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L'association Raise Brave Girls organise un forum ce vendredi 7 mars à 18h à la Nouvelle Usine Mangalkhan, Floréal. La présidente, Priscilla Mottee, a indiqué que cet événement mettra en avant des femmes ayant réussi dans le monde des affaires afin qu'elles partagent leur parcours et inspirent la jeune génération.
Le Journal en français facile du lundi 3 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BSja.A
Alors que la consommation d'antidépresseurs chez les plus jeunes a augmenté de 62 % entre 2014 et 2021, quel état des lieux peut-on faire sur la santé mentale des jeunes ? Comment expliquer leurs souffrances et surtout comment améliorer la situation ?Pour en discuter, Encore Heureux reçoit le pédopsychiatre, Benoît BlanchardPour retrouver l'ensemble des ressources, rendez-vous sur le site de Binge Audio.CRÉDITS : Encore Heureux est un podcast de Binge Audio animé par Camille Teste. Réalisation : Paul Bertiaux. Production : Charlotte Baix. Édition : Marie Foulon. Musique originale : Artuan de Lierrée. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.
durée : 00:03:08 - 100% Sainté, la chronique
Dans cet épisode, j'échange avec Johanne Fora-Porthault, présidente de l'association FP21 et directrice du programme La Friche au ministère de la Transition écologique. Ensemble, nous explorons la relation parfois complexe entre la Génération Z et la fonction publique : aspirations, attentes, points de friction et leviers d'engagement.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Anishta Babooram : “Le PTR se distingue par sa capacité à intégrer les jeunes” by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:04:08 - Une semaine dans leurs vies - Cette année, le Salon de Montrouge a sélectionné des artistes venus de toute la France, comme Julia Morlot, une artiste plasticienne qui vit et travaille en Bourgogne. Un ancrage rural qui transforme son métier, et ce qu'elle a envie de raconter.
Dans ce nouvel épisode, découvrez pourquoi trouver un appartement ou une maison en location devient un vrai défi en Belgique. L'image des travailleurs de plus de 50 ans change : autrefois délaissés, ils sont désormais prisés pour leur fiabilité. Dernièrement, selon une étude réalisée par Agoria, les jeunes entreprises TIC ont trouvé un environnement propice à Bruxelles, mais alors, comment les retenir ?Dans le dernier numéro du Trends Tendances, Sébastien Buron met en lumière la taxation sur les plus-values. Et finalement, du côté de la bourse, Laura Roba, de la banque Degroof Petercam vient approfondir ce journal des marchés.
durée : 00:04:02 - Une semaine dans leurs vies - Parmi les artistes sélectionnés au Salon de Montrouge, certains mettent les territoires à l'honneur en sortant de la salle d'exposition pour aller à la rencontre des habitants. Le duo ORAN, composé de Morgane et Flo.re, a choisi d'impliquer les bénévoles d'un café associatif, le Schmilblik.
Un chiffre qui met en lumière l'urgence d'une éducation au numérique responsable : 90% des jeunes de 13 à 17 ans utilisent les réseaux sociaux.
Particulièrement fragilisés depuis la pandémie de 2020, les jeunes de 16 à 23 ans souffrent de nombreux troubles mentaux : dépression, anxiété, troubles du comportement, angoisse…. Beaucoup sont amenés à consulter en pédopsychiatrie et en psychiatrie. Mais quelle est la meilleure prise en charge pour ces jeunes en pleine transition vers l'âge adulte ? On en parle avec les docteures Sophie Maes, pédopsychiatre d'une équipe mobile des grands ados et Estelle Soukias, psychiatre, cheffe de clinique adjoint au CHU Brugmann dans l'unité psychiatrique pour les jeunes de 16 à 23 ans. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:04:08 - Une semaine dans leurs vies - Deuxième épisode de notre plongée dans la préparation du Salon de Montrouge, qui accueille cette année 40 artistes contemporains. Parmi ces artistes, Lou Motin, qui a commencé dans l'artisanat et la taille de pierre, et présente une installation aux allures de site archéologique.
Au sommaire d'Accents d'Europe de ce mardi 18 février 2025 : l'emprise de la mafia sur la jeunesse italienne, l'actualité ukrainienne vue par un historien, la lutte contre la désinformation à Bruxelles et les séismes ravageurs de Santorin. L'emprise de la mafia sur l'économie et la culture italienne n'appartiennent pas au passé. Pas plus tard que la semaine dernière, une descente de 1 200 policiers, à Palerme, a permis de démanteler quatre clans et d'arrêter plus de 180 criminels... L'emprise de la mafia sur les jeunes, c'est le combat d'un juge Roberto di Bella, mais aussi d'une association BS qui relaie sa parole dans les écoles. Après avoir travaillé en Calabre, sa présidente Bruna Siviglia a depuis fédéré de nombreux établissements dans toute l'Italie, c'est le reportage de Cécile Debarge. Les pourparlers de paix sur l'Ukraine, vus par l'historien Timothy SnyderLes chefs de la diplomatie russe et américaine à Riyad pour parler de l'Ukraine, mais sans les européens... Un contre minisommet réuni hier à Paris en urgence avec dix dirigeants européens pour rappeler l'impératif des garanties de sécurité fortes et crédibles. C'est peu de dire qu'il y a de gros tiraillements et des rivalités diplomatiques autour de l'issue de la guerre en Ukraine. Pour prendre un peu de hauteur, quoi de mieux que le grand historien américain Timothy Snyder. Spécialiste de l'Europe centrale. Il vient de publier De la liberté chez Gallimard et il était en Ukraine la semaine dernière. Notre correspondante Emmanuelle Chaze lui a demandé si c'était aussi notre modèle démocratique qui se jouait dans cette guerre entre Kiev et Moscou. EU disinfolab : la lutte contre la désinformation vue de Bruxelles 1 milliard 900 000 dollars, c'est le budget annuel consacré par la Russie à la propagande étrangère... C'est une des nombreuses informations mises à jour par une association qui met en lien des dizaines de chercheurs spécialisés dans la lutte contre les fausses informations. Le EU disinfolab a son siège à Bruxelles et notre correspondante Elena Louazon a pu leur rendre visite.Santorin secouée par des séismes... depuis toujoursActivité sismique à haut risque en Grèce et l'épicentre n'est autre que l'ile la plus touristique des Cyclades... Santorin ! L'ile a accueilli trois millions et demi de touristes l'an dernier et doit sa renommée internationale à une position géographique unique, à la surface d'un volcan géant, en partie engloutie sous les eaux... Bref, les séismes font partie de son histoire. Joel Bronner.
Au sommaire d'Accents d'Europe de ce mardi 18 février 2025 : l'emprise de la mafia sur la jeunesse italienne, l'actualité ukrainienne vue par un historien, la lutte contre la désinformation à Bruxelles et les séismes ravageurs de Santorin. L'emprise de la mafia sur l'économie et la culture italienne n'appartiennent pas au passé. Pas plus tard que la semaine dernière, une descente de 1 200 policiers, à Palerme, a permis de démanteler quatre clans et d'arrêter plus de 180 criminels... L'emprise de la mafia sur les jeunes, c'est le combat d'un juge Roberto di Bella, mais aussi d'une association BS qui relaie sa parole dans les écoles. Après avoir travaillé en Calabre, sa présidente Bruna Siviglia a depuis fédéré de nombreux établissements dans toute l'Italie, c'est le reportage de Cécile Debarge. Les pourparlers de paix sur l'Ukraine, vus par l'historien Timothy SnyderLes chefs de la diplomatie russe et américaine à Riyad pour parler de l'Ukraine, mais sans les européens... Un contre minisommet réuni hier à Paris en urgence avec dix dirigeants européens pour rappeler l'impératif des garanties de sécurité fortes et crédibles. C'est peu de dire qu'il y a de gros tiraillements et des rivalités diplomatiques autour de l'issue de la guerre en Ukraine. Pour prendre un peu de hauteur, quoi de mieux que le grand historien américain Timothy Snyder. Spécialiste de l'Europe centrale. Il vient de publier De la liberté chez Gallimard et il était en Ukraine la semaine dernière. Notre correspondante Emmanuelle Chaze lui a demandé si c'était aussi notre modèle démocratique qui se jouait dans cette guerre entre Kiev et Moscou. EU disinfolab : la lutte contre la désinformation vue de Bruxelles 1 milliard 900 000 dollars, c'est le budget annuel consacré par la Russie à la propagande étrangère... C'est une des nombreuses informations mises à jour par une association qui met en lien des dizaines de chercheurs spécialisés dans la lutte contre les fausses informations. Le EU disinfolab a son siège à Bruxelles et notre correspondante Elena Louazon a pu leur rendre visite.Santorin secouée par des séismes... depuis toujoursActivité sismique à haut risque en Grèce et l'épicentre n'est autre que l'ile la plus touristique des Cyclades... Santorin ! L'ile a accueilli trois millions et demi de touristes l'an dernier et doit sa renommée internationale à une position géographique unique, à la surface d'un volcan géant, en partie engloutie sous les eaux... Bref, les séismes font partie de son histoire. Joel Bronner.
Dans cet épisode des Dérangeants, Dominic reçoit Fabienne Audette de la Fondation des jeunes de la DPJ pour parler d’un sujet qui touche autant le cœur que le portefeuille : la philanthropie entrepreneuriale au Québec.
durée : 00:03:20 - Série salon de l'agriculture 2 : le métier d'agricultuer vu par les jeunes en école agricole
Les Jeunes de 2025 : Vers une consommation connectée, instantanée et éthique by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:04:24 - Une semaine dans leurs vies - Comment se faire connaître quand on est artiste émergeant ? Il y a les galeries et les centres d'art... mais aussi le Salon de Montrouge, véritable défricheur de talents depuis 68 ans. Andrea Ponsini, qui travaille à la mairie de Montrouge depuis 15 ans, en est le nouveau directeur artistique.
durée : 00:04:13 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Deep Blue est une jeune association maritime pour la promotion des enjeux maritimes auprès des lycées et des universités, et dont le fondateur est Amine Lehna.
durée : 00:02:07 - Esprit sport - Esprit sport passe sa semaine dans une salle de MMA, sport en pleine expansion en France. Même les plus jeunes se laissent séduire. Dernier épisode de notre série avec Lionel Brézéphin, responsable du MMA au sein de la fédération de Boxe, qui encadre cette discipline.
Chaque année en France, 44.000 nouveaux jeunes ingénieurs, filles et garçons, arrivent sur le marché du travail alors qu'il en faudrait 60.000. Les Jeunes filles sont encore peu nombreuses à s'engager dans les filières et les carrières scientifiques. Sur les ingénieurs en activité 24 % sont des femmes et la proportion des jeunes filles dans les filières scientifiques stagne. Pourquoi ces filières ne séduisent pas les filles alors qu'elles portent sur des univers variés comme le développement durable, l'industrie du futur, la défense, la sante, es biotechnologies, l'aérospatiale, la cybersécurité ? Quelle sensibilisation dans les lycées ? Quelles politiques RH dans les entreprises pour accueillir de nouvelles femmes ingénieures ? Avec :• Fatima Bakhti, présidente de l'Association Femmes Ingénieures et ingénieure dans les télécommunications • Elyès Jouini, professeur des universités (économie et mathématiques), administrateur de l'Institut Universitaire de France (UAF), responsable de la chaire Dauphine-UNESCO “Femmes et Science” à l'Université Paris-Dauphine, ancien ministre en Tunisie Le Monde des enfants par Charlie Dupiot C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Yaoundé au Cameroun : on va retrouver Erica, Danielle, Isaac, Christie, Luz, Kevin, Emmanuel et Ruth. Ces enfants, âgés de 8 à 12 ans, nous parlent des accidents de la route... une réalité qu'ils connaissent bien. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à L'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Kevin à Libreville, Gabon Programmation musicale :► Tout savoir - Adé ► Nishimira - Boukuru
durée : 00:01:32 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - 80 secondes sur le kit pédagogique que la Région Île-de-France, présidée par Valérie Pécresse, et Riss, le patron de Charlie Hebdo, mettent à la disposition des 500 lycées franciliens.
86% des parents ont peur pour leurs enfants, selon une étude parue dans le Figaro Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au théâtre des Amandiers, 15 jeunes s'apprêtent à monter sur scène aujourd'hui et demain, à 18h, à Nanterre, là où Nahel, jeune adolescent de 17 ans, avait été tué par un tir de policier. Le drame, le 27 juin 2023, avait été suivi de plusieurs semaines d'émeutes dans toute la France...
L'objectif de toutes les équipes NFL est d'aller au Super Bowl. Pour cela, il faut avoir un bon environnement pour les jeunes afin de s'épanouir.Les Chiefs et les Eagles sont les exemples parfaits de 2 équipes bien construites. Leurs staffs sont compétents pour repérer les talents, et leur font suffisamment confiance pour bien jouer.Nithinya Simuong et Victor Roullier vous proposent 4 joueurs qui peuvent avoir un impact sur le match. Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Snowflakes” : littéralement, ça veut dire “flocons de neige”… Vous comprenez l'idée, c'est quelque chose de fragile, de douillet et d'insignifiant. C'est une insulte qui vise à stigmatiser la fragilité émotionnelle de la Génération Z. L'ancienne militante communiste, et directrice du think tank Institute Claire Fox est la première à utiliser ce terme en 2016 dans son livre I Find that Offensive. Elle aurait pris le terme à Chuck Palahniuk dans son roman Fight Club de 1999, dans lequel le personnage anticonformiste Tyler Durden. Qui est la génération flocon de neige ? D'où vient ce terme ? La sensibilité est-elle une bonne chose ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que Tanaland, ce pays imaginaire qui se bat contre la misogynie ? A quoi ressemble le racisme en France ? Pourquoi tout le monde quitte X/twitter ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 01:06:29 - Club Jazzafip - En l'honneur du premier concert de Yehudi Menuhin à Paris à l'âge de 10 ans, nous mettons en lumière ces artistes qui ont commencé prématurément.
durée : 00:58:24 - Être et savoir - par : Louise Tourret - Décrypter les faits et penser des réponses à la hauteur de leur gravité - réalisation : Peire Legras - invités : Marwan Mohammed Sociologue, chargé de recherche au CNRS (Centre Maurice Halbwachs); Aude Jullien Médiatrice sociale et éducative; Sébastien Bourdon Journaliste au Monde
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Bruno Poncet, Eléonore Lemaire et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:47:19 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Comment les enfants et adolescents s'informent-ils en 2025 ? Entre réseaux sociaux, influenceurs et médias traditionnels, quel est l'impact de l'actualité sur leur vision du monde ? - invités : Victoria Jacob, Sandra Hoibian, Gaspard G - Victoria Jacob : rédactrice en chef de PHOSPHORE, Sandra Hoibian : Directrice générale du Credoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie), Gaspard G : Créateur de contenus sur l'actualité et la politique - réalisé par : Claire DESTACAMP
durée : 00:38:03 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Selon la Haute Autorité de Santé, les troubles du spectre de l'autisme (TSA) touchent environ 100 000 jeunes de moins de 20 ans, dont la majorité ne peut bénéficier de dispositif d'accueil spécifique qui font défaut en France. Faut-il s'inspirer de nos voisins dans la prise en charge de l'autisme ? - réalisation : François Richer - invités : Isabelle Resplendino Présidente de l'Association pour les Français en situation de handicap en Belgique; Eric Jeanrenaud Directeur de l'Institut Médico-Educatif (IME) La Chamade, à Herblay, dans le Val-d'Oise. Cet IME dépend de l'association HAARP
durée : 00:38:03 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Selon la Haute Autorité de Santé, les troubles du spectre de l'autisme (TSA) touchent environ 100 000 jeunes de moins de 20 ans, dont la majorité ne peut bénéficier de dispositif d'accueil spécifique qui font défaut en France. Faut-il s'inspirer de nos voisins dans la prise en charge de l'autisme ? - réalisation : François Richer - invités : Isabelle Resplendino Présidente de l'Association pour les Français en situation de handicap en Belgique; Eric Jeanrenaud Directeur de l'Institut Médico-Educatif (IME) La Chamade, à Herblay, dans le Val-d'Oise. Cet IME dépend de l'association HAARP
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle.La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. »Bâtiments en ruinesEn ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen.Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. »Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmesLa Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. »Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. »Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnelsAux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann.À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. »Transmettre la mémoireFace aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. »La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. »Transmettre, un poids ou un défi ?Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ».À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. »Ginette Kolinka, passeuse de mémoireQuelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée.Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
La remontée du chômage se confirme en France avec une forte hausse du nombre de demandeurs d'emploi au quatrième trimestre 2024. Les jeunes de moins de 25 ans sont les principaux concernés.
durée : 00:37:44 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Selon le dernier rapport du HCE, davantage de Françaises et de Français considèrent qu'il est plus difficile d'être une femme aujourd'hui. Par ailleurs, le masculinisme progresse chez les jeunes hommes. Comment expliquer cette polarisation croissante de la jeunesse vis-à-vis du sexisme ? - réalisation : François Richer - invités : Eric Macé Professeur de sociologie à l'Université de Bordeaux, chercheur au centre Emile Durkheim.; Floriane Volt Porte-parole de la Fondation des femmes
On les imagine, les yeux rivés sur les écrans, les mains greffées au téléphone, à scroller sur les réseaux sociaux, loin des textes longs et construits. Mais les jeunes se désintéressent-ils vraiment de l'écriture ? Selon une étude réalisée en France, en 2024, par l'association Lecture Jeunesse et l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, 92 % des jeunes de 14 à 18 ans ont une activité de scripteur, et 81 % considèrent qu'écrire à la main est toujours utile. Certes, l'écriture créative n'est pas forcément la plus répandue et une partie de cette production se fait sur téléphone ou ordinateur, mais le plaisir et le besoin d'écrire est bien présent chez la nouvelle génération. Alors qu'a-t-elle envie de raconter et sur quel support ? A l'occasion de la journée mondiale de l'écriture Avec : • Thibault Lacarrière, directeur général duLabo des histoires, association qui a pour mission de promouvoir l'écriture créative aux jeunes de moins de 25 ans • Baldur Adjaï, étudiant en Master de lettres à l'Université Paris Nanterre. Lauréat du Prix des jeunes écritures 2024, organisé par l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), Radio France Internationale (RFI) et Short Édition. Il a remporté le prix du public pour son texte Noir, notre cielEn fin d'émission, la chronique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin et Tanguy Lacroix.À l'occasion de la Journée mondiale de l'écriture, nous recevons l'équipe de Mondoblog. Ils nous parlent de leur expérience en tant qu'éditeurs et éditrice de tous les écrits publiés sur Mondoblog. Nous accueillons également Badal Fohmoh, une blogueuse camerounaise très active qui promeut le blogging dans son pays. Programmation musicale:► Addicted - CKay, The Cavemen► Samara Cyn - Chrome.
On les imagine, les yeux rivés sur les écrans, les mains greffées au téléphone, à scroller sur les réseaux sociaux, loin des textes longs et construits. Mais les jeunes se désintéressent-ils vraiment de l'écriture ? Selon une étude réalisée en France, en 2024, par l'association Lecture Jeunesse et l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, 92 % des jeunes de 14 à 18 ans ont une activité de scripteur, et 81 % considèrent qu'écrire à la main est toujours utile. Certes, l'écriture créative n'est pas forcément la plus répandue et une partie de cette production se fait sur téléphone ou ordinateur, mais le plaisir et le besoin d'écrire est bien présent chez la nouvelle génération. Alors qu'a-t-elle envie de raconter et sur quel support ? A l'occasion de la journée mondiale de l'écriture Avec : • Thibault Lacarrière, directeur général duLabo des histoires, association qui a pour mission de promouvoir l'écriture créative aux jeunes de moins de 25 ans • Baldur Adjaï, étudiant en Master de lettres à l'Université Paris Nanterre. Lauréat du Prix des jeunes écritures 2024, organisé par l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), Radio France Internationale (RFI) et Short Édition. Il a remporté le prix du public pour son texte Noir, notre cielEn fin d'émission, la chronique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin et Tanguy Lacroix.À l'occasion de la Journée mondiale de l'écriture, nous recevons l'équipe de Mondoblog. Ils nous parlent de leur expérience en tant qu'éditeurs et éditrice de tous les écrits publiés sur Mondoblog. Nous accueillons également Badal Fohmoh, une blogueuse camerounaise très active qui promeut le blogging dans son pays. Programmation musicale:► Addicted - CKay, The Cavemen► Samara Cyn - Chrome.
durée : 00:07:14 - Info médias - L'institut publie son bilan TV de l'année, marqué par un été historique pour les audiences. Laurence Deléchapt, directrice TV et cross média de Médiamétrie analyse ces résultats sur franceinfo.
durée : 00:37:44 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Selon le dernier rapport du HCE, davantage de Françaises et de Français considèrent qu'il est plus difficile d'être une femme aujourd'hui. Par ailleurs, le masculinisme progresse chez les jeunes hommes. Comment expliquer cette polarisation croissante de la jeunesse vis-à-vis du sexisme ? - réalisation : François Richer - invités : Eric Macé Professeur de sociologie à l'Université de Bordeaux, chercheur au centre Emile Durkheim.; Floriane Volt Porte-parole de la Fondation des femmes
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
durée : 00:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - L'ouverture au jeune public est l'une des missions fondamentales du musée d'Orsay. Comment ce souci de pédagogie envers les plus jeunes visiteurs s'est-il traduit dès ses débuts ? C'est ce que "L'école hors les murs" proposait de découvrir aux auditeurs de France Culture en 1988. - réalisation : Thomas Jost
durée : 00:04:33 - La lutte enchantée - par : Camille Crosnier - Keanu Arpels-Josiah aura 20 ans cette année. Membre du mouvement Fridays for future USA, ce New-yorkais se dit « horrifié » par le retour de Donald Trump, mais déterminé à continuer à agir, en changeant de stratégie...
durée : 00:04:07 - Le Zoom de France Inter - Le terme est décrié : on les appelle "les décrocheurs". Entre 80.000 et 100.000 jeunes de 16 à 25 ans quittent chaque année le système scolaire sans diplôme, sans formation, sans emploi. Des structures les aident à reprendre pied.
Dix ans après l'attentat et "Je suis Charlie", 46% des 18-24 ans se disent "choqués" que l'on ait pu caricaturer le prophète Mahomet. Plus généralement, les offenses envers les religions sont vues comme un manque de respect ou une atteinte à l'intimité. Dans un lycée francilien, où des élèves étudient des dessins de presse avec leur professeur, le sujet fait débat.
Invitée: Claire Balley. Cʹest un sujet qui préoccupe beaucoup les parents et qui est une source de tension dans de nombreuses familles: les jeunes et leur téléphone portable. Les adultes sont souvent très inquiets du temps que passent leurs enfants sur les écrans, ils sont aussi très critiques. Mais à quoi ressemble vraiment lʹusage des écrans par les ados? Comment utilisent-ils leur téléphone portable? Comment gèrent-elles les aspects de leur vie privée? Tribu reçoit Claire Balleys, sociologue spécialisée dans les pratiques numériques et directrice du Medialab de l'Université de Genève.