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durée : 00:14:32 - Journal de 7 h - Ils n'auront pas percé le blocus israélien sur Gaza, les militants du voilier Madleen attendent, ce mardi matin, d'être rapatriés depuis l'aéroport de Tel Aviv. Tandis que la voix de la France, s'élève encore un peu plus fort contre le blocus humanitaire de Gaza.
Budget 2025-2026 : entre satisfaction et vigilance, les acteurs attendent des résultats by TOPFM MAURITIUS
Pas facile pour les agriculteurs. Le Québec, champion dans l’attente aux urgences. Équipe Canada Junior : fin des témoignages. Les contre-tarifs ont été payants! De nouveaux chiffres sur les demandeurs d’asile. 50 000 billets vendus pour la comédie musicale Chicago ! Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vingt ans de réclusion criminelle et une rétention de sûreté ont été requis contre Joël Le Scouarnec, accusé de viols et agressions sexuelles sur 299 patients, en majorité mineurs. Les victimes et leurs proches attendent le verdict final de l'ancien chirurgien avec émotion et soulagement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« L'économie française a fait preuve de résilience en dépit d'une forte incertitude », selon le FMI qui enjoint donc la France à poursuivre ses efforts budgétaires. Que ce soit en matière de retraite ou d'assurance chômage, quelles sont les pistes proposées pour assainir nos comptes publics ? Réponse avec Anne de Guigné, éditorialiste au Figaro. Ecorama du 23 mai 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Que veulent vraiment les jeunes en 2025 ? C'est la question que s'est posé l'Institut Montaigne, think tank de référence en France et en Europe, qui a publié au mois d'avril dernier une étude autour des aspirations des jeunes âgés de 16 à 30 ans.L'étude explore en profondeur les grandes préoccupations d'une génération en quête de sens et d'impact dont le travail, l'équilibre de vie, le management mais aussi... le rapport au numérique.Que pensent les jeunes générations de leur environnement de travail et des outils numériques mis à leur disposition ?Alain vous invite à découvrir le rapport des jeunes avec le numérique et ce qu'ils attendent concrètement de ce dernier dans son podcast hebdomadaire !
Nommé ce jeudi 8 mai, les premiers mots du pape Léon XIV ont été pour la paix et les fidèles. Mais de nombreux chantiers attendent son pontificat, dans un contexte de crise pour l'Église catholique, qui peine à renouveler les vocations à travers le monde et se déchire entre progressistes et conservateurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le bilan des joueurs des Canadiens puis celui de l'état-major, mais aussi une analyse des forces en présence en ce deuxième tour des séries éliminatoires, sont au centre des discussions de Dany Dubé et Martin McGuire, dans le cadre de cette nouvelle édition du balado Bon match! mardi. Aussi au menu: Malgré la participation surprise aux séries, la direction du CH ne bronche pas. Qui prendra les places laissées vacantes par le départ de certains vétérans cet été? Le désavantage numérique aura besoin de nouveaux acteurs avec les départs potentiels de Dvorak et Armia en plus de la retraite de David Savard. Moins d’action pour Samuel Montembeault et plus pour Jakub Dobes la saison prochaine? Luc Robitaille a probablement pris la décision la plus difficile de sa carrière en remerciant son DG et ami Rob Blake. Les Islanders remportent la loterie: une formule compliquée et contre-productive, selon Dany Dubé. Les Oilers pourraient bien surprendre les Golden Knights, mais le gardien demeure la question numéro 1. La Caroline résistera-t-elle au jeu physique des Capitals? Longue série à prévoir entre les Leafs et les Panthers. Dallas va bénéficier du retour de Jason Robertson et Miro Heiskanen. La magie pourra-t-elle opérer à nouveau à Winnipeg? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Si le gouvernement est venu soutenir le personnel pénitentiaire ciblé par une large vague d'attaques, aucune mesure réclamée n'a été annoncée. L'occasion a surtout permis de s'enorgueillir d'une lutte efficace contre le narcotrafic, coupable désigné à ce stade, sans précaution. Un article de Clément Rabu, publié le 23 avril 2025, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trois décennies après, les guerres des années 90 continuent d'alimenter les tensions politiques dans les Balkans, en Bosnie-Herzégovine, et au Kosovo où la question des disparus oppose Belgrade et Pristina. Les disparus du Kosovo Depuis février 2022 et le retour de la guerre en Europe, la crainte d'une déstabilisation de certains territoires ou de la reprise de conflits gelés inquiète régulièrement experts et ambassades, notamment dans les Balkans. La question des 1.600 disparus est au cœur du bras de fer qui oppose la Serbie et son ancienne province majoritairement peuplée d'Albanais, le Kosovo. Belgrade et Pristina s'accusent mutuellement de ne pas donner accès aux archives et à l'ensemble des fosses communes. Pendant ce temps, les familles, elles, attendent toujours. Reportage à Gjakova, Louis Seiller. En un mot : cinquième colonneUne autre région d'Europe est en alerte face à la Russie et plus encore depuis le retour de Donald Trump au pouvoir à Washington, ce sont les Pays Baltes. En témoigne par exemple, en Lituanie, le retour dans le débat de l'expression « cinquième colonne », qui évoque un climat de suspicion déjà vu. C'est la chronique En un mot de cette semaine, avec les explications de notre correspondante à Vilnius, Marielle Vitureau. L'extrême droite confirmera-t-elle sa poussée en Roumanie ? Le scrutin présidentiel approche, il aura lieu le 4 mai - dans un climat tendu. Depuis l'annulation spectaculaire du premier tour en décembre 2024, la démocratie roumaine vit une période agitée. La tension s'est encore accrue après le rejet de la candidature du favori Calin Georgescu. Cette figure de l'extrême-droite, qui avait émergé l'an dernier, ne sera pas dans la course, en raison d'irrégularités et de soupçons d'ingérence russe a jugé la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas du goût d'une assez grande partie de la population, les manifestations houleuses qui ont suivi l'ont montré. La percée de l'extrême droite, qui a surpris à l'automne, pourrait se confirmer. Elle a déjà commencé à marquer la société. Reportage de Benjamin Ribout à Bucarest. Le deuil des catholiques latino-américains de MadridLe décès du pape François a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 21 avril en Espagne. Dans ce grand pays catholique, le gouvernement a déclaré 3 jours de deuil national, et le Real Madrid a observé une minute de silence. Même si le pape argentin n'était pas apprécié partout de la même manière, l'émotion est palpable. Et tout spécialement dans la communauté latino-américaine, très présente dans le pays, venue en particulier du Venezuela, de Colombie et d'Équateur. Reportage à Madrid, François Musseau.
Trois décennies après, les guerres des années 90 continuent d'alimenter les tensions politiques dans les Balkans, en Bosnie-Herzégovine, et au Kosovo où la question des disparus oppose Belgrade et Pristina. Les disparus du Kosovo Depuis février 2022 et le retour de la guerre en Europe, la crainte d'une déstabilisation de certains territoires ou de la reprise de conflits gelés inquiète régulièrement experts et ambassades, notamment dans les Balkans. La question des 1.600 disparus est au cœur du bras de fer qui oppose la Serbie et son ancienne province majoritairement peuplée d'Albanais, le Kosovo. Belgrade et Pristina s'accusent mutuellement de ne pas donner accès aux archives et à l'ensemble des fosses communes. Pendant ce temps, les familles, elles, attendent toujours. Reportage à Gjakova, Louis Seiller. En un mot : cinquième colonneUne autre région d'Europe est en alerte face à la Russie et plus encore depuis le retour de Donald Trump au pouvoir à Washington, ce sont les Pays Baltes. En témoigne par exemple, en Lituanie, le retour dans le débat de l'expression « cinquième colonne », qui évoque un climat de suspicion déjà vu. C'est la chronique En un mot de cette semaine, avec les explications de notre correspondante à Vilnius, Marielle Vitureau. L'extrême droite confirmera-t-elle sa poussée en Roumanie ? Le scrutin présidentiel approche, il aura lieu le 4 mai - dans un climat tendu. Depuis l'annulation spectaculaire du premier tour en décembre 2024, la démocratie roumaine vit une période agitée. La tension s'est encore accrue après le rejet de la candidature du favori Calin Georgescu. Cette figure de l'extrême-droite, qui avait émergé l'an dernier, ne sera pas dans la course, en raison d'irrégularités et de soupçons d'ingérence russe a jugé la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas du goût d'une assez grande partie de la population, les manifestations houleuses qui ont suivi l'ont montré. La percée de l'extrême droite, qui a surpris à l'automne, pourrait se confirmer. Elle a déjà commencé à marquer la société. Reportage de Benjamin Ribout à Bucarest. Le deuil des catholiques latino-américains de MadridLe décès du pape François a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 21 avril en Espagne. Dans ce grand pays catholique, le gouvernement a déclaré 3 jours de deuil national, et le Real Madrid a observé une minute de silence. Même si le pape argentin n'était pas apprécié partout de la même manière, l'émotion est palpable. Et tout spécialement dans la communauté latino-américaine, très présente dans le pays, venue en particulier du Venezuela, de Colombie et d'Équateur. Reportage à Madrid, François Musseau.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la fusillade qui s'est produit à Rennes à l'intérieur d'un fast-food «Subway».Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
150 millions de francs-or, c'est le prix colossal que les Haïtiens ont accepté, sous la menace militaire, de payer à la France, au roi Charles X, pour la reconnaissance de leur indépendance. C'était le 17 avril 1825, soit un peu plus de 21 ans après la victoire des esclaves contre l'armée napoléonienne. Pour rembourser cette somme, destinée à dédommager les anciens colons, les Haïtiens ont contracté des prêts, là aussi auprès des banques françaises. C'est donc ce qu'on appelle la « double » dette d'Haïti. Certains parlent même désormais de « rançon ». 200 ans plus tard, jour pour jour, cette question hante encore de nombreux esprits : et si Haïti n'avait jamais eu à payer cette dette, dès le début de son indépendance ? Le pays serait-il aujourd'hui dans une situation différente ? Le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama, est allé à la rencontre d'Haïtiens qui ressentent, pour beaucoup, un profond sentiment d'injustice, car Haïti, toute jeune république, a dû donner à la France de l'argent qu'elle n'avait pas. Sans cette dette, le pays serait aujourd'hui dans une bien meilleure situation, affirment ces Haïtiens qui espèrent que la France va réparer. Un « engrenage pour Haïti »Pour prolonger la discussion, RFI reçoit Pierre-Yves Bocquet, directeur adjoint de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage qui confirme que cette dette « porte un coup d'arrêt au développement économique d'Haïti » et a mis le pays « sur une mauvaise voie ». Pierre-Yves Bocquet parle d'« engrenage » même si cet endettement n'explique pas à lui seul la situation actuelle du pays.Faire avancer l'histoireAu sujet du travail historique voulu par Emmanuel Macron (et annoncé par l'Élysée, plus tard ce jeudi 17 avril 2025), Pierre-Yves Bocquet juge que « cela ouvre une porte vers quelque chose de neuf ».Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, en ligne d'Haïti comme chaque jeudi, espérait, lui, « une surprise ». « Pour la première fois, la déclaration va être faite depuis Paris », explique le journaliste qui rappelle que François Hollande avait évoqué la dette haïtienne à Port-au-Prince. Frantz Duval attendait donc qu'Emmanuel Macron fasse plus que son prédécesseur afin « faire avancer cette histoire douloureuse entre nos deux pays ».Le Journal de la 1èreC'est officiel : en Guadeloupe, l'usine de Gardel ne fabriquera pas de « sucre bio » cette année.
Les Prédateurs affronteront une équipe qui a manqué de sommeil. En effet, les Canadiens sont rentrés à Nashville à 3:00 am, heure de Montréal . Les bagages n’ont pas suivi l’équipe. Plusieurs porteront donc le même costume deux soirs de suite et ce n’est même pas une question de superstition! Est-ce que les Canadiens peuvent remporter un cinquième match de suite? Écoutez ce segment d'avant-match du balado Bon match! Selon Dany Dubé et Martin McGuire, tout est possible à condition que les Canadiens: Connaissent un bon départ; Gardent le pointage du match bas; Bénéficient d'un gardien en grande forme, surtout en début de match; Dominent dans la guerre des unités spéciales. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Ce mercredi 26 mars, conséquences des décisions de Donald Trump sur les marchés internationaux, ainsi que les moyens employés par Vega Investmet Managers ont été abordés par Marc Riez, directeur général Vega Investment Managers, et Antoine Larigaudrie, journaliste BFM Business, dans Tout pour investir, présenté par Lorraine Goumot, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:05 - Hockey - Les Gothiques attendent Grenoble sans complexe pour la suite des 1/2 finale de playoffs au Coliséum
durée : 00:02:04 - Le brief politique - Il faudra encore attendre pour connaître le projet du patron d'Horizons pour le pays. Le désengagement des États-Unis en pleine guerre en Ukraine percute le programme de son deuxième congrès interrégional prévu dimanche à Lille.
ZAN, trois lettres devenues le cauchemar de beaucoup de maires... ZAN pour zéro artificialisation nette des sols. Adoptée en 2021, la loi vise à limiter l'étalement urbain, et en 2050 il sera impossible pour les villes de construire sur une terre sans en rendre autant à la nature. Arthur Bellier a rencontré pour RTL des maires qui attendent impatiemment un assouplissement, parce qu'ils craignent pour la survie de leur commune. Ecoutez RTL inside avec Arthur Bellier du 12 mars 2025.
durée : 00:50:10 - Allo Malherbe - Ce lundi soir, Allo Malherbe est revenu sur la défaite des footballeurs caennais face à Laval et sur le prochain déplacement à Amiens. Les auditeurs ont salué les supporters et se sont interrogés sur les choix de joueurs.
Invité de la Grande interview Europe 1-CNews ce vendredi matin, François Bayrou est attendu sur L'Ukraine et surtout trois dossiers sensibles. Le dossier algérien, la réforme des retraites et la légalisation de l'euthanasie sont les trois sujets phares qui attendent le Premier ministre.
Dans ce podcast exclusif, nous recevons Serge et Vanna, deux juges éminents du bodybuilding français, qui seront présents à Metz le 28 septembre pour juger la plus grande compétition de bodybuilding en France.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
De nombreux clients se sont pressés dans la boutique parisienne de la marque Vorwerk, après l'annonce du nouveau Thermomix. L'appareil, qui sort le 7 avril, n'est pas encore disponible en magasin.
C'est l'une des priorités affichées du nouveau gouvernement de Damas, et l'un des sujets qui devrait être évoqué, jeudi 13 février, lors de la conférence internationale pour la Syrie qui se tient à Paris. Après plus de 50 ans d'un régime très autoritaire et près de 14 ans de guerre civile, comment rendre justice pour tous les crimes commis ? Torture, bombardement de zones civiles, utilisation d'armes chimiques : les atrocités commises en Syrie sous Assad sont nombreuses. Et les attentes de la population sont grandes. De nos envoyés spéciaux à Damas,Au siège de la Défense civile de Damas, une sirène retentit. Un camion de pompiers se met alors rapidement en mouvement. Ce sont des Casques blancs, la Défense civile active avant la chute de Bachar el-Assad dans le Nord-Ouest de la Syrie. Ils sont désormais installés dans la capitale.Après une dizaine d'années passées à porter secours à des victimes de bombardements, les Casques Blancs ont désormais une activité plus classique de pompiers. Mais la guerre reste présente dans leur travail ; ils sont toujours à la recherche de charniers. Depuis la chute de Bachar el-Assad et sa fuite en Russie, ils en ont découvert 40.Ces charniers révèlent l'ampleur des crimes et du cynisme du régime déchu, souligne Ahmad Yazji, l'un des fondateurs des Casques blancs : « Le charnier le plus révulsant est celui que nous avons trouvé à Damas dans un endroit que le régime voulait transformer en parc. Un parc sous lequel se trouvaient des centaines de corps. »Pour l'heure, les charniers découverts sont refermés et préservés, dans l'attente de pouvoir identifier les victimes et afin de permettre la collecte de preuves. Depuis qu'ils ont commencé leurs activités, les Casques blancs ont tenu à recenser les victimes et garder des traces des bombardements sur lesquels ils intervenaient. « Des crimes de guerre », dit Ahmad Yazji. Des crimes pour lesquels il y a un besoin de justice.À lire aussiProcès en France des crimes du régime syrien: «Des détenus mourraient quotidiennement sous la torture»« Nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie »« Depuis le début, nous croyons que la justice doit avoir lieu, quel que soit le parti au pouvoir. Et maintenant que le régime a disparu, nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie. Nous exigeons aussi que les criminels rendent des comptes devant des institutions gouvernementales et rejetons les actes de revanche », insiste Ahmad Yazji.Entre 2011 et 2020, Shadi Haroun a connu près d'une décennie d'emprisonnement. Le crime qui lui était : avoir organisé des manifestations anti-Assad dans sa ville de la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. Pour cela, lui et son frère ont été transférés de prison en prison. Homs, Tartous, Alep et la plus sinistre d'entre elles : Saïdnaya.« Le plus important, c'était la mentalité des geôliers. Je me souviens d'une phrase forte de l'un d'entre eux : "Je suis Dieu ici. Je peux te faire vivre ou te faire mourir." À cause de cette mentalité, vous pouviez mourir à tout moment. Ou au contraire, ils pouvaient vous donner un peu plus de nourriture », raconte Shadi Haroun.« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel »Une étude de l'association des anciens détenus de Saïdnaya indique qu'entre 2011 et 2020, 40 000 personnes ont été incarcérées dans cette prison. Seules 5 000 en sont sorties vivantes. Aujourd'hui, l'association souhaite que justice soit rendue à travers un processus national. Et celui-ci doit véritablement être collectif, insiste Shadi Haroun :« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel. Il ne faut pas que gouvernement prenne des décisions seul à propos des victimes. Aucune des parties prenantes ne le devrait, qu'il s'agisse de personnes influentes ou de responsables politiques. Parce que c'est un processus collectif. »L'association des anciens détenus de Sednaya a déjà eu des contacts avec les nouvelles autorités pour évoquer la mise en place de cette justice transitionnelle. Ils ont eu un entretien avec le nouveau président intérimaire, Ahmed al-Charaa. Mais dans un pays qui recherche encore des milliers de disparus, la justice prendra du temps. « Plusieurs décennies », anticipe Shadi Haroun.Et pour être sincère, la justice devra examiner tous les crimes commis durant ses 14 années de guerre par l'ensemble des parties en conflit, y compris par les vainqueurs d'aujourd'hui.À lire aussiSyrie: après la chute d'Assad, les attentes des Syriens à l'égard de la communauté internationale
C'est l'une des priorités affichées du nouveau gouvernement de Damas, et l'un des sujets qui devrait être évoqué, jeudi 13 février, lors de la conférence internationale pour la Syrie qui se tient à Paris. Après plus de 50 ans d'un régime très autoritaire et près de 14 ans de guerre civile, comment rendre justice pour tous les crimes commis ? Torture, bombardement de zones civiles, utilisation d'armes chimiques : les atrocités commises en Syrie sous Assad sont nombreuses. Et les attentes de la population sont grandes. De nos envoyés spéciaux à Damas,Au siège de la Défense civile de Damas, une sirène retentit. Un camion de pompiers se met alors rapidement en mouvement. Ce sont des Casques blancs, la Défense civile active avant la chute de Bachar el-Assad dans le Nord-Ouest de la Syrie. Ils sont désormais installés dans la capitale.Après une dizaine d'années passées à porter secours à des victimes de bombardements, les Casques Blancs ont désormais une activité plus classique de pompiers. Mais la guerre reste présente dans leur travail ; ils sont toujours à la recherche de charniers. Depuis la chute de Bachar el-Assad et sa fuite en Russie, ils en ont découvert 40.Ces charniers révèlent l'ampleur des crimes et du cynisme du régime déchu, souligne Ahmad Yazji, l'un des fondateurs des Casques blancs : « Le charnier le plus révulsant est celui que nous avons trouvé à Damas dans un endroit que le régime voulait transformer en parc. Un parc sous lequel se trouvaient des centaines de corps. »Pour l'heure, les charniers découverts sont refermés et préservés, dans l'attente de pouvoir identifier les victimes et afin de permettre la collecte de preuves. Depuis qu'ils ont commencé leurs activités, les Casques blancs ont tenu à recenser les victimes et garder des traces des bombardements sur lesquels ils intervenaient. « Des crimes de guerre », dit Ahmad Yazji. Des crimes pour lesquels il y a un besoin de justice.À lire aussiProcès en France des crimes du régime syrien: «Des détenus mourraient quotidiennement sous la torture»« Nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie »« Depuis le début, nous croyons que la justice doit avoir lieu, quel que soit le parti au pouvoir. Et maintenant que le régime a disparu, nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie. Nous exigeons aussi que les criminels rendent des comptes devant des institutions gouvernementales et rejetons les actes de revanche », insiste Ahmad Yazji.Entre 2011 et 2020, Shadi Haroun a connu près d'une décennie d'emprisonnement. Le crime qui lui était : avoir organisé des manifestations anti-Assad dans sa ville de la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. Pour cela, lui et son frère ont été transférés de prison en prison. Homs, Tartous, Alep et la plus sinistre d'entre elles : Saïdnaya.« Le plus important, c'était la mentalité des geôliers. Je me souviens d'une phrase forte de l'un d'entre eux : "Je suis Dieu ici. Je peux te faire vivre ou te faire mourir." À cause de cette mentalité, vous pouviez mourir à tout moment. Ou au contraire, ils pouvaient vous donner un peu plus de nourriture », raconte Shadi Haroun.« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel »Une étude de l'association des anciens détenus de Saïdnaya indique qu'entre 2011 et 2020, 40 000 personnes ont été incarcérées dans cette prison. Seules 5 000 en sont sorties vivantes. Aujourd'hui, l'association souhaite que justice soit rendue à travers un processus national. Et celui-ci doit véritablement être collectif, insiste Shadi Haroun :« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel. Il ne faut pas que gouvernement prenne des décisions seul à propos des victimes. Aucune des parties prenantes ne le devrait, qu'il s'agisse de personnes influentes ou de responsables politiques. Parce que c'est un processus collectif. »L'association des anciens détenus de Sednaya a déjà eu des contacts avec les nouvelles autorités pour évoquer la mise en place de cette justice transitionnelle. Ils ont eu un entretien avec le nouveau président intérimaire, Ahmed al-Charaa. Mais dans un pays qui recherche encore des milliers de disparus, la justice prendra du temps. « Plusieurs décennies », anticipe Shadi Haroun.Et pour être sincère, la justice devra examiner tous les crimes commis durant ses 14 années de guerre par l'ensemble des parties en conflit, y compris par les vainqueurs d'aujourd'hui.À lire aussiSyrie: après la chute d'Assad, les attentes des Syriens à l'égard de la communauté internationale
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Dans son zapping, Dimitri Vernet revient sur les événements politiques de la semaine.
À Gaza, un cessez-le-feu avec une libération d'otages semble en passe d'être signé, après 15 mois de guerre avec Israël. Les négociations en sont au stade final. C'est ce qu'affirme le Qatar qui organise les pourparlers entre le Hamas et Israël. À Tel Aviv, des milliers d'Israéliens se sont rassemblés le mardi 14 janvier.
durée : 00:02:02 - Le vrai ou faux - Le procureur général près la Cour de cassation Rémy Heitz a alerté sur le manque de moyens dans la justice, dénonçant l'allongement des délais avant de juger les affaires criminelles.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 17 novembre 2024.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Le parti au pouvoir au Sénégal se dirige vers une majorité écrasante au Parlement et les Sénégalais attendent à présent que le président et le Premier ministre s'en servent pour soulager leur quotidien et appliquer l'agenda de rupture et de justice sociale qui les a propulsé au pouvoir il y a huit mois. Les Sénégalais attendent désormais des résultats concrets de leur équipe dirigeante. Reportage à Dakar de nos correspondants.
L'ÉDITORIAL DU FIGARO - Hantés par la crainte de perdre leur patrimoine matériel et immatériel, ils jugent leurs élus impuissants à répondre aux trois grandes demandes majoritaires : pouvoir d'achat, ordre public, immigration.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dix jours : le nouvel ouvrage de Marie Laberge disponible en librairies depuis le 8 octobre. Entrevue avec Marie Laberge, dramaturge et romancière.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Lancé en 2021 par le Pape François, le débat sur l'avenir de l'Église consiste pour les catholiques français à réfléchir sur la manière de la faire évoluer. Au menu : la place des femmes et des laïcs.
Lancé en 2021 par le Pape François, le débat sur l'avenir de l'Église consiste pour les catholiques français à réfléchir sur la manière de la faire évoluer. Au menu : la place des femmes et des laïcs.
Alors que les tractations ont commencé en vue de la formation d'un gouvernement en France, les dossiers brûlants s'accumulent sur les bureaux des ministères. La situation de l'hôpital public est particulièrement préoccupante. Début septembre, les hôpitaux publics ont alerté sur leur situation financière : d'après la Fédération hospitalière de France leur déficit continue de s'aggraver et devrait dépasser 2 milliards d'euros en 2024. Dans le même temps, le manque de personnel soignant continue de provoquer des fermetures de lits. D'après les dernières estimations, 15 000 postes de praticiens hospitaliers sont toujours vacants et autant d'infirmiers ou d'infirmières. Deux chiffres d'apparence sans rapport, mais qui pourraient expliquer l'incertitude dans laquelle sont abandonnés les médecins étrangers.À l'hôpital, presque un médecin sur trois a été formé hors de France et pour la moitié d'entre eux, dans un pays extérieur à l'Union européenne (UE) : dans le jargon, on les appelle les « Padue », pour praticiens à diplôme hors Union européenne. Dans de nombreux hôpitaux, ils sont devenus indispensables. « Dans mon service d'oncologie, nous sommes trois pour tout le département où je travaille », explique Zaïneb*, radiothérapeute et diplômée de la faculté de médecine de Casablanca au Maroc. « J'ai mes propres patients, j'encadre même un interne. » Pourtant, les Padhue ne sont pas reconnus comme des médecins à part entière.Un concours qui ne dit pas son nomPour cela, ils doivent passer un « examen de validation des compétences », censé garantir la qualité de leur formation. Un examen qui porte mal son nom puisque dans les faits, il s'agit d'un concours avec à chaque fois un nombre limité d'élus. Tous les ans, des médecins en poste qui exercent parfois depuis des années en France, échouent. « J'ai eu 13,5 à l'examen l'an dernier. Le seuil en oncologie était de 13,95, donc je n'ai pas été retenue pour une histoire de virgule », raconte Zaïneb. Dans certaines spécialités, le recrutement est même encore plus sévère. « L'an dernier, ils avaient annoncé 37 postes en ophtalmologie et ils n'ont retenu que 17 candidats. Je connais des gens qui ont eu 15 sur 20 et qui n'ont pas eu le concours. Des médecins qui ont exercé pendant plusieurs années, au service de la population et qui se voient refuser le droit d'appartenir au corps médical français alors qu'ils ont eu une excellente note, je ne comprends pas. »Sous la pression des hôpitaux, le gouvernement d'Élisabeth Borne avait promis de ne pas laisser les Padhue ayant échoué à l'examen sans solution. Une loi a été votée fin 2023 prolongeant leur autorisation de travail pour 13 mois renouvelables. Sauf que le décret d'application n'a jamais été publié. « On se retrouve dans une impasse avec un certain nombre de médecins qui ont quitté leur poste, ce qui entraîne des fermetures de consultation et des fermetures de lit. Un certain nombre sont même rentrés dans leur pays d'origine, s'alarme Christophe Prudhomme, porte-parole des médecins urgentistes de France et responsable de la CGT santé. Un collègue est rentré chez lui au Rwanda parce qu'il n'a pas eu l'autorisation de rester en France alors qu'il avait été responsable d'une réanimation en Auvergne pendant toute la période Covid-19. C'est quand même un problème ! »Des médecins beaucoup moins payés que leurs collègues françaisL'explication est peut-être à trouver du côté des finances publiques. Si tous les Padhue voyaient leurs diplômes reconnus, il faudrait les payer comme des médecins français. Or aujourd'hui un Padhue à son arrivée en France est payé 1 700 euros brut, soit beaucoup moins qu'un médecin français et même moins qu'un interne. Même quand ils bénéficient d'un droit temporaire d'exercer, ils restent largement sous-payés : Zaïneb gagne cinq fois moins que ses collègues français.« Et cela reste un statut précaire. Que deviendrons-nous dans deux ans ?, s'inquiète-t-elle. L'idée n'est pas de créer un appel d'air et de dépouiller les pays qui forment ces médecins qui viennent ensuite exercer en Europe », souligne Christophe Prudhomme. « Mais ceux qui sont là et qu'ils souhaitent rester, ils bossent ici, ils restent ici' c'est le slogan de la CGT. Surtout que ce sont des travailleurs indispensables pour maintenir l'hôpital public à flot ».Le médecin urgentiste a une explication plus cynique encore pour expliquer les réticences de l'exécutif à régulariser la situation des médecins étrangers. « Les Padhue assurent leur service dans des hôpitaux de petite taille que le gouvernement veut fermer, accuse-t-il. Donc en faisant fuir les Padhue, n'ayant aucun médecin pour les remplacer, cela permet d'accélérer les fermetures de services et d'hôpitaux de proximité. » Autant dire que la position du nouveau gouvernement sur ce dossier sensible est très attendue.*À sa demande, son nom de famille a été omis.À lire aussiLégislatives en France: la montée du RN inquiète les médecins étrangers et les hôpitaux publics
Presque deux ans après la fin de la guerre, le Tigré, dans le nord de l'Éthiopie, est toujours face à d'immenses défis. Le conflit avait opposé les Tigréens au pouvoir central éthiopien, allié de l'Érythrée voisine et d'autres régions comme la région Amhara. La guerre pourrait avoir fait 600 000 morts, selon l'Union africaine, sans compter un très grand nombre de pillages et destructions. Des centaines de milliers de personnes sont encore déplacées, car malgré l'accord de paix, le nord du Tigré reste occupé par l'Érythrée. L'ouest a lui été en partie conquis par les Amharas. De notre envoyé spécial de retour de Shire,Il est neuf heures au camp Preparatory. Des déplacés passent le temps en jouant au baby-foot. Ils attendent chaque jour un retour sur leur terre dans l'ouest, occupée par les Amharas.« Le problème, c'est la sécurité. Les Érythréens et les Amharas ont tué nos familles, violé nos femmes. On ne peut pas rentrer comme ça. Les forces du Tigré doivent les refouler. Car la tension est encore forte entre nous. Nous voulons des garanties et qu'ils soient partis. Nous sommes prêts à pardonner. Mais nous voulons rentrer chez nous », déplore leur représentant, Debrewahit Hagos Yohannes.À lire aussiSur les routes d'un Tigré ravagé« J'ai perdu tout espoir de rentrer »Les déplacés de Shire subissent un quotidien claustrophobe, avec la frontière érythréenne toute proche, beaucoup se disent cernés par l'ennemi. Amanuel Debrekiros Gebremedin demande qu'on le protège.« J'ai vu les miliciens Amharas abattre trois jeunes devant moi. Alors, j'ai fui, témoigne-t-il. Mais aujourd'hui, j'ai perdu tout espoir de rentrer. Tant que les Amharas seront là-bas, pas question de revenir. Et les Érythréens tout proches, ça ne me rassure pas. Les Tigréens doivent garantir notre sécurité, pas le gouvernement fédéral qui nous a fait la guerre. »Les autorités avaient annoncé un retour au 7 juillet. Certains ont pu rentrer chez eux, mais ils sont encore des milliers dans le camp, comme Berhane Belay, qui évoque avec nostalgie Humera, sa ville natale, à 300 km.« Ma maison me manque. Sentir le sable sous mes pieds me manque. Mon travail me manque. Je vendais du lait, des papayes, des mangues. J'aidais les plus pauvres. Notre communauté était soudée. Mais ici, je ne peux plus rien faire, tout le monde est démuni », confie-t-elle.Une situation critiqueLe besoin de rentrer est d'autant plus fort que l'aide humanitaire est faible. De nombreux déplacés partent le matin chercher du travail en ville ou mendier. Terhassa Dissu a été réfugiée au Soudan, aujourd'hui en pleine guerre civile, et a dû rentrer au Tigré, non sans un certain regret.« Il y avait tellement de bombardements. Les soldats tiraient dans la foule. Donc, on a fui. Nous vivions en paix au Soudan. Mais une nouvelle guerre a éclaté là-bas. Nous nous sommes dits que si nous devons mourir, autant mourir sur notre terre, donc nous sommes revenus au Tigré, explique Terhassa Dissu. Sauf qu'au Soudan, au moins, on recevait beaucoup d'aide. Ici, il n'y a rien. Je regrette même d'être revenue au Tigré. »Les autorités tigréennes demandent à la communauté internationale de ne pas détourner le regard et d'augmenter l'aide humanitaire. Car malgré l'accord de paix, la situation reste critique.À lire aussiÉthiopie: des déplacés du Tigré, entre traumatisme et rage après les exactions des miliciens Amharas
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