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durée : 00:15:33 - L'invité du 13/14 - Jean- François Vigier, vice-président de l'Association des maires de France, maire de Bures-sur-Yvette, en Essonne. Laurent Soulat, Economiste à la Direction des politiques sociales de la Caisse des Dépôts et co-auteur d une étude sur les femmes engagées dans les conseils municipaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Ce dimanche 14 septembre, inédit en centre-ville d'Angoulême !!! la première course de caisse à savon à vivre place New-York. Dès 10h, la course, les […]
Avec non pas une, ni deux, mais trois entreprises créées et vendues, Christophe Cremer, fondateur de Meilleurtaux nous a fait l'honneur de venir partager les coulisses de sa vente à la Caisse d'Épargne pour la centième de Cash out ! Pour l'occasion on a vu grand : - tournage en public avec des anciens invités et auditeurs du format - un come back de trois anciens invités du média : Sophie Desmazières, Exit avec BureauxLocaux, Vincent Klingbeil, Exit avec Ametix, et Gary Anssens, Exit avec Alltricks. - deux co-hosts habitués du format : Karine Wilkinson, managing director de la banque privée Pictet et Sacha Doliner, fondateur de la banque d'affaires Neumann Résumé : Quand Christophe Crémer lance @Meilleurtaux1 au tournant des années 2000, personne n'y croit vraiment. Les banques rechignent à ouvrir leurs données, les clients hésitent à faire confiance à un simulateur en ligne, et l'idée qu'un site Internet puisse bouleverser le crédit immobilier semble folle. Pourtant, en quelques années, Meilleurtaux devient un réflexe pour des millions de Français. Christophe se souvient des premiers RDV où il fallait convaincre des banquiers que « oui, un client pouvait démarrer son prêt depuis un écran d'ordinateur ». Anecdote marquante : certains établissements l'avaient même blacklisté avant de revenir frapper à sa porte, contraints par le succès grandissant de la plateforme. Puis vient l'heure de la cession. On est en 2007, Meilleurtaux est devenu trop gros pour rester seul, mais pas encore assez armé pour rivaliser sans adossement. Et surtout, la nuage des subprimes commence de plus en plus à s'assombrir. La Caisse d'Épargne se présente alors comme l'acquéreur idéal. Les négociations s'enchaînent, parfois cordiales, parfois tendues : qui gardera la main sur la stratégie ? Comment préserver l'agilité d'une start-up dans l'univers rigide d'une banque ? Le jour du signing, Christophe signe le contrat de sa vie… mais il comprend vite qu'il a changé de monde. Ce n'est plus celui de l'entrepreneur indépendant, mais celui des grands groupes, avec leurs codes, leurs rapports de force et leurs jeux politiques. Très vite, l'intégration tourne au bras de fer. En conseil d'administration, la pression monte. Trois mois à peine après la cession, la Caisse d'Epargne – pourtant partenaire historique – décide brutalement de ne plus travailler avec Meilleurtaux. Un coup de massue qui fragilise la société et alimente les tensions. Très vite, l'intégration tourne au bras de fer. En conseil d'administration, la pression monte. Trois mois à peine après la cession, une partie des caisses du Groupe décide de ne plus travailler avec Meilleurtaux. Un coup de massue qui fragilise la société et alimente les tensions.Et ce n'est que le début. Et on vous raconte tout.Un podcast conçu par FeuilleBlanche, producteurs de médias, podcasts, et récits stratégiques pour les marques. À vos écouteurs
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Écoutez Michèle Boisvert brosser le portrait de Maarika Paul au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:03:20 - Le coup de cœur, ici Orléans - Le 16 septembre, Villemoutier accueillera un événement original, et accessible à tous, où déguisements et créativité seront à l'honneur. L'association Enfants en Folie organise un défilé de caisses à savon, un défilé ludique et gratuite qui promet de divertir petits et grands. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans un contexte international marqué par une augmentation des dépenses de défense, le réarmement de l'Otan, dans la prochaine décennie, pourrait générer en France, un marché annuel de 45 milliards d'euros et entrainer la création de plus de 500 000 emplois. Mais la capacité industrielle tricolore est aujourd'hui sous-dimensionnée pour répondre à l'accroissement de la demande. Un immense défi capacitaire doit être relevé si Paris veut conserver la deuxième place mondiale en matière d'exportations d'armes. [Rediffusion] La France est-elle prête à répondre aux enjeux du réarmement ? La question donne des sueurs froides aux acteurs de la Base industrielle et technologique (BITD) de défense tricolore dont les outils de production sont déjà occupés à plus de 90%. La Caisse des dépôts, bras armé de l'État pour les questions économiques et industrielles, met en exergue - dans un rapport publié fin juin - les faiblesses d'un tissu industriel, qui n'est pas calibré pour faire face à un saut d'échelle. Or c'est maintenant que tout se joue, pointe Romain Lucazeaux du SCET, le cabinet de conseil de la Caisse des dépôts, auteur du rapport : « La problématique de la BITD française est de passer d'un modèle artisanal, adapté aux besoins de la France qui est une petite-grande puissance, à une BITD capable de servir les besoins de nos partenaires de l'Otan, notamment les marchés allemands et polonais. Il y a une opportunité à ne pas rater et cela demande une montée en puissance, une prise de risques, mais aussi la capacité à s'internationaliser et donc la capacité à mener des stratégies commerciales et cela coûte de l'argent cela implique des compétences que les acteurs français n'ont pas forcément, notamment les PME (petites et moyennes entreprises) et certaines ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». L'industrie doit parvenir à s'ancrer dans les territoires L'Otan a officialisé les 5% de PIB pour la défense. Les financements arrivent, note la Caisse des dépôts et la clé du succès, insiste Romain Lucazeaux, repose sur l'attractivité des territoires. « Les acteurs de la défense sont à l'orée d'une transformation massive de leur processus interne, de leurs gestes métiers, de leur manière d'organiser leur production. Il va falloir passer de la petite série à un monde industriel. Les écosystèmes industriels français sont confrontés à un certain nombre de difficultés. Il y a une géographie de la défense qui hérite du 19e siècle et donc les entreprises sont situées plutôt à l'ouest et au sud, c'est-à-dire loin de la frontière allemande. Sauf que nos capacités manufacturières ne sont pas forcément là. La question est de savoir si nous aurons assez d'ingénieurs, de techniciens supérieurs, est-ce qu'on a les bons programmes de recherche et développement collaboratifs dans lesquels plusieurs entreprises s'associent avec une université, un centre de formation pour construire des solutions avancer ensemble, chasser en meute... Tout cela demande que la mayonnaise prenne dans un territoire donné. Ce ne sont pas des solutions nationales, mais bien territoriales. Le risque est que l'on ait les financements, la meilleure technologie, une armée d'emploi qui valorise la production, mais que l'on ne trouve pas les employés et les projets qui permettent à ces écosystèmes d'être performants ». Des centaines de milliers d'emplois sont en jeu Rester le deuxième exportateur mondial, c'est le défi français, un objectif atteignable à la condition de se concentrer dans certains secteurs clés comme les équipements de pointe, souligne Romain Lucazeaux : « Vous avez deux niveaux d'exportation, vous avez des choses qui relèvent de la plateforme. Exemple : je vends des Rafale, et vous avez des équipements. Les équipements, c'est beaucoup moins visible, moins spectaculaire, mais la question de notre capacité à fournir des équipements, c'est-à-dire ce que l'on retrouve dans les plateformes, les chars et les avions, c'est quand même de la valeur ajoutée forte qui est créée. Notre sujet, c'est bien d'arriver à exporter et dans ces secteurs très porteurs, il existe des retombées en matière de création de richesse et d'emplois qui peuvent être massives ». La BITD répartie au sein de plus de 4 000 entreprises pourrait ainsi dans les dix prochaines années créer de 500 000 à 800 000 emplois, qu'ils soient directs, indirects ou induits.
durée : 00:04:22 - Course de caisse à Savon à Durningen Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au début de l'année 2024, pour pallier la baisse de la natalité en France, Emmanuel Macron appelait à un "réarmement démographique". Une expression vivement contestée, notamment à cause des termes employés et de l'instrumentalisation obsolète du corps des femmes. Pour relancer la natalité, le sociologue Julien Damon, professeur associé à Sciences Po et ancien directeur des études de la Caisse nationale des Allocations Familiales, pense avoir trouvé LA solution : “le chèque Tinder”. Qu'est-ce que le "chèque Tinder" ? quel est l'intérêt pour l'État ? Quelles sont les autres mesures qu'il souhaite mettre en place ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Boudin. À écouter aussi : Qu'est-ce que le nouveau secrétariat d'Etat à l'Intelligence Artificielle ? Qu'est-ce que la méthode AAA, qui peut vous sauver au travail ? Qui est vraiment la mythomane du Bataclan ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 10/10/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - Des vidéos Tik Tok affirment que les règles pour toucher l'ARS ont changé, c'est totalement faux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:00:44 - Intermarché Sarlat recrute son/sa chef(fe) de caisse - Vous avez de l'expérience en management et en relation client ? Ce poste est fait pour vous ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Écoutez Michèle Boisvert commenter ces données au micro de Catherine Beauchamp.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 13 décembre 2024.Avec cette semaine :Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, directeur de l'Institut mutualiste pour l'environnement et la solidarité, et éditeur.Eric Lombard, banquier, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations.Michel Winock, historien et écrivain.Émission originellement diffusée le 5 janvier 2025.LA SOCIAL-DÉMOCRATIE ET MICHEL ROCARDLa notion de social-démocratie fait l'objet de plusieurs interprétations contradictoires. Dans son acception large, le concept renvoie à une forme d'organisation politique qui trouve son origine dans les pays scandinaves, et dont l'essence serait d'accepter le cadre de l'économie de marché, tout en mettant l'accent sur la redistribution des richesses. Dans un sens plus étroit et plus polémique, le terme est assimilé au social-libéralisme et utilisé pour anathématiser une vision politique qui, sous couvert de défendre les travailleurs, se préoccuperait surtout de ne pas déranger les plus riches. En France, où il n'existe pas de parti se réclamant de la social-démocratie, cette ambiguïté est accentuée par l'attitude du Parti socialiste au sein duquel l'héritage de la « deuxième gauche » ne cesse de faire débat. Si donc le concept de social-démocratie reste à préciser, l'un des hommes politiques s'en étant réclamé le plus est Michel Rocard. Premier ministre de 1988 à 1991, on lui doit notamment les accords de Matignon sur la Nouvelle-Calédonie, la mise en place du revenu minimum d'insertion, ou encore la contribution sociale généralisée. Son passage à Matignon est marqué par une attention portée à l'économie sociale et solidaire, aux négociations avec les syndicats, et par la mise en place d'un nouveau contrat salarial, reposant sur trois piliers : réorganisation et décentralisation des conditions de travail ; hausse maîtrisée des salaires, c'est-à-dire « politique des revenus » ; attention portée à la formation continue des salariés. En creux, transparaît ainsi dans son bilan une attention à la négociation et au compromis, ainsi qu'une tentative de décentraliser les relations économiques aussi bien que l'administration de l'État. Dans Le Cœur à l'ouvrage, publié en 1987, il écrit que « dès l'instant qu'une force de gauche a des convictions communes assez fortes pour ne devoir son identité qu'à elle-même, et assez de puissance pour entraîner dans son sillage la mouvance communiste sans en dépendre, elle peut gagner et se révéler efficace et rayonnante ». D'emblée sont ainsi posés deux prérequis à toute victoire de la gauche : qu'elle soit unie, mais que cette union soit sous le leadership d'un parti non communiste, c'est-à-dire ouvert au compromis.Nous nous interrogerons donc tout autant sur ce que signifie le concept de social-démocratie, sur sa conception de l'État, que sur son rapport avec sa gauche et sur sa vision des relations sociales. Mais d'abord, pourriez-vous, chacun d'entre vous nous partager quelque chose qui vous concerne particulièrement à propos de Michel Rocard ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pierre Herbulot du 08 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le groupe d’investissement québécois a mis trois milliards de dollars dans une entreprise de gestion de patrimoine numérique, FNZ, qui fait face à une poursuite judiciaire majeure. Des actionnaires allèguent une dilution injuste de leurs parts au profit d’investisseurs comme La Caisse (anciennement appelé la Caisse de dépôt et placement du Québec). Ils réclament plus de 6 milliards de dollars canadiens en compensation.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
L'émission 28 minutes du 24/07/2025 Des millénaires après, les pyramides égyptiennes continuent de passionner les historiens et de générer toutes sortes de théories. Franck Monnier, ingénieur, y voue une passion depuis l'adolescence. Ce spécialiste de l'architecture et des constructions de l'Égypte ancienne publie "La science face aux dossiers mystérieux de l'Égypte antique" (éditions Actes Sud), un ouvrage qui vient démystifier les pyramides et les théories qui les entourent. En passant au peigne fin ces bâtiments hors normes et les thèses fantastiques, il donne "un avis d'expert pour trier le vrai du faux"."Il faut que toute la nation travaille plus", a tancé le Premier ministre François Bayrou le 15 juillet dernier. Une série d'annonces est venue concrétiser cette déclaration : suppression de deux jours fériés, monétisation de la cinquième semaine de congés payés et réforme de l'assurance chômage. À gauche, les réactions ne se sont pas faites attendre : le député François Ruffin appelle à la "censure populaire", et une pétition de l'intersyndicale exige "l'abandon immédiat de ces mesures". La question du travail en France reste complexe : si 10% des salariés effectuent des semaines de 49 heures, le taux d'absentéisme au travail atteint 5,8%, un record. La France a-t-elle un problème avec ses travailleurs ?On en débat avec Bertrand Martinot, économiste, Flora Baumlin, directrice d'expertise sur les sujets de travail à l'Ifop et Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de l'Ugict-CGT.Puis, Victor Dekyvère s'interroge : faut-il être malhonnête et violent pour devenir un grand collectionneur ? Enfin, alors que les Tuvaluans sont forcés de migrer face à la montée des eaux dans le Pacifique, Théophile Cossa nous explique comment fonctionne le visa climatique. Marjorie Adelson nous raconte l'histoire de huit nouveau-nés qui sont les premiers à posséder l'ADN de trois personnes différentes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Show notes and links: https://www.chrisbeatcancer.com/bryan-paulhus-on-rene-caisse-and-the-history-of-essiac-tea-for-cancer
Écoutez le chroniqueur économique Michel Girard critiquer une récente dépense de la Caisse de dépôt et placement du Québec.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Dans un contexte international marqué par une augmentation des dépenses de défense, le réarmement de l'Otan, dans la prochaine décennie, pourrait générer en France, un marché annuel de 45 milliards d'euros et entrainer la création de plus de 500 000 emplois. Mais la capacité industrielle tricolore est aujourd'hui sous-dimensionnée pour répondre à l'accroissement de la demande. Un immense défi capacitaire doit être relevé si Paris veut conserver la deuxième place mondiale d'exportations d'armes. La France est-elle prête à répondre aux enjeux du réarmement ? La question donne des sueurs froides aux acteurs de la Base industrielle et technologique de défense tricolore dont les outils de production sont déjà occupés à plus de 90%. La Caisse des dépôts, bras armé de l'État pour les questions économiques et industrielles, met en exergue dans un rapport publié fin juin les faiblesses d'un tissu industriel, qui n'est pas calibré pour faire face à un saut d'échelle. Or c'est maintenant que tout se joue, pointe Romain Lucazeaux du SCET, le cabinet de conseil de la Caisse des dépôts, auteur du rapport : « La problématique de la BITD (base industrielle et technologique de défense) française est de passer d'un modèle artisanal, adapté aux besoins de la France qui est une petite-grande puissance, à une BITD capable de servir les besoins de nos partenaires de l'Otan, notamment les marchés allemands et polonais. Il y a une opportunité à ne pas rater et cela demande une montée en puissance, une prise de risques, mais aussi la capacité à s'internationaliser et donc la capacité à mener des stratégies commerciales et cela coûte de l'argent cela implique des compétences que les acteurs français n'ont pas forcément, notamment les PME (petites et moyennes entreprises) et certaines ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». L'industrie doit parvenir à s'ancrer dans les territoires L'Otan a officialisé les 5% de PIB pour la défense. Les financements arrivent, note la Caisse des dépôts et la clé du succès, insiste Romain Lucazeaux, repose sur l'attractivité des territoires. « Les acteurs de la défense sont à l'orée d'une transformation massive de leur processus interne, de leurs gestes métiers, de leur manière d'organiser leur production. Il va falloir passer de la petite série à un monde industriel. Les écosystèmes industriels français sont confrontés à un certain nombre de difficultés. Il y a une géographie de la défense qui hérite du 19e siècle et donc les entreprises sont situées plutôt à l'ouest et au sud, c'est-à-dire loin de la frontière allemande. Sauf que nos capacités manufacturières ne sont pas forcément là. La question est de savoir si nous aurons assez d'ingénieurs, de techniciens supérieurs, est-ce qu'on a les bons programmes de recherche et développement collaboratifs dans lesquels plusieurs entreprises s'associent avec une université, un centre de formation pour construire des solutions avancer ensemble, chasser en meute... Tout cela demande que la mayonnaise prenne dans un territoire donné. Ce ne sont pas des solutions nationales, mais bien territoriales. Le risque est que l'on ait les financements, la meilleure technologie, une armée d'emploi qui valorise la production, mais que l'on ne trouve pas les employés et les projets qui permettent à ces écosystèmes d'être performants ». Des centaines de milliers d'emplois sont en jeu Rester le deuxième exportateur mondial, c'est le défi français, un objectif atteignable à la condition de se concentrer dans certains secteurs clés comme les équipements de pointe, souligne Romain Lucazeaux : « Vous avez deux niveaux d'exportation, vous avez des choses qui relèvent de la plateforme. Exemple : je vends des Rafale, et vous avez des équipements. Les équipements, c'est beaucoup moins visible, moins spectaculaire, mais la question de notre capacité à fournir des équipements, c'est-à-dire ce que l'on retrouve dans les plateformes, les chars et les avions, c'est quand même de la valeur ajoutée forte qui est créée. Notre sujet, c'est bien d'arriver à exporter et dans ces secteurs très porteurs, il existe des retombées en matière de création de richesse et d'emplois qui peuvent être massives ». La BITD répartie au sein de plus de 4 000 entreprises pourrait ainsi dans les dix prochaines années créer de 500 000 à 800 000 emplois, qu'ils soient directs, indirects ou induits.
Les résultats de la 2e enquête du Baromètre 2025 d'Expat Communication viennent de paraître. C'est une étude inédite sur la protection santé des expatriés, réalisée en partenariat avec la Caisse des Français de l'étranger (CFE) et April International. Alix Carnot est la directrice associée d'Expat Communication. À lire aussiL'Espagne, le nouvel eldorado des expatriés français
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans Fables, l'auteur et performeur Anne-James Chaton a imaginé 145 histoires à partir de 145 tickets de caisse. 2 salades césar 3 expressos 1 orange pressée 0,230 g de brie de Meaux. Les tickets de caisse peuvent-ils nous raconter une histoire ? À partir de tickets de caisse du monde entier, qu'ils soient personnels, donnés par des amis ou de parfaits inconnus, le poète, auteur Anne-James Chaton a imaginé 145 histoires. C'est en lisant L'art poétique en vers de Nicolas Boileau que lui vient l'idée de cet OVNI littéraire. Le philosophe du XVIIè siècle énonce dans cet ouvrage les règles que devaient suivre tous les dramaturges « Qu'en un lieu, en un jour, un seul fait accompli tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli ». Et c'est exactement ce qu'on retrouve sur un ticket de caisse ! Avec un lieu d'achat, une date et une action... Il fallait rapidement écrire ces histoires avant qu'elles ne disparaissent avec l'encre thermique ! Avec ces mots inscrits sur le ticket, l'auteur sélectionne certains mots, qu'il peut détourner, et écrit de très courts textes en se fixant des contraintes littéraires. Cela peut être des histoires d'amour, de la science-fiction, des romans d'aventure. Il ajoute de la fiction au réel et vice-versa ! L'auteur se fait également apparaître, dans le livre, comme une forme d'auto-fiction. Fables s'inscrit aussi dans le travail de poésie sonore de l'auteur. Les histoires sont parfois écrites immédiatement après l'achat, cette recherche d'immédiateté se retrouve par ailleurs dans ses performances et ses enregistrements comme dans le titre Barack Obama sur l'album Événement 2009. J'ai bcp travaillé sur la répétition. Dans la poésie sonore, on recherche le rythme à l'intérieur de la langue. Anne-James Chaton s'est toujours inspiré d'auteurs pour écrire ses ouvrages. Dans son précédent titre Sur la terre, publié chez POL en 2024, le performeur s'était appuyé sur l'Histoire naturelle de 77 de Pline l'Ancien. Je ne jette pas l'écrit sur la page, je suis d'abord un lecteur. C'est d'abord en tant que lecteur que je commence à écrire, j'écris à partir de textes qui me semblent pouvoir dire quelque chose du monde dans lequel on est. Invité : Anne-James Chaton, poète, auteur, performeur. L'ouvrage Fables est publié aux éditions POL. Programmation musicale : l'artiste Solann avec le titre Oiseau.
Dans Fables, l'auteur et performeur Anne-James Chaton a imaginé 145 histoires à partir de 145 tickets de caisse. 2 salades césar 3 expressos 1 orange pressée 0,230 g de brie de Meaux. Les tickets de caisse peuvent-ils nous raconter une histoire ? À partir de tickets de caisse du monde entier, qu'ils soient personnels, donnés par des amis ou de parfaits inconnus, le poète, auteur Anne-James Chaton a imaginé 145 histoires. C'est en lisant L'art poétique en vers de Nicolas Boileau que lui vient l'idée de cet OVNI littéraire. Le philosophe du XVIIè siècle énonce dans cet ouvrage les règles que devaient suivre tous les dramaturges « Qu'en un lieu, en un jour, un seul fait accompli tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli ». Et c'est exactement ce qu'on retrouve sur un ticket de caisse ! Avec un lieu d'achat, une date et une action... Il fallait rapidement écrire ces histoires avant qu'elles ne disparaissent avec l'encre thermique ! Avec ces mots inscrits sur le ticket, l'auteur sélectionne certains mots, qu'il peut détourner, et écrit de très courts textes en se fixant des contraintes littéraires. Cela peut être des histoires d'amour, de la science-fiction, des romans d'aventure. Il ajoute de la fiction au réel et vice-versa ! L'auteur se fait également apparaître, dans le livre, comme une forme d'auto-fiction. Fables s'inscrit aussi dans le travail de poésie sonore de l'auteur. Les histoires sont parfois écrites immédiatement après l'achat, cette recherche d'immédiateté se retrouve par ailleurs dans ses performances et ses enregistrements comme dans le titre Barack Obama sur l'album Événement 2009. J'ai bcp travaillé sur la répétition. Dans la poésie sonore, on recherche le rythme à l'intérieur de la langue. Anne-James Chaton s'est toujours inspiré d'auteurs pour écrire ses ouvrages. Dans son précédent titre Sur la terre, publié chez POL en 2024, le performeur s'était appuyé sur l'Histoire naturelle de 77 de Pline l'Ancien. Je ne jette pas l'écrit sur la page, je suis d'abord un lecteur. C'est d'abord en tant que lecteur que je commence à écrire, j'écris à partir de textes qui me semblent pouvoir dire quelque chose du monde dans lequel on est. Invité : Anne-James Chaton, poète, auteur, performeur. L'ouvrage Fables est publié aux éditions POL. Programmation musicale : l'artiste Solann avec le titre Oiseau.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'émission 28 minutes du 26/06/2025 Jeanne Cherhal chante les femmes et leurs combats, tout en délicatesseJeanne Cherhal est autrice, compositrice et interprète française et chante depuis plus de 20 ans. Elle sort cette année "Jeanne", son 7e album pour lequel elle a collaboré avec Benjamin Biolay. À l'image de sa carrière, la question de la liberté des femmes, du sexisme ou encore des tabous y occupent une place centrale. Son morceau "Le cri des loups" évoque les agresseurs sexuels que Jeanne Cherhal a rencontré au cours de sa vie. Dans "Sous les toits", elle dépeint les violences conjugales dans l'intimité du foyer. L'écologie ou la santé mentale trouvent aussi leur place dans ce nouvel album engagé, fruit de son époque. Déficit de l'Assurance maladie : faut-il tailler dans les dépenses de santé ?Dans un rapport publié le 24 juin, l'Assurance maladie alerte sur l'accroissement de son déficit dans les prochaines années : il pourrait s'élever à 41 milliards d'euros à l'horizon 2030, contre 16 milliards d'euros cette année. Cette hausse est multifactorielle mais plusieurs causes s'imposent notamment le vieillissement de la population, qui devrait induire une hausse des maladies chroniques, mais aussi l'augmentation du nombre d'arrêts de travail délivrés par les médecins. Dans son rapport, l'Assurance maladie formule 60 propositions pour anticiper cette hausse du déficit. Parmi elles : médicaliser les Ehpad pour éviter les allers-retours aux urgences, dérembourser certains médicaments jugés peu efficaces ou encore interdire les dépassements d'honoraires sur les actes de dépistages organisés. Faut-il réduire les dépenses de santé pour amoindrir le déficit de l'Assurance maladie ? Alors que la Convention internationale sur le recyclage des navires entre en vigueur aujourd'hui, Xavier Mauduit en profite pour nous raconter l'histoire de "L'Implacable", un navire mis à l'eau en 1800 et coulé en 1949. Marie Bonnisseau nous emmène en Chine, qui redore son image sur Internet à grands renforts d'influenceurs recrutés par le Parti communiste chinois.On en débat avec le docteur François Sarkozy, médecin et consultant, Laurence Cohen, ancienne sénatrice PCF du Val-de-Marne et Marguerite Cazeneuve, directrice déléguée de la Caisse nationale de l'Assurance maladie.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 26/06/2025 Déficit de l'Assurance maladie : faut-il tailler dans les dépenses de santé ?Dans un rapport publié le 24 juin, l'Assurance maladie alerte sur l'accroissement de son déficit dans les prochaines années : il pourrait s'élever à 41 milliards d'euros à l'horizon 2030, contre 16 milliards d'euros cette année. Cette hausse est multifactorielle mais plusieurs causes s'imposent notamment le vieillissement de la population, qui devrait induire une hausse des maladies chroniques, mais aussi l'augmentation du nombre d'arrêts de travail délivrés par les médecins. Dans son rapport, l'Assurance maladie formule 60 propositions pour anticiper cette hausse du déficit. Parmi elles : médicaliser les Ehpad pour éviter les allers-retours aux urgences, dérembourser certains médicaments jugés peu efficaces ou encore interdire les dépassements d'honoraires sur les actes de dépistages organisés. Faut-il réduire les dépenses de santé pour amoindrir le déficit de l'Assurance maladie ? On en débat avec le docteur François Sarkozy, médecin et consultant, Laurence Cohen, ancienne sénatrice PCF du Val-de-Marne et Marguerite Cazeneuve, directrice déléguée de la Caisse nationale de l'Assurance maladie.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:37:40 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Le "trou de la Sécu" pourrait atteindre 41 milliards d'euros en 2030, selon la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Affections longue durée, arrêts maladie, remboursement des médicaments... Pour endiguer le phénomène, l'organisme propose 60 mesures pour baisser ses dépenses. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Thomas Fatôme, directeur général de la Caisse nationale d'assurance maladie. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
A 10h45, ce mardi 24 juin 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Charles Consigny, avocat, débattent de : JO 2024 à Paris, la France a cramé la caisse ?
L'épargne des Français revient dans le débat alors qu'il a atteint un pic historique en début d'année et que des secteurs stratégiques ont besoin d'investissements. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités font le point.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Stéphane Magnan (directeur financier du fonds d'épargne à la Caisse des Dépôts) et Marie-Christine Sonkin (rédactrice en chef Patrimoine aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : ROMUALD MEIGNEUX/SIPA. Sons : Monsieur Capital, BFM Business, Antoine HLT « La Cigale et la Fourmi » (1994), « Certains l'aiment froide » (1959), Ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Caisse d'Epargne Ile-de-France, SFR, TF1, C dans l'air. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À la veille de la Conférence des Nations unies sur l'Océan qui s'ouvre à Nice, les projecteurs sont braqués sur l'économie bleue. Cette « blue economy », en pleine croissance, promet un avenir prospère pour les littoraux, tout en soulevant des questions cruciales sur sa durabilité. L'économie bleue regroupe l'ensemble des activités liées à la mer et aux océans, qu'elles soient traditionnelles – comme la pêche, le transport maritime ou le tourisme côtier – ou innovantes, comme les énergies marines renouvelables, les biotechnologies ou encore les câbles sous-marins. D'après la Banque mondiale, il s'agit de l'utilisation durable des ressources océaniques pour stimuler la croissance économique, améliorer les conditions de vie et préserver les écosystèmes marins.Rien qu'en Europe, cette économie représentait près de 236 milliards d'euros de valeur ajoutée brute en 2023, générant 5 millions d'emplois directs. Des secteurs comme l'éolien offshore explosent avec une croissance de +42 % en un an.Attrait des investisseurs mondiauxAvec un potentiel colossal, les fonds se mobilisent. Entre 2018 et 2023, 13 milliards d'euros ont été investis dans l'économie bleue en Europe. De nouveaux réseaux d'accompagnement, des fonds spécialisés et des institutions comme en France la Banque publique d'investissement ou la Caisse des Dépôts soutiennent activement le développement de cette filière stratégique.Des projets concrets émergent, à l'image des voiliers cargos, qui allient innovation technologique et faible impact environnemental. Mais pour atteindre les objectifs de l'ONU liés aux océans d'ici à 2030, il faudrait mobiliser 750 milliards d'euros supplémentaires.Entre promesses et dérives : les limites d'un modèle à construireSi l'économie bleue se veut durable, certaines pratiques soulèvent des critiques. Des ONG dénoncent un phénomène de « blue washing », où des projets peu vertueux se parent d'un vernis écologique. Exemple marquant : au Sénégal, 90 % de la pêche locale a été décimée suite à l'attribution de licences à des flottes étrangères. En Inde, le projet Sagarmala, visant à construire un port tous les 20 kilomètres, menace gravement les communautés de pêcheurs et les écosystèmes côtiers.La privatisation des littoraux ou l'exclusion des populations locales interrogent sur la gouvernance de cette nouvelle ruée vers la mer. Car « la mer nourrit ceux qui la respectent. »
C dans l'air l'invité du 29 mai 2025 avec Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste et auteur de l'enquête Les Caméléons,enquête sur l'arnaque aux faux conseillers bancaires, publié aux éditions Flammarion. Dans cet ouvrage, il raconte les dessous d'une arnaque qui a déjà fait plus d'un million de victimes en France. 29 décembre 2023. Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste, reçoit un coup de téléphone. Au bout du fil, un certain "Dominique Bertrand", agent du "service des fraudes" de la Caisse d'Epargne. Il lui annonce que deux paiements frauduleux ont été détectés sur son compte. C'est là que débute une arnaque dont il est la victime : ça n'est pas "Dominique Bertrand de la Caisse d'Epargne" au téléphone, mais bien un escroc qui va lui voler toutes ses économies. De cette mésaventure, il a fait un livre, une enquête fouillée sur une escroquerie qui a coûté un milliard d'euros aux Français depuis 2021 : l'arnaque aux faux conseillers bancaires. Des voleurs qui connaissent tout de leurs victimes, et abusent de leur confiance, pour vider leurs comptes. Un système bien rôdé, qui n'épargne personne.Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste et auteur de "Les Caméléons, Enquête sur l'arnaque aux faux conseillers bancaires", nous racontera comment se déroule une telle arnaque, et quels sont les ressorts qui permettent de déjouer la vigilance des victimes. Il nous racontera le sentiment de culpabilité qu'on peut ressentir lorsqu'on se fait escroquer. Il décrira aussi l'ampleur du phénomène, et nous dira comment on peut repérer les appels frauduleux.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les grandes surfaces de bricolage ont-elles l'obligation de disposer d'une caisse traditionnelle pour permettre aux clients de payer en espèce ? La réponse d'Olivier Dauvers dans la question conso ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mardi 22 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de : Les retraités doivent-ils passer à la caisse ?
durée : 00:05:40 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Alors que la Caisse des dépôts gère en grande partie l'épargne des Français et se revendique comme un investisseur responsable, son action climatique reste en réalité très opaque, dénonce un nouveau rapport de Reclaim Finance, qui analyse pour la première fois les pratiques de cet acteur public.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le « fonds à 500 euros » est une initiative lancée par le gouvernement français pour permettre aux citoyens de soutenir directement l'effort de défense nationale, dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes. Il s'agit d'un placement inédit, à la fois patriotique et potentiellement rémunérateur.Concrètement, ce fonds vise à récolter 450 millions d'euros auprès du grand public, sur les 5 milliards nécessaires pour soutenir les entreprises françaises de défense dans leur développement, leur modernisation et leur souveraineté technologique. Le nom « fonds à 500 euros » fait référence au ticket d'entrée indicatif, mais chacun pourra investir plus ou moins selon ses moyens.Ce placement ne prend pas la forme d'un don, mais bien d'un produit d'épargne. Il est conçu pour être attractif : bien que comportant un certain risque, comme tout investissement en capital, il pourrait offrir un rendement estimé à partir de 5 %. Cela représente une opportunité pour les citoyens de faire fructifier leur épargne tout en contribuant à un objectif stratégique national, comme le développement de drones, la cybersécurité, ou le renforcement des chaînes industrielles de défense.Ce fonds ne servira pas à financer les dépenses courantes de l'armée, comme les soldes ou le carburant, mais des projets ciblés et porteurs d'innovation. Il sera géré par Bpifrance, la banque publique d'investissement, avec un engagement de transparence et de traçabilité des fonds investis.Cependant, à ce jour, le fonds n'est pas encore disponible à la souscription. Son lancement a été officiellement annoncé le 20 mars 2025 par Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts, mais les modalités précises – date d'ouverture, plateforme de souscription, durée, fiscalité – n'ont pas encore été communiquées. Il est donc conseillé de suivre les annonces de Bpifrance et du ministère de l'Économie pour ne pas manquer sa mise en place.Cette initiative suscite à la fois de l'enthousiasme et des interrogations. Certains saluent ce lien renouvelé entre citoyens et défense nationale, d'autres s'inquiètent de voir le financement militaire en partie confié à l'épargne privée. Reste à voir si ce produit séduira massivement les Français lorsqu'il sera lancé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, la Caisse d'Allocations Familiales (CAF) a la possibilité de suspendre les aides au logement pour les biens classés comme "passoires thermiques", c'est-à-dire ceux ayant une étiquette énergétique G selon le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Cette mesure vise à inciter les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation énergétique pour améliorer l'efficacité énergétique de leurs biens. Critères de décence énergétiqueUn logement est considéré comme décent s'il offre une performance énergétique minimale. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, les logements classés G au DPE sont automatiquement considérés comme non décents. Cette classification entraîne des conséquences sur l'éligibilité aux aides au logement. Processus de suspension des aidesLorsqu'un logement est signalé comme étant une passoire thermique, la CAF peut suspendre le versement des aides au logement pendant une période de 18 mois. Durant cette période, le locataire est autorisé à ne payer que la part du loyer non couverte par l'aide suspendue, ce qui réduit le revenu perçu par le propriétaire. Par exemple, si un locataire bénéficie de 200 euros d'APL pour un loyer de 700 euros, il ne paiera plus que 500 euros pendant la suspension. Si le propriétaire réalise des travaux de rénovation énergétique permettant d'améliorer la performance du logement à au moins la classe F dans les 18 mois, les aides suspendues sont rétroactivement versées. En revanche, si aucune amélioration n'est effectuée dans ce délai, les aides sont définitivement perdues. Objectif de la mesureCette initiative vise à accélérer la transition énergétique en encourageant les propriétaires à rénover leurs biens pour réduire la consommation énergétique et améliorer le confort des locataires. Elle s'inscrit dans une politique plus large de lutte contre la précarité énergétique et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. En conclusion, la CAF peut effectivement suspendre les aides au logement pour les passoires thermiques depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, afin d'inciter les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation énergétique et améliorer la qualité du parc locatif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:28 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le traité de Saint-Clair-sur-Epte est conclu par le roi Charles le Simple et Rollon en 911. Considéré comme l'acte de naissance de la Normandie, il s'inscrit en réalité dans une longue histoire de contacts et d'affrontements. Comment les vikings scandinaves se sont-ils intégrés dans le monde franc ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Bauduin historien, professeur d'histoire médiévale à l'Université de Caen Normandie
Le Bénin est un petit pays en superficie (110.000 kilomètres carrés) et en population (14 millions d'habitants) mais en pleine transformation économique. Dans le cadre du plan élaboré par le président Patrice Talon depuis 2016, l'une des priorités est de développer une industrie robuste pour transformer localement les matières premières nationales que sont notamment le coton et la noix de cajou. Lors de cette émission enregistrée à l'hôtel Sofitel de Cotonou dans le cadre du Choiseul Africa Summit (26 et 27 février), les acteurs de cette politique concertée expliquent leur stratégie : la construction d'infrastructures, leur financement, la recherche d'investisseurs avec l'appui de l'État, la connectivité grâce aux transports, l'approvisionnement en énergie, la formation des employés des unités de production.Quel bilan tirer de cette politique d'industrialisation ? Quels sont ses limites et les défis potentiels ? Ce modèle béninois est-il applicable à d'autres pays en Afrique et dans le monde ?NOS INVITÉS : Alimatou Shadiya Assouman, ministre chargée de l'Industrie et du Commerce du Bénin Létondji Béheton, directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'Industrie (SIPI), joint-venture entre l'État béninois et le groupe Arise qui développe la GDIZ Maryse Lokossou, directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) du Bénin Ranti Akindes, directeur général de la Société des Infrastructures routières et de l'Aménagement du Territoire (SIRAT). Avec la participation de Bart Van Eenoo, directeur général du Port autonome de Cotonou.
durée : 00:37:58 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Dans un contexte de transformation sociale, la perception des violences dans les films évolue. Comment gérer les œuvres du passé dans les cinémathèques ? Sont-elles de simples institutions de conservation du patrimoine ou doivent-elles prendre en compte les évolutions sociétales et y participer ? - réalisation : François Richer - invités : Natacha Laurent Maitresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université Toulouse Jean-Jaurès, spécialiste du cinéma russe et soviétique, elle a dirigé la Cinémathèque de Toulouse de 2005 à 2015; Gabriela Trujillo Historienne du cinéma, spécialiste des cinémas d'Amérique latine, essayiste et romancière, ancienne directrice de la Cinémathèque de Grenoble
C dans l'air du 25 janvier 2025 - Énergie : les Français passent à la caisseLes experts :- Flavien NEUVY - Économiste, directeur de l'observatoire CETELEM- Pascale HEBEL - Directrice associée chez C-Ways, spécialiste de la consommation- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie, Les Échos
C dans l'air du 25 janvier 2025 - Énergie : les Français passent à la caisseLe prix du gaz s'envole : + 4,8 % en janvier après plusieurs hausses, déjà, en octobre et juillet dernier... Avec le froid, les Français se chauffent davantage et les stocks ont diminué. L'autre explication réside dans la décision de l'Ukraine de mettre fin au transit du gaz russe à travers son territoire, marquant une rupture énergétique décisive avec Moscou. Conséquence directe : les Européens - dont le tiers du gaz acheté à la Russie passe par cette voie - ont perdu près de 15 milliards de mètres de cube de gaz, soit près de 5% de la consommation de l'Union européenne. De quoi inquiéter jusqu'au PDG de Total énergies, Patrick Pouyanné, qui a demandé jeudi à Davos au président américain Donald Trump des garanties sur la sécurité des approvisionnements de l'Europe en gaz naturel liquéfié américain... dont TotalEnergies est le principal exportateur.Dans le même temps, les ventes de chaudières à gaz ont augmenté de 15% depuis le début de l'année, selon le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques. Le gouvernement a bien tenté de décourager l'installation de ce dispositif, très émetteur en CO2, en l'interdisant dans les maisons individuelles neuves. Mais les résultats se font encore attendre : les Français rechignent à passer aux pompes à chaleur, jugées trop couteuses et moins fiables, et dont les ventes se sont effondrées de 30% en 2024. Rare embellie en ce début d'année, la Commission de l'énergie a annoncé une baisse de 15% des tarifs réglementés de l'électricité au 1er février pour 24 millions de ménages. Et ce malgré la fin du bouclier énergétique mis en place par le gouvernement en 2021. De leur côté, les constructeurs automobiles ont commencé l'année avec une avalanche de mauvaises nouvelles. Les ventes de véhicules neufs, électriques comme thermiques, ont diminué de 3,2 % en 2024. L'industrie se porte mal et les plans sociaux se multiplient : Michelin a annoncé la fermeture de deux usines tandis que Valeo prévoit de supprimer près de 1 000 postes sur huit sites français. Le désamour des Français se concentre essentiellement sur les voitures électriques, dont le prix est jugé prohibitif. Selon AAA Data, les immatriculations sur ce segment se sont ainsi effondrées de 24,4 % en novembre 2024. Les constructeurs n'ont pas été aidés par la décision du gouvernement de réduire son bonus écologique pour l'acquisition de véhicules zéro émission, déficit publique oblige. D'autant que la prime à la conversion, versée aux ménages remplaçant leur voiture par un modèle moins polluant, est également supprimée en 2025. Mais Emmanuel Macron ne veut pas apparaître comme l'ennemi des automobilistes pour autant. Cette semaine, le président a répondu sur TikTok à un influenceur qui venait de se voir infliger une amende pour avoir payé au péage avec son téléphone portable : "On va collectivement régler ça […] Merci pour l'alerte", a-t-il déclaré. Pas sûr que cela suffise à enrayer la crise de l'automobile. Symbole de la crise de l'industrie automobile, la Fonderie de Bretagne (FDB), ancienne filiale du constructeur automobile Renault, a demandé mercredi 22 janvier, son placement en redressement judiciaire, avec 350 emplois menacés. L'entreprise avait bien entamé des négociations en juillet avec le fonds d'investissement allemand, Private Assets, pour envisager une reprise, mais la direction de FDB assure que Renault, resté principal client de la fonderie, a fait capoter l'accord. "Nous sommes une victime de Renault qui veut se débarrasser de ses fonderies en France", a déploré son directeur Jérôme Dupont à La Tribune. Plusieurs responsables syndicaux, dont la présidente de la CGT Sophie Binet et des députés, ont écrit début janvier à Emmanuel Macron pour réclamer l'intervention de l'État dans le dossier : "Nous refusons que la fermeture de la Fonderie de Bretagne devienne le symbole de la désindustrialisation du pays".Pourquoi le prix du gaz explose ? Comment expliquer la mauvaise santé économique du secteur automobile en France ? Et l'État doit-il venir en aide à Fonderie de Bretagne, menacée de fermeture ?Les experts :- Flavien NEUVY - Économiste, directeur de l'observatoire CETELEM- Pascale HEBEL - Directrice associée chez C-Ways, spécialiste de la consommation- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie, Les Échos
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 13 décembre 2024.Avec cette semaine :Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, directeur de l'Institut mutualiste pour l'environnement et la solidarité, et éditeur.Eric Lombard, banquier, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations.Michel Winock, historien et écrivain.LA SOCIAL-DÉMOCRATIE ET MICHEL ROCARDLa notion de social-démocratie fait l'objet de plusieurs interprétations contradictoires. Dans son acception large, le concept renvoie à une forme d'organisation politique qui trouve son origine dans les pays scandinaves, et dont l'essence serait d'accepter le cadre de l'économie de marché, tout en mettant l'accent sur la redistribution des richesses. Dans un sens plus étroit et plus polémique, le terme est assimilé au social-libéralisme et utilisé pour anathématiser une vision politique qui, sous couvert de défendre les travailleurs, se préoccuperait surtout de ne pas déranger les plus riches. En France, où il n'existe pas de parti se réclamant de la social-démocratie, cette ambiguïté est accentuée par l'attitude du Parti socialiste au sein duquel l'héritage de la « deuxième gauche » ne cesse de faire débat. Si donc le concept de social-démocratie reste à préciser, l'un des hommes politiques s'en étant réclamé le plus est Michel Rocard. Premier ministre de 1988 à 1991, on lui doit notamment les accords de Matignon sur la Nouvelle-Calédonie, la mise en place du revenu minimum d'insertion, ou encore la contribution sociale généralisée. Son passage à Matignon est marqué par une attention portée à l'économie sociale et solidaire, aux négociations avec les syndicats, et par la mise en place d'un nouveau contrat salarial, reposant sur trois piliers : réorganisation et décentralisation des conditions de travail ; hausse maîtrisée des salaires, c'est-à-dire « politique des revenus » ; attention portée à la formation continue des salariés. En creux, transparaît ainsi dans son bilan une attention à la négociation et au compromis, ainsi qu'une tentative de décentraliser les relations économiques aussi bien que l'administration de l'État. Dans Le Cœur à l'ouvrage, publié en 1987, il écrit que « dès l'instant qu'une force de gauche a des convictions communes assez fortes pour ne devoir son identité qu'à elle-même, et assez de puissance pour entraîner dans son sillage la mouvance communiste sans en dépendre, elle peut gagner et se révéler efficace et rayonnante ». D'emblée sont ainsi posés deux prérequis à toute victoire de la gauche : qu'elle soit unie, mais que cette union soit sous le leadership d'un parti non communiste, c'est-à-dire ouvert au compromis.Nous nous interrogerons donc tout autant sur ce que signifie le concept de social-démocratie, sur sa conception de l'État, que sur son rapport avec sa gauche et sur sa vision des relations sociales. Mais d'abord, pourriez-vous, chacun d'entre vous nous partager quelque chose qui vous concerne particulièrement à propos de Michel Rocard ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr