POPULARITY
Categories
Nicolas Sarkozy connaîtra donc le 13 octobre prochain la date de son incarcération. Un ancien Président en prison, c'est inédit en France, totalement inédit. Et c'est d'ailleurs très rare dans le monde. Les anciens chefs d'État d'un État démocratique à avoir fait de la prison ferme ne sont pas nombreux : ils ne sont que 8.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 25 septembre 2025, Nicolas Sarkozy a été jugé coupable « d'association de malfaiteurs », dans l'affaire des soupçons de financement lybien de sa campagne présidentielle en 2007. Verdict, cinq ans de prison avec mandat de dépôt différé. C'est le premier ancien président, de toute l'histoire de la République, qui va se retrouver derrière les barreaux. Mais Nicolas Sarkozy n'est pas un cas isolé. A travers le monde, de nombreux anciens chefs d'État ont été rattrapés par la justice. Peu avant Nicolas Sarkozy, en septembre 2025, Jair Bolsonaro, ancien président du Brésil, a lui été condamné à 27 ans et 3 mois de prison pour tentative de coup d'État. Que ce soit dans des affaires de corruption, de blanchiment d'argent, de crime contre l'humanité, ou encore de viols, la liste des accusations est longue ! Est-il le premier ancien président français condamné par la justice ? Et le reste du monde, alors ? La France et le Brésil sont-ils les seuls concernés ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Y a-t-il vraiment plus de prisonniers en France ? Comment le président des États-Unis est-il élu ? Justice restaurative : comment le face à face aide-t-il à surmonter les traumastimes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Nous sommes aujourd'hui le vendredi 26 septembre.Je me mets en présence... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Scarborough Fair de Traditional interprété par Healing Muses - Dolce Musica - A contemplative journey © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes ; O digne es tu de Communauté du Chemin Neuf interprété par Communauté du Chemin Neuf - Ateliers du Chemin Neuf - CD10 © Communauté du Chemin Neuf.
durée : 00:02:22 - 100% Sainté, la chronique Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le chef du gouvernement, Sébastien Lecornu, a annoncé lundi 15 septembre 2025, la suppression des “avantages à vie” des anciens membres du gouvernement. Quels coûts pour les privilèges des Premiers ministres Les anciens Premiers ministres peuvent bénéficier de plusieurs privilèges, comme une voiture avec chauffeur, un secrétaire personnel ou encore une protection policière. Selon Public Sénat, en septembre 2025, 17 anciens chefs de gouvernement bénéficient de ces avantages, dont le coût annuel est évalué à 4,5 millions d'euros, avec 3 millions uniquement consacrés à la sécurité. Ces avantages à vie seront supprimés à partir du 1er janvier 2026, comme l'a annoncé le Premier ministre Sébastien Lecornu le lundi 15 septembre 2025. Mais est-ce que les Premiers ministres ont vraiment des avantages à vie ? Et cette mesure annoncée aura-t-elle un véritable impact ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Combien gagne un ministre ? Dissolution : quel est vraiment le rôle du Premier ministre ? Comment nos opinions politiques influencent-elles notre santé mentale ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nous recevons Christian Page qui vient nous parler de la théorie des anciens astronautes, cette idée popularisée dans les années 1960-1970 qui veut que des extraterrestres seraient intervenus dans l'évolution des civilisations humaines. Merci à nos partenaires! Constructions Rivard - https://www.constructionsrivard.com/ Miel Abitémis - https://www.mielabitemis.com/ Animalerie Croc Bête - https://crocbete.com/ Devenez membre Patreon en vous rendant au / sltdh et profitez de dizaines d'heures de contenu exclusif! Procurez-vous votre marchandise aux couleurs de SLTDH en vous rendant au https://www.teepublic.com/user/sltdh?... Rejoignez-nous sur Twitch : / sltdh Abonnez-vous à notre chaîne YouTube: / @sltdhpod Une présentation des Éditions Dernier Mot: https://editionsderniermot.com/
« Les règles, ça se respecte ». L'ancien Premier ministre estime qu'il a toujours appliqué les lois de la République, et accepte ce changement décidé par l'exécutif, plaidant pour le respect de la règle commune. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec la mise à exécution de la première mesure de Sébastien Lecornu : la fin dès 2026 des avantages à vie pour les anciens premiers ministres
On commence avec la mise à exécution de la première mesure de Sébastien Lecornu : la fin dès 2026 des avantages à vie pour les anciens premiers ministres
Deux instructions ont été signées de la main du nouveau locataire de Matignon et un décret est en préparation. Désormais, les anciens premiers ministres auront un secrétariat et un chauffeur pour dix ans seulement. Et des policiers pendant 3 ans. Les ex ministres de l'intérieur pendant 2 ans. Et ces protections ne seront prolongées qu'en cas de menace avérée.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:23:25 - 8h30 franceinfo - L'ancien Commissaire européen au marché intérieur et ancien ministre de l'Économie était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 15 septembre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
"On ne peut pas demander aux Français de faire des efforts si ceux qui sont à la tête de l'État n'en font pas". Au nom de l'exemplarité, Sébastien Lecornu veut abolir les privilèges à vie des anciens Premiers ministres. Quels sont ces privilèges et combien coûtent-ils à l'Etat ? On pose la question à Guillaume Daret, éditorialiste politique à BFMTV.
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSAFFAIRE ARISTOPHIS : FRANCE3, LeJournalDesArtsASTERIX : AlloCiné, SatelliFacts BOYCOTT ISRAEL : TheGuardian, RadioCanada CHARLY OLEG : LaDépêche, Libération CYBERPUNK KEANU REEVES : Numerama, Gameblog FILM IA : LaHuffPost, TheWallStreetJournalÉcriture : Mathys DebrilIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Troisième et dernier reportage de notre série dans le nord de l'Ouganda, à l'occasion de l'audience par contumace de confirmation des charges contre Joseph Kony à la CPI. Le leader de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA – acronyme en anglais) est accusé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité pendant le conflit qui a ravagé le nord de l'Ouganda entre la fin des années 1980 et le milieu des années 2000. Depuis, le groupe armé s'est exporté dans d'autres pays d'Afrique centrale. Fin 2023, 134 anciens membres, incluant femmes et enfants, ont été rapatriés de Centrafrique vers l'Ouganda. C'est le plus grand retour de repentis de la LRA ces dernières années. Après un an et demi en centre de réhabilitation et l'obtention d'une amnistie, les anciens rebelles sont retournés à la vie civile depuis quelques mois, dispersés dans plusieurs petits groupes dans la région nord du pays. Reportage dans le district de Pader, au nord de l'Ouganda Devant une maison en briques entourée de champs de sésame, de maïs et de soja, Walter Okot fait sécher les dernières récoltes : « Quand je suis arrivé en Ouganda, j'ai eu le sentiment de revenir à la maison. J'étais très heureux. On recommence à peine notre vie, mais c'est bien mieux que ce qu'on vivait avant de revenir. » Derrière le rideau d'entrée, l'ancien rebelle a entreposé son vélo et quelques ustensiles de cuisine, parmi les biens accumulés depuis son retour en Ouganda… Les cinq membres de son groupe ont tous passé entre 20 et 30 ans au sein de la LRA, avant de quitter l'unité principale de Joseph Kony : « C'était en 2018, nous devions le rejoindre au Darfour où il était à l'époque. Il n'avait déjà plus beaucoup de soldats. Mais on a entendu des rumeurs d'exécutions et d'arrestations parmi les rebelles, c'est ce qui nous a poussé à partir. » À écouter aussiOuganda: aux origines de Joseph Kony [2/3] Le retour des repentis en Ouganda Les rebelles s'installent alors à Mboki, à l'est de la Centrafrique, jusqu'à leur rapatriement en 2023. Enlevé par la LRA adolescent, Thomas Onayo, 45 ans aujourd'hui, reprend ses repères dans sa région natale, où il a pu revoir une partie de sa famille : « Ils m'ont accueilli et m'ont assuré que j'étais toujours le bienvenu à la maison. Tout le monde était heureux et m'a embrassé, mais ma mère m'a expliqué la situation de la famille. Beaucoup de nos terres ont été vendues, et ils survivent sur le peu qu'il reste. » Pour éviter les conflits familiaux, accompagnés par des ONG, les repentis ont reçu des terres, des maisons et des formations pour les aider dans leur réintégration. Jimmy Otema, de l'organisation Terra Renaissance : « On les a formés pour les activités qu'ils ont choisies, mais aussi sur leurs compétences sociales. Avec les chefs traditionnels, nous avons fait en sorte qu'ils soient accueillis par les cérémonies traditionnelles de réconciliation. Et puis, nous organisons parfois des réunions entre les anciens LRA et les communautés voisines. » Un processus de réintégration lent et progressif, destiné à mener à l'indépendance économique des repentis, qui attendent la finalisation de leur atelier de menuiserie pour pouvoir commencer à travailler. À écouter aussiEn Ouganda, le regard des victimes de Joseph Kony sur la nouvelle procédure de la CPI [1/3]
durée : 00:03:25 - Old-timers allemands au Conservatoire des Transports Anciens de Wissembourg Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec la légalisaion de la psilocybine, la Tchéquie à l'aube d'une révolution psychothérapique – Vers une meilleure prise en charge des anciens combattants - Plongée dans l'enfance d'Antonín Dvořák
Avec la légalisaion de la psilocybine, la Tchéquie à l'aube d'une révolution psychothérapique – Vers une meilleure prise en charge des anciens combattants - Plongée dans l'enfance d'Antonín Dvořák
Nous sommes le 3 janvier 106 avant notre ère, à Arpinum, à une centaine de kilomètres de Rome. C'est ce jour-là que vient au monde Marcus Tullius Cicero. Mieux connu, aujourd'hui, sous le nom de Cicéron, devenu un grand homme d'Etat et un penseur écouté. Assassiné, tout de même à l'âge, de soixante-trois ans. Figure emblématique d'une époque charnière, la fin de la République romaine, y compris dans le domaine de l'éducation. Education qui est une affaire privée relevant de l'autorité du père de famille soucieux de préparer le fils à devenir un citoyen accompli. Cette période connait une "révolution pédagogique" majeure sous l'influence grecque qui introduisit de nouvelles disciplines et un raffinement accru. Cicéron, dont le parcours éclectique combine les leçons des maîtres grecs et la formation pratique au Forum, va se faire le promoteur du principe de « l'humanitas ». L'objectif étant de former des orateurs capables de guider la République avec sagesse et cœur. Mais les Anciens vont voir d'un mauvais œil ce type d'éducation l'accusant de provoquer la décadence. Comment la transmissions des savoirs a-t-elle évolué au temps de Cicéron ? Et de quelle manière l'autorité du « paterfamilias » s'est-elle exercée ? Avec nous : Jean-Noël Robert, latiniste, historien de Rome. « L'Education des jeunes Romains au temps de Cicéron » ; Realia/Les Belles Lettres. Sujets traités : éducation, romains, Cicéron, Rome, Marcus Tullius Cicero, République, autorité Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'entreprise iconique de boîtes alimentaire, qui était en péril, vient de sortir de sa clause de sauvegarde. En quelques mois, la marque en liquidation a été relancée et des vendeurs réembauchés. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:52 - Le vrai ou faux - Alors que François Bayrou appelle les Français à faire des efforts pour faire des économies de budgets, plusieurs internautes demandent la suppression des avantages des anciens ministres. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité : Jean-Louis Thierot, député Droite républicaine de Seine-et-Marne et ancien ministre délégué auprès du ministre des Armes et des Anciens combattants Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Jean-Louis Thierot, député Droite républicaine de Seine-et-Marne et ancien ministre délégué auprès du ministre des Armes et des Anciens combattants Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:43 - Le Conservatoire des Transports Anciens Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tu veux que je te raconte l'histoire du rassemblement d'anciens élèves ? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti !
L'allocation mensuelle accordée aux anciens athlètes ayant porté haut les couleurs de Maurice fait aujourd'hui l'objet de vives critiques. Le critère de moralité, qui impose de présenter un certificat pour toucher cette aide dont le montant varie de 3 000 à 10 000 roupies, est notamment perçu comme injuste par plusieurs retraités du sport. Certains jugent également ce montant insuffisant et réclament un meilleur encadrement, notamment pour les athlètes qui n'ont pas nécessairement brillé dans leurs études, afin de les préparer à devenir des entrepreneurs ou des professionnels de demain.
« C'est au titre de la lutte contre l'impunité et de la réaffirmation de l'autorité de l'État que l'on a droit à des épisodes judiciaires qui en intriguent plus d'un (au Mali), s'exclame le site Maliweb. Tel est le cas des ennuis que connait depuis quelques jours l'ancien Premier ministre Moussa Mara et, sûrement dans les prochains jours, l'ancien Premier ministre de la Transition, Choguel Kokalla Maïga ». Ce dernier, précise Mali Actu, « a été entendu par le Pôle national économique et financier de Bamako vendredi dernier. Cette audition, qui s'est prolongée pendant de nombreuses heures, s'inscrit dans un contexte de renforcement de la lutte contre la corruption et d'une volonté de restaurer la bonne gouvernance. Pour l'heure, aucune inculpation officielle n'a été communiquée au grand public, mais l'enquête se poursuit, sous le regard attentif de l'opinion nationale. Fait notable, cette convocation a eu lieu au même moment où un mandat de dépôt était émis à l'encontre d'un autre ancien Premier ministre, Moussa Mara ». Vague de solidarité En effet, Moussa Mara est en détention préventive. « Il a été placé sous mandat de dépôt par le procureur du Pôle national de lutte contre la cybercriminalité. Il est poursuivi, précise Jeune Afrique, pour "atteinte au crédit de l'État", "opposition à l'autorité légitime", "incitation au trouble à l'ordre public" et "publication et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de troubler la paix publique". À l'origine, un simple message publié le 4 juillet dernier sur les réseaux sociaux, dans lequel l'ancien maire de la commune IV de Bamako exprimait son soutien à des détenus dits "d'opinion", dont certains qu'il a rencontré en prison : Youssouf Bathily – alias Ras Bath –, Adama Diarra – dit Ben le Cerveau –, Issa Kaou Djim ou encore Clément Dembélé ». Et, « depuis l'annonce de son incarcération, une vague de solidarité sans précédent s'est levée, pointe Jeune Afrique. Elle mêle figures politiques, artistes, militants de la société civile, anciens collaborateurs, ou encore citoyens anonymes ». Et pour eux, « Mara reste une figure de probité dans un paysage politique en ruine, en particulier depuis la dissolution, le 13 mai dernier, de l'ensemble des partis politiques par les autorités de transition ». Quelle liberté d'expression ? La presse s'engage également… Le Challenger à Bamako prend fait et cause pour l'ancien Premier ministre : « en décidant de rester sur place où beaucoup ont préféré prendre la fuite pour se mettre à l'abri, Moussa Mara était conscient du risque qu'il prenait. En s'exprimant régulièrement sur la marche du pays, là où certains ont opté pour le silence, Moussa Mara savait qu'il allait déranger les princes du jour. (…) Depuis ses débuts en politique, Moussa Mara n'a jamais fait mystère de son ambition, à savoir : exercer le pouvoir d'État. Au premier plan. Pour cela, il est prêt à tout, y compris le sacrifice ultime. Il sait que la prison se confond avec le destin des grands hommes ». À contrario, Le Pouce, autre journal malien, va dans le sens des autorités : « c'est sous cette transition, écrit-il, que la loi sur la cybercriminalité a été extraite du trou pour être mise à la lumière. (…) Le juge l'applique sans sourciller. La mise sous mandat de dépôt de l'ex-Premier Ministre Moussa Mara envoie un signal fort à tous les citoyens Maliens : tolérance zéro. Tout écart de conduite ou présumé tel, mérite désormais explication devant la justice. Et cela peut finir par la prison ». En effet, complète Afrik.com, « le gouvernement malien justifie l'arrestation de Moussa Mara par la nécessité de préserver l'autorité de l'État face à des propos jugés déstabilisateurs. Mais pour de nombreux observateurs, cette procédure judiciaire soulève un autre débat : celui de la liberté d'expression dans un pays en transition post-coup d'État. Ce climat de surveillance des discours publics, notamment sur les réseaux sociaux, est la preuve d'un resserrement de l'espace politique au Mali. L'affaire Moussa Mara incarne (donc), résume Afrik.com, un bras de fer entre une figure politique opposante et un régime en quête de stabilité et de légitimité ».
« C'est au titre de la lutte contre l'impunité et de la réaffirmation de l'autorité de l'État que l'on a droit à des épisodes judiciaires qui en intriguent plus d'un (au Mali), s'exclame le site Maliweb. Tel est le cas des ennuis que connait depuis quelques jours l'ancien Premier ministre Moussa Mara et, sûrement dans les prochains jours, l'ancien Premier ministre de la Transition, Choguel Kokalla Maïga ». Ce dernier, précise Mali Actu, « a été entendu par le Pôle national économique et financier de Bamako vendredi dernier. Cette audition, qui s'est prolongée pendant de nombreuses heures, s'inscrit dans un contexte de renforcement de la lutte contre la corruption et d'une volonté de restaurer la bonne gouvernance. Pour l'heure, aucune inculpation officielle n'a été communiquée au grand public, mais l'enquête se poursuit, sous le regard attentif de l'opinion nationale. Fait notable, cette convocation a eu lieu au même moment où un mandat de dépôt était émis à l'encontre d'un autre ancien Premier ministre, Moussa Mara ». Vague de solidarité En effet, Moussa Mara est en détention préventive. « Il a été placé sous mandat de dépôt par le procureur du Pôle national de lutte contre la cybercriminalité. Il est poursuivi, précise Jeune Afrique, pour "atteinte au crédit de l'État", "opposition à l'autorité légitime", "incitation au trouble à l'ordre public" et "publication et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de troubler la paix publique". À l'origine, un simple message publié le 4 juillet dernier sur les réseaux sociaux, dans lequel l'ancien maire de la commune IV de Bamako exprimait son soutien à des détenus dits "d'opinion", dont certains qu'il a rencontré en prison : Youssouf Bathily – alias Ras Bath –, Adama Diarra – dit Ben le Cerveau –, Issa Kaou Djim ou encore Clément Dembélé ». Et, « depuis l'annonce de son incarcération, une vague de solidarité sans précédent s'est levée, pointe Jeune Afrique. Elle mêle figures politiques, artistes, militants de la société civile, anciens collaborateurs, ou encore citoyens anonymes ». Et pour eux, « Mara reste une figure de probité dans un paysage politique en ruine, en particulier depuis la dissolution, le 13 mai dernier, de l'ensemble des partis politiques par les autorités de transition ». Quelle liberté d'expression ? La presse s'engage également… Le Challenger à Bamako prend fait et cause pour l'ancien Premier ministre : « en décidant de rester sur place où beaucoup ont préféré prendre la fuite pour se mettre à l'abri, Moussa Mara était conscient du risque qu'il prenait. En s'exprimant régulièrement sur la marche du pays, là où certains ont opté pour le silence, Moussa Mara savait qu'il allait déranger les princes du jour. (…) Depuis ses débuts en politique, Moussa Mara n'a jamais fait mystère de son ambition, à savoir : exercer le pouvoir d'État. Au premier plan. Pour cela, il est prêt à tout, y compris le sacrifice ultime. Il sait que la prison se confond avec le destin des grands hommes ». À contrario, Le Pouce, autre journal malien, va dans le sens des autorités : « c'est sous cette transition, écrit-il, que la loi sur la cybercriminalité a été extraite du trou pour être mise à la lumière. (…) Le juge l'applique sans sourciller. La mise sous mandat de dépôt de l'ex-Premier Ministre Moussa Mara envoie un signal fort à tous les citoyens Maliens : tolérance zéro. Tout écart de conduite ou présumé tel, mérite désormais explication devant la justice. Et cela peut finir par la prison ». En effet, complète Afrik.com, « le gouvernement malien justifie l'arrestation de Moussa Mara par la nécessité de préserver l'autorité de l'État face à des propos jugés déstabilisateurs. Mais pour de nombreux observateurs, cette procédure judiciaire soulève un autre débat : celui de la liberté d'expression dans un pays en transition post-coup d'État. Ce climat de surveillance des discours publics, notamment sur les réseaux sociaux, est la preuve d'un resserrement de l'espace politique au Mali. L'affaire Moussa Mara incarne (donc), résume Afrik.com, un bras de fer entre une figure politique opposante et un régime en quête de stabilité et de légitimité ».
durée : 00:14:37 - Journal de 12h30 - 550 anciens responsables de la sécurité en Israël demandent l'aide de Donald Trump pour stopper la guerre à Gaza.
durée : 00:14:37 - Journal de 12h30 - 550 anciens responsables de la sécurité en Israël demandent l'aide de Donald Trump pour stopper la guerre à Gaza.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 01 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 01 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Louis Thiériot, député LR de Seine-et-Marne, membre de la Commission défense et ancien ministre délégué auprès du ministre des Armées et des Anciens combattants. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si, en voulant trop protéger… on coupait nos aînés de ce qui les rend vivants ? Dans cet épisode, je t'invite à explorer une question qui dérange : Les enfants sont-ils un danger dans les maisons de retraite, chez les grands parents ? Trop bruyants, trop imprévisibles, trop fatigants… ou au contraire, profondément essentiels ? À travers une histoire bouleversante et des données surprenantes, on parle de transmission, de lien, d'émotion. Mais aussi des limites, des adaptations nécessaires, et de ce que cela veut dire d'accompagner une fin de vie sans couper les fils de la tendresse. Un épisode qui bouscule… et qui répare. ✨ Bonus : je te partage aussi le lien vers un mini guide sur les grands parents qui deviennent subitement aidants : https://go.sweetpapipodcast.com/grandsparentsaidantsleminiguide
durée : 00:58:27 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Anne-Toscane Viudes - Dans les sociétés antiques, le ciel et les étoiles jouent un rôle fondamental dans la pensée humaine. Entre religion et science, entre philosophie et astronomie, la compréhension des lois et des phénomènes célestes fascine les Anciens, de Babylone à Athènes, en passant par Alexandrie. - réalisation : Thomas Beau - invités : Victor Gysembergh Historien de la philosophie et des sciences de l'antiquité, chargé de recherche au centre Léon Robin du CNRS; Émilie Villey Historienne de l'astronomie, chargée de recherche CNRS au sein du laboratoire Orient & Méditerranée
L'avenir du club de football de Lyon s'annonce sombre. L'OL vient d'être relegué en Ligue 2, via une décision du gendarme financier du football. Aux obsèques de Bernard Lacombe, ancien dirigeant, l'inquiétude règne chez les anciens noms.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'avenir du club de football de Lyon s'annonce sombre. L'OL vient d'être relegué en Ligue 2, via une décision du gendarme financier du football. Aux obsèques de Bernard Lacombe, ancien dirigeant, l'inquiétude règne chez les anciens noms.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mot "océan" vient du latin oceanus, lui-même emprunté au grec ancien Ôkeanós (Ὠκεανός). Dans la mythologie grecque, Océan est un dieu primordial, représentant un immense fleuve qui entourait le monde connu. Pour les Anciens, ce n'était pas un océan au sens moderne, mais un gigantesque cours d'eau formant une frontière liquide autour de la Terre habitée.Avec le temps et l'évolution des connaissances géographiques, le mot oceanus a cessé de désigner un fleuve mythologique pour désigner les vastes étendues d'eau salée qui couvrent aujourd'hui plus de 70 % de la surface terrestre.Pourquoi dit-on "un" océan, et pas "une" ? Tout simplement parce qu'en latin, oceanus est un mot de genre masculin. En français, les mots empruntés au latin conservent très souvent leur genre d'origine. C'est aussi le cas pour d'autres termes liés à l'eau, comme "le fleuve" (latin fluvius), "le courant" (latin currens) ou "le détroit" (latin strictus), qui sont tous masculins.À l'inverse, des mots comme "la mer", issus du latin mare (qui était neutre en latin), sont devenus féminins en français. Cette variation s'explique en partie par l'évolution du genre neutre latin vers les genres masculin ou féminin en français médiéval.Il existe aussi une dimension symbolique. Dans l'imaginaire collectif, la mer et l'océan ont parfois été associés à des qualités genrées : la mer serait plus proche, plus familière, parfois douce ou capricieuse (et donc associée au féminin), tandis que l'océan, immense, sauvage, puissant, incarnerait une force plus brute, plus lointaine, d'où son association avec le masculin. Ce sont bien sûr des représentations culturelles, mais elles ont pu influencer l'usage linguistique.En résumé, on dit "un océan" :– parce que le mot vient du latin oceanus, de genre masculin,– parce qu'il désignait à l'origine un dieu masculin dans la mythologie grecque,– et parce que la langue française conserve généralement le genre des mots empruntés au latin ou au grec.C'est donc un choix à la fois linguistique, historique et symbolique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:22:46 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1997, cela faisait presque 30 ans que les Halles de Paris avaient déménagé. Pourtant, ici et là, subsistaient quelques îlots de commerces qui vivaient encore au rythme des anciennes halles. Pour les "Nuits magnétiques" Josette Colin avait enregistré des témoignages sur les Halles d'avant 1970. - réalisation : Véronique Vila
durée : 00:58:03 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Maxime Prud'homme 23 ans et Tangui Mosin 22 ans étaient pompiers volontaires. Ils sont morts lundi dernier en combattant un incendie dans le centre-ville de Laon. Un drame qui interroge sur les risques que prennent les pompiers lors de ces interventions, au cœur des centres villes vétustes.
Ami·es pour la vie ? Dans ce hors-série en deux épisodes, la journaliste Élodie Font explore la complexité de nos liens d'amitié. Parfois, les amitiés d'enfance se délitent, sans rupture nette. On a du mal à ne plus se considérer comme des ami·e·s, mais lorsqu'on se croise par hasard et qu'on se dit qu'il faudrait se prendre un café, une part de nous sait bien qu'on ne le fera jamais. Une part de nous sait bien qu'on n'aura plus grand-chose à se dire, si ce n'est ressasser des histoires du passé. Qu'est-ce qu'il se passe quand les différences entre ami·es se creusent ? Est-ce que l'on change d'ami·es parce que l'on change soi-même ? Comment faire en sorte que ces liens ne deviennent pas des relations-souvenirs ? Avons-nous une jauge d'amitié qui ne pourrait pas se remplir indéfiniment ?Cette semaine encore, Marie Misset cède son micro à Elodie Font pour une mini-série d'Émotions sur les amitiés d'enfance. Elle recueille les témoignages de Caro*, Anne-Claire, Lina, Camille, Pénélope, Charles et Serge et les analyses de Lubomir Lamy, professeur de psychologie sociale, et Pauline Rochart autrice de l'essai Ceux qui reviennent. Pour aller plus loin : Le numéro Amitié, qu'est-ce qui nous lie ? de la revue Le Un Hebdo du 19 mars 2025L'étude How many hours does it take to make a friend? De Jeffrey Hall pour l'University of KansasLe livre Amitiés – La nature et l'impact de nos relations les plus importantes de Robin DunbarL'étude En bonne compagnie – La grande étude suisse sur l'amitié du Gottlieb Duttweiler Institute L'étude L'amitié comme processus social de Paul Lazarsfeld et Robert MertonÉmotions est un podcast de Louie Media. Elodie Font a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est de Guillaume Girault. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Suivez Louie Media sur Instagram et Facebook.*le prénom a été modifié. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du coût des anciens Premiers ministres, qui coûtent de plus en plus cher aux contribuables.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du coût des anciens Premiers ministres, qui coûtent de plus en plus cher aux contribuables.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Sénégal, cinq anciens ministres, soupçonnés de détournement de fonds et de corruption bientôt jugés par la Haute Cour de justice. Une procédure rare dans le pays. L'opposition dénonce une chasse aux sorcières. Qu'en pensez-vous ?
En pharmacie, dans les cliniques esthétiques ou sur les réseaux sociaux, bon nombre de solutions prétendument miracles sont proposées pour lutter contre un mal répandu : la calvitie ! Parfois moqués, souvent commentés, les crânes glabres ou dégarnis sont aussi devenus sexy grâce à des figures du grand écran comme Bruce Willis. Mais quel regard les Anciens portaient-ils sur les chauves ? Les perceptions actuelles de la calvitie étaient-elles déjà ancrées dans l'imaginaires des Romains de l'Antiquité ? Virginie Girod reçoit l'historien Robinson Baudry. Maître de conférences en histoire romaine à l'Université Paris Nanterre, il publie, avec Caroline Husquin, l'ouvrage "Les chauves, histoire d'un préjugé dans la Rome antique" aux éditions Dunod. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous que l'Impératrice Poppée, épouse de Néron, prenait régulièrement des bains au lait d'ânesse ? Que Jules César, souffrant de calvitie, cherchait à la cacher ? Et si, pour conserver beauté et jeunesse, nous avions beaucoup à apprendre des hommes et des femmes de l'Antiquité ? La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, découvrez trois épisodes inédits consacrés aux normes de beauté chez les Anciens ! Du sex appeal des gladiateurs aux beautés fatales romaines, vous saurez tout sur l'art de plaire dans l'Antiquité !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Sans les smartphones, leurs mms, sms et autres gifs, comment faire pour insulter quelqu'un à distance dans l'Antiquité ? Comment être sûr que votre adversaire reçoive bien le message ? Les anciens prenaient la chose très au sérieux : par exemple, en gravant une injure sur un mur, comme pour les graffitis romains, ou directement sur une balle de fronde grecque, qu'on envoyait tout droit dans la tronche de son ennemi ! Ou, encore mieux, on utilisait l'ancêtre des réseaux sociaux : la place publique !Bonne écoute !
durée : 00:57:42 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En 2016, un accord de paix a mis fin à plus de 60 ans de conflit entre le gouvernement colombien et les Forces armées révolutionnaires (FARC). Un an après, les programmes de démobilisation et de réinsertion pour les anciens combattants ont été lancés, mais le retour à la vie civile reste difficile. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Camille Boutron Sociologue, chercheuse associée à l'Institut pour la paix; Julie Massal Chercheuse indépendante, associée à l'IFEA, spécialiste des mouvements sociaux notamment sur la Colombie; Valérie Robin Azevedo Professeure d'anthropologie à l'Université de Paris Cité et chercheure à l'Unité de recherche migrations et société (URMIS)