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Drogue et VIH : Échanges stratégiques entre la NADC, le Bénin et le Togo by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:05:52 - La Revue de presse internationale - par : Caroline Félix - Au cri de "Nos enfants meurent, finis les zombies !", des milliers de personnes ont manifesté à Monrovia, la capitale du Liberia, pour demander des mesures contre la consommation de drogues en augmentation dans le pays.
"Bonjour, je m'appelle Marie et je suis débitrice anonyme". Une phrase qui claque, qui dérange, qui fait écho parce qu'on parle souvent d'addiction, mais rarement de celle-là. La dépendance a l'argent. Dépenser pour se remplir, pour exister jusqu'à frôler la chute libre. Dans ce nouvel épisode de Contre-addictions, on tend le micro à Marie X, une voix anonyme, mais une histoire universelle. Son salut: les Débiteurs Anonymes, un espace où on n'arrive pas par curiosité, mais quand on a tout essayé. un groupe ou on apprend à se réconcilier avec l'argent, sans honte ni culpabilité. Dépensier compulsif, accro au crédit, angoissé par l'argent... Et si on en parlait.Rendez-vous jeudi sur toutes les plateformes de podcast, Youtube et les réseaux sociaux de Rose et de Contre-addictions.Ce podcast est soutenu par la MILDECA, Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives
Le Maroc est le plus important producteur de cannabis au monde. Problème : une grande partie de cette filière échappe aujourd'hui à tout contrôle. En 2021, une loi a permis la légalisation de la production à des fins industrielles et médicales. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs... Un nouveau secteur se déploie autour du cannabis licite. Avec notre envoyé spécial dans les montagnes du Rif, À flanc de montagnes, dans le nord du Maroc, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. « La plante que vous voyez ici, elle va servir à fabriquer des médicaments. On ne va plus la vendre aux trafiquants. Elle sera vendue à une coopérative, de manière officielle, sous la supervision de l'État », se réjouit Najib, 38 ans. Il cultive du cannabis légal depuis 2022. « Tu sais ce que tu vas gagner désormais. C'est un travail officiel, sûr. Ce n'est pas comme avant. On avait affaire à des gens qu'on ne connaissait pas, explique-t-il. On était à leur merci, ils pouvaient nous voler la récolte, le fruit d'une année de travail, et à qui pouvait-on se plaindre ? » La filière légale profite d'un réel engouement. En 2024, plus de 3 000 autorisations ont été délivrées par l'Anrac aux agriculteurs marocains, contre seulement 430 l'année précédente. L'Anrac, pour Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis, est le garde-fou du secteur. « Les prix sont fixés par contrat au départ. Donc l'agriculteur sait très bien ce qu'il va toucher. Il y a des avantages économiques, des subventions, des aides, un accompagnement de l'État. Être un agriculteur avec des documents, avec une carte, avec la possibilité d'aller chez le médecin... Tout change ! L'agriculteur, il existe. Alors qu'avant, il n'existait pas », détaille Jaber El Hababi, cofondateur de la coopérative de transformation Biocannat. Selon le ministère de l'Intérieur, le cannabis illégal fait vivre 400 000 personnes au Maroc. Les cultivateurs sont loin d'être tous passés au légal : « Il y a ce qu'il y a depuis des décennies. On ne peut pas non plus venir et changer tout d'un seul coup. Cela ne changera jamais d'un seul coup. Il faut du temps. Ce qui est difficile dans ce secteur, c'est la logistique. Comment pénétrer un marché ? Comment arriver à un marché ? Mais le Maroc a un avantage indéniable, c'est le produit roi dans le monde. » Quatre ans après la légalisation de la culture du cannabis au Maroc, le secteur en est encore à ses débuts. Les autorités voient en lui la base d'un nouveau modèle de développement pour cette région marquée par un sentiment persistant de marginalisation. À lire aussiMaroc: des températures qui dépassent les 40 degrés, le pays frappé par une vague de chaleur
Chaque jour, retrouvez le journal de 6h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Aude, membre du Collectif Belsunce à Marseille. - Chaque matin, Sébastien Krebs reçoit un invité au cœur de l'actualité.
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BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Jérémy Brossard. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
C'est l'été votre ado fait peut-être ses premières sorties et donc ses premières expériences. Comment repérer si un usage devient problématique ? Qu'est-ce qui peut le/la protéger ? Et quels sont les signes qui doivent vous alerter ? Pour en parler, j'accueille Margaux Smadja, coordinatrice en prévention et promotion de la santé au Pôle inter établissement d'addictologie du CH Charles Perrens et du CHU de Bordeaux. Ressources : Compétences psychosociales : Tout savoir sur les compétences psychosociales en santéLes consultations jeunes consommateurs : Les Consultations jeunes consommateurs (CJC), une aide aux jeunes et à leur entourage - Drogues Info ServiceLe CRIPS : Parents - Ado - les conseils du CRIPS | Crips Île-de-FranceLa réduction des risque et des dommages liés à l'usage de substances psychoactives est une politique de santé publique (article L.3411-8 du code de la santé publique définissant la politique de réduction des risques) . Elle n'incite pas à la consommation. Elle a pour objectif d'aider les personnes à réduire les risques liés à leurs consommations pour éviter l'apparition de complications. Elle s'adresse à des personnes faisant usage ou ayant l'intention de faire usage du substance psychoactives, pour leur permettre de prendre soin de leur santé si elles décident de consommer : Alcool cannabis, comment parler de la réduction des risques ?
Dans cette édition :Un point de deal de drogue inquiétant observé par les habitants d'Amiens, avec des toxicomanes qui convergent régulièrement vers ce lieu, et la mairie qui a installé des grillages et barrières pour tenter d'éradiquer ce trafic.La préfète du Rhône Fabienne Buccio dénonce l'absence de coopération de l'Algérie pour l'éloignement des clandestins algériens, responsables selon elle d'une grande partie de la délinquance dans son département.Le Canada envisage de reconnaître un État palestinien, ce qui suscite l'opposition d'Israël et des États-Unis, et embarrasse le président français Emmanuel Macron qui assume un accord commercial déséquilibré avec Washington.Le nageur français Léon Marchand a pulvérisé le record du monde du 200 mètres 4 nages lors des Championnats du monde de natation à Singapour.Sur le Tour de France féminin, la Mauricienne Kim Le Court a récupéré le maillot jaune hier.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Une jeune femme palestinienne, bénéficiaire d'une bourse du ministère des Affaires étrangères pour étudier en France, est accusée d'apologie du terrorisme et d'antisémitisme, suscitant une polémique sur la diplomatie française.La consommation de cocaïne a fortement augmenté en France, entraînant une hausse des passages aux urgences et mettant en difficulté les services hospitaliers.Les forces de l'ordre font face à des violences lors d'interventions à Marseille, suscitant l'indignation et la remise en question de la sécurité dans certains quartiers.Le trophée de la Ligue des Champions du PSG est exposé au Parc des Princes, ravissant les supporters qui viennent l'admirer.Le nageur français Léon Marchand a battu le record du monde du 200 mètres 4 nages et disputera la finale mondiale de l'épreuve.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marie évoque sa détresse face aux addictions de son fils de 29 ans. Alors qu'il refuse de suivre un traitement, elle ne peut s'appuyer sur son ex-mari, lui-même addict à l'alcool. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La production de cocaïne continue de battre des records en Colombie, portée par l'extension rapide des cultures illicites de coca. En un an, elle a bondi de près de 34%, selon les derniers chiffres officiels. Dans le Putumayo, les plantations de coca sont omniprésentes. Il s'agit du premier département producteur de coca de Colombie, avec plus de 50 000 hectares consacrés à cette culture illicite, contrôlés par les groupes armés. Mais une petite baie amazonienne, l'açaï, suscite ici de nouveaux espoirs économiques et écologiques. De notre envoyée spéciale à Puerto Asis, Darío est venu chercher son dû à l'entreprise et ONG Amapuri - CorpoCampo qui achète ses fruits. À plus de 70 ans, ce paysan du Putumayo a été l'un des premiers à croire en l'açaï comme alternative à la coca. Pour lui, cela a tout changé. « Avant, je gagnais ma vie avec la coca. Puis j'ai réalisé que la coca était de toute façon un gros problème. Alors, on a commencé à planter de l'açaï. Cela bien marché pour nous : on n'a plus de problèmes avec personne. L'açaï est un produit qui rapporte de l'argent et apporte du bien-être. Avec cela, j'ai complètement arrêté la coca », raconte-t-il. Comme Darío, près de 1 400 familles du Putumayo se sont tournées vers ce « super aliment » avec l'aide de Corpocampo. Julio, par exemple, y voit un moyen de vivre dignement. « Je pense que l'açaï, c'est ma retraite. C'est l'espoir que les choses s'amélioreront à un moment. Car de l'açaï, on peut sortir beaucoup de produits dérivés, donc il n'y a pas de problème », explique-t-il. Depuis le début des années 2000, les programmes de substitution de la coca se succèdent dans le département, sans grand succès. Mais l'açaï pourrait offrir un avenir plus stable. C'est dans cet objectif qu'a été créé Amapuri - CorpoCampo, comme l'explique Yimy, l'un des fondateurs. « Malheureusement, depuis plus de 40 ans dans le Putumayo, toute une génération a été élevée avec la coca. Il y a des jeunes qui ne savent rien faire d'autre que de vivre de la coca, de la culture, de la transformation, parfois du transport. Cela conduit certains d'entre eux à s'impliquer dans des groupes armés, ce qui génère de la violence. Avec l'açaï, nous cherchons à changer cet esprit et à faire en sorte que les gens commencent à se rendre compte qu'il existe un modèle économique légal », détaille-t-il. Mais cette aubaine n'est pas sans risques : le boom annoncé de l'açaï pourrait bien, comme au Brésil, favoriser la monoculture et menacer la forêt. Ici, le pari est donc différent et repose sur l'agroforesterie, comme l'explique Mauricio, un technicien agronome venu cet après-midi, malgré les trombes d'eau, conseiller les paysans sur la santé de leurs palmiers. « L'idée est de rétablir la biodiversité perdue en Amazonie à la suite de l'abattage des forêts pour l'économie illicite. Dans le Putumayo, nous mettons en place des systèmes agroforestiers, dans lesquels le palmier d'açaï est associé à d'autres espèces, y compris des cultures natives de la région », affirme-t-il. Un enjeu de taille pour que, demain, les enfants du Putumayo puissent grandir loin de la coca et préserver un bout d'Amazonie. À lire aussiLes descendants d'esclaves africains, gardiens de la forêt amazonienne
La production de cocaïne continue de battre des records en Colombie, portée par l'extension rapide des cultures illicites de coca. En un an, elle a bondi de près de 34%, selon les derniers chiffres officiels. Dans le Putumayo, les plantations de coca sont omniprésentes. Il s'agit du premier département producteur de coca de Colombie, avec plus de 50 000 hectares consacrés à cette culture illicite, contrôlés par les groupes armés. Mais une petite baie amazonienne, l'açaï, suscite ici de nouveaux espoirs économiques et écologiques. De notre envoyée spéciale à Puerto Asis, Darío est venu chercher son dû à l'entreprise et ONG Amapuri - CorpoCampo qui achète ses fruits. À plus de 70 ans, ce paysan du Putumayo a été l'un des premiers à croire en l'açaï comme alternative à la coca. Pour lui, cela a tout changé. « Avant, je gagnais ma vie avec la coca. Puis j'ai réalisé que la coca était de toute façon un gros problème. Alors, on a commencé à planter de l'açaï. Cela bien marché pour nous : on n'a plus de problèmes avec personne. L'açaï est un produit qui rapporte de l'argent et apporte du bien-être. Avec cela, j'ai complètement arrêté la coca », raconte-t-il. Comme Darío, près de 1 400 familles du Putumayo se sont tournées vers ce « super aliment » avec l'aide de Corpocampo. Julio, par exemple, y voit un moyen de vivre dignement. « Je pense que l'açaï, c'est ma retraite. C'est l'espoir que les choses s'amélioreront à un moment. Car de l'açaï, on peut sortir beaucoup de produits dérivés, donc il n'y a pas de problème », explique-t-il. Depuis le début des années 2000, les programmes de substitution de la coca se succèdent dans le département, sans grand succès. Mais l'açaï pourrait offrir un avenir plus stable. C'est dans cet objectif qu'a été créé Amapuri - CorpoCampo, comme l'explique Yimy, l'un des fondateurs. « Malheureusement, depuis plus de 40 ans dans le Putumayo, toute une génération a été élevée avec la coca. Il y a des jeunes qui ne savent rien faire d'autre que de vivre de la coca, de la culture, de la transformation, parfois du transport. Cela conduit certains d'entre eux à s'impliquer dans des groupes armés, ce qui génère de la violence. Avec l'açaï, nous cherchons à changer cet esprit et à faire en sorte que les gens commencent à se rendre compte qu'il existe un modèle économique légal », détaille-t-il. Mais cette aubaine n'est pas sans risques : le boom annoncé de l'açaï pourrait bien, comme au Brésil, favoriser la monoculture et menacer la forêt. Ici, le pari est donc différent et repose sur l'agroforesterie, comme l'explique Mauricio, un technicien agronome venu cet après-midi, malgré les trombes d'eau, conseiller les paysans sur la santé de leurs palmiers. « L'idée est de rétablir la biodiversité perdue en Amazonie à la suite de l'abattage des forêts pour l'économie illicite. Dans le Putumayo, nous mettons en place des systèmes agroforestiers, dans lesquels le palmier d'açaï est associé à d'autres espèces, y compris des cultures natives de la région », affirme-t-il. Un enjeu de taille pour que, demain, les enfants du Putumayo puissent grandir loin de la coca et préserver un bout d'Amazonie. À lire aussiLes descendants d'esclaves africains, gardiens de la forêt amazonienne
durée : 00:36:01 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Par Roger Pillaudin - Avec Gérard Borg - Lectures de "Le voyage à la drogue" (Gérard Borg) par Didier Kaminka - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:34:56 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Par Roger Pillaudin - Avec Gérard Borg - Lectures de "Le voyage à la drogue" (Gérard Borg) par Didier Kaminka - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - Face aux violences liées au narcotrafic à Marseille, le député RN des Bouches du Rhône, Franck Allisio, estime que la solution serait de mettre en place l'état d'urgence "dans toute ou partie de la ville". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins, à 6h45, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Berengère Bocquillon.
Dans cette édition :Retour au calme dans le quartier de Val-de-l'Aurence à Limoges après le déploiement de la brigade CRS 82 pour faire face aux violences des nuits précédentes.Guet-apens organisé par une cinquantaine de personnes contre des policiers à Béziers, en réaction à des interpellations et saisies de drogue dans le quartier de la Devèze.Début des opérations de transfert des narcotrafiquants les plus dangereux vers la prison de haute sécurité de Vendin le Vieil, sécurisée pour empêcher toute communication avec l'extérieur.Violences communautaires dans la province de Soueïda en Syrie, faisant 1000 morts et 130 000 déplacés en une semaine.Naufrage d'un bateau de tourisme dans la Baie d'Halong au Vietnam, faisant au moins 38 morts.Difficultés financières du groupe Gifi, enseigne de déco et cadeaux, qui prévoit de supprimer 300 postes, dont plus de la moitié à Villeneuve-sur-Lotte.Victoires de Tim Wellens sur le Tour de France et de Loïs Boisson au tournoi d'Hambourg.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Retour au calme dans le quartier de Val-de-l'Aurence à Limoges après le déploiement de la brigade CRS 82 pour faire face aux violences des nuits précédentes.Guet-apens organisé par une cinquantaine de personnes contre des policiers à Béziers, en réaction à des interpellations et saisies de drogue dans le quartier de la Devèze.Début des opérations de transfert des narcotrafiquants les plus dangereux vers la prison de haute sécurité de Vendin le Vieil, sécurisée pour empêcher toute communication avec l'extérieur.Violences communautaires dans la province de Soueïda en Syrie, faisant 1000 morts et 130 000 déplacés en une semaine.Naufrage d'un bateau de tourisme dans la Baie d'Halong au Vietnam, faisant au moins 38 morts.Difficultés financières du groupe Gifi, enseigne de déco et cadeaux, qui prévoit de supprimer 300 postes, dont plus de la moitié à Villeneuve-sur-Lotte.Victoires de Tim Wellens sur le Tour de France et de Loïs Boisson au tournoi d'Hambourg.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Guyane, près d'un habitant sur deux vit sous le seuil de pauvreté. Orpaillage illégal, crise migratoire, violences : les défis sont nombreux dans ce territoire oublié. Située au nord-est de l'Amérique du Sud, coincée entre le Suriname et le Brésil, la Guyane est une collectivité territoriale unique française. Ancienne colonie, située à 7 000 km de la France, c'est aussi une terre de migrations où se croisent Créoles, Français métropolitains, Brésiliens, Surinamiens, Amérindiens, Haïtiens, Caraïbéens, Laotiens... Un brassage linguistique et ethnique qui contribue à la richesse culturelle, mais des tensions interethniques. À cela s'ajoutent des relations compliquées avec métropole, la précarité économique et des violences liées notamment au trafic de drogue et à l'orpaillage illégal. En Guyane, plus de la moitié de la population vit en effet sous le seuil de pauvreté et près de 30% vit dans la très grande pauvreté. Le niveau de violences, de vols à main armée et d'homicides a atteint un niveau hors norme en 2024, selon le préfet de police Antoine Poussier. Comment la mosaïque des communautés guyanaises fait face à cette situation complexe ? Comment les habitants s'organisent entre précarité, violence et deuil ? Avec : • Maxime Jean-Baptiste, réalisateur du documentaire Kouté Kwa, sortie le 16 juillet 2025 • Isabelle Hidair-Krivsky, anthropologue sociale et ethnologue. Professeure à l'Université de Guyane, actuellement mise à disposition à la Préfecture de Guyane en qualité de Directrice Régionale aux Droits des Femmes. Programmation musicale : ►The Moon Above - Waldeck feat. Patrizia Ferrara ► Ay Sasé - T2i.
En Guyane, près d'un habitant sur deux vit sous le seuil de pauvreté. Orpaillage illégal, crise migratoire, violences : les défis sont nombreux dans ce territoire oublié. Située au nord-est de l'Amérique du Sud, coincée entre le Suriname et le Brésil, la Guyane est une collectivité territoriale unique française. Ancienne colonie, située à 7 000 km de la France, c'est aussi une terre de migrations où se croisent Créoles, Français métropolitains, Brésiliens, Surinamiens, Amérindiens, Haïtiens, Caraïbéens, Laotiens... Un brassage linguistique et ethnique qui contribue à la richesse culturelle, mais des tensions interethniques. À cela s'ajoutent des relations compliquées avec métropole, la précarité économique et des violences liées notamment au trafic de drogue et à l'orpaillage illégal. En Guyane, plus de la moitié de la population vit en effet sous le seuil de pauvreté et près de 30% vit dans la très grande pauvreté. Le niveau de violences, de vols à main armée et d'homicides a atteint un niveau hors norme en 2024, selon le préfet de police Antoine Poussier. Comment la mosaïque des communautés guyanaises fait face à cette situation complexe ? Comment les habitants s'organisent entre précarité, violence et deuil ? Avec : • Maxime Jean-Baptiste, réalisateur du documentaire Kouté Kwa, sortie le 16 juillet 2025 • Isabelle Hidair-Krivsky, anthropologue sociale et ethnologue. Professeure à l'Université de Guyane, actuellement mise à disposition à la Préfecture de Guyane en qualité de Directrice Régionale aux Droits des Femmes. Programmation musicale : ►The Moon Above - Waldeck feat. Patrizia Ferrara ► Ay Sasé - T2i.
Merci à Thierry Ardisson d'être venu faire un point sur ses 40 ans de carrière à la télévision !Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/KxMtfUFTdXcPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plus d'une tonne de cocaïne, répartie dans 49 sacs, a été trouvée ce dimanche, par des agents de la police nationale. C'est l'une des saisies les plus importantes de ces 30 dernières années, précise le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Haïti est une plaque tournante du trafic de drogue dans la région, complète Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Cette situation est due à l'expansion des gangs armés, mais pas seulement. Un réseau international «structuré composé d'anciens militaires, de membres de la police, de parlementaires et de chefs d'entreprises, actif en Haïti et aux États-Unis, s'est formé, depuis les années 1980», explique Gotson Pierre. Ces trafiquants utilisent notamment le commerce de l'anguille pour blanchir leurs revenus. «Les multiples saisies de drogue sur les côtes nord et sud d'Haïti montrent que c'est une organisation bien rodée», ajoute le journaliste d'Alterpresse. Le Premier ministre haïtien est aux États-Unis La situation en Haïti est au cœur du voyage d'Alix Didier Fils-Aimé aux États-Unis. Le Premier ministre, qui n'a rencontré aucun responsable américain de premier plan, sera de retour le 17 juillet. Les États-Unis tirent la sonnette d'alarme. Ils estiment que la crise sécuritaire haïtienne constitue une menace directe pour la sécurité régionale et nationale du pays. Ce déplacement suscite, par ailleurs, des tensions internes. L'agenda d'Alix Didier Fils-Aimé n'a pas été communiqué à tous les membres du gouvernement, précise Gotson Pierre. À trois semaines de la fin de la présidence de Fritz Alphonse Jean, «échéance hautement symbolique dans le calendrier de la transition» selon le directeur d'Alterpresse, le CPT est à nouveau dans la tourmente. Donald Trump peut poursuivre le démantèlement du ministère de l'Éducation La Cour suprême a validé les licenciements ordonnés par le président américain et comme il s'agit d'une procédure d'urgence, elle n'a pas motivé sa décision, précise le Washington Post. On ne sait pas non plus qui a voté pour ou contre. Mais les trois juges progressistes de la Cour (sur un total de 9) ont fait savoir leur opposition, raconte le journal. Dans un communiqué, ils ont dénoncé une «décision indéfendable». «Quand le pouvoir exécutif annonce son intention de violer la loi, puis met cette promesse à exécution, le devoir du pouvoir judiciaire est de faire barrage à cette illégalité, pas de la faciliter», peut-on lire. Ces trois juges estiment que la Cour suprême a accru les prérogatives du président. Comme le rapporte le New York Times, selon eux, seul le Congrès, qui a créé ce ministère il y a environ un demi-siècle, a le pouvoir de le supprimer. La décision de Donald Trump n'a jamais été soumise à l'approbation des parlementaires, précise le quotidien. Le pouvoir de l'exécutif se trouve ainsi renforcé, et le ministère de l'Éducation est lui affaibli, juge le New York Times. Comme le raconte le quotidien, en marge de cette bataille judiciaire, des employés ont déjà été renvoyés : ceux qui avaient un contrat précaire. L'administration a également offert à certains de partir en retraite anticipée. Enfin, en mars, Donald Trump a ordonné des licenciements massifs et bien que la justice ait suspendu cette décision, très peu de fonctionnaires ont été réintégrés. Résultat, le ministère de l'Éducation qui comptait 4.000 employés au début de l'année, ne fonctionne aujourd'hui qu'avec la moitié de ces effectifs, explique le New York Times. À quoi sert le ministère de l'Éducation américain ? Si l'éducation est surtout gérée par les autorités locales aux États-Unis, le ministère de l'Éducation joue quand même un rôle important dans certains domaines. «Il est responsable de la gestion du programme fédéral de prêts aux étudiants qui s'élève à 1,6 milliard de dollars, des subventions aux écoles primaires et secondaires, des tests de réussite et des réglementations sur les droits civiques dans les écoles», détaille le Washington Post. Autant de missions que le ministère n'a plus vraiment les moyens d'accomplir, juge le New York Times pour qui «ces efforts pour abolir ce ministère font partie d'un agenda plus large des conservateurs qui veulent que plus d'argent aille aux écoles privées et à l'enseignement à la maison.» La grande loi budgétaire voulue par Donald Trump et approuvée récemment prévoit d'ailleurs d'importants crédits d'impôt pour l'enseignement privé, souligne le quotidien. Le ministère de l'Éducation continue de jouer un rôle en ce qui concerne les droits civiques. Là encore, Donald Trump s'en sert pour son agenda politique, raconte le New York Times. Le président l'utilise pour obliger les établissements scolaires à faire machine arrière en matière de lutte contre les discriminations. Finies par exemple, les équipes de sport composées d'étudiants transgenres ou les toilettes ouvertes à tous les élèves. En revanche, pour ce qui est de l'accès à l'école des enfants handicapés, cela n'intéresse pas Donald Trump, pointe le quotidien qui relève qu'il s'agit pourtant d'un droit civique. Le Mexique voit rouge au sujet des tomates Les droits de douane de 17% sur les tomates importées de ce pays, décidés hier par Donald Trump, provoque des remous. «Aucun pays ne peut nous remplacer», mettent en garde les producteurs mexicains de tomates, dans les colonnes du quotidien argentin Infobae. 90% des tomates mangées aux États-Unis, viennent du Mexique, précise El Financiero. Un fruit difficile à transporter car il contient beaucoup d'eau, précise un expert au journal Milenio. Les États-Unis ne peuvent donc pas se passer du Mexique, se rassurent les fermiers mexicains, indique Infobae. Ils rappellent qu'en 2019, les États-Unis avaient déjà suspendu l'accord de libre-échange qui lie les deux voisins, avant de faire marche arrière 4 mois plus tard. «La raison va prévaloir» cette fois, encore estiment-ils. L'Argentine déclassifie des archives nazies Le président Javier Milei a décidé de rendre public des archives liées à l'accueil de nazis après la Seconde Guerre mondiale. Alors que l'Europe peinait à se relever, l'Argentine, elle, était en plein boom économique. Pour soutenir cette croissance, le président Juan Perón a fait venir des milliers d'Européens. Les conditions d'accueil étaient généreuses, et les contrôles d'identité quasiment inexistants. Environ 12.000 nazis ont ainsi trouvé refuge en Argentine sous la présidence de Perón. «Ils menaient une vie discrète, sous un faux nom, parce qu'ils savaient qu'ils étaient recherchés», raconte l'historien Julio Mutti interrogé par Achim Lippold. «Plus tard, un décret d'amnistie du gouvernement péroniste leur a permis de reprendre leur vrai nom sans trop d'explications. Ils n'avaient pas de rôle social notable. Leur impact sur la société argentine de l'époque était très limité.» Il faut attendre le retour de la démocratie pour que la vérité émerge et que les archives soient déclassifiées sur décision du président Carlos Menem, en 1992. Grâce à ces documents, «nous savons désormais clairement qui est venu, où ils ont vécu, comment ils sont arrivés, sous quel nom, comment ils se sont cachés — tout cela est connu et a déjà été publié. Ce qui, en revanche, reste obscur, c'est l'origine des ressources financières ayant permis leur fuite. Pour une opération de cette ampleur, il a fallu de l'argent. Ce n'était ni simple, ni bon marché», explique Ariel Gelblung, directeur du Centre Simon Wiesenthal à Buenos Aires. Pour approfondir les recherches sur ces financements, le Centre Wiesenthal s'est tourné directement vers Javier Milei, en février 2025. Le président a accepté de leur faciliter l'accès à toutes les archives et «depuis, chaque fois que nous avons une requête, les services nous transmettent les documents. Il y a une directive en ce sens», poursuit Ariel Gelblung. Le gouvernement argentin a également commencé à mettre les documents en ligne. Mais les experts ne s'attendent pas à faire des découvertes majeures. Comme l'explique Julio Mutti, «90% de ce qu'il y avait à découvrir l'a déjà été (...) Le seul élément vraiment nouveau, ce sont des procès-verbaux de l'entreprise publique « Fabricaciones Militares ». Il y avait un projet de faire venir des techniciens étrangers, qui a bien eu lieu. On estime qu'environ 300 techniciens sont venus, dont des Polonais et d'autres pays qui étaient en guerre avec l'Allemagne nazie. Mais il y avait aussi des Allemands. Le problème, c'est qu'on ne sait pas encore si certains d'entre eux étaient des criminels de guerre ou des membres du parti nazi.» Selon le directeur du Centre Wiesenthal, Ariel Gelblung, les résultats des recherches menées par son équipe seront publiés au printemps 2026, le temps d'examiner tous les nouveaux documents disponibles, soit environ 38 kilomètres d'archives. Le journal de la 1ère En Martinique, la gendarmerie reçoit des renforts.
Vous aimez Home(icide) le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Les Fabuleux Destins le podcast qui vous plonge dans les histoires de crime marquant des familles. Nous allons vous raconter l'histoire de Maximilian Schmidt, alias Shiny Flakes, l'adolescent devenu millionnaire avec le plus gros site de vente de drogues en Allemagne. Une affaire qui commence par la naissance assez hasardeuse de cet Amazon pour stupéfiants. Entre pilules colorées, boîtes aux lettres et cryptomonnaies, découvrez son incroyable destin. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Théo Sire Production : Bababam (montage Gilles Bawulak) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans le 11e arrondissement de Marseille, les habitants de la résidence Belle-Ombre ont pris l'initiative de repousser les trafiquants de drogue qui s'étaient installés au pied de leurs immeubles. Un reportage de Joanna Chabas. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Serge menait une vie tranquille avec sa femme à Bruxelles lorsque, du jour au lendemain, il a vu la police frapper à sa porte... Il s'est alors retrouvé malgré lui embarqué au cœur d'une enquête de trafic de drogue... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Au sommaire de "Héros" : . Thibault, séparé de son demi-frère alors qu'ils étaient enfants, va entreprendre des recherches pendant des années afin d'essayer de le retrouver. . Serge, du jour au lendemain, s'est retrouvé au cœur d'une enquête pour trafic de drogue.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cannabis, cocaïne, héroïne, tramadol, opioïdes... S'il existe des produits de substitution efficaces, certaines drogues sont à l'inverse difficilement substituables, dans le cadre d'une prise en charge pour restreindre consommation et dépendance. Comment la substance prise va-t-elle déterminer la prise en charge ? Est-ce que certaines substances sont plus addictogènes que d'autres ? Peut-on déterminer un lien entre le profil du patient et la substance pour laquelle il va développer une addiction ? Dr Nicolas Bonnet, pharmacien spécialisé en Santé publique et addictologie. Directeur du Réseau des établissements de santé pour la prévention des addictions RESPADD. Responsable de la consultation jeunes consommateurs du service de Psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'Hôpital Pitié Salpêtrière, à Paris Pr Samuel Traore, addictologue. Maître de conférences agrégé de Psychiatrie d'adultes. Chef du service d'Addictologie et d'Hygiène mentale de l'Institut National de Santé Publique à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Président de la société de Psychiatrie de Côte d'Ivoire. Un reportage de Raphaëlle Constant au sein d'un groupe de parole de personnes dépendantes. Un reportage de Tangi Bihan, correspondant RFI à Conakry, sur la drogue, et l'accompagnement des usagers de Kush en Guinée. Programmation musicale : ► Karol G – Tus gafitas ► Dystinct, French Montana – Ya baba.
Cannabis, cocaïne, héroïne, tramadol, opioïdes... S'il existe des produits de substitution efficaces, certaines drogues sont à l'inverse difficilement substituables, dans le cadre d'une prise en charge pour restreindre consommation et dépendance. Comment la substance prise va-t-elle déterminer la prise en charge ? Est-ce que certaines substances sont plus addictogènes que d'autres ? Peut-on déterminer un lien entre le profil du patient et la substance pour laquelle il va développer une addiction ? Dr Nicolas Bonnet, pharmacien spécialisé en Santé publique et addictologie. Directeur du Réseau des établissements de santé pour la prévention des addictions RESPADD. Responsable de la consultation jeunes consommateurs du service de Psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'Hôpital Pitié Salpêtrière, à Paris Pr Samuel Traore, addictologue. Maître de conférences agrégé de Psychiatrie d'adultes. Chef du service d'Addictologie et d'Hygiène mentale de l'Institut National de Santé Publique à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Président de la société de Psychiatrie de Côte d'Ivoire. Un reportage de Raphaëlle Constant au sein d'un groupe de parole de personnes dépendantes. Un reportage de Tangi Bihan, correspondant RFI à Conakry, sur la drogue, et l'accompagnement des usagers de Kush en Guinée. Programmation musicale : ► Karol G – Tus gafitas ► Dystinct, French Montana – Ya baba.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous parlons drogue comme hier en début d'émission. La drogue entraine de nombreuses violences au sein même des trafics mais également au coeur des populations qui ne sont pas du tout concernées. Elle déstabilise les institutions et le commerce de par la corruption, elle tue par overdose, elle fait plonger les usagers dans une sorte de trouble physique et psychique. Nous nous arrêtons avec Edward Maille, un de nos correspondants aux États-Unis sur les drames qu'ont entrainés le Fentanyl et ses contrefaçons. Le Fentanyl est un médicament, un anti-douleur surpuissant, 100 fois plus puissant que la morphine. Lui et ses acolytes opioïdes, synthétiques sont allés jusqu'à tuer par overdose 74 000 personnes en 2022, mais 2 ans plus tard, le chiffre a chuté de plus d'1/3. Edward Maille, de Géorgie en Virginie, de Kentucky en Ohio nous explique pourquoi. En deuxième partie : statues mythiques et plastiques océaniques, nous serons sur l'île de Pâques avec Naïla Derroisné. Épidémie de fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied 26 juin, c'est la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Nous partons à cette occasion aux États-Unis. Cinquante fois plus puissante que l'héroïne… 100 fois plus que la morphine… l'équivalent de quelques grains de sel peuvent tuer. Le Fentanyl et ses contrefaçons ont envahi le pays depuis plus d'une décennie, provoquant une crise de santé majeure. Le Fentanyl est un analgésique, un anti-douleur surpuissant : les overdoses ont tué près de 3 000 personnes en 2013 : 74 000 en 2022 mais depuis, la courbe s'est inversée en 2024 : moins 30% de décès liés aux opioïdes synthétiques. Pour comprendre, nous partons en Géorgie, Virginie, Kentucky et Ohio. Un Grand Reportage d'Edward Maille qui s'entretient avec Jacques Allix. À l'île de Pâques, des statues mythiques aux tourbillons de déchets plastiques Perdue au milieu de l'océan Pacifique, l'île de Pâques, aussi appelée Rapa Nui, est aujourd'hui assaillie par le plastique : des résidus de bidons, des bouées, des cordes, des bouchons en plastique, mais surtout des millions de microparticules de plastique fragmentées par le brassage en mer. Situé en plein dans le gyre du Pacifique Sud, un puissant courant tourbillonnant, ce petit territoire chilien voit s'échouer sur ses côtes 500 déchets par heure. Ils viennent du continent, mais aussi des bateaux qui pêchent en grandes quantités dans la zone. Également connue pour ses moai, Rapa Nui accueille chaque année des milliers de touristes qui génèrent eux aussi des tonnes de déchets. Un Grand reportage de Naïla Derroisné qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, cap sur l'Afrique pour parler de cette drogue qui a fait et fait toujours des ravages, le kush. Pas de grands classiques de la drogue comme l'héroïne ou la cocaïne, mais un de ces mélanges détonants issus d'une cuisine improbable et aléatoire faite d'éléments chimiques avec l'utilisation de feuilles de guimauve, cannabinoïdes de synthèse et nitazènes, des opioïdes jusqu'à 20 fois plus forts que le fentanyl. Plus d'un pays est concerné en Afrique de l'Ouest, Liza Fabbian s'est rendue en Sierra Leone, épicentre du fléau... En deuxième partie, nous serons en ligne avec Sarah Cozzolino pour parler Brésil où les femmes déjouent par l'artisanat la pauvreté de leur région du nord de l'État du Minas Gérais. La Sierra Leone sous l'emprise du Kush Un nouveau Grand Reportage dans le cadre de notre semaine Drogue sur RFI... C'est un cocktail toxique, hautement addictif et parfois mortel : il s'agit du kush, une drogue de synthèse surpuissante qui fait actuellement des ravages en Afrique de l'Ouest. Un récent rapport de l'Initiative Globale contre le Crime Organisé a permis de dévoiler la composition du kush. Il contient soit des cannabinoïdes de synthèse – soit des nitazènes : des opioïdes jusqu'à vingt-cinq fois plus fort que le Fentanyl ! Liza Fabbian s'est rendue en Sierra Leone, épicentre de ce fléau qui contamine toute la société - et contre lequel le président est allé jusqu'à déclarer l'état d'urgence sanitaire. Un Grand reportage de Liza Fabbian qui s'entretient avec Jacques Allix. Brésil: l'artisanat, planche de salut, pour les femmes de la vallée du Jequitinhonha Elle est surnommée la Vallée de la misère. Au Brésil, dans le nord de l'État du Minas Gérais, la vallée du Jequitinhonha s'étend sur 50 000 km2, le long du fleuve du même nom. Elle est connue pour son climat aride et ses populations rurales, la pauvreté pousse une partie des habitants à émigrer. Mais c'est sans compter l'incroyable richesse de l'artisanat de la région, réalisé par ses femmes. Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Jacques Allix.
Vous aimez Home(icides), le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir La Traque le podcast qui vous plonge dans les crimes familiaux les plus terribles. Plongez dans la traque de l'une des plus grandes trafiquantes de drogue de l'histoire, surnommée “la veuve noire”, elle est longtemps restée l'une des personnes les plus craintes de Colombie. Prostitution, homicides multiples, trafic de cocaïne à grande échelle, Griselda Blanco ne se fait pas appeler la reine de la cocaïne pour rien. Pourchassée une grande partie de sa vie par la police fédérale américaine, elle passera de nombreuses années en prison. Ce ne seront pourtant pas les forces de l'ordre qui auront raison d'elle… Crédits : Production : Bababam Textes : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage : Guillaume Cabaret En partenariat avec Upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
26 juin, c'est la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Nous partons à cette occasion aux États-Unis. Cinquante fois plus puissante que l'héroïne… 100 fois plus que la morphine… l'équivalent de quelques grains de sel peuvent tuer. Le Fentanyl et ses contrefaçons ont envahi le pays depuis plus d'une décennie, provoquant une crise de santé majeure. Le Fentanyl est un analgésique, un anti-douleur surpuissant : les overdoses ont tué près de 3 000 personnes en 2013 : 74 000 en 2022 mais depuis, la courbe s'est inversée en 2024 : moins 30% de décès liés aux opioïdes synthétiques. Pour comprendre, nous partons en Géorgie, Virginie, Kentucky et Ohio. «Épidémie de Fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied», un Grand reportage d'Edward Maille.
Des saisies records, des homicides et des arrestations qui se multiplient, des acteurs de plus en plus jeunes... Le trafic de drogue a pris une autre dimension depuis quelques années. La France aurait atteint «un point de bascule», selon les mots de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur. Avec un chiffre d'affaires estimé entre 3,5 et 6 milliards d'euros et plus de 200 000 personnes qui en vivent directement ou indirectement, les indicateurs montrent, en effet, une évolution à la hausse de l'économie de la drogue. Une situation qui touche particulièrement certains quartiers déjà marqués par la précarité et la pauvreté. Le quotidien des habitants de ces banlieues est en effet largement affecté par le trafic, dont certains en ont fait un gagne-pain quand d'autres en subissent simplement la violence. Et si des milliards transitent dans les cités, peu en voient réellement la couleur. L'économie de la drogue ne propose en effet ni emploi stable, ni rémunération élevée aux petites mains sur le terrain. Entre précarité économique, fragilités sociales, violences, reconversions difficiles dans l'économie légale, peut-on sortir les banlieues françaises du trafic de drogue ? Comment expliquer l'impuissance des pouvoirs publics - acteurs sociaux, policiers et juges ? Émission à l'occasion de la Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Avec : • Nacer Lalam, économiste, spécialiste de l'économie de la drogue • Eric Miguet et Jean-Guillaume Bayard, journalistes au quotidien La Provence, journaliste au quotidien La Provence. Co-auteurs du podcast Cartel Nord qui interroge l'ampleur et l'impact du trafic de drogue dans les quartiers nord de Marseille. L'adaptation en livre du podcast et la sortie de la saison 5 sont prévues à la fin de l'année 2025. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin : Le blogueur Rob Alarcon explique le fonctionnement mystérieux de notre mémoire Le blogueur Louis-César Bancé partage son avis tranché sur une affaire de broutage. Programmation musicale : ► Marche Nocturne – Lonepsi ► Pay - Theodora feat. Guy2Bezbar.
Marché de la cocaïne en hausse, et une violence du crime organisé qui s'étend désormais à l'Europe. Le dernier rapport de l'ONU sur les drogues tire la sonnette d'alarme. Dans le nord de la Belgique, une des portes d'arrivée de la drogue est le port d'Anvers... Dans la valse des 12 millions de containers qui arrivent chaque année sur ses 5 terminaux, les trafiquants essaient de déjouer la sécurité... par la corruption auprès des dockers, par des petites mains qui viennent récupérer la drogue, et qu'on appelle les extracteurs, ou encore en plaçant des hommes de main à l'intérieur même des containers... Reportage sur un port qui lutte à armes inégales contre les trafiquants signé Jean-Jacques Hery. Une extradition dans le gang des Kinahan Et si l'on parle des gros bonnets européens à la tête du trafic, beaucoup d'entre eux ont trouvé refuge dans les Émirats Arabes Unis. C'est le cas du gang irlandais des Kinahan... Mais retournement de situation, pour la première fois, un des membres les plus influents du gang vient d'être extradé de la péninsule arabique vers l'Irlande. Une avancée majeure sur la voie du démantèlement de leur trafic, Clémence Penard. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On a beaucoup parlé défense cette semaine avec le sommet de l'Otan à La Haye et on va faire un premier bilan. Comme le souhaitaient les États-Unis presque tous les membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer 3,5% de leur PIB aux dépenses militaires et 1,5% aux dépenses de sécurité... Bref, même s'il a fallu prendre beaucoup de pincettes avec Donald Trump pour éviter le clash, c'est un succès, disent de nombreux éditorialistes. Bras de fer politique autour de la gay pride de Budapest Le début de l'été et les gay prides.... qui peuvent prendre un tour très politique. C'est le cas en Hongrie. Une nouvelle loi interdit l'exposition des mineurs aux contenus sur l'homosexualité et les changements de genre. De quoi justifier, selon le Premier ministre, l'interdiction d'une grande parade. Mais, le maire de Budapest maintient la marche des fiertés pour samedi... Reportage signé Florence Labruyère.
L'un des plus dangereux criminels d'Équateur, le narcotrafiquant «Fito», recherché dans son pays et également réclamé par les États-Unis, a été arrêté mercredi après un an et demi de cavale, a annoncé le président Daniel Noboa, en guerre ouverte contre les groupes mafieux. 17 mois après son évasion qui avait lancé un cycle de violence en Équateur, l'ennemi public numéro 1 en Équateur a été capturé mercredi par les forces de l'ordre. José Adolfo Macías alias «Fito» est tombé dans la ville de Manta, dans la province de Manabi où a été créé le Groupe Armé Organisé des «Choneros» qu'il dirigeait depuis la clandestinité. Ce groupe, l'un des deux plus importants et dangereux du pays travaillait avec le cartel mexicain de Sinaloa et avait fait de l'Équateur le premier exportateur mondial de cocaïne. Plus de détails avec notre correspondant en Équateur Eric Samson. Hasard du calendrier, cette arrestation survient au moment où les Nations unies publient leur rapport sur le trafic et la consommation de drogue. Le constat est clair : partout dans le monde, on consomme plus qu'avant. L'une des autres crises majeures est celle des opioïdes aux États-Unis. Ces médicaments anti-douleur, dont le surpuissant Fentanyl 50 fois plus puissant que l'héroïne. En 2013, les overdoses ont tué près de 3 000 personnes, 74 000 en 2022. Aujourd'hui, la tendance s'inverse de nouveau. Notre correspondant Edward Maille a tenté de comprendre pourquoi. Vous pouvez également retrouver son Grand reportage à partir de 22h05 ce jeudi 26 juin 2025. Les États-Unis accusent trois banques mexicaines de blanchiment d'argent La lutte contre le Fentanyl, Donald Trump en a fait l'une de ses priorités. Il accuse les autorités mexicaines de ne pas en faire assez. Dans ce contexte, l'administration américaine a mis en place hier des sanctions sur trois banques mexicaines accusées de blanchiment d'argent. C'est un coup sans précédent porté au système financier mexicain, affirme el Pais. Selon le Réseau de lutte contre la criminalité financière du Trésor américain, les banques CIBanco, Intercam et Vector Casa de Bolsa blanchissent de l'argent pour plusieurs cartels mexicains. Elles «contribuent ainsi à l'empoisonnement d'innombrables Américains en transférant de l'argent pour le compte des cartels», a affirmé le secrétaire au Trésor Scott Bessent. Selon l'administration américaine, elle permettrait notamment l'approvisionnement des cartels en Chine pour la production du Fentanyl. Les trois banques ont nié les accusations et demandé des preuves. Les sanctions actuelles les interdisent d'opérer au sein du système financier américain, ce qui limite grandement leur accès aux marchés financiers internationaux et s'accompagnent d'un gel de leurs avoirs aux États-Unis. Derrière les technicités économiques, l'éditorialiste d'El Universal Mario Maldonado, voit en effet une décision stratégique à l'égard des autorités mexicaines. « En plus d'exposer l'incapacité ou la complicité des fonctionnaires mexicains chargés de surveiller les ressources d'origine illicite, le Département du trésor américain pointe l'implication d'anciens fonctionnaires et conseillers du gouvernement dans des opérations criminelles », écrit-il. Parmi les trois établissements financiers, Vector est détenu par Alfonso Romo, très proche de l'ancien président Andres Manuel Lopez Obrador. Il était chef de son cabinet au début de son mandat et principal interlocuteur de l'exécutif auprès du monde des affaires, note El Universal. CIBanco de son côté est l'un des principaux opérateurs de change pour les agences gouvernementales mexicaines et Intercam est également en lien direct avec d'autres institutions financières proches du parti au pouvoir. Parallèlement, la procureure générale des États-Unis a annoncé devant le Sénat placer le Mexique sur la liste noire de pays adversaires étrangers. Bref, les relations entre les États-Unis et le Mexique se détériorent, conclut el Universal. Pérou : la stérilisation forcée Pérou sous la présidence d'Alberto Fujimori Nous partons également au Pérou. Le pays tente de se confronter aux moments sombres de son histoire notamment la stérilisation forcée des femmes issues des minorités les plus pauvres. Elles ont été nombreuses à subir ces pratiques pendant la présidence d'Alberto Fujimori dans les années 90. La Cour interaméricaine des droits de l'homme étudie plusieurs cas en ce moment, et les victimes espèrent que l'État sera condamné. Martin Chabal est allé à leur rencontre. À lire aussiLe Pérou jugé pour sa politique de stérilisations forcées dans les années 90 Haïti : Le Nouvelliste « La centrale hydroélectrique de Péligre est-elle victime des divisions politiques ? » Comme tous les jeudis, nous échangeons avec notre confrère Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste. La une du site s'intéresse à la nouvelle fermeture forcée de la centrale hydraulique de Péligre. C'est la deuxième en un mois. Cela pourrait être lié aux dissensions internes au sein de l'exécutif, des divergences entre le président du Conseil présidentiel de transition et le ministre de la Défense, concernant un certain nombre de contrats. À écouter aussiHaïti: quand les coupures de courant nourrissent le sentiment d'abandon et l'insécurité
Des saisies records, des homicides et des arrestations qui se multiplient, des acteurs de plus en plus jeunes... Le trafic de drogue a pris une autre dimension depuis quelques années. La France aurait atteint «un point de bascule», selon les mots de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur. Avec un chiffre d'affaires estimé entre 3,5 et 6 milliards d'euros et plus de 200 000 personnes qui en vivent directement ou indirectement, les indicateurs montrent, en effet, une évolution à la hausse de l'économie de la drogue. Une situation qui touche particulièrement certains quartiers déjà marqués par la précarité et la pauvreté. Le quotidien des habitants de ces banlieues est en effet largement affecté par le trafic, dont certains en ont fait un gagne-pain quand d'autres en subissent simplement la violence. Et si des milliards transitent dans les cités, peu en voient réellement la couleur. L'économie de la drogue ne propose en effet ni emploi stable, ni rémunération élevée aux petites mains sur le terrain. Entre précarité économique, fragilités sociales, violences, reconversions difficiles dans l'économie légale, peut-on sortir les banlieues françaises du trafic de drogue ? Comment expliquer l'impuissance des pouvoirs publics - acteurs sociaux, policiers et juges ? Émission à l'occasion de la Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Avec : • Nacer Lalam, économiste, spécialiste de l'économie de la drogue • Eric Miguet et Jean-Guillaume Bayard, journalistes au quotidien La Provence, journaliste au quotidien La Provence. Co-auteurs du podcast Cartel Nord qui interroge l'ampleur et l'impact du trafic de drogue dans les quartiers nord de Marseille. L'adaptation en livre du podcast et la sortie de la saison 5 sont prévues à la fin de l'année 2025. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin : Le blogueur Rob Alarcon explique le fonctionnement mystérieux de notre mémoire Le blogueur Louis-César Bancé partage son avis tranché sur une affaire de broutage. Programmation musicale : ► Marche Nocturne – Lonepsi ► Pay - Theodora feat. Guy2Bezbar.
La consommation de drogue dure est en augmentation constante un peu partout en Europe, et elle entraîne une montée des problèmes sociaux liés aux narcotrafics. Pour atteindre l'Europe, la cocaïne est souvent cachée dans les containers d'engrais agricoles, de cafés, ou de bananes. Ces containers arrivent dans les ports du continent : Anvers, Rotterdam, Bilbao… C'est par exemple le cas de celui de Durrës, en Albanie. On retrouve notre correspondant dans la région, Louis Seiller, juste devant l'entrée du principal port de ce petit pays méditerranéen de deux millions et demi d'habitants. Un reportage à retrouver dans son intégralité dans Accents d'Europe. À lire aussiEn Amérique latine, la Triple frontière, la route sud de la cocaïne vers l'Europe
Focus sur la lutte contre le trafic de drogue. En Côte d'Ivoire, le trafic et la consommation de cannabis restent le fléau le plus important. Sur le terrain, les agents de police mènent des actions de sensibilisation, mais aussi de contrôle : ils détruisent régulièrement des fumoirs et saisissent de la drogue dans les principaux points de passage : aux frontières, à l'aéroport ou encore dans les gares routières. Bineta Diagne a suivi une descente dans la nouvelle gare d'Adjamé, à Abidjan. Reportage. De notre correspondante à Abidjan, Il est 19h, les allées de la gare routière grouillent de monde. Au milieu de cette foule de voyageurs, un suspect a abandonné un sac à dos noir sur un banc. Un indic alerte la police. Rapidement, une équipe de la DPSD, la Direction de la police des stupéfiants et des drogues, procède à l'ouverture du sac. Le commissaire divisionnaire Maxime Gogoua examine l'un des cinq blocs de cannabis : « Vous voyez, c'est le THC. Et c'est vraiment élevé. C'est sec. Ce bloc pèse 1 kg : il fait 40 000 francs CFA à Abidjan sur le marché noir. Mais, à Bouaké ou à Man, cela vaut 100 000 francs CFA le kg. Et quand ça va au-delà de nos frontières, au nord, ça va à 300 000 francs CFA/kg ». Ce soir-là, un revendeur a été interpellé. Mais le principal suspect, qui a acheminé la drogue, a pu s'échapper. Une enquête va être ouverte. Elle s'appuie notamment sur les enregistrements vidéo d'Issa Koné, le chef de gare, visiblement sous le choc des découvertes de la soirée : « Ça, c'est grave, supposons qu'on attrape ça là, dans le car. Le chauffeur a un problème. Il ne s'en sort pas. On dit qu'il est complice. Or souvent, il n'est pas au courant ». À lire aussiCôte d'Ivoire: 5 ans de prison pour l'ancien patron de la police anti-drogue du port d'Abidjan Un échantillon de la drogue saisie est envoyé dans un laboratoire. Cela servira à l'enquête. Le commissaire Mabonga Touré, directrice de la police des stupéfiants et des drogues : « Sur les blocs de cannabis, il y a des initiales. Il y a des numéros de téléphone. C'est ce que nous appelons la signature. Nous allons l'exploiter pour voir si déjà, cette signature est déjà apparue dans d'autres enquêtes. Et voir si on peut lier d'où c'est venu, et à qui c'est destiné ». Selon le Comité interministériel de lutte anti-drogue, le cannabis est la drogue la plus consommée dans le pays. Professeur Ronsard Yao Kouma, le secrétaire général du CILAD : « Le cannabis le plus prisé, c'est celui qui vient de chez nos voisins, le Ghana. On a des grandes saisies à la frontière ». D'après ce responsable, les saisies de cannabis oscillent entre dix et vingt tonnes chaque année. À lire aussi«Le kush a probablement causé la mort de milliers de personnes en Afrique de l'Ouest»
Deux chefs de l'office antistupéfiants de Marseille ont été placés en garde à vue dans les locaux de l'IGPN. Peut-on empêcher les services de police d'être gangrénés par les narcotrafiquants ? Ecoutez Frédéric Ploquin, écrivain, journaliste et auteur du livre "Les narcos français brisent l'omerta", chez Albin Michel Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin du 24 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un nouveau Grand Reportage dans le cadre de notre semaine Drogue sur RFI... C'est un cocktail toxique, hautement addictif et parfois mortel : il s'agit du kush, une drogue de synthèse surpuissante qui fait actuellement des ravages en Afrique de l'Ouest. Un récent rapport de l'Initiative Globale contre le Crime Organisé a permis de dévoiler la composition du kush. Il contient soit des cannabinoïdes de synthèse – soit des nitazènes : des opioïdes jusqu'à vingt-cinq fois plus fort que le Fentanyl ! Liza Fabbian s'est rendue en Sierra Leone, épicentre de ce fléau qui contamine toute la société - et contre lequel le président est allé jusqu'à déclarer l'état d'urgence sanitaire. «La Sierra Leone sous l'emprise du Kush», un Grand reportage de Liza Fabbian.
Dans la prochaine saison de Home(icides), vous découvrirez une affaire de famille hors normes. Imaginez : une héritière millionnaire plongée dans le coma, un mari qui fait figure de suspect, des enfants portant des titres princiers, une femme de chambre dévouée.... Et une mystérieuse seringue usagée. Voici l'affaire von Bülow en quelques indices. Derrière ce nom, se cache une famille américaine richissime… et un drame aux airs de crime parfait. Après deux procès, la vérité sur cette affaire n'a toujours pas été formellement établie. Rendez-vous bientôt sur toutes les plateformes d'écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Longtemps cantonnés aux mégapoles et aux banlieues urbaines, les réseaux de trafic de stupéfiants n'en finissent plus d'étendre leur emprise vers les villes moyennes et les campagnes françaises. En province, en région, dans les territoires, en zone rurale. Si les produits stupéfiants sont les mêmes qu'ailleurs : héroïne, cocaïne, drogues de synthèse, cannabis, les structures spécialisées d'aide aux usagers y sont rares. Dans le centre de la France, Châteauroux – 43 000 habitants, à 270 kilomètres de Paris – un centre d'accueil et d'accompagnement y vient en aide aux usagers, sur place, mais également par des tournées en camion pour toucher les consommateurs les plus éloignés en milieu rural. « Drogue à Chateauroux : approcher pour soigner », un Grand reportage de Laurence Théault.
À l'occasion des 10 ans de Laurent Ruquier aux commandes des "Grosses Têtes", RTL vous propose chaque jour de revivre en podcasts les meilleures séquences de l'émission ! Aujourd'hui, découvrez un extrait du 13 mai 2025 ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:42 - Le Feuilleton - "Je ne notais même plus les messages. Je coupais les ponts avec férocité, me contentant de répondre qu'Olivia n'était pas là, plus là, que non, je ne savais pas quand on pourrait la joindre, au revoir, merci de ne plus rappeler. "
durée : 00:24:42 - Le Feuilleton - "Je ne notais même plus les messages. Je coupais les ponts avec férocité, me contentant de répondre qu'Olivia n'était pas là, plus là, que non, je ne savais pas quand on pourrait la joindre, au revoir, merci de ne plus rappeler. "