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Entrevue avec Gino Cyr, directeur général de GÎMxport : on discute du répertoire pour promouvoir les produits marins québécois à l'étranger.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:20:34 - Journal de 18h - Le ton ne monte plus entre les Etats-Unis et la Chine. Avant le sommet du G20, le président américain Joe Biden a longuement rencontré son homologue chinois Xi Jinping. Une discussion "sincère" selon la Maison Blanche, les Chinois ne seraient plus sur le point d'envahir Taïwan.
« Le monde est assez grand » pour que leurs deux pays prospèrent : c'est ce qu'a assuré le président chinois Xi Jinping à son homologue américain Joe Biden, ce lundi 14 novembre 2022, à Bali. Les deux hommes se sont longuement parlé sur l'île indonésienne, près de trois heures d'entretien à la veille de l'ouverture du G20. « Je pense que nous nous comprenons », a déclaré de son côté Joe Biden. Mais, États-Unis et Chine se livrent pourtant une véritable guerre d'influence en zone Indo-Pacifique. Barack Obama avait fait du rééquilibrage asiatique l'un de ses principaux défis sur la scène internationale, une stratégie à laquelle son successeur Donald Trump avait tourné le dos. Joe Biden, lui, semble lui vouloir y revenir. Mais par quels moyens ? Décryptage avec : - Jean-François Di Meglio, président de l'Institut de recherche Asia Centre et directeur de la Publication Asia Trends - Philip Golub, politologue et professeur de Science politique et de Relations internationales à l'Université américaine de Paris, auteur de Une autre histoire de la puissance américaine (Seuil).
durée : 00:20:34 - Journal de 18h - Le ton ne monte plus entre les Etats-Unis et la Chine. Avant le sommet du G20, le président américain Joe Biden a longuement rencontré son homologue chinois Xi Jinping. Une discussion "sincère" selon la Maison Blanche, les Chinois ne seraient plus sur le point d'envahir Taïwan.
Entrevue avec Joanne Teasdale, enseignante retraitée : lors d'un atelier, il y a 10 ans, entre des experts en bonnes pratiques pédagogiques et des gens de terrain auquel participait Joanne Teasdale, l'un des experts à affirmé qu'afin de faire apprendre et réussir les élèves, les enseignant(e)s n'ont nul besoin de les aimer. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« Alors comme ça, les travailleurs des raffineries françaises sont des privilégiés égoïstes qui gagnent 5000 euros et qui veulent enlever le pain de la bouche des Français qui touchent le SMIC ? Vous y croyez à ça, vous ? Si oui, c'est que vous êtes tombé.e dans la communication de crise du patronat et du gouvernement, dont la stratégie est justement de vous dresser, travailleurs et travailleuses, les uns contre les autres. On démonte tout ça. » Dans cette mise au point au vitriol, Nicolas Mayart va aux sources d'une « affaire de 5 000 euros » qui est arrivée au cœur de la discussion dans les médias, dans les groupes Whatsapp ou dans les bistrots. Il évoque la convention collective des travailleurs de l'industrie pétrolière, les vrais salaires des ouvriers et des techniciens du secteur, ainsi que l'enjeu fondamental de cette lutte : l'indexation de tous les salaires sur l'inflation. ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:02:37 - En direct du monde - Ces militants des droits des femmes, dont les rares manifestations sont réprimées, regrettent que l'onde de choc de la contestation iranienne ne secoue pas davantage les deux pays musulmans.
Le Rapport de la Commission Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
durée : 00:03:54 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Avec le slogan « Don't Panic », ces jeunes femmes tentent d'apaiser les craintes des citoyens russes concernés par la mobilisation citoyenne lancée la semaine dernière
durée : 00:03:54 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Avec le slogan "Don't Panic", ces jeunes femmes tentent d'apaiser les craintes des citoyens russes concernés par la mobilisation citoyenne lancée la semaine dernière
durée : 00:03:54 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Avec le slogan « Don't Panic », ces jeunes femmes tentent d'apaiser les craintes des citoyens russes concernés par la mobilisation citoyenne lancée la semaine dernière
Discours contre discours, Occident, Chine et Russie font monter la tension sur la scène internationale. Vladimir Poutine a prononcé une allocution offensive au matin du mercredi 21 septembre, au cours de laquelle il a annoncé une mobilisation militaire partielle pour ce qu'il qualifie toujours d'«opération spéciale» –comprenez la guerre un Ukraine. Il a également réitéré ses mises en garde, affirmant que la Russie utiliserait tous les moyens mis à sa disposition pour se «protéger». Pendant ce temps-là, l'Assemblée générale des Nations unies bat son plein à New York. Dans leurs discours, Emmanuel Macron et Joe Biden, entre autres , ont condamné la Russie et fait part de leur détermination dans ce conflit. Nous allons en profiter pour nous interroger sur les choix de l'administration Biden en matière de politique étrangère. On la voit très active sur l'Ukraine, mais aussi sur Taïwan, le président américain ayant affirmé ces jours-ci être aux côtés de la petite République insulaire. Cette fermeté, en général et sur l'Ukraine, fait-elle l'unanimité à Washington? On sait qu'il y a un débat permanent entre think tanks sur le rôle des États-Unis dans le monde: jusqu'où doivent-ils aller pour défendre l'Ukraine, par exemple? Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
Le Medef tenait, lundi et mardi, son université d'été, baptisée « Rencontre des entrepreneurs de France », une rencontre qui laisse traditionnellement place aux invités étrangers. Cette année, la Tunisie et le Bénin étaient à l'honneur côté Afrique. La Première ministre tunisienne, Najla Bouden, et le président Béninois, Patrice Talon, ont cherché à convaincre les dirigeants d'entreprises français de venir investir chez eux. En matière de séduction, comme en peinture, il existe plusieurs écoles. L'école tunisienne de Najla Bouden est empreinte de sérieux et de subtilité, notamment lorsque la cheffe du gouvernement tunisien rappelle que son pays travaille à installer un câble haute-tension pour fournir l'Italie en énergie solaire. « La Tunisie dispose d'atouts majeurs en matière d'énergie solaire et d'hydrogène vert, au moment où l'Europe fait face à un défi de diversification de ses sources d'approvisionnement en énergie », assure-t-elle. Le président béninois, lui-même ancien chef d'entreprise, manie davantage le slogan publicitaire pour attirer les investisseurs étrangers. « Le Bénin est en train de devenir l'oasis en Afrique. Nous avons fini de régler les problèmes d'infrastructures portuaires, aéroportuaires, routières, énergétiques. Venir investir au Bénin aujourd'hui, vous avez de l'électricité de qualité, et avec possibilité d'une convention sur le prix, on peut vous vendre de l'électricité moins cher qu'en Chine », affirme-t-il. Najla Bouden vante la stabilité politique de la Tunisie L'électricité, c'est bien, le capital humain, c'est encore mieux. « Il va sans dire que la Tunisie qui a constamment misé sur son capital humain place aujourd'hui l'innovation, l'entrepreneuriat et le développement des start-up au cœur même de son développement futur », estime Najla Bouden qui souligne les efforts de son pays en la matière. La cheffe du gouvernement tunisien qui vante sans sourciller la stabilité politique de son pays, rappelle aussi ses efforts en vue de rationaliser le maquis administratif qui parfois peut désarçonner... même une entreprise française. « À cet effet, le gouvernement tunisien vient d'engager un programme d'appui à l'initiative privée qui s'articule particulièrement autour de l'assouplissement des procédures, en actionnant ce que l'on appelle "la guillotine des procédures", mais également autour de la digitalisation du parcours des investisseurs et la modernisation des infrastructures industrielles, etc. » Grève limitée à deux jours par mois au Bénin La provocation fait partie des arguments du président béninois pour convaincre les investisseurs. Et face à des chefs d'entreprise, rien de tel que de montrer une certaine défiance envers les syndicats. « La grève est interdite dans les secteurs vitaux comme la santé. Dans les autres secteurs, la grève est limitée à deux jours maximum par mois, et dix jours par an. C'est vrai, c'est un recul par rapport aux acquis démocratique, mais je n'ai pas l'ambition d'avoir une expression démocratique identique à la France. Mais quand un pays est à construire, notamment un pays où tout est à reprendre, vous avez besoin d'avoir une réglementation forte », assène le président béninois. Séduction franche ou séduction douce, pour les dirigeants africains présents à Paris, l'essentiel est de faire passer un message, l'Afrique a besoin d'investissements, mais aussi de partenaires impliqués, capables de l'aider à surmonter les difficultés financières nées de la crise inflationniste mondiale.
Sur le fil est en pause estivale. Au mois d'août, nous rediffusons nos meilleurs épisodes. Ne manquez pas nos épisodes inédits de "Slow fil" la version longue de Sur le fil. Sur le fil vous emmène en Chine, où 20 millions de personnes ont fui le stress des grandes villes pour s'installer à la campagne. Sur l'île Chongming, face à Shanghai, il y a notamment Hu Siqin qui a plaqué sa carrière en marketing chez L'Oréal pour devenir agricultrice. Un épisode diffusé pour la première fois le 2 décembre 2021. Récit : Camille Kauffmann. Sur le terrain : Vivian Lin. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Pour découvrir les coulisses de l'AFP et les récits de nos reporters et photographes sur leurs expériences sur le terrain, écoutez notre playlist “Les Coulisses du Fil”. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Le groupe de cyberactivistes appelé Belarusian Cyber-Partisans a revendiqué, le 24 janvier, l'attaque via un rançongiciel de la compagnie nationale de chemin de fer biélorusse. L'opération vise à entraver l'arrivée de troupes russes sur le territoire du pays dans un contexte de forte tension entre l'Ukraine et la Russie.Lire l'article sur Siècle Digital. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour à 7h25 sur RMC, Charles Magnien décrypte la communication politique aux côtés d'Apolline Malherbe. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Story. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h).
Malgré l'accord de paix signé en 2018 entre le président Salva Kiir et son vice-président Riek Machar, des tensions persistent entre les forces de l'opposition et celles du gouvernement. En mars, des milices armées ont dévasté le comté de Leer, un bastion de l'opposition. Des civils ont trouvé refuge à Old Fangak, une ville déjà surpeuplée avec l'arrivée de populations qui ont fui les inondations. De notre envoyée spéciale à Old Fangak C'est près d'un bâtiment colonial en ruine, entre le marché et la digue qui protège Old Fangak des inondations, que les déplacés de Leer, se sont entassés. Bargate Gatjang a 35 ans. Mi-mars, il a dû fuir son village de Rupkong lorsque des hommes en armes ont lancé un assaut. « Je ne peux pas vraiment expliquer ce qui s'est passé. Ils sont arrivés et ont commencé à tirer. Nous avons fui pour sauver nos vies. Nous nous sommes cachés dans les marécages, mais ils nous ont suivis et ont recommencé à tirer. Je ne sais pas pourquoi ils voulaient nous tuer, raconte Bargate Gatjang. Le village a été entièrement détruit. Nos réserves de nourriture ont été pillées et nos maisons brûlées. Il n'y a plus personne là-bas. Beaucoup sont morts. J'ai perdu six membres de ma famille. Cette attaque a duré cinq ou six jours. Quand on a réalisé qu'on ne pourrait pas tenir, on a décidé de venir ici. » C'est sur un radeau traditionnel fabriqué dans l'urgence que Bargate Gatjang a navigué dans les marécages et dérivé sur les rivières pour atteindre Old Fangak, à plus de 100 km de chez lui. 40 000 déplacés En attendant l'aide alimentaire du Programme alimentaire mondial, les déplacés survivent grâce à la solidarité des habitants d'Old Fangak. Elizabeth Nyakuow Nyot a 40 ans et a, elle aussi, fait le trajet sur un radeau avec ses six enfants. « Obtenir de la nourriture est vraiment un problème. Nous sommes nouveaux ici, et même des nénuphars, nous avons du mal à en trouver. Les gens partagent ce qu'ils ont avec nous pour que l'on puisse cuisiner pour nos enfants, confie cette mère de famille. C'est vraiment difficile. Nous n'avons rien pris avec nous à part les vêtements que nous portions. Nous avons fui pour sauver notre peau. » Pour Elizabeth Nyakuow Nyot, difficile de se fier aux annonces de progrès dans le processus de paix. Elle n'imagine pas pouvoir retourner à Leer prochainement : « Il y a de la défiance. Ce n'est pas la première fois qu'ils font la paix à Juba et qu'ensuite la guerre reprend. Ça va prendre du temps pour construire la confiance. Nous attendons de voir. » En mai, les Nations unies ont observé une accalmie dans le comté de Leer et estimé à 40 000 le nombre de déplacés. Les attaques ont fait 181 morts, dont 23 enfants. 101 cas de violences sexuelles ont également été documentés. Des violences dont le gouvernement « porte la responsabilité », selon l'instance de surveillance du cessez-le-feu.
Tous les jours de la semaine, Ombline Roche, Julien Pearce et Dimitri Vernet décryptent trois articles de la presse du jour.
Les producteurs de lait du Québec tentent de trouver des usines en Ontario et dans les Maritimes pour éviter que des fermes laitières continuent de jeter du lait. Les Québécoises peuvent s'attendre à pouvoir obtenir la pilule abortive sans obligation de subir une échographie. Et au Danemark, le suspect de la fusillade dans un centre commercial de Copenhague est placé en détention provisoire. | Mathieu Belhumeur (journaliste-présentateur)
C'est un champion français des séries, des émissions télé et des paris sportifs. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur l'ascension de Banijay et sur les raisons qui pousse le groupe aux multiples succès aux portes de la Bourse.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2022. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Fabio Benedetti et Marina Alcaraz (journalistes au service High-Tech Media des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : DENIS/REA. Sons : « Fort Boyard », TF1, Canal+, C8, Maurice Chevalier « Le beau gosse », Banijay. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La police a dispersé jeudi 23 juin des manifestants qui tentaient d'envahir le Parlement à Quito, au onzième jour des protestations indigènes contre le coût de la vie qui ont fait un quatrième mort et s'intensifient en Equateur. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
Tous les jours, dans la chronique "Le journal du Off", Jeremy Trottin vous présente toutes les informations exclusives, les indiscrétions et les coulisses autour de l'élection présidentielle 2022. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
durée : 00:15:40 - Semaine de 4 jours, télétravail... Comment les entreprises tentent de nous réconcilier avec le travail - Mouvement de "grande démission" aux Etats-Unis, secteurs qui manquent de main d'oeuvre en France ou au Royaume-Uni... La crise sanitaire semble avoir bouleversé notre rapport au travail. Comment réagissent les entreprises ? Quelles mesures sont-elles prêtes à mettre en oeuvre pour retrouver leur attractivité auprès des salariés ? On fait le point dans le nouvel épisode du Quart d'Heure.
Marketlive du 21/06/2022 Retrouvez le MarketLive, du lundi au Vendredi, en compagnie d'Alexandre Baradez & Vincent boy, pour un décryptage de l'actualité des marchés financiers. Cet enregistrement est à titre indicatif et aucune des informations mentionnées ne saurait être considérée comme un conseil ou une recommandation. Pour plus d'infos visitez notre page dédiée sur notre site : https://www.ig.com/fr/market-live
En Pologne, les associations se mobilisent pour aider les réfugiées ukrainiennes à accéder à l'avortement dans un pays où la loi est l'une des plus restrictives d'Europe. Une loi durcie à l'automne 2020 par le Tribunal constitutionnel, contrôlé par le parti national-conservateur au pouvoir. Seule solution donc pour ces réfugiées, dont certaines sont tombées enceintes après avoir été violées en Ukraine : se tourner vers les ONG qui ont reçu de nombreux appels à l'aide. Quelques jours après le début de la guerre, les premiers appels de réfugiées ukrainiennes commencent à arriver sur la ligne d'écoute du collectif Abortion Without Borders (AWB). « La plupart de ces Ukrainiennes étaient enceintes depuis plusieurs semaines et avaient décidé de mettre fin à leur grossesse, car elles avaient peur de leur situation et du futur incertain à cause de la guerre », se souvient Justyna Wydrzyńska, de l'association Abortion Dream Team, membre du collectif. « Ce sont quelques semaines plus tard que nous avons commencé à entendre des récits de grossesse à la suite d'un viol », note la militante, qui précise ne jamais demander les motifs poussant les femmes à avorter. Depuis le 1er mars et jusqu'au 15 mai, près de 400 réfugiées ukrainiennes ont contacté le collectif AWB. Ces femmes ayant trouvé refuge en Pologne se retrouvent confrontées à une législation très sévère quant à l'accès à l'avortement. « Honnêtement, je ne peux pas imaginer ce que vivent ces femmes, qui ont fui la guerre, ont subi un viol, ont perdu peut-être des proches, leurs biens... et qui arrivent dans un pays très difficile pour les droits des femmes, et où l'avortement en cas de viol est possible sur le papier, mais en réalité est impossible à obtenir », se désole Antonina Lewandowska, de la Fondation pour les femmes et le planning familial (Federa). La militante, dont l'organisation a lancé une ligne téléphonique d'assistance en embauchant une gynécologue ukrainienne, raconte qu'une de ses collègues en Ukraine lui a confié « qu'un groupe de femmes à Kiev ayant été violées n'ont pas voulu venir en Pologne, car elles ont eu très peur de ne pas pouvoir avorter ici et de devoir continuer la grossesse jusqu'à son terme ». « Vous devez prouver que vous avez été violée » Car depuis le durcissement à l'automne 2020 du droit à l'avortement par le Tribunal Constitutionnel, sous le contrôle du parti national-conservateur Droit et justice au pouvoir, l'avortement reste théoriquement légal dans deux cas : si la vie ou la santé de la mère est en danger et si la grossesse résulte d'un acte criminel (viol ou inceste). Sauf que dans les faits, avorter à la suite d'un viol est presque impossible. « Vous devez démontrer à un procureur que cela est arrivé, et pour cela, aller au commissariat pour signaler le viol, afin que la police prélève des preuves et vous interroge à plusieurs reprises sur ce qu'il s'est passé »,énumère Justyna Wydrzyńska. C'est seulement avec un certificat remis par un procureur que l'avortement est possible. « Même les Polonaises ne suivent pas cette voie, car ce processus est vraiment horrible, vous devez prouver que vous avez été violée », assène la militante : « surtout que pour les réfugiées ukrainiennes, le viol s'est passé en Ukraine donc c'est impossible à prouver ». Selon les ONG interrogées, aucune femme ukrainienne ayant été violée en Ukraine n'a pu avoir accès à un avortement en Pologne pour ce motif. Et ce, malgré les appels des eurodéputés, du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés ainsi que de certains députés polonais. Anita Kucharska-Dziedzic, députée de l'opposition de gauche, a déposé un amendement (rejeté à la Chambre basse du Parlement) afin de contraindre les procureurs à rendre leur décision dans un délai de 7 jours. « En effet, le procureur n'a pas de date butoire pour donner sa décision administrative qui permet l'IVG, il peut prolonger sa décision jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour faire un avortement », explique la Polonaise, également présidente de l'association pour les femmes BABA. Or en Pologne, l'avortement en cas de viol n'est possible que jusqu'à la 12e semaine. En 2020, sur 1076 avortements légaux dans le pays, seulement deux ont été réalisés pour mettre fin à une grossesse qui résultait d'un acte criminel. Jusqu'à trois ans de prison pour toute aide à l'avortement Pour ces femmes ukrainiennes souhaitant avorter, les ONG donnent donc les mêmes conseils et recommandations que pour les femmes polonaises. La majorité des réfugiées ayant contacté le collectif Abortion Without Borders ont commandé des pilules abortives en ligne tandis que certaines d'entre elles se sont rendues dans des cliniques à l'étranger pour être prise en charge, lorsque la grossesse était trop avancée. « Les pilules abortives sont déjà connues des Ukrainiennes, donc la question qu'elles nous posent au téléphone, c'est “Pouvez-vous me dire où m'en procurer ?” »,relate Justyna Wydrzyńska qui confie que, lors de ces appels souvent très courts, ces femmes sont assez surprises de ne pas pouvoir les acheter dans les pharmacies ou s'en procurer chez le médecin. « Pour elles, il est assez surprenant de ne pas pouvoir parler ouvertement de l'avortement au sein du système de santé », remarque la militante. Lorsque ce sont des Polonais, hébergeant ou aidant des femmes ukrainiennes, qui appellent, Justyna Wydrzyńska les met en garde. Car si, en Pologne, une femme a le droit d'avorter seule jusqu'à la 12e semaine sans risquer de poursuites judiciaires, toute personne qui l'aide encourt jusqu'à trois ans de prison. Et Justyna Wydrzyńska sait de quoi elle parle : elle est elle-même poursuivie en justice pour avoir fourni des pilules abortives à une jeune femme souhaitant avorter. Un procès qui témoigne de la pression exercée sur les militantes pro-choix en Pologne et du caractère sensible de cette question. Une influente organisation ultraconservatrice, Ordo Iuris, a d'ailleurs contacté récemment 370 hôpitaux publics du pays pour contrôler si des réfugiées ukrainiennes avaient eu accès à l'avortement et si l'hôpital avait bien vérifié que ces femmes avaient réellement été violées. « Bien que certaines femmes ukrainiennes aient été victimes d'un viol, ce qui est bien sur une tragédie et demande de la compassion, je suis aussi convaincue qu'il y a beaucoup de femmes qui ont fui l'Ukraine et qui veulent simplement avorter », a réagi Katarzyna Gęsiak, directrice du Centre de droit médical et de bioéthique d'Ordo Iuris dans un article de Wirtualna Polska. ► Retrouvez également ce reportage sur la page d'Accents d'Europe.
Les accords se scellent en vue des législatives : la majorité présidentielle créée la confédération "Ensemble" et à gauche, La France insoumise a convaincu Europe Écologie-Les Verts, le Parti communiste et la direction socialiste. Reste à savoir si le conseil national du Parti socialiste validera l'accord. Clovis Casali, en partenariat avec Slate.fr et son cofondateur Jean-Marie Colombani, en débat avec Yasmina Jaafar, de Franc-Tireur, Stéphane Vernay de Ouest-France et Pascal Jalabert, éditorialiste.
Alors, sur le terrain et sur le web, des bibliothécaires tentent de sauver le patrimoine ukrainien comme ils peuvent. Il y a presque 2 mois au début de la guerre, une bibliothécaire spécialisée en musique, Anna Kijas, lance un appel sur Twitter : « Joignez-vous à moi pour une session virtuelle de sauvetage des données ». Suite à son appel, près de 1 300 bibliothécaires, historiens et internautes du monde entier ont rejoint le mouvement pour sauver le patrimoine numérique ukrainien. Grâce au travail de chacun, Il y aurait à l'heure actuelle 2500 pages enregistrées d'après le Washington Post. C'est 25 milliers de milliards de données. Rien que ça.Une belle histoire de Eitanite Partouche à écouter dans Ce qui m'a donné envie de me lever ce matin. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qui arrivera le premier ? Trois journalistes de RTL sont partis en même temps de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) direction la rédaction de RTL, située à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Hortense Crépin prend les transports en commun, Pierrick Bonin fait le trajet en vélo électrique et Christophe Bourroux a choisi la voiture. Qui parcourra les 15 km à vol d'oiseau le plus rapidement ? Ecoutez RTL Evenement avec Yves Calvi du 19 avril 2022
durée : 00:36:34 - Secrets d'info - par : Jacques Monin, Cellule investigation de Radio France, Anne-Laure Barral - En dépit des effets d'annonce, certaines entreprises, mais aussi des hommes d'affaire et des hommes politiques français, continuent de faire des affaires en Russie. Enquête sur les intérêts français au pays de Vladimir Poutine.
Tous les jours à 09H10, Glandu répond aux questions que personne ne se pose et que vous lui posez !
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Depuis que la Russie a envahi l'Ukraine, le 24 février, des milliers de Russes ont quitté leur pays. Des Russes de la classe moyenne, des entrepreneurs, des artistes, mais aussi des journalistes, qui ne voient plus d'avenir pour leur profession au pays de Vladimir Poutine, où le journalisme indépendant est plus criminalisé que jamais. Une petite partie d'entre eux fait escale en Turquie, d'où ils espèrent rejoindre l'Europe pour continuer à travailler « Soudain on a réalisé que notre site ne fonctionnait plus. Vingt minutes plus tard, les agences de presse russes diffusaient une dépêche disant que les sites de Dojd et de la Radio Écho de Moscou avaient été bloqués. Ensuite, raconte le journaliste de Dojd, notre officier de sécurité nous a appelés pour nous dire que la police pouvait débarquer à tout moment. On n'a pas voulu prendre le risque d'aller en prison, on est parti immédiatement. » Dans la panique, Dmitri oublie son manteau, il prend la première place qu'il trouve sur un vol pour Istanbul. Le billet est très cher, mais il n'a pas vraiment le choix, la Turquie est un des rares pays qui ne demande pas de visa et qui n'a pas fermé son espace aérien aux avions russes. À bord, il retrouve Valeria, une jeune consœur de Dojd. Rester c'est risquer 15 ans de prison « J'étais chez moi vers 20 heures quand j'ai appris que notre site était bloqué. J'ai pleuré, mais j'espérais encore que l'on pourrait encore continuer notre diffusion sur YouTube. Je n'aurais jamais cru devoir quitter la Russie si vite. Je pouvais envisager quitter le pays un jour parce que la situation était très mauvaise, très tendue. Mais jamais je n'aurais pensé que ça me prendrait 5 minutes d'acheter un billet d'avion. » Rester en Russie pour ces journalistes, c'était risquer 15 ans prison. Une loi permet d'enfermer ceux qui diffuseraient des informations mensongères sur l'opération des forces spéciales russes en Ukraine. Le mot « guerre » est banni. Dojd, comme d'autres médias indépendants a dû cesser d'émettre. Des dizaines de ses employés ont fui à l'étranger, une petite vingtaine en Turquie. Pour se loger et se nourrir, ils ont le peu d'espèces qu'ils ont pu retirer et l'aide de collègues turcs. Mais les sanctions occidentales leur compliquent encore plus la vie. Un visa vers un État européen Valeria peste, sa carte bancaire ne fonctionne plus : « Ça me met très en colère parce qu'en Russie les visas et les MasterCard continuent de fonctionner, mais pour les gens en dehors de la Russie, ceux qui ne soutiennent pas cette guerre, ceux qui ont voulu se sauver de Poutine, ils ne peuvent plus se servir de leurs cartes. Ils sont plus punis que certains officiels responsables de la situation. » Ni Dmitri, ni Valeria ni -disent-ils- aucun de leurs collègues qui ont atterri en Turquie n'envisagent d'y rester. Ces journalistes voudraient un visa vers un État européen, pas un visa humanitaire, un visa de travail pour continuer à faire du journalisme ailleurs. Ils se voient comme des exilés pas comme des réfugiés. ► Suivez nos dernières infos sur la guerre en Ukraine
L'avancée inexorable des troupes russes commence à peser sur le moral des Ukrainiens. Deux éléments en particulier sont venus miner le moral des Ukrainiens. D'abord, l'attaque d'une centrale nucléaire par les troupes russes, qui a montré à quel point Vladimir Poutine était prêt à tout. Ensuite, les averses de bombes à répétition, l'aviation ukrainienne est à genoux et rien ne semble pouvoir arrêter l'artillerie russe. "On s'est pris des orages de bombes sur la tête", nous raconte, émue, une réfugiée. "Immersions", saison 2, propose une sélection des meilleurs reportages diffusés sur RTL. Ceux qui font la richesse de notre antenne, qu'ils soient tournés au bout du monde ou au coin de la rue.
durée : 00:15:07 - Journal de 8 h - Deux explosions ont été entendues dans le centre de Kiev, la capitale ukrainienne, vendredi à l'aube. Le président du pays affirme que l'armée russe a visé des zones civiles.
durée : 00:15:07 - Journal de 8 h - Deux explosions ont été entendues dans le centre de Kiev, la capitale ukrainienne, vendredi à l'aube. Le président du pays affirme que l'armée russe a visé des zones civiles.
Ecoutez L'histoire qui réveille avec Pierre-Louis Mauger du 16 février 2022
Le groupe de cyberactivistes appelé Belarusian Cyber-Partisans a revendiqué, le 24 janvier, l'attaque via un rançongiciel de la compagnie nationale de chemin de fer biélorusse. L'opération vise à entraver l'arrivée de troupes russes sur le territoire du pays dans un contexte de forte tension entre l'Ukraine et la Russie.Lire l'article sur Siècle Digital. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Le président kazakh assure avoir vaincu un "coup d'Etat". Des opposants racontent la répression et les arrestations arbitraires.
Sur le fil vous emmène en Chine, où 20 millions de personnes ont fui le stress des grandes villes pour s'installer à la campagne. Sur l'île Chongming, face à Shanghai, il y a notamment Hu Siqin qui a plaqué sa carrière en marketing chez L'Oréal pour devenir agricultrice. Récit : Camille Kauffmann. Sur le terrain : Vivian Lin. Sur le fil est le podcast quotidien de l'AFP. Envoyez-nous vos histoires et vos commentaires : podcast@afp.com. Abonnez-vous, laissez-nous des étoiles, des commentaires, et parlez de nous autour de vous !
Pour prévenir la propagation rapide du nouveau variant Omicron du Covid-19, le Maroc a suspendu pour deux semaines tous les vols aériens de passagers entre la France et le royaume. Reportée de 48 heures, de vendredi à dimanche, la décision marocaine a toutefois contraint bon nombre de passagers à revoir leurs projets, professionnels ou personnels.
durée : 00:14:56 - Journal de 12h30 - Plusieurs pays réagissent face à "Omicron", le nouveau variant du Covid-19 jugé "préoccupant" par l'Organisation Mondiale de la Santé. Des liaisons aériennes vers l'Afrique australe sont suspendues. L'Union européenne décide à son tour de suspendre les vols.
NRJ Ciné News - Parmi les nombreux films à découvrir en cette semaine de réouverture, foncez voir "Mandibules", l'histoire folle de deux types qui tentent de dresser une mouche géante - Samedi 22 Mai