Comment favoriser la qualité de vie au travail ? Nos invités partagent, en 5 minutes chrono, leur solution. Aménagement des espaces, cohésion d'équipe, développement des compétences, prévention santé, relations humaines, reconnaissance, quête de sens... A chaque épisode son idée pour booster la QVT…
Un salarié sur le départ peut demander à son employeur un outplacement, soit un accompagnement complet pour définir son nouveau projet professionnel. Le terme est encore peu connu du grand public, mais il est l'assurance d'un renouveau professionnel qui corresponde aux attentes de la personne concernée. Explications dans ce podcast, avec la participation de Caroline Averty, cofondatrice du cabinet Oser Rêver Sa Carrière.
Entre travail hybride, télétravail, équipes à recomposer, jamais le sujet de la cohésion n'a été aussi sensible. Pour améliorer les relations entre les individus, des piliers demeurent essentiels, à commencer par la sécurité psychologique. C'est que développent ici Gaëlle Grognet et Florence Szymanski, membres du collectif The Happy Collective. The Happy Collective est un collectif d'experts pluridisciplinaire au service de l'épanouissement au travail. Gaëlle est comédienne formatrice, Louis réuniologue, Guillaume expert de la cohésion par le jeu, et Florence la chef d'orchestre de ce bel ensemble. Cette dernière revient sur les quatre tendances qui impactent aujourd'hui les organisations, à savoir : la réduction du nombre de postes de travail, l'importance de l'expérience collaborateur (surtout à distance !), la multiplication des outils de communication à distance et la réunionite aigüe. Pour Gaëlle, il s'agit de « problématiques exacerbées par ce que nous avons traversé ces dernières années » : « Nous ressentons un fort besoin de comment refaire équipe ensemble, de comment connaitre les collaborateurs avec lesquels nous travaillons et de comment maintenir ce lien. » Aussi, pour permettre aux équipes de rester performantes et soudées, les deux expertes mentionnent des leviers clés comme la sécurité psychologique, la confiance, la clarté des rôles, le sens donné à son travail. « Pour que cela fonctionne, il faut aussi qu'il y ait une véritable intention, commente Florence. Il faut faire preuve de transparence : c'est l'authenticité qui permettra de créer de la confiance au sein de l'équipe. » Sans oublier l'importance, encore une fois, du manager. Ce dernier doit être exemplaire dans la mise en place de la sécurité psychologique et cela signifie parfois accepter ses propres vulnérabilités.
Pour qu'un engagement s'inscrive dans le temps et ait de réels effets positifs, il faut favoriser une approche systémique. C'est ce que défend Céline Bartoli, fondatrice du cabinet Oyaam. Selon elle, l'engagement des individus et celui du collectif doivent se répondre dans une sorte d'effet ping pong vertueux. Et chacun a à y gagner. Faire un « pas de côté » : c'est que propose Céline Bartoli. Le manque d'engagement n'est pas le seul fait des individus. La prise de recul permet d'observer l'organisation dans sa globalité pour identifier les freins. « Il s'agit d'avoir une vision méta pour essayer de comprendre comment s'articulent les interactions entre les individus et les interactions de l'organisation elle-même par rapport à la société civile. Pour ainsi mieux diriger l'action dès le départ. » Vient ensuite la phase d'action, comparée ici à des cercles concentriques : avec l'individu collaborateur ou manager en son centre, suivi de celui de l'équipe, puis de l'organisation et enfin de la société civile. « Plus les collaborateurs se sentent appartenir à un collectif, plus ils y contribuent et plus le collectif renverra à chacun de la reconnaissance. Autrement dit, plus nous nous engageons dans le collectif, plus le collectif nous le rend bien. Ou à l'inverse, plus le collectif met des éléments pour s'engager, plus cela enclenche le cercle vertueux », développe Céline Bartoli. L'autre atout de l'approche systémique ? Il n'y a pas de ponctuation : peu importe qui a enclenché le mouvement en premier, l'engagement fait écho. Avec, en sa base, la confiance. Mais attention, cette dernière ne se décrète pas : transparence, patience et authenticité sont nécessaires.
Parler des besoins et des talents individuels, c'est bien. Mais développer la force du collectif, c'est encore mieux ! Surtout dans le cadre d'un travail hybride, où la notion de collectif a parfois tendance à s'essouffler. Il est donc nécessaire de travailler le fonctionnement de ses équipes pour en booster tout le potentiel. Explications avec Aurélien Rothstein, président d'Engagement & Performance. Le travail hybride présente différents avantages, mais aussi quelques limites. Avec cette nouvelle organisation, le concept d'équipe doit être repensé, au risque sinon de voir le sentiment d'appartenance s'affaiblir. Pour Aurélien Rothstein, président d'Engagement & Performance, il s'agit même de valoriser les compétences du collectif. « Dans les entreprises, on entend beaucoup le mot ‘talent' : on veut gérer les talents, les retenir, les attirer, etc. Mais au-delà des compétences individuelles, il y a les compétences collectives qui permettent de travailler cette dimension de fonctionnement d'équipe », développe-t-il. Le pari d'Engagement & Performance ? Aider les entreprises à développer les compétences collectives pour développer la performance de l'équipe, mais aussi l'engagement collaborateur. « Actuellement, il n'y a pas de meilleur levier d'engagement et de rétention des talents que le collectif », assure Aurélien Rothstein.
La RSE s'est généralisée à toutes les entreprises (ou presque), mais sa simple existence suffit-elle pour autant à engager les collaborateurs ? D'après Perrine Lhote, fondatrice de Hisse & Haut, il est impératif d'associer enjeux RSE avec les enjeux RH. A la clé ? Des collaborateurs encore plus impliqués et donc plus engagés envers leur entreprise. « 96 % des salariés attendent que l'employeur s'engage. C'est un vecteur hyper fort en termes de sens, de sentiment d'utilité, de fierté d'appartenance », mentionne Perrine Lhote, fondatrice du cabinet Hisse & Haut. Mais dire qu'une démarche RSE engage les collaborateurs, cela ne suffit pas. « C'est le fait d'associer les enjeux RH avec les enjeux RSE, et la manière de le faire, qui aura un impact sur l'engagement des collaborateurs », assure Perrine Lhote. Activer l'ikigaï d'équipe Concrètement, cela passe d'abord par un diagnostic pour établir une feuille d'action. Puis il s'agit de co-construire à partir de ces grands axes, et ce collectivement : « C'est en raisonnant macro et par étapes que cela devient palpable, concret et que l'impact de la démarche est durable et hyper puissant. Le sens est à trouver soit parce qu'il est propre à chacun, mais aussi parce qu'il est collectif. » Perrine Lhote détaille également la possibilité d'adapter l'ikigaï d'équipe, dans l'objectif de créer un projet humain et sociétal commun, en partant des spécificités, des talents et des envies de chacun.
Laurrence Roux-Fouillet, sophrologue et fondatrice de l'Espace du Calme, nous explique comment la sophrologie peut vous aider à mieux vous sentir au quotidien au travail. "La sophrologie est une méthode de relaxation qui permet de se sentir bien dans sa tête et dans son corps, de travailler sur les tensions physiques et sur la surcharge mentale, précise-t-elle. Elle comprend des techniques pour diminuer les effets du stress, pour mieux appréhender ses émotions et booster son énergie contre la fatigue, surtout après ces dernières années qui ont été éprouvantes. La respiration notamment aide à reprendre la maîtrise, c'est un des paramètres qui dépend de nous et aide à ne plus subir. Quant à la visualisation, elle agit positivement sur notre humeur." Un élément clé ? Les pauses ! Même et surtout dans les journées de travail bien chargées. "Ce sont des moments de récupération, insiste-t-elle. Elles favorisent la mémoire et la créativité, elles permettent d'allonger la durée de travail, avec une attention plus efficace. J'aime à dire que l'idée est de perdre du temps pour en gagner."
Fabienne Broucaret reçoit Sarah Macheboeuf, co-dirigeante d'Einaï pour parler de marketing RH. Pourquoi toutes les entreprises, petites comme grandes, devraient s'y intéresser ? Concrètement, comment s'y prendre ? Quels conseils pour bien communiquer sur l'expérience collaborateur et ainsi développer une bonne marque employeur ?
Encore trop valorisé en France, le présentéisme revêt de multiples facettes. Quels en sont les impacts individuels et collectifs ? Comment en finir avec ce fléau silencieux ? Découvrez l'éclairage et les conseils de Pascale Breton, directrice du pôle santé et qualité de vie au travail de Prévia. Quelle définition peut-on donner du présentéisme ? Le présentéisme revêt de nombreuses facettes. On peut s'accorder sur le fait que quelqu'un qui fait du présentéisme est présent au travail sans en avoir toutes les capacités physiques, psychologiques ou d'engagement et de motivation. Tout dépend du contexte. Il existe de multiples profils de personnes faisant du présentéisme au travail : celles qui vont au bureau même si elles sont malades ; les gens qui restent tard parce que cela ne fait pas de partir avant 18h dans l'entreprise, voire que cela fait bien de partir tard même si on a fini son travail ; certains ne s'arrêtent jamais de travailler ; d'autres sont là mais font autre chose que de travailler... Le présentéisme existe dans d'autres pays mais c'est une pratique valorisée en France. A l'inverse, ce phénomène est très mal vu dans les pays scandinaves, notamment en Suède. Quelles sont les conséquences du présentéisme ? Elles sont plus floues par rapport aux impacts de l'absentéisme. Les coûts sont plus difficiles à évaluer objectivement (on ne peut pas compter les jours d'absence). La baisse de la productivité est une conséquence important pour les présentéistes désengagés : attention, cet état d'esprit est souvent contagieux. Le télétravail n'a pas enrayé le présentéisme... Pas du tout ! Une entreprise qui valorise la présence va se retrouver avec des personnes en télétravail qui sont connectées jusqu'à 22h, qui répondent aux messages sur Slack à n'importe quelle heure. Le télétravail n'a pas du tout enrayé le phénomène, au contraire ! Quelles solutions pour réduire le présentéisme ? Il faut d'abord repérer les signaux pour agir efficacement : cela peut être la baisse de la productivité, l'envoi de mails ou de messages en dehors des heures de travail, le travail pendant les congés, des salariés malades qui viennent au bureau quand même, des retards fréquents dans les deadlines, des salariés qui laissent leurs affaires en permanence sur leur poste même s'ils ne sont pas là, des personnes connectées en permanence... Il faut ensuite s'interroger sur l'organisation du travail qui pourrait inciter certains à agir ainsi, mais aussi sur la qualité l'expérience collaborateur proposée, sur l'engagement, sur la glorification de la quantité (heures, travail, mails), sur le management par la confiance et par les objectifs (plutôt que par le contrôle), sur les vertus de la semaine de 4 jours... Quels rôles pour les managers ? Les managers ont un rôle clé auprès des équipes, mais eux aussi peuvent faire du présentéisme, et peuvent être influencés par la culture de l'entreprise, par la direction. L'idéal est de vraiment dévaloriser le présentéisme à tous les étages de l'entreprise, de favoriser le travail en binôme et la transversalité pour aider ceux qui se pensent indispensables à lâcher prise. Autre dimension clé : éviter le bore out en remettant du sens au travail, savoir à qui et à quoi on est utile. Beaucoup de salariés ont perdu le sens de leurs missions et les managers peuvent les aider à redynamiser le quotidien, à les faire sortir de leurs routines.
La pandémie a accéléré le mouvement de reconversion professionnelle. De plus en plus d'actifs cherchent notamment à (re)donner un sens à leur travail et à trouver un meilleur équilibre de vie. Pour y parvenir, le bilan de compétences peut s'avérer un outil efficace. Concrètement, à quoi sert cet accompagnement ? Comment et pourquoi en faire un ? Découvrez dans cet épisode les explications de Marjorie Llombart, fondatrice de Dessine-moi une Carrière, cabinet expert en reconversion professionnelle depuis 2013.
Les vertus de l'activité physique sont nombreuses. Mais concrètement, comment lutter contre la sédentarité et faire bouger davantage les salariés ? En leur proposant des défis connectés. Fabienne Broucaret, rédactrice en chef de My Happy Job, en parle avec Clémentine Slembrouck, responsable commerciale chez Kiplin, éditeur de jeux de santé qui prévient et lutte contre la sédentarité en entreprise.Au menu de cet épisode : - Pourquoi utiliser le jeu pour faire bouger les salariés ? - Quels en sont les avantages ? - Concrètement, comment se passent un défi en entreprise ? - Quelles sont les clés pour embarquer les collaborateurs dans ce genre d'initiatives ?
A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail 2022, My Happy Job by Moodwork et Generali Vitality s'associent pour vous proposer une série de 4 podcasts sur le sens au travail. Des échanges courts et dynamiques pour vous aider à vous épanouir dans votre vie professionnelle. Tout au long du mois de juin, rendez-vous tous les lundis matin pour découvrir un nouvel épisode. Pour ce quatrième et dernier épisode, Christophe Deval, psychologue clinicien, auteur du livre Soft Skills (Vuibert), vous propose de s'intéresser à vos valeurs. Vos valeurs sont essentielles dans votre travail : pour trouver du sens et de la motivation, pour garder le cap en cas d'échec mais aussi pour vous focaliser sur l'essentiel et prendre les bonnes décisions.
A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail 2022, My Happy Job by Moodwork et Generali Vitality s'associent pour vous proposer une série de 4 podcasts sur le sens au travail. Des échanges courts et dynamiques pour vous aider à vous épanouir dans votre vie professionnelle. Tout au long du mois de juin, rendez-vous tous les lundis matin pour découvrir un nouvel épisode. Pour ce troisième épisode, François Garreau, responsable de la mission RSE auprès du Comex de Generali, nous explique ce qu'est la responsabilité sociétale des entreprises et comment cette démarche est menée au sein de Generali. Quels en sont les projets emblématiques ? Comment embarquer les salariés et les impliquer ? Par où commencer pour déployer une politique RSE efficace ?
A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail 2022, My Happy Job by Moodwork et Generali Vitality s'associent pour vous proposer une série de 4 podcasts sur le sens au travail. Des échanges courts et dynamiques pour vous aider à vous épanouir dans votre vie professionnelle. Tout au long du mois de juin, rendez-vous tous les lundis matin pour découvrir un nouvel épisode. Pour ce deuxième épisode, Caroline Averty, coach en transition professionnelle, consultante partenaire chez Oser rêver sa carrière et co-autrice du livre “Trouver sa voie” (Vuibert), nous parle de l'Ikigai. Terme japonais désignant tantôt « la joie de vivre » tantôt « la mission de vie », il désigne, plus globalement, notre raison de nous lever le matin… notre raison d'être. A quoi sert-il exactement ? Pourquoi et comment l'identifier ? Quels écueils éviter ?
A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail 2022, My Happy Job by Moodwork et Generali Vitality s'associent pour vous proposer une série de 4 podcasts sur le sens au travail. Des échanges courts et dynamiques pour vous aider à vous épanouir dans votre vie professionnelle. Tout au long du mois de juin, rendez-vous tous les lundis matin pour découvrir un nouvel épisode. Pour ce premier épisode, Antoine Courcoux, psychologue du travail chez Moodwork, décortique la notion de sens au travail. Que signifie-t-elle vraiment ? Comment la nourrir individuellement et collectivement ? Quels sont les signes d'une perte de sens ? Que faire si cela vous arrive ? Trois dimensions sont clés dans le sens au travail : la signification (la place du travail dans nos vies), l'orientation (le but que l'on cherche à travers son travail, ce qui vous motive et vos valeurs) et la cohérence (ou la dissonance en cas de perte de sens). Bonne nouvelle : il n'y a pas de métiers qui ont du sens en eux-mêmes, cela dépend notamment de vos valeurs et de vos motivations. On peut trouver plusieurs sens dans un même métier, selon ce qui est important pour chacun(e).
Déménager son siège, (ré)aménager les espaces de travail, passer en flex office, s'installer dans un espace de coworking ou dans des bureaux partagés... Depuis la crise du Covid 19, les bureaux se réinventent. Fabienne Broucaret, rédactrice en chef de My Happy Job by Moodwork, reçoit Alexandre Jost, fondateur de La Fabrique Spinoza, et Tiphaine Serret de Mauraige, Business Director chez Factory. Pour ces deux experts, il n'y a pas de transformation spatial possible sans transformation du travail et des pratiques managériales. "Les gens risquent de ne pas revenir au bureau si les entreprises n'adressent pas ce sujet, prévient Alexandre Jost. L'enjeux : recréer une cohésion sociale et susciter une adhésion à l'ADN de l'entreprise. Les usages se sont profondément transformés avec la crise, le but est de permettre aux collaborateurs de mieux travailler ensemble, mais aussi de se sentir bien." Avec la crise du Covid-19, "l'hybridation du travail est devenue une réalité" rappelle Tiphaine Serret. Quelles sont alors les clés d'une bonne expérience collaborateur au bureau ? "La révolution du "Activity based working" s'est accélérée. Par exemple, après la réunion, on débriefe dans un espace approprié sinon on perd des échanges informels ou on dérange les autres salariés. Un enjeu clé est vraiment de penser les espaces pour permettre la rencontre afin que les salariés s'épanouissent. Tout le monde a besoin d'espaces conviviaux et ultra collaboratifs." Au-delà des espaces classiques, comme les salles de réunions, tous les endroits sont désormais transformés : les halls d'accueil, les cafétérias... Ils permettent des échanges spontanés, non prévus, mais tellement importants ! L'idéal : avoir des espaces modulables, permettant plusieurs usages selon le moment de la journée. "Il n'y a pas de formule magique, insiste Tiphaine Serret. Un projet efficace et au service du bien-être des collaborateurs doit servir la mission de l'entreprise et les usages des salariés selon leurs métiers. Il est donc essentiel d'échanger avec les utilisateurs sur leurs besoins, et leurs besoins ont évolué avec la crise." A cette co-construction des espaces succèdent ensuite un accompagnement adapté, notamment pour les managers, un suivi dans une logique d'amélioration et d'appropriation des espaces par les équipes, et enfin l'adaptation des règles de vie au fil du temps. En plus des conseils d'Alexandre et de Tiphaine, vous trouverez dans ce podcast des exemples concrets : la Région ile de France, ainsi que les bureaux de La Fabrique Spinoza et de Factory. A votre avis, à quoi ressemblent-ils ? Réponse à la fin de cet épisode...
Si le télétravail n'est plus obligatoire depuis début février, le travail à distance a encore de beaux jours devant lui ! Les managers doivent, encore une fois, s'adapter. Comment bien manager à distance ? Quels rituels pour garder de bons liens ? Quid des team-buildings ? Fabienne Broucaret, rédactrice en chef de My Happy Job by Moodwork, reçoit Aurélien Rothstein et Benoit Campargue, fondateurs d'Engagement et Performance. Comme ils l'expliquent très bien dans cet épisode, les managers doivent "trouver de nouvelles méthodes et organiser de nouveaux rendez-vous, se réinventer pour éviter la routine et la lassitude". Le risque sinon ? "Se déconnecter rapidement du projet de l'entreprise." Il est donc essentiel d'innover pour remobiliser les collaborateurs. Les difficultés rencontrées par les managers en ce moment : "reconnecter les équipes, renforcer le sentiment d'appartenance et remettre en place une dynamique collective pour recréer de l'engagement, mais aussi l'incertitude. Il faut donner du sens sans céder à l'immobilisme." Aurélien et Benoît partagent des idées de rituels. Pour qu'ils soient bénéfiques, ces rendez-vous doivent être réguliers : des temps pour libérer la parole, d'autres pour se remobiliser physiquement ("le faire pour apprendre" comme le dit Thierry Marx). Leurs idées en matière de team-building ? "Surtout, maintenir les activités de cohésion d'équipe, les collaborateurs en ont plus besoin que jamais. Vous pouvez mixer présentiel et distanciel, l'important étant que ces moments soient rythmés, pourquoi pas en plusieurs séquences étalées dans le temps." Des exemples : des challenges solidaires pour créer de l'émulation et de l'engagement, des mises en situation stimulantes, des sorties en nature... Cet épisode permet enfin d'en savoir plus sur les conférences "Mondo" d'inspiration japonaise, ou encore sur le rituel créatif et inspirant du 3X10 minutes. A imaginer en équipe !
Fabienne Broucaret, réadactrice en chef de My Happy Job by Moodwork, reçoit Naima Nassar, wellness manager en charge du programme Vitality chez Generali. Comment la crise du Covid-19 a modifié les comportements en matière de qualité de vie au travail dans les entreprises ? Quels accompagnements proposer en modèle hybride ? "Au démarrage de la crise, la QVT n'était pas une priorité, estime-t-elle. Dans l'urgence, les entreprises ont du faire face à des problématique de gestion, de logistique, de communcation... La QVT était au second plan. Une fois l'urgence gérée, et la crise perdurant, des sujets liés à l'humain sont ressortis : le manque de liens et de cohésion d'équipe, le sentiment d'isolement, le manque de sens dans ce que l'on fait, l'insécurité... Il a fallu aider les salariés à traverser cette période pleine de chamboulements." Les DRH ont alors plébiscité l'accompagnement psychologique, mais aussi des moments ludiques pour apporter de la convivialité comme des challenges sportifs. Pour Naima Nassar, "ce sont les conséquences de la crise sur les collaborateurs qui ont montré le caractère déterminant de la QVT pour maintenir l'engagement et le plaisir de travailler ensemble." Le digital a été d'une grande aide pour la QVT pendant la crise en termes d'animation et d'accompagnement : "Tous nos prestataires ont étoffé leurs offres en ligne." Le sujet clé en mode hybride selon elle : "profiter plus que jamais des moments de présence au bureau pour favoriser les échanges et recréer des liens. Après presque de deux ans de crise, on sent une lassitude du tout à distance." Son enjeu phare 2022 ? "Maintenir l'intérêt des dirigeants et des DRH pour les sujets de QVT. En faire une priorité durable et un levier de compétitivité, de l'engagement des salariés."
Fabienne Broucaret, rédactrice en chef de My Happy Job by Moodwork, reçoit Yannick Bénet, ostéopathe et ergonome, fondateur de Neo Forma. Il nous explique comment éviter les douleurs et prévenir les troubles musculo-squelettiques (les fameux TMS !). Bonnes postures, réflexes au bureau, écueils à éviter... En écoutant cet épisode, vous saurez comment prendre soin de votre corps pendant vos journées de travail. Votre pire ennemi ? La sédentarité, un véritable fléau qui a pris de l'ampleur avec le télétravail. A noter qu'il est désormais possible d'apprendre en s'amusant, Neo Forma ayant développé un escape game accessible aux entreprises.
Plus de la moitié des salariés français aimeraient être plus créatifs dans leur travail (1). Rassurez-vous : nul besoin d'être le nouveau Picasso pour y parvenir ! Voici les conseils de Carole Cesareo et Valérie Bogaert, fondatrices de Art for Me, et auteures du livre Libérer sa créativité, 10 séances d'autocoaching pour trouver des idées et révéler son potentiel (Vuibert). "Etre créatif est accessible à tous, précise d'emblée de jeu Carole Cesareo, cela permet de faire des liens entre des idées et de trouver des solutions innovantes, c'est avant tout une question de confiance et d'entrainement." Une soft skill essentielle pour s'adapter à un monde complexe, en perpétuels changements. Et ce quelque soit son secteur d'activité. La créativité est un jeu Lors de cette épisode, Carole Cesareo et Valérie Bogaert partagent de nombreux outils qu'elles vous invitent à tester en solo ou en équipe : le portrait chinois pour se présenter ou pour élargir le champ des possibles lors d'un projet, la carte mentale pour faciliter les apprentissages et mieux vous organiser, le sketchnote et le mind mapping pour prendre des notes de manière plus visuelle. Que penserait Steve Jobs de notre projet ? Elles vous proposent enfin des alternatives aux brainstormings classiques, souvent peu efficaces avouons-le : "La clé est d'adopter la bonne posture pour donner envie aux personnes d'échanger et de les stimuler". Des exemples ? Le world café, le photolangage ou encore le jeu du consultant virtuel pour favoriser la pollinisation des idées. Les fondatrices de Art for Me vous lancent enfin un défi : tester une chose nouvelle par jour pendant 21 jours. Alors cap ou pas cap ? (1) Etude de Steelcase, 2018.
35 % des salariés déclarent être stressés et 24 % disent être à bout de force (1). Comment apprivoiser son stress pour éviter l'épuisement ? Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, reçoit, Stéphane Yaïch, consultant en bien-être au travail, conférencier et formateur. Dans cet épisode, il démonte les idées reçues sur le stress et nous aide à mieux le comprendre : "le stress doit être perçu comme un signal d'alarme alors qu'on a tendance à le considérer comme une faiblesse ou une maladie honteuse". Stéphane Yaïch rappelle ainsi que c'est notre perception de la réalité qui va engendrer du stress. Ce dernier évolue en trois phases : la phase d'alarme, la phase de résistance et la phase d'épuisement. Au travail, le stress naît "du déséquilibre entre les contraintes qui pèsent sur un individu et les ressources dont il pense disposer pour pouvoir y faire face". Quatre facteurs y contribuent : la perte de contrôle, les imprévus, la nouveauté ou les changements et la menace de l'ego (le manque de reconnaissance). A noter que les effets du stress varient selon chaque individu. Comment mieux y faire face ? Il n'y a heureusement pas de fatalité, mais des tas de solutions ! "Nous avons tous des super-pouvoirs pour ne pas nous laisser affecter par le stress", estime Stéphane Yaïch. Il vous propose de tester, entre autres, la cohérence cardiaque, le lâcher prise, l'optimisme... Découvrez à la fin de ce podcast le défi que Stéphane Yaïch vous lance pour devenir, comme lui, un vrai chasseur de stress !
Pour faire le plein d'énergie, en cette période de rentrée, Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, reçoit Gaëlle Frizon de Lamotte, fondatrice et CEO de la start up OLY Be, pour parler des bienfaits des pauses bien-être au travail. La mission d'OLY Be ? Rendre le yoga, et plus généralement les pratiques bien-être, accessibles au plus grand nombre avec des cours en présentiel, mais aussi en digital, en live ou en replay. "On sait qu'on ne peut pas être concentré et à fond dans son travail 8h à 10h par jour non stop, c'est physiquement impossible, explique-t-elle. Pour être efficace, mieux vaut séquencer sa journée avec des pauses plus ou moins longues pour se recharger. Il y a aussi des bienfaits collectifs car au travail cette pause peut devenir un vrai rituel d'équipe. Cela crée des liens, sort du du train-train et aide à avoir des idées différentes." Dans cette épisode, Gaëlle Frizon de Lamotte parle aussi des nombreuses idées reçues qui collent encore à la peau du yoga et du passage en mode hybride : "A l'origine, nous ne proposions que des cours en présentiel. Avec la crise sanitaire, nous sommes passés en 100% digital. Mais, comme tout le monde, nous avons senti une vraie lassitude pour les cours à distance, un vrai besoin de se retrouver. Il y a aujourd'hui une demande des entreprises pour proposer aux collaborateurs des séances au bureau et à distance. C'est tout à fait faisable et cela permet de proposer des cours adaptés au télétravail. On adapte ainsi les cours au mode de vie des collaborateurs". Gaëlle Frizon de Lamotte vous lance enfin un défi : prendre une pause quotidienne de trois minutes après le déjeuner... Alors, cap ou pas cap ?
A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail, qui a pour thème cette année "Travailler Ensemble", Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, reçoit Candice Wojak, fondatrice de Relyance, centre de ressources pour les managers et dirigeants qui a lancé il y a quelques semaines un moteur de recherches de solutions en ligne. Comment favoriser leur bien-être au travail et les inciter à prendre soin d'eux afin d'éviter, notamment, le burn-out ? "On en parle peu de ce sujet car cela semble encore tabou ou mal vu, comme si être dirigeant était un graal en soi et qu'ils/elles ne devaient pas montrer leurs faiblesses, explique-t-elle en revenant sur son propre parcours. Or, quand les dirigeants et managers ne vont pas bien, c'est toute l'entreprise qui ne va pas bien. Face aux difficultés, nous voyons deux extrêmes : ceux qui vont passer en mode surcontrôle car être dans l'action les rassure, et ceux qui vont être démissionnaires en lâchant complètement prise. On constate beaucoup de culpabilité de ces dirigeants qui essaient d'être en mode super-héros en permanence. Or, exprimer ses vulnérabilités peut être un gain de performance. Je conseille d'en parler avec les équipes en étant soi-même, de dire quand ça va et quand cela ne va pas pour être dans une réciprocité de relation." Son leitmotiv en tant que dirigeante : revenir à l'essentiel et revenir à soi. "J'ai pris du recul en partant 8 mois faire un tour du monde tout en continuant à travailler, le nomadisme m'a permis d'être plus efficace et plus créative. Il est nécessaire de sortir des carcans que l'on s'impose parfois soi-même !" Son conseil pour bien vivre le passage en mode hybride ? Le choisir ! "Il est essentiel de se mettre d'accord ensemble : quelles règles de fonctionnement va-t-on mettre en place ?" Autre conseil : conserver toutes les typologies de liens (formels et informels) pour bien travailler, mais aussi vivre ensemble. "Ce n'est pas forcément la collaboration dans le travail qui pose le plus de soucis, la difficulté est parfois de maintenir le lien humain et de bien se connaître, soi-même et les autres, même à distance".
Pour ce nouvel épisode de "Mon idée QVT", Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, est partie à la rencontre de Leopold Denis, co-fondateur de Moodwork. Le leitmotiv de cette start-up : rendre chaque salarié acteur de sa qualité de vie au travail. Comment ? En se basant sur la méthodologie des 3 A : autoévaluation de sa QVT (qui est multifactorielle), action (ressources adaptées aux besoins) et accompagnement (l'humain reste primordial, accès à des spécialistes). Comment prévenir les risques psychosociaux en période de crise ? "Il est plus difficile d'identifier les signaux faibles en télétravail, quand on est seul chez soi, explique Léopold Denis. Le premier sentinelle à distance ? Soi-même ! Il est donc indispensable d'outiller les individus. Au niveau des organisations, il faut réévaluer le rôle des managers : la gestion des équipes est clé, elle doit leur prendre plus de temps, ils doivent être encore plus à l'écoute." Moodwork vient aussi de publier une enquête sur le métier de responsable qualité de vie au travail. Pour Léopold Denis, c'est un métier stratégique, d'avenir et transverse. La QVT se situe à tous les niveaux de l'entreprise, ce poste permet de mettre en musique tout cela." Pour finir, Leopold Denis vous lance un défi : autoévaluer votre QVT ! Listez les plus et les moins, puis allez faire le test sur https://moodwork.co Demandez un essai gratuit, expliquez que vous venez de la part du podcast "Mon idée QVT" de My Happy Job et vous serez peut-être surpris du résultat !
La crise du Covid-19 a mis sur le devant de la scène plusieurs aspirations croissantes, notamment chez les femmes : la quête de sens et l'envie de mieux concilier vie pro - vie perso. Auteure du livre "Working Mum" (Vuibert), la coach Bérangère Touchemann explique au micro de Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, les différents chemins possibles pour réinventer son job et trouver un bon équilibre au quotidien. Rassurez-vous : nul besoin de tout plaquer pour s'épanouir ! "L'erreur de croire qu'il faut un changement radical, c'est souvent pour cela qu'on procastine, estime-t-elle. Et si un petit pas suffisait pour commencer ?". Elle distingue quatre niveaux de changements : changer de modalités de travail ou de poste au sein de la même entreprise ou du même groupe (en interne), garder le même métier mais changer d'environnement de travail (notamment de secteur), se reconvertir et, enfin, changer de paradigme (devenir entrepreneure, freelance, etc.). Qu'est-ce qui doit vous alerter ? Un sentiment de mal-être moral et/ou physique, la lassitude, l'impression de ne pas être à sa place... Son premier conseil : (re)trouver du temps pour soi pour se reconnecter à soi et à ses envies. Vive l'introspection !
Comment attirer et fidéliser les talents ? Quels sont les ingrédients d'une bonne marque employeur ? En quoi la pratique d'activités physiques et de bien-être peut-elle l'améliorer ? Quelles sont les autres vertus du sport en entreprise à l'échelle individuelle et collective ? Gatien Letartre, co-fondateur de TrainMe et de TrainMe Corporate, répond aux questions de Fabienne Broucaret. Conseils et témoignages à l'appui.
Qui n'a jamais eu le trac avant de prendre la parole en réunion ? Comment faire pour que votre présentation soit vraiment impactante ? Quels écueils éviter ? Comment réaliser des slides efficaces ? Sébastien Bernard et Bruno Clément, fondateurs du cabinet de conseil en stratégie narrative, auteurs du livre "Prenez la parole : 10 séances d'autocoaching pour oser défendre ses idées" (Vuibert), vous explique comment vous exprimer de manière claire et convaincante, que ce soit à la machine à café, devant une salle pleine à craquer ou lors d'une visioconférence par écrans interposés. Structurer votre histoire, mettre en scène votre présentation, incarner votre projet, impliquer le public, gagner en confiance... Ce podcast va vous aider à lever les obstacles pour développer votre capacité d'influence et faire de la prise de parole en public un levier d'épanouissement au travail (et non plus une épreuve qui serre de nombreux estomacs !).
Exit les to-do-lists à rallonge, les tâches annexes qui s'accumulent, les commandes de fournitures ou les petits travaux de bricolage qui nous prennent du temps...On rêve tous de pouvoir se concentrer sur l'essentiel au travail. Et si vous aviez un(e) assistant(e) personnel(le) qui s'occupe de vous décharger au quotidien ? C'est ce que propose Offiscenie. A l'origine fournisseur de produits pour le bureau, cette entreprise se donne aujourd'hui pour mission de contribuer à la réussite des entreprises, en améliorant le quotidien de leurs collaborateurs. Rencontre avec son fondateur Stéphane Malherbe, chef d'entreprise engagé, qui pratique la méditation et oeuvre pour apporter de la sérénité dans la vie de ses clients.
75% des salariés s’accordent une « vraie » pause pour déjeuner, selon le baromètre 2018 d’Edenred. Si le temps de pause varie d’un pays à l’autre, la plupart y consacre au moins 30 minutes, voire jusqu’à 45 min en France. Et c'est tant mieux ! Car bien manger permet de bien travailler, en solo mais aussi en équipe. Pour ce 6ème épisode de "Mon idée QVT", Fabienne Broucaret reçoit Stéphanie Lacroix, chargé de projet marketing chez Room Saveurs.
Lancée le 21 novembre dernier, l'application mobile du compte personnel de formation donne accès à un large panel de formations. Et ce pour tous les actifs français. C'est la mesure phare de la réforme de la formation professionnelle, initiée par la ministre du Travail Muriel Pénicaud, qui doit rendre plus accessible l'apprentissage tout au long de la vie. Une véritable révolution : "chacun peut devenir acteur de son parcours de formation" insiste Eric Varache, DRH du groupe Abilways. Invité de notre podcast, il nous explique les vertus de la formation à l'échelle individuelle et collective, les liens entre qualité de vie au travail et formation ou encore les critères à prendre en compte pour choisir une formation.
Comment attirer et fidéliser les talents ? En quoi les soft skills sont-elles aujourd'hui essentielles pour développer tout notre potentiel ? Comment aider chacun(e) à trouver sa singularité ? Fabienne Broucaret, fondatrice de My Happy Job, en débat avec Alexandre Pachulski, Directeur Produits de TalentSoft et auteur du livre "Unique(s)", et Nathalie Monin, DRH d'Eni Gas and Power et intervenante RH en écoles de commerce.
Le Prévhackhton ? C'est le premier hackathon dédié à la prévention. Lancée en 2018 par la Fédération des Acteurs de la Prévention, il réunit des personnes d'horizons variés (DRH, préventeurs, ergonomes, membres du CSE, etc.) pour échanger, confronter leurs points de vue, imaginer et construire ensemble des actions innovantes sur une thématique : le document unique, le métier de préventeur, le CSE de demain... Ecoutez notre interview de Vincent Giraudeaux, président de la FAP, réalisée lors de Préventica à Marseille, pour en savoir plus sur cette initiative originale et collaborative.
Il y a un peu plus d'un an était lancée la charte Qualité de Vie au Travail en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Un document aujourd'hui signé par une trentaine de structures du secteur privé (Leroy Merlin Nice, Everest Isolation, etc.) mais aussi public (L'Hôpital européen de Marseille, l'Université de Nice- Sophia Antipolis, etc.). L'engagement s'articule autour de six domaines d'action : les relations au travail/le climat social, le management participatif/l'engagement, le contenu du travail, la santé au travail, l'égalité professionnelle pour tous et les compétences/le parcours professionnel. Pour ce troisième épisode de "Mon idée QVT", Yves-Michel Nalbandian, directeur-délégué de l'Aract PACA, nous explique la genèse et le fonctionnement de cette charte. Une interview réalisée lors du salon Préventica Marseille 2019.
Dans ce deuxième épisode de "Mon idée QVT", nous nous intéressons aux fameuses soft skills. Comment cultiver ces compétences comportementales ? En quoi sont-elles fondamentales dans le monde du travail d'aujourd'hui et de demain ? Eléments de réponse avec Nathalie Le Clerc Lardiez et Virginie Mathieu Delcuse, coachs certifiées, fondatrices de Oser sa chance.
Alors que plusieurs générations se côtoient aujourd'hui dans les entreprises, comment favoriser la collaboration et faire de cette diversité une force ? Quels sont les écueils à éviter et les bonnes pratiques inspirantes ? On en parle avec Dominique Crochu, co-fondatrice de Mixity, et Jean-Noël Chaintreuil, directeur général de Change Factory.
Il existe une solution simple et efficace pour réduire la fatigue, cultiver son bien-être au travail et améliorer sa concentration : les pauses ! Or, en France, la pause café est rituel sacré. C'est ce que nous confirme Laurence Thébault, responsable marketing OCS Vending chez Lavazza.