POPULARITY
Categories
Il pensait bien faire en trouvant la réponse sur son téléphone... Finalement, Nikos Aliagas va devoir faire un chèque pour l'auditeur qui aurait pu remporter 300 €. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Japon, l'histoire des 47 rōnin est sans doute la plus célèbre des récits de loyauté et de vengeance. Elle s'est déroulée au tout début du XVIIIᵉ siècle et est devenue, au fil du temps, une véritable légende nationale.Tout commence en 1701. Le seigneur Asano Naganori est chargé d'accueillir un émissaire impérial au château d'Edo. Mais il est humilié à plusieurs reprises par Kira Yoshinaka, un haut fonctionnaire corrompu et arrogant. Perdant son sang-froid, Asano dégaine son sabre dans l'enceinte du château, un acte interdit. Pour cette faute, il est condamné au seppuku, le suicide rituel, et ses terres sont confisquées. Ses samouraïs se retrouvent soudain sans maître : ils deviennent des rōnin, des guerriers errants.Au lieu d'accepter leur sort, quarante-sept d'entre eux décident de venger leur seigneur. Pendant près de deux ans, ils dissimulent leurs intentions : certains se font passer pour des ivrognes ou des miséreux, afin de tromper la vigilance de Kira. Puis, une nuit de l'hiver 1703, ils passent à l'action. Ils attaquent la résidence de Kira, la prennent d'assaut et finissent par le trouver caché dans un réduit. Ils le forcent à se suicider, et ramènent sa tête au tombeau de leur maître, accomplissant ainsi leur devoir de fidélité.Mais leur geste les place en contradiction avec la loi. Le shogun, conscient de l'admiration populaire que suscite leur acte, hésite longuement. Finalement, il décide de les condamner au seppuku, afin de respecter la justice tout en leur accordant une mort honorable. Les 47 rōnin se donnent la mort avec dignité, et leur mémoire entre dans l'histoire.Pourquoi cette histoire est-elle devenue si célèbre dans le monde ? Parce qu'elle incarne des valeurs universelles : la loyauté, le sacrifice, l'honneur. Au Japon, elle est enseignée comme un modèle du bushidō, le code d'honneur des samouraïs. Des sanctuaires et des tombes, comme celles du temple Sengaku-ji à Tokyo, attirent encore des milliers de visiteurs. Et cette légende a inspiré innombrables pièces de théâtre kabuki, films, mangas et même productions hollywoodiennes.En résumé, l'affaire des 47 rōnin n'est pas seulement une anecdote de l'histoire japonaise : c'est un récit fondateur, qui résonne bien au-delà des frontières du Japon. Elle rappelle la force des valeurs collectives, mais aussi le prix parfois terrible de la fidélité absolue. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que va décider le Hamas ? Toute la presse s'interroge ce matin, à l'instar du Figaro à Paris. « Accepter le plan Trump même sans garantie d'application, quitte à disparaître militairement ? Ou le refuser, quitte à creuser encore son isolement et le drame des Gazaouis ? Le Hamas n'a que de mauvaises options devant lui, constate le journal. Mais, s'interroge-t-il, sous une intense pression de tous les pays qui comptent – y compris de ses alliés qatariens et turcs – la formation intégriste, aujourd'hui disloquée militairement à Gaza, peut-elle dire non ? » Finalement, pointe le Times à Londres, « le Hamas doit choisir entre combattre ou capituler. Ou bien faire semblant de capituler, se fondant dans l'ombre en attendant des jours meilleurs ». D'ailleurs « qui mène la danse au sein du mouvement islamiste ? », s'interroge le quotidien britannique. « Les dirigeants politiques confortablement installés dans le Golfe ou les irréductibles qui contrôlent les otages dans le dédale de tunnels sous la bande de Gaza ? Les fanatiques qui résistent depuis près de deux ans capituleront-ils simplement pour sauver leur peau ? » Modifications ? Conditions ? Le Hamas en plein doute… « L'empressement avec lequel Donald Trump et Benyamin Netanyahu ont avancé leur plan pour mettre fin à la guerre à Gaza, avant-hier, a suscité la consternation au sein du mouvement islamiste, constate Le Monde à Paris. Ces dernières 48 heures, plusieurs de ses porte-paroles ont dénoncé un texte qui ne propose, selon eux, qu'une "reddition" pure et simple. Il apparaît d'ores et déjà difficile, pour ses chefs, de l'accepter sans modifications importantes. (…) Le mouvement islamiste ne veut pas apparaître comme le seul responsable d'un échec du plan de paix. Mais le fait que le retrait des troupes israéliennes ne soit pas un préalable au cessez-le-feu est un obstacle majeur ». D'après La Repubblica à Rome, « des sources arabes qui suivent de près les négociations à Doha s'attendent à ce que le Hamas finisse par accepter. La décision pourrait être prise d'abord par les dirigeants sur le terrain à Gaza, puis à Doha. Mais le mouvement islamiste devrait poser des conditions et demander un nouveau temps de négociation ». Ce qui est sûr, pointe encore le quotidien italien, c'est que « les États arabes du Golfe et des pays musulmans comme la Turquie et le Pakistan, font pression sur les négociateurs du Hamas pour qu'ils disent oui au plan de paix ». Embûches… Alors quand bien même le Hamas plierait, il resterait encore de nombreux obstacles… Pour le New York Times, « le plus grand risque désormais est qu'Israël et le Hamas affirment vouloir la paix sans pour autant prendre les mesures difficiles pour y parvenir. Benyamin Netanyahu pourrait ralentir le retrait israélien de Gaza et le Hamas pourrait tenter de conserver un rôle en coulisses dans la gestion de Gaza, chaque camp rejetant la faute sur l'autre. Dans ce scénario, les dirigeants arabes et américains devront faire preuve d'encore plus de courage. Les dirigeants arabes devront annoncer au Hamas qu'il est fini comme force politique à Gaza, puis appuyer cette déclaration en envoyant des troupes. Et Donald Trump devra obliger Benyamin Netanyahu à choisir entre son alliance nationale avec les extrémistes israéliens et l'alliance internationale d'Israël avec les États-Unis ». Urgence humanitaire Et pendant ce temps, soupire Haaretz à tel Aviv, « alors qu'Israël, Washington et le monde attendent la réponse du Hamas au plan de Trump, la situation sur le terrain reste impitoyable et meurtrière. Les otages continuent de languir dans les tunnels du Hamas, et le nombre de victimes à Gaza ne cesse de s'alourdir. Depuis le début de la guerre, 66 000 Gazaouis ont été tués et plus de 168 000 blessés. Parallèlement, la catastrophe humanitaire se poursuit. Les hôpitaux de Gaza souffrent d'une grave pénurie de médicaments et d'électricité, tandis que leur personnel est débordé. De nombreuses personnes sont encore coincées sous les décombres. Et la population civile erre d'un endroit à l'autre au milieu des ruines. C'est une situation intolérable qui doit cesser, s'exclame Haaretz, quelle que soit la réaction du Hamas à ce plan. Elle doit cesser au nom de la morale et de l'humanité. Cette guerre doit prendre fin immédiatement. »
À la mairie de Paris, Anne Hidalgo et d'autres élus ont dû dévoiler des notes de frais qu'ils auraient bien gardées pour eux. Un grand déballage qui fait très mal. Vous avez déjà vu des enfants sans surveillance devant un grand bocal de bonbons ? C'est ça la séquence note de frais de la mairie de Paris. Je rappelle les faits : Depuis des années, la mairie refuse de transmettre les dépenses d'argent public d'élus, demandés par des journalistes et des associations. La justice l'y a forcé. Depuis, nous, citoyens, constatons que l'argent public, notre argent, est consommé à grandes poignées, comme les bonbons du bocal. Ca concerne d'abord Anne Hidalgo. Anne Hidalgo qui se voit comme la cheffe d'Etat de la capitale de la mode et elle mène grand train. Elle achète sur notes de frais des robes Dior à 6000 e pour les événements. Finalement, c'est peut-être le moins problématique. Ce qui l'est, c'est l'achat de tout et n'importe quoi avec de l'argent public. Des jeans et de chaussures de plusieurs tailles. Ou des courses effectuées, les facturettes en témoignent... Pendant le conseil de Paris. Alors qu'elle était excusée, Anne Hidalgo, l'accro du shopping courait en fait les boutiques. La maire se défend en expliquant qu'elle n'a pas dépassé l'enveloppe vêtements. N'empêche, en quatre ans, 84.200 euros de fringues et 125.000 euros de voyages aux quatre coins du monde, ça pose question. Pourquoi faire ? Paris n'est pas seulement une confiserie, c'est aussi une agence de voyages, avec l'argent public. Elle n'est pas la seule Non : le maire du 18e arrondissement, Eric Lejoindre, n'y est pas allé avec le dos de la cuillère sur les notes de frais. Avec un faible pour les restaurants, y compris en famille le samedi soir :il se fait rembourser des menus enfants. Des tables étoilées Michelin, pour se remettre de distributions alimentaires pour les publics précaires - oui, les réseaux sociaux sont cruels et permettent de comparer les dates. Mais les citoyens ont aussi payé ses t-shirt, ses sweatshirts à capuche, ses écouteurs de téléphone, son coiffeur à la veille du réveillon. D'énormes notes de pressing. 6500 euros en quatre ans. Une bonne poignée de caramels à chaque fois qu'il passe à côté du bocal. Et personne n'a rien dit en validant ? Non, et c'est aussi ça qui est surprenant. La mairie affirme que l'Urssaf a tout validé. Alors que de de toutes évidence, des dépenses sortent du cadre qui justifie le remboursement d'une note de frais. “Des frais qu'un élu n'aurait pas eu à supporter s'il n'avait pas été élu”. Le parquet national financier a visiblement décidé de se pencher sur le dossier. Pour voir si aucun fonctionnaire n'avait piscine (ou baignade dans la seine) au moment d'émettre une objection sur ces dépenses somptuaires. Une morale ? A Paris, ville endettée de 9 milliards d'euros, qui se fait étriller par la Cour des comptes pour sa mauvaise gestion, les élus donnent à longueur d'année des leçons de sobriété, mais considèrent comme normal que les citoyens remplissent à ras bord leur bocal de bonbons. Une mentalité d'enfants gâtés au sucre Leurs péchés mignons sont notre ruine. Pas seulement financière. Les bonbons en trop grande quantité, c'est la crise de foie assurée. Les notes de frais sans décence, c'est la crise de foie. La crise de foi, mais sans e. La crise de foi dans la politique, dans la décence dans le respect des citoyens. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anthony Marcotte et Marco D'Amico sont de retour cette semaine avec une analyse approfondie de l'actualité impliquant les espoirs du Canadien. Ils discutent notamment de la lutte féroce entre Owen Beck et Oliver Kapanen et du camp formidable de Lane Hutson.Marco nous donne une mise à jour sur le début de saison d'Alexander Zharovsky en KHL et du contrat que Mason McTavish a FINALEMENT signé avec les Ducks. N'oubliez pas de vous abonner et d'activer la cloche pour recevoir des notifications lors de la publication de nos nouveaux contenus!
À la mairie de Paris, Anne Hidalgo et d'autres élus ont dû dévoiler des notes de frais qu'ils auraient bien gardées pour eux. Un grand déballage qui fait très mal. Vous avez déjà vu des enfants sans surveillance devant un grand bocal de bonbons ? C'est ça la séquence note de frais de la mairie de Paris. Je rappelle les faits : Depuis des années, la mairie refuse de transmettre les dépenses d'argent public d'élus, demandés par des journalistes et des associations. La justice l'y a forcé. Depuis, nous, citoyens, constatons que l'argent public, notre argent, est consommé à grandes poignées, comme les bonbons du bocal. Ca concerne d'abord Anne Hidalgo. Anne Hidalgo qui se voit comme la cheffe d'Etat de la capitale de la mode et elle mène grand train. Elle achète sur notes de frais des robes Dior à 6000 e pour les événements. Finalement, c'est peut-être le moins problématique. Ce qui l'est, c'est l'achat de tout et n'importe quoi avec de l'argent public. Des jeans et de chaussures de plusieurs tailles. Ou des courses effectuées, les facturettes en témoignent... Pendant le conseil de Paris. Alors qu'elle était excusée, Anne Hidalgo, l'accro du shopping courait en fait les boutiques. La maire se défend en expliquant qu'elle n'a pas dépassé l'enveloppe vêtements. N'empêche, en quatre ans, 84.200 euros de fringues et 125.000 euros de voyages aux quatre coins du monde, ça pose question. Pourquoi faire ? Paris n'est pas seulement une confiserie, c'est aussi une agence de voyages, avec l'argent public. Elle n'est pas la seule Non : le maire du 18e arrondissement, Eric Lejoindre, n'y est pas allé avec le dos de la cuillère sur les notes de frais. Avec un faible pour les restaurants, y compris en famille le samedi soir :il se fait rembourser des menus enfants. Des tables étoilées Michelin, pour se remettre de distributions alimentaires pour les publics précaires - oui, les réseaux sociaux sont cruels et permettent de comparer les dates. Mais les citoyens ont aussi payé ses t-shirt, ses sweatshirts à capuche, ses écouteurs de téléphone, son coiffeur à la veille du réveillon. D'énormes notes de pressing. 6500 euros en quatre ans. Une bonne poignée de caramels à chaque fois qu'il passe à côté du bocal. Et personne n'a rien dit en validant ? Non, et c'est aussi ça qui est surprenant. La mairie affirme que l'Urssaf a tout validé. Alors que de de toutes évidence, des dépenses sortent du cadre qui justifie le remboursement d'une note de frais. “Des frais qu'un élu n'aurait pas eu à supporter s'il n'avait pas été élu”. Le parquet national financier a visiblement décidé de se pencher sur le dossier. Pour voir si aucun fonctionnaire n'avait piscine (ou baignade dans la seine) au moment d'émettre une objection sur ces dépenses somptuaires. Une morale ? A Paris, ville endettée de 9 milliards d'euros, qui se fait étriller par la Cour des comptes pour sa mauvaise gestion, les élus donnent à longueur d'année des leçons de sobriété, mais considèrent comme normal que les citoyens remplissent à ras bord leur bocal de bonbons. Une mentalité d'enfants gâtés au sucre Leurs péchés mignons sont notre ruine. Pas seulement financière. Les bonbons en trop grande quantité, c'est la crise de foie assurée. Les notes de frais sans décence, c'est la crise de foie. La crise de foi, mais sans e. La crise de foi dans la politique, dans la décence dans le respect des citoyens. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disputes, querelles, prises de bec et autres engueulades font partie de notre quotidien. Que ce soit pour des petits riens, des chaussettes négligemment laissées sur le sol ou des raisons plus profondes, les causes de désaccord sont presque infinies. Si la dispute peut faire du bien et soulager, elle peut aussi nous figer dans le silence. D'autres préfèrent garder pour eux leurs griefs justement par peur du conflit. Il faut dire que la dispute a souvent mauvaise presse, on l'associe aux cris, aux pleurs, à la perte de contrôle de ses émotions et à la souffrance. Pourtant, c'est aussi un moment de sincérité pour exprimer ses limites. Finalement que racontent nos disputes ? Au lieu de la fuir, comment en faire une étape constructive pour préserver nos relations ? Avec : • Nicole Prieur, philosophe et thérapeute. Autrice de plusieurs livres sur les liens familiaux. Elle a co-écrit avec Bernard Prieur Disputez-vous bien ! Pour mieux vous comprendre entre proches (Robert Laffont, 2025) • Bernard Prieur, psychologue, psychanalyste, co-auteur avec Nicole Prieur de Disputez-vous bien ! Pour mieux vous comprendre entre proches (Robert Laffont, 2025). En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, elle s'intéresse aux figures africaines recréées grâce à l'intelligence artificielle. Programmation musicale : ► Badman - Queen Rima ► Tous les mêmes – Stromae.
Disputes, querelles, prises de bec et autres engueulades font partie de notre quotidien. Que ce soit pour des petits riens, des chaussettes négligemment laissées sur le sol ou des raisons plus profondes, les causes de désaccord sont presque infinies. Si la dispute peut faire du bien et soulager, elle peut aussi nous figer dans le silence. D'autres préfèrent garder pour eux leurs griefs justement par peur du conflit. Il faut dire que la dispute a souvent mauvaise presse, on l'associe aux cris, aux pleurs, à la perte de contrôle de ses émotions et à la souffrance. Pourtant, c'est aussi un moment de sincérité pour exprimer ses limites. Finalement que racontent nos disputes ? Au lieu de la fuir, comment en faire une étape constructive pour préserver nos relations ? Avec : • Nicole Prieur, philosophe et thérapeute. Autrice de plusieurs livres sur les liens familiaux. Elle a co-écrit avec Bernard Prieur Disputez-vous bien ! Pour mieux vous comprendre entre proches (Robert Laffont, 2025) • Bernard Prieur, psychologue, psychanalyste, co-auteur avec Nicole Prieur de Disputez-vous bien ! Pour mieux vous comprendre entre proches (Robert Laffont, 2025). En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, elle s'intéresse aux figures africaines recréées grâce à l'intelligence artificielle. Programmation musicale : ► Badman - Queen Rima ► Tous les mêmes – Stromae.
Pour le 12ème épisode de la saison, rencontre avec Lydie Nicol pour découvrir le monde syndical. Lydie est aujourd'hui Secrétaire Nationale à la CFDT, la 1ère organisation syndicale de France. Elle a commencé à travailler en tant que saisonnière pour financer ses études de droit : et c'est là qu'elle découvre le syndicalisme. Elle adhère en 2001 à la CFDT, elle prend un mandat syndical en 2003 en tant que salariée et ce pendant plus de 10 ans. Puis, elle passe de l'autre côté pour monter les échelons à la CFDT jusqu'à obtenir son poste actuel. Elle est aujourd'hui en charge de la politique en direction des jeunes, de la politique d'insertion et de lutte contre la pauvreté, de la politique de lutte contre les discriminations et de lutte contre le racisme, de la politique immigration, de la politique de développement et des pratiques syndicales”. Ensemble, nous avons échangé sur l'engagement syndical, sur l'impact que l'on peut avoir quand on est salarié mais aussi sur l'influence de structures comme la CFDT sur les transformations de la société. Finalement, nous avons surtout parlé de démocratie, de choix et de liberté. Pour me contacter : sur Linkedin ou par mail (jasmine.manet@gmail.com).Pour suivre Lydie et découvrir les ressources mentionnées dans l'épisode : Le tract intersyndical sur la lutte contre le racisme au travail ; Politique jeunesse : le CP sur les bourses signé avec la Fage ; Le dernier CP de dénonciation des décrets AME et le CP intersyndical pour se féliciter du retrait.
Sport et nutrition naturelle — Bien manger pour mieux Bouger
Mon expérience carb cycling a été plutôt efficace et pourtant j'ai pratiquement arrêté cette stratégie. En tout cas je ne me focalise plus autant dessus. Je vous propose donc un bilan de cette expérience et ce que je fais maintenant.Liens complémentairesTous les liens vers les anciens épisodes : https://sn.soulier.xyz/152La méthode SAM en 2 minutes (gratuit) : https://go.soulier.xyz/oksamsnMon programme Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolesnNouveauté : La Stratégie FlowFit pour bouger et plus et prendre du muscle (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitsnJ'ai commencé une expérimentation du carb cycling en janvier 2024. Au début je partais sur 1 mois puis 2 mois. L'objectif était de m'aider à perdre du poids et kilos en trop tout en testant cette stratégie souvent plébiscitée. Finalement j'ai poussé l'expérience jusqu'à l'été en adaptant les méthodes. Et puis finalement j'ai décidé de le délaisser malgré des résultats plutôt positifs.Dans cet épisode :pourquoi je voulais faire du carb cyclingmes trois types de journée le constat que j'ai fait en surveillant ma consommation de glucidesles bénéfices du carb cycling sur mon alimentation les difficultés que ça me posaitl'efficacité pour ma perte de grasles questions que ça m'amenait à me posercomment ça a changé négativement ma relation aux alimentspar quoi je remplace et quels sont mes grands principespourquoi le carb cycling à lui seul n'explique pas les bons résultatscomment je compose mes assiettes et mon focus sur les protéinesma régle concernant les féculentsl'injonction familiale contre laquelle je me bats (et essaie de ne pas transmettre)pourquoi j'ai eu d'aussi bons résultats après avoir arrêté le carb cyclingpourquoi il faut se méfier des solutions miracles (le syndrome de l'objet brillant)Nouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
Cette affaire est l'un des faits divers les plus célèbres et mystérieux de la France du XIXᵉ siècle. Elle mêle crimes sordides, rumeurs terrifiantes et un procès retentissant. Le décor : une auberge isoléeNous sommes sur le plateau du Gévaudan, en Haute-Loire, au début du XIXᵉ siècle. À l'époque, la route reliant Lyon à Toulouse est très fréquentée par des voyageurs, colporteurs et commerçants. Sur ce chemin se trouve une petite auberge isolée, tenue par Pierre et Marie Martin, un couple de paysans. Cette auberge, située à Peyrebeille, va bientôt devenir tristement célèbre sous le nom d'« Auberge rouge » en raison de la réputation sanglante qui l'entoure.Les rumeursTrès vite, des rumeurs commencent à circuler : des voyageurs y disparaissent mystérieusement. On raconte que les aubergistes attireraient leurs clients dans des chambres, puis les assommeraient avant de les dépouiller et de dissimuler les corps. L'imaginaire populaire évoquera même une sinistre méthode : un lit piégé basculant la victime dans une trappe, pour l'achever ensuite. Ces histoires terrifiantes, bien que jamais prouvées, forgent la légende noire de l'auberge.L'affaire éclateEn 1831, un colporteur est retrouvé mort non loin de Peyrebeille. Rapidement, les soupçons se tournent vers les époux Martin et leur domestique, Jean Rochette. L'enquête révèle que plusieurs disparitions pourraient être liées à l'auberge. Le couple est alors accusé d'avoir tué de nombreux voyageurs pour voler leur argent et leurs biens. Le chiffre de plus de cinquante victimes sera avancé par certains journaux de l'époque, mais il repose davantage sur des rumeurs et des exagérations que sur des preuves formelles.Le procèsLe procès s'ouvre en 1833 à Privas. Il passionne l'opinion publique, avide de sensations fortes. Les débats sont marqués par une forte charge émotionnelle et une presse avide de scandale. Les aubergistes sont décrits comme des monstres sans scrupules. Finalement, Pierre Martin, son épouse Marie et Jean Rochette sont condamnés à mort. Ils sont guillotinés le 2 octobre 1833 devant une foule considérable.Mythe ou réalité ?L'historiographie récente nuance beaucoup l'affaire. En réalité, les preuves contre les époux Martin étaient minces. Si leur culpabilité dans un ou deux meurtres paraît probable, l'image de tueurs en série méthodiques relève surtout de la légende, amplifiée par la presse et par l'imagination populaire. L'« Auberge rouge » est ainsi devenue un symbole : celui de la fascination morbide pour les crimes mystérieux dans la France du XIXᵉ siècle.HéritageAujourd'hui encore, l'auberge de Peyrebeille existe, transformée en musée. L'affaire continue d'inspirer livres, films et récits, entre réalité judiciaire et légende noire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, on reçoit Étienne Laurendeau, réalisateur et cofondateur de Front Kick Productions (https://www.frontkick.ca/), une boîte de production indépendante spécialisée en arts martiaux! On va bien sûr jaser de films et de ses projets, ainsi que de son parcours, mais aussi de sa passion pour les jeux de tables, notamment de son rôle de professeur en design de boardgames, mais aussi de sa passion pour les jeux vidéo, surtout les jeux de combat! En impression, Étienne nous parle de Metal Gear Solid Delta: Snake Eaters, le remaster / remake de Metal Gear Solid 3 disponible sur les consoles PS5 et Xbox Series, à savoir si c'est un jeu qui se permet réimaginer le classique comme Silent Hill 2 de Team Bloober, ou si c'est trop simple. Finalement en question, on discute de films de Wuxia, de meilleures scènes de combat, de red flags dans les emplois et des mécaniques de jeu les plus désagréables dans les board games! Bonne écoute! Pour voir les films de FrontKick sur Youtube: https://www.youtube.com/@frontkickproductions Diffusion originale: le 22 Septembre 2025► Pour nous supporter et accéder à du contenu exclusif: https://ko-fi.com/fredgemus ► Vous pouvez aussi nous suivre et laisser une note positive: C'est gratuit et le meilleur encouragement! ► Écoutez nous en direct au https://www.twitch.tv/elgemusio ► Pour suivre tous mes projets et m'encourager, visitez le https://fredgemus.com/ ► Rejoignez notre communauté Le HUB sur Discord: https://discord.gg/qPDEaYqzXt ► Musique par Rubis Desrenards. Découvrez le ici: linktr.ee/rudyberhnard► Montage et diffusion en audio: Fanie Grégoire au www.fanie.ca
C'est une des anecdotes les plus célèbres de l'histoire du rock : au départ, « Yesterday », la chanson mythique des Beatles, ne s'appelait pas ainsi. Paul McCartney l'a composée en 1964, mais quand la mélodie lui est venue en rêve, il n'avait pas encore de paroles. Pour mémoriser l'air et tester sa sonorité, il improvisa des paroles provisoires. Et comme il fallait bien trouver quelque chose qui colle au rythme, il choisit une phrase complètement banale :« Scrambled eggs, oh my baby how I love your legs… »Autrement dit : « Œufs brouillés, oh mon bébé, comme j'aime tes jambes… »Cette absurdité culinaire lui permettait simplement de garder en mémoire la mélodie. McCartney s'est longtemps demandé s'il n'avait pas plagié la chanson, tant elle lui paraissait naturelle. Il l'a jouée à ses proches et aux autres Beatles pour s'assurer que la mélodie n'existait pas déjà. Finalement rassuré, il a travaillé des mois avant de trouver les vraies paroles.Le titre définitif, « Yesterday », a surgi plus tard, quand McCartney a choisi d'écrire un texte mélancolique sur la nostalgie et la perte. Le contraste est saisissant : d'une blague sur des œufs brouillés, on est passé à l'une des ballades les plus bouleversantes de la musique moderne.Cette chanson, enregistrée en 1965, est devenue l'un des titres les plus repris au monde — plus de 2 000 versions recensées — et un symbole de l'écriture intime et universelle des Beatles.L'histoire des « scrambled eggs » est restée dans la légende comme un rappel amusant : même les œuvres les plus profondes peuvent naître d'une improvisation légère, voire ridicule. McCartney lui-même en plaisante encore sur scène, reprenant parfois la version « Scrambled Eggs » en concert pour raconter l'anecdote.En somme, si des œufs brouillés ont inspiré l'une des chansons les plus connues au monde, c'est parce qu'ils ont servi de paroles provisoires, un simple outil de travail pour ne pas oublier la mélodie. Comme quoi, derrière un chef-d'œuvre intemporel, il y a parfois… un petit déjeuner improvisé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une question qui intrigue, parfois dérange : où s'arrête la religion et où commence la secte ? Les deux semblent partager beaucoup de points communs : des croyances, des rituels, des chefs spirituels, des fidèles. Pourtant, dans notre imaginaire collectif, la religion est perçue comme respectable, intégrée, presque « normale », tandis que la secte inspire méfiance, voire peur.Historiquement, le mot « secte » n'avait rien de péjoratif. Dans la Rome antique, il désignait simplement un « courant » ou une « école de pensée ». Les stoïciens, les épicuriens, c'étaient des sectes philosophiques. Mais au fil du temps, le terme a pris une connotation négative, notamment avec l'essor du christianisme. Les premières communautés chrétiennes étaient elles-mêmes vues comme une secte par les Romains ! Ce qui montre bien que la frontière est mouvante et dépend du regard social.Alors, qu'est-ce qui fait la différence aujourd'hui ?La religion, au sens classique, rassemble un grand nombre d'adeptes sur une longue durée. Elle s'institutionnalise : elle a une organisation, une hiérarchie, un corpus de textes et surtout une reconnaissance sociale et culturelle. Le christianisme, l'islam, le bouddhisme… toutes ces religions sont ancrées dans l'histoire et reconnues par les États. Elles se transmettent de génération en génération.La secte, elle, est perçue comme marginale et fermée. Souvent centrée autour d'un gourou charismatique, elle fonctionne sur un rapport d'autorité très fort et peut exercer un contrôle sur la vie intime de ses membres : choix de vie, relations familiales, argent. Ce n'est pas tant le contenu des croyances qui la distingue, mais la manière dont elles sont imposées. En France, par exemple, une commission parlementaire a défini des critères : manipulation mentale, isolement social, rupture avec l'entourage, dérives financières ou sexuelles. Ce sont ces pratiques qui font basculer un groupe spirituel dans la catégorie « secte ».Mais la ligne reste floue. Car une religion universellement reconnue aujourd'hui a pu être qualifiée de secte hier. Et certains défenseurs de petites communautés spirituelles dénoncent une stigmatisation injuste. Finalement, la différence n'est pas seulement théologique ou organisationnelle, elle est aussi politique et sociale : une religion est une secte qui a « réussi », disent certains sociologues.Alors, religion ou secte ? La réponse dépend souvent du point de vue, du contexte historique et de la reconnaissance institutionnelle. Une chose est sûre : cette frontière, instable, révèle surtout combien la croyance est un phénomène humain, toujours en mouvement, oscillant entre quête de sens et besoin d'encadrement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Plongez dans la traque d'Edward Snowden, l'homme qui a révélé au monde l'ampleur de la surveillance de masse orchestrée par les États-Unis. Informaticien brillant, employé de la NSA, il choisit un jour de franchir la ligne. Lanceur d'alerte pour les uns, traître pour les autres, Snowden devient l'ennemi public numéro un de la première puissance mondiale. Fuite à travers les continents, documents secrets, révélations explosives… À chaque étape, la tension s'intensifie. Et tandis que Washington lance la chasse, Snowden façonne malgré lui son propre mythe — celui d'un homme seul face à l'État. Une cavale internationale Après le 11 septembre, la NSA justifie une surveillance massive au nom de la sécurité nationale.En 2013, Edward Snowden révèle l'ampleur de ce système et devient l'homme le plus recherché du monde. Traqué, il se cache à Hong Kong puis tente de fuir vers l'Amérique latine avec l'aide de Wikileaks. Bloqué à Moscou après l'annulation de son passeport, il demande l'asile à plusieurs pays, tous refusent. Finalement, seule la Russie l'accueille… Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Totò Riina, l'un des plus grands mafieux de l'histoire : un paysan sans pitié (1/4) [INEDIT] Totò Riina, l'un des plus grands mafieux de l'histoire : d'une guerre à l'autre (2/4) [INEDIT] Totò Riina, l'un des plus grands mafieux de l'histoire : un pouvoir total (3/4) [INEDIT] Totò Riina, l'un des plus grands mafieux de l'histoire : une guerre contre l'Etat (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[PARTENAIRE] Mieux consommer, sans se compliquer la vie, c'est possible Greenweez, ce sont +180 000 produits bio et engagés livrés chez vous, sans abonnement. Testez l'appli ou leur sur greenweez.com
Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes semblent obtenir plus facilement un emploi, une augmentation ou même de la sympathie… simplement parce qu'elles sont considérées comme belles ? Ce phénomène porte un nom : le pretty privilege, littéralement le privilège accordé à la beauté. Et ce n'est pas qu'une impression : la science le mesure, chiffres à l'appui.Le pretty privilege, c'est l'ensemble des avantages sociaux, professionnels ou personnels que reçoivent les individus jugés physiquement attirants. Il repose sur deux grands mécanismes psychologiques :D'abord le stéréotype de l'attractivité, ou l'idée que “beau = bon”.Ensuite, l'effet de halo : une caractéristique positive – ici la beauté – influence l'évaluation d'autres traits comme l'intelligence, la sociabilité ou la compétence.Concrètement, ces biais ont des effets très tangibles. Une étude menée sur plus de 43 000 diplômés de MBA a montré que les personnes considérées comme les plus attirantes touchaient en moyenne 2,4 % de plus par an, soit environ 2 500 dollars. Pour les 10 % les plus beaux, le bonus atteignait 11 %, soit plus de 5 500 dollars annuels.Une autre enquête menée aux États-Unis révèle que ceux qui se jugent “extrêmement attirants” déclarent gagner près de 20 000 dollars de plus par an que les personnes perçues comme peu attirantes. On parle là d'un salaire moyen de 64 000 dollars contre 44 000.Mais le phénomène ne s'arrête pas au monde du travail. À l'école déjà, les élèves jugés beaux sont perçus comme plus intelligents et bénéficient de la bienveillance des enseignants. Et même devant un tribunal, la beauté peut influencer : plusieurs recherches ont montré que les accusés séduisants reçoivent parfois des peines plus légères… sauf si leur délit est directement lié à leur charme, comme une escroquerie sentimentale.Dans la vie quotidienne, être perçu comme attirant facilite aussi les relations. Des études montrent que les visages considérés comme beaux sont plus “centrés” dans les réseaux sociaux : ils ont plus d'amis, plus de soutien, et bénéficient d'une meilleure estime d'eux-mêmes. À l'inverse, les personnes jugées peu attirantes déclarent plus souvent souffrir de détresse psychologique ou de dépression.Attention cependant : ce privilège a un revers. Maintenir certains standards de beauté coûte du temps, de l'argent, et peut nuire à la santé mentale. De plus, les personnes séduisantes peuvent aussi être victimes d'objectification ou de jalousie.Alors, le pretty privilege existe bel et bien, et la science le confirme : la beauté agit comme une monnaie sociale, capable d'influencer nos salaires, nos relations, voire la justice. Mais ce pouvoir n'est pas sans ambiguïtés. Finalement, c'est peut-être notre regard collectif, et nos biais inconscients, qui donnent tant de valeur à la beauté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ça sent le hockey! Les camps d'entraînement des équipes de la LNH s'amorcent cette semaine, et la Tasse de café met la table pour ce qui s'en vient d'ici le début de la saison, le 7 octobre. Dans cet épisode, Nicolas Ducharme, Guillaume Lepage et Jean-François Chaumont reviennent sur le tournoi des recrues qui s'est tenu à Montréal et discute des luttes pour un poste qui auront lieu au camp d'entraînement des Canadiens. L'équipe parle aussi de la situation au centre du deuxième trio et du statut de Patrik Laine. Finalement, nos journalistes parlent de la décision de Marc-André Fleury de disputer un dernier match ainsi que deux jeunes joueurs à surveiller chez les Sénateurs d'Ottawa lors du camp d'entraînement : Carter Yakemchuk et Xavier Bourgault. Bonne écoute! 5:15 – Retour sur le tournoi de golf des Canadiens 15:30 – Début du camp d'entraînement du CH 26:30 – Les postes à gagner à Montréal 33:00 – Le Tricolore doit-il bouger pour des renforts sur le deuxième trio? 41:30 – Un dernier match pour Marc-André Fleury 47:00 – Quel rôle pour Patrik Laine? 51:45 – Deux jeunes à surveiller chez les Sénateurs
Peut-on dire que tout le monde connaît Guy Savoy? C'est possible...On connaît son visage, on pense à son sourire... Pardois son nom à lui seul évoque inconsciemment la grande gastronomie.Alors pourquoi aller voir Guy Savoy alors que son exposition l'a déjà poussé des dizaines de fois à se raconter?Par envie d'abord: envie d'entendre de ses propres oreilles la vie d'un grand raconté par lui-même ... Et bien par goût du défi sûrement... Avec l'espoir de l'entendre nous dire quelque chose qu'on ne lui ait pas entendu ailleurs...Par curiosité surtout car les grands comme lui ont toujours des choses à transmettre et une manière de se raconter différente selon comment on les aborde...Nous sommes donc venu à lui, comme on revient parfois visiter un arbre, en espérant que ses fruits seront à ll'apogée de leur saveur, en espérant qu'on va tomber juste, pile (!) pour vivre un sacré moment.Et sans révéler le contenu de cet épisode, on a découvert bien plus que ce que l'on savait déjà. On a aussi, au delà de l'histoire, découvert un peu plus de l'homme et de son tempérament. Tantôt délicat, tantôt sanguin, parfois cherchant le mot juste, parfois emporté par son propos...On ne s'attendait pas forcément à assister à cette confrontation, ce balet des époques, des idées, des réflexions suspendues et des poings sur la table...On a tenu la barre mais par instant on s'est retrouvé à écouter sagement une histoire. Finalement on s'est fait surprendre souvent par des saveurs inattendues.Bref, on a découvert Guy Savoy et on espère que vous aimerez autant que nous l'entendre vous raconter son histoire... à sa manière!Restaurant Guy Savoy ***11 quai de Conti75006 PARIShttps://www.guysavoy.com/Production: NOLARéalisation: David Ordono, Nathan CohenCréation musicale: Nathan CohenJournaliste: David OrdonoHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello la famille ! Aujourd'hui dans Suis-je mauvais
Le café fait bien plus que seulement nous réveiller. Les objets insolites qu’on retrouve en prison. Debout les caves Les patrons pourront être tenus responsables si leurs employés font une crise cardiaque. La Zone à Marcoux - Est-ce qu’Étienne aura finalement son “En Direct de l’Univers”? La Roulette - Le fils de Martin a maintenant sa pleine autonomie La Minute à Martin - Des hommes prêts à abuser d’une (fausse) femme endormie - une enquête de Hugo Meunier pour Urbania. Des fêtes pour enfants qui dégénèrent. La Guerre des Crampes Danick en échappée: La blonde de Danick n’est finalement PAS ENCEINTE! Dans ta face Cloutier L’Instant incroyable: La mystérieuse disparition d’Agatha Christie. Débat: De la visite qui entre dans ta chambre à coucher - c’est oui ou non? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Un chauffeur de camion qui avait coûté la vie de 2 Québécois a finalement été arrêté. Entrevue avec Yves Poirier, journaliste à TVA Nouvelles. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La journée du 10 septembre avait été annoncé de longue date comme une journée de blocage. Finalement, quelque 175 000 personnes – 250 000 selon la CGT – ont participé en France aux centaines de rassemblements organisés. Le point commun des revendications : un sentiment de ras le bol, de désespérance. C'est dans ce contexte que le Secours Populaire publie ce matin son baromètre de la pauvreté et de la précarité. Un français sur trois estime le risque important de basculer dans la précarité dans les prochains mois. Pierre-Hugues Dubois reçoit Henriette Steinberg, secrétaire générale du Secours Populaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, on dresse le bilan complet du mercato estival du Stade Brestois, dirigé comme chaque année par Grégory Lorenzi. Arrivées, départs, bonnes surprises, éventuelles interrogations et gestion du budget (où est l'argent) : quelles ont été les grandes lignes de ce mercato ? Les départs de joueurs majeurs (Bizot, Camara et PLM) ont-ils été correctement compensés ?Analysons les choix de la direction sportive, leur cohérence avec le projet du club et ce qu'ils augurent pour la saison à venir en Ligue 1.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 9 septembre 2025 : "Le film Barbie finalement diffusé dans une école du 93" avec Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
Après la démission du Premier ministre François Bayrou, la situation politique en France se double d'une crise économique. Avec un déficit public à 5,5 % du PIB et une dette qui dépasse les 3 300 milliards d'euros, plusieurs pistes sont envisagées pour tenter de sortir de l'ornière. Mais chacune traduit une vision différente de la société. Durant son passage à Matignon, François Bayrou n'a cessé d'alerter sur la fragilité de la situation économique française. Son credo : réduire les dépenses publiques, limiter le recours au crédit et relancer la production par le travail. Mais cette ligne d'austérité modérée n'a pas convaincu, contribuant à son renversement politique. La gauche mise sur une fiscalité plus juste À gauche, la solution passe moins par la baisse des dépenses que par leur réorientation. L'idée : réduire certaines niches fiscales jugées inefficaces, qui pèsent près de 80 milliards d'euros par an, et faire davantage contribuer les hauts revenus et les détenteurs de capitaux. L'objectif affiché : protéger l'école, accélérer la transition écologique et rétablir plus d'équité dans l'effort collectif. La droite prône l'austérité radicale De l'autre côté de l'échiquier, la droite propose une cure sévère : suppression de certaines fonctions non régaliennes, privatisations, réduction du nombre de fonctionnaires et durcissement de l'accès aux aides sociales. Cette ligne vise à rétablir les comptes publics en serrant fortement la ceinture de l'État, quitte à risquer un frein à la croissance et des tensions sociales accrues. Finalement, une troisième voie semble émerger : celle d'un équilibre entre économies et hausse ciblée des impôts, défendue notamment par la Cour des comptes. Mais derrière les chiffres, c'est avant tout un choix politique et de société qui se profile pour l'avenir du pays. À lire aussiDéficit public: Italie, Espagne… que peut retenir la France de leurs politiques d'austérité?
Le 5 septembre, la Commission européenne a frappé fort en annonçant une amende de 2,95 milliards d'euros contre Google. Le motif : un abus de position dominante dans le secteur de la publicité en ligne. Selon Bruxelles, le géant américain aurait utilisé sa puissance économique pour limiter la concurrence et imposer ses propres solutions publicitaires, au détriment des annonceurs et des plateformes concurrentes.Cette décision s'inscrit dans une longue série de contentieux opposant l'Union européenne aux grandes entreprises de la tech américaine. Mais cette fois-ci, l'affaire prend une dimension plus politique. Car quelques heures après l'annonce, Google a dénoncé une sanction « injustifiée » et confirmé son intention de faire appel.De l'autre côté de l'Atlantique, la réaction ne s'est pas fait attendre : Donald Trump, fidèle défenseur des intérêts des géants technologiques américains, a accusé l'Europe « d'attaquer » Google. L'ancien président a menacé de représailles commerciales, évoquant le recours à la fameuse « Section 301 », qui permet aux États-Unis d'imposer des droits de douane punitifs. Bruxelles, de son côté, a réaffirmé son droit souverain à réguler le numérique, refusant de céder aux pressions politiques et économiques venues de Washington.Pas de démantèlement, mais une sanction exemplaireCertains observateurs s'attendaient à une mesure encore plus radicale : la séparation des activités publicitaires de Google. Finalement, la Commission a écarté cette option, mais insiste sur le fait que l'entreprise devra adapter ses pratiques pour se conformer au droit européen. L'amende record vise donc à dissuader les comportements anticoncurrentiels et à montrer que l'Union européenne est capable de réguler le marché numérique, même face aux mastodontes américains.Une semaine noire pour GoogleCette sanction européenne n'arrive pas seule. La même semaine, Google a été frappé par deux autres décisions judiciaires :Aux États-Unis, la Cour fédérale de San Francisco l'a condamné à verser 425,7 millions de dollars de dommages à 100 millions d'utilisateurs pour des atteintes à la vie privée.En France, la Cnil a infligé une amende de 325 millions d'euros pour des pratiques jugées abusives en matière de cookies publicitaires.En l'espace de quelques jours, Google a donc accumulé plus de 3,7 milliards d'euros de sanctions à travers le monde. Seule éclaircie pour l'entreprise : elle a échappé, le mardi précédent, à une décision qui aurait pu mener au démantèlement de son navigateur Chrome.En résuméL'amende européenne de près de 3 milliards d'euros illustre à la fois la volonté de l'UE d'affirmer son pouvoir de régulation et l'hostilité croissante entre l'Europe et les États-Unis sur la question de la souveraineté numérique. Pour Google, elle s'ajoute à une série noire de condamnations qui mettent en lumière les tensions permanentes entre innovation, concurrence et protection des consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste. - Christophe Bordet, journaliste. - Caroline Ithurbide, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Afghanistan, la population est en état de choc, une semaine après le séisme qui a frappé l'est du pays. La tâche des secours est difficile à cause du terrain, montagneux, courbé et qui bouge au gré des répliques. Plusieurs villages ne sont accessibles qu'en hélicoptère ou à pied, au prix de longues heures de marche. RFI s'est rendu dans le village de Ghonday, dans la province de Kunar, épicentre du séisme. Malgré la présence des pouvoirs publics, les habitants se sentent oubliés. De notre envoyée spéciale à Ghonday, Margot Davier Pour arriver jusqu'au village de Ghonday, dans l'est de l'Afghanistan, il faut compter plusieurs heures de voiture, puis marcher sur un chemin périlleux, entravé par de nombreux rochers. Sherzad, l'un des habitants, n'est pas très à l'aise. « Il y a des secousses tous les jours, presque toutes les heures. Tout est très fragile, et même là, au moment où je parle, j'ai peur que tout s'écroule », confie-t-il. D'ailleurs, son visage se fige à l'approche de son ancienne maison, qui paraît intacte de l'extérieur. Sherzad n'ose pas entrer, depuis le séisme, il préfère dormir dans une tente. « Plusieurs personnes ont été blessées ici et sont restées sous les décombres pendant des heures. Heureusement, au petit matin, nous avons enfin réussi à les évacuer et à organiser leur transport vers à l'hôpital. Je suis terrifié de rester à l'intérieur. S'il y a une secousse, les murs peuvent s'effondrer sur nous. Il vaut mieux sortir », témoigne-t-il. À l'angoisse des répliques, s'ajoute la peur de l'avenir. Sherzad, comme la plupart des hommes du village, est berger. Ses ressources se réduisent. « Nous en avons perdu plusieurs de nos animaux pendant le séisme. Ce sont ceux qui restent. C'est notre seul commerce. Nous sommes dépendants de ces animaux pour vivre. Nous n'avons rien d'autre : nous les vendons, nous prenons la laine, nous mangeons leur viande. On garde les chèvres ici. Normalement, elles gambadent dans la montagne, mais on préfère les garder ici par sécurité », détaille-t-il. Un peu plus loin, se trouve la demeure d'Abdul Sattar, l'un des frères de Sherzad. Il montre des ruines : « Mon frère dormait ici, sur le toit de la maison, et mes enfants se trouvaient à l'intérieur. Tout le monde dormait, quand le séisme a eu lieu. Le toit s'est effondré sur mes enfants, nous avons essayé d'évacuer tout le monde, mais les secours sont arrivés bien après car les routes sont en très mauvais état. Finalement, nous avons réussi à transférer tout le monde. On est contents, les talibans nous soutiennent beaucoup. Ils font du mieux qu'ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. » À ses côtés, Sherzad fait la grimace. « Leur soutien n'est pas très significatif. Ce n'est pas assez, nous avons besoin de reconstruction », déplore-t-il. « Mais ils prennent soin des blessés », lui rétorque son frère. Depuis une semaine, la vie des deux frères est suspendue. Deux ans minimum seront nécessaires à la reconstruction de la zone, selon les organisations sur place. À lire aussiAfghanistan: une semaine après le séisme meurtrier, des villages sont toujours inaccessibles
En Afghanistan, la population est en état de choc, une semaine après le séisme qui a frappé l'est du pays. La tâche des secours est difficile à cause du terrain, montagneux, courbé et qui bouge au gré des répliques. Plusieurs villages ne sont accessibles qu'en hélicoptère ou à pied, au prix de longues heures de marche. RFI s'est rendu dans le village de Ghonday, dans la province de Kunar, épicentre du séisme. Malgré la présence des pouvoirs publics, les habitants se sentent oubliés. De notre envoyée spéciale à Ghonday, Margot Davier Pour arriver jusqu'au village de Ghonday, dans l'est de l'Afghanistan, il faut compter plusieurs heures de voiture, puis marcher sur un chemin périlleux, entravé par de nombreux rochers. Sherzad, l'un des habitants, n'est pas très à l'aise. « Il y a des secousses tous les jours, presque toutes les heures. Tout est très fragile, et même là, au moment où je parle, j'ai peur que tout s'écroule », confie-t-il. D'ailleurs, son visage se fige à l'approche de son ancienne maison, qui paraît intacte de l'extérieur. Sherzad n'ose pas entrer, depuis le séisme, il préfère dormir dans une tente. « Plusieurs personnes ont été blessées ici et sont restées sous les décombres pendant des heures. Heureusement, au petit matin, nous avons enfin réussi à les évacuer et à organiser leur transport vers à l'hôpital. Je suis terrifié de rester à l'intérieur. S'il y a une secousse, les murs peuvent s'effondrer sur nous. Il vaut mieux sortir », témoigne-t-il. À l'angoisse des répliques, s'ajoute la peur de l'avenir. Sherzad, comme la plupart des hommes du village, est berger. Ses ressources se réduisent. « Nous en avons perdu plusieurs de nos animaux pendant le séisme. Ce sont ceux qui restent. C'est notre seul commerce. Nous sommes dépendants de ces animaux pour vivre. Nous n'avons rien d'autre : nous les vendons, nous prenons la laine, nous mangeons leur viande. On garde les chèvres ici. Normalement, elles gambadent dans la montagne, mais on préfère les garder ici par sécurité », détaille-t-il. Un peu plus loin, se trouve la demeure d'Abdul Sattar, l'un des frères de Sherzad. Il montre des ruines : « Mon frère dormait ici, sur le toit de la maison, et mes enfants se trouvaient à l'intérieur. Tout le monde dormait, quand le séisme a eu lieu. Le toit s'est effondré sur mes enfants, nous avons essayé d'évacuer tout le monde, mais les secours sont arrivés bien après car les routes sont en très mauvais état. Finalement, nous avons réussi à transférer tout le monde. On est contents, les talibans nous soutiennent beaucoup. Ils font du mieux qu'ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. » À ses côtés, Sherzad fait la grimace. « Leur soutien n'est pas très significatif. Ce n'est pas assez, nous avons besoin de reconstruction », déplore-t-il. « Mais ils prennent soin des blessés », lui rétorque son frère. Depuis une semaine, la vie des deux frères est suspendue. Deux ans minimum seront nécessaires à la reconstruction de la zone, selon les organisations sur place. À lire aussiAfghanistan: une semaine après le séisme meurtrier, des villages sont toujours inaccessibles
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 05 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le match contre Bublik devait être un premier test pour Jannik Sinner. Finalement on a assisté à une véritable correction de la part de l'Italien. 6/1 6/1 6/1. Grâce à cette victoire en 1/8e de finale de l'US Open, Sinner a signé une 25e victoire d'affilée en Grand Chelem sur dur. Il n'a plus été vaincu sur cette surface en Majeur depuis l'US Open 2023 ! Est-il devenue la référence absolue sur cette surface ? Dans la 2e partie de l'émission tops et flops de la nuit sans oublier les pronostics. Au menu : Lehecka vs Alcaraz et Djokovic vs Fritz ainsi que Pegula vs Krejcikova et Sabalenka vs Vondrousova.
Luc Dupont, professeur en communication de l'Université d'Ottawa, dresse un bilan estival du paysage médiatique numérique. Et souligne le basculement historique aux États-Unis : le streaming dépasse pour la première fois la télévision traditionnelle, poussant les géants des médias à revoir leurs modèles. Autre choc : en 2024, RDS a perdu plus d'argent que TVA Sports, reflet du recul des abonnés et des revenus liés au câble. Il note la faible consommation de contenus québécois chez les jeunes, une tendance qui menace l'avenir culturel local. Finalement, il illustre l'évolution des canaux de communication avec Taylor Swift, qui a annoncé son nouvel album et son mariage via podcast et Instagram, confirmant l'importance des plateformes numériques comme nouveaux points de contact incontournables.
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Didier et Marc-André font un survol de division Nord de la NFC. Est-ce que Jordan Love fera finalement preuve de constance avec ses performances ? L'attaque des Lions demeura redoutable malgré le départ de Ben Johnson ? On en parle avec Kevin Raphaël. Johnson pourra aider Caleb Williams à se développer ? Finalement, tout les espoirs des Vikings reposent sur J.J. McCarthy. Pour nous suivre sur nos nouvelles pages Facebook : https://www.facebook.com/lesacduquart Instagram : https://www.instagram.com/lesacduquart Pour vous inscrire à notre pool de football : https://fantasy.espn.com/free-prize-games/sharer?challengeId=265&from=espn&context=GROUP_INVITE&edition=espn-en&groupId=7432da3a-385b-4d71-8036-7c4cab8a8448 (00:00:00) Intro (00:00:41) Classement 2024 NFC Nord (00:01:51) Packers de Green Bay (00:24:08) Bears de Chicago (01:08:26) Vikings du Minnesota (01:27:08) Lions de Détroit (01:50:02) Classement des forces
Adrien Rabiot sera-t-il encore un joueur de l'Olympique de Marseille à la fin de l'été ? Son entraîneur, Roberto De Zerbi s'est montré ouvert à cette hypothèse après la victoire face au Paris FC, samedi 23 août.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les départs clandestins de pirogues depuis les côtes guinéennes vers l'archipel espagnol des Canaries se sont multipliés, en conséquence de l'accord migratoire conclu entre la Mauritanie et l'Espagne l'an dernier. Pourtant, la traversée depuis la Guinée peut durer une dizaine de jours et est extrêmement dangereuse. En 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras dénombre 10 457 morts dans l'Atlantique. Entretien avec Elhadj Mohamed Diallo, ancien exilé, qui dirige désormais l'Organisation guinéenne de lutte contre la migration irrégulière. RFI : La Guinée est devenue une alternative pour les candidats à la migration clandestine, notamment depuis la ville côtière de Kamsar. Pourquoi ce phénomène, selon vous, a-t-il pris de l'ampleur dans la ville ? Elhadj Mohamed Diallo : D'abord, la ville de Kamsar est une ville portuaire, où la pêche est beaucoup développée. La plupart des jeunes maîtrisent parfaitement l'océan. Ce sont des pêcheurs qui maîtrisent la conduite des pirogues. La situation aux îles Canaries est telle que des journalistes espagnols sont venus enquêter jusqu'en Guinée pour identifier les familles des disparus, racontez-nous. Lorsque des Guinéens sont arrivés dans les îles des Canaries – le troisième convoi au départ de Kamsar -, il y a eu un accident. Sept personnes sont décédées, dont deux enfants. Donc les journalistes se sont intéressés à la question. Ils nous ont contactés et ils sont venus sur le terrain pour identifier trois familles parmi les sept et après, ils sont venus à Conakry. On les a mis en contact avec des familles de disparus, et eux nous ont mis en relation avec des organisations qui travaillent sur les questions d'identification dans les autres pays. Il y a plusieurs familles qui sont identifiées, on est en train de mettre en place le collectif des familles de disparus. Et une fois que vous les identifiez, qu'est-ce que vous faites ? Parfois, un jeune décède dans un autre pays, mais la famille n'est pas identifiée. Donc, ils nous contactent. On accompagne la famille pour qu'elle puisse rapatrier le corps au pays et inhumer le jeune. On les accompagne aussi dans leur deuil et dans les démarches administratives. Lorsqu'un corps est identifié, il y a un tas de dossiers qu'il faut aller retirer à la justice ou à la mairie. Parfois, les familles ne sont pas informées. Nous accompagnons les familles dans toutes ces démarches, s'ils décident de rapatrier le corps ou pour qu'ils aient les documents nécessaires pour engager des procédures auprès des tribunaux. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar Alors concrètement, comment ça se passe ? Ce sont des passeurs qui sont, disons, des « professionnels » et qui ouvrent un nouveau point de passage ? Ou est-ce que ce sont des pêcheurs ou des personnes sur place, à Kamsar, qui se lancent dans le marché de la migration par opportunisme ? Le premier convoi, c'était des pêcheurs. Comme le Sénégal est un pays frontalier, on se dit que s'il y a des voies de passage depuis le Sénégal, nous aussi Guinéens pouvons tenter. Donc c'est comme ça qu'ils ont commencé. Un groupe d'individus étaient là en train de travailler, ils se sont réunis, ils ont formé leur convoi et ils sont partis. Ca a même échappé aux autorités. Pour le moment, on n'a pas pu avoir des informations sur les passeurs, on est en train de faire des recherches. Mais bon, vous savez, c'est une question très compliquée de former un groupe de réseaux. Ça peut être des compatriotes qui étaient déjà en Mauritanie ou au Sénégal et qui reviennent en Guinée, ou ça peut être aussi des gens issus du réseau marocain qui se ramifie jusqu'en Guinée. Ce sont des réseaux qui sont vraiment professionnels. On doit planifier le terrain, il faut identifier qui doit être impliqué, qui ne doit pas être impliqué aussi. Ça va prendre du temps. Mais quand même, il y a eu pour le moment trois ou quatre convois qui sont partis et le mois dernier, les autorités ont arrêté pas mal de groupes de personnes qui étaient prêtes à partir. Deux convois ont été arrêtés au mois de juillet. Un autre convoi a été arrêté en Mauritanie où il y avait des Guinéens, des Sénégalais et d'autres nationalités. Vous voulez dire qu'en fonction des politiques migratoires des pays pourtant voisins, le point de départ peut changer ? Pas forcément les politiques migratoires en soi. Ça peut être peut-être la façon dont on est en train de réprimer les migrants, ou bien comment on est en train de durcir un peu les politiques migratoires. C'est une chaîne, en fait. Ça a commencé par le Maroc, puis le Maroc a « fermé » sa voie d'accès. Puis la Mauritanie, le Sénégal où ça devient de plus en plus difficile. Finalement, les points de départ s'éloignent de plus en plus. Et certainement demain, quand on va « fermer » la Guinée, peut-être que c'est Sierra Leone, le Liberia ou la Côte d'Ivoire qui seront concernés. En ce qui concerne le réseau des passeurs, ce n'est pas seulement la Guinée qui doit y travailler. Il faut que les pays collaborent, que ça soit une coordination entre les États parce que ces passeurs sont des criminels. Ça, il faut le dire. Quand vous voyez ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie, vous comprendrez pourquoi les pays doivent coopérer pour pouvoir travailler sur cette question. Est-ce que vous avez pu dresser un profil des personnes qui prennent la mer ? Ce sont des familles avec des enfants, parce qu'ils sont convaincus qu'avec des enfants, on vous donne des papiers en règle dès votre arrivé. Donc, ils prennent toute la famille pour partir. En majorité, c'est des jeunes de 17 à 35 ans. Mais il y a également des vieux, des femmes, des enfants, des intellectuels, des étudiants, des non-étudiants... C'est les mêmes personnes, des fois, qui avaient envie de partir mais qui n'en avaient pas la possibilité. Avec 15 millions de francs guinéens [1 500 €, NDLR], ils vont migrer depuis Kamsar. À lire aussiMauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même» Alors même que la communication habituelle des autorités et la sensibilisation communautaire martèlent que le risque de partir clandestinement, c'est très dangereux, que la Guinée ou même l'Afrique en général, a besoin de bras pour se construire et que les politiques migratoires, vous l'avez dit, sont de plus en plus dures. Pourquoi, selon vous, les jeunes continuent de tenter « l'aventure », comme on l'appelle en Afrique de l'Ouest ? On est tous d'accord que d'abord, la migration, c'est un fait naturel. Deuxièmement, il y a une communication sur les réseaux sociaux qui dit que l'Allemagne ou la France ont besoin de plus de main-d'œuvre et les jeunes ont besoin de travailler. Mais quand vous prenez le cas spécifique de la Guinée, la majeure partie des jeunes Guinéens ont perdu confiance non seulement en l'intellectuel guinéen, mais aussi en la République de Guinée. Même s'ils avaient des milliards en poche, ils n'auraient pas envie d'investir dans ce pays parce qu'il y a une totale perte de confiance. Même si ces jeunes sont des intellectuels, même si vous leur trouvez un travail, ils vont chercher un moyen de transport pour quitter le pays parce qu'ils n'ont plus confiance en la République. À une époque, on avait des tee-shirts qui disaient La Guinée est mon avenir. Il y a un jeune qui m'a interpellé un jour, en me disant : « Tu penses qu'il y a une possibilité de réussir dans ce pays où un Premier ministre te dit qu'une région n'a pas le courant parce qu'un Chinois est mort ? » [en 2018, l'ex-Premier ministre Kassory Fofana avait justifié l'absence d'électricité à Kankan par le décès prématuré de l'investisseur chinois choisi pour le projet, NDLR] Vous voyez la mentalité ? Au début de ce mois, 49 Sénégalais ont quitté la Mauritanie en pirogue, se sont perdus en mer et ont finalement pu atteindre les îles Canaries en s'accrochant à une barge remorquée par un navire européen. Comment vous expliquez une telle détermination chez les jeunes Africains, avec pourtant un énorme risque de se faire arrêter ou pire, de mourir, tout simplement ? Vous interrogez dix jeunes aujourd'hui sur pourquoi ils sont prêts à prendre ces risques-là. Ils vous diront que dans l'état actuel des choses, ils sont comme déjà morts. Donc pour eux, il vaut mieux aller mourir ailleurs et peut-être réussir, que de rester ici et mourir. C'est comme un jeune avec ses parents, s'il n'a plus confiance, il va quitter la maison. Donc quand on n'a plus confiance en notre nation, on va forcément la quitter. C'est ce qui arrive en l'Afrique de l'Ouest, surtout au Sénégal et en Guinée. Quand dans un pays, même manger devient un luxe, ça devient un problème. Il y a donc la communication sur les réseaux sociaux et aussi cette question politique qui motive de nombreux jeunes à partir. Et on comprend parfois leur motivation, ils veulent tout simplement vivre en paix. À lire aussiLa France peut-elle se passer d'immigration ?
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 19 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Invité : -Alexandre Malafaye, président du think tank Synopia Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Judith et Axel parlent de l'amitié à l'âge adulte
En révisant les images de la caméra de sécurité à l'extérieur du penthouse de Jonathan Creel, Chuck Chicago découvre une personne - ou une chose? - sur la vidéo, laissant croire à une influence externe sur la mort suspecte du cadre de Wallace Corporation. Pendant ce temps, Vincent Morel réalise que des informations sur la réplicante et assistante personnelle de Creel, Iris, semblent avoir été occultées. Finalement, un appel placé à la patronne de Jonathan oriente nos enquêteurs vers certains collègues de travail et la veille mère de Creel...Allons donc rejoindre nos blades runners, soit:le détective Chuck Chicago, joué par Jean-Philippe Décarie-Mathieu;le fixer Vincent 'V' Morel, joué par Jonathan Papin;le gros bras Marcus Creed, joué par Martin Durette;l'analyste Richard 'Rich' Richards, joué par Ian Richards.Votre game runner est Benoît Gagnon.Bonne partie!
Finalement, il n'est peut-être jamais trop tard.Et pourtant, sur GDIY, “plus tard c'est trop tard” fait partie du vocabulaire.J'en suis plus sûr depuis que j'ai enregistré avec cette femme exceptionnelle d'une simplicité incroyable.À 81 ans, Perla Servan-Schreiber est fière de son âge et partage sa philosophie de vie, celle qui a guidé ses pas vers une vie hors du commun.Elle débarque à Paris juste avant mai 68 et assiste avec émerveillement à un changement d'ère qui allie féminisme, libération des mœurs, âge d'or de la presse et de la pub.Sans argent, Perla débute un métier dont elle ignorait l'existence grâce à une rencontre hasardeuse. Elle devient publicitaire de presse pour le magazine ELLE alors géré par Marcel Bleustein-Blanchet.Elle développe des concepts avant-gardistes à l'époque crée ce qui s'appellera plus tard le “brand content”.À plus de 40 ans, elle rencontre l'homme de sa vie, Jean Louis Servan-Schreiber avec qui elle reprendra Psychologie Magazine dix ans plus tard.En baronne de la presse, elle fait exploser les ventes allant jusqu'à 400 000 exemplaires par numéro, avant que le groupe Lagardère n'en fasse l'acquisition.Quand on lui demande quelle est la recette du succès, sa réponse est presque frustrante de simplicité : la chance et la joie.Passionnée de cuisine, Perla a écrit de nombreux livres de recettes et essais sur sa philosophie de vie. Parmi ses meilleurs conseils :Les clefs pour vieillir sain et heureuxLimiter ses possessions pour rester libreComment écrire pour soi et pour les autresLa danse des relations hommes-femmes au fil de sa vieComment nourrir ses relations (littéralement)Un épisode qui fait voyage et donne de l'espoir. À écouter impérativement pour quiconque se sent incertain vis-à-vis du futur ou cherche l'émerveillement de sa vie.TIMELINE:00:00:00 : Garder la flamme à 81 ans00:14:15 : Rejoindre le monde de la presse ‘par hasard'00:20:24 : L'enchantement des années 60 et 7000:27:44 : La folie des miracles : pourquoi il faut suivre son intuition00:37:24 : Le secret de la réussite de Psychologie Magazine00:53:13 : Ce qui compte vraiment dans la vie01:08:42 : La newsletter de Perla01:11:56 : Son enfance et sa relation aux hommes01:20:35 : L'importance de l'amitié en nourrissant la gourmandise de façon diabolique01:34:19 : La vente à Lagardère et le déclin de la presse01:50:43 : Comment les réseaux sociaux dévorent notre temps01:53:35 : La journée type (et joyeuse) de Perla à 81 ans01:58:52 : Jean-Louis, livres et simplicitéLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #470 - Maurice Lévy - Publicis - Faire de la publicité son empire#373 - Benjamin Cardoso - The Polar Plunge - Faire de son corps une Ferrari#445 - Alex Berger - Producteur - Le Bureau des Légendes : la série française qui a conquis le mondeNous avons parlé de :Les dimanches de Perla Servan-Schreiber (sa newsletter)Psychologies MagazineJean-Louis Servan-SchreiberELLEMarcel Bleustein-Blanchet (publicitaire français)Daniel Filipacchi (éditeur français)Marie ClairePNL : Programmation neuro-linguistiqueBruno Kemoun et Eryck Rebbouh (KR Media)Villa MariaFrançoise Sagan (écrivain)Groupe LagardèreCafé VerletCinéma Le BalzacNewsletter de MattLes recommandations de lecture :Intimités: Au fil des jours (Perla)Ce que la vie m'a appris (Perla)Noces suivi de L'ÉtéL'enchantement simpleVous pouvez contacter Perla sur LinkedIn, Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a huit mois, le 8 décembre 2024, une coalition de rebelles syriens prenait le pouvoir à Damas, mettant fin à un demi-siècle de règne de la famille Assad. Ravagée par onze ans de guerre, la Syrie d'aujourd'hui affronte d'immenses défis. Une grande partie de sa population vit en exil, notamment en Turquie, qui a accueilli jusqu'à quatre millions de réfugiés. Depuis l'instauration d'un nouveau régime à Damas, une petite partie d'entre eux a fait le choix de rentrer en Syrie. Mais la très grande majorité continue à vivre en Turquie, tiraillée entre le désir de retrouver leur pays et les doutes sur son avenir. De notre correspondante à Ankara, Cette voix rieuse au bout du fil, c'est celle de Hibe, Syrienne réfugiée en Turquie, le 8 décembre 2024, matin de la chute de Bachar el-Assad. « S'il y a quelque chose au-delà du bonheur, c'est ça que je ressens. J'ignore comment et par qui notre pays va être dirigé maintenant. Mais peu importe, puisque le tyran est parti. Nous, inch'Allah, nous allons rentrer très bientôt », espérait-elle alors. Près de huit mois plus tard, Hibe est toujours là, assise dans la cafétéria d'une clinique d'Ankara où elle vient juste d'être embauchée comme traductrice. Elle explique qu'elle est tiraillée entre son cœur qui lui dit de partir et sa tête qui lui dit de rester. « Jamais, je n'aurais imaginé qu'il serait si difficile de prendre la décision de rentrer en Syrie. Mais les nouvelles ne sont pas bonnes. La Syrie n'est pas un lieu sûr. Israël a bombardé Damas, il y a eu les violences à Soueïda. Quand on voit ça, comment rentrer ? Comment rentrer avec des enfants ? La plupart des Syriens en exil pensent comme moi. Avec un groupe d'amis, on s'était dit qu'on rentrerait cet été, pendant les vacances scolaires. Finalement, personne n'est parti, à part un seul de mes amis. Il m'a appelé d'Alep l'autre jour. Il m'a dit : "Hibe, ne viens pas, surtout pas" », confie-t-elle. À Alep, où elle est née, qu'elle a quitté il y a 13 ans, Hibe n'a plus rien. Sa maison est détruite, toute sa famille a fui. En Turquie, elle a un logement, un travail et surtout deux enfants, nés et scolarisés ici. Et puis son mari, Syrien, vit en Autriche depuis trois ans. Il y a l'espoir, même très mince, qu'il parvienne à les faire venir. À 31 ans, Hibe voudrait enfin regarder devant elle. « Je suis fatiguée, j'ai l'impression que notre avenir n'a jamais été aussi incertain. Combien de fois dans une vie peut-on repartir de zéro ? », s'interroge-t-elle. Selon les autorités turques, environ 300 000 Syriens sont rentrés de leur plein gré depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, contre 2,7 millions qui vivent toujours dans le pays. Trois cent mille, c'est relativement peu, mais cela ne surprend pas Burçak Sel, cofondatrice de Dünya Evimiz, une association d'aide aux réfugiés à Ankara. « Même si la Syrie a un dirigeant et un pouvoir qui la représentent, il y a aussi un grand vide d'autorité. Le pays n'est pas sous contrôle. Les besoins élémentaires en eau, électricité, logement ne sont pas garantis. Il faudra des années pour réparer et retrouver la stabilité. Les Syriens le savent, c'est pour ça qu'ils restent en Turquie alors même que leurs conditions de vie, à cause de l'inflation et du racisme, y sont de plus en plus difficiles. » Burçak Sel estime qu'Ankara devra trouver un nouveau statut pour les Syriens qui restent, la loi actuelle ne leur accordant qu'une « protection temporaire ». C'est notamment le cas de 1,3 million d'enfants, dont l'immense majorité est née en Turquie et n'a jamais vu la Syrie. À lire aussiSyrie: plus de deux millions de déplacés rentrés chez eux depuis la chute de Bachar el-Assad, selon l'ONU
Le sexe est une activité aux multiples bienfaits, mais parfois, cela peut aussi devenir une source d'angoisse. En effet, il faut coller à la norme. Finalement, le sexe, qui se révèle être de ce qu'il y a de plus intime, adhère à une forme de pression sociale. Et ça peut vite gâcher vos parties de jambes en l'air… D'après Grazia, une enquête de la marque Amorelie, révèle que 39% des 2000 personnes sondées déclarent avoir des relations sexuelles plusieurs fois par mois. Pour 31%, c'est plusieurs fois par semaine, tandis que 19% déclarent une fréquence inférieure à une fois par mois. Enfin, ils sont 7% à expliquer ne jamais avoir de relations sexuelles et seulement 4% à dire en avoir tous les jours. Y a-t-il une fréquence moyenne aux rapports sexuels ? Est-ce c'est similaire pour les hommes et les femmes ? Idéalement, à quelle fréquence faudrait-il faire l'amour ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Qu'est que le Plan Madagascar du IIIe Reich ? Réduire son empreinte carbone : quels sont les gestes qui comptent vraiment ? Faut-il couper l'électricité pendant un orage ? Suivez Bababam sur Instagram. Date de première diffusion : 30/11/2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Finalement, la Fed pourrait bien baisser ses taux en septembre. C'est le nouveau pari préféré des investisseurs, celui qui a permis aux indices de rebondir assez fort hier. De quoi tenir en haleine les marchés jusqu'à la mi-septembre et atténuer le bras de fer qui se poursuit entre les Etats-Unis et plusieurs économies sur les droits de douane, Inde en tête.
Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Victor Pourcher.
En Centrafrique, la course de pirogues est un sport sacré chez les riverains, pratiqué en grande pompe dans les quartiers et villages situés au bord de la rivière Oubangui, au sud-ouest de la capitale Bangui. La course de pirogues permet généralement aux différentes communautés de se confronter pacifiquement sur l'eau. Chaque année, une compétition est organisée sur la rivière Oubangui pour commémorer le 1er décembre, la fête nationale du pays. De notre envoyé spécial à Modalé, Au village de Modalé, à 30 km de la capitale de Centrafrique, dans la Lobaye, le chef organise de temps en temps des courses pour sélectionner les meilleurs piroguiers en vue de représenter le village. Aux abords du quai de Lakéré, 10 pirogues en bois sont sur la ligne de départ. Chaque embarcation est composée de 12 rameurs, dont trois remplaçants. Les équipes n'ont pas de gilets de sauvetage, mais se distinguent par leur maillot. Quand le top est donné, les pirogues s'élancent à vive allure, cadencées par des coups de pagaies. « La course de pirogue représente notre identité remarquable. Notre village a déjà enregistré 15 victoires aux compétitions nationales. Nous sommes nés et avons grandi au bord de l'eau. C'est pour dire que la course relève de notre domaine. Cette course locale est importante afin de préparer notre équipe aux compétitions à venir. Nous nous préparons depuis trois mois », explique avec enthousiasme Constant Charbardo, l'un des organisateurs. Les équipes doivent parcourir 500 mètres avant d'arriver au point de départ où les vainqueurs seront distingués. La compétition se déroule sous les regards attentifs d'une centaine de spectateurs curieux. Manuella Tondo est l'une d'entre eux. « La course de pirogue, c'est un vrai moment de bonheur et de partage. Il faut être là pour savourer ce qui se passe. Cela me donne aussi envie de participer. Regardez vous-même comment les gens sont mobilisés. C'est une source de cohésion, car presque tous les habitants du village sont là », se réjouit-elle. Les piroguiers sont encouragés par moult chants et acclamations. Finalement, c'est l'équipe des Martyrs de Modalé qui a remporté la manche. Âgée d'une trentaine d'années, Malcom Dagbia, l'un des piroguiers, mesure 1,95 mètre. Ses coéquipiers le surnomment Goliath. « À la base, je suis un pêcheur et c'est ce qui fait ma force. Les mots me manquent pour décrire ce que je ressens. Cette victoire représente le fruit de notre dur labeur. C'est un sport très technique et physique. On s'est bien entraîné et chacun de nous est conscient de son rôle », déclare-t-il, ému et encore essoufflé. Dans ce village, la plupart des piroguiers sont des pêcheurs. Bien que son équipe occupe la dernière place, Hector Nadji est sûr d'être sélectionné : « On fait cette course pour la fierté de notre village. Je félicite les équipes qui ont occupé les meilleures places, elles ont fait un bon départ. J'ai une équipe jeune et la plupart ne savent pas encore bien nager, c'est pourquoi elles ont ramé avec prudence. Mais ces jeunes représentent l'avenir de notre village. Je suis un guerrier, j'espère que les organisateurs vont me sélectionner. » Selon la direction des sports traditionnels, une fédération dédiée aux courses de pirogues sera créée cette année pour permettre à la Centrafrique de participer aux compétitions internationales. À lire aussiSports traditionnels: le festival Êlê, plus qu'une course de pirogues en Côte d'Ivoire [3/10]
durée : 00:06:30 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous explorons le nouveau paysage des musiques populaires en France. Aujourd'hui, un artiste entré dans la carrière de comédien à l'âge de douze ans et qui a pris son temps avant d'écrire et enregistrer en français - avec succès. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.