Podcast appearances and mentions of bruno cl

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Latest podcast episodes about bruno cl

Data Gen
#173 - Klépierre : Transformer le département Finance via la Data

Data Gen

Play Episode Listen Later Dec 11, 2024 34:55


Charly Cadet est Group Head of Financial Performance chez Klépierre, le leader européen des centres commerciaux. Charly a initié un programme de transformation du département Finance et un peu plus largement de Klépierre via l'usage de la data. Il explique la genèse du projet, le détail du programme et leurs initiatives data.

Invité de la mi-journée
Le Mali et le Niger rompent les relations avec l'Ukraine: «Pour la Russie, c'est un camouflet»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Aug 8, 2024 6:12


Le Mali et le Niger ont annoncé la rupture de leurs relations diplomatiques avec l'Ukraine, en lui reprochant un « soutien » à des « groupes terroristes », après une lourde défaite de l'armée malienne fin juillet, lors de combats avec des séparatistes et des jihadistes. Ses derniers ont affirmé avoir tué des dizaines de membres du groupe paramilitaire russe Wagner et de soldats maliens lors de combats à Tinzaouatène, dans l'extrême nord-est du pays. Un responsable du renseignement militaire ukrainien avait sous-entendu que Kiev avait fourni des informations aux rebelles pour qu'ils puissent mener à bien leur attaque. Le décryptage du général à la retraite Bruno Clément-Bollée, expert de la sécurité en Afrique.

Le rendez-vous du mercredi
Les clés pour une annonce réussie avec Bruno Clément - 208 [communication]

Le rendez-vous du mercredi

Play Episode Listen Later Jul 24, 2024 43:03


Merci à Bruno Clément pour ses précieux conseils sur l'utilisation du storytelling, du slide design et de la prise de parole en public. N'oubliez pas, la structure narrative doit résoudre un problème du public visé. Retrouvez Bruno : Moment de vérité sur Spotify Zepresenters Idée de lecture : S. Sinek, Start with Why

Interviews d'Agents d'Entretiens
Bruno Clément-Petremann garde La Santé

Interviews d'Agents d'Entretiens

Play Episode Listen Later Feb 8, 2023 36:06


Pour paraphraser les Clash, le groupe de punk-rock britannique aux allures de fil rouge dans la vie de Bruno Clément-Petremann, se retrouver devant la porte de la prison de la Santé, même pour une interview, fait naître à l'esprit, l'espace d'un instant, une seule question : « Should I Stay or Should I Go ? » En pressant sur la sonnette du centre pénitentiaire situé dans le quartier du Montparnasse, les fantômes d'Apollinaire ou de Mesrine qui ont séjourné entre ces mûrs ressurgissent d'un passé où, en plein Paris, la peine pouvait s'avérer capitale. Le couperet aujourd'hui est d'une toute autre nature ! Alors que les prisons surchargées sont au bord de l'implosion, que certains détenus font couler beaucoup d'encre en se mettant en scène sur des applications de partage de vidéos et face à une justice qui, confrontée à de nombreux défis comme le souligne le rapport des États généraux du 8 juillet 2022, peine à trouver des réponses, Bruno Clément-Petremann, directeur de la mythique enceinte parisienne nous ouvre ses portes pour une interview au pied du mur. La Santé calling !

On Cuisine Ensemble sur France Bleu Lorraine Nord
Au menu du jour : saveurs italiennes à Thionville, avec Bruno Clément

On Cuisine Ensemble sur France Bleu Lorraine Nord

Play Episode Listen Later Sep 21, 2022 55:43


durée : 00:55:43 - Côté saveurs - France Bleu Lorraine Nord

menu ment saveurs au menu italiennes thionville bruno cl france bleu lorraine nord
Invité Afrique
Wagner au Mali: la communauté internationale «condamne mais ne parle plus de retrait»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 29, 2021 6:47


Et si les Français acceptaient de cohabiter avec les Russes au Mali ? L'hypothèse n'est pas exclue, affirme le général Bruno Clément-Bollée. Cet officier français à la retraite a commandé l'opération Licorne en Côte d'Ivoire et la Coopération de sécurité et de défense au Quai d'Orsay. Aujourd'hui, il est consultant international en matière de sécurité en Afrique. Et il réagit au communiqué des quinze pays occidentaux qui, le 23 décembre 2021, ont dénoncé l'arrivée de mercenaires russes au Mali sans annoncer pour autant un retrait de ce pays. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : La France affirme que le groupe Wagner a entamé le déploiement de mercenaires russes à Bamako. Le Mali dément formellement, alors qui a raison ? Général Bruno Clément-Bollée : Qui a raison, qui a tort, je ne sais pas. On avait noté quand même des signes sur le terrain. Je crois que la seule certitude aujourd'hui, c'est que des Russes vont arriver. Qui sont-ils ? Des coopérants militaires à l'image un petit peu des nôtres, de ceux que nous avons un petit peu partout en Afrique. Ou est-ce que ce sont des mercenaires de Wagner ? Je crois qu'à ce stade, je ne sais pas qui peut affirmer la vérité. Certains auraient reconnu des cadres de Wagner présents à Bamako, je ne sais pas ce qu'il en est. En Centrafrique, suite au départ des Français de Sangaris il y a cinq ans, les Russes de Wagner sont arrivés. Et ce sont eux, qui, il y a un an, ont sauvé le régime du président élu Faustin Archange Touadéra contre les rebelles de François Bozizé. Ne jouent-ils pas quelquefois un rôle positif ? Alors, on pourrait parler de la situation politique et sécuritaire en Centrafrique. Si vous estimez que la situation y est stable, alors effectivement, tout est permis pour le Mali. Je crois qu'on en est très très loin. Je note surtout qu'en Centrafrique, il y a une mission européenne à l'image de Takuba au Mali, qui vise à former des contingents centrafricains. Et, depuis que ces contingents ont été utilisés par Wagner, l'EUTM a arrêté sa formation. Aujourd'hui, finalement, la Centrafrique est un peu livrée à elle-même, et livrée à Wagner et un peu isolée au plan international. J'ai peur que ce soit un petit peu la même chose qui arrive au Mali. Le Mali souverain cherche à élargir son partenariat de sécurité et de défense, mais j'ai peur que ce soit un calcul à très très court terme. Au lieu de l'élargir, cela va plutôt le réduire. Si les Français de Sangaris n'étaient pas partis de Centrafrique il y a cinq ans, les Russes de Wagner seraient-ils arrivés ? Je ne sais pas répondre à cette question. Je note tout comme vous que c'est le retrait de Sangaris, qui finalement semble avoir permis l'arrivée des Russes. On n'est pas du tout dans le même schéma au Mali, puisque nous sommes encore très présents, nous, la France, au sein d'une coalition internationale importante, si on y ajoute la Minusma, les dix pays européens de Takuba, la force G5, ce qui n'existe pas en Centrafrique. La comparaison trouve très vite ses limites entre la Centrafrique et le Mali. Les Russes arrivent au Sahel au moment où les Français y sont de plus en plus contestés, comme le montrent les dernières manifestations au Burkina et au Niger, au passage du dernier convoi de ravitaillement de Barkhane. Cela sonne-t-il le glas d'une présence militaire française au Sahel ? Je ne crois pas que ça sonne le glas d'une présence militaire française. Je crois que ça nous montre la sagesse de la décision qui est de ne plus se mettre en première ligne, mais d'être moins visible, d'agir dans une configuration internationale. D'autant qu'il faut aussi admettre que derrière ces contestations, cette image dégradée, il y a quand même de sournoises manœuvres, dont on sait qui a les manettes, qui visent à dégrader l'image. Pensez-vous les mercenaires et paramilitaires de Wagner capables de repousser la menace jihadiste au Nord Mali ? C'est, je crois, la question qu'il faut vraiment se poser. Ce n'est pas avec 1000 mercenaires qui vont être isolés … Quand la force Barkhane était avec ses 5000 soldats, elle agissait au sein d'une coalition internationale beaucoup plus importante, avec entre 35 et 40 000 hommes. Là, on parle de 1000 soldats russes ou 1000 mercenaires qui vont être isolés, qui vont travailler avec les forces armées maliennes, j'imagine. Mais tout ce beau monde sera livré à lui-même. En termes d'efficacité, ce sera extrêmement difficile pour eux de tenir le terrain, ce sera quasiment même impossible. Ensuite, en Centrafrique, la société Wagner a montré à quel type de règles d'engagement elle obéissait ; et cette force s'est quand même illustrée par des exactions qui ont été pointées. On parle de plus de 200 exactions dans l'année. Ça fait quand même beaucoup. N'y-a-t-il pas des risques d'exactions aussi au Mali, certainement. Il y a des risques de tensions exacerbées. On peut se demander quelles vont être les réactions des communautés du nord en cas d'exactions, quelles vont-être les réactions de la population. Tout cela ne va pas concourir à redorer le blason de l'image des forces armées maliennes, si en plus elles s'affichent avec une force de mercenaires qui se comporte de la sorte. La junte au pouvoir à Bamako fait-elle appel à Wagner pour lutter contre les jihadistes ou pour se protéger elle-même ? On voit bien que la junte cherche à s'affranchir des règles que veut lui imposer la communauté internationale. Elle cherche à se maintenir, et finalement, c'est plus facile avec un partenaire qui ne vous demande pas de comptes politiques, face à une communauté internationale beaucoup plus exigeante sur ce plan. Mais on peut rajouter, derrière tout cela, que ce ne sera pas cadeau. Il y a quand même un prix à payer. On parlait de 10 millions de dollars par mois et la présence de géologues russes, à la recherche de gisements aurifères, et là aussi, ça nous ramène à la Centrafrique pour pouvoir régler l'addition.  Si c'est pareil au Mali, je ne pense pas que le Mali, vu l'état économique du pays, ait besoin de telles choses. Il y a un mois, les autorités françaises disaient que la présence de Wagner au Mali serait « incompatible » avec le maintien des Français au Mali. Mais aujourd'hui, concrètement, si Wagner débarque à Bamako, les Français vont-ils fermer leur base de Gao ? Je note que dans cette déclaration officielle de ces 15 pays, dont la France, on condamne, mais sans menacer de retrait. On n'en parle plus. On a l'impression qu'il y a une inflexion en effet dans le discours des Français ? En tout cas, on ne parle plus de retrait. Je crois que l'engagement français est toujours d'actualité, plus que jamais. Il cherche à s'adapter : on constate une présence moins visible, qui agit dans une configuration beaucoup plus internationale, donc moins en première ligne, en mettant plutôt en avant les contingents africains locaux. On sait bien aujourd'hui que la situation au Sahel ne pourra être réglée in fine que par les Sahéliens. Il faut une réponse sahélienne à une situation sahélienne, bien évidemment accompagnée par les alliés traditionnels. Donc, je crois que la présence française perdurera au Sahel, il n'y aura certainement pas de retrait. Finalement, les Français et les Russes ne vont-ils pas cohabiter au Mali ? N'est-ce pas l'espoir secret de la junte au pouvoir à Bamako ? C'est peut-être une possibilité. Si ce sont des coopérants militaires russes, après tout, le Mali est souverain, il a tout à fait le droit de faire appel aux partenaires qu'il souhaite. Dans ce cas-là, pourquoi n'imaginerait-on pas une cohabitation entre les militaires formateurs russes qui formeraient les contingents maliens, au même titre que la force Takuba continuerait son effort de formation vis-à-vis des contingents maliens et autres sahéliens ? Une cohabitation entre soldats français de Barkhane et mercenaires russes de Wagner est-elle possible ? Là, certainement pas. Je crois que, s'il y a confirmation de Wagner, on est au pied du mur. Il y aura une décision collective à prendre pour poursuivre ou non l'engagement. Les autorités maliennes le savent, et je pense que l'insistance avec laquelle les autorités maliennes démentent le fait que ce soit Wagner, mais affirment que c'est un contingent de coopérants militaires russes, prouve bien que les autorités maliennes cherchent quand même à ménager une présence internationale, dont le contingent français. ► À lire aussi : Wagner: l'annonce de quinze partenaires internationaux fait réagir

Bruno dans la radio
L'invité de Bruno - Clément, frère d'Orelsan et réalisateur de la série "Montre jamais ça à personne" !

Bruno dans la radio

Play Episode Listen Later Oct 26, 2021 10:07


Aujourd'hui, on a reçu Clément, le frère d'Orelsan et réalisateur de la série documentaire "Montre jamais ça à personne" ! Retrouvez Bruno sur Fun Radio avec Bruno Guillon, Christina, Pino, Karina, Maurine, Elliot et Mikka sur Funradio.fr et sur l'application Fun Radio.

Les interviews d'Inter
Opération Barkhane : "On est pris dans une équation infernale" juge le général Bruno Clément-Bollée

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Feb 16, 2021 7:33


durée : 00:07:33 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Huit ans après le début de l'opération Barkhane, quel bilan de la présence française dans le Sahel ? Le Général Bruno Clément-Bollée, expert des questions de sécurité en Afrique et notamment dans cette région, est l'invité de Mathilde Munos.

Le 5/7
Général Bruno Clément-Bollée

Le 5/7

Play Episode Listen Later Feb 16, 2021 120:11


durée : 02:00:11 - Le 5/7 - Sahel : 8 ans après le début de l'opération Barkhane, quel bilan de la présence française ? Général Bruno Clément-Bollée général de corps d'armée en 2ème section, expert des questions de sécurité en Afrique et notamment au Sahel est notre invité de 6h20

Mon idée QVT
Prise de parole : et si vous osiez défendre vos idées ?

Mon idée QVT

Play Episode Listen Later Nov 2, 2020 21:51


Qui n'a jamais eu le trac avant de prendre la parole en réunion ? Comment faire pour que votre présentation soit vraiment impactante ? Quels écueils éviter ? Comment réaliser des slides efficaces ?  Sébastien Bernard et Bruno Clément, fondateurs du cabinet de conseil en stratégie narrative, auteurs du livre "Prenez la parole : 10 séances d'autocoaching pour oser défendre ses idées" (Vuibert), vous explique comment vous exprimer de manière claire et convaincante, que ce soit à la machine à café, devant une salle pleine à craquer ou lors d'une visioconférence par écrans interposés. Structurer votre histoire, mettre en scène votre présentation, incarner votre projet, impliquer le public, gagner en confiance... Ce podcast va vous aider à lever les obstacles pour développer votre capacité d'influence et faire de la prise de parole en public un levier d'épanouissement au travail (et non plus une épreuve qui serre de nombreux estomacs !).

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une : la violence repart de plus belle dans le centre du Mali

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 14, 2020 4:09


« Les cercles de Bankass et de Bandiagara ont été pris pour cible dans la nuit de lundi à mardi par des individus armés non identifiés, causant la mort de 11 militaires et quelques 13 civils, relève le quotidien L’Indépendant à Bamako. C’est le plus lourd bilan enregistré depuis plusieurs mois au centre du pays en moins de 24 heures. (…) Ces attaques simultanées sont intervenues après des semaines d’accalmie au centre du pays. Et surviennent aussi, rappelle encore le journal, quelques jours après l’élargissement de plusieurs dizaines de djihadistes comme monnaie d’échange pour la libération de Soumaïla Cissé et des trois otages européens. » « On comprend dès lors la colère, la circonspection, voire le silence réprobateur des uns et des autres face à ce troc, soupire Aujourd’hui à Ouagadougou, un troc dont les conséquences pourraient annihiler le tort qu’on a voulu réparer. Si le 'festin' organisé à l’occasion du retour des enfants prodigues qui aurait été célébré vendredi dernier, sous le ciel festonné de Tessalit, si ce 'festin' est avéré, il ne faut pas s’étonner de ce qui s’est passé, dans la nuit de lundi à mardi, et qui va encore se répéter ailleurs. Les terroristes, que ce soit un territoire qu’ils revendiquent, une santé financière, des armes qu’ils veulent se procurer, n’ont plus d’autre job que ça, pointe encore Aujourd’hui, et il sera illusoire et puéril de croire que du jour au lendemain au détour d’un échange de prisonniers, leurs activités mafieuses au Sahel cesseront. » Un prix trop élevé ? « Sanglante amertume », renchérit L’Observateur Paalga, toujours au Burkina Faso : « ces récentes boucheries successives arrivent, en effet, quelques jours seulement après le troc humain de la semaine dernière (…). Un prix trop élevé pour certains qui estiment que cette remise en liberté des affreux contribue à alimenter le terrorisme, surtout quand on sait que parmi les relâchés, certains ont un pedigree de chiens enragés qui ont déjà planté leurs crocs assassins à Bamako, Ouagadougou et Grand-Bassam. Certes, remarque L’Observateur Paalga, ils n’ont pas eu le temps nécessaire pour renouer avec leurs habitudes criminelles ; certes encore, ce ne sont sans doute pas les mêmes katibas qui viennent d’ensanglanter le Mali, mais cette récente mare de sang apporte de l’eau au moulin de ceux qui ont toujours pensé que cet échange était une mauvaise affaire. Et ils n’ont pas si tort que ça. » Une autre doctrine ? Du coup, ne faudrait-il pas changer les règles du jeu ? Oui, estime Le quotidien en ligne Malikilé : « le temps n’est-il pas venu pour le Mali et au-delà pour les pays du Sahel à définir une doctrine commune et partagée sur l’attitude à observer sur les prises d’otages et les contreparties à consentir pour leur libération ? La règle doit désormais être claire et uniforme, estime le quotidien malien : ne pas médiatiser les prises d’otages, ne pas libérer de prisonniers aux mains tâchées de sang, ne jamais payer un kopeck de rançon et ne plus servir d’intermédiaires. Une telle démarche est sans doute plus facile à énoncer qu’à mettre en application. Mais c’est la seule façon de mettre un terme à une pratique assassine et à mieux assurer la sécurité de tous. » Que faire désormais au Sahel ? Plus largement, d’autres voix s’élèvent pour changer de doctrine au Sahel. Comme celle du général français Bruno Clément-Bollée, consultant international sur la sécurité en Afrique. Dans une tribune publiée par Le Monde Afrique, il s’interroge : avec « plus de 200 islamistes relâchés… comment poursuivre la lutte contre le terrorisme au Mali ? (…) La nouvelle a dû laisser pantois notre force (Barkhane) et ses alliés. (…) Il faut s’expliquer, estime le général Clément-Bollée. Avec les Maliens, il convient de savoir ce qu’ils veulent et redéfinir les règles du jeu. Avec nos alliés, il faut redéfinir les buts de cette guerre, l’effet final recherché. Que faire désormais au Sahel ? Contre qui nous battons-nous ? (…) Dans les conditions actuelles, mourir pour le Mali a-t-il encore un sens ?, s’interroge encore le général français (…) Peut-être faudra-t-il revoir notre posture, accompagnement d’une solution locale plutôt qu’imposition de la nôtre, avant d’imaginer la suite. Et en poussant un peu la réflexion, avec l’idée qu’une grande réconciliation est possible, ne se dessine-t-il pas en creux, conclut-il, les prémices d’une possible stratégie de sortie de crise pour Barkhane ? »

PARC Media
Olivier Morel | Philosophy, Pandemics, and America's Inability to Deal with Reality

PARC Media

Play Episode Listen Later Aug 12, 2020 66:05


A French and American scholar and filmmaker, Olivier Morel is the director of several feature-length nonfiction films (documentaries) and is the author of essays including one graphic novel with the artist and writer Maël. His academic work, as well as his films, highlight the importance of creation and the arts (music, literature, cinema, photography…) in the perception of historical events. He is a joint assistant professor at the department of Film, Television and Theatre, and the Department of Romance Languages and Literatures. While creating radio documentaries and working as a community organizer, Morel pursued a master’s and post-master’s degree in social sciences, philosophy and literature, at the University of Provence (Aix-en-Provence, France) under the supervision of Jean-François Mattéi, Bruno Etienne and Mustapha Khayati. He then studied at the École des Hautes Études en Sciences Sociales in Paris, France, where he attended Cornelius Castoriadis’s seminars as well as those of Jacques Derrida who has had a significant influence on his work. At the Collège International de Philosophie he attended Hélène Cixous’s seminar and has devoted several scholarly papers to this writer, playwright and thinker. He defended his doctoral dissertation (Ph.D.) at the University of Paris 8 in 2011 under the direction of Bruno Clément. After having coauthored several films for public and private television channels, his first feature nonfiction film On the Bridge (ARTE-TV “Grand Format,” France, Germany, USA, 2011) received many prizes in international film festivals. In On the Bridge young female and male soldiers of the US military give account of the crimes perpetrated during the war in Iraq (Operation Iraqi Freedom) through the prism of the severe post traumatic stress (PTSD) that they endured. The film was awarded the Second Jury Prize at the Baghdad International Film Festival (Iraq) in 2013. His third feature-length film explores Hélène Cixous’s poetic endeavors as well as her current activity as a “house playwright” of the Théâtre du Soleil. Become a Patreon: https://www.patreon.com/PARCMEDIA Follow Us on Twitter: https://twitter.com/Vince_EmanueleFollow Us on Facebook: https://www.facebook.com/1713FranklinSt/Follow Us on Instagram: https://www.instagram.com/parcmedia/?... #PARCMedia is a news and media project founded by two USMC veterans, Sergio Kochergin & Vince Emanuele. They give a working-class take on issues surrounding politics, ecology, community organizing, war, culture, and philosophy.

France Culture physique
Pourquoi la France continue-t-elle à faire la guerre hors de ses frontières ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Nov 11, 2019 38:40


durée : 00:38:40 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les Opérations Extérieures (OPEX) sont nombreuses: l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Centrafrique, la Syrie, le Mali... Partout les forces françaises se sont enlisées. Les opérations militaires hors de nos frontières sont-elles condamnées à l’échec ? Qu’est-ce qui justifie une intervention ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter - invités : Gérard Prunier ancien chercheur au CNRS, aujourd'hui consultant indépendant et spécialiste de la Corne de l'Afrique et son interface avec le monde arabe; Bruno Clément-Bollée général de corps d’armée (2S), consultant international en matière de sécurité en Afrique, ancien directeur de la coopération de sécurité et de défense au ministère des affaires étrangères; Daphné Benoit correspondante défense AFP; Grégory Daho maitre de conférences en science politique à Paris 1

Du grain à moudre
Pourquoi la France continue-t-elle à faire la guerre hors de ses frontières ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Nov 11, 2019 38:40


durée : 00:38:40 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les Opérations Extérieures (OPEX) sont nombreuses: l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Centrafrique, la Syrie, le Mali... Partout les forces françaises se sont enlisées. Les opérations militaires hors de nos frontières sont-elles condamnées à l’échec ? Qu’est-ce qui justifie une intervention ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter - invités : Gérard Prunier ancien chercheur au CNRS, aujourd'hui consultant indépendant et spécialiste de la Corne de l'Afrique et son interface avec le monde arabe; Bruno Clément-Bollée général de corps d’armée (2S), consultant international en matière de sécurité en Afrique, ancien directeur de la coopération de sécurité et de défense au ministère des affaires étrangères; Daphné Benoit correspondante défense AFP; Grégory Daho maitre de conférences en science politique à Paris 1

Les chemins de la philosophie
L'attente (2/4) : "En attendant Godot" de Samuel Beckett

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Jul 9, 2019 59:06


durée : 00:59:06 - L'attente (2/4) : "En attendant Godot" de Samuel Beckett - par : Adèle Van Reeth, Géraldine Mosna-Savoye - En 1948, Samuel Beckett rédige "En attendant Godot", pièce expérimentale qui emmène le spectateur dans un monde absurde dessiné par l'auteur, où deux vagabonds se retrouvent pour attendre ensemble Godot, un homme inconnu dont ils ne savent rien... Qu'attend-on vraiment dans "En attendant Godot" ? Première diffusion de cette émission le 18/12/2018, et première diffusion du Journal de la philo de Géraldine Mosna-Savoye, en fin d'émission, le 02/05/2019, à réécouter ici : D'octobre 1948 à janvier 1949, quand Samuel Beckett (1906-1989) rédige en Français une de ses pièces de théâtre emblématiques, En attendant Godot, c'est dans un contexte d'après-guerre. À cette époque, les pièces absurdes n'étaient pas comprises, trop expérimentales. La pièce dure deux heures et donne à vivre l'expérience des personnages, leur attente-même. Contre toute attente, En attendant Godot fut l'un des plus grands succès du théâtre d'après-guerre, traduit dans une vingtaine de langues et joué dans le monde entier. C'est avec cette pièce que Beckett est enfin reconnu. La pièce comprend deux actes. Les personnages principaux sont deux vagabonds, Vladimir et Estragon, qui se retrouvent sur une route de campagne pour rencontrer Godot, un homme qu'ils ne connaissent pas, et dont ils ne savent rien... Se joignent à eux deux autres personnages, Pozzo et Lucky. De Godot, nous n'apprendrons rien, et nous ne le rencontrerons pas. Quel est ce courant de pensée d'après-guerre dit de l'absurde qu'on rapproche de En attendant Godot ? Beckett avait-il un projet philosophique en écrivant cette pièce ? L'invité du jour : Bruno Clément, professeur émérite au département littérature de l'Université Paris 8 et ancien président du collège international de philosophie. L'équivocité de Beckett Il ne peut y avoir de discours univoque en littérature, qui fait profession d'équivocité. On l'observe particulièrement chez Beckett, on ne peut pas seulement parler d'attente, il y a forcément des enjeux poétiques, de fabrication des textes et des objets liés au mot attente.     Bruno Clément Malmener ce qui existe Beckett écrit "En attendant Godot" à une époque où il s'agit de malmener ce qui existe, en littérature, pour essayer de faire quelque chose de nouveau. Au risque de paraître un peu paradoxal, choisir pour une pièce de théâtre le thème de l'attente, c'est aller dans ce sens-là. Bien sûr, c'est impossible de dire qu'il n'y a aucune dimension existentielle dans la pièce, mais je voudrais donner l'idée que l'attente est la manière idéale pour un dramaturge qui est dans la disposition d'esprit de Beckett à cette époque-là, pour défaire ce qui existe. Qu'est-ce qu'une pièce de théâtre ? C'est un drame, une action, or annoncer dès le début qu'il n'y a pas d'action signifie que dans la tradition théâtrale occidentale, on va être complètement en porte à porte-à-faux pendant la pièce.     Bruno Clément L'attente du spectateur Chez Beckett, le temps de la représentation correspond exactement au temps de l'action qui est sur la scène. Ça commence en fin d'après-midi comme le début du spectacle et ça se termine quand la nuit arrive. On est en plan-séquence, en temps réel, le temps dure au spectateur comme aux deux personnages.     Je pense que l'absence d'action, l'ennui, fonctionne aussi de cette façon : l'adhésion ou le rejet (dans les premières représentations ce fut d'abord un rejet) tient au fait que la vraisemblance est absolument parfaite. Ce qui peut expliquer aussi la tendance forte que les critiques ont eu de tirer le texte du côté de ce qui est dit dans la scène : « on s'ennuie. » .     C'est une réussite du point de vue de Beckett, il réussit à faire en sorte qu'il n'y ait absolument aucune différence entre ce qui se passe sur la scène et ce que ressentent les spectateurs, l'idéal de tout dramaturge !     Bruno Clément Sons diffusés : La voix de Samuel Beckett en 1959 lors de la remise du prix Italia Extraits de En attendant Godot, Comédie Française, 1978, mise en scène de - invités : Bruno CLEMENT - Bruno Clément : professeur émérite au département littérature de l'Université Paris 8 et ancien président du collège international de philosophie - réalisé par : Nicolas Berger, Thomas Beau

Les Décodeurs RTBF
Les Décodeurs-RTBF - Notre-Dame et ses émission spéciales - 28/04/2019

Les Décodeurs RTBF

Play Episode Listen Later Apr 28, 2019 60:00


La cathédrale Notre-Dame a pris feu en direct sous nos yeux. Des images impressionnantes, bouleversantes, diffusées plusieurs heures durant dans les émissions spéciales des grandes chaines de télévision françaises. Ces émissions spéciales, Guillaume Grignard, chercheur en Sciences Politiques à l'ULB, les a vues et les a analysées. Il les qualifie, et ce sont ses mots, « d'une sorte d'abandon du journalisme ». Ce dimanche, il confronte son avis à celui, très différent, de Bruno Clément, rédacteur en chef des JT de la RTBF.