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Fils de poissonniers d'un petit village de province, Frédéric Bardeau a vécu 1001 vies. À ses 20 ans, il balançait des pavés aux CRS pour protester contre le G8, ce qui ne l'a pas empêché de faire ses classes à Saint-Cyr ou encore de sortir major du concours de la DGSE. Finalement, il devient communicant et c'est un jour de septembre 1997 que sa vie bascule : il découvre Internet et sait qu'il en fera son métier. En 2013, mêlant ses compétences et ses engagements, il cofonde Simplon, un réseau solidaire proposant des formations gratuites aux métiers du numérique pour les talents peu représentés dans le digital. Il est au micro de PAUSE pour parler de prédéterminisme social, d'activisme, d'armée, d'espionnage et d'échecs et de réussites.
durée : 00:10:05 - Journal de 18h - La distribution de sifflets et de cartons rouges aux abords du stade de France ce samedi soir aura bien lieu. La justice administrative suspend l'arrêté préfectoral pris hier soir pour sécuriser la venue d'Emmanuel Macron.
Jean Bedel Bokassa a voulu calquer son destin sur celui de Napoléon Ier. Il naît en 1921 dans un village de l'Oubangui-Chari, une colonie française qui deviendra, en 1960, la République centrafricaine. Comme le père de Napoléon, celui de Bokassa est un notable. C'est en effet un chef de village, qui commence par collaborer avec l'administration coloniale, puis finit par contester ses méthodes. Comme l'Empereur le fit avant lui, Bokassa s'engage dans l'armée française. Sergent dans les Forces françaises libres (FFL), durant la Seconde Guerre mondiale, il participe au débarquement de Provence, en août 1944. Il combat aussi en Algérie et en Indochine. Quand il met fin à sa carrière militaire, il est capitaine. Dès le début des années 1960, Jean Bedel Bokassa rentre dans son pays, devenu indépendant en 1960. Il profite de la position de son cousin germain, David Dacko, qui devient le premier Président de la République centrafricaine. Profitant de son expérience militaire, ce dernier le nomme aux plus hautes fonctions. En 1964, Bokassa devient chef d'état-major de l'armée. Mais des tensions ne tardent pas à apparaître entre les deux hommes. En 1965, Bokassa se décide à renverser le Président. Le 1er janvier 1966, à l'issue d'un coup d'État réussi, il prend en effet sa place. Au fil des années, son pouvoir devient de plus en plus autoritaire. En 1972, il est proclamé Président à vie et, deux ans plus tard, s'arroge le titre de maréchal. Renouant avec le parcours de son modèle, Napoléon Ier, il franchit un nouveau pas, en 1976, en instaurant une Monarchie en Centrafrique; Le Président devient donc l'Empereur Bokassa Ier. Et il organise même, le 4 décembre 1977, un sacre grandiose, au terme duquel il s'assoit, couronne en tête et long manteau d'apparat, sur un trône surmonté d'une immense aigle impériale. Cette cérémonie, qualifiée d'"ubuesque" par certains observateurs, suscite une ironie mêlée de réprobation. Finalement renversé en 1979, après une fin de règne sanglante, puis condamné à mort par contumace l'année suivante, l'ex Empereur meurt en 1996 d'une crise cardiaque. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Une envie de vous lancer dans un séjour linguistique à l'étranger ? Découvrez la brochure de KAPLAN International Languages ICI ! Comme beaucoup de jeunes, il a fallu quelque temps à Orlane pour se chercher et savoir vraiment ce qu'elle voulait faire plus tard. Après quelques mois en fac de cinéma à Paris et un service civique avec des CRS de haute montagne pendant 8 mois, elle n'a toujours pas le déclic. Elle se rappelle alors son rêve de devenir militaire et se penche sur ce qu'elle voudrait vraiment faire dans l'armée. Finalement, son choix se porte sur le métier de contrôleur aérien. Le seul ennui, c'est son niveau d'anglais. Et là, tout s'imbrique, elle se rappelle les regrets de sa mère de n'avoir jamais tenté d'être au pair, mais aussi d'un de ses collègues qui lui parlait de sa fille au pair. Que de signes qui lui font réaliser qu'il est temps pour elle de tenter cette aventure. Ensemble on revient sur toutes les démarches qu'elle a faites pour se lancer et de la première famille dans laquelle elle est tombée en Californie où elle a regretté d'avoir choisi uniquement en fonction de la destination. Orlane ne se laisse pas abattre et refuse d'abandonner, alors elle cherche une autre famille quelque part d'autre aux Etats-Unis. Après déjà plus d'un an en Floride dans une famille d'une maman et son fils, elle fait le bilan sur cette expérience qui l'a tellement fait grandir, humainement avec des rencontres inoubliables, mais aussi sur sa vision de la vie à l'américaine, l'état d'esprit américain et sur les suites qu'elle veut donner à son avenir. Ambassadrices : Virginie - @somewhere.overthe.bridge Julien - @jullien.gault Montage : Charlène Hiron Découvrez les coulisses du podcast et les dernières nouveautés des FRENCHIES autour du monde sur Instagram : https://instagram.com/frenchies_autour_du_monde/ Un guide 100% audio pour préparer votre voyage à Londres, plus d'infos ici ! -5% sur votre contrat d'assurance voyage avec le code FRENCHIES. Cliquez ici, pour découvrir la AVA Tourist Card ! Musique proposée par La Musique Libre MÆSON - Memories : https://youtu.be/0FfQ4WNr9xc MÆSON : https://soundcloud.com/maeson-1 Crédit musique du spot publicitaire : Daily Beetle - Kevin MacLeod Free download: https://filmmusic.io/song/3579-daily-beetle License (CC BY 4.0): https://filmmusic.io/standard-license
Aujourd'hui, un épisode un peu spécial où on inverse les rôles avec Cédric Watine qui est le fondateur du podcast “Outils du Manager”. Cédric est un ponte, un spécialiste du monde du management et m'a fait le plaisir de m'inviter sur son podcast il y a quelques temps. Cet épisode est donc une rediffusion de notre épisode où on a parlé de confiance et c'est un thème qui m'est cher notamment par rapport au management. Finalement, c'est pour une fois un épisode où je vais majoritairement prendre la parole, parler de mon expérience professionnelle.Vous êtes nombreux à me dire que finalement vous aimez beaucoup les épisodes avec mes invités mais que vous aimeriez aussi parfois me connaître un petit peu plus donc j'ai pensé que cet épisode assez personnel finalement serait quelque chose qui pourrait vous intéresser. En tout cas, j'ai pour ma part passer un excellent moment et je remercie encore Cédric de m'avoir accordé ce temps là. Notes et références de l'épisode
Ils étaient censés être un des favoris de la saison 2022. Finalement, Russell Wilson et les Broncos se sont plantés dans les grandes largeurs. Après l'arrivée de Sean Payton, la free agency a été tournée vers l'idée de mettre le quarterback dans les meilleures conditions. Le pari est-il réussi ?La stratégie a au moins un mérite : elle est claire. Beaucoup plus que celle des Raiders, qui ont beaucoup bougés, mais pour des bénéfices très incertains. Ou pire.On fait aussi le point sur la situation des Chiefs, champions en titre et plutôt actifs, mais aussi de Chargers assez sages.Bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
EXPERTS NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » VANESSA SCHNEIDER Grand reporter - « Le Monde » MAURICE SZAFRAN Editorialiste politique – « Challenges » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos C'est un retour qui ne passe pas sur les bancs de la Nupes. Le vote mardi des députés LFI en faveur de la réintégration d'Adrien Quatennens au sein de leur groupe crispe leurs alliés de la coalition de gauche. En décembre dernier, Adrien Quatennens avait été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences contre son ex-compagne. En plus de la peine judiciaire, le député nordiste très proche de Jean-Luc Mélenchon avait dû respecter une sanction politique : quatre mois d'exclusion de son groupe des Insoumis et un retour conditionné à un stage de responsabilisation auprès d'associations féministes. Mais après deux prises de paroles dans les médias qui ont suscité un tollé – aussi bien chez les insoumis que parmi leurs partenaires de gauche – la possibilité d'une réintégration ne semblait pas automatique. Finalement après des débats vifs au sein de LFI, un vote à bulletin secret a acté le retour de l'ancien numéro 2 du parti par 45 pour, 15 contre et 2 abstentions, selon plusieurs participants. Mais cette décision est jugée inacceptable par les autres formations de gauche, à commencer par les socialistes qui ont été les plus virulents. La direction du PS a dénoncé immédiatement une "faute politique" et estimé que Adrien Quatennens ne peut plus être membre des instances de la Nupes. Un malaise que l'on retrouve dans les autres formations politiques et qui est aussi palpable chez les insoumis où le matin des associations militantes de jeunesse de LFI avaient pris position contre le retour de Quatennens. Une fois encore l'affaire Quatennens sème donc la zizanie à gauche, et fissure un peu plus la Nupes alors que le conflit lié à la réforme des retraites se poursuit dans le pays. Dans ce contexte, un ancien dirigeant socialiste a décidé de sortir du silence. Très discret depuis une dizaine d'années et ses affaires judiciaires, Dominique Strauss-Kahn a publié sur Internet mardi un long texte pour dénoncer les erreurs d'Emmanuel Macron sur la réforme des retraites. La première, selon l'ancien président du FMI, étant d'avoir mal choisi le moment. Il n'y avait pas d'urgence ou du moins pas celle-là. Car, développe-t-il, "si comme nous l'apprend un sondage récent, près de la moitié des Français les plus modestes ont été amenés à supprimer un repas par jour, alors c'est là qu'est l'urgence". L'ancien ministre de l'Economie estime également que ce n'est pas l'âge de la retraite qu'il faut changer" mais "la conception même du système" qui devrait être fondé désormais "sur la durée de cotisation". L'ex-patron de Bercy déplore également que le pouvoir a négligé les syndicats et "décidé de passer en force" en utilisant le 49.3 pour faire adopter la réforme des retraites en "malmenant le peuple français". Il juge enfin sévèrement "l'usage disproportionné de la violence physique et verbale" de la part du gouvernement et rappelle que manifester pour contester ou combattre un projet gouvernemental ne relève pas du "terrorisme". Une leçon de gouvernance que Dominique Strauss-Kahn achève en appelant Emmanuel Macron à ne pas commettre une cinquième erreur. Pour cela il conseille à l'exécutif de "renouer les fils d'un dialogue social trop brutalement interrompu" et de repousser la publication de la loi "jusqu'à ce qu'un point d'équilibre ait été trouvé avec les forces sociales. Faute de quoi le péril est grand de voir le pays s'embraser à nouveau". Un appel lancé également ce mardi par Laurent Berger. Pour le secrétaire général de la CFDT, le texte, s'il était validé ce vendredi par le Conseil constitutionnel, ne ferait "que des perdants" : les travailleurs "parce qu'ils vont être obligés pour nombre d'entre eux de travailler deux années de plus", et la "démocratie", fragilisée par cet épisode. "Cet épisode n'est pas fini et il laisse des traces", a mis en garde Laurent Berger, évoquant une nouvelle fois une "crise démocratique". "Je lance une alerte", or, elle est prise "comme une forme d'attaque", a regretté le leader syndical. Une nouvelle "erreur de la part du gouvernement", à ses yeux. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Le tennis, chez les Halbert, c'est une histoire de famille : tous y jouent, tous le regardent, et tous l'aiment. Alors quand on propose à Julie d'aller faire ses études post-bac aux Etats-Unis avec une bourse pour jouer au tennis, elle accepte. Quelques années plus tard, son Bachelor en poche qu'elle a complété par un Master spécialisé suivi en France, la vie à l'étranger se rappelle à la mémoire de Julie. Elle décroche son premier job en Allemagne à Nuremberg où elle travaille pour la célèbre marque sportive, Adidas. Un premier emploi qui la fait voyager et la surmène un peu. Alors lorsqu'une immense fatigue s'empare d'elle, Julie ne s'inquiète pas tout de suite. Finalement, quelques années plus tard, après un long chemin d'errance médicale, le diagnostique est posé : elle souffre d'un cancer de stade 3b, un cancer très avancé. Elle vit alors en Allemagne et nous raconte comment elle a choisi d'y suivre ses traitements tout en étant épaulée par ses proches. Aujourd'hui, 5 ans plus tard, Julie est officiellement en rémission et s'apprête à démarrer une nouvelle aventure professionnelle toujours en Allemagne pour accompagner les entreprises dont les employés passeraient par des traitements intenses comme la chimiothérapie qu'elle a vécu.Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Le 16 décembre 2020, Delphine Jubillar - infirmière de 33 ans, mère de deux enfants, résidant à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn - se volatilise en pleine nuit. Cédric Jubillar, le mari, est très vite soupçonné. Toutefois, l'enquête semble piétiner pendant plusieurs mois. Finalement placé en garde à vue le 16 juin 2021, il est mis en examen pour « homicide volontaire sur conjoint » et en détention provisoire.Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime du 31 mars 2023 avec Jean-Alphonse Richard.
LES EXPERTS : Florentin COLLOMP Journaliste - Le Figaro, spécialiste Europe, ex-correspondant à Londres Catherine NORRIS-TRENT Journaliste britannique, grand reporter en charge des questions internationales – France 24 Sophie AURENCHE Rédactrice en chef – RTL Christian ROUDAUT Journaliste – ancien correspondant en Grande Bretagne pour Radio France See you later… Le roi Charles III et la reine consort Camilla ne viendront pas finalement en France comme prévu à partir de dimanche. En raison du contexte social tendu, et de l'annonce d'une nouvelle journée de mobilisation mardi prochain, Emmanuel Macron s'est finalement résolu à appeler son "ami" pour lui proposer de décaler sa visite. "Le bon sens et l'amitié nous conduisent à proposer un report" vers le "début de l'été", a expliqué le chef de l'Etat vendredi depuis Bruxelles, où il participait à un Conseil européen répondant à un journaliste britannique qui l'interrogeait sur "l'humiliation" infligée à l'Elysée. Le monarque britannique destinait à l'Hexagone sa première visite d'État à l'étranger en tant que souverain, de dimanche à mercredi. Au programme du couple royal figuraient notamment une cérémonie à l'Arc de Triomphe, un discours du souverain au Sénat et un déplacement à Bordeaux. Pour l'Elysée, la visite devait notablement permettre en scène le nouveau départ des relations franco-britanniques, illustré aussi par une récente visite à Paris du Premier ministre Rishi Sunak. S'exprimant le vendredi matin sur Cnews, Gérald Darmanin avait d'ailleurs affirmé que "nous serons prêts à accueillir dans d'excellentes conditions" le souverain britannique alors que plusieurs responsables politiques, notamment à gauche, avaient appelé Emmanuel Macron à annuler cette rencontre en raison de la colère sociale générée par la réforme des retraites. "Ce n'était pas le bon moment", avait souligné Jean-Luc Mélenchon, tandis que la députée écologiste Sandrine Rousseau s'était offusquée de cette décision "incroyable". Finalement la visite du monarque britannique est reportée et c'est à l'Allemagne que reviendra l'honneur d'accueillir le premier déplacement international du couple royal. Une annonce qui là encore a suscité de nombreuses réactions. "Quelle image pour notre pays de n'être même pas en capacité d'assurer la sécurité d'un chef d'Etat", a déploré le président des Républicains, Eric Ciotti, tandis que le secrétaire général du Parti Communiste, Fabien Roussel, s'est amusé qu'Emmanuel Macron ait, sur ce sujet au moins, "trouvé la marche arrière". Outre-Manche le palais de Buckingham a fait savoir que le roi Charles et Camilla se réjouissent d'aller en France "dès que des dates pourront être trouvées", mais la presse anglaise n'a pas laissé passer l'occasion d'égratigner la France et Emmanuel Macron. "Révolution", "chaos", "humiliation" peut-on lire ce samedi en Une des quotidiens britanniques. Pour autant le Royaume-Uni connaît aussi d'importants mouvements de grève depuis des mois sur fond de flambée des prix de l'alimentation et de l'énergie, devenue intenable pour des milliers de Britanniques. Sur les chaînes de télévision du pays, les représentants des salariés sont excédés. Des professeurs, des soignants, des cheminots, des postiers… Il y a des arrêts de travail qui perturbent parfois le quotidien mais pas de manifestations d'ampleur et aucune violence. Alors parmi les Britanniques certains se disent affligés de voir leur Roi contraint de reporter son voyage quand d'autres envient le système politique la France. Car si l'institution monarchique est encore largement populaire au Royaume-Uni – 62 % sont pour son maintien, selon un sondage publié en juin 2022 – mais son aura baisse d'année en année, notamment chez les jeunes. D'après cette même étude, seuls 33 % des 18-24 ans veulent ainsi préserver l'institution, contre 59 % en 2011. La cause de ce désamour grandissant : les scandales à répétition qui ont éclaboussé la couronne britannique. Parmi elles, les allégations de racisme visant la famille royale, de la part d'Harry et de son épouse Meghan Markle. Parallèlement en ces temps d'inflation record au Royaume-Uni, qui poussent des millions de Britannique à couper le chauffage et sauter des repas, plusieurs voix s'élèvent pour dénoncer une institution jugée trop coûteuse et archaïque. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
“Notre produit et l'univers de la marque étaient bien travaillés. On avait un mono produit, un beau packaging… Finalement ce n'est pas beaucoup d'investissement mais beaucoup d'idées. Et c'est ça qui nous a permis d'attirer plein de typologies de magasins”. Laurent Kretz rencontre Lyly Wu et Mickael Pan qui ont cofondé Flotte, la marque de vêtements de pluie recyclés et colorés. Ils nous partagent leurs secrets pour faire x2,5 en un an (et en plein covid), en misant à la fois sur la distribution en B2B et sur l'e-commerce. Ces deux entrepreneurs nous livrent aussi leurs conseils pour créer un univers de marque unique, en ligne comme en boutique, avec peu d'investissement, mais beaucoup d'idées. Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour : Se lancer au Who's Next avec 13 prototypes et un univers de marque facilement identifiable [15”50] ; Débuter en B2B dans une verticale concurrentielle comme la mode pour recevoir une validation des professionels [26”30] ; Ne pas lésiner sur le shooting pour amener le client dans son univers et convaincre les revendeurs [38”40] ; Optimiser son site et augmenter son taux de transfo en facilitant le paiement et la livraison [39”40] ; Cartonner en pop-up en formant sa force de vente [52”30] ; Fermer les marketplaces pour contrôler à qui l'on parle [58”10] ; Gagner entre 6 mois et 1 an de business en passant par QVEMA [1”06”20]. Pour en savoir plus sur les références abordées dans l'épisode : #212 - Inga : Comment faire la meilleure campagne Ulule de l'histoire ? #215 - Cabaïa Série Spéciale Retail : Comprendre les coûts des différents canaux de distribution #124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t'es une buse ! avec Thomas Pedegaye #210 - La Meringaie : 5 règles de base pour ouvrir sa boutique Le passage de flotte à QVEMA GRS : Global Recycled Standard Ready by Carmila (le prix des DNVB) Suivez l'actualité du Panier sur notre nouveau compte Instagram lepanier.podcast ! Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour ne rater aucun conseil des invités du Panier et cartonner en e-comm ! Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Spotify ou encore ici si vous préférez Podcast Addict. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcasts si l'épisode vous a plu. Le Panier est un podcast du label Orso Media, produit par CosaVostra.
Épisode 947 : C'est quoi une vidéo de réaction ? Tu mets quelqu'un face caméra et tu lui montres des vidéos, parfois des publicités et parfois juste des images. Et tu filmes sa réaction. Parfois il va se marrer, crier, s'émouvoir, rapporter une anecdote…—La vidéo de réaction ça existe depuis longtemps et ce sont les japonais qui ont popularisé le genreBref historiqueAlors que les vidéos de réaction sont maintenant populaires sur YouTube et TikTok, leurs origines résident dans les émissions de variétés japonaises.Au japon ça fait déjà plus de 20 ans que le format cartonne à la TV. Des célébrités et des personnalités de la télévision réagissent à divers clips vidéo. Ce n'est qu'au début de 2010 que les vidéos de réaction sont devenues un incontournable des services de streaming vidéo .Un phénomène pas si nouveauSur YouTube on retrouve des vidéos réact qui datent déjà de plusieurs années.On avait notamment vu il y a deux ou trois ans, beaucoup de vidéos React d'Américains qui écoutent du rap français.Des vidéos avec des millions de vues où on retrouve des passionnés de rap qui réagissent à des gros tubes du rap français :Bande organisée Vidéo réact de Bande OrganiséeDrill. FR.4 de Gazo et Freeze Corleone.Vidéo React de Drill FR 4 Ou PNL - Au DDVidéo React de PNL - AU DDDonc c'est déjà une tendance qui est ancré il y a assez longtemps.Et puis, si on revient encore en arrière dans un autre média que celui du social, c'est déjà le concept de certaines émissions de télé comme : « les enfants de la télé ».Où c'est de la vidéo React d'anciennes émission télévisée avec les mêmes invités.—Sur Youtube, la chaine React est devenu un media complet dédié aux vidéos de réactionsSourceSi tu es à la recherche d'un concept de vidéo réaction. C'est là qu'il faut aller.Avec 20M d'abonnés et plus de 4k vidéos, c'est vraiment la chaine Youtube de référence.Parmi les gros cartons de la chaine, il y a cette vidéo : « des ados réagissent au clip anaconda de Nicky Minaj ». 32 millions de vue pour un cas d'école.Source—Youtube va créer un format react pour les ShortsLe nouveau patron de YouTube, Neal Mohan, vient de dévoiler sa feuille de route pour 2023. Un des axes de développement évoqué : ce sont les vidéos de réactions. Les créateurs de contenu pourront ainsi créer des Shorts divisés en deux avec, dans une première partie, une vidéo, et dans la seconde, la réaction du youtubeur à ce morceau.——Sur TikTok la vidéo de réaction est devenu un format classiqueLe hashtag #reactionvideo sur TikTok a généré 3,2 milliards de vues de vidéos.Il faut dire que TikTok propose une fonction native pour réagir au contenu d'un autre.Ca s'appelle Duo. La fonction Duo te permet de publier ta vidéo côte à côte avec une vidéo d'un autre créateur sur TikTok.—Côté Twitch, les streams de react cartonnent !Samuel Etienne et Etoile qui réagissent à une ancienne émission de Question pour un Champion.SourcePlus politique, Usul qui stream en direct des séquences de réactions à ses anciennes vidéos d' « Ouvrez les guillemets ». SourcePlus globalement il y a une trend énorme autour du visionnage sur Twitch d'émissions de télévision et de réaction du streamer en direct. C'est notamment le cas avec le streamer SUperHenryTran. https://www.twitch.tv/videos/1739100343Il réagit en direct à Qui veut être mon associé, Cauchemard en cuisine…Les boites de prod en guerre contre les streamersPour les boîtes de prod audio visuel le phénomène est pas toujours très bien compris. Il arrive parfois que des vidéastes se fassent temporairement bannir leurs chaînes Twitch pour avoir visionné des contenus protégés.GQ et des rappeurs qui réagissent en vidéo à des sons d'autres rappeursVidéo React de Offset qui réagit au rap frAujourd'hui, on observe un nouveau phénomène en live sur Twitch.On retrouve des créateurs de contenu qui diffusent du contenu en direct sur Twitch et le commentent et réagissent par-dessus avec leur communauté.Un des experts et qu'on regarde de près, c'est Aminematue !Il a utilisé différentes émissions pour faire du réac.Il a commencé par diffuser plusieurs saisons et commenter tous les épisodes d'une émission américaine qui s'appelle "Trois mois pour se marier".Vidéo React de Aminematue sur 3 mois pour se marierCe sont des Américains qui parlent par Internet avec des étrangers et qui partent les rencontrer pour voir s'ils veulent bien se marier ensemble.Lui, commente les actions de chacun avec sa communauté en se foutant clairement de leur gueule.Il a ensuite continué avec le Pensionnat de Sarlat, une vieille émission qui passait à la télévision française.Vidéo React de Aminematue sur le pensionnat de SarlatPuis sur une émission avec des affaires judiciaires, et enfin une dernière avec des rencontres de couple en France.Vidéo React de Aminematue sur les jugements les plus fous—La vidéo de réaction cartonne parce qu'elle permet de valider ses propres convictionsEt si la puissance du format tenait au fait que l'on regarde ces vidéos pour obtenir une forme de validation de nos propres convictions ?Selon le sociologue Ervin Goffman, nous recherchons sans cesse la validation des autres car nous craignons le discrédit et l'exclusion. Même une reconnaissance minime de ses opinions aide à se sentir un peu valorisé. Finalement c'est peut-être un peu ce qui se joue dans ces vidéos de réaction.Source——Une vidéo de réaction crée du lien entre le créateur et son audienceDans une vidéo de réaction il y a du « c'est trop ça ».Qu'il s'agisse de grincer des dents devant un film d'horreur ou de rire aux blagues d'un comédien, les vidéos de réaction offrent un moyen de se connecter avec des personnes du monde entier ayant des intérêts similaires.—Une vidéo de réaction est par définition authentiqueUn autre élément qui rend les vidéos de réaction si géniales est qu'elles ne sont pas scénarisées. La personne qui réalise la vidéo réagit en temps réel, ce qui signifie que vous obtenez une réaction authentique. . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com/. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
Je devais aujourd'hui vous présenter Moïse, 104 ans. Finalement j'ai décidé de le reporter à la semaine prochaine, car Moïse sera le témoin d'un épisode tout particulier et vous comprendrez pourquoi lorsque vous l'écouterez. Je ne vous en dis pas plus… Du coup, je vous offre aujourd'hui un petit épisode bonus, un savoureux mélange de témoignages, sur les petits plaisirs tout simples de la vie d'avant. Vous entendrez Nicole Félix, France Paulette Agnès Anne Bruno Nadia, Evelyne, Manoula, Yves… vous raconter, en une phrase, un de leur petit bonheur… Ah commec'était bon la vie d'avant !
Mes chers camarades bien le bonjour !Bienvenue dans ce nouvel entretien en compagnie de Matthieu Orléan, réalisateur et collaborateur artistique à la Cinémathèque française, qui a récemment monté une exposition sur les relations entre espionnage et cinéma. Et c'est justement ce dont on va parler aujourd'hui ! Car on peut facilement se douter de l'influence qu'a eu l'espionnage sur le cinéma, mais le contraire est-il aussi vrai ? Finalement comment ces deux milieux ont-ils pu s'influencer mutuellement ? Peut-on définir un portrait robot de l'espion dans les films ? Et quel rôle les espionnes y ont-elles joué ? Attachez vos ceintures, car on se lance dans l'histoire des films d'espionnage ! Bonne écoute sur Nota Bene ! Become a member at https://plus.acast.com/s/notabenemovies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:28:30 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "Les Lundis de l'histoire" proposent "La Rue entre la révolte et la fête" par Laure Adler en 1998 avec l'historienne Danielle Tartakowsky. L'émission donne la parole à des témoins comme Henri Krasucki et Lucie Aubrac et permet l'écoute d'archives comme celle du leader populiste Pierre Poujade. Dans notre système de démocratie représentative, l'exercice du pouvoir est situé géographiquement : il s'exerce depuis les couloirs des palais de la République, l'Elysée, Matignon, les ministères, et depuis les travées des deux chambres du Parlement. Mais il est un autre lieu de pouvoir non officiel que tous nos dirigeants ont en tête et qui s'impose d'ailleurs à la classe politique : cet espace est celui de la rue. La rue c'était le moyen de l'action directe, on voulait agir sur le pouvoir, tout de suite et maintenant Dans les lointaines origines de notre histoire républicaine la chose n'avait rien d'évident, on estimait alors que le suffrage universel, le vote, suffisait à exprimer seul les volontés du pays. Force fut bien de constater qu'il n'en était rien. C'est l'historienne Danielle Tartakowsky qui nous le rappelle au micro de Laure Adler : "la rue existe depuis longtemps pour les historiens, mais pour les historiens d'histoire politique c'est un phénomène relativement récent, des recherches se sont mises route dans les années 80 (...) on s'est mis à s'intéresser à une autre forme de politique qui est celle de la rue". L'historienne évoque la notion de rue au XIXème siècle : "De la rue des barricades de la moitié du siècle, on arrive pendant toute la fin du XIXème siècle jusqu'à la veille de 1914, à une rue plus pacifiée, à quelques chose qui se pense comme plus symbolique. Finalement jusqu'alors la rue c'était le moyen de l'action directe, on voulait agir sur le pouvoir, tout de suite et maintenant, il y avait un rapport d'immédiateté avec la cible, et progressivement se construit une forme d'action politique qui mobilise l'Histoire, qui mobilise le passé pour démontrer sa force et la capitaliser". Cette émission a été enregistrée à la fin des années 1990, Lionel Jospin était Premier ministre à l'occasion de la troisième cohabitation. Et le pays avait encore en mémoire les grandes grèves contre le plan Juppé trois ans plus tôt. Le contexte se prêtait bien à une grande rétrospective autour de la rue comme lieu d'expression politique. Cette rétrospective radiophonique démarre au XVIIIe siècle pré-révolutionnaire jusqu'aux grandes mobilisations sociales qui ont marqué le XXe siècle : Front populaire, Mai 68, mouvement féministe, et beaucoup d'autres. Des moments racontés par leurs acteurs : Henri Krasucki, Daniel Zimmermann, Lucie Aubrac. Le tour d'horizon est complet il permet d'aborder également les franges les plus conservatrices de la politique qui ont investi la rue pour exprimer leurs revendications, à travers notamment la voix de Pierre Poujade, le leader populiste des années 50. Par Laure Adler Avec Danielle Tartakowsky, Henri Krasucki, Lucie Aubrac, Daniel Zimmermann, Pierre Poujade, Maurice Grimaud, Christophe Aguiton et Arlette Farge Réalisation Pierrette Perrono Les lundis de l'histoire - La rue entre la révolte et la fête (1ère diffusion : 12/10/1998) Indexation web : Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
On le sait, l'opération "Overlord", qui prévoyait le débarquement des troupes alliées en Normandie, eut lieu le 6 juin 1944. Mais il fut lui-même préparé par deux autres opérations, programmées pour la nuit du 5 au 6 juin. L'opération "Tonga" devait voir le parachutage de troupes aéroportées, dont la mission principale était de sécuriser le flanc gauche de la zone de combat, de manière à favoriser le débarquement. Dans ce but, les hommes de la 6e Division britannique doivent s'emparer de certains points clés, comme deux ponts sur l'Orne, et d'autres ponts à l'est de cette rivière, le canal de Caen à la mer et une batterie menaçant les plages du débarquement. Une seconde opération, baptisée du nom de code "Mallard", devait prêter main forte à la 6e Division. Mais le rôle de ces troupes aéroportées n'est pas seulement défensif. Une fois la ville de Caen prise, elles doivent en effet lancer une offensive en direction de la Seine. Peu après minuit, ce 6 juin 1944, l'opération "Tonga" commence par une phase préparatoire, parfois baptisée opération "coup-de-main". Elle voit des soldats acheminés près des ponts à prendre au moyen de planeurs. L'approche silencieuse de ces appareils, dont l'un s'est trompé de destination, permet aux troupes alliées de prendre position sur les ponts sans éveiller l'attention des Allemands. Finalement alertés, mais un peu tard, ces derniers, assez peu nombreux, font finalement feu sur les sections d'assaut, mais leur riposte n'est guère efficace. Elle n'empêche pas le déminage des objectifs par le génie ni la prise finale des deux ponts sur l'Orne. Cette première partie de l'opération, qui permet de s'emparer des ponts en dix minutes, avec de faibles pertes humaines, est donc une incontestable réussite. Elle ouvre la voie à l'opération "Tonga" proprement dite, qui permet d'atteindre les objectifs fixés. Un peu plus tard, en cette journée du 6 juin, l'opération "Mallard" apporte aux troupes d'assaut les chars et les armes lourdes propres à assurer leur résistance face à la première contre-offensive allemande. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » JÉRÔME JAFFRÉ Politologue – Chercheur associé au CEVIPOF VANESSA SCHNEIDER Grand reporter – « Le Monde » CHLOÉ MORIN Politologue Auteure de « On aura tout essayé » Que se passe-t-il au Parlement ? Alors que des milliers de Français manifestaient mardi un peu partout en France contre la réforme des retraites, 3,5 millions selon la CGT, 1,28 selon le ministère de l'Intérieur, l'Assemblée nationale a connu une séance particulièrement tumultueuse à l'occasion de débats sur l'exemplarité des élus. Les députés avaient à peine commencé leurs interventions en fin d'après-midi sur la proposition de la présidente du groupe Renaissance Aurore Bergé, que les échanges ont totalement dérapé. Le texte examiné visait à imposer une peine d'inéligibilité automatique aux auteurs de violences aggravées, en particulier sur les mineurs et les conjoint(es). Mais il a très vite été critiqué par les oppositions comme une réaction opportuniste à la condamnation du député insoumis Adrien Quatennens en décembre dernier pour des violences sur sa compagne. A la tribune, le président du groupe LR Olivier Marleix a invité la majorité à "s'offrir une séance d'introspection" et ne s'est pas privé d'énumérer des condamnations, mises en examen ou enquêtes concernant des membres du camp présidentiel, le député Damien Abad, le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler et, pour terminer, le garde des Sceaux. Eric Dupond-Moretti est mis en examen pour prise illégale d'intérêts, une première pour un ministre de la Justice en exercice. L'association de lutte contre la corruption Anticor et les deux principaux syndicats de magistrats avaient déposé une plainte à l'encontre du garde des Sceaux, l'accusant d'avoir profité de son poste pour régler des comptes avec des magistrats, dans des affaires où il était impliqué en tant qu'avocat. La Cour de justice de la République (CJR), juridiction destinée à juger les ministres ou ex-ministres pour les crimes ou délits commis dans l'exercice de leurs fonctions, a ordonné un procès, mais les avocats d'Éric Dupond-Moretti ont formé un pourvoi en cassation. Piqué au vif, le ministre de la Justice a alors fait deux bras d'honneur. Face au tollé suscité, et après deux suspensions de séance, le garde des Sceaux a finalement reconnu et "regretté" ses gestes qui n'étaient selon lui "pas adressés au député Marleix" mais à l'atteinte "à la présomption d'innocence". "Vous avez fréquenté beaucoup de voyous mais c'est plus qu'inapproprié", l'a corrigé Olivier Marleix. Finalement, le texte a été repoussé par l'hémicycle, à hauteur de 140 voix contre 113. Un revers dur à accepter pour la députée Aurore Bergé, porteuse du projet, qui avait fini la défense de son texte au bord des larmes. Mais l'affaire est loin d'être close pour nombre de députés. Ente indignation et consternation, des élus de toutes les oppositions réclament la démission du ministre de la Justice tandis qu'au Sénat l'application, inédite, de l'article 38 enflamme les débats. En plein examen de l'article 7 de la réforme des retraites, celui qui consacre le recul de l'âge de départ à 64 ans, le sénateur LR Bruno Retailleau a dégainé un point du règlement jamais utilisé pour couper court aux débats dans la nuit de mardi. La gauche dénonce une "censure" et une "attaque contre la démocratie !". Les Sénateurs doivent poursuivre l'examen du projet de réforme des retraites jusqu'à ce dimanche alors que les grèves et les blocages se poursuivent dans le pays, notamment sur plusieurs axes routiers et dans les raffineries, avec des syndicats à la fois agacés du silence de l'exécutif, et galvanisés par le nombre record de manifestants mardi et le soutien d'une majorité de Français dans les sondages. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Des tirs à l'arme lourde claquent dans la nuit le 12 mars 2003. En quelques minutes, un commando réussit l'impensable : faire évader Antonio Ferrara de la prison de Fresnes, considérée comme l'une des plus sécurisées de France. A ce moment-là, le commissaire Christophe Molmy est réveillé par un coup de fil qui lui apprend la nouvelle : "Assis sur les toilettes, en pleine nuit, je me suis fait expliquer une première fois, puis une seconde fois, l'évasion de ce voyou qu'on avait eu tant de mal à interpeller", se souvient-il. Pour l'OCRB (Office central de la répression du banditisme), il faut donc tout recommencer avec une pression supplémentaire, alors que l'évasion de Fresnes est vécue comme un affront par les autorités. Il leur faudra plusieurs mois, des tuyaux, des coups de chance et un face-à-face final dans un bar parisien, pour qu'Antonio Ferrara soit de nouveau arrêté. Christophe Molmy est la "Voix du crime" de cet épisode d'Olivier Boy, consacré à Antonio Ferrrara.
Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Jean de Saint-Cheron, chroniqueur et écrivain. Dans l'imaginaire et la piété populaire, Thérèse de Lisieux apparaît comme la petite sainte aux roses rouges. Beaucoup de choses ont été dites sur elle, et les écrits qu'elle a laissés témoignent, eux aussi, de sa vie. Mais alors que l'on célèbre les 150 ans de sa naissance et les 100 ans de sa béatification en 2023, que se cache-t-il vraiment derrière cette image d'Épinal ? Car la petite Thérèse, docteur de l'église, celle que l'on appelle aussi « la petite voix », est bien plus complexe qu'il n'y paraît. Jean de Saint-Cheron l'a découverte alors qu'il n'avait qu'une vingtaine année et a fini par prendre la plume pour la tremper dans la face cachée, la face plus méconnue de la sainte Carmélite. Épisode #372Avec Jean de Saint-Chéron j'aborderai les thèmes suivants (extrait des questions) : « Eloge d'une guerrière - Thérèse de Lisieux », c'est le titre que vous avez choisi, pour cet opus consacré à la sainte : y aurait-il un peu de Jeanne d'Arc dans la petite Thérèse ?"L'Imitation" (du Christ) va être pendant longtemps son livre de chevet, avant sa découverte intime de l'Évangile. Comment fait-elle pour marcher dans les pas de Jésus ?Diriez-vous que la confiance est le secret de la foi de Thérèse de Lisieux ?Pour vous personnellement la voie de la sainteté est la seule réponse au désir de l'homme, quelle est cette voie ? Cette voix qui nous appelle à aimer mieux ?Pour Thérèse de Lisieux, il faut mourir pour vivre, mourir à soi, comme le grain de blé ?Qui est mon invité de la semaine Jean de Saint-Chéron ? Jean de Saint-Chéron est Directeur de cabinet du Recteur de la Catho, chroniqueur et écrivain. Il sort son livre « Éloge d'une guerrière - Thérèse de Lisieux » aux éditions Grasset.Quelques citations du podcast avec Jean de Saint-Chéron : "Le génie de Thérèse de Lisieux ce sera de comprendre qu'à travers nos actions quotidiennes et une disposition intérieure, on peut vivre ici-bas la plénitude céleste.""Thérèse de Lisieux a des phrases d'une liberté spirituelle et intérieure folles pour une jeune fille de son âge, de son époque et de son milieu.""Puisque Dieu est Amour, en aimant Thérèse de Lisieux voit Dieu à l'œuvre à travers ses mains. Finalement elle continue à croire par les actes.""Le grand paradoxe que Thérèse de Lisieux mettra en lumière c'est que le chemin de notre bonheur est d'œuvrer au bonheur des autres."Rejoignez-nous sur notre nouveau site Internet et abonnez-vous à notre Newsletter https://www.metamorphosepodcast.com/ Soutenez notre podcast en rejoignant dès maintenant la Tribu MétamorphoseRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Spotify/ Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Suivez l'actualité des épisodes Métamorphose Podcast sur Instagram, découvrez l'invité de la semaine et des surprises ;-)InstagramFacebookPhoto © JF PAGA Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aurélien Martinez, originaire du sud de la France, est témoin d'un des moments clés du début de la guerre en Ukraine, en février 2022. Réfugié dans une maison d'un quartier conquis par les militaires russes, il va mettre près de 3 semaines à s'extraire de la zone de combat et regagner la France. Récit. Ce matin du 24 février, il est 1 heure du matin à Hostomel, quand un SMS réveille le jeune couple, hébergé par l'oncle et la tante de l'épouse d'Aurélien Martinez. L'Ambassade de France lui demande de quitter de toute urgence l'Ukraine. Il n'y a plus d'avion depuis quelques jours, Hostomel est à une trentaine de kilomètres de Kiev, près de la frontière biélorusse. Décision est prise de se rendormir. Mais à 4 heures et demie, les sirènes retentissent, les premières bombes explosent. Plus de doute, la guerre a commencé. « C'est un choc, on ne s'y attendait pas du tout » avoue Aurélien, qui regarde une des vidéos qu'il a tournée à 9 heures. C'est un ballet incessant d'hélicoptères qui opèrent à basse altitude. En ce premier jour de guerre, le quartier situé à un kilomètre et demi de l'aéroport entend les bombardements, mais ne voit pas encore les combats. Dès la nuit suivante, soldats et chars russes font leur apparition. Ils avancent vers Kiev. La guerre est désormais aux portes de la maison où réside Aurélien. Le jeune homme voit un hélicoptère russe se faire abattre. Un char situé à 150 mètres est bombardé. « La moindre sortie c'était risquer de se faire tirer dessus. Les civils étaient même visés par des tanks. Chaque jour, il y avait 2 ou 3 maisons qui brûlaient ». « Fuir au risque de mourir » « Mais impossible de fuir à moins de vouloir mourir » raconte Aurélien. « Des familles ont voulu quitter Hostomel en voiture, mais leurs véhicules ont été mitraillés. Rien n'y faisait, ni le drapeau blanc ni l'inscription à la peinture blanche indiquant la présence d'enfants à bord ». Aurélien et Iryna Martinez décident qu'ils partiront en convoi, solution qui paraît la plus sûre. Il leur faudra patienter jusqu'à la mi-mars. Face à l'impossibilité de fuir, il faut s'organiser pour survivre à Hostomel. « Au troisième jour, il n'y a déjà plus ni électricité, ni gaz, ni d'eau au robinet. Les pompes sur les puits de forage fonctionnent à l'électricité ». Certes, la famille a fait des réserves, mais il faut bientôt aller chercher l'eau au puits, au risque de se faire repérer par les militaires russes. « Pour la nourriture, c'était compliqué », se souvient Aurélien. Les premiers jours, les traditionnelles réserves dans les sous-sols des maisons ukrainiennes sont très utiles, mais très rapidement les conserves s'épuisent. « Il nous restait un peu de riz et des cornichons ». Iryna sourit à cette évocation, car depuis son départ d'Ukraine, Aurélien avoue ne plus pouvoir manger de cornichons. La maison sous les bombes Si trouver à manger devient problématique, encore faut-il avoir un toit. Le 1er mars, en pleine nuit, la maison familiale est bombardée. « On a été réveillés par un gros bombardement avec des vibrations énormes ». Tout le monde descend au sous-sol. Une deuxième bombe tombe à côté de la maison. Aurélien montre son portable, quand le troisième tir vise à nouveau le bâtiment. L'étage s'effondre. Deux autres projectiles frappent la maison. « La nuit est très difficile. Les bombardements sont incessants. Il fait -20°C . On se demande si on va pouvoir survivre à tout ça ». Au petit matin, la neige fait son apparition, il faut trouver un autre refuge. Ce sera une maison en construction, brute de décoffrage. Plusieurs autres familles y élisent domicile. C'est un refuge de fortune pour 17 personnes, dont il faut calfeutrer les ouvertures pour ne pas être repérés. Tous partagent le peu de nourriture qui leur reste. Le propriétaire du groupe électrogène permet à chacun de recharger son portable 20 minutes par jour. Il faut rassurer la famille, rester en contact avec l'ambassade de France à Kiev. Cette solidarité a marqué Aurélien. « L'entraide c'est ce qui fait tenir les Ukrainiens depuis le début et qui les fera tenir jusqu'au bout. S'il n'y avait pas eu cette entraide, l'Ukraine serait perdue depuis longtemps. C'est leur moyen de survie ». La guerre, les privations, n'empêchent pas le souvenir de la vie d'avant. Des roses récoltées dans un jardin voisin fleurissent la table du refuge, le 8 mars 2022, Journée internationale de la femme. ► À lire aussi : Guerre en Ukraine: «Les besoins des civils concernent l'électricité et la construction» La brutalité des soldats russes À l'étage de cet abri de fortune, à tour de rôle, il faut surveiller les environs et donner l'alerte quand des soldats russes approchent. Cela se produit une fois. Des militaires russes débarquent. Tout le monde est à terre. Les portables sont confisqués et détruits. Les militaires mettent en garde : d'autres soldats pourraient être moins bien disposés qu'eux. « Ils sont repartis au bout de cinq minutes. On a eu beaucoup de chance, car parfois les soldats russes rentraient chez les gens, les tuaient et s'installaient dans leur maison, car ce sont aussi des êtres humains. Ils avaient froid comme nous et voulaient trouver où se loger ». L'ampleur des exactions n'apparaît que début avril 2022 après le retrait de la région de Kiev et la libération des villages de Boutcha ou d'Irpin. « Mais dès les deux ou trois premiers jours de la guerre, on savait très bien que ça n'allait pas rester une guerre propre. Ça n'existe pas. Quand on les voyait rentrer dans une maison alors qu'il y avait des gens dedans, on savait très bien ce qui se passait à l'intérieur. On n'était pas dupe ». ► À écouter aussi : Guerre en Ukraine: à Boutcha, des enquêtes pour documenter les possibles crimes de guerre Enfin, le départ pour Kiev La première vraie opportunité de quitter Hostomel se présente, le 11 mars. Aurélien et Iryna se rendent au point de départ. Le jeune Français se souvient des milliers de personnes, dont 300 ou 400 enfants en file indienne, attendant les instructions ; certains pour monter dans les bus qui doivent arriver, d'autres pour suivre le convoi en voiture. Mais ce sont des tanks et des hélicoptères russes qui débarquent. C'est la panique, tout le monde s'enfuit et les bus n'arriveront jamais. Le lendemain, 12 mars, c'est le jour de l'exfiltration. Des voisins proposent à Aurélien et Iryna de leur prêter leur voiture à condition qu'ils déposent en lieu sûr à Kiev leurs grands-parents. Pourtant les doutes assaillent les esprits pendant plusieurs heures. La décision de partir est-elle le bon choix ? Finalement, la voiture s'insère dans la file de véhicules qui quitte Hostomel. Le jeune couple est sidéré par les destructions. « Le centre de Hostomel est détruit, il n'y a plus rien, les habitations sont en ruine. Dans des voitures où des familles ont pris place, on aperçoit des corps de civils calcinés. On évitait de trop regarder. On ne parlait pas encore de crime de guerre. Mais on savait déjà que ce serait une boucherie parce que c'est bien le mot ». La peur s'installe quand le convoi croise des troupes russes. Parcourir les trente kilomètres qui séparent Hostomel de Kiev prend la journée. Le convoi passe par Irpin, Boutcha. Sur la route, ce qui frappe Aurélien et Iryna c'est aussi les dizaines de chars russes détruits. « On a réalisé que les Ukrainiens avaient résisté face à une armée 10 fois plus puissante qu'eux, bien mieux équipée ». À 19 heures, Aurélien passe ce qu'il appelle une frontière. « Ce n'est pas une vraie frontière, c'était un check-point ukrainien. Là on s'est dit qu'on avait réussi ». Les barrages s'enchaînent, car les forces de sécurité ukrainiennes veulent empêcher toute infiltration dans la ville. Le maillage est très serré pour éviter toute infiltration russe. « Les Russes n'auraient pas pu entrer dans Kiev », dit Aurélien. Arrivés dans la capitale, le jeune couple dépose en lieu sûr les grands-parents et stationne la voiture à l'endroit convenu. Le 13 au matin, le jeune couple est pris en charge par une personne mandatée par l'ambassade de France. Direction Lviv, puis la frontière polonaise, qu'Aurélien franchit le 14 mars. Côté polonais, sa mère l'attend. Elle a quitté la France le 25 février, pour lui venir en aide. Elle repart au volant d'un camion, dans lequel elle ramène en France, son fils, sa belle-fille, ainsi que deux familles ukrainiennes avec quatre enfants. Quitter l'Ukraine pour mieux aider La frontière franchie, le soulagement s'installe, mais il n'est pas total. « Dès qu'on a passé la frontière, on voulait faire demi-tour. On avait le sentiment d'abandonner l'Ukraine, car on se dirigeait vers la France, on allait retrouver notre vie de tous les jours, un travail, un toit. Ça a été compliqué à gérer ». Revenus en France, Aurélien et son épouse décident de créer une association pour évacuer un maximum d'Ukrainiens et les placer dans des familles d'accueil ou des centres d'hébergement, en France. « Avec d'autres associations, on a pu sortir une centaine de personnes ». Aujourd'hui, Aurélien et Iryna organisent le départ d'un convoi humanitaire une fois par mois pour acheminer de la nourriture, des vêtements, des médicaments. « Mais l'élan de générosité des Français s'est atténué », reconnaît Aurélien Martinez. « Au début les caddies auprès des grandes enseignes se remplissaient en 2 jours, maintenant ce sont surtout les Ukrainiens installés récemment ou de longue date en France qui entretiennent cette solidarité. Ils donnent le peu qu'ils ont pour ceux qui sont restés en Ukraine ». ► À écouter aussi : À bord d'un convoi humanitaire vers la frontière ukrainienne Plainte pour crimes de guerre Aurélien Martinez est l'un des trois Français qui ont porté plainte pour crime de guerre contre la Russie. L'objectif est d'identifier la compagnie qui a bombardé la maison, le 1er mars 2022. Pour le trentenaire, « une erreur ça arrive, mais cinq tirs sur une maison, ça devient un crime de guerre ». Il espère un jugement dans quelques mois, voire quelques années, mais regrette le manque de soutien des autorités françaises. « Pour l'enquête, on a été aidé, mais au niveau soutien, un petit coup de téléphone par-ci, par-là, mais pas de suivi. On s'est débrouillés seuls du début à la fin. On fait avec ». Il ne connaît pas les deux autres personnes qui ont déposé plainte. Il va prendre un avocat à ses frais, en espérant obtenir justice un jour. Tout au long de l'entretien, à l'évocation d'un souvenir douloureux, Iryna se glisse derrière son mari, la main sur son épaule, solidaire. Elle deviendra maman début mai et conclut cette rencontre par ces quelques mots d'espoirs en anglais, « My dreams is victory for Ukraine* ». * « Je rêve d'une victoire de l'Ukraine »
L'année économique 2023 ne serait finalement pas si mauvaise. On peut penser que les prévisionnistes ont été trop négatifs à l'automne 2022, face à la guerre et à la forte montée de l'inflation. Le plus caricatural étant le FMI, qui a pronostiqué une année noire à la fin de l'année dernière, et qui deux mois plus tard se ravise. Qu'est-ce qui motive le retour de l'optimisme ? Un optimisme précautionneux, il ne faut quand même pas s'emballer. Un, le prix de l'énergie s'est assagi et, si l'on en croit les spécialistes, il ne remontera plus aussi haut qu'à l'été dernier. L'Europe a complètement réorganisé ses approvisionnements de gaz, et n'est plus dépendante de la Russie. L'autre point, c'est que pas un patron, petit ou grand, ne parle pas de difficultés de recrutement. Pendant 30 ans, la préoccupation des patrons, c'était de restructurer et licencier. Depuis deux ans, leur souci principal, c'est de recruter.
Les coulisses de l'Open d'Australie, comme si vous y étiez ! Eric Salliot, notre envoyé spécial à Melbourne, vous raconte chaque jour une anecdote, une histoire ou un détail qui vous auraient échappés. Ce mardi 17 Janvier, la cruauté du tennis abattue sur Laurent Lokoli ? Le Français, issu des qualifications, était à deux points de la victoire avant l'interruption du jeu par la pluie... Finalement rejoint au score par son adversaire Michael Mmoh, ce sont les gouttes qui l'ont sauvé d'une défaite... C'est l'histoire du jour, racontée par Eric Salliot.
Si le temps des Fêtes a été un moment de réjouissances pour la population, ce n'est certainement pas le cas pour les Canadiens de Montréal, qui ont le pire dossier de la LNH depuis le 21 décembre. Dans cet épisode de La tasse de café LNH, Nicolas Ducharme, Hugues Marcil et Sébastien Deschambault reçoivent Robert Laflamme, qui vient nous parler des déboires des Canadiens et de ce à quoi devrait ressembler la fin de la saison, dont la date limite des transactions. En deuxième portion d'émission, l'équipe discute de l'actualité dans la LNH, dont les retours de Nicklas Backstrom et Tom Wilson chez les Capitals, du retour de la « Perfection Line » à Boston ainsi que de la course aux trophées dans la LNH. Finalement, en dernière portion d'épisode, Guillaume Lepage se joint à nous afin de revenir sur le Championnat mondial de hockey junior, les performances de joueurs comme Connor Bedard, Shane Wright et Joshua Roy ainsi que des joueurs qui ont gagné des points en vue du repêchage 2023 de la LNH. Bonne écoute! 4:55 - Un manque d'imputabilité chez les Canadiens 13:30 - Que peut faire Martin St-Louis? 15:50 - Le dilemme dans l'utilisation des jeunes joueurs 21:45 - Retours au jeu de Tom Wilson et Nicklas Backstrom 33:00 - La Perfection Line revient terroriser les équipes de la LNH 38:20 - Des équipes relancées grâce à leur gardien 47:11 - La course aux trophées de LNH.com 54:50 - Le Canada s'impose au Championnat mondial junior 57:40 - Le Connor Bedard Show livre la marchandise 1:02:45 - Quels joueurs ont gagné ou perdu des points? 1:07:29 - Les performances de Shane Wright et Joshua Roy
Episode spécial pour un bilan 2022 ! Un épisode que je n'avais pas envie de faire. Qu'est ce que je vais dire ? Finalement 18 minutes de monologue. Un talent de directeur
REDIFFUSION. Nous vous proposons de (re)découvrir des histoires de rencontres bouleversantes pour démarrer une nouvelle année sous le signe de la bienveillance et de la douceur. Aujourd'hui, découvrez l'histoire de Sarah, Paul et Maud, au micro de Marie Salah. Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 15 février 2022.--“Tu vois le mec au bar ? En fait, je pense qu'il irait hyper bien avec ma mère” : Voilà ce que dit Sarah à son copain en voyant Paul pour la première fois. Il lui semble familier et, elle en est sûre, lui et sa mère, Maud, sont faits pour être ensemble. C'est sur cette impression étrange que débute une rencontre plus étrange encore, une sorte de rencard familial. Sarah prend le numéro de Paul qu'elle enregistre dans son téléphone à “Paul pour Maud”. Le soir-même, sa mère reçoit un SMS : “maman, j'ai rencontré un homme, il est pour toi”. Maud se demande ce que sa fille a bien pu inventer encore. Finalement, l'idée germe et elle se décide à rencontrer Paul quand Sarah lui promet qu'il est un vrai “gentleman”.Comment vit-on une rencontre amoureuse orchestrée par quelqu'un d'autre ? L'intuition d'une fille peut-elle conduire à l'amour pour une mère ? Et peut-on forcer le destin quand il s'agit d'amour ? Cet épisode a été tourné, écrit et monté par Marie Salah. La musique a été composée par Thomas Rozès qui a également fait la réalisation et le mixage de cet épisode. Maud Benakcha était la chargée de production de Passages, accompagnée de Capucine Rouault pour cet épisode. Vous avez aimé cet épisode et vous souhaitez nous soutenir ? Donnez-nous plein d'étoiles et parlez-en autour de vous. Suivez Louie Media sur, Instagram, Facebook et Twitter.Abonnez-vous à la newsletter hebdo.Découvrez le Club Louie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Kim a quatre enfants, deux garçons et deux filles. Les points communs dans sa maternité c'est qu'elle a toujours adoré être enceinte, qu'elle n'a jamais voulu connaître le sexe de ses futurs enfants et qu'elle a accouché par césarienne pour chacun d'eux. Pour le reste, chaque facette de sa maternité a été unique.Lorsque son premier fils a quelques mois, Kim remarque qu'il n'est pas aussi agile avec son bras gauche qu'avec son bras droit, elle interroge la pédiatre mais pas d'inquiétude de sa part. Finalement elle apprend par un autre médecin que son bébé a fait un AVC et elle va découvrir le monde du handicap avec tous les combats que cela induit en France. Pour sa fille, c'est un peu plus tard qu'elle perçoit une difficulté au niveau de l'apprentissage scolaire alors elle va entrer dans un autre parcours pour obtenir un diagnostic. Et pour ses deux autres bébés, c'est l'accouchement qui va être périlleux, notamment le dernier pour lequel le pronostic vital de Kim est engagé. Pourtant malgré toutes ces péripéties, elle en aurait bien fait un petit cinquième de bébé ! Parce-que dans son tourbillon, Kim, elle avance, elle met de la joie et advienne que pourra.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Le Tourbillon, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Suivre le Tourbillon sur Instagram : @letourbillonpodcastSite : le-tourbillon.com Become a member at https://plus.acast.com/s/le-tourbillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Episode 382 avec David et Sébastien S..Sommaire :• A comme Apple (00:02:05) : Le processeur A16 Bionic aurait été castré ? Le processeur A16 de l'iphone 14 pro aurait été amputé de pas mal de fonctionnalités avancées. (source) • C comme Cambridge Analytica (00:08:02) : Quand Meta paye pour enterrer le scandale. Meta débourse $725m pour clôturer la plainte Cambridge Analytica. (source, source) • H comme Huawei (00:15:39) : Huawei se prépare à la technologie < 7nm. Huawei prépare des scanners EUV pour produire des puces à technologie < 7nm. (source) • I comme iPhone (00:18:40) : Quand on emule iPhone OS 1.0. Un développeur réussi à faire tourner iOS 1.0 sur QEMU. (source, source) • L comme LastPass (00:27:11) : Finalement les coffre-forts de mots de passe ont été volés. LastPass finit par admettre que les coffres-forts de mots de passe ont bien été volés. (source, source) • S comme Stockholm (00:39:13) : Quand les citoyens prennent le relai. Un app créé par la ville de Stockholm est redéveloppée en open source. (source, source) • T comme Twitter (00:46:38) : 400 Millions de comptes utilisateurs auraient été volés. Un hacker prétend avoir volé les données personnelles de 400 millions d'utilisateurs de Twitter. (source) • Z comme Zero-Day (00:55:30) : Quand on découvre une faille dans Linux. Une faille Zero Day découverte dans le . (source)
Le 16 décembre 2020, Delphine Jubillar - infirmière de 33 ans, mère de deux enfants, résidant à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn - se volatilise en pleine nuit. Cédric Jubillar, le mari, est très vite soupçonné. Toutefois, l'enquête semble piétiner pendant plusieurs mois. Finalement placé en garde à vue le 16 juin 2021, il est mis en examen pour « homicide volontaire sur conjoint » et en détention provisoire. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard.
Les opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs ont été lancées samedi 24 décembre à Kinshasa. Elles concernent d'abord 10 provinces de la partie ouest du pays et dureront un mois. Où en sommes-nous avec ce processus ? Quelles sont les principales contraintes ? Le calendrier électoral sera-t-il respecté ? Entre difficultés financières, problèmes logistiques et défis sécuritaires, les élections pourront-elles être organisées comme prévu ? Denis Kadima, président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) en RDC est notre invité Afrique. RFI : L'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs pour les élections générales de 2023 a débuté depuis samedi dernier dans les provinces de l'ouest du pays. Bien que se trouvant dans cette zone, le territoire de Kwamouth, en proie à des conflits communautaires, ne sera pas concerné. Vous avez eu peur pour votre personnel, pour le matériel, pour la sécurité des enrôlés ou parce qu'il n'y a personne là-bas ? Denis Kadima : Il y a tout cela. D'abord, il faut être sûr que les membres de notre personnel ne sont pas en danger, que les électeurs eux-mêmes ne vont pas se faire attaquer. Évidemment, il y a le fait que beaucoup de gens ont quitté leur lieu de résidence. Et nous ne voulons pas que cela affecte leur participation au processus électoral qui viendra à la fin de l'année prochaine. Donc, c'est juste attendre que les choses rentrent dans l'ordre pour qu'eux aussi aient la même opportunité que tout le monde. Des opposants comme Martin Fayulu vous accusent de vouloir tricher en positionnant plus de centres d'enrôlement des électeurs dans certaines provinces que dans d'autres ? Oui, nous avons entendu tout cela. Mais ce n'est pas factuel. Quand vous lisez les documents que nous avons établis dans le cadre de la cartographie, les vrais documents, vous verrez qu'aucune province n'a perdu. Au contraire, toutes les 26 provinces ont gagné quelque chose. C'est complètement faux, je dois le dire. Quand on cite même le nom des provinces, parfois, on cite des provinces qui ont connu une très grande augmentation. Je ne sais pas si c'est un problème d'information, mais c'est complètement à côté de la plaque. Qu'est-ce qui n'a pas marché avec les précédentes opérations d'enrôlement des électeurs ? Pourquoi avez-vous décidé d'augmenter le nombre de centres d'enrôlement ? En 2018, il y avait à peu près 17 500 centres d'inscriptions. C'est insuffisant. Les gens devaient parcourir des fois 20 à 25 km pour arriver au lieu d'enrôlement. Nous, nous avons augmenté ce nombre en ajoutant 5 000 centres d'instruction. Cela reste insuffisant. Si le pays en avait les moyens, nous en aurions peut-être 50 000. Parlons du financement du processus électoral, sur les 640 millions de dollars attendus cette année, vous n'avez reçu que 400 millions de dollars. Ainsi, vous accusez quatre mois d'arriérés. Ce sont des frais liés aux opérations ou au fonctionnement de la Céni comme institution ? C'est l'ensemble, c'est-à-dire qu'il y a le fonctionnement, il y a les opérations, l'investissement. Tout cela regroupé, ça forme le montant des décaissements attendus. Il y a des impaiements sur quatre mois, comme vous l'avez dit. Nous essaierons d'avancer avec ce que nous avons. Le gouvernement a annoncé qu'il prendra en charge le financement des élections. Par le passé, on sait que le gouvernement s'était appuyé sur des partenaires comme la Monusco. Est-ce que la mission onusienne a été saisie ? Oui. La Monusco avait été contactée il y a exactement un an. C'était le 21 décembre 2021. Puis, ils ont mis un processus en cours, c'est-à-dire, ils ont envoyé une équipe pour faire un état des lieux. Finalement, les discussions sont encore en cours. En ces temps, le processus a pris de l'envergure. Comme j'ai dit, on se contente des moyens qui nous sont fournis par le gouvernement, parce que c'est la responsabilité première du gouvernement. Et concernant la Monusco, il faut aussi reconnaître qu'elle n'a plus la capacité qu'elle avait en 2006. Aujourd'hui, elle est beaucoup plus confinée à l'est du pays. Nous sommes en train de travailler à l'ouest, donc on travaille avec les moyens qui sont les nôtres. Avec le délai contraignant, avec les arriérés auxquels vous faites allusion, l'élection générale en décembre 2023, c'est toujours tenable ? Ah, oui, c'est tenable. Nous sommes à 12 mois des élections. Donc, on a beaucoup de temps, beaucoup de choses peuvent se passer. J'ai rencontré le Premier ministre [Jean-Michel Sama Lukonde] il y a trois jours. Il était ici à la Céni. Nous en avons parlé, il en est conscient. Les autres membres du gouvernement sont concernés par la question. Ils savent bien que nous sommes en pleine opération. En fait, l'inscription des électeurs, c'est l'opération électorale la plus importante, parce qu'on y met tous les moyens, on détermine le nombre de personnes et leur distribution sur le territoire. Et sur cette base-là, nous aurons des informations très précises pour organiser les scrutins. Donc, je suis optimiste.
Il y a un peu plus d'un an, Myrtille Courtney passait au micro de French Expat pour raconter son histoire et témoigner de sa décision de s'expatrier malgré la maladie de sa Maman. Retrouvez l'épisode ici : https://london.frenchmorning.com/french-expat-je-suis-partie-malgre-la-maladie-de-ma-maman-raconte-myrtille/Son témoignage avait suscité beaucoup de réactions et d'émotions. Et l'une d'entre vous avait décidé de lancer une cagnotte participative afin d'aider Myrtille à rentrer voir sa Maman. Finalement, après 3 ans d'absence, Myrtille et ses deux filles ont pu réaliser ce voyage tant attendu. Dans cet épisode spécial, Myrtille vous raconte comment ce voyage se prépare, puis comment se déroulent les retrouvailles et enfin, vous remercie après son retour aux Etats-Unis.Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Yann Moix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Tout ce que tu n'as pas appris à aimer dans ton passé, dirige ton futur ! Il y a quelques jours, je me jugeais sur un truc que j'avais fait il y a 2 ans. Je ne voyais pas pourquoi j'avais fait ça, et j'avais l'illusion que si j'avais fait l'inverse ça aurait été mieux. Que ma vie serait plus facile aujourd'hui si je n'avais pas pris cette décision à ce moment-là… Et comme je sais que tout ce que tu n'as pas appris à aimer de ton passé dirige ton futur, l'une de mes priorités dans ma vie c'est que dès que je perçois un jugement que j'ai vis-à-vis de moi ou vis-à-vis de quelqu'un… BOUM ! Le transcender pour avoir de l'amour pour ce que j'ai fait, et voir le vrai sens de ce qu'il y a derrière. Et du coup, ce matin-là je cherche ! Je prends cette décision que j'ai prise il y a 2 ans sur laquelle je me juge. Et je ne vois pas le sens… Je ne vois pas les bénéfices… Je commence à voir quelques bénéfices, mais c'est comme si dans mon corps me disait « ok, je vois bien quelques bénéfices, mais je n'aurais quand même pas dû prendre cette décision… » J'aime beaucoup cette idée qu'il n'existe pas d'erreurs dans la vie, il n'existe que des erreurs si tu compares tes actions et tes décisions à celles de personnes qui ont un système de valeurs différents du tien. Mais si tu te compares uniquement à toi-même, il ne peut pas y avoir d'erreurs. Du coup, je continue ! Je sais que tant que je n'ai pas des larmes de gratitudes pour l'évènement c'est que je n'ai pas appris à l'aimer et que je suis encore en train de le juger et de me juger. Et à chaque fois que je me juge, je me limite. Je bloque mon énergie vitale et ce n'est pas comme ça que j'ai envie de vivre. Donc, je continue… Finalement, je vois que je prends cette décision pour protéger ma relation amoureuse de ce moment-là. Parce que je sais que si je prends l'autre décision ça me forcera à voir que la personne que j'aimais à ce moment-là, elle n'était peut-être pas aussi parfaite que ce que je voulais voir. Et le fait de prendre cette décision à ce moment-là, même si ça a des inconvénients pour moi c'est aussi un moyen d'être aimé. J'ai pris cette décision qui accélère ma trajectoire financière, car j'ai l'illusion à ce moment-là que je ne peux être aimé que si j'ai atteint certains résultats financiers. Et au moment où je réalise ça, j'ai juste envie de me remercier ! Inconsciemment, si je prends cette décision à ce moment-là c'est par ce que je veux être aimé de cette personne. Et c'est aussi ma manière d'aimer cette personne de prendre cette décision exactement de cette manière-là. Et au moment où je vois ça, j'ai tout mon corps qui lâche et je peux aller voir le vrai truc. Celui qui me fait croire que je ne peux être aimé que si je produis certains résultats financiers ! Je te laisse découvrir la suite de ma réflexion dans ce nouvel épisode
Partir à l'étranger, c'est souvent synonyme de promesses : une nouvelle vie, de nouvelles opportunités et la richesse culturelle. Sauf que parfois, la réalité est toute autre. Aujourd'hui, French Expat tend son micro à Sabrina qui témoigne de son expérience ratée aux Etats-unis.Après avoir rêvé de leur vie de famille à l'étranger et un dédale de démarches administratives pour enfin pouvoir partir, voilà Sabrina, son fils et son mari qui s'installent à Franklin, dans la banlieue de Nashville au Tennessee. Finalement une fois sur place, l'expatriation ne correspond pas du tout à la vie qu'ils s'étaient imaginés et ils s'interrogent sur la raison de leur départ de France. Alors Sabrina fait semblant : elle cache à ses amis, sa famille et sur les réseaux sociaux son mal-être. Jusqu'au jour où elle n'en peut plus. Et elle et son mari prennent la difficile décision de rentrer après 9 mois de vie à l'étranger. Au moment où sort cet épisode, elle et sa famille sont rentrés en France où ils doivent tout recommencer de zéro. On leur souhaite tout le bonheur du monde !Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Interview de Mary-Françoise Renard, professeure à l'Université Clermont-Auvergne.
Ce 98e épisode de Pos. Report reçoit celui qui a été élu vendredi 2 décembre Marin de l'Année 2022, Jean-Baptiste Bernaz, premier champion du monde français de l'histoire en Laser (ILCA 7, l'appellation officielle), en mai dernier au Mexique, et le directeur technique national de la Fédération française de voile, Guillaume Chiellino. Ce dernier, qui faisait partie du jury du Marin de l'Année, explique que les débats ont été intenses, avec un vote serré entre Jean-Baptiste Bernaz, pour “son titre historique”, derrière lequel il courait depuis des années (il avait été vice-champion du monde en 2016), et Charles Caudrelier, récent vainqueur de la Route du Rhum, “un exploit remarquable.” Finalement, à une voix près, le jury a désigné Jean-Baptiste Bernaz, “une vraie surprise” pour lui dans la mesure où il n'avait pas été prévenu avant, et une récompense dont il se dit très honoré, tant il a à coeur de “marquer son sport”. Le marin originaire de Sainte-Maxime revient ensuite sur son championnat du monde au Mexique, confiant : “C'était plus une victoire sur moi-même que sur les autres.” Avant de mettre en avant le travail réalisé en amont, mais également pendant la compétition, avec son nouveau coach, Nicolas Le Berre, “la tête froide” du duo qu'ils forment. Dans la foulée de son titre, il a été sacré champion du monde militaire match-racing à Brest, a remporté les Jeux Méditerranéens en ILCA 7 avant de signer une belle campagne estivale, de nouveau en match-racing, sur quatre épreuves américaines du World Match racing Tour, ce qui lui vaut d'être invité du 13 au 18 décembre pour la grande finale à Sydney. Guillaume Chiellino explique que la direction technique nationale et le directeur de l'équipe de France, Philippe Mourniac, encouragent les spécialistes de l'olympisme à s'ouvrir à d'autres supports, ce qui ne peut que les enrichir, à condition dans le même temps de “faire le volume nécessaire” dans leurs séries respectives. Il dresse par ailleurs le bilan de l'année olympique, qu'il juge “excellent” avec quatre médailles sur les championnats du monde, pour Jean-Baptiste Bernaz, Lauriane Nolot (argent, kite), Axel Mazella (bronze, kite) et le duo Camille Lecointre/Jérémie Mion (bronze, 470). Le DTN évoque la saison à venir avec une grande priorité, le test-event olympique de Marseille sur le plan d'eau des Jeux (9-16 juillet). “C'est capital de montrer qu'on est les meilleurs à un an des Jeux, il faut que notre équipe de France fasse peur.” Jean-Baptiste Bernaz explique qu'il a organisé sa préparation en fonction de ce rendez-vous, il s'installera ainsi à Marseille au retour de Sydney, “l'objectif est de se sentir à la maison”, confie-t-il. Guillaume Chiellino conclut en évoquant l'objectif de Paris 2024 : “Trois médailles comme à Rio et Tokyo, c'est déjà vraiment beau, si on peut améliorer un peu ce score, on va le faire, on travaille pour ça, l'objectif est aussi que l'on puisse jouer dans les dix disciplines.” Diffusé le 6 décembre 2022 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Nouvelle semaine épique pour Elon Musk • Un ordinateur quantique au silicium en préparation en France • Amazon promet du cloud souverain • Quand l'IA se prend pour un journaliste. L'ACTU DE LA SEMAINE Nouvelle semaine épique pour le patron de Twitter. Elon Musk menace d'entrer en guerre contre Apple et de créer son propre smartphone. Finalement, il se rabiboche avec Tim Cook. De son côté, Thierry Breton rappelle à Twitter qu'il doit respecter la loi en Europe sinon... une interdiction ? Envoi du premier "télégramme post-quantique" français. Emmanuel Macron l'a annoncé sur Twitter. De quoi s'agit-il ? C'estY'aura-t-il des coupures d'Internet et de téléphone en France cet hiver ? Y'aura-t-il des coupures d'Internet et de téléphone en France cet hiver ? En raison des difficultés de production d'électricité, on s'attend à des délestages. Malheureusement, la technologie ne tient pas encore ses promesses en matière de gestion de l'énergie. L'INNOVATION DE LA SEMAINE Des lunettes connectée pour les sourds. Grâce à une appli spéciale, les personnes sourdes peuvent désormais lire la transcription écrite de ce qui se dit autour d'elles, via des lunettes spéciales connectées à leur smartphone. LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE
D'après l'Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire (UFSBD), le brossage des dents devrait être réalisé au moins deux fois par jour après les repas, et pendant deux minutes, à l'aide d'un dentifrice riche en fluor. Si certaines personnes peinent à suivre ces recommandations pour des raisons pratiques, d'autres ne supportent en revanche pas d'avoir les dents sales et multiplient les brossages au fur et à mesure de la journée. Un tel comportement est-il indiqué pour prévenir les caries ? Trop se brosser les dents peut-il devenir néfaste pour la santé bucco-dentaire ? Ce qui se produit quand vous brossez vos dents Machinalement, vous appliquez du dentifrice sur votre brosse à dent. Vous brossez vos incisives, vos canines et vos molaires. Vous rincez votre bouche et retournez à vos occupations sans trop vous soucier de ce qui s'est réellement passé. Et pourtant, c'est toute une série de phénomènes qui s'est enclenchée durant ce petit rituel. L'action mécanique du brossage, d'abord, contribue à détacher la plaque dentaire. Celle-ci est formée par les bactéries pour se protéger : plus il y a de plaque, plus les bactéries sont susceptibles de s'y développer. Ensuite, le dentifrice appliqué sur les dents attaque lui aussi la plaque dentaire. En outre, le fluor qu'il contient permet de renforcer l'émail et de protéger les dents de l'acidité des aliments. Finalement, le rinçage de la bouche aide à éliminer les résidus d'aliments qui pourraient être présents entre les joues et les gencives, sous la langue ou dans le fond de la bouche. Un brossage trop régulier agresse l'émail des dents Le mieux est parfois l'ennemi du bien. Au-delà de 3 brossages des dents quotidiens, les bénéfices sont minorés par le risque de détériorer la santé bucco-dentaire. Le passage de la brosse sur les dents ôte de minuscules particules d'émail, ce qui, à terme, peut fragiliser les dents. Des brossages trop fréquents aggravent aussi la sensibilité des gencives, occasionnant des saignements et une sensibilité accrue. Plutôt que de réaliser un 4ème brossage journalier, mieux vaut alors mâcher un chewing-gum sans sucre ou se rincer la bouche à l'eau tiède. Quand faut-il absolument se brosser les dents ? Que vous soyez adepte du brossage après chaque repas ou que vous limitiez votre brossage des dents au strict minimum, il est impératif de toujours conserver le brossage des dents du soir. En effet, pendant la nuit, la bouche secrète naturellement moins de salive. Or cette dernière assure une fonction protectrice contre l'acidité, responsable de la formation de caries. La nuit, les dents sont moins protégées et la présence de résidus d'aliments dans la bouche risque de stimuler l'activité bactérienne, dont l'action transforme le sucre en acide. L'émail, plus vulnérable, va davantage souffrir de cet excès d'acidité avec le risque d'apparition de carie. De façon générale, après avoir consommé du sucre, il est conseillé d'opérer un brossage des dents ou, au moins, de se rincer la bouche à l'eau tiède afin de diluer au maximum les résidus coincés entre les dents. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cet épisode, on va parler des émotions ressenties lorsqu'on est immigrée/expatriée. Avec le meilleur souhait possible, il peut arriver que les relations avec les proches se dégradent. Cette semaine, on accueille le témoignage de Marine. Cette Française, qui comptabilise 6 années d'expatriation et qui a posée ses valises au Canada. Lorsque l'on va vivre loin de ses proches, pendant une longue période, on évolue très vite. Il y a l'apprentissage de nouvelles choses, la découverte ou la redécouverte de soi et les priorités se voient bousculées. Puis vient le moment des retrouvailles, avec la famille et les amis, et il y a un décalage. Les repas de famille qui tournent autour des sujets politiques du pays d'origine et les soucis routiniers des proches font ressentir comme une mise à l'écart. Pourquoi les préoccupations de la personne qui est partie ne sont plus similaires à celles des proches, et pourquoi les leurs le sont plus que les nôtres ? Chacun a continué à vivre sa vie, et à connaître les étapes de la vie : mise en couple, naissance, mariage, etc. Mais s'il y avait d'autres étapes, qui sont différentes en tant qu'immigrée/expatriée : apprentissage d'une nouvelle langue, savoir où se loger le prochain mois, quel sera le prochain papier administratif à faire ? Ces différences peuvent à la longue créer des non-retours où certaines relations prennent fin, pour laisser place à d'autres. Finalement, comment prendre soin des relations en minimisant les frustrations ? ---------------------------------------
Dominique Sciamma est le directeur de CY, une école de désign mais également le président d'une association qui promeut le design, APCI. "Designer" c'est "désigner" (montrer une destination). Ce terme que nous prenons pour anglicisme et que nous réduisons en général aux objets (mobilier, architecture, mode...) possède en réalité des racines plutôt italiennes. C'est un terme qui date du 19eme siecle au moment de la révolution industrielle. Il arrive pour générer des objets de beauté manière mécanique au 19ème siècle mais est utilisé au 20ème siècle pour susciter le désir. La question centrale est donc le rôle du design au 21ème siècle dans une société. En réalité le design a un rôle majeur selon Dominique Sciamma car avant même la production d'objet, il désigne l'endroit ou nous souhaitons aller. Et selon lui, le rôle du design va être la production de sens. Alors dans quel sens souhaitons nous aller? Ou se trouve la dimension humaine dans la société que nous avons créé? Quelle est la place que nous devons lui donner dans la prochaine? On a vu avec l'apogée de l'analyse, le pouvoir des modèles Vs de la réalité. Finalement, elle nous a un peu coupé des externalités positives ou négatives. La manière dont on pose la question est essentielle avant même de définir les réponses que l'on peut apporter. J'espère que vous apprécierez les miennes. Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #117 Comment le design de nos objets du quotidien peut changer notre impact? (https://audmns.com/lnHErpc) Vlan #71 Passer de l'écologie à l'écosophie et de la parole à la sagesse avec Michael Dandrieux (https://audmns.com/WfUGqsv) Vlan #65 Pourquoi vivons nous dans une société en défaillance? avec Michael Dandrieux (https://audmns.com/GaiUBcQ)
durée : 00:09:48 - Journal de 18h - Après des jours d'incertitudes et d'inquiétudes, un texte se trouve finalement sur la table des négociations de la COP27. Il prévoit entre autres un mécanisme d'indemnisation des pays touchés par le dérèglement climatique.
Réjane Sénac est une politologue française, spécialiste de l'égalité, de la discrimination et de la diversité. Elle est directrice de recherche CNRS au CEVIPOF, elle est l'autrice de plusieurs ouvrages et dernièrement "radicale et fluides, les mobilisations contemporaines" sorties aux éditions de Science Po où elle enseigne et où elle est membre du Conseil scientifique de la Cité du genre. Dans cet épisode avec Rejane, on va se poser la question des différentes luttes qui peuvent sembler disparates voire on peut envisager des luttes entre personnes qui se battent pour la même cause. Est-ce que ces luttes sont efficaces? Est-ce qu'elles sont un contre pouvoir efficace? Est-ce qu'elles font bouger les lignes? On remarque que même si toutes ces causes peuvent sembler différentes, le principe d'émancipation ainsi que celui de l'égalité sont 2 traits communs qui réunissent toutes ces luttes. Ces luttes sont radicales par les remises en cause et les utopies qu'elles portent, et fluides par leur refus d'un cadre fixe et définitif. Finalement ces luttes qui prennent une place de plus en plus importante dans l'espace public, ne sont-elles pas en train de réinventer nos manières de vivre ensemble? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #163 De quel leader politique la France a besoin? avec Alice Barbe (https://audmns.com/wNmgvDf) #209 Le racisme en France et la gestion de la haine avec Rokhaya Diallo (https://audmns.com/DQlYUZg) #192 Feminisme washing: On claque la porte? Avec Léa Lejeune (https://audmns.com/JfZYqLI)
Explications et affrontements sur un débat d'actu. 15 ans pour le « Super Moscato Show » et toujours pas une ride ! On ne change pas une équipe qui gagne : Vincent Moscato sera de nouveau épaulé par sa Dream Team composée de Pierre Dorian, Adrien Aigoin, Éric Di Meco, Maryse Ewanjé-Epée, Denis Charvet et Stephen Brun. Deux nouvelles arrivées feront leur entrée dans l'équipe. Marion Bartoli, la championne de Wimbledon 2013 et dernière française à avoir remporté un Grand Chelem, rejoindra la Dream team pour commenter, analyser et débattre sur l'actualité et les événements sportifs qui rythmeront cette année. Le pilote français Esteban Ocon interviendra également cette saison autour de chaque Grand Prix de Formule 1 !
EXPERTS JEAN-DOMINIQUE GIULIANI Président de la Fondation Robert Schuman Auteur de « Européen sans complexe » MARC LAZAR Professeur d'histoire et de sociologie - Sciences Po Spécialiste de l'Italie SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » ANNA BONALUME Journaliste franco-italienne Auteure de « Un mois avec un populiste » Bloqué en Méditerranée avec 234 migrants à bord et objet d'un bras de fer entre la France et l'Italie, le navire humanitaire Ocean Viking va finalement pouvoir accoster ce vendredi à Toulon, a annoncé le ministre de l'Intérieur à l'issue du Conseil des ministres. Dénonçant un « choix incompréhensible » de l'Italie de ne pas proposer de port d'accueil au bateau ainsi qu'un « manque d'humanité et de professionnalisme » de la part de Rome, Gérald Darmanin a ajouté qu'« un tiers » de ses occupants seraient relocalisés en France. Un peu plus tôt, l'évacuation vers l'hôpital de Bastia de trois personnes avait déjà été annoncée. Selon l'ONG SOS Méditerranée, qui affrète le bateau humanitaire, il s'agit de trois migrants qui « sont dans un état de santé grave et ont besoin d'une prise en charge hospitalière ». L'Ocean Viking est l'un des quatre navires ambulances ayant secouru des migrants, pour certains il y a presque trois semaines, entre la Libye et l'Italie, alors qu'ils tentaient de rejoindre l'Europe sur des embarcations de fortune. Trois d'entre eux ont obtenu l'autorisation ces derniers jours d'accoster dans des ports italiens. Mais Rome n'a autorisé dans un premier temps qu'une partie des rescapés à descendre à quai, essentiellement les femmes et les enfants, au grand dam des organisations humanitaires qui ont dû mener d'âpres négociations avec le gouvernement italien pour parvenir à débarquer l'ensemble des passagers. L'Ocean Viking, en revanche, n'a pas reçu le feu vert de l'Italie, à côté de laquelle il naviguait encore mardi et les services de la nouvelle Première ministre d'extrême droite Giorgia Meloni avaient fait savoir qu'elle remerciait la France, qui, selon elle, acceptait d'accueillir le navire dans l'un de ses ports. Dans la foulée la tension était montée d'un cran entre Paris et Rome. Les autorités françaises opposant un démenti et dénonçant le « comportement inacceptable » de leurs homologues italiennes, « contraire au droit de la mer et à l'esprit de solidarité européenne ». Bruxelles, de son côté, avait appelé au débarquement immédiat de tous les migrants. Finalement la France a décidé d'accueillir vendredi le navire à Toulon « à titre exceptionnel ». Mais quatre ans presque jour pour jour après l'Aquarius, la question de l'accueil des migrants oppose de nouveau la France et l'Italie, dont le gouvernement est une nouvelle fois dirigé par une coalition nationaliste. Pour Matteo Salvini hier comme pour Giorgia Meloni aujourd'hui, il s'agit de pousser l'Europe à plus de solidarité avec Rome mais aussi de donner des gages à leurs électeurs sur la question de l'immigration, thème de prédilection de l'extrême droite dans le pays. En France, cette question de l'accueil divise également la classe politique. Si la Nupes estime qu'il y avait urgence à venir en aide à ces personnes rescapées et presse depuis plusieurs jours Emmanuel Macron à accueillir le navire, les Républicains et le Rassemblement national y sont opposés. Marine le Pen s'est fendue ce jeudi d'un tweet pour dénoncer un « signal dramatique de laxisme » : « Avec cette décision, [Emmanuel Macron] ne peut plus faire croire à personne qu'il souhaite mettre fin à l'immigration massive et anarchique. » « Ce serait une faute, une erreur » d'accueillir ce bateau dans un port français, avait estimé Éric Ciotti sur Radio J hier. « Ce serait donner un signe pour les passeurs qui exploitent la détresse humaine », a-t-il ajouté, soucieux de « sauver » les personnes à bord, mais qui devront selon lui ensuite être reconduites à leur point de départ. Le président du groupe Modem à l'Assemblée, Jean-Paul Mattei, s'était lui dit prêt à « regarder avec une certaine ouverture d'esprit » la proposition du président de l'exécutif corse Gilles d'accueillir l'Ocean Viking sur l'île de Beauté. « À cas exceptionnel, condition exceptionnelle », avait-il ajouté. Un point de vue qui ne satisfait pas en revanche la gauche. « Il est grand temps que l'Europe mette en place une vraie politique. On ne peut pas, au cas par cas, se dire, 'qui va le faire' », avait déclaré la député socialiste Christine Pirès-Beaune. Alors que prévoit le droit européen ? Que se passe-t-il en méditerranée ? Immigration, Europe… Que veut faire Giorgia Meloni ? Et quelle est la situation à bord du navire Ocean Viking ? Enfin comment s'organise l'accueil des migrants en France ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
15 ans pour le « Super Moscato Show » et toujours pas une ride ! On ne change pas une équipe qui gagne : Vincent Moscato sera de nouveau épaulé par sa Dream Team composée de Pierre Dorian, Adrien Aigoin, Éric Di Meco, Maryse Ewanjé-Epée, Denis Charvet et Stephen Brun. Deux nouvelles arrivées feront leur entrée dans l'équipe. Marion Bartoli, la championne de Wimbledon 2013 et dernière française à avoir remporté un Grand Chelem, rejoindra la Dream team pour commenter, analyser et débattre sur l'actualité et les événements sportifs qui rythmeront cette année. Le pilote français Esteban Ocon interviendra également cette saison autour de chaque Grand Prix de Formule 1 !
Le 16 décembre 2020, Delphine Jubillar - infirmière de 33 ans, mère de deux enfants, résidant à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn - se volatilise en pleine nuit. Cédric Jubillar, le mari, est très vite soupçonné. Toutefois, l'enquête semble piétiner pendant plusieurs mois. Finalement placé en garde à vue le 16 juin 2021, il est mis en examen pour « homicide volontaire sur conjoint » et en détention provisoire. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 25 octobre 2022
Le 16 décembre 2020, Delphine Jubillar - infirmière de 33 ans, mère de deux enfants, résidant à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn - se volatilise en pleine nuit. Cédric Jubillar, le mari, est très vite soupçonné. Toutefois, l'enquête semble piétiner pendant plusieurs mois. Finalement placé en garde à vue le 16 juin 2021, il est mis en examen pour « homicide volontaire sur conjoint » et en détention provisoire. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 25 octobre 2022
EXPERTS PHILIP TURLE Journaliste britannique Chroniqueur international – « France 24 » GEORGINA WRIGHT Directrice du programme Europe – Institut Montaigne ESTHER LENEMAN Journaliste, ex-correspondante au Royaume-Uni FLORENTIN COLLOMP Journaliste – « Le Figaro » Spécialiste Europe, ex-correspondant à Londres Elle se rêvait en nouvelle «Dame de fer» du XXIe siècle. Finalement, Liz Truss a établi un record, celui du plus court mandat de Premier ministre de l'histoire britannique. Après 44 jours à Downing Street, la dirigeante conservatrice a jeté l'éponge, hier en milieu de journée. Deux mois après avoir poussé vers la sortie Boris Johnson enlisé dans une succession de scandales, les députés conservateurs ont de nouveau fait tomber leur leader. Ils ont désormais huit jours pour lui trouver un successeur. Le parti conservateur qui dispose d'une majorité écrasante à la Chambre des communes et souhaite éviter à tout prix une élection générale anticipée a rapidement défini les contours de ce scrutin interne. Ainsi trois candidats seulement pourront concourir et chacun devra être parrainé par au moins 100 députés sur les 357 que comptent les conservateurs. Ils ont jusqu'à lundi 14 heures pour se présenter. Le nom du nouveau Premier ministre sera donc annoncé d'ici à vendredi, avant la publication des prochaines prévisions budgétaires prévue le 31 octobre. Mais déjà plusieurs noms circulent notamment celui de Rishi Sunak, l'ancien ministre des Finances, battu par Liz Truss lors de la phase finale du processus de désignation du chef du parti conservateur cet été. Jeremy Hunt, nouveau ministre des Finances, et Penny Mordaunt, ministre chargée des relations avec le Parlement, font également partie des prétendants possibles. Enfin une candidature de Boris Johnson n'est pas non plus à exclure. Quel que soit le futur Premier ministre, il sera le cinquième depuis le référendum du Brexit en 2016 et le troisième en deux mois. Il prendra la tête d'un parti miné par les divisions, face à une opposition au plus haut dans les sondages, mais surtout d'un pays plongé dans une grave crise économique et sociale. L'inflation dépasse les 10 %, au plus haut depuis quarante ans, dans un contexte social tendu au Royaume-Uni, où les grèves se sont multipliées ces derniers mois, notamment dans les transports, et alors que de plus en plus de foyers britanniques ont bien du mal à boucler les fins de mois. Selon une étude, la moitié des Britanniques réduiraient leur nombre de repas à cause de la crise. Alors qui succèdera à Liz Truss ? Quelle est la situation en Grande-Bretagne ? Quelles sont les raisons de la crise politique et économique outre-Manche ? Le Royaume-Uni commence-t-il à payer la note du Brexit ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/