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Dans cet épisode, Alexis Brézet analyse les 100 premiers jours de François Bayrou à la tête du gouvernement. Bien que Matignon ait tenté de mettre en avant une image d'un Premier ministre hyperactif, la réalité est plus nuancée. Il explique que Bayrou a été nommé pour apaiser les tensions après l'échec de Michel Barnier, mais qu'il se retrouve confronté à une Assemblée bloquée où aucune réforme majeure n'est adoptée. Une situation complexe qui illustre les défis d'un gouvernement minoritaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salve, camaradas!Fernanda Melchionna foi entrevistada no Manhã Brasil. Ela afirmou que, para Boulos compor governo, seria preciso ferir as resoluções do PSOL, e, além disso, detalhou o funcionamento do curso aberto que ministra em nosso canal.Ouça agora!
Un rapport démontre que les détenus au Québec vont souvent au «trou». Cette pratique est critiquée dans un rapport, mais on veut remettre les pendules à l’heure avec le syndicat. Entrevue avec Mike Bolduc, président du Syndicat des agents correctionnels du Canada-CSN Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'essentiel des nouvelles le 28 février 2025---Les meilleurs rabais de la semaine sont à https://infobref.com/produits-en-promotion---Il y avait hier des Élections en Ontario, et Doug Ford a obtenu un troisième mandat À Québec, le ministre Éric Caire a démissionné à cause du fiasco du site SAAQclicLe gouvernement du Québec s'engage à investir 20 millions $ pour aider les entreprises menacées par les tarifs américains La plupart des consommateurs se disent prêts à boycotter les aliments provenant des États-UnisHydro-Québec enregistre une importante baisse de profit Couche-Tard redevient seul acheteur potentiel de la société-mère de de la chaîne de dépanneurs 7-ElevenAmazon dévoile à son tour une puce conçue pour l'informatique quantiqueLes travailleurs américains qui utilisent l'IA générative se disent plus productifsLes 7 autres planètes du système solaire seront presque alignées ce soir --- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la publicité-commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Face à une majorité de Tchèques contre l'adoption de l'euro, la question de la « volonté politique » - En anglais et bientôt en tchèque, du stand-up sur la vie d'expat en Tchéquie
Face à une majorité de Tchèques contre l'adoption de l'euro, la question de la « volonté politique » - En anglais et bientôt en tchèque, du stand-up sur la vie d'expat en Tchéquie
Jean-Charles Lajoie revient sur les récents débats entourant l’interprétation des hymnes nationaux lors d’événements sportifs. Entre fierté patriotique et tensions politiques, ces performances divisent autant qu’elles rassemblent.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Quel rôle aurait le tsar du Fentanyl? De l’huile volée à Montréal, « the great olive oil heist ». À ne pas faire: menacer la police en affirmant que tu connais des motards. Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les élections législatives au Kosovo se tiennent aujourd'hui, dans un contexte de tensions croissantes avec la Serbie et la minorité serbe au Kosovo. Le Premier ministre sortant, le nationaliste Albin Kurti, a transformé ce scrutin en véritable référendum, seize ans après l'indépendance de l'ancienne province serbe, obtenue avec le soutien des Occidentaux. Quels sont les enjeux de ces élections ? Pour en discuter, nous recevons Tefta Kelmendi, directrice adjointe du programme « Europe élargie » au Conseil européen des relations étrangères (ECFR).
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l'agression mortelle d'Élias perpétrée par deux individus de 16 et 17 ans, de la justice des mineurs et l'abaissement de la majorité pénale à 16 ans, de la circulaire durcissant la régularisation des sans papiers, de la méthode Trump et du Budget.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
En partenariat avec Mag2Lyon, chaque jeudi soir à partir de 18h30 sur BFM LYON, une femme ou un homme politique la métropole lyonnaise est l'invité spécial de BFM LYON pour répondre aux questions d'Hugo Francé
Faire du communautaire sans majorité des deux-tiers ? C'est tout à fait possible Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Faire du communautaire sans majorité des deux-tiers ? C'est tout à fait possible Merci pour votre écoute Les coulisses du Pouvoir c'est également en direct tous les jours de la semaine vers 7h40 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Les coulisses du Pouvoir sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/11443 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:03:35 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par Coline, 10 ans, qui s'étonne de cette popularité. La conservatrice du Musée Louvre-Lens, Hélène Bouillon, spécialiste des animaux fantastiques, lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Une bataille budgétaire au Congrès révèle une vérité gênante pour Donald Trump : même au sommet de son influence, il peine à imposer sa ligne à une majorité républicaine divisée. Entre idéologues intransigeants et pragmatiques prêts à négocier, Jordan se demande quel sera l'impact sur l'agenda Trump en 2025. Pour ne rater aucun épisode, n'hésitez pas à activer vos notifications sur votre app d'écoute préférée ! Stay Tuned ! Un vocal de Jordan Davis Réalisateur: Mathieu Ballmer Productrice: Magali Philip
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?Si vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le Point
Aujourd'hui, Charles Consigny, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:09 - C'est mon boulot - Les patrons de PME ont du mal à préparer leur entreprise au changement climatique. Très peu d'entre eux par exemple ont défini un plan d'action.
durée : 00:02:36 - Le vrai ou faux - Depuis la chute du régime syrien, des personnalités politiques françaises sont accusées d'avoir été trop proches de Bachar al-Assad. Le collectif Syrie Factuel a recensé tous les élus qui sont allés en Syrie ces dernières années.
L'Assemblée générale de l'ONU vote à une très large majorité un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel à Gaza.
durée : 00:24:15 - Course à Matignon : Emmanuel Macron doit annoncer d'ici jeudi soir. Qui tient la corde dans cette dernière ligne droite ? Sur quelle majorité pourra-t-il s'appuyer ?
durée : 00:07:17 - L'invité de 6h20 - Alors que la France attend un nouveau gouvernement, une loi spéciale présentée en conseil des ministres doit permettre d'assurer le bon fonctionnement de l'État sans budget voté. Anne-Charlène Bezzina, constitutionnaliste, maîtresse de conférence à l'université de Rouen, est l'invitée du 6h20.
durée : 00:02:30 - Le brief politique - Après la chute du gouvernement Barnier, socialistes, écologistes et communistes défendent l'idée d'un pacte de non-censure avec le bloc central, au grand dam de La France insoumise. Les socialistes sont reçus vendredi à l'Élysée.
durée : 00:22:07 - Journal de 12h30 - Michel Barnier a remise sa démission à Emmanuel Macron, ce jeudi, après la censure adoptée la veille à l'Assemblée nationale. Le chef de l'État cherche à présent un possible successeur, capable de compromis dans une Assemblée toujours aussi morcelée. - invités : Pierre-Emmanuel Guigo Maître de conférence en histoire à l'université Paris-Est Créteil , auteur de "Com et politique : les liaisons dangereuses"
On commence évidemment avec la censure votée en majorité contre le gouvernement de Michel Barnier qui va devoir quitter son poste comme tous les autres ministres
durée : 00:22:07 - Journal de 12h30 - Michel Barnier a remise sa démission à Emmanuel Macron, ce jeudi, après la censure adoptée la veille à l'Assemblée nationale. Le chef de l'État cherche à présent un possible successeur, capable de compromis dans une Assemblée toujours aussi morcelée. - invités : Pierre-Emmanuel Guigo Maître de conférence en histoire à l'université Paris-Est Créteil , auteur de "Com et politique : les liaisons dangereuses"
Aujourd'hui, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour éviter une motion de censure, il vaut mieux avoir la majorité absolue. À lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
Pour éviter une motion de censure, il vaut mieux avoir la majorité absolue. À lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
Au Sénégal, c'est sans doute ce mardi 19 novembre 2024 que l'on saura si le Pastef est en mesure de franchir la barre des trois cinquièmes des députés dans la future Assemblée nationale. La question est importante, car, dans ce cas, le parti du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko pourra changer la Constitution, et faire poursuivre en justice certains dignitaires de l'ancien régime. Pape Fara Diallo est maître de conférences en sciences politiques à l'université Gaston-Berger. En ligne de Saint-Louis du Sénégal, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que le Pastef est en mesure d'avoir une majorité qualifiée dans cette Assemblée et de pouvoir faire les réformes qu'il souhaite ? Pape Fara Diallo : D'après les résultats que nous voyons, au-delà d'une majorité absolue, le Pastef est sur la bonne voie pour gagner une majorité qualifiée de 99 députés au moins. Pour le moment, rien que pour le vote majoritaire, le Pastef dépasserait les 100 députés. Donc, de ce point de vue, le Pastef aura les coudées franches pour pouvoir voter des lois constitutionnelles et des lois organiques, qui lui permettraient de modifier la Constitution et d'initier les réformes majeures. Parmi ces réformes, il y a d'abord la volonté du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, de réduire les pouvoirs du président qui sont clairement exorbitants selon notre Constitution. Entre autres réformes aussi, il y a la volonté d'installer très rapidement la Haute Cour de justice qui permettrait de juger les autorités qui avaient un privilège de juridiction, notamment les [anciens] ministres et l'ancien président de la République, parce qu'on a agité le dossier de la reddition des comptes. Pour que ce dossier puisse aboutir, il faut avoir installé la Haute Cour de justice et ça fait partie des premières mesures que cette nouvelle Assemblée prendra.Alors, à quelles conditions la future Assemblée nationale peut-elle instaurer une Haute Cour de justice ? La Haute Cour de justice est prévue dans la Constitution, mais c'est une institution qui ne peut être installée que par une majorité qualifiée de 3/5 et cela équivaut à 99 députés sur les 165.Et ça, c'est évidemment l'un des enjeux des jours qui viennent. Est-ce que le Pastef aura cette majorité pour pouvoir installer une Cour qui pourra juger les dignitaires de l'ancien régime, c'est ça ? Vu les résultats provisoires, effectivement, le Pastef est bien parti pour avoir un peu plus d'une centaine de députés et la majorité qualifiée pour pouvoir installer la Haute Cour de justice. D'autant plus que la Haute Cour de justice est la seule juridiction habilitée à juger les ministres et les anciens présidents. Et puisque le Pastef a battu campagne sur la nécessaire reddition des comptes et la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance, l'installation de la Haute Cour de justice constitue une urgence, si on entend bien les propos du Premier ministre Ousmane Sonko durant la campagne.Alors avant son départ du pouvoir, Macky Sall a fait voter une loi qui amnistie les auteurs de violences depuis 2020 au Sénégal. Est-ce que cette loi ne protège pas tous ces dignitaires ? Oui, mais ce qu'une loi a fait, une autre loi peut le défaire. C'est le parallélisme des formes en droit. Et le Premier ministre Ousmane Sonko l'a clairement annoncé durant la campagne, ça faisait partie d'ailleurs du programme de législature de Pastef, c'est qu'une fois la nouvelle Assemblée installée et qu'ils auraient une majorité qualifiée à l'Assemblée nationale, ils allaient revenir sur la loi d'amnistie.Depuis six mois, les Français essaient de savoir si le Pastef au pouvoir va maintenir ou fermer leur base militaire à Dakar. De ce point de vue, qu'est-ce que ce résultat des législatives peut changer ? Alors moi, je pense que l'État du Sénégal n'est plus dans la logique clairement affichée de vouloir fermer les bases militaires. L'État du Sénégal est dans la logique de rediscuter avec l'État français pour que les relations soient plus équilibrées. Donc, de ce point de vue, les deux visites du président Bassirou Diomaye Faye à Paris ont semblé révéler une nouvelle volonté des autorités sénégalaises de revoir leurs relations avec la France pour que cela soit des relations beaucoup plus équilibrées. Le mot « respect » est revenu plusieurs fois dans le discours du président Diomaye Faye sur le respect mutuel quand il était à Paris. Donc, je pense que l'enjeu, ce n'est pas pour le moment de fermer les bases militaires, mais de voter une loi sur le patriotisme économique et de faire en sorte que les entreprises sénégalaises puissent avoir plus de parts de marché dans la commande publique et que les entreprises étrangères, françaises principalement, ne soient pas les seules entreprises qui gagnent les plus grandes parts de marché. Mais je crois que la fermeture des bases militaires n'est plus, à mon avis, une priorité pour le gouvernement du Sénégal.Depuis six mois, Jean-Marie Bockel, l'envoyé personnel du président français, essaie de pouvoir venir à Dakar pour savoir quel sera l'avenir de la base militaire française sur place. Et depuis six mois, les Sénégalais lui répondent « attendez la fin des législatives ». On voit bien que c'est une façon pour le Pastef au pouvoir de gagner du temps. Comment les choses vont elles se passer dans les semaines qui viennent, à votre avis ? Justement, cette volonté du parti au pouvoir de gagner du temps, moi, je l'interprète comme une façon pour eux de revoir leurs priorités. En termes de résultats concrets et immédiats, qu'est-ce que l'État du Sénégal gagnerait à fermer les bases militaires françaises ? Comparé à tout ce que l'État du Sénégal peut gagner en renégociant les contrats ou bien en votant très rapidement une loi sur le patriotisme économique ? C'est une question diplomatique. La question de la fermeture des bases militaires avait été agitée dans le programme du parti Pastef avant l'élection présidentielle. Mais on n'a pas entendu une seule fois le Premier ministre Ousmane Sonko, durant la campagne pour les élections législatives, se prononcer sur la question de la fermeture ou non des bases militaires françaises.
durée : 00:15:24 - Journal de 8 h - Après avoir repris le Sénat, les républicains conservent la Chambre des représentants, selon des projections de médias américians. Tous les voyants sont au vert pour Donald Trump avant son investiture, fin janvier 2025.
durée : 00:15:24 - Journal de 8 h - Après avoir repris le Sénat, les républicains conservent la Chambre des représentants, selon des projections de médias américians. Tous les voyants sont au vert pour Donald Trump avant son investiture, fin janvier 2025.
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Où en sont les accords de majorité en Flandre? Un mois après les élections locales, quelles sont les communes où ça coince encore? Est-ce que le Vlaams Belang a encore des chances d'intégrer une coalition? On fait le bilan avec vous, Joyce Azar. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Au lendemain du rejet du budget 2025 et de son volet "Recettes", Michel Barnier est-il dépassé ? Le Premier ministre garde-t-il vraiment la main ? Ce mercredi 13 novembre 2024, Alain Duhamel, éditorialiste à BFMTV, a débattu avec Julien Aubert, vice-président des Républicains et ancien député de Vaucluse, dans l'émission BFM Story présentée par Olivier Truchot et Alain Marschall sur BFMTV.
Au Sénégal, c'est la dernière ligne droite avant des législatives cruciales convoquées dimanche 17 novembre par le président Bassirou Diomaye Faye, qui a dissous en septembre l'Assemblée nationale pour demander aux Sénégalais de lui donner une majorité et les moyens d'agir. Babacar Ndiaye, analyste politique et directeur de recherche au think tank Wathi est notre invité. Il répond aux questions d'Esdras Ndikumana. RFI : Babacar Ndiaye, est-ce que vous pensez que le Pastef et son Premier ministre Ousmane Sonko à la manœuvre dans cette campagne ont de bonnes chances d'être suivis par les électeurs sénégalais et de décrocher cette majorité qu'il leur demande ? Babacar Ndiaye : Dans l'histoire politique du Sénégal, le président élu a toujours obtenu la majorité à l'Assemblée nationale. Et, le 24 mars, comme vous le savez, le président Diomaye Faye, après avoir été plébiscité par les Sénégalais avec quand même ses 54%, oui, il y a de fortes chances qu'il obtienne la majorité absolue sept mois après cette présidentielle. D'autant plus qu'il a décidé, comme vous le savez, de dissoudre l'Assemblée nationale il y a deux mois, Assemblée dans laquelle il n'avait pas la majorité. Donc il y a, j'allais dire, une forme de cohérence dans tout cela. Donc, il y a de fortes chances évidemment que cette majorité, il puisse l'obtenir. Quels sont les arguments du camp présidentiel pour convaincre les Sénégalais de voter pour eux ? Je crois que la campagne du camp présidentiel s'est inscrite dans une forme de continuité avec celle de la présidentielle, avec un discours toujours axé sur la bonne gouvernance, dans la gestion des biens publics, sur la nécessité de la reddition des comptes. Mais fondamentalement, ce qui est intéressant d'observer dans ces élections législatives, c'est le Premier ministre Osmo Sonko, qui est aussi tête de liste du parti présidentiel donc Pastef. Dans les zones ciblées où il est allé, il a dressé le programme prévu par zone sur la base du nouveau référentiel des politiques publiques, donc le nouveau programme, l'agenda national de transformation 2050, « Sénégal 2050 ». Et il a pu parler dans ces zones-là d'infrastructures, d'économie, d'éducation, de création d'emplois... Bref, ce que le gouvernement va faire dans ces différentes zones. Évidemment, les questions de souveraineté économique, politique ou alimentaire, aussi, ont été au cœur de son discours. Donc, peut-être que ce sont des arguments, des éléments qui peuvent être intéressants pour les populations et qui peuvent aussi être dans une forme d'écoute. Et ensuite, cela peut aussi leur permettre, pourquoi pas voter pour ce camp-là. À lire aussi«Sénégal 2050»: l'exécutif sénégalais présente son ambitieux programme économiqueAlors, on a, face au Pastef, une opposition divisée avec au moins trois grandes coalitions dont une menée à distance par l'ancien président Macky Sall. Quels thèmes mettent-ils en avant pour tenter de convaincre la population de les choisir eux ? La campagne n'est pas encore terminée, il reste encore quelques jours. Mais il est clair que nous avons assisté à une opposition frontale surtout contre Ousmane Sonko qui est la tête de liste du pouvoir. Et moi, personnellement, je m'attendais à de vrais débats de fond, des débats de fond sur le nouveau référentiel, les politiques publiques qui ont été lancés par le gouvernement. Et donc, je m'attendais à des analyses en profondeur, des débats sur les choix économiques, sur l'éducation, la santé ou encore l'emploi des jeunes. Bref, des vrais débats sur le programme présidentiel. Mais on a surtout eu beaucoup de polémiques, et je dois dire que l'on n'a pas eu des débats de fond, ce qui était pourtant annoncé, qui devait être au rendez-vous. On a surtout eu beaucoup de critiques et notamment sur un pays qui serait à l'arrêt depuis la présence au pouvoir de monsieur Diomaye Faye et d'Ousmane Sonko. Donc voilà, je pense qu'on aurait pu avoir un débat beaucoup plus axé sur, véritablement, ce qui intéresse les Sénégalais, notamment l'économie, l'éducation, la santé et surtout l'emploi des jeunes, et même pourquoi pas sur la migration. Donc, voilà un peu, ces sujets-là, qui n'ont pas lieu, pouvaient vraiment intéresser les populations. À ce propos justement, qui est-ce que les Sénégalais rendent responsable de l'immobilisme observé depuis la présidentielle d'avril ? Diomaye Faye et le Pastef ou l'opposition qui contrôlait jusqu'ici l'Assemblée nationale ? Je ne sais pas si on peut parler d'immobilisme. Nous sommes encore dans les premiers mois du mandat. Évidemment, c'est peut-être le discours de l'opposition. Mais dans ces premiers mois, il a fallu passer par des phases de nomination du nouveau gouvernement, des directeurs et présidents de conseils d'administration. Il y a eu donc cette phase de transmission dans la prise en main des dossiers. Évidemment aussi, nous avons assisté à une opposition entre le parti au pouvoir et les différentes parties de l'opposition, notamment à l'Assemblée. Souvenez-vous, au mois de juin, ce refus d'avoir un débat sur justement le débat d'orientation budgétaire parce qu'il y avait une confrontation qu'on avait à l'Assemblée nationale. Il y a eu aussi cet épisode lié à la déclaration de politique générale. Donc voilà, ce sont ces éléments-là, finalement, qui ont poussé le président... Sans compter aussi, j'allais l'oublier, la volonté du président de supprimer deux institutions au niveau de la Constitution qu'il jugeait budgétivore. Et donc voilà, je crois quand même que durant sept mois, il y a eu beaucoup, beaucoup d'éléments. Maintenant, je crois qu'aujourd'hui, résolument maintenant, les Sénégalais vont aller vers les élections législatives et indiquer maintenant pour quel camp ils se positionnent et en fonction de tout ce qu'on a pu avoir ces derniers mois. À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko explique pourquoi il n'a pas encore fait de déclaration de politique généraleEst-ce que Macky Sall qui est resté prudemment à l'abri au Maroc, lui, l'ancien chef de l'État, ne joue pas gros en prenant la tête de la campagne électorale d'une coalition qui s'est divisée en deux depuis la présidentielle d'avril ? Le choix du présent Macky Sall, qui s'est tourné vers une carrière internationale, d'être tête de liste de sa coalition est, selon moi, un peu étonnant. Il est revenu en politique au bout de six mois, même s'il faut le dire, il était resté chef de son parti. Et d'ailleurs, selon moi, c'est l'éternelle question des partis qui ont du mal à exister en dehors de la figure tutélaire du fondateur, surtout après la perte du pouvoir. Et donc, le président Macky Sall s'engage dans un nouveau combat en portant cette liste, et nous verrons, au soir du 17 novembre, si ce choix de conduire cette liste est un choix payant. Et là, nous sommes dans le dernier jour de la campagne, il n'est pas sur le terrain, au Sénégal, comme le sont les autres têtes de liste et coalitions. Et donc, c'est quand même des choix étonnants dans cette campagne. D'autant plus qu'il gère cette campagne à distance. L'ancien Premier ministre de Macky Sall, Amadou Ba, a constitué sa liste pour les législatives. Pensez-vous qu'il soit capable de tirer son épingle du jeu face à cette opposition divisée ? Amadou Ba est arrivé deuxième à l'élection présidentielle avec 35%, il faut le rappeler. Et depuis ce scrutin, il a aussi fait des choix, il a choisi d'emprunter sa propre voie en quittant l'ancienne coalition au pouvoir, donc en quittant l'APR. Il a créé son mouvement politique qui s'est allié aussi au Parti socialiste, qui l'a rejoint dans sa coalition, mais aussi par d'anciens leaders et ministres de l'APR qui ont rejoint sa coalition. Et cela sera l'occasion pour moi de voir ce qu'Amadou Ba pèse en termes de poids électoral avec ces élections législatives. Même si on n'est pas dans une élection présidentielle, on est dans les élections législatives et le mode de scrutin est différent.À lire aussiSénégal: vers un débat télévisé entre Ousmane Sonko et Amadou Ba ?Est-ce que la politique du diviser pour régner, tentée par Ousmane Sonko en choisissant de débattre uniquement avec Amadou Ba, est-ce que cette politique peut marcher ? Il me semble que l'intérêt quand même d'un débat avec Amadou Ba ait été dicté par deux choses. Et c'est dommage d'ailleurs que ce débat n'ait pas eu lieu au passage. D'abord par le fait qu'Amadou Ba était arrivé deuxième à l'élection présidentielle avec quand même 35% et surtout qu'il était le dernier Premier ministre de Macky Sall. Il a été aussi ministre de l'Économie et des Finances, il faut le rappeler. Et donc c'est le fait qu'il ait été celui qui matérialisait le bilan du président Macky Sall d'une certaine manière, qui a peut-être poussé le Premier ministre Ousmane Sonko à vouloir avoir un débat avec un interlocuteur comme Amadou Ba.À votre avis, est-ce que ces législatives pourraient se résumer en un match retour entre le camp Diomaye Faye-Ousmane Sonko contre celui de Macky Sall ? Ou alors Amadou Ba et le maire de Dakar, par exemple, Barthélémy Dias, peuvent créer la surprise ? En tout cas, nous avons quatre grands pôles, c'est ce qui semble se dessiner. On a le Pastef évidemment, on a la coalition de Macky Sall avec un allié étonnant qui est le PDS, nous avons Amadou Ba, vous l'avez indiqué, et enfin nous avons aussi cette coalition qui est portée par le maire de Dakar, Barthélémy Dias. Voilà, on a l'impression qu'il y a ces quatre grandes coalitions qui sont plus en vue. Mais il faut quand même rappeler que dans cette élection, nous avons 40 listes, comme ça a été le cas avec la présidentielle, avec des candidats quand même qui ont eu des scores très faibles, en déphasage avec leur statut. Et donc voilà, je crois que le 17 novembre nous indiquera le choix des Sénégalais et nous aurons une lecture beaucoup plus claire de la tendance et, évidemment, du positionnement des uns et les autres par rapport au vote des Sénégalais. À part la majorité que tentent de décrocher leur camp présidentiel, quel est l'enjeu de ces législatives selon vous ? Vous l'avez rappelé, l'enjeu est d'avoir la majorité absolue, évidemment. Une majorité, j'allais dire, pour initier les réformes promises dans le domaine de la justice, dans le domaine de la bonne gouvernance, avec la mise en place de cette haute cour de justice à l'Assemblée nationale pour les supposés scandales financiers qui auraient touché d'anciens ministres et autres. Mais plus globalement, j'allais dire que l'enjeu, c'est d'avoir une Assemblée aussi qui se préoccupe des intérêts des Sénégalais avec des débats de qualité. Et aujourd'hui, au Sénégal, certains veulent une Assemblée nationale de rupture avec ses différents compartiments, avec des députés qui vont être là pour s'intéresser aux préoccupations des Sénégalais, qui sont aussi capables de pouvoir faire des propositions de lois allant dans le sens de l'intérêt des Sénégalais, mais aussi de manière plus basique de suivre l'action du gouvernement par rapport aux réformes qui sont initiées. Donc voilà un peu les enjeux. Mais évidemment, l'enjeu principal reste cette volonté du pouvoir d'avoir cette majorité absolue pour pouvoir initier les réformes promises aux Sénégalais. Et c'était ça aussi qui avait, d'une certaine manière, fait pencher la balance durant l'élection présidentielle avec cette victoire au premier tour du président Diomaye Faye. Mais on peut dire également qu'il y a une reconfiguration du champ politique qui va se jouer lors de ces législatives. Oui, évidemment, je crois que, en fonction des résultats, il y aura forcément une configuration nouvelle. Parce que, voilà, depuis l'élection présidentielle, il y a un renouvellement. Il y a certains, par la force des choses, qui sont plus en retrait dans le champ politique. On a l'impression qu'une nouvelle génération émerge aussi et donc, à ce niveau-là, les résultats aussi pourront permettre de voir si on est dans une nouvelle dynamique en termes de positionnement et de posture. Même si aussi, dans ces élections législatives, on a eu des coalitions quand même qui interrogent. On a vu d'anciens partis qui étaient en confrontation directe sur des positions totalement opposées qui sont allés en coalition. Et donc, les Sénégalais aussi ont été spectateurs ces coalition, par moment, que nous avions du mal à pouvoir imaginer encore il y a quelques années. Et donc, évidemment, cette reconfiguration dont vous parlez, peut-être qu'elle sera initiée après ces élections législatives. Mais beaucoup de candidats et de partis jouent aussi leur avenir politique à travers ces élections législatives évidemment.
durée : 00:04:21 - Le Billet politique - par : Catherine Duthu - Quelles sont ses priorités des électeurs américains ? Économie, immigration, comme l'a clamé Donald Trump haut et fort ? Ou bien défense du droit à l'avortement et de la démocratie, comme l'a répété Kamala Harris ? Une chose est sûre, une partie du pays détestera le ou la futur.e président.e. - invités : Catherine Duthu Journaliste à la rédaction de France Culture
Face à une hausse significative d'arrivée de migrants clandestins en Floride, le gouverneur républicain a pris, il y a un an, la loi la plus stricte des États-Unis pour les en dissuader. Un tour de vis bienvenu pour la population, comme à Jacksonville où Europe 1 s'est rendue avant l'élection présidentielle.
Face à une hausse significative d'arrivée de migrants clandestins en Floride, le gouverneur républicain a pris, il y a un an, la loi la plus stricte des États-Unis pour les en dissuader. Un tour de vis bienvenu pour la population, comme à Jacksonville où Europe 1 s'est rendue avant l'élection présidentielle.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Olivier de Lagarde revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:17:16 - 8h30 franceinfo - Laurent Jacobelli, député et vice-président du Rassemblement national à l'Assemblée nationale était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 27 octobre.
durée : 00:13:11 - L'invité d'un jour dans le monde - Une victoire écrasante avec plus de 90 % des voix : Un jour dans le monde décrypte la victoire de Kaïs Saïed à l'élection présidentielle tunisienne avec ses invités.
Rencontre avec Loïc Le Calvez, Senior Wine Maker au Domaine Chandon et egalement un expert en vin
Au Gondwana, l'alternance démocratique coince d'abord sur les mots. La majorité restera toujours la majorité, c'est la majorité sortante. L'opposition ne sera jamais la majorité, même si elle a gagné les élections...
durée : 00:24:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Gérald Darmanin, député Renaissance du Nord est l'invité du Grand Entretien ce lundi 30 septembre. Il fait partie des représentants de l'ex-majorité qui conditionnent leur soutien au gouvernement Barnier à l'absence d'augmentation d'impôts.
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durée : 00:38:26 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Jeudi 5 septembre, Michel Barnier devient le nouveau locataire de Matignon. Sa première mission : trouver un chemin dans une Assemblée nationale morcelée et parvenir à constituer une majorité… en pleine crise politique. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Arnaud Teyssier Historien et essayiste, président du conseil scientifique de la Fondation Charles de Gaulle, professeur associé à l'École normale supérieure.; Brice Teinturier Politologue et directeur général délégué d'Ipsos France; Astrid de Villaines Journaliste et productrice de radio française