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C dans l'air du 27 juin 2025 - Retraites, santé : coup de chaud pour Bayrou La porte-parole du gouvernement avait prévenu : le prochain budget sera un "cauchemar". Ces derniers jours, les contours de ce budget 2026 se précisent, et le signal est clair : les économies seront douloureuses, notamment pour la santé.Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, a annoncé lors d'une audition à l'Assemblée nationale que 1,7 milliard d'euros d'économies seraient réalisés dès 2025 sur les dépenses de santé. Parmi les premières victimes : les revalorisations tarifaires promises aux kinésithérapeutes et médecins libéraux, vont être reportées au 1er janvier 2026. Le gouvernement cible aussi l'hôpital, les arrêts de travail, les affections de longue durée (ALD) et envisage de nouveaux déremboursements de médicaments.Autre front sensible : le transport sanitaire. L'exécutif entend maintenir la pression dans les négociations avec les chauffeurs de taxi, sur fond de réforme des tarifs. "Nous n'avons pas d'autre solution que cette réforme du modèle de tarification", a martelé Catherine Vautrin. Autrement dit : il n'y aura pas de recul.Sur les retraites, le climat reste tout aussi tendu. Après quatre mois de concertation sans accord entre partenaires sociaux, le Premier ministre a tenté jeudi de reprendre la main. Refusant de parler d'"échec" du conclave, François Bayrou a vanté plusieurs "avancées", à commencer par un consensus sur l'objectif de retour à l'équilibre en 2030 et le maintien du départ à 64 ans, tel que fixé par la loi Borne. Le chef du gouvernement a également proposé a proposé aux "experts et négociateurs des organisations de se remettre au travail" "15 jours, 10 jours" convaincu qu'un accord était à portée de main pour améliorer la réforme des retraites de 2023.Mais le premier syndicat de France a refusé de participer à "de nouvelles séances de négociations". Pour la CFDT, les deux derniers points de blocage dans les négociations, que sont la pénibilité et le financement du système de retraites, sont "deux éléments extrêmement importants et structurants des discussions"."Si, à un moment, le gouvernement veut trouver une voie d'équilibre, il faut qu'il comprenne que, pour mon organisation, il n'y a pas de voie de passage sans la réparation sur la pénibilité, avec le dispositif qu'on a proposé", a-t-elle ajouté, précisant que le bureau national de la CFDT avait rendu un avis "unanime" en ce sens vendredi matin."Si les organisations considèrent que ce n'est plus leur heure et qu'il faut trancher, on tranchera", a répondu ce vendredi le Premier ministre. L'échec du conclave sur les retraites est un coup dur pour le locataire de Matignon, et s'annonce lourd de conséquences. Le Parti socialiste, qui réclame un projet de loi "sans délai" pour reparler des retraites et mettre au menu du Parlement toutes les mesures qui fâchent, y compris l'âge légal de départ à la retraite porté à 64 ans en 2023, a annoncé en début de semaine le dépôt d'une motion de censure. Sauf coup de théâtre le RN ne devrait pas la voter, mais le Premier ministre se retrouve dans une position encore plus compliquée avant la présentation du budget. Le gouvernement s'avance vers un automne parlementaire à hauts risques.LES EXPERTS :- Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondage ODOXA - Stéphanie VILLERS - Economiste, conseillère économique de PwC France - Philippe MABILLE - Directeur éditorial la Tribune et la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Entre l'échec du conclave sur les retraites et la censure visant François Bayrou, le climat politique se tend. L'hypothèse d'un changement à Matignon avant la fin de l'année gagne en crédibilité. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos du Premier ministre, François Bayrou tenu durant une conférence de presse à Matignon ce jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos du Premier ministre, François Bayrou tenu durant une conférence de presse à Matignon ce jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À deux ans de l'élection présidentielle de 2027, et selon un sondage Harris Interactive pour CommStrat et l'Opinion, les sept premiers qui ont été désignés par les Français sont tous à droite ou à l'extrême droite. Il ne s'agit pas des intentions de vote, mais des possibilités de vote, du potentiel de chaque candidat. Ruth Elkrief estime que ce qu'on cherche pendant ces deux années, puis ces derniers mois, c'est de trouver des moyens d'avoir la température de l'opinion, de mesurer le potentiel électoral de chaque candidat. Elle se demande pourquoi la gauche ne se trouve qu'en huitième rang dans ce sondage. François Bayrou a tiré les leçons du conclave et annoncé ses arbitrages ce jeudi. Pour Pascal Perri, le Premier ministre veut passer avec cette réforme des retraites, quoi qu'il arrive. Il rappelle que le locataire de Matignon a fait la liste des sujets sur lesquels il y a un accord. Mais il estime qu'aucune avancée n'a été constatée sur les points de désaccord, comme la prise en compte de la question de la pénibilité, notamment. L'Union européenne, via le Conseil de l'Europe, a accepté de constituer un tribunal spécial pour juger les auteurs de crime de guerre ou de crime contre l'humanité. Abnousse Shalmani constate que, globalement, le Vieux Continent a tendance à étouffer sous les symboles. Elle rappelle que même si les Européens s'en réjouissent, cette institution judiciaire spécifique ne peut juger ni Vladimir Poutine ni son Premier ministre Mikhaïl Michoustine ni son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, tant qu'ils sont en fonction. Pour elle, il s'agit d'un tribunal de l'impuissance européenne. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:29 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Après six mois passés à Matignon et l'échec des négociations entre les partenaires sociaux sur les retraites, la position du premier ministre apparait fragilisée, au point d'être le chef de gouvernement le plus impopulaire depuis dix ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Alors que le conclave des retraites s'est soldé par un échec, le Premier ministre s'est exprimé depuis Matignon pour annoncer qu'il allait recevoir les partenaires sociaux, pour tenter de trouver "une voie de passage". La CFDT, la CFTC et la CFE-CGC ont été reçues ce midi, puis ce sera au tour du patronat. Le PS, lui, a annoncé qu'il déposera une motion de censure contre François Bayrou. On en parle avec Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC et négociatrice dans le conclave. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 24 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il était 7h ce matin quand François Bayrou a annoncé qu'il convoquait les partenaires sociaux aujourd'hui à Matignon. Le Premier ministre refuse de voir le conclave sur les retraites, qu'il a initié, s'achever sans accord. Il demande donc aux partenaires sociaux de parler encore et encore. Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis, président de la Commission des finances de l'Assemblée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:56 - Patrick Martin, président du MEDEF - Opposé "une augmentation du coût du travail", Patrick Martin, président du Medef se rendra à l'invité du Premier ministre mardi à la mi-journée, à Matignon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:35 - Le brief éco - Après l'absence d'accord entre les partenaires sociaux, le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi matin la poursuite des discussions, en convoquant toutes les parties à Matignon à midi. En cas denouvel échec, ce sera la réforme de 2023 qui s'appliquera. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneuse. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:04:43 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Depuis six mois qu'il est à Matignon, le Premier ministre semble avoir entériner l'incapacité de son gouvernement à mener une politique cohérente du fait de l'absence de majorité à l'Assemblée nationale.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Et oui, Bruno, les épreuves du bac philo ont commencé et le philosophe Bearniais de Matignon, François Bayrou nous a pondu le sujet parfait
Et oui, Bruno, les épreuves du bac philo ont commencé et le philosophe Bearniais de Matignon, François Bayrou nous a pondu le sujet parfait
Réécoutez FG mix invite le Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 16 juin 2025
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 13 juin 2025 : "Six mois de Bayrou à Matignon, déjà trop ?" avec Bruno Poncet, cheminot, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Six mois après son arrivée à Matignon, le Premier ministre entretient une relation de colocation avec président de la République. Chacun avance de son côté, il y a parfois des bonnes ententes comme des problèmes de coordination. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, le 9 juin 2024, Emmanuel décidait de dissoudre l'Assemblée. Depuis, où en sommes-nous ? Emmanuel Macron compte-t-il, à nouveau, y recourir ? Les oppositions envisagent-elles de censurer le gouvernement de François Bayrou ? Combien de temps le premier ministre tiendra-t-il à Matignon ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:19 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le député Aurélien Rousseau était l'invité de France Inter ce mardi. L'ancien ministre de la Santé admet "une erreur d'appréciation" au sujet du scandale des eaux minérales traitées par Nestlé. Le député défend aussi le texte sur la fin de vie, examiné en ce moment à l'Assemblée nationale. - invités : Aurélien Rousseau - Aurélien Rousseau : Député PS - Place publique, ancien Ministre de la santé et directeur de cabinet à Matignon
durée : 00:10:19 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le député Aurélien Rousseau était l'invité de France Inter ce mardi. L'ancien ministre de la Santé admet "une erreur d'appréciation" au sujet du scandale des eaux minérales traitées par Nestlé. Le député défend aussi le texte sur la fin de vie, examiné en ce moment à l'Assemblée nationale. - invités : Aurélien Rousseau - Aurélien Rousseau : Député PS - Place publique, ancien Ministre de la santé et directeur de cabinet à Matignon
durée : 00:02:09 - Le brief politique - Le Premier ministre invite mardi soir les députés macronistes à Matignon, une première depuis qu'il est chef du gouvernement. Un cocktail qui va surtout ressembler à une séance de câlinothérapie.
durée : 00:24:23 - 8h30 franceinfo - Lucie Castets, haute-fonctionnaire, économiste et ancienne candidate à Matignon pour le Nouveau Front Populaire, était l'invitée du "8h30 franceinfo" vendredi 2 mai. Elle répondait aux questions d'Alix Bouilhaguet et Hadrien Bect.
Bienvenue sur Avant J'étais Prof, le podcast des enseignants qui ont osé la reconversion.Dans l'épisode du jour, j'ai le plaisir d'échanger avec Cécile, une ancienne auditrice du podcast. Cécile a 55 ans, 4 enfants, et elle a été professeure des écoles (pour ne pas dire institutrice) pendant 32 ans. Aujourd'hui, elle est praticienne en massage bien-être, doula, et fondatrice de la Parent'elle : un espace de soin et d'accompagnement qui regroupe 12 thérapeutes et qui est ouvert aux femmes, à toutes les étapes de leur vie.Cécile est la preuve qu'on peut se reconvertir après 50 ans, quand on a des enfants, et même quand on nous met des bâtons dans les roues. Par "bâtons", j'entends ici : 7 refus de congé de formation, deux refus de rupture conventionnelle, un refus de mise en disponibilité et un dernier pour une demande de temps partiel pour création d'entreprise. Au pied du mur, Cécile a été contrainte de démissionner, et sa persévérance a fini par payer puisqu'elle a été invitée à Matignon pour présenter son projet après seulement 3 mois d'existence.J'espère que cet épisode vous apportera la lumière et la ténacité dont vous avez besoin pour avancer sur votre propre chemin. Bonne écoute ! __________
Après avoir déclaré il y a quelques jours qu'il "serait le candidat" de Marine Le Pen si cette dernière venait à être empêchée de se présenter en 2027, Jordan Bardella ne cache pas préparer cette échéance. Un travail de lobbying interne et externe, pour passer d'une candidature à Matignon l'été dernier, à une première campagne pour l'Élysée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir déclaré il y a quelques jours qu'il "serait le candidat" de Marine Le Pen si cette dernière venait à être empêchée de se présenter en 2027, Jordan Bardella ne cache pas préparer cette échéance. Un travail de lobbying interne et externe, pour passer d'une candidature à Matignon l'été dernier, à une première campagne pour l'Élysée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Réécoutez FG mix invite le Matignon de Paris avec Fredelux du lundi 21 avril 2025
En succédant à Michel Barnier comme premier ministre, en décembre 2024, François Bayrou cultivait de grandes ambitions pour son gouvernement et pour lui-même. Mais, depuis quatre mois, le maire de Pau est confronté à de multiples turbulences.Si, en dotant la France d'un budget, il a réussi là où son prédécesseur a échoué, il a, par la suite, eu du mal à peser sur l'ordre du jour politique et médiatique. Déléguant la réflexion sur des projets pourtant cruciaux, mis en difficulté dans l'affaire de Bétharram, ballotté par des ministres à la parole très libre et directement recadré par le président de la République, François Bayrou a souvent vu son autorité contestée.Ses jours à Matignon sont-ils comptés ? Avec quelle méthode peut-il espérer durer ? Et au service de quel projet ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Nathalie Segaunes, journaliste au service politique du Monde, chargée du suivi de l'exécutif, revient sur les quatre mois passés par François Bayrou à la tête du gouvernement.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Thomas Zeng. Musique originale : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits de la déclaration de politique générale de François Bayrou, prononcée le 14 janvier 2025 ; d'une de ses prises de parole à l'Assemblée nationale, le 28 janvier 2025 ; de l'une de ses déclarations lors des questions au gouvernement, le 1er mars 2025, et d'une chronique sur TF1, le 4 mars 2025.Cet épisode a été publié le 17 avril 2025.---Que pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:09:19 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Mardi 15 avril, le gouvernement tiendra à Matignon une grande conférence des finances publiques pour préparer les esprits aux efforts qu'il faudra consentir en 2026 pour réduire le déficit. Dans un contexte international tendu, l'économie française peut-elle tenir le choc ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Xavier Timbeau Économiste, directeur de l'Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE)
L'association des maires de France, la principale organisation d'élus du pays, vient de décider qu'elle ne se rendrait pas ce mardi à la « conférence nationale des finances publiques » organisée par Matignon. En cause : l'inquiétude des collectivités d'être mises à contribution dans la recherche d'économies de Bercy. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Alors que François Bayrou a récemment planté son arbre dans les jardins de Matignon. Christophe Barbier a eu le nez fin. Il a révisé et est devenu un véritable spécialiste ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Petit Matin avec Thomas Despré du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h30, ce lundi 24 mars 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : 100 jours de Bayrou à Matignon, parti pour rester ?
C dans l'air du 21 mars 2025 - Algérie, retraites... Bayrou dépassé ?"Ce qui s'est passé est très grave". Emmanuel Macron n'avait pas de mots assez fort, mercredi pour dénoncer la peine de 10 ans de prison requise contre l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, pour ses critiques du pouvoir algérien et des islamistes. Dans l'attente du jugement du tribunal de Dar El Beida le 27 mars, la tension est à son comble entre Paris et Alger, après des mois d'escalade diplomatique. Depuis que la France a reconnu la marocanité du Sahara occidental, territoire revendiqué par l'Algérie, les deux pays se rendent coup pour coup. Paris accuse l'Algérie d'avoir manipulé des influenceurs franco-algériens, depuis mis en examen, voire condamnés pour des appels à la violence. Mais Alger refuse de reprendre ses ressortissants, y compris lorsque ceux-ci sont renvoyés par avion après une OQTF. Lundi soir, Alger a refusé une liste d'une soixantaine de ses ressortissants "sortant de prison ou avec des profils dangereux" et frappés d'une OQTF, provoquant l'ire du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. "Nous ne voulons pas la guerre avec l'Algérie, c'est l'Algérie qui nous agresse", dénonce celui qui a fait de l'expulsion des étrangers en situation irrégulière son cheval de bataille. Il menace désormais de démissionner.Comme si les tensions extérieures ne suffisaient pas, François Bayrou doit désormais gérer une crise interne. Cent jours après sa nomination à Matignon, le Premier ministre affronte de plus en plus de critiques. À gauche, le PS a découvert dimanche avec surprise qu'il ne comptait pas revenir à la retraite à 62 ans, enterrant à moitié le "conclave" sur les retraites prévu pour amender, "sans totem ni tabou" la réforme de 2023. "François Bayrou commet une erreur en pensant que nous ne pouvons plus le censurer", a prévenu d'emblée le premier secrétaire du PS Olivier Faure. À droite, on déplore déjà l'absence d'une grande loi immigration tandis que François Bayrou doit composer avec ses poids lourds au gouvernement. Après Bruno Retailleau avec l'Algérie, c'est Gérald Darmanin qui menace de démissionner pour un désaccord avec d'autres ministres sur le port du voile dans le sport.Dans le bloc central, les candidats sont nombreux sur la ligne de départ pour la présidentielle 2027 : Bruno Retailleau, Gérald Darmanin, Gabriel Attal, Édouard Philippe, mais aussi Laurent Wauquiez et David Lisnard. Si Edouard Philippe part avec une longueur d'avance d'après les derniers sondages, Gabriel Attal n'a pas dit son dernier mot et tente de reconstruire le parti présidentiel Renaissance en vue de 2027. Plus à droite, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, le chef des députés LR à l'Assemblée, préparent leur duel pour la présidence des Républicains les 17 et 18 mai. Le second a profité de la crise diplomatique avec l'Algérie pour accuser le gouvernement, et donc son rival, "d'avoir capitulé avant même de livrer bataille". Interrogé à la radio Bruno Retailleau s'est permis une petite pique : "Les chiens aboient, la caravane tranquille passe." Pendant ce temps, Marine Le Pen se frotte les mains. Jusqu'où peut aller la crise entre Paris et Alger ?François Bayrou est-il en danger ? La droite va-t-elle se déchirer autour de la course à la présidentielle ?Les experts :- Jérôme JAFFRE - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa- Patricia ALLEMONIERE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra
Scoop des 'Grosses Têtes' : Olivier de Kersauson pressenti pour entrer à Matignon ! Il aurait même pu rejoindre le gouvernement comme Ministre de la paix.... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 16 mars 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.COMMENT RÉARMER ?Après l'intervention télévisée du chef de l'État le 5 mars, la défense nationale est devenue la priorité du gouvernement. Fleurons de l'industrie de l'armement, PME et start-up innovantes, sous-traitants ... Tout un écosystème est mobilisé pour faire face à la menace russe amplifiée et au retrait de l'allié américain. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a évoqué une enveloppe de 100 milliards d'euros par an pour la défense à l'horizon 2030, contre 68 milliards inscrits dans la loi de programmation militaire, soit 1,5 point de PIB supplémentaire évoqué par le président de la République, pour passer de 2% à 3%-3,5% chaque année. Le ministre des Armées a esquissé quelques priorités : « Les munitions et la guerre électronique sont les urgences puis la dronisation et la robotisation des armées. » L'accélération des cadences est déjà visible sur certains segments comme les munitions, l'artillerie et les missiles. Il faut également rester performant dans le domaine de l'intelligence artificielle, et du spatial. Du côté des grands programmes, Sébastien Lecornu entend augmenter le nombre d'avions de combat et de frégates de premier rang.Les revues stratégiques successives qui évaluent régulièrement les menaces pesant sur le pays et prévoient les moyens d'y répondre, n'ont jamais écarté le risque d'un retour de la guerre de haute intensité. C'est pourquoi le modèle d'armée complet français a toujours été préservé au nom de la souveraineté nationale, afin de pouvoir agir sur tous les niveaux de conflictualité, même s'il a souvent été qualifié d'échantillonaire. La France s'inscrit également dans un cadre européen avec de nombreux programmes de coopération comme le système de combat aérien du futur avec l'Allemagne et l'Espagne ; l'hélicoptère du futur avec notamment l'Italie, l'Espagne, et l'Allemagne ou les missiles avec le Royaume-Uni.Interrogés par Ipsos-Ceci pour La Tribune Dimanche, les Français sont 68 % à considérer favorablement une augmentation du budget de la Défense quitte à augmenter encore les déficits pour 66 % d'entre eux et même sacrifier des budgets de l'Éducation ou de la Santé (51 %). La sécurité nationale passant ainsi devant la sécurité sociale. Avant d'en arriver là, le gouvernement veut toutefois explorer d'autres pistes de financement. Le ministre français de l'Économie, Éric Lombard, exclut d'activer la clause de sauvegarde prévue par Bruxelles pour financer les investissements dans la défense par de la dette. Parmi les outils envisagés à Bercy ou à Matignon, figurent notamment le recours au Livret A ou encore un grand emprunt. Vendredi, le président de la République, Emmanuel Macron a reçu les industriels de la défense pour leur fixer une nouvelle feuille de route visant à accélérer les cadences de livraison d'équipements. Face aux difficultés budgétaires et industrielles, Bercy doit organiser le 20 mars prochain une réunion rassemblant les banques et les assurances, mais aussi des acteurs de l'industrie de la défense.TRUMP-MUSK : QUELS CONTREPOIDS ?Les décisions et les méthodes de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, soulèvent des interrogations quant aux limites du pouvoir présidentiel aux États-Unis. Le système politique américain repose sur le principe des checks and balances, visant à ce que « le pouvoir arrête le pouvoir », comme l'avait théorisé Montesquieu au XVIIIème siècle. Chacune des trois branches du gouvernement – exécutif, législatif, judiciaire - dispose de moyens de contrôle sur les autres (checks) pour viser un certain équilibre (balance). Les Républicains contrôlent la présidence, la Chambre des représentants et le Sénat. Même si leur majorité à la Chambre est très étroite, la passivité des sénateurs conservateurs face aux nominations les plus controversées de Trump n'augure pas d'un rôle de frein à la présidence de la part du Congrès. Bien que les Républicains n'aient pas capturé l'ensemble du pouvoir judiciaire, ils disposent d'une nette majorité à la Cour suprême.Depuis deux mois, les recours en justice se multiplient dans les États fédérés à majorité Démocrate qui cherchent à mettre en place des contentieux stratégiques sur quasiment toutes les mesures : suspension des traitements médicaux pour les personnes transgenres, autorisations pour Elon Musk d'accéder aux informations du fisc et de la Sécurité sociale, licenciements massifs de fonctionnaires publics ou intimidations à leur encontre, suppression du droit du sol pour les personnes nées de parents irrégulièrement ou temporairement immigrés, élimination de plusieurs autorités administratives …Même les Églises se tournent vers la justice pour protéger les lieux de culte du décret y autorisant les raids de la police de l'immigration. Mais une bonne partie des dossiers risquent soit d'être enterrés, soit portés devant une Cour Suprême qui a proclamé, avant l'élection de 2024, que Donald Trump, poursuivi dans de multiples affaires, bénéficiait d'une présomption d'immunité en raison du principe de séparation des pouvoirs. Et, le vice-président, J.D. Vance, diplômé de la faculté de droit Yale, a déclaré que « les juges n'ont pas le droit de contrôler le pouvoir légitime de l'exécutif. » En outre, si l'administration Trump décidait de désobéir à une décision des juges, la Cour ne dispose pas de moyens de coercition.Face à une opposition étonnamment passive et encore sonnée, les contrepouvoirs paraissent bien faibles. Sauf un, que Montesquieu ne connaissait pas : Wall Street. Les entreprises américaines, surtout les grandes entreprises cotées en Bourse, dépendantes du marché mondial et de la chaîne de valeur globale paraissent être les seules à pouvoir refreiner les ardeurs autocratiques du clan au pouvoir à la Maison Blanche. Wall Street, qui avait soutenu l'élection de Donald Trump, semble déjà déchanter.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Depuis plusieurs décennies, il est de tradition pour chaque Premier ministre français de planter un arbre dans les jardins de l'Hôtel de Matignon. Cette coutume, bien ancrée dans la vie politique française, revêt plusieurs dimensions : symbolique, historique et écologique.1. Une tradition instaurée sous la Ve RépubliqueL'origine précise de cette tradition est difficile à dater avec exactitude, mais elle s'est surtout développée sous la Ve République, en particulier à partir des années 1970. L'un des premiers chefs du gouvernement à avoir perpétué ce geste est Raymond Barre (Premier ministre de 1976 à 1981). Depuis, tous ses successeurs ont suivi cette coutume en plantant un arbre lors de leur mandat.2. Un geste symbolique fortPlanter un arbre à Matignon est un acte hautement symbolique. Il représente :- L'empreinte laissée par chaque Premier ministre : Un arbre est un élément durable qui continue de grandir après le départ de son planteur. Il illustre ainsi la continuité de l'action politique et l'héritage laissé par chaque chef du gouvernement.- L'enracinement dans la fonction : En mettant en terre un arbre, le Premier ministre affirme son engagement et son ancrage dans la mission qui lui est confiée.- Un lien avec la nature et l'environnement : À une époque où les questions écologiques prennent une importance croissante, ce geste rappelle la nécessité de préserver la nature et de prendre en compte le développement durable dans les politiques publiques... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.