces conclusions sont contestées par beaucoup d'historiens indiens, comme Mahalakshmi Ramakrishnan, professeure d'histoire ancienne à l'université Jawaharlal Nehru. « Il est connu qu'au Xe siècle, un village du Tamil Nadou organisait l'élection d'un conseil de représentants. Mais c'est un village de brahmanes, les élites et prêtres locaux. Ce n'est même pas au niveau régional, et encore moins généralisé à la société indienne. Ce n'est donc pas la même chose que de parler de démocratie telle qu'on la perçoit aujourd'hui », rectifie la chercheuse. Cet exemple dévoile notamment à quel point, pour les nationalistes hindous au pouvoir, l'histoire est un outil politique qui peut être remodelé pour servir leur idéologie. C'est l'analyse Nilanjan Mukhopadhyay, écrivain spécialisé dans le mouvement nationaliste hindou : Ces gens ont une vision qui place les hindous au centre de l'Histoire. Ils modifient le passé pour démontrer que les musulmans sont des étrangers et des traîtres dans ce pays, et s'en servent pour glorifier l'histoire hindoue. Pour ce faire, ils utilisent les textes mythologiques comme preuves historiques. Par ce slogan, l'inde se targue aussi d'être un modèle de démocratie. Or depuis huit ans que Narendra Modi est au pouvoir, les arrestations d'opposants au régime ont explosé et les journalistes sont poursuivis pour leurs écrits, ce qui indiquerait plutôt un déclin de la pratique démocratique en Inde. ► À lire aussi : Inde : le BJP de Narendra Modi remporte une victoire écrasante dans le Gujarat
durée : 00:04:13 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Toute la semaine, le billet politique donne la parole aux étudiants de Sciences Po Lille sur un fait politique majeur de cette année 2022.
Benyamin Netanyahu est de retour au pouvoir à la tête de la coalition la plus à droite de l'histoire d'Israël. Autour de son parti, le Likoud, le futur Premier ministre a constitué une majorité avec trois partis d'extrême droite anti-arabes et homophobes, ainsi que de deux formations ultraorthodoxes. Une coalition qui prévoit d'affaiblir le pouvoir judiciaire et d'étendre les colonies en Cisjordanie. Entretien avec le politologue Ofer Bronchtein, président du Forum pour la paix et la réconciliation au Proche-Orient et ancien conseiller d'Yitzhak Rabin. ► À lire aussi : Israël: Netanyahu présente son nouveau gouvernement, le plus à droite de l'histoire du pays
durée : 00:02:30 - Le brief éco - Le leader de la CGT, Philippe Martinez rendra son mandat en mars prochain. Olivier Mateu, secrétaire général de l'union de Marseille annonce sa candidature pour lui succéder.
Chaque matin dans son édito, Carl Meeus, revient sur l'actualité politique du jour.
Chaque matin dans son édito, Carl Meeus, revient sur l'actualité politique du jour.
Aujourd'hui dans "Punchline", Patrice Boisfer et ses invités débattent de la nouvelle grève des médecins libéraux.
Avec : Etienne Liebig, éducateur. Zohra Bitan, cadre de la fonction publique. Et Stéphane Manigold, restaurateur. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Le gouvernement travailliste a réussi a faire passer sa loi sur les prix de l'énergie avant Noël. Malgré tout, beaucoup reste encore à faire sur le marché du gaz et de l'électricité pour soutenir les Australiens face à la hausse continue des prix.
Tous les samedis et dimanches soir, Pierre de Vilno reçoit des invités pour deux débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes à 19h30 et 19h44 pour décrypter l'actualité.
durée : 00:07:26 - Journal de 8h45 - C'est un amendement passé inaperçu mais qui risque de changer la donne pour tous ceux qui envisagent une reconversion et veulent utiliser leur compte personnel de formation, leur CPF.
Le gouvernement du Québec veux limiter votre utilisation d'électricité.
durée : 00:02:33 - Le monde est à nous - Dans son premier budget, le gouvernement de Giorgia Meloni augmente le plafond des paiements en liquide et veut limiter l'usage de la carte bancaire.
Interview de Jean-Yves Camus, directeur de l'Observatoire des radicalités politiques à la Fondation Jean Jaurès.
durée : 00:55:23 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du mercredi 7 décembre 2022.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des coupures d'électricités.
durée : 00:04:11 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Comment marier expulsions et régularisations ? Dans son projet de loi sur l'immigration, le gouvernement expérimente une nouvelle recette. Sans convaincre, pour l'instant.
durée : 00:01:47 - Le vrai du faux - Le ministre de la Santé, François Braun, assure que le retour de l'obligation de porter le masque dans les transports est "bien sur la table" et que son "bras ne tremblera pas" s'il fallait prendre cette décision. Les moyens d'imposer cette obligation sont toutefois assez limités aujourd'hui.
durée : 00:14:11 - Journal de 7 h - Un projet qui prévoit de réduire les possibilités de recours en cas d'obligation de quitter le territoire, mais aussi de faciliter la régularisation de travailleurs sans papiers.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des potentielles coupures d'électricité que nous pourrions connaître cet hiver en France et comment le gouvernement prépare les français à cette possibilité.
Avec : Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion. Mourad Boudjellal, éditeur de BD. Et Jean-Baptiste Djebbari, ex-ministre - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Il est toujours très difficile de savoir ce qu'il se passe en Chine, entre la censure opérée par le gouvernement qui craint ses citoyens, et des citoyens qui pratiquent l'autocensure par crainte du gouvernement. Mais malgré les nombreux efforts pour couper les flux d'information entre la Chine et le reste du monde, il nous arrive parfois d'en avoir des nouvelles. On a ainsi appris que depuis le 25 novembre, les mouvements de protestations se sont multipliés, des dizaines de milliers de personnes ont fait entendre leur voix pour dénoncer une politique «zéro Covid» trop rigide, qui trahit les limites de la stratégie du gouvernement pour lutter contre la maladie. Les manifestations, même si elles sont souvent sévèrement réprimées, ne sont pas rares en Chine: cela arrive, mais jamais avec une telle ampleur, selon les observateurs, en tout cas pas depuis les événements de Tiananmen. Et la colère a été entendue par le gouvernement qui semble opter pour un assouplissement de sa politique. Une grande révolution qui ferait de la Chine une démocratie libérale n'est pas à l'ordre du jour, loin de là, mais que disent ces mouvements de l'état de l'opinion et surtout de l'état du régime de Xi Jinping, qui règne désormais en maître absolu sur le pays? Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales. Musique: «True Messiah (LilRod Edit)», DJ Freedem Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Si vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - De possibles coupures de courant en France : deux heures maximum par jour, jamais deux fois de suite au même endroit. Le gouvernement va adresser aux préfets une circulaire pour organiser ces moments sans lumière, sans chauffage pour certains ou sans transports.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - De possibles coupures de courant en France : deux heures maximum par jour, jamais deux fois de suite au même endroit. Le gouvernement va adresser aux préfets une circulaire pour organiser ces moments sans lumière, sans chauffage pour certains ou sans transports.