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En Côte d'Ivoire, premier producteur mondial d'anacarde, les acteurs de cette filière tirent un bilan positif à mi-parcours de la campagne de commercialisation. Sur les 1,150 million de tonnes de noix brutes produites cette année, restent 250 000 tonnes à écouler sur les marchés. Priorité aux transformateurs locauxPremier signe positif : dès le début de la campagne en janvier, le prix bord champ de la noix brute de cajou a été rehaussé : il est passé de 275 à 425 FCFA/kg. De quoi valoriser les paysans qui, cette année, ont vu leur production augmenter de 20 %. Selon les projections du ministère de l'Agriculture de Côte d'Ivoire, la production devrait s'établir à un peu plus d'un million de tonnes de noix brute. 900 000 tonnes ont déjà été achetées auprès des producteurs.Par ailleurs, du 18 janvier au 15 mars, le marché a été ouvert en priorité aux transformateurs locaux. « Cela nous a permis d'avoir accès à une noix de bonne qualité et d'éviter la concurrence avec les exportateurs internationaux », commente un entrepreneur. En tout, 36 usines en activité ont pu être approvisionnées. Elles ont pu absorber près de 600 000 tonnes de noix brute.L'impact des tarifs douaniers américainsSeule ombre au tableau, les nouveaux tarifs douaniers imposés par les États-Unis, révisés à la hausse et que Washington a temporairement suspendu. « Les opérateurs au Vietnam [taxés à près de 47 %, NDLR] sont inquiets, cela a ralenti les choses », affirme Kobénan Kouassi Adjoumani, le ministre ivoirien de l'Agriculture. En clair, il y a moins d'engouement autour des ventes. Car une grosse partie de la production est achetée par le Vietnam, qui exporte ensuite l'amande de cajou vers les États-Unis. Face à la retenue des acheteurs, locaux, comme internationaux, les producteurs bradent leur noix brute. « La situation est bloquée », peste un producteur, qui regrette le non-respect des prix officiels, ces deux dernières semaines. « Des solutions vont bientôt être prises », assure le ministre ivoirien de l'Agriculture, qui demande aux paysans d'être patients. De son côté, pour faire respecter le prix plancher, le Conseil Coton Anacarde organise des ventes groupées dans les zones dans lesquelles les acheteurs se font rares. À lire aussiLa Côte d'Ivoire cherche à doper la transformation locale de noix de cajou
Schreibe mir dein Feedback zur FolgeHaben Menschen wirklich kein Geld – oder geben sie es einfach nur für andere Dinge aus? Inspiriert von einem Spaziergang mit seiner Frau reflektiert Calvin über Konsumverhalten, Prioritäten und das emotionale "Warum" hinter Kaufentscheidungen.Warum sind Restaurants voll, während manche sagen, sie könnten sich keine 100€ für Weiterbildung oder eine Community leisten? Und was bedeutet das für Unternehmer:innen und Selbstständige?Hier geht's zur gratis: Wer will, der kann Community
The Grattan Institute says one in three Australian school students is failing to achieve proficiency in maths. In a new report, the institute argues Australia has deprioritised maths, with governments too slow to rule out "faddish" teaching techniques. - Nach Angaben des Grattan-Institutes scheitert jeder dritte australische Schüler an seinen Mathekenntnissen. In einem neuen Bericht wirft das Institut vor, dass Australiens Regierungen das Fach Mathematik nicht ausreichend Priorität einräumen würden.
La dépendance aux GAFAMS inquiètent les décideurs européens.C'est le constat sans appel qui ressort de la dernière étude réalisée par IPSOS Digital et l'entreprise Yousign qui ont interrogé plus de 4000 actifs en France, Espagne, Allemagne et Italie sur les enjeux de souveraineté numérique dans les entreprises européennes.Une étude qui dresse un double constat saisissant :
Kennst du das Gefühl, dass du im Alltag ständig nur noch funktionierst? Dass deine Zeit, deine Energie und dein ganzes Leben fremdbestimmt sind – von Terminen, To-do-Listen und Kinderbedürfnissen?In dieser Folge spreche ich über genau dieses Gefühl von Fremdbestimmung im Mama-Alltag – und warum es mich gerade überrollt wie eine Dampfwalze.Ich nehme dich mit in meinen Gedankenprozess:Wie kam es überhaupt so weit? Warum fällt es uns so schwer, Grenzen zu setzen? Und vor allem: Wie schaffen wir es, wieder mehr eigene Entscheidungen zu treffen – und nicht nur die Bedürfnisse aller anderen über unsere zu stellen?Erfahre in dieser Hi, Baby! Folge:✔ Warum sich so viele Mamas fremdbestimmt fühlen✔ Wie ich meinem ICH gerade wieder Stück für Stück mehr Priorität gebe✔ Wie du wieder mehr Selbstbestimmung in deinen Alltag bringst – auch mit neurodivergentem Kind✔ Persönliche Einblicke aus meinem Familienleben und dem, was mir geholfen hatSpeichere die Folge ab, teile sie gerne mit anderen Mamas oder Freundinnen – und mach heute vielleicht eine Sache nur für dich.Das Hi, Baby!-Handy:Schickt mir eure Fragen, Gedanken oder Geschichten super gerne auch als Sprachnachricht per WhatsApp an 0160-986 333 01. Rabattcodes und Infos zu Werbepartnern findest du hier:https://linktr.ee/hibabypodcast Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Plus de 230 millions de femmes dans le monde ont déjà subi des mutilations génitales, selon les derniers chiffres de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). En France, ce sont au moins 139 000 femmes qui sont concernées. Pour prévenir les risques d'excision, qui peuvent avoir lieu aussi bien dans le pays de résidence que dans le pays d'origine des jeunes filles, le Groupe pour l'abolition des mutilations sexuelles et des mariages forcés (GAMS) intervient dans les écoles à la demande des infirmières scolaires. RFI s'est rendu dans un collège de Seine-Saint-Denis, en région parisienne. « Est-ce que vous savez de quoi on parle, quand on parle d'excision ? » Cet après-midi-là, devant une classe agitée d'élèves de 3ème, Alissata Ndiaye prend la place du professeur. Elle est directrice régionale de la fédération du GAMS, le Groupe pour l'Abolition des mutilations sexuelles et des mariages forcés. « Est-ce que vous savez où ça se pratique, l'excision ? Au Sénégal, au Sénégal, au Mali, en Normandie ? », demande-t-elle aux élèves.« Ces élèves ont 13, 14 ans, on peut se dire qu'ils sont complètement éloignés de cela. Mais ils peuvent se dire : "mais tiens, mes origines, ma mère, mes tantes, ma grand-mère, est-elle concernée ou est-ce qu'elle sait qu'elle est concernée et comment moi, je peux y échapper ?" », nous explique-t-elle.Un jeu de questions réponses et pour tout support pédagogique, une peluche, qu'elle fait passer de table en table. « C'est un doudou tout doux, tout rose, grâce auquel on voit le clitoris dans son intégralité, les lèvres. Mais quand tu le regardes, tu ne vas pas détourner des yeux, parce qu'il est assez ludique. C'est moins répulsif pour des jeunes, mais même aussi pour les moins jeunes, de l'avoir en main pour se rendre compte de quoi on parle. Et de quelle partie dont on parle au niveau de l'appareil génital », décrit-elle.Dans la salle, beaucoup d'interrogations, du dégoût, quelques réactions choquées, voire révoltées, la plupart d'entre eux n'avaient pas entendu parler de l'excision. Émilie fait partie des rares exceptions : « Quand j'ai appris que quelque chose comme l'exclusion existait, je me suis dit : "cela ne change pas d'habitude". On favorise l'homme plutôt que la femme, de considérer que c'est la femme qui doit s'abstenir de faire certaines choses plutôt que l'homme », s'indigne-t-elle.Sur les réseaux sociaux, elles sont de plus en plus nombreuses à témoigner – face caméra – et avec beaucoup de détails. Une nouvelle forme de sensibilisation bienvenue pour Alissata Ndiaye. « C'est assez récent, je trouve que c'est une bonne chose. C'est ça l'idée en fait, de la sensibilisation, de la prévention. C'est casser les barrières. À partir du moment où ça permet de faire de la prévention et de sauver des petites filles, on y va », affirme-t-elle.En France, une femme sur deux qui a été excisée vit en région parisienne. Et c'est précisément en Seine-Saint-Denis qu'elles sont le plus à risque.À lire aussi«Une excision médicalisée, qu'est-ce que ça veut dire? Une mutilation reste une mutilation» À écouter aussi Priorité santé: Sexualité et excision
Der Klimaschutz hat in der Politik keine Priorität mehr. Sollten wir also mehr Mittel darauf verwenden, uns an die Folgen des Klimawandels anzupassen? Andrea Fischer-Hotzel vom Zentrum Klimaanpassung weiß, wie das aussehen könnte. Schniederjann, Nils www.deutschlandfunkkultur.de, Tacheles
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons d'alimentation et plus particulièrement d'alimentation en cas de manque d'appétit. Stress, infection, dépression, effets secondaires d'un traitement… L'appétit peut disparaitre pour diverses causes, mais il n'est pas question pour autant d'arrêter de s'alimenter. Que faire pour le retrouver ? Comment éviter les carences ?Avec Binetou Cheikh Seck, nutritionniste-diététicienne à Dakar, au Sénégal.La palabre au féminin de Charlie DupiotProgrammation musicale :► Miriam Makeba – Malaika► Greentea Peng – Green
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons d'alimentation et plus particulièrement d'alimentation en cas de manque d'appétit. Stress, infection, dépression, effets secondaires d'un traitement… L'appétit peut disparaitre pour diverses causes, mais il n'est pas question pour autant d'arrêter de s'alimenter. Que faire pour le retrouver ? Comment éviter les carences ?Avec Binetou Cheikh Seck, nutritionniste-diététicienne à Dakar, au Sénégal.La palabre au féminin de Charlie DupiotProgrammation musicale :► Miriam Makeba – Malaika► Greentea Peng – Green
Was passiert, wenn eine erfolgreiche TV-Persönlichkeit und Model-Ikone beschließt, mehr als nur vor der Kamera zu stehen und stattdessen zur Unternehmerin wird? In dieser Folge erzählt Lena Gercke von ihrem Weg: vom Casting-Stress in New York und Deutschlands Laufstegen bis hin zur Gründung und Skalierung ihrer eigenen Modemarke – mitten in turbulenten Zeiten.Wie gelingt es, zwischen Kinderbetreuung und Kollektionsentwürfen stets den Überblick zu behalten? Welche Rolle spielt „Learning by Doing“, wenn man sich in einer bestehenden Branche ganz neu aufstellt? Lena zeigt, dass es keine perfekte Routine geben muss, solange man sich klare Prioritäten setzt – und ein Team, dem man vertraut. Gleichzeitig wird klar, wie wertvoll der eigene Antrieb ist, um die Komfortzone zu verlassen und sich ständig weiterzuentwickeln.Wer schon immer wissen wollte, was wirklich hinter „Balanceakt“ zwischen Familie und Firmengründung steckt, weshalb ein Stück persönliche Freiheit wichtig bleibt und warum eine kreative Vision manchmal auf einem Zettel in New York beginnt, findet hier ehrliche Einblicke. Ein Gespräch über Verantwortung, Anpassungsfähigkeit und die entscheidende Frage, wie man seine Leidenschaft zu einem erfolgreichen Business macht.Unser Werbepartner:Qonto ist das Online-Geschäftskonto mit integrierten Finanz-Tools. Seit dem 1. Januar 2025 müssen B2B-Unternehmen E-Rechnungen empfangen und verarbeiten können. Mit Qonto gelingt der nahtlose Umstieg: Ein eigenes Rechnungstool zum Erstellen, Verarbeiten und rechtskonformen Speichern ist bereits integriert. Eröffne jetzt in wenigen Klicks dein Qonto Geschäftskonto und teste Qonto 90 Tage kostenlos. Mehr Infos auf qonto.de/business-punk – und denk daran, Qonto schreibt man mit Q!Probonio – digitale Mitarbeiterbenefits einfach gemacht!Flexible und steuerfreie Benefits wie Gutscheine, Bikeleasing oder Essenszuschüsse bequem per App verwalten und Lohnkosten sparen. Jetzt Demo buchen und drei Monate lang 30% Rabatt sichern: www.probonio.de/businesspunk Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Vertrieb in der Krise? Wenn die Zahlen sinken und Kundenanfragen weniger werden, stehen Vertriebsleiter oft ratlos da. Dirk Zupancic, langjähriger Vertriebsexperte und ehemaliger Professor an der Universität St. Gallen, kennt diese Situationen genau und verrät, wie du mit einem Notfallplan wieder auf Erfolgskurs kommst. Welche Maßnahmen gehören unbedingt auf eine Notfallkarte für den Vertrieb? Wie steigerst du sofort die Zahl deiner Kundenkontakte und sorgst dafür, dass dein Team die richtigen Prioritäten setzt? Und warum lohnt es sich, zunächst auf verloren geglaubte Angebote zu setzen? In dieser Folge lernst du praxisnahe Schritte kennen, mit denen du kurzfristig die Krise überwindest und langfristig wieder profitabel wirst. Erfahre, wie du deine Zeit und Ressourcen optimal nutzt, dein Team richtig motivierst und welche Rolle klare Prioritäten bei der Kundenakquise spielen. Ob erfahrene Führungskraft oder frisch im Vertrieb – diese Episode gibt dir konkrete Werkzeuge an die Hand, um jetzt zu handeln und deinen Vertrieb neu auszurichten.
Jesus war stets präsent im Moment und lebte nach dem Motto: Alles zu seiner Zeit. Er verwandelte Wasser auf einer Hochzeit in Wein, nicht im Tempel. Auch vertrieb er Händler nie vom Marktplatz, aus dem Tempel wiederum scheuchte er sie mit einer Geißel in der Hand hinaus. Es ist nicht überliefert, dass er fürs Essen gebetet hätte, bis es kalt war, obwohl Gebet sehr wichtig für ihn war. Andererseits aß er beim Beten nicht. Pastor Gert öffnet die Bibel und sieht anhand von Johannes 2: Richtige Prioritätensetzung setzt unerwartet großen Segen frei. Hochzeiter bekamen Wein von Gott und nachdem der Tempel gereinigt war, geschahen dort Heilungswunder. Ein Tipp für uns?Wichtige Bibelstellen:Prediger 3,11Johannes 2Matthäus 10,47Matthäus 21,14Unser Spendenkonto, falls Sie uns unterstützen möchten:Delta Christl. Dienste e.V. (Vorstandsvorsitzender: Gert Hoinle)DE13 7935 0101 0000 8235 91BYLADEM1KSWPaypal? Klicken Sie hier zwecks QR-Code: https://www.delta-edition.de/WPVersio...Oder an: Spende@OnlineKirche.orgSpendenquittung? Bitte Namen und Adresse angeben.
In dieser Folge spricht Dr. Dominik Benner über das, was wirklich zählt: Sichtbarkeit, Loyalität, Verantwortung. Keine leeren Leadership-Parolen, sondern knallharte Wahrheiten. Warum 90 % der Menschen keine Karriere machen wollen – und du vielleicht doch solltest. Ob Work-Life-Balance, Homeoffice oder Komfortzone – hier bleibt kein Buzzword heil.Wenn du erfahren willst, warum Mittelstand oft die besseren Karrieren bringt als jeder Konzern, warum Selbstständigkeit Mut braucht und weshalb Leidenschaft nicht optional ist – dann ist diese Folge für dich.Hier kannst du das Buch von Dominik kaufen:https://amzn.to/4lmx96Q00:00 Einführung00:24 Unterschied zwischen Mittelstand und Konzern01:26 Die Idee zum Buch "Stay Hungry"05:54 Anteil der Menschen, die für eine Führungsposition geeignet sind10:11 Motivation, eine Führungskraft zu sein15:40 Herausforderungen und Erfahrungen im Beruf19:00 Prioritäten und Flexibilität im Job22:40 Chancen für Frauen in Führungspositionen27:21 Irrtümer und falsche Annahmen bei angehenden Führungskräften31:05 Bedeutung von Scheitern für Innovation33:22 Wichtigkeit von Fachwissen35:34 Rolle eines Mentors39:05 Beziehungen am Arbeitsplatz41:01 Ziele und Botschaften des Buches "Stay Hungry"45:05 Empfehlenswerte Bücher46:34 Fragen am Ende des Podcasts49:25 Kontaktmöglichkeiten
Wie schaffst du es, erfolgreich zu sein und Vermögen aufzubauen? Das möchte Marco, Gründer von immocation, von seinem Gast Maurice Bork, Unternehmer & Gründer von die-wichtigste-Stunde.de, wissen. Welche Routinen haben Maurice geholfen, seine Ziele zu erreichen? Wie wichtig ist es hierbei, Prioritäten zu setzen und einen strukturierten Tagesablauf zu haben? Was denkt Maurice über das Thema Geld und worin investiert er es? Maurice sieht Immobilieninvestments als einen großen Hebel an, möchte jedoch möglichst wenig Zeitaufwand damit haben. Wie setzt er dies um? Was Maurice als erfolgreich ansieht und welche Träume er bereits verwirklicht hat, das erfahrt ihr in dieser Folge.
Tous les soirs, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, Philippe Juvin, député des Hauts-de Seine, médecin et chef des urgences à l'hôpital Georges-Pompidou. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fitness mit M.A.R.K. — Dein Nackt Gut Aussehen Podcast übers Abnehmen, Muskelaufbau und Motivation
Du willst fit sein, gesünder leben, nackt gut aussehen – und eigentlich weißt Du längst, was dafür nötig wäre. Doch zwischen Job, Familie und Verpflichtungen bleibt es oft bei einem Wunsch: „Ich mach' das später.“In dieser Folge erfährst Du, warum „später“ meistens nie passiert – und was Du konkret tun kannst, um Deine Gesundheit und Fitness endlich zur Priorität zu machen. Du lernst, warum gute Vorsätze alleine nicht reichen, wie Deine inneren Werte Deine Entscheidungen (und Ergebnisse!) beeinflussen – und wie ein ehrliches „Nein“ Dir zu mehr Energie, Klarheit und Selbstvertrauen verhilft.Wenn Du die Konzepte dieser Folge umsetzt:bringst Du Klarheit in Dein Leben – und Struktur in Deinen Alltaglässt Du Dich seltener aus der Bahn werfenweißt Du in entscheidenden Momenten sofort, was jetzt Priorität haterreichst Du Deine Ziele mit mehr Leichtigkeit und FreudeWenn Du das Thema überspringst, riskierst Du was. Vor allem Reibungsverluste im Alltag, durch unnötige innere Konflikte oder Prioritäten, mit denen Du Dir nicht gut getan hättest – alle mit dem gleichen Ergebnis: Du kommst nicht vom Fleck.Diese Folge ist für Dich, wenn Du bereit bist, Dir endlich die Priorität zu geben, die Du verdienst – und Deine Ziele wirklich zu leben, statt sie nur aufzuschreiben.
D'Reform vun eisem Pensiounssystem ass eng wichteg Prioritéit vun der Regierung, well et geet drëms, de Generatiounsvertrag vun dësem System sozialgerecht a laangfristeg ofzesécheren. De Carlo Thelen, Generaldirekter vun der Chambre de Commerce, erkläert a senger Carte Blanche, wéi wichteg et ass, elo ze handele fir ee finanzéierbaren an nohaltege Pensiounsregime fir Lëtzebuerg ze erhalen.
316: Früher dachte ich, ich müsste perfekt starten, diszipliniert durchhalten und produktiv sein – um irgendwann zufrieden mit mir selbst zu sein. Heute weiß ich: Zufriedenheit entsteht im Alltag. In kleinen Entscheidungen. In Ritualen, die mich tragen – nicht fordern. In dieser Folge nehme ich Dich mit in meine persönlichen Routinen und teile die kraftvollen Mini-Hacks, die mich Tag für Tag stärken. Keine Dogmen, kein Perfektionismus – sondern Inspiration für Deinen eigenen Weg in Balance und Leichtigkeit. **✨ Key Insights dieser Episode:** **Mini-Meditation & Morgenritual** Warum ein Glas Wasser und ein paar stille Minuten am Morgen mein Gamechanger sind. **Bewegung als täglicher Anker** 10.000 Schritte, kurze Kraftimpulse und warum weniger oft mehr ist. **Schönheit & Energie von innen** Meine tägliche Nährstoff-Routine für Strahlkraft und Stabilität. **SOS-Hack bei Stress** Wie ich mit einem Atemzug Klarheit gewinne und Prioritäten neu sortiere. **Power-Ernährung** Protein-Power, Lieblingsfrühstück und mein Abendritual für besseren Schlaf. **Der wichtigste Reminder** Warum Konsequenz wichtiger ist als Perfektion – und wie Du sanft zurück in Deine Kraft findest, wenn mal etwas nicht klappt.
In dieser Folge teile ich meine Erfahrungen mit kleinen Gewohnheiten. Die meisten dieser Handlungen nehmen zwar total wenig Zeit Anspruch, machen jedoch einen erheblichen Unterschied. Denn neben der Tatsache, dass sich gute Gewohnheiten positiv auf unsere Zukunft auswirken, stärken sie vor allem unser Selbstvertrauen - in der Gegenwart. Denn das, womit wir uns tagtäglich beschäftigen, beeinflusst unser Durchhaltevermögen; je mehr Disziplin sich in unserem Handeln widerspiegelt, desto sicherer wird unsere Beziehung zu uns selbst. Dem entsprechend freue ich mich, dir heute zu erzählen, wie sich diese kleinen Veränderungen auf meine persönliche Entwicklung ausgewirkt haben und wieso „Micro Habits“ in meinem Alltag oberste Priorität haben. Viel Spaß beim Anhören!Hier kannst du mich abonnieren & exklusive Inhalte anhören: https://podcasters.spotify.com/pod/show/banusjournal/subscribeMein WhatsApp-Kanal: https://whatsapp.com/channel/0029VacCNG9DeONFf8H8n70yMein Pinterest: https://pin.it/2jPEKUrUqMein Spotify: https://open.spotify.com/user/0wsxz9qpvr7z4iakfdcqngj4a?si=46f9e599851d4085Die Folgen über Gewohnheiten: https://open.spotify.com/episode/0gKJaL67VTpaHIBtUPopEz?si=eee9735e57c04d48https://open.spotify.com/episode/3KMYLETmpMLLgyY2Jm1sPs?si=1d8fed8cbc0f4245https://open.spotify.com/episode/7Lt5Yy5gVA1hNY76GTtzgU?si=004202f8682b4acchttps://open.spotify.com/episode/04ddwdzCRYTGSG74VJEjYq?si=cef9ca9b969444e2https://open.spotify.com/episode/6qwdAXDv0WzXqN7NXEDc4e?si=67ca7268eb624b62https://open.spotify.com/episode/2rVbLVtn7cA4iGV2BxU3B8?si=9391ac0f5983401aDie Folgen über Routinen:https://open.spotify.com/episode/0i5GS9PwX6Aq15sqsi7Xuq?si=fd2f31e8c38649a1https://open.spotify.com/episode/5q1RuLcNQvLGNJNq0WxqKG?si=1651a52f286a4253https://open.spotify.com/episode/1gK93ClvKOLM7GvnsY0Leg?si=fe0fdb847b094e45Die Folgen über Challenges:https://open.spotify.com/episode/7GgidR5Uz1ZfHX4k7tffeI?si=50c71264e9f54960https://open.spotify.com/episode/1H7A36oTgTQJ8MtIt10lz2?si=214221e0d1fc4b9fDie Folge über Motivation:https://open.spotify.com/episode/5pd7vH6RzCTzPGlIw5LMsQ?si=16dd7ae5ac004bd3Die Folgen übers Tagebuchschreiben:https://open.spotify.com/episode/0TfTycQeUVjZLZEr95wFdh?si=a3df010435274857https://open.spotify.com/episode/1MQbXjaZt9Fr90Nb2Gf5CW?si=d0815b2b44b04b79Die Folge über meine Organisation:https://open.spotify.com/episode/0tLf1GJeHm2gtkYZEEmU1G?si=815e425b99bd4f8fhttps://open.spotify.com/episode/6fM4XYdJJuLMdafOL38W7M?si=23157486e0b74036Die Folge übers Lesen:https://open.spotify.com/episode/3xbXAWjWLBcpw6DrxzzYyq?si=c6f7c34452a14338Die Folgen über Social Media:https://open.spotify.com/episode/2Nmna3YnjW5Gf4h41g6ery?si=381893b539834baehttps://open.spotify.com/episode/5NZGorURa2HBmxXf3dCvhU?si=6921159c0f6444f8https://open.spotify.com/episode/39BVbv3lKknFtzMp3no0aA?si=a8cca6ad19b14669https://open.spotify.com/episode/2F1xSHtkjgDXK1RxvCJk0W?si=ed33fa76e3c8450a
Longtemps, le sujet a été tabou... Aujourd'hui, les hommes politiques gabonais acceptent d'en parler. Tous les ans, une centaine d'enfants sont victimes de crimes rituels au Gabon. Il y a 20 ans, en 2005, Jean-Elvis Ebang Ondo a perdu son fils dans ces circonstances atroces. Aujourd'hui, il est sénateur et il préside l'Association de lutte contre les crimes rituels au Gabon. Et une semaine avant la présidentielle du 12 avril, il interpelle les huit candidats. À Libreville, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
Harini Amarasuriya est la Première ministre du Sri Lanka, un pays qui sort de cinq années de crise financière et d'instabilité politique. De passage à Paris le 1er avril dernier afin de participer à une conférence internationale sur la protection du patrimoine bouddhiste de son pays, dont le célèbre site archéologique d'Anuradhapura inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco, elle s'est entretenue avec RFI. RFI : Madame la Première ministre, vous avez été nommée à votre poste en novembre dernier. Quel bilan faites-vous de vos cent jours au pouvoir ? Harini Amarasuriya : Renouer avec la stabilité politique, c'était ça notre priorité et c'est ce que nous avons, je crois, réussi à instaurer au cours des cent premiers jours de pouvoir. Après les turbulences de ces dernières années, la population avait besoin de se sentir rassurée avec un exécutif stable aux manettes, sans décalage entre les promesses et les actions du gouvernement, bref, un gouvernement auquel les Sri Lankais peuvent faire confiance. Cette confiance est née aussi du fait que l'économie est en voie de rétablissement même si je ne dirais pas que nous soyons encore tout à fait sortis de l'affaire. Qui plus est, et je crois c'est fondamental, nous avons réussi à imprimer la possibilité de faire la politique différemment que nos prédécesseurs. Les électeurs ont rejeté la vieille garde et sa politique déconnectée du quotidien, laissant les citoyens se débrouiller seul. Voilà quels sont, je dirais, les principaux acquis de cette période.Vos détracteurs dépeignent votre entourage comme une « bande d'idéologues », enfermés dans leur utopie marxiste-léniniste. Vous reconnaissez-vous dans ce portrait qu'on brosse de vous et de vos collègues ministres ?Cette référence à l'idéologie marxiste-léniniste concerne de prime abord la Janatha Vimukthi Peramuna ou le JVP, le parti que dirige le président Dissanayake et qui est une composante de notre coalition au pouvoir. Cette coalition, le National People's Power ou le NPP est une alliance plus ouverte, située au centre-gauche de l'échiquier politique. Au cours des cinq dernières années, soit depuis 2019, la plateforme que le NPP a présentée à la population a été essentiellement axée sur des solutions pragmatiques à apporter aux problèmes auxquels les gens sont confrontés au quotidien. Certes, dans nos discours, il est beaucoup question de justice sociale, d'équité, d'égalité, mais nous avons toujours affirmé que nous ne nous laisserions pas enfermer dans des cases idéologiques. Il n'est pas question pour nous de privilégier une idéologie quelconque, faisant fi des impératifs de l'ici et maintenant.L'un de vos principaux succès a sans doute été économique, puisque l'économie srilankaise a renoué avec la croissance. Mais le mérite pour le succès ne devrait-il pas revenir d'abord à votre prédécesseur qui avait négocié le prêt de sauvetage avec le FMI ? Le président Ranil Wickremesinghe, prédécesseur de l'actuel chef de l'État du Sri Lanka avait en effet engagé les discussions avec le FMI dans ce sens. L'accord pour un prêt avait été signé avant que nous n'arrivions au pouvoir en septembre dernier, mais je pense que nous pouvons être crédités de la mise en œuvre de cet accord dans des conditions qui soient acceptables pour la population.En accédant au pouvoir, nous avons pris langue avec le bailleur de fonds institutionnel. Le gouvernement a négocié pied à pied pour faire assouplir les mesures d'austérité draconiennes. Par exemple, nous voulions une protection sociale renforcée, et l'ajustement du régime fiscal. Nous avons pu aussi réduire la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les produits de première nécessité, notamment sur les fournitures éducatives essentielles et les médicaments. Les salaires ont été augmentés dans le secteur public. La paix sociale était à ce prix et elle est à mettre à notre crédit.Le problème avec l'ancien président qui avait négocié l'accord, ce n'était pas tant l'accord en soi qui posait problème, mais le fait que cet accord n'était pas soutenu par le peuple. Pour notre part, c'est fort du mandat du peuple srilankais que nous avons discuté avec le FMI, pour s'assurer que le fardeau de la dette soit équitablement partagé entre les différentes couches sociales du Sri Lanka. La morale de l'histoire, c'est que la stabilité économique ne peut être garantie sans la stabilité politique et sans le soutien du peuple pour l'application des réformes.Le président Dissanayake, tout comme vous, avez été élus sur une promesse de rupture avec le précédent régime. Comment définiriez-vous votre feuille de route ?On pourrait dire, pour simplifier, que notre feuille de route, c'est la réforme du contrat social entre citoyens et classe politique au Sri Lanka. Sur l'île, les années post-indépendance ont été marquées par une lutte acharnée entre l'élite et le peuple. Cette tension s'est manifestée de différentes manières, notamment à travers des conflits et des violences extrêmes qui ont ensanglanté notre histoire moderne. Je pense à la guerre de sécession dans le Nord, à l'insurrection de la jeunesse cinghalaise en 1971... Pour moi, le mouvement « Aragalaya », la grande révolution citoyenne de 2022, relève de cette même aspiration pour une société plus égalitaire. Notre feuille de route répond à cette aspiration en proposant de jeter les bases d'une relation renouvelée entre l'État et la population.La refonte de la relation entre l'État et la population passe par une réconciliation nationale entre la majorité cinghalaise et la minorités tamoule qui a subi des abus et des violations pendant la guerre civile. Votre camp qui a fait une percée spectaculaire dans le nord aux législatives est attendu avec impatience sur ce terrain. Où en êtes-vous dans votre réflexion sur la mise en place d'un mécanisme pour déterminer la responsabilité des violences perpétrées pendant les années de guerre civile ?Je ne sais pas si vous le savez, lorsque la guerre civile dans le nord a pris fin en 2009, le JVP s'est manifesté dès les premières heures qui ont suivi la fin des hostilités pour réclamer la création le plus rapidement possible d'une commission « Vérité et Réconciliation » sur le modèle sud-africain. Bien sûr, cette demande n'a pas été prise au sérieux à l'époque.Aujourd'hui, nous nous trouvons plusieurs années après la fin de la guerre. Il est à craindre que la mise en place aujourd'hui d'un mécanisme d'enquête pour connaître la vérité sur la guerre civile n'ouvre les vannes de la détresse en ravivant des souvenirs qui ont été soigneusement enterrés. Qui plus est, ces victimes ont raconté leurs histoires aux différents comités d'enquêtes mis en place au fil des ans. Ce que les gens veulent aujourd'hui, ce sont des actions concrètes à partir des informations et révélations déjà enregistrées. Nous voulons commencer ce processus de réparation dès cette année, en nous appuyant sur des logistiques existantes telles que le Bureau des Personnes Disparues et le Bureau de l'Unité Nationale et de la Réconciliation.Par ailleurs, il faut que nous nous assurions que tous les citoyens, indépendamment de leur appartenance ethnique et de leur religion, puissent pleinement bénéficier des projets de développement lancés par le gouvernement central. Pendant trop longtemps, les minorités dans le nord et à l'est ont été tenues à l'écart des programmes et des politiques de développement du gouvernement central. Nous œuvrons pour que désormais les projets du gouvernement central tiennent compte des besoins et des inquiétudes des citoyens qui vivent loin des bureaux des décideurs gouvernementaux.Au cours des cent jours écoulés, la politique étrangère a été l'un des principaux champs d'action du nouveau gouvernement srilankais. Le président Dissanayake s'est rendu en Inde en novembre, puis en Chine en janvier. Maintenant, il s'apprête à recevoir le Premier ministre indien Narendra Modi à Colombo. On a l'impression que vous vous êtes partagé les tâches diplomatiques : à vous le vaste monde et au président le voisinage compliqué…Les tâches sont partagées entre les 21 membres du gouvernement. C'est une répartition du travail particulièrement sophistiquée. Quant à ma visite en France, elle avait été décidée avant que la visite officielle du Premier ministre indien Modi ne soit finalisée. Je serai ensuite de retour au Sri Lanka pour accueillir avec mon président, le Premier ministre Modi que j'aurais déjà rencontré au sommet BIMSTEC qui se déroule cette année à Bangkok.La compétition entre l'Inde et la Chine pour asseoir leur domination sur Colombo n'est pas sans rappeler les rivalités anglo-russes en Asie centrale au début du siècle dernier. Comment votre petit pays insulaire vit-il cette nouvelle version du « Grand jeu » ?Voyez-vous, le Sri Lanka, historiquement, a toujours été, en raison de notre emplacement géostratégique, au centre d'intérêts concurrents. Les superpuissances ne nous ont jamais ignorés. Nous avons suscité la compétition, nous avons été un partenaire très recherché par les acteurs globaux et régionaux. Nous avons donc l'habitude de gérer des intérêts concurrents, sans oublier de s'assurer de notre propre sécurité au milieu de ce tumulte. La scène de théâtre de l'ombre où nous nous retrouvons aujourd'hui, dans le contexte d'émergence de superpuissances régionales, est très représentative de la manière dont le Sri Lanka a toujours dû à agir avec ses voisins et alliés. La Chine et l'Inde sont des pays avec lesquels nous avons des relations historiques sur plusieurs fronts : économiques, culturels, religieux, pour ne citer que ceux-là. Il y a eu entre nous des palimpsestes de relations commerciales, beaucoup de mouvements, beaucoup d'aller et retour. C'est ça, le Sri Lanka. Comme vous avez la réputation d'être une grande lectrice, je voudrais finir cette interview en vous demandant de partager avec nous vos goûts en littérature. Citez-nous trois livres qui vous ont passionnée.Je pense en premier à Brotherless Night de V.V. Ganeshananthan (Penguin Books, 2023), Le livre a remporté le Women's Prize for Fiction en 2024. C'est sans doute l'un des meilleurs livres sur le conflit sri-lankais que j'ai lus. Pendant longtemps, j'avais arrêté de lire des livres sur le conflit srilankais parce que je faisais un blocage psychologique par rapport à cette thématique. L'autre livre que j'ai lu avec fascination tout récemment, c'est Human Acts (Random, 2017) de la Sud-Coréenne Han Kang. C'était vraiment une lecture difficile, mais importante. En fait, j'ai lu à la fois Han Kang et Ganeshananthan. Ce sont deux approches très contrastées de la guerre et des événements traumatiques.Le troisième livre sur lequel j'aimerais attirer l'attention de vos lecteurs, n'est pas un roman. The Value of Everything est un essai de quelque 400 pages, sous la plume d'une économiste britannique, Mariana Mazzucato. Je déteste l'économie. Je devrais plutôt dire que je détestais l'économie, mais en me lançant dans la politique je me suis rendu compte que je ne pouvais plus ignorer l'économie. En fait, c'est l'essai de Mazzucato qui m'a fait vraiment aimer l'économie qu'elle raconte comme une histoire, comme une philosophie, comme un humanisme. Je relis régulièrement ce livre pour me rappeler que l'important, c'est la valeur qu'on attache aux choses et pas leur coût.
Ist Aufgeben wirklich Aufgeben?
Claudia Kessler ist Initiatorin der Initiative “Die Astronautin”. Dass die 29-Jährige Rabea Rogge mit einer Space-X-Rakete ins All fliegt, findet sie erstmal gut. Doch dass die Berlinerin von einem Krypto-Milliardär eingeladen wurde, sende das falsche Signal an junge Frauen. Kessler, Claudia www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
Fühlst du dich oft fremdbestimmt – obwohl du doch selbstständig bist? Dann kennst du wahrscheinlich diesen Reaktionsmodus nur zu gut: Kundenanfragen, spontane Aufgaben, Deadlines und Erwartungen von außen lenken deinen Tag, während deine eigenen Prioritäten auf der Strecke bleiben. In dieser Folge spreche ich darüber, wie du bewusst aus diesem Modus aussteigen kannst. Denn auch wenn ein gewisses Maß an Fremdbestimmung zum Arbeitsalltag gehört, liegt viel mehr Einfluss bei dir, als du vielleicht denkst. Der erste Schritt? Kontrolle zurückgewinnen – durch bewusste Entscheidungen, klare Grenzen und gezielte Planung. Ich zeige dir, wie du wieder das Steuer übernimmst, statt nur auf äußere Reize zu reagieren. Und wie du durch kleine Veränderungen – etwa Time-Blocking oder klare Kommunikationsregeln – spürbar mehr Selbstbestimmung in deinen Alltag bringst. Du musst nicht alles kontrollieren. Aber du solltest das Wichtige schützen – deine Zeit, deine Energie, deine Prioritäten. Links: Alle Infos zum Zeitnutzer Premium Podcast (Mehr zum Thema: „Fremdbestimmung beenden: So gewinnst du die Kontrolle über deinen Arbeitstag zurück“) Hast du Interesse an einer Zeit-Lupe bei mir? Dann kannst du hier einen Termin buchen.
Avec 1,45 milliard d'habitants, l'Inde est désormais devant la Chine le pays le plus peuplé de la planète et, à la différence de celle-ci, continue de voir sa population augmenter. L'Inde est, par ailleurs, la cinquième puissance économique mondiale. Narendra Modi, le très autoritaire et nationaliste dirigeant indien s'est fixé comme objectif de faire de l'Inde la 3è économie mondiale à l'horizon 2030 et d'en faire un pays développé d'ici à 2047, qui correspondra au centenaire de l'indépendance du pays.Le 14 février 2025, Narendra Modi rencontrait Donald Trump à Washington. Deux semaines plus tard, Ursula von der Leyen était reçue à New Delhi. Longtemps l'Inde s'est méfiée de l'Union européenne. New Delhi préférait négocier en bilatéral avec Paris ou Berlin, plutôt qu'avec Bruxelles. Mais les temps ont changé pour le géant asiatique comme pour l'Europe, chamboulée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Les deux blocs partagent la même faiblesse, leur dépendance à la Chine. La présidente de la Commission européenne s'est engagée avec le Premier ministre indien à finaliser un accord de libre-échange d'ici à la fin de l'année et à diversifier la coopération en l'ouvrant sur la sécurité et la défense. La Commission espère trouver dans le marché indien de nouveaux débouchés, notamment pour les voitures, les produits agricoles, le vin et les spiritueux. Une ère nouvelle est-elle en train de s'enclencher entre l'Inde et l'UE alors que l'Europe est le premier partenaire commercial de l'Inde devant les États-Unis et la Chine ? L'Inde reste un pays ultra-protectionniste. Le contexte international donnera-t-il le coup de pouce nécessaire pour dépasser les blocages ?Invités : Christophe Jaffrelot, expert associé à l'Institut Montaigne. Directeur de recherche au CNRS et au CERI de Sciences Po. Également professeur de politique et sociologie indiennes au King's India Institute de Londres. Co-auteur de « Les défis du Make in India » et « Les dynamiques régionales contrastées de l'Inde ». Institut Montaigne. Jean-Luc Racine, directeur de recherche émérite au CNRS. Chercheur senior à Asia Centre.
Ab 2026 sollen in Dänemark auch Frauen dienstpflichtig sein. Damit soll das Land fitter werden in der Verteidigung. Mit 25 Prozent hat Dänemark aber schon einen recht hohen Frauenanteil. Die Schweiz hat nur 1,6 Prozent. Welche Hürden stehen hier im Weg? «Bisher müssen sich junge Frauen gar nicht mit der Frage befassen», sagt Selina Berner in dieser Podcast-Folge. Sie ist in der Bundeshaus-Redaktion der NZZ, schreibt über Schweizer Sicherheitspolitik und leistet selbst Dienst. Sie macht die Weiterbildung zur Fachoffizierin in der Logistikbrigade. «Aber es liegt natürlich nicht nur daran, dass der Dienst für Frauen freiwillig ist. Es stellt sich auch die Frage nach der Sinnhaftigkeit. So liegt der Frauenanteil in der Friedensförderung, bei den Swisscoy-Angehörigen im Kosovo, bei rund 15 Prozent, also bedeutend höher», sagt Berner. Es gehe also auch darum, wie sich die Armee darstelle, wenn sie für Frauen attraktiv sein wolle. Dann gebe es auch ganz konkrete Probleme: Die Kasernen seien auf grosse Gruppen von Männern ausgelegt, es sei nicht einfach, genügend Schlafplätze für Frauen zu finden. «Und die Kleidung ist nicht auf Frauen zugeschnitten», sagt Selina Berner, «und das kann sicherheitsrelevant sein. Wenn etwa eine Splitterschutzweste nicht der weiblichen Brust angepasst ist und deshalb nicht richtig sitzt.» Es sei deshalb fraglich, ob die Schweizer Armee ihr Ziel erreiche, den Frauenanteil auf 10 Prozent zu steigern. «Es wird auch darauf ankommen, welche Priorität der neue Verteidigungsminister Martin Pfister der Frauenförderung gibt.» Dänemark hat diese Probleme weniger. Dort melden sich so viele freiwillige Männer und Frauen für den Dienst, dass in der Regel niemand unter Zwang rekrutiert wird. «Der Verteidigungswille ist grösser, eine mögliche Bedrohung durch Russland ist näher», erklärt SRF-Nordeuropakorrespondentin Felicie Notter. Die Ausweitung der Wehrpflicht auf Frauen sei deswegen auch kaum umstritten. ____________________ Habt Ihr Fragen oder Themen-Inputs? Schreibt uns gerne per Mail an newsplus@srf.ch oder sendet uns eine Sprachnachricht an 076 320 10 37. ____________________ In dieser Episode zu hören: - Selina Berner, NZZ-Bundeshausredaktorin - Felicie Notter, SRF-Nordeuropakorrespondentin - Dominique Schären, Offizierin in der Schweizer Armee ___________________ Team: - Moderation: Isabelle Maissen - Produktion: Peter Hanselmann - Mitarbeit: Can Külahcigil ____________________ Das ist «News Plus»: In einer Viertelstunde die Welt besser verstehen – ein Thema, neue Perspektiven und Antworten auf eure Fragen. Unsere Korrespondenten und Expertinnen aus der Schweiz und der Welt erklären, analysieren und erzählen, was sie bewegt. «News Plus» von SRF erscheint immer von Montag bis Freitag um 16 Uhr rechtzeitig zum Feierabend.
Peace Matters - A Podcast on Contemporary Geopolitics and International Relations
In dieser Episode werfen wir einen Blick auf die geopolitischenEntwicklungen rund um China, sowohl aus westlicher als auch aus chinesischer Perspektive. Wie nimmt China seine Rolle in einer sich verändernden Weltordnung wahr? Wir beleuchten, wie China nicht nur militärische „Hardpower“ einsetzt,sondern auch mit „Softpower“ – durch wirtschaftliche Initiativen wie die „Belt and Road Initiative“ (1B1R) – globalen Einfluss gewinnt. Welche Auswirkungen hat dies auf Afrika und andere Regionen, die die Lücken westlicher Hilfe wie USAID füllen? Und wie sieht China selbst seine geopolitischen Ziele?Ein wichtiger Teil der Diskussion ist auch, wie sich die Beziehungen zwischen Europa und China entwickeln. Was bedeutet die Entfremdung zwischen den USA und dem Westen für das Verhältnis Europas und China? Welche wirtschaftlichen, politischen und gesellschaftlichen Prioritäten haben die Menschen in China, und wie sehen sie die EU und die USA? Dabei gehen wir auch auf die unterschiedlichen Perspektiven zu Menschenrechten, sozialer Gerechtigkeit und wirtschaftlicher Entwicklung ein.Abschließend betrachten wir die Frage, wie Europa mit China umgehen sollte – pragmatisch und strategisch, um einelangfristige Partnerschaft zu fördern und dabei die eigene Autonomie zu wahren. Ziel ist es, ein differenziertes Bild von China zu zeichnen, das über die Mainstream-Narrative hinausgeht und auch die Perspektive der Menschen in Chinaeinbezieht.Gäste:Thomas Eder ist Post-Doc Researcher am Österreichischen Institut für Internationale Politik (ÖIIP). Zu seinen Forschungsschwerpunkten gehören: Chinas Außen- und Sicherheitspolitik, China und Völkerrecht, sowie europäische und US-amerikanische China-Politik. Er hat zu diesen Themengebieten zwei Bücher, und zahlreiche Artikel und Analysen verfasst und kommentiert regelmäßig in nationalen und internationalen Medien. Vor seiner Zeit am oiip, hat er bei internationalen Think Tanks, an den Universitäten Wien und Hongkong, und im österreichischen Außenministeriumgearbeitet. Er hat an der Universität Wien, der Peking Universität und der Universität Hongkong studiert, war Gastforscher an der Academia Sinica und der NYU, und hat in China mehrfach Feldforschung betrieben.Lukas Weber beschäftigt sich seit 20 Jahren mit China. Als studierter Sinologe setzte er sich auch in einem Philosophie- sowie einem MBA-Studium schwerpunktmäßig mit China auseinander. Sein Fokus liegt auf den kulturellen Unterschieden zwischen abendländischer und chinesischer Weltanschauung, deren Ausprägung in der heutigen Gesellschaft und die damit verbundenen politischen Implikationen. Neben seiner Arbeit für die Austrian Chinese Business Association verbrachte Lukas Weber mehrere Jahre in China, in denen er das Land quer durch alle Gesellschaftsschichten vom Wanderarbeiter bis zum Vorstand von Huawei kennenlernte, und in all seinen Facetten, von tibetischen Schafzüchtern bis zum Golfclub von Shenzhen zu durchdringen trachtete.Moderation:Stephanie Fenkart, Direktorin des IIPDiese Folge wurde am 25. März mit der Unterstützung des Zukunftsfonds Österreich aufgezeichnet.
Sous la pression des lobbies écologistes, à Paris et à Bruxelles, nous avons déjà fait une première fois, sous François Hollande, le choix insensé de sacrifier l'atome français. Allons-nous commettre la même faute ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le paiement numérique est de plus en plus répandu sur le continent. Paiement sans contact, paiement en ligne, transferts d'argent : « Les entreprises et les consommateurs adoptent de plus en plus ces solutions, pointe le site d'information malien Malijet. L'économie des paiements numériques en Afrique est appelée à se développer de plus en plus, selon un rapport commandé par Mastercard, qui indique que ces paiements devraient atteindre 1,5 milliard de dollars d'ici à 2030. » Autre chiffre fourni par Malijet : « Selon la Banque mondiale, l'Afrique a effectué environ 100 milliards de dollars de transferts de fonds en 2023, ce qui représente environ 6 % du PIB du continent. »Les commerçants impactés par des taxesAlors certains États ont décidé de taxer ces mouvements de fonds, dont le Mali. En effet, note Sahel Tribune, autre site malien, « le gouvernement a récemment instauré plusieurs taxes qui affectent directement les consommateurs et les acteurs du commerce digital, créant ainsi un impact considérable sur l'économie numérique. Parmi les principales mesures, on note une taxe de 10 % sur les recharges téléphoniques, qui réduit directement le montant crédité aux utilisateurs. Par exemple, une recharge de 1 000 francs CFA ne crédite plus que 900 FCFA, ce qui pénalise les utilisateurs réguliers de services mobiles. De plus, une taxe de 1 % sur les retraits via mobile money a été introduite, rendant les transactions financières plus coûteuses pour les commerçants et les consommateurs. »Résultat, pointe encore Sahel Tribune, « depuis l'entrée en vigueur des nouvelles taxes sur les télécommunications au Mali, de nombreux commerçants en ligne peinent à joindre les deux bouts ».Les consommateurs pénalisés égalementLes consommateurs, également, sont pénalisés. « L'introduction récente de la taxe de 10 % sur les recharges et de 1 % sur les retraits suscite une vive controverse parmi les utilisateurs, relève Mali Actu. Si le gouvernement justifie ces mesures par la nécessité de renforcer les finances publiques pour investir dans des infrastructures, de nombreux Maliens y voient une charge supplémentaire pesant sur leur pouvoir d'achat, déjà fragilisé par le contexte économique. Le débat fait rage, pointe encore le site malien : ces taxes sont-elles un mal nécessaire pour le développement, ou risquent-elles de freiner l'essor du mobile money ? »Et attention, prévient encore Mali Actu, « cette hausse des coûts pourrait inciter certains consommateurs à se tourner à nouveau vers les paiements en espèces ou les circuits informels. Si cette réaction est compréhensible, elle n'est pas sans risque, exposant les utilisateurs à des fraudes et à un manque de recours en cas de litige. L'expérience d'autres pays africains ayant instauré des taxes similaires suggère un possible repli temporaire vers l'économie informelle. »À la hussarde ?Le National, toujours à Bamako, hausse le ton : ces « taxations ont été rendues effectives à la hussarde, pour ne pas dire à la force des baïonnettes, en l'espace d'un petit mois, avec des justifications déroutantes. Il a été d'abord prétendu que ces nouvelles taxes serviraient à régler, pour de bon, le problème énervant des coupures de courant. Puis des terminologies savantes sont venues au secours pour expliquer que les produits récoltés serviront à financer des infrastructures indispensables à la souveraineté. »En tout cas, « pour éviter un rejet massif du mobile money, les autorités maliennes ont un rôle clé à jouer, affirme Maliweb. Elles doivent renforcer la communication sur l'utilité de ces taxes et leurs bénéfices pour la population. En expliquant comment ces fonds seront utilisés – amélioration des services publics, digitalisation de l'économie, développement d'infrastructures – elles peuvent apaiser les craintes et encourager l'adhésion. »Priorité aux dépenses de défenseReste que « les militaires au pouvoir à Bamako ne s'attendaient sûrement pas à ce qu'une nouvelle taxe devienne un tel sujet de crispation », relève pour sa part Le Monde Afrique. « Le sujet est à la Une des journaux et dans la bouche des commentateurs, remettant en tête des préoccupations le sujet lancinant du coût de la vie. (…) Les partis politiques sont également mobilisés. » De leur côté, les militaires sont à la recherche de financements : « la défense continue de mobiliser le quart des dépenses publiques, note encore Le Monde Afrique. Et cette année, le budget de l'Agence nationale de la sécurité d'État, les services de renseignement, augmente encore ».
Ist Eltern sein ein Karriere Booster oder eher ein Karriereknick? Gemäss einer Studie der IU Hochschule (Vereinbarkeitsstudie 2023) fördert Elternschaft "Future Soft Skills", die im Arbeitsmarkt von morgen besonders gefragt sind. Gemäss der Studie profitieren auch die Führungskompetenzen der Eltern, weil Fähigkeiten wie Konfliktlösung, Empathie und Flexibilität im Familienalltag täglich geübt werden. Auch Sabine Hanke ist davon überzeugt, dass gerade Mütter prädestinierte Führungskräfte sind. Sabine ist Soziologin und seit mehr als 10 Jahren Führungskraft und hat tagtäglich mit Führung zu tun im Rahmen ihrer Tätigkeit als Personalleiterin. In ihrer Rolle als Mutter ist ihr bewusst geworden wie uns die Fähigkeiten, die wir als Mütter oder Väter bei der Kindererziehung erwerben, in der Führungsrolle helfen können. In ihrem Buch "Eltern führen besser!" schreibt sie u.a. über 7 Skillsets, die aus Müttern und Vätern Top Führungskräfte machen. In der heutigen Folge von Power ON erzählt sie uns: Warum aus ihrer Sicht Mütter die prädestinierten Führungskräfte sind Welche Führungsfähigkeiten, wir als Eltern quasi automatisch durchs Elternsein mitbringen und uns in der Führung helfen Warum es aus ihrer Sicht wichtig ist mehr Mütter in Führungspositionen zu haben Was sie Müttern empfehlen würde, die an ihren eigenen Fähigkeiten zweifeln Was ihr hilft Job und Familie zu vereinbaren Hör rein und lass dich inspirieren und erzähl mir auch gerne in den Kommentaren was deine Erfahrung dazu ist. Ist Eltern sein im Bezug auf deinen Job ein Karriere Booster oder eher ein Karriereknick? Oder vielleicht etwas ganz anderes? Schön, dass es dich gibt und Danke, dass du Hörer/-in von Power ON bist. Power ON! Deine Elisabeth Folge Sabine auf LinkedIn: Und hier findest du Sabines Buch: Eltern führen besser!: 7 Skillsets, die aus Müttern und Vätern Top-Führungskräfte machen ---- Jeden zweiten Donnerstag eine neue Folge von Power On Möchtest du wieder Priorität im eigenen Leben sein?Dann kannst du dich hier für meinen online Kurs: Hol dir deine Power zurück anmelden Let's keep in touch Lass mir gerne auch eine Rezension zum Podcast da. Danke, dass du den Podcast hörst, weiterempfiehlst und bewertest! Es ist immer wieder so schön, eure Rezensionen zum Podcast zu lesen.
Zeit ist die einzige Ressource, die wir niemals zurückholen können. Aber wir können lernen, sie optimal zu nutzen!
Wir sprechen viel über Erfolg – in Podcasts, auf Social Media, im Job. Aber was, wenn der Weg nach oben nicht nur aus Ehrgeiz, Talent, Mindset und Motivation, sondern auch aus Verzicht, unbequemen Entscheidungen und klaren Prioritäten besteht? In dieser Folge sprechen wir mit Annahita Esmailzadeh und Swantje Allmers über die Realität hinter steilen Karrieren: Warum Fachwissen allein oft nicht reicht, wie wichtig Netzwerke wirklich sind und weshalb echte Weiterentwicklung erst beginnt, wenn wir uns mit unseren inneren Glaubenssätzen konfrontieren. Eine Folge für alle, die sich mit ihrer beruflichen Entwicklung bewusst auseinandersetzen wollen – ehrlich, reflektiert und ungeschönt. Foto: Dirk Brunecki
De la littérature à la musique en passant par le stand-up, la richesse de la culture libanaise a été mise à l'honneur lors de l'édition 2025 de la Journée de la langue française et de la Francophonie à New York.Parmi les moments les plus marquants, le concert pour la paix de la Francophonie avec le trompettiste de génie Ibrahim Maalouf, qui s'est tenu au Lycée Français de New York. Ce concert intime, véritable vitrine de la chanson française, a été fortement participatif, l'audience étant sommée à se joindre sans réserve à la douce et puissante voix de Hiba Tawaji, tandis que la trompette à quatre pistons de M. Maalouf les transportait.De « Papaoutai » à « La Bohème », tous ont pu se remémorer les paroles et mélodies qui les ont accompagnés à différents moments de leur vie, ravivant des époques désormais lointaines voire révolues.ONU Info a eu l'occasion de rencontrer le musicien, compositeur et maestro de la soirée pour discuter de l'importance de ce concert et de son art.M. Maalouf a expliqué que l'une des choses qu'il adore dans ses concerts, c'est qu'ils rassemblent des personnes aux convictions politiques, religieuses et opinions différentes, leur permettant de partager « un moment fort émotionnel, tous ensemble ».Il encourage chacun à assister à des concerts ou à apprendre un instrument afin de développer son langage musical. « Plus nous développons notre langage artistique musical, plus nous sommes nombreux à militer pour une bienveillance et une empathie universelles ».(Interview : Ibrahim Maalouf, trompettiste et compositeur ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Au Sénégal, le candidat d'opposition Bassirou Diomaye Faye remportait la présidentielle dès le premier tour avec 54 % des voix il y a un an jour pour jour. Un an plus tard, où en est la rupture promise par le parti Pastef et quels sont les principaux changements revendiqués par le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko ? Ayib Daffé est le secrétaire général du parti, dont il est aussi député et chef du groupe parlementaire. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ayib Daffé, quels sont, pour vous, les premiers changements tangibles que le Pastef a apportés au Sénégal ?Ayib Daffé : Les premiers changements tangibles sont d'abord dans la gouvernance. Conformément à son engagement, le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye a inscrit la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption comme une priorité de sa politique en transmettant une lettre aux fonctionnaires du pays, pour les exhorter à la ponctualité, au respect du bien public, à l'efficacité et au respect de la hiérarchie. Donc, sur ce plan-là également, il a eu à organiser des assises de la justice sur la modernisation et la réforme de la justice au Sénégal. Et par ailleurs, il a eu aussi à publier tous les rapports des corps de contrôle qui étaient transmis à son prédécesseur depuis près d'une dizaine d'années et qui n'étaient pas publiés, contrairement aux textes qui les encadrent. Il a eu également à faire un audit sur la gestion des finances publiques par son prédécesseur, notamment à la période entre 2019 et 2024. Et c'est cet audit qui a permis de révéler une situation très peu reluisante de nos comptes publics avec un déficit à 12% du PIB, alors que les chiffres qui étaient présentés parlent d'un déficit à 5%. Donc, une véritable catastrophe budgétaire, si on peut parler ainsi, et ça a permis d'avoir une situation réaliste. Donc, en très peu de temps, il a eu à concrétiser sa vision et à développer la stratégie de développement.À lire aussiSénégal: un an après l'élection de Bassirou Diomaye Faye, le pays est-il entré dans une nouvelle ère?Suite au dernier rapport de la Cour des comptes, vous dites que l'ancien président Macky Sall, qui vit actuellement au Maroc, va être convoqué par la justice sénégalaise, mais celui-ci, dans une interview à Jeune Afrique, réplique qu'il n'est responsable d'aucune falsification et que tout ceci est ridicule.Bon, je pense que la Cour des comptes est une institution. Donc, c'est la parole de Macky Sall contre celle de la Cour des comptes. Et la Cour des comptes, c'est la loi qui lui confère cette mission-là. Donc, je ne vois pas comment on peut remettre en cause un rapport de la Cour des comptes. Ce n'est pas sérieux, ce n'est pas crédible. Maintenant, il est dans son rôle d'homme politique de défendre son bilan, son mandat, mais la réalité est qu'il y a un désastre budgétaire, il y a un désastre financier. On parle vraiment d'une catastrophe sur le plan budgétaire. Parce que, par exemple, on nous a révélé qu'il y a plus de 2500 milliards de francs CFA qui ont été empruntés auprès des banques de la place, alors que l'Assemblée nationale n'a pas donné d'autorisation, l'Assemblée nationale n'a jamais été informée. Donc, cette dette cachée et beaucoup d'autres irrégularités sont aux antipodes de la bonne gouvernance. Sa responsabilité politique est effectivement engagée. Bon, maintenant, je n'ai pas entendu dire qu'il sera convoqué par la justice, parce que, comme vous le savez, la Constitution stipule que le président de la République ne peut être poursuivi que pour haute trahison et devant la Haute Cour de justice. Donc, cela n'est pas encore le cas. Et si cela devait l'être, ce serait conformément à la Constitution, aux lois et aux règlements du Sénégal.Oui, mais le porte-parole du gouvernement, Moustapha Ndjekk Sarré, a dit sur RFM qu'inévitablement, le président Macky Sall fera face à la justice ?Effectivement, il a eu à le dire, mais lorsqu'il le disait, il a eu à préciser que, quand il le disait, il ne s'agissait pas de la version du gouvernement, mais il parlait en tant qu'homme politique.À votre arrivée au pouvoir, Ayib Daffé, vous avez promis que les accords du Sénégal avec les compagnies qui doivent exploiter le gaz et le pétrole offshore seraient réévalués. Mais un an plus tard, toujours rien. Si jamais les contrats ne sont pas renégociés, est-ce que vous ne risquez pas de décevoir vos électeurs ?Je pense que le travail de renégociation des contrats, c'est un processus qui est entamé. Ce n'est pas un travail qui se fait du jour au lendemain. Et en accord avec les compagnies, il y a des négociations qui se déroulent et qui devraient aboutir bientôt à des résultats.Avec BP, British Petroleum ?C'est tous les contrats qui sont concernés, parce qu'il y a une revue des contrats qui est faite par le ministère de l'Énergie. Et maintenant, pour BP, le contrat concerne aussi bien le Sénégal que la Mauritanie. Et je pense que le Premier ministre, Ousmane Sonko, a eu à faire plusieurs voyages en Mauritanie, et le ministre de l'Énergie également. La Primature a mis en place un comité pour la renégociation de tous ces contrats stratégiques. Mais d'abord la revue et ensuite la renégociation.À lire aussiSénégal: qui est Bassirou Diomaye Faye, passé en un éclair de la prison à la présidence?
durée : 00:24:02 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - "La lutte contre l'antisémitisme est une priorité dès lors qu'on défend la République", soutient Gabriel Attal, président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale, secrétaire général du parti Renaissance, après l'agression du rabbin d'Orléans.
durée : 00:24:02 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - "La lutte contre l'antisémitisme est une priorité dès lors qu'on défend la République", soutient Gabriel Attal, président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale, secrétaire général du parti Renaissance, après l'agression du rabbin d'Orléans.
Capellan, Frank www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
« La vie, c'est comme une boîte de chocolats. On ne sait jamais sur quoi on va tomber ». Cette célèbre réplique du film Forrest Gump est devenue la phrase préférée d'Antonio Marshall, qui se fait appeler le « Forrest Gump Chilien » sur ses réseaux sociaux. Ce marathonien de 41 ans court vêtu exactement de la même façon que le célèbre personnage interprété par Tom Hanks. Souvent, des personnes l'accompagnent lors de ses footings et de ses courses, et il en profite pour faire passer des messages de respect et de tolérance. De notre correspondante à Santiago,Tout commence pendant la pandémie de Covid. En télétravail chez lui, Antonio Marshall se laisse pousser la barbe et les cheveux. Un jour, alors qu'il fait son footing, un passant lui fait remarquer sa ressemblance avec « ce célèbre personnage de film qui court sans s'arrêter ».« Quand ils ont annoncé le retour du marathon de Santiago, j'ai repensé à ce que m'a dit ce monsieur et j'ai eu l'idée de faire la course, déguisé en Forrest », se rappelle Antonio. En quelques clics, il achète la casquette Bubba Gump, le tee-shirt jaune, le short rouge ainsi que les baskets blanches. Après quelques hésitations, il sort finalement inaugurer son costume avec sa grande touffe de cheveux et sa longue barbe.« Dès les premiers mètres, une publication Twitter disait que Tom Hanks était au Chili, et ça s'est viralisé », s'exclame le coureur. Antonio a même appris certaines répliques du film par cœur et il a adopté la façon de courir de Forrest Gump : « L'idée, c'est de représenter le personnage de la manière la plus authentique possible, pour que les gens, même 30 ans après la sortie du film, sentent la présence de Forrest Gump, qu'il est toujours d'actualité. »« Je crois que la normalité, c'est d'être différent »Mais au-delà du déguisement, il s'identifie lui-même à Forrest Gump, ce personnage souvent moqué à cause de son autisme. Antonio, lui, était un enfant timide : « Ça a été très dur en primaire, entre 8 et 12 ans. On me donnait de méchants surnoms. Alors, je jouais seul. Quand les gens ne connaissent pas la vie des autres, ils inventent. » Depuis qu'Antonio incarne Forrest, il a acquis de la visibilité sur les réseaux sociaux. Il en profite alors pour faire passer des messages contre le harcèlement et sensibiliser à l'autisme. « Je crois que la normalité, c'est d'être différent, défend-il. Donc, à partir de là, il faut tolérer et respecter les différences, les valoriser. Chaque différence, chaque individualité, a un potentiel. »Lors de sa dernière course de l'année à Santiago, plus de 80 personnes ont couru à ses côtés. Certain avec des bonnets de Noël, d'autres des chapeaux de lutins. « On aime la cause qu'il défend donc on a décidé de l'accompagner aujourd'hui », explique Karina, rejointe par Paola : « On a des proches qui sont atteints d'autisme, avec différents types de handicap, c'est pour ça qu'on est là. »Une autre participante, Gloria, confie avoir adoré le film Forrest Gump : « Quand j'ai vu Antonio, j'ai dit "Wouah !" Donc, à chaque fois qu'il participe à une course, on y va. » Un autre coureur, Hernan, renchérit : « Il est iconique, il s'habille comme lui… On a envie de le suivre ! »La course commence et une participante crie : « Cours Forrest, cours... »À écouter dans Priorité santéLe «Silence des Justes»: quelle prise en charge pour les porteurs d'autisme?
Il parle d'une voix calme et tranquille, mais sous chaque intonation percent les convictions et une passion pour son métier, qu'il Sur le papier un destin de cadre sup à La Défense l'attendait à la sortie de son école de commerce. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. Et 10 ans plus tard, Benjamin Ferré s'est retrouvé au départ du Vendée Globe, bouclé en un peu moins de 85 jours, premier bateau à dérives.En retraçant son parcours, on comprend que la route initiale n'était pas aussi tracée que cela. Pas beaucoup de bateau pendant sa jeunesse, mais beaucoup de sport ; un tour du monde en stop pendant son année de césure - quand ses camarades de promo enchaînaient les stages - dont il revient changé ; une traversée de l'Atlantique au sextant avec des copains ; une expérience en start-up et très vite le goût de l'entrepreneuriat, puisqu'il crée sa boîte et multiplie les projets.Et puis, un jour à Paris, un dîner avec un concurrent de la Mini Transat, rencontré par hasard, va tout changer. Il se lance dans la préparation de l'édition 2019 en rachetant le bateau de Clarisse Crémer. Tout aurait pu s'arrêter en 2018 avec une double hernie discale, mais il surmonte l'obstacle, progresse à vitesse grand V pour finir par décrocher un podium en bateau de série.S'il se fait plus discret ensuite, c'est qu'il réfléchit avec beaucoup de méthode au Vendée Globe. En est-il capable ? Un dîner avec Jean Le Cam va faire tomber la dernière barrière et sceller entre les deux hommes une relation forte et durable. Après des mois de travail, il trouve de quoi acheter l'ancien Banque Populaire avec lequel Clarisse Crémer vient de terminer son premier Vendée Globe et signe avec Monnoyeur.La marche est haute, mais comme pour la Mini Transat, Benjamin Ferré va beaucoup travailler et beaucoup naviguer, enchaînant les courses et les performances pendant les 2 années de préparation. Résultat : un Vendée Globe marqué par une bataille homérique avec Tanguy Le Turquais, qu'il devance de 16 minutes pour la première place des "dériveurs".Et maintenant ? Priorité aux proches, la famille, les amis. Mais l'homme de projets, devenu marin, a beaucoup d'envies, et pas que dans la voile...Diffusé le 21 Mars 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In dieser Predigt spricht Leo Bigger über die Herausforderungen von Stress und Druck im Alltag. Fühlst du dich manchmal überwältigt? Leo zeigt dir, wie du mit Gottes Hilfe durchhalten kannst. Er erinnert daran, dass Jesus in Matthäus 11:28-30 sagt: "Kommt alle zu mir, die ihr mühselig und beladen seid." Diese Einladung ist ein Versprechen der Erleichterung. Leo ermutigt dich, dein Herz auszuschütten und deine Sorgen Gott anzuvertrauen. Stell dir vor, wie du deine Lasten ablegst und Freiheit erlebst. Praktische Tipps helfen dir, im Alltag standhaft zu bleiben. Hast du schon mal darüber nachgedacht, wie du deine Prioritäten setzen kannst, um inneren Frieden zu finden? Lass dich von Leos Worten inspirieren und entdecke, wie du mit Gottes Kraft gestärkt wirst.
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Auf den neuen Bundesrat Martin Pfister wartet viel Arbeit. Im Verteidigungsdepartement reissen die Negativschlagzeilen nicht ab. Und auch aussen- und sicherheitspolitisch bleibt kein Stein auf dem anderen. Wie soll sich die Schweiz positionieren? Das Parlament hat gewählt: Martin Pfister ist neuer Bundesrat. Er tritt per Anfang April die Nachfolge von Viola Amherd an. Im freiwerdenden Verteidigungsdepartement warten zahlreiche Baustellen auf den neuen Bundesrat. Wo soll Martin Pfister nun Prioritäten setzen? Nebst innenpolitischen Herausforderungen sieht sich Martin Pfister auch mit den rasanten geopolitischen Verschiebungen der Machtverhältnisse konfrontiert. Die EU-Staaten rüsten angesichts des zerrütteten transatlantischen Verhältnisses massiv auf – der Fokus liegt auf der eigenen Verteidigungsfähigkeit. Was heisst das für die Schweiz? Muss sie ebenfalls aufrüsten? Und welche Rolle spielt die Zusammenarbeit mit der Nato? Zu diesen Fragen begrüsst Sandro Brotz am 14. März 2025 in der «Arena»: – Monika Rüegger, Nationalrätin SVP/OW; – Elisabeth Schneider-Schneiter, Nationalrätin Die Mitte/BL; – Damian Müller, Ständerat FDP/LU; und – Sibel Arslan, Vizepräsidentin Grüne.
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il reçoit le député RN des Bouches-du-Rhône et vice-président du groupe RN à l'Assemblée, Franck Allisio pour évoquer la réunion du président de la République, Emmanuel Macron qui réunit les chefs d'état-major de l'UE et l'OTAN à Paris pour définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et renforcer la défense de l'Europe. Dans un second temps, ils se penchent notamment sur l'expulsion de l'influenceur "Doualemn", ou la commission d'expulsion de l'Hérault a un avis favorable à son expulsion, ou encore sur la situation sécuritaire inquiétante à Marseille.
durée : 00:10:18 - Journal de 9h - Une nouvelle aide militaire française à l'Ukraine : 195 millions d'euros grâce aux intérêts des avoirs russes gelés. Annonce du ministre des Armées, Sébastien Lecornu, qui détaille par ailleurs les besoins urgents de nos forces pour s'adapter aux incertitudes géopolitiques.
Aujourd'hui, Marie-Sophie Bufarull, Didier Giraud et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nur fünf Tage nach der Bundestagswahl beginnen Union und SPD mit vertraulichen Gesprächen zur Bildung einer Regierung. Was sind Gemeinsamkeiten, Prioritäten und Knackpunkte? Wird man ein Bundeswehr-Sondervermögen noch mit dem alten Bundestag anpacken? Münchenberg, Jörg; Hamberger, Katharina; Capellan, Frank