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Habitants

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Journal France Bleu Mayenne
"Cela permet d'impliquer les habitants, de limiter les risques" : un dispositif d'alerte par SMS testé en Mayenne

Journal France Bleu Mayenne

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:41


durée : 00:02:41 - Un dispositif d'alerte par SMS testé en Mayenne - La préfecture de la Mayenne teste son dispositif d'alerte à la population mardi 16 décembre. Dans l'après-midi, les personnes se trouvant sur le secteur des Coëvrons vont recevoir un SMS d'exercice. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Reportage International
À Dublin, les drones livreurs bousculent le quotidien des habitants

Reportage International

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 2:30


Ce qui aurait pu relever de la science-fiction il y a encore quelques années est bien réel à Dublin, la capitale irlandaise : des repas peuvent désormais arriver par les airs. Pizza, cafés, repas... Certaines commandes sont aujourd'hui livrées directement chez l'habitude, à l'aide de drones. Pour l'instant, une seule entreprise propose ce service. Mais cette petite révolution technologique est loin de plaire à tout le monde.  De notre correspondante à Dublin, Seamus Doyle vit dans un quartier résidentiel, à l'ouest de Dublin, là où s'est installée une start-up spécialisée dans la livraison par drones. Depuis, son quotidien a changé : il ne supporte plus les vols incessants au-dessus de sa maison. « Il y en a un autre qui passe maintenant ! Ça fait dix minutes qu'on est là et on en a vu quatre passer ! On entend un bourdonnement constamment, qui passe au-dessus, c'est comme si une voiture traversait votre jardin ! C'est agaçant quand vous aviez l'habitude de simplement profiter de votre extérieur et de la faune,qui désormais est effrayée par les drones ! Nous avons un arbuste fruitier dans le jardin qu'on doit toujours protéger des oiseaux et maintenant, on n'a plus besoin de le protéger, car les oiseaux ne nichent plus ici », déplore-t-il. Seamus n'est pas le seul à être agacé. Avec d'autres habitants, il a fondé le collectif « Drone Action Dublin 15 » : « Les drones perturbent des personnes sensibles au bruit, des gens qui essaient de dormir pendant la journée parce qu'ils travaillent la nuit. Mais il y a aussi des préoccupations concernant la vie privée : ces drones ont des caméras. On nous dit qu'ils n'enregistrent pas, mais ils regardent bien dans les jardins pour déposer les livraisons ! » À lire aussiEn Inde, la livraison ultra-rapide des objets du quotidien et des repas explose Une réglementation qui reste à établir  La start-up derrière ce service prévoit déjà de s'étendre au sud de Dublin. Elle n'est pas seule : Iona, arrivée il y a quelques mois, tente, elle aussi, de s'implanter. Or ici, pas de pizzas ou de fast-food, leurs drones transportent des colis de 10 à 20 kilos, ciblant les zones rurales et mal desservies, comme l'explique le dirigeant français, Étienne Louvet : « Il y a de plus en plus de e-commerce, de plus en plus de colis, mais c'est la chose la plus compliquée à livrer pour les logisticiens, surtout dans les zones qui n'ont pas une densité de population élevée. Donc, on va laisser une partie des zones rurales sans accès à des produits ! » Le secteur de la livraison par drones décolle donc à toute vitesse en Irlande, ce qui pousse certains politiques à réclamer une réglementation rapide. « En réalité, les habitants du quartier ont été traités comme des cobayes, pour un service non testé et non réglementé, condamne John Walsh, conseiller municipal à l'ouest de Dublin. Je pense que certaines livraisons par drone – par exemple de produits sanguins ou de produits médicaux – sont tout à fait acceptables, mais ce dont nous parlons ici, c'est d'une livraison à grande échelle de fast-food ! Ce n'est donc certainement pas un service essentiel ou nécessaire ! » Amazon et Google veulent aussi se lancer dans la livraison par drones, pour tout type de produits. Fixer des règles devient nécessaire, afin d'éviter avant que le ciel irlandais ne se transforme en jungle aérienne.  À lire aussiLivraisons à domicile : un modèle déjà à bout de souffle ?

Reportage international
À Dublin, les drones livreurs bousculent le quotidien des habitants

Reportage international

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 2:30


Ce qui aurait pu relever de la science-fiction il y a encore quelques années est bien réel à Dublin, la capitale irlandaise : des repas peuvent désormais arriver par les airs. Pizza, cafés, repas... Certaines commandes sont aujourd'hui livrées directement chez l'habitude, à l'aide de drones. Pour l'instant, une seule entreprise propose ce service. Mais cette petite révolution technologique est loin de plaire à tout le monde.  De notre correspondante à Dublin, Seamus Doyle vit dans un quartier résidentiel, à l'ouest de Dublin, là où s'est installée une start-up spécialisée dans la livraison par drones. Depuis, son quotidien a changé : il ne supporte plus les vols incessants au-dessus de sa maison. « Il y en a un autre qui passe maintenant ! Ça fait dix minutes qu'on est là et on en a vu quatre passer ! On entend un bourdonnement constamment, qui passe au-dessus, c'est comme si une voiture traversait votre jardin ! C'est agaçant quand vous aviez l'habitude de simplement profiter de votre extérieur et de la faune,qui désormais est effrayée par les drones ! Nous avons un arbuste fruitier dans le jardin qu'on doit toujours protéger des oiseaux et maintenant, on n'a plus besoin de le protéger, car les oiseaux ne nichent plus ici », déplore-t-il. Seamus n'est pas le seul à être agacé. Avec d'autres habitants, il a fondé le collectif « Drone Action Dublin 15 » : « Les drones perturbent des personnes sensibles au bruit, des gens qui essaient de dormir pendant la journée parce qu'ils travaillent la nuit. Mais il y a aussi des préoccupations concernant la vie privée : ces drones ont des caméras. On nous dit qu'ils n'enregistrent pas, mais ils regardent bien dans les jardins pour déposer les livraisons ! » À lire aussiEn Inde, la livraison ultra-rapide des objets du quotidien et des repas explose Une réglementation qui reste à établir  La start-up derrière ce service prévoit déjà de s'étendre au sud de Dublin. Elle n'est pas seule : Iona, arrivée il y a quelques mois, tente, elle aussi, de s'implanter. Or ici, pas de pizzas ou de fast-food, leurs drones transportent des colis de 10 à 20 kilos, ciblant les zones rurales et mal desservies, comme l'explique le dirigeant français, Étienne Louvet : « Il y a de plus en plus de e-commerce, de plus en plus de colis, mais c'est la chose la plus compliquée à livrer pour les logisticiens, surtout dans les zones qui n'ont pas une densité de population élevée. Donc, on va laisser une partie des zones rurales sans accès à des produits ! » Le secteur de la livraison par drones décolle donc à toute vitesse en Irlande, ce qui pousse certains politiques à réclamer une réglementation rapide. « En réalité, les habitants du quartier ont été traités comme des cobayes, pour un service non testé et non réglementé, condamne John Walsh, conseiller municipal à l'ouest de Dublin. Je pense que certaines livraisons par drone – par exemple de produits sanguins ou de produits médicaux – sont tout à fait acceptables, mais ce dont nous parlons ici, c'est d'une livraison à grande échelle de fast-food ! Ce n'est donc certainement pas un service essentiel ou nécessaire ! » Amazon et Google veulent aussi se lancer dans la livraison par drones, pour tout type de produits. Fixer des règles devient nécessaire, afin d'éviter avant que le ciel irlandais ne se transforme en jungle aérienne.  À lire aussiLivraisons à domicile : un modèle déjà à bout de souffle ?

Journal de l'Afrique
RD Congo : les habitants d'Uvira dans l'angoisse et l'incertitude

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 13:28


A Uvira, cité de l'est de la République démocratique du Congo, ceux qui n'ont pas pu fuir attendent désormais avec angoisse de connaître leur sort entre les mains du groupe armé M23, soutenu par l'armée rwandaise, qui consolide jeudi son contrôle sur la ville. L'offensive du M23 sur l'agglomération de plusieurs centaines de milliers d'habitants a été lancée début décembre, peu avant la signature d'un accord "pour la paix" entre le Rwanda et la RDC, sous l'égide de Washington.

Grand angle
Un an après le cyclone Chido, Mayotte compte ses habitants

Grand angle

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 2:15


durée : 00:02:15 - France Inter sur le terrain - L'île panse toujours ses plaies, et un recensement exhaustif est en cours dans le 101e département français, où l'habitat demeure précaire et informel. Selon l'Insee, 330.000 personnes y vivent ; 500.000, selon les élus locaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Reportage International
Cisjordanie occupée: à Tubas, les habitants racontent l'opération militaire israélienne

Reportage International

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 2:13


Il y a deux semaines, l'armée israélienne a lancé une opération majeure dans le nord de la Cisjordanie occupée contre les groupes armés palestiniens. Notre correspondante s'est rendue dans la région de Tubas lorsque le bouclage de la zone a été levé. Un studio sens dessus dessous, du mobilier cassé, des bris de verres au sol, et à la place de la fenêtre un trou béant, le mur a été dynamité. Nous sommes au troisième étage de la maison de la famille Abadi. Visage tuméfié, Mahmoud, 75 ans, raconte l'intervention de l'armée israélienne à son domicile fin novembre, une opération antiterroriste disent les Israéliens, les soldats cherchaient des armes.  « J'ai dit " que se passe-t-il ", il a commencé à me frapper, il m'a dit de lever les mains, j'ai levé les mains. Et il a dit " où sont les armes ". Alors, j'ai dit moi, je ne suis qu'un civil, je n'ai pas d'armes, je ne connais rien aux armes. » Mahmoud Abadi a été interrogé pendant 2 heures, puis les militaires ont fait exploser le studio de son fils. Le fil détonateur pend encore sur la commode. Le vieil homme l'assure, il n'a aucune activité politique ou militaire : « Je ne suis ni du Fatah ni du Hamas. Je le jure, je ne suis pas du Hamas et j'ai dit au soldat : tu sais pourquoi ? parce que c'est le Hamas qui t'a amené ici après le 7-Octobre. Je ne suis ni du Hamas ni du Fatah. » Omar Abu el Hassan, le responsable de la communauté d'al Faara raconte comment s'est déroulé l'opération : « Vers 3 heures du matin environ, ils ont envahi le camp de réfugiés et ils sont partis vers 21 heures. Ils ont bloqué les rues. Ils ont occupé certaines maisons dans ces cas-là, ils les transforment en casernes militaires. Personne ne peut ni sortir ni entrer du camp, et ils ont commencé à fouiller les maisons, à vandaliser, à casser des choses. Les communications étaient coupées. » Sur la totalité de la région de Tubas, l'opération a duré six jours. Le gouverneur Ahmad Asaad fait le bilan du raid israélien : « C'est une opération militaire dans tous les sens du terme. Des hélicoptères Apache ont bombardé des maisons avec des mitrailleuses lourdes. On parle d'environ mille soldats, trois brigades de l'armée étaient présentes dans le gouvernorat de Tubas. » Au cours de l'opération, 200 personnes ont été arrêtées, douze sont restées détenues par l'armée israélienne.

Tout un monde - La 1ere
Ukraine: les habitants oubliés des discussions de paix

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 20:17


(00:00:34) Ukraine: les habitants oubliés des discussions de paix (00:07:14) Peut-on utiliser les avoirs russes gelés pour aider l'Ukraine? (00:12:47) Pourquoi l'opposition turque est sous pression comme jamais

Reportage international
Cisjordanie occupée: à Tubas, les habitants racontent l'opération militaire israélienne

Reportage international

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 2:13


Il y a deux semaines, l'armée israélienne a lancé une opération majeure dans le nord de la Cisjordanie occupée contre les groupes armés palestiniens. Notre correspondante s'est rendue dans la région de Tubas lorsque le bouclage de la zone a été levé. Un studio sens dessus dessous, du mobilier cassé, des bris de verres au sol, et à la place de la fenêtre un trou béant, le mur a été dynamité. Nous sommes au troisième étage de la maison de la famille Abadi. Visage tuméfié, Mahmoud, 75 ans, raconte l'intervention de l'armée israélienne à son domicile fin novembre, une opération antiterroriste disent les Israéliens, les soldats cherchaient des armes.  « J'ai dit " que se passe-t-il ", il a commencé à me frapper, il m'a dit de lever les mains, j'ai levé les mains. Et il a dit " où sont les armes ". Alors, j'ai dit moi, je ne suis qu'un civil, je n'ai pas d'armes, je ne connais rien aux armes. » Mahmoud Abadi a été interrogé pendant 2 heures, puis les militaires ont fait exploser le studio de son fils. Le fil détonateur pend encore sur la commode. Le vieil homme l'assure, il n'a aucune activité politique ou militaire : « Je ne suis ni du Fatah ni du Hamas. Je le jure, je ne suis pas du Hamas et j'ai dit au soldat : tu sais pourquoi ? parce que c'est le Hamas qui t'a amené ici après le 7-Octobre. Je ne suis ni du Hamas ni du Fatah. » Omar Abu el Hassan, le responsable de la communauté d'al Faara raconte comment s'est déroulé l'opération : « Vers 3 heures du matin environ, ils ont envahi le camp de réfugiés et ils sont partis vers 21 heures. Ils ont bloqué les rues. Ils ont occupé certaines maisons dans ces cas-là, ils les transforment en casernes militaires. Personne ne peut ni sortir ni entrer du camp, et ils ont commencé à fouiller les maisons, à vandaliser, à casser des choses. Les communications étaient coupées. » Sur la totalité de la région de Tubas, l'opération a duré six jours. Le gouverneur Ahmad Asaad fait le bilan du raid israélien : « C'est une opération militaire dans tous les sens du terme. Des hélicoptères Apache ont bombardé des maisons avec des mitrailleuses lourdes. On parle d'environ mille soldats, trois brigades de l'armée étaient présentes dans le gouvernorat de Tubas. » Au cours de l'opération, 200 personnes ont été arrêtées, douze sont restées détenues par l'armée israélienne.

Journal France Bleu Périgord
Des habitants de Dordogne stupéfaits après la découverte d'une "maison de la drogue" dans leur village

Journal France Bleu Périgord

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 2:03


durée : 00:02:03 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

TOPFM MAURITIUS
Pénurie d'eau au Morne : Les habitants manifestent… la distribution reprendra rapidement, affirme Sunil Gopal

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 1:07


Pénurie d'eau au Morne : Les habitants manifestent… la distribution reprendra rapidement, affirme Sunil Gopal by TOPFM MAURITIUS

Prise de Terre - La 1ere
Allô la terre, Ile de Pâques et Neuchâtel: vers un AG accessible pour tous les habitants du canton?

Prise de Terre - La 1ere

Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 53:08


Allô la terre Menaces sur l'Ile de Pâques Neuchâtel: vers un AG accessible pour tous les habitants du canton?

Revue de presse Afrique
À la Une: l'accord de paix signé par Félix Tshisekedi et Paul Kagame

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 3:53


C'est à la Une du Journal de Kinshasa : « La RDC et le Rwanda tournent la page des tensions. Le jeudi 4 décembre 2025 restera gravé dans l'histoire de la région des Grands Lacs ». Sans évoquer l'ambiance, glaciale, de cette rencontre, le Journal de Kinshasa revient sur les principales déclarations des deux présidents. Tout d'abord le chef de l'État rwandais : Paul Kagame a estimé que la feuille de route signée hier « est la plus claire et la plus précieuse que nous ayons jamais eue ». Il a aussi remercié Donald Trump, alors que Félix Tshisekedi de son côté, « qualifiait les Accords de Washington de tournant historique ». Quant au président américain Donald Trump, il a insisté sur « la rapidité du processus » qu'il a lui-même initié… Les accords sont signés mais sur le terrain, rien n'est réglé. Pourtant, le Journal de Kinshasa se veut optimiste, estimant que la signature de ces accords « marque le début d'une dynamique nouvelle, orientée vers la stabilité, la coopération économique et la prospérité partagée ». Africanews qui s'est rendu à Goma, la capitale du Nord-Kivu a pu constater que ce sommet « faisait naître un mélange d'espoir et de scepticisme ». « Le sentiment général, ajoute Africanews, est résumé par un habitant de Goma qui affirme : "ils disent être dans un processus de paix et après nous apprenons que la guerre reprend. Cela nous fait mal et nous sommes très inquiets" ».  Exaspération Les Somaliens sont en colère. C'est Afrik.com, qui nous dit que « que la Somalie est indignée par les propos ouvertement racistes de Donald Trump ». Récemment, le président américain « s'est violemment attaqué aux immigrés somaliens vivant aux États-Unis, les qualifiant "d'ordures" indésirables, ne faisant rien d'autre que de se plaindre ». « Dans la capitale somalienne », raconte Afrik.com, « l'indignation est générale. Habitants et membres de la société civile peinent à croire à la violence du discours présidentiel américain et s'inquiètent du climat de stigmatisation croissant ». Mais ce n'est pas le seul point que souligne le site d'information panafricain. Car « au-delà de la colère contre Donald Trump, plusieurs voix dénoncent l'absence de réaction des autorités somaliennes ».  L'une des personnes interviewées par Afrik.com, exprime ainsi « son exaspération » : « Trump insulte quotidiennement les Somaliens, nous traitant d'ordures et utilisant d'autres termes péjoratifs que nous ne pouvons plus tolérer. Nos dirigeants auraient dû réagir à ses propos. » Nouvelle arrestation En Tunisie, l'une des dernières figures de l'opposition encore en liberté, Ahmed Nejib Chebbi, président du Front du Salut National, a été arrêté hier. Tunisie Webdo précise qu'il a été arrêté, « en exécution du jugement définitif prononcé à son encontre dans l'affaire dite "du complot contre la sûreté de l'État" ». Il a été « interpellé à son domicile pour purger une peine de 12 ans de prison ». Tunisie Webdo en profite pour annoncer demain, « une grande marche pour "dénoncer l'injustice" qui sera organisée à Tunis ». Le parti Al Joumhouri, fondé par Ahmed Nejib Chebbi, souligne qu'avant lui, d'autres personnalités proches de l'opposition ont récemment été arrêtées. Il parle ainsi de « l'enlèvement de la militante Chaima Issa, puis de l'arrestation de l'avocat Ayachi Hammami, cette semaine ». Pour Al Joumhouri, ces arrestations « de responsables politiques, de militants, de journalistes et de blogueurs » visent ni plus ni moins, « à fermer l'espace public et à réduire au silence les voix critiques ».

Revue de presse Afrique
À la Une: l'accord de paix signé par Félix Tshisekedi et Paul Kagame

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 3:53


C'est à la Une du Journal de Kinshasa : « La RDC et le Rwanda tournent la page des tensions. Le jeudi 4 décembre 2025 restera gravé dans l'histoire de la région des Grands Lacs ». Sans évoquer l'ambiance, glaciale, de cette rencontre, le Journal de Kinshasa revient sur les principales déclarations des deux présidents. Tout d'abord le chef de l'État rwandais : Paul Kagame a estimé que la feuille de route signée hier « est la plus claire et la plus précieuse que nous ayons jamais eue ». Il a aussi remercié Donald Trump, alors que Félix Tshisekedi de son côté, « qualifiait les Accords de Washington de tournant historique ». Quant au président américain Donald Trump, il a insisté sur « la rapidité du processus » qu'il a lui-même initié… Les accords sont signés mais sur le terrain, rien n'est réglé. Pourtant, le Journal de Kinshasa se veut optimiste, estimant que la signature de ces accords « marque le début d'une dynamique nouvelle, orientée vers la stabilité, la coopération économique et la prospérité partagée ». Africanews qui s'est rendu à Goma, la capitale du Nord-Kivu a pu constater que ce sommet « faisait naître un mélange d'espoir et de scepticisme ». « Le sentiment général, ajoute Africanews, est résumé par un habitant de Goma qui affirme : "ils disent être dans un processus de paix et après nous apprenons que la guerre reprend. Cela nous fait mal et nous sommes très inquiets" ».  Exaspération Les Somaliens sont en colère. C'est Afrik.com, qui nous dit que « que la Somalie est indignée par les propos ouvertement racistes de Donald Trump ». Récemment, le président américain « s'est violemment attaqué aux immigrés somaliens vivant aux États-Unis, les qualifiant "d'ordures" indésirables, ne faisant rien d'autre que de se plaindre ». « Dans la capitale somalienne », raconte Afrik.com, « l'indignation est générale. Habitants et membres de la société civile peinent à croire à la violence du discours présidentiel américain et s'inquiètent du climat de stigmatisation croissant ». Mais ce n'est pas le seul point que souligne le site d'information panafricain. Car « au-delà de la colère contre Donald Trump, plusieurs voix dénoncent l'absence de réaction des autorités somaliennes ».  L'une des personnes interviewées par Afrik.com, exprime ainsi « son exaspération » : « Trump insulte quotidiennement les Somaliens, nous traitant d'ordures et utilisant d'autres termes péjoratifs que nous ne pouvons plus tolérer. Nos dirigeants auraient dû réagir à ses propos. » Nouvelle arrestation En Tunisie, l'une des dernières figures de l'opposition encore en liberté, Ahmed Nejib Chebbi, président du Front du Salut National, a été arrêté hier. Tunisie Webdo précise qu'il a été arrêté, « en exécution du jugement définitif prononcé à son encontre dans l'affaire dite "du complot contre la sûreté de l'État" ». Il a été « interpellé à son domicile pour purger une peine de 12 ans de prison ». Tunisie Webdo en profite pour annoncer demain, « une grande marche pour "dénoncer l'injustice" qui sera organisée à Tunis ». Le parti Al Joumhouri, fondé par Ahmed Nejib Chebbi, souligne qu'avant lui, d'autres personnalités proches de l'opposition ont récemment été arrêtées. Il parle ainsi de « l'enlèvement de la militante Chaima Issa, puis de l'arrestation de l'avocat Ayachi Hammami, cette semaine ». Pour Al Joumhouri, ces arrestations « de responsables politiques, de militants, de journalistes et de blogueurs » visent ni plus ni moins, « à fermer l'espace public et à réduire au silence les voix critiques ».

Notícies Migdia
El Vallès Occidental té 970.000 habitants, un creixement que només s'explica amb la immigració

Notícies Migdia

Play Episode Listen Later Dec 4, 2025


El Vallès Occidental té 970.000 habitants, un creixement que només s'explica amb la immigració

Cafè Jazz
Interseccions: el jazz-folk de la banda quebequesa L'Oumigmag

Cafè Jazz

Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 28:14


La revue de presse
Le scandale des agressions sexuelles sur des enfants de maternelle et le grand désarroi des habitants de Versailles

La revue de presse

Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 3:44


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, des enfants de moins de six ans agressés sexuellement dans une trentaine d'écoles maternelle, le général de Villiers qui sort du silence dans le JD News et les Parisiens qui débarquent à Versailles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
"Je suis un maire horrifié" : en Meurthe-et-Moselle, les habitants de Neuves-Maisons sous le choc après un incendie volontaire qui a fait 5 morts

RTL Midi

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 1:29


À Neuves-Maisons, en Meurthe-et-Moselle, les habitants sont sous le choc, après un incendie qui a fait 5 morts. Il ne s'agissait pas d'un accident, mais bien d'un acte volontaire. Les faits ont ainsi changé de dimension : cet incendie était d'origine intentionnelle, "causé par un tiers", selon les termes du communiqué de presse envoyé par le parquet. Cela rend ce drame encore plus incompréhensible pour cette habitante de Neuves-Maisons. "C'est ce qui me bouleverse le plus, je crois (...) Dimanche matin, quand on a appris ce drame, c'était déjà très particulier. Mais maintenant, sachant que l'enquête se dirige vers un incendie volontaire, ça dépasse l'entendement. Ce n'est pas possible", témoigne-t-elle au micro de RTL. Le maire de la ville, Pascal Schneider, reste prudent, mais ce développement le choque. "On ne parle pas d'un banal accident, on parle quand même de cinq personnes disparues, à la suite d'une intention provenant d'un tiers. Donc, je suis surpris. Une famille sans problème particulier, avec parfois un gamin qui peut faire quelques bêtises. Mais de là à imaginer qu'il puisse se passer ça avec ces conséquences, non, évidemment. Je suis un maire horrifié et qui n'arrive pas à trouver les mots pour qualifier cette situation", confie-t-il. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Incendie dans un complexe immobilier à Hong Kong : la colère des proches des victimes et des habitants

Les matins

Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 14:54


durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.

Le journal de 8H00
Incendie dans un complexe immobilier à Hong Kong : la colère des proches des victimes et des habitants

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 14:54


durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.

Les journaux de France Culture
Incendie dans un complexe immobilier à Hong Kong : la colère des proches des victimes et des habitants

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 14:54


durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.

Balade accompagnée - FB La Rochelle
Passions autour de l'art et souvenirs d'enfance : Hiers-Brouage raconté par ses habitants

Balade accompagnée - FB La Rochelle

Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 17:46


durée : 00:17:46 - Passions autour de l'art et souvenirs d'enfance : Hiers-Brouage raconté par ses habitants Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Invité de la mi-journée
«Il est du devoir de chaque habitant de la planète d'utiliser la nature de manière durable»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 7:31


Cette semaine, des centaines de scientifiques du monde entier ont rendez-vous à Paris. Ils ont été choisis par l'IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques que l'on appelle aussi le « GIEC de la biodiversité ». Ces scientifiques ont pour lourde tâche de synthétiser, en trois ans, l'ensemble des connaissances et données aujourd'hui disponibles pour rédiger le deuxième bilan mondial sur la biodiversité et les écosystèmes qui sera publié en 2028. Entretien exclusif accordé à RFI avec le Kényan David Obura, président de l'IPBES et scientifique de renommée mondiale reconnu pour ses travaux sur les écosystèmes marins et les récifs coralliens.  RFI : Qu'est-ce qu'un rapport mondial sur la biodiversité et à quoi sert-il ? David Obura : Notre rapport d'évaluation mondial porte sur la biodiversité et les services écosystémiques. Nous évaluons donc l'état de la nature qui nous entoure, mais aussi la manière dont nous l'utilisons et les services qu'elle nous rend. Nous faisons cela afin d'informer les gouvernements et la communauté internationale, mais aussi tous les acteurs sur le terrain, de ce qu'il se passe autour d'eux et de ce qu'ils peuvent faire pour améliorer la nature qui les entoure et les avantages qu'ils en tirent. Quelles sont les principales avancées depuis le premier rapport mondial sur la biodiversité publié en 2019 ? La prise de conscience collective suscitée par le premier rapport en 2019 a été incroyablement puissante. Ses conclusions scientifiques ont largement inspiré le Cadre mondial de Kunming-Montréal. C'est un accord international adopté en 2022 pour freiner ce déclin de la biodiversité et pour restaurer nos écosystèmes. Mais depuis, les pressions sur la nature se sont intensifiées et la nature continue de décliner. C'est parce que nous consommons toujours davantage. Et ce faisant, nous consommons différentes parties de la nature. Et comme nous ne changeons pas suffisamment nos comportements, l'équilibre entre les populations et la nature reste perturbé. Notre nouveau rapport montrera en détail comment cela se produit, et puis il tentera d'identifier les solutions possibles. Quels sont les éléments essentiels ou les germes de bonnes pratiques que nous pouvons mettre en place pour inverser ces tendances afin d'améliorer et la biodiversité et la vie des gens. Quelles nouvelles thématiques ou angles seront abordés dans ce deuxième rapport d'évaluation mondial ? Alors parmi les nouveaux thèmes, il y en a un qui est très important. On va davantage inclure dans nos travaux les connaissances autochtones et locales des communautés du monde entier et des différentes cultures. Aujourd'hui il est crucial d'ouvrir notre cadre scientifique aux connaissances plurielles. Dans ce rapport, nous allons consacrer un chapitre entier aux représentants des communautés autochtones, qui présenteront leur vision du monde. Un deuxième thème très important est bien sûr l'océan. En 2019, il n'a pas été suffisamment abordé dans le premier bilan mondial. Mais aujourd'hui, nous disposons de beaucoup plus de données scientifiques et de connaissances sur la durabilité des océans, et nous allons donc les intégrer dans notre rapport. Justement : est-ce que l'accès aux données scientifiques sur la biodiversité a-t-il changé ? La disponibilité des données sur la biodiversité s'est améliorée. Il y a beaucoup plus de données disponibles, environ le double de ce qu'il y avait il y a cinq ans. Nous disposons d'instruments bien meilleurs, de systèmes à distance comme les drones, les satellites et les capteurs. Nous disposons donc de plus d'informations. Mais nous devons maintenant être capables de les traiter et de les comprendre. Bien évidemment, il y a toujours des lacunes. Dans certaines régions du monde, les données restent rares, comme dans les pays à faibles revenus ou sur les océans. Pour combler ces lacunes, nous allons devoir investir dans des solutions qui permettent d'accéder à ces connaissances. L'intelligence artificielle est bien sûr très prometteuse. Même si elle suscite beaucoup de préoccupations dont nous devons tenir compte. Quelles seront les priorités dans ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité afin de soutenir les politiques publiques efficaces ? Je ne peux pas préjuger de ce que les auteurs de l'évaluation trouveront en termes de hiérarchisation des priorités. Mais le timing est intéressant. Ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité sera publié en 2028, deux ans donc avant l'atteinte des objectifs de développement durable fixés par les Nations unies. Bien sûr, c'est trop tard pour améliorer les mesures déjà prises en faveur de ces objectifs de 2030. En revanche, notre rapport pourra vraiment nous aider à mieux comprendre ce qui a fonctionné, ce qui n'a pas fonctionné et pourquoi. Et nous saurons ensuite, quelles priorités il faudra mettre sur l'agenda post-2030. Comment pourrons-nous mieux mettre en œuvre des pratiques de durabilité ? Je suis donc certain que le rapport donnera la priorité à des questions de ce type. C'est l'un des mandats qui nous a été confié par les gouvernements. Des scientifiques américains participeront-ils à la rédaction de cette nouvelle évaluation mondiale sur la biodiversité ? Des scientifiques du monde entier participent à la rédaction du rapport, qui couvre les cinq régions du globe. Les États-Unis font partie de la région Amériques et, bien sûr, nous bénéficions d'une forte participation de leur part. L'Afrique, l'Europe, l'Asie, toutes nos régions sont représentées. Notre base scientifique est mondiale et elle tient toujours compte des contextes locaux. Vous avez dit dans votre discours d'ouverture que vous étiez arrivé sur cette plateforme scientifique de l'IPBES parce que vous êtes scientifique vous-même et que vous ne vouliez plus seulement faire de la science, mais faire en sorte que la science infuse dans les décisions politiques. Est-ce qu'il y a des moments où vous vous sentez désespéré ? Bien sûr, je suis extrêmement préoccupé par la méfiance à l'égard de la science qui existe dans le public et chez certains décideurs. Mais plus encore que la méfiance, ce qui me préoccupe, c'est le doute qui est semé par certaines personnes ou certains secteurs. Le travail que nous devons accomplir en tant que plateforme scientifique consiste donc simplement à mettre en avant une science de qualité et à être très crédibles quant aux connaissances que nous présentons. Nous devons aussi être clairs sur les incertitudes, car nous ne pouvons jamais tout savoir. Mais les gens sont confrontés au changement climatique et à la perte de biodiversité dans leur vie quotidienne. Le travail de l'IPBES sur la biodiversité et les services écosystémiques concerne la manière très concrète dont la nature soutient les populations. Et je pense que c'est très facile à comprendre pour tout le monde si nous le traduisons correctement. C'est l'une des choses les plus importantes que nous devons faire maintenant. Nous n'avons qu'une seule planète. Nous devons vraiment comprendre l'essence de la durabilité et comment chaque personne, chaque entreprise, chaque pays peut contribuer à la préserver. Il est du devoir de chaque habitant de la planète d'utiliser la nature de manière durable et de partager équitablement les avantages que nous procure cette merveilleuse Terre.

C'est pas du vent
Les habitants du lac Tchad enserrés entre la montée des eaux et Boko Haram

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 48:30


Le changement climatique a des effets visibles sur nos paysages. Derrière les chiffres et les rapports scientifiques, ce sont des territoires, des écosystèmes et des vies humaines qui sont bouleversés. C'est le cas notamment de la région du lac Tchad. (Rediffusion du 19 septembre 2025) Situé à la frontière entre le Niger, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad, ce bassin hydrographique était l'une des plus grandes réserves d'eau douce du continent. Après avoir rétréci à une vitesse alarmante pendant plusieurs décennies, désormais, sous l'effet du changement climatique : il s'agrandit ! Au gré des pluies, le lac se métamorphose… Cela peut sembler une bonne nouvelle pour les ressources en eau de la région, mais c'est un véritable bouleversement pour les populations qui dépendent de l'agriculture et de la pêche pour leur survie quotidiennement menacée par les attaques de Boko Haram. Un reportage de Carol Valade, envoyé spécial pour RFI. Carol a rendez-vous sur les rives du lac, côté tchadien à Kisra avec Mahamat Mbomi. Mahamat est chauffeur pour le Comité International de la Croix-Rouge. Avec ses économies, il s'est lancé dans l'agriculture, mais tout ne s'est pas passé comme prévu... Avec les éclairages de Florence Sylvestre, directrice de recherches à l'IRD, l'Institut de la recherche pour le développement, professeur associé à l'Université de N'Djamena, qui étudie le climat et les ressources en eau du Sahel.

Journal France Bleu Mayenne
Municipales à Laval : la ville a évolué "de manière positive" pour 82% des habitants, selon une enquête de la majorité

Journal France Bleu Mayenne

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 2:40


durée : 00:02:40 - L'info d'ici, ici Mayenne - L'équipe de campagne du maire sortant de Laval Florian Bercault a réalisé une enquête entre fin septembre et fin novembre 2025 pour dresser le bilan de la majorité sortante. Environ 10.000 questionnaires ont été distribués aux habitants. Il était également possible de répondre en ligne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C'est pas du vent
Les habitants du lac Tchad enserrés entre la montée des eaux et Boko Haram

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 48:30


Le changement climatique a des effets visibles sur nos paysages. Derrière les chiffres et les rapports scientifiques, ce sont des territoires, des écosystèmes et des vies humaines qui sont bouleversés. C'est le cas notamment de la région du lac Tchad. (Rediffusion du 19 septembre 2025) Situé à la frontière entre le Niger, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad, ce bassin hydrographique était l'une des plus grandes réserves d'eau douce du continent. Après avoir rétréci à une vitesse alarmante pendant plusieurs décennies, désormais, sous l'effet du changement climatique : il s'agrandit ! Au gré des pluies, le lac se métamorphose… Cela peut sembler une bonne nouvelle pour les ressources en eau de la région, mais c'est un véritable bouleversement pour les populations qui dépendent de l'agriculture et de la pêche pour leur survie quotidiennement menacée par les attaques de Boko Haram. Un reportage de Carol Valade, envoyé spécial pour RFI. Carol a rendez-vous sur les rives du lac, côté tchadien à Kisra avec Mahamat Mbomi. Mahamat est chauffeur pour le Comité International de la Croix-Rouge. Avec ses économies, il s'est lancé dans l'agriculture, mais tout ne s'est pas passé comme prévu... Avec les éclairages de Florence Sylvestre, directrice de recherches à l'IRD, l'Institut de la recherche pour le développement, professeur associé à l'Université de N'Djamena, qui étudie le climat et les ressources en eau du Sahel.

Le Journal de 8h de France Bleu Occitanie
Municipales 2026 : les villages de moins de 1.000 habitants confrontés à la parité

Le Journal de 8h de France Bleu Occitanie

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 3:09


durée : 00:03:09 - Les villages de moins de 1.000 habitants confrontés à la parité pour les municipales, illustration à Lagarde près de Nailloux - Il reste moins de trois mois pour présenter les listes pour les prochaines élections municipales. Or, dans les petites communes, il est parfois difficile de trouver des candidats. Surtout, cette année, il y a une nouveauté : la parité est obligatoire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Grandes Gueules
La triste réalité du jour - Frédéric, éboueur, au 3216 : "Je travaille là-bas depuis 23 ans. Plus ça va et plus les crackeux sont nombreux. La BNP n'est pas plus en danger que nous ou les habitants." - 21/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 2:36


Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
Le petit taquet du jour - Abel Boyi : "Quand il s'agit des habitants des quartiers populaires, ils n'ont pas le droit de se plaindre parce qu'on a investi des milliards... mais les milliards ont servi à ça." - 21/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 2:14


Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Grand angle
"C'est le moment de se révolter !" : à Colombes, des habitants veulent dire non au narcotrafic

Grand angle

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 2:29


durée : 00:02:29 - France Inter sur le terrain - Un collectif d'habitants et d'élus de cette ville de banlieue parisienne ("Colombes Autrement") organise un rassemblement ce samedi, en même temps que la marche blanche qui aura lieu à Marseille à l'initiative du jeune militant écologiste et anti-trafic Amine Kessaci, dont le frère a été assassiné. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Zoom de la Rédaction FB Pays d'Auvergne
La Ville de Clermont-Ferrand signe son 3e contrat local de santé, avec des actions concrètes pour les habitants

Zoom de la Rédaction FB Pays d'Auvergne

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 2:45


durée : 00:02:45 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - La Ville de Clermont-Ferrand a signé ce mercredi son 3e contrat local de santé, ainsi que le conseil local en santé mentale, sur la période 2025-2030. Deux textes en faveur de la santé des Clermontois. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Raconte-moi New York
L'éphéméride new yorkais de la semaine 47 - Mardi 17/11/1942 : Naissance de Martin SCORCESE

Raconte-moi New York

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 6:22


Mardi 17/11/1942 : Naissance de Martin SCORCESEVéritable légende du cinéma et considéré par la critique internationale comme l'un des cinéastes américains les plus importants et influents de sa génération, Martin SCORSESE est né à New York le 17/11/1942.Habitant dans la Grosse Pomme depuis son premier souffle, il est profondément attaché à cette ville qui est une véritable toile de fond récurrente de toute son œuvre.-------------N'hésitez pas à aller visiter notre site racontemoinewyork.com Retrouvez tous les liens des réseaux sociaux et des plateformes du podcast ici : https://linktr.ee/racontemoinewyorkHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Des habitants de villages palestiniens voient leur statut de résidence modifié par Israël

Reportage International

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:42


À Jérusalem, ce jeudi 13 novembre 2025, à la sortie de la ville, après la colonie de Ramot, nous vous proposons une illustration de la colonisation rampante. Trois villages palestiniens vivent isolés du reste des territoires palestiniens et ils ont appris qu'ils étaient désormais situés sur « une zone de jonction », qui change leur statut et leurs papiers de résidence.  De notre correspondante à Jérusalem, La petite école de Nabi Samuel est en préfabriqué, Nawal Barakat y enseigne les mathématiques. Elle a appris en septembre dernier que son village de 300 habitants avait changé de statut. L'organisme israélien chargé d'administrer les territoires palestiniens occupés, le Cogat lui a délivré un nouveau permis pour qu'elle puisse vivre chez elle. « Nous sommes allés chercher ces nouveaux permis, ce sont des cartes à puces magnétiques de couleur orange. Ce permis, c'est juste pour entrer et sortir du village. Ça nous inquiète beaucoup. Nous ne savons pas ce que signifie "Nouveau résident" inscrit sur la carte, s'inquiète Nawal. Je suis ici chez moi, et les habitants du village aussi, nous sommes nés là. Pourquoi me dit-on "nouveau résident" ? Cette phrase est ambiguë. On ne sait pas vraiment ce qui se passe. » Une carte magnétique qui fait office de permis de résidence Nabi Samuel n'est pas le seul village concerné par les nouvelles règles. Beit Iksa se trouve six kilomètres à vol d'oiseau. En voiture, c'est plus compliqué. Le jour de notre reportage, impossible de passer, les militaires israéliens interdisent l'accès aux étrangers. Nous avons rendez-vous avec un conseiller municipal, Imad Zayed qui nous rejoint donc de l'autre côté du check point, au bord de la route. Imad Zayed explique qu'il sort toujours de chez lui avec une série de cartes dans son portefeuille : « Chaque personne a besoin de trois choses : une carte d'identité, la nouvelle carte magnétique qui est un permis de résidence et l'enregistrement sur l'application appelée le coordinateur al Monasseq. C'est sur le téléphone. L'autorisation est valable pendant un an. Cette carte orange, sans l'autorisation sur l'application, ne vaut rien. Mais sans cette carte, je ne peux pas entrer non plus. » Une « annexion administrative » Ces Palestiniens coincés entre la ligne verte de 1967, le mur de séparation et les colonies, étaient habitués aux restrictions de déplacement, mais les nouvelles mesures les isolent davantage et rendent leur quotidien encore plus compliqué pour se déplacer ou faire entrer des marchandises dans le village. De facto, Israël a récupéré 20 km² de territoire. Pour Salah Al Khawaja, activiste contre la colonisation à Ramallah, toute cette bureaucratie a un objectif très clair : « Aujourd'hui, avec la politique de Ben-Gvir, Smotrich et Netanyahu, les trois villages sont traités différemment du reste des territoires palestiniens. Il y a une annexion administrative. Une annexion administrative, cela signifie que les règles changent comme ce nouveau statut de résident, même pour ceux qui sont nés dans le village Nabi Samuel. » Salah estime que c'est une façon de briser le rêve d'un État palestinien.

Le journal RTL
"Je suis étonnée" : les habitants de Cergy sous le choc après la mort d'un père de famille retrouvé ligoté et bâillonné

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 1:42


Ecoutez Le journal RTL avec Nathalie Michet du 07 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
COP30 au Brésil : à Bélem, les habitants de favelas dénoncent un «racisme environnemental»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 30:00


Plus d'une cinquantaine de chefs d'États et de gouvernements se réunissent à partir de ce jeudi 6 novembre 2025 à Bélem, en Amazonie brésilienne, pour un sommet spécial en préambule à la COP30. La Conférence des Nations unies sur le climat s'ouvrira ensuite officiellement le 10 novembre. Au cœur de la forêt, la mégapole de Bélem était en travaux jusqu'au dernier moment pour accueillir l'événement, au détriment parfois de ses populations les plus vulnérables. Au point que des habitants se battent contre un «racisme environnemental».  À Bélem, la favela «Vila da Barca» s'apprête à recevoir une station de traitement des eaux usées du quartier voisin huppé de la «Doca». «Pourquoi pas ailleurs ? Ici on n'a pas d'eau, pas de système d'assainissement… de quelle COP on parle ?», s'indigne Socorro Contente, 62 ans. Elle a fondé l'association des habitants de la Vila da Barca, dans les années 1980. Dans cette favela de 5 000 habitants, dont une partie des logements sont encore des maisons en bois sur pilotis, les égouts sont à ciel ouvert. Sur les pontons qui mènent aux maisons, des déchets flottent dans l'eau. «Il y a beaucoup de maladies ici, la dengue principalement. Regardez-moi cette eau sale et stagnante. Tout ça attire les moustiques, les maladies, les rats… Nous n'avons pas de système d'assainissement, et personne ne s'occupe de nous, les habitants des maisons sur pilotis.» Alors quand les riverains ont appris que des travaux à hauteur de 50 millions d'euros profiteraient de leur territoire sans rien apporter, ils se sont mobilisés. Notre correspondante Sarah Cozzolino est allée à leur rencontre.   Haïti paye «le bilan le plus lourd» après le passage de Melissa L'ouragan a fait 43 morts en Haïti et 13 disparus, selon un nouveau bilan, explique Frantz Duval dans notre rendez-vous hebdomadaire avec le rédacteur en chef du Nouvelliste. Un bilan plus important que dans les autres pays des Caraïbes, alors même que l'œil de l'ouragan n'a pas traversé le pays. «On a raté la prévention et on est en train de rater l'évaluation des dégâts», regrette Frantz Duval. La violence des gangs est toujours aussi prégnante dans le pays, et touche aussi les zones agricoles, rappelle-t-il par ailleurs. Dans un article de son édition du jour, Le Nouvelliste décrit ainsi comment à L'Estère, dans l'Artibonite, «les bandits procèdent à une destruction méthodique des infrastructures agricoles et des récoltes des agriculteurs.» Enfin, le plus ancien quotidien d'Haïti alerte sur «les lenteurs administratives» qui «paralysent un investissement portuaire de 60 millions de dollars». Malgré cet investissement, «Atlantic Global Logistics (AGL), partenaire du géant maritime Mediterranean Shipping Company (MSC), attend l'autorisation de l'État haïtien pour démarrer pleinement ses opérations de réception de conteneurs», explique le journal. Depuis cinq ans, les infrastructures sont prêtes mais les douaniers manquent à l'appel et «le ministère ne répond pas aux courriers» de l'entreprise, rapporte Le Nouvelliste.   À Cuba, la disgrâce d'un ancien ministre de l'Économie Le nom et le visage de l'ex-ministre de l'Économie Alejandro Gil (2018-2024) s'affiche à la Une des sites de nombreux médias cubains, à l'exception de la presse officielle. Il a été mis en examen avec d'autres personnes dont les noms n'ont pas été révélés pour l'instant. Leur sont reprochés une dizaine de délits : blanchiment, malversations, mais aussi espionnage, écrit Cibercuba sur son site. Alejandro Gil avait été arrêté l'an dernier (2024), mais on ne savait pas précisément de quoi il était accusé. Après plus d'un an et demi de silence, le Parquet a choisi le «jour des sorcières» pour en faire part, ironise Cubanet. Car le communiqué est daté du 31 octobre, le jour d'Halloween. L'accusation d'espionnage, est «extraordinairement grave» dans le pays, souligne le média en ligne, car elle peut aboutir à une condamnation à mort. De plus, elle est très inhabituelle pour un ancien haut dirigeant du régime, même tombé en disgrâce. Ce mercredi, le site indépendant 14ymedio assurait que le Parquet aurait demandé 30 ans de prison contre l'ancien ministre. La fille d'Alejandro Gil appelle à un procès public, «retransmis à la télévision», ouvert à la presse. Elle assure que son père ne reconnaitra aucun des faits qui lui sont reprochés.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Île d'Oléron : stupeur et émotion des habitants après le drame

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 10:12


Invités :  - Gautiher Le Bret, journaliste politique - André Vallini, avocat et ancien ministre - Rachel Khan, essayiste et juriste - Thibault Brechkoff, maire DVD de Dolus-d'Oléron - Guillaume Perrault, journaliste - Jean-Christophe Couvy, secrétaire national Unité Police - Geoffroy Lejeune, journaliste le JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Punchline - Île d'Oléron : stupeur et émotion des habitants après le drame

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 10:12


Invités :  - Gautiher Le Bret, journaliste politique - André Vallini, avocat et ancien ministre - Rachel Khan, essayiste et juriste - Thibault Brechkoff, maire DVD de Dolus-d'Oléron - Guillaume Perrault, journaliste - Jean-Christophe Couvy, secrétaire national Unité Police - Geoffroy Lejeune, journaliste le JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
île d'Oléron : «ça nous rappelle que nous sommes en sécurité nulle part», témoigne un habitant de l'ile

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:30


Invités :  - Jean-Christophe Couvy, Secrétaire National d'UNITE Police - Jean-Yves Le Borgne, avocat - Florian Horru, Directeur de l'Intermarché d'Oléron Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pascal Praud et vous
île d'Oléron : «ça nous rappelle que nous sommes en sécurité nulle part», témoigne un habitant de l'ile

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:30


Invités :  - Jean-Christophe Couvy, Secrétaire National d'UNITE Police - Jean-Yves Le Borgne, avocat - Florian Horru, Directeur de l'Intermarché d'Oléron Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Afrique Économie
Afrique du Sud: les habitants de Johannesburg privés d'eau à cause des infrastructures vieillissantes

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 2:10


En Afrique du Sud, des centaines d'habitants de Johannesburg ont manifesté samedi dernier 1er novembre devant le siège du conseil municipal pour exiger une action urgente face aux coupures d'eau, de plus en plus fréquentes. Infrastructures vieillissantes, mauvaise gestion de la cité, manque de fonds : la situation s'aggrave dans la première ville industrielle sud-africaine, alors que des milliers de kilomètres de canalisation ont besoin d'être remplacés. Dans sa maison, Melissa Davids est occupée à enchaîner les lessives. L'eau coule aujourd'hui du robinet, cela peut sembler anodin, mais ça ne l'est plus pour les habitants de ce quartier de Johannesburg, plus grande ville d'Afrique du Sud. « On ne peut jamais savoir quand et pour combien de temps l'eau va être coupée, témoigne-t-elle. Donc, à chaque fois, on remplit toutes ces bouteilles, on s'assure d'être prêt pour le lendemain. » La moitié des réservoirs fuient Melissa et ses voisins, excédés, ont décidé de prendre la rue en septembre. Une pression qui a poussé la ville à entamer des réparations temporaires. À quelques rues de là, des ouvriers installent une nouvelle canalisation pour soulager le quartier. « Le problème ici, c'est que la zone est approvisionnée par le réservoir Hursthill 1, explique Sandile Mpofana, contremaître. Donc là, on est en train d'établir une connexion avec un autre réservoir, Crosby, qui est beaucoup plus stable. » La moitié des réservoirs de la ville fuient et ont besoin d'être rénovés. Idem pour des milliers de kilomètres de canalisations vétustes. Environ un tiers de l'eau se perd ainsi dans des fuites, auxquelles s'ajoutent les connexions illégales. Provoquant ces coupures de plus en plus longues et fréquentes dans de nombreux quartiers de la métropole. « C'est principalement dû aux infrastructures vieillissantes », explique Nombuso Shabalala, porte-parole de Johannesburg Water, l'entité municipale dédiée.« Et aussi en grande partie au sous-investissement dans les infrastructures au fil des ans. Ces quartiers sont très anciens et ont besoin qu'elles soient renouvelées. Mais nous sommes confrontés à des problèmes de financement pour la plupart des quartiers de la ville. » Vers un cloisonnement des financements dédiés à l'eau ? L'année dernière, le budget alloué par la ville n'a permis de remplacer que 17 km de canalisations, sur plus de 12 000. Les retards de maintenance s'accumulent désormais, équivalent à plus de 1,3 milliard d'euros. « Ce réservoir devait être terminé en avril, souligne Ferrial Adam, activiste pour l'accès à l'eau, devant un réservoir en construction. Mais comme les sous-traitants n'ont pas été payés, ils ont dû interrompre le chantier et il a été retardé. Le problème est que la ville de Johannesburg déplace les financements comme si elle jouait aux échecs. C'est un arrangement qui permet à la ville de déplacer le budget alloué entre les différentes entités : eau, routes ou électricité… » L'équivalent de 200 millions d'euros auraient ainsi été ôtés du budget de Johannesburg Water. Le Parlement s'est saisi de la question et a appelé au cloisonnement du financement dédié à cette entité. À lire aussiAfrique du Sud: une station d'épuration au Cap pour un jour rendre l'eau usée potable

RMC Running
Du désert marocain au sommet du trail court : Elhousine Elazzaoui invité de RMC Running !

RMC Running

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 42:53


11 victoires lors de ses 12 dernières courses. Sa seule défaite, il a fini 2e. Elhousine Elazzaoui, c'est l'Ovni qui surclasse le trail court actuel. Double tenant du titre des Golden Trail World Series, le marocain semble sans égal depuis plusieurs années. Et pourtant, c'est par hasard qu'il s'est lancé dans le trail, repéré dans le désert marocain à 14 ans. Habitant aujourd'hui en Suisse, Elhousine Elazzaoui a profité d'une escale à Paris pour venir au micro de Benoit Boutron et Yohan Durand. Comment a-t-il vécu cette année 2025, en remportant la course de Zegama-Aizkorri, étape qui se refusait à lui ? Comment a-t-il géré la finale des Golden Trail World Series à Trentin, en remportant Prologue et finale ? Elhousine explique ses ambitions, ses entrainements et ces volontés pour le futur. 

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : à Petit Goâve, les habitants encore sous le choc après le passage de Melissa

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 30:00


C'est en Haïti que les vents, les pluies ou encore les inondations provoquées par le passage de l'ouragan Melissa ont été les plus meurtriers. Selon un bilan de la protection civile haïtienne, au moins 30 personnes sont mortes et 20 sont toujours portées disparues. À Petit Goâve, ville la plus endeuillée par le passage de l'ouragan, Gauda Estiverne a vu trois de ses quatre enfants disparaître dans les flots de la rivière Ladigue sortie de son lit. Yannick Jean Pierre, elle, a eu plus de chance. «J'ai failli mourir. L'eau a failli m'emporter. Regardez, ma maison est détruite. Je ne sais pas où je vais dormir», témoigne-t-elle.  L'écrivaine haïtienne Yanick Lahens remporte le prix du roman de l'Académie française «Que le nom de Melissa soit banni», écrit Frantz Duval dans le journal Le Nouvelliste, et «que celui de Yanick rayonne». L'écrivaine, qui vit en Haïti, a été récompensée pour son roman Les passagères de la nuit. «Depuis plus d'un siècle, l'Académie française récompense des auteurs haïtiens pour la qualité de leurs œuvres», rappelle Frantz Duval. «Quelle joie, quelle fierté !», renchérit Gazette Haïti. Car dans un «pays en crise», et «malgré les blessures», ce prix rappelle «qu'Haïti demeure une terre de création et de génie, capable d'offrir au monde des voix puissantes, des écritures de lumière.»   Plongée dans un musée sous-marin en Colombie Au large de l'Isla Fuerte, sur la côte caraïbe, des initiatives tentent de donner un second souffle aux coraux, garants de la vie marine mais qui sont gravement menacés aujourd'hui par le dérèglement climatique et par le tourisme de masse. Parmi elles, le Muszif, un musée entièrement immergé dans des eaux cristallines, où l'art devient refuge pour la vie marine et qu'a visité la correspondance de RFI en Colombie, Camille Bouju.   Dans le journal d'Outre-mer La 1ère Les Antilles françaises et leurs forces armées viennent au secours de la Jamaïque, meurtrie par l'ouragan Melissa.

Le 13/14
Le marché aux poissons de Fécamp : un lieu de vie pour les habitants

Le 13/14

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 4:11


durée : 00:04:11 - Une semaine dans leurs vies - Au cœur du port de Fécamp, se dresse un bâtiment incontournable pour les habitants et les touristes. Le marché aux poissons, tenu par Nathalie Lecanu depuis une vingtaine d'années. Cet endroit s'est imposé dans la ville comme un lieu de rencontres et de naissance d'amitiés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

7 milliards de voisins
À quel climat devront s'adapter les habitants du continent européen en 2050?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 48:29


Vagues de chaleur extrême et mégafeux, l'été 2025 a donné un nouvel aperçu des effets du changement climatique en Europe. Un scénario amené à se répéter à l'avenir, d'autant plus que l'Europe est le continent qui se réchauffe le plus vite, selon un rapport de l'ONU et de l'Union européenne. Un constat qui oblige les pouvoirs publics à trouver des solutions avec des mesures de prévention contre les incendies ou les inondations, la mise en place de «refuges climatiques» en cas de forte chaleur, ou encore la construction d'infrastructures adaptées. Mais si les conséquences côté climat sont déjà bien documentées pour les prochaines décennies, quelles seront les conséquences de la multiplication des évènements climatiques extrêmes sur la société ? Travail, transport, famille... dans quelles mesures le changement climatique bouleversera les sociétés européennes ?   Avec : • Nathanaël Wallenhorst, professeur à l'Université Catholique de l'Ouest, docteur en Sciences de l'Environnement et du Cimat, en Science de l'Éducation et en Science Politique. Auteur de 2049 - Ce que le climat va faire à l'Europe (Seuil, 2025). Un entretien avec Elise Gazengel, correspondante de RFI à Barcelone, en Espagne, marquée par les catastrophes ces dernières années.   En fin d'émission, une interview de Catalina Vargas, directrice de l'ONG Care en Colombie, de passage en France, réalisée par Tom Malki. La Colombie traverse actuellement une crise humanitaire historique. Le pays est en proie à une guerre des gangs et l'ONG internationale Care estime qu'au moins 7 millions de personnes sur les 52 millions d'habitants ont un besoin vital d'accéder à de l'aide humanitaire, principalement les femmes et les réfugiés. Une aide humanitaire drastiquement réduite par la baisse de la participation américaine décidée par Donald Trump. Catalina Vargas, directrice de Care Colombie, s'inquiète que l'Union européenne suive ce chemin. Elle raconte, au micro de Tom Malki, l'importance de ces aides pour les populations vulnérables.   Programmation musicale :  ► Big Three - Stand High Patrol ► Jelely  - Sabrina.

7 milliards de voisins
À quel climat devront s'adapter les habitants du continent européen en 2050?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 48:29


Vagues de chaleur extrême et mégafeux, l'été 2025 a donné un nouvel aperçu des effets du changement climatique en Europe. Un scénario amené à se répéter à l'avenir, d'autant plus que l'Europe est le continent qui se réchauffe le plus vite, selon un rapport de l'ONU et de l'Union européenne. Un constat qui oblige les pouvoirs publics à trouver des solutions avec des mesures de prévention contre les incendies ou les inondations, la mise en place de «refuges climatiques» en cas de forte chaleur, ou encore la construction d'infrastructures adaptées. Mais si les conséquences côté climat sont déjà bien documentées pour les prochaines décennies, quelles seront les conséquences de la multiplication des évènements climatiques extrêmes sur la société ? Travail, transport, famille... dans quelles mesures le changement climatique bouleversera les sociétés européennes ?   Avec : • Nathanaël Wallenhorst, professeur à l'Université Catholique de l'Ouest, docteur en Sciences de l'Environnement et du Cimat, en Science de l'Éducation et en Science Politique. Auteur de 2049 - Ce que le climat va faire à l'Europe (Seuil, 2025). Un entretien avec Elise Gazengel, correspondante de RFI à Barcelone, en Espagne, marquée par les catastrophes ces dernières années.   En fin d'émission, une interview de Catalina Vargas, directrice de l'ONG Care en Colombie, de passage en France, réalisée par Tom Malki. La Colombie traverse actuellement une crise humanitaire historique. Le pays est en proie à une guerre des gangs et l'ONG internationale Care estime qu'au moins 7 millions de personnes sur les 52 millions d'habitants ont un besoin vital d'accéder à de l'aide humanitaire, principalement les femmes et les réfugiés. Une aide humanitaire drastiquement réduite par la baisse de la participation américaine décidée par Donald Trump. Catalina Vargas, directrice de Care Colombie, s'inquiète que l'Union européenne suive ce chemin. Elle raconte, au micro de Tom Malki, l'importance de ces aides pour les populations vulnérables.   Programmation musicale :  ► Big Three - Stand High Patrol ► Jelely  - Sabrina.

Les Grandes Gueules
L'insécurité du jour - Frédéric Lauze : "Notre sécurité au quotidien s'est dégradée. Le taux de criminalité est passé de 15 pour 1000 habitants dans les années 50, à 60 pour 1000 aujourd'hui" - 01/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 2:20


Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

7 milliards de voisins
Quelle participation des habitants dans la gestion des problématiques des villes africaines ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 48:30


Gestion des déchets, manque d'infrastructures d'assainissement, d'accès à l'eau, inondations récurrentes, îlot de chaleur... Les villes du continent africain sont confrontées à des problèmes récurrents qui sont amenés à se multiplier alors que le rythme de l'urbanisation en Afrique est le plus rapide au monde. Selon les prévisions, le nombre d'urbains devrait doubler d'ici 2050 en Afrique pour passer à 1,4 milliard. À cette hausse de population difficile à absorber pour les villes, s'ajoutent la prise en compte des pratiques informelles, des spécificités locales, ou encore le manque de moyens. Dans ces conditions, la mise en place de projets d'infrastructures et d'aménagements pour répondre aux besoins de la population peut relever du casse-tête pour les pouvoirs publics. Les habitants ont parfois l'impression de ne pas être écoutés et considérés. Comment mettre en œuvre de nouveaux équipements qui prennent en compte les vrais besoins et les modes de vie des usagers ? Sous quelle forme intégrer les habitants aux projets de leur ville ?   Avec : • Audrey Guiral Naepels, urbaniste, responsable de la division Développement urbain, Aménagement et Logement de l'AFD (Agence Française de Développement) • Charlemagne Yankoty, maire de la commune de Porto Novo au Bénin   • Rina Andriambololomanana , cheffe de projet «pépinière urbaine» d'Antananarivo, au Gret (ONG internationale de développement social et solidaire) à Madagascar.   En fin d'émission, un reportage au Tchad de Raphaëlle Constant. L'Académie de basket ball «Dreams Comes True» («le rêve devient réalité» en français) à Ndjamena a été fondée en 2020, c'est une école mixte et moderne qui forme les enfants à partir de 5 ans et où l'accent est mis sur la réussite scolaire en parallèle de la formation sportive. Ils sont aujourd'hui 178 pensionnaires, dont 51% de filles, encadrés par 12 coachs.  Notre reporter Raphaëlle Constant a assisté à un entraînement et a rencontré les fondateurs Issa Nakoye, président exécutif et Alain Assnale, directeur technique, tous deux anciens joueurs de l'équipe nationale. Direction le Lycée Sacré-cœur dans le quartier Moursal où, ce jour-là, une quarantaine d'enfants de la catégorie minime traversent le terrain sous les consignes du coach Alladoum Klamong.  Programmation musicale : ► Magique  – Oxmo Puccino ► Robocop – Article15.

Un air d'amérique
Reconnaissance de la Palestine : des habitants "heureux" mais craintifs de "subir plus d'attaques" israéliennes

Un air d'amérique

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 1:44


Y aura-t-il des représailles des israéliennes après la reconnaissance de la Palestine ? C'est toute la crainte de la population palestinienne en Cisjordanie. Une crainte toute particulière dans le village de Sinjil, au nord de Ramallah, où la population vit aujourd'hui au rythme des affrontements entre Palestiniens et Israéliens.Ecoutez RTL autour du monde du 24 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Reconnaissance de l'Etat palestinien : des maires veulent distribuer le drapeau palestinien à leurs habitants

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 11:20


Invités : - Naima M'faddel, essayiste, chargée de mission politique de la ville. - Olivier Benkemoun, journaliste politique. - Jacques Serais, journaliste politique. - François Cocq, analyste politique. - Véronique Jacquier, journaliste. - Axel Ronde, porte-parole CFTC POLICE. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
L'incompréhension du jour - Nicolas, directeur financier en Suisse, au 3216 : "C'est triste que 65 millions d'habitants veuillent taper sur 1 800 qui créent de la richesse. En Suisse, être patron n'est pas mal vu" - 17/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 0:59


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

InnerFrench
E177 Les festivals, une passion française ?

InnerFrench

Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 35:46


En France, l'été rime avec festivals. Pendant quelques jours, villes et villages se transforment en lieux de fête. Habitants et visiteurs se mêlent pour profiter d'un programme artistique intense. Musique, théâtre, cinéma, arts visuels… Ces événements font découvrir de nouveaux talents et créent une ambiance unique et chaleureuse. On y vit des expériences collectives inoubliables. Dans cet épisode, Ingrid et Hugo racontent pourquoi les festivals sont au cœur de la vie culturelle française. Ils partagent souvenirs et impressions sur ces rendez-vous qui font vibrer tout le pays. Retrouvez la transcription de l'épisode ici : https://www.innerfrench.com/e177