Podcast appearances and mentions of Bruno Retailleau

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Bruno Retailleau

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Le sept neuf
Arthur Teboul - Bruno Retailleau - Béatrice Penaud-Ducournau

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Mar 15, 2023 149:10


durée : 02:29:10 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Arthur Teboul, auteur et chanteur du groupe Feu! Chatterton, est l'invité du 7h50. Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat et sénateur de la Vendée, est l'invité du 8h20. Béatrice Penaud-Ducournau, juge des libertés et de la détention, est l'invitée du 9h10.

C dans l'air
GRÈVES, BLOCAGES : ON ENTRE DANS LE DUR... – 06/03/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 6, 2023 62:32


EXPERTS NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » CARL MEEUS Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » La trêve est terminée pour les opposants à la réforme des retraites. A la veille d'une sixième journée de mobilisation, ce 7 mars, la consigne des syndicats est claire : "mettre la France à l'arrêt" aussi longtemps qu'il le faudra pour faire plier le gouvernement. A la pointe de la contestation, les salariés du secteur des transports. Selon la SNCF, en moyenne, 20 % des TGV et TER seront en circulation. Les Intercités seront, eux, quasiment tous à l'arrêt. Et sur les routes aussi, la contestation s'organise : les routiers ont rejoint depuis dimanche soir le mouvement et ont organisé dès ce lundi des barrages filtrants un peu partout en France. Autre secteur très mobilisé, celui stratégique de l'énergie. Les syndicats appellent à une grève dure, reconductible, qui a démarré dès vendredi 3 mars dans plusieurs centrales nucléaires et hydrauliques françaises. La grève s'annonce également très suivie dans les raffineries de pétrole où les salariés ont cessé le travail dès ce lundi ainsi que parmi les éboueurs et toute la filière des déchets qui vont entrer dans la danse ce mardi à l'appel de la CGT. Du côté de l'Education nationale, les organisations syndicales annoncent également plus de 60 % de grévistes. Le mouvement social passe "la vitesse supérieure", comme l'a appelé de ses voeux le leader de la CGT Philippe Martinez dans le Journal du dimanche (JDD). De son côté le patron de la CFDT Laurent Berger a déploré, ce lundi au micro de France Inter, le "silence" d'Emmanuel Macron "depuis deux mois" face aux opposants au projet de réforme des retraites du gouvernement, et a estimé que le président de la République actuellement en tournée en Afrique "ne peut pas rester sourd". Regrettant par ailleurs que l'intersyndicale n'ait été "reçue collectivement par personne" au sein de l'exécutif depuis qu'elle a lancé en janvier la mobilisation, Laurent Berger a affirmé qu'il fallait "arrêter de prendre les gens pour des cons". Les opposants à la réforme n'ont "pas de déficit d'explication", a-t-il insisté. Les propos d'Olivier Véran évoquant une "catastrophe écologique, agricole ou sanitaire" en cas de grève massive, "c'est grossier, c'est nul, c'est petit, c'est à bout d'arguments (…) Nous ne sommes pas des irresponsables. On va continuer cette mobilisation" mais "il faut arrêter". De son côté, le porte-parole du gouvernement a reconnu ce lundi que son message est "mal passé" et qu''il aurait dû être formulé différemment, tout en jugeant "qu'il n'est pas nécessaire de bloquer tout un pays et d'entraîner des désagréments aussi importants pour les Français". "Nous tiendrons l'objectif" d'un régime des retraites équilibré financièrement en 2030, a-t-il par ailleurs assuré, avant d'évoquer des "discussions avec les sénateurs", qui examinent actuellement le projet, pour que les mesures qui grèvent financièrement la réforme soient compensées par d'autres. Pendant ce temps, le texte sur la réforme des retraites est examiné jusqu'à dimanche au Sénat, où les Sénateurs à majorité LR veulent y mettre "des marqueurs de droite". Bruno Retailleau, chef de file des sénateurs de droite, défend notamment l'intégration d'une part de capitalisation et appelle à "bloquer les bloqueurs qui veulent bloquer la France" le 7 mars. Mais à droite, cette position est contestée. A l'Assemblée, Aurélien Pradié, débouté récemment de son poste de numéro deux des Républicains en raison de son opposition à la réforme des retraites, continue à faire entendre sa différence. Dans un entretien accordé à l'Opinion le député LR a insisté sur le fait que cette réforme ne peut "se faire sans dialogue social". Ce pourquoi, avec ses collègues Stéphane Viry et Ian Boucard, il a proposé à Laurent Berger de venir discuter ce mercredi avec les députés LR. À ce jour, plus d'une dizaine de députés LR ont pris publiquement position contre la réforme des retraites. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le Nouvel Esprit Public
La Turquie après le séisme / La droite française pourra-t-elle survivre à la réforme des retraites ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Feb 26, 2023 61:53


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frN°286 / 26 février 2023Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 février 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. LA TURQUIE APRÈS LE SÉISMELe 6 février, deux séismes de magnitude de 7,8 et de 7,5 ont secoué le sud de la Turquie et une partie de la Syrie voisine. Si on recense aujourd'hui plus de 45.000 morts, leur nombre pourrait être de 100.000. A la croisée de trois plaques tectoniques, la Turquie a connu depuis 1900, dix-huit tremblements de terre d'une magnitude égale ou supérieure à 7 sur l'échelle de Richter. 7 habitants sur 10 vivent dans une zone sismique, soit 60 millions de personnes (sur 86 millions). L'Organisation mondiale de la santé déclare que 5 millions de personnes sont en situation de vulnérabilité et craint le développement d'épidémies. Le 20 février, deux nouvelles répliques de forte puissance (6,4 et 5,8) ont eu lieu dans la province turque d'Hatay au sud du pays déjà fortement touché.La « diplomatie du séisme » - activée pour la première fois après les tremblements de terre successifs qui ont frappé la Grèce et la Turquie à l'été 1999 et ont conduit à une amélioration des relations gréco-turques - a été réactivée après ce nouveau séisme. Non seulement la Grèce, mais également Israël et l'Arménie, des pays qui ont en commun d'entretenir des relations plus ou moins tendues avec la Turquie, ont été parmi les premiers à avoir proposé leur aide.En Turquie, devant la montée des critiques publiées sur les réseaux sociaux, accompagnées des appels à l'aide de familles dont les proches étaient coincés sous les décombres, le gouvernement a choisi le 8 février de couper l'accès au réseau Twitter grâce auquel les survivants communiquaient et ... critiquaient le pouvoir. Des voix s'élèvent pour dénoncer vingt années de politique urbanistique désastreuse, de négligence, de corruption, de clientélisme, de népotisme et de stratégies électoralistes. La plupart des habitations turques ne sont pas construites aux normes antisismiques, malgré une loi votée en 2007, peu appliquée en raison de la corruption. Les sinistrés critiquent le manque de préparation des autorités, le retard des secours, l'absence de l'armée, seule en Turquie à posséder les moyens d'agir dans un tel chaos. Si le président turc Recep Tayyip Erdogan a reconnu des « lacunes » dans la réponse apportée, il a cependant assuré qu'« il est impossible d'être préparé à un tel désastre ».D'aucuns rappellent que la gestion hasardeuse du tremblement de terre de 1999, près d'Istanbul, par les autorités d'alors, avait favorisé l'ascension du Parti de la justice et du développement (AKP) d'Erdogan et favorisé son élection en 2003. En difficulté aujourd'hui dans les sondages, la popularité du chef de l'État turc est déjà mise à mal par sa politique monétaire, ayant plongé le pays dans une profonde crise économique. Alors que la chasse aux sorcières contre les promoteurs immobiliers a commencé, au vu de l'ampleur de la catastrophe, la tenue des élections législatives et présidentielle, prévues pour le 14 mai pourrait être reportée.***LA DROITE FRANÇAISE POURRA-T-ELLE SURVIVRE À LA RÉFORME DES RETRAITES ?Après la défaite de sa candidate à l'Élysée, battue avec moins de 5 % des voix, suivie par la perte d'un tiers de ses députés après les élections législatives, le parti Les Républicains connait de nouveaux déboires. Mi-janvier, son nouveau président Éric Ciotti dévoile l'organigramme des Républicains. A la surprise générale, il nomme deux vice-présidents exécutifs : Aurélien Pradié, député du Lot, qui, au premier tour a recueilli près du quart des suffrages des militants et François-Xavier Bellamy, qui soutien de et soutenu par Bruno Retailleau, finaliste de cette élection. Le député du Lot n'a pas tardé à faire savoir qu'il n'appréciait pas de ne pas être l'unique numéro deux du parti.Alors que les rancœurs nées de l'organigramme ne sont pas dissipées, LR doit trouver une position commune sur la réforme des retraites. Le 12 janvier, le Éric Ciotti s'est mis d'accord avec le gouvernement sur un texte qu'il se flatte d'avoir substantiellement orienté : report à 64 ans au lieu de 65 de l'âge légal de départ à la retraite, et accélération de la hausse de la durée de cotisation. Or, si, d'un côté, la direction du parti défend une ligne de « responsabilité » en s'engageant à soutenir le texte du gouvernement qui a accepté ses exigences, de l'autre, les soutiens du député du Lot ne souhaitent pas endosser l'impopularité de la réforme. Pour eux, il faut avant tout reparler aux catégories populaires et s'opposer à tout texte porté par la macronie. Aurélien Pradié dénonce notamment l'absence de prise en compte des carrières longues et réclame que personne n'ait à cotiser plus de quarante-trois ans pour partir à taux plein. Bruno Retailleau dénonce une dérive « socialisante » chez l'élu du Lot.Le 14 février, 38 députés Les Républicains sur 62 ont voté contre l'« index seniors », avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et le Rassemblement national. Le17 février Aurélien Pradié est vivement applaudi par les députés de la Nupes sur les carrières longues dans l'Hémicycle. C'en est trop pour Éric Ciotti et nombre de députés LR. La sanction tombe le lendemain. Le patron des Républicains démet Aurélien Pradié de ses fonctions de vice-président exécutif car « ses prises de position répétées n'étaient plus conformes avec les valeurs de cohérence, d'unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine ». « Je refuserai toujours que la droite devienne peu à peu la béquille conciliante de la macronie », répond Aurélien Pradié.Le texte sur les retraites qui n'a pas pu être voté à l'Assemblée nationale le 17 février, doit arriver le 28 février en commission des Affaires sociales au Sénat, où les Républicains et les centristes disposent de la majorité. Les sénateurs LR devraient eux aussi poser leurs conditions, mais dans le sens d'un durcissement de la réforme pour le cas des régimes spéciaux.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Le vrai du faux
Le vrai du faux. Est-ce que la natalité en France a baissé à cause d'une politique familiale moins favorable ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Feb 2, 2023 1:54


durée : 00:01:54 - Le vrai du faux - Le sénateur Les Républicains Bruno Retailleau alerte sur le nombre de naissances en forte baisse. Cela pèsera selon lui à terme sur les retraites.

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
Dimitri Pavlenko avec Florence Arnaiz-Maumé et Bruno Retailleau

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Jan 17, 2023 96:21


Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.

C dans l'air
RÉFORME : RETRAITES, ACTIFS… QUI PERD ? QUI GAGNE ? – 11/01/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 11, 2023 62:43


EXPERTS NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social MICHAËL ZEMMOUR Maître de conférences en économie - Université Paris 1 Tous leaders syndicaux alignés dans la grande salle de la Bourse du travail. Quelques heures après la présentation par la Première ministre de la réforme des retraites, dont la mesure phare est le recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans, les huit principaux syndicats étaient réunis hier soir pour organiser la riposte. Et c'est Laurent Berger, le patron de la CFDT, qui a lu leur déclaration commune et a annoncé une première journée de mobilisation le 19 janvier prochain. « Cette réforme va frapper de plein fouet l'ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Le système de retraites par répartition n'est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale », estiment-ils dans le communiqué commun. Un front syndical inédit depuis douze ans dont la solidité sera l'une des clés de la bataille qui s'annonce, a relevé le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. Elle « constitue un élément de confiance pour les salariés » et « incite les salariés et les agents à se mobiliser massivement », a-t-il fait valoir. Mais jusqu'à quand durera-t-elle ? Alors que certains s'interrogent déjà sur ce point, Laurent Berger a voulu couper court aux spéculations sur l'attitude de la CFDT, dans Le Parisien : « Il faut que ce soit clair, même avec des mesures positives sur les carrières longues ou la pénibilité, on reste opposé à la réforme avec une mesure d'âge. Il n'y aura pas de deal avec la CFDT », a-t-il martelé. Et ce matin sur France inter, il a enfoncé le clou : « Cette réforme des retraites c'est davantage une réforme des finances publiques, d'équilibre financier sur le seul dos des travailleurs ». Certes « il y a des mesures d'amortissement », mais elles « ne remettent pas en cause le fait que les travailleurs et travailleuses de ce pays vont devoir travailler à terme deux ans de plus. Depuis toujours, la CFDT est opposée au report de l'âge légal de départ en retraite, car c'est la mesure la plus injuste ». La CFDT « appelle massivement les salariés à se réunir dans la rue [le 19 janvier] et à manifester pour dire qu'ils sont contre ». La bataille de la rue va commencer, soutenue par les troupes venues de la gauche. Lors d'un meeting à Paris hier soir, la Nupes a ainsi voulu montrer un front uni contre les mesures de l'exécutif et promis un combat dans la rue comme qu'au Parlement. L'« Assemblée nationale cela va être la ZAD » (zone à défendre) a notamment lancé la nouvelle patronne des Verts Marine Tondelier. La coalition de gauche a d'autre part appelé à participer à la première journée de contestation, le seul moyen de bloquer la réforme pour le leader du PCF Fabien Roussel. « C'est ce jour-là qu'il faudra faire péter les jauges. Soyons un million dans la rue et après on parlera ! ». Du côté des Républicains, en revanche, on se dit prêt à « voter une réforme juste » des retraites. « Réforme que nous proposons au Sénat depuis plusieurs années » a insisté Bruno Retailleau ce matin sur France Inter et qui comprend : « départ à 64 ans, accélération de la réforme Touraine, une attention pour les petites retraites et pour les femmes.» Le président du groupe LR au Sénat a par ailleurs indiqué que si « une très grande majorité » des élus LR se prononcera en faveur de la réforme des retraites, certains « pourraient ne pas le voter ». « Peut-être une douzaine ou une quinzaine » à l'Assemblée nationale a-t-il précisé. Age de départ, carrières longues, pénibilité, durée de cotisation... Quelle est l'architecture de cette réforme des retraites ? Qui est concerné ? Qui perd ? Qui gagne ? Enfin alors que le modèle Allemand qui a déjà emprunté cette voie du report de l'âge de départ à la retraite est souvent évoqué dans les débats. Quelle est la situation outre-Rhin ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le sept neuf
Bruno Retailleau : "Je ne vois pas comment on peut ne pas voter une réforme" attendue "depuis des années"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jan 11, 2023 10:49


durée : 00:10:49 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat et sénateur de la Vendée, est l'invité du 7h50. Il revient sur la réforme des retraites et l'état de la droite en France.

Le sept neuf
Bruno Retailleau - Laurent Berger - Eric Crubezy

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jan 11, 2023 149:18


durée : 02:29:18 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat et sénateur de la Vendée, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT et Eric Crubezy, professeur d'anthropobiologie en charge des fouilles des "sarcophages de Notre-Dame-de-Paris", sont les invités de la matinale du 11 janvier.

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Eric Ciotti président de LR : de l'ombre à la lumière

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Play Episode Listen Later Dec 20, 2022 19:30


Le dimanche 11 décembre, Eric Ciotti est élu président du parti Les Républicains.A 57 ans, cet ancien homme de l'ombre prend sa revanche, après avoir longtemps été le bras droit du maire de Nice, Christian Estrosi, devenu l'un de ses principaux adversaires.Élu député des Alpes-Maritimes pour la première fois en 2007, Eric Ciotti se fait remarquer par des propositions radicales et très marquées à droite, notamment sur la sécurité et l'immigration. Il prend peu à peu de l'importance au sein du parti LR et en 2021, il se présente à la primaire de la droite, face à Valérie Pécresse, Xavier Bertrand ou encore Michel Barnier. Il est battu par Valérie Pécresse au deuxième tour mais en décembre 2022, il remporte la présidence de LR face à Bruno Retailleau et Aurélien Pradié.Code source retrace le parcours d'Eric Ciotti avec Quentin Laurent et Alexandre Sulzer, journalistes au service politique du Parisien, en charge de la droite.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert et Emma Jacob - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : TF1, France info, LCI, BFM TV, RTL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Les Républicains: parti cherche ligne politique

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Dec 17, 2022 2:36


Depuis dimanche 11 décembre, les Républicains ont un nouveau chef, Éric Ciotti, élu face à Bruno Retailleau avec 54% des voix. Pendant sa campagne, le député des Alpes-Maritimes a promis que s'il était élu, c'est Laurent Wauquiez qui défendrait les couleurs du parti à la prochaine présidentielle. Les LR ont donc sans doute déjà trouvé leur incarnation pour 2027, mais il leur faut maintenant définir une ligne pour le parti. Dans les prochaines semaines, la toute nouvelle direction des Républicains va devoir fixer un cap, après l'échec retentissant de la présidentielle. Une tâche qui s'annonce difficile, tant les sensibilités sont nombreuses au sein même du parti. On l'a vu pendant la campagne interne, entre les partisans d'une droite dite « sociale » ou « populaire » représentés par Aurélien Pradié et ceux d'une droite plus conservatrice derrière Bruno Retailleau. La victoire d'Éric Ciotti n'est pas écrasante, loin de là. Alors, le député des Alpes-Maritimes va devoir rassembler. Tenir compte des différences de chacun, et elles sont nombreuses. « Au moins autant de positions qu'il y a de députés » Sur les retraites notamment, « il y a au moins autant de positions chez les Républicains qu'il y a de députés », raconte un brin sarcastique un ancien parlementaire LR qui a rejoint la majorité. Faut-il aller jusqu'à 64 ans et introduire des mesures de pénibilité comme le propose au Sénat Bruno Retailleau ? Faut-il plutôt privilégier l'augmentation de la durée de cotisation comme le demande Aurélien Pradié ? Ou encore panacher les deux mesures. Certains à droite le suggèrent. Pendant la campagne interne, Éric Ciotti semblait pencher pour une réforme à la carte, où chaque retraité pourrait choisir le système qui lui est le plus favorable. Mais le député des Alpes maritimes va devoir trancher, car pour négocier avec le gouvernement, il va bien falloir que les Républicains parlent d'une seule et même voix. Prenons un autre exemple : la fiscalité. Éric Ciotti veut commencer par baisser les impôts, supprimer notamment les droits de successions. Bruno Retailleau, lui, ne veut pas entendre parler d'une baisse massive de la fiscalité, et préfère d'abord baisser les dépenses publiques, tout comme Aurélien Pradié. C'est ce qu'on appelle la cacophonie !  Fermeté sur les questions régaliennes Il y a un domaine en revanche qui met presque tout le monde d'accord dans le parti : les questions régaliennes. La sécurité, l'immigration notamment, thèmes chers à la droite. On connait les positions d'Éric Ciotti sur la question : « une droite ferme, qui rétablisse l'ordre dans la rue », selon ses propres mots.  Peu d'évolution à attendre de ce côté-là, car le nouveau patron du siège de la rue de Vaugirard a aussi pour ambition de faire revenir une partie des électeurs d'Eric Zemmour dans le giron des LR.

Lesfrancais.press's Podcast
Eric Ciotti et les Français de l'étranger

Lesfrancais.press's Podcast

Play Episode Listen Later Dec 13, 2022 17:45


Dimanche 11 décembre, Eric Ciotti a été élu président du parti "Les Républicains". Nous avons reçu Ronan Le Gleut, sénateur des Français de l'étranger et président de la fédération des Français de l'étranger pour ce parti. Une victoire sur le fil le député des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a été élu à la présidence du parti Les Républicains, avec près de 33.609 voix soit 53,7 % des suffrages exprimés. Son adversaire, le sénateur de Vendée, Bruno Retailleau , échoue à prendre la tête du parti mais réunit 46,3 % des votes. Un score plus qu'honorable quand certains à droite donnaient Eric Ciotti gagnant dès le premier tour.  Cette élection est le symptôme d'une fracture entre deux "droite" qui se creuse au sein du mouvement créé par Nicolas Sarkozy.Les 700 sur 1000 adhérents dans le monde "Français de l'étranger" ont participé au scrutin. Quelques départs La victoire d'Eric Ciotti a eu de drôles de conséquences. En effet, plusieurs élus locaux ont annoncé leur départ. Une tendance qui pourrait s'étendre aux conseillers des Français de l'étranger qui sont sollicités par Horizons, le parti d'Edouard Phillipe. A ce sujet, Ronan Le Gleut tiens à rappeler à ceux tentés par l'aventure qu'Horizons est totalement incorporé au camps présidentiel.En métropole, si ces défections restent pour l'instant marginales, il montre l'ampleur du défi que doit désormais relever le député des Alpes-Maritimes, jugé trop droitier par ses contempteurs internes.Ainsi, le maire d'Epinal, Patrique Nardin, a annoncé quitté le parti, regrettant que "sa famille politique" "se replie sur elle-même et ne parle plus" aux Français. Le maire de Metz, François Grosdidier a pris lui aussi la tangente. Si ces deux maires devraient désormais rester sans étiquette, Laurence Arribagé, la présidente du parti en Haute-Garonne, quitte elle aussi le mouvement pour rejoindre les rangs d'Horizons, le mouvement d'Édouard Philippe... En sus, Ronan Le Gleut a tenu à rappeler que "LR" est l'héritier des valeurs gaullistes, que la ligne du parti restera indépendante, pas d'alliance avec Emmanuel ni avec le RN. Eric Ciotti et les Français de l'étranger Enfin avec le sénateur Les Républicain des Français de l'étranger, on évoque aussi le positionnement d'Eric Ciotti sur les Français de l'étranger. Il faut avouer qu'il fut assez discret sur ce thème tout au long de sa carrière ou pendant la campagne. Premier point, c'est l'opposition d'Eric Ciotti au maintient de la CSG/CRDS perçues sur les revenus perçus en France par des Français installés hors de l'UE. Second point, c'est le soutien du nouveau président du parti, Les Républicains, à la proposition de loi, que porte Ronan Le Gleut, pour la création d'une résidence d'attache. Une disposition, que le camps présidentiel, veut aussi mettre en place, sous le terme résidence de replis et qui aurait, dans les deux cas, de nombreux avantages fiscaux. On conclue le podcast en élargissant le champs du podcast à la candidature de Laurent Wauquiez à la présidentielle de 2027. Pourquoi car Eric Ciotti a promis de faire désigner rapidement le président de la région Auvergne-Rhône Alpes comme candidat à l'élection reine de la République française. Ronan Le Gleut ne cache pas son enthousiasme et voit déjà Laurent Wauquiez comme prochain président. Support the show

C dans l'air
SUCCESSIONS : LFI SE DÉCHIRE, WAUQUIEZ SE PRÉPARE – 12/12/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 12, 2022 63:28


EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique – « France Info » NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué – Institut de sondages Ipsos Alors qu'Emmanuel Macron, réélu en avril, ne pourra pas se représenter en 2027, du côté des partis, l'heure est déjà aux grandes manoeuvres. La plupart se préparent à cette échéance et changent d'organisation ou de dirigeants. Rien que ces derniers jours, quatre formations politiques ont changé de patron, à commencer par les deux principaux opposants à la majorité, le RN et LFI. Ainsi après Jordan Bardella, élu le 5 novembre dernier à la présidence du Rassemblement national, avec 85 % des voix des adhérents face au maire de Perpignan Louis Aliot, c'était au tour ce week-end de la France insoumise de dévoiler sa nouvelle direction autour de Manuel Bompard qui devrait être désigné prochainement à la tête de cette « coordination ». Plusieurs jeunes partisans de Jean-Luc Mélenchon comme Bastien Lachaud, Paul Vannier ou Antoine Léaument en font partie, mais ce n'est pas le cas de figures comme les députés Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin ou encore Eric Coquerel. Un « repli » et un « verrouillage » « assumés de façon brutale » pour « fait taire toute critique » a dénoncé l'élue de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain dans Libération aujourd'hui. Le député de la Somme François Ruffin a lui parlé de « déni de démocratie ». Fustigeant une désignation « qui s'est faite au consensus d'un petit groupe qui s'est mis d'accord avec lui-même », il a indiqué qu'il allait réfléchir avec ses camarades sur une attitude commune. Toujours à gauche, les Verts ont, eux, élu ce week-end avec 90 % des voix une nouvelle secrétaire nationale : Marine Tondelier. Soutenue par les secrétaires nationaux sortants, Cécile Duflot, David Cormand et Julien Bayou, la nouvelle patronne d'EELV entend « refonder » le parti, qui « a trop souffert des individualismes » et qui doit changer de nom à l'été 2023. A droite, c'est Eric Ciotti qui l'a remporté chez les Républicains, avec 53 % des voix des adhérents face à Bruno Retailleau. Mais le résultat est plus serré que ce qu'il espérait pour valider sa stratégie pour l'élection présidentielle : supprimer la primaire et introniser Laurent Wauquiez candidat de la droite en 2027. Ce qui n'a d'ailleurs pas manqué d'être raillé par ses adversaires politiques. « On a demandé aux adhérents, non pas de désigner leur président, mais le directeur de campagne de Laurent Wauquiez », a ainsi commenté le patron de Renaissance Stéphane Séjourné. Plusieurs élus dont le maire de Metz François Grosdidier ont annoncé leur départ de LR. Pour aller où ? Renaissance et Horizons, deux partis qui soutiennent le président de la République, espèrent de nouveaux ralliements. De son côté, le chef de l'Etat a fait savoir ce lundi que la réforme des retraites qui devait être dévoilée le 15 décembre sera finalement présentée le 10 janvier 2023. Ce nouveau calendrier doit permettre aux nouveaux dirigeants des Républicains et d'Europe Ecologie Les Verts « d'échanger avec le gouvernement », a indiqué Emmanuel Macron en ouvrant la deuxième session plénière du Conseil national de la refondation (CNR) à l'Elysée. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Invité France
Victoire d'Eric Ciotti à la présidence de LR: «Il y a une possibilité de rupture interne»

Invité France

Play Episode Listen Later Dec 12, 2022 7:04


Avec 53,7% des voix face au président des Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, le député des Alpes Maritime, Eric Ciotti, a été élu ce dimanche 11 décembre, président des Républicains. Il promet de rassembler sa famille politique autour d'une droite ferme, celle du « travail, de l'autorité, de l'identité ». Décryptage des conséquences de cette élection avec Alexis Massart, politologue et directeur de l'école européenne de science politiques à l'université catholique de Lille (ESPOL).

Les histoires de 28 Minutes
Chine, Énergie, Transports en commun : Le Club 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Dec 9, 2022 46:25


L'émission 28 Minutes du 09/12/2022 Au programme de l'émission du 9 décembre 2022 ⬇ Ce vendredi, le correspondant de “Libération” à Bruxelles Jean Quatremer, la correspondante pour la télévision publique grecque ERT et chypriote RiK Thomaïs Papaïoannou, le journaliste Brice Couturier et la dessinatrice Louison reviennent sur l'actualité de la semaine. Notre invité Jul les rejoindra en cours d'émission. Dans un nouvel album de Lucky Luke, "L'arche de Rantanplan", le dessinateur de presse et auteur de bande dessinée français plonge le personnage au cœur des problématiques du 21e siècle. Sur ARTE, à partir du lundi 12 décembre, est aussi diffusée la troisième saison de “50 nuances de Grecs” adaptée de sa bande dessinée du même nom.  Retour sur deux actualités de la semaine : Chine. Le régime tourne le dos à sa politique “zéro Covid” et renonce aux restrictions drastiques : fin des confinements à répétition, tests PCR à grande échelle, réouverture des écoles... Si la montée des contestations semble avoir fait peur au gouvernement, celui-ci affirme que ce revirement politique est dû à la circulation d'un variant moins virulent. Alors, est-ce vraiment le cas ? Ou est-ce simplement l'échec de son objectif “zéro Covid” et la peur de nouvelles manifestations ? Le régime ne voit-il pas en cet assouplissement l'occasion de relancer sa croissance économique ?   Énergie. Y aura t-il de l'électricité cet hiver ? Si le gestionnaire du réseau électrique, Enedis, a annoncé qu'en cas de délestage les malades sous respirateur ne seraient "pas prioritaires", Emmanuel Macron se veut rassurant : “Le rôle du gouvernement, des ministres, des opérateurs, c'est de faire leur travail pour fournir de l'énergie, c'est tout [...] Ce n'est pas de commencer à faire peur aux gens avec des scénarios absurdes”. Alors, qui croire ? La consommation d'électricité a baissé de 8,3 % la semaine dernière (par rapport aux années pré-covid), est-ce la preuve que les Français vivent déjà sous le signe de la sobriété ? Dans son duel de la semaine, Benjamin Sportouch oppose les deux candidats au second tour de l'élection du président des Républicains, Éric Ciotti et Bruno Retailleau. Ce dernier peut-il rattraper son retard et bénéficier d'un « tout sauf Ciotti » comme à la primaire de l'an dernier ?   La galère quotidienne des transports collectifs et la hausse du prix de 12 % du passe Navigo à partir du 1er janvier 2023 provoquent la colère des usagers. Sonia Chironi revient sur les réactions les plus chaudes des internautes.  Condamné pour viol, Farid El Haïri va peut-être obtenir gain de cause après vingt ans passés derrière les barreaux et pourrait ainsi devenir le douzième cas d'erreur judiciaire en France depuis 1945. Dix-neuf ans après ses premières accusations, une certaine Julie D. reconnaît avoir menti et n'avoir en réalité jamais été agressée par cet homme. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.  Notre Une internationale est celle de l'hebdomadaire américain “Time,” qui titre : “Personnalité de l'année : Volodymyr Zelensky et l'esprit de l'Ukraine”, pour qui le choix cette année n'a “jamais été aussi clair”.   Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubbistes ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 9 décembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio

Le Billet de Charline
Sous le soleil des cartes LR

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Dec 8, 2022 2:58


durée : 00:02:58 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - L'élection du président LR va départager dimanche Bruno Retailleau et Eric Ciotti… et cette élection va beaucoup se jouer du côté de Nice…

Par Jupiter !
Sous le soleil des cartes LR

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Dec 8, 2022 2:58


durée : 00:02:58 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - L'élection du président LR va départager dimanche Bruno Retailleau et Eric Ciotti… et cette élection va beaucoup se jouer du côté de Nice…

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – CATHERINE NAY – 07/12/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 7, 2022 10:35


POLITIQUE FRANÇAISE : LE GRAND THÉÂTRE DU POUVOIR CATHERINE NAY Journaliste politique Auteure de « Le grand théâtre du pouvoir : quarante ans de vie politique française » Catherine Nay publie “Le grand théâtre du pouvoir. Quarante ans de vie politique française”, aux éditions du Bouquin. Elle y raconte quarante années de la vie politique française et montre que “ceux qui se lançaient en politique optaient pour un chemin de vie”. Ce dimanche 4 décembre, les résultats du vote du premier tour des adhérents Les Républicains ont été communiqués. Eric Ciotti arrive en tête avec 42,73% des suffrages, et se retrouve face à Bruno Retailleau au second tour. De son côté, Aurélien Pradié est arrivé troisième avec 22,29 % des suffrages, soit 14.765 voix. Deux fois moins d'Éric Ciotti, “mais un quart des voix“, insistent ses soutiens. L'objectif est donc de récupérer les 14.765 voix qu'Aurélie Pradié a obtenues. Pour créer la surprise, Bruno Retailleau devra en rallier une large majorité, près de deux tiers. Un cadre LR en doute : "Cela sera très serré, mais Ciotti garde un avantage. Je vois mal une immense vague d'électeurs de Pradié aller avec enthousiasme chez Retailleau". Dans des propos rapportés par le Figaro, l'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy a appelé Emmanuel Macron à tendre la main aux députés LR et invite ces derniers à accepter un rapprochement. Mais aucun des deux finalistes, en course à la tête de la présidence des Républicains, n'entend faire une alliance avec le parti du Président. Eric Ciotti, à l'issue du scrution, a promis "Pas d'alliance avec le macronisme, une rupture", et Bruno Retailleau entend soumettre un référendum interne sur une alliance avec Emmanuel Macron. Catherine Nay reviendra sur ce qu'elle appelle "le grand théâtre du pouvoir" et sur l'ambiance politique du moment.

L'Interview Politique
L'Interview Politique - Bruno Retailleau, candidat à la présidence Les Républicains, président du groupe LR au Sénat, invité d'Adrien Gindre dans Les Matins LCI

L'Interview Politique

Play Episode Listen Later Dec 6, 2022 21:40


L'interview politique est présentée par Adrien Gindre du lundi au vendredi de 8h30 à 9h. Il reçoit un invité au cœur des enjeux politiques ou membre de la société civile.

Le Billet de Charline
Ciotti - Retailleau : ma finale de Coupe du Monde.

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 3:06


durée : 00:03:06 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Eric Ciotti est arrivé en tête du premier tour de l'élection pour la Présidence des Républicains et affrontera Bruno Retailleau au second tour.

Apolline Matin
Demanche pirate le 3216 : Présidence des Républicains, qualification d'Eric Ciotti et Bruno Retailleau - 05/12

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 2:18


Cette saison, Arnaud Démanche fait le tour de l'actu avec les auditeurs RMC, au 3216. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.

Par Jupiter !
Ciotti - Retailleau : ma finale de Coupe du Monde.

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 3:06


durée : 00:03:06 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Eric Ciotti est arrivé en tête du premier tour de l'élection pour la Présidence des Républicains et affrontera Bruno Retailleau au second tour.

Revue de presse française
À la Une: les Bleus jouent la Polonaise

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Dec 4, 2022 5:04


Les Bleus au défi de la Pologne en huitième de finale de la Coupe du monde de football, au Qatar. « Emmenés par Mbappé, les Bleus sont favoris », lance la Une du Journal du Dimanche. Selon cet hebdomadaire, les Bleus, cet après-midi, se rendront au stade Al-Thumama dans le sud de Doha « avec un gyrophare de favoris à l'avant du car ». Toutefois, s'empresse-t-il de compléter, « historiquement, cela a rarement été un statut confortable pour eux ». D'autant que l'équipe polonaise, « n'a cadré que quatre tirs depuis le début du tournoi mais elle est toujours là, quand l'Allemagne a trouvé 24 fois la cible et a déjà quitté le Qatar », remarque Le JDD. L'Equipe n'écrit guère autre chose. « Les Bleus en pole position », lance en orfèvre la Une de ce journal. Ce match France-Pologne sera-t-il un « camp de base de l'épopée » des Bleus ? Tout comme Le JDD, loin de plastronner, L'Equipe hésite face au « vertige » de ce match « sans retour, sinon à la maison (…) l'hésitation entre les valises et la grande aventure, sans rien au milieu, juste un gouffre où se fracassent les regrets ». Une partie serrée va donc se jouer, cet après-midi, au Qatar, entre la Pologne et la France. Une partie de football… Foot multipolaire On le voit, ce Mondial vit à l'heure de la compétition. À se demander si les critiques d'avant son coup d'envoi sur les droits de l'homme ou l'environnement ont jamais existé. Mais il n'empêche, le foot est aussi « un sport de combats idéologiques », souligne Marianne. « Nul besoin d'être fin politologue pour savoir qu'un grand événement sportif est une savante mise en scène des relations internationales. A fortiori quand cet événement porte sur le sport de loin le plus mondialisé, et quand il a lieu dans un pays qui ne fait pas mystère d'y investir pour une question d'image, estime cet hebdomadaire. On a glosé tant et tant sur le scandale absolu de l'attribution de cette Coupe du monde au Qatar (scandale dont tout le monde se remet une fois le spectacle lancé). On a brandi l'arme du boycott. On a guetté les coups d'éclat de joueurs conscientisés… Mais le fond du sujet n'est pas tant l'absurdité des stades climatisés ou le bilan carbone que cette évidence brutale : la Coupe du monde 2022 est un moment chimiquement pur de géopolitique appliquée. Plus, bien plus, que celles qui l'ont précédée. Un spectacle en mondovision de la recomposition des blocs. À coups de symboles et d'images », énonce Marianne. « En lieu et place du bloc contre bloc d'antan, la cartographie que propose la Coupe du monde au Qatar est aussi mouvante et trompeuse que les sables du désert. Quid du front uni des « progressistes » soucieux de témoigner leur attachement aux « droits humains » bafoué par le régime qatari ? En fait, il n'existe pas. Ou n'existe plus, pointe ce magazine. La quasi-totalité des fédérations se sont tues, et en mimant un bâillonnement lors de son avant-match contre le Japon, l'équipe d'Allemagne a été l'une des rares à manifester contre l'interdiction du brassard antidiscrimination "One Love" », constate Marianne. Macron tous azimuts De retour de sa visite d'État aux États-Unis et en clôture de celle-ci, Emmanuel Macron a plusieurs fois parlé à la presse. Sur tous les sujets du moment. Dans un entretien au journal Le Parisien Dimanche, le président français a défendu « l'idée de subventionner le made in Europe ». Le chef de l'État a également rappelé l'objectif de maintenir l'aide envers l'Ukraine, particulièrement à l'approche de l'hiver, pour que cette dernière ait plus de poids dans d'éventuelles négociations. Interrogé sur les éventuelles coupures de courant, Emmanuel Macron, dans Le Parisien Dimanche, invite les Français à « ne pas paniquer ». Dans cet entretien, le président français dénonce également les « mensonges » des autorités iraniennes et dit avoir « mis une pression très ferme » sur son homologue iranien face aux emprisonnements « inacceptables » de ressortissants français. Ciotti en pole position Clôture, ce soir à 17hTU, du premier tour de l'élection à la tête du parti de droite Les Républicains. Les votants vont départager trois candidats : Aurélien Pradié, Bruno Retailleau et Éric Ciotti. « Favori de l'élection pour la présidence de LR, (Éric Ciotti) évite tout coup d'éclat, note L'Express. Une façon de ne pas obérer sa capacité à rassembler au second tour... et après », explique cet hebdomadaire. « Qui l'eût imaginé, remarque Le Point ? Éric Ciotti respecte le leader de la Nupes, il admire sa culture, bien qu'il combatte ses idées. Qui sait qu'il bavarde volontiers avec Alexis Corbière, autre pilier de LFI ? », interroge ce magazine. Ancien président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, premier des macronistes, a longuement côtoyé le questeur Ciotti, chargé du budget des députés. En privé, il ne cache pas qu'il a apprécié, (…) de travailler avec cet homme qu'il juge rigoureux, si urbain et pragmatique. Jamais, ils ne se sont accrochés. « Il est pro, solide, fiable. Ainsi va Éric Ciotti, bien moins intransigeant que sa caricature. Je respecte tous ceux qui sont sincères dans leurs convictions, explique-t-il. La politique, ce n'est pas une guerre. Ce que j'ai connu de plus violent, les coups les plus bas, venaient de mon camp ».

C dans l'air
GRÈVES, AFFAIRES, ÉLECRICITÉ… ÇA SE COMPLIQUE ! – 01/12/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 1, 2022 61:52


EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » Alors qu'Emmanuel Macron, en visite cette semaine aux Etats-Unis, s'en est pris au plan de lutte contre l'inflation passé par le président américain, jugé protectionniste, et a mis en garde contre le risque de « fragmenter l'Occident », en France la hausse de prix et la crise de l'énergie suscitent des inquiétudes mais aussi des tensions sociales. Depuis l'automne les revendications salariales se font entendre dans de nombreuses d'entreprises pour compenser l'inflation, et ce mois de décembre s'annonce agité sur le front social. Ainsi après une première mobilisation, les salariés de la RATP n'excluent plus une grève illimitée en décembre si leur nouveau patron, Jean Castex, ne répond pas à leurs attentes. A la SNCF, alors que s'ouvrent les négociations salariales annuelles, un premier mouvement des contrôleurs contraint la compagnie ferroviaire à annuler 60 % de ses TGV et Intercités de vendredi à dimanche, et d'autres grèves sont déjà prévues d'ici à la fin de l'année, y compris à Noël. Et cette colère s'exprime aussi dans le secteur de la santé où médecins généralistes et biologistes libéraux ont décidé de fermer cabinets et laboratoires ce jeudi et vendredi, les uns pour réclamer des hausses de tarifs, les autres pour éviter un « coup de rabot ». Dans ce climat social particulièrement tendu, et alors que le froid s'installe dans l'Hexagone, le gouvernement commence à préparer les entreprises et les habitants à des coupures de courant qui pourraient survenir dans le pays, compte tenu du manque de production nucléaire. Avec en ligne pour le moment, le mois de janvier qui - selon le gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE - présente un risque de tension « élevé », même en cas de « vague de froid modérée ». Mais l'exécutif est empêtré dans les affaires et dans la polémique sur le recours aux cabinets de conseil, notamment depuis l'ouverture de deux informations judiciaires visant les campagnes électorales de 2017 et 2022 du président. La première est ouverte des chefs de « tenue non conforme de comptes de campagne » et « minoration d'éléments comptables dans un contexte de campagne ». La justice soupçonne des salariés du cabinet de conseil McKinsey d'avoir travaillé bénévolement pour la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. La seconde information judiciaire concerne des faits de « favoritisme ». À savoir la contrepartie du travail bénévole réalisé par les équipes de McKinsey. Depuis, le débat sur le recours dans les ministères à des cabinets de conseil est relancé. Si Bruno Le Maire a reconnu qu'il y a eu « des abus », Olivier Véran a assuré ne pas savoir « ce qu'est une dérive ou un abus ». De son côté le chef de l'Etat avait estimé vendredi dernier qu'il n'était pas au coeur de l'enquête du Parquet national financier et avait jugé « normal » que la justice fasse son travail. Par la suite, le président de la République s'en est allé aux États-Unis rendre visite à Joe Biden, mais l'actualité a continué de bruisser de ses démêlés avec le parquet national financier (PNF), ainsi que ceux de son secrétaire général à l'Élysée Alexis Kohler, mis en examen en septembre dernier pour « prise illégale d'intérêts » ou encore de la démission de sa ministre des Collectivités territoriales, Caroline Cayeux, après que la HATVP ait saisi la justice pour des soupçons d'« évaluation mensongère » de sa déclaration de patrimoine et de « fraude fiscale ». Du côté des Républicains qui s'apprêtent à élire un nouveau président, c'est l'affaire Gaël Perdriau qui secoue le parti. S'il n'est plus un membre de LR, il est toujours maire de Saint-Étienne. Eric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié, les trois candidats à la tête de LR, ont appelé hier à sa démission après un dernier épisode révélé par Médiapart. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les Grandes Gueules
Les indiscrets politiques : Bruno Retailleau joue son va-tout dans la campagne LR - 25/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 25, 2022 5:14


Avec : Thomas Porcher, prof d'économie. Mourad Boudjellal, éditeur de BD. Et Elina Dumont, intervenante sociale. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.

L'invité de RTL
Bruno Retailleau est l'invité d'Amandine Bégot

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Nov 22, 2022 8:15


Ecoutez L'invité de RTL avec Amandine Bégot du 22 novembre 2022

Le Billet politique
Les Républicains, un parti zombie ?

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Nov 22, 2022 4:24


durée : 00:04:24 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau veulent tous les trois devenir président des Républicains. Un débat les opposait hier soir sur LCI. Le parti peine à se relever.

Si tu écoutes, j'annule tout
On vit dans un monde où le modem se radicalise ! "Quelle époque" comme dirait Léa Salamé...

Si tu écoutes, j'annule tout

Play Episode Listen Later Nov 21, 2022 3:49


durée : 00:03:49 - Le journal de presque 17h17 - Elisabeth Borne préside aujourd'hui un conseil des ministres des enfants à Matignon, le MODEM qui remet à l'ordre du jour, au Sénat, la question de la taxation des superprofits, et Bruno Retailleau accusé d'avoir diffusé des faux sondages qui lui étaient très favorables, c'est l'actu du jour !

Le journal de presque 17h17
On vit dans un monde où le modem se radicalise ! "Quelle époque" comme dirait Léa Salamé...

Le journal de presque 17h17

Play Episode Listen Later Nov 21, 2022 3:49


durée : 00:03:49 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Elisabeth Borne préside aujourd'hui un conseil des ministres des enfants à Matignon, le MODEM qui remet à l'ordre du jour, au Sénat, la question de la taxation des superprofits, et Bruno Retailleau accusé d'avoir diffusé des faux sondages qui lui étaient très favorables, c'est l'actu du jour !

Par Jupiter !
On vit dans un monde où le modem se radicalise ! "Quelle époque" comme dirait Léa Salamé...

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Nov 21, 2022 3:49


durée : 00:03:49 - Le journal de presque 17h17 - Elisabeth Borne préside aujourd'hui un conseil des ministres des enfants à Matignon, le MODEM qui remet à l'ordre du jour, au Sénat, la question de la taxation des superprofits, et Bruno Retailleau accusé d'avoir diffusé des faux sondages qui lui étaient très favorables, c'est l'actu du jour !

Le grand rendez-vous
Le Grand Rendez-vous avec Bruno Retailleau

Le grand rendez-vous

Play Episode Listen Later Nov 13, 2022 44:23


Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détour de Sonia Mabrouk pour apporter des réponses concrètes aux Français.

Le Grand Jury
Le Grand Jury de Bruno Retailleau

Le Grand Jury

Play Episode Listen Later Oct 9, 2022 52:38


Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, Président du Groupe Les Républicains au Sénat et candidat à la présidence LR est l'invité du Grand Jury de 12h à 13h. Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost et Marie-Pierre Haddad du 09 octobre 2022

L'invité de RTL
Le Grand Jury de Bruno Retailleau

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Oct 9, 2022 52:38


Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, Président du Groupe Les Républicains au Sénat et candidat à la présidence LR est l'invité du Grand Jury de 12h à 13h. Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost et Marie-Pierre Haddad du 09 octobre 2022

Tanguy Pastureau maltraite l'info
Pleurer en écoutant Bella Ciao en persan

Tanguy Pastureau maltraite l'info

Play Episode Listen Later Oct 7, 2022 4:45


durée : 00:04:45 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy nous parle de Bruno Retailleau et des femmes iraniennes qui, pendant quelques minutes de cette vie, se sont retrouvés autour d'un point commun.

Les Grandes Gueules
Les indiscrets politiques : Bruno Retailleau acte la rupture avec Nicolas Sarkozy - 05/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 5, 2022 5:30


Avec : Etienne Liebig, éducateur. Stéphane Manigold, restaurateur. Et Zohra Bitan, cadre la fonction publique. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.

L'entretien de Sonia Mabrouk
Eric Dupond-Moretti et Alexis Kohler maintenus : «Jupiter est devenu Tartuffe», ironise Bruno Retailleau

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Oct 4, 2022 15:50


Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat et sénateur de la Vendée, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des affaires Eric Dupont Moretti et Alexis Kohler, de la réforme des retraites, de la sobriété énergétique et de l'assurance-chômage.

L'entretien de Sonia Mabrouk
EXTRAIT - Bruno Retailleau veut une réforme des retraites pour «préserver les droits des Français»

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Oct 4, 2022 2:25


Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat et sénateur de la Vendée, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des affaires Eric Dupont Moretti et Alexis Kohler, de la réforme des retraites, de la sobriété énergétique et de l'assurance-chômage.

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
Dimitri Pavlenko avec Jean Dujardin et Bruno Retailleau

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Oct 4, 2022 96:46


Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.

Le sept neuf
Bruno Retailleau : "Cette réforme de la retraite, il faut la faire"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Sep 22, 2022 24:38


durée : 00:24:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, s'oppose à une nouvelle loi sur la fin de vie et demande au gouvernement de maintenir le cap de la réforme des retraites./

Les interviews d'Inter
Bruno Retailleau : "Cette réforme de la retraite, il faut la faire"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Sep 22, 2022 24:38


durée : 00:24:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, s'oppose à une nouvelle loi sur la fin de vie et demande au gouvernement de maintenir le cap de la réforme des retraites./

Le Nouvel Esprit Public
Refondation nécessaire ? Concertation possible ? / Tensions à Taïwan / n°262 / 11 septembre 2022

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Sep 11, 2022 61:28


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 9 septembre 2022.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. REFONDATION NÉCESSAIRE ? CONCERTATION POSSIBLE ?Le président de la République a lancé jeudi, à Marcoussis dans l'Essonne, le Conseil national de la refondation (CNR), symbole de sa « nouvelle méthode » : le dialogue. Selon l'Élysée, « il s'agit de revivifier notre démocratie et faire face à d'immenses défis », de « recréer la confiance ». Le Haut-Commissaire au Plan et principal allié de LREM François Bayrou (MoDem) en est le secrétaire général. Parmi les thèmes abordés figurent le plein emploi, l'école, la santé, le bien-vieillir et la transition écologique. Destiné à réunir acteurs politiques, syndicats, associations et citoyens pour réfléchir aux grands sujets du moment, le CNR est qualifié de « bidule macroniste » par Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, d'« objet politique non identifié », par le sénateur socialiste Patrick Kanner ou de « saison 2 du bla-bla » par le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. De LR au Rassemblement national en passant par les Verts, les « insoumis », les socialistes et les communistes, tous ont fait savoir qu'ils boycotteraient les discussions. Même l'ancien Premier ministre, Edouard Philippe sera absent. Le président (LR) du Sénat, Gérard Larcher redoute que le CNR ne vise à contourner le Parlement. D'autres soulignent une instance à faible valeur ajoutée au regard du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Même si l'Élysée martèle qu'« il s'agit d'une méthode de concertation, et non d'une nouvelle structure ou institution ». En revanche, les principales associations d'élus ont finalement accepté de participer à son lancement après avoir obtenu des réunions régulières avec Emmanuel Macron. Le Medef, La CFDT, la CFE-CGC et la CFTC ont également répondu à l'invitation.L'idée, de ce CNR avait été lancée par Emmanuel Macron juste avant les élections législatives de juin dernier. Le « clin d'œil » au Conseil national de la résistance est assumé. Fondé par Jean Moulin en 1943, il avait adopté en 1944 un programme pour relever la France anéantie par l'occupation nazie. Un programme qui dessinait notamment les contours de l'État-providence. Regroupant tous les mouvements politiques de la Résistance intérieure, ce fut un moment rare d'union nationale avant que la politique et ses divisions ne reprenne ses droits en 1947. « Nous vivons un temps comparable, a assuré Emmanuel Macron. Nous sommes dans une ère historique qui impose de changer profondément de modèle et puis la guerre est là ».La journée de jeudi a démarré par un état de la situation du pays : une présentation des finances publiques par Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, de l'économie par François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, et des enjeux climatiques par Corinne Le Quéré, présidente du Haut Conseil pour le climat. Pour François Bayrou « ce qui est en jeu, c'est notre vie pour les années qui viennent et nos raisons de vivre pour les années qui viennent ».***TENSIONS À TAÏWANLa tension est montée d'un cran début août, après à la visite à Taïwan de la présidente américaine de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi. En représailles, l'armée chinoise a lancé d'importantes manœuvres militaires, allant jusqu'à simuler un blocus de Taïwan. Le Parti communiste chinois s'insurge contre toute action diplomatique susceptible de conférer une légitimité à Taïwan et réagit avec une agressivité croissante aux visites de responsables occidentaux.L'élection à Taïwan, en 2016, de la démocrate Tsai Ing-wen plus souverainiste que son prédécesseur du Kouomintang traditionnellement ouvert à la Chine, a grandement mécontenté le président chinois Xi Jing Ping. Selon le dernier sondage d'opinion réalisé en juin 2022, seul 2% de la population taïwanaise est favorable à une réunification de l'île et du continent. Xi Jing Ping doit soigner sa stature d'homme fort avant le 20ème Congrès du PCC à l'automne et une session plénière de l'Assemblée nationale populaire en 2023 où il devrait briguer un troisième mandat présidentiel de cinq ans. Selon lui, l'« unification » avec Taïwan est une priorité qui « ne peut être laissée aux générations futures ». Le 10 août, Pékin a publié un Livre blanc consacré à Taïwan, le premier depuis 2000, et « le plus ferme jamais écrit » contre l'indépendance de l'île, d'après le journal nationaliste pékinois Huanqiu Shibao. Le spectre d'un conflit armé opposant Pékin et Taipei plane sur le détroit de Formose depuis 70 ans, lorsque les troupes nationalistes du Kuomintang se sont installées sur l'île, fuyant l'avancée des communistes de Mao.En 2022, Taïwan a porté son budget militaire à un niveau record, près de 15 milliards de dollars, mais selon le think-tank américain Council on Foreign Relations, « les dépenses de la Chine seraient environ vingt-deux fois supérieures à celles de Taïwan ». L'armée chinoise, l'Armée populaire de libération compte plus de deux millions d'hommes et de femmes d'active, dont près d'un million rattachés à l'armée de terre, à quoi s'ajoutent 500.000 paramilitaires mobilisables et 500.000 réservistes. En comparaison, l'armée taïwanaise aligne 169.000 militaires d'active, mais peut compter sur près de 1,66 million de réservistes, selon le rapport 2022 de l'International Institute for Strategic Studies. Début septembre, la Chine a demandé aux Etats-Unis de renoncer « immédiatement » à la vente, pour 1,1 milliard de dollars d'armes à Taïwan menaçant dans le cas contraire de prendre des « contre-mesures ».Traditionnellement, les Etats-Unis avaient adopté une position d'« ambiguïté stratégique » consistant à ne pas dire clairement s'ils défendraient Taïwan en cas d'attaque chinoise. Mais depuis deux ans le président Joe Biden a affirmé à plusieurs reprises que son pays défendrait l'île si la Chine l'attaquait.Le piège de Thucydide, qui veut qu'une puissance dominante soit souvent poussée à entrer en guerre avec une puissance émergente, va-t-il se refermer sur les Etats-Unis et la Chine ?Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

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CDLA L'INVITÉ - BRUNO RETAILLEAU - 08/09/22

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Play Episode Listen Later Sep 8, 2022 10:37


CNR : LA DROITE REFUSE DE DÉBATTRE ? - 08/09/22 BRUNO RETAILLEAU Président du groupe LR au Sénat « Les absents ont toujours tort », a déclaré le chef de l'Etat en ouvrant le Conseil national de la refondation ce jeudi matin. Symbole d'une « nouvelle méthode », le CNR, supervisé par la Première ministre, doit se décliner en chantiers thématiques et territoriaux pour évoquer la santé, l'éducation, le travail, le climat ou encore l'autonomie. Mais l'initiative est critiquée par certains de ceux qui y étaient conviés et qui craignent que le CNR ne contourne le Parlement. Si la CFDT a bien accepté de s'y rendre, la CGT et le CFE-CGC ont refusé. Et du côté des partis d'opposition, c'est un non net et massif. Caroline Roux reviendra avec Bruno Retailleau sur le CNR, qu'il estime être « un bidule macronien » et sur sa candiature à la présidence du parti Les Républicains.

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INSÉCURITÉ, L'AUTRE URGENCE DE MACRON – 07/09/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 7, 2022 65:46


EXPERTS Alain BAUER Professeur au CNAM Responsable du pôle sécurité, défense et renseignement Vanessa SCHNEIDER Grand reporter – « Le Monde » Audrey GOUTARD Cheffe de service enquête et reportage – « France Télévisions » Jérôme FOURQUET Directeur du pôle Opinion et Stratégies d'Entreprises – IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » 8.500 policiers et gendarmes supplémentaires en cinq ans. C'est l'annonce faîte hier par Elisabeth Borne en marge de l'inauguration d'un nouveau commissariat parisien. Un chiffre qui marque, et qui annonce surtout la future loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi). Celle-ci doit donner plus de moyens pour faire face à la délinquance et à la criminalité. Le texte, présenté ce matin en Conseil des ministres dans une version resserrée, prévoit notamment 15 milliards d'euros supplémentaires de budget pour la sécurité des Français. Car la sécurité est une des principales inquiétudes de la population. Selon un sondage Elabe du 24 août, c'est la troisième priorités d'action pour le gouvernement aux yeux des Français, derrière le pouvoir d'achat et l'environnement. L'été a sans doute accentué ce sentiment grandissant d'insécurité, entre les épisodes de rodéos sauvages, de refus d'obtempérer et d'incivilités un peu partout sur le territoire. Gérald Darmanin s'est ainsi démultiplié ces dernières semaines, enchaînant propositions et déclarations polémiques. Le ministre de l'Intérieur a notamment associé immigration et délinquance et avancer l'idée d'un encadrement militaire pour les jeunes délinquants de Mayotte. Réalité ou ressenti sans fondement, l'insécurité est en tout cas de plus en plus abordée dans des villes qui, jusque là, ne faisait pas parler d'elles dans ce domaine. À Nantes, les riverains du centre-ville seraient aujourd'hui inquiet d'une détérioration de leur qualité de vie. La sixième ville de France ferait en effet face à de plus en plus de vols et d'agressions en pleine rue. Alors qu'à Angers, l'attaque mortelle au couteau de trois adolescents en juillet dernier est perçu comme le signe d'une ville moins sûre qu'auparavant. Si la sécurité n'est plus l'apanage des politiques de droite, elle reste la colonne vertébrale du logiciel des Républicains. C'est justement leur rentrée, sur fond de guerre de succession pour remplacer Christian Jacob à la tête du parti. Le congrès pour choisir le prochain dirigeant se tiendra le premier week-end de décembre. Trois candidats se sont déclarés : les très droitiers Eric Ciotti et Bruno Retailleau d'un côté, et le plus modéré Aurélien Pradié de l'autre, qui se présente comme une « alternative » pour « tout changer ». Alors, les annonces à venir du gouvernement suffiront-elles à endiguer le sentiment d'insécurité des Français ? Que peuvent les villes face à la délinquance ? Quel avenir pour les LR, et qui pour en devenir le nouveau chef ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Si tu écoutes, j'annule tout
Un manifeste, une discussion à Bercy et un pécheur dans un congélateur

Si tu écoutes, j'annule tout

Play Episode Listen Later Sep 5, 2022 3:54


durée : 00:03:54 - Le journal de presque 17h17 - Bruno Retailleau reçoit le soutien de François Fillon pour la présidence des LR, Bernard Cazeneuve lance un manifeste, la tour du ministère de la Transition écologique éclairée toute la nuit, c'est l'actu du jour !

Le journal de presque 17h17
Un manifeste, une discussion à Bercy et un pécheur dans un congélateur

Le journal de presque 17h17

Play Episode Listen Later Sep 5, 2022 3:54


durée : 00:03:54 - Le journal de presque 17h17 - Bruno Retailleau reçoit le soutien de François Fillon pour la présidence des LR, Bernard Cazeneuve lance un manifeste, la tour du ministère de la Transition écologique éclairée toute la nuit, c'est l'actu du jour !

Revue de presse française
À la Une: de petites pompes funèbres pour Gorby

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Sep 3, 2022 4:34


Mikhaïl Gorbatchev est porté en terre, ce samedi, à Moscou… Des funérailles qui se dérouleront hors la présence de Vladimir Poutine, pour cause d'emploi du temps trop chargé du président russe. Officiellement… : « Certes, admet Le Figaro, des « éléments de funérailles nationales », notamment une garde d'honneur, seront présents à l'inhumation du dernier dirigeant de l'URSS (…) Mais l'absence délibérée de Vladimir Poutine n'en constitue pas moins un « message » sans ambiguïté, selon le journaliste George Pozner, vétéran de la scène médiatique russe, qui rappelle que « les deux hommes avaient une conception du monde très différente. Un euphémisme, lorsqu'on sait à quel point l'actuel chef du Kremlin a toujours déploré l'effondrement de l'URSS, que son prédécesseur a précipité par-devers lui, ce qui lui vaut la détestation tenace de beaucoup de ses compatriotes. Avec la guerre en Ukraine en toile de fond, la distance entre les dirigeants paraît encore plus grande », complète Le Figaro. Cette absence de Vladimir Poutine à ces funérailles a, en tout cas, de quoi choquer Hubert Védrine. « La façon dont le régime organise les obsèques est minable », dit au Parisien l'ancien conseiller de François Mitterrand. Dans un entretien-souvenirs à ce quotidien, Hubert Védrine, qui fut aussi ministre des Affaires étrangères, estime que Vladimir Poutine tenait le dernier dirigeant de l'URSS, de son vivant, « à distance ». Dans Le Parisien, Hubert Védrine dit encore que Mikhaïl Gorbatchev « n'a pas été compris et a même été rejeté par les Russes ». Vrai-faux suspense au Chili J-1 au Chili pour le référendum constitutionnel. Alors que le vote est obligatoire, (sous peine d'amende pour les abstentionnistes), son issue demeure incertaine. Le pays retient son souffle. Le Chili « à l'heure du grand saut », lance Libération, alors que les électeurs chiliens sont appelés à approuver ou rejeter un texte ayant vocation à remplacer l'actuelle Constitution (laquelle date l'ère Pinochet, il y a de cela quarante-deux ans). Le texte du référendum se présente sous la forme d'un livre de 170 pages tenant « tout un pays en haleine », assure Libération, en présentant ledit texte comme « une avancée majeure dans l'histoire du pays ». Pour autant, ce quotidien admet que, dans les sondages, le rejet du texte aurait « de 4 à 12 points d'avance ». Et Libé signale que les opposants à la réforme de la Constitution, qui y voient un « brûlot gauchiste », sont tout autant « mobilisés » que ceux qui comptent l'approuver. Retailleau candidat LR En France, une nouvelle candidature pour prendre la tête des Républicains, celle du sénateur Bruno Retailleau. « Oui, je serai candidat à la présidence des Républicains », dit ce dernier au Figaro. Le président du groupe LR au Sénat assure à ce quotidien n'être candidat « contre personne », mais en présentant sa candidature, Bruno Retailleau affirme vouloir éviter « un face-à-face entre deux camps qui joueraient la surenchère », en référence aux candidatures d'Eric Ciotti et d'Aurélien Pradié, et dans lesquelles il perçoit « un choc frontal » de nature à « briser » le parti. La guerre des droites n'aura pas lieu Justement, cette élection à venir chez Les Républicains pourrait-elle allumer une nouvelle guerre au sein de la droite française ? C'est, en tout cas, ce que semble craindre ce journal conservateur qu'est Le Figaro. « Alors qu'Éric Ciotti porte une ligne identitaire et sécuritaire assumée, Aurélien Pradié revendique un discours social et plus sociétal. L'écart est si fort entre ces deux-là que nombre d'élus, de cadres et de militants LR redoutent une fracture de plus au sein d'un parti qui, depuis quinze ans maintenant, ne cesse de se rétrécir à la manière d'une peau de chagrin. Jusqu'alors qualifié de « droitier », Retailleau peut espérer se poser en rassembleur de sensibilités différentes », espère manifestement ce quotidien. Le choix de la future tête des Républicains ? Ce sera « l'élection de tous les dangers », prévient en Une le quotidien l'Opinion, alors que s'ouvre aujourd'hui la réunion de rentrée des Jeunes de ce parti. La bataille, en tout cas, promet d'être « acharnée », prédit l'Opinion. Lequel journal, sur son site Internet, publie une tribune paraphée par 519 jeunes Républicains, et dans laquelle les signataires apportent leur soutien au candidat Éric Ciotti.

Le vrai du faux
Y a t-il vraiment des millions de cartes vitales en trop qui circulent en France?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Aug 5, 2022 2:22


durée : 00:02:22 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - Deux sénateurs Les Républicains, dont le chef de file du groupe Bruno Retailleau, pointent le fait que des millions de cartes vitales surnuméraires circuleraient en France. Des données très datées qui ne correspondent pas à la situation actuelle.

L'invité de RTL
Bruno Retailleau était l'invité de RTL du 03 août 2022

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Aug 3, 2022 11:53


Le président du groupe Les Républicains au Sénat était l'invité de RTL le 3 août 2022.

RTL Matin
Bruno Retailleau était l'invité de RTL du 03 août 2022

RTL Matin

Play Episode Listen Later Aug 3, 2022 11:53


Le président du groupe Les Républicains au Sénat était l'invité de RTL le 3 août 2022.

Bourdin Direct
L'interview : Bruno Retailleau - 27/07

Bourdin Direct

Play Episode Listen Later Jul 27, 2022 17:13


Avec : Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat. - Chaque matin, Amandine Atalaya reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour de la journaliste. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).

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Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
Dimitri Pavlenko avec Christophe Lecourtier et Bruno Retailleau

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Jun 1, 2022 118:29


Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.