POPULARITY
Ecoutez Le Cave'réveil avec Philippe Caverivière du 01 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, tente de convaincre les oppositions de voter la confiance lundi prochain malgré ses faibles chances de rester à Matignon.La rentrée scolaire marque l'interdiction des téléphones portables dans les écoles et collèges, une mesure qui soulève l'inquiétude des élèves.Plusieurs changements économiques entrent en vigueur, comme la possibilité de prendre une retraite progressive dès 60 ans, la sécurisation des arrêts de travail et la baisse du prix du gaz.Le transfert d'Adrien Rabiot de l'Olympique de Marseille à l'AC Milan est en bonne voie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de cet épisode : la rentrée scolaire avec de nouvelles mesures, le début des consultations politiques à Matignon, et un puissant séisme en Afghanistan.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce lundi, il s'intéresse à l'après François Bayrou à Matignon. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de cet épisode : la rentrée scolaire avec de nouvelles mesures, le début des consultations politiques à Matignon, et un puissant séisme en Afghanistan.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, tente de convaincre les oppositions de voter la confiance lundi prochain malgré ses faibles chances de rester à Matignon.La rentrée scolaire marque l'interdiction des téléphones portables dans les écoles et collèges, une mesure qui soulève l'inquiétude des élèves.Plusieurs changements économiques entrent en vigueur, comme la possibilité de prendre une retraite progressive dès 60 ans, la sécurisation des arrêts de travail et la baisse du prix du gaz.Le transfert d'Adrien Rabiot de l'Olympique de Marseille à l'AC Milan est en bonne voie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À une semaine d'un vote de confiance plus que périlleux, le Premier ministre François Bayrou croit toujours en ses chances de rester à Matignon. Il prend les Français à partie et évoque le destin de la France pour défendre son plan de 44 milliards d'euros d'économies. Si le sort du Premier ministre semble scellé, le problème politique comme économique reste le même : la France a besoin d'un budget. Parlons-en avec Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI, Thomas Grjebine, économiste au CEPII et Emmanuel Rivière, politologue et consultant en stratégies d'opinion.
Le vice-président du Rassemblement national et député du Nord était interrogé par Olivier Bost (RTL), Jim Jarrassé (Le Figaro), Perrine Tarneaud (Public Sénat) et Pauline Buisson (M6). Ecoutez Le grand jury avec Olivier Bost du 31 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - Le PS, volontaire pour prendre la relève de François Bayrou et gouverner, présente son budget alternatif. Le PS qui ne votera pas la confiance le 8 septembre, tient ses universités d'été à Blois.
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - Le PS, volontaire pour prendre la relève de François Bayrou et gouverner, présente son budget alternatif. Le PS qui ne votera pas la confiance le 8 septembre, tient ses universités d'été à Blois.
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - Le PS, volontaire pour prendre la relève de François Bayrou et gouverner, présente son budget alternatif. Le PS qui ne votera pas la confiance le 8 septembre, tient ses universités d'été à Blois.
François Bayrou fait-il tout pour quitter Matignon ? // Comprenez vous qu'un meurtrier puisse faire un enfant en prison ?
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 28 août 2025 : Après Bayrou, la gauche à Matignon ? Avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur.
François Bayrou n'a pas abdiqué. Invité du Journal Télévisé de TF1 le 27 août, Le Premier ministre s'est dit prêt à ouvrir toutes les négociations nécessaires avec les oppositions, afin d'arracher un vote de confiance à l'Assemblée le 8 septembre. Le locataire de Matignon en sursis souhaite négocier, mais avec une condition préalable - et pas des moindres - s'entendre sur l'importance de l'effort. En clair, sur les économies à réaliser soit près de 44 milliards d'euros. Le chef du gouvernement a martelé ses appels à la responsabilité, pour ne pas sacrifier la jeunesse du pays et en ciblant tout particulièrement les retraités. "Les premières victimes, ce sont les plus jeunes des Français. Ce sont eux qui devront payer la dette, a-t-il déclaré. On a réussi à leur faire croire qu'il fallait encore l'augmenter. Tout ça pour le confort de certains partis politiques et pour le confort des 'boomers' qui, de ce point de vue-là, considèrent que, ma foi, tout va très bien".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre s'en prend aux retraités qui devraient, selon lui, mettre plus la main à la poche pour aider les plus jeunes. A-t-il raison de jouer la carte du choc des générations pour tenter de sauver sa place à Matignon ? On pose la question à Marie-Pierre Bourgeois, journaliste politique à BFMTV.COM.
Le gouvernement Bayrou vit ses dernières heures, c'est l'heure des adieux dans les ministères. Parmi les noms qui circulent pour son successeur, il y a eu celui de Gérald Darmanin, le ministre de la Justice. Plus surprenants, ceux de deux figures féminines de la vie politique française sont également cités en coulisse Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:03 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Le 8 septembre, François Bayrou soumettra son gouvernement à un vote de confiance. Avec des oppositions rassemblées contre Matignon, la chute de l'exécutif paraît inévitable. Cette nouvelle épreuve peut-elle ouvrir un nouveau chapitre dans la vie politique française ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Nicolas Roussellier Professeur des universités à Sciences Po et à l'École polytechnique, spécialiste d'histoire politique
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
durée : 00:19:38 - Journal de 18h - La mise en garde de François Bayrou avant le vote de confiance à l'Assemblée : les députés ont 13 jours pour "dire s'ils se placent du côté du chaos ou de la responsabilité". C'est un Premier ministre en sursis qui s'est présenté aujourd'hui devant l'université d'été de la CFDT.
durée : 00:19:38 - Journal de 18h - La mise en garde de François Bayrou avant le vote de confiance à l'Assemblée : les députés ont 13 jours pour "dire s'ils se placent du côté du chaos ou de la responsabilité". C'est un Premier ministre en sursis qui s'est présenté aujourd'hui devant l'université d'été de la CFDT.
Réécoutez FG mix invite le Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 25 août 2025
Surprise hier : le Premier ministre français annonce qu'il va engager la responsabilité de son gouvernement sur son plan d'économies budgétaires. Ce sera le 8 septembre devant l'Assemblée nationale réunie en session extraordinaire. Seulement voilà, l'opposition est vent debout contre ce projet et elle votera la censure… Résultat, pointe Libération, « Bayrou s'auto-dissout : vu le niveau de sa cote de popularité et l'ampleur des mouvements sociaux qui se préparent, foutu pour foutu, François Bayrou a donc choisi de faire tapis en sollicitant ce vote de confiance. Suicidaire ou courageux, il y a sans doute un peu des deux dans cette annonce qui, après un bref moment de sidération, a été prise au mot par tous les partis d'opposition qui ont assuré qu'ils ne voteraient pas la confiance. » « François Bayrou seul contre tous », renchérit Le Figaro. « Il pariait sur un quitte ou double. Vainqueur, il serait sorti plus fort de cet épisode. On sait déjà que le plus probable semble devoir être la chute de son gouvernement ». Et pourtant, soupire Le Figaro, « son constat était sombre, mais lucide. Sa leçon était sévère, mais juste. En rappelant qu'il était le seul à se battre contre la dette depuis vingt ans, François Bayrou s'est bien sûr donné le beau rôle, mais, dans l'instant présent, son initiative - courageuse - mettait en jeu sa survie à Matignon. Il restera donc seul contre tous ». « Lui ou le chaos… » « Durant tout l'été, rappelle Le Soir à Bruxelles, François Bayrou avait prêché dans le désert pour convaincre les Français de soutenir son projet de budget pour 2026. Son plan, esquissé mi-juillet, prévoit 44 milliards d'euros d'économies, notamment via une “année blanche“ (le gel des dépenses sociales au niveau de 2025), une réforme de l'assurance-chômage et de la Sécurité sociale, mais surtout la suppression de deux jours fériés. Un chiffon rouge, pour 84 % des Français, selon l'institut de sondages Odoxa. (…) C'est donc lui ou le chaos, s'exclame Le Soir. Lui ou la dette. Et ce sera à chaque parlementaire, de chaque parti, d'en décider en son âme et conscience. Un pari qu'il n'a, à vrai dire, quasiment aucune chance de gagner sauf énorme coup de théâtre ». Et après ? Alors si l'Assemblée vote la censure, que peut-il se passer ? Réponse du Guardian à Londres : « les dirigeants de l'opposition ont déclaré qu'en cas de chute du gouvernement, ils exigeraient la dissolution du Parlement et de nouvelles élections. Néanmoins, Emmanuel Macron, dont la décision surprise de dissoudre le Parlement en juin 2024 a produit une assemblée divisée en trois groupes opposés, Emmanuel Macron ne semble pas vouloir répéter l'expérience. Les analystes estiment qu'il tentera d'éviter de nouvelles élections anticipées, pointe encore le quotidien britannique, en cherchant plutôt à nommer un nouveau Premier ministre - bien que l'on puisse se demander qui pourrait être ce Premier ministre et comment il pourrait être plus efficace ». Gaza : encore un « crime de guerre » À la Une également, l'indignation après la nouvelle frappe israélienne hier à Gaza. Frappe sur l'hôpital Nasser de Khan Younès qui a fait plus de 20 morts dont 5 journalistes palestiniens. « Une caméra de Reuters a tout filmé, rapporte Le Monde. Face à la violence des images, l'armée israélienne a rapidement annoncé une enquête. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, est aussi intervenu dans la soirée en exprimant ses regrets. “Israël accorde de la valeur au travail des journalistes, du personnel médical et de tous les civils“, a écrit le chef du gouvernement alors même, fulmine Le Monde, que tous les actes de l'État hébreu depuis vingt-deux mois témoignent du contraire – à commencer par l'interdiction faite aux reporters internationaux de se rendre dans l'enclave palestinienne de manière indépendante ». Enfin, Haaretz, quotidien israélien d'opposition, ne cache sa colère : « nous avons été témoins d'un crime de guerre retransmis en direct. Comment justifier des attaques répétées contre un hôpital, surtout lorsque le système de santé de Gaza est pratiquement paralysé, au milieu d'une crise humanitaire et d'une famine sans précédent dont le monde entier parle ? Comment expliquer le nombre de journalistes tués (245 depuis le début de la guerre) ? (…) Cette guerre doit cesser immédiatement, s'exclame encore Haaretz. Israël doit prendre conscience de la réalité, renoncer à son projet scandaleux d'occuper la ville de Gaza et signer un accord prévoyant la libération des otages et le retrait de ses troupes de la bande de Gaza ».
Les heures du Premier ministre à Matignon sont comptées, car il n'aura pas l'appui des socialistes lors du vote de confiance qui aura lieu le 8 septembre. Il les avait pourtant ménagés lors de la motion de censure en février dernier.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
C dans l'air du 13 août 2025 - Budget: quand la canicule s'en mêleEmission présentée par Salhia Brakhlia.Déjà en difficulté, l'économie française est mise à mal par la canicule, qui coûte cher à l'Etat et aux Français. Soumis à de très fortes chaleurs, les employés du bâtiment ou agricoles travaillent moins et la productivité diminue. Alors que le système de climatisation de nombreux trains risquent de tomber en panne sous l'effet des températures élevées, la SNCF est contrainte d'en supprimer par dizaines. Quand aux centrales nucléaires, certaines se retrouvent forcées de mettre des réacteurs à l'arrêt car les rivières étant trop chaudes, l'eau ne peut être prélevée normalement pour les refroidir.En matière budgétaire, l'Etat commence à être à bout de souffle. Le gouvernement de François Bayrou s'apprête ainsi à prendre des mesures drastiques qui font déjà grincer des dents. Car ce sont en effet plus de 43 milliards d'euros qu'il faudra mobiliser pour boucler le budget de l'année 2026.Suppression de l'abattement de 10% sur les impôts des retraités, suppression de jours feriés, économies sur l'assurance chômage ou encore sur le système hospitalier... Le Premier ministre a multiplié les ballons d'essai. Tous ces arbitrages auront lieu en septembre mais on peut d'ores et déjà s'attendre à un serrage de vis difficile à accepter.Parmi les différentes mesures annoncées par François Bayrou, certaines cristallisent les crispations. C'est notamment le cas de la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre avait cité "comme exemple" le "lundi de Pâques" et le "8-Mai". Une mesure qui doit permettre d'économiser "4,2 milliards" d'euros, selon Matignon.Au sein des entreprises, les avis sont unanimes. Une équipe de C dans l'air a pu le vérifier en se rendant dans une usine qui produit des panneaux de bois. Sur place, il est hors de questions pour les ouvriers de se priver de deux jours de congé. La cadence élevée de la production et l'usure à la tâche rendent nécessaires ces temps d'arrêt où les travailleurs peuvent souffler. C'est selon eux une respiration indispensable pour bien faire leur travail. Auprès d'employés de bureau, l'opinion est la même, comme, d'ailleurs, dans le reste de la population. Selon un récent sondage Elabe pour BFMTV, 75% des Français se disent opposés à cette suppression de deux jours fériés. Plus généralement, 72 % des Français trouvent que le Premier ministre ne "répartit pas équitablement les efforts demandés", selon un sondage de l'Ifop publié en juillet pour LCI.Les Français se plaignent également d'une baisse de la qualité des services publics. C dans l'air a suivi un postier qui effectue sa tournée à l'ancienne. Il regrette de voir son entreprise tenter de faire des économies à tout prix. Il dénonce les services à la personne, payants, mis en place par La Poste, comme le fait de passer un peu de temps avec les personnes âgées et isolées. Ce moment simple était autrefois naturel et gratuit. Lui met un point d'honneur à essayer de passer du temps avec les gens qu'il suit. La disparition de ce lien du quotidien fait selon lui partie des éléments qui nourrissent une colère croissante au sein de la population.Entre le vote du budget et une mobilisation sociale qui s'organise pour septembre, la rentrée politique s'annonce compliquée.Comment trouver les 43 milliards d'euros manquants pour finaliser le bugdet 2026 ? L'effort demandé aux Français est-il équitablement réparti ? Les services publics français sont-ils menacés par les futures restrictions budgétaires ?LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance - Auteur de « L'Horizon des possibles »- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions – « Les Echos »- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - « La Tribune Dimanche »- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - « Le Nouvel Obs »
Sujets traités : Pas de panique en Alsace concernant la suppression des jours fériés. Après l'annonce le 15 juillet dernier du projet de supprimer des jours fériés pour faire des économies par le Premier Ministre, des spécificités pour l'Alsace et la Moselle avaient également été évoquées, créant au passage de vives réactions chez les élus locaux. Le Maire de Colmar, Eric Straumann, écrivait hier sur sa page facebook que ces jours ne sont pas des privilèges mais le fruit de notre histoire, de notre identité et d'un équilibre social qui fait partie intégrante de notre droit local. Il a été affirmé par Matignon que les jours fériés alsaciens, le vendredi saint et la saint étienne, ne seront pas supprimés et resteront fériés.Les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin placés en vigilance orange pour canicule à partir de ce midi. Les préfectures rappellent quelques consignes à appliquer, comme privilégier les endroits frais, éviter les efforts physiques et la consommation d'alcool, boire suffisamment d'eau et limiter l'entrée du soleil dans votre habitation. En cas de symptômes de coup de chaud, contactez votre médecin traitant ou le 15 ou le 115.De la prison pour un individu qui se baladait avec des couteaux à Colmar. Les faits se sont produits dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, lorsqu'un homme d'une quarantaine d'années a été interpellé par une patrouille de police en possession de 3 couteaux à steaks. Évalué inapte à une garde à vue, l'homme déjà connu des services de polices avec 23 condamnations pour vols, stupéfiants ou violences, a été déféré hier devant le parquet colmarien. Le mis en cause était également en possession d'une seringue qu'il avoué utiliser pour consommer de la cocaïne. Le récidiviste a écopé de 4 mois de prison dont 2 avec sursis.Autre fait divers cette fois-ci à Bischoffsheim. L'individu qui avait alerté la police d'un dépôt de bombe dans les toilettes du restaurant la Bergerie dimanche après-midi, s'est rendu aux autorités. Pour rappel, le restaurant situé rue principale avait dû être évacué d'urgence en raison d'une potentielle bombe posée, une cinquantaine de personnes ont été éloignées à plus de cent mètres des lieux. L'auteur de l'appel s'est ensuite rendu à la gendarmerie d'Obernai. Il serait déjà connu pour des faits similaires, et encourerait jusqu'à six mois de prison et 7500€ d'amende pour dénonciation mensongère à une autorité. Heureusement, il s'agissait d'une fausse alerte, aucune personne n'a été blessée durant l'évacuation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 13 décembre 2024.Avec cette semaine :Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, directeur de l'Institut mutualiste pour l'environnement et la solidarité, et éditeur.Eric Lombard, banquier, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations.Michel Winock, historien et écrivain.Émission originellement diffusée le 5 janvier 2025.LA SOCIAL-DÉMOCRATIE ET MICHEL ROCARDLa notion de social-démocratie fait l'objet de plusieurs interprétations contradictoires. Dans son acception large, le concept renvoie à une forme d'organisation politique qui trouve son origine dans les pays scandinaves, et dont l'essence serait d'accepter le cadre de l'économie de marché, tout en mettant l'accent sur la redistribution des richesses. Dans un sens plus étroit et plus polémique, le terme est assimilé au social-libéralisme et utilisé pour anathématiser une vision politique qui, sous couvert de défendre les travailleurs, se préoccuperait surtout de ne pas déranger les plus riches. En France, où il n'existe pas de parti se réclamant de la social-démocratie, cette ambiguïté est accentuée par l'attitude du Parti socialiste au sein duquel l'héritage de la « deuxième gauche » ne cesse de faire débat. Si donc le concept de social-démocratie reste à préciser, l'un des hommes politiques s'en étant réclamé le plus est Michel Rocard. Premier ministre de 1988 à 1991, on lui doit notamment les accords de Matignon sur la Nouvelle-Calédonie, la mise en place du revenu minimum d'insertion, ou encore la contribution sociale généralisée. Son passage à Matignon est marqué par une attention portée à l'économie sociale et solidaire, aux négociations avec les syndicats, et par la mise en place d'un nouveau contrat salarial, reposant sur trois piliers : réorganisation et décentralisation des conditions de travail ; hausse maîtrisée des salaires, c'est-à-dire « politique des revenus » ; attention portée à la formation continue des salariés. En creux, transparaît ainsi dans son bilan une attention à la négociation et au compromis, ainsi qu'une tentative de décentraliser les relations économiques aussi bien que l'administration de l'État. Dans Le Cœur à l'ouvrage, publié en 1987, il écrit que « dès l'instant qu'une force de gauche a des convictions communes assez fortes pour ne devoir son identité qu'à elle-même, et assez de puissance pour entraîner dans son sillage la mouvance communiste sans en dépendre, elle peut gagner et se révéler efficace et rayonnante ». D'emblée sont ainsi posés deux prérequis à toute victoire de la gauche : qu'elle soit unie, mais que cette union soit sous le leadership d'un parti non communiste, c'est-à-dire ouvert au compromis.Nous nous interrogerons donc tout autant sur ce que signifie le concept de social-démocratie, sur sa conception de l'État, que sur son rapport avec sa gauche et sur sa vision des relations sociales. Mais d'abord, pourriez-vous, chacun d'entre vous nous partager quelque chose qui vous concerne particulièrement à propos de Michel Rocard ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
L'émission 28 minutes du 15/07/2025 Consommation : l'appétit de nouveauté, ce n'est pas neufFabrication à l'infini, désirabilité, surconsommation et obsolescence : Jeanne Guien, agrégée et docteure en philosophie, s'emploie à montrer que le culte de la nouveauté n'est pas simplement une tendance commerciale, mais un pilier structurel d'un modèle économique fondé sur la surproduction et la consommation sans fin. Dans son ouvrage “Le désir de nouveautés : l'obsolescence au cœur du capitalisme (XVe-XXIe siècle)”, publié aux éditions La Découverte, la philosophe retrace la construction historique et idéologique de la “nouveauté” comme valeur centrale de l'économie marchande. L'occasion de réinterroger notre rapport aux objets.43 milliards à trouver pour boucler le budget de la France : qui doit payer ?Mardi 15 juillet, le Premier ministre François Bayrou a dévoilé les grandes lignes du budget national des collectivités territoriales et des principaux organismes de protection sociale. Depuis plusieurs mois, l'opinion publique est préparée : les 40 milliards d'euros d'économies évoqués par Matignon prennent désormais une tournure concrète. À cette somme colossale s'ajoutent 3,5 milliards d'euros supplémentaires, destinés à répondre à un effort financier accru en faveur de la défense nationale. Ce sont donc plus de 43 milliards d'euros qu'il faudra mobiliser pour boucler le budget. Reste une question cruciale : sur qui reposera cet effort ?Enfin, Théophile Cossa nous révèle les critères pour la nomination à la Légion d'honneur en France et Marjorie Adelson revient sur une alerte lancée par les scientifiques afin de mettre en garde contre l'incitation de certains influenceurs à se rapprocher de certaines espèces dangereuses. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 15 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Aujourd'hui, retour sur les annonces budgétaires de François Bayrou, attendues dans la journée du 15 juillet 2025. Le Premier ministre joue désormais sa survie, menacé par la censure par la gauche et l'extrême-droite.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Aujourd'hui, retour sur les annonces budgétaires de François Bayrou, attendues dans la journée du 15 juillet 2025. Le Premier ministre joue désormais sa survie, menacé par la censure par la gauche et l'extrême-droite.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le Nouveau Front Populaire remportait les élections législatives anticipées, sans toutefois accéder à Matignon.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Dans cette édition :Le président Macron reçoit le Premier ministre et des ministres clés pour discuter des pistes d'économies budgétaires envisagées par Matignon, dans un contexte de pression permanente sur les finances publiques.Le ministre de l'Intérieur prépare un projet de loi visant à étendre et renforcer les pouvoirs de la police municipale, suscitant des réactions contrastées de la part des syndicats.Le vice-président des Républicains, François-Xavier Bellamy, dénonce l'ignorance de l'Union Européenne sur le cas de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, toujours détenu en Algérie.Le président américain Donald Trump se dit confiant sur la libération prochaine d'otages israéliens retenus à Gaza, alors que des négociations sont en cours.Une influenceuse marseillaise a été violemment agressée à son domicile par trois hommes, un acte qualifié de "barbarie" par son avocat.Le musée du Château des Ducs de Bretagne à Nantes accueille une exposition consacrée aux œuvres du maître japonais de l'estampe Hokusai.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:15 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Il évite la censure, mais prépare sa chute. François Bayrou a un modèle : Pierre Mendès France. Son passage éclair à Matignon, son influence durable. Une comparaison audacieuse.
Alexis Brézet analyse la situation politique délicate dans laquelle se trouve le Premier ministre François Bayrou. Alors qu'une motion de censure doit être examinée cet après-midi, François Bayrou semble se féliciter de la réussite de son conclave, malgré l'échec évident des négociations avec les partenaires sociaux. Alexis Brézet explique que la motion de censure ne devrait pas être adoptée, mais qu'une autre, plus sérieuse, se profile à l'automne sur le budget. Il estime que Bayrou a intérêt à profiter de l'été à Matignon, car l'automne s'annonce difficile pour lui.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 27 juin 2025 - Retraites, santé : coup de chaud pour Bayrou La porte-parole du gouvernement avait prévenu : le prochain budget sera un "cauchemar". Ces derniers jours, les contours de ce budget 2026 se précisent, et le signal est clair : les économies seront douloureuses, notamment pour la santé.Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, a annoncé lors d'une audition à l'Assemblée nationale que 1,7 milliard d'euros d'économies seraient réalisés dès 2025 sur les dépenses de santé. Parmi les premières victimes : les revalorisations tarifaires promises aux kinésithérapeutes et médecins libéraux, vont être reportées au 1er janvier 2026. Le gouvernement cible aussi l'hôpital, les arrêts de travail, les affections de longue durée (ALD) et envisage de nouveaux déremboursements de médicaments.Autre front sensible : le transport sanitaire. L'exécutif entend maintenir la pression dans les négociations avec les chauffeurs de taxi, sur fond de réforme des tarifs. "Nous n'avons pas d'autre solution que cette réforme du modèle de tarification", a martelé Catherine Vautrin. Autrement dit : il n'y aura pas de recul.Sur les retraites, le climat reste tout aussi tendu. Après quatre mois de concertation sans accord entre partenaires sociaux, le Premier ministre a tenté jeudi de reprendre la main. Refusant de parler d'"échec" du conclave, François Bayrou a vanté plusieurs "avancées", à commencer par un consensus sur l'objectif de retour à l'équilibre en 2030 et le maintien du départ à 64 ans, tel que fixé par la loi Borne. Le chef du gouvernement a également proposé a proposé aux "experts et négociateurs des organisations de se remettre au travail" "15 jours, 10 jours" convaincu qu'un accord était à portée de main pour améliorer la réforme des retraites de 2023.Mais le premier syndicat de France a refusé de participer à "de nouvelles séances de négociations". Pour la CFDT, les deux derniers points de blocage dans les négociations, que sont la pénibilité et le financement du système de retraites, sont "deux éléments extrêmement importants et structurants des discussions"."Si, à un moment, le gouvernement veut trouver une voie d'équilibre, il faut qu'il comprenne que, pour mon organisation, il n'y a pas de voie de passage sans la réparation sur la pénibilité, avec le dispositif qu'on a proposé", a-t-elle ajouté, précisant que le bureau national de la CFDT avait rendu un avis "unanime" en ce sens vendredi matin."Si les organisations considèrent que ce n'est plus leur heure et qu'il faut trancher, on tranchera", a répondu ce vendredi le Premier ministre. L'échec du conclave sur les retraites est un coup dur pour le locataire de Matignon, et s'annonce lourd de conséquences. Le Parti socialiste, qui réclame un projet de loi "sans délai" pour reparler des retraites et mettre au menu du Parlement toutes les mesures qui fâchent, y compris l'âge légal de départ à la retraite porté à 64 ans en 2023, a annoncé en début de semaine le dépôt d'une motion de censure. Sauf coup de théâtre le RN ne devrait pas la voter, mais le Premier ministre se retrouve dans une position encore plus compliquée avant la présentation du budget. Le gouvernement s'avance vers un automne parlementaire à hauts risques.LES EXPERTS :- Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondage ODOXA - Stéphanie VILLERS - Economiste, conseillère économique de PwC France - Philippe MABILLE - Directeur éditorial la Tribune et la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos du Premier ministre, François Bayrou tenu durant une conférence de presse à Matignon ce jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos du Premier ministre, François Bayrou tenu durant une conférence de presse à Matignon ce jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À deux ans de l'élection présidentielle de 2027, et selon un sondage Harris Interactive pour CommStrat et l'Opinion, les sept premiers qui ont été désignés par les Français sont tous à droite ou à l'extrême droite. Il ne s'agit pas des intentions de vote, mais des possibilités de vote, du potentiel de chaque candidat. Ruth Elkrief estime que ce qu'on cherche pendant ces deux années, puis ces derniers mois, c'est de trouver des moyens d'avoir la température de l'opinion, de mesurer le potentiel électoral de chaque candidat. Elle se demande pourquoi la gauche ne se trouve qu'en huitième rang dans ce sondage. François Bayrou a tiré les leçons du conclave et annoncé ses arbitrages ce jeudi. Pour Pascal Perri, le Premier ministre veut passer avec cette réforme des retraites, quoi qu'il arrive. Il rappelle que le locataire de Matignon a fait la liste des sujets sur lesquels il y a un accord. Mais il estime qu'aucune avancée n'a été constatée sur les points de désaccord, comme la prise en compte de la question de la pénibilité, notamment. L'Union européenne, via le Conseil de l'Europe, a accepté de constituer un tribunal spécial pour juger les auteurs de crime de guerre ou de crime contre l'humanité. Abnousse Shalmani constate que, globalement, le Vieux Continent a tendance à étouffer sous les symboles. Elle rappelle que même si les Européens s'en réjouissent, cette institution judiciaire spécifique ne peut juger ni Vladimir Poutine ni son Premier ministre Mikhaïl Michoustine ni son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, tant qu'ils sont en fonction. Pour elle, il s'agit d'un tribunal de l'impuissance européenne. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:29 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Après six mois passés à Matignon et l'échec des négociations entre les partenaires sociaux sur les retraites, la position du premier ministre apparait fragilisée, au point d'être le chef de gouvernement le plus impopulaire depuis dix ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il était 7h ce matin quand François Bayrou a annoncé qu'il convoquait les partenaires sociaux aujourd'hui à Matignon. Le Premier ministre refuse de voir le conclave sur les retraites, qu'il a initié, s'achever sans accord. Il demande donc aux partenaires sociaux de parler encore et encore. Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis, président de la Commission des finances de l'Assemblée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le conclave des retraites s'est soldé par un échec, le Premier ministre s'est exprimé depuis Matignon pour annoncer qu'il allait recevoir les partenaires sociaux, pour tenter de trouver "une voie de passage". La CFDT, la CFTC et la CFE-CGC ont été reçues ce midi, puis ce sera au tour du patronat. Le PS, lui, a annoncé qu'il déposera une motion de censure contre François Bayrou. On en parle avec Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC et négociatrice dans le conclave. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 24 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:56 - Patrick Martin, président du MEDEF - Opposé "une augmentation du coût du travail", Patrick Martin, président du Medef se rendra à l'invité du Premier ministre mardi à la mi-journée, à Matignon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:43 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Depuis six mois qu'il est à Matignon, le Premier ministre semble avoir entériner l'incapacité de son gouvernement à mener une politique cohérente du fait de l'absence de majorité à l'Assemblée nationale.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 13 juin 2025 : "Six mois de Bayrou à Matignon, déjà trop ?" avec Bruno Poncet, cheminot, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.