Podcasts about Matignon

  • 235PODCASTS
  • 752EPISODES
  • 24mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • Nov 20, 2023LATEST

POPULARITY

20162017201820192020202120222023


Best podcasts about Matignon

Show all podcasts related to matignon

Latest podcast episodes about Matignon

Apolline Matin
Racontez-nous par Nicolas Poincaré : Débarqué par Matignon, l'ex-président du COR contre-attaque - 20/11

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Nov 20, 2023 1:51


Tous les matins, à 6h50, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Nicolas Poincaré.

mission radio portrait contre attaque rmc matignon matinale racontez poincar actualités apolline matin poincare apolline de malherbe
RadioDelta
GLMF - Pierres de touche #126 - Réseaux sociaux - une arme à double tranchant pour notre société - 19 novembre 2023

RadioDelta

Play Episode Listen Later Nov 19, 2023 86:10


Dans quelle mesure le progrès des réseaux sociaux est devenu une arme à double tranchant dans notre société contemporaine ? Débat, avec : - Christophe BOURSEILLER, journaliste, auteur, comédien et historien ; - Mehdi MEBARKI, architecte de formation, un parcours débuté par l'obtention d'un diplôme d'architecte à l'Ecole Polytechnique d'Architecture d'Alger, et conclu à l'Ecole d'Architecture de la Villette UP6 à Paris, par l'obtention d'un Master en architecture et communication. Passionné par la politique et le numérique, il rejoint en 2012 l'équipe de campagne de François Hollande en tant que responsable de l'influence. Il suivra par la suite le Président élu à la présidence de la République où il intégrera la cellule de communication numérique en tant que responsable adjoint. En décembre 2016, il est nommé Conseiller numérique à Matignon au sein du Service d'Information du Gouvernement. Il fonde en 2020 sa propre structure de conseil en communication numérique, avant de rejoindre en 2023 Universcience, établissement regroupant la cité des sciences et de l'industrie et le Grand palais de la découverte, en tant que responsable des réseaux sociaux.  - - - - - - À l'ère numérique, les réseaux sociaux sont devenus un élément incontournable de notre quotidien, offrant une plateforme d'expression et de connexion inégalée. Cependant, cette révolution numérique n'est pas sans risques. Nous examinons dans cette émission, les dangers des réseaux sociaux à travers trois axes principaux : leur impact sur la raison, leur influence sur la démocratie, et leur effet sur des institutions comme la Franc-Maçonnerie. Déroulé de l'émission : 1. L'Impact sur la Raison: Les réseaux sociaux, avec leur capacité à captiver, peuvent nuire à notre capacité de raisonner de manière critique. La surabondance d'informations et l'accès facile à des contenus non vérifiés favorisent la propagation de fausses nouvelles. Par exemple, pendant la pandémie de COVID-19, la désinformation sur les vaccins a semé la confusion et la méfiance. - Pendant la pandémie de Covid-19, on a vu fleurir sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter), nombre de fake news. - De plus, les contenus sur les réseaux sociaux favorisent souvent une réaction émotionnelle plutôt qu'une analyse raisonnée, menant à une polarisation des opinions. - La question du harcèlement. Musique : Patrick Bruel et la Fouine, Maux d'enfants. 2. Les Réseaux Sociaux et la Démocratie: Ces plateformes peuvent être bénéfiques pour la démocratie, permettant la libre expression et la mobilisation citoyenne. Toutefois, elles peuvent aussi être utilisées pour manipuler l'opinion publique. Par exemple, lors du conflit Russie/Ukraine, les réseaux sociaux ont été utilisés pour diffuser des narratifs partisans. En France, les mouvements comme les "Gilets Jaunes" ont montré comment ces plateformes peuvent à la fois mobiliser et véhiculer des théories extrémistes. Les algorithmes créent des bulles informationnelles, renforçant les préjugés et limitant l'exposition à des points de vue divers, ce qui nuit à un débat démocratique sain. - Lors de l'élection présidentielle américaine, on a pu découvrir les effets néfastes des réseaux sociaux. C'était semble-t-il la première fois qu'on découvrait à ce point les effets nocifs si puissants des réseaux sociaux. - Les fermes à troll sur X (ex-twitter) ? Musique : Carmen, Stromae. 3. La Franc-Maçonnerie face aux Réseaux Sociaux: La Franc-Maçonnerie, une organisation valorisant la discrétion, la réflexion et excluant par essence même l'idée d'extrêmistes, est fortement touchée par les répercussions des réseaux sociaux. Ces plateformes peuvent propager des idées fausses et des théories conspirationnistes sur la Maçonnerie, altérant sa perception publique. Dans des contextes comme la situation que nous connaissons actuellement entre un mouvement terroriste qu'est le Hamas et l'Etat d'Israël, dont les populations des israéliennes et palestiniennes sont toutes deux victimes, des théories du complot sans fondement impliquant la Franc-Maçonnerie ont été diffusées. En France, des groupes conspirationnistes utilisent les réseaux sociaux pour véhiculer des idées fausses sur l'influence maçonnique. - Comment les obédiences utilisent-elles les réseaux sociaux ? - Est-ce compatible avec la franc-maçonnerie ? Conclusion: Les réseaux sociaux, malgré leur potentiel de communication et d'information, présentent des risques significatifs pour la raison, la démocratie et des institutions comme la Franc-Maçonnerie. Il est essentiel de développer une utilisation critique et consciente de ces outils pour préserver les fondements d'une société éclairée et informée. Musique : U2, Where the streets have no name

Intégrale Placements
Doze d'économie : Élisabeth Borne sort les parpaings - 17/11

Intégrale Placements

Play Episode Listen Later Nov 17, 2023 6:01


Ce vendredi 17 novembre, le projet de Matignon pour financer des programmes de constructions, selon le discours d'Élisabeth Borne à Dunkerque, afin d'en finir avec la crise immobilière, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Doze La Polémique
Doze d'économie : Élisabeth Borne sort les parpaings - 17/11

Doze La Polémique

Play Episode Listen Later Nov 17, 2023 6:01


Ce vendredi 17 novembre, le projet de Matignon pour financer des programmes de constructions, selon le discours d'Élisabeth Borne à Dunkerque, afin d'en finir avec la crise immobilière, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Une semaine après avoir écarté l'ancien président du Conseil d'orientation des retraites, Pierre-Louis Bras, Matignon a nommé un économiste très proche du macronisme, et très favorable au recul de l'âge de départ, à la tête de cette institution. Un parti pris de Romaric Godin, publié le 1er novembre 2023 sur Mediapart, lu par Jeremy Zylberberg.

FG Chic mix by Aquarium
FG VOYAGE AU MATIGNON AVEC FREDELUX

FG Chic mix by Aquarium

Play Episode Listen Later Nov 1, 2023 60:00


Réecoutez le FG Voyage au Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 30 octobre 2023 

Les journaux de France Culture
Après les émeutes de juin, Elisabeth Borne veut responsabiliser les parents de délinquants mineurs

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 27, 2023 14:26


durée : 00:14:26 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur les mesures proposées ce jeudi par Matignon, après les émeutes urbaines de juin dernier. Parmi elles : responsabiliser les parents de délinquants mineurs, plusieurs associations estiment que ce n'est pas une solution.

Le journal de 7h00
Après les émeutes de juin, Elisabeth Borne veut responsabiliser les parents de délinquants mineurs

Le journal de 7h00

Play Episode Listen Later Oct 27, 2023 14:26


durée : 00:14:26 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur les mesures proposées ce jeudi par Matignon, après les émeutes urbaines de juin dernier. Parmi elles : responsabiliser les parents de délinquants mineurs, plusieurs associations estiment que ce n'est pas une solution.

Le Média
Instant Porcher | Suppression de l'ISF, autoroute A69 : sans surprise, Macron fait n'importe quoi

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 26, 2023 20:48


▶ On est là ! Jamais un média populaire et indépendant, qui n'est détenu ni par de riches oligarques ni par l'Etat, n'avait arraché le droit d'être diffusé à la TV ! Nous si ! RDV sur le canal 350 de la freebox, et toujours sur Youtube et sur notre site internet ! ⁠⁠⁠⁠⁠Soutenez-nous⁠⁠⁠⁠⁠ sur KissKissBankBank, et faites partie de cette aventure historique ! ▶ Les projets d'autoroute en France, avancée pour la mobilité ou nouveau méga projet inutile et polluant ? Réformes 2018 de Macron, juste un cadeau aux riches ? On décrypte tout cela, c'est l'Instant Porcher. Ce week-end a été marqué par une mobilisation réprimée, celle contre l'A69, ce projet de construction, déjà commencé, d'autoroute entre Castres et Toulouse. Ce n'est pas la première manifestation contre ce projet, et contre une construction d'autoroute. Défense de l'environnement et des arbres d'une part, discours sur le désenclavement et la mobilité des ruraux d'autre part, ces projets sont très politiques : OFF Investigation révèle dans son enquête-documentaire, que des actionnaires de ce projet sont très liés à la carrière politique d'Emmanuel Macron. Ce projet propose finalement de relier, et privatiser, l'axe de Toulouse à Castres, 53km, pour gagner entre 15 et 25 minutes, et touche 300 hectares de terre. Portée par Carole Delga, et soutenue par l'État, cette autoroute est fortement contestée chez les climatologues, écologistes et locaux : le tracé coupe des villages, ne donne pas d'accès direct aux locaux a contrario d'une rocade, et exclut celles et ceux qui ne veulent/peuvent pas payer et donc perdront du temps à prendre une rocade déclassée par rapport à actuellement. C'est une solution contre-productive, selon Thomas Porcher. L'économiste rapporte aussi que cela peut vider les villages et toucher leurs commerces. Baisse de l'impôt sur les sociétés, flat tax, suppression de l'ISF… et si ces réformes de 2018 se révélaient inutiles, à part enrichir les plus riches ? Malgré les promesses d'Emmanuel Macron et de Bruno Le Maire sur l'efficacité de réduire la fiscalité sur le capital dans l'objectif de redynamiser l'économie, relancer l'investissement, créer des emplois… Le rapport de France Stratégie, rattaché à Matignon, montre une nouvelle fois que cela ne fonctionne pas. Lisa Lap et Thomas Porcher analysent tout cela, c'est l'Instant Porcher.

Le service politique
Israël, Arras, Bruxelles: Emmanuel Macron face aux crises

Le service politique

Play Episode Listen Later Oct 19, 2023 17:26


Ce n'est pas une crise mais des crises majeures qu'Emmanuel Macron doit gérer et affronter. Dans quel état d'esprit le président de la République est-il ? En coulisses, comment l'exécutif vit-il cette tension permanente ?Autour de Thomas Soulié : les reporters qui suivent le chef de l'État, Mathieu Coache et Léopold Audebert, vous racontent les off de cette période sombre.

Les 4 Vérités
Bernard Cazeneuve - 18 octobre 2023

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Oct 18, 2023 10:09


Dans la nuit du 17 ou 18 octobre, le conseil national du Parti socialiste a voté pour un « moratoire » sur sa participation à la Nupes, l'alliance des gauches initiée par Jean-Luc Mélenchon en mai 2022. La raison ? « la conflictualisation permanente » de La France insoumise, a annoncé le parti dans un communiqué. De son côté, le chef de file d'Europe Ecologie les verts, Yannick Jadot, estime que la « Nupes est morte » et appelle à suspendre toute relation de travail avec la direction de LFI, après des dérapages « abjects ». Quant au Parti communiste mené par Fabien Roussel, il préfère « tourner la page ». La Nupes est-elle morte ? « Elle est morte au moment où elle a été conclue. La France insoumise et toutes les positions prises par ce parti extrémiste depuis ces derniers mois, n'est pas la gauche », commente l'ancien premier ministre, Bernard Cazeneuve, invité des 4 Vérités, mercredi 18 octobre 2023, sur France 2. « Sur tous les sujets, LFI prend des positions contraires à ce qui est notre héritage, notre histoire, nos valeurs », précise-t-il, soulignant que cette alliance a été conçue « pour des raisons électoralistes ». « La gauche de gouvernement ne peut pas se réduire à une juxtaposition de petites opérations tactiques destinées à préserver les intérêts personnels », affirme l'ancien locataire de Matignon. Selon lui, l'alliance de la gauche ne peut pas se faire autour d'un « parti extrémiste ». « J'ai quitté le PS à cause de l'alliance avec LFI. (…) Tout ce qui s'est passé depuis des mois ne fait que me donner raison », assume-t-il. Ainsi, après une semaine de tergiversations, le secrétaire général du Parti socialiste, Olivier Faure a fini par annoncer la fin de la participation du PS à l'intergroupe de la Nupes. « Ils font le constat, eux-même, de l'échec de leur propre stratégie. Il faut que le PS rompe ses liens avec LFI, un moratoire c'est illisible », estime Bernard Cazeneuve, qui souhaite « rassembler la famille socialiste » à travers des Assises du socialisme afin de « remettre la gauche de gouvernement au centre de la gauche et non à ses marges, sous la domination de LFI ». Qui pour reprendre le flambeau de la gauche de gouvernement ? « Je n'ai aucune arrière pensée. J'ai été le seul à prendre une position claire en quittant une organisation à laquelle j'étais viscéralement attaché, dans laquelle j'avais fait toute ma carrière politique pour une faute qui m'apparaissait comme une faute morale », déclare l'homme politique. « Il y a trop d'acteurs politiques à gauche qui ne raisonnent qu'en fonction de ce que sera leur place dans le dispositif. Je ne suis pas du tout dans cette perspective », souligne l'ancien ministre de l'Intérieur. Loi sur l'immigration : union nationale ? Depuis le 13 octobre, la France est en alerte attentat. Une décision du gouvernement après l'attaque terroriste dans un lycée d'Arras. Lundi 16 octobre, deux personnes ont été tuées à Bruxelles, dans une attaque à l'arme à feu, en marge de la rencontre Belgique-Suède. Dans ce cadre, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin présente à nouveau son projet de loi immigration, repoussé depuis plus d'un an. La gauche votera-t-elle pour ? « Le ministre de l'Intérieur est confronté à une difficulté que je connais puisque j'ai moi-même été dans cette responsabilité. Je comprends parfaitement que dans un gouvernement, on souhaite prendre des dispositions qui protègent les Français », rappelle Bernard Cazeneuve, qui estime néanmoins que « le texte devra être retravaillé ».

FG Chic mix by Aquarium
FG VOYAGE AU MATIGNON AVEC FREDELUX

FG Chic mix by Aquarium

Play Episode Listen Later Oct 12, 2023 120:07


Réecoutez le FG Voyage au Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 9 octobre 2023 

TẠP CHÍ XÃ HỘI
Pháp : 10 tháng trước Thế Vận Hội Mùa Hè Paris 2024, rệp giường gây nỗi hoảng sợ trong xã hội

TẠP CHÍ XÃ HỘI

Play Episode Listen Later Oct 11, 2023 12:04


10 tháng trước khi khai mạc Thế Vận Hội Mùa Hè Paris 2024, hình ảnh nước Pháp ở nước ngoài đang xấu đi do loài rệp giường. Ngay trong nước, các video quay loài bọ hút máu người hiện diện trên các phương tiện giao thông đã lan truyền với tốc độ nhanh chóng mặt trên mạng xã hội từ cuối tháng 09/2023, « phủ sóng » truyền thông, gây ra nỗi lo sợ lan rộng trong cộng đồng và thậm chí trở thành một đề tài được đề cập đến ở thượng tầng Nhà nước. Theo trích dẫn của trang mạng đài France Info ngày 05/10/2023, tuần báo Mỹ Newsweek viết : « Trong khi Paris đón Tuần lễ thời trang Fashion Week, không phải Balenciaga, Dior hay Chanel là những ngôi sao tỏa sáng. Xu hướng quan trọng nhất có thể xuất hiện ở Mỹ thực ra không được mong chờ : đó là rệp giường ». Forbes báo động : « Paris đầy rệp giường ». The New York Times đặt câu hỏi : Paris là « kinh đô ánh sáng hay thành phố của những vết cắn » của rệp giường ? Nhật báo Anh Metro khẳng định : « Tại Pháp, có thể mọi người sẽ không bao giờ còn ngủ ngon được nữa khi tiếp tục bị một làn sóng rệp giường cắn, chích ». Quả thực, không phải khủng bố, các vụ gây rối trật tự an ninh, hay các sự kiện thời tiết cực đoan mà là loài rệp giường nhỏ vài mm, ẩn trong giường, đệm, các đồ nội thất, ghế, thảm, màn che, quần áo, chăn màn ... chuyên hút máu, gây ngứa ngáy khó chịu thậm chí gây nhiễm trùng chỗ vết cắn, đã thu hút sự chú ý của công luận Pháp trong những ngày gần đây, nhất là bởi chúng rất khó diệt và chi phí xử lý rất tốn kém, có khi lên tới vài ngàn euro.Nhìn lại lịch sử, theo AFP, rệp giường đã bị tiêu diệt từ những năm 1950, nhưng đã xuất hiện trở lại ở các nước phát triển từ những năm 1990 do lối sống di chuyển nhiều, mua đồ đã qua sử dụng và khả năng kháng thuốc diệt ngày càng tăng của loài rệp giường. Tại Pháp, theo một báo cáo ANSES, Cơ quan quốc gia về an toàn vệ sinh thực phẩm, môi trường và lao động, công bố hồi tháng 07/2023, từ năm 2017 đến năm 2022, 1/10 số hộ gia đình tại Pháp đã bị nhiễm rệp giường. Chi phí diệt rệp giường đã lên tới 230 triệu euro trong vòng 5 năm qua, gây ra gánh nặng tài chính lớn cho các hộ gia đình.AFP ngày 04/10 trích dẫn chuyên gia Pascal Delaunay, nhà ký sinh trùng và côn trùng học y khoa của Bệnh viện đại học Nice, theo đó nạn rệp giường đặc biệt gây lo ngại bởi « vấn đề liên quan đến tất cả mọi người, bất kể tuổi tác, vị trí xã hội, người giàu cũng như người nghèo. Rệp giường không phải vecteur truyền bệnh, nhưng ảnh hưởng tới thể chất và tinh thần ». Theo chuyên gia này, « có một thực tế khó phủ nhận. Từ 5-7 năm nay, chúng tôi thấy các ổ lây nhiễm gia tăng nhanh chóng ».« Địa ngục » tại gia Các doanh nghiệp chuyên diệt rệp cũng ghi nhận là số khách hàng gần đây đã tăng. Đài RFI Pháp ngữ hôm 06/10 giới thiệu phóng sự của Victor Cariou tại một cơ sở diệt rệp ở Paris :« Từ tuần trước, điện thoại của Victor Krief, quản lý cửa hàng Antipest, chuyên xử lý rệp giường, không ngừng đổ chuông. Victor Krief nói : « Chỉ riêng hôm nay tôi đã xử lý 4 vụ, chỉ ngay ở con phố này thôi đấy, tại quận 15. Ngày mai, riêng tôi sẽ xử lý 5 vụ, ngoài ra còn có 4 nhà thầu phụ hợp tác với tôi. Mỗi ngày tôi giao cho họ đi xử lý rệp ở 5-6 nhà. Như vậy là tổng cộng mỗi ngày chúng tôi xử lý 20-30 vụ nhiễm rệp ». Lắng nghe khách phàn nàn, làm sạch xung quanh các cánh cửa, nệm giường, quần áo ... Mỗi lần, chi phí khách hàng phải trả dao động trong khoảng từ 250 euro đến 2.000 euro. Công ty của Victor Krief thu được món hời, nhưng không phải lúc nào ông và các kỹ thuật viên cũng thấy yên ổn trong quá trình can thiệp xử lý rệp.Victor Krief cho biết thêm : « Đôi khi chúng tôi đến nhà khách hàng và thấy thực sự là rệp bò khắp nơi trên trần nhà. Chúng có thể rớt xuống đầu chúng tôi và trong những trường hợp này, thật không may là ở đó chúng tôi không bước đi trong một quả cầu quây kín xung quanh để tự bảo vệ mình.Vì thế, chúng tôi cũng khá sợ và phải luôn luôn chú ý, cẩn trọng. Chúng tôi cũng phải tìm cách khử trùng chính cơ thể mình. Đúng là chúng tôi cũng thường thấy sợ ».Trước khi đi, Victor Krief dành thời gian khoác lên mình một bộ đồ bảo hộ màu trắng che kín toàn thân và che kín cả giầy. Rồi ông sẽ phải cẩn thận vứt bỏ bộ đồ bảo hộ đó nếu không muốn đến lượt chính mình bị nhiễm rệp giường ». Tranh cãi chính trịLoài bọ hút máu này nay không chỉ còn ẩn náu trong các ngôi nhà, căn hộ hay nhà trọ … mà thời gian qua được báo cáo xuất hiện ở nhiều nơi công cộng như rạp phim, tàu TGV, hệ thống metro ở Paris, sảnh chờ ở sân bay Roissy … Hồi tuần trước, một số trường học các cấp tại nhiều vùng trong cả nước trong những ngày qua cũng tạm thời đóng cửa vì có thông tin là một số nơi trong trường bị nhiễm rệp.Dẫu không phải trường hợp nào cũng được xác nhận là đúng, nhưng điều này vẫn gây nhiều phản ứng trong công luận, buộc chính quyền phải vào cuộc. Ông Emmanuel Grégoire, trợ lý thứ nhất của đô trưởng Paris, Anne Hidalgo, trong thư gửi thủ tướng Elisabeth Borne coi rệp giường là một vấn đề liên quan đến sức khỏe cộng đồng, đề nghị chính phủ khẩn cấp có « một kế hoạch hành động » phòng chống rệp giường và có biện pháp tài chính hỗ trợ các gia đình bị nhiễm rệp giường.  Thậm chí rệp giường đã trở thành đề tài chính trị gây tranh cãi gay gắt ở Hạ Viện Pháp. Cho rằng rệp giường đã đẩy hàng triệu người vào cảnh « địa ngục » mà không biết làm thế nào để thoát ra, bà Mathilde Panot, đứng đầu nhóm dân biểu của đảng cực tả Nước Pháp Bất Khuất (La France Insoumise) tại Hạ Viện, đã đổ lỗi cho sự thụ động của chính phủ trong nhiều năm qua và gay gắt chất vấn thủ tướng Elisabeth Borne. Bài phát biểu được France Info đăng tải hôm 03/10 :« Thưa chủ tịch Hạ Viện và thủ tướng, một làn sóng hoảng sợ đang bao trùm đất nước. Rệp giường đang sinh sôi nảy nở ở mọi nơi trong cuộc sống hàng ngày, bệnh viện, trường học, nơi ở của người lao động, trung tâm dưỡng lão, nhà tù, xe lửa, thậm chí cả rạp phim. Chúng khiến hàng triệu công dân bị lây nhiễm phải khổ sở, làm họ mất ngủ, rối loạn tinh thần và cảm thấy bị cô lập về mặt xã hội.Rệp giường là vấn đề sức khỏe cộng đồng quốc gia, nhưng quý vị (ý nói chính phủ và thủ tướng) chưa làm gì cả. Hồi năm 2017, có 200.000 nơi bị nhiễm rệp giường. Tôi đã cảnh báo, nhưng quý vị đã cười vào mặt tôi và không làm gì cả.Năm 2019, có 540.000 địa điểm bị nhiễm rệp giường. Chúng tôi đã kiến ​​nghị, đệ trình dự thảo yêu cầu có kế hoạch khẩn cấp. Quý vị chỉ cười vào mặt tôi và rồi chẳng làm gì cả.Đến năm 2020, số địa điểm nhiễm rệp giường lên tới 950.000. Chúng tôi đã yêu cầu chính phủ khẩn cấp hành động. Quý vị lại cười vào mặt tôi, không làm gì hết hoặc gần như là vậy. Một số điện thoại xanh và một nền tảng (liên quan đến nạn rệp giường) cũng biến mất. Rồi vào năm 2022, có tới 1,1 triệu nơi bị nhiễm rệp. Quý vị đã hành động và nói dối về một kế hoạch liên bộ, mà chẳng có một biện pháp nào mang tính bắt buộc. Một đài quan sát về nạn rệp giường được thông báo thành lập nhưng chưa bao giờ hình thành. Thưa bà thủ tướng, sau 6 năm, chính sự thiếu vắng hành động của chính phủ đã làm bùng nổ tình hình như hiện nay. Bà càng để lâu thì tình hình càng trở nên không thể kiểm soát nổi. Cuối cùng thì đến khi nào bà mới cấm các loại hóa chất không hiệu quả khi 90% rệp giường có khả năng kháng lại thuốc. Đến khi nào thì bà mới ngưng để các công dân tự xử lý hay phải tìm đến các công ty tư nhân vốn đòi rất nhiều tiền ? Chúng tôi đòi hỏi phải có một cơ quan nhà nước chuyên diệt rệp giường miễn phí, hiệu quả, bảo đảm sức khỏe và môi trường. Thưa bà thủ tướng, những con bọ nhỏ này đang gieo rắc nỗi tuyệt vọng trong đất nước chúng ta. Phải chăng cần đợi đến khi điện Matignon (phủ thủ tướng Pháp) bị nhiễm rệp giường thì bà mới chịu hành động ? »Phản bác lại người đứng đầu nhóm dân biểu của phe đối lập Nước Pháp Bất Khuất tại Hạ Viện, dù nói đến những hành động của chính phủ trong việc phòng chống rệp trong những năm qua, nhưng chính thủ tướng Borne cũng công nhận rệp giường là nỗi hoảng sợ đối với người dân Pháp, khiến họ phải chịu đựng, biến nhà họ thành địa ngục và gây tốn kém. Nhưng thủ tướng Pháp kêu gọi « không nên có sự chia rẽ về chủ đề này », mà « cần có quyết tâm của tập thể để hành động ». Khi chính phủ vào cuộcThủ tướng Bore khẳng định chính phủ quyết tâm tiếp tục và tăng tường hành động. Bà thông báo tổ chức một cuộc họp với tất cả các bộ có liên quan để tìm ra giải pháp dài hạn về việc phát hiện sự lây nhiễm và hỗ trợ cho những người bị ảnh hưởng.Cuộc họp liên bộ về chống rệp giường đã diễn ra hôm 06/10, một nguồn tin chính phủ nói với Le Figaro là chính phủ đang theo dõi rất sát tình hình để có thể nhanh chóng đưa ra các giải pháp hiệu quả.Trước đó, để trấn an công luận, bộ trưởng Giao Thông Pháp, Clément Beaune, cũng đã họp với các doanh nghiệp về giao thông. Tại cuộc họp báo sau cuộc họp nói trên, hôm 04/10, bộ trưởng Giao Thông Pháp, Clément Beaune nhấn mạnh việc yêu cầu thông tin minh bạch từ các doanh nghiệp khai thác các phương tiện giao thông :« Tính minh bạch là then chốt, chính sự minh bạch hoàn toàn sẽ mang lại lòng tin tuyệt đối. Do đó, cứ 3 tháng 1 lần, các nhà khai thác các phương tiện chuyên chở sẽ công bố các trường hợp có báo cáo (nhiễm rệp) và các trường hợp được chứng minh (nhiễm rệp), bởi vì chúng tôi thấy rằng không phải trường hợp báo cáo nào cũng được chứng minh là bị nhiễm rệp, và thường thì không phải là nhiễm rệp. Nhưng để tăng cường bảo vệ, thì cần phải tăng cường hành động. Do đó, tôi cũng yêu cầu các nhà điều hành các phương tiện giao thông cải thiện hơn nữa thể thức và can thiệp nhanh hơn, chẳng hạn triển khai các đội chó nghiệp vụ là cách tốt nhất để phát hiện rệp giường. Các quy trình làm sạch cũng có thể được tăng cường và cải thiện. Chúng tôi rất coi trọng chủ đề này. Một lần nữa xin nhắc lại là chúng ta không nên để rơi vào tình trạng hoảng loạn. Nạn rệp giường chưa tái phát mạnh, nhưng chúng ta phải đáp ứng trước mối quan tâm thực sự. Đối với những người bị ảnh hưởng trong cuộc sống hàng ngày, điều này đã xảy ra với nhiều người Pháp, thì rệp giường là địa ngục. Chính vì thế, chúng ta phải xử lý vấn đề một cách có phương pháp, nghiêm túc. Chính sự minh bạch và thông tin là những điều cần thiết. »Vấn đề không phải của riêng nước PhápTheo trang mạng BFM TV ngày 06/10, các nước láng giềng của Pháp, như Đức, Ý, Tây Ban Nha … trong thời gian qua từ chế giễu nước Pháp đã chuyển sang lo ngại việc rệp giường « xuyên biên giới ». Thế nhưng, rệp giường liệu có phải là vấn nạn riêng của nước Pháp ? David Cain, nhà vi khuẩn học và người sáng lập doanh nghiệp Bed Bugs Ltd, trả lời kênh truyền thông SkyNews của Anh : « Tôi nghĩ rằng vấn đề ở Luân Đôn có thể cũng giống như ở Paris hiện giờ ».Nhìn sang Bỉ, nhật báo Pháp ngữ La Libre cũng dẫn lời nhà côn trùng học Anne-Catherine Mailleux, nói đến « một vấn đề tương tự » như ở láng giềng Pháp : « Đó là một vấn đề tại Bỉ, nhưng đó là một vấn đề được giấu tương đối kỹ ở đất nước chúng ta. Chúng ta che giấu giỏi hơn nước Pháp ». Hai nơi được chuyên gia này nêu đích danh là thành phố Anvers và thủ đô Bruxelles.Còn tại Đức, rệp giường cũng được đưa lên trang nhất báo Frankfuter Allgemeine, theo đó rệp giường « cũng đang lây lan ở Đức » và Paris không phải một trường hợp cá biệt tại Tây Âu. Liên quan đến Thụy Sĩ, nhật báo Le Temps tiết lộ nỗi lo ngại về rệp giường đã xuất hiện từ lâu trước cả khi truyền thông Pháp rầm rộ nói về vấn đề này.National Geographic lưu ý toàn châu Âu có thể sẽ bị rệp giường tấn công giống như hồi Đệ Nhị Thế Chiến. Nếu thực sự rệp giường lây lan ở Pháp, thì sẽ có thể lan rộng ra các nước láng giềng, bởi các chuyến đi xuyên biên giới của hành khách. Rệp trú ẩn trong vali hành lý, khi khách nghỉ qua đêm ở khách sạn, nhà trọ và cứ thế theo hành trình của mọi người cho đến khi họ trở về chính ngôi nhà của mình. Theo BFMTV, hồi năm 2022 có 44 triệu khách du lịch đã đến Paris. Các du khách ngoại quốc có thể mang rệp từ Paris về nhà hoặc ngược lại, cũng có khả năng là chính họ đã mang rệp đến Paris.Chính những điều kể trên đã làm tăng mối đe dọa trong dịp Thế Vận Hội Paris 2024, khi có hơn 15 triệu cổ động viên được dự báo đến Pháp tham dự sự kiện thể thao lớn nhất hành tinh. BMFTV nhắc lại là hồi năm 2012, tại Thế Vận Hội Luân Đôn, nhiều khách du lịch đã phàn nàn về loài bọ hút máu này. Để đối phó với nguy cơ kể trên, bộ trưởng Giao Thông Pháp Clément Beaune hôm 03/10 đã thông báo sẽ tổ chức một chiến dịch quy mô lớn về phòng chống rệp, cọ rửa vệ sinh các hệ thống tàu lửa, metro và tàu điện tramway, nhất là ở Paris và vùng phụ cận vào mùa xuân năm tới, trước khi diễn ra Thế Vận Hội Mùa Hè Paris 2024.

Chaleur Humaine
Climat : comment planifier la transition ?

Chaleur Humaine

Play Episode Listen Later Oct 10, 2023 46:35


**** Recevez gratuitement tous les mardis l'infolettre Chaleur humaine en vous inscrivant ici ****Sur la question du climat, tout le monde est désormais d'accord sur l'idée qu'il faut planifier la transition, pour arriver à réaliser cet énorme chantier par étapes. Longtemps considéré comme ringard, le concept de planification a été réintroduit dans le débat français par Jean-Luc Mélenchon, et désormais endossé par Emmanuel Macron, qui a mis en place en juin 2022 un Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), directement rattaché à la première ministre Elisabeth Borne. Comment planifier la transition de manière efficace pour atteindre nos objectifs climatiques ? Que veut dire la planification version Macron ? Quel rôle doit jouer l'Etat par rapport aux entreprises et aux particuliers ? Comment mettre en place cette démarche de manière démocratique et transparente ?Antoine Pellion est haut fonctionnaire, ingénieur de formation et il dirige depuis juillet 2022 le secrétariat général à la planification écologique. Il est aux manettes de ce gigantesque chantier, depuis son bureau à l'Hôtel Matignon, aux côtés d'Elisabeth Borne. (vous trouverez ici un document détaillé sur l'action du SGPE)« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard.Chaleur humaine est aussi un livre à paraître le 13 octobre aux éditions du Seuil, que vous pouvez déjà commander dans votre librairie ou sur votre site de vente en ligne favori !Vous pouvez m'écrire pour me faire part de vos avis, idées, et de vos critiques à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr. Je réponds chaque semaine dans la newsletter Chaleur humaine à une question sur le défi climatique.

FG Chic mix by Aquarium
FG VOYAGE AU MATIGNON AVEC FREDELUX

FG Chic mix by Aquarium

Play Episode Listen Later Oct 6, 2023 60:07


Réecoutez le FG Voyage au Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 2 octobre 2023 

Le Nouvel Esprit Public
Planification écologique : le chemin des possibles ? / Giorgia Meloni, l'avenir des droites européennes ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 1, 2023 55:38


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 29 septembre 2023. Avec cette semaine : Nicolas Baverez, essayiste et avocat. François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France. Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique. PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE : LE CHEMIN DES POSSIBLES ? Le Président de la République a présenté lundi les grands axes de sa « planification » pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur notre prix de l'électricité ». Après avoir vanté dimanche soir à la télévision une « écologie à la française », censée répondre à un triple défi, « celui du dérèglement climatique et de ses conséquences, celui d'un effondrement de notre biodiversité et celui (…) de la rareté de nos ressources », le chef de l'État a peaufiné sa vision au terme d'une réunion ministérielle à l'Élysée. Une doctrine où toute idée de contraintes ou de changements sociétaux est repoussée. Concocté depuis quatorze mois à Matignon par le Secrétariat général à la planification écologique, le plan validé lundi comporte une cinquantaine de « leviers », visant à réduire de 55 % les émissions de gaz à effet de serre de la France d'ici à 2030, mais aussi à lutter contre l'effondrement de la biodiversité. Beaucoup sont déjà connus et certains déjà activés. Emmanuel Macron a fait quelques annonces nouvelles, comme une enveloppe immédiate de 700 millions d'euros de l'État pour bâtir 13 RER métropolitains, soit plus que les dix chantiers envisagés initialement, précisant que ces projets coûteraient au total 10 milliards d'euros. Concernant la voiture électrique, le Président a répété son objectif d'un million de véhicules produits sur le sol français en 2027. A cette date, le pays devrait être exportateur net de batteries grâce aux quatre gigafactories (en français usine géantes) créées dans les Hauts-de-France. Le leasing permettant l'accès à une voiture électrique pour 100 euros par mois sera lancé en novembre et réservé aux véhicules « produits en Europe ». Dans le logement, les chaudières à gaz ne seront pas interdites, on incitera plutôt à leur remplacement en développant une filière industrielle de pompes à chaleur. Dont on espère tripler la production d'ici à la fin du quinquennat. L'idée est d'arriver à un équipement qui soit de 75 à 85% français, contre 50% au mieux aujourd'hui. Sortir du charbon en 2027 et réduire la dépendance aux énergies fossiles de 60 % à 40 % en 2030 offrirait, aux yeux du président ‘opportunité pour la France, « de développer une écologie qui crée de la valeur » dans un pays plus souverain. Dans le même esprit, il veut « lancer un grand inventaire des ressources minières » de notre sous-sol, pour sécuriser notre accès aux matières premières de la transition énergétique comme le cobalt, le lithium ou l'hydrogène naturel. Emmanuel Macronl a réitéré l'idée de convertir en centrales biomasses les deux centrales à charbon qui fonctionnent encore sur le territoire. Il a précisé le calendrier à venir : stratégie biodiversité en octobre, plan d'adaptation en décembre, notamment. Le plan de cette « écologie à la française » doit désormais être décliné dans les collectivités locales. *** GIORGIA MELONI, EUROPÉENNE À L'EXTÉRIEUR, RÉACTIONNAIRE À L'INTÉRIEUR, DESSINE-T-ELLE L'AVENIR DES DROITES EUROPÉENNES ? Le 25 septembre 2022, la leader du parti d'extrême droite, Fratelli d'Italia, Giorgia Meloni remportait les élections législatives. S'inscrivant dans les pas de son prédécesseur, Mario Draghi, la première femme présidente du Conseil italien a surpris à l'extérieur, rassuré les capitales et lissé son image. Elle a tenu les finances publiques, permettant à l'Italie d'emprunter sans mal sur les marchés. Malgré les sympathies pro-Poutine chez ses alliés européens, elle s'est rangée dans le camp atlantiste et derrière l'Ukraine. Tenant son rang dans les organisations internationales, celle qui avait durement bataillé contre l'Europe a su établir des rapports de confiance avec Ursula von der Leyen. La leader romaine renvoie ainsi une image de politicienne pragmatique et mesurée, loin des récits la décrivant comme « post-fasciste » voire « fasciste ». Cette posture lui permet par exemple de mieux négocier les termes du plan de relance européenne qui promet à Rome près de 200 milliards d'euros. En décidant de voter en faveur du compromis sur le nouveau pacte sur la migration et l'asile, Meloni a passé un autre test d'eurocompatibilité. En se concentrant comme elle l'a fait sur des campagnes sur l'identité en Italie, sans les exporter en Europe, la patronne de Fratelli d'Italia a pour l'instant évité de commettre des erreurs et de franchir les lignes rouges de l'UE. Si elle est un exemple pour les droites radicales espagnoles et finlandaises, le RN, notamment, tient à s'en distinguer. Conciliante et alignée sur les positions européennes et occidentales en politique étrangère, la dirigeante d'extrême droite se montre en revanche radicale et identitaire en Italie : son gouvernement a doublé le nombre de centres de permanence pour les expulsions, facilité les procédures de renvoi, entravé le travail des organisations humanitaires en mer Méditerranée. En échec sur la promesse d'enrayer l'arrivée des migrants (il en est arrivé 130.000 cette année en Italie contre 70 000 à la même époque en 2022), elle donne des gages aux plus radicaux en durcissant la législation contre la communauté LGBT : les couples de même sexe n'ont pas accès au mariage, ni à l'adoption, ni à la procréation médicalement assistée. Cet été les parlementaires italiens ont également voté un projet de loi faisant de la gestation pour autrui - interdite en Italie - un « crime universel ». Si elle est approuvée par le Sénat, cette mesure permettrait de punir ceux y ayant recours, d'une peine allant jusqu'à deux ans de prison et 1 million d'euros d'amende. Pour l'heure, si l'économie ralentit et près de 60 % des Italiens critiquent l'action gouvernementale sur la question migratoire, Giorgia Meloni résiste dans les sondages : avec 28 % d'intentions de vote, Fratelli d'Italia demeure largement le premier parti du pays.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Kings and Generals: History for our Future
3.65 Fall and Rise of China: Boxer Rebellion #5: Battle for Tientsin

Kings and Generals: History for our Future

Play Episode Listen Later Sep 11, 2023 36:39


Last time we spoke about the darkest days of the siege of the foreign legation quarters in Beijing. The Hanlin Academy was burnt down taking with it irreplaceable books. The Fu Palace and French Legation were falling to pieces. Colonel Shiba and his men fought for weeks without changing their closes or sleeping more than 3-4 hours. Countless friends and colleagues were dead or wounded, funerals were becoming a daily event. Ammunition was running low, men were running low, medical supplies were running low, everything was running low. Suddenly some messages began to trickle in allegedly from Prince Qing. The Ministers were weary to trust them, but gradually pushed Prince Qing to show the Qing's good faith by establishing a truce. It seemed the darkest hours were just before the dawn as Prince Qing established a truce on July 17th, and now all wondered, what was next?    #65 The Boxer Rebellion part 5: The Battle for Tientsin   Welcome to the Fall and Rise of China Podcast, I am your dutiful host Craig Watson. But, before we start I want to also remind you this podcast is only made possible through the efforts of Kings and Generals over at Youtube. Perhaps you want to learn more about the history of Asia? Kings and Generals have an assortment of episodes on history of asia and much more  so go give them a look over on Youtube. So please subscribe to Kings and Generals over at Youtube and to continue helping us produce this content please check out www.patreon.com/kingsandgenerals. If you are still hungry for some more history related content, over on my channel, the Pacific War Channel where I cover the history of China and Japan from the 19th century until the end of the Pacific War. The July 17th truce came at a perfect time, the defenders were exhausted. Food had become so scarce, they had begun sending raiding parties to the Mongol Market, but for most the regular diet consisted of horse, pony, mule meat and rice. Random note, I am from Quebec and we eat horse meat here, typically for tartar, not all the time, but if you go to the grocery store 9/10 its there, apparently this is pretty weird for everyone else in North America, I dunno, a bit on the dry side as meat goes. One thing that was easy to come by was champagne and wine, there was a enormous supply of it in the legation buildings. As Lenox Simpson put it “had it not been for the Monopole, of which there are great stores in the hotel and the club—a thousand cases in all . . . I should have collapsed.” There was a enormous concern for the Chinese Christians in the Fu Palace who were constantly attacked and very isolated. Lenox Simpson investigated them and wrote this “The feeding of our native Christians, an army of nearly two thousand, is still progressing, but babies are dying rapidly, and nothing further can be done. There is only just so much rice, and the men who are doing the heavy coolie work on the fortifications must be fed better than the rest, or else no food at all would be needed. . . . The native children, with hunger gnawing savagely at their stomachs, wander about stripping the trees of their leaves.They had terrible water-swollen stomachs and “pitiful sticks of legs. To the babies we give all the scraps of food we can gather up after our own rough food is eaten, and to see the little disappointed faces when there is nothing is sadder than to watch the wounded being carried in. . . . Thus enclosed in our brickbound lines, each of us is spinning out his fate. The Europeans still have as much food as they need; the Chinese are half starving.” The CHristian Chinese laborers complained about working for the British legation telling supervisors “the work at the British legation is crushing and they don't feed you enough. And if you do not carry out their orders to the letter, they flog you. . . . Therefore, we don't want to go there.” The Chinese CHristian laborers preferred working for the non-Christian Japanese and Colonel Shiba even raised a force of Christian Chinese volunteers as riflemen who he trained personally. There were also incidents of Chinese Christian girls being sexually assaulted, particularly by Russian guards whose barricades were close to their girls lodgings. A written notice was erected forbidding anyone to approach the girls lodgings prompting the Russian commander Baron von Rahen to quote “Take off his cap, and assuming a very polite air of doubt and perplexity, he inquired of the lady missionary committee which oversees the welfare of these girls: ‘Pardon, mes dames,' he said purposely in French, ‘cette affiche est-ce seulement pour les civils ou aussi pour les militaires?'”—“Excuse me, ladies, does this apply only to civilians or also to the military?” Sexual assault was not the only thing going on, apparently the British legation gardens saw people come together each night to make romance.  Over in Taku forces were coming over to help lift the siege of Tientsin. Men of the US 9th infantry came over from the Philippines. Now that the situation looked more land based than naval, Vice Admiral Seymour was sent back to his squadron on July 11th, leaving Brigadier General Dorward in command of British forces, but there was no supreme allied commander. There were tremendous delays as each nations officers argued who should lead and finally it was agreed the Qing held part of Tientsin had to be taken before any talks of marching upon Beijing. A plan was formed to attack the Qing held part of the city beginning on July 13th. They were widely outnumbered, around 6900 to a Qing force of around 30,000, half of which were Boxers. There were 2500 Russians, 2000 Japanese, 900 Americans, 800 British and 600 French. They would be facing the formidable walls of Tientsin, which were 20 feet high and 16 feet thick. Within the city and nearby forts were around 12,000 Qing soldiers well armed with artillery, machine guns and modern rifles.  The French, Americans, British and Japanese were to advance upon the south gate in three columns while the Germans and Russians circled around to hit the east gate. The approach was a flat marshy plain, intersected by canals and lagoons, by no means ideal. Herbert Hoover knew the land quite well and volunteered to guide forces and had this to write of his experience  “We came under sharp fire from the Chinese located on its old walls. We were out in the open plains with little cover except Chinese graves. I was completely scared, especially when some of the Marines next to me were hit. I was unarmed and I could scarcely make my feet move forward. I asked the officer I was with for a rifle and at once I experienced a curious psychological change for I was no longer scared, although I never fired a shot. I can recommend that men carry weapons when they go into battle—it is a great comfort.” Hoover described how the attack was badly coordinated, riddled with miscommunication and ill tempered men. The main force was pinned down in front of the south gate taking fire from the city walls. The allied forces were huddled face down in mud with the American troops standing out like sorethumbs wearing their dark blue uniforms. The Qing wielding Winchesters, Mannlichers and Mausers were exacting terrible casualties upon them. Lt Harry Rotherham of the Royal Welch Fusiliers recalled “the whole of the city wall was lined with Chinese firing through loop-holes and they just fired all day as hard as they could. They also attacked our left flank and we were told off to keep them back, so we were under fire all day from the front and the left flank as well. I never want anything quite so warm again.” Captain David Beatty noted the British forces took a entirely exposed position while the 9th US infantry were extremely exposed to Qing sharpshooters. Their commander, Colonel Emerson Liscum was fatally shot as he was trying to grab the regimental flags from a standard bearer who was falling. His dying words were “keep up the fire, men!” Beatty led a company of British to rush over to help the Americans and gradually they pulled back as it got dark. They had no news on how the Russians were doing with the east gate.  It was to be the Japanese who turned failure into success. General Fukushima Yasumasa who had fought the Chinese during the first sino-Japanese war sent word to some of the other commanders that Qing forces would fight to the death if they were trapped, but if you left an escape route, like two gates open, they would retreat. At 3am the Japanese blew up the south gate, in a scene I can only describe as the one Uruk-hai in the film the Lord of the Rings the Two Towers. The Japanese had been trying to light fuses to explode bombs, but the Qing kept stopping them so one Japanese soldier ran with a short fuse to blow up the gate and was killed by the explosion. He would have made Saruman proud. As told to us by Herbert Hirschinger of the US Marines “The Japanese had been trying to accomplish it for some time, but the Chinks would cut the fuse. In the end a Japanese officer volunteered to light a short fuse. The gate was blown in . . . but the officer went up with the gate. This only goes to show the mettle of which the little fellows are made.” After the breach was made, the Japanese stormed into the city followed by the second battalion, the Royal Welch Fusiliers and Beatty's men. A bit later that morning  the Russians charged the esat gate on July 9th led by General Anatoly Stessel, General Nie Shicheng personally led a counterattack to try and stop them. An allied artillery shell exploded nearby him, showering him with shrapnel and fatally wounding him. As the Russians broke through the east gate prompting the Qing soldiers to withdraw from the city. French doctor Matignon was irritated to see that although the Japanese did the lionshare of work in the southern sector, the Union Jack was flying side by side with the Rising Sun over the south gate. In his words “trois ou quatre soldats anglais . . . flegmatiquement, fument leur pipe”—“three or four English soldiers . . . calmly smoking their pipes.” Sounds like Merry and Pippin after Isengarde fell, what is with the LOTR references?  Countless Boxers and Qing soldiers slipped away, leaving little fighting over the city. The civilians bore the brunt of what became an orgy of looting and murder. A Chinese eyewitness had this to say “People rushed about in all directions in dread of what was to come next. When someone shouted that the North gate was open and that it was possible to leave by it, the whole city converged on the North Gate. In an instant the press of the crowd was such that one couldn't move.... The foreigners and Christians . . . fired repeatedly on it [the crowd], each volley resulting in the deaths of several tens of people.... The greater the numbers of people killed, the greater became the numbers of those fighting to escape. . . . Dead from bullets, dead from artillery shells, dead from swords, dead from trampling. It was horrible. . . . The corpses were piled several feet high. After three days of cleaning up, following the foreigners' entry into the city, the streets still were not clean.” The photographer James Ricalton stormed into the city as well to record what he say.  “a holocaust of human life, lines of homeless, weeping human beings—their homes in ashes, without food, friendless, and, in many cases, their kindred left charred in the ruins of homes. Doors were smashed; shops were entered and plundered; men and women were fleeing, carrying their precious heirlooms—their jewels, their silks, their embroidery, their money. These much-prized valuables were snatched from them, and they dared not protest.” American Marine Harold Kinman recalled “the streets wet and slippery with blood” while a British sailor described “brains strewn over the streets and dead Chinese pinned to the walls by Japanese swords and bayonets”. Many of the accounts place atrocities upon the Russians and Japanese. But soldiers from each nation took part in the orgy and there are many photographs for those with the stomachs to google them,  On July 15th, in an attempt to stop the looting, the British put up pickets with orders to not allow anyone to get past except for the French whose authorities had not agreed to suppress looting, haha. So as a result many British just pretended to be French, apparently doing bad french singing impressions to get by and spoke terrible French phrases to another. Notably British civilians took part in this as they knew which houses and shops had the best goods. It was to be the bloodiest battle for the 8 nation alliance during the Boxer rebellion. 250 allied soldiers had died with 500 wounded. Of this the Japanese paid the most with 320 casualties, the Russians and Germans around 140, the Americans 25 dead, 98 wounded, the British 17 dead, 87 wounded and the French 13 dead with 50 wounded. There was no official calculation of the losses for the Boxers and Qing forces, but it was expected to be very heavy. I think for you long time listeners you can see a distinct difference now from our Opium Wars days to the turn of the 20th century. Warfare had changed considerably, casualties were much higher now, something that would be proved to a horrifying extent during the Russo-Japanese War of 1904-1905, or as many like to call it World War Zero. Tientsin was now being secured as a launching point for the future advance upon Beijing. Back over in Beijing, the foreign community found it surreal after the July 17th truce was announced. The sudden silence of guns was more disconcerting than comforting, some even found it difficult to sleep. The Qing war banners were brought down and white flags were hoisted all around in their place. Countless Qing soldiers began peering over walls and barricades to look at the legations. Likewise the defenders looked out into the desolate landscape around them, corpses were everywhere, dogs were picking at them. As everyone's confidence built up some Qing soldiers went over to the defenders positions and began fraternizing with the foreigners. Many began to talk to the foreigners, giving them news the Taku Forts and Tientsin had fallen to the allied nations and that General Dong Fuxiangs Kansu army and many Boxers were now performing offensives between Tientsin and Beijing. Many of the Qing troops who came forward explained they did not want to be part of the battle, but were being were being coerced into it. The foreigners were beginning to suspect the truce had been made because of the Qing losses at the Taku forts and Tientsin, perhaps a relief force was already on its way.  Within the Qing court, the loss at Tientsin had proved the progressive and moderates right that joining the Boxers was a doomed cause. This was a view shared by most of the governors and viceroys in the southern and eastern provinces who were actively holding their troops back, not daring to attack foreigners. Going back to early June when edicts were being made declaring war, most viceroys and governors ignored it and refused to send troops. In fact, the foreign community had no idea, but their most valuable allies were amongst the Qing high command. The Manchu General Ronglu, whom Empress Dowager Cixi appointed as Imperial Commissioner in command of the Wuwei Corps consisting of the 5 most modern armies led by Nie Shicheng, Dong Fuxiang, Song Qing, Yuan Shikai and Ronglu himself was helping the foreigners! When the Boxer rebellion broke out, Prince Duan was pressuring Dong Fuxiang and his Kansu Army to seize the foreign legations. It was Ronglu who behind the scenes was sand bagging the entire situation. At first he tried to countermand orders to Dong Fuxiang, trying to stop him from attacking the foreign legations, but that gradually failed when Prince Duan began ordering anyone hampering the war effort to be arrested or killed. Then when Dong Fuxiang requested artillery to breach the legation defenses, Ronglu began blocking the transfer of artillery pieces and constantly made up excuses. Ronglu and Prince Qing coordinated efforts to sneak some food into the legations and even used their most loyal Manchu bannermen to perform minor attacks on the Kansu army and Boxers who were besieging the foreigners. Ronglu also withheld orders that were to be sent to General Nie Shicheng in Tientsin, telling him they were at war with the foreigners, so for the majority of the time Nie Shicheng had thousands of his men still fighting the Boxers! Seymour getting past Nie Shicheng and the Tientsin settlement surviving as long as it did was specifically because of this action. Ronglu even tossed blame for inaction all upon Nie Shicheng, who luckily for Ronglu ended up dying before he could explain what had occurred. During the siege of the legations the major reason so many riflemen were aiming so high was because of Ronglu countermanning orders. As Dong Fuxiang would order the men to kill the foreigners, Ronglu continuously ordered men to just make it seem like they were helping the siege but not to kill the foreigners.  Yes one can argue the MVP of the 8 nation alliance was Qing Generals like Ronglu or Prince Qing.  The foreigners knew none of this, but they would received enormous intelligence on July 18th from one of Colonel Shiba's messengers who went over to Tientsin and returned confirming it was in allied hands. The messenger also told them a force of 11,000 British, Russian, Japanese, American and French would begin a march upon Beijing, starting on the 20th. MacDonald then invited a nearby Kansu officer to parley with him and the man reluctantly acquiesced. The men shared cigars and spoke using an interpreter. The officer asked MacDonald who the men wearing the big funny hats were and MacDonald explained they were American marines. The officer shrugged and stated his men were afraid of them because they were good shots. The officer then explained his superior was not Dong Fuxiang, but General Ronglu who had overall command. He also stated Ronglu wished the fighting to stop. MacDonald was puzzled by this and explained the fighting was never started by the foreigners. The officer was puzzled by that statement and said perhaps he should write to Ronglu to explain his views. Both men shook hands and departed. MacDonald before departing the wall took one last look at the scenery and described the situation “I could see the enemy's positions stretching away to the north until they disappeared in the direction of the Imperial City. There were barricades in the streets below the wall; a large temple was loopholed and . . . full of men; more men were amongst the ruins west of the Russian Legation and a species of mound which commanded this Legation and the Mongol Market was gay with the uniforms of hundreds of Imperial infantry. Following the line west of the Mongol Market, the tops of the houses carried nests of these bright-coated soldiery; altogether from my position I saw some 1,500 to 2,000 men, and many more must have been hidden behind the walls and ruined houses.” MacDonald wrote to Ronglu proposing rules of conduct going forward. He promised the foreigner forces would only fire if being attacked, except in the case of seeing Qing forces building barricades closer to them. Any unarmed persons who approached the legation defenses could do so safely but only two men at a time. MacDonald gave the letter to the officer he had talked to who delivered it to Ronglu. The very next day Ronglu sent a man carrying a flag of truce who came over to officially accept the proposals. However there was a catch. The man explained this would be on behalf of the forces loyal to Ronglu and Prince Qing, they were commanding the south and eastern portions of the siege, but Dong Fuxiang's troops held the north and west. In fact the officials explained the officer whom MacDonald had spoken to was one of the very few Kansu soldiers who was willing to follow commands from Ronglu, Dong Fuxiang was quite the renegade. It became clear after a few days the word truce was a bit of a misnomer, it was more of a half armistice. Some Qing were still mining close to the Hanlin and various barricade forces continued to fire upon the legations. Some Qing soldiers east of the Fu Palace began using a dog to send communications to the Japanese as noted by their officers “One day a large dog trotted into the Japanese barricade with a note tied round its neck; this was from the Chinese general commanding in that quarter pointing out the futility of further defense and recommending unconditional surrender. A reply, declining the suggestion in somewhat forcible terms, was tied on the dog's neck, with which it trotted back, this was repeated several times, the dog seeming to enjoy the fun, the advisability of surrender being urged with greater insistence each time, the answers varied only in the strength of their language.” Some Qing troops began offering fruit, vegetables and chickens to the foreigners, bargaining for money. The Japanese even were able to barter for rifles and ammunition from some Qing soldiers. The Zongli Yamen began sending gifts of fruit, vegetables, even ice to the besieged, all in the name of Emperor Guangxu. Many worried the food was poisoned so they first gave it to a dog. A constant stream of letters began to go back and forth between the foreigners, Prince Qing and other moderate Qing officials. The recurring theme on behalf of the Qing was that the foreigners needed to depart Beijing and that the Zongli Yamen would provide protection to Tientsin. This was constantly ignored. The Qing government also began mediating on behalf of the ministers and their governments, ferrying messages back and forth. On July 28th, the foreigners received word from the Shandong youth who had been sent out to Tientsin. He sent a letter back to them stating this “Your letter 4 July. There are now 24,000 troops landed, and 19,000 here. General Gaselee expected Ta-ku to-morrow. Russian troops are at Peitsang. Tientsin city is under foreign government and ‘Boxer' power here is exploded. There are plenty of troops on the way if you can keep yourselves in food. Almost all the ladies have left Tientsin.” On August the 1st, another letter arrived dated from July 26th addressed to the Japanese Minister Baron Nishi. It officially stated troops were on their way, but they were delayed because of the railway damage, but their vanguard should arrive in two to three days. The foreigners checked their food stores noting they had 600 lbs of white rice, 11,5000 lbs of yellow rice and 34,000 pds of wheat left. They estimated it would last them 5 more weeks of siege alongside the 30 ponies they had left…poor ponies. Nigel Oliphant also noted “cigars and tobacco are running out, which is more serious to some of us than want of food.” The condition of the Christian Chinese at the Fu was horrible. As written in the diary of Lenox Simpson on July 24th “the miserable natives imprisoned by our warfare are in a terrible state of starvation. Their bones are cracking through their skin; their eyes have an insane look; yet nothing is being done for them. They are afraid to attempt escape even in this quiet, as the Water Gate is watched on the outside night and day by Chinese sharpshooters....Tortured by the sight of these starving wretches, who moan and mutter night and day, the posts nearby shoot down dogs and crows and drag them there. They say everything is devoured raw with cannibal-like cries.” I should note, while you hear sympathies from some accounts by the foreigners in regards to the Christian Chinese, by no means were they distributing out food equally amongst them. As you can only imagine with the 19th century attitudes, the Chinese were treated like subhumans. After a few days it seemed the half armistice was fading away. The Qing were constructing a large barricade across the north bridge which the foreigners began to use the International gun against. Qing sharpshooters took up positions to thwart the men using the international gun. The barricade reached 6 feet high over the length of the bridge. The foreigners reacted by building their own barricade over the south bridge securing communications between the British and the other legations. All the while the Zongli Yamen was sending reassurances and advising the foreign community to take their offer to depart under their protection. By August the 4th, there was still no sign of a relief force and the truce was certainly all but over as artillery were pounding the legations heavily. Back on July 26th, the former governor of Shandong, Li Bingheng had come to Beijing and began pressuring the Boxers and Qing to ramp up the siege efforts. Empress Dowager Cixi favored Li Bingheng and gave him the rare honor of riding within the forbidden city before the received the promotion to Deputy commander of the Northern armies. Two days after he showed up, two moderate Qing officials were executed as traitors for criticizing the Boxers and advocating to lift the siege. Three other moderate officials would follow days later in what was becoming a purge within the court. More Boxers began to flood Beijing, cowing the surviving moderates into submission. A very nervous Prince Qing wrote to some southern viceroys and governors who all agreed the Boxers needed to be suppressed, but Prince Qing did not dare publicly give the order. When Vice Admiral Seymour  was rescued from his rescue attempt he sent word to the British admiralty that at least 40,000 troops would be needed to lift the siege at Beijing. The other nations such as American thought it should be 80,000, Japan estimated 70,000. But the logistics of mounting an international rescue became difficult quickly. Not all the great powers involved could afford to muster troops at this time, hell America was fighting a war in the Philippines; Britain was fighting the Boer war; the French were fighting in IndoChina and the Russias had a full on war in Manchuria, that we will tackle later. Japan was one of the few nations free and quite able to send a large force, so the other nations appealed to Japan who agreed to send an additional 20,000 men to Tientsin. Then there was the issue of a supreme allied commander. Kaiser Wilhelm, as usual sought to grab the reigns for Germany and used von Ketteler's murder as justification. Kaiser Wilhelm nominated Field Marshal Count von Waldersee whom would go on to say of the appointment “a Japanese Supreme Command, no less than an American, was out of the question from the start. The French had not made any effort to get the Supreme Command, leaving only Russia and Britain as Germany's rivals. But, neither would concede it to the other, and, moreover, no one favored England, as the reputation of the English Generalship had suffered a set-back in the Boer War.” The Kaiser persuaded Russia and Japan to back his nominee and everyone abided by the decision. Von Waldersee was set to depart for China on August 18th. Meanwhile in Berlin, the Kaiser gave a speech, tossing away the prepared text for his own words “You must know, my men, that you are about to meet a crafty, well-armed foe! Meet him and beat him! Give no quarter! Take no prisoners! Kill him when he falls into your hands! Even as, a thousand years ago, the Huns under their King Attila made such a name for themselves as still resounds in terror through legend and fable, so may the name of Germany resound through Chinese history . . . that never again will a Chinese dare to so much as look askance at a German.” Ironic he made the link about the Huns and Attila haha. By the end of July, 25,000 men were at Taku and Tientsin with a lot more on the way. Britain was calling up forces from India, America from the Philippines. Tientsin was swimming with foreign troops, so much so, Doctors began vaccinating their men against smallpox. Tensions were mounting, as most of these nations were in proxy wars with another. The Russians and Japanese particularly did not like each other.  Then on July 27th, as quite a cheeky maneuver, the British commander in chief General Gaselee, began to argue there was a need for quick action. He was met by resistance from the French and Russians who cautioned delay, but Gaselee argued “The rainy season will set in in a few day and the whole place will be under water.” Gaselee determined to take control of the situation suddenly told the other leaders Britain would go it alone if necessary. The Americans backed him thus forcing the hand of the others, for none of the other great powers wanted to see Britain and America steal the glory. It was agreed they would all march on August 5th as an international relief force and they would be quite a sight to behold as told to us by US Marine officer Smedley Butler :“French Zouaves in red and blue, blond Germans in pointy helmets, Italian Bersaglieri with tossing plumes, Bengal cavalry on Arabian stallions, turbaned Sikhs, Japanese, Russians, English. we are going to fight the greatest battle at Pekin that has been fought for one hundred years.” I would like to take this time to remind you all that this podcast is only made possible through the efforts of Kings and Generals over at Youtube. Please go subscribe to Kings and Generals over at Youtube and to continue helping us produce this content please check out www.patreon.com/kingsandgenerals. If you are still hungry after that, give my personal channel a look over at The Pacific War Channel at Youtube, it would mean a lot to me. The Qing were at war with 8 different great powers and even amongst themselves in many ways. The Taku forts had fallen, Tientsin had fallen and now the 8 nation alliance was going to march upon Beijing, by all means it was time to toss in the towel wasn't it?  

Choses à Savoir HISTOIRE
Comment les congès payés ont-ils été obtenus ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Sep 7, 2023 2:33


Le 3 mai 1936, le Front populaire, une coalition regroupant les socialistes, les communistes et les radicaux, remporte les élections législatives. Devenu Président du Conseil quelques jours plus tard, le 4 juin, le socialiste Léon Blum s'apprête à prendre des mesures très attendues, prévues par le programme de la coalition. Mais le calendrier s'accélère, en raison des grèves massives qui, dès le lendemain des élections, font bientôt descendre 3 millions de personnes dans la rue. Elles entendent faire pression sur le gouvernement pour obtenir des avancées encore plus significatives. Et, de fait, elles le sont. En effet, les accords Matignon, conclus avec les syndicats dans la nuit du 7 au 8 juin, prévoient une augmentation substantielle des salaires, la mise en place de conventions collectives et l'élection de délégués du personnel. Par ailleurs, la semaine de travail est abaissée à 40 heures. Mais la mesure peut-être la plus emblématique est peut-être l'octroi de 14 jours de congés payés. Et pourtant, elle ne faisait pas partie du programme de la coalition. C'est sans doute l'élan populaire manifesté par les grandes grèves du printemps 1936 qui décida Léon Blum et son gouvernement à franchir le pas. Certaines catégories de travailleurs, comme les fonctionnaires, les ouvriers du Livre ou encore les électriciens et les gaziers avaient déjà droit à quelques jours de vacances payées. Mais, contrairement à ce qui se passait en Allemagne, par exemple, l'ensemble de la population n'en bénéficiait pas. Pour permettre aux Français de mieux profiter de ces nouveaux congés payés, le sous-secrétariat aux Loisirs et au Sport, un nouveau département ministériel, favorise la création des auberges de jeunesse et propose des billets de train à tarif réduit. 600.000 Français partent ainsi en vacances dès l'été 1936. Contrairement à ce que l'on écrit parfois, la majorité d'entre eux ne part pas très loin, rendant souvent visite à leur famille. L'année suivante, ils seront près de 2 millions à profiter de leurs congés. Ils passeront à 3 semaines en 1956, puis à 4 à 1968, la 5e semaine de congés payés étant obtenue en 1982.   Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

C dans l'air
Darmanin, Le Maire, Philippe... Qui pour succéder à Macron ? - 14/08/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Aug 14, 2023 59:14


C dans l'air du 14 août - Darmanin, Le Maire, Philippe... Qui pour succéder à Macron ? LES EXPERTS : - YVES THRÉARD - Éditorialiste - Directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » - RACHEL GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique à 20 Minutes - JEAN-JÉRÔME BERTOLUS - Chef du service politique de France Info - JEAN GARRIGUES - Historien - Président du Comité d'histoire parlementaire et politique "Ce qui m'inquiète maintenant, c'est ce qui se passera en 2027". La phrase est signée Gérald Darmanin. Le ministre de l'intérieur se confie aujourd'hui dans les colonnes au Figaro. Si le locataire de la place Beauvau ne faisait pas grand mystère de ses ambitions, elles sont désormais clairement affirmées. Après l'échec de son opération pour prendre Matignon lors du dernier remaniement, il se tourne vers l'avenir. Il fera sa rentrée politique à l'occasion d'une réunion organisée dans son fief de Tourcoing le 27 août. Mais Gérald Darmanin n'est pas le seul à prétendre à l'Elysée au sein de la macronie. Plus discret, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, avance, lui aussi, ses pions. Il fera lui sa rentrée dans une entreprise de Haute-Savoie, trois jours avant le grand raout de son collègue du gouvernement. Depuis Brégançon, où il prend ses vacances, Emmanuel Macron observe ce bal des prétendants. Le président de la République a évoqué fin juillet la possibilité que son ancien Premier ministre Édouard Philippe puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027. Interviewée sur BFMTV quelques jours plus tard, Élisabeth Borne avait quant à elle loué les "grandes qualités d'homme d'État" du maire du Havre. Mais Edouard Philippe a-t-il été adoubé ou piégé ? Cette petite phrase le présentant comme un héritier pourrait finalement avoir gêné le maire du Havre, qui cherche au contraire à se distinguer d'Emmanuel Macron. Parmi les possibles successeurs, Jean Castex, l'ancien premier ministre, aujourd'hui à la tête de la RATP, apparaît aux yeux d'Emmanuel Macron et de plusieurs ministres comme un recours possible. Ce dernier assure de son côté ne pas se préparer pour concourir au prochain scrutin. A gauche de l'échiquier politique, EELV savoure sa victoire face au ministre de l'Intérieur. Vendredi le Conseil d'État a en effet infligé un camouflet à Gérald Darmanin en suspendant la dissolution du mouvement écologiste les "Soulèvements de la Terre". Le collectif écologiste avait été dissous le 21 juin. Cette suspension n'est que temporaire, le Conseil d'Etat doit encore se prononcer sur le fond du dossier. Marine Tondelier, la patronne des écologistes, insiste sur le fait que le locataire de la place Beauvau "avait tort". Elle fustige un ministre qui "mélange ses outils juridiques - le droit qu'il doit faire valoir dans ce pays - et ses opinions politiques". Son parti affronte une importante polémique depuis l'invitation du rappeur Médine à ses journées d'été. Ce dernier est en effet régulièrement accusé d'antisémitisme et d'homophobie. Face aux critiques, Marine Tondelier persiste et signe. Elle souligne le parcours d'une personnalité qui a "ouvert les yeux sur ses erreurs" au fil des années et assure avoir des "échanges assez francs" avec le rappeur. La secrétaire nationale d'EELV se serait sans doute passée de cette séquence. Elle doit en effet relever un lourd pari : faire mieux que la liste emmenée par Yannick Jadot au élections européennes de 2019, qui était arrivée en troisième position avec 13,5 % des suffrages. Les militants du parti ont plébiscité le principe d'une liste autonome pour le scrutin, qui aura lieu e 2024. Après les communistes, les écologistes ont donc désigné leur cheffe de file. La perspective d'une liste commune de la gauche, souhaitée par La France insoumise, s'éloigne encore un peu plus. Le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon est le seul à poursuivre la tradition des caravanes populaires estivales. Ses militants vont de ville en ville, de plage en plage, à la rencontre des électeurs. Le principal adversaire est désigné : l'abstension. Ils disent lutter contre la résignation et vont chercher des gens qui votent peu pour essayer de les convaincre de rallier leur cause. Une campagne permanente. Un véritable travail de fourmi. A Carpentras, dans le Vaucluse, où une équipe de C dans l'air les a recontrés, l'objectif est de reconquérir un électorat populaire, parti chez le RN. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Maya Lauqué - Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Appels sur l'actualité
[Vos questions] La hausse des prix du carburant inquiète les congolais

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 20, 2023 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le sort des enfants ukrainiens déportés en Russie, sur le maintien d'Elisabeth Borne à la tête du gouvernement et sur la vague de chaleur qui touche la France. Congo : le prix du carburant flambe Le prix de l'essence a augmenté de 25% après les recommandations du Fonds Monétaire International au gouvernement congolais de mettre fin aux subventions des produits pétroliers. Comment expliquer cette décision du FMI ? Les autorités prévoient-elles des mesures pour accompagner les ménages les plus modestes ou les transporteurs ? Avec Loïcia Martial, correspondant de RFI à Brazzaville.Guerre en Ukraine : inquiétude autour du sort des enfants déportés  Le Royaume-Uni a sanctionné plusieurs personnalités russes accusées d'être impliquées dans la déportation d'enfants ukrainiens. D'autres pays occidentaux pourraient-ils également sanctionner ces responsables russes ? Quel est le sort de ces enfants ? Ces pressions occidentales pourraient-elles leur permettre de retrouver leurs familles ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI.France : remaniement gouvernemental imminent Le gouvernement devrait subir prochainement des « ajustements », mais Elisabeth Borne devrait rester à Matignon. Pourquoi la Première ministre a-t-elle été conservée par le Président Emmanuel Macron ? Quelle est la stratégie politique derrière ce remaniement ? A quels « ajustements » peut-on s'attendre ? Avec Julien Chavanne, chef adjoint du service politique de RFI.Météo : l'hémisphère nord en surchauffe Plusieurs pays de l'hémisphère nord comme la France subissent actuellement une vague de chaleur importante. Le pays était-il préparé à subir cette canicule ? Quelles sont les mesures mises en place par le gouvernement pour s'adapter à ces températures élevées ? Avec Simon Rozé, journaliste au service Sciences de RFI.

Les journaux de France Culture
Impatience probable dans les ministères : le remaniement est attendu dans les minutes ou heures qui viennent

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 20, 2023 14:48


durée : 00:14:48 - Journal de 12h30 - Qui devrait entrer ? Sortir ? Et pourquoi cela traîne ? Ultimes tractations entre Élysée et Matignon.

L'opinion de Nicolas Beytout
Remaniement : un bras de fer classique entre Matignon et l'Elysée

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Jul 20, 2023 3:18


 Chaque matin, un journaliste du Figaro Magazine revient sur l'actualité politique du jour.

L'édito éco - week end
Remaniement : un bras de fer classique entre Matignon et l'Elysée

L'édito éco - week end

Play Episode Listen Later Jul 20, 2023 3:18


 Chaque matin, un journaliste du Figaro Magazine revient sur l'actualité politique du jour.

Les matins
Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT est l'invitée des Matins

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 19, 2023 34:40


durée : 00:34:40 - L'Invité(e) des Matins d'été - par : Quentin Lafay - La Première ministre a reçu les organisations patronales et syndicales ce mercredi 12 juillet à Matignon. Objectif affiché : définir l'agenda social des mois à venir et jeter les bases du pacte de la vie au travail, désiré par Emmanuel Macron. L'intersyndicale, elle, prévoit de se réunir fin août. - invités : Marylise Léon Secrétaire nationale de la CFDT

L'entretien de Sonia Mabrouk
Remaniement : «Élisabeth Borne représente l'échec sécuritaire et sociale, il faut un changement de philosophie» selon Laure Lavalette

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Jul 19, 2023 9:03


Chaque matin de l'été, à 8h15, Alexandre Le Mer en juillet et Lionel Gougelot en août reçoivent une personnalité au centre de l'actualité. Ce mercredi matin, Laure Lavalette, députée du Var et porte-parole du groupe RN à l'Assemblée nationale, revient sur le maintient de la Première ministre à Matignon, sur le changement de philosophie politique de devrait prendre le pays. 

L'entretien de Sonia Mabrouk
Macron : «On est à la mi-temps du quinquennat, c'est maintenant qu'il faut impulser les changements et s'attaquer aux origines des crises» selon Gilles Le Gendre

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 8:38


Chaque matin de l'été, à 8h15, Alexandre Le Mer en juillet et Lionel Gougelot en août reçoivent une personnalité au centre de l'actualité. Ce mardi, Gilles Le Gendre, député Renaissance de Paris, revient sur le maintient à Matignon d'Élisabeth Borne, de ce que doit faire le Président de la République dans les dernières années de son second mandat et des réformes qu'il doit impulser. 

Les matins
A quoi sert la création du délit "d'homicide routier” ?

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 10:13


durée : 00:10:13 - La Question du jour - par : Quentin Lafay - Hier, s'est tenu à Matignon le Comité interministériel de la sécurité routière (CISR). A l'ordre du jour, la création d'un “homicide routier”, venu se substituer à “l'homicide volontaire” par lequel étaient jugés les homicides commis dans le cas d'accidents de la route… - invités : Jean-Baptiste Le Dall Avocat spécialisé dans le droit automobile

C dans l'air
Elisabeth Borne reconduite...faute de mieux ? - 18/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 57:41


C dans l'air du 18 juillet : Elisabeth Borne reconduite...faute de mieux ? LES EXPERTS : - HERVE GATTEGNO - Directeur de l'information – Radio classique - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - Marianne - Corinne LHAIK - Journaliste politique – L'opinion - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique – France télévisions Élisabeth Borne maintenue à Matignon. Emmanuel Macron a finalement décidé de conserver l'actuelle Première ministre à son poste. L'Elysée a officialisé cette décision hier soir au nom de la "stabilité". Dans la foulée, l'ancienne ministre du Travail a promis "des ajustements" au sein du gouvernement. Depuis plusieurs semaines les rumeurs concernant un remaniement bruissent dans les couloirs du pouvoir. Finalement après le dossier des retraites, l'usage du 49.3 et les "100 jours", la cheffe du gouvernement reste en place. Mais des changements vont bien être annoncés dans les prochains jours. Lesquels ? Emmanuel Macron et Élisabeth Borne peineraient à trouver un terrain d'entente. Le président de la République semble vouloir vite tourner la page et remplacer une poignée de ministres, jugés décevants. La cheffe du gouvernement plaiderait, elle, pour des changements plus vastes et pour imposer davantage sa marque. Alors que va décider l'exécutif ? Qui sont les ministres sur la sellette ? Le président de la République doit recevoir les ministres et les secrétaires d'État à l'occasion d'un dîner ce mardi soir, et s'exprimer avant son départ dimanche pour la Nouvelle-Calédonie. D'ici là, les spéculations vont bon train alors qu'une première nomination vient d'être annoncée, celle du nouveau directeur de cabinet de la Première ministre Jean-Denis Combrexelle. Ce spécialiste du Code du travail remplace depuis lundi Aurélien Rousseau, directeur de cabinet de la Première ministre qui devait quitter cette fonction au début du mois. Sa désignation quelques jours après une reprise du dialogue entre Elisabeth Borne et les syndicats pour lancer un nouvel agenda social et, selon les mots de la Première ministre, "bâtir ensemble un nouveau pacte de la vie au travail", a été accueillie plutôt favorablement du côté des partenaires sociaux. "On va voir à l'œuvre ! Au moins, il connaît les questions du travail et les organisations syndicales. A suivre donc", a commenté Denis Gravouil (CGT), tandis qu'Hubert Mongon (Medef) l'a qualifié d'"excellent connaisseur de la matière sociale, et très reconnu ». Le maintien d'Elisabeth Borne à Matignon a également été salué par le syndicat CFE-CGC : "la continuité cela a du bon" a réagi son président François Hommeril. Du côté de la classe politique, en revanche, si la majorité se félicite de voir Élisabeth Borne rester à Matignon, les formations d'opposition déplorent la poursuite de la politique menée par Emmanuel Macron jusque-là. "Emmanuel Macron n'est pas à la hauteur des enjeux. C'est une prime à l'échec", a dénoncé Laurent Jacobelli, porte-parole du RN et député de Moselle sur franceinfo. "La capacité à agir de ce gouvernement est extrêmement faible" et "je trouve le Parlement depuis le 49-3 sur les retraites plongé dans une léthargie très inquiétante" a réagi de son côté Fabien Di Filippo, député LR de Moselle. A gauche, ce maintien est jugé "logique". "Emmanuel Macron maintient Emmanuel Macron", a ironisé le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière, pour qui "c'est la même politique qui va continuer." Mais au sein de la Nupes, ce sont surtout les dernières déclarations de Jean-Luc Mélenchon qui suscitent des remous. L'ancien candidat à l'élection présidentielle a assimilé le CRIF- Conseil représentatif des institutions juives de France - à l'extrême droite dans un tweet publié ce dimanche. "Le président du #CRIF utilise la cérémonie à la mémoire des victimes de la rafle des juifs par la police française pour me prendre à partie. Abject. L'extrême droite n'a plus de limite." Une réponse au discours de Yonathan Arfi dans lequel ce dernier l'a accusé dimanche de se "compromettre loin du pacte républicain". Alors quels changements au sein du gouvernement ? Pourquoi les personnalités issues de la société civile ont bien souvent du mal à rester longtemps au sein de l'exécutif ? Enfin quel est l'avenir de la Nupes ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

RTL Matin
Remaniement : les coulisses du maintien d'Élisabeth Borne à Matignon

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 2:05


Emmanuel Macron a décidé de conserver Élisabeth Borne au poste de Première ministre. La cheffe du gouvernement a promis "des ajustements" chez ses ministres.

Revue de presse française
À la Une: Élisabeth Borne reconduite… de justesse

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 3:51


En attendant des « ajustements » au gouvernement, « la Première ministre sauve son poste à Matignon » titre Aujourd'hui en France. Le quotidien souligne un « télescopage cruel de calendrier : ce mardi soir les membres du gouvernement sont invités avec leur conjoint à dîner à l'Élysée… Rituel classique avant la trêve estivale. Certains vont venir pour être remerciés 24 heures plus tard. C'est rugueux ».Discrète confirmation d'Élisabeth Borne, après la contestation de la réforme des retraites qu'elle portait, mais jusqu'à quand ? Le Figaro cite ces propos tenus dans un ministère : « Comme c'est le cas depuis mai 2022, ce quinquennat est décousu et se construit comme une multiplication de CDD ».Libération relaie les commentaires de l'oppositionPour Marine Le Pen, le maintien d'Élisabeth Borne traduit la « dramatique déconnexion d'un président qui a perdu tout contact avec le peuple ». « La macronie se rétrécit, lance la présidente du groupe LFI à l'Assemblée Mathilde Panot, personne ne veut monter sur un bateau qui coule ».La France insoumise dont le chef de file est à la Une du Figaro avec ce titre : « Mélenchon dans la stratégie du scandale permanent ». En cause, ses propos assimilant à l'extrême droite le président du Crif, le Conseil qui représente les institutions juives de France. De quoi, dit le journal, « provoquer de longs soupirs de lassitude au sein de la Nupes. Mélenchon ne fait que s'isoler au sein de la coalition de gauche… »Retour sur les émeutes qui ont suivi la mort de Nahel Pour une analyse à froid, « le racisme systémique » a été le « catalyseur de la colère dans les banlieues » écrit L'Humanité. Le quotidien fustige la réponse du quai d'Orsay à la déclaration de l'ONU, qui exhortait alors la France à s'attaquer au racisme dans les rangs de sa police. « Accusation infondée » a répondu Paris. Dans les colonnes de L'Humanité, des témoignages disent le contraire. Celui de Sofiane, violemment interpellé à Nanterre. Insultes et coups de pieds dans la tête pour avoir de son aveu « roulé un peu trop vite ». Il est ressorti libre de sa garde à vue. Aucune charge n'a été retenue contre lui.De son côté, La Croix revient en chiffres sur ces émeutes. Pour le journal, les violences de ces dernières semaines interrogent le modèle d'intégration à la française. Et il répond donc en chiffres à toute une série de questions : « Le pays est-il en train de se ghettoïser ? Peut-on parler de racisme systémique dans la police ? Les descendants de migrants sont-ils discriminés ? » Et à la lecture du journal, aucune réponse n'est manichéenne. Le journal cite une étude de France Stratégie qui a cherché à déterminer le facteur le plus important d'inégalité. Il en ressort que l'origine sociale compte bien plus que l'ascendance migratoire.40 degrés attendus en France, 48 en SardaigneLa canicule est à nouveau à la Une. Pour Libération, l'heure n'est plus aux lamentations mais… à l'adaptation. Le secteur du tourisme est en première ligne. Dans le sud de l'Europe, les destinations les plus prisées ne sont pas adaptées. En tout cas pas toutes. Barcelone est une des villes les plus avancées, avec en période de canicule des refuges thermiques pour les visiteurs : tous les espaces publics et écoles sont ouverts avec des points d'eau, de l'ombre et des espaces de repos.Mais de nombreuses villes peinent à trouver les moyens pour faire face au réchauffement… Comme à Athènes, où la végétalisation annoncée par le maire pour rafraîchir l'atmosphère tarde à se concrétiser. Les températures sont étouffantes dans la capitale grecque et les degrés ne sont pas les seuls en cause, raconte l'envoyé spéciale du journal : « Le manque d'air fige la sensation de plomb. Plus l'après-midi avance, plus on ressemble à des zombies avec les yeux cernés et quand on se lève à trois heures du matin, on soupire d'aise parce qu'il fait 33 degrés ». Et on est loin encore des 53,3 degrés enregistrés dimanche aux États-Unis dans la vallée de la Mort.

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Laurent Jacobelli : «Quel que soit que le pion à Matignon, c'est Emanuel Macron qui dirige et il dirige mal»

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Jul 15, 2023 13:52


Tous les vendredis, samedis et dimanches, Arthur Meuriot reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.

C dans l'air
Marine Le Pen : sa nouvelle stratégie - 15/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 15, 2023 61:02


C dans l'air du 15 juillet : Marine Le Pen : sa nouvelle stratégie PRÉSENTATION: Maya Lauqué LES EXPERTS : - Yves THRÉARD - Editorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction de Libération - Ivanne TRIPPENBACH - Journaliste au Monde en charge de l'exécutif - Driss AIT YOUSSEF - Docteur en droit public, spécialiste des questions de sécurité globale Deux semaines après les émeutes, et alors même que le calme semble revenu au lendemain de festivités du 14-Juillet sans reprise des violences, que va faire l'exécutif ? Si le président de la République a choisi de ne pas se livrer à la traditionnelle interview télévisée devant les Français lors des cérémonies de la Fête nationale, il va parler dans "les prochains jours" a indiqué l'Elysée. Il s'y était engagé le 17 avril dernier en lançant sa séquence des "cent jours d'apaisement" après la conflictuelle réforme des retraites. À l'époque, le chef de l'État avait assuré qu'il reviendrait devant les Français autour du 14 Juillet pour un "premier bilan" des chantiers lancés alors. Le premier sur le travail, pour renouer le dialogue avec les organisations syndicales et lancer des discussions sur les salaires, notamment. Après des mois de bras de fer à cause des retraites, les syndicats ont rencontré la semaine dernière Élisabeth Borne pour aborder ces sujets. Le deuxième chantier portait sur la justice et l'ordre républicain avec l'engagement de renforcer le contrôle de l'immigration illégale et des "annonces fortes" contre la délinquance. Dernier chantier, enfin, celui de l'éducation et de la santé avec la promesse de "désengorger" tous les services d'urgence d'ici à fin 2024. Sur le plan politique, Emmanuel Macron avait également demandé à sa Première ministre de continuer à travailler pour élargir la majorité. Sur tous ces dossiers, Emmanuel Macron est attendu, mais pas seulement. Silencieux depuis les émeutes, il n'a toujours pas donné sa lecture des événements, préférant prendre le temps de consulter et de comprendre avant de parler. Le sujet du remaniement gouvernemental est lui aussi toujours dans l'air avec le sort d'Élisabeth Borne en suspens. Va-t-elle rester ou quitter Matignon ? Et qui pour la remplacer ? Cela fait maintenant plusieurs semaines que les ministres sont dans le flou alors que les rumeurs circulent à toute vitesse et que la Première ministre entend bien occuper le terrain. Elisabeth Borne a ainsi accordé au Parisien une longue interview, publiée le 8 juillet, dans laquelle elle évoque pêle-mêle son bilan, les "100 jours", la transition écologique, mais aussi le remaniement. "J'ai une feuille de route, je délivre et je m'y tiens", y assure la cheffe du gouvernement, ajoutant : "Je ne commente pas les rumeurs". Devant les parlementaires de la majorité réunis à Matignon récemment, elle s'est également félicitée que la "dynamique" de son gouvernement soit "pleinement lancée." Du côté du Rassemblement national, si Marine Le Pen s'est faite plutôt discrète pendant les événements, laissant le patron du parti martelait des formules chocs sur les plateaux télé, elle a fait cette semaine son retour sur le terrain. Mercredi, la présidente des députés RN s'est rendue à Beauvais. Evitant le quartier qui a souffert des nuits de violences car "impossible à sécuriser", la cheffe de file du parti d'extrême droite s'est rendue dans le centre-ville tranquille pour parler d'économie avec des commerçants tandis que Jordan Bardella continue d'occuper le terrain médiatique. Formulant cette semaine son opposition à toute nouvelle dépense publique en faveur des banlieues pour résorber les inégalités, le patron du RN estime que "la jeunesse de la banlieue a été privilégiée par rapport à celle de la ruralité". Une stratégie de la France des champs contre celle des banlieues sur laquelle le Rassemblement national mise pour marquer des points dans l'opinion à la faveur des émeutes. Pendant ce temps dans les quartiers touchés par les violences, habitants et municipalités cherchent à parer au plus pressé. Dans les communes où les centres sociaux ont brulé, il faut trouver des solutions alternatives pour venir en aide aux parents qui travaillent et n'ont plus de lieu d'accueil pour leurs enfants en ce début de vacances scolaires. Se pose aussi la question du transport pour les propriétaires des 5000 véhicules incendiés pendant ces émeutes. Nombre d'associations ont également perdu gros. Certaines ONG ont lancé des cagnottes pour financer les réparations. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le service politique
Élisabeth Borne, l'éternel sursis

Le service politique

Play Episode Listen Later Jul 12, 2023 18:08


Cela fait plus de 400 jours qu'Elisabeth Borne a posé ses valises à Matignon... Et plus de 400 jours qu'elle semble sur la sellette.Mais, cette fois-ci, le Président va-t-il vraiment la lâcher ? Va-t-il renverser la table ? Un remaniement pourrait avoir lieu la semaine prochaine... aux contours encore bien flous.Autour de Thomas Soulié : Benjamin Duhamel et Loïc Besson vous racontent la campagne menée par Elisabeth Borne pour rester à son poste et les relations plus que jamais tendues avec son patron.

RTL Matin
REMANIEMENT - Elisabeth Borne se voit rester à Matignon

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 12, 2023 1:04


La Première ministre apparaît déterminée à rester en poste malgré les rumeurs persistantes d'un remaniement imminent.

Le 13/14
Le nouveau pacte de la vie au travail avec Sophie Binet

Le 13/14

Play Episode Listen Later Jul 11, 2023 59:56


durée : 00:59:56 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - Ce mercredi 12 juillet, Élisabeth borne reçoit l'ensemble des partenaires sociaux demain à Matignon afin de bâtir un nouveau pacte de la vie au travail. La CGT s'y rendra, mais a-t-elle dépassé la crise de la réforme des retraites ? On en parle avec Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.

C dans l'air
Remaniement : Borne s'accroche, les prétendants s'agitent - 10/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 10, 2023 56:47


C dans l'air du 10 juillet - Remaniement : Borne s'accroche, les prétendants s'agitent LES EXPERTS : - Nathalie Mauret - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - Guillaume Daret - Grand reporter au service politique – « France Télévisions » - Brice Teinturier - Directeur délégué de l'institut de sondages Ipsos - Gaelle Macke - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » Les baisses d'impôts promises par le gouvernement seront-elles reportées ? Face au ralentissement de la croissance et à la nécessité de faire des économies, l'exécutif songe en effet à revoir sa copie. Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé que le rythme des réductions dépendrait du niveau de croissance de la France. "Nous voulons continuer dans cette direction de baisse des impôts sur les ménages comme sur les entreprises", a-t-il affirmé dimanche 9 juillet sur LCI, en marge des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence. "Ensuite, il y a une réalité. Nous sommes parfaitement conscients qu'il y a un ralentissement de la croissance partout dans le monde, notamment en Europe." Le ministère attend donc d'évaluer les perspectives de croissance pour 2023 et 2024 avant de se prononcer sur le dossier des impôts. "Fin septembre", a-t-il indiqué. Mais les différents scénarios ne sont pas très optimistes. Le gouvernement table sur une progression de 1 % du produit intérieur brut en 2023, une prévision supérieure à celle de l'Insee et de la Banque de France. Cette conjoncture défavorable intervient alors que le gouvernement a déjà prévu plusieurs dépenses d'ampleur. Sont notamment prévues l'augmentation des salaires des enseignants à la rentrée et différentes lois de programmation comme celle de l'armée, ou encore la revalorisation des prestations sociales. Bercy a en outre promis à Bruxelles de revenir sous la barre des 3 % de déficit en 2027. Les règles budgétaires de l'Union européenne seront en effet rétablies en 2024, après plusieurs années de suspension à cause du Covid-19. Pour mener à bien ce défi, comme tous ceux qui l'attendent à la rentrée, l'exécutif a-t-il besoin de sang neuf ? Les rumeurs ne cessent de courir sur un possible remaniement du gouvernement. La Première ministre Élisabeth Borne espère rester à Matignon et considère qu'elle a fait le travail. Elle n'affiche aucune inquiétude et prend Emmanuel Macron au mot. "Le Président a eu l'occasion de dire que j'avais sa confiance", a-t-elle rappelé dans une interview donnée hier au Parisien. Elle n'a cependant pas réussi à élargir la majorité comme le lui avait demandé Emmanuel Macron. Ce qui joue toutefois en sa faveur, c'est que le président de la République ne dispose pas de remplaçant idéal. Parmi les prétendants à sa succession, Gérald Darmanin fourbit ses armes. Reste à savoir si choisir ce transfuge de la droite sera dans l'intérêt d'Emmanuel Macron. Les accusations de violences sexuelles qui pèsent à l'encontre du ministre de l'Intérieur ne semblent pas être un obstacle à son ascension, il est même persuadé d'être sorti renforcé des émeutes. Il reste cependant suspendu au choix du président de la République, l'arbitre des ambitions. Pendant que se déroulent ces tractations politiques, les commerçants accusent le coup des émeutes consécutives à la mort du jeune Nahel, tué à bout portant par un policier le 27 juin dernier. Une équipe de C dans l'air s'est rendue à leur rencontre à Arpajon, en Île-de-France. Ils sont sonnés. Partout en France, les principales organisations patronales et commerçantes demandent à l'Etat des mesures de soutien supplémentaires. Après plusieurs nuits de violences urbaines, le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux affirme que plus de 200 commerces ont été entièrement pillés, 300 agences bancaires détruites et 250 bureaux de tabac touchés. Selon les premières estimations, le préjudice économique pour les entreprises est particulièrement élevé : environ un milliard d'euros selon son organisation. Les baisses d'impôts promises par le gouvernement seront-elles reportées ? Le remaniement pressenti aura-t-il bien lieu ? Comment les commerçants vont-ils se relever des nuits de violences urbaines ?

C dans l'air
5 nuits de violence... La République sous le choc - 03/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 3, 2023 62:34


C dans l'air du 3 juillet : 5 nuits de violence... La République sous le choc LES EXPERTS : - Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), responsable du pôle sécurité, défense et renseignement - Raphaëlle Bacqué, grand reporter au journal Le Monde - Elizabeth Pineau, correspondante à l'Elysée et Matignon pour l'agence de presse Reuters - Jérôme Fourquet, directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "La France sous nos yeux" (Seuil) - Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières (LR) Les émeutes déclenchées à la suite de la mort de Nahel, 17 ans, mardi dernier, s'essoufflent nettement. Seules 137 interpellations ont eu lieu la nuit dernière pour trois policiers blessés, portant à 3200 le nombre de jeunes qui ont été interpellés depuis le début des événements. Bien qu'il reste pleinement mobilisé en matière sécuritaire, le gouvernement commence à dresser de premiers bilans et cherche la réponse appropriée pour éviter de nouvelles violences. Le président Emmanuel Macron a rassemblé ses troupes ce lundi. Avant une rencontre avec 220 maires demain, il a reçu en début d'après-midi les présidents des deux chambres parlementaires, Yaël Braun-Pivet pour l'Assemblée nationale, et Gérard Larcher pour le Sénat. Il s'agit selon l'Élysée "d'entamer un travail" pour comprendre les évènements. Mais aussi de rassurer les élus locaux, deux jours après l'attaque perpétrée au domicile du maire LR de l'Haÿ-les-Roses, Vincent Jeanbrun. Dans la nuit de samedi à dimanche, la maison de l'édile a été attaquée à la voiture bélier par un groupe d'assaillants qui auraient ainsi tenté d'y mettre le feu. Alors qu'elle se trouvait seule à la maison avec leurs deux enfants, la femme du maire a dû s'enfuir avec eux et s'est blessée à la jambe pendant sa course. Vincent Jeanbrun n'est pas le seul élu local à avoir été ciblé par les émeutiers. Selon le patron de l'Association des maires de France (AMF), David Lisnard, près de 150 mairies ou bâtiments municipaux ont été attaqués depuis mardi.... Des rassemblements de soutien aux élus ont ainsi été organisé à midi dans plusieurs villes de France. Chez les commerçants, c'est aussi la stupeur, après plusieurs nuits de pillages dans les villes de France. À Montargis (Loiret), 300 casseurs ont envahi la commune aux cris de "on va brûler Montar". Deux bâtiments se sont effondrés dans la nuit du 29 au 30 juin, à la suite d'incendies qui ont été déclenchés pendant le pillage. Au total, quatre-vingts magasins ont été dégradés et quinze pillés, dans cette ville pourtant d'ordinaire tranquille et pas habituée aux émeutes. "La dernière catastrophe, c'était en 2016, quand le Loing a quitté son lit, les poissons nageaient dans les rues. Et puis, on a eu le Covid-19, mais ça…", a déclaré le maire LR de la ville, Benoît Digeon. À Marseille, de nombreux commerces ont subi de lourdes séquelles durant ce week-end et certains ne savant pas s'ils vont s'en relever. Selon l'organisme France Assureurs, seul un commerce sur deux est assuré contre les pertes d'exploitation et pourra donc être indemnisé pour le manque à gagner lié à la fermeture, jusqu'à une réouverture. Face à cette situation dramatique, le maire socialiste de la cité phocéenne Benoît Payan a annoncé dimanche le déblocage d'un fonds de 2 millions d'euros à destination des commerçants lésés, qui passera notamment par "une exonération de la Taxe locale sur la publicité extérieure qui devrait durer tout l'été". Au niveau national, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a reçu ce samedi les commerçants et restaurateurs et a demandé aux assureurs de prolonger les délais de déclaration, de réduire les franchises et d'indemniser rapidement les professionnels : "Nous avons demandé aux assureurs de faire preuve de la plus grande simplicité dans le traitement des procédures", a-t-il déclaré. Comment mettre fin aux émeutes ? Quelle sécurité pour les élus locaux ? Et que retenir de cette semaine d'embrasement dans les banlieues françaises ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS - 03/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 3, 2023 5:40


C dans l'air du 3 juillet : 5 nuits de violence... La République sous le choc LES EXPERTS : - Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), responsable du pôle sécurité, défense et renseignement - Raphaëlle Bacqué, grand reporter au journal Le Monde - Elizabeth Pineau, correspondante à l'Elysée et Matignon pour l'agence de presse Reuters - Jérôme Fourquet, directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "La France sous nos yeux" (Seuil) - Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières (LR)

Les Experts
Les Experts : Bercy et Matignon organisent les assises de la dépense publique - 19/06

Les Experts

Play Episode Listen Later Jun 19, 2023 15:34


Ce lundi 19 juin, la stratégie efficace pour réduire les dépenses publiques à l'occasion des Assises organisées par le gouvernement a été abordée par Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Nicolas Bouzou, directeur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et Roland Gillet, professeur d'économie financière à Paris-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

C dans l'air
Politique : vers un remaniement du gouvernement ? - C à vous - 17/06/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 17, 2023 57:09


C dans l'air du 17 juin : Politique : vers un remaniement du gouvernement ? - LES EXPERTS : - YVES THRÉARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - JULIE MARIE-LECONTE - Cheffe du service politique – « France info » - AURÉLIE HERBEMONT - Journaliste politique Elisabeth Borne restera-t-elle en poste ? Ce n'est pas la volonté des Français. Un sondage BVA publié hier indique en effet qu'une large majorité d'entre eux se disent favorables à un changement de chef du gouvernement. La défiance à l'encontre de la Première ministre est particulièrement forte du côté des opposants à la majorité présidentielle. Le président de la République va-t-il alors la remercier, à l'approche du 14 Juillet ? Le moment pourrait s'y prêter : un changement de Première ministre permettrait de tourner la page, au moins de façon symbolique, de la difficile séquence de la réforme des retraites, incarnée par Élisabeth Borne. Cette date marquera également la fin des "cent jours" d'apaisement que le président disait vouloir pour le pays. Mais problème, les conditions politiques ne semblent pas réunies, à cause, notamment, de l'absence d'une nouvelle donne. Trois options se présentent donc à Emmanuel Macron. Tout d'abord, Elisabeth Borne pourrait très bien ne pas être remplacée. Si elle est depuis longtemps annoncée sur la sellette, l'hypothèse de la voir rester à Matignon demeure crédible. Elle l'a redit dimanche 12 juin sur France 3 : le président de la République et elle « travaillent en confiance ». Assez pour qu'Emmanuel Macron la maintienne à son poste en cas de remaniement ? En un an à Matignon, la Première ministre a affronté 17 motions de censure. Elle est aguerrie. Un remplaçant pourra-t-il se montrer aussi solide ? Vient ensuite l'hypothèse d'un nouveau coup de barre à droite. Après un an de législature dans la douleur, faute de majorité absolue à l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron pourrait tenter une opération séduction des députés LR en choisissant un Premier ministre issu de leurs rangs. C'est en tout cas ce que lui a soufflé Nicolas Sarkozy, reçu à l'Élysée le 6 juin dernier : « Quand la France penche à droite, il faut nommer un Premier ministre de droite », a conseillé l'ancien président, selon des propos rapportés par L'Express. Reste enfin pour Emmanuel Macron la possibilité de choisir un Premier ministre issu de son carré de fidèles. Parmi eux, un nom revient plus que d'autres : Julien Denormandie. L'ancien ministre de l'Agriculture, reconverti dans le privé depuis mai 2022, était déjà là en 2016 lors du lancement de la première campagne d'Emmanuel Macron. Richard Ferrand, l'ancien président de l'Assemblée nationale, est parfois également cité, malgré sa défaite aux dernières élections législatives. Pas si facile, donc, d'envisager de remplacer Elisabeth Borne. D'autant que le banc de touche n'est pas pléthorique. Les prétendants sont loin de se bousculer. Un problème de personnel auquel le président de la République fait face depuis sa première élection en 2017. Ministre ne semble plus faire rêver. Les coups à prendre sont en effet nombreux. La tâche est difficile et est moins considérée par les citoyens. Une équipe de C dans l'air a suivi Olivia Grégoire en déplacement sur le terrain. La ministre se confie sur la réalité du poste. Du côté de l'opposition de gauche, une nouvelle assemblée représentative de La France insoumise est organisée aujourd'hui à La Bellevilloise, à Paris. Ce rendez-vous réunit des représentants de la base, tirés au sort, et la direction afin d'évoquer l'avenir du mouvement et notamment la perspective des élections européennes. Mais la crise est loin d'être terminée pour le premier mouvement de gauche. En décembre, les historiques de LFI découvraient que la nouvelle direction s'était faite sans eux. Jean-Luc Mélenchon était alors accusé de verrouillage généralisé. Si pendant la bataille des retraites, les critiques ont été mises sous l'éteignoir, elles refont aujourd'hui surface. A la base, d nombreux militants s'en vont, dégoûtés par l'affaire Quatennens et le soutien que lui maintient Jean-Luc Mélenchon. Qui pour remplacer Elisabeth Borne ? Pourquoi est-il si difficile pour Emmanuel Macron de recruter ses ministres ? La France Insoumise peut-elle se rebeller contre Jean-Luc Mélenchon ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les Experts
Les Experts : Matignon va lancer la chasse aux dépenses publiques - 16/06

Les Experts

Play Episode Listen Later Jun 16, 2023 17:29


Ce vendredi 16 juin, la stratégie du gouvernement liée aux dépenses publiques, notamment la demande de Matignon aux ministères d'économiser 5 % sur leur budget, a été abordée par Dany Lang, enseignant chercheur en économie à Sorbonne-Paris Nord, François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, et Isabelle Job-Bazille, directrice des études économiques de Crédit-Agricole SA, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Le Billet politique
Les humeurs du président

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Jun 16, 2023 5:03


durée : 00:05:03 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Emmanuel Macron a montré plusieurs signes d'agacement ces dernières semaines, en direction notamment de la Première ministre, Elisabeth Borne. Il n'est pour autant pas certain qu'elle sera prochainement remplacée à Matignon.

Le Nouvel Esprit Public
Rapport Pisani-Ferry / Espagne : « à droite toute »

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 11, 2023 64:37


N°301 / 11 juin 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 9 juin 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.RAPPORT PISANI-FERRY« Il va nous falloir faire en dix ans ce que nous avons eu de la peine à faire en trente ans. L'accélération est brutale », affirme Jean Pisani-Ferry, dans un rapport intitulé « Les incidences économiques de l'action pour le climat », rendu public le 22 mai et réalisé avec l'inspectrice générale des finances, Selma Mahfouz, et avec France Stratégie, l'organisme d'évaluation et de prospective rattaché à Matignon. Dans ce travail M. Pisani-Ferry, Professeur à Sciences Po et membre des think tanks Bruegel et Peterson Institute, et qui fut un pilier de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017, chiffre le coût de l'adaptation aux objectifs environnementaux entre 250 et 300 milliards d'euros de dette en plus, en cumulé, en 2030.Missionné, en septembre 2022, par la Première ministre, Elisabeth Borne, M. Pisani-Ferry avait remis, en novembre, une première note d'étape à Matignon, alertant déjà, sur le « changement profond de modèle de développement » du pays qu'allait nécessiter l'objectif de neutralité carbone fixé par la Commission européenne à l'horizon 2050 – et les 55 % de réduction des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030. Pour atteindre ces objectifs, il faut, selon lui, mettre sur la table « 66 milliards d'euros » d'investissements supplémentaires publics et privés par an, chaque secteur en prenant en charge la moitié. La transition va entraîner une perte prononcée de recettes pour l'Etat. Pour le financement des 33 milliards d'euros d'investissements publics, les auteurs proposent notamment de recourir à l'endettement et la fiscalité. Ils plaident pour « un prélèvement forfaitaire exceptionnel de 5 %, dans une fenêtre de trente ans », qui serait payé par les «10 % les mieux dotés » et qui rapporterait, selon eux, 150 milliards d'euros sur trente ans, soit 5 milliards par an. « Il s'agit de convaincre les Français que la charge est équitablement répartie », a expliqué Jean Pisani-Ferry.Deux pistes, que le ministre de l'Economie et des Fiances, Bruno Le Maire a exclues, arguant que « Les 10 % des Français les plus riches paient déjà 75 % de l'impôt sur le revenu ». Pour financer la transition écologique, le locataire de Bercy a rappelé les pistes déjà évoquées pour financer la loi sur l'industrie verte : le verdissement de la fiscalité (suppression des niches fiscales sur les énergies fossiles, alourdissement des taxes et autres malus sur les véhicules thermiques) ; la mobilisation de l'épargne des Français avec notamment la création d'un nouveau plan d'épargne avenir climat ; le financement par les entreprises et enfin la mobilisation des banques, comme la Banque européenne d'investissement (BEI) qui « doit devenir la banque du climat ». Le rapport Pisani-Ferry pourrait connaître le sort du rapport Borloo sur les banlieues, en 2018. Début juillet, le gouvernement expliquera quel est son plan précis pour financer la transition, lors du conseil de la planification écologique censé trancher la feuille de route élyséenne et le financement qui lui correspond.***ESPAGNE : « À DROITE TOUTE »Le 29 mai, au lendemain d'une lourde défaite électorale, le Premier ministre socialiste espagnol, Pedro Sanchez, au pouvoir depuis 2018, a annoncé la convocation d'élections législatives anticipées le 23 juillet prochain, initialement prévues fin 2023. Les conservateurs ont remporté une large victoire face à la gauche lors d'un double scrutin, municipal et régional. Le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) a recueilli moins de 6,3 millions des voix (28,1 %) aux municipales, contre plus de 7 millions (31,5 %) pour son rival conservateur, le Parti populaire (PP). Une progression de deux millions de voix pour la droite en quatre ans, et un recul massif de la gauche, qui perd six des dix régions qu'elle dirigeait jusque-là. L'extrême droite, représentée par le parti Vox, sort gagnante du scrutin : avec plus de 1,5 million de voix aux municipales, le parti a doublé son score en quatre ans et assoit encore davantage sa place de troisième force politique du pays. La droite ne pourra gouverner dans les régions récupérées que si elle s'allie avec Vox, placé ainsi en position décisive pour négocier des gouvernements régionaux de soutien ou de coalition.Les crises répétées secouant la coalition gouvernementale formée par les socialistes et le parti de gauche radicale Podemos, les accords parlementaires scellés avec les indépendantistes catalans de la Gauche républicaine de Catalogne et les héritiers de la vitrine politique du groupe séparatiste et terroriste basque ETA, sont considérés par les analystes comme les principales raisons de la débâcle socialiste. S'y ajoutent des mesures et textes législatifs controversés, de la loi sur le consentement sexuel, qui a abouti à la mise en liberté anticipée de plus d'un millier d'agresseurs, à la loi d'autodétermination de genre, qui a divisé le mouvement féministe, en passant par les grâces et la réforme du délit de sédition décidées pour complaire aux indépendantistes catalans.Le PSOE a été sanctionné dans les urnes alors que le bilan de Pedro Sanchez est plutôt jugé satisfaisant par les Espagnols. Ils notent positivement la hausse du salaire minimum d'environ 47 % durant la législature et la réforme du marché du travail limitant les emplois précaires. Ils saluent les bons résultats économiques : l'inflation (4 % en avril) est très inférieure au reste de l'Europe ; le plafond du prix du gaz, négocié à Bruxelles ; le taux de chômage en baisse (à 13 %). Le pays affiche l'une des croissances les plus dynamiques d'Europe, avec un PIB en hausse de 5,5% l'an dernier, et 1,9% attendu cette année. On voit par la que l'aphorisme adressé par James Carville à Bill Clinton doit ici être inversé : It's not the economy, stupid !Avant l'Espagne, la droite a déjà enregistré des succès ces derniers mois en Grèce, Finlande, Suède et Italie. En Turquie, le nationalisme sort renforcé des récentes élections. A l'automne, les Polonais auront à choisir entre deux droites, l'une conservatrice (au pouvoir), l'autre libérale. En Allemagne, l'extrême droite (AfD) dépasse les Verts (au pouvoir) de deux points dans les intentions de vote.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Code source
Elisabeth Borne : une première année mouvementée à Matignon

Code source

Play Episode Listen Later Jun 1, 2023 25:59


Nous sommes le mardi 30 mai, en Conseil des ministres à l'Elysée. Pendant sa prise de parole, Emmanuel Macron glisse une réflexion perçue comme remontrance à peine voilée faite à sa Première ministre. Elisabeth Borne venait en effet de désigner le Rassemblement national comme un parti « héritier de Pétain ». Cette mise au point qualifiée par certains de « recadrage » survient alors qu'Elisabeth Borne venait de célébrer le premier anniversaire de son arrivée à Matignon.L'ex-patronne de la RATP et ministre pendant le premier quinquennat n'était pourtant pas le premier choix d'Emmanuel Macron pour prendre la tête du gouvernement. Sur le devant des scènes médiatique et politique depuis un an, elle a pourtant été une des figures de la contestée réforme des retraites, ce qui la fragilise aujourd'hui.Pour Code source, Pauline Théveniaud et Olivier Beaumont, journalistes au service politique du Parisien, retracent la première année d'Elisabeth Borne à Matignon. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP, BFMTV, France Inter, TF1, Radio J. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air