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Au Gondwana le cessez-le-feu ne fait jamais long feu.
Au Gondwana le cessez-le-feu ne fait jamais long feu.
Si vous êtes une nouvelle création en Christ, la vie du Christ vous appartient, ce qui signifie que les Évangiles de Matthieu, Marc, Luc et Jean vous appartiennent - Si vous êtes Né d'en Haut, vous n'êtes pas de ce monde, mais vous êtes dans ce monde. Cessez de parler et de croire comme ce monde - La vie est courte ; assurez-vous d'en profiter pleinement pour le Royaume des Cieux et pour Dieu - Nous avons Matthieu, Marc, Luc et Jean qui ont écrit ce qu'ils ont entendu et vu, car Jésus était trop occupé à guérir les malades, à chasser les démons, à s'occuper des hypocrites, à nourrir miraculeusement les pauvres, à prêcher l'Évangile du Royaume et à se préparer à ce qui l'attendait sur la Croix. Merci Jésus
Si vous voulez prendre des leçons de français avec moi:logokala@hotmail.com----------------------Des militants proguerre russes proches du Kremlin plaident désormais pour un cessez-le-feu en Ukraine, marquant un possible tournant. Traduction:Pro-war Russian activists close to the Kremlin now advocate for a ceasefire in Ukraine, signaling a potential shift. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Si vous voulez prendre des leçons de français avec moi:logokala@hotmail.com----------------------Des militants proguerre russes proches du Kremlin plaident désormais pour un cessez-le-feu en Ukraine, marquant un possible tournant. Traduction:Pro-war Russian activists close to the Kremlin now advocate for a ceasefire in Ukraine, signaling a potential shift. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Dans cet épisode, vous découvrirez la différence fondamentale entre stratégie de contenu et marketing de contenu, pourquoi la « friendzone » nuit à vos ventes et comment créer du contenu qui convertit à l'aide de la méthode de vente par l'histoire. Apprenez le cadre précis utilisé par les coachs à succès pour transformer un public engagé en clients haut de gamme sans paraître commercial ou insistant. Cessez de passer vos après-midis à envoyer des messages privés pour offrir des conseils gratuits. Commencez à créer du contenu qui convertit vos abonnés en clients qui paient réellement. Vos micro-histoires sont votre meilleur outil de vente : apprenez à les utiliser de manière stratégique pour générer des revenus réguliers.Support this podcast at — https://redcircle.com/sois-ta-propre-verite/exclusive-content
Un cessez-le-feu qui n'en est pas vraiment un. Il y a un an, Israël et le Hezbollah libanais s'étaient mis d'accord pour arrêter un conflit qui avait démarré en octobre 2023, mais les bombardements n'ont pas cessé. Depuis plusieurs mois, les fiefs du mouvement chiite dans le sud du Liban sont la principale cible de l'Etat hébreu. Israël accuse le Hezbollah de ne pas vouloir se désarmer. La banlieue de Beyrouth a elle aussi été bombardée dimanche dernier. Tel-Aviv dit avoir visé le « chef d'état-major » du Hezbollah. Notre journaliste Pauline Hofmann est sur place. Elle nous raconte l'ambiance qui règne au Liban et fait le point sur ce conflit qui perdure malgré le cessez-le-feu. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Y aura-t-il une rencontre Kagame-Tshisekedi à Washington d'ici Noël ? Rien n'est moins sûr. « Il n'y aura la paix dans l'est du Congo que si les génocidaires FDLR sont neutralisés », affirme sur RFI le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, qui déplore le manque de volonté politique de Kinshasa pour lancer cette opération. Le ministre précise qu'une telle neutralisation des FDLR « ouvrira la voie à la levée des mesures de défense du Rwanda » au Congo. En ligne de Luanda, où il vient d'assister au septième sommet Afrique-Europe, le chef de la diplomatie rwandaise répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Où en sont les discussions entre votre pays et la République démocratique du Congo en vue d'une signature de la paix à Washington ? Olivier Nduhungirehe : La paix a déjà été signée le 27 juin à Washington. À Washington, les discussions de mise en œuvre se déroulent, il y a des progrès. Mais notre problème, c'est qu'il y a des violations permanentes du cessez-le-feu par l'armée congolaise. Alors ce que tout le monde attend, c'est une rencontre à Washington entre le président Kagame et le président Tshisekedi. Quand est-ce qu'elle aura lieu ? Elle aura lieu dans quelques jours. Mais le problème, c'est qu'il y a des bombardements quotidiens de la part des avions de chasse et des drones d'attaque de l'armée congolaise, non seulement contre des positions de l'AFC/M23, ce qui est bien sûr en violation du cessez-le-feu, mais aussi, ce qui est plus grave, contre les villages Banyamulenge, ces Tutsi congolais du Sud Kivu, dans un contexte de montée des discours de haine. Alors, ce que disent les autorités congolaises, notamment par la voix de Patrick Muyaya, c'était sur RFI il y a quelques jours, c'est qu'il n'y aura de véritable paix que quand vous aurez renoncé à vos mesures de défense sur le territoire congolais… Et bien Patrick Muyaya devrait lire l'Accord de paix de Washington. Il n'y aura de paix que si les FDLR, les génocidaires FDLR qui sont soutenus, financés par Kinshasa et qui sont même intégrés dans l'armée, sont neutralisés, comme l'exige le Conops, le concept des opérations, qui a été signé dans le cadre de l'accord de paix de Washington. Et c'est la neutralisation de ces génocidaires FDLR, soutenus par Kinshasa, qui ouvrira la voie à la levée des mesures rwandaises de défense. Les autorités congolaises disent que le désarmement des FDLR a commencé… Mais on ne le voit pas, sauf si c'est dans une réalité parallèle. Les FDLR n'ont pas été neutralisés, comme cela est exigé par l'Accord de paix de Washington. Il y a eu, il vous souviendra, ce communiqué des FARDC qui a appelé les FDLR à déposer les armes. Et puis après il y a eu un communiqué des FDLR qui a prétendu qu'elles sont prêtes à déposer les armes au camp de la Monusco, mais qu'elles en sont empêchées par le M23. Et puis récemment, vous avez vu cette interview du porte-parole des FDLR qui a dit qu'elles ne déposeront jamais les armes, qu'elles vont se battre jusqu'au bout. Et donc les FDLR sont toujours soutenues par Kinshasa. Rien ne se fera sans qu'il y ait la bonne foi et la volonté politique de Kinshasa sur cette question des FDLR puisqu'on en parle depuis longtemps, mais à l'heure où on vous parle, les FDLR sont toujours intégrées dans l'armée congolaise. Elles sont toujours soutenues par Kinshasa. Mais franchement, la cartographie du déploiement des FDLR par les autorités congolaises, ce n'est pas la preuve que celles-ci sont de bonne foi ? Mais l'accord de paix de Washington parle de neutralisation des FDLR. C'est ce qui doit se passer. Ce n'est pas une cartographie, ce ne sont pas des communiqués, des appels à déposer les armes. C'est la neutralisation effective des FDLR. Et jusqu'à présent, on ne voit pas de neutralisation de ces génocidaires FDLR depuis le 27 juin qu'on a signé cet accord. Ça fait plus de cinq mois. Et si demain la neutralisation commence réellement, est-ce que vous, vous vous engagez à renoncer aux mesures de défense que vous avez prises sur le territoire congolais ? C'est dans l'Accord de paix de Washington. L'aspect sécuritaire parle de neutralisation des FDLR et de levée de mesures rwandaises de défense. Donc, si les FDLR sont neutralisées, le Rwanda va lever ses mesures de défense. Et ce serait l'affaire de quelques semaines, cela pourrait permettre un accord définitif d'ici Noël ? Je ne sais pas. Il y a un chronogramme qui est dans le Conops, les 90 jours. Mais de toute façon, il faut toujours la volonté politique de neutraliser ces FDLR. Et puis on va voir bien sûr quand et comment ça se fera. Mais sans volonté politique, rien ne se fera. Pendant ce sommet Afrique-Europe de Luanda, la ministre congolaise des Affaires étrangères a demandé à l'Union européenne d'adopter de nouvelles sanctions contre votre pays. Quelle est votre réaction ? Oui. Ma collègue Thérèse Kayikwamba Wagner ne fait que ça depuis février. Elle demande toujours des sanctions contre le Rwanda. Mais maintenant, on est fin novembre. Un accord de paix est passé par là. C'est quand même assez curieux que ma collègue congolaise demande des sanctions contre un pays avec qui on a signé un accord de paix. J'étais avec elle le 27 juin pour signer cet accord. Au lieu de mettre en œuvre cet accord, elle demande toujours des sanctions contre le Rwanda. Et puis, s'il y a des sanctions à demander, pourquoi ne demanderait-on pas des sanctions contre ceux qui affament des populations Banyamulenge et ceux qui bombardent ces populations, ceux qui collaborent avec un mouvement génocidaire et ceux qui répandent des discours de haine à travers les groupes Wazalendo qu'on a créés. Donc, à jouer à ce petit jeu de sanctions, je pense qu'on n'en sortirait pas. Il y a des accords qu'on a signés, à la RDC de les mettre en œuvre au lieu d'aller partout sans arrêt demander des sanctions. À lire aussiRDC-Rwanda: le processus, conduit en partie par Washington, doit déboucher sur la signature de trois accords
Un cessez-le-feu qui n'en est pas vraiment un.Il y a un an, Israël et le Hezbollah libanais s'étaient mis d'accord pour arrêter un conflit qui avait démarré en octobre 2023, mais les bombardements n'ont pas cessé. Depuis plusieurs mois, les fiefs du mouvement chiite dans le sud du Liban sont la principale cible de l'Etat hébreu. Israël accuse le Hezbollah de ne pas vouloir se désarmer. La banlieue de Beyrouth a elle aussi été bombardée dimanche dernier. Tel-Aviv dit avoir visé le « chef d'état-major » du Hezbollah.Notre journaliste Pauline Hofmann est sur place. Elle nous raconte l'ambiance qui règne au Liban et fait le point sur ce conflit qui perdure malgré le cessez-le-feu.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
durée : 00:03:08 - Le monde à l'endroit - Au Liban le Hezbollah a organisé lundi 24 novembre les funérailles de son chef militaire, tué la veille par Israël dans la banlieue sud de Beyrouth. Cette attaque vise à mettre la pression sur le Liban pour désarmer le mouvement pro-iranien. Elle fragilise un cessez-le-feu chaque jour plus précaire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis le 7 octobre 2023, les attaques terroristes du Hamas et la riposte israélienne, le nom de Francesca Albanese s'est imposé dans les journaux. Cette juriste italienne est la rapporteuse spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés. Une voix critique et critiquée. On a profité de son passage à Bruxelles pour un entretien long format.Le conseil de sécurité de l'ONU s'est prononcé, mi-novembre, en faveur du plan de Donald Trump pour la bande de Gaza. Plan qui prévoit notamment la mise en place d'une force internationale. Israël a salué la décision, au contraire du Hamas. Que penser de ce plan ? A quoi ressemble la situation sur place ? C'est ce qu'on va voir dans un instant avec une de nos expertes maisons et la rapporteuse spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Depuis le 7 octobre 2023, les attaques terroristes du Hamas et la riposte israélienne, le nom de Francesca Albanese s'est imposé dans les journaux. Cette juriste italienne est la rapporteuse spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés. Une voix critique et critiquée. On a profité de son passage à Bruxelles pour un entretien long format.Le conseil de sécurité de l'ONU s'est prononcé, mi-novembre, en faveur du plan de Donald Trump pour la bande de Gaza. Plan qui prévoit notamment la mise en place d'une force internationale. Israël a salué la décision, au contraire du Hamas. Que penser de ce plan ? A quoi ressemble la situation sur place ? C'est ce qu'on va voir dans un instant avec une de nos expertes maisons et la rapporteuse spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés.
COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Jn 2, 13-22 Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d'ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » Ses disciples se rappelèrent qu'il est écrit : L'amour de ta maison fera mon tourment. Des Juifs l'interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. Aussi, quand il se réveilla d'entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu'il avait dit cela ; ils crurent à l'Écriture et à la parole que Jésus avait dite.
Voici l'Évangile du dimanche 9 novembre 2025 : « Il parlait du sanctuaire de son corps » (Jn 2, 13-22) Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d'ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » Ses disciples se rappelèrent qu'il est écrit : L'amour de ta maison fera mon tourment. Des Juifs l'interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. Aussi, quand il se réveilla d'entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu'il avait dit cela ; ils crurent à l'Écriture et à la parole que Jésus avait dite. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Invités : - Yonathan Arfi, Président du CRIF et présent à la Philharmonie de Paris hier soir - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Yonathan Arfi, Président du CRIF et présent à la Philharmonie de Paris hier soir - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes enfants de la terre, Vous qui souffrez présentement, vos souffrances ne sont pas inutiles, surtout lorsqu'elles Me sont offertes. La terre entière a besoin d'être purifiée, et c'est l'égarement de Mon peuple qui crée cette obligation. Ne cherchez pas à rétablir la situation par vos propres moyens, vous n'y arriverez pas! Cessez de vous regarder! Tournez-vous vers Moi, votre Dieu. Vous y trouverez: Paix, Joie, Amour et Lumière qui vous aideront. Reconnaissez vos fautes, votre égarement, votre vulnérabilité, et vous serez témoins de Mon Agir. Mon Coeur brûle d'Amour pour chacun de vous. Votre Père. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, la question n'est pas de savoir si une nouvelle guerre avec Israël est possible mais quand elle aura lieu ; même impasse à Gaza où le Hamas a repris le contrôle, et en Cisjordanie où la violence des colons redouble. L'absence de solution politique alimente le risque de nouvelles violences. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, la question n'est pas de savoir si une nouvelle guerre avec Israël est possible mais quand elle aura lieu ; même impasse à Gaza où le Hamas a repris le contrôle, et en Cisjordanie où la violence des colons redouble. L'absence de solution politique alimente le risque de nouvelles violences. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Journal en français facile du vendredi 24 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C7rr.A
La paix à Gaza, toujours très fragile, avec ce projet de loi en Israël visant à étendre sa souveraineté en Cisjordanie occupées. Une zone dans laquelle les violences se sont intensifiées depuis le cessez-le-feu. Écoutez RTL autour du monde du 24 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mercredi 22 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C7TO.A
Le Journal en français facile du mardi 21 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C7HP.A
Gaza replonge dans la violence après seulement dix jours de trêve : dimanche 19 octobre, Israël a mené 120 frappes sur 83 cibles, faisant au moins 45 morts palestiniens.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:14:45 - Journal de 12h30 - Deux frappes israéliennes ont été recensées sur le sud de l'enclave tandis que Washington fait état "d'informations crédibles" sur une attaque préparée par le Hamas contre des civils gazaouis.
durée : 00:14:45 - Journal de 12h30 - Deux frappes israéliennes ont été recensées sur le sud de l'enclave tandis que Washington fait état "d'informations crédibles" sur une attaque préparée par le Hamas contre des civils gazaouis.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste politique à Cnews - Michel Fayad, analyste politique et géopolitique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les camions d'aide humanitaire continuent d'affluer vers Gaza et Israël. Israël avait auparavant menacé de maintenir fermé le point de passage entre Gaza et l'Égypte et de réduire drastiquement l'aide humanitaire, estimant que le Hamas restituait les corps des otages trop lentement.
durée : 00:38:09 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La bande de Gaza sans les bombes, cela est acté depuis le 11 octobre dernier. Les palestiniens qui espèrent retrouver la paix, leurs toits et la mise en place de la phase II du plan Trump, à savoir le désarmement du Hamas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:09 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La bande de Gaza sans les bombes, cela est acté depuis le 11 octobre dernier. Les palestiniens qui espèrent retrouver la paix, leurs toits et la mise en place de la phase II du plan Trump, à savoir le désarmement du Hamas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'était la première étape du plan de cessez-le-feu. Lundi 13 octobre, le Hamas a libéré les vingt derniers otages israéliens vivants, retenus jusque-là dans la bande de Gaza. Dès le matin, des milliers de personnes se sont réunies, très émues, sur la place des Otages à Tel Aviv pour suivre en direct les libérations sur grand écran. Le pays attendait avec impatience ce moment depuis deux ans.En échange, Israël a annoncé dans la soirée avoir rendu la liberté à près de 2 000 prisonniers palestiniens. Cet échange constitue la première phase du plan de paix, présenté par Donald Trump, et conclu jeudi 9 octobre entre le gouvernement de Benyamin Netanyahu et le Hamas pour tenter de mettre fin à la guerre.Code Source raconte la libération des derniers otages israéliens vivants avec Robin Korda, journaliste au service international du Parisien et envoyé spécial en Israël.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, TF1 et NewYork Post. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En cette journée qualifiée d'historique, les 20 derniers otages israéliens vivants détenus à Gaza par le Hamas ont été libérés ce lundi matin et ont retrouvé leurs familles en Israël. Cette libération a été négociée contre celle de près de 2000 prisonniers palestiniens arrivés à Gaza ou en Cisjordanie. À Charm el-Cheikh en Égypte, une vingtaine de pays se sont réunis en présence de Donald Trump : les pays arabes mais aussi la Turquie et plusieurs pays européens dont la France et le Royaume-Uni. Benjamin Netanyahu a quant à lui décliné l'invitation du président américain, qui s'est exprimé devant la Knesset plus tôt dans la journée en évoquant un "nouvel âge d'or au Moyen-Orient". La phase I du plan Trump est-elle achevée ? Est-ce la fin d'une "ère de terreur" à Gaza ?
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L'émission 28 minutes du 11/10/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Stefan de Vries, correspondant affaires européennes pour la radio néerlandaise BNR, Meriem Amellal, journaliste à France 24, spécialiste du Moyen-Orient, Zyad Limam, directeur et rédacteur en chef d'”Afrique Magazine” ainsi que le dessinateur de presse Pierre Kroll. Accord de cessez-le-feu à Gaza : quelles conditions pour une paix durable ?Ce jeudi 9 octobre, le Hamas et Israël sont parvenus à signer un accord de cessez-le-feu qui met fin à deux ans de combats dans la bande de Gaza. Entré en vigueur vendredi 10 octobre à 11 heures selon l'armée israélienne, cet accord prévoit également la libération des otages israéliens détenus par le Hamas. En échange les Palestiniens détenus par Israël seront libérés et une arrivée plus conséquente de l'aide humanitaire, auparavant bloquée par Israël, sera permise. D'ores et déjà, les chancelleries arabes et occidentales s'affairent à préparer la suite, notamment la reconstruction de la bande de Gaza, méthodiquement rasée par Israël. Cet accord de cessez-le-feu est-il le préambule d'une paix plus durable, telle que prévue par le plan élaboré par l'administration Trump ? Quel rôle les pays arabes et occidentaux sont-ils amenés à jouer ? Robert Badinter, antidote ou antithèse de la France de 2025 ? Aux grands hommes, la patrie reconnaissante. Jeudi 9 octobre, feu Robert Badinter a fait son entrée au Panthéon, 22 mois après son décès. Ancien garde des sceaux et président du Conseil constitutionnel, il s'était illustré comme un des grands hommes de la Ve République par son combat vigoureux pour l'abolition de la peine de mort, couronnée de succès en 1981, suivi de la dépénalisation de l'homosexualité l'année suivante. Son entrée dans ce temple républicain par excellence marque sans ambiguïté la reconnaissance de ses combats. Mais que reste-t-il aujourd'hui de ses engagements pour l'universalisme, l'humanisme et pour la défense de l'État de droit et des libertés publiques ? Nous recevons la journaliste et écrivaine Christine Kerdellant qui publie "Prix Nobel, le prestige et l'imposture" aux Éditions de l'Observatoire. Bien que le prix Nobel de la Paix 2025 ait été décerné à la tête de file de l'opposition vénézuélienne Maria Corina Machado, et non à Donald Trump malgré ses demandes incessantes, l'autrice ne prend pas moins soin de dynamiter l'institution. Chimie, paix, économie, physique et médecine : chaque jury est loin de la perfection, et certains lauréats ne résistent parfois pas à l'épreuve du temps. Valérie Brochard s'intéresse à nos chers voisins d'outre-Manche. Shabana Mahmood, ministre de l'Intérieur travailliste, a annoncé vouloir restreindre l'organisation de manifestations récurrentes. Une manière explicite de viser les manifestations en soutien à la Palestine. Ces dernières ont suscité la controverse ces derniers jours, en raison du soutien apporté au groupe Palestine Action, classé terroriste par le gouvernement britannique. Elles interviennent alors que le Royaume-Uni fait face à un regain de l'antisémitisme, qui a endeuillé le pays le 2 octobre suite à l'assasinat de deux personnes de confession juivedevant une synagogue de Manchester. La restriction de ces manifestations est-elle un moyen de lutter contre l'antisémitisme ou une atteinte aux libertés publiques ?Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Khaled el-Enany. Ancien ministre des Antiquités et du Tourisme en Égypte, égyptologue réputé, l'homme devrait prendre la direction de l'Unesco, dès le 6 novembre. Une première pour un pays arabe. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision argentine, où le président Javier Milei a troqué sa tronçonneuse pour une guitare, à vingt jours des élections de mi-mandat. Il a donné un concert de rock devant 15 000 personnes lundi 6 octobre en marge d'un meeting politique à l'occasion de la sortie de son livre vantant son “miracle” économique. Natacha Triou nous invite à méditer sur le syndrôme de l'indécision, de plus en plus prégnant face à la multitude de choix qui s'offrent à nous.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 octobre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Le Journal en français facile du vendredi 10 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C5Po.A
Le gouvernement israélien a donc approuvé dans la nuit jeudi 9 au vendredi 10 octobre 2025 l'accord de cesser le feu avec le Hamas. Il doit s'appliquer sous les prochaines 24 heures. C'est un pas immense vers la paix. Mais l'extrême droite israélienne n'a pas validé ce plan. Elle veut continuer la guerre. Écoutez RTL autour du monde du 10 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, toujours pas de successeur à Sébastien Lecornu alors qu'E. Macron a réuni cet après-midi, les chefs de partis (hors RN et LFI) à l'Elysée. Au Proche-Orient, le cessez-le-feu est maintenu entre Israël et le Hamas. L'armée israélienne se retire partiellement de Gaza, permettant le retour de milliers d'habitants. Et puis, en Côte d'Ivoire, la campagne présidentielle est officiellement lancée. Le président sortant Alassane Ouattara reste le grand favori du scrutin du 25 octobre prochain.
durée : 00:22:06 - L'invité de 8h20 - Israël et le Hamas ont signé jeudi la première phase d'un accord sur un cessez-le-feu à Gaza et une libération d'otages après de fortes pressions du président américain Donald Trump pour mettre fin à deux ans de guerre dévastatrice dans le territoire palestinien. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:56 - France Inter sur le terrain - Une foule dense s'est rassemblée jeudi sur la place des Otages de Tel-Aviv, pour célébrer l'accord conclu à Charm el-Cheikh, une première étape du plan Trump pour la paix à Gaza. Les Israéliens remercient le président américain. Ils le voient comme un possible le prix Nobel de la paix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:21 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Israël et le Hamas sont parvenus à un accord sur un cessez-le-feu à Gaza et une libération d'otages dans le cadre d'un plan de Donald Trump, une étape majeure visant à mettre fin à deux ans de guerre destructrice dans le territoire palestinien.
Le président Donald Trump a annoncé que les deux parties sont d'accord sur une première phase du plan de paix.
Porte-parole du gouvernement congolais, ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya était dans le journal de l'Afrique pour aborder la situation dans l'est, les négociations de paix et la question de la reconnaissance des génocides au Congo.
En Thaïlande, près d'un mois après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu avec le Cambodge, les affrontements se sont calmés dans les zones frontalières. Fin juillet, après deux mois de tension, un très ancien différent frontalier avait été ravivé durant cinq jours, faisant au moins 36 morts et 300 000 déplacés. Malgré la fin des combats armés, les habitants des provinces frontalières de Sisaket et Ubon Ratchathani, à quelques dizaines de kilomètres du Cambodge, sont encore loin d'être rassurés. De notre correspondante de retour de Sisaket et Ubon Ratchathani, Des étagères calcinées, des gels douches à moitié fondus, des bris de verres qui tapissent le sol… Il ne reste presque rien du 7-Eleven de la station service de Ban Phue, frappé le 24 juillet 2025 par des roquettes attribuées au Cambodge. Bilan : huit morts, dont plusieurs enfants, et 19 blessés. Jeab, femme de ménage dans la station, n'entend plus de l'oreille gauche : « L'explosion a été si forte que mon corps est resté engourdi, je n'entendais plus rien. Et maintenant, même quand j'entends le tonnerre, je pars me cacher. » Des passants viennent déposer des fleurs et des amulettes bouddhistes en hommage aux victimes, et les boutiques restent fermées. Jeab, elle, vient de reprendre son travail ici : « J'ai peur que ça recommence. Mais je dois travailler. Sinon, je ne vois pas de quoi je vais vivre. » Sa patronne, Auan, doute du cessez-le-feu. Elle parle des trois soldats thaïlandais blessés au début du mois d'août, d'après l'armée, par des mines cambodgiennes. Elle est inquiète pour l'avenir du magasin : « L'assurance ? On ne sait même pas si elle nous aidera. Ils disent que ça ne rentre peut-être pas dans les cas couverts. Les pertes dépassent déjà quinze millions de bahts [461 000 euros]. Deux millions [61 000 euros] de marchandises sont parties en fumée et près d'un million [30 000 euros] en liquide. » À lire aussiCambodge-Thaïlande : « Il y a une méfiance très grande entre les deux pays » « La peur est toujours là » Dans la province voisine, à quelques kilomètres de la frontière cambodgienne, le marché de Nam Yuen a rouvert, mais trop peu de clients sont là, d'après cette vendeuse de légumes : « Chez les clients, la peur est toujours là… Certains avaient évacués, sont revenus puis repartent car la situation n'est pas stable. » À côté de son étal, des militaires en treillis font leurs courses. La vendeuse n'en avait jamais vu autant patrouiller dans la zone : « La dernière fois, en 2011, le conflit ne s'était pas rapproché autant. Mais cette fois, c'est tout près. » Plus loin, dans le hameau de Bang Na, des adolescents volontaires réparent les toitures et les façades. Quatre maisons ont été détruites et une vingtaine d'autres touchées par des éclats d'artillerie. Paeng et sa famille sont relogés dans des préfabriqués du gouvernement. « Le gouvernement dit qu'il reconstruira en moins de deux mois. C'est déjà bien qu'ils nous aident, ça redonne un peu de courage », salue Paeng. En regardant son terrain, désormais vide, il retient ses larmes : « Je suis triste… J'ai du mal à trouver les mots… Tout est allé si vite… Ici, c'est correct, mais ce n'est pas notre maison. On vit à plusieurs dans une même pièce : mon père malade, couché au lit, et une mère âgée à m'occuper. On vit dans du provisoire, avec des tuyaux raccordés à la va-vite. » Comme beaucoup, Paeng espère que la trêve va durer. Lors de leurs dernières réunions, la Thaïlande et le Cambodge ont dit tout faire pour, mais les relations entre les deux pays restent dégradées. À lire aussiThaïlande-Cambodge : après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
durée : 00:07:12 - Journal de 8 h - L'image d'une poignée de main entre Vladimir Poutine et Donald Trump. Voilà ce que l'on retient pour l'instant du sommet tant attendu sur l'Ukraine en Alaska. Car sur le fond, il n'y a eu aucune avancée concrète.
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durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Marie Dorcet - Alors que le cessez-le-feu entre le Cambodge et la Thaïlande devait être effectif à partir de minuit, heure locale, ce mardi, les habitants de part et d'autre de la frontière ne sont pas persuadés que les affrontements vont cesser.
Le Journal en français facile du lundi 28 juillet 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BsdO.A