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Toute la semaine, Aujourd'hui l'économie vous plonge dans le monde de l'art. Comment rémunérer au mieux les artistes Comment diffuser leurs œuvres au plus grand nombre ? Dans ce troisième épisode, RFI vous parle de ceux qui ont décidé de se tourner vers la location d'œuvres d'art pour mieux se faire connaitre et toucher un autre public que celui des galeries. Longtemps réservé aux entreprises, ce procédé s'étend aux particuliers, pour des sommes modiques. Dans le nord de la France, Nicolas Auboiroux, un collectionneur passionné de street art, a décidé de lancer sa propre plateforme de location, street art home, qui attire aujourd'hui entre 200 adhérents, soit environ 50 familles.En 2018, ce directeur financier, boulimique d'art urbain, a décidé d'ouvrir sa collection aux particuliers, car il n'avait plus de place chez lui pour exposer ses acquisitions. Moyennant une contribution modeste de 49 euros par an, ses adhérents peuvent avoir accès à une centaine d'œuvres d'une trentaine d'artistes différents, dont certains sont de renommée internationale, tels que l'américain Jonone, Shepard Fairey, Jef Aerosol, Banksy, M Chat ou encore Aket, un artiste néocubiste étonnant.Un tremplin pour les artistesLe principe étant que les œuvres tournent chez les uns et les autres trois à quatre fois par an : « Le deal avec les artistes qui rentrent dans l'artothèque, c'est que le prêt soit fait à titre gratuit – sauf pour les œuvres les plus chères, moyennant une caution – en échange d'une visibilité plus grande pour leurs œuvres, explique Nicolas Auboiroux, et si une vente se fait au final, cela devient encore plus intéressant ». À lire aussiFinancement de l'art - Le musée Zeitz MOCAA du Cap en quête de viabilité économiqueL'idée derrière ce projet est de pouvoir partager sa passion et faire découvrir de nouveaux artistes. Pour M.Koeur, un artiste local phare de la collection, les choses ont vraiment commencé à décoller après sa rencontre avec le collectionneur : « J'ai débuté en peignant sur les murs, et le fait que mes œuvres se retrouvent dans la maison des gens, cela a été une grande surprise, car cela veut vraiment dire qu'ils aiment énormément ce que je fais ». « Découvrir de nouvelles œuvres »Christelle fait elle partie du projet depuis le début, elle ne tarit pas d'éloges sur le fait de pouvoir avoir accès à des œuvres dont elle n'aurait pas pu faire l'acquisition : « C'est la possibilité de découvrir de nouvelles œuvres et de vivre avec l'artiste pendant les trois à quatre mois de présence de sa création chez soi ».Street Art Home n'est pour le moment disponible que pour la métropole Lilloise, mais d'autres artothèques existent un peu partout en France. Nicolas Auboiroux souhaiterait aussi accompagner les personnes qui souhaitent reproduire le concept ailleurs.À lire aussiFinancement de l'art - Quel modèle économique pour la biennale de Dakar?
Aujourd'hui, je vous emmène à la rencontre de Jean-Baptiste Dhalluin, le fondateur d'Oenoflyer. Jean-Baptiste connecte des vignerons qui proposent des vins naturels avec le moins de manipulations possibles à des restaurants, bars, cavistes ou encore épiceries fines dans les Hauts de France. J'ai eu la chance de participer à une dégustation, celle des vins d'Aurélien Petit chez Epicé, le restaurant de Georges Laurent, rue Saint André à Lille. Cette rencontre m'avait beaucoup marquée tant la passion d'Aurélien pour ses vignes et son métier se ressentait au-delà des mots. Avec Jean-Baptiste nous avons parlé de quantité de restaurants, cavistes et bien sûr des vignerons qu'il représente. Je vous mettrai tous les noms dans les notes de l'épisode. Nous sommes revenus sur son parcours, sa décennie en Californie, son retour en France et ce qui l'anime au quotidien dans son métier. Nous avons également parlé du secteur de la restauration et de sa situation économique, alors si vous n'avez pas encore trouvé le bon cadeau de Noël, je ne peux que vous inviter à suivre le conseil de Jean-Baptiste et d'offrir à vos proches un repas dans votre restaurant préféré pour partager ensemble une belle expérience. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast, indépendant n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant je laisse la place à Jean-Baptiste et à cette belle conversation que nous avons eu le plaisir d'enregistrer ensemble. Bonne écoute ! Sa recommandation : Les oeuvres de street art de JonOne, artiste franco américain Ses recommandations d'invités : Dajo Aertssen, le fondateur de Café Muda Candice Peytour et Antoine Maschi les fondateur de Chocolat Encuentro Avec Jean-Baptiste nous avons parlé de : Georges Laurent et de son restaurant Epicé Albane Trollet potière et céramiste à Lille Laura Szyndler Flora et Julien Szyndler, fondateurs de Mezquité au Touquet Restaurant Arborescence Lise et Bertrand Jousset du Domaine Jousset Domaine de Brin Rodolphe, sommelier à la Grenouillère Louis, sommelier chez Suzanne Restaurant Signature à Saultain Champagnes Lelarge Pugeot Café Bellot Les Ephérites La cuvée de gueux d'Adrien Berlioz Ludovic Bonnelle du Domaine du Pech La Philouterie à Berck La crêperie Paulette à Stella Plage Ingrid du domaine Clos des Mourres Simon du Gabbro Persil Talents de Fermes
De l'ombre des tunnels à la lumière des plus grandes galeries, Jonone Perello a payé sa dette au graffiti. Dans cet épisode nous revenons sur ses débuts : son quotidien d'adolescent dans le New York dévasté des années 80, l'évolution constante de son style qu'il a affiné sur les parois des wagons de métro, la dureté et les dangers de la pratique puis sa rencontre avec la France, les squats, la clandestinité jusqu'à la reconnaissance. Bonne écoute. Fuzi Mix: Sit Procurez vous mon roman LES PRINCES DU DERNIER WAGON PLUS DE CONTENUS VIDEO SUR NOTRE CHAINE YT SUIVEZ NOUS SUR INSTAGRAM SUPPORTEZ NOUS SUR PATREON Continuons la discussion sur notre FORUM --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/fuzi/message
Mike Giant discusses his experiences in the fine art world as well as how to navigate it. Topics discussed include: Agree, Futura, graffiti writers moving into galleries, art “investors”, 1991 Albuquerque Museum mural show, connector photos, reasons to work with a gallery, stable of collectors, trusting in value, Sharpies, 50/50 split, galleries responsibilities, no sell early shows, exclusivity, taking advantage of opportunities versus remaining loyal, Twist, dealing with museums, museums buying art for their permanent collections, getting graffiti in Juxtapoz, Damon Soule, selling artwork in upscale hair salons in the late 1990s, FecalFace, Sketch show at Juice in 2000, downside of galleries owned by wealthy people, ask galleries for references, better percentage of sales at alternative spaces, The Lab show in Baltimore, first solo show (San Jose, 2001), Bob Schmeltzer, WDWA show (Brooklyn, 2002), The Vandal Squad, BEAMS/Upper Playground in Tokyo with Bigfoot and Sam Flores, 5024SF Gallery, Matt Revelli, unpaid show in Denver with Andy Howell and Sam Flores (2002), 55DSL in NYC, MOCADC (2003), pill poppin, group shows, Misanthropy Gallery in Vancouver (2004), Sight, artist-run galleries, 111 Minna Gallery (SF, 2004), Doze Green, Show with Shepard Fairey at Voice1156 Gallery (San Diego, 2005), infamous gang fight, solo show at The Erotic Museum (LA), The Yoga Series, solo show at Nomad in Toronto, first show in Paris (Royal Cheese, 2005), solo show at Lab101 Gallery (LA), solo show at Colette (Paris, 2006), Karl Lagerfeld, Sarah, Fafi, Las Chicas de Burque series, solo show at Best (London), extending stays overseas, Hysteric Glamour group show (Hong Kong, 2006), White Walls Gallery, Andres Guerrero, Justin Giarla, Outre Gallery, solo show at Magda Danysz Gallery (Paris, 2007), three openings (VIPs, collectors, public), Drago Publishing, group show at Iguapop Gallery (Barcelona), getting paid by overseas galleries, solo shows in Australia (2007), solo show at White Walls (2008), solo show at Guerrero Gallery (2010), solo shows at FFDG (2012-16), solo shows at Black Book Gallery (Denver, 2014-17), solo show at ATAK (SF, 2016/17), Inner State Gallery (Detroit, 2016), 6x6' drawing, online store created (2017), ease of selling work online, getting full value of work sold, difficulty in shopping your work to galleries, using galleries to grow the value of your work, Paris auction, JonOne, accumulation of money vs. freedom, the power of Instagram, withholding a gallery's access to your social media following, BONUS: botched show at Magda Danysz Gallery (Paris, 2009).
1. Guido P, Dana Weaver - I'm Ready The Italian Remixes (Guido P Alternative Remix) 2. Sol Brown, Hannah Khemoh - Lovin' on my Music. 3. Tri Funk, Mike City, Soullab - No Strings (Soullab Spiritual Vocal Mix) 4. DJ Rae, David Morales - Something I'm going through 5. Ralph Session - Cielo 6. Ross Couch - Deep Down 7. JonOne, Hannah Fay - Electric Pulses (Chris Quadrant Soulful Mix) 8. Kevin Hedge (Blaze) Rick Galactik, Eric Kupper, FJ Spen - Reach for the Stars (Eric Kupper & DJ Spen Remix) 9. Steven Stone, Lee Wilson, Soulbridge - Will you be there (Soulbridge Remix) 10. The Blak Beatnicks, Sean McCabe - The Right Place (Sean McCabe Main Vocal Mix) 11. James Silk - Rhythm & Flow 12. Kenny Carpenter, Stephanie Cooke - Bad all by myself 13. Tovi Sound System - Love wont wait 14. Matt Johnson, Derrick McKenzie, Roki - Interstellar Love 15. Rory Breaker - Wonder why 16. Luis Radio & Stefano Guerra - Be Glad 17. Sean McCabe - Wanna be Good 18. Trevor Gordon - Music's Right, in my heart 19. Directors Cut (Frankie Knuckles, Eric Kupper, Kenny Summit - Lovin you (Ian Pooley Main Mix) 20. Soul Clap, Robert Owens, Hammer & Tongs, Luke Solomon, Lance Desardi - Misty (Hammer & Tongs Version)
Accidental Vandals Live artwork does not mean participatory artwork An untitled piece by graffiti artist JonOne was painted in front... The post Plagiarising Prince Ep73 appeared first on .
Graffiti artist JonOne was upset to discover that his work of art had been vandalised. Painted before a live audience in Seoul in 2016 the piece covers a large wall ... Read More The post Trashing artwork appeared first on Turn the Page.
Deux visiteurs d'un musée de Séoul (Corée du Sud) ont confondu une œuvre d'art avec un espace de dessin libre. Ils ont ainsi, sans le savoir, vandalisé une création du New-yorkais JonOne. La valeur de ce graffiti géant de 7 mètres sur 2 mètres, réalisé en 2016, est estimée à 440.000 dollars (environ 375.000 euros). Le street artiste a cependant fait savoir via son agent qu'il ne poursuivrait pas le couple en justice. ............................................... Vous avez aimé ce podcast ? Soutenez et aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Un petit geste pour vous, mais pour nous ca veut dire beaucoup ! http://association.stereochic.fr
Con la viralización de un hecho en Corea con la obra de JonOne, lo que nos lleva a pensar de qué forma es que no nos dejamos llevar por cosas malas por el simple hecho de que todo el mundo lo hace
Earlier this year, 2 roads in Singapore were selected to trial pedestrianisation. 3 months in, the reactions are mixed and Ho Ching has suggested licenses for bicycles. What’s going on? Elsewhere, a couple in Seoul mistook a graffiti artwork by JonOne as being “participatory”, and painted over it. But what really happened? Check out our #YLB Subreddit for show notes! Here are our one SHIOK things for this week! ➤ Balaji Srinivasan on The Time Ferris Show ➤ Snowrunner Game Peace!
A piece on display in a South Korean museum was defaced because the curators did something rather stupid. Let me put it this way...they were asking for it. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Korea24 – 2020.03.30. (Tuesday) News Briefing: The Japanese government has approved new high school textbooks that strengthen Tokyo’s sovereignty claim to South Korea’s easternmost islets of Dokdo. The South Korean government slammed Japan, urging that a correction be made immediately. (Koo Heejin) In-Depth News Analysis: Reporter Haley Yang from the Korea JoongAng Daily delves into the controversy surrounding the period/fantasy TV series “Joseon Exorcist(조선구마사)” being canceled over the issues of distortion of Korean history and the use of Chinese elements. Korea Trending with Lee Ju-young: Special education faculty and school nurses will be able to get COVID-19 vaccinations(교사 접종 다음 달 8일 시작…“고3 학생•담당교사 여름방학까지 접종 추진”), a work by the renowned graffiti artist JonOne is damaged while on display("낙서해도 되는 줄" 롯데월드몰 5억 그림에 붓칠한 20대 ), and Paik Seung-ho finds a home in the K-League with Jeonbuk Hyundai Motors FC, though he still faces contract issues with the Suwon Samsung Bluewings(K리그1 전북, 백승호 영입…“선수 생활 이어갈 수 있도록”). Touch Base in Seoul: Kim Jung-woo talks about his personal story and his role as organizing director at the National Korean American Service & Education Consortium(NAKASEC). He also discusses where US immigration policies are headed under the Joe Biden administration and delves into NAKASEC’s #Citizenship4All campaign. Morning Edition Preview with Mark Wilson-Choi: Mark shares a piece from the Korea Times that features the non-profit music organization Camarata Music. He also talks about a Korea Herald story that covers a Pablo Picasso exhibition that will be held in Seoul.
Épisode 478 : Aujourd’hui le street art est partout, et pas uniquement dans la rue.Il est partout parce qu’il est visuel et que cette forme d’art a beaucoup d’influence sur tout ce qui nous entoure. Alors forcément, il se décline jusque sur les réseaux sociaux !Street Art et Social media : au coeur de l’éphémèreLe street art et les réseaux sociaux font très bon ménage et ce n’est pas pour rien. Le street art est par nature éphémère et en ça il se rapproche fortement des contenus social media. On shoot sur l’instant et on le partage. Complémentarité entre le street art et les réseaux sociauxLe Street art est à la portée de tous sans aucune exception, car il est dans la rue. A partir du moment où il est accessible à tous, il est partageable par tous.Son contenu engagé avec parfois un fort lien avec l’actualité en fait un art extrêmement instagrammable.C’est là qu’on observe cette complémentarité, les réseaux sociaux archivent le street art comme un musée le ferait pour l’art classique.#streeetart > 56 millions#streetartparis > 880 k#streetartlyon > 70 k#streetartist > 2 millionsBanksy@banksyC’est Probablement l’un des inconnus qui fait le plus parler de lui.D’ailleurs nous lui déjà dédié un épisode entier du Super Daily le jour où il a volontairement détruit l’une de ses oeuvres qui venait de se vendre 1 Million de dollars.Si j’en reparle ici brièvement, c’est tout simplement parce que l’on ne peut pas parler street art sans parler de lui.Pour résumer le personnage, c’est un street artiste révolutionnaire, anarchiste1, antimilitariste, anticapitaliste et antisystème. Banksy reprend les codes des réseaux sociaux dans ses oeuvres pour pointer du doigt les problèmes sociétauxEn Décembre 2018, il proposer un jeu concours Instagram pour dénoncer la mauvaise gestion des migrants arrivant par bateauxIl a mis en jeu l’une de ses oeuvres sur Instagram. L’oeuvre représentait un bateau en bronze rempli de migrants?Pour le gagner, il fallait deviner son poids. Bilan des milliers de commentaires et une exposition internationale Un chaton à GazaEn 2015, Banksy dessinait un chaton à Gaza.Quand on lui a demandé pourquoi, il a répondu« Un habitant m’a demandé : ‘S’il vous plaît, qu’est-ce que ça signifie ?’ J’ai expliqué que je voulais révéler au grand jour la destruction de Gaza en postant des photos sur mon site, et sur Internet, les gens ne remarquent que les photos de chatons. »Ememem@ememem.flacking15,6k abonnés sur InstagramEst-ce que tu sais ce que c’est que le Flacking ?C’est un Art qui consiste à boucher les nids-de-poule ou autres dégradations de la chaussée comme des fissures par des carreaux de faïence. Et Ememem c’est l’inventeur de cette technique. Un lyonnais dont personne ne connait le nom mais dont tout le monde ici connait les oeuvres.Ememem a installé beaucoup d’œuvres à Lyon mais aussi à Madrid ou Paris. Il appelle son art le « flacking », parce que ces œuvres font comme des flaques d’eau sur les trottoirs. Pourquoi l’espace public est-il un lieu qu’il est important de se réapproprier et de détourner ? La question de la fonctionnalité est centrale. On a fait le choix historique de matériaux uniforme et efficaces, contre la pluie, l’usure, pour le confort de la semelle, de la roue de vélo, etc., mais l’espace public a-t-il la seule fonction pratique du passage ? Il n’y a-t-il pas moyen d’imaginer aussi une fonction d’espace de vie ? De s’y poser un peu, et donc d’y apporter de l’art.Le Street Art récurrentS’il y a bien un truc que je surkiffe dans le street Art, c’est quand il est récurrent, qu’il t’emmène jouer à cache-cache et que tu le retrouves dans un paquet de ville en France et dans le monde.Parfois sans même connaître le nom de l’artiste tu créées une affinité avec le style.TocToc et ses duduss@bytoctoc48,8k abonnésSon truc à lui ce son les duduss, cespetits bonhommes sacrément prognathes, avec une sacrée grande mâchoire. Et ses bonshommes on les retrouve partout, même dans les pentes de Fourvière d’ailleurs. Il reproduit beaucoup de personnages de fiction bien connus mais il est aussi très fort pour utiliser les lieux à son avantage.La ligue des DudussToctoc a fait une utilisation particulièrement cool des Higlihgts : La ligue 1 et la Ligue 2 des duduss.Il a organisé un concours interne entre ses duduss pour élire le duduss préféré de son audience.Le personnage gagnant a été sérigraphié et mis en vente sur son siteA regarder absolument In The woup@in_the_woup1262 abonnésEncore un lyonnais, qui a affiché ses oeuvres un peu partout son truc à lui, c’est les SUPER MARIO. Il prend Super Mario et il lui fabrique des costumes. Le tout en mosaïque qu’il colle ensuite sur les murs des villes dans des petits coins cachésToki_art@toki_art1700 abonnésLui c’est mon petit coup de coeur du moment, c’est un duo de street artistes lyonnais qui font des collages avec des personnages de fiction en mode cyclopes —-La Fresque / Le montumentalVinie Graffiti@viniegraff95 k followersVinie Graffiti est originaire de Toulouse. Elle couvre les murs d’un personnage récurrents que vous connaissez déjà sans doute. Sa femme signature et une « poupée » noire, au corps élancé et dont les yeux ont des airs de manga Japonais. Ce personnage qu’elle décline comme une figure fétiche, est dotée d’une énorme coiffure afro super colorée et représentée parfois par les branches des arbres alentours. Sur son Instagram on retrouve une galerie magnifique qui met super bien en avant les dernières fresques monumentales sur lesquelles elle a pu travailler dernièrement notamment en Polynésie.Son style est reconnaissable notamment grâce à sa façon d’intégrer l’environnement dans son travailMantra >@mantrarea40k abonnésYouri Cansell aka Mantrarea Un street artiste et Naturaliste FrançaisLui son truc à lui, ce sont les papillons et les animaux géants ultra réalistes.Il redonne ses droits à la nature sur les murs des villes et c’est superbe.—-Nikita Golubev@Proboynick107k followersLe Street Art tient bien souvent à une appropriation de l’espace urbain avec la volonté de ramener du beau ou du poétique là où il n’y a que du terne et du fonctionnel.Nikita c’est un russe qui pratique justement le dirty Art. Il utilise la saleté pour faire de l’art.Sa cible de prédilection: Les voitures et autres camionnettes sales dans les rues de Moscou. Là où certains ne voient qu’une épaisse couche de poussière, Nikita voit des toiles qui ne demandent qu’à être travaillées.Sur son compte Instagram on voit pas mal de vidéo avant après, où on le voit sur le trottoir avec ses pinceaux et ses éponges…RNST@rnst_art 21k abonnésStreet artiste Dijonnais« Inencadrable est l’un des adjectifs qui colle le mieux à la peau de RNST. »Il peint des personnages masqués pour illustrer les conditions de vie des population opprimées : les clandestins, migrants, ouvriers .;. Il exprime sa colère face à ces situations au travers de son art, de ses pochoirs et ses graffitis.J’ai kiffé sa série de peintures sur poubelles #poubellelavieJerome Mesnager@jeromemesnagerJérôme on le connaît pour son bonhomme blanc qui fait penser au mannequin de couture de la pub o’cedar—Acuteart@acuteartUne application qui te permet de disposer des oeuvres de streetartists où tu le souhaites en réallité augmentée.Tu installes l’application et ensuite tu peux jouer avec les oeuvres d’artistes internationaux comme Kaws ou Christo.250k téléchargements depuis le mois de Mars 2020.——StreetArt et marques, un mariage opportunisteDepuis une dizaine d'années, de plus en plus de marque de luxe parient sur les artistes urbains dans l'espoir de séduire une clientèle plus jeune. On peut citer : la bouteille de cognac Hennessy colorée par la star JonOne, les bouteilles de Perrier rendues sauvages par Juan Travieso, les boîtes de La Maison du Chocolat graffées par Nasty…La liste est longue pour, chaque fois, des collections capsules vendues en édition limitée.. . .Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com/. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
durée : 00:04:01 - Ca vaut le détour en Gironde
Cette semaine, Le Paris des Arts met à l’honneur le street art dans une émission consacrée à JonOne. Pionnier du mouvement graffiti à New York dans les années 80, l’artiste américain aujourd’hui installé en France nous fait découvrir le nouveau temple de l’art contemporain parisien : la Fab. Un lieu culturel et solidaire à l'initiative de la styliste Agnès b., qui a choisi d’y exposer sa collection personnelle riche de quelques 5 000 œuvres. Nous terminerons cette émission par une rencontre avec la comédienne Marie-Anne Chazel, également collectionneuse d’art.
Mercredi dernier à la galerie NAG, nag comme Not a Gallery, dans le 16eme arrondissement, avait lieu le décrochage d'une exposition de l'artiste grapheur JON ONE, pour ceux qui ne connaitraient pas, JON ONE est l'un des nouveaux chef de file de l'art contemporain, aux multiples expositions internationales, travaillant désormais sur toile… https://bit.ly/2P4PKru
Vikki S is an extremely versatile singer and songwriter. She is known for experimenting with Pop, Jazz, R&B and most recently, EDM. On today's episode we discuss Vikki's very humble beginnings and her many accomplishments and accolades that she has achieved since starting out when she was only four years old. We also talk about her latest single featuring our former guest JonOne called "Digital Love". Stay tuned to the end of our interview with Vikki to hear the new track! To buy and download "Digital Love": www.fanlink.to/DigitalLove Follow Vikki on social media and listen to her other songs here: www.vixximusic.contactin.bio
JonOne has quite an extensive resume! Starting out as a DJ and later getting into music production, he has gained a lot of experience in the music industry throughout the years. Jon has played alongside other acclaimed DJ's and artists such as Major Lazer, 3LAU, PartyNextDoor and Laidback Luke. He also won Avicii's remix contest in 2013 and collaborated for the track "Avicii X You". Listen as we discuss Jon's personal journey with music, the story behind his 'Peace, Love, Carnival' EP and getting his feet wet in the acting world with 'Creed II'. To listen to Jon's Music and follow his other projects: www.jononemusic.com Avicii X You Collab: www.youtube.com/watch?v=LpKyzSxVhk4 Follow JonOne Music on social media: Instagram: @Jononemusic Twitter: www.twitter.com/Jononemusic Facebook: www.facebook.com/JonOneMusic YouTube: www.youtube.com/channel/UC2nL7g4pVP5DDHsjR3g5VFA
L'un des plus grands graffeurs au monde est à Marrakech.
В конце сентября, в Москву приезжал культовый граффити художник John Perello, более известный как Jon One. Сейчас John живет и работает во Франции, но начинался его путь в так знаком для хип-хопа Гарлеме. О причине приезда в Москву, о самых необычных его работах и о том, как посвятить жизнь творчетсву и не умереть о голода, слушайте в программе #SundayJamShow
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John Perello (Jon One) was born in New York's Harlem neighborhood to parents from the Dominican Republic. Growing up in Harlem, his introduction to street art began at an early age, when he would see graffiti and tags on subway cars and city walls. When he was 17 he entered the world of graffiti with his childhood friend "White Man," tagging his name Jon with the numbers 156 on walls and trains in his neighborhood. He said, "The subway is a museum that runs through the city." In 1984, he founded the graffiti group 156 All Starz, in order to bring together their passion for painting trains at night and to help forget about their problems, including drug use. At this time, he met the artist Bando, who was living in New York. Following an invitation from Bando, JonOne moved to Paris in 1987. He began his work as a painter on canvas in a workshop at the Hospital Ephemeral, a literal hospital building that became a squatting place for artists, located in the 18th arrondissement of Paris. Here, he painted with the artists A-One, Sharp, Ash, and Jayone Skki. Soon, he made a name for himself in Parisian artistic circles through his work on canvas and the exhibitions he held, including one in 1990 at Gallery 45 Gleditsch in Berlin and the exhibition Graffiti Paris, at rue Chapon in Paris. At an Artcurial auction on June 6, 2007, Match Point, a large canvas by JonOne made at the Hospital Ephemeral in 1993, was bought by a New York collector for €24,800, a record sale for the artist. This auction was also the highest bid ever obtained in France for a work of graffiti art. www.jonone.net www.thecandidframe.com info@thecandidframe.com
JonOne et Psyckoze racontent l'art underground Un patrimoine dans les catacombes N'écoutant que sa folle jeunesse, Jérémi est descendu dans les catacombes de Paris avec deux taggers ''historiques''. Psyckoze et JonOne nous racontent 200 ans d'histoire du graffiti en sous-sol. L'art du graff le plus underground qui soit ! Pour l'anecdote, le réalisateur et les deux artistes ont été attrapés par la police à la sortie des catas. Enregistrement : 28 novembre 02 - Montage & mix : Benoît Thuault - Reportage & réalisation : Jérémi Nureni Banafunzi