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durée : 00:05:58 - Sur la route avec - Reportage dans le nord à Tourcoing qui, comme beaucoup de municipalités en France, tente de lutter contre la désertification et la fermeture des boutiques du centre-ville.
Entre 100.000 et 150.000 manifestants sont attendus partout en France pour le 1er-Mai, à travers près de 250 rassemblements au total. Mais les risques de débordements sont pris très au sérieux par les forces de l'ordre, notamment face à la présence de black blocs. Alors, plusieurs milliers de policiers et gendarmes seront déployés dans les différents cortèges. Avec une mission : prévenir et limiter les violences.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre 100.000 et 150.000 manifestants sont attendus partout en France pour le 1er-Mai, à travers près de 250 rassemblements au total. Mais les risques de débordements sont pris très au sérieux par les forces de l'ordre, notamment face à la présence de black blocs. Alors, plusieurs milliers de policiers et gendarmes seront déployés dans les différents cortèges. Avec une mission : prévenir et limiter les violences.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre 100.000 et 150.000 manifestants sont attendus partout en France pour le 1er-Mai, à travers près de 250 rassemblements au total. Mais les risques de débordements sont pris très au sérieux par les forces de l'ordre, notamment face à la présence de black blocs. Alors, plusieurs milliers de policiers et gendarmes seront déployés dans les différents cortèges. Avec une mission : prévenir et limiter les violences.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:13 - Le grand format - La grande majorité des fleurs vendues en France sont importées. Mais les fleurs locales, c'est-à-dire françaises et de saison, attirent de plus en plus. Un marché qui demande encore à se faire connaître. Reportage lors d'une exposition florale au Château de Valençay, dans l'Indre.
durée : 00:02:12 - Le grand format - Face à la concurrence accrue des tomates à bas coût venues de l'étranger, certaines coopératives, comme la Bretonne Savéol, tentent des stratégies pour se démarquer, avec notamment ce label "Cultivées sans pesticides !". Reportage dans le Finistère, près de Brest.
Après deux ans de guerre, l'armée soudanaise vient tout juste de gagner la bataille de Khartoum, la capitale du Soudan. Elle appelle désormais les habitants à revenir chez eux. Mais à quel prix ? Nos reporters étaient sur la ligne de front lors de la dernière phase de l'offensive contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Regardez leur reportage exclusif d'une durée de 31 minutes.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:22 - Le billet sciences - Ces prothèses neuronales permettraient, si elles voient le jour, d'accélérer la rééducation des patients victimes d'AVC. Les premiers essais cliniques entre 2027 et 2030.
durée : 00:05:52 - Caroline au pays des 27 - par : Caroline Gillet - Philippe Perchoc est directeur de l'IRSEM Europe, l'Institut de recherche en stratégie militaire, seul think tank français à Bruxelles. Et il est par ailleurs chercheur spécialisé sur la sécurité baltique. Il raconte comment la relation entre ces états du nord du continent et l'UE ont évolué.
En Côte d'Ivoire, le secteur de la noix de coco a officiellement été intégré au Conseil hévéa-palmier à huile, afin de bénéficier des mesures d'accompagnement de cette structure. L'objectif des autorités : relancer cette filière. De notre correspondante à Abidjan,La plupart des vergers de noix de coco se situent dans le sud de la Côte d'Ivoire, le ministère de l'Agriculture en recense près de 60 000. En intégrant le secteur de la noix de coco au Conseil hévéa-palmier à huile, les autorités cherchent à augmenter la production de noix de coco.À l'origine, les plantations étaient gérées par deux sociétés d'État. Mais en 1986, la chute des cours perturbe la filière et la production entame une baisse constante : la production est passée de 400 000 tonnes en 1986 à 125 656 tonnes en 2024. À cela s'ajoute une maladie, le « jaunissement mortel du cocotier », qui décime plusieurs plantations.La filière du coco est tournée essentiellement vers l'exportation. Et malgré la baisse de la production, elle procure des revenus conséquents. En 2023, l'exportation de la noix de coco a généré près de 9 milliards de FCFA de recettes.À lire aussiEn Côte d'Ivoire, la filière hévéa se met aux normes européennesLe rôle clé du Conseil hévéa-palmier à huileLes autorités misent aujourd'hui sur « la régulation, le développement, le contrôle et le suivi des activités » pour relancer la filière coco. Désormais, c'est donc le Conseil hévéa-palmier à huile qui aura pour charge de piloter ce domaine. Cet organe devra notamment élaborer et mettre en œuvre un programme de production agricole, veiller au respect des normes de qualité des noix de coco, élaborer un mécanisme de prix équitables pour chaque maillon de cette filière et promouvoir l'industrialisation de la filière coco.Au-delà de l'exportation, la noix de coco a de potentiels débouchés au niveau local. La Dr Muriel Okoma, du Centre national de recherche agronomique (CNRA), a notamment mis au point un sucre de table en poudre à partir de la sève des inflorescences du cocotier. Ce sucre pourrait être utile pour les personnes diabétiques, car d'après cette chercheuse, les analyses biochimiques montrent que ce sucre est très riche en minéraux et en vitamines, tout en ayant un indice glycémique faible.À lire aussiMieux connaitre les produits issus de la noix de coco: pulpe, eau et huile
Dans ce numéro, Bérénice Deville Fleuriot reçoit Jean-Luc Porcedo, directeur général de Nexity Transformation des territoires, et Florent Lemaire, directeur exécutif d'Arkéa Flex. Ils présentent leur partenariat visant à développer des bâtiments évolutifs et flexibles, capables de s'adapter aux besoins changeants des occupants et aux défis environnementaux. Ce projet ambitionne de repenser l'habitat pour le rendre plus modulable et durable, en phase avec les modes de vie contemporains. SITES INTERNET : https://www.nexity.fr/ https://arkeaflex.fr/
De nombreux violents incidents ont été signalés dans les établissements pénitentiaires, où des gardes-chiourmes ont été agressés par des détenus. Une situation préoccupante qui soulève des questions sur la sécurité des agents pénitentiaires.
Jean-Baptiste Mortier, PDG de The Boost Society, et Charles-Emmanuel Kuhn, Directeur Général d'Icade Promotion, discutent de leur projet commune : une résidence étudiante KLEY de 608 lits à Créteil, prévue pour être livrée au second semestre 2025. Ce projet, s'inscrivant dans une démarche de zéro artificialisation nette, vise à répondre à la pénurie de logements étudiants en France, où seulement 15 à 20 % des besoins sont couverts. La résidence, qui intègre des espaces de vie partagés et des zones vertes, fait face à plusieurs défis, tels que la rareté foncière, l'acceptabilité locale et la nécessité d'une collaboration avec les collectivités. Les intervenants analysent les obstacles qui freinent la construction, entre restrictions foncières et lenteurs administratives, et s'interrogent sur l'évolution du modèle économique du logement étudiant face aux attentes des investisseurs et aux impératifs environnementaux. SITES INTERNET : https://www.theboostsociety.fr/ https://www.icade.fr/activites/promotion
Jean-Baptiste Mortier, PDG de The Boost Society, et Charles-Emmanuel Kuhn, Directeur Général d'Icade Promotion, discutent de leur projet commune : une résidence étudiante KLEY de 608 lits à Créteil, prévue pour être livrée au second semestre 2025. Ce projet, s'inscrivant dans une démarche de zéro artificialisation nette, vise à répondre à la pénurie de logements étudiants en France, où seulement 15 à 20 % des besoins sont couverts. La résidence, qui intègre des espaces de vie partagés et des zones vertes, fait face à plusieurs défis, tels que la rareté foncière, l'acceptabilité locale et la nécessité d'une collaboration avec les collectivités. Les intervenants analysent les obstacles qui freinent la construction, entre restrictions foncières et lenteurs administratives, et s'interrogent sur l'évolution du modèle économique du logement étudiant face aux attentes des investisseurs et aux impératifs environnementaux. SITES INTERNET : https://www.theboostsociety.fr/ https://www.icade.fr/activites/promotion
Jean-Baptiste Mortier, PDG de The Boost Society, et Charles-Emmanuel Kuhn, Directeur Général d'Icade Promotion, discutent de leur projet commune : une résidence étudiante KLEY de 608 lits à Créteil, prévue pour être livrée au second semestre 2025. Ce projet, s'inscrivant dans une démarche de zéro artificialisation nette, vise à répondre à la pénurie de logements étudiants en France, où seulement 15 à 20 % des besoins sont couverts. La résidence, qui intègre des espaces de vie partagés et des zones vertes, fait face à plusieurs défis, tels que la rareté foncière, l'acceptabilité locale et la nécessité d'une collaboration avec les collectivités. Les intervenants analysent les obstacles qui freinent la construction, entre restrictions foncières et lenteurs administratives, et s'interrogent sur l'évolution du modèle économique du logement étudiant face aux attentes des investisseurs et aux impératifs environnementaux. SITES INTERNET : https://www.theboostsociety.fr/ https://www.icade.fr/activites/promotion
durée : 00:04:42 - Le Reportage de la rédaction - Montées des eaux, périodes de sécheresse, canicules, le monde du sport subit les conséquences du réchauffement de la planète. Face à ces aléas climatiques de plus en plus fréquents, les clubs de sport en nature, premiers témoins du dérèglement climatique, tente de s'adapter.
durée : 00:04:42 - Le Reportage de la rédaction - Montées des eaux, périodes de sécheresse, canicules, le monde du sport subit les conséquences du réchauffement de la planète. Face à ces aléas climatiques de plus en plus fréquents, les clubs de sport en nature, premiers témoins du dérèglement climatique, tentent de s'adapter.
Face aux velléités d'invasion du Danemark par Donald Trump, les Européens commencent à se mobiliser.
D'après un article du Washington Post relayé dans le Courrier International, les ordinateurs, consoles, tablettes, smartphones consomment + d'électricité que des pays de taille moyenne. Si on prend juste les Etats-Unis, les jeux vidéo y génèreraient plus de gaz à effet de serre que 5 millions de voitures. Les consoles ont besoin de plus en plus d'énergie pour faire tourner des jeux qui s'avèrent de plus en plus sophistiqués. C'est pourquoi les concepteurs sont en train de voir comment leurs consoles pourraient réduire leur impact. Chez Microsoft, une série d'outils sont mis à disposition pour que les développeurs puissent mesurer les quantités d'énergie nécessaires au fonctionnement de leurs jeux. Certains sont aussi en train de voir comment réduire la résolution graphique lors des moments de pause. Sans compter les petits développeurs indépendants qui rusent de créativité. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
durée : 00:02:39 - Bientôt chez vous - Au Japon, la pénurie de main-d'œuvre paralyse de plus en plus l'économie. Le problème est particulièrement grave pour les supérettes qui manquent de vendeurs. Une solution est d'employer des Japonais vivant à l'étranger, pour travailler à distance par le biais d'avatars numériques.
durée : 00:02:55 - Bientôt chez vous - Verra-t-on un jour des pancartes sur les plages du Maroc ou de Libye pour dissuader les migrants de traverser la Méditerranée ? Aux États-Unis, le Texas a dépensé près de 100 000 dollars pour en installer le long de la frontière avec le Mexique et dans d'autres États d'Amérique latine.
Après 13 ans de guerre, la Syrie a aujourd'hui besoin d'aide humanitaire d'urgence. La Croix-Rouge a annoncé avoir besoin de 139 millions d'euros pour venir en aide à cinq millions de personnes. Certaines zones du pays sont également en ruines. C'est le cas du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk. Cette banlieue de Damas a été le théâtre d'affrontements du régime avec des groupes rebelles puis avec le groupe État islamique, avant d'être entièrement rasé. De nos envoyés spéciaux à Yarmouk,Dans le camp de Yarmouk, pas un immeuble n'est intact. Sur un amoncellement de gravats, Hani Hassan dirige la reconstruction d'une maison. Il commente :« Sur cette rue, avant, il y avait des agences d'assurances automobiles ! C'était très civilisé, mais en 2011 avec la révolution, tout a changé ! Le camp a été coupé du reste du monde par le régime. Les gens avaient faim, certains sont morts. Quand les forces rebelles sont parties de Yarmouk, le régime a forcé tout le monde à partir pour dix jours. L'aviation russe a frappé chaque bâtiment. Il ne reste pas un seul immeuble intact. »Comme presque tous ses anciens voisins, Hani Hassan est descendant de Palestiniens qui ont fui ou ont été expulsés lors de la création de l'État d'Israël en 1948 :« Je suis né en Syrie, mais je suis palestinien. Je n'ai pas de passeport. Je ne peux pas voyager. Ma sœur est en Jordanie, je ne peux pas la voir. J'ai trois frères et sœurs à Gaza. Tout le monde déteste les Palestiniens. On nous a massacré en Jordanie, au Liban, ici ! Les peuples arabes disent s'intéresser à notre sort, mais c'est faux, personne ne veut de nous dans son pays. Je vous le dis, nous sommes l'épine dans le pied du monde entier. » À lire aussiSyrie: malgré l'urgence humanitaire les combats continuent au sud de Damas Un espoir de reconstruction pour un retour des populationsDans une rue étroite aux immeubles sans façade, une jeune femme pousse la porte en métal d'un rez-de-chaussée. Les étages supérieurs ne sont plus que des pans de murs entassés. Dans la petite pièce isolée du froid et de la lumière, c'est la grand-mère Safane qui commande :« Nous habitions déjà ici avant la guerre avec mes quatre enfants. Moi, j'habitais au rez-de-chaussée et mes enfants dans les étages. Mais tout ce qui est au-dessus de notre tête a été détruit. Je suis revenue il y a deux ans, ma maison avait été brulée. Regardez le plafond, les murs ! Alors, nous reconstruisons tout petit à petit. Mais je préfère être ici. Ma maison, c'est ma dignité. »La jeune fille qui nous a ouvert la porte s'est assise discrètement dans la pénombre. Elle confie : « J'aimerais être psychologue pour aider les enfants d'ici. Ils souffrent énormément. Quand je suis arrivée ici, j'avais très peur. J'étais seule dans ce quartier, il n'y avait personne dans les rues. Et puis, finalement, d'autres familles sont revenues avec des filles de mon âge. On va ensemble au collège et j'ai accepté la réalité : je vais vivre ici. » Avec la chute du régime, les habitants du camp de Yarmouk espèrent bientôt recevoir de l'aide financière afin de les aider à reconstruire et d'encourager leurs voisins à revenir.À lire aussiIsraël vise à nouveau la Syrie, l'ONU demande l'arrêt des «frappes israéliennes», contraires au droit international
Après 13 ans de guerre, la Syrie a aujourd'hui besoin d'aide humanitaire d'urgence. La Croix-Rouge a annoncé avoir besoin de 139 millions d'euros pour venir en aide à cinq millions de personnes. Certaines zones du pays sont également en ruines. C'est le cas du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk. Cette banlieue de Damas a été le théâtre d'affrontements du régime avec des groupes rebelles puis avec le groupe État islamique, avant d'être entièrement rasé. De nos envoyés spéciaux à Yarmouk,Dans le camp de Yarmouk, pas un immeuble n'est intact. Sur un amoncellement de gravats, Hani Hassan dirige la reconstruction d'une maison. Il commente :« Sur cette rue, avant, il y avait des agences d'assurances automobiles ! C'était très civilisé, mais en 2011 avec la révolution, tout a changé ! Le camp a été coupé du reste du monde par le régime. Les gens avaient faim, certains sont morts. Quand les forces rebelles sont parties de Yarmouk, le régime a forcé tout le monde à partir pour dix jours. L'aviation russe a frappé chaque bâtiment. Il ne reste pas un seul immeuble intact. »Comme presque tous ses anciens voisins, Hani Hassan est descendant de Palestiniens qui ont fui ou ont été expulsés lors de la création de l'État d'Israël en 1948 :« Je suis né en Syrie, mais je suis palestinien. Je n'ai pas de passeport. Je ne peux pas voyager. Ma sœur est en Jordanie, je ne peux pas la voir. J'ai trois frères et sœurs à Gaza. Tout le monde déteste les Palestiniens. On nous a massacré en Jordanie, au Liban, ici ! Les peuples arabes disent s'intéresser à notre sort, mais c'est faux, personne ne veut de nous dans son pays. Je vous le dis, nous sommes l'épine dans le pied du monde entier. » À lire aussiSyrie: malgré l'urgence humanitaire les combats continuent au sud de Damas Un espoir de reconstruction pour un retour des populationsDans une rue étroite aux immeubles sans façade, une jeune femme pousse la porte en métal d'un rez-de-chaussée. Les étages supérieurs ne sont plus que des pans de murs entassés. Dans la petite pièce isolée du froid et de la lumière, c'est la grand-mère Safane qui commande :« Nous habitions déjà ici avant la guerre avec mes quatre enfants. Moi, j'habitais au rez-de-chaussée et mes enfants dans les étages. Mais tout ce qui est au-dessus de notre tête a été détruit. Je suis revenue il y a deux ans, ma maison avait été brulée. Regardez le plafond, les murs ! Alors, nous reconstruisons tout petit à petit. Mais je préfère être ici. Ma maison, c'est ma dignité. »La jeune fille qui nous a ouvert la porte s'est assise discrètement dans la pénombre. Elle confie : « J'aimerais être psychologue pour aider les enfants d'ici. Ils souffrent énormément. Quand je suis arrivée ici, j'avais très peur. J'étais seule dans ce quartier, il n'y avait personne dans les rues. Et puis, finalement, d'autres familles sont revenues avec des filles de mon âge. On va ensemble au collège et j'ai accepté la réalité : je vais vivre ici. » Avec la chute du régime, les habitants du camp de Yarmouk espèrent bientôt recevoir de l'aide financière afin de les aider à reconstruire et d'encourager leurs voisins à revenir.À lire aussiIsraël vise à nouveau la Syrie, l'ONU demande l'arrêt des «frappes israéliennes», contraires au droit international
durée : 00:14:33 - Journal de 7 h - Reportage sur place dans ce journal de nos envoyés spéciaux.
durée : 00:14:33 - Journal de 7 h - Reportage sur place dans ce journal de nos envoyés spéciaux.
durée : 00:14:15 - Journal de 7 h - Un reportage marquant dans cette édition. À l'hôpital, où sont transférés les détenus de la sinistre prison de Saydnaya, certains détenus ont sombré dans la folie. Témoignage des horreurs du régime Al-Assad en Syrie.
durée : 00:14:15 - Journal de 7 h - Un reportage marquant dans cette édition. À l'hôpital, où sont transférés les détenus de la sinistre prison de Saydnaya, certains détenus ont sombré dans la folie. Témoignage des horreurs du régime Al-Assad en Syrie.
La récente interview du Ministre de l'Economie Antoine Armand est le fruit d'une crispation entre la droite et les macronistes au sein du gouvernement. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:30 - Le Billet politique - par : Catherine Duthu - Emplois fédéraux, tarifs douaniers, expulsion des sans-papiers : des élus républicains au Congrès et des conseillers de Donald Trump tentent de freiner les ardeurs protectionnistes et nationalistes du président élu, par crainte de pénaliser l'économie américaine. - invités : Catherine Duthu Journaliste à la rédaction de France Culture
Des garde-frontières saoudiens auraient tué des centaines de migrants éthiopiens. Des migrants qui tentaient de traverser illégalement la frontière entre le Yémen et l'Arabie entre mars 2022 et juin 2023. De terribles accusations de Human Rights Watch qui publiait, il y a un peu plus d'un an, une enquête explosive… Face aux preuves fournies par l'ONG, l'Éthiopie a annoncé une enquête conjointe avec les autorités saoudiennes. Rien n'a été rendu public. Et l'indignation finalement a laissé place au silence… La plupart des rescapés ont regagné leur village en Éthiopie. À quoi ressemble leur vie aujourd'hui ? Quels regards portent-ils sur ce qui leur est arrivé ? Seraient-ils prêts à repartir ?«Du rêve au cauchemar, quand les Éthiopiens tentent le tout pour le tout en Arabie Saoudite», un Grand reportage de Clothilde Hazard.
PODCAST - Deux anciennes "first ladies", dont une ex-candidate, et l'homme derrière le scandale du Watergate viennent de publier des livres, juste avant la présidentielle américaine du 5 novembre. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
PODCAST - Deux anciennes "first ladies", dont une ex-candidate, et l'homme derrière le scandale du Watergate viennent de publier des livres, juste avant la présidentielle américaine du 5 novembre. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
La capitale du Tchad est à nouveau menacée par la montée des eaux. Les habitants tentent de renforcer les berges de la rivière Chari en plaçant des sacs de sable le long du bord. Selon les Nations unies, les pluies diluviennes ont tué au moins 575 personnes et en ont blessé près de 2 millions d'autres dans tout le pays depuis le mois de juillet.
La mini-résurgence de l'inflation aux Etats-Unis a réveillé quelques doutes sur les marchés financiers, mais pas suffisamment pour provoquer davantage qu'une pause. La semaine se termine sur l'annonce d'un budget de crise en France, mais aussi dans l'attente de nouvelles mesures de soutien en Chine et dans la crainte d'une réplique israélienne contre l'Iran. Dans le volet purement boursier, trois grandes banques américaines, JPMorgan Chase, Wells Fargo et Bank of New York Mellon, vont donner le ton des résultats trimestriels.
En Côte d'Ivoire, plusieurs start-up sont apparues en janvier dernier pour accueillir les touristes à l'occasion de la CAN, la Coupe d'Afrique des nations. Six mois plus tard, quelques-unes ont su se maintenir à flot, et elles tentent de se faire une place sur ces marchés ultra-compétitifs face aux multinationales Uber et Airbnb. C'est le cas de Camansa et de Go'Babi. L'offre hôtelière ne manque pas à Abidjan : le marché est partagé entre Airbnb, pour les logements entiers, et Booking, réservé aux hôtels. Mais ces deux sites ont pour inconvénient de proposer très peu d'offres hors de la capitale économique, où la recherche de logements se fait généralement par le bouche-à-oreille. « Nous avons mis des équipes un peu partout dans le pays pour enregistrer ces différentes offres-là, explique Yann Akoun, l'un des fondateurs de la plateforme ivoirienne Camansa, qui entend pallier ce manque. Et on est parti dans des coins reculés. On parle de Korhogo, on parle de Man, on parle de Gagnoa, on parle de Tiassalé, ce genre d'endroits, où ce n'est pas vraiment simple de trouver des offres sur Airbnb. »Solution pour les villes régionalesAutre inconvénient d'Airbnb auquel se heurtent ses utilisateurs ivoiriens : l'absence de choix dans les moyens de paiement. « Peu de personnes utilisent la carte bancaire en Côte d'Ivoire, observe Yann Akoun. Donc les gens utilisent beaucoup le "mobile money", ils utilisent aussi le cash. Ça, c'est le premier obstacle. Le second obstacle, c'est que les gens ne connaissent pas forcément et n'utilisent pas beaucoup l'outil informatique. Et généralement, ce qu'on fait, c'est aller parler aux hôteliers qui n'ont pas vraiment la connaissance de ces outils informatiques. On arrive à leur montrer que cette plateforme-là peut rapporter du business. »La petite taille de Camansa, qui ne compte encore que 350 clients, permet d'offrir un accompagnement personnalisé et fait à la fois sa faiblesse et sa force.À lire aussiÉconomie: Lagos accueille le premier pôle d'une initiative pour soutenir les start-up africainesC'est aussi le cas de Go Babi qui s'inscrit dans un tout autre domaine d'activité, celui du transport urbain. L'application ivoirienne doit faire face à deux géants des VTC : l'Américain Uber et le Russe Yango. Sa stratégie pour se démarquer ? Des tarifs plus bas et sans majoration, grâce à une marge plus faible. « Quand on vient sur un marché compétitif comme ça, il faut forcément faire des concessions, remarque Yves Pacôme Djoman, responsable d'exploitation à Dayasam, la société propriétaire de Go Babi. La plupart des reproches que les gens font à Uber et Yango, c'est au niveau des tarifs. Les prix augmentent en période de haute demande, tôt le matin ou à la descente le soir, ou quand il pleut. Donc justement, Go Babi vient se positionner sur ce secteur-là pour apporter les tarifs compétitifs qui arrangent les chauffeurs et les clients. »Difficulté de passer à l'échelleMais la flotte de Go Babi ne compte qu'une trentaine de véhicules et pour les clients, le temps d'attente s'en ressent. « Les plaintes qui nous reviennent, c'est : "Vos prix sont bons, mais il n'y a pas assez de véhicules", reconnaît Yves Pacôme Djoman. Les temps d'attente sont très longs, donc les usagers ont tendance à rapidement retourner chez les concurrents, parce que là-bas, le véhicule va venir beaucoup plus vite… »Depuis quelques années, l'écosystème des start-up ivoiriennes est en pleine croissance. Le montant capté par celles-ci est passé de 1,8 million d'euros en 2019 à 30,2 millions d'euros en 2022.À lire aussiAu Rwanda, Kigali se veut la nouvelle place forte de la fintech en Afrique (1/2)
Le Maroc connaît sa sixième année de sécheresse consécutive. La chaleur affecte aussi directement l'agriculture et l'élevage. Les récoltes de céréales subissent des pertes de près de 44%. Alors les professionnels et l'État tentent de s'adapter. Omar Oualaidi, producteur d'oliviers, de céréales et de maraîchages a été obligé de modifier sa production pour s'adapter à la sécheresse. Il y a trois ans, l'agriculteur est passé des pastèques et des melons à la culture de pomme de terre, bien moins consommatrice en eau. « Ces dernières années, nous faisons face à des problèmes d'eau. L'année dernière, nous n'avons pas eu une goutte de pluie de février jusqu'à mai alors que c'est une période cruciale pour le maraichage, raconte l'agriculteur de 47 ans, mon seul puit était quasiment vide, j'en ai donc fait creuser un deuxième, mais il était vide aussi. J'ai investi pour rien ! Heureusement, fin mai, nous avons eu quelques pluies qui nous ont sauvés sinon on aurait tout perdu. »Quinoa et pistachiers pour limiter les impactsDans l'est, la région de Draa-Tafilalet est l'une des plus touchées par la sécheresse. Abdellah Mostapha est ingénieur agronome et chef de division du développement des filières agricoles au niveau de la région. Son rôle : accompagner l'adaptation à ce manque d'eau. « Dans le cadre des projets d'agriculture solidaire, on a essayé d'introduire certaines cultures qui s'adaptent à ces changements climatiques. Le quinoa, le moringa, le cactus, le pistachier. On essaye de les introduire pour limiter les impacts de ce déficit hydrique que connait la zone », explique-t-il. Le manque a aussi des conséquences pour les éleveurs du royaume.Manque de fourrages pour les éleveurs« On souffre beaucoup de ces difficultés climatiques. Ç'a surtout une répercussion sur les fourrages, on en a plus assez. Alors on a dû s'adapter et les changer, témoigne Mohamed Ayyad, éleveur à Errachidia, une ville de cette même région de Drâa-Tafilalet, aujourd'hui, je leur donne des déchets de dates broyés produits localement. Ça coûte moins cher, mais ç'a aussi une répercussion sur mon rendement. Avant, j'avais 300 têtes de brebis, je n'en ai plus que 150 ou 200. »Les précipitations du début d'année ont évité l'assèchement des sols, mais à seulement 23% de leur capacité, les nappes phréatiques et les barrages sont encore à un niveau très bas, et la canicule des derniers jours ajoute encore un peu plus d'inquiétude dans l'esprit des agriculteurs et éleveurs du Royaume.
durée : 00:20:05 - Journal de 18h - En Ukraine, une "bataille féroce" a lieu dans la région de Kharkiv, au nord est du pays, indiquent les autorités. Moscou a lancé une offensive terrestre.
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Alors que la réponse humanitaire manque de financement pour assurer la relocalisation et l'aide de base aux réfugiés qui ont fui les combats, les massacres et désormais la faim qui sévit au Soudan, ces derniers sont de plus en plus nombreux à poursuivre leur route, vers le nord du Tchad ou même vers l'Europe. De notre envoyé spécial à Farchana,À Farchana, au Tchad, dans le premier camp de réfugiés soudanais, on rencontre les anciens, ceux qui ont fui la guerre des années 2000 au Darfour et n'ont pas pu rentrer chez eux. Avec l'arrivée de près de 600 000 nouveaux Soudanais cette année, les humanitaires ont dû réduire l'aide jusqu'ici distribuée, poussant les plus jeunes à prendre la route, indique Mahamat Aladine : « Les jeunes quittent le camp pour chercher de l'or à Kouri Bougoudi dans le nord du Tchad. Ils y travaillent parfois plusieurs années dans des conditions extrêmement difficiles. Ils descendent dans des trous à plus de 100m de profondeur et, parfois, ont dû faire des mois sans rien trouver. La vie y est très chère et il n'y a presque pas d'eau... » Ceux qui survivent aux éboulements et parviennent à se faire un petit pécule poursuivent leur route. Mahamat Khamis Ismail est professeur. Il a vu partir nombre de ses élèves. « On a perdu tellement de jeunes, c'est dramatique... Plus de 100 personnes de la communauté sont mortes dans la mer Méditerranée. Même mon petit frère est parti. On s'est cotisé pour lui payer le voyage vers Kouri Bougoudi, il a trouvé un peu d'or et il est parti en Libye, mais là-bas, il s'est fait arrêter par la police avant de pouvoir traverser vers l'Europe. On a donné tout notre argent pour le faire libérer, mais depuis on a plus de nouvelles. Pour les jeunes, au Soudan, c'est la mort, au Tchad, c'est la misère, alors qu'est-ce qu'il leur reste ? Ils préfèrent mourir au cours du chemin que de ne pas tenter », se lamente-t-il.À écouter aussiSoudan: des réfugiés fuyant la guerre en proie à la famine au TchadCes mouvements devraient s'accentuer, notamment vu les conditions d'accueil au Tchad et surtout vu les profils des nouveaux réfugiés soudanais venus des grandes villes du Darfour comme El Geneina.« Les personnes qui sont des étudiants, des médecins, des avocats, des enseignants et qui sont restées dans des sites de réfugiés fait qu'il y a un désespoir qui cause un déplacement vers l'Europe, explique Jerome Merlin, représentant adjoint au Tchad du HCR, l'Agence des Nations unies pour les Réfugiés. On va dire que le Tchad est un peu une digue dans cette région. Mais si cette digue lâche, bien sûr qu'il pourrait y avoir des mouvements d'ampleur dans la sous-région et au-delà de la sous-région, notamment vers l'Europe. »« L'Europe est composée de grands pays bien plus riches que le Tchad, elle devrait prendre sa part… » estime, quant à lui, Mahamat Aladine. Selon le HCR, 6 000 réfugiés soudanais sont déjà arrivés en Italie depuis le début du conflit, soit près de six fois plus que l'année précédente. À écouter aussiRéfugiés soudanais au Tchad: le travail de collecte des traumatismes par l'ONG Handicap international
durée : 00:10:09 - Journal de 9h - Le Salon de l'Agriculture se poursuit ce dimanche à Paris. En parallèle des visites politiques, les agriculteurs sensibilisent les visiteurs à leurs difficultés.
durée : 00:04:25 - Le zoom de la rédaction - Depuis trois ans, la Justice tente de renforcer son action en matière d'environnement, avec 38 pôles régionaux spécialisés qui traitent actuellement 198 affaires. Dans les parquets, comme à Avignon, on tente de mieux poursuivre les délits liés à l'environnement, dans un quotidien déjà très chargé.
Karina vous dévoile l'actu régionale du moment. Retrouvez Bruno sur Fun Radio avec Bruno Guillon, Christina, Pino, Karina, et Maurine sur funradio.fr et sur l'application Fun Radio.
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Un cadavre retrouvé dans une malle en Moselle, des ossements découverts dans des cartons à Limoges, un corps enterré sous une dalle de béton à Bédarieux… Toutes ces affaires ont un point commun: la volonté des meurtriers de cacher le corps de leur victime et donc leur crime. Mais même quand le corps est déposé dans des endroits isolés, les enquêteurs ont des techniques pour les retrouver. Alors pourquoi est-il si difficile de faire disparaître un corps? Le colonel Thibaut Fritz, chef de division à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, répond à nos questions.
1. Présentation des invités :- Leur parcours de supporter, leur métier actuel2. Supporter et journaliste : dans quel sens ?- Est-ce que leur supporterisme ressort dans leur métier ?- Tentent-ils de le cacher ?- Un supporter journaliste est-il plus dur qu'un journaliste non-impliqué émotionnellement ?- Y a-t-il des journalistes qui le cachent mieux que d'autres ?3. Le journalisme qui assume son supporterisme : le modèle à suivre ?- Un modèle très commun en Espagne, bientôt en France aussi ?- Est-ce plus honnête pour le lecteur/auditeur ?4. Est-ce possible d'être supporter quand on est du milieu ?- Les coulisses rendent-elles la chose possible ?- Est-ce possible de revenir supporter quand on quitte le bureau ?Les participants du soir sont :Adrien Chantegrelet (Le Parisien) Mathieu Faure (So Foot / Nice Matin)Aymeric Le Gall (20 Minutes)Philippe Goguet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.