French politician
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On today's podcast:1) French Prime Minister Sebastien Lecornu resigned Monday just a day after President Emmanuel Macron named a new cabinet, deepening the country’s political crisis. The premier quit less than 24 hours after Macron announced a government that retained most senior members from previous cabinets. That irked opposition parties looking for change, but in a surprising twist, the reappointed interior minister, Bruno Retailleau — who leads the center-right Republicans — also slammed the choice of ministers as failing to “break” with the past.2) President Trump is pressing Israel and Hamas to seal a settlement to the two-year conflict that’s devastated Gaza and destabilized the Middle East, with the warring sides set to begin mediated talks on Monday. A key sign of progress in the negotiations, taking place in the Egyptian Red Sea resort of Sharm El-Sheikh, will be whether Hamas frees all the roughly 20 of its live hostages — plus the remains of those who are dead — in return for Israel releasing about 2,000 Palestinian prisoners.3) Unions representing hundreds of thousands of federal workers asked a US judge to immediately block any mass firings by the Trump administration during the government shutdown while they press a legal challenge.The emergency request Saturday night to US District Judge Vince Chhabria in San Francisco follows what the unions contend are a series of statements from President Donald Trump and other senior officials signaling that agencies could take action on layoff plans as early as Monday. Kevin Hassett, Trump’s top economic adviser in the White House, said the administration is holding off on layoffs at least until Monday, when a divided Senate is due to vote for the fifth time on a stopgap bill to keep government open through November 21st.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Il a obtenu de Sébastien Lecornu toutes les garanties qu'il voulait : pas de taxe Zucman, pas d'ISF, pas de suspension de la réforme des retraites. Il a même exigé du chef du gouvernement une feuille de route… écrite ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sébastien Lecornu se fait attendre. Le premier ministre a posé ses valises à Matignon il y a près de trois semaines. Mais toujours pas de gouvernement. C'est la plus longue attente de la Vè République, et de très loin. Plusieurs responsables du bloc central envisagent une nomination du gouvernement d'ici samedi. Un ministère sera particulièrement scruté. Celui de l'intérieur. Il y a à peine un an, Michel Barnier nommait Bruno Retailleau place Beauvau. En quelques mois, la notoriété du sénateur vendéen a explosé. Multipliant les déplacements et les annonces choc, il s'est imposé comme le nouvel homme fort de la droite. Nathalie Schuck, grand reporter politique au Point, publie une biographie de Bruno Retailleau : Le Cardinal (Robert Laffont).Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Jules Torres, journaliste au service politique du JDD - Sébastien Lignier, chef du service politique à Valeurs actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le célèbre animateur de "Qui veut gagner des millions" pourrait bien animer les tests obligatoires sur l'histoire de France que Bruno Retailleau souhaite imposer aux étrangers lors des naturalisations. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 23 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La participation à ce podcast populaire chez les jeunes est sans doute utile pour Edouard Philippe qui a perdu quelques points dans les sondages et doit affronter la concurrence de Bruno Retailleau. Mais c'est aussi une émission sans vraie contradiction. Parfait ! Le maire du Havre a tenté de crever les abcès : les gilets jaunes ou les 80 km/h. Sur cette mesure impopulaire, il confie que si c'était c'était possible, il ne la referait pas comme ca…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:48 - L'invité de "ici Maine" - La France va reconnaitre l'État palestinien, devant les Nations unies, lundi. Pour "marquer ce jour historique", le maire d'Allonnes va afficher le drapeau palestinien au fronton de sa mairie, malgré l'interdiction intimée par le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 19 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LECORNU ET LA QUADRATURE DU CERCLEArrivé à Matignon le 10 septembre, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a promis une inflexion sur la forme et sur le fond. Cinquième premier ministre de ce quinquennat, dépourvu de majorité absolue à l'Assemblée nationale, il va devoir affronter sans tarder les mêmes murs budgétaires et parlementaires que ses prédécesseurs. Il se trouve confronté à la délicate équation de trouver un compromis avec la gauche sans déplaire à la droite. La composition de la nouvelle équipe gouvernementale ne sera pas connue avant plusieurs semaines, puisque le chef de l'Etat a enjoint son Premier ministre de mener des discussions préalables avec les différentes formations politiques avant de bâtir son gouvernement.L'idée du Premier ministre de chercher un accord, sur le budget, mais également « sur deux ou trois textes forts », convient aux dirigeants de la droite. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a fait, en gage de bonne volonté, deux concessions : renoncer à l'« année blanche » – le gel des dépenses publiques – et à l'aide sociale unique, mais il ne transigera pas sur le « durcissement sur l'immigration » ou « l'assistanat ». Au-delà du « socle commun », Sébastien Lecornu devra obtenir au minimum une non-censure du Parti socialiste pour faire adopter le budget 2026. Le parti socialiste a défendu le 15 septembre à Matignon une position comprenant la suspension de la réforme des retraites, l'instauration de la taxe Zucman sur les grandes fortunes et la baisse du quantum d'économies à réaliser d'ici à 2029. À l'Élysée, on assure n'avoir fixé aucune ligne rouge au Normand. Pour ne fâcher personne, il a d'ores et déjà été acté qu'il ne procèdera à aucun débauchage au sein du Parti socialiste pour composer son gouvernement. À l'occasion de son interview le 13 septembre dans la presse régionale, pour amadouer les socialistes, Sébastien Lecornu s'est dit « prêt » à l'abandon de la suppression des deux jours fériés, à augmenter la fiscalité des plus riches, mais sans toucher à leur « patrimoine professionnel ». Quant à un aménagement de la réforme des retraites, il reste évasif, mais rejette un retour du « conclave ». Il ne renie pas la totalité de la copie budgétaire de M. Bayrou sur laquelle il devrait, en partie, se fonder. Mais il lui faudra peut-être aussi faire un geste sur le pouvoir d'achat et un autre sur les retraites, sans perdre le soutien des Républicains ou braquer le patronat, ni oublier la réduction du déficit ...Les Français n'accordent que 16% d'opinion favorables à Sébastien Lecornu, contre 40% d'opinions défavorables, selon le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par « La Tribune Dimanche » mais surtout ils le connaissent peu (argument avancé par 44% des personnes interrogées pour ne pas se prononcer). Le Premier ministre connaîtra bientôt sa première épreuve du feu parlementaire, puisque La France Insoumise a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure « dès le premier jour » de la session ordinaire, le 1er octobre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 18 septembre 2025 - Manifestations : ce que demandent les Français« D'ores et déjà un succès ». Sophie Binet, la secrétaire nationale de la CGT, s'est félicité aujourd'hui de l'ampleur de la mobilisation contre les mesures budgétaires. Le niveau est en effet comparable aux manifestations contre la réforme des retraites de 2023. Plusieurs centaines de milliers de personnes étaient attendues aujourd'hui dans les rues par les autorités. Dans les cortèges, les pancartes insistent sur une vie chère et un travail qui ne paie plus. Mais c'est aussi la figure d'Emmanuel Macron qui est directement visée, avec des appels à la démission.Plusieurs dizaines d'interpellations ont toutefois eu lieu. Les mises en garde de Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, s'étaient multipliées ces jours derniers. Les policiers mobilisés en nombre (80.000 sur tout le territoire) seraient « intraitables » en cas de casse ou de violence. Des déclarations comparées à « de l'huile sur le feu » par les oppositions de gauche et la CGT.Pendant ce temps, le spectacle actuel donné par la politique française désole certains élus. Harold Huwart, député LIOT d'Eure-et-Loir, se dit « consterné et préoccupé » par l'obnubilation de certains partis pour 2027. Il réfléchit à quitter l'Assemblée nationale pour se consacrer aux municipales. Dubitatif sur la nomination de Lecornu, il attend de connaître sa proposition de budget avant de se prononcer sur une censure.Dans ce contexte, les Français font entendre leur colère à travers des pétitions. Après celle contre la loi Duplomb qui, pour la première fois dans l'histoire parlementaire, fera l'objet d'un examen en commission des affaires économiques, c'est celle de Philippe de Villiers qui semble avoir du succès. Celle-ci exige un référendum sur l'immigration et revendique le million de signatures. Mais la réalité de ce chiffre pose question, le site hébergeant ce texte ne vérifie ni l'identité ni l'adresse mail des signataires.Alors, que retenir de la mobilisation intersyndicale ? Comment expliquer le désamour de certains députés pour le Palais Bourbon ? Pourquoi les pétitions rencontrent-elles autant de succès ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction à Franc-Tireur- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à Franceinfo- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions- Gilles DANSART - Directeur de la rédaction de Mobilettre
Dans cette édition :La France fait face à une journée de grève nationale avec de nombreux blocages et tensions dans les rues, mobilisant 80 000 policiers et gendarmes pour assurer l'ordre public.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau appelle à la fermeté face aux blocages et exige des sanctions plus sévères après la remise en liberté sous contrôle judiciaire des agresseurs d'un policier à Tourcoing.Les manifestations rassemblent près d'un million de personnes avec des revendications diverses autour du pouvoir d'achat et de la justice fiscale, notamment la proposition de la "taxe Zucman" sur les grandes fortunes.Le président Emmanuel Macron reste silencieux face à cette mobilisation sociale, laissant le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu gérer la situation.Le chef de l'État prépare parallèlement sa prochaine intervention à l'Assemblée générale de l'ONU où il devrait reconnaître l'État de Palestine, une décision contestée par une partie de l'opinion.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Christophe Couvy, Secrétaire National UNITE POLICE. - Eliot Deval, chroniqueur. - Gauthier le Bret, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Christophe Bordet, chroniqueur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La France fait face à une journée de grève nationale avec de nombreux blocages et tensions dans les rues, mobilisant 80 000 policiers et gendarmes pour assurer l'ordre public.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau appelle à la fermeté face aux blocages et exige des sanctions plus sévères après la remise en liberté sous contrôle judiciaire des agresseurs d'un policier à Tourcoing.Les manifestations rassemblent près d'un million de personnes avec des revendications diverses autour du pouvoir d'achat et de la justice fiscale, notamment la proposition de la "taxe Zucman" sur les grandes fortunes.Le président Emmanuel Macron reste silencieux face à cette mobilisation sociale, laissant le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu gérer la situation.Le chef de l'État prépare parallèlement sa prochaine intervention à l'Assemblée générale de l'ONU où il devrait reconnaître l'État de Palestine, une décision contestée par une partie de l'opinion.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Invités : - Michel Chevalet, journaliste scientifique - Philippe Royer Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Mientras los jóvenes consumen menos cannabis, alcohol y tabaco, las organizaciones criminales amplían su control sobre el tráfico de cocaína y refuerzan sus métodos violentos en todo el país. En los últimos diez años se ha registrado una explosión del tráfico de cocaína y de prácticas violentas extremas de las redes criminales. El consumo de ciertas drogas disminuye en Francia entre los jóvenes, según el informe europeo ESPAD, que analiza las cifras en el continente. Francia es uno de los países de Europa donde esta caída en el consumo de drogas es más marcada. Lo que disminuye, sobre todo, es el consumo de cannabis, así como el de otras sustancias como el alcohol y el tabaco. Esto se debe, según el presidente de la Comisión Interministerial de Lucha contra la Droga, Nicolas Prisse, a las medidas de prevención y a un cambio de comportamiento en los jóvenes, que cada vez salen menos y están más conectados a las redes sociales. Pero, del otro lado, las redes criminales se fortalecen, explicó Prisse a RFI. "Sí, el consumo de cannabis disminuye. Pero, al mismo tiempo, constatamos una oferta orquestada por las redes criminales y una demanda de la población de productos como la cocaína y drogas estimulantes, entre otros, el éxtasis y las anfetaminas. La población se inclina por las "drogas de rendimiento", como las denominan los consumidores, que se usan en diferentes circunstancias: en el trabajo, en el ámbito festivo o en las relaciones sexuales”. "Las redes criminales francesas utilizan métodos atroces" Existe una penetración cada vez mayor de las mafias y de las redes de narcotraficantes. El ministro del Interior saliente, Bruno Retailleau, evocó incluso una "mexicanización de Francia" para referirse a las prácticas de estas redes criminales. Nicolas Prisse describe las características de estos nuevos delincuentes en Francia. "En lo que respecta a los estupefacientes, hemos constatado en los últimos años la influencia cada vez mayor de las redes de narcotraficantes en Francia, las cuales son poderosas económicamente, violentas y utilizan métodos de intimidación atroces. También reclutan menores que se convertirán en los ‘menos cualificados' de la jerarquía criminal", subraya Prisse. Además de las medidas de prevención, están las de la lucha contra los narcotraficantes. En junio pasado se promulgó una ley para combatir estas redes. "Estamos actualmente en un momento clave en el que, por un lado, hay que luchar contra el crimen organizado y el narcotráfico y, al mismo tiempo, acentuar los esfuerzos de prevención difundiendo información sobre los riesgos del consumo", concluye Prisse.
Après une naissance virtuelle, une croissance progressive tout au long de l'été sur les réseaux sociaux et dans les médias, le mouvement Bloquons tout a pris corps dans les rues, mercredi 10 septembre.550 rassemblements, 262 blocages recensés partout en France et 175 000 manifestants selon le ministère de l'intérieur, tandis que la CGT en a comptabilisé 80 000 de plus. Le ministère a également fait état de situations « particulièrement tendues » avec « des prises à partie de forces de l'ordre » à Rennes, Nantes ou encore Paris, et a procédé à l'interpellation de 473 personnes.Malgré un éparpillement manifeste et visible dès les origines en ligne, les mots d'ordre se sont répondu d'un bout à l'autre de l'Hexagone – qu'ils concernent l'augmentation des salaires et du pouvoir d'achat, la remise en cause du montant des aides versées par l'Etat aux entreprises ou plus globalement la politique d'Emmanuel Macron.Faut-il voir dans Bloquons tout le 10 septembre le début d'un grand mouvement de contestation sociale ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Michaël Szadkowski, journaliste au service Pixels du Monde, nous aide à comprendre les origines du mouvement et les profils de ses adeptes, et Aline Leclerc, journaliste au service économie du Monde, revient sur les causes – variées et anciennes – de cette colère sociale.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits de sons envoyés par plusieurs journalistes du « Monde » mobilisés sur le terrain le 10 septembre, Gilles Rof, Benjamin Keltz et Sylvia Zappi ; d'un reportage de l'AFP réalisé le 10 septembre 2025 ; de deux conférences de presse, l'une tenue par François Bayrou le 15 juillet 2025, et l'autre par Bruno Retailleau le 10 septembre 2025.Cet épisode a été publié le 12 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frPour assister à un enregistrement de L'Heure du Monde en direct, le jeudi 18 septembre, inscrivez-vous ici. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 10 septembre 2025 avec Nathalie Schuck, grand reporter à l'hebdomadaire Le Point et autrice de "Le Cardinal", aux éditions Robert Laffont.Sébastien Lecornu est nommé à Matignon, et reçoit cet après-midi les représentants des Républicains et de Renaissance. Le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, restera-t-il au gouvernement ? Nathalie Schuck lui consacre une biographie, intitulée "Le Cardinal", aux éditions Robert Laffont. Quelles sont ses relations avec Emmanuel Macron ? Avec Sébastien Lecornu ? A-t-il réussi son pari en participant au gouvernement ? Enfin, l'Elysée est-il une ambition pour lui ?Nathalie Schuck, grand reporter à l'hebdomadaire Le Point et autrice de "Le Cardinal", aux éditions Robert Laffont, dressera le portrait du "cardinal" de la droite, d'abord critique du macronisme, et aujourd'hui en première ligne au sein du gouvernement à l'occasion du mouvement du "10 septembre".
Miles de ciudadanos participaron en la jornada de movilización convocada por el movimiento espontáneo en redes sociales "Bloquons tout", que buscaba mostrar el descontento ante la situación económica, social y política del país. A pesar de la magnitud de la protesta, las autoridades lograron evitar bloqueos graves y mantener el orden. Informe de Delia Arrunategui. Las protestas se desarrollaron desde temprano en distintos puntos del país, aunque sin afectar infraestructuras estratégicas ni registrar incidentes graves de manera generalizada. En total, se contabilizaron 812 concentraciones y bloqueos, con acciones destacadas en París, Lyon, Grenoble y Poitiers. A pesar de intentos de bloquear carreteras y el acceso a aeropuertos, la intervención policial impidió la formación de barricadas o cortes significativos. Según el Ministerio del Interior, unas 200.000 personas participaron en las manifestaciones, mientras que el sindicato CGT elevó la cifra a 250.000. Más de 470 personas fueron detenidas a lo largo del día, 203 solo en la región parisina, y 399 permanecen en custodia. El entonces ministro del Interior, Bruno Retailleau, destacó la eficacia de las fuerzas de seguridad, compuestas por 80.000 efectivos en todo el país —6.000 en París—, en evitar actos de violencia o sabotaje en infraestructuras esenciales. Aunque la jornada superó las expectativas iniciales de participación de las autoridades, que habían estimado 100.000 manifestantes, el movimiento no logró cumplir su principal objetivo: paralizar el país. En defensa de los servicios públicos En las calles de París, decenas de personas se concentraron frente al Hospital Tenon, en el emblemático distrito 20. Allí los trabajadores sanitarios compartieron espacio con los puestos de un popular mercado que bordea el Centro Médico. David, trabajador del sector de psiquiatría en un hospital parisino, expresó su indignación e impotencia ante las medidas del Gobierno en materia de salud pública: "Tenemos muchas razones para manifestarnos como trabajadores de la salud, pero lo hacemos sobre todo por nuestros pacientes. Rechazamos la decisión del Gobierno de dejar de cubrir los medicamentos para quienes tienen enfermedades crónicas, y también el aumento de las tarifas médicas. Yo trabajo en psiquiatría, donde acompañamos a pacientes de por vida, porque necesitan tomar medicamentos siempre. Ahora esas personas tendrán que pagar mucho más por sus medicinas". Las protestas se realizaron justo después del nombramiento de un nuevo primer ministro, Sébastien Lecornu, que se convierte en el quinto de esta legislatura, iniciada en 2022, y el tercero en poco más de un año. También se encontraba presente entre los manifestantes Lucy Castet, ex candidata a primera ministra por el nuevo Frente Popular, la coalición que lideró las últimas elecciones legislativas. Ella subraya la relevancia del sector salud en Francia: "Esta jornada de movilización va a recordarle a toda Francia y al nuevo Primer Ministro hasta qué punto los franceses y las francesas están muy vinculados con su servicio público. También hay muchas escuelas y liceos movilizados. Es realmente importante que escuchen ese mensaje". Horas después, en la Plaza de la República, histórico epicentro de las movilizaciones parisinas, cientos de estudiantes y colectivos sociales se reunieron para unirse a la movilización. Marie, estudiante universitaria, compartió su testimonio: "Sí, hay un hartazgo generalizado que se siente en todos los sectores. Como estudiantes vemos a los trabajadores en huelga y nos sumamos a su lucha, porque sentimos el desprecio absoluto del gobierno, que ignora los votos y lo que el pueblo le pide". Con información de la AFP
durée : 00:13:20 - L'invité du 13/14 - Grand reporter Politique au Point, auteure de plusieurs ouvrages, Nathalie Schuck nous parle des ambitions et des combats de Bruno Retailleau surnommé "le cardinal" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
Dans cette édition :Sébastien Lecornu, proche d'Emmanuel Macron, est nommé nouveau Premier ministre à 39 ans, succédant à François Bayrou.Le Rassemblement National se dit prêt à laisser une chance au nouveau Premier ministre, mais pose des conditions, tandis que la gauche rejette massivement cette nomination.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau se rend sur le terrain pour surveiller la mobilisation du 10 septembre, avec des actions coup de poing et des interpellations dans plusieurs villes.La Pologne dénonce une agression de la Russie, ayant ouvert le feu contre des drones russes ayant violé son espace aérien.La situation dans les transports est perturbée, avec des grèves à la SNCF et la RATP.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des actions de blocage ont lieu dans plusieurs villes de France, notamment à Toulouse, Antibes et sur l'autoroute A10, perturbant la circulation et l'accès aux services d'urgence.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau est sur le terrain pour soutenir les forces de l'ordre face à ces mouvements de contestation, avec déjà une cinquantaine d'interpellations à Paris.Emmanuel Macron a nommé Sébastien Lecornu, un proche, au poste de Premier ministre, ce qui suscite de vives critiques de l'opposition qui le juge déjà "condamné".L'équipe de France de football a remporté son match de qualification pour le Mondial 2026 face à l'Islande.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des actions de blocage ont lieu dans plusieurs villes de France, notamment à Toulouse, Antibes et sur l'autoroute A10, perturbant la circulation et l'accès aux services d'urgence.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau est sur le terrain pour soutenir les forces de l'ordre face à ces mouvements de contestation, avec déjà une cinquantaine d'interpellations à Paris.Emmanuel Macron a nommé Sébastien Lecornu, un proche, au poste de Premier ministre, ce qui suscite de vives critiques de l'opposition qui le juge déjà "condamné".L'équipe de France de football a remporté son match de qualification pour le Mondial 2026 face à l'Islande.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Sébastien Lecornu, proche d'Emmanuel Macron, est nommé nouveau Premier ministre à 39 ans, succédant à François Bayrou.Le Rassemblement National se dit prêt à laisser une chance au nouveau Premier ministre, mais pose des conditions, tandis que la gauche rejette massivement cette nomination.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau se rend sur le terrain pour surveiller la mobilisation du 10 septembre, avec des actions coup de poing et des interpellations dans plusieurs villes.La Pologne dénonce une agression de la Russie, ayant ouvert le feu contre des drones russes ayant violé son espace aérien.La situation dans les transports est perturbée, avec des grèves à la SNCF et la RATP.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou va présenter sa démission au président Emmanuel Macron après neuf mois de mandat, suite à un vote de défiance à l'Assemblée nationale.Des rassemblements sont prévus dans plusieurs villes de France pour célébrer le départ de François Bayrou, organisés par le mouvement "Bloquons tout" qui appelle à des actions de blocage dans les prochains jours.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a prévenu que tout blocage ou violence ne sera pas toléré, avec 80 000 gendarmes et policiers mobilisés pour éviter les débordements.Le leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon refuse de soutenir le premier secrétaire du Parti Socialiste Olivier Faure pour Matignon, jugeant qu'il ne pourrait pas gouverner seul.La rentrée universitaire à Marseille s'est déroulée dans un climat tendu en raison de la présence d'un point de deal de drogue que les forces de l'ordre peinent à déloger depuis deux ans.L'équipe de France de football affronte l'Islande ce soir au Parc des Princes pour un match de qualification à la Coupe du Monde 2026, avec un Didier Deschamps prudent face à la qualité des Scandinaves.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou va présenter sa démission au président Emmanuel Macron après neuf mois de mandat, suite à un vote de défiance à l'Assemblée nationale.Des rassemblements sont prévus dans plusieurs villes de France pour célébrer le départ de François Bayrou, organisés par le mouvement "Bloquons tout" qui appelle à des actions de blocage dans les prochains jours.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a prévenu que tout blocage ou violence ne sera pas toléré, avec 80 000 gendarmes et policiers mobilisés pour éviter les débordements.Le leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon refuse de soutenir le premier secrétaire du Parti Socialiste Olivier Faure pour Matignon, jugeant qu'il ne pourrait pas gouverner seul.La rentrée universitaire à Marseille s'est déroulée dans un climat tendu en raison de la présence d'un point de deal de drogue que les forces de l'ordre peinent à déloger depuis deux ans.L'équipe de France de football affronte l'Islande ce soir au Parc des Princes pour un match de qualification à la Coupe du Monde 2026, avec un Didier Deschamps prudent face à la qualité des Scandinaves.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 8 septembre 2025 - La chute de bayrou...et de la Vème république?Le Premier ministre François Bayrou et son gouvernement vivent probablement leurs dernières heures à Matignon. Le très attendu vote de confiance des députés doit avoir lieu ce lundi, en fin de journée. Un pari risqué que le Premier ministre a toutes les chances de perdre, sauf en cas d'énorme retournement de situation. Car les oppositions, depuis plusieurs jours, n'en font pas mystère : elles ne vont pas soutenir le Premier ministre.Et même parmi les députés de ce qu'on appelle le "socle commun", censé soutenir le gouvernement, ce vote ne sera pas une évidence. Chez Les Républicains, les députés sont divisés. « Ils auront une liberté de vote », a assuré Laurent Wauquiez, leur chef de file à l'Assemblée nationale. Un tiers, voire la moitié, pourrait s'abstenir ou voter contre, alors même que leur chef, Bruno Retailleau, est ministre de l'Intérieur.Alors qu'Emmanuel Macron a appelé, la semaine dernière, les membres du socle commun à la mobilisation, celui-ci va-t-il s'effriter ? Quels sont les scénarios possibles après le vote de confiance du gouvernement Bayrou ? Nommer rapidement un nouveau Premier ministre ou dissoudre encore l'Assemblée nationale ? Et que se passe-t-il dans les ministères pendant cette période ?Nos journalistes ont suivi Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique à Franc-Tireur- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction l'Express- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef, service politique du Point- Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris II Panthéon Assas
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
Dans cette édition :Le Parlement s'apprête à voter une motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou, qui s'est défendu dans une interview.Marine Le Pen appelle à la dissolution de l'Assemblée nationale et pose ses conditions pour un éventuel nouveau gouvernement.Bruno Retailleau, président des Républicains, fixe une ligne rouge sur la participation de son parti à un nouveau gouvernement.La Russie a mené la plus importante attaque aérienne contre l'Ukraine depuis le début de la guerre, faisant 5 morts.L'Iran se dit prêt à accepter un contrôle de son programme nucléaire en échange de la levée des sanctions.Des journalistes du service public sont accusés de partialité politique.Des voleurs organisés ont dérobé des GPS agricoles dans plusieurs départements.L'équipe de France de basket a été éliminée de l'Euro, tandis que les Bleues de rugby se qualifient pour les quarts de finale du Mondial.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste politique à CNews. - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Parlement s'apprête à voter une motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou, qui s'est défendu dans une interview.Marine Le Pen appelle à la dissolution de l'Assemblée nationale et pose ses conditions pour un éventuel nouveau gouvernement.Bruno Retailleau, président des Républicains, fixe une ligne rouge sur la participation de son parti à un nouveau gouvernement.La Russie a mené la plus importante attaque aérienne contre l'Ukraine depuis le début de la guerre, faisant 5 morts.L'Iran se dit prêt à accepter un contrôle de son programme nucléaire en échange de la levée des sanctions.Des journalistes du service public sont accusés de partialité politique.Des voleurs organisés ont dérobé des GPS agricoles dans plusieurs départements.L'équipe de France de basket a été éliminée de l'Euro, tandis que les Bleues de rugby se qualifient pour les quarts de finale du Mondial.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C dans l'air du 6 septembre 2025 - Après-Bayrou : à quoi s'attendre ?À quarante-huit heures du vote de confiance à l'Assemblée nationale, perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant sa chute –, la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée. Emmanuel Macron a reçu cette semaine les chefs des partis du bloc central afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lundi, et les enjoindre à travailler avec le PS. Car l'hypothèse d'un socialiste à Matignon est réelle, d'autant que Laurent Wauquiez a affirmé que la droite ne censurerait pas un gouvernement PS. Une position qui n'est pas partagé par le chef des LR, Bruno Retailleau.En coulisses, plusieurs noms circulent, de droite, du centre ou de gauche : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Bernard Cazeneuve... Tandis que François Bayrou continue d'invoquer l'intérêt national pour sauver sa tête. Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française depuis que le Premier ministre a annoncé un vote de confiance sur le budget.Pendant ce temps, en Lorraine, les ouvriers de l'usine Novasco, qui produit de l'acier depuis des décennies, sont inquiets. L'entreprise est en redressement judiciaire pour la quatrième fois en dix ans. Un exemple parmi d'autres du déclin industriel français. En mai 2025, près de 380 plans sociaux avaient été recensés en un an par la CGT, trois fois plus qu'en 2024.Les élus locaux, eux, sont en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Alors, quels sont les scénarios les plus probables pour l'après-Bayrou ? Comment stopper la désindustrialisation en France ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU – Politologue, professeur des Universités à Sciences Po- Eric HEYER – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision à l'OFCE- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à Challenges- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à Franceinfo TV
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Dans cette édition :Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau effectue une visite à Clermont-Ferrand pour lutter contre le narcotrafic, alors que le gouvernement est menacé de chute.Le mouvement "Bloquons tout" prévoit une mobilisation de 100 000 personnes mercredi prochain, le gouvernement envisage la création d'un fonds pour indemniser les dégâts causés par les casseurs.L'équipe de France de football débute parfaitement sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2026 avec une victoire 2-0 contre l'Ukraine.Donald Trump met en garde l'Union Européenne contre les sanctions infligées aux entreprises américaines, notamment Google.La météo s'annonce ensoleillée sur la majeure partie du territoire avec quelques brouillards localisés.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:14 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce jeudi 4 septembre autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Le ministre de l'Intérieur affirme que la guerre contre les narcotrafiquants sera longue mais qu'elle sera gagnée, face à une flambée de violences sans précédent à Clermont-Ferrand.Le Premier ministre devrait être renversé par les députés, ouvrant la voie à une succession, avec des noms comme Jordan Bardella, Bruno Retailleau et Gérald Darmanin évoqués.Une franco-canadienne est décédée dans le déraillement du funiculaire à Lisbonne, faisant au total 16 morts et 5 blessés graves.La Russie dénonce une entrave au règlement du conflit en Ukraine, menaçant de prendre pour cible toute force occidentale présente sur le terrain.Le mari de Karine Esquivillon est renvoyé devant la cour d'assises pour le meurtre de son épouse.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Economie. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce jeudi 4 septembre, il s'intéresse à la place de Bruno Retailleau au sein du gouvernement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 3 septembre 2025 - Macron: et maintenant, cap à gauche ?À six jours du vote de confiance au Parlement, qui semble perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant toujours sa chute –, un dernier Conseil des ministres s'est probablement tenu ce mercredi midi, alors que la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée.Comme l'a révélé Le Figaro, le chef de l'État a reçu mardi, pour déjeuner, les chefs des quatre principaux partis du bloc central : Gabriel Attal pour Renaissance, François Bayrou pour le MoDem, Édouard Philippe pour Horizons et Bruno Retailleau pour Les Républicains (LR), afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lors du vote de lundi prochain et les enjoindre à travailler avec le Parti socialiste (PS).Et en coulisses, plusieurs noms circulent : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Catherine Vautrin, Bernard Cazeneuve…Si les rumeurs sur le nom de son éventuel successeur courent déjà, François Bayrou continue ce mercredi ses consultations avec les partis politiques et sa tournée des médias, dans l'espoir de retourner la situation en sa faveur. Se disant « réaliste » mais refusant d'être « défaitiste », il a de nouveau appelé les députés à le maintenir à Matignon, mettant en garde contre « l'instabilité » : « Si vous êtes représentant du peuple, comme c'est la vocation d'un député (…) alors vous devez vous demander où est l'intérêt national. Est-ce que, oui ou non, cette situation dans le monde (…) est grave et urgente ? Ma réponse : elle est grave et urgente », a-t-il assuré.Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française, depuis que le chef du gouvernement a annoncé qu'il demanderait un vote de confiance sur le budget. Hier, le taux des obligations assimilables du Trésor (OAT) à 30 ans a ainsi bondi de sept points de base, atteignant 4,5 %. Il s'agit de son plus haut niveau depuis 2009, sous les effets de la grande crise financière.Alors, qui à Matignon ? Croissance, déficit, taux… quelles conséquences en cas de chute du gouvernement Bayrou ? Et quel budget pour réduire la dette ?Nos journalistes ont rencontré Jean-Louis Borloo. L'ancien ministre, président-fondateur de l'UDI et ancien maire de Valenciennes, plaide pour un grand plan de réorganisation de l'État, avec, à la clé selon lui, 150 milliards d'euros d'économies.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Dominique SEUX - Éditorialiste aux Echos et à France Inter- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Soazig QUEMENER - rédactrice en chef à la Tribune Dimanche