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Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Dans cet épisode, on plonge dans l'univers de la production laitière au Québec, avec deux invitées de terrain :Valérie Fortier, productrice laitière et présidente des Agricultrices du Québec Bénédicte Guitel, co-propriétaire de la Fromagerie La Suisse Normande Pourquoi le Québec est-il aujourd'hui la province dominante en matière de production laitière au Canada? À partir des données récentes de la Fédération des producteurs de lait du Québec, on discute du rôle du système de quotas, de son impact économique, mais aussi de ses controverses. On aborde les défis auxquels font face les producteurs : hausse des coûts, concurrence internationale, et le retrait du lait du Guide alimentaire canadien. On parle aussi de la culture fromagère québécoise, des produits emblématiques, et de l'intérêt croissant pour les produits artisanaux et biologiques. Côté environnement, quelles sont les pratiques et innovations mises en place pour réduire l'empreinte écologique? Robots de traite, amélioration génétique, gestion durable… autant de leviers pour assurer la résilience du secteur.Enfin, quelles solutions pour attirer la relève agricole et préparer l'avenir face à la montée des alternatives végétales? Un échange riche et concret avec deux femmes engagées, au cœur de la réalité laitière québécoise.Merci à notre partenaire officiel de la saison 5, Tessier - Fabricant de serres Et merci à notre commanditaire : Financement agricole Canada (FAC) Merci à Studio SF. Rejoignez notre communauté Patreon :
La Cour pénale internationale encore visée par les États-Unis. Le département d'État américain a adopté mercredi 22 août de nouvelles sanctions contre la CPI, accusant quatre juges d'avoir lancé des poursuites contre des ressortissants des États-Unis et d'Israël. Parmi lesquelles le mandat d'arrêt contre le Premier ministre Benyamin Netanyahu pour la guerre contre la population de Gaza. La CPI qualifie la décision américaine d'« attaque flagrante contre l'indépendance d'une institution judiciaire impartiale ». La réaction du secrétaire général de la Fédération internationale de droits de l'Homme (FIDH) Maître Drissa Traoré, au micro de Sidy Yansané. À lire aussiWashington sanctionne de nouveau la CPI pour ses enquêtes impliquant États-Unis et Israël À lire aussiLe Sénégal demande aux États-Unis un retrait des sanctions contre quatre magistrats de la CPI
durée : 00:03:44 - L'invité de "ici Maine" - Il manque 13.000 euros au navigateur sarthois Hugo Cardon, pour boucler son budget et participer pour la première fois à la Solitaire du Figaro, grande course à la voile qui partira de Rouen le 7 septembre. Le temps est donc compté. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
S'incrire pour le webinaire : Les 3 secrets de l'investissement immobilier locatif que 95% des investisseurs découvrent trop tard :https://www.grosbillets.com/webinairePour rejoindre le mastermind dans une villa d'exception à Toulouse :=> https://www.grosbillets.com/toulouseCette semaine, j'ai le plaisir d'accueillir William, un invité dont le parcours défie les idées reçues !
Vous avez plus de 55 ans, vous êtes retraité, et on vous a dit que c'était trop tard pour emprunter ? Écoutez vite Hugo Baillet, invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. "Avec le crédit hypothécaire, on peut emprunter jusqu'à 85 ans, sans assurance emprunteur ni questionnaire de santé", explique le directeur marketing et commercial du cabinet Bougardier au micro d'Ariane Artinian. Trésorerie, travaux, aide aux enfants, anticipation successorale… À condition d'être propriétaire, rien n'est perdu. Le crédit n'a pas d'âge. Encore faut-il savoir à quelle porte frapper.
Bonjour à tous !
Elle aurait pu tout changer, elle a tout raté. Bienvenue, dans Hall of Game...En 2013, la OUYA promettait de révolutionner le jeu vidéo avec une console indé à 99$. Financement record, soutien massif des développeurs… mais échec total à la sortie. Bugs, retards, communication catastrophique : la machine s'effondre. Pourtant, son impact est bien réel. De Towerfall à la Switch, retour sur l'histoire fascinante de la plus grande désillusion du jeu vidéo.Retrouvez tous les Hall of Game sur Youtube ou sur JV ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Libe Podcast - Finances Personnelles, Bourse, Entreprenariat, Immobilier et Profiter de la vie
Aujourd'hui, Audrey et Hubert accueillent Victor, un jeune entrepreneur de 21 ans qui a déjà fait l'acquisition de deux entreprises et dirige une agence marketing en pleine croissance!
Comment obtenir un prêt pour racheter une entreprise ?Quel niveau de levier est acceptable ?Quels sont les critères que regarde une banque avant de financer un LBO ?Et surtout… à quel moment faut-il vraiment l'appeler ?Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu Nicolas LOPES, Directeur du Centre d'Affaires Entreprises de la BRED, et Paulo NAVE, Directeur des Financements Structurés.On a parlé concrètement de la place des banques dans les opérations de transmission et de LBO, et ils n'ont éludé aucun sujet.Vous pensez qu'une banque ne regarde que le chiffre d'affaires et la valorisation ?Faux.✅ Elle regarde la solidité de l'acheteur/ du repreneur✅ La qualité du BP et le réalisme des hypothèses✅ La rentabilité historique et future de la cible✅ La récurrence des cash-flows✅ Le secteur d'activité de l'entreprise✅ Les besoins en capex et en BFR✅ Alignement des intérêts entre actionnaires et prêteurs✅ La capacité de remboursement sur plusieurs annéesEt surtout, elle vérifie si le montage financier est cohérent avec le projet industriel.Côté levier, ils sont clairs et ça dépend de la taille du deal➡️ Small cap ( 200 M€) : jusqu'à 4,5x et plus, présence d'unitranches, CLO/CDO, et fonds de detteMais tout dépend du secteur, de la stabilité de l'activité, et… de l'histoire qu'on raconte au banquier.Car oui, le storytelling compte.Les “management presentations” ne sont pas un détail : c'est souvent là que tout se joue.Et comme le dit Paulo : “la première impression est souvent la bonne”.On a aussi parlé :
Dans cet épisode, Alexandre Lacharme partage son passage du salariat vers la liberté financière. Un mot qui fait rêver, mais qui est souvent détourné sur les réseaux sociaux, présenté comme une fin en soi… ou comme un club réservé aux millionnaires.Alors que dans la réalité, la liberté financière peut être beaucoup plus accessible — si on comprend ce que c'est vraiment.On parle d'investissement bien sûr : immobilier, bourse, revenus passifs… Mais aussi de ce qu'il y a derrière ces stratégies :- Pourquoi cherche-t-on à atteindre la liberté financière ?- Est-ce qu'au bout de cette liberté se cache la recette du bonheur ?Alexandre nous rappelle que la liberté financière, ce n'est pas vivre sur une plage à Bali ou à Dubai à 30 ans. C'est avoir le choix de son temps et la maîtrise de ses revenus.Dans cet épisode, on parle :- de liberté financière (et de ce que c'est vraiment),- des méthodes d'investissement concrètes et accessibles,- de bonheur et de simplicité,- du poids des réseaux sociaux et des croyances qu'ils propagent,Parce que la liberté financière, ce n'est pas un but.C'est un outil. Et encore faut-il savoir ce qu'on veut en faire.N'oubliez pas que nos invités acceptent de bon cœur de se livrer sur leur parcours et qu'il s'agit d'être humains réels avec des avis forgés par leur vie, et de bien vouloir rester constructif et bienveillant dans vos commentaires les visant.Bonne écoute---------------------------------------------------------------------------------------------------------------CHAPITRES : 00:00 Qui est Alexandre Lacharme ?03:45 Sa transition07:21 La peur de quitter le salariat10:28 Le mythe de la liberté financière15:02 Utiliser le levier du salariat21:32 Oser se lancer29:44 Le revers de la médaille40:00 Respecter le temps47:20 Rester connecter au monde réel53:20 La liberté financière rend-elle heureuse ?58:00 Ses réseaux sociaux---------------------------------------------------------------------------------------------------------------Nos réseaux sociaux : Instagram : @desalarierTiktok : @desalarierThreads : @desalarierLinkedin : @desalarierSi vous voulez en savoir plus sur Alexandre : https://www.instagram.com/alexandrelacharme/?hl=frhttps://www.linkedin.com/in/alexlacharme?original_referer=https%3A%2F%2Fwww%2Egoogle%2Ecom%2F&originalSubdomain=frhttps://www.youtube.com/channel/UCaPJOAGmjhtfjrEcbFXlg_Ahttps://www.instagram.com/tocantes_/?hl=fr#podcast #entrepreneuriat #transition #investissementTITRE : La Liberté Financière ne rend Pas Heureux (Mais elle y Contribue) (avec Alexandre Lacharme)Que vous soyez salarié en quête de changement ou simplement curieux des réalités de l'entrepreneuriat, ce podcast est là pour vous inspirer, vous guider et, peut-être, déclencher votre propre transition.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Franck Allisio, député RN de la 12ème circonscription des Bouches-du-Rhône Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Financement du VIH/Sida by TOPFM MAURITIUS
Invité : - Franck Allisio, député RN de la 12ème circonscription des Bouches-du-Rhône Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 10 juillet, la grande conférence internationale sur l'Ukraine s'ouvre à Rome aujourd'hui, dans l'objectif de trouver des financements pour la reconstruction du pays, sachant que la guerre continue et que Vladimir Poutine enchaîne les provocations vis-à-vis de Donald Trump, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Jordan Bardella dénonce "un acharnement". La brigade financière a mené ce mercredi une perquisition au siège du rassemblement national, dans le cadre d'une information judiciaire portant notamment sur des faits "d'escroquerie commise au préjudice d'une personne publique". Pourquoi y a-t-il eu cette perquisition? On pose la question à Vincent Vantighem, grand reporter police-justice à BFMTV.
Alors que s'achève la Conférence de Séville, sur le financement du développement, l'UNESCO sonne l'alarme devant la baisse d'un quart de l'aide internationale à l'éducation prévue entre 2023 et 2027. Ces reculs risquent d'annuler des décennies de progrès dans l'accès à l'éducation pour tous. Dans des pays comme l'Éthiopie, le Yémen ou Haïti, où l'aide extérieure finance plus de la moitié des budgets éducatifs, les coupes budgétaires menacent directement l'accès à l'école pour des millions d'enfants. Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont tous réduit drastiquement leurs contributions notamment à cause de l'explosion de la dette mondiale, les pressions budgétaires internes, une réorientation de l'aide vers des secteurs plus urgents ou stratégiques et la baisse de la part de l'éducation dans l'Aide Publique au Développement. Comment justifier ces choix alors que chaque dollar investi dans l'éducation génère entre 10 et 15 dollars de croissance économique tout au long de la vie active d'un individu. ? Dans ces conditions, l'éducation pour tous peut-elle demeurer un droit universel ? Avec : • Stefania Giannini, Sous-Directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation. • Serigne Mbaye Thiam, ancien ministre de l'Éducation nationale et ancien ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, émissaire de haut niveau du Partenariat Mondial pour l'Education (GPE) et conseiller pour l'éducation. • Michelle Perrot, directrice du plaidoyer et de l'engagement des jeunes chez Plan International France Programmation musicale : ► Mexico en Janvier – BigFlo & Oli, et Youssoupha ► Von Na Agbeto – Dogo du Togo & The Alagaa Beat Band
Alors que s'achève la Conférence de Séville, sur le financement du développement, l'UNESCO sonne l'alarme devant la baisse d'un quart de l'aide internationale à l'éducation prévue entre 2023 et 2027. Ces reculs risquent d'annuler des décennies de progrès dans l'accès à l'éducation pour tous. Dans des pays comme l'Éthiopie, le Yémen ou Haïti, où l'aide extérieure finance plus de la moitié des budgets éducatifs, les coupes budgétaires menacent directement l'accès à l'école pour des millions d'enfants. Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont tous réduit drastiquement leurs contributions notamment à cause de l'explosion de la dette mondiale, les pressions budgétaires internes, une réorientation de l'aide vers des secteurs plus urgents ou stratégiques et la baisse de la part de l'éducation dans l'Aide Publique au Développement. Comment justifier ces choix alors que chaque dollar investi dans l'éducation génère entre 10 et 15 dollars de croissance économique tout au long de la vie active d'un individu. ? Dans ces conditions, l'éducation pour tous peut-elle demeurer un droit universel ? Avec : • Stefania Giannini, Sous-Directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation. • Serigne Mbaye Thiam, ancien ministre de l'Éducation nationale et ancien ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, émissaire de haut niveau du Partenariat Mondial pour l'Education (GPE) et conseiller pour l'éducation. • Michelle Perrot, directrice du plaidoyer et de l'engagement des jeunes chez Plan International France Programmation musicale : ► Mexico en Janvier – BigFlo & Oli, et Youssoupha ► Von Na Agbeto – Dogo du Togo & The Alagaa Beat Band
"Vivre de sa passion, c'est merveilleux"Vidéo disponibleJe reçois Flynt : rappeur, auteur, interprète, coach scénique, lyriciste - on peut définir Flynt de différentes manières.Mais une chose est sûre : il est libre et indépendant.Bien plus qu'un simple rappeur, Flynt est à la tête de **Offsiders**, sa structure de production de disques, avec également une activité de coaching scénique.
durée : 00:59:19 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Alors que l'éventualité de la TVA sociale a été agitée par l'exécutif ces dernières semaines, c'est tout le financement du modèle social qui est régulièrement questionné. Comment repenser les contours de notre modèle social et comment en viabiliser le financement? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Sylvain Catherine Professeur de finance à l'université de Wharton; François Langot Professeur d'économie à l'université du Mans, directeur adjoint de l'Institut des politiques macroéconomiques et internationales à PSE-Cepremap; Clément Carbonnier Professeur d'économie à l'université Paris 8, Vincennes-Saint Denis, co-directeur de l'axe "Politiques socio-fiscales" du LIEPP (Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques); Christophe Ramaux Économiste, chercheur au Centre d'Economie de la Sorbonne (Université Paris 1), membre des Economistes atterrés
Ce vendredi 6 juin, le financement du bonus écolo, qui va monter en juillet, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Zeffy, une entreprise québécoise fondée il y a huit ans, vient de franchir le cap du milliard de dollars récoltés pour des OBNL à travers le monde. Son modèle unique repose sur l'absence de frais pour les organismes, financé uniquement par les dons volontaires des contributeurs. La moitié des donateurs choisissent de soutenir la plateforme, ce qui lui permet d'assurer sa viabilité. Entrevue avec Michel Ferry de Zeffy.
durée : 00:06:06 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Après plusieurs décennies d'un soutien public atone, le secteur a retrouvé de l'intérêt aux yeux de l'Etat et des investisseurs, depuis le début du conflit en Ukraine. Mais ses besoins sont élevés et les financeurs traditionnels encore frileux.
L'Invité Afrique est la Sud-Africaine Bajabulile Swazi Tshabalala. Ancienne vice-présidente de la Banque africaine de développement en charge des finances, elle fait partie des cinq candidats à la présidence de la BAD qui seront départagés le 29 mai, pour succéder au Nigérian Akinwumi Adesina. Elle répond aux questions de Claire Fages. RFI : Vous avez passé une grande partie de votre carrière dans le secteur privé. Est-ce un avantage par rapport aux autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement?Bajabulile Swazi Tshabalala : J'ai passé une bonne partie de ma carrière dans le secteur privé – même si j'ai également travaillé dans des entreprises publiques en Afrique du Sud, dans une société de logistique et que j'ai passé six ans à la Banque africaine de développement. Et je pense qu'aujourd'hui c'est un avantage parce que nous devons repenser le financement du développement en Afrique et nous assurer que nous pouvons faire appel au secteur privé. Je pense que cela me donne un avantage.En tant qu'ancienne vice-présidente chargée des finances de la BAD, votre action sera-t-elle en phase avec les deux mandats d'Akinwumi Adesina ?J'ai participé à la rédaction de la dernière stratégie de la banque. Et ma vision s'appuie vraiment sur cette stratégie décennale. J'ai donc toujours affirmé que l'Afrique n'avait pas besoin de nouveaux plans mais de concrétiser ces plans. Et c'est vraiment sur cela que se concentre ma vision, que j'appelle Lift Africa.À la fin de son premier mandat, M. Adesina a été critiqué pour sa gouvernance. La banque doit-elle encore progresser sur ce point ?Toutes les organisations doivent examiner leur gouvernance pour voir où elles peuvent l'améliorer. C'est particulièrement important pour attirer le secteur privé et s'assurer qu'il soit un partenaire à long terme de la BAD pour financer le développement de l'Afrique.Dans votre programme, vous insistez sur le manque d'infrastructures du continent. Est-ce actuellement la plus grande faiblesse des économies africaines ?Les emplois ne sont pas créés par les banques de développement mais par le secteur privé. Ce dernier a besoin d'une électricité fiable. Pour accéder aux marchés, il a besoin de routes, de voies ferrées, de ports et de connexions numériques. Ce sont les défis de l'Afrique et c'est pourquoi les infrastructures sont le fondement d'une accélération de son développement.Avez-vous des projets prioritaires à l'esprit ?Oui. Je pense évidemment que l'accès à l'électricité est extrêmement important. Je ferai en sorte d'accélérer les choses. Il y a aussi de grands projets sur la table dont il faut finaliser le financement. Par exemple, le corridor minéralier de Lobito, reliant la Zambie, la RDC et l'Angola ; le corridor de Nacala en Afrique australe. Il y a aussi la route Lagos-Abidjan, qui est un projet important.L'un des défis de la BAD est sa capacité à prêter plus d'argent. Vous avez contribué à augmenter son capital en émettant de la dette assimilée à du capital. Cette opération peut-elle être répétée ou existe-t-il d'autres solutions ?Là encore, c'est un exemple de la contribution du secteur privé aux banques de développement. J'ai introduit cet instrument à la BAD pour nous permettre de lever des capitaux à long terme, ce qui est indispensable au développement. Il s'agissait de lever des capitaux à long terme auprès d'investisseurs institutionnels du monde entier, plutôt que de solliciter comme d'habitude nos actionnaires. Donc oui, je pense que nous pouvons émettre plus de capital hybride. Il existe également d'autres instruments que nous pouvons déployer, y compris utiliser le capital de la banque pour dé-risquer les investissements du secteur privé.La décision des États-Unis de ne pas contribuer au Fonds africain de développement dédié aux États les plus fragiles est-elle une source d'inquiétude pour la BAD ?Oui bien sûr, parce que ce type de subventions reste crucial. La Banque africaine de développement continuera donc à plaider en faveur de ces financements, tout en travaillant par exemple avec les fondations philanthropiques : Bill Gates a annoncé qu'il déploierait 200 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années pour aider les Etats fragiles du continent. Nous devons aussi examiner les autres régions en mesure de contribuer davantage pour pallier ce manque, et aider en particulier les pays fragiles.
durée : 00:06:05 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le 5 mai, François Bayrou a lancé à Marseille la Conférence des mobilités "Ambition France Transport" pour réfléchir au financement des infrastructures, dans un contexte budgétaire tendu. L'objectif est de trouver des solutions durables pour moderniser et développer le réseau ferroviaire.
Cet épisode s'inscrit dans une série de rencontres avec des patrons de sociétés du CAC 40.Sur GDIY nous recevons habituellement uniquement des personnes qui se sont lancées par elles-mêmes : des entrepreneurs, artistes, sportifs…Avec cette série, j'ai pour ambition de découvrir et comprendre comment s'opèrent de tels mastodontes depuis l'intérieur, sur du temps long. Au-delà des éléments de langage, au-delà de la politique, au-delà des clichés.Le Crédit Agricole est “de loin” la première banque de financement de l'économie Française avec plus de 25% de parts de marché.Une domination dont Phillipe Brassac est le garant depuis près d'une décennie.Arrivé en 1982 à la caisse régionale du Gard, il a gravi les échelons jusqu'à arriver au sommet du groupe. 43 ans de maison, dont 10 en tant que directeur général, et un chiffre d'affaires multiplié par 3 pendant son mandat.En 10 ans, Philippe a amené le Crédit Agricole à des performances historiques, le portant au rang de 9ème plus grande banque au monde.Dans cet épisode Philippe démystifie le monde de la banque, et dévoile comment étape par étape et avec de très fortes convictions, il a opéré ce développement sans céder aux sirènes de la croissance externe — qu'il va jusqu'à juger dangereuse.Un épisode pragmatique et passionnant, qui livre les clés pour comprendre comment faire bouger les lignes à grande échelle et explique les rouages du système bancaire Français et international.Une masterclass de vision avec l'homme qui, jusqu'en mai 2025, fut à la tête du premier employeur privé de France.TIMELINE:00:14:25 : La plus grosse coopérative du monde avec 10 millions d'adhérents00:21:46 : La complexité du système bancaire expliquée00:29:41 : Opter pour une “universalité stratégique” : la banque qui fait tout, pour tous00:41:24 : Le rôle central du conseiller bancaire00:56:17 : Les batailles perdues face aux néo-banques01:06:31 : Casser la technocratie et la bureaucratie01:18:21 : Comment réellement influencer une entreprise de 160 000 collaborateurs01:31:07 : Croissance externe VS croissance interne01:40:06 : Le modèle bancaire Français, une exception internationale01:52:18 : Laisser la régulation aux politiques pour maintenir le navire à flot02:01:01 : La digitalisation du monde bancaire02:09:03 : Les 3 grands chocs qui bousculent tous les repères02:23:56 : “J'avais prévu un bitcoin entre 0 et 1€”02:31:17 : Se concentrer sur l'utilité de son entreprise et non sur ses chiffres02:41:49 : Partir serein après 42 années de dévouementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #460 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateur#467 - Christel Heydemann - Orange - Garder le cap pour réussir dans un marché en rupture permanente#117 - Riadh Alimi - CEO FinFrog - Réussir l'impossible : être recommandé par les clients que tu refuses#54 - Alexandre Prot - CEO Qonto - De McKinsey à QONTO (en passant par les cigarettes électroniques)#456 - Alexandre Prot - Qonto - Bousculer l'écosystème bancaire et s'imposer en référence européenne#289 - Cyril Chiche - Lydia - Du paiement entre amis à la super-app financière#265 - Maud Caillaux - Green Got - Lancer une néobanque étape par étape pour verdir le secteur bancaire (à 27 ans)#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seulNous avons parlé de :Acquisition du Crédit Lyonnais entre 2002 et 2005Xavier MuscaJérôme GrivetL'identité coopérative et mutualiste du Crédit AgricoleWealth management = Gestion de patrimoineLa Martingale PodcastQu'est-ce que le selfcare en relation client ?BFI = Banque de Financement et d'InvestissementFoncière GecinaOlivier Gavalda, successeur de Philippe à la tête de Crédit Agricole SAStatista, courbe d'évolution du chiffre d'affaires du Crédit AgricoleDéfinition Asset Servicing“Mon véritable adversaire, c'est le monde de la finance” - François HollandeEpisode Acquired PorscheÉpisode Acquired RolexLes recommandations de lecture :The Black Swan - Nassim Nicholas Taleb (English)Le Cygne noir - Nassim Nicholas Taleb (en Français)Skin in The Game - Nassim Nicholas Taleb (English)Skin in The Game - Nassim Nicholas Taleb (Français)Le Château de ma mère - Marcel PagnolVous pouvez contacter Philippe sur LinkedIn.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le sujet :Et si l'Espagne devenait votre prochaine terre d'investissement immobilier ? Dans quelle ville miser ? Quel montage financier privilégier ? Et surtout, quels sont les pièges à éviter ? Un expert nous éclaire sur toutes ces questions.L'invité du jour :Geoffroy Reiser est le cofondateur de Terreta, une agence d'investissement locatif en Espagne. Au micro de Matthieu Stefani, il nous partage ses meilleures pratiques pour investir en Espagne :Pourquoi l'Espagne est-elle une destination phare ?Quelle est la destination la plus rentable ?Faut-il investir à Madrid, Barcelone ou Malaga ?Comment bien financer son investissement ?Quelles sont les erreurs à éviter ?Avantages :Bonne nouvelle ! Bénéficiez de 500 € de réduction sur les honoraires de Terreta, en disant que vous venez de notre part
Financement du modèle social : l'idée d'une TVA sociale revient sur la table. On en parle avec François Ecalle, ancien rapporteur général du rapport annuel sur les "perspectives des finances publiques", désormais auteur du site de référence sur les finances publiques, fipeco.fr. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Financement du modèle social : l'idée d'une TVA sociale revient sur la table. On en parle avec François Ecalle, ancien rapporteur général du rapport annuel sur les "perspectives des finances publiques", désormais auteur du site de référence sur les finances publiques, fipeco.fr. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Ce weekend, Thomas Renard lève le voile sur les arnaques au financement participatif, en présentant trois projets séduisants mais frauduleux : une gourde qui se remplit seule, un chargeur à lévitation et un masque de plongée révolutionnaire. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le député David Amiel décrypte les enjeux de l'accueil des chercheurs américains en France, entre stratégie d'attractivité, investissement dans la recherche et souveraineté scientifique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Olivier Babeau analyse les annonces du ministre de l'Aménagement du territoire, François Rebsamen, concernant la possibilité d'une nouvelle contribution locale pour financer les services publics des communes. Il explique que cette contribution, bien que présentée comme modeste, pourrait s'apparenter à un retour déguisé de la taxe d'habitation, supprimée progressivement depuis 2018. Olivier Babaud met en garde contre le risque d'une augmentation progressive de cette contribution, à l'image de ce qui s'est passé avec la CSG. Il souligne que cette mesure s'inscrit dans une fuite en avant budgétaire des collectivités locales, qui peinent à maîtriser leurs dépenses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c'est possible ou c'est de la folie ?Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l'impression de devoir monter l'Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l'a fait.Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.
Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c'est possible ou c'est de la folie ?Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l'impression de devoir monter l'Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l'a fait.Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.
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Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c'est possible ou c'est de la folie ?Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l'impression de devoir monter l'Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l'a fait.Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.
Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c'est possible ou c'est de la folie ?Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l'impression de devoir monter l'Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l'a fait.Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du jugement de Nicolas Sarkozy qui se tiendra le 25 septembre prochain. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:37 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Démantèlement de l'Usaid aux Etats-Unis, baisse de l'aide publique au développement de nombreux pays européens, comme la France ou le Royaume-Uni. Vers qui peuvent se tourner les acteurs de la solidarité ?
Basée à Prague depuis 30 ans, Radio Free Europe est dans la tourmente ces dernières semaines, Elon Musk et Donald Trump ayant décidé que ce média public américain, tout comme Voice of America, ne devait plus être financé par l'État. Cette radio diffuse dans une trentaine de langues et cible prioritairement des pays où la presse n'est pas libre. Le gouvernement tchèque est rapidement monté au créneau pour défendre cette station et ses journalistes, mais les derniers développements ne sont guère encourageants. Le satellite permettant la transmission de la chaîne de télévision en langue russe de Radio Free Europe en Russie, Current Time, a été éteint jeudi 3 avril par les États-Unis. Propagandiste en chef du Kremlin, Margarita Simonian, directrice du média Russia Today, n'a pas caché sa joie à l'annonce de la fin du financement de Radio Free Europe, allant même jusqu'à parler d'un jour de fête pour la Russie.À Prague, en République Tchèque, l'arrêt des subventions, même s'il est contesté en justice, a pour conséquence la mise au chômage technique d'une partie du personnel. « Radio Free Europe Radio Liberty a une mission très particulière. Nous opérons dans des régions dans lesquelles la liberté de la presse n'est plus autorisée, ou bien est fortement restreinte. Grâce à notre travail, nous sommes devenus une bouée de sauvetage pour les membres de notre audience. Nos auditeurs sont en quête d'informations fiables et précises sur ce qui se passe dans leur propre pays et dans le monde », estime Stephen Capus, son directeur, qui refuse de baisser les bras. L'audience de Radio Free Europe est estimée à 50 millions de personnes par semaine, avec un fort impact également sur les réseaux sociaux. Preuve s'il en fallait que ce média américain, important durant la guerre froide, conserve un certain prestige et une certaine raison d'être, encore aujourd'hui.Le média américain, qui a renouvelé sa rédaction hongroise et qui possède encore des services roumains et bulgares, dérange dans de nombreux pays. Son antenne kirghize, Radio Azattyk, a été interdite par Bichkek en 2023. La documentariste tchèque Veronika Janatková vient de produire un film sur le travail d'un des journalistes de cette antenne. « C'est absolument essentiel, souligne-t-elle. Au Kirghizistan, cette affaire de corruption, qui est au cœur du documentaire, traîne depuis 2019. Mais une enquête journalistique de ce type n'aurait probablement pas été possible là-bas. En 2023, Radio Free Europe/Radio Azattyk, la section kirghize, a déjà été interdite dans le pays. Le fait qu'il ait existé une institution soutenant ce type de recherche et de journalisme en faisait le seul espace où de telles informations pouvaient être publiées. »Le chef de la diplomatie tchèque, Jan Lipavský, a tenté de motiver ses homologues européens à sauver cette radio basée à Prague depuis 30 ans. Mais rien n'est encore acquis pour l'heure, surtout que le budget annuel représenté en 2024 environ 142 millions de dollars.À lire aussiRépublique tchèque: Prague appelle à des discussions au sein de l'UE pour sauver Radio Free Europe
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le procès de Jair Bolsonaro, la peine de prison de Boualem Sansal et la Grèce condamnée par la CEDH. Financement libyen : sept ans de prison requis contre Nicolas Sarkozy Dans son procès sur les soupçons de financement libyen de sa campagne électorale de 2007, Nicolas Sarkozy est menacé d'une peine de sept ans de prison. Pourtant, l'ancien président français affirme qu'aucune trace de cet argent n'a été retrouvée. Sur quels éléments s'appuie la justice ? Quelles sont les prochaines étapes après cette réquisition ?Avec Baptiste Coulon, journaliste au service France de RFI. Brésil : Jair Bolsonaro bientôt face à la justice Pour la premère fois dans l'histoire du Brésil, un ancien président sera jugé pour tentative de coup d'Etat. Jair Bolsonaro est accusé d'avoir mis en place "une organisation criminelle" visant à assassiner l'actuel président Lula da Silva pour se maintenir au pouvoir. De quels éléments dispose la Cour suprême pour ouvrir ce procès ? Que risque Jair Bolsonaro ? Comment se défend-il face à ces accusations ?Avec Elcio Ramalho, chef du service en langue brésilienne de RFI. Algérie : que reproche-t-on à Boualem Sansal ? Arrêté le 16 novembre en Algérie, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné à cinq ans de prison pour atteinte à la sécurité intérieure. La justice lui reproche notamment des déclarations dans la presse française. De quels propos s'agit-il ? Au régard de son état de santé et face à la pression de la France, sa peine pourrait-elle être allégée ?Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI. Migrants : la Grèce condamnée après la mort d'un mineur irakien La Cour européenne des droits de l'homme a condamné la Grèce après la mort d'un mineur irakien, tué par balle par un garde-côte en mer Égée il y a 10 ans. Que s'est-il passé ce jour-là ? Les sanctions prises contre la Grèce seront-elles dissuasives ? Avec Tania Racho, chercheuse associée au laboratoire IEDP (Université Paris-Saclay), membre du collectif Désinfox Migrations.
Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz reçoit Anthony Aubert et Jean-Charles Mathieu, cofondateurs de Aubert & Mathieu, pour une plongée dans l'univers du vin sous un nouvel angle.Deux ans après leur premier passage dans Le Panier, en septembre 2022, la marque de vins engagée et décomplexée a triplé son chiffre d'affaires, conquis plus de 40 pays, et lancé des produits sans alcool.Engagés, bicorp, modernes et (très) malins sur le digital, Anthony et Jean-Charles bousculent les standards d'un secteur en crise, avec une stratégie 99% B2B assumée et une volonté de rester maîtres de leur croissance.
Sujet :L'activité de marchand de biens suscite beaucoup de fantasmes et d'interrogations. Est-ce difficile de se lancer ? Combien peut-on gagner ? Y a-t-il beaucoup de risques ?L'invité du jour :Yoni Buchsbaum est l'auteur de Devenir marchand de biens et fondateur de MDB ACADEMY. Depuis 2018, il a formé plus de 2 500 personnes aux méthodes des marchands de biens professionnels.Au micro de Matthieu Stefani, Yoni nous explique comment devenir marchand de biens :Le marchand de biens, une activité commerciale et entrepreneurialeComment se lancer, étape par étape (l'étape n°1 est cruciale !)Pourquoi faut-il réduire au maximum les délais ?Comment financer ses acquisitions ?Combien peut-on gagner ?Quels sont les risques ?Avantages :Bonne nouvelle ! Les 20 premiers inscrits bénéficient de -20 % sur la formation MDB Academy, puis -10 % pour tous les inscrits suivants via ce lien dédié.Ils citent les références suivantes :L'EURIBORAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#139 - Marchand de biens immobiliers : le bon filon ?#129 - Climat, diagnostic énergétique et investissement immoMerci à notre partenaire Louve Invest : Louve Invest vous propose jusqu'à 3,5 % de cashback sur les frais de souscription sur les SCPI éligibles (jusqu'à 350 € pour 10 000 € investis !)Cliquez sur ce lien pour bénéficier des offres avec cashback boosté :)Retrouvez leur dernière étude sur le classement 2025 des SCPI: la synthèse ou l'étude complète.On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du procès des soupçons de financement lybiens : 7 ans de prison requis contre Nicolas Sarkozy.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.