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Ce vendredi 26 septembre, l'orientation des épargnes abondantes des Français, vers le financement de notre économie, et la piste du CPO pour la réindustrialisation, ont été abordées par Erwann Tison, chargé d'enseignement à l'université de Strasbourg, Olivier Lluansi, professeur au Cnam, et Olivier Redoulès, directeur des études de Rexecode, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:38 - Journal de 7 h - Victoire pour la démocratie dit la gauche, scandale et injustice répond la droite.
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Gilles Ganzmann et Valérie Expert reçoivent Françoise Laborde et Georges-Marc Benamou pour débattre autour du financement du service public audiovisuel après les révélations concernant France Télévisions
Le sujet :Une rénovation bien menée peut transformer la rentabilité de votre investissement immobilier. Le défi ? Maîtriser simultanément les coûts, respecter les délais et garantir un niveau de qualité optimal.L'invité du jour :Matthieu Burin est CEO d'Hemea, courtier en architecture et rénovation (plus de 5 000 chantiers réalisés en France depuis 2015).Au micro de Matthieu Stefani, il nous explique comment réussir ses travaux immobiliers. Découvrez :Combien coûtent des travaux de rénovation ?Quels sont les délais moyens d'une rénovation ?Comment choisir ses artisans ?Faut-il acheter ses matériaux pour économiser ?Comment assurer et financer ses travaux ?Les pires erreurs à éviter.Avantages :Bonne nouvelle ! Nous avons négocié pour vous un code promo chez Hemea. Pour en profiter, annoncez au courtier lors du premier contact le code promo "Matthieu Stefani" ou "Podcast La Martingale". *Conditions de l'offre de parrainage hemea : Le code parrainage apparaît en tant que "Prime" du devis travaux.D'un montant : - 300€ pour les chantiers inférieurs à 50k€- 750€ pour les chantiers supérieurs à 50k€Le parrainage est uniquement valable pour les chantiers d'un montant supérieur à 10 000€ HT.Ils citent les références suivantes :Garantie décennale des constructeursAssurance dommages-ouvrageÉco-prêt à taux zéro (éco-PTZ)Ainsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#129 - Climat, diagnostic énergétique et investissement immo#252 - Paris : ces petites surfaces qui peuvent rapporter grosOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:24 - Journal de 18h - "Je dormirai en prison la tête haute", lance Nicolas Sarkozy après sa condamnation à cinq ans ferme dans l'affaire du financement libyen. L'ancien président sera incarcéré d'ici quelques semaines. Il a été condamné pour association de malfaiteurs mais relaxé pour les faits de corruption.
Invités : - Louis de Raguenel, chef du service politique d'Europe 1 - Jules Torres, journaliste - Maître Christophe Ingrain, avocat de Nicolas Sarkozy - Catherine Nay, journaliste et éditorialiste - Gauthier le Bret, journaliste - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Bernard Henri-Lévy, philosophe Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:23 - Journal de 7 h - L'ancien président de la République devrait être fixé sur son sort ce jeudi dans l'affaire du financement présumé illégal de sa campagne 2007 par des fonds libyens. Une affaire qui repose sur un faisceau d'indices.
durée : 00:25:24 - Journal de 18h - "Je dormirai en prison la tête haute", lance Nicolas Sarkozy après sa condamnation à cinq ans ferme dans l'affaire du financement libyen. L'ancien président sera incarcéré d'ici quelques semaines. Il a été condamné pour association de malfaiteurs mais relaxé pour les faits de corruption.
Invités : - Louis de Raguenel, chef du service politique d'Europe 1 - Jules Torres, journaliste - Maître Christophe Ingrain, avocat de Nicolas Sarkozy - Catherine Nay, journaliste et éditorialiste - Gauthier le Bret, journaliste - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Bernard Henri-Lévy, philosophe Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:23 - Journal de 7 h - L'ancien président de la République devrait être fixé sur son sort ce jeudi dans l'affaire du financement présumé illégal de sa campagne 2007 par des fonds libyens. Une affaire qui repose sur un faisceau d'indices.
durée : 00:03:08 - Saint-Berthevin : des parents dans la panade, une micro-crèche ferme - En raison d'un déficit trop important, la micro-crèche Aid'A Dom à Saint-Berthevin va certainement mettre la clé sous la porte à la fin de cette année. Ses responsables et les familles dénoncent l'absence de subventions de la municipalité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour prendre contact (gratuitement) avec l'équipe de Bastien : https://meetings.hubspot.com/bastien-puccini/recllit1zkbm3mzjrDans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Bastien Puccini de ''Everage Gestion Privée'' pour un tour d'horizon des stratégies financières souvent perçues comme inaccessibles.
Monsieur et Madame Goupil de Bouille est un couple d'aristocrates de la région de Chinon. En 1996, ils accueillent des touristes dans leur château familial, il font chambre d'hôtes. Cette pratique tout à fait originale pour leur milieu et pour l'époque leur permet de financer l'entretien leur ancienne demeure. Et pour leur hôte de découvrir la vraie vie de château le temps d'un week-end.*** Crédits podcast *** Documentaliste : Anne Brulant - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst - Enregistrement : Franck Couillard - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) : Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
➡️ Tu veux investir dans l'immobilier en Suisse ? Clique ici : https://www.inved.ch/fixer-un-rendez-vousHey, c'est Édouard, bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast, dédié à l'immobilier et au monde du business en Suisse romande.Dans cet épisode particulier je reçois, sous forme de table ronde, quatre acteurs de référence :Sébastien Muller, Robert Ischer, Alexandre Paschoud et Emanuel von Graffenried.On aborde un sujet brûlant :
Dans ce nouvel épisode, j'accueille Pierre, co-fondateur de Cataneo, qui nous plonge dans les coulisses de l'investissement immobilier clé en main
Garrett Dalton nous explique les fonctions qui se trouvent derrière son titre de Chief Digital Officer et nous parle des 10 piliers du digital de sa société. Il nous raconte comment se traduisent ces 10 piliers avec ses fournisseurs ou clients et met l'accent sur certains secteurs où cette pratique n'est pas encore démocratisée comme le monde agricole. Pour Garrett Dalton, l'intelligence artificielle représente une véritable opportunité pour son entreprise. Il nous raconte également comment il orchestre la gestion de ses fournisseurs, présents aux quatre coins du globe.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Desjardins va prochainement cesser d'offrir le service de financement Accord D. Le financement Accord D est une seconde limite de crédit disponible sur votre carte de crédit de Desjardins. Écoutez la chroniqueuse financière Marie-Ève Fournier en discuter à l'émission de Patrick Lagacé, mardi matin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Dans cet épisode, on plonge au cœur d'un enjeu crucial pour l'avenir du secteur : la rentabilité agricole au Québec. Quels sont les principaux défis auxquels font face les producteurs aujourd'hui? Quels secteurs tirent mieux leur épingle du jeu, et lesquels rencontrent les plus grandes difficultés? Nous abordons aussi les nouvelles formes d'acquisition et de gestion : coopératives, copropriétés, FUSA qui émergent comme réponse aux enjeux liés au prix des terres, à la main-d'œuvre et à la transmission des fermes.Côté financement, nous faisons le point sur le rôle de Financement agricole Canada (FAC) : Quels programmes soutiennent directement la rentabilité des exploitations?Comment la FAC accompagne-t-elle la relève agricole et les entreprises déjà en opération? Quels sont les critères d'accès aux prêts et soutiens disponibles?Enfin, nous explorons des pistes concrètes pour améliorer la rentabilité :optimisation des coûts de production intégration de l'innovation technologique (et ses risques potentiels) diversification des cultures et modèles d'affairesrésilience face aux changements climatiques Un échange riche et structurant, qui propose des solutions concrètes et des perspectives d'avenir pour l'agriculture québécoise avec Lise Leclair, Directrice des relations d'affaires à FAC et Justin Coutu, Directeur principal des relations d'affaires à FACMerci à notre partenaire officiel de la saison 5, Tessier - Fabricant de serres
Mardi 9 septembre, Frédéric Simottel a reçu Alix Mirshams, directeur Marketing & Achats chez Opteamis, et Julie Huguet, directrice Mission French Tech, dans l'émission Tech&Co Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission le samedi et réécoutez-la en podcast.
Ce mardi 2 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Christian Fontaine, directeur de la rédaction Le Revenu, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:58:24 - LSD, la série documentaire - par : Kristel Le Pollotec - Malgré une fréquentation en hausse, un sujet est revenu de manière systématique au cours de nos déambulations et de nos rencontres dans les musées : l'argent. - réalisation : Agnès Cathou
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Dans cet épisode, on plonge dans l'univers de la production laitière au Québec, avec deux invitées de terrain :Valérie Fortier, productrice laitière et présidente des Agricultrices du Québec Bénédicte Guitel, co-propriétaire de la Fromagerie La Suisse Normande Pourquoi le Québec est-il aujourd'hui la province dominante en matière de production laitière au Canada? À partir des données récentes de la Fédération des producteurs de lait du Québec, on discute du rôle du système de quotas, de son impact économique, mais aussi de ses controverses. On aborde les défis auxquels font face les producteurs : hausse des coûts, concurrence internationale, et le retrait du lait du Guide alimentaire canadien. On parle aussi de la culture fromagère québécoise, des produits emblématiques, et de l'intérêt croissant pour les produits artisanaux et biologiques. Côté environnement, quelles sont les pratiques et innovations mises en place pour réduire l'empreinte écologique? Robots de traite, amélioration génétique, gestion durable… autant de leviers pour assurer la résilience du secteur.Enfin, quelles solutions pour attirer la relève agricole et préparer l'avenir face à la montée des alternatives végétales? Un échange riche et concret avec deux femmes engagées, au cœur de la réalité laitière québécoise.Merci à notre partenaire officiel de la saison 5, Tessier - Fabricant de serres Et merci à notre commanditaire : Financement agricole Canada (FAC) Merci à Studio SF. Rejoignez notre communauté Patreon :
La Cour pénale internationale encore visée par les États-Unis. Le département d'État américain a adopté mercredi 22 août de nouvelles sanctions contre la CPI, accusant quatre juges d'avoir lancé des poursuites contre des ressortissants des États-Unis et d'Israël. Parmi lesquelles le mandat d'arrêt contre le Premier ministre Benyamin Netanyahu pour la guerre contre la population de Gaza. La CPI qualifie la décision américaine d'« attaque flagrante contre l'indépendance d'une institution judiciaire impartiale ». La réaction du secrétaire général de la Fédération internationale de droits de l'Homme (FIDH) Maître Drissa Traoré, au micro de Sidy Yansané. À lire aussiWashington sanctionne de nouveau la CPI pour ses enquêtes impliquant États-Unis et Israël À lire aussiLe Sénégal demande aux États-Unis un retrait des sanctions contre quatre magistrats de la CPI
durée : 00:03:44 - L'invité de "ici Maine" - Il manque 13.000 euros au navigateur sarthois Hugo Cardon, pour boucler son budget et participer pour la première fois à la Solitaire du Figaro, grande course à la voile qui partira de Rouen le 7 septembre. Le temps est donc compté. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
S'incrire pour le webinaire : Les 3 secrets de l'investissement immobilier locatif que 95% des investisseurs découvrent trop tard :https://www.grosbillets.com/webinairePour rejoindre le mastermind dans une villa d'exception à Toulouse :=> https://www.grosbillets.com/toulouseCette semaine, j'ai le plaisir d'accueillir William, un invité dont le parcours défie les idées reçues !
Dans cet épisode du podcast OVNIs, Arnaud Laurent rencontre Matthieu Soulé à San Francisco pour une discussion fascinante sur les rencontres inattendues et la dynamique des affaires dans la Silicon Valley. Mathieu, travaillant pour Cathay Innovation, souligne l'importance de la sérendipité et de la rapidité dans les relations professionnelles à San Francisco. Il évoque également son parcours personnel, des débuts en France à son installation dans la Silicon Valley, en passant par ses expériences à l'étranger et sa passion pour la technologie et l'innovation.Matthieu discute ensuite de l'évolution de sa carrière, notamment de son implication dans le secteur de la décarbonisation et de l'impact, en lien avec son travail chez Cathay Innovation. Il explique l'importance de la technologie dans l'accélération des solutions durables et partage son engagement personnel dans des projets associatifs. L'épisode se termine par une réflexion sur la culture et les routines de vie en Californie, avec des conseils pour ceux qui souhaitent s'implanter dans la région et tirer parti de l'écosystème dynamique de la Silicon Valley.[00:00:00]: Introduction[00:01:21]: Le rythme des affaires à San Francisco[00:02:59]: Arrivée de Matthieu dans la Silicon Valley[00:05:52]: Expérience et attraits de la Silicon Valley[00:06:21]: Passion pour la technologie et l'innovation[00:07:05]: Opportunités internationales et exploration de la tech[00:08:21]: Description de Cathay Innovation et ses investissements[00:09:34]: Stratégie d'investissement et internationalisation[00:10:42]: Intérêt pour les questions d'impact et de décarbonation[00:14:21]: Évolution de l'intérêt pour la Climate Tech[00:15:46]: Startups d'impact et enjeux de crédibilité[00:17:18]: Focus d'investissement sur l'énergie et la mobilité[00:18:13]: Modèles financiers pour les startups climatiques[00:19:41]: Temps longs et modèles d'investissement en VC[00:20:29]: Financement hybride et infrastructures[00:22:46]: Intégration personnelle et routines en Californie[00:23:29]: Importance du réseau et des relations interpersonnelles[00:24:17]: Culture et rythme de vie californien[00:25:23]: Organisation et répartition des investissements chez Cathay[00:27:48]: Conseils de carrière pour les jeunes professionnels[00:32:52]: Gestion du décalage horaire et organisation professionnelle[00:36:42]: Diversité des parcours pour devenir partner[00:38:25]: Réflexions sur la carrière et le rôle du partner[00:39:51]: Conclusion et remerciementsHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez plus de 55 ans, vous êtes retraité, et on vous a dit que c'était trop tard pour emprunter ? Écoutez vite Hugo Baillet, invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. "Avec le crédit hypothécaire, on peut emprunter jusqu'à 85 ans, sans assurance emprunteur ni questionnaire de santé", explique le directeur marketing et commercial du cabinet Bougardier au micro d'Ariane Artinian. Trésorerie, travaux, aide aux enfants, anticipation successorale… À condition d'être propriétaire, rien n'est perdu. Le crédit n'a pas d'âge. Encore faut-il savoir à quelle porte frapper.
Invité : - Franck Allisio, député RN de la 12ème circonscription des Bouches-du-Rhône Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 10 juillet, la grande conférence internationale sur l'Ukraine s'ouvre à Rome aujourd'hui, dans l'objectif de trouver des financements pour la reconstruction du pays, sachant que la guerre continue et que Vladimir Poutine enchaîne les provocations vis-à-vis de Donald Trump, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Alors que s'achève la Conférence de Séville, sur le financement du développement, l'UNESCO sonne l'alarme devant la baisse d'un quart de l'aide internationale à l'éducation prévue entre 2023 et 2027. Ces reculs risquent d'annuler des décennies de progrès dans l'accès à l'éducation pour tous. Dans des pays comme l'Éthiopie, le Yémen ou Haïti, où l'aide extérieure finance plus de la moitié des budgets éducatifs, les coupes budgétaires menacent directement l'accès à l'école pour des millions d'enfants. Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont tous réduit drastiquement leurs contributions notamment à cause de l'explosion de la dette mondiale, les pressions budgétaires internes, une réorientation de l'aide vers des secteurs plus urgents ou stratégiques et la baisse de la part de l'éducation dans l'Aide Publique au Développement. Comment justifier ces choix alors que chaque dollar investi dans l'éducation génère entre 10 et 15 dollars de croissance économique tout au long de la vie active d'un individu. ? Dans ces conditions, l'éducation pour tous peut-elle demeurer un droit universel ? Avec : • Stefania Giannini, Sous-Directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation. • Serigne Mbaye Thiam, ancien ministre de l'Éducation nationale et ancien ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, émissaire de haut niveau du Partenariat Mondial pour l'Education (GPE) et conseiller pour l'éducation. • Michelle Perrot, directrice du plaidoyer et de l'engagement des jeunes chez Plan International France Programmation musicale : ► Mexico en Janvier – BigFlo & Oli, et Youssoupha ► Von Na Agbeto – Dogo du Togo & The Alagaa Beat Band
Alors que s'achève la Conférence de Séville, sur le financement du développement, l'UNESCO sonne l'alarme devant la baisse d'un quart de l'aide internationale à l'éducation prévue entre 2023 et 2027. Ces reculs risquent d'annuler des décennies de progrès dans l'accès à l'éducation pour tous. Dans des pays comme l'Éthiopie, le Yémen ou Haïti, où l'aide extérieure finance plus de la moitié des budgets éducatifs, les coupes budgétaires menacent directement l'accès à l'école pour des millions d'enfants. Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont tous réduit drastiquement leurs contributions notamment à cause de l'explosion de la dette mondiale, les pressions budgétaires internes, une réorientation de l'aide vers des secteurs plus urgents ou stratégiques et la baisse de la part de l'éducation dans l'Aide Publique au Développement. Comment justifier ces choix alors que chaque dollar investi dans l'éducation génère entre 10 et 15 dollars de croissance économique tout au long de la vie active d'un individu. ? Dans ces conditions, l'éducation pour tous peut-elle demeurer un droit universel ? Avec : • Stefania Giannini, Sous-Directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation. • Serigne Mbaye Thiam, ancien ministre de l'Éducation nationale et ancien ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, émissaire de haut niveau du Partenariat Mondial pour l'Education (GPE) et conseiller pour l'éducation. • Michelle Perrot, directrice du plaidoyer et de l'engagement des jeunes chez Plan International France Programmation musicale : ► Mexico en Janvier – BigFlo & Oli, et Youssoupha ► Von Na Agbeto – Dogo du Togo & The Alagaa Beat Band
"Vivre de sa passion, c'est merveilleux"Vidéo disponibleJe reçois Flynt : rappeur, auteur, interprète, coach scénique, lyriciste - on peut définir Flynt de différentes manières.Mais une chose est sûre : il est libre et indépendant.Bien plus qu'un simple rappeur, Flynt est à la tête de **Offsiders**, sa structure de production de disques, avec également une activité de coaching scénique.
durée : 00:59:19 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Alors que l'éventualité de la TVA sociale a été agitée par l'exécutif ces dernières semaines, c'est tout le financement du modèle social qui est régulièrement questionné. Comment repenser les contours de notre modèle social et comment en viabiliser le financement? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Sylvain Catherine Professeur de finance à l'université de Wharton; François Langot Professeur d'économie à l'université du Mans, directeur adjoint de l'Institut des politiques macroéconomiques et internationales à PSE-Cepremap; Clément Carbonnier Professeur d'économie à l'université Paris 8, Vincennes-Saint Denis, co-directeur de l'axe "Politiques socio-fiscales" du LIEPP (Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques); Christophe Ramaux Économiste, chercheur au Centre d'Economie de la Sorbonne (Université Paris 1), membre des Economistes atterrés
Ce vendredi 6 juin, le financement du bonus écolo, qui va monter en juillet, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Zeffy, une entreprise québécoise fondée il y a huit ans, vient de franchir le cap du milliard de dollars récoltés pour des OBNL à travers le monde. Son modèle unique repose sur l'absence de frais pour les organismes, financé uniquement par les dons volontaires des contributeurs. La moitié des donateurs choisissent de soutenir la plateforme, ce qui lui permet d'assurer sa viabilité. Entrevue avec Michel Ferry de Zeffy.
durée : 00:06:06 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Après plusieurs décennies d'un soutien public atone, le secteur a retrouvé de l'intérêt aux yeux de l'Etat et des investisseurs, depuis le début du conflit en Ukraine. Mais ses besoins sont élevés et les financeurs traditionnels encore frileux.
L'Invité Afrique est la Sud-Africaine Bajabulile Swazi Tshabalala. Ancienne vice-présidente de la Banque africaine de développement en charge des finances, elle fait partie des cinq candidats à la présidence de la BAD qui seront départagés le 29 mai, pour succéder au Nigérian Akinwumi Adesina. Elle répond aux questions de Claire Fages. RFI : Vous avez passé une grande partie de votre carrière dans le secteur privé. Est-ce un avantage par rapport aux autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement?Bajabulile Swazi Tshabalala : J'ai passé une bonne partie de ma carrière dans le secteur privé – même si j'ai également travaillé dans des entreprises publiques en Afrique du Sud, dans une société de logistique et que j'ai passé six ans à la Banque africaine de développement. Et je pense qu'aujourd'hui c'est un avantage parce que nous devons repenser le financement du développement en Afrique et nous assurer que nous pouvons faire appel au secteur privé. Je pense que cela me donne un avantage.En tant qu'ancienne vice-présidente chargée des finances de la BAD, votre action sera-t-elle en phase avec les deux mandats d'Akinwumi Adesina ?J'ai participé à la rédaction de la dernière stratégie de la banque. Et ma vision s'appuie vraiment sur cette stratégie décennale. J'ai donc toujours affirmé que l'Afrique n'avait pas besoin de nouveaux plans mais de concrétiser ces plans. Et c'est vraiment sur cela que se concentre ma vision, que j'appelle Lift Africa.À la fin de son premier mandat, M. Adesina a été critiqué pour sa gouvernance. La banque doit-elle encore progresser sur ce point ?Toutes les organisations doivent examiner leur gouvernance pour voir où elles peuvent l'améliorer. C'est particulièrement important pour attirer le secteur privé et s'assurer qu'il soit un partenaire à long terme de la BAD pour financer le développement de l'Afrique.Dans votre programme, vous insistez sur le manque d'infrastructures du continent. Est-ce actuellement la plus grande faiblesse des économies africaines ?Les emplois ne sont pas créés par les banques de développement mais par le secteur privé. Ce dernier a besoin d'une électricité fiable. Pour accéder aux marchés, il a besoin de routes, de voies ferrées, de ports et de connexions numériques. Ce sont les défis de l'Afrique et c'est pourquoi les infrastructures sont le fondement d'une accélération de son développement.Avez-vous des projets prioritaires à l'esprit ?Oui. Je pense évidemment que l'accès à l'électricité est extrêmement important. Je ferai en sorte d'accélérer les choses. Il y a aussi de grands projets sur la table dont il faut finaliser le financement. Par exemple, le corridor minéralier de Lobito, reliant la Zambie, la RDC et l'Angola ; le corridor de Nacala en Afrique australe. Il y a aussi la route Lagos-Abidjan, qui est un projet important.L'un des défis de la BAD est sa capacité à prêter plus d'argent. Vous avez contribué à augmenter son capital en émettant de la dette assimilée à du capital. Cette opération peut-elle être répétée ou existe-t-il d'autres solutions ?Là encore, c'est un exemple de la contribution du secteur privé aux banques de développement. J'ai introduit cet instrument à la BAD pour nous permettre de lever des capitaux à long terme, ce qui est indispensable au développement. Il s'agissait de lever des capitaux à long terme auprès d'investisseurs institutionnels du monde entier, plutôt que de solliciter comme d'habitude nos actionnaires. Donc oui, je pense que nous pouvons émettre plus de capital hybride. Il existe également d'autres instruments que nous pouvons déployer, y compris utiliser le capital de la banque pour dé-risquer les investissements du secteur privé.La décision des États-Unis de ne pas contribuer au Fonds africain de développement dédié aux États les plus fragiles est-elle une source d'inquiétude pour la BAD ?Oui bien sûr, parce que ce type de subventions reste crucial. La Banque africaine de développement continuera donc à plaider en faveur de ces financements, tout en travaillant par exemple avec les fondations philanthropiques : Bill Gates a annoncé qu'il déploierait 200 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années pour aider les Etats fragiles du continent. Nous devons aussi examiner les autres régions en mesure de contribuer davantage pour pallier ce manque, et aider en particulier les pays fragiles.
durée : 00:06:05 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le 5 mai, François Bayrou a lancé à Marseille la Conférence des mobilités "Ambition France Transport" pour réfléchir au financement des infrastructures, dans un contexte budgétaire tendu. L'objectif est de trouver des solutions durables pour moderniser et développer le réseau ferroviaire.
Cet épisode s'inscrit dans une série de rencontres avec des patrons de sociétés du CAC 40.Sur GDIY nous recevons habituellement uniquement des personnes qui se sont lancées par elles-mêmes : des entrepreneurs, artistes, sportifs…Avec cette série, j'ai pour ambition de découvrir et comprendre comment s'opèrent de tels mastodontes depuis l'intérieur, sur du temps long. Au-delà des éléments de langage, au-delà de la politique, au-delà des clichés.Le Crédit Agricole est “de loin” la première banque de financement de l'économie Française avec plus de 25% de parts de marché.Une domination dont Phillipe Brassac est le garant depuis près d'une décennie.Arrivé en 1982 à la caisse régionale du Gard, il a gravi les échelons jusqu'à arriver au sommet du groupe. 43 ans de maison, dont 10 en tant que directeur général, et un chiffre d'affaires multiplié par 3 pendant son mandat.En 10 ans, Philippe a amené le Crédit Agricole à des performances historiques, le portant au rang de 9ème plus grande banque au monde.Dans cet épisode Philippe démystifie le monde de la banque, et dévoile comment étape par étape et avec de très fortes convictions, il a opéré ce développement sans céder aux sirènes de la croissance externe — qu'il va jusqu'à juger dangereuse.Un épisode pragmatique et passionnant, qui livre les clés pour comprendre comment faire bouger les lignes à grande échelle et explique les rouages du système bancaire Français et international.Une masterclass de vision avec l'homme qui, jusqu'en mai 2025, fut à la tête du premier employeur privé de France.TIMELINE:00:14:25 : La plus grosse coopérative du monde avec 10 millions d'adhérents00:21:46 : La complexité du système bancaire expliquée00:29:41 : Opter pour une “universalité stratégique” : la banque qui fait tout, pour tous00:41:24 : Le rôle central du conseiller bancaire00:56:17 : Les batailles perdues face aux néo-banques01:06:31 : Casser la technocratie et la bureaucratie01:18:21 : Comment réellement influencer une entreprise de 160 000 collaborateurs01:31:07 : Croissance externe VS croissance interne01:40:06 : Le modèle bancaire Français, une exception internationale01:52:18 : Laisser la régulation aux politiques pour maintenir le navire à flot02:01:01 : La digitalisation du monde bancaire02:09:03 : Les 3 grands chocs qui bousculent tous les repères02:23:56 : “J'avais prévu un bitcoin entre 0 et 1€”02:31:17 : Se concentrer sur l'utilité de son entreprise et non sur ses chiffres02:41:49 : Partir serein après 42 années de dévouementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #460 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateur#467 - Christel Heydemann - Orange - Garder le cap pour réussir dans un marché en rupture permanente#117 - Riadh Alimi - CEO FinFrog - Réussir l'impossible : être recommandé par les clients que tu refuses#54 - Alexandre Prot - CEO Qonto - De McKinsey à QONTO (en passant par les cigarettes électroniques)#456 - Alexandre Prot - Qonto - Bousculer l'écosystème bancaire et s'imposer en référence européenne#289 - Cyril Chiche - Lydia - Du paiement entre amis à la super-app financière#265 - Maud Caillaux - Green Got - Lancer une néobanque étape par étape pour verdir le secteur bancaire (à 27 ans)#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seulNous avons parlé de :Acquisition du Crédit Lyonnais entre 2002 et 2005Xavier MuscaJérôme GrivetL'identité coopérative et mutualiste du Crédit AgricoleWealth management = Gestion de patrimoineLa Martingale PodcastQu'est-ce que le selfcare en relation client ?BFI = Banque de Financement et d'InvestissementFoncière GecinaOlivier Gavalda, successeur de Philippe à la tête de Crédit Agricole SAStatista, courbe d'évolution du chiffre d'affaires du Crédit AgricoleDéfinition Asset Servicing“Mon véritable adversaire, c'est le monde de la finance” - François HollandeEpisode Acquired PorscheÉpisode Acquired RolexLes recommandations de lecture :The Black Swan - Nassim Nicholas Taleb (English)Le Cygne noir - Nassim Nicholas Taleb (en Français)Skin in The Game - Nassim Nicholas Taleb (English)Skin in The Game - Nassim Nicholas Taleb (Français)Le Château de ma mère - Marcel PagnolVous pouvez contacter Philippe sur LinkedIn.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet :Et si l'Espagne devenait votre prochaine terre d'investissement immobilier ? Dans quelle ville miser ? Quel montage financier privilégier ? Et surtout, quels sont les pièges à éviter ? Un expert nous éclaire sur toutes ces questions.L'invité du jour :Geoffroy Reiser est le cofondateur de Terreta, une agence d'investissement locatif en Espagne. Au micro de Matthieu Stefani, il nous partage ses meilleures pratiques pour investir en Espagne :Pourquoi l'Espagne est-elle une destination phare ?Quelle est la destination la plus rentable ?Faut-il investir à Madrid, Barcelone ou Malaga ?Comment bien financer son investissement ?Quelles sont les erreurs à éviter ?Avantages :Bonne nouvelle ! Bénéficiez de 500 € de réduction sur les honoraires de Terreta, en disant que vous venez de notre part
Financement du modèle social : l'idée d'une TVA sociale revient sur la table. On en parle avec François Ecalle, ancien rapporteur général du rapport annuel sur les "perspectives des finances publiques", désormais auteur du site de référence sur les finances publiques, fipeco.fr. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Olivier Babeau analyse les annonces du ministre de l'Aménagement du territoire, François Rebsamen, concernant la possibilité d'une nouvelle contribution locale pour financer les services publics des communes. Il explique que cette contribution, bien que présentée comme modeste, pourrait s'apparenter à un retour déguisé de la taxe d'habitation, supprimée progressivement depuis 2018. Olivier Babaud met en garde contre le risque d'une augmentation progressive de cette contribution, à l'image de ce qui s'est passé avec la CSG. Il souligne que cette mesure s'inscrit dans une fuite en avant budgétaire des collectivités locales, qui peinent à maîtriser leurs dépenses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c'est possible ou c'est de la folie ?Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l'impression de devoir monter l'Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l'a fait.Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.