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Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
En Afghanistan, la population est en état de choc, une semaine après le séisme qui a frappé l'est du pays. La tâche des secours est difficile à cause du terrain, montagneux, courbé et qui bouge au gré des répliques. Plusieurs villages ne sont accessibles qu'en hélicoptère ou à pied, au prix de longues heures de marche. RFI s'est rendu dans le village de Ghonday, dans la province de Kunar, épicentre du séisme. Malgré la présence des pouvoirs publics, les habitants se sentent oubliés. De notre envoyée spéciale à Ghonday, Margot Davier Pour arriver jusqu'au village de Ghonday, dans l'est de l'Afghanistan, il faut compter plusieurs heures de voiture, puis marcher sur un chemin périlleux, entravé par de nombreux rochers. Sherzad, l'un des habitants, n'est pas très à l'aise. « Il y a des secousses tous les jours, presque toutes les heures. Tout est très fragile, et même là, au moment où je parle, j'ai peur que tout s'écroule », confie-t-il. D'ailleurs, son visage se fige à l'approche de son ancienne maison, qui paraît intacte de l'extérieur. Sherzad n'ose pas entrer, depuis le séisme, il préfère dormir dans une tente. « Plusieurs personnes ont été blessées ici et sont restées sous les décombres pendant des heures. Heureusement, au petit matin, nous avons enfin réussi à les évacuer et à organiser leur transport vers à l'hôpital. Je suis terrifié de rester à l'intérieur. S'il y a une secousse, les murs peuvent s'effondrer sur nous. Il vaut mieux sortir », témoigne-t-il. À l'angoisse des répliques, s'ajoute la peur de l'avenir. Sherzad, comme la plupart des hommes du village, est berger. Ses ressources se réduisent. « Nous en avons perdu plusieurs de nos animaux pendant le séisme. Ce sont ceux qui restent. C'est notre seul commerce. Nous sommes dépendants de ces animaux pour vivre. Nous n'avons rien d'autre : nous les vendons, nous prenons la laine, nous mangeons leur viande. On garde les chèvres ici. Normalement, elles gambadent dans la montagne, mais on préfère les garder ici par sécurité », détaille-t-il. Un peu plus loin, se trouve la demeure d'Abdul Sattar, l'un des frères de Sherzad. Il montre des ruines : « Mon frère dormait ici, sur le toit de la maison, et mes enfants se trouvaient à l'intérieur. Tout le monde dormait, quand le séisme a eu lieu. Le toit s'est effondré sur mes enfants, nous avons essayé d'évacuer tout le monde, mais les secours sont arrivés bien après car les routes sont en très mauvais état. Finalement, nous avons réussi à transférer tout le monde. On est contents, les talibans nous soutiennent beaucoup. Ils font du mieux qu'ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. » À ses côtés, Sherzad fait la grimace. « Leur soutien n'est pas très significatif. Ce n'est pas assez, nous avons besoin de reconstruction », déplore-t-il. « Mais ils prennent soin des blessés », lui rétorque son frère. Depuis une semaine, la vie des deux frères est suspendue. Deux ans minimum seront nécessaires à la reconstruction de la zone, selon les organisations sur place. À lire aussiAfghanistan: une semaine après le séisme meurtrier, des villages sont toujours inaccessibles
Construction d'un revêtement en pierre de 390 mètres à Albion : les habitants affirment n'avoir aucune information sur les travaux by TOPFM MAURITIUS
Hay Mohammadi est un quartier mythique de Casablanca qui a fourni au Maroc certain de ses grands artistes contemporains, comme le groupe de musique Nass El Ghiwane. Populaire et rebelle, Hay Mohammadi a été dans les années 1960/1970 un foyer de création et un lieu où le Maroc se réinventait. Cinquante ans plus tard, après des bouleversements majeurs comme la destruction des bidonvilles et l'arrivée d'un nouveau personnel politique, le quartier s'est endormi. De notre correspondant à Casablanca, À lire aussiMaroc: le quartier de Hay Mohammadi, l'incubateur du groupe Nass el Ghiwane [1/2]
La rentrée rime avec taxe foncière pour les propriétaires. Alors que tous vont devoir s'en acquitter, dans certaines communes, ils tombent des nues après avoir découvert qu'elle avait doublé en l'espace d'un an, comme à Gandrange en Moselle. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La rentrée rime avec taxe foncière pour les propriétaires. Alors que tous vont devoir s'en acquitter, dans certaines communes, ils tombent des nues après avoir découvert qu'elle avait doublé en l'espace d'un an, comme à Gandrange en Moselle. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:44 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce vendredi 5 septembre, Bruno Retailleau est à Clermont-Ferrand où la situation liée au trafic de drogue inquiète les autorités et les habitants. Depuis le début de l'année, quatre personnes ont été tuées et plusieurs blessées dans des fusillades.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:24 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Dans le Haut-Jura, le Grand Tétras, menacé de disparition, pourrait bénéficier d'une "zone de quiétude volontaire" dans la forêt de Champfromier. Lancé en 2017, le projet reste méconnu du grand public. Ce défaut d'information nourrit le mécontentement d'une partie de la population. - réalisation : Annie Brault
À Port-au-Prince, des habitants ont décidé de regagner leur domicile. Le gang « Viv Ansanm » promet de faire taire les armes pour permettre le retour des citoyens. Et la population a répondu à l'appel. Des retours qui traduisent la détresse des habitants, fatigués des conditions de vie dans les camps de déplacés, et la volonté de recommencer à vivre normalement malgré les risques. Dans les quartiers de Solino, Delma 30 et Nazon, d'anciens habitants découvrent les dégâts laissés par la violence, d'autres, la joie de rentrer chez eux après avoir été chassés. Des comités locaux se sont déjà activés pour nettoyer les quartiers. Si du côté des autorités, c'est le silence total, des organisations de défense des droits humains dénoncent cette démarche. C'est le reportage de Peterson Luxama, notre correspondant à Port-au-Prince. Au Guyana, une élection sous tension Alors que le pays élit, ce lundi, son président, le média guyanais Kaieteur News revient sur une attaque qu'il qualifie « d'effrontée » et qui a eu lieu dimanche. Des responsables de la commission électorale ont été visés par des tirs venant de la frontière entre le Guyana et le Venezuela. Ils étaient en train de transporter une urne dans la région de l'Essequibo, à l'ouest du pays. Le territoire est riche en ressources naturelles et convoité par Caracas depuis des décennies. Kaieteur News fait le lien entre cet événement et la multiplication des attaques de gangs vénézuéliens sur le territoire guyanais. Et CNN Latinoamérica s'interroge : « Pourquoi ces élections suscitent-elles autant d'attention que celles d'une nation plus grande et plus active en termes géopolitiques ? » La réponse est simple. Le pays devrait connaître la plus forte croissance de production pétrolière au monde durant les dix prochaines années. En 2015, une compagnie pétrolière avait découvert un gigantesque gisement de pétrole. Mais ce n'est pas la seule raison de l'intérêt porté à cette journée, selon CNN Latinoamérica. Cette élection est la première d'une série de scrutins qui devraient changer la face du continent sud-américain entre aujourd'hui et 2026 et bouleverser les collaborations de la région avec les États-Unis. À lire aussiGuyana : une élection présidentielle sur fond de manne pétrolière Une réunion en urgence entre les pays d'Amérique du Sud Les États-Unis ont dépêché des navires de guerre à proximité du Venezuela la semaine dernière. Un pas de plus dans la lutte contre le trafic international de drogue menée par Donald Trump. Ce lundi, la Celac se réunit à la demande de la Colombie, qui en assure la présidence tournante. Le média El Colombiano refait le point sur cette rencontre dépêchée d'urgence. Les membres doivent évoquer la situation et rappeler le rejet total de l'ingérence dans la région. El Colombiano revient aussi sur la guerre que mène Donald Trump à Nicolas Maduro, et rappelle qu'il y a quelques semaines, Washington a augmenté la récompense pour la capture du chef d'État vénézuélien. La Maison Blanche le soupçonne d'être en lien avec les cartels. La nouvelle récompense s'élève à 50 millions de dollars. Pour le média d'opposition vénézuélien TalCual, les tensions avec les États-Unis ont atteint un point de non-retour. Il dénonce un déploiement militaire disproportionné pour lutter contre le trafic dans les Caraïbes. TalCual déplore la situation dans le pays où désormais, à l'inefficacité du gouvernement, la pauvreté et la corruption s'ajoutent la menace d'une intervention étrangère. Medellín, future « Silicon Valley d'Amérique latine » Medellín, la capitale économique de la Colombie, a lancé un grand plan de transformation pour devenir « la Silicon Valley d'Amérique latine ». Les autorités et les entreprises mettent leurs forces en commun pour faire de Medellín un centre de technologie et d'innovation, une sorte de Medellín 4.0. Depuis la fin de la pandémie, les premiers changements sont notables, comme les immeubles de coworking et l'arrivée de nouvelles entreprises internationales. Même si le chemin est encore long, Medellín ne compte pas baisser les bras. C'est le dossier Amériques du jour de Najet Benrabaa, notre correspondante à Medellin. Les femmes noires, principales victimes des coupes budgétaires de Donald Trump Le New York Times met en Une les femmes noires, les principales victimes des coupes budgétaires de Donald Trump dans le gouvernement fédéral. Le quotidien américain dresse le portrait de quatre femmes afro-américaines, dont Peggy Carr. Elle est la première personne noire et la première femme à occuper le poste de commissaire du Centre national des statistiques de l'éducation. Après 35 ans de carrière, en février dernier, un officier de sécurité est monté dans son bureau, il lui a donné 15 minutes pour faire ses affaires et l'a escorté en dehors du bâtiment, devant ses collègues sous le choc. Dans chaque portrait, l'histoire se répète : des fonctionnaires remerciés quand Donald Trump a commencé à démanteler les agences d'État, trop woke, trop libérales à ses yeux. Selon le New York Times, depuis des décennies, le gouvernement fédéral sert d'ascenseur social aux Afro-Américaines, discriminées sur le marché du travail. Résultat des courses, à l'échelle nationale, plus de 300 000 femmes noires ont perdu leur emploi dans les secteurs public et privé depuis février 2025. Les hommes blancs, eux, ont enregistré le plus grand nombre d'emplois supplémentaires sur la même période aux États-Unis. Journal de la 1ère En Guadeloupe, comme sans doute dans tout l'outre-mer, la perspective d'un changement de gouvernement suscite la perplexité, pour ne pas dire l'inquiétude.
Une rave party a démarré dans le massif des corbières seulement quelques jours après que l'énorme incendie du mois d'août a été officiellement déclaré éteint. Les habitants sont en colère et les élus réclament des sanctions plus fortes contre ceux qui font prendre le risque de feux de forêt.Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Bienvenue dans les Alpes italiennes, à plus de 1 000 mètres d'altitude, où se trouve un petit village aux allures de mystère médical : Stoccareddo. Ce hameau isolé, niché dans la région de Vénétie, intrigue les scientifiques du monde entier. Car ici, les lois habituelles de la santé semblent… inversées.La population de Stoccareddo est quasiment homogène sur le plan génétique. En effet, les habitants – environ 400 aujourd'hui – descendent presque tous d'un même noyau familial, installé dans la région au XVe siècle. Le village a vécu longtemps coupé du monde, ce qui a entraîné un taux de consanguinité élevé. Et pourtant, malgré ce que l'on pourrait attendre d'un tel isolement, la population affiche une santé exceptionnelle, notamment sur le plan cardiovasculaire.Les chercheurs ont noté un fait troublant : les habitants de Stoccareddo ont une alimentation riche en graisses animales, en charcuteries, en fromages… et boivent régulièrement de l'alcool local. Autrement dit, leur régime alimentaire est loin des standards de la diététique moderne. Et pourtant, ils présentent peu de cas de maladies cardiaques, une tension artérielle stable, et des taux de cholestérol souvent étonnamment bons.Alors comment expliquer ce paradoxe ?Une première hypothèse repose sur la génétique. L'homogénéité génétique des villageois aurait permis une transmission efficace de certains gènes protecteurs, notamment des mutations favorables liées au métabolisme des lipides ou à la régulation de la tension artérielle. Ce “filtrage” génétique, en quelque sorte, aurait gardé les gènes les plus résistants au fil des générations. Des études ont montré que certains habitants possèdent effectivement des variantes génétiques rares qui protègent contre les plaques d'athérome ou l'inflammation chronique.Mais la génétique ne fait pas tout. Le mode de vie à Stoccareddo est aussi un facteur important. Les habitants ont une activité physique naturelle et régulière : ils marchent dans les montagnes, travaillent la terre, montent et descendent sans cesse des pentes raides. L'environnement alpin, riche en air pur et en lumière naturelle, pourrait également jouer un rôle dans la prévention de nombreuses pathologies.Enfin, la cohésion sociale, le faible stress, et le lien étroit avec la nature sont d'autres éléments souvent mis en avant. À Stoccareddo, tout le monde se connaît, l'entraide est omniprésente, et la vie suit un rythme lent, loin des tensions urbaines.En résumé, Stoccareddo est un laboratoire naturel fascinant. Il montre que la santé ne dépend pas uniquement de l'alimentation ou de la génétique, mais d'un ensemble de facteurs complexes, parfois contre-intuitifs. Un rappel, peut-être, que la médecine moderne a encore beaucoup à apprendre… des villages oubliés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À Nîmes, un mois après l'instauration d'un couvre-feu dans plusieurs quartiers sensibles, entré en vigueur à la fin du mois de juillet 2025, les habitants semblent conquis par les effets de la mesure..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez l'émission du 27 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entrepreneurship Awareness Program : comment gerer ou créer une entreprise pour les habitants de Rose-Hill by TOPFM MAURITIUS
Ecoutez RTL Matin avec Antoine Cavaillé-Roux du 23 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Boudsocq du 22 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:41 - Saison des déménagements : d'où viennent les néo-toulousains ? - Même si le nombre d'emménagements commence à ralentir à Toulouse, la ville continue d'attirer des habitants venus d'autres départements, séduits par le cadre de vie et l'ensoleillement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:55 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - Marie Jo Lo Thong, directrice des affaires culturelles de l'île de la Réunion rappelle l'importance et la richesse de la culture à la Réunion au micro de Marie Sorbier.
Coup de projecteur aujourd'hui sur les États-Unis où Donald Trump a annoncé qu'il prenait le contrôle de la police et des opérations de maintien de la paix à Washington. Le président estime que la capitale est gangrenée par le crime et la violence. Il a ordonné le déploiement de la Garde nationale et la mobilisation d'agents fédéraux. Ce week-end du 16-17 août, des centaines de personnes ont manifesté devant la Maison Blanche pour dénoncer ces mesures qui ont mis la capitale sous tension. Dans le métro, autour des parcs ou des musées, les membres de la Garde nationale et leurs véhicules blindés sont désormais bien visibles à Washington DC. Le président leur a confié une mission : rendre les rues plus sûres. Mais pour la plupart des habitants, cette présence provoque plutôt l'effet inverse. « C'est très inhabituel de voir ça aux États-Unis… Je ne sais pas, je trouve ça un peu extrême », réagit une habitante. « C'est très anxiogène, c'est sûr, mais on va devoir s'y habituer pour le moment », ajoute une autre. Donald Trump assure qu'il veut ainsi lutter contre une explosion de la criminalité. Mais en réalité, les chiffres officiels montrent une tendance à l'opposé. Le taux de criminalité est le plus bas enregistré dans la ville ces 30 dernières années. Certains voient dans le plan du président une décision purement politique. « On a l'impression qu'il a mis Washington dans son viseur et décidé de faire souffrir ses ennemis », lâche un Washingtonien. Un autre habitant renchérit : « Il nous parle de loi et d'ordre et de crime, alors que c'est lui le criminel condamné qui a aussi provoqué une émeute et une attaque contre le Capitole. » À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump place le maintien de l'ordre à Washington sous contrôle fédéral À terme, 800 membres de la Garde nationale devraient être déployés, en plus de dizaines d'agents fédéraux chargés d'intervenir comme le ferait la police. Un dispositif exceptionnel dont les habitants du quartier de Deanwood ont été les premiers témoins : « On a vu dix voitures arriver en trombe. Ils sont sortis, les armes à la main en hurlant : "Viens ici !". Les gens ont eu peur parce qu'avec les véhicules banalisés, on ne savait pas qui c'était. Effrayés, certains ont pris la fuite et l'un des agents a ouvert le feu. » Tyrese Stevenson décrit des scènes de panique. Sur les vidéos qu'il a filmées, on voit des dizaines d'agents masqués portant des gilets pare-balles avec les initiales de leurs agences : FBI, DEA, police des transports… Une démonstration de force inacceptable selon Anthony Lorenzo Green, un élu local qui affirme qu'ici, comme ailleurs, le crime est en baisse : « C'est un quartier où les gens ont l'habitude, l'été, de rester tard devant leur maisons, dans leur jardin, ou juste de se balader. Ils ne commettent pas de crimes, ils vivent, c'est tout. Donc voir arriver des patrouilles qui agissent comme ça, c'est inquiétant. » L'élu estime que les moyens dépensés devraient plutôt servir à financer des programmes pour jeunes, des programmes de lutte contre les violences policières ou des infrastructures. Il craint de voir les mesures sécuritaires de Donald Trump cibler plus durement les minorités et les communautés afro-américaines, comme à Deanwood. À lire aussiÉtats-Unis: ces images ne montrent pas le déploiement de la Garde nationale à Washington
Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]
En France, l'été rime avec festivals. Pendant quelques jours, villes et villages se transforment en lieux de fête. Habitants et visiteurs se mêlent pour profiter d'un programme artistique intense. Musique, théâtre, cinéma, arts visuels… Ces événements font découvrir de nouveaux talents et créent une ambiance unique et chaleureuse. On y vit des expériences collectives inoubliables. Dans cet épisode, Ingrid et Hugo racontent pourquoi les festivals sont au cœur de la vie culturelle française. Ils partagent souvenirs et impressions sur ces rendez-vous qui font vibrer tout le pays. Retrouvez la transcription de l'épisode ici : https://www.innerfrench.com/e177
durée : 00:06:02 - La Revue de presse internationale - par : Juliette Micheneau - Dans la région de Donetsk sous occupation russe, les habitants demandent des comptes à l'autorité de Moscou face aux pénuries d'eau devenues récurrentes après la destruction de nombreuses infrastructures dans l'offensive contre l'Ukraine.
Téléchargez le Kit de Survie de l'Anglais en Voyage en cliquant ici. Voici le dialogue, si vous en avez besoin : Hello, Hello. So, what's your name? My name is Sue. Hello, Sue nice to meet you. It's nice to meet you, too. So do you live in Newcastle? I do, yes. How long have you been living here? 53 years. 53 years, so you know the city very well, I guess. I do, yes, yes. In order to teach our students a few words, if you had to describe your city, like, say, choose three words to describe your city, what would they be? Beautiful, historic. Historic. Fun. Fun. Why fun? Well, for young people in particular, it's considered to be a party city. where lots goes on to give them entertainment. Of course, that doesn't interest me, I'm an old lady, but I think younger people appear to. And why would you describe the city as historic? Well, there's been a settlement here documented settlement since Roman times and continuously, there has been a town of some kind here since the Roman settlement dates from about 50 or 60 AD. So, yeah, and there's Roman remains, of course, there's the Roman Wall. There's lots of medieval stuff remaining. Beautiful redevelopment in the early 19th century when most of the town burned to the ground. And of course, it's a port. So down on the riverside, the quayside, there are historic buildings, too, the castle, the Guild Hall, which dates from the 17th century, so yeah, there's a lot. here. That seems very interesting, so it makes me want to go and visit some more, because I've just been here for a day, so Oh, do! Yes. There's lots to see. And we have theater, concerts, an art gallery, which is just along here. The building with the tower, you can't quite see it. If you move further back. That's a very good art gallery. Well, thank you very much, Sue, so it was very nice of you to teach some words, I hope it's useful to you. It's definitely going to be. Thank you. Thank you. Hello there. Hello. So what's your name? My name is Maria. Maria, nice to meet you. I'm Alban. If you had to describe the city in, like, choose three words to describe it, what would they be? Probably vibrant, exciting, and busy. And busy. All right, so why busy? I think it's just no matter what time of the day that you're out in High street, there's always people around. There's always, you know, friendly faces. Everyone always sort of stops and says hello. So it always seems to be quite busy. Are you going to be a student here? I am a student here, actually. I'm doing my masters of research at the minute. And what topic... is your research on? I do medical and molecular biology. Thank you very much for your time and for teaching our students a few words. No, thank you very much, thank you. Hi ya, how are you? I'm good, yeah. So, what's your name? I'm Ben. Okay. Hi Ben. Do you live in Newcastle? Yes.. Yeah I just moved in, actually. Just moved in? When did you move in? Today? Today, yeah. very first day in Newcastle. Yeah, I'm just out to get some bedding. So you've been in Newcastle for about as long as I have. I've lived here before, but today is a new start, yeah. So in order to teach our students like two to three words, could you describe Newcastle Like choose two or three words to describe the city? Okay. Ooh. I'd consider it quite gorgeous in many parts. The town center is very traditional, traditional. Very fast-paced.. Is that two words? That's perfect, that's perfect. C'est un adjectif composé. Fast-paced. And also. It's just beautiful, I think. Well perfect. Thank you, Ben. Thank you very much.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Anael Payrou, directeur du Cellier des Demoiselles à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse - Jacques Morel, général de Gendarmerie et ancien patron Section Recherche Versailles - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain - Roger Rua, médecin généraliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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17 centres ont été ouverts la nuit dernière pour accueillir ces naufragés du feu. Certains ont pu revenir quelques heures dans leur village pour constater les dégâts. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ecoutez RTL Matin avec Vincent Derosier du 06 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:02:07 - Le grand format - Alors que la saison des feux de forêts est déjà "particulièrement intense", selon le ministère de l'Intérieur, les Bouches-du-Rhône sont particulièrement touchées. À Martigues, les habitants font des aménagements pour limiter les risques de dégâts. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Soir avec Guillaume Ouattara du 03 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Marie Dorcet - Alors que le cessez-le-feu entre le Cambodge et la Thaïlande devait être effectif à partir de minuit, heure locale, ce mardi, les habitants de part et d'autre de la frontière ne sont pas persuadés que les affrontements vont cesser.
durée : 00:01:59 - Le grand format - Les habitants du petit hameau de La Bérarde, en Isère, ne peuvent toujours pas dormir chez eux. Plus d'un an après la crue torrentielle qui a dévasté une partie de ce village, un arrêté leur interdit de revenir passer une nuit dans leur maison. Il n'y a plus d'eau ni d'électricité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:43 - Le Zoom de France Inter - [Rediffusion] Direction Vauvert, dans le Gard, où un local a ouvert, le 458, pour les jeunes. Ils peuvent aussi y bien refaire leur CV que parler d'un projet professionnel ou simplement papoter entre eux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:08 - Journal de 12h30 - Plus de 80% des habitants des Tuvalu, archipel du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans, cherchent à obtenir un visa pour l'Australie dans le cadre d'un traité signé en 2024.
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Vincent Parizot du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 12h30 - Plus de 80% des habitants des Tuvalu, archipel du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans, cherchent à obtenir un visa pour l'Australie dans le cadre d'un traité signé en 2024.
A 10h, ce lundi 21 juillet 2025, les GG : Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent de : Paris, les habitants du 6e contre l'arrivée d'un Carrefour.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 21 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 21 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Alors que le président syrien a annoncé cette nuit le transfert "à des factions locales et des cheiks" druzes la responsabilité du maintien de la sécurité à Soueida, les différentes interventions d'Israël sont discutées dans les médias.
Dans le 11e arrondissement de Marseille, les habitants de la résidence Belle-Ombre ont pris l'initiative de repousser les trafiquants de drogue qui s'étaient installés au pied de leurs immeubles. Un reportage de Joanna Chabas. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité: - Eric Revel, journaliste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.