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durée : 00:05:40 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Alors que la Caisse des dépôts gère en grande partie l'épargne des Français et se revendique comme un investisseur responsable, son action climatique reste en réalité très opaque, dénonce un nouveau rapport de Reclaim Finance, qui analyse pour la première fois les pratiques de cet acteur public.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Lʹancien journaliste David Haeberli sʹest vu attribuer le Prix Transparence Regio pour son enquête menée au sein du journal Le Temps. Il y a mis en lumière la manière dont le comité de la Caisse de prévoyance de lʹÉtat de Genève (CPEG) avait secrètement augmenté de près de 2 milliards de francs les coûts liés au projet dʹassainissement. Par Didier Bonvin.
durée : 00:06:03 - L'invité de la rédaction, ici Drôme Ardèche - La CPAM, Caisse primaire d'assurance maladie, présente son bilan de lutte contre les fraudes. Elles sont en hausse 30 % en 2024 dans la Drôme par rapport à l'année passée. Nous recevons la directrice de la santé de la CPAM 26, Pauline Baranowski-Morel.
A l'occasion de la publication des résultats annuels de la Caisse de Dépôts, Olivier Sichel, directeur général par intérim, était l'invité de l'émission Ecorama du 25 mai 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : les résultats records, l'investissement dans la défense, la transition écologique, la réindustrialisation et la gouvernance du groupe. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le « fonds à 500 euros » est une initiative lancée par le gouvernement français pour permettre aux citoyens de soutenir directement l'effort de défense nationale, dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes. Il s'agit d'un placement inédit, à la fois patriotique et potentiellement rémunérateur.Concrètement, ce fonds vise à récolter 450 millions d'euros auprès du grand public, sur les 5 milliards nécessaires pour soutenir les entreprises françaises de défense dans leur développement, leur modernisation et leur souveraineté technologique. Le nom « fonds à 500 euros » fait référence au ticket d'entrée indicatif, mais chacun pourra investir plus ou moins selon ses moyens.Ce placement ne prend pas la forme d'un don, mais bien d'un produit d'épargne. Il est conçu pour être attractif : bien que comportant un certain risque, comme tout investissement en capital, il pourrait offrir un rendement estimé à partir de 5 %. Cela représente une opportunité pour les citoyens de faire fructifier leur épargne tout en contribuant à un objectif stratégique national, comme le développement de drones, la cybersécurité, ou le renforcement des chaînes industrielles de défense.Ce fonds ne servira pas à financer les dépenses courantes de l'armée, comme les soldes ou le carburant, mais des projets ciblés et porteurs d'innovation. Il sera géré par Bpifrance, la banque publique d'investissement, avec un engagement de transparence et de traçabilité des fonds investis.Cependant, à ce jour, le fonds n'est pas encore disponible à la souscription. Son lancement a été officiellement annoncé le 20 mars 2025 par Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts, mais les modalités précises – date d'ouverture, plateforme de souscription, durée, fiscalité – n'ont pas encore été communiquées. Il est donc conseillé de suivre les annonces de Bpifrance et du ministère de l'Économie pour ne pas manquer sa mise en place.Cette initiative suscite à la fois de l'enthousiasme et des interrogations. Certains saluent ce lien renouvelé entre citoyens et défense nationale, d'autres s'inquiètent de voir le financement militaire en partie confié à l'épargne privée. Reste à voir si ce produit séduira massivement les Français lorsqu'il sera lancé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, la Caisse d'Allocations Familiales (CAF) a la possibilité de suspendre les aides au logement pour les biens classés comme "passoires thermiques", c'est-à-dire ceux ayant une étiquette énergétique G selon le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Cette mesure vise à inciter les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation énergétique pour améliorer l'efficacité énergétique de leurs biens. Critères de décence énergétiqueUn logement est considéré comme décent s'il offre une performance énergétique minimale. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, les logements classés G au DPE sont automatiquement considérés comme non décents. Cette classification entraîne des conséquences sur l'éligibilité aux aides au logement. Processus de suspension des aidesLorsqu'un logement est signalé comme étant une passoire thermique, la CAF peut suspendre le versement des aides au logement pendant une période de 18 mois. Durant cette période, le locataire est autorisé à ne payer que la part du loyer non couverte par l'aide suspendue, ce qui réduit le revenu perçu par le propriétaire. Par exemple, si un locataire bénéficie de 200 euros d'APL pour un loyer de 700 euros, il ne paiera plus que 500 euros pendant la suspension. Si le propriétaire réalise des travaux de rénovation énergétique permettant d'améliorer la performance du logement à au moins la classe F dans les 18 mois, les aides suspendues sont rétroactivement versées. En revanche, si aucune amélioration n'est effectuée dans ce délai, les aides sont définitivement perdues. Objectif de la mesureCette initiative vise à accélérer la transition énergétique en encourageant les propriétaires à rénover leurs biens pour réduire la consommation énergétique et améliorer le confort des locataires. Elle s'inscrit dans une politique plus large de lutte contre la précarité énergétique et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. En conclusion, la CAF peut effectivement suspendre les aides au logement pour les passoires thermiques depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, afin d'inciter les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation énergétique et améliorer la qualité du parc locatif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec : Thomas Fatôme, directeur général de la Caisse nationale d'assurance maladie. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Matthieu Belliard et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
durée : 00:03:42 - Colette, déclarée morte par sa caisse de retraite
durée : 00:58:28 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le traité de Saint-Clair-sur-Epte est conclu par le roi Charles le Simple et Rollon en 911. Considéré comme l'acte de naissance de la Normandie, il s'inscrit en réalité dans une longue histoire de contacts et d'affrontements. Comment les vikings scandinaves se sont-ils intégrés dans le monde franc ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Bauduin historien, professeur d'histoire médiévale à l'Université de Caen Normandie
Un homme de 34 ans poignardé à Montréal. La Caisse de dépôt utiliserait énormément Amazon pour leurs achats. Décès de Gene Hackman. Xavier Dolan réalise une vidéo pour Elton John. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une société pour récupérer son héritage caché : 7 milliards d'euros dorment à la Caisse des Dépôts, 9000 € sont restitués en moyenne par dossier, 1 Français sur 50 est un héritier sans le savoir Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien Damon, professeur associé à Sciences Po et ancien responsable du département de la recherche de la Caisse nationale des allocations familiales, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s'intéressent au financement du réarmement de la France face au coût de la dépense sociale qui représente 31% du PIB.
Ce mardi 11 mars, Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des Dépôts, s'est penché sur la redynamisation des territoires via l'industrie, dans l'émission Tech&Co Business, depuis le Mobile World Congress à Barcelone, présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
Ce mardi 11 mars, Frédéric Simottel a reçu Alexandre Garret, directeur des opérations chez Seclab, Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des Dépôts, Audrey-Laure Bergenthal, présidente d'Euveka, Mathias Fonlupt, président et fondateur d'ENTENT, Kevin Pierre-Emile, président de Fives Maintenance au sein du Groupe Fives, Nicolas Verhaeghe, directeur Industrie France chez Bouygues Energies & Services (EQUANS), ainsi que Louis Hauvette, CEO de Siteflow, dans l'émission Tech&Co Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission le samedi et réécoutez la en podcast.
Dans cet épisode, on jase de vieilles technologies toujours utiles, on parle d'une brasserie canadienne qui propose une très grosse caisse de bière à cause de Donald Trump et on revient sur les performances du weekend de nos Nics déjà en mode séries avec le coach Joël Perrault!
Le Bénin est un petit pays en superficie (110.000 kilomètres carrés) et en population (14 millions d'habitants) mais en pleine transformation économique. Dans le cadre du plan élaboré par le président Patrice Talon depuis 2016, l'une des priorités est de développer une industrie robuste pour transformer localement les matières premières nationales que sont notamment le coton et la noix de cajou. Lors de cette émission enregistrée à l'hôtel Sofitel de Cotonou dans le cadre du Choiseul Africa Summit (26 et 27 février), les acteurs de cette politique concertée expliquent leur stratégie : la construction d'infrastructures, leur financement, la recherche d'investisseurs avec l'appui de l'État, la connectivité grâce aux transports, l'approvisionnement en énergie, la formation des employés des unités de production.Quel bilan tirer de cette politique d'industrialisation ? Quels sont ses limites et les défis potentiels ? Ce modèle béninois est-il applicable à d'autres pays en Afrique et dans le monde ?NOS INVITÉS : Alimatou Shadiya Assouman, ministre chargée de l'Industrie et du Commerce du Bénin Létondji Béheton, directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'Industrie (SIPI), joint-venture entre l'État béninois et le groupe Arise qui développe la GDIZ Maryse Lokossou, directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) du Bénin Ranti Akindes, directeur général de la Société des Infrastructures routières et de l'Aménagement du Territoire (SIRAT). Avec la participation de Bart Van Eenoo, directeur général du Port autonome de Cotonou.
Le Bénin est un petit pays en superficie (110.000 kilomètres carrés) et en population (14 millions d'habitants) mais en pleine transformation économique. Dans le cadre du plan élaboré par le président Patrice Talon depuis 2016, l'une des priorités est de développer une industrie robuste pour transformer localement les matières premières nationales que sont notamment le coton et la noix de cajou. Lors de cette émission enregistrée à l'hôtel Sofitel de Cotonou dans le cadre du Choiseul Africa Summit (26 et 27 février), les acteurs de cette politique concertée expliquent leur stratégie : la construction d'infrastructures, leur financement, la recherche d'investisseurs avec l'appui de l'État, la connectivité grâce aux transports, l'approvisionnement en énergie, la formation des employés des unités de production.Quel bilan tirer de cette politique d'industrialisation ? Quels sont ses limites et les défis potentiels ? Ce modèle béninois est-il applicable à d'autres pays en Afrique et dans le monde ?NOS INVITÉS : Alimatou Shadiya Assouman, ministre chargée de l'Industrie et du Commerce du Bénin Létondji Béheton, directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'Industrie (SIPI), joint-venture entre l'État béninois et le groupe Arise qui développe la GDIZ Maryse Lokossou, directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) du Bénin Ranti Akindes, directeur général de la Société des Infrastructures routières et de l'Aménagement du Territoire (SIRAT). Avec la participation de Bart Van Eenoo, directeur général du Port autonome de Cotonou.
durée : 00:03:41 - "La caisse de retraite ne veut rien savoir" : ce Palois ne parvient pas à se faire payer tous ses trimestres
Au micro de Patrick Lagacé, Marie-Eve Fournier explique en quoi le rendement de 9,4% pour la Caisse de dépôt et placement en 2024 est une sous-performance par rapport à son indice de référence. Il s'agit de sa pire performance en 10 ans. Écoutez Marie-Eve Fournier brosser le portrait du monde financier à Lagacé le matin jeudi.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur les plus récentes informations dans le dossier du fiasco SAAQclic. Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, avait été informé des dépassements de coûts de la plateforme dès juin 2022. C'est ce que rapporte Le Devoir jeudi matin. Dans le document de juin 2022, dont le quotidien a obtenu copie, il était inscrit que le budget de 97 millions de dollars était ainsi augmenté à 416 millions. «En résumé, en tenant compte du rapport de la vérificatrice générale [Guylaine Leclerc], on peut dire que le bateau de la SAAQ était mené par des manipulateurs, des menteurs et des incompétents. Le fil de la bobine se déroule tranquillement.» podscan_xOUMsFBLxjokTc5D7ommy4XWvDwMUcqF «Éric Caire, c'est étonnant, mais c'est comme ça, a encore l'appui de François Legault. Sérieux, c'est à n'y rien comprendre.» Autres sujets abordés La SAAQ: le ministre Éric Caire était au courant du fiasco depuis 2022. Message de la Caisse de dépôt et placement (CDPQ) aux opérateurs du REM: redresser la situation rapidement sans quoi il y aura des sanctions. Les tarifs de Donald Trump: mars, avril… le mystère persiste. La liste des clients et amis du pédophile Jeffrey Epstein sera rendue publique jeudi. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Un court extrait de l'épisode qui sort jeudiC'est important : vous êtes déjà 172 à nous soutenir mensuellement sur Tipeee. Il nous manque 407 euros par mois pour que le podcast puisse continuer en toute indépendance. Si vous trouvez notre projet utile et souhaitez nous soutenir, c'est ici. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Consolidation du marché brassicole au Québec : Une nouvelle ère pour l’industrie. Contre-performance de la Caisse de dépôt avec un rendement de 9,4% en 2024. La rencontre affaires avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Livret A, produit d'épargne préféré des Français, a connu un début d'année 2025 morose. Selon les dernières données publiées par la Caisse des Dépôts, la collecte nette pour le mois de janvier affiche son niveau le plus bas depuis 2016. Un signal fort qui traduit un changement de comportement des épargnants, dans un contexte économique marqué par l'inflation persistante et des arbitrages financiers plus contraints.Une collecte en net ralentissementChaque début d'année est traditionnellement un mois dynamique pour le Livret A, alimenté par les dépôts issus des primes de fin d'année et des bonnes résolutions financières. Pourtant, en janvier 2025, la collecte nette (dépôts moins retraits) a été particulièrement faible, voire négative dans certains établissements bancaires. Il faut remonter à 2016 pour retrouver un mois de janvier aussi peu favorable à l'épargne réglementée.Ce coup de frein s'explique en grande partie par le taux du Livret A. Ce taux d'intérêt annuel est fixé à 2,4 % (contre 3 % entre le 1er février 2023 et le 31 janvier 2025). Bien qu'historiquement attractif, ce taux désormais peine à rivaliser avec d'autres placements, notamment les comptes à terme et certaines assurances-vie en fonds euros, qui offrent des rendements plus compétitifs.Un pouvoir d'achat sous pressionAutre facteur majeur : le pouvoir d'achat des Français, mis à rude épreuve par une inflation toujours présente. Les ménages doivent faire face à des hausses de prix sur l'énergie, l'alimentation et les loyers, réduisant ainsi leur capacité à épargner. Résultat : une partie des dépôts qui auraient été destinés au Livret A est directement absorbée par les dépenses courantes.Par ailleurs, la fin progressive des aides gouvernementales post-Covid, combinée à un contexte économique incertain, incite certains épargnants à privilégier des placements plus flexibles ou à puiser dans leurs économies pour boucler leur budget.Vers un changement de tendance ?Ce ralentissement marque-t-il un tournant pour le Livret A ? Si la tendance se confirme dans les mois à venir, le gouvernement et la Banque de France pourraient être amenés à ajuster leur stratégie. Une révision du taux en août 2025 est déjà envisagée, mais encore incertaine.En attendant, le Livret A reste un produit phare, notamment grâce à son exonération fiscale et sa garantie en capital. Reste à voir si les Français retrouveront le chemin de l'épargne dans un contexte économique toujours sous tension. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Anne-Sophie Carrese est une figure clé du capital-risque en France, une référence dans le domaine des technologies de rupture. Managing Partner chez Elaia Partners depuis 2017, elle a joué un rôle important dans la création de fonds dédiés au financement d'amorçage de startup deep tech, comme le fonds PSL Innovation en partenariat avec l'Université Paris Sciences et Lettres, puis le fonds Elaia Alpha 2 avec l'INRIA.Son parcours est assez dingue, de l'ingénierie aéronautique à la finance : elle a démarré sa carrière comme ingénieur d'essais de moteurs d'avions. Puis elle a travaillé sur différents projets à la Direction du Trésor et à la Caisse des Dépôts, avant de rejoindre Bpifrance Investissement où elle a lancé le fonds mezzanine et structuré le fonds d'investissement écotechnologies.Ancienne élève de l'École polytechnique (X 1995) et membre du Corps de l'Armement, Anne-Sophie Carrese s'intéresse particulièrement aux secteurs de l'énergie, de l'aéronautique, de l'industrie, de l'IoT et surtout des deep tech, un univers qui la passionne. Son regards sur ces matières est absolument rafraichissant. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elias Makos is joined by Meeker Guerrier, Commentator at Noovo and RDS, and Caroline Codsi, Founder & Chief Equity Officer, Women in Governance. The latest poll numbers from Angus Reid show that the Liberals under him would be neck and neck with the Conservatives La Presse is reporting that the Trudeau government will announce this morning a $100-billion dollar plan for High-speed rail between Quebec City and Toronto Quebec Transport Minister Geneviève Guilbault is demanding that the Caisse de dépôt et placement du Québec take responsibility for ongoing REM breakdowns
durée : 00:04:14 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Le Belem, ce trois-mâts lancé en 1896, est un monument historique, une école de la mer, un ambassadeur de la France. La déléguée générale de la Fondation Belem Caisse d'Epargne, Christelle Hug de Larauze, le présente dans les Chroniques Littorales.
Roland Pérez répond à une question très pratique : ai-je le droit de retourner un produit sans le ticket de caisse ? Il explique que même sans le ticket, le commerçant est généralement tenu d'accepter le retour, notamment en cas de défaut du produit. Il détaille les différentes preuves d'achat alternatives acceptées, comme le relevé bancaire ou la facture. Pour les achats en ligne, le droit de rétractation de 14 jours s'applique, là encore sans nécessité de présenter le ticket. Des conseils utiles pour bien connaître ses droits de consommateur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:37:58 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Dans un contexte de transformation sociale, la perception des violences dans les films évolue. Comment gérer les œuvres du passé dans les cinémathèques ? Sont-elles de simples institutions de conservation du patrimoine ou doivent-elles prendre en compte les évolutions sociétales et y participer ? - réalisation : François Richer - invités : Natacha Laurent Maitresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université Toulouse Jean-Jaurès, spécialiste du cinéma russe et soviétique, elle a dirigé la Cinémathèque de Toulouse de 2005 à 2015; Gabriela Trujillo Historienne du cinéma, spécialiste des cinémas d'Amérique latine, essayiste et romancière, ancienne directrice de la Cinémathèque de Grenoble
durée : 00:37:58 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Dans un contexte de transformation sociale, la perception des violences dans les films évolue. Comment gérer les œuvres du passé dans les cinémathèques ? Sont-elles de simples institutions de conservation du patrimoine ou doivent-elles prendre en compte les évolutions sociétales et y participer ? - réalisation : François Richer - invités : Natacha Laurent Maitresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université Toulouse Jean-Jaurès, spécialiste du cinéma russe et soviétique, elle a dirigé la Cinémathèque de Toulouse de 2005 à 2015; Gabriela Trujillo Historienne du cinéma, spécialiste des cinémas d'Amérique latine, essayiste et romancière, ancienne directrice de la Cinémathèque de Grenoble
Lors d'un passage en caisse, pourquoi la réduction ne s'applique pas sur les produits en promotion, sans carte de fidélité, bien que celle-ci soit gratuite ? Olivier Dauvers répond dans la question conso ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
C dans l'air du 25 janvier 2025 - Énergie : les Français passent à la caisseLe prix du gaz s'envole : + 4,8 % en janvier après plusieurs hausses, déjà, en octobre et juillet dernier... Avec le froid, les Français se chauffent davantage et les stocks ont diminué. L'autre explication réside dans la décision de l'Ukraine de mettre fin au transit du gaz russe à travers son territoire, marquant une rupture énergétique décisive avec Moscou. Conséquence directe : les Européens - dont le tiers du gaz acheté à la Russie passe par cette voie - ont perdu près de 15 milliards de mètres de cube de gaz, soit près de 5% de la consommation de l'Union européenne. De quoi inquiéter jusqu'au PDG de Total énergies, Patrick Pouyanné, qui a demandé jeudi à Davos au président américain Donald Trump des garanties sur la sécurité des approvisionnements de l'Europe en gaz naturel liquéfié américain... dont TotalEnergies est le principal exportateur.Dans le même temps, les ventes de chaudières à gaz ont augmenté de 15% depuis le début de l'année, selon le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques. Le gouvernement a bien tenté de décourager l'installation de ce dispositif, très émetteur en CO2, en l'interdisant dans les maisons individuelles neuves. Mais les résultats se font encore attendre : les Français rechignent à passer aux pompes à chaleur, jugées trop couteuses et moins fiables, et dont les ventes se sont effondrées de 30% en 2024. Rare embellie en ce début d'année, la Commission de l'énergie a annoncé une baisse de 15% des tarifs réglementés de l'électricité au 1er février pour 24 millions de ménages. Et ce malgré la fin du bouclier énergétique mis en place par le gouvernement en 2021. De leur côté, les constructeurs automobiles ont commencé l'année avec une avalanche de mauvaises nouvelles. Les ventes de véhicules neufs, électriques comme thermiques, ont diminué de 3,2 % en 2024. L'industrie se porte mal et les plans sociaux se multiplient : Michelin a annoncé la fermeture de deux usines tandis que Valeo prévoit de supprimer près de 1 000 postes sur huit sites français. Le désamour des Français se concentre essentiellement sur les voitures électriques, dont le prix est jugé prohibitif. Selon AAA Data, les immatriculations sur ce segment se sont ainsi effondrées de 24,4 % en novembre 2024. Les constructeurs n'ont pas été aidés par la décision du gouvernement de réduire son bonus écologique pour l'acquisition de véhicules zéro émission, déficit publique oblige. D'autant que la prime à la conversion, versée aux ménages remplaçant leur voiture par un modèle moins polluant, est également supprimée en 2025. Mais Emmanuel Macron ne veut pas apparaître comme l'ennemi des automobilistes pour autant. Cette semaine, le président a répondu sur TikTok à un influenceur qui venait de se voir infliger une amende pour avoir payé au péage avec son téléphone portable : "On va collectivement régler ça […] Merci pour l'alerte", a-t-il déclaré. Pas sûr que cela suffise à enrayer la crise de l'automobile. Symbole de la crise de l'industrie automobile, la Fonderie de Bretagne (FDB), ancienne filiale du constructeur automobile Renault, a demandé mercredi 22 janvier, son placement en redressement judiciaire, avec 350 emplois menacés. L'entreprise avait bien entamé des négociations en juillet avec le fonds d'investissement allemand, Private Assets, pour envisager une reprise, mais la direction de FDB assure que Renault, resté principal client de la fonderie, a fait capoter l'accord. "Nous sommes une victime de Renault qui veut se débarrasser de ses fonderies en France", a déploré son directeur Jérôme Dupont à La Tribune. Plusieurs responsables syndicaux, dont la présidente de la CGT Sophie Binet et des députés, ont écrit début janvier à Emmanuel Macron pour réclamer l'intervention de l'État dans le dossier : "Nous refusons que la fermeture de la Fonderie de Bretagne devienne le symbole de la désindustrialisation du pays".Pourquoi le prix du gaz explose ? Comment expliquer la mauvaise santé économique du secteur automobile en France ? Et l'État doit-il venir en aide à Fonderie de Bretagne, menacée de fermeture ?Les experts :- Flavien NEUVY - Économiste, directeur de l'observatoire CETELEM- Pascale HEBEL - Directrice associée chez C-Ways, spécialiste de la consommation- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie, Les Échos
C dans l'air du 25 janvier 2025 - Énergie : les Français passent à la caisseLes experts :- Flavien NEUVY - Économiste, directeur de l'observatoire CETELEM- Pascale HEBEL - Directrice associée chez C-Ways, spécialiste de la consommation- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie, Les Échos
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 23 janvier 2025.
Dans cet épisode de La belle histoire de La France bouge, découvrez PepPsy, une entreprise innovante dédiée à la prévention de la santé mentale au travail. Fondée par Juliette Lachenal, psychologue clinicienne, PepPsy accompagne désormais près de 70 PME et ETI, représentant plus de 60 000 collaborateurs. Avec une approche sur-mesure, elle répond aux besoins spécifiques des entreprises, séduisant même la Caisse nationale militaire de sécurité sociale. Cet épisode met en lumière l'impact grandissant de PepPsy sur le bien-être des salariés français.
On connaît les enchères prestigieuses des grandes maisons – Sotheby's, Christie's – où des oeuvres d'art ou des bijoux précieux s'arrachent à des montants exorbitants. Mais c'est aussi dans des ventes aux enchères que se retrouvent les objets saisis par les Offices de poursuites et faillites dans l'espoir d'indemniser des créanciers ou les valeurs mises en gage pour un prêt financier. Bijoux, montres, vaisselles, quelle valeur ont les objets qui nous entourent ? Les ventes aux enchères sont autant de lieux où l'on croise la richesse et la misère, les quêtes de bonnes affaires ou de fortune. Production : Laurence Difélix Réalisation : Jean-Daniel Mottet Les invités: Dr Arnaud Campi Docteur en droit, enseignant à lʹUniversité de Genève. Il a récemment édité un ouvrage consacré aux 150 ans de la Caisse publique de prêts sur gages créée à Genève en 1872. & Daniel Romano Délégué aux affaires des offices des poursuites et faillites du canton de Vaud.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Spécialiste des investissements dans les data centers, les réseaux mobiles ou fixes ou les câbles sous-marins, Gaël Sérandour a récemment été nommé directeur du département des infrastructures à la direction de l'investissement de la Banque des Territoires. Un secteur aux enjeux multiples, notamment en termes de souveraineté et de vulnérabilité. Il nous en parle dans la Grande Interview de SMART TECH.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
mélange azimut pour public épicurien....
C dans l'air du 6 janvier 2025 - Budget, retraites : Bercy regarde à gauche...Le ministre de l'Économie et des Finances ainsi que la ministre des Comptes publics débutent ce lundi à Bercy les consultations des partis politiques dans l'optique de faire voter rapidement par le Parlement un projet de loi de finances pour 2025. Avec un objectif : ramener le déficit entre "5 et 5,5 %", cette année, ce qui nécessitera un "effort" budgétaire "autour de 50 milliards d'euros", moins que les 60 milliards qu'ambitionnait le gouvernement précédent, et qui passera "essentiellement" par des économies, a affirmé ce matin Éric Lombard sur France Inter.Pour rassurer le monde économique, les marchés qui prêtent à l'Etat mais aussi Bruxelles, il faut "que dans les meilleurs délais, notre pays ait un budget" a expliqué l'ancien directeur général de la Caisse des dépôts. Pour cela, le nouveau patron de Bercy souhaite obtenir "a minima un accord de non-censure" et lance un appel du pied aux partis de gauche avec qui "il y a plus de perspective d'un dialogue fécond qu'avec le RN". Et le ministre d'embrayer sur ce qu'il dit partager avec le parti socialiste, mais aussi les communistes et les écologistes : la recherche de justice fiscale. "Il y a dans ce pays des mécanismes d'optimisation fiscale qui font que des personnes qui ont des revenus importants ne paient pas leur part d'impôt. Il s'agit que chacun paie sa juste part de l'impôt."Même angle d'attaque sur France 2 ce matin pour la ministre des Comptes publics qui promet "un plan d'action très concret, très ambitieux" concernant l'égalité devant l'impôt, et axé sur la lutte contre la "suroptimisation fiscale". Dans les colonnes du Parisien ce dimanche, Amélie de Montchalin a également indiqué que le gouvernement n'envisage pas de "hausse d'impôts pour les ménages" mais veut garder les éléments qui ont fait consensus lors de l'examen des projets de budget de l'État et de la Sécurité sociale laissés en suspens par la censure du gouvernement Barnier. Parmi les mesures que l'exécutif compte conserver, la ministre a cité la contribution supplémentaire sur les grandes entreprises, la taxe sur les rachats d'actions et sur les billets d'avion. Quid de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus ? Si celle-ci "ne peut plus s'appliquer" du fait de la censure,"nous réfléchissons à de nouvelles modalités", a fait savoir Amélie de Montchalin. "Il ne s'agit pas de proposer des impôts nouveaux, mais de vérifier que chacun paye sa juste part de l'impôt (...). Pas taxer davantage les très riches mais veiller à ce que leur niveau d'impôt soit homogène à celui que payent les autres Français", a relevé de son côté Éric Lombard qui a reçu ce matin le MoDem et les socialistes.À la sortie de Bercy, le PS s'est dit favorable à "une négociation où chacun est responsable, où chacun fait des pas vers l'autre. Nous sommes prêts à en faire", a lancé Olivier Faure, mais également à censurer le gouvernement s'il n'y a de "concessions remarquables". Le président du groupe socialiste au Sénat, Patrick Kanner, a par ailleurs fait état de la part du gouvernement d'"une proposition de modification, d'évolution de la réforme de la retraite"."La négociation du PS avec le gouvernement Macron-Bayrou n'engage que lui" a réagi sur X Jean-Luc Mélenchon. "Le NFP n'a été ni informé ni saisi auparavant. LFI ne sera donc pas concernée par le plat de lentilles servi à O. Faure. Les insoumis ne sont pas engagés par la non-censure négociée par le PS" a écrit le le leader de La France insoumiseDu côté du RN, Marine Le Pen poursuit ce lundi son déplacement à Mayotte trois semaines après le passage dévastateur du cyclone Chido. Présente sur place depuis hier, la figure de proue du Rassemblement national a appelé l'exécutif à ne pas oublier "les promesses faites aux Mahorais" et a déploré que la stratégie du gouvernement "n'aille pas assez loin". "Sans régler le problème de l'immigration clandestine, rien ne sera utile", a-t-elle estimé dimanche, en référence notamment au droit du sol, qui est déjà largement encadré sur le sol mahorais, et ce à l'heure où le gouvernement est divisé sur ce point. Une façon pour la leader du parti d'extrême droite de mettre la pression sur l'exécutif. C'est également pour la cheffe de file des députés RN qui dans les colonnes du Parisien du 18 décembre déclarait se préparer à une élection présidentielle anticipée "par précaution", de montrer sa popularité sur place. En 2022, les Mahorais l'ont placé en tête du second tour de la présidentielle avec 59 % des voix. Deux ans plus tard, la liste de Jordan Bardella aux européennes a recueilli 51 % des suffrages.Alors quel budget pour la France en 2025 ? Le gouvernement vise 50 milliards d'euros d'économies pour 2025, avec des promesses de ne pas augmenter les impôts pour les ménages. Comment compte-t-il faire ? Enfin le remboursement des Prêts Garantis par l'État, est-il le grand oublié du débat sur le budget ? Environ un tiers de ces PGE, accordés à 700 000 TPE et PME entre 2021 et 2022, doit encore être remboursé, selon la Banque de France, qui indiquait par ailleurs, le mois dernier, que les défaillances d'entreprises ont battu un nouveau record sur l'année écoulée. Nous avons rencontré le patron de l'un d'entre elles. Les experts : - DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - MYRIAM ENCAOUA - Journaliste- présentatrice - LCP- BRICE TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
En janvier dernier, l'annonce du plan Mattei pour l'Afrique par la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni a d'abord ressemblé à un coup politique. Une coquille vide adossée à des fonds déjà alloués et à un nom, celui d'Enrico Mattei, le fondateur du groupe italien Eni, très présent dans les hydrocarbures en Afrique. Mais près d'un an plus tard, le partenariat, signé officiellement le 5 décembre dernier avec la Banque africaine de développement, lui confère plus d'épaisseur. Agir dans les domaines de la formation, de la santé, de l'accès à l‘eau et à l'énergie, des infrastructures... Le plan Mattei sur le papier, c'est in fine répondre à un double objectif : limiter l'afflux de migrants en Italie et offrir de nouvelles opportunités aux entreprises italiennes.Au total, 5,5 milliards d'euros sur trois ans, gérés par la caisse des dépôts et consignation italienne, en lien avec le cabinet de la Première ministre. Paolo Lombard, chef du département coopération de la Cassa Depositi e Prestiti [la Caisse des dépôts et de consignation italienne, NDLR]. « Les trois premiers milliards viennent du fonds italien pour le climat. Pour les 2,5 milliards d'euros restants seront pris dans le budget de l'aide au développement, dont une partie est dédiée au plan Mattei. ». À cela s'ajoutent aussi des crédits à l'export et des garanties apportées par l'agence italienne de crédit à l'exportation Sace.Expertise de la BADTrop peu pour bousculer la hiérarchie européenne en matière de coopération et doper les entreprises italiennes au sud de la Méditerranée, critiquaient après les premières annonces certains observateurs italiens. Mais l'idée de Rome est aussi, grâce à cette mise de départ, d'attirer les contributions d'autres États, par exemple du Golfe.Pour structurer son action, l'exécutif italien a choisi de signer des partenariats avec la Banque africaine de développement. « La collaboration avec le groupe de la Banque africaine de développement a été cruciale pour assurer le soutien financier et technique, ainsi que mobiliser les ressources et l'expertise pour trouver des projets à financer par le plan Mattei », explique Giuseppe Venneri, membre de la task force du plan Mattei.Avec des premiers pays cibles comme le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, l'Égypte, l'Éthiopie, la Côte d'Ivoire, le Kenya et le Mozambique. Sans oublier le Congo, où Claudio Descalzi, actuel patron d'Eni, a dirigé la filiale du pétrolier dans les années 1990.Des infrastructures au capital investissementDu côté de la BAD, on est aussi satisfait par les perspectives de ce nouveau partenariat. « Le plan Mattei est vraiment centré sur l'action, souligne Solomon Quaynor, vice-président de la banque africaine. C'est donc une très bonne chose pour nous, de nous lancer dans de nouveaux domaines de collaboration. Nous avons commencé avec l'Alliance pour l'infrastructure verte en Afrique (AGIA), mais nous l'étendons maintenant à la fourniture de capital-risque pour la croissance des PME, mais aussi aux fonds de capital-investissement pour le développement d'infrastructures. »Fin 2024, Rome avait déjà annoncé le financement de certains projets comme le corridor ferroviaire menant au port angolais de Lobito et la production de biocarburants au Kenya piloté par Eni.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 13 décembre 2024.Avec cette semaine :Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, directeur de l'Institut mutualiste pour l'environnement et la solidarité, et éditeur.Eric Lombard, banquier, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations.Michel Winock, historien et écrivain.LA SOCIAL-DÉMOCRATIE ET MICHEL ROCARDLa notion de social-démocratie fait l'objet de plusieurs interprétations contradictoires. Dans son acception large, le concept renvoie à une forme d'organisation politique qui trouve son origine dans les pays scandinaves, et dont l'essence serait d'accepter le cadre de l'économie de marché, tout en mettant l'accent sur la redistribution des richesses. Dans un sens plus étroit et plus polémique, le terme est assimilé au social-libéralisme et utilisé pour anathématiser une vision politique qui, sous couvert de défendre les travailleurs, se préoccuperait surtout de ne pas déranger les plus riches. En France, où il n'existe pas de parti se réclamant de la social-démocratie, cette ambiguïté est accentuée par l'attitude du Parti socialiste au sein duquel l'héritage de la « deuxième gauche » ne cesse de faire débat. Si donc le concept de social-démocratie reste à préciser, l'un des hommes politiques s'en étant réclamé le plus est Michel Rocard. Premier ministre de 1988 à 1991, on lui doit notamment les accords de Matignon sur la Nouvelle-Calédonie, la mise en place du revenu minimum d'insertion, ou encore la contribution sociale généralisée. Son passage à Matignon est marqué par une attention portée à l'économie sociale et solidaire, aux négociations avec les syndicats, et par la mise en place d'un nouveau contrat salarial, reposant sur trois piliers : réorganisation et décentralisation des conditions de travail ; hausse maîtrisée des salaires, c'est-à-dire « politique des revenus » ; attention portée à la formation continue des salariés. En creux, transparaît ainsi dans son bilan une attention à la négociation et au compromis, ainsi qu'une tentative de décentraliser les relations économiques aussi bien que l'administration de l'État. Dans Le Cœur à l'ouvrage, publié en 1987, il écrit que « dès l'instant qu'une force de gauche a des convictions communes assez fortes pour ne devoir son identité qu'à elle-même, et assez de puissance pour entraîner dans son sillage la mouvance communiste sans en dépendre, elle peut gagner et se révéler efficace et rayonnante ». D'emblée sont ainsi posés deux prérequis à toute victoire de la gauche : qu'elle soit unie, mais que cette union soit sous le leadership d'un parti non communiste, c'est-à-dire ouvert au compromis.Nous nous interrogerons donc tout autant sur ce que signifie le concept de social-démocratie, sur sa conception de l'État, que sur son rapport avec sa gauche et sur sa vision des relations sociales. Mais d'abord, pourriez-vous, chacun d'entre vous nous partager quelque chose qui vous concerne particulièrement à propos de Michel Rocard ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Jacky iDO a les mots dans la peau, au point qu'on aime imaginer que ce généreux sourire, si souvent accroché à ses lèvres, est là pour leur dérouler le plus beau des tapis rouges : un peu comme dans un conte, sa bouche libère les mots pour leur donner mille tournures. Les cadencer, les faire claquer, les amarrer à l'âme, aux bleus, au cœur, leur faire prendre des sens interdits, les faire rougir et les conjuguer dans plusieurs langues, au pluriel, Jacky iDO a fait du verbe le concert de sa vie. De l'Afrique à l'Amérique en passant par l'Europe, il les a élus guide pour relier les trois points cardinaux de son histoire et de son territoire. Devant une caméra ou derrière un micro, le langage chez lui est tension. Tension vers lui-même pour mieux tendre vers l'autre. Parallèlement à sa carrière d'acteur internationale au cinéma (avec Quentin Tarantino, Claude Lelouch, Luc Besson...) et au théâtre (Bérénice, Phèdre, mis en scène par Muriel Mayette-Holtz), il revient à ses premières amours : le slam et la musique.En 2023, il remonte la scène Slamaleikoum, créée début des années 2000 avec Grand Corps Malade et qu'il anime aujourd'hui une fois par mois au 360 Paris Music Factory. Dans ce chorus de voix, Jacky iDO affûte aussi la sienne et enregistre en 2023 son premier album, coréalisé avec Cyril Giroux, aux studios Ferber à Paris et ICP à Bruxelles (sortie automne 2024). Caisse de résonance de son triangle identitaire, cet album retrace l'itinéraire d'une vie tournée vers la nôtre. Ses fulgurances, ses combats, ses espoirs se font l'écho de nos parcours. Jacky iDO slame, rappe et chante en français, anglais et moré. Des cordes classiques à celles d'un n'goni ou d'un ukulélé, d'un beat hip-hop à un groove chaloupé, il nous embarque avec ses musiciens Les Choco'Latés dans le labyrinthe d'une musique ouverte aux vents des mots et des rêves.Titres interprétés au grand studio :- Slamaleikoum, Live RFI- La Cause, extrait de l'album Ouaga Doux Goût, Live RFILine Up : Jacky iDO, chant, Jean-Charles Acquaviva, piano, Frédérique Alié, chant, Clément Febvre, batterie, Guimba Kouyaté, guitare, Sébastien Moreau, piano, Simon Renard, guitare & Frédérique Briard. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant► Album iDO donc je suis (BROOKLYNAFASO 2024).Site internet - Instagram - Facebook+ Playlist autour de James Baldwin, à l'occasion de son centenaire.- Meshell Ndegeocello Travel, tiré de l'album No More Water, The Gospel of James Baldwin (Blue Note Rd 2024)- Nina Simone Four Women- James Baldwin & David Linx A Lover's QuestionSite internet Meshell NdegeocelloRéalisation : Donatien Cahu(Rediffusion)
Jacky iDO a les mots dans la peau, au point qu'on aime imaginer que ce généreux sourire, si souvent accroché à ses lèvres, est là pour leur dérouler le plus beau des tapis rouges : un peu comme dans un conte, sa bouche libère les mots pour leur donner mille tournures. Les cadencer, les faire claquer, les amarrer à l'âme, aux bleus, au cœur, leur faire prendre des sens interdits, les faire rougir et les conjuguer dans plusieurs langues, au pluriel, Jacky iDO a fait du verbe le concert de sa vie. De l'Afrique à l'Amérique en passant par l'Europe, il les a élus guide pour relier les trois points cardinaux de son histoire et de son territoire. Devant une caméra ou derrière un micro, le langage chez lui est tension. Tension vers lui-même pour mieux tendre vers l'autre. Parallèlement à sa carrière d'acteur internationale au cinéma (avec Quentin Tarantino, Claude Lelouch, Luc Besson...) et au théâtre (Bérénice, Phèdre, mis en scène par Muriel Mayette-Holtz), il revient à ses premières amours : le slam et la musique.En 2023, il remonte la scène Slamaleikoum, créée début des années 2000 avec Grand Corps Malade et qu'il anime aujourd'hui une fois par mois au 360 Paris Music Factory. Dans ce chorus de voix, Jacky iDO affûte aussi la sienne et enregistre en 2023 son premier album, coréalisé avec Cyril Giroux, aux studios Ferber à Paris et ICP à Bruxelles (sortie automne 2024). Caisse de résonance de son triangle identitaire, cet album retrace l'itinéraire d'une vie tournée vers la nôtre. Ses fulgurances, ses combats, ses espoirs se font l'écho de nos parcours. Jacky iDO slame, rappe et chante en français, anglais et moré. Des cordes classiques à celles d'un n'goni ou d'un ukulélé, d'un beat hip-hop à un groove chaloupé, il nous embarque avec ses musiciens Les Choco'Latés dans le labyrinthe d'une musique ouverte aux vents des mots et des rêves.Titres interprétés au grand studio :- Slamaleikoum, Live RFI- La Cause, extrait de l'album Ouaga Doux Goût, Live RFILine Up : Jacky iDO, chant, Jean-Charles Acquaviva, piano, Frédérique Alié, chant, Clément Febvre, batterie, Guimba Kouyaté, guitare, Sébastien Moreau, piano, Simon Renard, guitare & Frédérique Briard. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant► Album iDO donc je suis (BROOKLYNAFASO 2024).Site internet - Instagram - Facebook+ Playlist autour de James Baldwin, à l'occasion de son centenaire.- Meshell Ndegeocello Travel, tiré de l'album No More Water, The Gospel of James Baldwin (Blue Note Rd 2024)- Nina Simone Four Women- James Baldwin & David Linx A Lover's QuestionSite internet Meshell NdegeocelloRéalisation : Donatien Cahu(Rediffusion)
C dans l'air du 27 décembre - Déficit, entreprises, impôts... la grande inquiétude"Je sais la difficulté de la tâche". C'est par ses mots qu'Eric Lombard a entamé lundi son mandat de nouveau ministre de l'Économie après avoir été nommé par François Bayrou. Même si son profil de technicien a été bien reçu par les milieux économique et politique, la tâche s'annonce compliquée pour l'ancien président de la Caisse des dépôts et consignations et quasi novice en politique. Celui qu'on décrit comme un banquier de gauche, a la lourde responsabilité de construire un budget d'ici la fin du mois de février sous la pression du RN qui n'a pas hésité à censurer le dernier gouvernement. La tension n'a jamais été aussi forte en France, alors que la dette française atteint un pic de 3 303 milliards d'euros au troisième trimestre. De son côté, le chômage a augmenté de 1,4 % en novembre et devrait continuer à suivre cette trajectoire sur les prochains mois, selon l'Insee. Pour une fois unis, les syndicats des travailleurs et du patronat ont pressé ces derniers jours le Premier ministre de "trouver des compromis" et exhorté à la "stabilité", notamment fiscale. Eric Lombard saura-t-il trouver la méthode ? Lui dit vouloir s'appuyer sur "l'écoute, le dialogue et la recherche de solutions partagées".Pour l'instant, on ne peut pas dire que le milieu du BTP soit rassuré par ce gouvernement. Le secteur est paralysé par l'incertitude sur le futur budget. Cette année, seulement 250 000 logements sont sortis de terre en France, du jamais vu depuis les années 1950. Sur 12 mois, la baisse des mises en chantier atteint 28,6 % en maison individuelle et 21,3 % en logement collectif. En cause notamment, un moindre accès au crédit pour les ménages et une augmentation des coûts de production. Dans un communiqué publié en début de semaine, le président de la Fédération française du bâtiment Olivier Salleron a demandé à ce que "le nouveau gouvernement s'engage urgemment à prendre des mesures décisives pour lutter contre la crise violente de la construction qui met en péril la France ainsi que les finances publiques". Maigre bonne nouvelle pour le milieu : les ministres Valérie Létard, au Logement, et Agnès Pannier-Runacher, à la Transition écologique, restent à leur poste.Eric Lombard a donc la lourde tâche de mettre sur la table un budget qui permettra de réduire le déficit à 6,1% du PIB affiché par la France. Une tâche éminemment compliquée lorsqu'on sait que la France n'a pas fini une année à l'équilibre depuis 50 ans. C'est sous Valéry Giscard d'Estaing, en 1974, que la France termine pour la dernière fois avec un solde budgétaire positif de 8,5 milliards de francs (environ 6,7 milliards d'euros). C dans l'air est allé rencontrer Jean-Pierre Fourcade, dernier ministre des Finances français à avoir présenté et exécuté un budget à l'équilibre. L'homme âgé de 95 ans observe avec effroi la situation “cauchemardesque” française, qui pourrait mettre en danger toute la zone euro.Comment Eric Lombard va-t-il s'y prendre pour faire passer le projet de loi finances ? Pourquoi le secteur du BTP s'inquiète des perspectives économiques ? Et la France a-t-elle les moyens de renouer avec un budget à l'équilibre ?Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien- Stéphanie VILLERS - Économiste, conseillère économique de PwC France- Isabelle RAYMOND - Cheffe du service économie et social - France Info
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?On prend les mêmes et on recommence. Après plusieurs jours d'intenses négociations, François Bayrou a dévoilé hier soir son gouvernement : 35 ministres et beaucoup d'anciens, à l'image d'Elisabeth Borne à l'Education, de Manuel Valls aux Outre-mer, ou encore de Gérald Darmanin à la Justice. Plusieurs figures du gouvernement Barnier sont maintenues, de Retailleau à l'Intérieur à Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères en passant par Rachida Dati à la Culture. À droite, peu de prises. Malgré un courrier du Premier ministre aux Républicains pour leur donner des gages sur l'autorité de l'État ou le redressement des finances publiques, Laurent Wauquiez n'a pas souhaité intégrer le gouvernement et déclare que les votes LR "se décideront texte par texte". Les nouveaux visages sont finalement minoritaires : l'ancien socialiste François Rebsamen arrive comme ministre chargé de l'aménagement du territoire, tandis qu'Eric Lombard, ancien directeur général de la Caisse des dépôts, prend le portefeuille de l'Economie. Il formera avec Amélie de Montchalin, son homologue aux finances, le duo chargé de redresser l'économie française. Une chose est sûre, François Bayrou aura échoué à élargir sa majorité au Parlement et se retrouve déjà sous la pression du RN que son prédécesseur. Marine Le Pen a d'ailleurs dénoncé sur twitter un gouvernement "qui s'appuie comme le précédent sur une absence manifeste de légitimité et une majorité introuvable".Moins de trois mois après avoir cédé sa place à Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur, Gérald Darmanin pose cette fois ses cartons à la Justice. Les deux anciens LR devraient poursuivre le coup de barre à droite sur les thèmes du trafic de drogue et de l'immigration. Une manière de couper l'herbe sous le pied au Rassemblement national. Bien qu'issus du même camp, les deux hommes portent des lignes différentes. Bruno Retailleau est un proche de Philippe de Villiers et François Fillon tandis que Gérald Darmanin s'est formé auprès de Nicolas Sarkozy, avant d'incarner l'aile droite de la macronie. Ils ont néanmoins appris à travailler ensemble lors de la dernière loi immigration, Gérald Darmanin s'appuyant sur Bruno Retailleau, alors chef des Républicains au Sénat, pour faire passer son texte. Le nouveau tandem devrait s'accorder sur une ligne de "fermeté et de rapidité dans l'exécution des réformes", comme l'assure un proche de Darmanin dans Le Parisien. Mais gare aux égos de ces deux fortes têtes.Loin de l'Élysée, des élus n'ont pas attendu la nomination du nouveau gouvernement pour "redresser les finances publiques", comme le souhaite François Bayrou. Dans les Pays de la Loire, la présidente du conseil régional, Christelle Morançais, ex-LR ralliée à Horizons, a décidé de couper 82 millions d'euros de subventions à la culture, aux sports et à l'égalité homme-femme, sur le budget 2025-2028. Bien plus que les 40 millions d'euros demandés par le gouvernement Barnier. À l'issue du vote, la numéro 2 du parti d'Édouard Philippe s'est défendue de tout excès de zèle : "C'est un budget d'économies, de choix politiques forts pour l'avenir et de recentrage sur nos compétences prioritaires". Planning familial, maisons de santé, clubs de sports, festivals… toutes ces structures ont accueilli le vote du budget avec effroi, le spectacle vivant pesant à lui seul plus de 150 000 emplois dans la région. Plus de 2 400 membres du réseau associatif et culturel local ont manifesté la semaine dernière pour dénoncer ces coupes budgétaires.Le nouveau gouvernement va-t-il pouvoir faire davantage que celui de Michel Barnier ? À quoi va ressembler la politique régalienne avec le duo Darmanin-Retailleau ? Et comment les efforts budgétaires réclamés par l'exécutif infusent déjà dans certaines régions ?Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Chinese stocks are up on reports that Beijing is due to launch a record amount of special Treasury bonds in a bid to stimulate the economy ahead of Donald Trump's return to the White House. U.S. President Joe Biden opens a probe into Chinese chip makers in what is the latest salvo against the country's trade practices. Honda, Nissan and Mitsubishi all see shares surge, with Honda issuing a $7bn share buy-back and confirming merger talks with Nissan. French Prime Minister François Bayrou picks the head of the state-backed financial group Caisse des Dépôts Éric Lombard as his new finance minister.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 01:47:54 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Augustin de Romanet, PDG du groupe Aéroports de Paris, revient sur ses 10 ans à la tête du groupe. Il évoque les enjeux d'ADP : la modernisation des aéroports et de leurs accès, les évolutions de l'expérience passager, la croissance internationale ainsi que les défis écologiques et technologiques. - réalisation : Riyad Cairat - invités : Augustin de Romanet Président-directeur général d'Aéroports de Paris, ancien directeur général de la Caisse des dépôts et consignations; Philippe Bélaval Conseiller Culture de l'Elysée; Cécile Petiau Directrice éditoriale chez Hachette Tourisme
La loi Cooganprotège les enfants stars de cinéma et de télévision en veillant à ce qu'une partie de leurs revenus soit préservée pour leur avenir. Elle a été établie en 1939en Californie, après un cas tristement célèbre impliquant l'enfant acteur Jackie Coogan, qui avait gagné des millions de dollars dans les années 1920, mais s'est retrouvé sans argent à l'âge adulte. 1. Origine de la loi Coogan Jackie Coogan est devenu une star mondiale après avoir joué aux côtés de Charlie Chaplin dans le film "The Kid"(1921). En tant qu'enfant acteur, il a accumulé une fortune grâce à ses rôles et à ses apparitions publiques. Cependant, lorsque Coogan a atteint l'âge adulte, il a découvert que presque tout son argent avait été dépensé par sa mère et son beau-père, qui géraient ses finances. À l'époque, il n'existait aucune loi obligeant les parents à mettre de l'argent de côté pour leurs enfants stars. Après avoir intenté un procès et récupéré une petite partie de sa fortune, l'affaire Coogan a suscité une vive réaction du public, entraînant l'élaboration de la loi Cooganpour protéger les jeunes acteurs. 2. Principes de la loi Coogan La loi Coogan impose que 15 % des revenusd'un enfant acteur soient placés dans un compte bloqué, appelé le "Coogan Trust"ou "Coogan Account", auquel seul l'enfant aura accès lorsqu'il atteindra l'âge de la majorité (généralement 18 ans). Ce mécanisme vise à garantir qu'une part des revenus de l'enfant lui sera conservée et qu'il ne se retrouvera pas sans ressources une fois sa carrière enfantine terminée. La loi exige également que les conditions de travaildes enfants stars soient régulées, notamment en ce qui concerne les heures de travail, la présence d'un tuteur sur le plateau, et des pauses pour les études. Ces mesures visent à protéger leur santé physique et mentale, et à s'assurer que leur éducation ne soit pas compromise par leur carrière artistique. En France, Les revenus des enfants stars en France sont également protégés pour garantir qu'ils puissent bénéficier de leur travail une fois majeurs. La loi n° 2015-177 du 16 février 2015 impose que les employeurs versent une part significative des gains de l'enfant (généralement 90 % du salaire net) dans un compte bloqué, géré par la Caisse des Dépôts et Consignations. Ce compte est accessible uniquement par l'enfant lorsqu'il atteint sa majorité, c'est-à-dire à 18 ans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.