POPULARITY
Cette semaine, "Le Paris des Arts" pose ses caméras à Vienne, ville impériale où la tradition musicale flirte avec la modernité. Nous allons à la rencontre de celles et ceux qui font vibrer la capitale autrichienne, à commencer par notre invitée, la cheffe d'orchestre Laurence Equilbey. Pour la première fois, elle s'est produite dans la mythique salle dorée du Musikverein avec son chœur Accentus et son orchestre Insula Orchestra, pour interpréter "Le Paradis et la Péri" de Robert Schumann.
Dans ce 4e épisode du podcast consacré à la carrière de Nafissatou Thiam, nous allons revenir sur le troisième sacre olympique de l'heptathlonienne. Après les Jeux de Rio en 2016 et Tokyo en 2021, la Namuroise se rend à Paris pour y défendre ses titres. Et tenter l'inédite passe de trois. Nouveau coach, nouveau défi. Et nouveau succès pour la Namuroise. Une médaille d'or difficilement conquise face à la Britannique Katarina Johnson-Thompson. Et un podium final presque totalement noir-jaune-rouge grâce à la médaille de bronze de Noor Vidts. Le "Paris" de Nafi raconté par Vincent Langendries Merci pour votre écoute Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKVous pourriez également apprécier ces podcasts de la RTBF: Ainsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis 2013, Kevi Donat emmène touristes français et anglophones sur les traces de l'histoire et de la présence noire dans la capitale. Suivez le guide ! Dans la capitale la plus visitée au monde, pendant longtemps, c'est le narratif des Afro-américains ayant trouvé ici refuge, loin de la ségrégation qui a dominé et qui se racontait aux touristes, états-uniens notamment. Avec pour bande son, Joséphine Baker et ses deux amours: son pays et… Paris. Avec ses visites du «Paris Noir», de la Rive Gauche à Pigalle en passant par les bords de Seine, Kévi Donat va plus loin. Ce diplômé de Sciences Politiques né en Martinique, s'attache à replacer Paris dans son passé de capitale d'un empire colonial et esclavagiste, avec ses figures, ses statues, ses noms de rues, partout présentes à Paris. En particulier dans la dernière visite qu'il a initiée, la Seine Noire, où Kévi s'empare de figures politiques noires encore trop méconnues, les replace dans un contexte encore colonial en France, à la première moitié du XXème siècle. Entre le Palais Bourbon et la place de la Concorde, il aborde au passage la question de la statuaire contestée qui, depuis l'onde de choc du mouvement «Black Lives Matter» en 2020, a trouvé un écho dans les médias nationaux et internationaux. On le sait, Paris raconte l'histoire de la France, mais encore faut-il en révéler les coins sombres, maintenus dans l'ombre ? ; ce que fait brillamment Kévi, une tablette truffée de références bibliographiques et de visages noirs en main, de l'esclavage à la colonisation jusqu'aux décolonisations. Dans sa visite, il nous invite aussi à réfléchir aux statuts des Outre-Mer, au «colorblind», français en l'occurrence, une forme de cécité à la couleur ou «aveuglement racial», un concept notamment développé par des chercheurs américains. Ce faisant, il retourne pour ainsi dire le miroir «décolonial» à une France universaliste héritée des Lumières, qui peine encore aujourd'hui à assumer son passé colonial et qui a tendance à croire que le combat anti-raciste est derrière elle. En savoir plus : - Sur les visites guidées «Le Paris Noir» de Kévi Donat. En anglais et en français. Pensez à réserver en avance - Sur son livre «Le Paris noir» sorti en juin 2025 aux Éditions Faces Cachées - Sur le podcast «Dans la bibliothèque du Paris Noir» lancé par Kevi Donat avec la Fondation pour la mémoire de l'esclavage - Sur l'exposition «Le Paris Noir» proposée par le Centre Pompidou à Paris, jusqu'au 30 juin 2025 - Sur les voyages sonores que nous avons déjà menés sur les traces de la présence noire à Montréal, Rome, Berlin ou encore Bruxelles.
Depuis 2013, Kevi Donat emmène touristes français et anglophones sur les traces de l'histoire et de la présence noire dans la capitale. Suivez le guide ! Dans la capitale la plus visitée au monde, pendant longtemps, c'est le narratif des Afro-américains ayant trouvé ici refuge, loin de la ségrégation qui a dominé et qui se racontait aux touristes, états-uniens notamment. Avec pour bande son, Joséphine Baker et ses deux amours: son pays et… Paris. Avec ses visites du «Paris Noir», de la Rive Gauche à Pigalle en passant par les bords de Seine, Kévi Donat va plus loin. Ce diplômé de Sciences Politiques né en Martinique, s'attache à replacer Paris dans son passé de capitale d'un empire colonial et esclavagiste, avec ses figures, ses statues, ses noms de rues, partout présentes à Paris. En particulier dans la dernière visite qu'il a initiée, la Seine Noire, où Kévi s'empare de figures politiques noires encore trop méconnues, les replace dans un contexte encore colonial en France, à la première moitié du XXème siècle. Entre le Palais Bourbon et la place de la Concorde, il aborde au passage la question de la statuaire contestée qui, depuis l'onde de choc du mouvement «Black Lives Matter» en 2020, a trouvé un écho dans les médias nationaux et internationaux. On le sait, Paris raconte l'histoire de la France, mais encore faut-il en révéler les coins sombres, maintenus dans l'ombre ? ; ce que fait brillamment Kévi, une tablette truffée de références bibliographiques et de visages noirs en main, de l'esclavage à la colonisation jusqu'aux décolonisations. Dans sa visite, il nous invite aussi à réfléchir aux statuts des Outre-Mer, au «colorblind», français en l'occurrence, une forme de cécité à la couleur ou «aveuglement racial», un concept notamment développé par des chercheurs américains. Ce faisant, il retourne pour ainsi dire le miroir «décolonial» à une France universaliste héritée des Lumières, qui peine encore aujourd'hui à assumer son passé colonial et qui a tendance à croire que le combat anti-raciste est derrière elle. En savoir plus : - Sur les visites guidées «Le Paris Noir» de Kévi Donat. En anglais et en français. Pensez à réserver en avance - Sur son livre «Le Paris noir» sorti en juin 2025 aux Éditions Faces Cachées - Sur le podcast «Dans la bibliothèque du Paris Noir» lancé par Kevi Donat avec la Fondation pour la mémoire de l'esclavage - Sur l'exposition «Le Paris Noir» proposée par le Centre Pompidou à Paris, jusqu'au 30 juin 2025 - Sur les voyages sonores que nous avons déjà menés sur les traces de la présence noire à Montréal, Rome, Berlin ou encore Bruxelles.
durée : 00:03:40 - 100% PSG - Le billet - Paris est en fête cette saison. Après le PSG en hand et en foot c'est le Paris Basket qui a remporté le titre de champion de France. Un titre qui vient récompensé le bon travail du club, un peu comme le PSG qui a remporté la Ligue des champions après deux années de travail cohérent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans le CQFR du jour, Shaï Mamou et Théophile Haumesser reviennent les derniers mouvements en NBA, à commencer par le trade de Kristaps Porzingis dans un échange à trois entre les Boston Celtics, les Atlanta Hawks et les Brooklyn Nets. On aborde également le nouveau contrat de Kyrie Irving, le trade entre les Wizards et les Pelicans ainsi que la qualification des Bleues pour les demis-finales de l'Eurobasket 2025 et le titre de champion de France du Paris Basketball.Voici tout Ce Qu'il Fallait Retenir en cette matinée du 25 juin 2025.Commandez l'Anthologie REVERSE Vol.1 https://www.basketsession.com/produit/reverse-anthologie-20-ans-de-basketball/Commandez le Mook REVERSE #16 spécial MIAMI https://www.basketsession.com/produit/mook-reverse-16-miami/Commandez le livre GOATs - Le meilleur (et le pire) de la NBA en 130 Tops https://www.basketsession.com/produit/goats-le-meilleur-et-le-pire-de-la-nba-en-130-tops/Commandez le livre Une saison en enfer https://www.basketsession.com/produit/une-saison-en-enfer/Nos émissions sur YouTube https://www.youtube.com/@BasketSessionREVERSELe Mook REVERSE ► https://www.basketsession.com/mook-reverse/Instagram ► https://www.instagram.com/reversemagazineBlueSky ►https://bsky.app/profile/reversemagazine.bsky.social Facebook ► https://www.facebook.com/BasketSession Twitch ► https://www.twitch.tv/reverse_basketsession
What does the world look like through Agnès Varda's eyes? In this episode, host Héloïse Daniel speaks with Anne de Mondenard, curator of the exhibition Le Paris d'Agnès Varda, de-ci, de-là, currently on view at the Musée Carnavalet. The show celebrates the life and work of one of France's most original and beloved filmmakers. Anne explains how the exhibition came together and what it reveals about Varda's universe—from her focus on women and working-class lives to iconic films like Cléo from 5 to 7 and Vagabond. With film clips, photographs, and playful installations, the exhibition traces Varda's artistic journey and her deep connection to Paris.
Cette semaine, Valérie Fayolle et son équipe posent leurs caméras au Maroc à Rabat, capitale discrète, mais rayonnante. Notre invité, l'écrivain et poète Tahar Ben Jelloun, nous emmène à la découverte de ses toiles exposées au musée d'art contemporain Mohammed VI. Et puis une rencontre en coulisses avec une chorégraphe engagée, Salima Moumni. Elle explore la danse comme un langage universel, au service de l'émancipation et du lien social.
Les Grandes Gueules ne savent rien de ce qui les attend... Et pourtant ils vont devoir débattre sur une actu qu'ils vont découvrir en direct !
De l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, les œuvres de 150 artistes noirs sont montrées en 2025 au Centre Pompidou à Paris. L'exposition s'appelle Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales et l'onde de choc qu'elle suscite n'a d'égal que son succès public. Un public renouvelé, curieux de découvrir des artistes des années 50 aux années 2000... dont les œuvres ont rarement été diffusées en France. Une exposition mais aussi un salon de lecture auxquels RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié se sont associés en écho à Paris Noir. En complicité avec Franck Hermann Ekra, critique d'art et curateur, nous recevons la scénariste Marguerite Abouet, le plasticien Hamedine Kane, l'écrivain Mohamed Mbougar Sarr, le comédien Sidiki Bakaba, le metteur en scène Koffi Kwahulé et la réalisatrice Bintou Diarra.Dès l'entrée de l'exposition, la première image inscrit l'exposition dans l'histoire des luttes anticoloniales dont Paris est l'un des carrefours. En référence à la capacité d'agir des Africains dans la capitale de l'A.O.F et A.E.F (Afrique occidentale Française et Afrique équatoriale française), dans l'après Deuxième Guerre mondiale. Sous la forme d'un immense collage, des couvertures emblématiques des livres de la maison d'édition Présence Africaine fondée par Alioune Diop… que ce soit le Docker noir de Sembene Ousmane, Nation nègre et culture de Cheikh Anta Diopou encore Un nègre à Paris de Bernard Dadié. Expression d'une conscience africaine multiforme, l'œuvre de Bernard Dadié est une œuvre émancipatrice, un contre-récit dont les écrits de prison sont un véritable journal de bord de la lutte pour la liberté et la dignité en Côte d'Ivoire, dès la fin des années 40, puisque Dadié a été arrêté en 1949 avec ses camarades militants dont Matthieu Ekra, le grand-père de Franck Hermann Ekra, initiateur de ce salon de lecture.Tous nos remerciements à Alicia Knock, commissaire de l'exposition Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales ainsi qu'aux équipes du Centre Pompidou et aux équipes du Centre Wallonie Bruxelles.Découvrir l'expositionÉcoutez le premier épisode proposé par RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié
C dans l'air l'invité du 2 juin 2025 avec Georges Malbrunot, grand reporter au Figaro, spécialiste du Moyen-Orient. Il est l'auteur de "Qatar papers" et de "MBS Confidentiel", coécrits avec Christian Chesnot, aux éditions Michel Lafon. La victoire du PSG en Ligue des champions face à l'Inter Milan est un succès majeur pour le Qatar et en particulier pour Nasser Al-Khelaïfi, patron de QSI et président du club, qui a mis un point d'honneur à remporter ce trophée depuis 14 ans. Ce proche de l'Emir Tamim ben Hamad Al Thani, répète au fil des interviews que Paris va gagner la Coupe aux grandes oreilles, tout comme les propriétaires à Doha. Après 1,4 milliard d'euros investis, ce trophée valide également la stratégie de la diplomatie par le sport et le soft-power du petit Etat du Golfe. Cette victoire, tant recherchée, va engendrer "un impact géopolitique majeur dans la défense des intérêts du Qatar et dans sa politique de rayonnement", promet Pim Verschuuren, spécialiste de géopolitique du sport.Georges Malbrunot est grand reporter au Figaro, spécialiste du Moyen-Orient. Il est l'auteur de "Qatar papers" et de "MBS Confidentiel", coécrits avec Christian Chesnot, aux éditions Michel Lafon. Il nous livrera son regard sur la victoire du Paris-Saint Germain et sur la réussite du pari lancé il y a 14 ans par le Qatar. Cette stratégie du soft power est-elle une réussite ? Au fond, quel est l'objectif de ce pays, qui est aussi un acteur important dans les négociations de paix au Proche-Orient.
Cette semaine, le Paris des Arts reçoit Aïssa Maïga. L'actrice et réalisatrice a présenté au festival du Cannes son nouveau film "Promis le ciel" et elle a choisi le Little Africa Village, dans le quartier de la Goutte d'Or, pour nous en parler.
Pour la résidence du mois de mai, Les Disques du Lobby invitent Adèle Paris pour un set 100% vinyles Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la résidence du mois de mai, Les Disques du Lobby invitent Adèle Paris pour un set 100% vinyles
Du dragons aux zombis, en passant par les nazis et une hydre, cet épisode part dans tous les sens avec pour seul cohérence de parler de BD, mais de le faire bien. Bonne écoute ! Télécharger l'émission (46 Mo) – Regarder sur YoutubeS'abonner au One Eye Club – S'abonner à toutes nos émissionsChroniques[04:19] Le Paris des Dragons Joann Sfar Tony Sandoval[13:51] La 3e Kamera Cédric Apikian Denis Rodier Élise Follin[23:07] Daemon n°1 Vincent Brugeas Ronan Toulhoat, Yoann Guillo Ronan Toulhoat, Yoann Guillo, Anaïs Blanchard[33:15] Walkind Dead : Clementine n°2 Tillie Walden Cliff RathburnUn Œil sur …[42:06] MiniShoot' Adventures Légende : Scénario – Dessin – Couleur – Coup de cœur – Service de Presse – Le Vote des TipeursGénérique et jingles : Spanish Samba (Oursvince) / Dialup (Jlew) / backstraight (Heigh-hoo)
Du dragons aux zombis, en passant par les nazis et une hydre, cet épisode part dans tous les sens avec pour seul cohérence de parler de BD, mais de le faire bien. Bonne écoute ! Télécharger l'émission (46 Mo) – Regarder sur YoutubeS'abonner au One Eye Club – S'abonner à toutes nos émissionsChroniques[04:19] Le Paris des Dragons Joann Sfar Tony Sandoval[13:51] La 3e Kamera Cédric Apikian Denis Rodier Élise Follin[23:07] Daemon n°1 Vincent Brugeas Ronan Toulhoat, Yoann Guillo Ronan Toulhoat, Yoann Guillo, Anaïs Blanchard[33:15] Walkind Dead : Clementine n°2 Tillie Walden Cliff RathburnUn Œil sur …[42:06] MiniShoot' Adventures Légende : Scénario – Dessin – Couleur – Coup de cœur – Service de Presse – Le Vote des TipeursGénérique et jingles : Spanish Samba (Oursvince) / Dialup (Jlew) / backstraight (Heigh-hoo)
Cette semaine dans le Paris des Arts, Valérie Fayolle part à la rencontre d'un comédien et écrivain qui joue et qui écrit comme il respire. Jacques Gamblin est notre invité, à l'occasion de la sortie de son roman "Mère à l'horizon". Il nous emmène au Centquatre, espace de passage et de rencontres à Paris. Cette fourmilière créative attire les passionnés d'arts. Et puis, une immersion dans les coulisses de la création avec la chanteuse franco-libanaise Hiba Tawaji, en préparation d'un nouvel album.
durée : 00:27:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions : "Robert Doisneau, instants donnés" au musée Maillol et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là" au musée Carnavalet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
durée : 00:11:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Si Agnès Varda a arpenté le monde et a même vécu aux États-Unis, c'est le 14e arrondissement et la rue Daguerre qui ont conquis son cœur et ont constitué son refuge. Avec "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci, de-là", le musée Carnavalet offre une plongée dans la vie et l'œuvre de l'artiste. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, "Les Grandes Gueules du Sport" analysent l'actu sport avec le recul de la semaine écoulée, et donnent le ton des week-ends sport à suivre sur RMC. Autour de Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux, des consultants de renom: David Douillet, Marie Martinod, Stephen Brun, Denis Charvet, Christophe Urios, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret ou Renaud Longuèvre.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dream Team : le podcast des personnalités qui font le sport Français
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Paris FC dispute ce vendredi soir un match capital lors de cette 33e journée de Ligue 2. Le deuxième club de la capitale, racheté par la famille Arnault, se déplace à 800 kilomètres de ses bases, à Martigues. Une victoire et le Paris FC fera son grand retour dans l'élite du football français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Paris FC dispute ce vendredi soir un match capital lors de cette 33e journée de Ligue 2. Le deuxième club de la capitale, racheté par la famille Arnault, se déplace à 800 kilomètres de ses bases, à Martigues. Une victoire et le Paris FC fera son grand retour dans l'élite du football français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Paris FC dispute ce vendredi soir un match capital lors de cette 33e journée de Ligue 2. Le deuxième club de la capitale, racheté par la famille Arnault, se déplace à 800 kilomètres de ses bases, à Martigues. Une victoire et le Paris FC fera son grand retour dans l'élite du football français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Ma vie est un roman qui m'intéresse beaucoup », écrit Berlioz dans ses savoureux Mémoires. La parution ces jours-ci du « Paris de Berlioz » de Christian Wasselin (collection « Le Paris des artistes » aux Editions Alexandrines) nous invite à attacher nos pas à ceux du compositeur en cheminant dans le Paris du XIXe siècle. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La nouvelle séquence des Grandes Gueules du Sport ! Mises dans les cordes pendant toute l'émission, les GG prennent la main : ce sont eux qui choisissent leur débat !
Nous recevons un auteur incontournable de la scène littéraire, David Foenkinos, et partons ensuite à la rencontre d'un duo qui allie cinéma et musique : Françoise Fabian et Leonard Lasry.
Retour sur l'actualité sportive de ces derniers jours avec la course cycliste Paris-Roubaix, le Masters 1000 de Monte Carlo, le GP de formule 1 de Bahreïn, la ligue 1 de football, la ligue des champions et le marathon de Paris.
durée : 00:04:14 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - La Salon Nautique de Paris va fêter ses 100 ans et dorénavant s'appeler le Paris Nautic Show. Le président de la Fédération des industries nautiques, Jean-Paul Chapeleau, le présente dans les Chroniques Littorales.
durée : 00:12:50 - L'invité de 7h50 du week-end - Aujourd'hui à 7h50, nous recevons Rosalie Varda, responsable du fonds Varda pour l'exposition “Le Paris d'Agnès Varda, de-ci, de-là” consacrée à sa mère, au Musée Carnavalet jusqu'au 24 août.
Gilles Siouffi publie "Paris-Babel" aux éditions Actes Sud. Il y retrace le panorama du savoir linguistique parisien du IIIe siècle à nos jours. C'est un panorama très savant du parler parisien qui va du IIIe siècle avant Jésus-Christ jusqu'aux Jeux Olympiques 2024. Mais quelle est l'histoire linguistique de cette ville qui représente à la fois le centre de la "standardisation" de la langue française et un creuset de toutes sortes d'immigrations de langues différentes ? Du gaulois au latinParis a été le lieu d'un plurilinguisme très important, notamment avec la survie très tardive du latin jusqu'au 17ᵉ siècle environ, un latin oral très éloigné, bien sûr, du latin de Cicéron, une sorte de langue un peu baragouinée entre étudiants de la Sorbonne, université qui accueillait à l'époque des étudiants de toute l'Europe ! Le Paris de la RenaissanceUn certain nombre de rois n'ont pas été, au départ, francophones, par exemple Henri IV, par exemple "le béarnais" parlait gascon. La présence des Médicis à Paris a également influencé la langue puisque ce sont des mots italiens qui infiltrent la langue française. Si l'oral fait vivre le français, c'est l'écrit qui au 17ᵉ siècle va imposer et normer le français et devenir un marqueur social très restreint. Le français va alors "se normaliser..." avec la création de l'Académie française. Et aujourd'hui Il y a eu le Paris avec le "parler populaire" avec des parlers de métiers et des argots. L'argot était à la base un langage "clos" propre à une communauté, à un métier, puis c'est devenu un langage assimilé au parisien populaire. Aujourd'hui, on dénombrerait environ 150 langues parlées à ParisIl y a certaines langues totalement invisibles et inconnues à Paris, qui se parlent dans ces cercles familiaux et qu'on ne soupçonne pas ! ► Invité : Gilles Siouffi, professeur en langue française à Sorbonne Université, est spécialiste de l'histoire de la langue française. Il porte un intérêt particulier à l'imaginaire de la langue au XVIIe et XVIIIe siècle. Entre autres, il est l'auteur de la partie Histoire externe de la Grande Grammaire historique du français (De Gruyter, 2020), et a également dirigé Une histoire de la phrase française, des Serments de Strasbourg aux écritures numériques (Actes Sud, 2020).Paris-Babel, histoire linguistique d'une ville monde vient d'être publié aux éditions Actes Sud.► Programmation musicale : l'artiste DjeuhDjoah & Lieutenant Nicholson avec le titre Danse divine
Gilles Siouffi publie "Paris-Babel" aux éditions Actes Sud. Il y retrace le panorama du savoir linguistique parisien du IIIe siècle à nos jours. C'est un panorama très savant du parler parisien qui va du IIIe siècle avant Jésus-Christ jusqu'aux Jeux Olympiques 2024. Mais quelle est l'histoire linguistique de cette ville qui représente à la fois le centre de la "standardisation" de la langue française et un creuset de toutes sortes d'immigrations de langues différentes ? Du gaulois au latinParis a été le lieu d'un plurilinguisme très important, notamment avec la survie très tardive du latin jusqu'au 17ᵉ siècle environ, un latin oral très éloigné, bien sûr, du latin de Cicéron, une sorte de langue un peu baragouinée entre étudiants de la Sorbonne, université qui accueillait à l'époque des étudiants de toute l'Europe ! Le Paris de la RenaissanceUn certain nombre de rois n'ont pas été, au départ, francophones, par exemple Henri IV, par exemple "le béarnais" parlait gascon. La présence des Médicis à Paris a également influencé la langue puisque ce sont des mots italiens qui infiltrent la langue française. Si l'oral fait vivre le français, c'est l'écrit qui au 17ᵉ siècle va imposer et normer le français et devenir un marqueur social très restreint. Le français va alors "se normaliser..." avec la création de l'Académie française. Et aujourd'hui Il y a eu le Paris avec le "parler populaire" avec des parlers de métiers et des argots. L'argot était à la base un langage "clos" propre à une communauté, à un métier, puis c'est devenu un langage assimilé au parisien populaire. Aujourd'hui, on dénombrerait environ 150 langues parlées à ParisIl y a certaines langues totalement invisibles et inconnues à Paris, qui se parlent dans ces cercles familiaux et qu'on ne soupçonne pas ! ► Invité : Gilles Siouffi, professeur en langue française à Sorbonne Université, est spécialiste de l'histoire de la langue française. Il porte un intérêt particulier à l'imaginaire de la langue au XVIIe et XVIIIe siècle. Entre autres, il est l'auteur de la partie Histoire externe de la Grande Grammaire historique du français (De Gruyter, 2020), et a également dirigé Une histoire de la phrase française, des Serments de Strasbourg aux écritures numériques (Actes Sud, 2020).Paris-Babel, histoire linguistique d'une ville monde vient d'être publié aux éditions Actes Sud.► Programmation musicale : l'artiste DjeuhDjoah & Lieutenant Nicholson avec le titre Danse divine
Cette semaine, Valérie Fayolle reçoit une figure incontournable du reggae africain : Alpha Blondy. Ce messager de la paix, qui fait vibrer les scènes du monde entier depuis plus de 40 ans, nous parle de son nouvel album, "RISE" et nous emmène en balade à la Maison européenne de la photographie découvrir les clichés de celui qui a suivi l'icône jamaïcaine Bob Marley, le photographe Dennis Morris.
durée : 00:02:26 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Une déambulation, une découverte d'un monde méconnu, souvent même inconnu. Le « Paris noir », une exposition au Centre Georges Pompidou et sans doute l'une des émotions esthétique et politique les plus fortes qu'on j'ai vécue cette saison. Ali Baddou vous la conseille.
La comédie musicale peut-elle s'imposer à Paris, comme à Londres ou à New York ? Pour y répondre Valérie Fayolle vous emmène dans les coulisses du théâtre Mogador découvrir la gigantesque fourmilière qui s'active avant la représentation du Roi Lion.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
durée : 01:39:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "Le vainqueur, plus qu'un homme à bicyclette, est apparu comme un prophète barbouillé de boue", c'est ainsi qu'un journaliste décrit la victoire grandiose de Bernard Hinault ce 12 avril 1981 à la fin du Paris-Roubaix. Pendant plus d'une heure on revit cette course mythique et le sacre du Français. - réalisation : Emily Vallat - invités : Bernard Hinault Cycliste français
Cette semaine, Valérie Fayolle reçoit Frédéric Beigbeder. L'écrivain et critique littéraire nous parle de son nouveau roman "Un homme seul" (éd. Grasset ) et nous donne rendez-vous dans les salons feutrés du restaurant Lapérouse, une institution parisienne où l'histoire, la littérature et le mystère dialoguent depuis 1766.
Cette semaine dans Le Paris des Arts, Valérie Fayolle reçoit le chanteur, acteur et écrivain Marc Lavoine. Il nous parle de son deuxième roman "Quand arrivent les chevaux" (éd. Fayard), un hommage poétique à sa mère disparue.
durée : 02:22:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Partons à la découverte d'un Paris vibrant, sans repos, où fêtards, travailleurs, policiers et flâneurs animent les rues et les lieux mythiques. À travers des récits et des rencontres, cette traversée nocturne révèle l'effervescence et les contrastes de la capitale après minuit. - réalisation : Emily Vallat - invités : Stéphane Hugon Docteur en sociologie; Etienne Blanchot; Michel Maffesoli Sociologue
La cathédrale Notre-Dame est à l'honneur cette semaine dans le Paris des Arts. L'occasion de plonger dans l'histoire de ce joyau du patrimoine de l'humanité.
C'était il y a 39 ans : on apprenait la mort de Daniel Balavoine sur le Paris-Dakar. Le chanteur est décédé dans un crash d'hélicoptère. Ce n'est pas la seule victime : il y avait aussi un technicien de RTL à bord, et l'émotion s'entend dans ce flash spécial... Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 14 janvier 2025.
Cette semaine "Le Paris des arts" vous emmène en Guadeloupe, à la rencontre d'une ambassadrice de la musique antillaise : Tanya St-Val. Elle nous fait découvrir le site de Duval, à Petit-Canal, qui abrite le village du Ka, en hommage aux célèbres "tambouyés". Et puis, direction Bouillante, où nous nous invitons à la table du chef Jimmy Bibrac, qui sublime dans l'assiette les saveurs locales…
Afropop, zouk et yole traditionnel de Guinée et écriture automatique. (Rediffusion) Notre 1er invité est Olivier Conan pour son nouveau projet Combo Daguerre.Basé à New York, Combo Daguerre est le nouveau projet d'Olivier Conan qui, après avoir passé plus d'une décennie immergé dans le monde de la cumbia psychédélique avec son groupe Chicha Libre, a maintenant mis au point un répertoire original de thèmes francophones joué en mode psychédélique. Le groupe est composé de musiciens latins établis à Brooklyn, et les influences multiples comprennent le boléro, la cumbia, le rock 60's ainsi que d'évidentes influences gainsbouriennes et surréalistes. Chicha Libre est devenu un groupe culte en Amérique du Sud et au Mexique et Combo Daguerre est un peu l'héritier francophone d'un projet qui n'aurait pu naître qu'à New York où les frontières culturelles et linguistiques sont fluides et les influences pan-latines débordent sur tous les mondes musicaux : du rock, au hip-hop - et maintenant la chanson. Les thèmes à la fois joyeux et sérieux sont ceux de l'exil, de la nostalgie déplacée et d'une langue frelatée par la distance. Le dessin qui illustre la pochette tire son inspiration des têtes de cheval des boucheries chevalines parisiennes. Un symbole bicéphale qui représenterait un empire disparu ?Après 30 ans passés à Brooklyn, terre peu sainte où le français n'existe que dans des formes créolisées, mon français boite des deux jambes. Ma nostalgie se nourrit d'une langue et de souvenirs tous les deux reconstitués. Je ne contrôle ni la grammaire, ni le lexique, ni même la chronologie. Les images de mon enfance parisienne sont maculées, mâtinées d'images de mes aïeux, de photos de classe et de cartes postales d'une autre époque. Mes souvenirs pourraient être ceux d'un autre. Je, bien sûr, pourrait être un autre. Le Paris où je crois avoir grandi est peut-être bien celui de Rivette et de Truffaut. En tout cas, je crois le reconnaitre dans le Daguerréotypes de Varda (parce que j'ai été un enfant du 14ème), voire dans Les Maléfices de Jacques Yonnet ou Les Nuits de Paris de Restif de la Bretonne. Les paroles de Combo Daguerre sont placées sous le signe de Fracassines - une chanson écrite Dieu sait quand et Dieu sait comment, et qui est apparue - comme une vierge chrétienne - sans prévenir. Génération spontanée, écriture automatique. Le reste de l'album est parsemé de bribes inconsciemment glanées au hit-parade de la poésie française parce qu'après trente ans d'absence, tout ce qui demeure de cette culture enfouie, c'est une eau polluée dans laquelle flottent les scories d'une culture française élémentaire. Fracassines est un travail automatique avec peu d'interventions conscientes. Olivier Conan.Titres jouésFracassinesParoles trouvées sur mon écran d'ordinateur sans souvenir de les avoir écrites. Qu'elles ne signifient pas grand-chose est presque rassurant.88 rue Daguerre Cumbia Instrumentale du guitariste péruvien Felipe Wurst. 88 rue Daguerre est l'adresse d'Agnès Varda.Daguerre ParisLe Petit BossuChanson du XVIème siècle. La version qu'Yvonne George chantait dans les années 20 était en fait une icône de l'élite littéraire de l'époque. Amie de Cocteau (qui ne l'était pas ?) et de sa coterie. Desnos tombe amoureux d'elle et lui dédie son A la Mysterieuse (j'ai tant rêvé de toi..) et en fait l'héroïne de son roman «Le vin est tiré». Yvonne George n'est pas convaincue. Elle préfère les femmes, et l'opium. Elle meurt à 33 ans, comme une rock star. ► Album Fracassines (Barbès Rd 2024).Site Combo Daguerre - facebook - Barbès Records bandcamp.Puis nous recevons Abdoulaye Kouyaté dans la #SessionLive pour la sortie de l'album Fefanyi – Le Bienfaiteur.Après des années passées à sublimer les musiques des artistes qu'il accompagne par son jeu de guitare et la douceur de sa Kora (Ba Cissoko, Mariama, Jain et Gabi Hartmann entre autres), Abdoulaye Kouyaté met son énergie créatrice dans un projet personnel qui rassemble ses compositions originales. En plus du guitariste virtuose, on découvre qu'Abdoulaye Kouyaté est un orfèvre de mélodies et un chanteur au timbre feutré. Tantôt profonde et touchante, tantôt rythmée et dansante, sa musique métissée oscille entre ballades, instrumentaux à la kora et des morceaux aux sonorités afropop empruntant leur rythmique au coupé décalé, au zouk ou au yolé traditionnel de Guinée. Abdoulaye confie la réalisation de l'album à Patrick Ruffino et s'accompagne de Yannick Vela à la basse et Nicolas Grupp à la batterie. L'album est enrichi par les précieuses contributions du joueur de flûte peule Dramane Dembele, de la chanteuse Gabi Hartmann, du bassiste Guy Nsangué, du saxophoniste Robbie Marshall, du violoncelliste Guillaume Latil, du djembefola Dartagnan Camara et des choeurs de la chanteuse Djene Kouyaté.Ce premier disque affiche une diversité étonnante. Chantés en Soussou (la langue de la capitale guinéenne, Conakry) et en français, plusieurs titres s'inspirent de la jeunesse romanesque d'Abdoulaye dans le Conakry des années 1990-2000. Une époque où il se perfectionnait à la guitare en suivant à la trace les musiciens de son quartier, animait avec son groupe de folles soirées expatriés au Grand Hôtel Camayenne, et tombait amoureux pour la première fois (Inondi, Doumedira, On fait quoi ? et Nitanama notamment). À l'insouciance guinéenne, succède la jungle de l'Europe, la vie d'adulte, les responsabilités, le froid, et les apprentissages difficiles. Ces leçons de vie inspirent notamment les morceaux Douniéma (le rancunier), Saré (tout à un prix) ou Inamakana (si tu ne peux pas aider ton prochain, ne l'enfonce pas). Le morceau Fefanyi (le bienfaiteur) qui donne le titre de l'album reprend la tradition des griots, dont les Kouyaté sont issus, de « chanter les louanges » des grands Hommes, des généreux bienfaiteurs. Suivant le chemin ouvert par son père Sekou Kouyaté, griot moderne, guitariste respecté et chef d'orchestre de Miriam Makeba durant ses années d'exil en Guinée, Abdoulaye Kouyaté façonne son jeu de guitare à l'écoute du jazz, du funk, du reggae, le Son Cubano ou de la Biguine antillaise tout en lui donnant des sonorités mandingues. Il cite Paul Simon et Georges Benson en inspiration. En Guinée, on l'affuble du surnom «jazzman» en raison de son style qui s'écarte du mandingue traditionnel. Lorsque son père tombe malade, Abdoulaye le remplace en tant que joueur de kora dans Circus Baobab. Avec ce premier cirque d'Afrique de l'Ouest, il sillonnera le monde pendant une décennie, avant de s'établir à Marseille puis à Paris. Titres interprétés au grand studio- Inondi Live RFI - Toi Tu Penses nous on bouge, extrait de l'album- Inamakana Live RFILine Up : Abdoulaye Kouyaté - voix, guitare - Thierry Fournel - guitare - Yannick Vela - basse - Nicolas Grupp – batterieSon : Benoît Letirant, Mathias Taylor► Album Fefanyi – Le Bienfaiteur (Reva prod – Rock'n hall 2024)Site - YouTube - Facebook
Afropop, zouk et yole traditionnel de Guinée et écriture automatique. (Rediffusion) Notre 1er invité est Olivier Conan pour son nouveau projet Combo Daguerre.Basé à New York, Combo Daguerre est le nouveau projet d'Olivier Conan qui, après avoir passé plus d'une décennie immergé dans le monde de la cumbia psychédélique avec son groupe Chicha Libre, a maintenant mis au point un répertoire original de thèmes francophones joué en mode psychédélique. Le groupe est composé de musiciens latins établis à Brooklyn, et les influences multiples comprennent le boléro, la cumbia, le rock 60's ainsi que d'évidentes influences gainsbouriennes et surréalistes. Chicha Libre est devenu un groupe culte en Amérique du Sud et au Mexique et Combo Daguerre est un peu l'héritier francophone d'un projet qui n'aurait pu naître qu'à New York où les frontières culturelles et linguistiques sont fluides et les influences pan-latines débordent sur tous les mondes musicaux : du rock, au hip-hop - et maintenant la chanson. Les thèmes à la fois joyeux et sérieux sont ceux de l'exil, de la nostalgie déplacée et d'une langue frelatée par la distance. Le dessin qui illustre la pochette tire son inspiration des têtes de cheval des boucheries chevalines parisiennes. Un symbole bicéphale qui représenterait un empire disparu ?Après 30 ans passés à Brooklyn, terre peu sainte où le français n'existe que dans des formes créolisées, mon français boite des deux jambes. Ma nostalgie se nourrit d'une langue et de souvenirs tous les deux reconstitués. Je ne contrôle ni la grammaire, ni le lexique, ni même la chronologie. Les images de mon enfance parisienne sont maculées, mâtinées d'images de mes aïeux, de photos de classe et de cartes postales d'une autre époque. Mes souvenirs pourraient être ceux d'un autre. Je, bien sûr, pourrait être un autre. Le Paris où je crois avoir grandi est peut-être bien celui de Rivette et de Truffaut. En tout cas, je crois le reconnaitre dans le Daguerréotypes de Varda (parce que j'ai été un enfant du 14ème), voire dans Les Maléfices de Jacques Yonnet ou Les Nuits de Paris de Restif de la Bretonne. Les paroles de Combo Daguerre sont placées sous le signe de Fracassines - une chanson écrite Dieu sait quand et Dieu sait comment, et qui est apparue - comme une vierge chrétienne - sans prévenir. Génération spontanée, écriture automatique. Le reste de l'album est parsemé de bribes inconsciemment glanées au hit-parade de la poésie française parce qu'après trente ans d'absence, tout ce qui demeure de cette culture enfouie, c'est une eau polluée dans laquelle flottent les scories d'une culture française élémentaire. Fracassines est un travail automatique avec peu d'interventions conscientes. Olivier Conan.Titres jouésFracassinesParoles trouvées sur mon écran d'ordinateur sans souvenir de les avoir écrites. Qu'elles ne signifient pas grand-chose est presque rassurant.88 rue Daguerre Cumbia Instrumentale du guitariste péruvien Felipe Wurst. 88 rue Daguerre est l'adresse d'Agnès Varda.Daguerre ParisLe Petit BossuChanson du XVIème siècle. La version qu'Yvonne George chantait dans les années 20 était en fait une icône de l'élite littéraire de l'époque. Amie de Cocteau (qui ne l'était pas ?) et de sa coterie. Desnos tombe amoureux d'elle et lui dédie son A la Mysterieuse (j'ai tant rêvé de toi..) et en fait l'héroïne de son roman «Le vin est tiré». Yvonne George n'est pas convaincue. Elle préfère les femmes, et l'opium. Elle meurt à 33 ans, comme une rock star. ► Album Fracassines (Barbès Rd 2024).Site Combo Daguerre - facebook - Barbès Records bandcamp.Puis nous recevons Abdoulaye Kouyaté dans la #SessionLive pour la sortie de l'album Fefanyi – Le Bienfaiteur.Après des années passées à sublimer les musiques des artistes qu'il accompagne par son jeu de guitare et la douceur de sa Kora (Ba Cissoko, Mariama, Jain et Gabi Hartmann entre autres), Abdoulaye Kouyaté met son énergie créatrice dans un projet personnel qui rassemble ses compositions originales. En plus du guitariste virtuose, on découvre qu'Abdoulaye Kouyaté est un orfèvre de mélodies et un chanteur au timbre feutré. Tantôt profonde et touchante, tantôt rythmée et dansante, sa musique métissée oscille entre ballades, instrumentaux à la kora et des morceaux aux sonorités afropop empruntant leur rythmique au coupé décalé, au zouk ou au yolé traditionnel de Guinée. Abdoulaye confie la réalisation de l'album à Patrick Ruffino et s'accompagne de Yannick Vela à la basse et Nicolas Grupp à la batterie. L'album est enrichi par les précieuses contributions du joueur de flûte peule Dramane Dembele, de la chanteuse Gabi Hartmann, du bassiste Guy Nsangué, du saxophoniste Robbie Marshall, du violoncelliste Guillaume Latil, du djembefola Dartagnan Camara et des choeurs de la chanteuse Djene Kouyaté.Ce premier disque affiche une diversité étonnante. Chantés en Soussou (la langue de la capitale guinéenne, Conakry) et en français, plusieurs titres s'inspirent de la jeunesse romanesque d'Abdoulaye dans le Conakry des années 1990-2000. Une époque où il se perfectionnait à la guitare en suivant à la trace les musiciens de son quartier, animait avec son groupe de folles soirées expatriés au Grand Hôtel Camayenne, et tombait amoureux pour la première fois (Inondi, Doumedira, On fait quoi ? et Nitanama notamment). À l'insouciance guinéenne, succède la jungle de l'Europe, la vie d'adulte, les responsabilités, le froid, et les apprentissages difficiles. Ces leçons de vie inspirent notamment les morceaux Douniéma (le rancunier), Saré (tout à un prix) ou Inamakana (si tu ne peux pas aider ton prochain, ne l'enfonce pas). Le morceau Fefanyi (le bienfaiteur) qui donne le titre de l'album reprend la tradition des griots, dont les Kouyaté sont issus, de « chanter les louanges » des grands Hommes, des généreux bienfaiteurs. Suivant le chemin ouvert par son père Sekou Kouyaté, griot moderne, guitariste respecté et chef d'orchestre de Miriam Makeba durant ses années d'exil en Guinée, Abdoulaye Kouyaté façonne son jeu de guitare à l'écoute du jazz, du funk, du reggae, le Son Cubano ou de la Biguine antillaise tout en lui donnant des sonorités mandingues. Il cite Paul Simon et Georges Benson en inspiration. En Guinée, on l'affuble du surnom «jazzman» en raison de son style qui s'écarte du mandingue traditionnel. Lorsque son père tombe malade, Abdoulaye le remplace en tant que joueur de kora dans Circus Baobab. Avec ce premier cirque d'Afrique de l'Ouest, il sillonnera le monde pendant une décennie, avant de s'établir à Marseille puis à Paris. Titres interprétés au grand studio- Inondi Live RFI - Toi Tu Penses nous on bouge, extrait de l'album- Inamakana Live RFILine Up : Abdoulaye Kouyaté - voix, guitare - Thierry Fournel - guitare - Yannick Vela - basse - Nicolas Grupp – batterieSon : Benoît Letirant, Mathias Taylor► Album Fefanyi – Le Bienfaiteur (Reva prod – Rock'n hall 2024)Site - YouTube - Facebook
On le mange à toutes les sauces. Le poulet frit a conquis les consommateurs français et vu les adresses se multiplier cette année. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée Anaïs Moutot détaillent, de l'amont à l'aval, l'ampleur de ce phénomène street food au pays de la gastronomie.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2024. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Anaïs Moutot (enquêtrice aux « Echos Week-End »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Whoogy's, Le Paris d'Alexis, KFC France, « Popeye » (1940), BFM Business, « Dragon Ball Z » (1989), Demotivateur, « OSS 117 : Le Caire, nid d'espions » (2006), « Kaamelott » (2005). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Ma vie est un roman qui m'intéresse beaucoup », écrit Berlioz dans ses savoureux Mémoires. La parution ces jours-ci du « Paris de Berlioz » de Christian Wasselin (collection « Le Paris des artistes » aux Editions Alexandrines) nous invite à attacher nos pas à ceux du compositeur en cheminant dans le Paris du XIXe siècle. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.