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C dans l'air du 10 octobre 2025 - Macron : un dernier Premier ministre… avant dissolution ?Le temps presse et Emmanuel Macron le sait. Le président doit impérativement nommer un Premier ministre pour respecter les délais d'examen du budget au Parlement (70 jours minimum). Une vingtaine de chefs des partis politiques, en dehors du RN et de LFI non conviés, ont donc rencontré le chef de l'État en début d'après-midi pour "un moment de responsabilité collective", selon les mots de l'Élysée. Plusieurs noms circulent, à l'instar de l'ancien ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo, du premier secrétaire du PS Olivier Faure ou encore un profil issu de la société civile comme Laurent Berger. Mais ces dernières heures, c'est Sébastien Lecornu qui semblait tenir la corde, malgré sa difficulté à élargir un socle commun déjà abîmé. L'évocation de son nom a d'ailleurs suscité une levée de boucliers : "Je ne comprendrais pas qu'il y ait une renomination", a affirmé la ministre démissionnaire de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, tandis que Gabriel Attal a appelé le président à "ne pas donner le sentiment de s'acharner".Une chose est sûre, les députés macronistes ont pris un coup sur la tête cette semaine lorsque l'ancienne Première ministre Elisabeth Borne s'est dite ouverte à une suspension de la réforme des retraites. Dans les groupes What'sapp de la majorité, le débat fait rage sur l'attitude à adopter face à cette déclaration. Faut-il geler la réforme des retraites pour bénéficier de l'appui des socialistes sur le vote du budget, quitte à "dilapider l'héritage" des macronistes et à "mettre en péril l'équilibre des finances publiques" ? Mercredi soir, Sébastien Lecornu avait prudemment ouvert la porte au débat lors de son interview sur France 2 : "De toute évidence, il y a une attente". Quelques députés, comme Céline Calvez (Haute-Seine) en appellent au pragmatisme : "Notre propre héritage, il n'en restera rien si nous loupons cette dernière chance de compromis avant la dissolution".Pendant que le gouvernement se déchire sur les retraites, beaucoup de Français continuent de se serrer la ceinture en fin de mois, comme l'a constaté une équipe de C dans l'air qui s'est rendue dans un relais-routier des Yvelines. "Je ne me plains pas. J'ai quand même un bon salaire. Mais on ne part plus en vacances. Et c'est toujours la classe ouvrière qui trinque", se plaint un client attablé avec sa femme. Même constat pour le gérant du restaurant. Son quotidien ? Des cartes bleues qui ne passent pas à la caisse : "Il y a de plus en plus de gens qui sont à compter les fins de mois (...) Nous on le voit plus qu'avant", raconte-il.Qui sera nommé Premier ministre ? Les macronistes peuvent-ils lâcher la réforme des retraites pour élargir leur base et permettre le vote du budget ? Comment les Français vivent-ils cette crise politique qui n'arrange rien aux finances publiques ?LES EXPERTS :- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Pauline DE SAINT REMY - Directrice adjointe de la rédaction - Politico- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
Ce jeudi 9 octobre, Laurent Gerra a notamment imité Elisabeth Borne, Bruno Le Maire et Jean Lassalle. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 09/10/2025 De la prison à la cour constitutionnelle, le parcours exemplaire du sud-africain Albie SachsGrande figure de la Justice, Robert Badinter, avocat de l'abolition de la peine de mort en France en 1981, entre ce jeudi au Panthéon. Un bel hommage pour ce défenseur des droits humains auquel a voulu assister Albie Sachs, ancien juge de la Cour constitutionnelle d'Afrique du Sud et contributeur de la rédaction de la première Constitution post-apartheid. Âgé de 90 ans, cet avocat intraitable et ami de Robert Badinter, a fait de sa vie un combat pour la justice. Né de parents engagés à gauche, il décide de devenir avocat pour défendre les victimes de l'apartheid. En 1963 puis en 1966, il est incarcéré en vertu de la loi sud-africaine dite des 90 jours, qui permet au régime d'emprisonner ses opposants et de les placer à l'isolement en dehors de toute procédure judiciaire. Mais cela ne l'empêche pas de poursuivre sa lutte au point d'être victime d'un attentat terroriste au Mozambique en 1988, lors duquel il perd son bras droit et son œil gauche. Il est notre invité ce soir et livre un poignant témoignage dans “Notre histoire mérite une fin heureuse”, son journal de prison. Le texte date de 1966 mais est enfin édité en français par les éditions Premier Parallèle. Crise politique : un budget pour la France quoi qu'il en coûte ? La possibilité d'un budget voté d'ici la fin de l'année n'est pas totalement abandonnée. C'est en tout cas ce que semble vouloir indiquer Emmanuel Macron. Hier soir, l'Elysée a, en effet, annoncé que le président de la République allait nommer d'ici 48 heures un nouveau premier ministre. Une condition sine qua non pour former un gouvernement et faire adopter dès lundi en Conseil des ministres un budget “qui ne sera pas parfait”, disait hier Sébastien Lecornu sur France 2. Il faut dire que le temps presse car le gouvernement a jusqu'au 13 octobre pour déposer ce budget. Bien que Sébastien Lecornu ait concédé une baisse de l'objectif de déficit public, le geste n'est pas suffisamment convaincant pour le Parti socialiste qui en appelle à des “concessions” dont la suspension de la réforme des retraites. Même Elisabeth Borne, qui a fait adopter cette réforme par 49.3, est prête à la suspendre “si c'est la condition de la stabilité du pays”. Un casus belli pour une partie de la droite et quelques députés macronistes. Hier soir, Sébastien Lecornu a notamment expliqué qu'une suspension de la réforme des retraites coûterait au moins 3 milliards d'euros en 2027, soit 0,1% du PIB. Mais la crise politique, qui se poursuit depuis la dissolution de juin 2024, a aussi un coût : selon l'OFCE, qui a évalué les effets de l'incertitude ambiante, la facture se chiffrera à la fin 2025 à 15 milliards d'euros.On en débat avec Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste chez BDO France, Anne-Laure Delatte, économiste, directrice de recherche au CNRS et Amir Reza-Tofighi, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME).Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'exposition de la Cinémathèque consacrée au cinéaste et génie : Orson Welles, mort il y a 40 ans. Marie Bonnisseau nous emmène dans les falaises espagnoles, où des chercheurs ont fait une découverte inattendue en explorant le nid d'un grand vautour. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 09 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 09/10/2025 Crise politique : un budget pour la France quoi qu'il en coûte ? La possibilité d'un budget voté d'ici la fin de l'année n'est pas totalement abandonnée. C'est en tout cas ce que semble vouloir indiquer Emmanuel Macron. Hier soir, l'Elysée a, en effet, annoncé que le président de la République allait nommer d'ici 48 heures un nouveau premier ministre. Une condition sine qua non pour former un gouvernement et faire adopter dès lundi en Conseil des ministres un budget “qui ne sera pas parfait”, disait hier Sébastien Lecornu sur France 2. Il faut dire que le temps presse car le gouvernement a jusqu'au 13 octobre pour déposer ce budget. Bien que Sébastien Lecornu ait concédé une baisse de l'objectif de déficit public, le geste n'est pas suffisamment convaincant pour le Parti socialiste qui en appelle à des “concessions” dont la suspension de la réforme des retraites. Même Elisabeth Borne, qui a fait adopter cette réforme par 49.3, est prête à la suspendre “si c'est la condition de la stabilité du pays”. Un casus belli pour une partie de la droite et quelques députés macronistes. Hier soir, Sébastien Lecornu a notamment expliqué qu'une suspension de la réforme des retraites coûterait au moins 3 milliards d'euros en 2027, soit 0,1% du PIB. Mais la crise politique, qui se poursuit depuis la dissolution de juin 2024, a aussi un coût : selon l'OFCE, qui a évalué les effets de l'incertitude ambiante, la facture se chiffrera à la fin 2025 à 15 milliards d'euros.On en débat avec Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste chez BDO France, Anne-Laure Delatte, économiste, directrice de recherche au CNRS et Amir Reza-Tofighi, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME).28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 09 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Ce jeudi 9 octobre, Laurent Gerra a notamment imité Elisabeth Borne, Bruno Le Maire et Jean Lassalle. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la veille de l'entrée au Panthéon de Robert Badinter, la question de la féminisation des lieux refait surface. Le débat a été relancé, il y a quelques semaines, par la ministre de l'Économie aujourd'hui démissionnaire Elisabeth Borne, alors que le fronton du Panthéon indique : «Aux grands hommes la patrie reconnaissante». Simple acte de langage ou symbole de changements profonds de la société ? Quelles sont les priorités pour lutter contre les inégalités entre les femmes et les hommes ? Pour en débattre : - Violaine De Filippis Abate, avocate, co-fondatrice du collectif Action juridique féministe, autrice du livre «La résistance écarlate, les femmes face au nouveau Backlash», aux éditions Payot - Alicia Birr, experte et formatrice en communication inclusive.
À la veille de l'entrée au Panthéon de Robert Badinter, la question de la féminisation des lieux refait surface. Le débat a été relancé, il y a quelques semaines, par la ministre de l'Économie aujourd'hui démissionnaire Elisabeth Borne, alors que le fronton du Panthéon indique : «Aux grands hommes la patrie reconnaissante». Simple acte de langage ou symbole de changements profonds de la société ? Quelles sont les priorités pour lutter contre les inégalités entre les femmes et les hommes ? Pour en débattre : - Violaine De Filippis Abate, avocate, co-fondatrice du collectif Action juridique féministe, autrice du livre «La résistance écarlate, les femmes face au nouveau Backlash», aux éditions Payot - Alicia Birr, experte et formatrice en communication inclusive.
Alors que Sébastien Lecornu a jusqu'à ce soir pour trouver un compromis, Elisabeth Borne a décidé hier de remettre sur la table une potentielle suspension de la réforme des retraites. Cette annonce pourrait devenir une concession négociée par le Premier ministre démissionnaire pour attirer les socialistes au gouvernement, qu'il reçoit aujourd'hui à Matignon. L'éditorialiste LCI Ruth Elkrief et le directeur de l'Opinion Nicolas Beytout reviennent sur cette annonce qui, selon eux, serait un sacrifice terrible.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la réaction de la presse étrangère à la crise politique française, l'explosion de la Macronie et Elisabeth Borne qui veut suspendre la réforme des retraites pour négocier avec la gauche. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme : Faut-il suspendre la réforme des retraites, comme le suggère Elisabeth Borne ? // Procès Jubillar : est-ce une instruction bâclée ?
Sa série a touché des millions de personnes à travers le monde. Stephen Graham, le co-créateur de la série Adolescence sur Netflix, est notre Européen de la semaine. L'acteur britannique a été récompensé à la cérémonie des Emmy Awards aux Etats-Unis la semaine dernière. Une reconnaissance pour cette fiction qui a fait bouger les lignes dans le monde réel. Deuxième plus gros succès pour une série anglophone sur la plateforme américaine, Adolescence, raconte en quatre épisodes l'histoire d'un jeune adolescent de treize ans accusé du meurtre d'une camarade de classe. La série met en lumière l'influence des idées masculinistes sur les réseaux sociaux. Stéphane Graham a écrit la série avec le scénariste Jack Thorne et il joue le père de l'adolescent. Habitué des films de gangsters On l'a vu dans The Irishman de Martin Scorsese, Public Enemies de Michael Mann ou encore Snatch de Guy Ritchie. Mais il a aussi joué dans des drames : un skinhead dans This is England ou la série The Virtues sur les violences faites aux enfants. Massif, tout en muscles, l'acteur de 52 ans est né à Kirby dans la périphérie de Liverpool, dans un milieu populaire. Un père travailleur social, une mère infirmière et un grand-père jamaïcain. Et ce sont justement ses origines qu'il a mises en avant dans son discours après avoir reçu l'Emmy Award de la meilleure mini-série : « Ce genre de chose n'arrive généralement pas à un enfant comme moi. Je suis juste un métis issu d'un immeuble du quartier de Kirby. Alors, pour moi, être ici aujourd'hui devant mes camarades et être reconnu par vous est la plus grande leçon d'humilité que je puisse imaginer et cela vous montre que tous les rêves sont possibles ». Dans une interview, il expliquait qu'il était urgent d'avoir « une discussion » au sujet des violences en ligne contre les femmes : « nous sommes tous responsables : le système éducatif, les parents, la communauté, le gouvernement et surtout les réseaux sociaux ». « Il est très sérieux dans son travail », raconte Lanre Bakare, journaliste culture au quotidien britannique The Guardian. « Il peut paraître jovial, et il a cette image publique d'un homme calme, amusant et frivole. Mais quand on parle de son travail, il le prend très au sérieux. » Débat de société La série et son sujet de radicalisation masculiniste en ligne se sont invités au Parlement britannique. Keir Starmer a raconté avoir visionné la série en famille et proposé de la diffuser dans les collèges et les lycées. Le chef du gouvernement britannique a aussi reconnu la nécessité de s'attaquer à ce « problème émergent et croissant ». Il a promis que des policiers allaient prochainement être formés. Le journaliste Lanre Bakare fait le parallèle avec le film français La Haine : « On disait dans la presse que Jacques Chirac l'avait montré au gouvernement, ce qui avait déclenché un grand débat en France sur la situation des jeunes immigrés vivant en banlieue parisienne. Je pense que c'est très similaire au débat ouvert par la série Adolescence au Royaume-Uni. Stephen et son équipe ont mis le doigt sur un sujet qui inquiétait beaucoup de gens. C'est un phénomène dont on sait qu'il existe, qui est constamment débattu, mais aucune fiction n'avait vraiment mis le doigt dessus et humanisé la situation ». En France, la ministre de l'Éducation sortante Elisabeth Borne veut proposer la série Adolescence comme support pédagogique à partir de la 4ᵉ. En Italie, de plus en plus de séries explorent les tourments de l'adolescence. Stephen Graham a créé plus qu'un divertissement. Un acteur engagé sans être politisé. « Je pense que son travail est politique, car tout l'est, mais sans pour autant devenir partisan », analyse Lanre Bakare qui l'a interviewé il y a quelques années. « Il n'est pas forcément une figure de gauche. Je pense qu'il veut que son travail parle pour lui. Et on voit à ses sujets qu'il aborde ce qui lui tient à cœur, les grands enjeux qu'il souhaite porter à l'attention du public. Et je pense que c'est, d'une certaine manière, politique. » Une épouse omniprésente Dans son discours aux Emmy Award, Stephen Graham a aussi beaucoup remercié sa femme. Elle joue un rôle clé à ses côtés. Hanna Walter est, elle aussi, actrice. Ils se sont rencontrés pendant leurs études de théâtre dramatique. Ils vivent dans la campagne anglaise avec leurs deux enfants. La place d'Hanna Walter est cruciale : c'est elle qui relie ses scénarios et c'est elle qui l'aide à apprendre ses textes. Car Stephen Graham souffre de dyslexie. Il a gardé son accent, ce qui est très rare. Authentique et engagé jusqu'au bout. À lire aussi«Adolescence»: la série sur Netflix qui alerte le Royaume-Uni sur la santé mentale des jeunes
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une dizaine de jours pour François Bayrou, trois semaines pour Elisabeth Borne, et quasiment deux mois pour Michel Barnier… Si François Bayrou tombe, combien de temps prendra la nomination du prochain Premier ministre ?Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
durée : 00:03:17 - Un monde connecté - par : François Saltiel - L'intelligence artificielle était jusqu'ici utilisée par les élèves comme les professeurs sans cadre générale, en septembre 2025, la ministre Elisabeth Borne tente de réguler et d'encadrer sa pratique.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 01 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:17:48 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Près de 12 millions d'élèves reprendront le chemin de l'école lundi. 850.000 enseignants seront dans les classes. France Inter revient sur les annonces faites par la ministre de l'Éducation nationale, Elisabeth Borne, et sur les grands défis qui attendent la communauté éducative. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Panthéon : la ministre de l'éducation Elisabeth Borne souhaite dégenrer la devise du monument afin de mettre davantage en avant "la place des femmes dans l'histoire" de notre pays. Françoise Thébaud, professeur émérite d'histoire et spécialiste de l'histoire des femmes, est l'invitée de RTL Midi Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Amandine Bégot du 29 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec cette annonce de la ministre de l'éducation Elisabeth Borne : l'intelligence artificielle sera proposée aux professeurs notamment pour leur permettre de préparer les cours
On commence avec cette annonce de la ministre de l'éducation Elisabeth Borne : l'intelligence artificielle sera proposée aux professeurs notamment pour leur permettre de préparer les cours
durée : 00:40:48 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - À quelques jours de la rentrée scolaire, Elisabeth Borne a annoncé mardi 26 août 2025, la mise en place d'une intelligence artificielle pour « accompagner les professeurs dans leur métier ». - invités : Giada Pistilli Philosophe spécialisée sur l'éthique de l'intelligence artificielle et éthicienne de l'IA chez Hugging Face; Christophe Cailleaux Professeur d'histoire-géographie dans un lycée de l'agglomération de Dijon, membre du groupe de réflexion du Snes sur le numérique, coordinateur du livre "Critiques de l'école numérique" (l'Échappée, 2019); Orianne Ledroit Déléguée générale de EdTech France, enseignante à Sciences Po Paris
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:40:48 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - À quelques jours de la rentrée scolaire, Elisabeth Borne a annoncé mardi 26 août 2025, la mise en place d'une intelligence artificielle pour "accompagner les professeurs dans leur métier". - invités : Giada Pistilli Philosophe spécialisée sur l'éthique de l'intelligence artificielle et éthicienne de l'IA chez Hugging Face; Christophe Cailleaux Professeur d'histoire-géographie dans un lycée de l'agglomération de Dijon, membre du groupe de réflexion du Snes sur le numérique, coordinateur du livre "Critiques de l'école numérique" (l'Échappée, 2019); Orianne Ledroit Déléguée générale de EdTech France, enseignante à Sciences Po Paris
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Je suis ravie d'ouvrir cette saison 15 du podcast Legend Ladies avec Élisabeth Borne. Plus de 260 épisodes, 5 ans de rencontres et de mise en lumière de femmes qui ont su tracer leur voie et faire entendre leur voix...et celle ci me tenait particulièrement à coeur ! Elisabeth Borne grandi dans un
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou doit dévoiler cet après-midi les grandes lignes de ses orientations budgétaires, avec notamment la possibilité d'une année blanche, de la désindexation des retraites sur l'inflation et de la réduction des prestations sociales comme les APL.La proposition de la députée LFI Mathilde Panot de désarmer la police municipale se heurte à la réalité du terrain, avec de nombreuses villes, y compris de gauche, choisissant au contraire d'équiper leurs policiers municipaux d'armes à feu, comme à Annonay en Ardèche.Le MEDEF a proposé une batterie de mesures pour mettre les comptes de l'assurance maladie à l'équilibre, comme la simplification du calcul des indemnités journalières ou l'instauration de jours de carence non pris en charge par la Sécurité sociale.La ministre de l'Éducation nationale Elisabeth Borne a recadré son collègue Philippe Baptiste, ministre de l'Enseignement supérieur, qui avait affirmé que l'islamo-gauchisme n'existait pas, l'accusant d'être responsable de la montée de cette idéologie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou doit dévoiler cet après-midi les grandes lignes de ses orientations budgétaires, avec notamment la possibilité d'une année blanche, de la désindexation des retraites sur l'inflation et de la réduction des prestations sociales comme les APL.La proposition de la députée LFI Mathilde Panot de désarmer la police municipale se heurte à la réalité du terrain, avec de nombreuses villes, y compris de gauche, choisissant au contraire d'équiper leurs policiers municipaux d'armes à feu, comme à Annonay en Ardèche.Le MEDEF a proposé une batterie de mesures pour mettre les comptes de l'assurance maladie à l'équilibre, comme la simplification du calcul des indemnités journalières ou l'instauration de jours de carence non pris en charge par la Sécurité sociale.La ministre de l'Éducation nationale Elisabeth Borne a recadré son collègue Philippe Baptiste, ministre de l'Enseignement supérieur, qui avait affirmé que l'islamo-gauchisme n'existait pas, l'accusant d'être responsable de la montée de cette idéologie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Fabrice Balanche, géographe et spécialiste du Moyen-Orient - Naima M'Faddel, essayiste et chargée de mission politique de la ville - Paul Amar, journaliste - Mériadec Raffray, journaliste spécialiste des questions de défense - Kevin Bossuet, professeur d'histoire en banlieue parisienne - Julien Dray, ancien député - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Fabrice Balanche, géographe et spécialiste du Moyen-Orient - Naima M'Faddel, essayiste et chargée de mission politique de la ville - Paul Amar, journaliste - Mériadec Raffray, journaliste spécialiste des questions de défense - Kevin Bossuet, professeur d'histoire en banlieue parisienne - Julien Dray, ancien député - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elisabeth Borne reçoit le rappeur MC Batard pour un entretien. Son objectif : devenir professeur de français ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 17 juin 2025, Laurent Gerra a notamment imité Chevallier et Laspalès, Elisabeth Borne ou encore MC Batard. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:59:19 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans le 7/10 : À 7h50, Elisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, à 8h20, un plateau sur le thème "Grand débat national : six ans après, des revendications oubliées ?" et le chanteur Sting, pour son spectacle musical “The last ship”.
durée : 00:08:11 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Élisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, était l'invitée de France Inter ce mercredi, au lendemain de la mort d'une surveillante en Haute-Marne, poignardée par un élève. - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française
durée : 00:08:11 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Élisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, était l'invitée de France Inter ce mercredi, au lendemain de la mort d'une surveillante en Haute-Marne, poignardée par un élève. - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
On commence avec cette annonce de la ministre de l'éducation Elisabeth Borne : la série Netlfix "Adolescence" sera diffusée aux élèves de collège dès la 4ème
On commence avec cette annonce de la ministre de l'éducation Elisabeth Borne : la série Netlfix "Adolescence" sera diffusée aux élèves de collège dès la 4ème
Qu'est ce qui ne fonctionne pas dans l'orientation des élèves ? La ministre de l'Éducation nationale Elisabeth Borne a présenté sur RTL un plan. Destiné à améliorer cette période cruciale et souvent stressante pour les familles, il sera mis en œuvre dès la rentrée prochaine. Écoutez le sentiment de Éric Charbonnier, spécialiste des questions d'éducation au sein de l'Ocde, l'Organisation de coopération et de développement économique. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 05 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:10 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La ministre de l'Éducation nationale était l'invitée de France Inter ce mercredi pour présenter le plan "Filles et maths". - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française
durée : 02:59:56 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans le 7/10 de France Inter : Elisabeth Borne / Rachida Dati / Claude Askolovitch / Gregory Schneider / Anne-Laure Bonnet / Laurent Ruquier et Giulio Callegari.
durée : 00:09:10 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La ministre de l'Éducation nationale était l'invitée de France Inter ce mercredi pour présenter le plan "Filles et maths". - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française
Comment l'établissement Notre-Dame de Bétharram, où ont été rapportés des faits de violences physiques et sexuelles depuis les années 1990, a-t-il pu être exempt de contrôle de l'Etat pendant des décennies ? Cette question, qui travaille l'opinion publique et la classe politique depuis plusieurs mois, est venue en soulever une autre : quel rapport entretient l'Etat avec l'enseignement privé sous contrat en France ?Ces établissements bénéficient d'un statut particulier : ils perçoivent des subventions publiques pour fonctionner, en échange du respect de divers critères fixés par la loi. C'est pour cela qu'on parle de « contrat » d'association avec l'Etat.Avant le scandale de Notre-Dame de Bétharram, des établissements privés sous contrat avaient déjà fait la une de l'actualité, pour leur non-respect supposé du contrat d'association. En 2022, par exemple, le prestigieux collège parisien catholique Stanislas était accusé d'entretenir un univers sexiste, homophobe et autoritaire, contraire à la loi. Et en 2023, la préfecture du Nord résiliait le contrat d'association de l'Etat avec le lycée musulman Averroès à Lille, arguant, entre autres, de soupçons de financements illicites et des contenus pédagogiques « hostiles à la République ». Une décision de justice a depuis rétabli le contrat liant le groupe scolaire à l'Etat. Les contrôles auxquels ces deux établissements ont été soumis restent des cas rares. Comment expliquer le faible taux d'inspections des écoles sous contrat ? Que prévoit la loi pour garantir que leur contrat avec l'Etat soit respecté ? Et le manque de contrôles concerne-t-il spécifiquement les établissements catholiques ? Dans cet épisode de « L'Heure du Monde », Eléa Pommiers et Violaine Morin, journalistes à la rubrique éducation du Monde, répondent à ces questions.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Quentin Bresson et présenté par Claire Leys. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli et Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'une interview de la ministre de l'éducation nationale Elisabeth Borne, sur Franceinfo, le 17 mars 2025 ; d'un reportage sur les manifestations contre la loi Savary diffusé sur Antenne 2 le 25 juin 1984 ; d'un reportage de M6 sur le lycée Averroès, diffusé le 11 décembre 2023.Cet épisode a été publié le 5 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans «Punchline», Laurence Ferrari et ses invités reviennent sur la conférence de presse de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur et Elisabeth Borne, ministre de l'Education Nationale après l'attaque au couteau menée par un élève de seconde au sein même de son établissement scolaire à Nantes tuant une lycéenne de 17 ans et blessant trois autres lycéens.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans «Punchline», Laurence Ferrari et ses invités reviennent sur la conférence de presse de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur et Elisabeth Borne, ministre de l'Education Nationale après l'attaque au couteau menée par un élève de seconde au sein même de son établissement scolaire à Nantes tuant une lycéenne de 17 ans et blessant trois autres lycéens.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:21 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - L'Éducation nationale a commandé puis annulé l'impression de 800.000 exemplaires de “La Belle et la Bête” illustré par Jul. Elisabeth Borne prétend qu'il n'est pas adapté aux CM2. Pour paraphraser la ministre, “Je ne dirais pas que c'est de la censure. Je dirais juste que ça n'a pas été imprimé.”
durée : 00:03:21 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - L'Éducation nationale a commandé puis annulé l'impression de 800.000 exemplaires de “La Belle et la Bête” illustré par Jul. Elisabeth Borne prétend qu'il n'est pas adapté aux CM2. Pour paraphraser la ministre, “Je ne dirais pas que c'est de la censure. Je dirais juste que ça n'a pas été imprimé.”
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:04 - Journal de 12h30 - Face aux multiplies accusations de violences physiques et sexuelles commises dans les établissements privés catholiques, la ministre de l'Education nationale Elisabeth Borne promet une remontée à l'avenir "systématique" des faits de violence et un renforcement des contrôles de ces structures. - invités : Arnaud Gallais activiste des droits de l'enfant, cofondateur du collectif Prévenir et Protéger et de Mouv'Enfants, ancien membre de la Ciivise