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Donbass

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The John Batchelor Show
Good evening: The show begins in Russia with the three major demands by the Kremlin for war end: regime change; annexation of Donbass, no NATO...E

The John Batchelor Show

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 7:20


Good evening: The show begins in Russia with the three major demands by the Kremlin for war end: regime change; annexation of Donbass, no NATO... 1945 YALTA CBS Eye on the World with John Batchelor FIRST HOUR 9-9:15 - UKRAINE: Iron Pants Molotov Then and Now. Colonel Jeff McCausland, USA (Retired) @mccauslj @CBSNews @dickinsoncol 9:15-9:30 - Ukraine: NATO Plans w/wo USA. Colonel Jeff McCausland, USA (Retired) @mccauslj @CBSNews @dickinsoncol 9:30-9:45 - 1/2: Titanic: Carpathia to the Rescue. Charlie Pellegrino, "Farewell Titanic." "The Californian Incident." 9:45-10:00 - 2/2: Titanic: Carpathia to the Rescue. Charlie Pellegrino, "Farewell Titanic." "The Californian Incident." SECOND HOUR 10-10:15 - PRC: Alan Tonelson, independent economic policy analyst who blogs at RealityChek and tweets at @AlanTonelson, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://fortune.com/2025/04/14/trump-trade-war-china-tariffs-imports-imbalance/ 10:15-10:30 - PRC: Nukes: Peter Huessy, president of Geostrategic Analysis and a fellow at the National Institute for Deterrence Studies, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill 10:30-10:45 - Canada: Charles Burton, senior fellow at Sinopsis, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://nationalpost.com/news/canada/chinese-government-mark-carney-messages 10:45-11:00 - Brandon Weichert, author of Winning Space: How America Remains a Superpower, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/moon-vs-mars-trumps-nasa-pick-faces-tough-questions-agencys-future-2025-04-09/ THIRD HOUR 11:00-11:15 - 1/2: Japan: Dealing. Grant Newsham, "When China Attacks." 11:15-11:30 - 2/2: Japan: Dealing. Grant Newsham, "When China Attacks." 11:30-11:45 - PRC: Submarine Cables, Jack Burnham, FCC. 11:45-12:00 - Russia: Trump Tariff Talk Crushes Russian Oil. Michael Bernstam, Hoover FOURTH HOUR 12-12:15 - France: Sound Barrier. Simon Constable, Occitanie. 12:15-12:30 - Atoms for Peace; Quiz, Simon Constable, Occitanie. 12:30-12:45 - VAST: Commercial Space Stations. Bob Zimmerman, behindtheblack.com 12:45-1:00 AM - Mars: Curiosity Abides. Bob Zimmerman, behindtheblack.com

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George Webb | Ukraine: Everything You Were Never Told and Were Afraid to Ask | Part 1 of 2

VERITAS w/ Mel Fabregas | [Non-Member Feed] | Subscribe at http://www.VeritasRadio.com/subscribe.html to listen to all parts.

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025


Tonight on Veritas, our special guest is George Webb. For decades, the truth about Ukraine has been buried beneath propaganda, political maneuvering, and outright deception. The narrative we've been given is simple - Russia is the aggressor, Ukraine is the victim, and the West is simply defending democracy. But what if that's not the full story? What if this war was provoked, orchestrated, and prolonged by forces that never had Ukraine's best interests in mind? What if everything you've been told about this war is a lie? Tonight, we break it all down. This is not just another discussion about Ukraine. This is a deep, chronological, and no-holds-barred examination of the forces that shaped this conflict - from the creation of the Soviet Union to NATO's relentless march eastward, from the 2014 coup to the war in Donbass, and from Volodymyr Zelensky's meteoric rise to the manufactured hero he's become. We're going to ask the hard questions no one else dares to ask. Why did Khrushchev hand Crimea to Ukraine, and was it ever really Ukrainian? Did the U.S. actively sabotage peace negotiations to keep this war going? And is this war truly about democracy - or is it about world dominance? We'll expose how NATO's expansion was never about security, but about cornering Russia. How the 2014 coup wasn't about freedom, but about installing a puppet regime. How Zelensky wasn't a leader chosen by the people, but an actor groomed by an oligarch and backed by the West. And most importantly - who really benefits from this war? Because it's not the Ukrainian people. It's not the American taxpayer. And it's certainly not the families being torn apart by the bloodshed. No fluff. No spin. Just the cold, hard truth.

Reportage International
Dans Soudja, reprise par l'armée russe

Reportage International

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 2:54


La localité rurale ainsi que la majeure partie du territoire de la région de Koursk ont été reconquises par une contre-offensive éclair des soldats de Moscou, lancée un peu plus de sept mois après la spectaculaire incursion de l'armée ukrainienne en territoire russe. Les villages y ont pris des allures fantômes et la menace des drones est permanente. De notre envoyée spéciale à Soudja, Anissa El Jabri (avec Anna Chargatova pour la production)« Aujourd'hui est un bon jour pour travailler à peu près tranquillement. Comme il y a un vent très fort, les drones ennemis ne peuvent pas voler aussi vite et aussi près que d'habitude, et ils ont besoin de plus de temps pour viser et tirer. Et comme c'est aussi un jour très clair, pour nous, c'est aussi plus facile de les voir venir et de les abattre ».Au volant de la voiture, l'imam de Koursk, qui a rejoint les forces russes du groupe tchétchène Akhmat, connaît le trajet par cœur : en coopération avec les autorités locales, ces troupes font la route chaque jour pour nourrir les rares civils encore présents sur place, évacuer ceux qui le souhaitent ou dont l'état le nécessite. L'imam Issa reste pourtant concentré. Les soldats de Moscou ont repris position sur leurs terres, mais chaque trajet sur cette route encore interdite aux civils reste dangereux. Sur le bas-côté, quelques cadavres de vaches ou de cochons, des véhicules militaires calcinés ; dans les champs, impressionnantes, des mines anti-tanks, déposées « le 8 mars, pour bloquer tout mouvement de l'armée ukrainienne », dit Issa. « Des combats très intenses faisaient rage, des drones volaient, et tout ce qui bougeait explosait en même temps. De nombreux véhicules ont été touchés. Maintenant, les services dédiés retirent tout au fur et à mesure pour que nous puissions circuler ». La menace dans le ciel reste permanente. Comme tous les véhicules circulant sur cette route de Koursk en direction de Soudja, celui conduit ce jour-là est équipé d'un détecteur de drones.Dans la voiture, l'alarme qui signale l'approche d'un de ces engins se fait soudain très insistante. Cartouches spéciales en bandoulière et fusil anti-drones à portée de main à chaque instant, Islam explique : « Là, le détecteur est en train de nous signaler que nous sommes observés du ciel, qu'un drone se rapproche. À ce stade, il est probablement à environ un ou deux kilomètres de nous. C'est une distance très dangereuse. Les drones sont rapides, on en a repéré qui peuvent voler jusqu'à une vitesse de 140 km-heure. Mais ce n'est peut-être pas forcément un engin d'attaque, mais peut-être juste un drone de reconnaissance. Ceux-là vont beaucoup moins vite. »   Un porte-parole des « Spetsnaz », les forces spéciales tchétchènes, se présentant avec son nom de code « Dior », ajoute : « Pour les abattre, on utilise souvent des fusils de chasse, mais nous avons aussi un système de brouillage. Les drones volent sur des fréquences différentes selon le modèle. Il y en a un très grand nombre, très différents par la taille et la technique. Certains portent de très grosses charges sur de très longues distances. Ceux à fibre optique sont apparus plus récemment et sont particulièrement difficiles à contrer ».Le bip finit par s'éteindre… la tension par redescendre. À quelques kilomètres de Soudja apparaissent soudain sur les côtés de la route d'immenses piliers en bois et des hommes qui s'affairent à en placer d'autres. L'imam Issa décrypte la manœuvre : « Ils ont commencé ça il y a littéralement à peine deux-trois jours. Ils installent des poteaux en bois, un filet entre les deux côtés et recouvrent entièrement la route. Ça va ressembler à un corridor entièrement fermé par le haut, pour qu'un drone ne puisse pas le franchir. Bien sûr, un engin peut toujours larguer une charge et déchirer le filet, mais ça reste une aide, je dirais 70 % du temps.  Ça sauve quand même des vies ».Le procédé a déjà été repéré le mois dernier dans le Donbass, sur la route stratégique entre Bakhmout et Chassiv Yar, dans la région de Donetsk. Selon les observateurs, ce tunnel s'étend sur environ deux kilomètres, du jamais vu sur une telle longueur. Il viserait plus précisément à protéger les troupes russes des drones FPV lancés par l'armée ukrainienne.Soudja, avant la guerre et l'incursion ukrainienne, était une bourgade tranquille d'un peu plus de 5 000 habitants, à une centaine de kilomètres de la ville de Koursk, capitale de la région éponyme.  Une ville tournée vers l'agroalimentaire, avec une laiterie, un abattoir, une usine de transformation de la viande.Aujourd'hui, les traces des combats sont visibles à chaque coin de rue. Des tas de terres pour bloquer le passage des véhicules, des cratères de bombardement qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de centimètres de diamètre. Quelques corps de soldats. Les ponts des routes de ravitaillement sont détruits : en ville, on les franchit désormais à pied, sur des barrières de fortune entremêlées au-dessus de l'eau. Par endroits, l'odeur de brûlé des bâtiments incendiés prend encore à la gorge et il faut parfois forcer l'imagination pour réaliser que sous un tas de gravats et de tôles se trouvait une maison. Le nombre de bâtiments épargnés par la violence des affrontements semble infime.Périodiquement, le son des combats qui se déroulent encore à plusieurs kilomètres se fait plus précis et plus fort. En quad, en mobylettes, en camion, ou tout simplement au pas de course, on croise dans les rues des soldats d'infanterie. Sur les murs des habitations, on distingue des graffitis insultant les autorités russes, d'autres à la gloire de l'armée ukrainienne, sans qu'il soit possible de vérifier de manière indépendante qui les a tracés et quand. On en trouve trace aussi sur la place centrale de la ville, très abîmée, avec sa statue de Lénine, traditionnelle dans les villes russes, quasi détruite.L'imam Issa, lui, n'imagine pas la ville redevenir vivable avant au moins un an.Dans les villages alentour, les mêmes scènes. Des rues désertes, presque fantômes, des vélos abandonnés en pleine rue, des portails mitraillés qui laissent entrevoir des pelouses ornées de nains de jardin, des toits détruits. Les plus âgés qui s'accrochent dans les maisons les moins abîmées sont une poignée. Les secouristes viennent frapper à leur porte pour vérifier qu'ils sont nourris et parfois leur montrer des vidéos de leurs proches leur demandant de les rejoindre, en sécurité, à l'intérieur des terres.Dans le village de Kazatchkaya Loknaya, Nina, babouchka de 87 ans, est encore coupée du monde, mais survit avec notamment l'électricité du générateur installé par les soldats « Je suis seule ici, raconte-t-elle, assise dans son salon.  Avant l'attaque, j'avais mes enfants et mes arrière-petits-enfants. Quand ils ont appris que les Ukrainiens arrivaient, ils ont pris les petits et sont partis. Mon fils est venu me chercher. Je lui ai dit : Sasha, je ne vais nulle part. Je resterai à la maison jusqu'à la fin. Je m'en fiche. C'était le 7 août… Et maintenant, cela fait presque huit mois. Les Ukrainiens m'ont nourrie, m'ont même apporté des médicaments… Et maintenant, les forces Akhmat sont là pour le faire. Sinon, je suis toute seule au milieu de nulle part. De toute façon, pourquoi devrais-je aller vagabonder ailleurs en Russie ? Personne ne m'a maltraitée, personne ne m'a fait de mal depuis le premier jour ». Nina pourtant pleure à l'évocation des bombardements, qu'elle décrit comme « très intenses, très effrayants, ma maison a tremblé tout le temps pendant sept mois ».  Sans informations, sans réseau là où elle vit, Nina découvre alors que des pourparlers sur un cessez-le-feu et une possible fin de conflit ont commencé. « Je souhaite tellement, tellement, tellement qu'il y ait une trêve », dit-elle alors. « Tout le monde souffre. Les jeunes comme les vieux… mais la jeunesse… je plains tellement la jeunesse ».

Reportage international
Dans Soudja, reprise par l'armée russe

Reportage international

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 2:54


La localité rurale ainsi que la majeure partie du territoire de la région de Koursk ont été reconquises par une contre-offensive éclair des soldats de Moscou, lancée un peu plus de sept mois après la spectaculaire incursion de l'armée ukrainienne en territoire russe. Les villages y ont pris des allures fantômes et la menace des drones est permanente. De notre envoyée spéciale à Soudja, Anissa El Jabri (avec Anna Chargatova pour la production)« Aujourd'hui est un bon jour pour travailler à peu près tranquillement. Comme il y a un vent très fort, les drones ennemis ne peuvent pas voler aussi vite et aussi près que d'habitude, et ils ont besoin de plus de temps pour viser et tirer. Et comme c'est aussi un jour très clair, pour nous, c'est aussi plus facile de les voir venir et de les abattre ».Au volant de la voiture, l'imam de Koursk, qui a rejoint les forces russes du groupe tchétchène Akhmat, connaît le trajet par cœur : en coopération avec les autorités locales, ces troupes font la route chaque jour pour nourrir les rares civils encore présents sur place, évacuer ceux qui le souhaitent ou dont l'état le nécessite. L'imam Issa reste pourtant concentré. Les soldats de Moscou ont repris position sur leurs terres, mais chaque trajet sur cette route encore interdite aux civils reste dangereux. Sur le bas-côté, quelques cadavres de vaches ou de cochons, des véhicules militaires calcinés ; dans les champs, impressionnantes, des mines anti-tanks, déposées « le 8 mars, pour bloquer tout mouvement de l'armée ukrainienne », dit Issa. « Des combats très intenses faisaient rage, des drones volaient, et tout ce qui bougeait explosait en même temps. De nombreux véhicules ont été touchés. Maintenant, les services dédiés retirent tout au fur et à mesure pour que nous puissions circuler ». La menace dans le ciel reste permanente. Comme tous les véhicules circulant sur cette route de Koursk en direction de Soudja, celui conduit ce jour-là est équipé d'un détecteur de drones.Dans la voiture, l'alarme qui signale l'approche d'un de ces engins se fait soudain très insistante. Cartouches spéciales en bandoulière et fusil anti-drones à portée de main à chaque instant, Islam explique : « Là, le détecteur est en train de nous signaler que nous sommes observés du ciel, qu'un drone se rapproche. À ce stade, il est probablement à environ un ou deux kilomètres de nous. C'est une distance très dangereuse. Les drones sont rapides, on en a repéré qui peuvent voler jusqu'à une vitesse de 140 km-heure. Mais ce n'est peut-être pas forcément un engin d'attaque, mais peut-être juste un drone de reconnaissance. Ceux-là vont beaucoup moins vite. »   Un porte-parole des « Spetsnaz », les forces spéciales tchétchènes, se présentant avec son nom de code « Dior », ajoute : « Pour les abattre, on utilise souvent des fusils de chasse, mais nous avons aussi un système de brouillage. Les drones volent sur des fréquences différentes selon le modèle. Il y en a un très grand nombre, très différents par la taille et la technique. Certains portent de très grosses charges sur de très longues distances. Ceux à fibre optique sont apparus plus récemment et sont particulièrement difficiles à contrer ».Le bip finit par s'éteindre… la tension par redescendre. À quelques kilomètres de Soudja apparaissent soudain sur les côtés de la route d'immenses piliers en bois et des hommes qui s'affairent à en placer d'autres. L'imam Issa décrypte la manœuvre : « Ils ont commencé ça il y a littéralement à peine deux-trois jours. Ils installent des poteaux en bois, un filet entre les deux côtés et recouvrent entièrement la route. Ça va ressembler à un corridor entièrement fermé par le haut, pour qu'un drone ne puisse pas le franchir. Bien sûr, un engin peut toujours larguer une charge et déchirer le filet, mais ça reste une aide, je dirais 70 % du temps.  Ça sauve quand même des vies ».Le procédé a déjà été repéré le mois dernier dans le Donbass, sur la route stratégique entre Bakhmout et Chassiv Yar, dans la région de Donetsk. Selon les observateurs, ce tunnel s'étend sur environ deux kilomètres, du jamais vu sur une telle longueur. Il viserait plus précisément à protéger les troupes russes des drones FPV lancés par l'armée ukrainienne.Soudja, avant la guerre et l'incursion ukrainienne, était une bourgade tranquille d'un peu plus de 5 000 habitants, à une centaine de kilomètres de la ville de Koursk, capitale de la région éponyme.  Une ville tournée vers l'agroalimentaire, avec une laiterie, un abattoir, une usine de transformation de la viande.Aujourd'hui, les traces des combats sont visibles à chaque coin de rue. Des tas de terres pour bloquer le passage des véhicules, des cratères de bombardement qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de centimètres de diamètre. Quelques corps de soldats. Les ponts des routes de ravitaillement sont détruits : en ville, on les franchit désormais à pied, sur des barrières de fortune entremêlées au-dessus de l'eau. Par endroits, l'odeur de brûlé des bâtiments incendiés prend encore à la gorge et il faut parfois forcer l'imagination pour réaliser que sous un tas de gravats et de tôles se trouvait une maison. Le nombre de bâtiments épargnés par la violence des affrontements semble infime.Périodiquement, le son des combats qui se déroulent encore à plusieurs kilomètres se fait plus précis et plus fort. En quad, en mobylettes, en camion, ou tout simplement au pas de course, on croise dans les rues des soldats d'infanterie. Sur les murs des habitations, on distingue des graffitis insultant les autorités russes, d'autres à la gloire de l'armée ukrainienne, sans qu'il soit possible de vérifier de manière indépendante qui les a tracés et quand. On en trouve trace aussi sur la place centrale de la ville, très abîmée, avec sa statue de Lénine, traditionnelle dans les villes russes, quasi détruite.L'imam Issa, lui, n'imagine pas la ville redevenir vivable avant au moins un an.Dans les villages alentour, les mêmes scènes. Des rues désertes, presque fantômes, des vélos abandonnés en pleine rue, des portails mitraillés qui laissent entrevoir des pelouses ornées de nains de jardin, des toits détruits. Les plus âgés qui s'accrochent dans les maisons les moins abîmées sont une poignée. Les secouristes viennent frapper à leur porte pour vérifier qu'ils sont nourris et parfois leur montrer des vidéos de leurs proches leur demandant de les rejoindre, en sécurité, à l'intérieur des terres.Dans le village de Kazatchkaya Loknaya, Nina, babouchka de 87 ans, est encore coupée du monde, mais survit avec notamment l'électricité du générateur installé par les soldats « Je suis seule ici, raconte-t-elle, assise dans son salon.  Avant l'attaque, j'avais mes enfants et mes arrière-petits-enfants. Quand ils ont appris que les Ukrainiens arrivaient, ils ont pris les petits et sont partis. Mon fils est venu me chercher. Je lui ai dit : Sasha, je ne vais nulle part. Je resterai à la maison jusqu'à la fin. Je m'en fiche. C'était le 7 août… Et maintenant, cela fait presque huit mois. Les Ukrainiens m'ont nourrie, m'ont même apporté des médicaments… Et maintenant, les forces Akhmat sont là pour le faire. Sinon, je suis toute seule au milieu de nulle part. De toute façon, pourquoi devrais-je aller vagabonder ailleurs en Russie ? Personne ne m'a maltraitée, personne ne m'a fait de mal depuis le premier jour ». Nina pourtant pleure à l'évocation des bombardements, qu'elle décrit comme « très intenses, très effrayants, ma maison a tremblé tout le temps pendant sept mois ».  Sans informations, sans réseau là où elle vit, Nina découvre alors que des pourparlers sur un cessez-le-feu et une possible fin de conflit ont commencé. « Je souhaite tellement, tellement, tellement qu'il y ait une trêve », dit-elle alors. « Tout le monde souffre. Les jeunes comme les vieux… mais la jeunesse… je plains tellement la jeunesse ».

Invité du jour
Ukraine : terre occupée, terre perdue ? Parlons-en avec C. Marchaud, L. Smachylo et D. Mokryk

Invité du jour

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 46:16


"Un dialogue utile" : tel est le premier commentaire côté russe, à l'issue les pourparlers sur la guerre en Ukraine avec les négociateurs américains à Riyad, en Arabie saoudite. L'un des enjeux des négociations : les territoires ukrainiens occupés par l'armée russe. Depuis l'invasion russe à grande échelle, 18% des terres ont été amputées à l'Ukraine. Mais que cache ce chiffre ? À quoi ressemble la vie pour les Ukrainiens dans ces territoires, où Moscou mène une russification à marche forcée ?

ExplicitNovels
Cáel Defeats The Illuminati: Part 4

ExplicitNovels

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025


Rescue and patchwork relationship.B Book 3 in 18 parts, y FinalStand. Listen to the ► Podcast at Explicit Novels.Loving your enemy is easy, you know precisely where both of you stand(Right where we left off)The closest Marine had been waiting for me to finish my bonding moment with Menner before speaking. He walked and talked like an officer."You are certainly Mr. Cáel Nyilas," he nodded. "I'm Lt. Robeson, United States Marine Corps. I would like to take you and your party home. What is the situation?""Lieutenant, this young lady is Aya Ruger. She was kidnapped along-side me and managed to kill over twenty of our enemies, so be careful around her." I was deadly serious about what I said. Aya should get proper credit for all the people she sedated then drowned. Dead was dead, even if it was accidental."These two," I pointed to Zhen and Mu, "are Lúsìla ninda and Amar, Taiwanese nationals suffering some shock from the abrupt crash landing of the aircraft. They don't seem to know why they were kidnapped, but they were instrumental in aiding Aya and me making it to shore during the typhoon.""If you say so, Sir," he nodded. He did believe me, yet a soldier was taught to be skeptical of anything a civilian told him about a military situation. "The bodies?""Those are the corpses we found after the storm. I decided we should attempt to place them in your custody so you can figure out who they are," I suggested."Sir, I don't think we can let civilians keep their weapons aboard the flight," the Marine Lt. stated since I had both a pistol and submachine gun, Aya had her pistol and Zhen had her and Mu's blades. A Marine NCO sent a party to gather the dead."Marine, I am Cáel Nyilas, Irish diplomat, freebooter and Champion of the worst possible causes," I began my spiel."You probably have some orders concerning bringing me in alive. I am not so constrained and am more than willing to steal this aircraft and fly back to Hawaii without you. My team keeps their weapons, or you give me your best shot, right now," I met his gaze. He mulled over his options. Two Romanians and two Marines were starting to load the ad hoc body bags aboard the C-37B."Normally I don't take that kind of crap from a civilian and I don't want you to think I'm making an exception because of your Security Clearance. I'll let your people keep your weapons, but if something goes wrong, I'm shooting you first," he assured me."Done deal," I offered my hand and he shook it."Oh and Happy Tibetan Independence Day," he congratulated me."What?" I gasped. Rescue and patchwork relationships{6 pm, Sunday, August 17th ~ 22 Days to go}{11 pm Sunday, Aug. 17th (Havenstone Time)}{And just this once, 11am Monday, Aug. 18th Beijing Time}"Oh and Happy Tibetan Independence Day;, nice work.," the Marine congratulated me."What?""How is that possible?" muttered Mu."Yippee!! No more burning monks," Aya fist-pumped. Personally, I think she did that for the enjoyment of our guardians and to piss off Zhen and Mu just a tiny bit more.(Mandarin) "Brother," Zhen studied her brother's pained expression. "What has gone wrong?"(Mandarin) "The province of Tibet apparently has broken away," he groused. In English, to the Marine Lieutenant he repeated, "How is this possible?""I take it you didn't know Peace Talks had broken out?" he grinned. I doubted the Lt. bought my 'these are my two Taiwanese cobelligerents' story, but belief was above his pay grade, so he didn't give a shit."Yes," Mu mumbled, "we knew of the proposed cease-fire.""Yes, you mean both sides actually honored it?" I added. I really had been out things for a while."Nearly two days ago, noon, Peking Time, the People's Republic of China and the Khanate put a six month cease-fire into effect which has remained intact for forty-one," he looked at his watch, "forty-one and a half hours." He was being a cock to the petulant Mu. No one called Beijing 'Peking' anymore. I had even ordered Beijing Duck on several menus. Peking was the height of Western Imperialist thinking, or so it looked to Mu.(Mandarin) "He is yanking your chain, Mu," I explained. "You are looking pissed off at being rescued, which isn't doing my alibi for you much good.""My apology," Mu nodded to the lieutenant. "Is there any news from the Republic of China? Are they free as well?" That was nice of Mu to call Taiwan by its pet name, the ROC."Not yet," he patted Mu's unwounded leg, "but with the utter shellacking the Khanate put on the People's Navy (really the People's Liberation Army Navy, but the Marine was getting his shots in) it is only a matter of time."I had been translating in a low voice to the V nători de munte in order for them to keep up with the conversation. They all started laughing. The Marines joined in. There was a huge joke here that we had missed out on while stranded.(Romanian) "So, ask them if they know where their aircraft carrier is," Menner chuckled. Most Romanians had grown up knowing of only one China.Me: (Romanian) "What!"A Naval Corpsman who didn't know Romanian, but knew 'aircraft carrier' just fine jumped in: "Oh yeah, the missing Chinese Aircraft carrier," she chortled.Mu: "What!"I'd only been gone two and a half days. What the hell had been going on?(What had transpired in my absence and the subsequent consequences)(Notes:P R C = People's Republic of China; PLA = People's Liberation Army;P L A N = People's Liberation Army Navy;P L A A F = People's Liberation Army Air Force;R O C = the Republic of China {aka Taiwan, aka Chinese Taipei, aka the "other China"};The First Unification War {aka what the Khanate did to China in 2014};Truce lasts from August 16th 2014 until February 15th, 2015 = 183 days)There are several classic blunders grownups should know to avoid: never fight a land war in Asia, never go in against a Sicilian when death is on the line, and, if you are going to cross a master thief, first make sure you have nothing of value. For the land war in Asia, check with my partner, the Khanate. Substituting Black Hand for Sicilian ~ check with Ajax, use an Ouija board. So far, destiny was batting .500.The last blunder I created entirely on my own, but I felt it was the true and right response for the circumstances. So witness the Six Families of the Ninja and the greatest theft in all of recorded history.In the closing hours of the First Unification War, as in many wars, some serious theft was going on; mainly it was the People's Republic getting fleeced.The most obvious and immediate blows came in the Spratlys and Parcel Islands where Khanate forces (actually, elements from all the JIKIT players) seized the key island in the Parcel chain, Woody Island, and secured the P L A N base the Chinese had created there, including the 2,700 meter runway built there in the 1990's. The 1,443 Chinese civilians and 600 military inhabitants in the area were incidental complications and the survivors were about to be 'repatriated' to the mainland anyway; the Khanate didn't want them hanging around as they prepared for the inevitable end of the six-month truce.Yes, the Khanate had stolen the most important island airfield ~ an unsinkable carrier really ~ in the South China Sea. It was also the northern end of the potential People's Republic of China's stranglehold on the east-west sea lanes between East Asia and the rest of the World, i.e., roughly 25% of all global trade.The southern end? That would be the Spratlys. There are few 'real' islands in that 'island group' and only two worth having: the artificial one the P L A N was building and the one the ROC has a 1200 meter airfield on. That artificial island and every other PRC/P L A N outpost in the region was also stolen by the Khanate between 4 a.m. and noon of that final day of active conflict.Every geological feature that had been the basis for the PRC's claims to all of the South China Sea was now in Khanate hands. Considering how much the P L A N had bullied everyone else in that portion of the globe, the Khanate taking over their geopolitical position was incredibly awkward. It was going to get worse.Technically, the Khanate hadn't stolen the P L A N 'South Sea Fleet' (SSF); they'd blown the fuck out of it, including sinking the sole fully-functioning P L A N carrier Liaoning as well as five of the nine destroyers and six of the nineteen frigates in her battle group. The Liaoning and one destroyer had died in those last few hours as the SSF was racing for the relative safety of Philippine waters ~ so close, but no cigar.So the Khanate had stolen the ability of the P L A N to project power in the South China Sea until February 15th, 2015 when the U N brokered truce ended. But that was not the epic theft, though. That distinction went to the Ninja. What did they steal? A semi-functional Chinese nuclear powered super-aircraft carrier still under construction.The beast had no official name yet, but she was a 75,000 ton engine of Global Domination laid down in 2011 and clearly complete enough to float and to be steered under her own power. (To be on the safe side, the Ninja included stealing four tugboats to help in their getaway.) So, you may be asking yourself, how does one 'steal' a nuclear-powered, 1000 foot long, 275 foot wide and ten-story tall vessel?For starters, you need a plan to get on board the sucker. We had begun with the Black Lotus. They wanted to sneak onboard, exit the dockyard the ship was being built in, then sink it off the coast so it couldn't be easily salvaged. That was plan A.Enter the Khanate and their plans; they too wanted to sink this vessel, and destroy the dry docks while they were at it. That was plan B. Actually, the Khanate desire was to contaminate that whole section of the port city with fallout from shattered reactors. They knew they would have to apply overkill when they smashed that bitch of a ship because the PLAN had hurriedly put on board its defensive weaponry ~ ensuring that the Khanate couldn't easily destroy it. For their approach, Temujin's people wanted the Black Lotus' help with the on-the-ground intelligence work. But the Black Lotus didn't want to help anyone irradiate Chinese soil.Enter JIKIT as referee. All those islands the 'Khanate' was busy stealing were actually part of a larger JIKIT mission called Operation Prism. Another object that was a part of the overall plan was Operation Wo Fat, the sinking of the Liaoning ~ again GPS direction and distance to be courtesy of the Black Lotus.JIKIT absolutely needed the Black Lotus. The Black Lotus wouldn't help anyone planning on poisoning any part of China for the next thousand years. Sinking the unnamed and incomplete vessel off the coast in deep waters meant no nuclear leakage and plenty of post-war time to salvage the wreck before it did start to hemorrhage. The Khanate wanted to kill this potential strategic nightmare no matter what it cost the Chinese ecology.JIKIT went to the Ninja to help them adjudicate the issue. All the lights flared brightly in Ninja-Town when they heard of that delicate dilemma. They could make everybody happy and send a clear message to the Seven Pillars expressing how unhappy the six surviving families were about the 7P's trying to annihilate them when all of this 'unpleasantness' began.The Khanate was already going to blast the shipyards and docks, the Black Lotus was already going to sail the ship into deep waters, so why not take it one step further, sail the ship into Japanese waters and declare it Khanate property as a colossal Fuck You! to the PRC, PLAN and specifically the Seven Pillars, all at the same time?Now normally, you can't steal a ship that big. The owners will notice it is missing and come looking for it. And you can't sell or hide the damn thing. So, you steal it at the tail end of a war before the players can capture, or sink it. It just so happened the Ninja had access to a war and such a time table.The next problem: where do you put it? The Khanate's closest safe haven was 8,000 km away at the Eastern Mediterranean Seaport of Izmir.But wait!The Khanate was about to steal an island airbase with its own (albeit small) harbor. The Khanate was confident that a few weeks after the truce, an alternate port, or two, would become available for the two-to-three year process it would require to prepare the vessel so it could be commissioned as the true warship it was meant to be.So, how do you steal a well-guarded, humongous ship with its skeleton crew of 500? You need a distraction ~ a big one. Remember those Khanate airstrikes? They intended to destroy the dockyards anyway. Now all they had to do was 'miss' the carrier.They could do that. If you recall, to dissuade the Khanate from sinking the ship in the final days of the war, the PLAN had hastily put teeth on the thing by giving it all its pre-designed defensive weaponry and added jury-rigged radar and sonar systems. The carrier could defend itself if needed. With the new plan (C), the airstrikes could avoid those teeth, thus reducing the risk of losing their precious planes and pilots.A series of bombing runs and missile hits near the carrier would convince the PLAN admiral in charge to hurriedly put some distance between the ship and shore, Not out to sea. That would be stupid. Within the harbor, his weaponry could adequately defend his ship. And if she took serious damage, he could run her aground, so the vessel wouldn't really sink.The only problem was that out in the harbor, with everything exploding, he was away from the only ground security support available. That was when the Amazons, Black Lotus, Ninja and JIKIT mercenaries would make their move. How could they sneak up on such a big, important ship? By using the submarines the US Navy, the British Royal Navy and Japanese Defense Force were providing, of course.Note: As I stated earlier, Lady Fathom, Addison and Riki had wandered way off the reservation . By this time, if you were a Japanese, British, or American submarine commander in the Yellow Sea and you weren't part of this madness, you were insanely jealous of those who were.The missions JIKIT was sending them on were:-definitely Acts of War if they were ever discovered,-far more dangerous than any war game exercise they'd ever been part of, and-the ultimate test of their crews and equipment.These people weren't suicidal. They believed they were the best sneaks under the Seven Seas and now they could prove it ~ in 50 years when this stuff was declassified (if it ever was).For the one American, two British and four Japanese submarines inserting the assault teams, this whole mission had a surreal feel to it. They were transporting a packed assortment of women of Indian, Malaysian and Indonesian descent along with some very lithe Japanese ladies and gents, none of who talked a whole lot.There was a third group with the spooky women and spookier Japanese teams, and that group was scared shitless about the sudden turn their lives had taken. They were all former American and British servicewomen (to not tick off the Amazons too much) with carrier and/or nuclear reactor experience who had been RIFed (Reduction in Force, aka fired) in the past five years from their respective national navies.Around a week ago, they had all answered an advertisement by a logistics support corporation that was going to do a 'force modernization' in an unnamed country. They all knew that mean the Khanate. The job had been laid out as 'basically your old job with the addition of training the natives' and it included the promise of no combat.It was a guaranteed five year contract with an option for a year-to-year extensions for another five years if you desired to stick around. For that, you received your 'pay grade upon retirement + 20%', free room and board, private security, judicial protections and a $10,000 to $10,900 signing bonus. For many struggling military families, it was manna from Heaven and thousands were signing up.Then 72 hours ago, a different group from the same company came knocking on the women's doors. If you could come with them right then and there, they had a satchel of money, $100,000 to $109,000, tax free, and a Non-disclosure Agreement for you to sign. Sure, the deal sounded shady, but the money was very real.Twenty-four hours later those who accepted the money found themselves in a small fishing village on Ko Island, Japan. There some rather fiercely intense people outlined the job they were needed for. From a submarine, the assault teams would sneak aboard the carrier, neutralize the crew and then the new crew (them) would sail it to Jeju, Jeju Island, South Korea.At that point they would be allowed to stay with the vessel (preferred), or depart for a non-war zone of their choice. Both options came with another $100,000 to $109,000 payment. Anyone who declined this particular job would remain incognito on Ko Island for another 48 hours then be allowed to leave without the need to return their initial payment.Of the 312 job applicants, 293 volunteered for both the first and second parts of the assignment. With the technical and linguistic expertise of the Amazons and 9 Clan members that would be enough to get their prize to Jeju Island's temporary safety and then make the last leg to Woody Island and a more permanent anchorage.Besides the airstrikes to goad the carrier away from the wharves, all the Khanate had to do with the carrier was put three or four clearly Mongolian faces onboard when the various nations of the world came calling. After all, what was the public going to believe:, the Khanate had pulled off yet another daring (i.e., mostly JIKIT) Special Forces coup, just as they'd managed to do throughout this short war, or that 'Ninjas stole my Battleship, umm, carrier' stuff some PRC leaders were claiming? Forty-eight hours later the whole globe was able to watch the newly named Khanate supercarrier, the  z Beg Khan, passing through Japanese territorial waters while being escorted by South Korean and Japanese warships.The PRC did complain to the United Nations over the 'theft' of both the carrier and 'their' islands, but the Security Council, led by the UK, could and would do nothing about the 'latest round of injustices heaped upon the People of China'. By the time the UN got around to doing nothing, the next round of JIKIT diplomacy was causing the PRC even greater headaches.That greatest theft, while remarkable in its own right, was really a sideshow to the reordering of the political order in Southeast Asia. The big winner wasn't the Khanate. And it certainly wasn't the mainland Chinese. No, the nations to immediately prosper were an unlikely pair, the Republic of India and the People's Republic of Vietnam (PRV). The Republic of China (R O C) was also getting its own small boost as well.By gambling their precious navy, India had become the largest power broker in the South China Sea's resource bonanza. She went from a minimal presence to being the critical ally of the Khanate and the 'big stick' (naval-wise) of Asia's new dynamic duo. The Indians had the only two functional aircraft carriers in the region and the Khanate had Woody Island with a mega-carrier number of planes sitting on it.Their combined naval aviation was not something any of the others powers wanted to mess with. The duo then sealed their supremacy by making the duo a trio. That third member was the PRV. Vietnam was the land-based logistical anchor of the three regional powers.Not only did Vietnam gain the prestige denied it for over two centuries, it redressed the P L A N humiliating treatment of their own navy for the past thirty years. The Khanate's naval aviation would shield Vietnam's economic exploitation of the Parcel Islands. The Indian Navy could counter anything the P L A N South China fleet could come at them with.Yes, the P L A N had two other fleets, the Northern and Eastern, but both had been put through their own 1001 levels of Hell by the Khanate's air power, plus they had to protect the Chinese heartland from Russia and North Korean ambitions. The South Koreans and Japanese were suddenly a very real threat from the East too. But for the time being, the Indians had the decisive edge.The final location for the  z Beg Khan was an old familiar haunt for some Americans, Da Nang, PRV. It had the facilities, courtesy of the US military from the 1960's and 70's, to be the new base for the Khanate's Eastern Fleet and logistical hub for their naval aviation forces in the Parcel Islands.The Vietnamese were thinking with more than their testicles, as were the Indians. Sure, geopolitical clout was nice, yet that was only the icing on the economic cake that was the Parcel Island Accords. That hasty bit of JIKIT backroom dealings gave a 50% stake in the Parcels to the PRV.India got 20% of something she had 0% in a month ago. The Khanate gained a 20% stake for their audacity and the ROC gained 10% because the other three would protect its share from the PRC. Something was better than nothing and the three legitimate powers agreed to the deal because in less than six months, the PRC would be back in the game.The Indians and Vietnamese wanted the Khanate to stay interested in the region and the Taiwanese wanted to forge closer ties to the Khanate. That treaty was a 'no-brainer'. Within one week, the Vietnamese were strutting like peacocks and internal political opposition to the Indian intervention into the South China Sea in the Indian parliament was silent.The Spratly Islands was a tougher deal to work out within the six month timetable. There were more players ~ the Philippines, Malaysia, Brunei, Indonesia and Thailand (who had a non-functional carrier). The JIKIT deal gave everyone but the Indians a 10% piece of the huge natural gas, oil and fisheries pie and the Indians got 20% once more.The Philippines and Malaysia were both very opposed to this treaty; they believed they deserved a far larger portion of those regional resources. Indonesia and Thailand also felt they could hold out for a bigger slice and weren't happy with India getting so much for basically having a double handful of ships (34 actually) sailing about.That 'handful of ships' was the point JIKIT was trying to make. If the PRC beat the Khanate next year, did any of the players think the PRC would give them anything, even if they promised them more right now? Really? When the PLAN had the biggest guns, they hadn't respected any other claims to the region. Why would that change in the future?The reality was this: India would only stick around if they had the economic incentive to remain. Vietnam, the Khanate and the ROC were watching the clock and realized this was the best deal they would get. Brunei and the Philippines were also coming to that understanding. Brunei was tiny (thus easy to defend), very rich already and a good ally of the British.The Philippines had a very weak navy and a non-existent naval air force. They couldn't even enforce their current claims versus Brunei, much less confront the PLAN, or any other nation's current military. The Philippines was, sadly, relatively big and very poor. Its big traditional ally was the United States, and the US was currently busy doing 'not much' about the South China Sea situation.The world's biggest navy was partially taking up its traditional (and treaty bound) role of interposing itself between the North Koreans, PLAN/PLAAF and Russians arrayed near Japan and South Korea, or busily not 'ratcheting up tensions' in the region by sending more forces into the front lines.President Obama was urging dialogue and 'stepping back from the brink' even though every country in Southeast Asia felt the brink had already dissipated the moment the PRC was forced to accept the cease-fire. In this context, the Philippines had good reason to be feeling lonely at the moment.Bizarrely, both New Delhi and Hanoi were singing the praises of US Secretary of State John Kerry and the Rt. Honorable Phillip Hammond, Secretary for Foreign and Commonwealth Affairs for the UK, for their deft handling of the crisis, thank you, Riki Martin and Lady Yum-Yum.Riki wasn't expecting any thanks. She was certain she'd be fired and imprisoned for the rest of her life. Lady Fathom Worthington-Burke was sure she'd get two additional knighthoods out of the deal, which would look very nice engraved on her tombstone. Javiera had long ago decided to face the music and go down with the ship, so to speak.The CIA's Addison Stuart already had her exit strategy. She was going to go work for the Khanate, building up their clandestine service when this whole mad scheme collapsed into recriminations and 'extreme sanctions'. Mehmet, Air Force Sr. Master Sgt. Billings and Agent-86 had all decided to go with her. Katrina had their escape plane on standby. Mehmet's family was already 'vacationing' in Canada.Anyway, the Republic of India, the Khanate, the Republic of China, the People's Republic of Vietnam (the Vietnamese were happy to already be getting half of the Parcel Island windfall), the Sultanate Brunei (Lady Fathom 'knew' some people and the Sultan was an autocratic Muslim ruler, just like the Great Khan) and the Philippines (because they had no other true choice) were all coming around to signing the Spratly Accords.Indonesia and Thailand were kind of waiting for a better deal. Malaysia was downright hostile, having gravitated toward the PRC over the past decade and been assured by the PRC a better apportionment would be their reward for upsetting the treaty process.The Great Khan's answer was simple. He publically threatened the Malaysian Federation in general and both the King (Sultan Abdul Halim of Kedah) and Prime Minister of Malay (Dato' Sri Najib Tun Razak) in particular with military action if they kept dragging their feet.He even told them how he'd do it. He'd butcher or expel every living thing in the states of Perlis and Kedah (~ 2.1 million people) and give those empty lands to Thailand to settle along with the added sweetener of Malaysia's 10% of the Spratlys. He would also invade Eastern Malaysia, taking the island state of Labuan for himself while giving Sarawak to Indonesia and Sabah to the Philippines if those to states agreed to the split.He'd also decimate their navy & air force before devastating every port city, just like he'd done to China. He'd already killed more than two million Chinese. What was another two million Malays to him? Also, Indonesia wanted Sarawak and the Philippines had claims on Sabah. While they were openly and publically defying the Great Khan's plan, could Malaysia really take the chance?What would India and Thailand do while this was going on? Thailand stated that it would protect its territorial integrity, whatever that meant. India wasn't returning Malaysia's phone calls while showing their populace re-runs of Malaysian violence against their Hindu minority, the bastards!To the world, the Indian Navy proclaimed it would 'defend itself and its supply lines' which was a subtle hint that they would shepherd any Khanate invasion force to their destination. Why would the Indians be so insensitive? The Malaysians were screwing up their deal to get 20% of both the Parcel and Spratlys wealth, that's why.If the Khanate went down, there was no way India could defend their claims (which they'd won by doing nothing up until now). Oh yeah, Vietnam began gathering up warplanes, warships, transport ships and troops for the quick (710 km) jaunt across the Gulf of Thailand to north-eastern Malaysia to kill Malaysians because Vietnam needed the Khanate to ensure their own economic future as well.That military prospect had a cascade effect, especially among the Indonesian military. If the Indian Navy remained active, the vastly more populous Western Malaysia couldn't reinforce the state of Sarawak. Sure, the Philippines was unlikely to conquer Sabah on their own, but all the Indonesians needed was for Sabah to be kept pre-occupied while their army took their promised territory, fulfilling a fifty year old dream of conquest/unification.The United Nations blustered. It wasn't that they didn't care, they did. They also cared about the deteriorating situations in Libya, Nigeria, Syria and Ukraine. The situation was complicated by the unwillingness of the permanent members of the Security Council, namely the PRC and Russia, to recognize the Khanate.In reverse, when those two tried to stick it to the Khanate, the UK stoically vetoed them. Why? Well, more on that later. Let's just say the Khanate was good for business in the European Union in general and the United Kingdom in particular because the Khanate was prepared to economically befriend the British. Ireland was being treated in a promising manner too. The United States,the United Nations?Let's just say that in the two months following the cease-fire, the Khanate bloodily and brutally solved the ISIS conundrum and the Donbass Crisis. When the smoke cleared, the Khanate had reintroduced the practice of impalement to the modern battlefield, driven the separatists from the Ukraine and was on the border with Israel and Jordan.Sure, the Ukrainians were stun-fucked by the Khanate's 'peace-keepers' going on a bloody rampage through the eastern rebellious regions, but they had delivered up peace by mid-September. Yes, the Russians were in an uproar about the impalements.As the Khanate spokesperson said, 'if they aren't your people, then it is not your problem' and 'there are no more Russians left alive in the Ukraine'. In fact, fewer than a thousand people, all armed insurgents, were executed in such a manner, but the terror created by the highly publicized killings had the effect of sending a hundred thousand people stampeding over the frontier into Russia proper.Next, the Khanate said it wanted to 'reexamine' the Crimean situation. There were Turcoman in that area and they weren't being treated well, or so it was claimed.Even as Russia and the Khanate were posturing in the Donbass, the Khanate struck in the Middle East. By the end of September, Syria and Lebanon had ceased to exist as organized entities. Most of those two countries as well as portions of western Iraq became Turkish provinces in the Khanate infrastructure. Northeastern Syria, southeastern Turkey and northern Iraq became the Khanate state of Kurdistan.It was a campaign reminiscent of the 13th century Mongol conquest, not a modern military struggle. Whole villages were eradicated. The entire Arab population of Mosul was exiled to the new territories in the East. The city was repopulated with Kurds from Turkey. Back in Turkey, those Kurds were replaced by Armenians from Azerbaijan, cauterizing another internal issue within the Khanate.Jordan was cautiously hopeful. Israel? "We don't seem to be having problems with Hezbollah anymore," with a shrug and "it could be worse." As for ISIS; there really was an Islamic State controlling more than half of Iraq and all of Syria now and it allowed no other pretenders to that distinction. By the time the world woke up to that reality though, the Great Hunt had happened and I was dealing with the consequences of that.A larger ideological and political matter was occurring in the United States, the United Kingdom (and to a limited extent Australia and Canada). The Ramshackle Empire (aka the Khanate) was just that ~ a Frankenstein nation fueled more by nationalistic pride and nostalgia for a Super-State (that only two living people had firsthand experience with) than an integrated armed forces and infrastructure.It may have been built upon more than a 13th century creation and two hundred years of real and imagined oppression. It did have long term planning and real genius driving it forward. Having throttled the PRC into giving them six precious months of peace to 'tidy up the backyard' (aka the Middle East and Russia) and forge a true nation, the Khanate was now hiring experts to aid them in the task.First and foremost, Temujin and the Earth & Sky had envisioned an armed state built upon military principles and discipline. Fate had delivered to them the means of their own salvation in the form of NATO's policy of disarmament and 'Reduction-In-Force' levels (RIFed).The US and UK had trained tens of thousands of male and female volunteers in their Armed Forces in infrastructure creation and management for the Afghanistan and Iraq campaigns. From 2010, those militaries had informed those experts that their services were no longer required. Unlike the shrinking militaries of the 1990's, there was no private sector to 'soak up' the majority of those personnel.The Earth & Sky had been working on the problem of nation-building on a time table and they kept coming up short. They had to fight to create their state first, so the all-important after-battle had been something their leaders dreaded. Temujin had been understanding about not everything being 100% ready. Few wars were fought that way.Then a young male Amazon of mixed Magyar ancestry talked history with the Earth & Sky representative to a seemingly inconsequential personage's funeral. A few critical E&S leaders (a minority, to be sure) immediately sought ways to cultivate this man into what was a ten year plan to open doors to the Amazons. Then that man saved the Great Khan's life and everything changed.Before the E&S had even remotely considered directly approaching the Amazons for help, the Amazons came knocking on their door. The Seven Pillars of Heaven had tried to kidnap a camp full of Amazon children ~ an assault on their future. The two secret societies were bound by one unique, fortunate idiot and a mutual thirst for vengeance.They were also directed by two incredibly foresighted, ambitious and brilliant people. In Katrina of Epona, the E&S elders found someone who equaled their hope to see the Seven Pillars humbled and humbled immediately. Moreover, these were the Amazons they were dealing with. Amazons always sought both lightning decisions and long term solutions.From the moment Iskender left his third meeting with Cáel Nyilas, Katrina put the fruits of the First Directive (the Amazons efforts to recruit militant outsider women) into overdrive. Havenstone had the apparatus in place to screen potential inductees. All they had to do was add a "can you suggest any other people who might be interested in this line of work" box to their employment forms.That brought men into the process in surprising numbers. The market was flush with military veterans having trouble readjusting to the civilian community. The Khanate wasn't hiring killers. They wanted ex-military and civilian police officers to create a national police force.They also wanted engineers and builders, cadres for their cadet corps and a whole range of specialist in jobs most of the Western World took for granted. The money came from off-shore accounts funded by Havenstone International. The employment opportunities came from Earth & Sky front companies operating in the UK and the US (and Israel, but that was another matter).They had already started hiring scores of civilian English-speaking experts to help build their newborn nation's infrastructure before the first blow landed. English hadn't been chosen out of any cultural bias. Relying on Russian and Chinese sources wasn't feasible, the Khanate wasn't overly linguistically gifted where distant tongues were concerned and, as pointed out, the English-speaking world had a glut of applicants.Now to the problem, there were people in the US and UK who weren't happy with their citizenry going to the Khanate and helping them to survive and thrive. These power groups wanted the Mongol-Turkish Empire to keep the resources flowing to the West, without any reciprocal commitment on their part.Imagine their surprise when some wonks at the State Department and Foreign Ministries found bundles of expedited passport requests to the (former) nations of Turkmenistan, Turkey, Kazakhstan, Uzbekistan, Azerbaijan and Mongolia (and later Afghanistan and Iraq). The Department of Defense  Ministry of Defense were discovering their former military personnel and civilian contractors with Security Clearances were heading the same way.Of all those destinations, only Mongolia and Kazakhstan were under any kind of 'Restricted Travel' advisories. Barring any coherent anti-Khanate strategy from their administrations, the bureaucracies were doing their jobs, with Havenstone exerting just enough influence to get the job done while flying beneath the radar.After JIKIT was created, the group had a US Senator greasing the wheels to get the requests expedited. In England, Lady Worthington-Burke shamelessly used the people at the other end of the O'Shea hotline to get the job done overseas. She did have to sell out a teammate, but that was what good boys were for ~ taking one for the team. (That would be me, if there was any misunderstanding.)When Cáel Nyilas was kidnapped under the watchful eye of the FBI (I wasn't sure how they got that bum-wrap), the whole situation exploded. The PRC didn't have me, yet promised they might produce me if certain concessions were made. According to Addison, I was worth 5,000 barrels a day of refined fuel oil and 50 tons of coal a month, and the Great Khan agreed to pay! Woot! I was loved by somebody who was a somebody.All that attention drove home some salient points. I was a noble scion of Ireland, Romania, Georgia and Armenia (in no particular order) and they all wanted to know why the US had let me be kidnapped. Didn't my president know I was a sacred national treasure? After JIKIT tracked down the bribes and clandestine activities to Chinese shell corporations, those powers wanted to know what sanctions would be applied.'But wait, wasn't I a private citizen?' my national leaders pleaded. Then the PRC made a case which boiled down to 'I had it coming for being a fiancé to Hana Sulkanen and a brother to the Great Khan', while ignoring me being snatched in the territorial US of A. Of course, they didn't claim to have actually done the kidnapping.Javiera was waiting on that one; 'What was their excuse for kidnapping a little US girl to force my compliance?' The furious Federal authorities even found two dead adult bodies and two digits from said child to add to the media frenzy. To prove I had migrated to fantasy land, the CNN journalist got it right ~ they had tortured the girl and I had killed two of them for it. Just ask the Romanian Army how lethal I could be.In a rare comment, Temujin informed the international press that he believed I was still alive. Why did he believe that? If I wasn't, they would have been able to spot the pile of dead enemy around me and my 'boon companion' (go Aya!) from orbit. Until they discovered this carnal pit from Hell, I was surely still alive.Just at the cusp of turning publically against the Mongol barbarians, the world suddenly got angry with their enemy, the PRC. The principal two Western regimes were paralyzed with indecision until my miraculous cry for help from the middle of the Pacific showed the world I was alive, had punished my enemies and rescued others from under the opponent's cruel thumb.Clearly if I started ranting against the People's Republic of China, my government would be rather peeved with me. I hadn't screwed a dozen poli-sci majors to miss out on that obvious situation. I behaved and hoped they wouldn't make me die from an embolism, or some other equally implausible cause.(DC is a marvel. 9 pm, Monday, August 18th. 21 days)I'd been dragged to DC, to honor promises made in Rome a week ago. I had another choice; I could have justifiably said I was still getting over my kidnapping ordeal. But that choice fucked over Javiera Castello, my boss at JIKIT (Joint International Khanate Interim Task force).That was how I ended up in a 'secret and secure' meeting with Tony Blinken, Deputy National Security Advisor (DNSA) and his experts. He was someone I didn't know. The rest, I'd had a verbal run-in with them after the Romanian bloodbath. I'd been cranky. I would hardly consider us to be on good terms now.All four experts were from the US State Department. They were foregoing their usual group of flunkies because this meeting wasn't really happening. All the participants were officially somewhere else, mostly not even in D.C. Had this soiree 'really happened', the Congressional sub-committees would have been able to request the minutes of Tony's meeting with members of JIKIT and:·         Victoria Nuland, Ass. Sec. of State for European & Eurasian Affairs (ASSEEA)·         Robert O. Blake Jr., Ass. Sec. of State for S & C Asian Affairs (ASSCAA)·         Daniel R. Russel, Ass. Sec. of State for E. Asian and Pacific Affairs (ASSEAP)·         Bill A. Miller, Director of the U.S. Diplomatic Security Service (DSS) (aka Big Willy)We made stiff, formal introductions (which signaled the utter lack of trust in the room.) Javiera hadn't wanted to put me through an interrogation this soon after my near-death experience, considering my snarky nature when stressed. The White House was putting the squeeze on her. The main player was Tony, who talked with the Leader of the Free World on a weekly, if not daily, basis.The Diplomatic Security Service people had successfully peeled off Pamela and my SD Amazons only after they agreed I could keep Aya. They tolerated me keeping the nine-year old girl despite the obvious fact she had gone through worse hardships than I had endured and was still packing her Chinese QSW-06 suppressed pistol.I had already fabricated and submitted my report on how I'd overcome a plane-full of rogue delinquents from the Forumi i Rinis  Eurosocialiste t  Shqip ris  (Euro-socialist Youth Forum of Albania) bent on recruiting impressionable European socialites by accessing my Twitter account.That's right, the Albanians had it out for me. I reiterated that critical bit of data to the Department of Homeland Security when they questioned me on the veracity of my memories. The two ethnic Chinese I was found with? I thought they were from Taiwan, and they both appeared to be suffering from amnesia.I was already suffering repercussions from my pathological refusal to take life seriously. Javiera believed I was about to get a formal apology from Ferit Hoxha, Permanent Representative of Albania to the United Nations. Damn it! Now I had to do something nice for the Albanians. Maybe I'd offer them membership in the Khanate, full-statehood with an economic package to sweeten the deal.Yes, that was how Albania and Kosovo joined the Khanate, a product of my love for exaggeration and a little post-Ottoman solidarity over Tarator (cold soup made of yoghurt, garlic, parsley, cucumber, salt and olive oil with a side of fried squids), Tav  Kosi (lamb meatballs) and Flia & Kaymak (a dessert I highly recommend).We had toasted the Pillars of Kanun (Albanian oral law and tradition): ~ Nderi (honor), Mikpritja (hospitality), Sjellja (Right Conduct) and Fis (Kin Loyalty), ~ and he promised to tell his people that I had Besa which was an Albanian-ism for being a man who would honor his word of honor (despite us being brought together by my lie). The shit-ton of financial and military aid I asked the Great Khan to sweeten the pot with might have helped as well.Later, Lady Yum-Yum told me that the military leaders of NATO called it a 'master-stroke' in neutralizing Comrade Putin's Russian-backed 'Greek threat

united states america jesus christ american director amazon canada world president new york city australia english israel stories earth uk china los angeles mother england japan hell state americans british west war russia ms chinese european ukraine german japanese russian leader european union dc evil ireland loving western ministry united kingdom staying acts barack obama plan brazil hawaii jewish fortune irish greek white house dead rome east afghanistan indian turkey defense jerusalem fantasy cnn asian boss champion middle east iran vietnam force web clear journalists cultural thailand muslims navy hunt rescue vladimir putin iraq narrative survival euro islam nigeria worse cia philippines soldiers indonesia federal honestly taiwan fate ninjas agent sexuality marine gps united nations south korea pacific sec secretary syria saudi arabia republic twenty ukrainian homes ambition nato catching moscow pillars frankenstein civil lebanon personally bitch prime minister malaysia oil palestinians lt iranians foreign romania khan southeast asia buddha islamic marines northern turkish indians won arab congressional agreement terrorists gulf saudi amar mu forty syrian hindu grandpa homeland security illuminati us navy vietnamese allah medina explicit state department south koreans symbol sir relying libya indonesians rt tibet technically roc kazakhstan north korean mongolia kosovo ouija sultans novels potus ass romanian sinking armenia fanatics iraqi hezbollah ajax mecca arial new delhi lebanese albania clan taiwanese hemingway judgment day azerbaijan reaper helvetica armed forces armenian art history defeats malaysian georgian green beret lieutenant antony blinken arabs russel united states marine corps east asia turks peking erotica uzbekistan islamic state strangely oh god sicilian hanoi mongolian valkyrie billings south china sea western civilization us senators times new roman pla western world ottoman battleship kurds truce syrians us state department albanian kurdistan us secretary free world persian gulf donbass fathom mosul emerald isle prc brunei woot parcel mehmet enlighten mongol castello eurocentric turkmenistan caucasus security council sabah peace talks malay tahoma mongols in english fis magyar barring yippee smoothly kerouac fuck you seven seas mre isil atta prv parcels tav izmir crimean seven pillars liberation army jeju besa da nang black lotus permanent representative state john kerry kosi malaysians victoria nuland sarawak robeson jeju island gurkha security clearance javiera british royal navy master sgt bizarrely zhen han chinese indian navy great hunt security clearances ssf epona chinese taipei temujin nuland big willy liaoning yellow sea sunni shia literotica perlis youth forum 7p kedah msolistparagraph marine lt diplomatic security service great khan humph spratly islands diplomatic security shqip kaymak marine lieutenant daniel russel sorry tony
apolut: Standpunkte
Die Unfähigkeit, Lehren aus dem Westfälischen Frieden zu ziehen | Von Wolfgang Effenberger

apolut: Standpunkte

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 37:05


Nach über 30 Jahren Kriegsvorbereitung katapultartig zum Frieden?Die Unfähigkeit, Lehren aus dem Westfälischen Frieden (1648) zu ziehen.Ein Standpunkt von Wolfgang Effenberger.Nach der Auflösung der Warschauer Vertragsstaaten ("Warschauer Pakt") und dem Untergang der Sowjetunion am 31. Dezember 1991 formulierte der neokonservative US-Verteidigungsstaatssekretär Paul Wolfowitz 1992 eine Strategie zur Aufrechterhaltung der unipolaren US-Vorherrschaft. (1) Diese wenige Monate nach dem Ende der bipolaren Welt (USA vs. Sowjetunion) entwickelte Doktrin bildet einen zentralen ideologischen Bezugspunkt für die Eskalation des Ukraine-Konflikts bis hin zum aktuellen Krieg. Die Verbindungslinien lassen sich wie folgt darstellen:Geopolitische Grundlagen der "Wolfowitz-Doktrin"Im Kern geht es besonders auf dem Gebiet der ehemaligen UdSSR um die Verhinderung neuer globaler Rivalen. Dafür galt es, die militärische Dominanz durch NATO-Erweiterung und Kontrolle der Rüstungsindustrie (2) sowie den Ausschluss multilateraler Institutionen wie der UNO bei Interessenkonflikten durchzusetzten. (3)Entgegen mündlicher Zusagen an Gorbatschow 1990 ("keinen Zentimeter Ostausdehnung") (4) trieb die Doktrin die Integration osteuropäischer Staaten in die NATO voran. Dies wurde vom Kreml als existentielle Bedrohung wahrgenommen:Stationierung von Raketenabwehrsystemen in Rumänien/PolenNATO-Manöver nahe russischer GrenzenÜbernahme der Ukraine in die westliche Einflusssphäre durch die "Maidan-Revolution" 2014 (5)Während der erste "amerikazugewandte" Präsident der Russischen Föderation, Boris Jelzin (1991 bis 1999), "amerikanische Interessenwahrnehmung" in Russland wohlwollend duldete, beobachtete die russische Führung seit 2000 die geopolitischen Aktivitäten der USA mit ihren hunderten von Militärbasen in und um Eurasien sehr kritisch und sieht im aktuellen Krieg eine Abwehrhandlung gegen die "Wolfowitz-Strategie":Gegen den vom Westen im Februar 2014 orchestrierten völkerrechtswidrigen Staatsstreich lehnte sich die Bevölkerung im Donbass auf, was ab Mai 2014 zu einem bürgerkriegsähnlichen Konflikt führte, der schwerwiegende Auswirkungen auf die Zivilbevölkerung in dieser Region hatte und hat....hier weiterlesen: https://apolut.net/die-unfahigkeit-lehren-aus-dem-westfalischen-frieden-zu-ziehen-von-wolfgang-effenberger/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

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tagesschau 20:00 Uhr, 17.03.2025

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Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 15:44


Vorabend der Abstimmung im Bundestag: Werben um Zustimmung für Finanzpaket, Julia Klöckner soll Bundestagspräsidentin werden, Lage im Donbass im Osten der Ukraine, US-Präsident Trump will mit russischem Amtskollegen Putin über Ukraine-Krieg sprechen, EU-Außenminister beraten über Ukraine-Hilfen, USA schieben hunderte Venezolaner nach El Salvador ab, Hip Hop gegen Rassismus in Duisburg, Frühere Rosenstolz-Sängerin Anna R. mit 55 Jahren gestorben, Das Wetter

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tagesthemen 22:15 Uhr, 17.03.2025

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Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 36:04


Vor Abstimmung im Bundestag: Union, SPD und Grüne werben um Zustimmung für Finanzpaket, Lage im Donbass im Osten der Ukraine, US-Präsident Trump will mit russischem Amtskollegen Putin über Ukraine-Krieg telefonieren, USA schieben entgegen richterlicher Anordnung hunderte Venezolaner nach El Salvador ab, Hip Hop gegen Rassismus in Duisburg, Weitere Meldungen im Überblick, #mittendrin aus Schmitten im Taunus: Streit um Seilbahn auf dem Feldberg, Rassismuserfahrungen von Pflegenden in Deutschland, Frühere Rosenstolz-Sängerin Anna R. mit 55 Jahren gestorben, Das Wetter

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Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 36:04


Vor Abstimmung im Bundestag: Union, SPD und Grüne werben um Zustimmung für Finanzpaket, Lage im Donbass im Osten der Ukraine, US-Präsident Trump will mit russischem Amtskollegen Putin über Ukraine-Krieg telefonieren, USA schieben entgegen richterlicher Anordnung hunderte Venezolaner nach El Salvador ab, Hip Hop gegen Rassismus in Duisburg, Weitere Meldungen im Überblick, #mittendrin aus Schmitten im Taunus: Streit um Seilbahn auf dem Feldberg, Rassismuserfahrungen von Pflegenden in Deutschland, Frühere Rosenstolz-Sängerin Anna R. mit 55 Jahren gestorben, Das Wetter

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Vorabend der Abstimmung im Bundestag: Werben um Zustimmung für Finanzpaket, Julia Klöckner soll Bundestagspräsidentin werden, Lage im Donbass im Osten der Ukraine, US-Präsident Trump will mit russischem Amtskollegen Putin über Ukraine-Krieg sprechen, EU-Außenminister beraten über Ukraine-Hilfen, USA schieben hunderte Venezolaner nach El Salvador ab, Hip Hop gegen Rassismus in Duisburg, Frühere Rosenstolz-Sängerin Anna R. mit 55 Jahren gestorben, Das Wetter

C dans l'air
Trêve en Ukraine : que va faire Poutine ? - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 8:32


C dans l'air du 12 mars 2025 - Trêve en Ukraine : que va faire Poutine ? Les experts :- Alain PIROT - journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Paul GOGO - journaliste, ancien correspondant à Moscou, auteur "Opération spéciale. 10 ans de guerre entre Russie et Ukraine vus et vécus depuis le Donbass" aux éditions du Rocher- Tara VARMA - chercheuse spécialiste en relations internationales à la Brookings Institution à Washington- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique au Figaro, ancienne correspondante en Russie, auteur Macron-Poutine : Les liaisons dangereuses, publié aux éditions de l'Observatoire.

C dans l'air
Trêve en Ukraine : que va faire Poutine ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 63:45


C dans l'air du 12 mars 2025 - Trêve en Ukraine : que va faire Poutine ? Après une journée de pourparlers en Arabie saoudite avec les Etats-Unis, l'Ukraine a accepté de conclure un accord "dès que possible" sur les minerais ukrainiens et de proposer un cessez-le-feu de trente jours à Moscou. En échange Washington a décidé de reprendre immédiatement son aide militaire et de renseignement à Kiev. Les Américains vont soumettre ce projet de trêve à la Russie. La balle est désormais dans le camp de Moscou… Que va faire Vladimir Poutine ? Alors que le représentant américain Steve Witkoff est attendu ce jeudi à Moscou, le Kremlin a indiqué ce matin après de longues heures de silence attendre d'être informé par Washington des détails de cette proposition et a assuré qu'un "appel téléphonique au plus haut" niveau entre Donald Trump et Vladimir Poutine devrait avoir lieu dans un "délai assez court". Mais d'ici là, les Russes sont bien décidés à poursuivre leur offensive sur le terrain, notamment dans l'oblast russe de Koursk.Le président américain, de son côté, avait dit mardi qu'il "allait parler à Vladimir Poutine", sans doute cette semaine. Quelle sera la teneur de ce nouvel échange entre les deux dirigeants ? Comment comprendre le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine au sujet de l'Ukraine ? Pourquoi Donald Trump est-il considéré par certains sous influence russe ? Le documentariste Antoine Vitkine auteur de "Opération Trump, les espions russes à la conquête de l'Amérique" disponible sur France TV reviendra ce soir dans #cdanslair sur les liens entre Donald Trump et les intérêts russes depuis les années 1980.Un président des Etats-Unis qui a également relancé la guerre commerciale, avec l'entrée en vigueur ce matin d'une taxe de 25 % sur les importations d'acier et l'aluminium d'où qu'elles viennent. En réponse, la commission européenne a annoncé ce mercredi qu'elle appliquerait des droits de douane "forts mais proportionnés" sur une série de produits américains à partir du 1er avril. Quels seront les produits concernés ? Pour le moment, la Commission n'a pas encore fourni de liste. Elle a néanmoins indiqué que les contre-mesures de l'UE mises en place en 2018 et 2020 en réponse aux droits de douane américains du premier mandat de Donald Trump seront automatiquement rétablies, leur suspension arrivant à expiration au 31 mars prochain.Les experts :- Alain PIROT - journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Paul GOGO - journaliste, ancien correspondant à Moscou, auteur "Opération spéciale. 10 ans de guerre entre Russie et Ukraine vus et vécus depuis le Donbass" aux éditions du Rocher- Tara VARMA - chercheuse spécialiste en relations internationales à la Brookings Institution à Washington- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique au Figaro, ancienne correspondante en Russie, auteur Macron-Poutine : Les liaisons dangereuses, publié aux éditions de l'Observatoire.

Revue de presse internationale
À la Une: la balle est dans le camp de la Russie

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 4:00


Cette petite phrase du secrétaire d'État américain Marco Rubio hier soir est largement reprise ce matin dans la presse. À Djeddah, en Arabie saoudite, après plus de huit heures de discussions, les délégations américaine et ukrainienne sont tombées d'accord : Washington accepte de reprendre immédiatement son aide militaire et de renseignement à l'Ukraine. De son côté, Kiev accède à la proposition américaine d'un cessez-le-feu d'un mois. Le texte sera soumis aux Russes dans les prochains jours. En effet, la balle est donc dans le camp de la Russie…« Tous les regards sont tournés vers Moscou », s'exclame le Guardian à Londres. « C'est un revirement vertigineux, pointe le quotidien britannique, après la dispute entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump dans le Bureau ovale et l'abandon apparent de la stratégie de la Maison Blanche consistant simplement à faire pression sur l'Ukraine pour qu'elle accepte un accord de paix. Aujourd'hui, pour la première fois, la Russie est invitée à s'engager (…). »Poutine acculé ?« C'est maintenant Poutine qui est dos au mur », renchérit Die Welt à Berlin. « Les États-Unis proposent un cessez-le-feu complet. Et c'est une chose que le Kremlin peut difficilement refuser – sans s'attirer les foudres de la Maison Blanche. La phrase clé de la déclaration conjointe des deux délégations hier à Djeddah n'apparaît que dans le quatrième paragraphe, pointe le quotidien allemand. Le cessez-le-feu d'un mois convenu entre Kiev et Washington doit désormais être “accepté par la Russie et également mis en œuvre“. (…) Pour les américains, un niet de Moscou ne serait guère compréhensible. “S'ils disaient non, malheureusement nous saurions qui est l'obstacle à la paix“, a déclaré Marco Rubio. Vladimir Poutine doit comprendre cette phrase comme une menace ».Prudence…Alors la Russie va-t-elle accepter ce plan ? « C'est loin d'être évident », pointe le Washington Post.Le Spiegel à Berlin est même convaincu du contraire : « Vladimir Poutine n'a absolument aucun intérêt à relâcher la pression sur l'Ukraine avant d'avoir atteint ses objectifs – que ce soit militairement ou par le biais d'un accord de paix unilatéral ».Et le site en ligne du magazine allemand de s'interroger : « va-t-il refuser l'offre ? Va-t-il gagner du temps ? Ou bien va-t-il accepter tactiquement mais en réalité saper l'accord ? ». Et puis, sur le terrain, s'interroge encore le Spiegel, « comment mettre en œuvre un cessez-le-feu sur plus de 1000 kilomètres de tranchées ? Il est évident que le respect du cessez-le-feu depuis la mer Noire jusqu'à la frontière biélorusse en passant par le Donbass ne pourra pas être contrôlé efficacement – la ligne de front est trop étendue ».El Pais à Madrid reste tout aussi prudent… « La valeur de l'accord d'hier devra être testée dans les faits, sur le terrain et, surtout, au travers de l'attitude de la Maison Blanche envers le Kremlin. Les concessions que Trump pourraient offrir à Poutine seront décisives pour le convaincre d'accepter. Jusqu'à présent, l'attitude du président américain a été plutôt complaisante, pour ne pas dire complice. Compte tenu du maximalisme de Poutine soutenu jusqu'ici par Trump, il est nécessaire d'exiger un cessez-le-feu assorti des garanties de respect les plus solides ».Encore beaucoup d'interrogations…Dubitatif également Le Soir à Bruxelles… « De nombreuses questions se posent à l'orée de ce déblocage historique, avant même de connaître la position russe : comment cette trêve sera-t-elle observée ? Et que se passera-t-il si le Kremlin ne respecte une nouvelle fois pas sa parole ? Chez les Ukrainiens et les Européens, le scepticisme est de mise, pointe le quotidien belge. Car le souvenir des accords de Minsk de 2019 reste vivace. À l'époque, un cessez-le-feu avait été conclu pour la guerre dans le Donbass (déjà). Ce qui n'avait pas empêché les soldats russes de pénétrer sur le territoire ukrainien le 24 février 2022 ».Enfin, pour Le Devoir à Québec, « il y a trois grandes inconnues. La Russie va-t-elle respecter cet accord de cessez-le-feu ? L'Ukraine va-t-elle pouvoir compter sur une force européenne de maintien de la paix ? Et que va-t-il arriver aux territoires ukrainiens sous occupation russe ? (…) En acceptant hier, de négocier immédiatement avec la Russie un cessez-le-feu, l'Ukraine risque de devoir chercher la quadrature du cercle. Des concessions territoriales trop grandes, dans le cadre d'un plan de paix orchestré par Washington, favoriseraient l'agresseur aux dépens de l'agressé. Et elles seraient tout aussi immédiatement rejetées par les Ukrainiens ».

Le zoom de la rédaction
En Ukraine, les combats continuent de faire rage dans le Donbass

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 5:09


durée : 00:05:09 - Le Zoom de France Inter - En Ukraine, les civils continuent d'être la cible des frappes russes. Des frappes qui se sont même intensifiées, assurent les habitants, depuis l'élection de Donald Trump en janvier. Dans le Donbass, au sud de la ville de Kramatorsk, les combats font rage.

On marche sur la tête
Cyril Hanouna - « Lorsque l'Ukraine bombardait les populations russophones dans le Donbass, l'Europe n'a pas bougé le petit doigt » rappelle John, auditeur d'Europe 1

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 28:36


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la situation géopolitique face à Moscou à propos du conflit en Ukraine.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Bernard-Henri Lévy : «Lorsque le président Zelensky dit que “nul au monde ne souhaite plus la paix que les Ukrainiens“ c'est vrai»

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 26:27


Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il reçoit l'écrivain et philosophe, Bernard-Henri Lévy revenu du Donbass sur le front ukrainien, il donne son ressenti sur ce qu'il a vu et constaté sur place ainsi que sur les perspectives de fin de conflit. Dans un second temps, il est question de l'allocution d'Emmanuel Macron concernant la guerre en Ukraine, de la menace russe, mais aussi sur l'échange musclé entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la maison Blanche.

Le journal de la nuit
Bernard-Henri Lévy : «Lorsque le président Zelensky dit que “nul au monde ne souhaite plus la paix que les Ukrainiens“ c'est vrai»

Le journal de la nuit

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 26:27


Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il reçoit l'écrivain et philosophe, Bernard-Henri Lévy revenu du Donbass sur le front ukrainien, il donne son ressenti sur ce qu'il a vu et constaté sur place ainsi que sur les perspectives de fin de conflit. Dans un second temps, il est question de l'allocution d'Emmanuel Macron concernant la guerre en Ukraine, de la menace russe, mais aussi sur l'échange musclé entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la maison Blanche.

OsazuwaAkonedo
We Need Honest Peace, Not Endless War - Zelenskyy Speaks Over Trump Attacks

OsazuwaAkonedo

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 25:03


We Need Honest Peace, Not Endless War - Zelenskyy Speaks Over Trump Attackshttps://osazuwaakonedo.news/we-need-honest-peace-not-endless-war-zelenskyy-speaks-over-trump-attacks/05/03/2025/#World News #Obama #Putin #Russia #Trump #Ukraine #US #Zelenskyy ©March 5th, 2025 ®March 5, 2025 10:29 am Ukrainian President, Volodymyr Zelenskyy in a written and video statement on Monday has said that what Ukrainians need is a true and honest peace deal and not endless war just as President Donald Trump of the US and one of the world richest billionaires, Elon Musk had continued to use their privileged office and position in the society to launch a terrorist like media cold war against the person of President Zelenskyy, apparently to weaken his zeal and cause public disaffection against the Ukrainian President by thus using dangerous negative communication styles of half-truth, manipulated facts, deliberate misrepresentation of facts, misinterpretation of words, spin logic, bullying, game shaming, blaming, belittling, mockery and trying to hold Ukraine ransom by blocking US military aid to the troubled country for a war it appears Donald Trump is the first US President that kicked started it by thus, the Trump administration first approved the sale of Javelin anti tanks missiles to Ukraine in December 2017, after civil unrest ensued in Ukraine in 2014 with a protest codenamed Revolution of Dignity which ousted and forced into exile in Russia the then Pro-Russia President, Viktor Fedorovych Yanukovych on February 22, 2014, just a day after, President Vladimir Putin mobilized troops and invaded Ukraine, succeeded in taking over Ukraine territorial land of Crimea, an action, the then US President, Barack Obama retaliated by only placing sanctions on Russia assets for violating the constitutional rights of Ukraine, the 2017 action of Donald Trump was a step that former President Barack Obama never took, which Trump allies pointed to be a sign of Trump's toughness on Russia and good for US business, which giving Ukraine lethal weapons had been a red line for Obama, who feared that it could cause Russia to escalate conflict which President Vladimir Putin led Russia actually did, and Ukraine has been fighting Russian soldiers and Russia backed armed separatists in its eastern provinces since 2014, shortly after Russia illegally occupied and annexed Crimea, in a war that has claimed approximately 13,000 lives and displaced 1.5 million people, according to the Ukrainian government before Volodymyr Zelenskyy became Ukrainian President in May 20, 2019 on the platform of Servant of the People political party and before Zelenskyy became President, Putin violated three ceasefire peace deals under Donald Trump in January, February and March 2019, and as at December 2019, Ukrainian Military reported a total of  more than 70 ceasefire deals violated by Putin led Russia, and during his inaugural speech on May 20, 2019 when Volodymyr Zelenskyy took office as President of Ukraine, he said his priority was “a ceasefire in the Donbass” and also asserted that “Crimea and Donbass are Ukrainian land”, and that the people living in those regions “are not strangers, they are ours, Ukrainians”, truly, on December 9, 2019, the Russian President, Vladimir Putin, French President, Emmanuel Macron, German Chancellor, Angela Merkel and Ukrainian President, Volodymyr Zelenskyy met in person in Paris, France and agreed on a ceasefire and prisoners exchange, but, on same day, three Ukrainian soldiers were killed by a landmine by Russian-backed forces who violated the ceasefire 7 more times in December using BMP-1 armoured vehicles, grenade launchers, heavy machine guns, and small arms, this, Ukrainian military recorded additional 47 ceasefire peace deals violations in 2020, more than 180 ceasefire peace deals violations in 2021 until February 24, 2022, President Vladimir Putin declared full scale war on Ukraine, describing US Government, previous and present he referred to as Washington during his war declaration nationwide address, as an “Empire of liars”. #OsazuwaAkonedo

Religions du monde
Ukraine, trois ans de guerre: quelle espérance face au désordre mondial?

Religions du monde

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 48:28


Invité exceptionnel dans cette émission consacrée à l'Ukraine après trois ans de guerre : le métropolite Emmanuel de Chalcédoine, du Patriarcat œcuménique de Constantinople, premier siège ecclésial de l'Église orthodoxe, qui travaille aux côtés du Patriarche de Constantinople, Bartholomée 1er. Nous évoquons la question complexe des églises orthodoxes dans la guerre et de l'unité des églises. L'Ukraine entre dans sa 4è année de guerre contre la Russie après l'invasion à grande échelle de son territoire le 24 février 2022, qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts. Une guerre qui a commencé, il y a 11 ans, après la révolution de Maïdan et l'annexion de la Crimée et d'une partie du Donbass par la Russie.Depuis l'élection de Donald Trump aux États-Unis, son « plan » de paix et son ouverture à la Russie, comment en Ukraine vit-on la guerre et ce brusque revirement des alliances qui peut entamer l'espérance ?Les Ukrainiens peuvent-ils garder cette espérance et comment les églises peuvent-elles contribuer à maintenir ce fil qui s'effrite ? Quelle unité possible des églises alors que le conflit les a entrainées dans la division ? Avec :- Emmanuel de Chalcédoine, métropolite de l'Église orthodoxe du Patriarcat œcuménique de Constantinople, auprès de Bartholomée 1er, Patriarche de Constantinople, auteur de « Libres enfants de Dieu » (Éd. Cerf, 2025),  « L'Esprit de Jérusalem » (Éd. Cerf, 2014)- Jean-François Colosimo, éditeur – éditions du Cerf, essayiste, auteur de « Occident, ennemi mondial N°1. Russie, Turquie, Iran, Inde, Chine. Pourquoi tant de haine ? » (Éd. Albin Michel, 2024), « La crucifixion de l'Ukraine, mille ans de guerres de religions en Europe » (Éd. Albin Michel, 2022).Témoignages :- Constantin Sigov, philosophe, directeur du Centre européen à l'Université Mohyla de Kyiv, auteur de « Le courage de l'Ukraine » avec Anne-Marie Pelletier (Éd. Cerf, 2023)- Mychajlo Dymyd, théologien gréco-catholique ukrainien, professeur à l'Université de Lviv, archiprêtre mitré de l'Église Gréco-Catholique Ukrainienne, docteur en droit canonique oriental et aumônier du Maïdan- Aumôniers qui travaillent près du front dans le Donbass, reportage de l'envoyée spéciale de RFI Anastasia Becchio avec Boris Vichith.

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr
Seltene Erden: Putin bietet den USA Zusammenarbeit an - ohne überzogene Erwartungen

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 8:51


Russland hat weitaus mehr Reserven an Seltenerdmetallen als die Ukraine. Dies erklärte Präsident Wladimir Putin. Er schließt nicht aus, dass Russland und die USA in Zukunft gemeinsam Mineralien in verschiedenen Regionen des Landes, darunter auch im Donbass, abbauen werden. Von Andrei Restschikow  

Religions du monde
Ukraine, trois ans de guerre: quelle espérance face au désordre mondial?

Religions du monde

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 48:28


Invité exceptionnel dans cette émission consacrée à l'Ukraine après trois ans de guerre : le métropolite Emmanuel de Chalcédoine, du Patriarcat œcuménique de Constantinople, premier siège ecclésial de l'Église orthodoxe, qui travaille aux côtés du Patriarche de Constantinople, Bartholomée 1er. Nous évoquons la question complexe des églises orthodoxes dans la guerre et de l'unité des églises. L'Ukraine entre dans sa 4è année de guerre contre la Russie après l'invasion à grande échelle de son territoire le 24 février 2022, qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts. Une guerre qui a commencé, il y a 11 ans, après la révolution de Maïdan et l'annexion de la Crimée et d'une partie du Donbass par la Russie.Depuis l'élection de Donald Trump aux États-Unis, son « plan » de paix et son ouverture à la Russie, comment en Ukraine vit-on la guerre et ce brusque revirement des alliances qui peut entamer l'espérance ?Les Ukrainiens peuvent-ils garder cette espérance et comment les églises peuvent-elles contribuer à maintenir ce fil qui s'effrite ? Quelle unité possible des églises alors que le conflit les a entrainées dans la division ? Avec :- Emmanuel de Chalcédoine, métropolite de l'Église orthodoxe du Patriarcat œcuménique de Constantinople, auprès de Bartholomée 1er, Patriarche de Constantinople, auteur de « Libres enfants de Dieu » (Éd. Cerf, 2025),  « L'Esprit de Jérusalem » (Éd. Cerf, 2014)- Jean-François Colosimo, éditeur – éditions du Cerf, essayiste, auteur de « Occident, ennemi mondial N°1. Russie, Turquie, Iran, Inde, Chine. Pourquoi tant de haine ? » (Éd. Albin Michel, 2024), « La crucifixion de l'Ukraine, mille ans de guerres de religions en Europe » (Éd. Albin Michel, 2022).Témoignages :- Constantin Sigov, philosophe, directeur du Centre européen à l'Université Mohyla de Kyiv, auteur de « Le courage de l'Ukraine » avec Anne-Marie Pelletier (Éd. Cerf, 2023)- Mychajlo Dymyd, théologien gréco-catholique ukrainien, professeur à l'Université de Lviv, archiprêtre mitré de l'Église Gréco-Catholique Ukrainienne, docteur en droit canonique oriental et aumônier du Maïdan- Aumôniers qui travaillent près du front dans le Donbass, reportage de l'envoyée spéciale de RFI Anastasia Becchio avec Boris Vichith.

Uno, nessuno, 100Milan
​Le terre rare al centro degli appetiti e dei conflitti

Uno, nessuno, 100Milan

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025


Valgono 350 miliardi di dollari le terre rare ucraine, in particolare titanio e litio, che si trovano nei territori del Donbass occupati dalla Russia. Tanto Trump quanto Putin vogliono metterci le mani sopra, il primo con la scusante di ripagare il sostegno militare fornito finora dagli Usa nel conflitto contro Mosca, il secondo ritenendo l'intera regione conquistata di appartenenza russa. Perché le terre rare sono così preziose? Ne parliamo in apertura di programma. Torniamo poi sul caso del cooperante italiano Alberto Trentini da 100 giorni detenuto in una prigione a Caracas e per il quale la mobilitazione è stata finora molto bassa, cerchiamo di capirne il perché. Infine andiamo a Dronero (Cuneo) dove molti genitori hanno deciso di iscrivere i proprio figli in scuole di paesi vicini piuttosto che nel proprio e la motivazione sarebbe da ricondurre, in parte, all'alta percentuale di bambini stranieri presenti nelle classi e maggiore che in altre realtà scolastiche.

COSMO Radio Colonia
Ucraina: è arrivato il momento delle trattative?

COSMO Radio Colonia

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 22:02


Dopo tre anni di guerra e centinaia di migliaia di vittime tra civili e militari, si continua a combattere nel Donbass e nella regione russa di Kursk. Eppure, soprattutto grazie al cinismo di Trump, i contendenti potrebbero sedersi presto ad un tavolo per discutere un armistizio. In tutto questo l'Europa rischia di giocare un ruolo marginale. Alla fine ne potrebbe risultare se non una "pace giusta", almeno la fine del massacro. Un podcast con Enzo Savignano, Mirko Mussetti e Claudia Bettiol. Von Francesco Marzano.

Laser
Ucraina, tre anni dopo

Laser

Play Episode Listen Later Feb 24, 2025 26:35


Mentre i grandi del mondo discutono di come mettere fine al conflitto in Ucraina, costato migliaia di vite, milioni di profughi e distruzioni impossibili da contare, la guerra è arrivata ormai al suo terzo anniversario. Tre anni di combattimenti con un'intensità che in Europa non si vedeva dalla Seconda guerra mondiale.Cosa pensano gli ucraini e chi li conosce di questo conflitto così lungo e costoso? Si sentono un Paese obbligato a combattere sulla punta del fucile, o un'eroica nazione pronta a sacrificare tutto per difendersi? E come sono cambiate le cose nel corso di questi tre anni?Tutte le parti devono fare concessioni per far finire la guerra in Ucraina e risolvere il conflitto in maniera accettabile per tuttiIn questo Laser, il giornalista Davide Maria De Luca compie un viaggio dalle trincee del Donbass fino agli ospedali di Leopoli per cercare le tracce lasciate dalla guerra, soprattutto quelle che restano invisibili dentro le persone e quello che rivelano su questo popolo in guerra.undefined

Convidado
Guerra na Ucrânia: "Estamos em risco de passar de um mundo democrático para um mundo de ditadura"

Convidado

Play Episode Listen Later Feb 24, 2025 14:26


Nesta segunda-feira, assinalam-se os três anos da invasão russa do território ucraniano, 2025 marcando igualmente os 11 anos do início da ofensiva de Moscovo contra o leste do país. Anos de incerteza recordados hoje em Kiev pelo Presidente Volodymyr Zelensky na presença de líderes europeus, seus aliados, nomeadamente a Presidente da Comissão Europeia, Ursula Von der Leyen, e também o Presidente do Conselho Europeu, António Costa. Três anos depois da invasão da Ucrânia, a situação no terreno continua difícil para as tropas ucranianas que enfrentam a falta de meios para combater. No aspecto político, o regresso de Donald Trump à Casa Branca marcou também uma viragem completa do posicionamento dos Estados Unidos relativamente ao conflito, com o Presidente americano a dialogar com Vladimir Putin sobre um possível processo de paz, na ausência da Ucrânia e do resto da Europa.Para além destes aspectos, o dia 24 de Fevereiro de 2022 também marca o começo do exílio para muitos ucranianos que a guerra empurrou para fora do seu país.De acordo com as Nações Unidas, desde o início da invasão russa e até sensivelmente Julho do ano passado, a Europa acolheu mais de 6 milhões de refugiados ucranianos que se repartiram maioritariamente nos países circundantes.Em França, chegaram quase 67.000 e Portugal acolheu um pouco mais de 63.000 ucranianos, sendo que esta comunidade abrange actualmente mais de 117.000 pessoas de norte a sul de Portugal.Abraão Veloso fundou o Centro Social e Cultural Luso-Ucraniano em Braga em 2015 pouco depois da invasão do leste da Ucrânia. "Esta associação nasceu em resposta à invasão do Donbass. Um amigo ucraniano, um dia, veio pedir-nos ajuda porque o país dele estava em dificuldade e nós dissemos que estávamos disponíveis para mobilizar a sociedade e depois surgiu esta associação, porque sem uma associação não é possível fazer nada", conta o líder associativo."Havia muitos deslocados, sobretudo do Donbass. E nós procuramos, na medida do possível, enviar ajuda. Nesse tempo era muito mais difícil, uma vez que a sociedade não estava muito virada para a questão ucraniana. Era uma questão lateral. Mas nós, nesse período, fizemos isso. Trabalhámos muito com a comunicação social para alertar que havia ali uma guerra que estava a consumir muitas vidas. Naqueles anos antes da invasão, fala-se em cerca de 15.000 mortos, portanto um número muito elevado", refere Abraão Veloso.Ao evocar o acolhimento de refugiados ucranianos no extremo norte de Portugal, o activista social diz que "em Braga foram acolhidos excelentemente, porque houve aqui um acordo entre as diversas instituições a Câmara, a Cruz Vermelha e outros e a associação. Um hotel foi colocado ao serviço da chegada desses ucranianos refugiados. Foram diversos autocarros, nomeadamente a Cracóvia, buscar refugiados. E quando chegaram a Portugal tinham um hotel todo por sua conta para os acolher. E depois foi feito o encaminhamento uns para as famílias, outros para os amigos. (...) Um técnico fez o primeiro embate dos ucranianos com as instituições para terem um acolhimento temporário. Iam com eles a Segurança Social, ao Centro de Emprego, aos diferentes organismos aqui da região, às escolas".Desde 2015 e sobretudo, nestes últimos três anos, chegaram milhares de ucranianos a Portugal, o líder associativo recordando ter chegado a apoiar duzentas pessoas ao mesmo tempo. "Neste momento, o número é muito menor, porque eles, tal qual os portugueses, têm vontade de voltar à sua terra."O regresso à Ucrânia é, de facto, o horizonte de muitos refugiados que se encontram em Portugal, constata também Roman Grymalyuk que vive no Algarve hà vinte anos e que contrariamente aos seus compatriotas, pretende prosseguir o seu caminho em terras lusas.Contudo, isto não significa que se tenha desligado do seu país de origem, Roman Grymalyuk tendo criado há dois anos e meio a Oranta, Associação de Apoio à Comunidade Ucraniana no Algarve. Para além de apoiar os refugiados que chegam a Portugal, esta associação também fornece algum apoio logístico à Ucrânia."Nós estamos a trabalhar com vários batalhões e com várias instituições médicas na Ucrânia. Estamos a transformar vários tipos de veículos, principalmente veículos 4X4 para carrinhas de resgate dos feridos da zona de combate, tanto como os carros para transportar os feridos do centro de estabilização para hospitais", explica o activista que ao regozijar-se com o facto de "muitos municípios do Algarve entenderem o que está a acontecer no país", refere ter tido "a possibilidade de ajudar os ucranianos -para já- na tradução da língua porque nem todos os que vão (a Portugal) têm a mínima ideia da língua portuguesa. Começámos a falar com escolas, começámos a falar com municípios. Tivemos muita sorte porque tivemos muitas respostas positivas"."Até não há muito tempo atrás, nós estivemos a fazer algumas contas da quantidade de coisas que aconteceram só no município de Lagos. Por exemplo, tivemos mais de 740 pessoas que receberam apoio aqui na nossa zona", constata ainda o líder associativo ucraniano que não deixa de observar, tal como Abraão Veloso que a tendência é frequentemente tentar regressar ao país"No fim do primeiro ano da invasão russa na Ucrânia, voltaram mais ou menos à volta de 20% das pessoas que chegaram nos primeiros tempos da invasão. Claro que temos várias pessoas que já se sentem muito bem em Portugal, porque já é o terceiro ano. Há algumas pessoas que já tomaram a decisão que vão continuar a viver em Portugal, gostaram do sítio ou até algumas já montaram famílias aqui em Portugal. Mas também temos ainda muito pessoas que têm a esperança de que isto acabe o mais rápido possível, porque querem voltar para a Ucrânia", constata Roman Grymalyuk.Questionado sobre a sua recente estadia na Ucrânia no ano passado, depois de um longo período de ausência, o activista social dá conta da sua dor."Para mim foi um bocado complicado, porque foi por um caso muito triste para mim, pelo falecimento do meu pai. Foi por isso que eu voltei à Ucrânia. Mas, como já durante os últimos três anos, estava completamente envolvido nos apoios e em contacto com militares e com médicos, tinha tomado a decisão de fazer a minha viagem para a linha de frente, para ver tudo lá no sítio, para falar como eles mesmo lá no sítio, para perceber melhor o que é que falta", recorda Roman Grymalyuk."Quando cheguei, vou dizer a verdade, fui a algumas zonas que não foram afectadas pela guerra. Fiquei muito surpreendido porque o país ficou muito mais evoluído nalgumas partes, mas também fiquei muito triste ao ver em vilas e cidades, onde as pessoas mesmo assim tentavam fazer uma vida normal. E houve momentos em que me vieram lágrimas, porque não podia perceber como é possível crianças crescerem com este barulho, a ouvir os disparos, os bombardeamentos e estar tão tranquilo", conta o responsável associativo."Hoje em dia, estamos numa situação muito grave. Não é só para a Ucrânia. Estamos numa situação muito perigosa, tanto para a Europa, como para o futuro mundial, porque hoje estamos em risco de passar de um mundo democrático para um mundo de ditadura", conclui Roman Grymalyuk.

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 22 février 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Feb 22, 2025 48:30


Le Grand reportage week-end de ce samedi est entièrement consacré à la guerre en Ukraine. En première partie, les mauvais traitements infligés aux prisonniers ukrainiens dans les geôles russes. En seconde partie, les États baltes se sentant menacés depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Prisonniers de guerre ukrainiens : un retour au pays qui met en lumière l'enfer des geôles russes  Dans quelques jours, le 24 février 2025, cela fera trois ans que la Russie a envahi l'est de l'Ukraine.Les vidéos des prisonniers de guerre ukrainiens, libérés à la faveur d'un échange, sont régulièrement publiées dans les médias ukrainiens et sur les réseaux sociaux. Après parfois, plusieurs années passées dans les prisons russes, hommes et femmes apparaissent le visage émacié, les yeux hagards. Perdus. Ainsi se révèlent les mauvais traitements subis en Russie, en dépit des exigences du droit international.Un Grand reportage d'Emmanuelle Chaze qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Vivre à l'ombre des menaces, voyage dans les États baltes, face aux Russes et Biélorusses Il y a presque trois ans, le 24 février 2022, la Russie commençait à envahir l'Ukraine. Rapidement, une partie du Donbass dans l'est du pays tombe, tandis que plus à l'ouest, missiles et drones frappent également, y compris Kiev, la capitale. L'Ukraine est en guerre. Et c'est toute l'Europe qui se retrouve dans la peur. Au nord : les trois pays baltes, Lituanie, Lettonie et Estonie ont une longue frontière avec la Russie et la Biélorussie. Une frontière qui est aussi celle de l'Union européenne et de l'Otan. La menace est globale pour la sécurité des Occidentaux, dès l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Et depuis l'offensive russe de 2022, les trois frontières se blindent. Mais comment les Baltes vivent-ils cette situation ? Notre correspondante Marielle Vitureau a pris la route de Vilnius en Lituanie jusqu'à Narva en Estonie, un périple de 700 kilomètres.Un Grand reportage de Marielle Vitureau qui s'entretient avec Sébastien Farcis. 

Reportage International
Irlande: ces ressortissants ukrainiens qui retournent combattre au front

Reportage International

Play Episode Listen Later Feb 21, 2025 2:35


Après presque trois ans d'invasion à grande échelle, les forces ukrainiennes cherchent à recruter parmi les centaines de milliers d'hommes ukrainiens vivant en Europe. Ils sont près de 700 Ukrainiens vivant en Europe à s'être inscrits pour rejoindre la Légion ukrainienne, une nouvelle formation de l'armée censée être bientôt déployée contre les troupes russes sur le front. Parmi eux, Oleg, étudiant en génie mécanique à la prestigieuse Université Trinity. Le jeune homme n'a que 22 ans, est né dans l'ouest de l'Ukraine, mais il a vécu toute sa vie en Irlande. Et pourtant, il compte bien s'engager en tant que volontaire. « Tout le monde me supplie de ne pas partir. Et moi aussi, je m'inquiète pour ma sécurité. Mais je veux contribuer à la défense de l'Ukraine. Si cela implique de rejoindre l'infanterie, je le ferai, je crois que je serai plus utile si je pouvais aider du côté de la guerre technologique, dans l'utilisation de drones par exemple. Combattre dans l'infanterie, c'est terrifiant », confie-t-il.Tatouage du trident, symbolique de l'indépendance ukrainienne, sur l'avant-bras, Oleg le reconnaît : il n'a aucune expérience militaire. Pour rejoindre la Légion ukrainienne, la première question posée à tous les volontaires lors de l'inscription en ligne concerne leur expérience dans l'armée ou bien la police. Si la réponse est non, le processus est interrompu. Mais voilà, les candidats peuvent se reconnecter immédiatement et changer, tout simplement, leur réponse en oui.Mais peu importe son expérience, d'après Oleg, l'Ukraine a plus que jamais besoin de tout le soutien possible. « J'aimerais vraiment que nous puissions remporter cette guerre sans ma participation, mais je crois que si nous devions perdre cette guerre et notre État, et que je n'aie rien fait pour contribuer à l'effort, je ne sais pas si je pourrais me le pardonner, confesse le jeune homme. Je ne veux vraiment pas mourir ! Mais c'est compliqué. Je ressens cet impératif moral d'aider les miens et de faire tout ce que je peux pour que mon père rentre à la maison, sain et sauf, et pour que mes amis et proches s'en sortent. » Son père est parti se battre contre les troupes russes, en 2022. C'est l'une des raisons qui poussent Oleg à vouloir s'engager à son tour.Selon Larysa Gerasko, ambassadrice d'Ukraine en Irlande, il est impossible de savoir le nombre exact d'hommes ukrainiens en Irlande qui se sont inscrits à la légion. Mais l'ambassadrice nous le confirme, ceux qui ont fui la guerre récemment ne sont pas les seuls à s'engager. « Certains Ukrainiens qui vivaient ici depuis 20 ans, 15 ans, avant l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, ont rejoint les forces militaires et se battent aujourd'hui ! Parce qu'ils sont Ukrainiens et que notre pays, notre patrie, est attaquée. Nous serions heureux de vivre à nouveau en paix, mais nous n'abandonnerons jamais, nous ne capitulerons pas », s'exclame-t-elle. Ces derniers mois, Donald Trump a martelé pouvoir imposer une paix en Ukraine en un jour. Mais son plan consisterait à céder la Crimée et la région du Donbass à la Russie, en échange d'un cessez-le-feu entre Kiev et Moscou.À lire aussiPrisonniers de guerre ukrainiens: un retour au pays qui met en lumière l'enfer des geôles russes

Grand reportage
Vivre à l'ombre des menaces, voyage dans les États baltes, face aux Russes et Biélorusses

Grand reportage

Play Episode Listen Later Feb 20, 2025 19:29


Il y a presque trois ans, le 24 février 2022, la Russie commençait à envahir l'Ukraine. Rapidement, une partie du Donbass dans l'est du pays tombe, tandis que plus à l'ouest, missiles et drones frappent également, y compris Kiev, la capitale. L'Ukraine est en guerre. Et c'est toute l'Europe qui se retrouve dans la peur. Au nord : les trois pays baltes, Lituanie, Lettonie et Estonie ont une longue frontière avec la Russie et la Biélorussie. Une frontière qui est aussi celle de l'Union européenne et de l'Otan. La menace est globale pour la sécurité des occidentaux, dès l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Et depuis l'offensive russe de 2022, les trois frontières se blindent. Mais comment les Baltes vivent-ils cette situation ? Notre correspondante Marielle Vitureau a pris la route de Vilnius en Lituanie jusqu'à Narva en Estonie, un périple de 700 kilomètres. ► « Vivre à l'ombre des menaces, voyage dans les États baltes, face aux Russes et Biélorusses », un Grand reportage de Marielle Vitureau.

Judging Freedom
Pepe Escobar: Up Front in the Donbass!

Judging Freedom

Play Episode Listen Later Feb 18, 2025 25:13


Pepe Escobar: Up Front in the Donbass!See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Kultur – detektor.fm
We Will Not Fade Away, Lars Eidinger, Citizen Detective

Kultur – detektor.fm

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 5:07


Die Doku „We Will Not Fade Away“ begleitet fünf Jugendliche, die im Donbass aufwachsen, die Doku „Lars Eidinger — Sein oder nicht sein“ schaut hinter die Kulissen, und in „Citizen Detective“ geht's um ungeklärte Fälle. Hier entlang geht's zu den Links unserer Werbepartner: https://detektor.fm/werbepartner/was-laeuft-heute >> Artikel zum Nachlesen: https://detektor.fm/kultur/was-laeuft-heute-we-will-not-fade-away-lars-eidinger-citizen-detective

Podcasts – detektor.fm
Was läuft heute? | We Will Not Fade Away, Lars Eidinger, Citizen Detective

Podcasts – detektor.fm

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 5:07


Die Doku „We Will Not Fade Away“ begleitet fünf Jugendliche, die im Donbass aufwachsen, die Doku „Lars Eidinger – Sein oder nicht sein“ schaut hinter die Kulissen und in Citizen Detective geht’s um ungeklärte Fälle. Hier entlang geht's zu den Links unserer Werbepartner: https://detektor.fm/werbepartner/was-laeuft-heute >> Artikel zum Nachlesen: https://detektor.fm/kultur/was-laeuft-heute-we-will-not-fade-away-lars-eidinger-citizen-detective

NDR Info - Streitkräfte und Strategien
Ukraine: Der Feind im Inneren (Tag 1077 mit Rebecca Barth)

NDR Info - Streitkräfte und Strategien

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 41:30


Wie geht es ukrainischen Soldaten nahe der Front? Was treibt sie nach fast drei Jahren Krieg noch an? Mit diesen Fragen im Gepäck hat sich ARD-Korrespondentin Rebecca Barth in den Donbass aufgemacht. Im Gespräch mit Host Carsten Schmiester berichtet sie über die Moral der Soldaten, über Belastungen, Enttäuschungen und Frust. Der rührt auch daher, dass einige Ukrainer nicht zu den Waffen gegriffen haben oder greifen. Berichte über diejenigen, die mit Russland zusammengearbeitet haben, haben zudem Misstrauen in der Gesellschaft gesät. Rebecca Barth hatte exklusiven Zugang zu einem Gefängnis, in dem verurteilte ukrainische Kollaborateure sitzen. Ein Thema an der Front, so die ARD-Korrespondentin, sei Donald Trump. Mit ihm verbinden einige Soldaten die Hoffnung auf Verhandlungen und ein Ende des Krieges. Dem US-Präsidenten schwebt ein Deal vor: US-amerikanische Waffen gegen wertvolle ukrainische Rohstoffe. Ganz neu und abwegig ist der Gedanke nicht, erklärt Kai Küstner. Er zeigt aber doch, dass Trump die Ukraine weniger als Werte- und mehr als Geschäftspartner sieht. Was auch für die EU gilt, der Trump mit hohen Zöllen droht. Aus der Ukraine selbst gibt es neben dem gewohnten Bild, dass die russische Armee langsam und unter gewaltigen Opferzahlen vorrückt, auch Ungewohntes zu berichten: Offenbar haben sich die nordkoreanischen Soldaten von den Kämpfen in Kursk zurückgezogen. Vorerst jedenfalls. Lob und Kritik, alles bitte per Mail an streitkraefte@ndr.de Alle Folgen von “Streitkräfte und Strategien” https://www.ardaudiothek.de/sendung/7852196/ https://www.ndr.de/nachrichten/info/podcast2998.html Westen lieferte Tanker für russische Schattenflotte – NDR-Recherche: https://www.tagesschau.de/investigativ/ndr-wdr/schattenflotte-russland-sanktionen-oel-reeder-deutschland-100.html Podcast-Tipp: Amerika, wir müssen reden! https://www.ndr.de/nachrichten/info/podcast4932.html

Revue de presse Afrique
À la Une: le risque d'embrasement dans l'est de la RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025 4:16


C'est une caricature publiée sur le site d'information congolais Actualité CD : on y voit un journaliste brandissant un micro devant un parterre d'hommes politiques et de représentants de la société civile à Kinshasa. Le journaliste les interpelle : « leaders d'opinion ! Un petit commentaire sur la révision ou changement de la Constitution ? » Tous les officiels veulent répondre en s'arrachant le micro : « moi, moi, moi », crient-ils. Et puis question suivante : « un commentaire sur la guerre qui a atteint Goma ? ». Et là, plus personne… Les officiels sont partis en courant…Et en effet, c'est la retenue qui domine à Kinshasa face à l'avancée des rebelles du M23 dans le Kivu. Les termes sont choisis. Les médias congolais, à l'instar du site 7 sur 7, parlent d' « incursion rwandaise à Goma », ou encore de « guerre d'agression ».Il faut dire que la situation est délicate. Le risque d'une extension du conflit est bien présent. C'est ce que souligne notamment Le Pays à Ouagadougou : « après le secrétaire général des Nations unies ce week-end qui disait craindre un embrasement régional du conflit en cours dans le Kivu avec l'ouverture possible de nouveaux théâtres de confrontation, c'est au tour du président du Burundi d'affirmer que la propension à l'extension transfrontalière de cette guerre est particulièrement grande, du fait de la situation volatile et explosive enregistrée, la semaine dernière, dans les deux extrémités du Kivu ».En effet, résume Jeune Afrique, « le président burundais, Évariste Ndayishimiye, a dit redouter que le conflit en RDC déclenche une guerre régionale. “Si ça continue comme ça, a-t-il déclaré, la guerre risque de se généraliser dans la région“. »Que veulent Makenga et Nanga ?La guerre dans quel but ? Quels sont les objectifs du M23 ?Le Monde Afrique brosse un long portrait du chef militaire de la rébellion, Sultani Makenga. C'est un « Tutsi dont une partie de la famille est originaire de la province du Masisi. (…) Ce “général“ discret a fait ses armes à l'ombre du président rwandais Paul Kagame et pris part à toutes les insurrections qui secouent l'est de la RDC depuis trente ans ».Dans une de ses rares interviews il y a deux ans, il déclarait, relève Le Monde Afrique : « nous avons choisi ce chemin parce que tout le reste a échoué. Nous avons au sommet de l'État des irresponsables, des bandits, des gens qui croient que le pays leur appartient ».Et Le Monde Afrique de s'interroger : « est-il un va-t-en-guerre piloté par Kigali et Kampala ? Un stratège militaire qui a su jouer un rôle dans toutes les rébellions congolaises ? Un opposant politique animé par la protection de sa communauté ? Peut-être un peu de tout cela à la fois ».Le quotidien Aujourd'hui au Burkina s'intéresse, lui, à Corneille Nanga, le président de l'AFC, l'Alliance fleuve Congo, alliée au M23. « Personne n'aurait parié en 2015, lorsque Corneille Nanga, président de la CENI congolaise proclamait les résultats des élections générales qu'une dizaine d'années plus tard, il se transformerait en rebelle, pour fonder l'Alliance fleuve Congo ? On ne sait pas ce qui s'est passé entre lui et Félix Tshisekedi mais à l'évidence, une brouille devenue rancune tenace est née entre les deux hommes. En tout cas, allié au M23, Corneille Nanga ne fait pas mystère de vouloir faire tomber Félix Tshisekedi ».Kagame dans le sillage de Poutine ?Pour le chercheur Thierry Vircoulon, interrogé par Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « Paul Kagamé semble dans un moment poutinien… (…) Le but immédiat du M23 (piloté par Kigali) est de forcer le gouvernement congolais à négocier. Mais une négociation pour quoi ? Certainement pas pour que le M23 puisse réintégrer l'armée congolaise comme cela avait été le cas après la crise de 2008, affirme Thierry Vircoulon. Une négociation entre le gouvernement congolais et le M23 viserait à conférer à ce mouvement armé le contrôle territorial d'une partie du Nord-Kivu a minima. Cela permettrait, précise le chercheur, l'officialisation des gains territoriaux du M23 depuis 2022 et équivaudrait à une annexion officieuse par le Rwanda. Le Nord-Kivu (ou en tout cas une partie de cette province) deviendrait ainsi un Donbass rwandais ».Et, souligne encore Thierry Vircoulon, « le renversement de Félix Tshisekedi n'est pas exclu dans cette stratégie si celui-ci continue à s'opposer à cette volonté d'annexion. Pour ce faire, Kigali semble avoir ressorti des poubelles de l'histoire la vieille stratégie du paravent politique congolais : l'Alliance du Fleuve Congo est le nouvel avatar du Rassemblement Congolais pour la Démocratie (le RCD qui avait pris les armes contre le président congolais Laurent-Désiré Kabila à la fin des années 90).

La Loupe
L'Etat-Major : les armées ukrainiennes et russes face à leurs limites

La Loupe

Play Episode Listen Later Feb 2, 2025 33:26


Voilà presque trois années que Vladimir Poutine a lancé son armée à la conquête de l'Ukraine. Elle accuse des pertes effroyables – 700 000 soldats hors de combat et 135 000 à 200 000 morts. Mais elle grignote chaque jour des territoires du côté du Donbass. Le coût de la guerre ne cesse de monter pour les deux camps. Pour le deuxième épisode de L'État-Major, le nouveau podcast de L'Express consacré aux questions de défense, Clément Daniez reçoit le chercheur Vincent Tourret, qui travaille sur une thèse portant sur l'armée russe, à l'Universite du Québec à Montréal. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Réalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Control F
Les armées ukrainiennes et russes face à leurs limites

Control F

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 33:26


Voilà presque trois années que Vladimir Poutine a lancé son armée à la conquête de l'Ukraine. Elle accuse des pertes effroyables – 700 000 soldats hors de combat et 135 000 à 200 000 morts. Mais elle grignote chaque jour des territoires du côté du Donbass. Le coût de la guerre ne cesse de monter pour les deux camps. Pour le deuxième épisode de L'État-Major, le nouveau podcast de L'Express consacré aux questions de défense, Clément Daniez reçoit le chercheur Vincent Tourret, qui travaille sur une thèse portant sur l'armée russe, à l'Université du Québec à Montréal. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Réalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
La gauche décomposée ? / Quelle paix pour l'Ukraine ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jan 26, 2025 67:38


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Michel Eltchaninoff, rédacteur en chef du mensuel Philosophie Magazine.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA GAUCHE DÉCOMPOSÉE ? Les relations se sont tendues entre le Parti socialiste et La France insoumise, après le choix des députés socialistes de ne pas voter le 16 janvier la motion de censure défendue par le reste du Nouveau Front populaire. Selon le PS, les « concessions »programmatiques obtenues durant leurs longues tractations avec le Premier ministre justifiaient de ne pas le sanctionner immédiatement. Les socialistes ont notamment obtenu que les déremboursements prévus sur les médicaments et les consultations soient remis en question et que des crédits supplémentaires soient accordés aux hôpitaux, sans oublier le maintien de tous les postes dans l'Éducation nationale et le renforcement des dispositifs de justice fiscale, notamment pour les plus hauts patrimoines.L'initiative du PS, qui se définit toujours comme un « parti d'opposition », ouvre cependant une brèche à gauche et acte la confrontation avec Jean-Luc Mélenchon. Deux gauches coexistent, comme cela a toujours été. Elles sont de nouveau entrées en compétition. Tenant de la gauche réformiste, François Hollande observe que « les socialistes constituent désormais le pôle central au sein de l'Assemblée nationale puisque rien ne peut se faire sans eux ni contre eux. Ils ont la clef jusqu'en 2027 ». Il a enfoncé le clou en estimant qu'en 2027, il faudrait « deux offres à gauche », l'une réformiste et l'autre radicale. De quoi remettre de facto en cause la stratégie du premier secrétaire du parti, Olivier Faure, qui espère construire avec ses homologues écologistes et communistes une candidature unique alternative à celle de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier a hurlé à la « trahison », mais s'est toutefois gardé de sceller la rupture définitive avec le PS qui, pour lui, n'est « plus un partenaire », mais un « allié de circonstance ». Rêvant de renverser de nouveau le gouvernement et de provoquer une présidentielle anticipée, l'ancien sénateur a plus que jamais besoin des voix de son ancien parti pour voter la censure, lors du vote sur le budget, le 3 février].Dimanche dernier, le second tour de l'élection législative partielle de la première circonscription de l'Isère a été une véritable déroute de LFI et, partant, du NFP. La candidate d'Ensemble, a remporté largement la circonscription détenue par LFI. L'ampleur de cette défaite fait de cette élection partielle un événement de portée nationale au moment où le NFP se décompose au niveau national.QUELLE PAIX POUR L'UKRAINE ? Avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les Européens craignent un désengagement des États-Unis dans le conflit en Ukraine, voire des pressions de Washington pour un accord au détriment de Kyiv. Le président américain qui se vantait d'obtenir la fin de la guerre en vingt-quatre heures, parle désormais de cent jours, sans jamais détailler son plan. Les contours d'un accord restent difficiles à imaginer. Le président ukrainien a récemment fait une ouverture en affirmant qu'il était prêt à renoncer à utiliser la force pour récupérer les territoires occupés par la Russie depuis 2014 (20 % de l'Ukraine) ; il a même envisagé un abandon de souveraineté temporaire sur la Crimée et une partie du Donbass, contrôlés par Moscou, en attendant une solution diplomatique. Cependant, Volodymyr Zelensky insiste pour que l'Ukraine soit invitée à adhérer à l'OTAN. De son côté, Vladimir Poutine s'est dit prêt à discuter d'un accord de cessez-le-feu avec Trump, mais exclut toute concession territoriale majeure et insiste pour que Kyiv abandonne ses ambitions de rejoindre l'OTAN.L'année 2024 aura été difficile pour Kyiv : l'armée russe a avancé en Ukraine de près de 4.000 km2 en 2024 face à des Ukrainiens en difficulté, soit sept fois plus qu'en 2023, et l'année à venir s'annonce incertaine notamment du fait d'interrogations sur la pérennité du soutien américain. En mai 2022, 10% des Ukrainiens se déclaraient prêts à céder des territoires pour parvenir à la paix lors que 82 % y étaient opposés. En décembre 2024, l'écart se resserre : 38 % des Ukrainiens se disent désormais disposés aux concessions territoriales, quand 51 % y restent opposés.À Varsovie mi-décembre, Emmanuel Macron et le premier polonais, Donald Tusk, ont évoqué la possibilité du déploiement d'un contingent militaire européen en Ukraine, le long de la ligne de front qui s'étend sur quelque 1.000 km. Cette hypothèse pourrait impliquer les armées de pays membres de l'OTAN, ou encore détenteurs de l'arme nucléaire, comme la France et le Royaume-Uni. Intervenant mardi au Forum économique mondial, le président ukrainien a affirmé qu'il faudrait une force de maintien de la paix européenne d'« au moins 200.000 hommes ». Mercredi, Donald Trump a sommé Moscou de trouver un accord pour clore la guerre en Ukraine, faute de quoi il lui imposerait de nouvelles sanctions. En saluant la volonté de Kyiv de chercher un compromis et en évoquant les « gros ennuis » notamment économiques de Poutine, le président américain semble mettre légèrement plus la pression sur le Kremlin, sans évoquer toutefois pour autant la possibilité d'armer l'Ukraine.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Décryptage
Comment la Russie enrôle de gré, mais également de force des Africains pour combattre en Ukraine

Décryptage

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 19:30


Ce sont les « malgré nous » de Poutine, ces combattants étrangers intégrés, par la ruse, à l'armée russe, aux côtés de leurs compatriotes volontaires pour aller combattre sur le front ukrainien. Des milliers de Sri-lankais, d'Indiens, de Népalais et beaucoup d'Africains venus du Bénin du Cameroun ou bien encore de Centrafrique, tous attirés en Russie par des offres d'emplois trompeuses, assorties de salaires mirobolants. Ils pensaient être chauffeur ou mécanicien, les voilà désormais en première ligne perdus dans le Donbass. Véritable « chair à canon » étrangère pour l'armée russe. Comment les recruteurs de Moscou usent-ils de tous leurs leviers pour enrôler ces hommes ? La stratégie du Kremlin pour renouveler ses troupes passe-t-elle par un véritable « trafic d'êtres humains » ?Avec : - Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF à Sciences Po, chercheur associé à l'Institut Jacques Delors - François Mazet, journaliste au service Afrique de RFI.   À lire aussiUkraine: «Les Africains en première ligne, les Russes restent au camp», confie un Camerounais envoyé au front

Subliminal Jihad
[#228] SLAV TO THE PSYWAR, Part 1: State Dept Leftoids & Life During Wartime feat. Events in Ukraine

Subliminal Jihad

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 121:20


Dimitri and Khalid are joined by Peter, author of the excellent Events in Ukraine Substack (https://eventsinukraine.substack.com), for a wide-ranging conversation about the cultural, military, economic, and deep political dimensions of the Russia-Ukraine war as it faces its three-year anniversary. Topics include: Escaping Kiev after the war started, why bomb shelters don't matter, the epidemic of “State Department Leftoids”, how the post-Maidan government drove Ukraine's military-industrial complex into the dirt, Bill 3739 and the role of the Sorosites, what “liberalism” represents in post-Soviet countries (self-hating Europhilia), Aaron Moulton's work on Soros in Eastern Europe, 133 Western NGOs exempt from military service, the susness of pro-western “anti-corruption” activists, the Soros International Renaissance Foundation, Sternenko's “LGBT Nazi” gangs vs. the unwoke Nazis, gripes from the Tales of the Fourth Reich Telegram channel run by a former ANTIFA-turned-PROFA soldier, and why the Azovites have become more open to ending the war than “jihadist” Zelensky's clique… Business shakedowns via the “Trading With The Enemy Act”, the overarching role of media psyops in Ukrainian war strategy, organizational chaos in the army, pre-war ketamine hipsters DJing on a swastika laptop, why Azov is where the cool kids go, ubiquitous meth/LSD Telegram channels, Nazi units smoking DMT in Donbass, international techno superstar DJ Nastia and her NED-trained ex-husband, the coked up Zelensky advisor/pardigmatic Sorosite Serhiy Leshchenko, Nastia's sus campaign to get Russian techno figurehead Nina Kraviz blacklisted from EU venues and festivals in 2022, and why everyone in late 2024 dreams of leaving Ukraine. Part one of two. Read “Monday Meth Comedown”: https://eventsinukraine.substack.com/p/monday-meth-comedown Subscribe to Peter's Events in Ukraine Substack here: https://eventsinukraine.substack.com For access to premium SJ episodes, upcoming installments of DEMON FORCES, and the Grotto of Truth Discord, become a subscriber at patreon.com/subliminaljihad.

Quantum Nurse: Out of the rabbit hole from stress to bliss.  http://graceasagra.com/
#392- Featured Guest: Stanislav Krapivnik -Strategic Insights: Military and Geopolitical Perspectives on Georgia, Ukraine,Syria, Global Affairs and SMO- w/ Special Guest Host Drago Bosnic

Quantum Nurse: Out of the rabbit hole from stress to bliss. http://graceasagra.com/

Play Episode Listen Later Dec 19, 2024 101:12


Quantum Nurse https://graceasagra.com/  presents  Freedom International Livestream On Dec 19, 2024, Thursday 12:00 PM EST       Guest:  Stanislav Krapivnik      Topic: Strategic Insights: Military and Geopolitical Perspectives on Georgia, Ukraine,Syria, Global Affairs and SMO        https://www.youtube.com/@MrSlavikman      Telegram -  Stas Was There...In English Bio: Stanislav Krapivnik is a former US Army officer, supply chain executive and military-political expert, located in Russia. He was born in Donbass during the Soviet times, migrated to the US as a child, served in the US army, did not like what it was doing in former Yugoslavia, quit, returned to Russia and now is working as a support system near his hometown in the battle in Ukraine. Please support his channel and his work. His Patreon account is: http://www.patreon.com/user?u=290499 Buy Me A Coffee http://www.buymeacoffee.com/staskrapiv  He also have an old Bank of America account, you can transfer to: Account Number 000668940670 Routing Number (in US) Paper and Electronic 053000196 Routing Number Wires 026009593 Swift Code BOFAUS3N (USD) BOFAUS6S (all other currencies) And don't forget to sign up on Telegram "Stas was there". Special Guest Host: Drago Bosnic BRICS portal (infobrics.org) https://t.me/CerFunhouse Creator Host: Grace Asagra, RN MA  Podcast:  Quantum Nurse: Out of the Rabbit Hole from Stress to Bliss  http://graceasagra.bio.link/ TELEGRAM:  https://t.me/QuantumNurseGraceAsagra Bichute https://www.bitchute.com/channel/nDjE6Ciyg0ED/ TIP/DONATE LINK for Grace Asagra @ Quantum Nurse Podcast https://patron.podbean.com/QuantumNurse https://www.paypal.com/donate/?hosted_button_id=FHUXTQVAVJDPU Venmo - @Grace-Asagra 609-203-5854  WELLNESS RESOURCES 1. Optimal Health and Wellness with Grace Virtual Dispensary Link (Designs for Health)    2https://www.designsforhealth.com/u/optimalhealthwellness 2. Quantum Nurse Eternal Health (Face Skin Care, Protein Powder and Elderberry) https://www.quantumnurseeternalhealth.com/ Co-host: Hartmut Schumacher Podcast: GO YOUR OWN PATH https://anchor.fm/hartmut-schumacher-path

Russians With Attitude
Talking to Western Volunteers in the Russian Army: Part 2

Russians With Attitude

Play Episode Listen Later Dec 17, 2024 59:16


00:00:00 - What happened since our last convo 00:05:45 - What is the Donbass like nowadays? 00:13:00 - Russell "Texas" Bentley and the Volunteer Ethos 00:32:00 - More on the Donbass; Russian music for foreign volunteers 00:43:40 - Western volunteers on the other side 00:48:00 - Energy drinks and video games Alex and Jay both lost some of their equipment since we last spoke. Gear is very precious in a war zone, and we thought we'd support our friends by doing a little fundraiser for them so they can get some new mostly peaceful stuff. Please consider sending some of your crypto to the wallets below, dear whales and HODLers. 100% of the money will be sent to Alex and Jay and of course we'll show you the receipts. BTC: bc1q2vq3apd3yfjtdxqmpraak7yjx0tlf97th9fve3 ETH: 0x56dF594f6A5EED5D53B07D4d10fd6E63076C0c40 XMR: 45Asrm4N6dAFedCRLH4T9H69HJd38EDiHWRa5F8gKB2VBdgYVZVd9LfUP9d6UGeoLw6Q83jQ1Bi84XJE3ppLWC5QQrVGnyj USDT (TRX): TKsRskL4hUWWwkHUWaZZ2rBJk9B8sdxepe

The Patrick Coffin Show | Interviews with influencers | Commentary about culture | Tools for transformation

It's easy to see why Russian painter Alexei Kryukov was awarded the 2023 Presidential Prize by President Vladimir Putin.  His paintings are emotional, almost infinitely subtle in their use of color. They depict man as suffused with divine mystery. By a strange creative magnetism, they hold your gaze,demanding a response. Born on September 25, 1987, in the Bryansk Region. Alexei graduated from the Ilya Glazunov Russian Academy of Painting, Sculpture and Architecture in 2016 (the Portrait Class taught by Merited Artist of Russia Dmitry Slepushkin) and completed an internship at the academy under the tutelage of People's Artist of Russia Ilya Glazunov in 2018. He has received several awards. Even as a student, Alexei often visited Donbass, Ukraine, to paint portraits of the militia, legendary commanders, ordinary soldiers, and children of war, as well as to portray the daily life of military personnel at the frontline and the dangers facing residents of local cities every day. He has created an entire chronicle of those turbulent years. On The Patrick Coffin Show, with the help of Russian translator Alex Romanow, Alexei Krukov does a deep dive into his art, and the inspiration for what he does with such creative expertise. In this episode, you will learn: His earliest realization of his artistic dream  The relationship between art, culture, and morality Why he believes Orthodox Russia is the world's last bullwark of Christian civilization What the US media won't tell you about the “war in Ukraine” Where the perception of Putin a Hitler came from Krukov's questions to me about “Pope Francis” and his pro gay advocacy What goes into creating suck modern masterpiece of color, emotion, style, and the human-divine unity Resources mentioned: Website of Alexei Kryukov: www.akrukov.ru Insta feed of Alexei Kryukov The Monastery by Zakhar Prilepin  Sankya by Zakhar Prilepin

Cultures monde
Retour de reportage - Sur le front avec les Ukrainiens

Cultures monde

Play Episode Listen Later Dec 6, 2024 22:22


durée : 00:22:22 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Près des tranchées, dans les villages du Donbass, mais aussi dans la banlieue de Kyiv, où tous et toutes vivent dans une situation d'incertitude permanente, Justine Brabant a demandé aux Ukrainiens et Ukrainiennes comment ils allaient. - réalisation : Margot Page - invités : Justine Brabant Journaliste

Quantum Nurse: Out of the rabbit hole from stress to bliss.  http://graceasagra.com/
#387- Featured Guest: Stanislav Krapivnik - "Navigating Complex Allegiances: US-Russia-China Relations and Georgia's Role in a Shifting Global Landscape" w/ Special Guest Host Drago Bosnic

Quantum Nurse: Out of the rabbit hole from stress to bliss. http://graceasagra.com/

Play Episode Listen Later Nov 26, 2024 106:11


Quantum Nurse https://graceasagra.com/  presents  Freedom International Livestream On Nov 26, 2024, Tuesday @ 12:00 PM EST       Guest:  Stanislav Krapivnik      Topic: "Navigating Complex Allegiances: US-Russia-China Relations and Georgia's Role in a Shifting Global Landscape"        https://www.youtube.com/@MrSlavikman      Telegram -  Stas Was There...In English Bio: Stanislav Krapivnik is a former US Army officer, supply chain executive and military-political expert, located in Russia. He was born in Donbass during the Soviet times, migrated to the US as a child, served in the US army, did not like what it was doing in former Yugoslavia, quit, returned to Russia and now is working as a support system near his hometown in the battle in Ukraine. Please support his channel and his work. His Patreon account is: http://www.patreon.com/user?u=290499 Buy Me A Coffee http://www.buymeacoffee.com/staskrapiv  He also have an old Bank of America account, you can transfer to: Account Number 000668940670 Routing Number (in US) Paper and Electronic 053000196 Routing Number Wires 026009593 Swift Code BOFAUS3N (USD) BOFAUS6S (all other currencies) And don't forget to sign up on Telegram "Stas was there". Host/s: Grace Asagra, RN MA  Podcast:  Quantum Nurse: Out of the Rabbit Hole from Stress to Bliss  http://graceasagra.bio.link/ https://www.quantumnurse.life/ Bichute https://www.bitchute.com/channel/nDjE6Ciyg0ED/ ClikView https://clikview.com/?ref=410070342631952c00a47c0.19349477 TIP/DONATE LINK for Grace Asagra @ Quantum Nurse Podcast https://patron.podbean.com/QuantumNurse https://www.paypal.com/donate/?hosted_button_id=FHUXTQVAVJDPU Venmo - @Grace-Asagra 609-203-5854  WELLNESS RESOURCES 1. Optimal Health and Wellness with Grace Virtual Dispensary Link (Designs for Health)    2https://www.designsforhealth.com/u/optimalhealthwellness 2. Quantum Nurse Eternal Health (Face Skin Care, Protein Powder and Elderberry) https://www.quantumnurseeternalhealth.com/ TIP/DONATE LINK for Grace Asagra @ Quantum Nurse Podcast https://patron.podbean.com/QuantumNurse https://www.paypal.com/donate/?hosted_button_id=FHUXTQVAVJDPU Venmo - @Grace-Asagra 609-203-5854  Co-host: Roy Coughlan Podcast: AWAKENING https://www.awakeningpodcast.org/ Hartmut Schumacher Podcast: GO YOUR OWN PATH https://anchor.fm/hartmut-schumacher-path

hr2 Der Tag
Dritter Kriegswinter: die Ukraine zwischen Hoffnung und Zermürbung

hr2 Der Tag

Play Episode Listen Later Nov 25, 2024 47:24


Mit ihren endlosen Sturmangriffen hat die russische Armee nur kleine Gebietsgewinne erzielt. Deshalb setzt sie immer mehr auch darauf, die Menschen aufzureiben. Sie zerstört die Infrastruktur in der Ukraine, gezielt vor allen Dingen die Stromversorgung, so dass die Menschen im Land teilweise gar nicht mehr heizen können. Mehr als eintausend Tage Krieg, Beschuss, Zerstörung, Tod und Grauen an der Front haben ihre Spuren hinterlassen. Viele Frauen fürchten um ihre Männer, andere verstecken sie. Kinder wachsen ohne ihre Väter auf. Wie resilient ist die ukrainische Gesellschaft? Wir schauen im „Tag“ auf den dritten Kriegswinter: die Ukraine zwischen Hoffnung und Zermürbung, auf die Hilfsbereitschaft im Land und die von außen sowie auf die Geschichte von Abnutzungskriegen, zusammen mit Christoph Brumme, Schriftsteller im Donbass, Christof Johnen, Leiter der Internationalen Zusammenarbeit beim DRK, Prof. Dr. Klaus Lieb, wissenschaftlicher Geschäftsführer des Leibniz-Institut für Resilienzforschung Mainz und Prof. Dr. Alaric Searle, stv. Kommandeur und leitender Wissenschaftler des Zentrums für Militärgeschichte und Sozialwissenschaften der Bundeswehr. Podcast-Tipp: Streitkräfte und Strategien Warum ist die Gegenoffensive gescheitert, welche Waffen sollte der Westen liefern und wie lange reicht eigentlich noch die Munition? Die langjährige ARD-Korrespondenten Anna Engelke und Carsten Schmiester sprechen über die drängenden Fragen zum Ukraine-Krieg mit den ARD-Reportern in der Ukraine, mit Militärhistorikern und Sicherheitsexpertinnen. „Streitkräfte und Strategien“ ist die ruhige Antwort auf die vielen beunruhigenden Nachrichten. https://www.ardaudiothek.de/sendung/streitkraefte-und-strategien/7852196/

Sur le fil
Retour de Trump : la "paix" en Ukraine, mais à quel prix ?

Sur le fil

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 12:07


Les bonnes nouvelles ne sont pas vraiment au rendez-vous pour l'Ukraine.L'armée russe avance dans le Donbass, des soldats nord-coréens sont arrivés dans la région frontalière russe de Koursk et Donald Trump a remporté la campagne présidentielle américaine.Le milliardaire, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a promis de pouvoir ramener la paix en 24h00. Mais dans quelles conditions ? Derrière, la promesse bravache du futur président des Etats-Unis, l'Ukraine et les Européens craignent la fin du soutien américain et un cessez-le-feu qui ne leur conviendrait pas sur le long terme.Mais quelle est la réalité du terrain ? Quelle paix serait acceptable pour l'Ukraine et ses alliés ? Pour en parler, Sur le Fil a invité Marie Dumoulin, directrice du programme Europe élargie du laboratoire d'idées European Council on Foreign Relations, et Olivier Sueur, chercheur associé à l'Institut d'études de géopolitique appliquée.Réalisation : Maxime MametSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Proletarian Radio
Victory to the Donbass peoples

Proletarian Radio

Play Episode Listen Later Nov 3, 2024 2:41


https://thecommunists.org/2015/05/10/tv/victory-donbass-people-ukraine-anti-fascist/

Le Nouvel Esprit Public
La santé mentale « grande cause nationale » / La Corée du Nord et l'Iran avec la Russie contre l'Ukraine

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 27, 2024 64:36


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 octobre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA SANTÉ MENTALE « GRANDE CAUSE NATIONALE »Le Premier ministre a annoncé fin septembre qu'il souhaitait faire de la santé mentale la grande cause nationale en 2025. Crée en 1977, le label « grande cause nationale » est décerné à un thème de société porté par des organismes à but non lucratif ou des associations. Il permet notamment une visibilité accrue, via des messages sur les radios et télévisions publiques. Affirmant qu'il s'agit pour lui d'une cause presque familiale à l'origine du fait de l'engagement de sa mère sur le sujet, Michel Barnier a évoqué sa volonté de décentraliser la prise en charge des patients. Devant les députés, lors de son discours de politique générale, le 1er octobre, il a rappelé que « les crises successives, dont le Covid, ont eu un effet important et aggravant » sur le bien-être psychique des Français, notamment celui des plus jeunes et précisé qu'«un Français sur cinq connaît des problèmes de santé mentale à un moment donné de sa vie », soit 13 millions de personnes. Une récente étude réalisée par Indeed et OpinionWay atteste aussi d'un mal-être grandissant dans le milieu professionnel : près d'un salarié sur deux (48%) craint pour sa santé mentale tandis qu'un tiers a déjà été concerné par un burn-out. Ces troubles représentent le premier poste de dépenses du régime général de l'assurance maladie, avant les cancers et les maladies cardio-vasculaires, pour un montant de 25 milliards d'euros. En intégrant les coûts indirects - liés notamment aux arrêts de travail longs dont elle est la première cause - la dépense annuelle en santé mentale atteindrait les 163 milliards d'euros en 2018 contre 109 milliards d'euros en 2007, soit 4% du PIB.Un coup de projecteur réclamé depuis un an par un collectif de plus de 3.000 organisations. Depuis 2010, 310 postes de psychiatre n'ont pas été pourvus à l'internat, dont 65 % entre 2019 et 2023. En 2023, 67 postes, sur 547 ouverts, sont restés vacants. La capacité d'accueil des hôpitaux est passée de 100.000 lits à 80.000 lits entre 1997 et 2021. La répartition géographique des psychiatres est très inégale. La pédopsychiatrie est un domaine sinistré avec un nombre de praticiens divisé par deux. Une dizaine de départements n'a même plus un seul praticien. le Premier ministre a annoncé un doublement du nombre de maisons des adolescents et la généralisation de la formation aux premiers secours en santé, propositions reprises du rapport du Haut-commissaire au plan François Bayrou. Michel Barnier propose également de consolider la prévention des maladies mentales. Il souhaite que la recherche en la matière soit encouragée. Il insiste aussi sur la nécessité de favoriser les rapprochements entre structures pour améliorer l'efficacité de l'accompagnement. Le tout pour un montant envisagé de 600 millions d'euros.LA CORÉE DU NORD ET L'IRAN AVEC LA RUSSIE CONTRE L'UKRAINE Après l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022, Pyongyang et Moscou n'ont cessé de se rapprocher. La Corée du Nord a fourni des armes et des munitions à l'armée russe, dont au moins 3 millions d'obus d'artillerie et des dizaines de missiles balistiques. En retour, selon un rapport du renseignement américain paru en mai, la Russie aide activement Pyongyang à contourner les sanctions et à développer des systèmes d'armement. En juin, les deux pays ont conclu un « partenariat stratégique global », qui comprend une assistance militaire mutuelle. Pour la Corée du Nord les revenus générés par les ventes d'armes qui s'ajoutent au blocage russe de nouvelles sanctions au Conseil de sécurité, contribuent à stabiliser l'économie nationale, qui a souffert de plusieurs années d'isolement. La guerre en Ukraine fournit également de précieux enseignements à Pyongyang sur l'utilisation de ses armes sur le champ de bataille ukrainien. Enfin, la Corée du Nord cherche à réduire sa dépendance vis-à-vis de la Chine, puissance protectrice de longue date, avec laquelle les relations se sont récemment dégradées.Le 18 octobre, le service national de renseignement sud-coréen a annoncé que Pyongyang avait décidé d'envoyer des « troupes importantes » pour combattre aux côtés de la Russie en Ukraine. Au total, 12.000 soldats nord-coréens devraient être déployés. Déjà 1.500 soldats seraient arrivés en Russie répartis dans les bases militaires de l'Extrême-Orient, et devraient rejoindre les lignes de front à l'issue de leur formation. Des Nord-Coréens seraient déjà présents dans la partie occupée de l'Ukraine, le Donbass. Selon les médias ukrainiens, six d'entre eux auraient été tués dans une attaque de missiles ukrainiens près de Donetsk, début octobre. L'OTAN et les Etats-Unis disent avoir des « preuves » de l'envoi des 12.000 soldats nord-coréens en Russie.Ces derniers mois, Moscou n'a pas seulement renforcé sa coopération avec Pyongyang, mais aussi avec la Chine et l'Iran. Les Occidentaux ont acquis la certitude que l'Iran a livré récemment plus de deux cents missiles balistiques Fath-360 à la Russie. Américains et Britanniques craignent que Moscou, en échange de ces armes d'une portée maximale de 120 kilomètres et dotées d'une ogive de 150 kilogrammes, ait « partagé des secrets nucléaires avec l'Iran », comme le soulignait le mois dernier le quotidien britannique The Guardian.Le sommet des Brics, qui s'est tenu à Kazan, en Russie centrale, du 22 au 24 octobre, intervient alors que Moscou qui gagne militairement du terrain en Ukraine, a forgé des alliances étroites avec les plus grands adversaires des Etats-Unis, notamment, la Chine, l'Iran et la Corée du Nord présentes à ce sommet.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Le Nouvel Esprit Public
Loi immigration en France en 2025, en Allemagne et en Pologne / L'Ukraine à la peine avant l'hiver et le 5 novembre

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 20, 2024 63:25


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 18 octobre 2024.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LOI IMMIGRATION EN FRANCE EN 2025, EN ALLEMAGNE ET EN POLOGNEBien que la précédente loi sur l'immigration ait été promulguée il y a moins d'un an, le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé un texte sur ce sujet pour le début de 2025, afin, notamment, de prolonger la durée maximale de rétention des étrangers visés par une mesure d'éloignement. Préférence nationale, quotas, délit de séjour irrégulier, renvoi des étudiants étrangers, restriction du regroupement familial et du droit du sol, la plupart de ces mesures, contenues dans la loi sur l'immigration, adoptée fin 2023 par le Parlement, et censurées, dans la foulée, par le Conseil constitutionnel, devraient servir « de base pour le nouveau projet de loi sur l'immigration ». Une « nouvelle loi » sur l'immigration qui s'ajoutera à une longue série de 118 textes depuis 1945. Soit une loi sur l'immigration tous les deux ans en moyenne – sans compter les ordonnances, arrêtés, circulaires et décrets qui se sont multipliés. Bruno Retailleau, a déclaré son intention de mettre fin au « désordre migratoire », quitte à remettre en cause l'Etat de droit qui, selon lui, « n'est ni intangible ni sacré ». Les macronistes sont divisés sur ce projet : Gabriel Attal, ancien Premier ministre et président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée, estime qu'une nouvelle loi n'est pas prioritaire, tandis que Gérald Darmanin, ancien ministre de l'Intérieur, s'est, lui, déclaré plutôt d'accord avec le projet du gouvernement Barnier.A Bruxelles, le débat autour de la migration a pris une nouvelle vigueur dans une orientation toujours plus dure, voire radicale. Désormais, ce mouvement touche aussi la gauche au pouvoir en Allemagne, quelques années après le Danemark. Le changement de pied de la coalition réunissant à Berlin sociaux-démocrates, écologistes et libéraux a désinhibé l'ensemble du continent, entraînant un changement de paradigme. A la surprise générale, Berlin a réinstauré, en septembre, les contrôles à ses frontières intérieures pour bloquer l'entrée de clandestins, écornant un peu plus l'espace Schengen de libre circulation. L'attentat de Solingen, survenu le 23 août 2024, peu avant des élections régionales à fort enjeu politique dans l'est du pays et lors duquel trois personnes ont été tuées, a poussé le gouvernement à restaurer des contrôles aux frontières et à multiplier les mesures volontaristes comme des restrictions de prestations sociales pour certains réfugiés, examinées ces jours-ci au Bundestag. Le 12 octobre, le Premier ministre polonais, Donald Tusk, est allé plus loin en demandant à Bruxelles la possibilité de suspendre partiellement le droit d'asile pour les migrants qui entrent illégalement par la frontière biélorusse, assurant qu'il n'appliquerait pas une obligation européenne qui contreviendrait à « la sécurité » du pays. Cette annonce a provoqué la surprise et la consternation au sein de sa coalition démocrate, et une levée de boucliers des organisations de défense des droits humains.L'UKRAINE À LA PEINE AVANT L'HIVER ET LE 5 NOVEMBRELe président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé le 10 octobre une tournée européenne à Londres, Rome, Paris et Berlin, pour présenter son « plan de la victoire », comme il l'avait fait le 26 septembre à Washington. Ce document, qui n'a pas été rendu public, est conçu, d'après les Ukrainiens, comme une nouvelle tentative de mobiliser les soutiens occidentaux sur le plan militaire, économique et diplomatique. L'objectif est d'inverser le rapport de force, à ce jour favorable aux Russes, et de contraindre Vladimir Poutine à entamer, un jour, des négociations. Le président ukrainien espérait obtenir l'autorisation d'utiliser des missiles occidentaux à longue portée sur le territoire russe, et un engagement sur des négociations pour une adhésion à l'OTAN, deux limites pour les Etats-Unis, face au risque d'une escalade avec Moscou.Sur le terrain, les forces armées ukrainiennes espèrent épuiser l'armée russe, mais souffrent elles-mêmes d'un manque d'hommes et de munitions. Après de longs mois de guerre de positions durant lesquels la ligne de front n'a que peu évolué, l'Ukraine perd à nouveau du terrain, submergée par les assauts incessants des troupes russes, qui, villages après villes, ont raison des défenses ukrainiennes, mais au prix de larges pertes. Profitant de sa supériorité numérique, la Russie a multiplié les vagues d'assaut sur ses différents couloirs de progression, sans se soucier des pertes occasionnées. Depuis l'offensive ukrainienne début août dans la région de Koursk, les Russes ont conquis plus de 700 kilomètres carrés en l'espace de deux mois ainsi dans le Donbass, une avancée sans précédent depuis 2022.Alors que le projet de budget de la Russie pour 2025 prévoit une enveloppe de près de 130 milliards d'euros pour les dépenses militaires, Kyiv ne disposera que d'un plus de 48 milliards d'euros. Une somme largement dépendante du soutien financier et militaire occidental. Or, de ce côté-là, les signaux se font de plus en plus alarmants, alors que l'élection présidentielle américaine de novembre pourrait bouleverser la politique de soutien de son allié le plus puissant. Un vide que les alliés européens de Kyiv ne pourraient pas combler. Le 9 octobre, toutefois, les ambassadeurs des Vingt-Sept auprès de l'Union européenne se sont entendus pour prêter à l'Ukraine jusqu'à 35 milliards d'euros en 2025. Les intérêts des actifs russes gelés permettront de rembourser ce prêt. Si en 2024, l'aide militaire française à l'Ukraine dépassera deux milliards d'euros, notamment grâce à l'utilisation d'intérêts d'avoirs russes gelés, elle n'atteindra cependant pas le maximum de trois milliards envisagé dans un accord de sécurité conclu avec Kyiv, a précisé lundi le ministre des Armées Sébastien Lecornu. Winter is coming.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

The Duran Podcast
Cauldrons In Donbass. Zelensky Buying Time, Hopes US Enters Conflict

The Duran Podcast

Play Episode Listen Later Oct 9, 2024 26:45


Cauldrons In Donbass. Zelensky Buying Time, Hopes US Enters Conflict