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durée : 00:19:38 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - En Ukraine, les Russes occupent la quasi-totalité du Donbass, à l'exception de 25% de l'oblast de Donetsk. Entre russification des territoires occupés et harcèlement aux drones dans les zones encore contrôlées par les Ukrainiens, les habitants de la région vivent dans la peur et sous la contrainte. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clara Marchaud Journaliste correspondante en Ukraine, travaille notamment pour Le Figaro, L'Express et Mediapart
Am Tag 1293 sind bei einem russischen Angriff auf eine Ortschaft in der Region Donezk laut dem ukrainischen Präsidenten Selenskyj mehr als 20 Zivilisten getötet worden. Im Podcast Streitkräfte und Strategien schaut Host Kai Küstner gemeinsam mit ARD-Korrespondentin Rebecca Barth auf die aktuelle militärische und die Gemüts-Lage der Menschen vor Ort. In der Nacht von Samstag auf Sonntag hatte Russland die Ukraine mit mehr als 800 Drohnen angegriffen. Und dabei auch erstmalig ein Regierungsgebäude getroffen. Viele Menschen in Kiew empfänden das als Tabubruch, erzählt Rebecca. Die immer stärker werdenden Attacken seien sehr zermürbend für die Bevölkerung, Menschen fragten sich, ob sie noch eine Perspektive in der Ukraine haben. An der Front, im Donbass, werde die Verteidigung zunehmend schwieriger. Die Frustration in der Ukraine sei groß, auch weil schon lange geplante Sanktionen der USA gegen Russland weiter auf sich warten lassen. Auch für russisches Öl und Gas finden sich weiter Abnehmer. Russland habe nach wie vor den Eindruck, militärisch seine Ziele in der Ukraine erreichen zu können. Und es habe die finanziellen Mittel, das zu tun. Rebecca schildert, dass die Ukrainerinnen und Ukrainer in Treffen auf internationaler Ebene keine Hoffnung setzen. Vielmehr hätten sie den Eindruck, dass dabei ein Schauspiel aufgeführt werde. Über den Krieg gegen die Ukraine spricht Anna Engelke im Hauptstadtstudio in Berlin mit der finnischen Außenministerin Elina Valtonen. Sie mache sich Sorgen um die Freiheit in ganz Europa. Leider verstehe Russland nur Stärke. “Und das bedeutet, dass wir eben gemeinsam eine glaubwürdige Abschreckung aufbauen müssen, damit wir eben nicht an Krieg denken müssen.” Aus Sicht der Ministerin ist es jetzt an der Zeit, “wirklich alles zu machen, damit die Ukraine das hier überlebt.” Außerdem bittet Valtonen die USA, den Ölpreisdeckel zu senken. Lob und Kritik, alles bitte per Mail an streitkraefte@ndr.de Ukraine kämpft mit Engpässen bei Luftverteidigung: https://www.ft.com/content/26df4030-9613-498d-9ce8-44691aee4346 Video der ukrainischen Premierministerin nach russischem Angriff: https://x.com/Svyrydenko_Y/status/1964652604652241096 Interview mit Elina Valtonen: https://www.ndr.de/nachrichten/info/audio-280110.html Alle Folgen von “Streitkräfte und Strategien” https://www.ndr.de/nachrichten/info/podcast2998.html Podcast-Tipp: 11KM Stories "China Games: Das Imperium Huawei" https://1.ard.de/11KM_Stories_China_Games?=cp
La Russie a pour but avoué d'occuper la totalité de la région de Donetsk. Or, on ne parle pas uniquement de territoire. Rien que dans les agglomérations de Kramatorsk et Sloviansk, il reste encore près de 100 000 personnes, et ces villes aux allures de garnison sont les dernières grandes forteresses du Donbass à l'arrière du front, qui se rapproche pourtant inexorablement. Reportage à Kramatorsk de notre correspondante Nous sommes à Kramatorsk, à une quinzaine de kilomètres seulement du front, presque à portée d'artillerie, et définitivement à portée des drones russes. Ici, les drapeaux ukrainiens, bleus et jaunes flottent dans toutes les rues. Une énième sirène retentit. Impossible chaque jour de les compter tant elles sont nombreuses, pourtant ici, malgré la présence de bunkers en béton à travers la ville, plus personne n'y prête attention ni ne s'abrite. Dans ce supermarché du centre-ville, où l'on trouve désormais autant de soldats que de civils, Luda, une caissière, explique : « Eh bien, je voudrais rester ici, dans ma maison. Je ne veux aller nulle part ailleurs, vous comprenez ? J'ai travaillé ici toute ma vie, j'ai mes enfants, mes petits-enfants… » À lire aussiUkraine: à Kramatorsk, une ville entre la menace de la destruction et le spectre d'une nouvelle occupation À quelques rues de là, sous-sol, nous retrouvons Anja, une vétérinaire. Pour elle non plus, il n'est pas encore question de partir : « Il y a beaucoup de monde qui est venu ici, bien sûr, ils sont venus de toute la région de Donetsk. Ils sont venus s'installer, ici, à Kramatorsk, mais aussi à Sloviansk. On va partir, mais pas encore. » Pourquoi ? « Eh bien, pas encore, on est déjà partis de là où nous vivions, à Lyman, c'est dans l'autre direction, c'est juste que nous vivons ici depuis trois ans maintenant, enfin un peu moins. Et pendant longtemps, ça allait. Pour l'instant, ça va encore, mais on a un enfant, donc on ne sait pas trop quoi faire. On partira probablement à un moment. » Rester, faute de mieux Dasha, elle, est jeune maman. Malgré les explosions devenues quotidiennes, elle ne voit aucune perspective loin d'ici : « Effrayant, oui ! Mais que faire ? Qui a besoin de nous ? Les loyers sont chers ces temps-ci, et je suis mère célibataire. Il n'y a personne pour m'aider ! » Dans le bazar de la ville, on retrouve des personnes âgées, qui étalent les récoltes de leur jardin, herbes, fruits et légumes. Parfois, même leurs effets personnels qu'ils essaient de vendre afin de boucler les fins de mois. Eux n'ont tout simplement pas les moyens financiers pour fuir. C'est sur cette population que pèse le danger quotidien des bombes russes, ainsi que la perspective d'une nouvelle invasion, dans cette ville déjà occupée pendant quelques mois par les séparatistes soutenus par Moscou en 2014.
La Russie a pour but avoué d'occuper la totalité de la région de Donetsk. Or, on ne parle pas uniquement de territoire. Rien que dans les agglomérations de Kramatorsk et Sloviansk, il reste encore près de 100 000 personnes, et ces villes aux allures de garnison sont les dernières grandes forteresses du Donbass à l'arrière du front, qui se rapproche pourtant inexorablement. Reportage à Kramatorsk de notre correspondante Nous sommes à Kramatorsk, à une quinzaine de kilomètres seulement du front, presque à portée d'artillerie, et définitivement à portée des drones russes. Ici, les drapeaux ukrainiens, bleus et jaunes flottent dans toutes les rues. Une énième sirène retentit. Impossible chaque jour de les compter tant elles sont nombreuses, pourtant ici, malgré la présence de bunkers en béton à travers la ville, plus personne n'y prête attention ni ne s'abrite. Dans ce supermarché du centre-ville, où l'on trouve désormais autant de soldats que de civils, Luda, une caissière, explique : « Eh bien, je voudrais rester ici, dans ma maison. Je ne veux aller nulle part ailleurs, vous comprenez ? J'ai travaillé ici toute ma vie, j'ai mes enfants, mes petits-enfants… » À lire aussiUkraine: à Kramatorsk, une ville entre la menace de la destruction et le spectre d'une nouvelle occupation À quelques rues de là, sous-sol, nous retrouvons Anja, une vétérinaire. Pour elle non plus, il n'est pas encore question de partir : « Il y a beaucoup de monde qui est venu ici, bien sûr, ils sont venus de toute la région de Donetsk. Ils sont venus s'installer, ici, à Kramatorsk, mais aussi à Sloviansk. On va partir, mais pas encore. » Pourquoi ? « Eh bien, pas encore, on est déjà partis de là où nous vivions, à Lyman, c'est dans l'autre direction, c'est juste que nous vivons ici depuis trois ans maintenant, enfin un peu moins. Et pendant longtemps, ça allait. Pour l'instant, ça va encore, mais on a un enfant, donc on ne sait pas trop quoi faire. On partira probablement à un moment. » Rester, faute de mieux Dasha, elle, est jeune maman. Malgré les explosions devenues quotidiennes, elle ne voit aucune perspective loin d'ici : « Effrayant, oui ! Mais que faire ? Qui a besoin de nous ? Les loyers sont chers ces temps-ci, et je suis mère célibataire. Il n'y a personne pour m'aider ! » Dans le bazar de la ville, on retrouve des personnes âgées, qui étalent les récoltes de leur jardin, herbes, fruits et légumes. Parfois, même leurs effets personnels qu'ils essaient de vendre afin de boucler les fins de mois. Eux n'ont tout simplement pas les moyens financiers pour fuir. C'est sur cette population que pèse le danger quotidien des bombes russes, ainsi que la perspective d'une nouvelle invasion, dans cette ville déjà occupée pendant quelques mois par les séparatistes soutenus par Moscou en 2014.
Das Attentat auf den ukrainischen Politiker Andrei Parubij galt jedem Politiker, der für den Krieg gegen den Donbass verantwortlich ist. Marina Achmedowa hat sich die Geschichte des Attentäters, seiner geschiedenen Ehefrau und des zum Nationalismus verführten Sohnes genauer angesehen. Von Marina Achmedowa
O novo episódio do Guerra Fria traz uma análise detalhada da guerra na Ucrânia, marcada pela intensificação dos ataques com drones, pelas consequências logísticas e pelo risco de internacionalização do conflito. José Milhazes e Nuno Rogeiro exploram ainda as implicações humanas e sociais da guerra, onde a banalização da morte, a manipulação da informação e a resistência cultural se entrelaçam no quotidiano ucraniano. A conversa estende-se também a temas como a presença de voluntários estrangeiros no terreno, o papel da cultura e da história na preservação da identidade nacional e os sinais de reconstrução que apontam para uma integração europeia mais sólida. Uma reflexão abrangente que articula tecnologia, geopolítica, sofrimento humano e esperança. * A sinopse deste episódio foi criada com o apoio de IA. Saiba mais sobre a aplicação de Inteligência Artificial nas Redações da Impresa ----O link para o estatudo editorial do Expresso: https://expresso.pt/sobre/estatuto-editorial/2020-01-20-estatuto-editorial-3c79f4ec O link para o estatudo editorial da SIC Notícias: https://sicnoticias.pt/institucional/2013-12-27-estatuto-editorial-sic-noticias-e84e2755 See omnystudio.com/listener for privacy information.
Deutschland rüstet auf: Milliarden für die Bundeswehr, ein neuer Wehrdienst, die Forderung nach einer kriegstüchtigen Gesellschaft. Es wirkt, als sei der Kalte Krieg zurück und die Jahre der Abrüstung vergessen. Auslöser ist Putins Angriffskrieg gegen die Ukraine und die ernüchternde Einsicht, dass sich Europa auf Donald Trumps Amerika im Ernstfall nicht verlassen kann. Doch was bedeutet es konkret, wenn deutsche die Sicherheit auch im Donbass verteidigt wird? Welche Verantwortung trägt Deutschland für die Ukraine? Was heißt das für die Bundeswehr? Und reicht ein freiwilliger Wehrdienst aus, damit sich genügend Soldatinnen und Soldaten verpflichten? Der Apofika-Presseklub mit Julia Weigelt (Co-Host des NDR-Podcasts “Streitkräfte und Strategien”), Pascal Beucker (taz) und Hasnain Kazim (Autor und Schriftsteller) und natürlich unserem Host, Markus Feldenkirchen (Spiegel). Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
Ngày 03/09/2025, tiếp đồng nhiệm Ukraina Volodymyr Zelensky, một ngày trước khi diễn ra hội nghị « Liên minh các nước tình nguyện », tổng thống Pháp Emmanuel Macron tuyên bố, châu Âu « sẵn sàng cung cấp các bảo đảm an ninh cho Ukraina và người dân Ukraina vào ngày mà thỏa thuận hòa bình sẽ được ký kết ». Đây cũng là những gì Kiev muốn đạt được trước khi bước vào một cuộc đàm phán hòa bình (nếu có) với Matxcơva. Chưa có lúc nào nỗi ám ảnh về thất bại Bị Vong Lục Budapest 1994 mạnh mẽ như lúc này đối với Kiev và người dân Ukraina. Ngược dòng thời gian, vào ngày 05/12/1994, ba năm sau khi tuyên bố độc lập và dưới áp lực mạnh ngoại giao, Kiev cùng với Liên bang Nga, Hoa Kỳ và Anh Quốc ký kết Bị Vong Lục tại Budapest, Hungary. Nỗi lo nguy cơ phổ biến hạt nhân hơn là an ninh Ukraina Theo đó, Ukraina chấp nhận chuyển giao toàn bộ kho vũ khí hạt nhân được cất trữ trên lãnh thổ cho Nga, bao gồm khoảng 1.900 đầu đạn chiến lược và 2.500 vũ khí chiến thuật tức chiếm đến gần 10% kho vũ khí Xô Viết. Đổi lại, các bên tham gia cam kết « tôn trọng nền độc lập, quyền chủ quyền và các đường biên giới hiện hữu của Ukraina » và « tránh sử dụng hành động dọa dẫm hay dùng vũ lực xâm hại toàn vẹn lãnh thổ hay nền độc lập chính trị của Ukraina ». Ngoài ra, theo các hình ảnh và bài báo tư liệu được Viện Nghe Nhìn Quốc Gia Pháp (INA) trích dẫn ngày 09/03/2025, ngoài việc tăng gấp đôi số tiền viện trợ 155 triệu đô la, Hoa Kỳ còn cam kết cung cấp « hỗ trợ đặc biệt để tăng cường an ninh cho các lò phản ứng hạt nhân dân sự, kiểu Tchernobyl », và nhất là « mở rộng cánh cửa "đối tác vì hòa bình" cho Ukraina, nói một cách khác, cho phép Kiev phát triển hợp tác quân sự với NATO ». Nhà nghiên cứu Marie Dumoulin, giám đốc chương trình Wider Europe, thuộc tổ chức tư vấn European Council on Foreign Relations, trong chương trình « Sự ra đời và cái chết của Bị Vong Lục Budapest » do đài phát thanh France Culture thực hiện trong tháng 7/2025, có lưu ý rằng sự kiện diễn ra trong bối cảnh Hoa Kỳ và Anh Quốc lo lắng cho mối họa phổ biến hạt nhân hơn là vấn đề an ninh của Kiev. Bởi vì, ngoài Ukraina, còn có hai nước thành viên Xô Viết khác cất trữ vũ khí hạt nhân là Belarus và Kazakhstan. « Có một cơ chế quốc tế quản lý các quốc gia sở hữu vũ khí hạt nhân : Hiệp ước Không phổ biến Vũ khí Hạt nhân TNP. Nhưng các quốc gia độc lập mới này sinh ra từ đống đổ nát của Liên Xô lại không tham gia vào hiệp ước này, bởi vì, cho đến lúc đó, những nước này chưa tồn tại. Do vậy, thách thức đầu tiên là phải bảo đảm rằng Ukraina, Belarus và Kazakhstan, ba quốc gia cùng với Nga có triển khai vũ khí hạt nhân trên lãnh thổ của mình, tuân thủ Hiệp ước TNP (…) Nhưng điều quan trọng cần hiểu là đối với các nhà đàm phán Mỹ và Anh Quốc, thách thức chính vào thời điểm đó, không hẳn là vấn đề an ninh và chủ quyền lãnh thổ của ba nước này, mà thực sự là vấn đề không phổ biến hạt nhân, đồng thời bảo đảm rằng chỉ có một quốc gia kiểm soát vũ khí hạt nhân được thừa hưởng từ thời kỳ Xô Viết. » Hạt nhân và chủ quyền : Ukraina không có chọn lựa nào khác Chính vì điều này, vào tháng 12/1991, vào thời điểm Liên Xô tan rã, Hoa Kỳ dưới thời chính quyền Bill Clinton đã nhìn nhận Nga như là một quốc gia hạt nhân, đồng thời tuyên bố sẵn sàng cung cấp hỗ trợ cho những nước khác xuất thân từ Liên Xô với điều kiện các nước này chấp nhận quy chế quốc gia không hạt nhân, theo như chuyên gia về Nga, bà Anne de Tinguy, giáo sư danh dự, Trung tâm Nghiên cứu Quốc tế CERI trường đại học Khoa học Chính trị Sciences Po từng giải thích với báo Libération (11/03/2022). Nhiều nhà quan sát tại Pháp đánh giá rằng với việc ký kết Bị Vong Lục Budapest, chính quyền Ukraina lúc bấy giờ đã chấp nhận từ bỏ vị thế « cường quốc hạt nhân đứng hàng thứ ba » trên thế giới (tính theo số lượng vũ khí hạt nhân). Đối với nhà ngoại giao Pierre Lévy, cựu đại sứ Pháp tại Nga (2020 – 2024), điều này là không hoàn toàn chính xác, do việc hệ thống kiểm soát và chỉ huy đều trú đóng tại Matxcơva. Vũ khí hạt nhân được bố trí tại Ukraina không đồng nghĩa với việc Kiev nắm giữ « nút bấm » hạt nhân. Chuyên gia Marie Dumoulin nhắc lại : « Việc từ bỏ kho vũ khí hạt nhân, trên thực tế, đó còn là một trong số các điều kiện cho quyền chủ quyền của Ukraina. Nếu như số vũ khí này vẫn còn được bố trí trên lãnh thổ Ukraina, điều đó cũng có nghĩa là Matxcơva có lẽ vẫn sẽ tiếp tục có một vai trò chủ đạo trong an ninh của Ukraina và do vậy, quyền tự quyết của Ukraina như chúng ta đã biết từ trước đến nay, có lẽ sẽ không thể được thực thi trong cùng những điều kiện. Đó chính là những gì đang diễn ra với Belarus, quốc gia đã chấp nhận để Nga bố trí vũ khí hạt nhân trên lãnh thổ của mình. Trên thực tế, ngoài ý nghĩa của động thái này đối với an ninh châu Âu, còn có những hậu quả tức thì cho quyền tự quyết của Belarus, hiển nhiên không còn giống như khi họ đã có thể từ chối quyền xem xét lại các quyết định của Matxcơva liên quan đến chủ quyền và an ninh của chính mình ». Bị Vong Lục Budapest : Những cam kết « ảo » ? Bất chấp những cam kết, hai mươi năm sau, năm 214, Matxcơva chiếm đoạt và cho sáp nhập bán đảo Crimée vào Nga, và thổi bùng cuộc xung đột ở Donbass. Không một bên ký kết Bị Vong Lục Budapest nào có những phản ứng thực sự. Đến năm 2022, Nga chính thức phát động « chiến dịch quân sự đặc biệt », xâm chiếm Ukraina. Ngày 04/03/2022, vào ngày thứ chín của cuộc chiến, tổng thống Ukraina Volodymyr Zelensky cay đắng chỉ trích NATO từ chối lập vùng cấm bay : « Tất cả những gì Liên minh Quân sự làm được đến hiện tại, là vận chuyển khoảng 50 tấn dầu diesel cho Ukraina thông qua hệ thống cung cấp của khối. Có lẽ là để chúng ta có thể đốt bỏ và thiêu rụi Bị Vong Lục Budapest. Nhưng đối với chúng ta, văn bản này đã bị đốt cháy, dưới hỏa lực của quân đội Nga ». Về điểm này, nhà nghiên cứu Marie Dumoulin, cũng trong chương trình « Sự ra đời và cái chết của Bị Vong Lục » trên đài France Culture, giải thích thêm như sau : « Bị Vong Lục Budapest bao gồm một danh sách các cam kết của các quốc gia bảo lãnh, tức là Nga, Hoa Kỳ và Vương quốc Anh, liên quan đến Ukraina, nhưng đây là những cam kết thụ động, nghĩa là các quốc gia này cam kết không làm một số điều nhất định liên quan đến Ukraina, không gây rắc rối về chủ quyền, độc lập và biên giới của Ukraina, không đe dọa sử dụng vũ lực, không gây áp lực kinh tế lên Ukraina và trong trường hợp Ukraina bị tấn công hạt nhân, họ cũng cam kết sẽ nhờ đến Hội Đồng Bảo An Liên Hợp Quốc. Không có cam kết chủ động nào, nghĩa là không có cam kết hành động nào khác ngoài cam kết tham vấn Hội đồng Bảo an nếu toàn vẹn lãnh thổ của Ukraina bị đe dọa. » Cam kết bị xâm phạm : Lỗi tại ai ? Ngày nay, phương Tây và Nga đổ lỗi cho nhau là không tôn trọng các cam kết đưa ra trong văn bản. Hoa Kỳ và Anh Quốc tuyên bố họ không vi phạm các cam kết, rằng họ không đe dọa tính toàn vẹn lãnh thổ Ukraina. Và quốc gia duy nhất đã vi phạm các cam kết đưa ra chính là Nga. Điều thú vị, theo nhà cựu đại sứ Pháp Pierre Levy khi giải thích với France Culture là những lập luận từ phía Nga. « Câu trả lời mà Vladimir Putin dành cho Reuters vào tháng 3/2024 mà ít ai nói đến, và theo tôi là rất thú vị, trong đó, ông ấy nói rằng "Nhìn xem, quý vị đã vi phạm các cam kết của mình đưa ra trong Bị Vong Lục Budapest. Ông ấy nói rõ là ông ấy không bị ràng buộc bằng những thỏa thuận quốc tế với một quốc gia vừa có một cuộc cách mạng bên trong. Thế nên, trong cách tiếp cận của Nga, đối diện với họ là một quốc gia mới. Tiếp theo, chúng ta thấy rõ sự nhất quán trong lập trường, bởi vì, đối với Nga, có một chính quyền quân sự cầm quyền ở Kiev đã thành công lập một chế độ mới với sự trợ giúp của phương Tây sau một cuộc đảo chính. Do vậy tất cả những điều này đều nằm trong lô-gic của Nga ». Năm 2014, quyết định sáp nhập bán đảo Crimée và cuộc chiến tại Donbass đã làm lộ rõ những điểm yếu của Bị Vong Lục, vốn chỉ là một bản ghi nhớ không phải là một hiệp ước và không mang tính chất ràng buộc. Các thỏa thuận Minks được ký kết, nhằm chấm dứt các cuộc giao tranh nhưng không bao hàm một bảo đảm an ninh nào cho Ukraina, cũng không cho phép giải quyết được vấn đề. Đảm bảo an ninh Ukraina : « Trò chơi chính trị » của phương Tây Ba mươi mốt năm sau ngày ký Bị Vong Lục, và với hai cuộc chiến xâm lược của Nga sau đó, chính quyền Kiev giờ đây muốn tránh bằng mọi giá rằng các cuộc đàm phán về bảo đảm hòa bình một lần nữa sẽ không là những « tờ giấy lộn ». Trước khi ký kết bất kỳ một thỏa thuận nào với Matxcơva, tổng thống Volodymyr Zelensky mong muốn có được những bảo đảm quân sự vững chắc từ phía các đối tác nhằm ngăn ngừa một cuộc chiến xâm lược mới. Tuy nhiên, bà Tatiana Stanovaya, chuyên gia về chính trị Nga và là nhà sáng lập nhóm nghiên cứu R. Politik, trả lời báo Pháp Le Figaro, nhắc lại lập trường của Nga đối với hòa bình cho Ukraina là rất rõ ràng, điện Kremlin, « không chấp nhận rằng các bảo đảm an ninh tập thể cho Ukraina để giải quyết khủng hoảng Ukraina được thông qua mà không có sự tham dự của Nga ». Nói một cách cụ thể : « Ukraina chỉ có thể được hưởng các bảo đảm về tôn trọng đường biên giới với điều kiện thực hiện một danh sách các cam kết do Nga đề ra ». Cũng theo nhà nghiên cứu về Nga, phương Tây khó thể bảo đảm an ninh cho Ukraina do phải đối mặt với hai thực tế : « Nga là một cường quốc hạt nhân và nước này đang chiến thắng trên chiến trường. Từ góc độ này, không nước nào, hoàn toàn không một nước nào, có thể đưa ra bất kỳ đảm bảo nào cho Ukraina. Điều gì sẽ thay đổi nếu cuộc xung đột đang bị đóng băng này lại bị Nga vi phạm trong tương lai ? Phương Tây có thể làm gì hơn hoặc khác đi ? Nga là một cường quốc hạt nhân, chỉ riêng câu trả lời này đã khép lại mọi cuộc tranh luận. Khi Emmanuel Macron nói về một "lực lượng tái bảo đảm" sẽ được triển khai tại Ukraina trong trường hợp hòa bình, thì vài nghìn quân có thể làm được gì để bảo vệ nước này khỏi sức mạnh quân sự của Nga ? Ý tưởng này là không nghiêm túc. » Trong bối cảnh này, các cuộc thảo luận xoay quanh những bảo đảm được nêu ra trong các cuộc đàm phán ngoại giao, đối với nhà khoa học chính trị Tatiana Stanovaya, điều đó chẳng khác gì một « trò chơi chính trị » !
Deutschland ist gegen einen EU-Vorschlag, die Forschungszusammenarbeit mit Israel einzuschränken. Das wurde beim Außenministertreffen in Kopenhagen deutlich. │ Die USA verwehren Präsident Abbas und anderen Palästinenser-Vertretern die Einreise ins Land. Abbas wollte an der UN-Vollversammlung im September teilnehmen. │ Uneinigkeit in der EU gibt es auch zur Frage weiterer Sanktionen gegen Russland. Insbesondere die Nutzung russischen Staatsvermögens im Ausland ist strittig. │ In der Ukraine gab es wieder einen Toten und Verletzte durch russische Luftangriffe. Getroffen wurde besonders die Stadt Saporischschja. │ Der ukrainische Präsident Selenskyj warnt vor einer russischen Großoffensive im Donbass. 100.000 russische Soldaten wurden nahe der strategisch wichtigen Stadt Pokrowsk zusammengezogen.
Donald Trump als Friedensstifter? Das Gipfeltreffen mit Wladimir Putin in Alaska hat viele Hoffnungen geweckt – und blieb doch ohne Substanz. Und auch seit dem Besuch von Wolodymyr Selenskyj und den Europäern im Weißen Haus gab es keinen Fortschritt in Richtung Frieden. Während in den Medien große Bilder dominierten – der rote Teppich für Putin in Alaska, die Machtdemonstrationen von Trump – stellen sich zentrale Fragen: Wo stehen wir jetzt in den Verhandlungen um einen Frieden in der Ukraine? Sind wir jetzt weiter oder vielleicht sogar einen Schritt zurück? Katrin Eigendorf, Elmar Theveßen und Ulf Röller diskutieren, warum das Treffen mehr Symbolik als Inhalt brachte, weshalb die Europäer zwischen Angst und Anpassung schwanken – und wie gefährlich Donald Trumps Spiel für die Ukraine und die westliche Demokratie werden könnte. Von geopolitischen Bluffs, einem Amerika im Wandel und der Frage, wann Europa seine sicherheitspolitische Verantwortung ernst nimmt. In „Der Trump Effekt“ ordnen die Hosts die wichtigsten Entwicklungen ein und erklären komplexe Zusammenhänge. Ein Podcast für alle, die verstehen wollen, warum die Welt seit Trump nicht mehr dieselbe ist – und was als Nächstes kommen könnte. Aufgezeichnet haben wir diese Folge am 26. August 2025 um 13:15 Uhr. Podcast-Empfehlung: In der aktuellen Folge von „Militär & Macht – die Analyse“ erklärt Ex-Nato-General Egon Ramms, warum Gebietsabtretungen für Frieden für die Ukraine kaum infrage kommen und warum der sogenannte Festungsgürtel im Donbass für die Verteidigung des Landes so wichtig ist. Außerdem analysiert Russland-Expertin Margarete Klein, was der Westen aus früheren Verhandlungen mit Russland lernen sollte. „Militär & Macht – die Analyse“ https://www.zdfheute.de/politik/ausland/podcast-militaeranalyse-ukraine-krieg-russland-100.html ___ Anregungen, Kommentare oder Kritik gerne per Mail an: auslandsjournalpodcast@zdf.de ZDF-”auslandsjournal – der Podcast” - ‘Der Trump Effekt' ist eine Produktion von BosePark Productions im Auftrag des ZDF-auslandsjournal. Lead Producerin: Miki Sič Redaktion: Miki Sič Schnitt und Sound: Fabio Lautenschläger Executive Producer:innen: Su Holder & Chris Guse ZDF auslandsjournal: Christian Semm & Matthias Pupat Leiterin ZDF auslandsjournal: Stefanie Schoeneborn ZDF Hauptredaktion Audience: Corinna Meisenbach ZDF Produktion: Linda Kleemann und Ulrike Schork
Vizekanzler Klingbeil ist in Kiew eingetroffen│Ukrainische Truppen melden kleinere Geländegewinne im Donbass│Gefangenenaustausch: Ukrainische Soldaten kommen in Tschernihiw an│Schattenflotte-Prozess beginnt in Finnland │Gaza: Palästinensischer Zivilschutz meldet weitere Todesopfer
In "Die Beschützerin" erzählt Sergej Lebedew vom Schmutz, der nicht wegzuwischen ist, und vom Bösen, das immer wiederkehrt. Der Roman spielt im Donbass - einem Ort, wo im Juli 2014 das Passagierflugzeug MH-17 abgeschossen und im Zweiten Weltkrieg Tausende Juden ermordet wurden. Tomas Fitzel hat das Buch von der Vorgeschichte des Ukraine-Kriegs gelesen.
Warum die Schlacht um Kiew den Krieg veränderte, wie Drohnen die Kriegsführung revolutionieren - und weshalb am Ende die Moral entscheidender sein könnte als Panzer.Paul Ronzheimer analysiert mit dem Militärhistoriker und YouTuber Torsten Heinrich („Militär & Geschichte“) die großen Wendepunkte des Ukraine-Krieges: von der Schlacht um Kiew über die gescheiterte Gegenoffensive bis hin zum heutigen Abnutzungskrieg im Donbass. Heinrich erklärt, wie Drohnen Aufklärung und Gefechte revolutioniert haben - und warum am Ende nicht allein Geländegewinne zählen, sondern die Frage, welche Seite moralisch und politisch zuerst bricht.Ein Gespräch über Kriegsszenarien, historische Vergleiche und die entscheidende Rolle westlicher Waffenlieferungen. YouTube Kanal „Militär & Geschichte"Wenn Euch der Podcast gefällt, dann lasst gerne Like & Abo da!Ihr habt Fragen, Kritik oder Themenvorschläge? Schreibt an ronzheimer@axelspringer.comPaul auf Instagram | Paul auf X Redaktion: Filipp Piatov & Lieven JenrichPost Production: Daniel van MollExecutive Producer: Daniel van Moll Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Einen wunderschönen guten Morgen! Donbass in der Ukraine: Warum könnte das Gebiet eine Schlüsselrolle bei der Lösung des Krieges spielen? Als Nächstes erfahren Sie, warum die EU erwägt, Kondensstreifen zu besteuern. Und als Drittes beleuchten wir, warum Orbán der Ukraine mit Stromstopp droht.
Russland hält fast 90 Prozent des Donbass, die Ukraine verteidigt die restlichen Städte erbittert. Warum spielt diese östliche Region eine Schlüsselrolle in den Gesprächen zwischen den Kriegsparteien?
Wie könnte die Ukraine nach einem Friedensabkommen geschützt werden? Was würden „Sicherheitsgarantien" ganz konkret bedeuten? Noch allerdings ist nicht klar, dass es überhaupt zu konkreten Verhandlungen zwischen Russland und der Ukraine kommen wird. Der Sicherheitsexperte Nico Lange warnt im Interview mit Michael Bröcker vor verfrühten Hoffnungen: „Man könnte ja auf die Idee kommen, dass Putin gar keinen Frieden will, weil er ja einen Krieg angefangen hat."[01:16]Russland-Experte Viktor Funk vom Security.Table ist ebenfalls skeptisch, was die Verhandlungsbereitschaft Wladimir Putins angeht: „Ernst meint Russland nur die Forderungen, die es seit drei Jahren nicht verändert", sagt er im Gespräch mit Helene Bubrowski. Zu diesen Forderungen gehören Gebietsabtretungen und eine militärische Schwächung der Ukraine.[12:30]Die Hamas hat einem 60-Tage-Waffenstillstand zugestimmt. Zehn lebende israelische Geiseln sollen zurückgebracht werden. Es ist das erste Zeichen seit langem, dass eine Lösung im Gaza-Krieg am Verhandlungstisch gefunden werden könnte.[21:28]Table.Briefings - For better informed decisions.Sie entscheiden besser, weil Sie besser informiert sind – das ist das Ziel von Table.Briefings. Wir verschaffen Ihnen mit jedem Professional Briefing, mit jeder Analyse und mit jedem Hintergrundstück einen Informationsvorsprung, am besten sogar einen Wettbewerbsvorteil. Table.Briefings bietet „Deep Journalism“, wir verbinden den Qualitätsanspruch von Leitmedien mit der Tiefenschärfe von Fachinformationen. Alle Informationen zum Trade.Table:https://table.media/aktion/tradetableProfessional Briefings kostenlos kennenlernen: table.media/testen Audio-Werbung Table.Today: jan.puhlmann@table.media Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
A Ucrânia construiu uma eficaz linha defensiva ao longo de 50 km. Putin procura vencer a resistência através de um acordo. Madalena Moreira, jornalista, é a convidada.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:02:09 - France Inter sur le terrain - La question des territoires conquis par la Russie est au cœur des discussions autour d'un accord de paix en Ukraine. Le retrait des troupes ukrainiennes du Donbass et la reconnaissance de la souveraineté russe sur la Crimée sont des idées qui circulent aussi largement dans la population russe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depois do Alasca com Putin, foram horas na Casa Branca com Zelensky e vários líderes europeus, os mais poderosos e os amigos de Trump. Pela primeira vez podemos falar de negociações de paz, com o Presidente americano a mediar a conflito. Mas as dúvidas permanecem: podem os aliados confiar no mediador? Vamos, afinal, celebrar uma vitória de Trump? Este episódio tem comentários de Ana França e sonoplastia de Gustavo Carvalho.See omnystudio.com/listener for privacy information.
« L'accélération diplomatique est indéniable, relève Le Monde à Paris, mais le risque d'une sortie de route, élevé. Washington a été le théâtre, hier, d'une réunion peu commune, improvisée en un week-end, entre les principaux dirigeants européens, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et Donald Trump. L'unité affichée à la Maison Blanche, les amabilités échangées devant les caméras pour combler l'hôte vaniteux et imprévisible, qui se rêve en faiseur de paix en Ukraine comme ailleurs, ont conduit à une promesse de prolongation de cet effort. » Alors quelle est la prochaine étape ? Une rencontre Vladimir Poutine-Volodymyr Zelensky ? Donald Trump en a fait l'annonce lundi. Toutefois, tempère Die Welt à Berlin, il reste beaucoup d'inconnues. Où se tiendrait cette réunion ? « Budapest et Genève ont été évoquées dans les cercles diplomatiques. Mais surtout, aucune date n'a été fixée, pointe le quotidien allemand. Le chancelier Merz a bien indiqué que la rencontre aurait lieu dans les deux prochaines semaines, mais aucune confirmation n'a été fournie dans l'immédiat. » À lire aussiSommet de Washington : une rencontre Poutine-Zelensky pour la paix en Ukraine « dans les prochains jours » Des concessions territoriales ? Qu'en est-il de la question des territoires ? La réunion de lundi n'a pas permis de « désamorcer l'obstacle qui pourrait tout faire capoter, relève La Repubblica à Rome : le désaccord sur les territoires occupés, qui resteront aux mains de la Russie. (…) Les discussions peuvent s'effondrer comme un château de cartes à tout moment. La raison en est la demande provocatrice de [Vladimir] Poutine d'obtenir de [Volodymyr] Zelensky le contrôle non seulement des 20 % des territoires ukrainiens occupés, mais aussi du reste de la province de Donetsk, toujours aux mains de Kiev. Si [Volodymyr] Zelensky acceptait, ce serait une capitulation humiliante. » Reste que les Russes sont en position de force sur le plan militaire. Interrogé par Le Devoir à Montréal, Dmitry Gorenburg, chercheur à l'Université de Harvard, rappelle que « la Russie a annexé la péninsule de Crimée en 2014. Elle contrôle 88 % de la région du Donbass et les trois quarts des oblasts de Kherson et de Zaporijjia. En vertu de la situation actuelle sur le champ de bataille, je pense qu'il est impossible d'obtenir un cessez-le-feu sans que l'Ukraine cède les territoires contrôlés par la Russie », affirme le chercheur. Et c'est ce que sous-entend le Washington Post avec cette phrase : « Les détails d'un accord difficile avec l'Ukraine se précisent. Il ne s'agirait pas d'une paix juste, affirme le quotidien américain. Elle refléterait simplement les réalités du champ de bataille. » Quelles garanties de sécurité ? Un point positif à l'issue de cette réunion, note pour sa part le Wall Street Journal : « Trump s'est montré réaliste sur la sécurité (future) de l'Ukraine. Pour la première fois, il a affirmé que les États-Unis aideraient l'Europe en lui fournissant des garanties de sécurité. » « La formule avait été proposée par l'Italie il y a plusieurs mois, précise Le Figaro à Paris. Dans les milieux militaires, on ignore encore à quoi elle pourrait ressembler concrètement. Mais l'idée était considérée comme inenvisageable par Washington il y a (encore) quelque temps. Les Européens vont prendre leur part du fardeau, s'est tout de même félicité Donald Trump. » Concrètement, pointe le Wall Street Journal, « pour qu'une telle promesse de sécurité soit crédible, les États-Unis devront s'impliquer de manière plus que symbolique. Il s'agirait au minimum d'un échange de renseignements, peut-être d'un plus grand nombre d'avions déployés dans la région, et d'une aide au réarmement de l'Ukraine et à la construction de l'armée de Kiev. » Finalement, « Zelensky peut-il faire confiance à Trump, s'interroge le New York Times. Le destin de l'Ukraine en dépend. Le président Trump n'a offert que de vagues garanties de sécurité à l'Ukraine dans le cas où celle-ci accepterait de conclure un accord avec la Russie. » Et on connait le tempérament de Trump, pointe encore le New York Times, ses voltefaces permanentes sur l'Ukraine, mais aussi sur d'autres crises : « dans un éclair de lucidité hier, il a toutefois reconnu que la guerre en Ukraine – qu'il avait promis de régler en 24 heures - était plus difficile et complexe à résoudre qu'il ne l'avait prévu ». À lire aussiUkraine : le sommet de Washington s'achève sur la perspective d'une rencontre Poutine-Zelensky
Die Themen: Eine wissenschaftliche Studie bestätigt, dass Kaffeetrinker nach der ersten Tasse morgens bessere Laune haben; Von der Leyen und Merz begleiten Selenskyj zu einem Treffen mit Trump; Nach einem Trump-Putin-Gipfel sorgt ein vergessener Ausdruck mit vertraulichen Dokumenten für eine peinliche Panne; CDU-Generalsekretär Linnemann beklagt eine schlechte Stimmung in der schwarz-roten Koalition; Genf macht als erste Schweizer Stadt die öffentlichen Verkehrsmittel vorübergehend kostenlos; Ein Zoo in Washington verkauft seine 130 Reptilien, darunter einen Alligator für 47.000 Dollar; Ein italienischer Star-Bergsteiger soll bei Besteigungen geschummelt haben und Steakhouse-Erbin Christina Block räumt ein, über filmreife Pläne zur Rückführung ihrer Kinder nachgedacht zu haben. Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
Ce lundi se jouera peut-être l'avenir de l'Ukraine. Une demi-douzaine de dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen, Friedrich Merz et Keir Starmer, accompagnent Volodymyr Zelensky à Washington, où il doit être reçu par Donald Trump. « Qu'espèrent-ils obtenir, s'interroge Le Figaro à Paris, alors que les négociations se jouent désormais entre Moscou et la Maison Blanche, et semblent s'éloigner de plus en plus des positions initiales de l'Europe ? Relégués au rang de “soutiens“ plus ou moins indéfectibles, mais qui assurent désormais la majorité de l'aide militaire à l'Ukraine, les pays européens marchent sur une corde raide. Ils sont partagés entre la volonté de maintenir la pression sur Moscou – l'UE annonce travailler à un 19e paquet de sanctions contre le régime, prévu pour septembre – et le souci de ne pas froisser Donald Trump en paraissant s'opposer trop ouvertement à ses efforts de paix, sans faire trop de concessions à Vladimir Poutine ». Trump sait-il lui-même ce qu'il fait ? « Quelle paix pour l'Ukraine ? », s'interroge pour sa part le Wall Street Journal. « Le président Trump mène sa politique étrangère en fonction de son instinct propre et de ses impulsions tactiques. Et son brusque revirement de vendredi sur la Russie et l'Ukraine en est une illustration classique. Il est impossible de savoir s'il s'agit du début d'un chemin vers la paix ou vers l'apaisement. Nous ne sommes pas sûrs, s'exclame le Wall Street Journal, que Donald Trump le sache lui-même ». Un détail qui a son importance, relève Le Monde à Paris : « le président américain donne du “Vladimir“ à Vladimir Poutine, mais il n'appelle jamais son homologue ukrainien “Volodymyr“ ; il dit “le président Zelensky“. Par interview interposée, il conseille à ce dernier d'accepter le “deal“ que serait prêt à lui proposer Poutine car, ajoute-t-il, “la Russie est une grande puissance“, ce que l'Ukraine “n'est pas“. Dans ce raccourci, tout est dit, constate Le Monde. Dans le monde trumpien, les petits doivent s'incliner devant les grands. Et lorsqu'un grand agresse un petit, c'est la faute du petit : Donald Trump continue, contre toute évidence, d'accuser l'Ukraine d'avoir commencé la guerre avec la Russie ». Fracturer l'axe naissant Washington-Moscou… La partie s'annonce donc très serrée, soupire Le Soir à Bruxelles… « Volodymyr Zelensky et ses alliés européens ne seront pas de trop, ce lundi, pour tenter de fracturer l'axe Washington-Moscou naissant. Leur espoir sera de tabler sur la malléabilité proverbiale du président des États-Unis, qui change souvent d'avis, parfois au cours de la même journée. Leur humilité ne fait aucun doute : ils savent combien Donald Trump les méprise autant qu'il admire l'homme fort de Moscou, et ne se font aucune illusion sur sa profonde hostilité envers Zelensky. Ils savent également qu'aucun parallèle historique, aussi évident soit-il, entre Vladimir Poutine et Adolf Hitler ne saurait infléchir Donald Trump, qui ne respecte ni morale ni droit international ». Pour l'instant, les positions des uns et des autres sont totalement opposées… « À Anchorage, rappelle Libération, Poutine aurait proposé que l'Ukraine lui cède l'entièreté du Donbass (les régions administratives de Louhansk et de Donetsk, que l'armée russe occupe déjà en grande partie) en échange d'un “gel“ du front dans les régions de Zaporijia et Kherson, plus au sud. “Trump est enclin à soutenir cela“, indique “une source ayant connaissance du sujet“. Une offre inacceptable pour Zelensky, pointe Libération, qui a répété qu'il était hors de question d'offrir un morceau du territoire ukrainien à l'agresseur. D'autant que sans cessez-le-feu préalable, cet arrangement territorial – qui verrait l'armée ukrainienne abandonner ses positions et se retirer du Donbass — reposerait uniquement sur la bonne foi du Kremlin. Impensable, étant donné le pedigree de Poutine ». Tout n'est pas perdu ? Enfin, le Guardian à Londres veut garder espoir : « en route vers la Maison Blanche, Zelensky et ses soutiens européens peuvent se préparer à l'idée que tout n'est pas perdu. Leur plus grande crainte était que Trump conclue un accord avec Poutine en Alaska, présenté comme un fait accompli à Kiev. Cela ne s'est pas produit ». Reste maintenant à convaincre Trump, pointe le quotidien britannique, en jouant, pourquoi pas, sur « son obsession de remporter le prix Nobel de la paix ». Et en lui faisant comprendre que « l'histoire lui sera clémente s'il parvient à instaurer une paix équitable en Ukraine ; et qu'elle le sera moins s'il pousse à la capitulation ».
Over Here, Over There's Dan Harris speaks with BBC Radio Wiltshire and Gloucestershire host Graham Rogers again this week regarding the White House EU Summit regarding peace negotiations between Russia and Ukraine. After a disappointing meeting in Alaska for President Trump, can he rally EU leaders with Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy, who have gathered for an unprecedented meeting at the White House to discuss their response to Russian President Putin's demands for a possible solution to the conflict? The stakes are high on all sides, and the world will see how far the Trump Administration will go in favouring Russia over America's long-standing allies, a position that no other President has taken in US history. The conversation focuses on the diplomatic efforts surrounding the conflict in Ukraine, particularly the meeting between President Zelenskyy and President Trump, alongside European leaders. The discussion highlights the complexities of foreign policy, the influence of leadership decisions, and the implications of the ongoing war on global relations and resources.TakeawaysDiplomatic efforts are crucial in halting the conflict in Ukraine.Zelenskyy's visit to the White House is significant for Ukraine's future.Trump's previous meeting with Putin raised concerns about his stance on Russia.European leaders' presence at the White House indicates a united front.Zelenskyy cannot constitutionally give up land without parliamentary approval.The Donbass region is strategically important and rich in minerals.Past agreements with Russia have failed, raising doubts about future guarantees.Trump's desire for a Nobel Peace Prize may influence his decisions.The ongoing war impacts U.S. domestic policies and resources.The outcome of the meeting could redefine U.S. foreign policy.Sound Bites"A big day at the White House.""Trump seems easily swayed by Putin.""What is Trump's endgame?"Please don't forget to like, subscribe and share the podcast. We'd very much appreciate it. It's available on all major podcast platforms. You can also check out our website www.overhereoverthere.org and support us on Patreon. Thanks!
Alors que des négociations de paix s'amorcent entre l'Ukraine et la Russie, le sort des territoires occupés et revendiqués par Moscou reste une question explosive. Derrière l'aspect militaire et diplomatique se cache un enjeu économique crucial.
Vladimir Poutine apparaît plus que jamais comme le grand vainqueur de sa rencontre avec Trump en Alaska. Ses exigences sont claires, selon le journal le Monde, « le président russe serait prêt à geler une grande partie du front, en échange de la région du Donbass », dans l'est de l'Ukraine. Le Washington Post précise : « Trump abandonne sa demande de cessez-le-feu et annonce à ses alliés que Poutine veut des territoires », « il veut la partie orientale du Donbass, en échange de l'arrêt de la guerre », complète le quotidien américain. Pour le New York Times, les jeux sont faits : « Trump a cédé à l'approche de Poutine sur l'Ukraine (…) qui consiste à négocier un accord de paix plus large, exigeant de l'Ukraine qu'elle cède des territoires ». Analyse partagée par le Guardian, à Londres : « Donald Trump soutient la cession de territoires ukrainiens à la Russie ». Informations obtenues après que les détails « de l'appel de Trump aux dirigeants européens ont fuité », précise le quotidien britannique, qui conclut : « Le soutien des États-Unis à la cession du Donbass à la Russie représente une rupture avec l'Ukraine et ses alliés européens, qui s'opposent à un tel accord ». Le piège de Trump Le coup est dur pour Volodymyr Zelensky et pour ses alliés européens. Le président ukrainien est attendu demain à Washington, où il doit rencontrer Donald Trump. Mais il ne part pas battu. Il a d'ores et déjà fait savoir qu'il maintenait ses exigences : « Une paix réelle et durable » et des « garanties de sécurité solides avec la participation de l'Europe et des États-Unis ». C'est ce que précise le quotidien suisse le Temps. Car Volodymyr Zelensky espère toujours que les États-Unis resteront à ses côtés. Comme le remarque El Pais, « le président ukrainien et son ministre des Affaires étrangères ont tous deux souligné les efforts de la Maison Blanche pour mettre fin à la guerre (…) ». Mais la marge de manœuvre du président ukrainien est étroite, il se retrouve pris « dans le piège de Trump », estime la Tribune Dimanche. Le journal a interrogé le ministre français chargé de l'Europe, Benjamin Haddad, qui ne cache pas son inquiétude : « La Russie est (dit-il) une menace durable pour l'Ukraine et l'Europe ». Visite très utile La presse russe, elle aussi, commente la rencontre Trump Poutine… Le journal Kommersant affirme notamment que Trump a déclaré aux dirigeants de l'Union européenne et de Kiev, « qu'il souhaitait organiser un sommet tripartite avec la Russie et l'Ukraine, dès le 22 août », c'est-à-dire vendredi prochain. Le quotidien Komsomolskaïa Pravda, lui, se fait l'écho des déclarations de Vladimir Poutine, au Kremlin, à son retour à Moscou, après sa rencontre avec Trump, « une visite opportune et très utile », a assuré le président russe. Craintes et espoirs Côté ukrainien, le Kiev Post tente de rester positif et compte sur le soutien des alliés européens de l'Ukraine, qui doivent se concerter aujourd'hui. « Les dirigeants de l'Union européenne (explique le Kyiv Post) soutiennent la proposition de Trump d'organiser un sommet tripartite, tout en soulignant la nécessité de garanties de sécurité et d'empêcher tout veto russe sur l'avenir de l'Ukraine ». Le Kyiv Independant, de son côté, a sondé le moral des Ukrainiens. « Dans la matinée de samedi », raconte-t-il, « nombreux sont ceux qui dès le réveil se sont précipités pour suivre avec anxiété l'issue du sommet en Alaska ». « Et pour beaucoup d'Ukrainiens », poursuit le journal, « Trump a fait preuve de faiblesse en offrant à Poutine une victoire sur la scène internationale, sans pour autant contribuer à mettre un terme à la guerre menée par la Russie ». « La situation s'annonce donc mal » conclut le Kyiv Independant. « Trump et Poutine s'uniront pour forcer Zelensky à accepter cet accord de paix qui est totalement inacceptable pour nous (...). Et si nous refusons, Trump s'en servira comme prétexte pour s'éloigner et renouer les relations avec la Russie ».
® Mentre i grandi del mondo discutono di come mettere fine al conflitto in Ucraina, costato migliaia di vite, milioni di profughi e distruzioni impossibili da contare, la guerra è arrivata ormai al suo terzo anniversario. Tre anni di combattimenti con un'intensità che in Europa non si vedeva dalla Seconda guerra mondiale.Cosa pensano gli ucraini e chi li conosce di questo conflitto così lungo e costoso? Si sentono un Paese obbligato a combattere sulla punta del fucile, o un'eroica nazione pronta a sacrificare tutto per difendersi? E come sono cambiate le cose nel corso di questi tre anni?Tutte le parti devono fare concessioni per far finire la guerra in Ucraina e risolvere il conflitto in maniera accettabile per tuttiIn questo Laser, il giornalista Davide Maria De Luca compie un viaggio dalle trincee del Donbass fino agli ospedali di Leopoli per cercare le tracce lasciate dalla guerra, soprattutto quelle che restano invisibili dentro le persone e quello che rivelano su questo popolo in guerra.Prima emissione 24 febbraio 2025undefined
Quelques heures avant ce sommet d'ores et déjà annoncé comme « historique », les spéculations vont bon train. « Trump et Poutine en route pour un sommet aux enjeux élevés, mais avec des objectifs contradictoires », titre le Wall Street Journal. « Le président américain », explique le quotidien, « espère forger en personne, ce qu'il n'a pas pu accomplir par téléphone : un partenariat avec le chef du Kremlin pour mettre fin à la guerre en Ukraine ». Mais, poursuit le Wall Street Journal, « Poutine se rend en Alaska, avec un objectif très différent : rester dans les bonnes grâces de Trump, tout en poursuivant son ambition à plus long terme, à savoir réaffirmer la domination de Moscou sur Kiev ». En Allemagne, die Welt va plus loin, affirmant : « Poutine veut que Trump force les ukrainiens à capituler. » Le quotidien allemand a interviewé Kurt Volker, qui était l'envoyé spécial des États-Unis en Ukraine, de 2017 à 2019 (sous le premier mandat présidentiel de Trump). À la question : « quel est l'objectif de Vladimir Poutine, qui a salué les "efforts vigoureux et sincères de Donald Trump" pour ramener la paix ? », Kurt Volker répond : « Cette déclaration est incroyablement cynique. C'est Poutine qui mène cette guerre. S'il avait vraiment essayé d'y mettre fin, ce serait fait depuis longtemps. Il rejette donc la responsabilité de la fin du conflit sur Trump ». Imprévisible La presse russe ne voit pas les choses de cette manière. Pour le Moskovski Komsomolets, « un piège est tendu à Poutine en Alaska ». Le journal affiche son scepticisme et affirme que la rencontre d'Anchorage sera ni plus ni moins un « préambule ». Trump, nous dit-on, « entend s'informer directement de la position russe auprès de Vladimir Poutine, et en deux minutes seulement, évaluer la sincérité et le sérieux du président russe, auquel il entend lancer un ultimatum sévère, Il veut aussi infliger de lourdes sanctions à la Russie, si Moscou ne salut pas immédiatement sa décision ». Quoi qu'il en soit, le Moskovski Komsomolets estime que « l'issue du sommet en Alaska et ses conséquences à long terme sont hautement imprévisibles ». De son côté, l'agence Ria Novosti se contente d'annoncer que « le thème central de la rencontre sera le règlement de la crise ukrainienne » et « qu'aucun accord ne sera réglé lors de cette réunion ». Côté ukrainien, le Kiev Post fait sa Une sur les dernières frappes ukrainiennes contre la Russie. Un peu plus bas, évoquant le sommet Trump-Poutine, il titre : « l'Europe craint un résultat "désastreux" alors que Poutine cherche à creuser un fossé entre ses alliés » . Le Kiev Post qui s'interroge : « que se passerait-il si Trump concluait un mauvais accord, que l'Ukraine le rejetait et que les États-Unis s'en lavaient les mains, comme le président américain a suggéré qu'il pourrait le faire ? ». Rester ou partir Le journal le Monde, de son côté, a choisi de donner la parole à des habitants de Sloviansk et Kramatorsk. Sloviansk et Kramatorsk, « les derniers bastions ukrainiens du Donbass », précise le quotidien français, qui ajoute : « À la veille du sommet Trump-Poutine, une seule question occupe les esprits : rester ou partir ». Ainsi, Nikita, 21 ans, « n'a qu'une idée en tête : partir (…) il se dit persuadé qu'il n'y a pas d'avenir » à Sloviansk. Il veut « fuir les hommes en armes, il n'y aura pas de paix ici (dit-il) et de toute façon, quel après-guerre attend l'Ukraine, avec tous ces vétérans qui sont psychologiquement abîmés ? Vivre entouré de dingues armés ? très peu pour moi », conclut le jeune homme, qui aimerait se rendre en Slovaquie. À Kramatorsk, le Monde a rencontré Oksana 59 ans, et lui a demandé ce qu'elle espérait du sommet Trump-Poutine. Elle explique « qu'elle ne fait aucune confiance à Trump pour régler la situation », mais elle « espère quand même que « quelque chose bouge ». « Pas en faveur des russes cependant », précise le quotidien français. Oksana ajoute : « Mon fils combat sur le front (...) Mon mari est mort et moi je souffre d'un cancer ».
C dans l'air du 14 août 2025 - Trump/Poutine : tête-à-tête en AlaskaLes manœuvres diplomatiques s'accélèrent avant la rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine prévue demain en Alaska. Donald Trump a mis hier un véritable coup de pression sur le maître du Kremlin en menaçant la Russie de "conséquences très graves" si elle ne mettait pas rapidement fin au conflit. La sortie du locataire de la Maison-Blanche a satisfait les Européens et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.Ces derniers jours leur ont offert des motifs d'espoir. Ils se montrent très soudés. Une visioconférence a d'ailleurs réuni hier Trump, Zelensky et les Européens pour s'entretenir des moyens d'exercer une pression sur la Russie. A l'issue de la discussion, le président américain a évoqué un "très bon appel". Même son de cloche côté européen. Donald Trump a affirmé qu'un cessez le feu était nécessaire et qu'aucun échange de territoire n'aurait lieu sans l'approbation des Ukrainiens. Des garanties de sécurité auraient même été envisagées pour la suite. Malgré ces promesses, l'imprévisibilité du milliardaire américain inquiète toujours les Européens et les invite à la prudence. Ces derniers montrent pour leur part chaque jour leur indéfectible soutien à Kiev. Volodymyr Zelensky était ainsi invité à Berlin par Friedrich Merz hier et il est aujourd'hui reçu par Keir Starmer à Londres.Loin des tractations diplomatiques, sur le front, l'armée russe effectue ces derniers jours une percée d'une ampleur impressionnante. Les troupes de Moscou ont revendiqué plus de 110 km² supplémentaires au 12 août par rapport à la veille. Ces dernières semaines, il leur fallait en moyenne six jours pour une telle progression. Deux importantes villes ukrainiennes se retrouvent ainsi plus que jamais sous la menace de l'ennemi, dont Pokrovsk, l'un des verrous du Donbass. Moscou montre les muscles et cherche à pousser son avantage, au cas où le front devait se figer demain. Cette évolution de la ligne de front intervient au pire moment pour Kiev, qui essaie de rétorquer. L'Ukraine a ainsi tiré des dizaines de drones sur la Russie cette nuit. L'attaque a fait trois blessés et provoqué des incendies dans deux régions du sud du pays, notamment dans une raffinerie de pétrole de Volgograd.Si le territoire russe a été plusieurs fois pris pour cible par Kiev ces derniers mois, c'est bien l'économie du pays qui est fragilisée. Le Kremlin explique que tout va bien mais le Fonds monétaire international ne fait pas la même analyse. L'institution financière a en effet réduit en juillet la prévision de croissance du pays, passée de 1,5 % à 0,9 % pour 2025. Des chiffres bien loin de ceux du début du conflit (4 %, atteints en 2023 et 2024) quand l'Etat avait mis toutes ses ressources financières au service de l'industrie de guerre.Maxim Rechetnikov, le ministre de l'économie russe, a lui-même dû se résoudre à reconnaitre en juin dernier que son pays était "au bord de la récession". C'est que la Russie, dont la vente de pétrole représente la principale source de revenus, est touchée de plein fouet par la baisse des prix de l'or noir. Le baril de Brent se négociait hier à environ 65 dollars sur les marchés alors que les cours flirtaient avec les 80 dollars en début d'année. Dans cette situation, Moscou est plus que jamais dépendant de son principal acheteur : Pékin. C'est la Chine qui maintient la Russie à flot, une situation délicate pour Vladimir Poutine.Donald Trump s'est-il enfin rangé du côté européen à la veille de sa rencontre avec Vladimir Poutine ?La Russie est-elle en train de réaliser une percée décisive ?L'effondrement de l'économie russe, maintes fois professé, est-il en train de se produire ?LES EXPERTS :- Alain PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste - Spécialiste des enjeux internationaux- Oxana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine- Annie DAUBENTON - Journaliste-essayiste - Ancienne correspondante à Kiev et à Moscou
durée : 00:06:02 - La Revue de presse internationale - par : Juliette Micheneau - Dans la région de Donetsk sous occupation russe, les habitants demandent des comptes à l'autorité de Moscou face aux pénuries d'eau devenues récurrentes après la destruction de nombreuses infrastructures dans l'offensive contre l'Ukraine.
Il vertice Trump-Putin sull'Ucraina si terrà ad Anchorage. Zelensky avverte: "Non ci ritiriamo dal Donbass”.
L'incontro Putin Trump si terrà in una base militare vicino Anchorage. Zelensky intanto esclude un ritiro dal Donbass e oggi sarà a colloquio con i leader dell'Ue Gaza: in Egitto si cerca di mediare per una tregua, mentre Netanyahu annuncia che garantirà l'evacuazione dei palestinesi dalla Striscia Dopo l'udienza generale in Aula Paolo VI, Papa Leone XIV si recherà a Castel Gandolfo. Domenica il pranzo con i poveri al Borgo Laudato Si'. Il direttore della Caritas di Albano: con lui gli ultimi saranno i primi
Kurz vor dem Gipfeltreffen zwischen US-Präsident Trump und Russlands Präsident Putin ist russischen Soldaten an der Front im ostukrainischen Donbass ein Blitzangriff gelungen. Was der Angriff im Hinblick auf das Treffen bedeutet, ordnet NZZ-Auslandredaktor Andreas Rüesch ein. (00:00) Intro und Schlagzeilen (01:25) Blitzangriff: Russische Soldaten stossen im Donbass-Gebiet vor (05:46) Nachrichtenübersicht (10:02) «Besorgt über Passivität»: Völkerrechtler kritisieren Bundesrat (17:33) Pro und Contra: Das spricht für und gegen die E-ID (21:19) 39 Prozent US-Zölle: So stellt sich Ypsomed auf die Situation ein (26:53) Norwegen: Regierung steht wegen Kriegsgewinnen in der Kritik (31:57) Thailand: Wenn Polizisten Migranten erpressen (37:05) Tessin: Stolpersteine für getötete Partisanen *bei 5:43 heisst es fälschlicherweise «Axpo» statt «Alpiq». Richtig ist: Die Solaranlage war von Alpiq geplant worden. Wir entschuldigen uns für diesen Fehler.
I titoli: Ad Haiti sempre più drammatica la situazione umanitaria e di sicurezza. Ieri lo di Papa Leone, per il paese pervaso da violenze e sequestri delle bande armate. Proseguono senza sosta i raid israeliani su Gaza. Uccisi, fra gli altri, 6 giornalisti. Ucraina, l'esercito russo avanza in Donbass. L'analisi del direttore del Ce.S.I alla vigilia del vertice Trump-Putin. Conduce: Paola Simonetti In regia: Gabriele Di Domenico
Russlands Armee verzichtet zunehmend auf Frontalangriffe – stattdessen wird der Feind umgangen, eingekesselt und von innen zerschlagen. Eine Taktik, der selbst Kiew Wirkung zuschreibt. Bereits 200 Ortschaften wurden seit Jahresbeginn befreit. Zum Artikel
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 octobre 2022.Avec cette semaine :Anna Colin Lebedev, chercheuse spécialiste des questions post-soviétiques, maîtresse de conférences à l'université Paris-Naterre.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.JAMAIS FRÈRES ? UKRAINE ET RUSSIE : UNE TRAGÉDIE POSTSOVIÉTIQUESix mois après l'invasion russe en Ukraine, Anna Colin Lebedev, chercheuse française « d'origine soviétique », comme vous aimez à vous présenter, maîtresse de conférences à l'université Paris-Nanterre et spécialiste des sociétés post-soviétiques, dans votre ouvrage « Jamais frères ? (Le d'interrogation est important) Ukraine et Russie : une tragédie postsoviétique », vous vous attachez à déconstruire le mythe des « frères » slaves. Vous décryptez les similarités entre les sociétés russe et ukrainienne, le poids des traumatismes du XXe siècle et les trajectoires de plus en plus divergentes que les deux pays ont suivies depuis 1991.À l'époque de l'Union soviétique, vous rappelez-vous, la Russie était le centre, et l'Ukraine une périphérie. L'homogénéisation s'est faite en écrasant un certain nombre de différences, l'histoire commune avait été écrite en gommant certains aspects gênants qui ne rentraient pas dans le récit officiel. Les trajectoires contraires suivies par les sociétés russe et ukrainienne ne sont pas un argument suffisant pour expliquer la guerre entre les deux pays, observez-vous. Mais un certain nombre de sujets aident à comprendre ce qui se joue aujourd'hui. Sujets que vous passez au crible : rapport à l'histoire soviétique, construction d'une mémoire de la grande famine et de la Seconde Guerre mondiale, place des communautés juives et de la mémoire de la Shoah, rapport au pouvoir politique, rapport à la violence, place des langues. Votre livre décrit également la fracture entre les deux sociétés, lorsque Russes et Ukrainiens ont cessé, en 2014, de partager la même vision de ce qui se joue entre les deux pays, en Crimée et dans le Donbass. En 2022, la fracture s'est transformée en rupture.Ce qu'on présentait comme une fraternité, disent les Ukrainiens, s'est révélé un rapt. Côté russe, l'Ukraine serait une Russie transformée en anti-Russie par l'Occident hostile. La ligne de fracture que dessinent les deux discours montre bien, soulignez-vous, la nature existentielle d'une guerre qu'on ne peut réduire à une volonté de conquête territoriale ou d'accès à des ressources naturelles ou économiques. Existentielle, car pour l'Ukraine : soit elle parvient à vaincre la Russie - ce qui veut dire que Moscou renonce à toute prétention territoriale et d'influence sur l'Etat ukrainien - soit elle cesse d'exister. Contrairement à la société ukrainienne, la société russe, en grande partie aveugle à cette guerre conduite en son nom, n'a pas l'expérience de protestations qui auraient réussi. Vous dressez le portrait d'une société russe convaincue de son impuissance et soutenant sans enthousiasme une guerre qu'elle ne peut pas ou peu critiquer et qui ne réalise pas encore la profondeur de la déchirure, qui est pourtant entérinée du côté de l'agressé, l'Ukraine. Pour les Ukrainiens, désormais, tout ce qu'il pourrait y avoir de commun avec les Russes – la langue, les références culturelles partagées, la mixité, les souvenirs de l'époque soviétique - n'est plus vu que comme l'effet d'une domination ou d'une oppression. On avait pensé, à tort, les comptes de l'Union soviétique soldés lorsqu'elle s'était dissoute sans conflictualité majeure en 1991 écrivez-vous, le vrai prix à payer nous est donné aujourd'hui.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marta Serafini parla delle proteste in molte città dell'Ucraina contro la riforma degli organismi anti-corruzione. Marco Imarisio spiega in che cosa consiste il progetto di legge votato dalla Duma russa (ma per una volta non all'unanimità) che intende ulteriormente limitare le ricerche su Internet. Alessandro Fulloni racconta il caso di Michele Noschese, noto come «Deejay Godzi», che ha perso la vita a 35 anni dopo un intervento della Guardia Civil.I link di correre.it:Ucraina, sul fronte di Pokrovsk, la «porta del Donbass» che prova a resistere: «I russi sono dentro»Putin, il «culto» di Xi Jinping per le strade di Mosca e il sogno di un incontro a tre con Trump: una nuova Yalta per dividersi il mondo con Cina e UsaùDj Godzi morto ad Ibiza, le due versioni: il coltello, la droga, il malore
Der Autor Florian Osrainik bereiste als Journalist das Kriegsgebiet in der Ostukraine, im Donbass. Er berichtet bei AUF1-Chefredakteur Stefan Magnet von einem Krieg, über den wir nur die eine Seite kennen dürfen. Jeder, der versucht objektiv zu berichten, wird von der Propaganda niedergemacht. Verbote, Drohungen, Sanktionen sollen jeden abschrecken, das zu tun, was Osrainik gemacht hat: Ins Kriegsgebiet zu fahren und berichten, was er gesehen hat.
SPIEGEL-Reporter Christian Esch war an der Frontlinie des Ukraine-Kriegs. Er bringt zwei Erkenntnisse mit: Eine Front gibt es praktisch nicht mehr – und: Ästhetisch ähnelt moderner Krieg einem Mad-Max-Film. Hat der US-Präsident seine Meinung zu Russlands Präsident Wladimir Putin tatsächlich geändert? Er sei enttäuscht von Putin, sagte Donald Trump vor Journalisten. Dieser sei nicht bereit, einen »Deal« einzugehen. Die Reaktion darauf hat viele überrascht: Trump erklärte sich bereit, mehr Waffen in die Ukraine zu liefern. Dazu gab es ein Ultimatum: 50 Tage habe Moskau Zeit, einem Friedensabkommen zuzustimmen, sonst werde er neue Sanktionen gegen das Land verhängen und Zölle gegen Russlands Handelspartner erheben. In der aktuellen Folge des SPIEGEL-Podcasts »Acht Milliarden« spricht Host Juan Moreno mit SPIEGEL-Reporter Christian Esch, der gerade aus der Ukraine zurückgekehrt ist. Esch war an der Front, besser gesagt, in dem Areal, das mittlerweile als Front bezeichnet wird. Durch den immer intensiver gewordenen Drohnenkrieg hat sich die Gefahrenlage mittlerweile komplett geändert: »Soldaten können Stellungen teilweise über Monate nicht verlassen, weil sie bei jeder Bewegung von Drohnen entdeckt und attackiert werden können. Psychologisch ist das kaum auszuhalten.« Mehr zum Thema: (S+) Russlands Krieg tritt in eine neue Phase ein: Drohnenschwärme stoßen weit ins ukrainische Hinterland vor. Im Donbass entsteht eine Todeszone, in der jede Bewegung die letzte sein kann. Ein Bericht von der Kampflinie – von Christian Esch und Fedir Petrov (Fotos): https://www.spiegel.de/ausland/russland-ukraine-krieg-in-neuer-phase-durch-drohnen-angriffe-bericht-von-der-kampflinie-a-08d3dc29-b967-49a7-82a1-37cd0dc1f2dc 50 Tage Friedensfrist, dann Strafzölle: Trumps Ultimatum an Russland klingt kraftvoll. Doch der Kreml gibt sich demonstrativ gelassen. Er hat guten Grund dazu – von Alexander Chernyshev und Jan Puhl: https://www.spiegel.de/ausland/donald-trump-und-der-ukraine-krieg-wladimir-putin-geruht-vielleicht-spaeter-zu-antworten-a-cdb442b3-10a7-4e22-96a1-d9a7ffd1bb64 Abonniert »Acht Milliarden«, um die nächste Folge nicht zu verpassen. Wir freuen uns, wenn ihr den Podcast weiterempfehlt oder uns eine Bewertung hinterlasst.+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
À l'heure du changement climatique, le tourisme est volontiers montré du doigt pour son empreinte carbone et ses dégâts sur l'environnement. Pour sensibiliser les visiteurs sans se priver de leurs ressources, les collectivités innovent. Échange de bons procédés touristiques La capitale du Danemark a lancé cet été la deuxième édition de CopenPay, un programme qui récompense les touristes éco-responsables. Ces derniers se voient offrir une entrée gratuite dans un lieu culturel ou encore un cours de yoga en échange d'un geste pour l'environnement. Reportage à Copenhague, Ottilia Férey. En Grèce, les vacanciers vont dépenser plus cette année : les autorités ont décidé d'augmenter le prix d'accès à 350 sites archéologiques et musées du pays. À l'Acropole par exemple, le billet est passé ainsi de 20 à 30 euros. Soit une augmentation spectaculaire de 50% sur ce site qui a accueilli 4,5 millions de visiteurs l'an dernier. Officiellement, il s'agit d'aligner les prix sur la moyenne des tarifs pratiqués en Europe. À Athènes, les précisions de Joël Bronner. L'UE présente son nouveau budget : la défense en hausse, mais avec quelles ressources ? En France, dans son traditionnel discours aux forces armées, le président Macron a réaffirmé dimanche 13 juillet la priorité donnée au secteur : de 32,2 milliards d'euros en 2017, son budget va passer à près de 64 milliards en 2027. Cette priorité est aussi celle de la Commission européenne, qui présente mercredi son budget pour la période 2028-2034. Une chose est sûre, l'enveloppe consacrée à la défense sera plus importante que dans le budget actuel. C'est la chronique de Sophie Dupuy, journaliste au média Contexte – pour tout savoir des affaires publiques en général et des politiques européennes en particulier. La disparue de Bonheur à lire dans Kometa C'est une histoire tragique comme la guerre en engendre par dizaines de milliers : celle de Valentina, ukrainienne assassinée par des soldats russes. Léna Mauger et Dmitry Velikovsky ont enquêté sur ce crime et ils signent dans le dernier numéro de la revue Kometa un article intitulé La disparue de Bonheur. Bonheur, c'est la traduction de Chtchasstia, une ville de 13 000 habitants située dans le Donbass, envahi par la Russie dès 2014. C'est là qu'avait grandi la jeune femme. Frédérique Lebel a recueilli le récit de Léna Mauger.
À l'heure du changement climatique, le tourisme est volontiers montré du doigt pour son empreinte carbone et ses dégâts sur l'environnement. Pour sensibiliser les visiteurs sans se priver de leurs ressources, les collectivités innovent. Échange de bons procédés touristiques La capitale du Danemark a lancé cet été la deuxième édition de CopenPay, un programme qui récompense les touristes éco-responsables. Ces derniers se voient offrir une entrée gratuite dans un lieu culturel ou encore un cours de yoga en échange d'un geste pour l'environnement. Reportage à Copenhague, Ottilia Férey. En Grèce, les vacanciers vont dépenser plus cette année : les autorités ont décidé d'augmenter le prix d'accès à 350 sites archéologiques et musées du pays. À l'Acropole par exemple, le billet est passé ainsi de 20 à 30 euros. Soit une augmentation spectaculaire de 50% sur ce site qui a accueilli 4,5 millions de visiteurs l'an dernier. Officiellement, il s'agit d'aligner les prix sur la moyenne des tarifs pratiqués en Europe. À Athènes, les précisions de Joël Bronner. L'UE présente son nouveau budget : la défense en hausse, mais avec quelles ressources ? En France, dans son traditionnel discours aux forces armées, le président Macron a réaffirmé dimanche 13 juillet la priorité donnée au secteur : de 32,2 milliards d'euros en 2017, son budget va passer à près de 64 milliards en 2027. Cette priorité est aussi celle de la Commission européenne, qui présente mercredi son budget pour la période 2028-2034. Une chose est sûre, l'enveloppe consacrée à la défense sera plus importante que dans le budget actuel. C'est la chronique de Sophie Dupuy, journaliste au média Contexte – pour tout savoir des affaires publiques en général et des politiques européennes en particulier. La disparue de Bonheur à lire dans Kometa C'est une histoire tragique comme la guerre en engendre par dizaines de milliers : celle de Valentina, ukrainienne assassinée par des soldats russes. Léna Mauger et Dmitry Velikovsky ont enquêté sur ce crime et ils signent dans le dernier numéro de la revue Kometa un article intitulé La disparue de Bonheur. Bonheur, c'est la traduction de Chtchasstia, une ville de 13 000 habitants située dans le Donbass, envahi par la Russie dès 2014. C'est là qu'avait grandi la jeune femme. Frédérique Lebel a recueilli le récit de Léna Mauger.
®Serhij Žadan è molto più di una voce letteraria di spicco in Ucraina e sulla scena internazionale. Dalle sue radici nell'Ucraina orientale, ci offre uno sguardo crudo e autentico su realtà spesso trascurate, diventando un vero e proprio cronista del suo tempo. Ma Žadan è anche una figura molto attiva nella società civile ucraina: sin dal 2014 è stato in prima linea nel fornire aiuti umanitari nelle zone colpite dal conflitto scatenato dai russi in Donbass. La sua importanza culturale e il suo impegno civile sono stati riconosciuti con numerosi premi. E oggi, in un momento cruciale per il suo Paese, Žadan ha scelto di arruolarsi nella Guardia Nazionale ucraina, unendosi alla brigata “Khartia” per difendere la sua patria.Prima emissione: 24 aprile 2025
In this episode, Kerry Lutz and Martin Armstrong discuss the success of their book The World According to Martin Armstrong, which has sold over 1,800 copies through strong YouTube and email promotions. Armstrong highlights his accurate market forecasts, including a predicted Dow 45,000 by December 2024. They address online troll attacks but remain focused on their work. Armstrong explains how extreme market sentiments cause rapid reversals and poor investment choices, criticizes politicians' misunderstandings, and introduces his global market watch system tracking human-driven patterns. On geopolitics, he supports Ukraine's people but condemns neoconservative and Western roles worsening the conflict, emphasizing the heavy casualties and historic tensions in Donbass. Turning to the Middle East, Armstrong analyzes U.S. involvement, Israel's military stance, and Iran's nuclear threat, warning of escalating risks and linking past government manipulations to current crises. He foresees growing unrest rooted in deep historical conflicts. Finally, they predict a rise in precious metals like gold and silver—silver potentially surpassing $50—highlighting their importance as hedges amid global instability. Find Martin here: https://www.armstrongeconomics.com Find Kerry here: http://financialsurvivalnetwork.com/ and here: https://inflation.cafe BUY THE BOOK — The World According to Martin Armstrong: Conversations with the Master Forecaster — https://amzn.to/3F615nt
En ce mois de juin, les théâtres russes commencent à envoyer leurs programmes de rentrée avec des pièces mettant en valeur ce que Vladimir Poutine continue à appeler « l'opération spéciale ». Jeux vidéo, films, séries télé, toute l'industrie du loisir et de la culture est mise à contribution. Objectif : toucher le grand public. Avec, à ce stade, un succès encore mitigé chez les spectateurs. De notre correspondante à Moscou, En septembre, Irkoutsk accueillera la 15e édition de son festival national biennal de théâtre. Notamment sponsorisée par Gazprom, la compétition accueillera aussi en parallèle un laboratoire dont le thème est cette année « l'Opération militaire spéciale dans l'art théâtral moderne ». Vingt-huit candidatures de pièces originales écrites en russe, jamais mises en scène ni publiées auparavant ont été acceptées. Trois seront ensuite sélectionnées pour être jouées en public. Ce n'est qu'une des nombreuses illustrations de l'effort des autorités pour pousser une culture grand public toute tournée vers le soutien à son « opération spéciale ». Souci prononcé d'être proche des combattants De la capitale russe à Saint-Pétersbourg, de Kaliningrad à Vladivostok en passant par Kazan et Novossibirsk, cette année encore plus que les précédentes, chaque grande ville ou moyenne de Russie a vu se jouer dans ses théâtres au moins une pièce dite « patriotique », illustrant ou vantant l'effort de guerre de l'armée russe, héroïsant ses soldats, avec un souci prononcé d'être aussi proche des combattants que possible. À Moscou cette année, sur la scène du célèbre « Sovremennik », se jouait une pièce intitulée Call Sign Silence : l'histoire du nouveau départ dans la vie civile d'un vétéran handicapé revenu à la vie civile, « renforçant le moral des citoyens de Russie » selon certaines critiques. Dans les journaux de petites villes comme Yoshkar-Ola, à un peu plus de 800 km de la capitale, on peut aussi lire à propos de la présentation d'une pièce ce type de description : « Des témoins des événements ont aidé les artistes à recréer des actions militaires réalistes sur scène (..) Ils ont enseigné comment tenir correctement une mitrailleuse et exprimer la douleur d'une blessure pour que le spectateur vous croie ». Ces « témoins des événements » sont bien sûr les soldats. Même le théâtre amateur ou les troupes des écoles s'y sont mis. « Des films et des poèmes écrits parfois trop rapidement » Sur le grand et le petit écran, on peut aussi aujourd'hui voir des films et des séries dans la même veine que le premier modèle du genre : une série intitulée 20/22, soit une histoire d'amour contrariée qui se déroule pendant le siège de Marioupol, présentant, dans le droit fil du narratif du Kremlin, les soldats russes comme libérant la ville d'un fascisme destructeur. Malgré tous les efforts des institutions, disposant souvent d'un budget généreux pour subventionner toute proposition, le public n'est pourtant pas toujours au rendez-vous. La faute à une qualité qui laisserait à encore à désirer, juge une critique d'art qui fait autorité en Russie : « Aujourd'hui, le point de vue très patriotique trouve un débouché artistique, mais je ne vois pas encore une véritable forme d'art, juge-t-elle. Pour l'instant, et ce n'est que mon opinion personnelle, ce ne sont que des tentatives. Et elles ne sont pas toutes professionnelles. Il y a des films souvent réalisés à toute vitesse, ou bien des poèmes écrits très rapidement. On voit bien aussi ce qu'on appelle la poésie « Z ». Mais dans ce domaine, il n'y a tout simplement pas de bons poètes. Enfin, peut-être un. Il y a Igor Karaulov, qui est généralement considéré comme un vrai écrivain. Mais à bien des égards, ce sont des poèmes aux formes très simples, sans véritable élaboration. » À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences Difficile d'échapper à la production « patriotique » La qualité insuffisante est souvent invoquée par les spectateurs qui revendiquent ne pas être intéressés. « Si vous êtes en vacances, vous n'irez pas au cinéma voir ce type de film, même si on vous donne une réduction de 95%. Personne n'en a envie, car c'est mal fait, ça n'a rien à voir avec l'art », explique un jeune étudiant. Ils sont aussi encore nombreux ceux qui cherchent à fuir le plus possible dans leur vie privée, sur leur temps libre, tout ce qui peut leur rappeler la guerre. Comme cette psychologue moscovite, la quarantaine, qui explique : « Je ne regarde pas ce genre de cinéma et je ne l'ai jamais fait, car il provoque des émotions que je n'aime pas vraiment ressentir. Je suis assez sensible et j'essaie de me concentrer sur le positif. Dans ce genre de films, il y a toujours un côté dramatique et douloureux, que, personnellement, j'essaie de minimiser, car je vis déjà suffisamment d'expériences douloureuses dans ma vie. Et on entend parler de morts tous les jours. » Au box office russe de 2025 jusqu'ici, trois films sur le podium : le conte de fées Le Magicien de la cité d'Émeraude (version soviétique du magicien d'Oz), Nezha vaincra le Roi Dragon, un dessin animé chinois, Le Prophète, une biographie de Pouchkine pour adolescents. Il y a bien un film de guerre dans le Top 10, mais il s'agit d'un film d'anticipation qui se déroule dans les fonds marins. Pourtant, à en croire un jeune Moscovite, il est difficile d'échapper à la production contemporaine « patriotique » : « Bien sûr, la propagande est moins oppressante aujourd'hui qu'en URSS. On ne vous dit pas de toutes parts qu'il faut absolument voir tel film, mais le ressenti est très similaire. Mais même si vous n'êtes pas obligé de voir telle ou telle production parce que vous n'en avez pas envie, vous vous retrouverez forcément de toute façon à voir la bannière ou la publicité et vous ressentirez cette émotion écœurante. » Trop de pression peut-être, surtout pour ceux qui, comme ce jeune homme, doivent déjà garder leurs opinions anti-guerre en Ukraine pour eux et s'évader, seuls devant un écran d'ordinateur, en regardant grâce aux VPN des films et séries interdits. Cela n'empêche pas, parfois, des petits gestes, comme celui d'un étudiant qui cet hiver a laissé un commentaire sur le site internet d'un théâtre de Moscou, critiquant la présence de la lettre « Z » sur sa façade. Pour expliquer ces quelques lignes à RFI, il avance : « Je ne soutiens pas l'opération spéciale, je ne soutiens pas la guerre, ni le régime actuel, je pense que toute sa politique est extrêmement mauvaise, et j'essaie de m'y opposer autant que possible. Donc, je n'irai plus jamais dans ce théâtre tant qu'un « Z » y est suspendu. Je pense d'ailleurs que se rendre dans un tel théâtre est un soutien indirect. D'ailleurs, je ne monterai pas non plus dans un bus sur lequel la lettre Z est affichée. Je sais bien que dans la situation actuelle, il est extrêmement difficile de ne montrer aucun soutien, que tout le monde est sous une pression folle, mais je pense que n'importe quel théâtre peut quand même se permettre de ne pas accrocher une énorme lettre Z sur la façade. » À lire aussiRussie: le pouvoir conforte sa reprise en main sur la culture « Faire profil bas n'est pas se taire » Pour combien de temps encore ? Depuis 2022, les autorités ont méthodiquement procédé : elles ont visé toutes les têtes des grandes institutions culturelles connues à Moscou ou à Saint-Pétersbourg. Toute direction jugée pas assez favorable au pouvoir et à sa décision d'envoyer ses soldats en Ukraine a été remplacée par des figures dont la loyauté aux yeux de tous ne pouvait faire aucun doute. A la tête de grands musées, on retrouve par exemple aujourd'hui des personnalités réputées proches des services de sécurité. Parfois, certains d'entre eux siègent simplement au conseil d'administration, mais cela suffit pour assurer un verrouillage désormais total. Quant aux artistes critiques, ceux qui n'ont pas fui courent un risque très élevé de se retrouver derrière les barreaux. Le terme « critique » recouvre d'ailleurs un champ très large. Témoin l'affaire de la metteuse en scène Evguenia Berkovitch et de la dramaturge Svetlana Petriïtchouk, condamnées en juillet dernier à quasiment six ans de colonie pénitentiaire par un tribunal militaire. Motif : « apologie du terrorisme ». En cause officiellement : leur pièce de théâtre intitulée « le faucon », Saluée par la critique et le public, elle avait reçu en 2022 deux Masques d'or, la plus prestigieuse récompense du théâtre russe. Elle raconte l'histoire de jeunes femmes russes recrutées sur internet par des islamistes en Syrie et partant les rejoindre pour les épouser. Soit, disent les artistes qui ont toujours clamé leur innocence, l'inverse de ce qui leur est reproché. D'Evguenia Berkovitch, et des motifs de son arrestation, une personnalité du monde culturel russe dit : « Mon opinion personnelle est que le vrai problème est qu'elle n'était pas capable de se taire, sur aucun sujet. Evguenia a toujours dit que le théâtre ne pouvait pas être en dehors de son temps, en dehors des événements. Que si le théâtre ne parle pas ce qu'il se passe dans le monde, au moment où ça se passe, alors cela signifie qu'il n'est pas honnête » Sans débouchés possibles pour exprimer leur vision – une des personnes rencontrées lors de ce reportage parle de « zone de silence » –, aujourd'hui les artistes qui ne soutiennent pas activement la politique du pouvoir et qui sont restés en Russie se réfugient, dit cette personnalité du monde culturel, dans l'expression de leurs idées de la manière « la plus allégorique possible ». À lire aussiRussie: le musée du Goulag à Moscou fermé Un jeu vidéo russe sur la guerre en Ukraine « Malheureusement, reprend-elle, il y a maintenant une fracture entre "ceux qui sont partis" et "ceux qui sont restés". Beaucoup de gens qui sont partis ont commencé à critiquer très durement ceux qui sont restés en leur disant : "Vous avez cédé, vous avez abandonné, il est impossible de rester dans ce pays sans devenir un salaud". Je pense que ce n'est pas vrai. Qu'il y a toujours des options. Qu'il y a une différence entre se taire et faire simplement profil bas. La question est de savoir comment vous le faites, et quel genre de personne vous êtes. Même si pour moi, même si la guerre se terminait, la situation sur le plan intérieur ne changera pas. » Le pouvoir renforce chaque jour un peu plus son investissement dans la culture. Vladimir Poutine a ainsi ordonné ce printemps la création d'un lieu à Moscou tout entier dédié à promouvoir « le théâtre patriotique moderne ». Date butoir : le 30 novembre prochain. Une production nationale russe en tout cas, semble elle, à en croire en tout cas son chef de projet, tirer largement son épingle du jeu. Il s'agit d'un jeu vidéo intitulé Squad 22: ZOV. Décrit comme « basé sur l'expérience réelle de la guerre des vétérans russes en Ukraine », il propose des volets comme « Campagne de printemps du Donbass, 17 missions sur les combats de 2014 », ainsi que « Marioupol 2022 » et « Contre-offensive ukrainienne 2023 » et revendique 100 000 utilisateurs quotidiens sur la page internet où on peut le télécharger depuis fin janvier dernier. Présenté sur la plate-forme Steam depuis le 30 mai dernier – et bloqué sur son segment ukrainien –, il y est décrit comme « officiellement recommandé par l'armée russe comme manuel de tactiques d'infanterie de base pour l'entraînement des cadets et de la Iounarmia (organisation d'État russe pour les jeunes cadets de l'armée) », plaçant le joueur « aux commandes d'équipes de soldats russes qui combattent les forces armées ukrainiennes, font des prisonniers et libèrent des otages ». Ce même 30 mai dernier, le chef de projet affirmait au quotidien légitimiste les Izviestia que 54% de son chiffre d'affaires provenait déjà... des États-Unis. À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences
durée : 00:02:10 - Le grand format - En Ukraine, fuir la guerre, mais pour aller où ? Les habitants des villages du Donbass s'interrogent, alors que l'armée russe poursuit sa progression. La ligne de front se rapproche dans la région de Kostiantynivka mais ces civils à qui l'on ordonne d'évacuer n'arrivent pas à partir.
En frontlinje i Donbass förlitar sig på hyllade svenska Archer, men frågan är hur länge – det finns problem med kanonrören.
Quantum Nurse: Out of the rabbit hole from stress to bliss. http://graceasagra.com/
Quantum Nurse https://graceasagra.com/ presents Freedom International Livestream May 8, 2025, Thursday 12:00 PM EST Guests: STANISLAV KRAPIVNIK and TIM KIRBY Topic:” Two Days, One Victory: How East and West Remember the End of WWII Differently” Bios: STANISLAV KRAPIVNIK is a former US Army officer, supply chain executive and military-political expert, located in Russia. He was born in Donbass during the Soviet times, migrated to the US as a child, served in the US army, did not like what it was doing in former Yugoslavia, quit, returned to Russia and now is working as a support system near his hometown in the battle in Ukraine. Please support his channel and his work. His Patreon account is: http://www.patreon.com/user?u=290499 Buy Me A Coffee http://www.buymeacoffee.com/staskrapiv Telegram: Stas Was There….In English.. https://t.me/staswasthereenglish2 YouTube -Stanislav Krapivnik https://www.youtube.com/@MrSlavikman TIM KIRBY is an American born Russian Political Analyst and Radio Talk Show host. He has lived in Russia since 2006 and writes on a wide variety of topics from geopolitics to ideology. He also does travel material as well as DIY on YouTube. Kirby also plays for the offensive line of the Moscow Spartans American Football Club. Telegram: Tim Kirby Russia Hardcore -- https://t.me/timkirbyhardcore YouTube: Tim Kirby Russia - https://www.youtube.com/channel/UCWjox2j8QnpUBanF7jTEg3A https://americanvillages.ru/ Special Guest Host: Drago Bosnic BRICS portal (infobrics.org) https://t.me/CerFunhouse Creator Host: Grace Asagra, RN MA Podcast: Quantum Nurse: Out of the Rabbit Hole from Stress to Bliss http://graceasagra.bio.link/ TELEGRAM: https://t.me/QuantumNurseGraceAsagra Bichute https://www.bitchute.com/channel/nDjE6Ciyg0ED/ TIP/DONATE LINK for Grace Asagra @ Quantum Nurse Podcast https://patron.podbean.com/QuantumNurse https://www.paypal.com/donate/?hosted_button_id=FHUXTQVAVJDPU Venmo - @Grace-Asagra 609-203-5854 WELLNESS RESOURCES Optimal Health and Wellness with Grace Virtual Dispensary Link (Designs for Health) 2https://www.designsforhealth.com/u/optimalhealthwellness Premier Research Labs - https://prlabs.com/customer/account/create/code/59n84f/ - 15% discount - 15%_59N84F_05 Co-host: Hartmut Schumacher https://anchor.fm/hartmut-schumacher-path
Good evening: The show begins in Russia with the three major demands by the Kremlin for war end: regime change; annexation of Donbass, no NATO... 1945 YALTA CBS Eye on the World with John Batchelor FIRST HOUR 9-9:15 - UKRAINE: Iron Pants Molotov Then and Now. Colonel Jeff McCausland, USA (Retired) @mccauslj @CBSNews @dickinsoncol 9:15-9:30 - Ukraine: NATO Plans w/wo USA. Colonel Jeff McCausland, USA (Retired) @mccauslj @CBSNews @dickinsoncol 9:30-9:45 - 1/2: Titanic: Carpathia to the Rescue. Charlie Pellegrino, "Farewell Titanic." "The Californian Incident." 9:45-10:00 - 2/2: Titanic: Carpathia to the Rescue. Charlie Pellegrino, "Farewell Titanic." "The Californian Incident." SECOND HOUR 10-10:15 - PRC: Alan Tonelson, independent economic policy analyst who blogs at RealityChek and tweets at @AlanTonelson, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://fortune.com/2025/04/14/trump-trade-war-china-tariffs-imports-imbalance/ 10:15-10:30 - PRC: Nukes: Peter Huessy, president of Geostrategic Analysis and a fellow at the National Institute for Deterrence Studies, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill 10:30-10:45 - Canada: Charles Burton, senior fellow at Sinopsis, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://nationalpost.com/news/canada/chinese-government-mark-carney-messages 10:45-11:00 - Brandon Weichert, author of Winning Space: How America Remains a Superpower, @gordongchang, Gatestone, Newsweek, The Hill https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/moon-vs-mars-trumps-nasa-pick-faces-tough-questions-agencys-future-2025-04-09/ THIRD HOUR 11:00-11:15 - 1/2: Japan: Dealing. Grant Newsham, "When China Attacks." 11:15-11:30 - 2/2: Japan: Dealing. Grant Newsham, "When China Attacks." 11:30-11:45 - PRC: Submarine Cables, Jack Burnham, FCC. 11:45-12:00 - Russia: Trump Tariff Talk Crushes Russian Oil. Michael Bernstam, Hoover FOURTH HOUR 12-12:15 - France: Sound Barrier. Simon Constable, Occitanie. 12:15-12:30 - Atoms for Peace; Quiz, Simon Constable, Occitanie. 12:30-12:45 - VAST: Commercial Space Stations. Bob Zimmerman, behindtheblack.com 12:45-1:00 AM - Mars: Curiosity Abides. Bob Zimmerman, behindtheblack.com
Tonight on Veritas, our special guest is George Webb. For decades, the truth about Ukraine has been buried beneath propaganda, political maneuvering, and outright deception. The narrative we've been given is simple - Russia is the aggressor, Ukraine is the victim, and the West is simply defending democracy. But what if that's not the full story? What if this war was provoked, orchestrated, and prolonged by forces that never had Ukraine's best interests in mind? What if everything you've been told about this war is a lie? Tonight, we break it all down. This is not just another discussion about Ukraine. This is a deep, chronological, and no-holds-barred examination of the forces that shaped this conflict - from the creation of the Soviet Union to NATO's relentless march eastward, from the 2014 coup to the war in Donbass, and from Volodymyr Zelensky's meteoric rise to the manufactured hero he's become. We're going to ask the hard questions no one else dares to ask. Why did Khrushchev hand Crimea to Ukraine, and was it ever really Ukrainian? Did the U.S. actively sabotage peace negotiations to keep this war going? And is this war truly about democracy - or is it about world dominance? We'll expose how NATO's expansion was never about security, but about cornering Russia. How the 2014 coup wasn't about freedom, but about installing a puppet regime. How Zelensky wasn't a leader chosen by the people, but an actor groomed by an oligarch and backed by the West. And most importantly - who really benefits from this war? Because it's not the Ukrainian people. It's not the American taxpayer. And it's certainly not the families being torn apart by the bloodshed. No fluff. No spin. Just the cold, hard truth.
C dans l'air du 12 mars 2025 - Trêve en Ukraine : que va faire Poutine ? Les experts :- Alain PIROT - journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Paul GOGO - journaliste, ancien correspondant à Moscou, auteur "Opération spéciale. 10 ans de guerre entre Russie et Ukraine vus et vécus depuis le Donbass" aux éditions du Rocher- Tara VARMA - chercheuse spécialiste en relations internationales à la Brookings Institution à Washington- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique au Figaro, ancienne correspondante en Russie, auteur Macron-Poutine : Les liaisons dangereuses, publié aux éditions de l'Observatoire.
Pepe Escobar: Up Front in the Donbass!See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.