POPULARITY
---------
durée : 00:02:16 - Affaires classées par Thierry Sagardoytho - France Bleu - A l’été 1840, un crime horrible ébranle le département. Un retraité est assassiné dans sa ferme du village de Domezain, près de Saint-Palais. Deux jours plus tard, les gendarmes interpellent un suspect dans une auberge Paloise.
durée : 00:02:07 - Affaires classées par Thierry Sagardoytho - France Bleu - Juillet 1840, le vieux Larrandart est assassiné dans sa ferme du village de Domezain, près de Saint-Palais. L’enquête mène les gendarmes sur la trace d’un homme trentenaire natif du village. Plusieurs témoins disent le reconnaître.
durée : 00:02:09 - Affaires classées par Thierry Sagardoytho - France Bleu - En juillet 1840, un agriculteur retraité est assassiné dans sa ferme à Domezain, près de Saint-Palais. Sa belle-fille découvre le cadavre lacéré de plusieurs coups de couteau. L’enquête débute. Les gendarmes découvrent près d’un ruisseau les vêtements de l’assassin présumé.
durée : 00:02:07 - Affaires classées par Thierry Sagardoytho - France Bleu - En juillet 1840, un retraité de 80 printemps est assassiné dans sa ferme au village de Domezain, près de Saint-Palais. Sa belle-fille découvre le cadavre lacéré de plusieurs coups de couteau, au beau milieu de la cuisine.
durée : 00:02:08 - Affaires classées par Thierry Sagardoytho - France Bleu - Qui a tué le vieux Larrandart ? A l’été 1840, un retraité est assassiné dans la cuisine de sa modeste ferme, au village de Domezain, près de Saint-Palais au Pays Basque. Deux jours plus tard, les gendarmes interpellent un suspect dans une auberge paloise. Est-il coupable ou innocent ?
tooBordo : la webradio ludique, pédagogique et solidaire de Bordeaux
Créée en janvier 2019, La Cravate Solidaire Bordeaux a pour volonté de contribuer à l'égalité des chances face à l'emploi et à lutter contre les discriminations. L'association collecte et distribue des tenues professionnelles aux personnes qu'elle aide pour pour favoriser leur accès à l'emploi. Coachs en image, recruteurs bénévoles, ateliers de préparation à l'entretien d'embauche, les bénéficiaires peuvent compter sur le soutien et les compétences d'Anne Poujeade (directrice, co-fondatrice) et de son équipe ! --- Send in a voice message: https://anchor.fm/toobordo/message
Evangile de l'Esprit au moyen de Loukas 5 verset 36-39
https://ingeventes.fr/biais-cognitif/Cette fois, pas de faux suspense : on décide de comment on va aimer quelque chose avant même de commencer à le juger. C'est vrai pour les Brownies ou les Bières de nos exemples du jour, mais c'est aussi vrai au sens plus large.Dans notre exploration des biais cognitifs, on avait déjà vu l'erreur fondamentale d'attribution. Dans le même esprit, on va voir cette fois que le contexte est un amplificateur de notre ressenti. Alors, est-ce que le dressage c'est vraiment important ? Est-ce qu'on pourrait apprécier des repas de la même manière, les yeux bandés et dans le noir complet ? Il semblerait bien que non !Comme d'habitude, vous pouvez vous abonner à mon Brainstorm mensuel ici : https://ingeventes.fr/brainstorm/Et, vous pouvez retrouver les notes complètes de l'épisode ici : https://ingeventes.fr/biais-cognitif/theorie-des-attentes/
Scénario 12 - Des Rats et des Rats 2 Épisode 11 - L'habit fait le moine Il y a 1 an, les tous premiers héros de la Rôlisterie, Guenille, Deborat et Krud, avaient mis la main sur les trois bâtons du Dieu décomposé. Ce faisant, ils avaient libéré Charogne, le Million de Rats, de sa sinistre prison de Ralisken... Aujourd'hui, les revoilà ! Armés d'un Knut, d'un saucisson aux épices et de bonnes intentions, parviendront-ils à déjouer les complots du Mage Grouillant avant que la terrible marée des rats n'atteigne leur nouveau refuge de Tortswald ? Retrouvez également la Rôlisterie sur : le site web https://larolisterie.fr Facebook https://www.facebook.com/rolisterie Twitter https://twitter.com/rolisterie Instagram https://www.instagram.com/rolisterie Twitch https://www.twitch.tv/rolisterie YouTube https://www.youtube.com/channel/UC2gJG4NQzEDsjgeqzKgDnFQ itch.io (la ludothèque) https://la-rolisterie.itch.io Medium (le blog) https://medium.com/@rolisterie
Commentaires vivants et étudiés sur les lectures liturgiques, les péricopes évangéliques, pour les derniers dimanches de Pentecôte. Lu par : Monique Chuberre
Bienvenue dans Le Sapping, le podcast du sens de l'Habit. Il est produit par Thegoodgoods [http://thegoodgoods.fr/], 1er média mode et lifestyle éco-responsables. Tous les 10 jours, Thegoodgoods fait la lumière sur les acteurs de la mode responsable : écologique, socialement engagée, inclusive et qui innove pour devenir meilleure. Aujourd’hui, Le Sapping reçoit Swann Périssé pour parler d'influence positive. Swann Périssé est une femme artiste, humoriste, et une entrepreneure. Elle se produit sur scène et réalise des vidéos sur une chaine Youtube suivie par un demi million de personnes. Swann a fondé et gère sa propre société de production, l’ensemble de ses réseaux sur lesquels elle fédère des femmes et des hommes de tous les âges et milieux autour du rire. Elle a choisi cet outil pour aborder des sujets de société profonds : écologie, féminisme, féminité, respect, créativité, l’ambition d’être soi ou encore l’indépendance. Le tout avec une grande dose d’humanité et de sincérité qui la rendent unique et qui touchent individuellement ceux et celles qu’on regroupe grossièrement sour le terme de followers. Mais finalement, ces followers, sont-ils des suiveurs ou des personnes avec lesquelles on partage des expériences humaines ? Comment rester soi-même devant une audience massive et exponentielle ? Peut-on utiliser positivement son pouvoir d’influence, notamment - vous nous voyez venir - , au service de marques dont on partage les engagements ? Avec Swann, on prend le temps. On vous emmène prendre un café avec nous dans une petit adresse parisienne, à l’époque, si lointaine, de notre liberté de mouvements. On parle de son rapport aux vêtements, de sa créativité, de Youtube en tant que métier, de sororité et du pouvoir d’exister quand on ose donner vie à ses idées. Pour le plaisir d’y être encore un peu, on a laissé le bruit du mousseux de lait en fond sonore. Les 5 mot-clefs de l’épisode : douce, authentique, téméraire, brillante, déterminée. BONNE ÉCOUTE ! SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE 3' Présentation Swann de 17 à 22 ans De Science Po Paris à l’humour Swann passe du stand up à la vidéo, puis la production et la mise en scène Pourquoi Swann a choisi Youtube comme médium en parallèle du stand up Sa première fois à l’Olympia, ce que l’on ressent seule sur scène, son amour du travail en équipe 10’ Différence entre comédien et humoriste, quand on incarne des personnage dans ces vidéos ? Comment on crée un personnage Sa chaine Youtube : une chaine porteuse d’histoire engagée pour changer le monde par l’humour 15’ D’où vient son éveil écologique ? Swann a traversé une période de précarité et à travaillé sur un marché Comment elle a appris à vivre de façon modeste, frugale Ce qui la différencie des influenceurs traditionnels qui créent du besoin (maison, vêtements, bijoux, voyages) Son amour de la France, des choses simples, 17’ La première rencontre entre Swann & Victoire : un fight au sujet des vêtements, son rapport aux vêtements Besoin de plus aujourd’hui, développer son style est devenu un besoin Veut travailler avec des marques engagées Pourquoi elle es très féminine, porte du moulant, des décolletés, des mini-jupes, du maquillage, Son style est choisi et assumé, c’est pour Swann une façon d’être féministe sans accepter les codes masculins pour faire du business 22’ Déconstruction du rapport genré : les hommes n’ont pas la liberté de se pomponner comme les femmes (vernis, mettre des robes etc) Ce qui nourrit sa créativité c’est de canaliser sa révolte, de ressentir les émotions, les retranscrire du le papier, les digérer et les transformer en un moment créatif Pourquoi le rire engagé ? Ne pas nier que la vie est dure mais se servir de l’humour pour la positivité et être combatif 27’ Importance du costume dans son travail L’exemple de Chambre Froide Les costumes disent des choses imperceptibles Ils sont liés à son rapport au style au lycée 33’ Faire appel aux marques éthiques ou aux friperies pour les tournages, plutôt que d’acheter des vêtements cheap 35’ Quand est-ce que Swann a pris conscience de son influence ? Comment on gère 500k abonnés ? Étape de professionnalisation Assumer les éthiques engagées (female empowerment et mode éthique, pouvoir leur répondre au sujet de la provenance de ses vêtements et ses accessoires de façon ludique et pas moralisatrice) Sa collab avec Sakina MSa (RÉ-)ÉCOUTER L'ÉPISODE DU SAPPING AVEC SAKINA MSA Comment Swann se renseigne sur les marques et fait passer une info subtile Distiller ces messages féministes et écologiques au sein de messages humoristiques 40’ Quel est le modèle économique de l’influence ? Classique : - Youtube : nombre de vues, placement de produits (mention et et présentation dédiée) - Instagram : idem pour les produits - Challenge cette année : faire des partenariat à long terme avec des marques qui ont beaucoup de budget Continuer à être éthique en refusant des marques qui ont des gros budgets et peu de convictions ou ne sont pas en transition 45’ Gère son rapport aux marques Mauvais targetting : marque qui vend de la viande alors qu’elle est végétarienne (Rillettes, Burger King) Comment elle fait la part entre marques engagées et green-washing 50’ Rapport à la seconde main Éco-système Youtube, entraide féminine, invisibilisation des femmes sur Youtube 55’ Les femmes fortes / qui inspirent Swann dans la vie Thegoodgoods / Victoire satto (yeah !), Juliette Katz, Julie Manoukian, Nadjelika, Clara Victoryia, Louane Man Show 60’ Anatomie de sa tenue Citation fétiche RÉFÉRENCES CITÉES LES COUILLES SUR LA TABLE CLARA VICTORYA SAKINA MSA JULIE MANOUKIAN COUCOU LES GIRLZ LOUANE MAN SHOW NADJELIKA LA TONKINOISE MAISON LOUVE NORMAN THAVAUX THRIFT SHOP SEATTLE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Avant de partir, si vous appréciez le podcast, ce qui nous aide le plus pour le porter aux oreilles d'un maximum de personnes, c'est que vous preniez quelques secondes pour laisser une note étoilée sur Apple Podcast ou sur Itunes. On vous invite à :
Bienvenue dans Le Sapping, le podcast du sens de l'Habit. Il est produit par Thegoodgoods [http://thegoodgoods.fr/], 1er média mode et lifestyle éco-responsables. Tous les 10 jours, Thegoodgoods fait la lumière sur les acteurs de la mode responsable : écologique, socialement engagée, inclusive et qui innove pour devenir meilleure. On sait que l’économie mondiale va être très lourdement grevée par la crise sanitaire actuelle. Un peu partout, on voit émerger l’hypothèse d’une modification profonde de nos habitudes de consommation après la crise et d’une transformation des marques vers des modèles plus raisonnés. Je ne sais pas qui mettra ses paroles en actes, mais je connais ceux qui n’ont pas attendu l’épidémie pour entreprendre le changement. Une stratégie RSE s’inscrit dans le temps long et d’un des premiers critères de son succès c’est la fidélité. Nathalie Lebas Vautier est entrepreneure engagée dans la mode durable depuis 17 ans. Elle a fondé avec son mari en 2004 une des marques éthique les plus connues en France : Ekyog À l’époque, l’Inde ne comptait de 15 cultivateurs de coton biologique, Nathalie et Louis Marie sont partis sur le terrain à la rencontre des acteurs du bio et des organismes certificateurs qui eux aussi démarraient. En 13 ans, la marque a développé 51 magasins et 130 emplois en France. Depuis 4 ans, le couple vit une nouvelle aventure au sein de Good Fabric, une seconde entreprise qui accompagner les marques dans leur diagnostic et stratégie RSE jusque sur le terrain et dans la modification de leur business modèle. Nathalie construit son travail en imaginant la société idéale à 2030 et 2040 Good Fabric est également fabricant de produits textiles certifiés pour des marques qui vont de Biocoop à Éric Bompard. Dans cet épisode on parle de coton biologique, de cachemire, des matières recyclées et des matières végétales, de la force des relations humaines pour bâtir de projets colossaux avec de petits moyens financiers, de transformation profonde effective ou sortir d’une logique bureaucratique & de marge à tout et surtout, à n’importe quel prix. Je vous propose de profiter du confinement pour refaire le zéro de nos pratiques à l’aide d’un mode d’emploi concret, basé sur des faits plus que des effets d’annonce. Je laisse la parole à Nathalie à laquelle j’associe ces 5 mot-clefs : vision, savoir-faire, savoir-être, éco-féminisme, coopération (RE-)LIRE NOTRE ARTICLE SUR LES DÉMENTIS AUTOUR DU COTON BIOLOGIQUE ET DU CACHEMIRE : https://www.thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/dementis-sur-le-coton-biologique-cachemire-good-fabric CHiLLENGEs : NOTRE GUIDE DU CONFINEMENT RÉUSSI ! https://www.thegoodgoods.fr/formulaire-chillenges/recevoir-chillenges SE RETROUVER DANS L’ÉPISODE 0’-5’ Entrepreneure engagée dans la mode durable depuis 17 ans La création de la marque Ekyog, en commençant par structurer une filière de coton biologique en Inde, après avoir réalisé que la culture de coton est la plus polluante des cultures au monde. 200 000 personnes sont reconnues par l’OMS comme intoxiquées du fait des seuls pesticides Comment faire émerger un business engagé dans une époque où le marché n’est pas prêt L’entreprenariat : avancer en permanence en dehors de sa zone de confort Passer de la création à 51 magasins et 130 emplois en France 5’-10’ Le secret pour réaliser de grands projets sans avoir de gros moyens De l’importance de se confronter à la réalité du terrain : rencontrer ses interlocuteurs sur toute la chaine de production pour connaitre leurs réalités, leur difficultés, leur métier et apporter des solutions construites à la lumière de ces informations, en partenariat avec eux Importance du maintien de ce dialogue à long terme : visites annuelles, test réguliers des sols de culture et des balles de matières La responsabilité et le coût d’une certification doivent être partagés. Aujourd’hui il est vendu plus de coton biologique qu’il n’en est réellement produit, chacun est garant de ces engagements devant le consommateur final Good Fabric a deux métier : Accompagner les marques et entreprises dans leur diagnostic et stratégie RSE, y compris sur le terrain et dans la modification de leur business modèle. Un peu plus loin : imaginer la société à 2030 et 2040 Fabriquer des produits certifiés pour des marques comme Biocoop, Bompard etc, dans le textile 10-20 Transformation RSE : comment convaincre en interne ? La RSE : c’est un chemin long et une capacité à faire des choix, donc renoncer Par quoi commencer quand on est une marque de fast-fashion : ajuster les métiers d’acheteurs, chefs de produits qui ont des réflexes depuis des années à ajuster au service de cette démarche RSE. Pourquoi il est plus simple de mettre en place une stratégie RSE quand on n’a pas d’actionnaires 20’-30’ Entretenir une relation avec ses partenaires de terrain : un des premiers critères de la RSE, c’est la fidélité, les engagements doivent être faits sur plusieurs années. Comment s’engager concrètement avec eux, équilibrer les responsabilités mais aussi les coûts Pourquoi définir un prix fixe de la matière première et se décorréler du cours mondial du marché. La vision du business de Nathalie est aussi humaine : le prix et le Chiffre d’Affaire ne sont pas les seuls outils de valorisation d’une entreprise Du story telling au story doing : entreprises, qu’est ce que vous faites réellement ? Différence entre organismes certificateurs et vérificateurs Pourquoi avoir une certification, c’est très bien mais ça n’est pas suffisant De l’intérêt de s’intéresser aux modes d’agriculture en transition, les coton-culteurs non certifiés en passe de le devenir 30’-40’ Le cachemire De 69 à 400 € : comment s’y retrouver ? Tonte VS peignage : qu’est-ce qui est mieux pour l’animal ? Pour la matière ? Good Fabric a structuré une filière de cachemire durable en Mongolie Extérieure, en partenariat avec des éleveurs nomades encadrés par AVSF (Association des Vétérinaires Sans Frontières) 40’-50’ Mode responsable : où en sont les différents acteurs du marché ? Luxe artisanal, luxe industriel, grande distribution Comment sortir de la logique bureaucratique & de marge à tout et n’importe quel prix. Un point sur les matières recyclées et la structuration d’une filière de recyclage pré-consumer propre Un point sur le cuir Un point sur les matières végétales non industrialisées LE SITE DE GOOD FABRIC https://www.instagram.com/good.fabric/ (RE-)LIRE NOTRE ARTICLE SUR LES DÉMENTIS AUTOUR DU COTON BIOLOGIQUE ET DU CACHEMIRE https://www.thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/dementis-sur-le-coton-biologique-cachemire-good-fabric LES RÉFÉRENCES CITÉES Ekyog Ecocert Control Union Biocoop Bompard Ademe Pinatex CHiLLENGEs : NOTRE GUIDE DU CONFINEMENT RÉUSSI ! https://www.thegoodgoods.fr/formulaire-chillenges/recevoir-chillenges
Bienvenue dans Le Sapping, le podcast du sens de l'Habit. Il est produit par Thegoodgoods [http://thegoodgoods.fr/], 1er média mode et lifestyle éco-responsables. Tous les 10 jours, Thegoodgoods fait la lumière sur les acteurs de la mode responsable : écologique, socialement engagée, inclusive et qui innove pour devenir meilleure. Aujourd’hui, je reçois Romain Costa pour parler de l’influence positive et de la représentation de l’homosexualité dans les médias. Aujourd’hui je reçois Thomas Delattre pour parler des comportements des consommateurs. Thomas est Professeur à L’IFM - Institut français de la Mode. Ses travaux de recherches portent essentiellement sur les mutations de la consommation dans la mode et le luxe, et les stratégies des entreprises pour y répondre. Plus concrètement, cet épisode s’appuie sur les résultats de deux internationales études menées par l’IFM en 2019 sur la mode responsable et la seconde main. 42% des français ont acheté moins de vêtements en volume et en valeur cette année là. Est-ce pour des raisons budgétaires ? Écologiques ? La déconsommation est-elle une contrainte ou un choix ? Quelle est la place de la mode éthique dans leur budget et avant cela, leur connaissance des matières, des labels, et des marques ? On cherche particulièrement à connaître les freins à leurs achats responsables. Si Thomas décortique ces données, c’est pour guider les marques dans leurs stratégies mais aussi pour faire la chasse aux fake news, aux idées reçues ou aux pronostics impossibles : non les millénials ne sont pas définis par leur âge, non il n’est pas possible de prédire que la seconde main dépasse le marché du neuf dans 10 ans, non l’industrie de la mode n’est pas la deuxième plus polluante au monde. Des données chiffrées et des études sérieuses… Vous vous doutez que j’avais plein de questions pour Thomas. Alors une fois n’est pas coutume, rendons la mode cérébrale le temps d’une conversation autour de 5 mot-clefs : science, crédibilité, industrie, enseignement et futur. Petit aparté avant de commencer : j’espère que vous écoutez ce podcast à l’abri, chez vous et que vos proches vont bien, que tout le monde autour de vous respecte scrupuleusement les règles de confinement. La team Thegoodgoods est au taquet en télétravail pour continuer à vous divertir et tenter de vous apprendre des choses. On vous prépare une petite surprise à guetter dans votre boite email si vous êtes abonné/e à notre newsletter et sur nos réseaux dans un deuxième temps. La période que nous traverserons au décours du confinement va être très difficile économiquement pour toutes les marques, notamment les petits acteurs engagés qui n’ont que quelques années de vie. Je vous invite à les soutenir avec des messages positifs, à suivre leur actualité, et peut-être à vous tourner vers eux quand vous aurez des achats à réaliser. Le seul bon point qu’on peut donner à cette douloureuse traversée c’est sans doute qu’elle nous apprend à vivre avec moins. On dit qu’il faut trois semaines pour se défaire de ses habitudes, je crois qu’il nous appartient de donner du bon sens à celles qu’on prendra quand on sera sortis de là. Heureusement dans l’intervalle j’ai quelques épisodes d’avance pour câliner vos oreilles. Bon courage à tous, Très bonne écoute ! TRAME DE L’ÉPISODE PREMIÈRE PARTIE : LES CONSOMMATEURS & LA MODE DURABLE 0’-5’ À quoi sert une étude consommateur ? Est-ce l’industrie guide le consommateur ou le consommateur guide l’industrie ? La voix et la place du citoyen sont grandissantes et orientent aujourd’hui les marques dans leurs choix stratégiques. On découvre comment. 5’-10‘ Il y a plusieurs façons de faire de la recherche : Académique (doctorat) Appliquée : observation consommateur et de la conjoncture Quantitative : x milliers de consommateurs pour avoir un panel représentatif des français ou d’autres pays Qualitative : interrogation individuelle ou en groupe pour comprendre les citoyens (cf documentaire IFM (Radical Fashion Kids) 10’-20’ Étude 2019 : Chair IFM-Première Vision Fashion markets in Europe & The United States : Toward Sustainable Consumption ? 42% des français ont acheté moins de vêtements : ces chiffres sont stables et perdurent 15% d’achats en valeur et en volume Beaucoup achètent moins qu’avant, baisse en volume et en valeur de 15% Les raisons multiples : accroissement des soldes et des bas prix, tendance au désencombrement, dépense dans d’autres secteurs notamment les télécoms. La part du budget alloué au secteur habillement (vêtements, chaussures, accessoires) baisse depuis 1960 tandis que le pouvoir d’achat augmente. Pourquoi ? Quelle catégorie de consommation est favorisée dans les arbitrages de consommation des français Depuis les années 2000 et la multiplication des promotions, il existe une modification du rapport des français au prix. Le prix reste cependant le principal moteur de l’achat. Aujourd’hui en France 50% des dépenses de mode se font en promotion contre moins de 30% il y a 10 ans. 20’- 30’ Les millenials et autres catégories de consommateurs : pourquoi ne devrait-on pas les limiter à l’âge, pourquoi il décrivent davantage des habitudes et un comportement d’achat. Quelles applications pratiques pour la communication d’une marque ? Quelle est la perception de la « mode responsable » (et sa définition) pour le consommateur aujourd’hui ? Les réponses de 5000 consommateurs Européennes parmi : Environnement Matières Condition de fabrication Lieu de fabrication Le consommateur a une bonne connaissance des matières, une très faible connaissance des labels et un degré de confiance variable en les marques : Aux USA : plus d’effort de pédagogie, plus d’offre, le consommateur a une meilleure connaissance et une confiance accrue En France : comportement défiant, militant et accusation de greenwashing encore prégnantes (RE-)LIRE NOS ARTICLES SUR LE GREENWASHING : H&M, AMAZON, LES GÉANTS DU SPORT https://www.thegoodgoods.fr/mode-ethique/conseils/peut-on-avoir-confiance-en-les-initiatives-conscious-des-grandes-enseignes https://www.thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/amazon-amazon-fashion-flagrant-delit-de-greenwashing https://www.thegoodgoods.fr/mode-ethique/conseils/eco-bragging-le-danger-du-sustainable-tendance 80% des consommateurs déclarent regarder l’étiquette, à l’heure actuelle nous n’avons pas de bases de données suffisantes concernant les marques. Quels sont les freins à la consommation de mode responsable pour les français ? Le manque d’information sur les produits, les marques et les sites d’achat ? Le style ? Le prix ? 31 % des consommateurs sont capables de citer une marque aux États-Unis vs 23% en France Quel parallèle peut-on faire entre l’évolution des marchés de la food et de la cosmétique ? DEUXIÈME PARTIE : LA SECONDE MAIN 30-45’ En 2019, le marché de la seconde main en france est estimée à 1 milliard d’euros, sur un marché de mode et luxe global estimé à 47 milliards (en chiffre d’affaire) C’est : 40% de plus qu’en 2018 15% qu’il y a 10 ans 30% des personnes interrogées ont non seulement acheté mais aussi vendu de la seconde main, fait nouveau. Quelles sont les raisons de ce boom ? Le prix ? Le Style ? L’écologie ? Quels sont les canaux sur lesquels les français achètent ? En ligne ? En brocante ? En friperies ? Quand on est une marque, doit-on intègre ce marché dans son business model et si oui comment ? Est-ce que cela dégrade l’image de marque ? Un mot sur les marchés circulaires alternatifs (location, leasing). 45’-50’ Pourquoi les données scientifiques et les études sont utiles pour faire la chasse aux fake news et aux pronostics impossibles. RÉFÉRENCES CITÉES Clear Fashion Valérie Steele https://podcast.ausha.co/le-sapping/valerie-steele-def Radical Fashion Guide IFM https://www.ifmparis.fr/ Infantium Victoria https://www.thegoodgoods.fr/mode-ethique/infantium-victoria-marque-ethique-enfants-funs-militants 2nd polluter - Fake News in fashion -https://www.thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/non-la-mode-n-est-pas-la-2eme-industrie-la-plus-polluante-au-monde Programme IFM label Première Vision Paris https://www.thegoodgoods.fr/tgg-news/events/premiere-vision-de-grands-moyens-pour-des-grandes-actions-villepinte - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Avant de partir, si vous appréciez le podcast, ce qui nous aide le plus pour le porter aux oreilles d'un maximum de personnes, c'est que vous preniez quelques secondes pour laisser une note étoilée sur Apple Podcast ou sur Itunes. On vous invite à :
Bienvenue dans Le Sapping, le podcast du sens de l'Habit. Il est produit par Thegoodgoods [http://thegoodgoods.fr/], 1er média mode et lifestyle éco-responsables. Tous les 10 jours, Thegoodgoods fait la lumière sur les acteurs de la mode responsable : écologique, socialement engagée, inclusive et qui innove pour devenir meilleure. Aujourd’hui, je reçois Romain Costa pour parler de l’influence positive et de la représentation de l’homosexualité dans les médias. Romain Costa est architecte, également passionné par la mode et la photographie. Il lie brillamment les 3 à travers un compte Instagram aujourd’hui suivi par 126 000 personnes. Romain est en école d’architecture quand il devient influenceur malgré lui, un terme qu’il n’aime pas particulièrement d’ailleurs. Pour lui, son compte est une grande bande de potes avec laquelle il partage ses inspirations et sa sensibilité, la culture qui fait son quotidien. Son quotidien, il le vit avec un garçon. Pour certains c’est un non lieu, pour d’autres, c’est dérangeant ou anormal, d’autres encore pensent qu’il est courageux de l’assumer devant 126 000 personnes. C’est peut être ça qui résume aujourd’hui l’homosexualité dans les médias : très peu la vivent mais tout le monde a un avis sur la question. Romain lutte activement et avec bienveillance contre les phobies envers les communautés LGBTs, pour que le terme « gay » ne résume pas son identité, pour que personne n’ait à souffrir de ce qu’il n’a pas décidé d’être : attiré par quelqu’un du même sexe. Si Instagram excelle dans l’art de nous présenter des vies idéales, c’est aussi une plateforme sur laquelle la haine homophobe est sans filtre et la violence, directe ou insidieuse, quotidienne. Romain a décidé d’utiliser son influence pour fédérer dans l’intelligence. Avec pédagogie, il explique pourquoi c’est difficile d’avoir à être « accepté » par ceux qu’on aime quand on fait son coming out, pourquoi dire « tapette ou pédé », même quand on rigole, c’est blesser un peu plus chaque fois. Il essaie d’être le repère dont lui même a manqué : un homme normal, loin des clichés de La cage aux folles. Nous avons voulu donner la parole à Romain parce que nous sommes convaincus que l’influence peut-être responsable. L’influence peut servir à délivrer des messages positifs qui n’ont rien à vendre, éduquer à la tolérance, générer une émotion qui nous rappelle notre humanité. Tous différents, et tous égaux. Parce qu’il vieux vaut mieux être clivant que risquer de passer à côté de soi… Les 5 mot-clefs à cet épisode ce serait : bleu, partage, puissance, image, et visibilité. RÉSUMÉ DU PODCAST (ordre chronologique) Une éducation Romain a 30 ans et est issu du Nord de la France, il a suivi des études d’Architecture à Bruxelles en Belgique puis fondé Costa-Bonnamour avec Evane Bonnamour. Ensemble ils conçoivent des projets d’architecture, de décoration d’intérieur.Romain a grandi à Lille, dans un milieu bourgeois, ce qui est important pour expliquer son parcours. Il exerce aujourd’hui deux métiers : architecte et personnalité d’influence qui prend des photographies. Il se différencie d’un photographe car il n’en a pas la technique, il voit le monde avec l’œil d’un architecte, différemment.Il a toujours voulu exercer ce métier, son père a fait les Beaux-Arts et lui a transmis la passion du dessin, des belles choses et de la photographie très jeune.Malgré lui, il est devenu influent sur Instagram. Il démarre en 2013 aux débuts de la plateforme, délaissant Facebook, trop intrusif. Il partage alors des images avec des inconnus qui ont aussi envie de découvrir qui prend les photos, alors il se shoote de temps en temps avec un look.Un jour surréaliste, son compte explose. Instagram le feature dans les comptes à suivre lorsqu’on s’inscrit sur la plateforme. Il passe de quelques milliers à 40 000 abonnés. Il est amusé sans savoir qu’il va en faire quelque chose. Instagram success story Il est alors repéré par un agent d’influencer qui le met en relation avec une première marque et réalise ainsi son premier contrat, circonspect en voyant qu’il se tue à la tâche dans ses études et son job étudiant tandis qu’il peut gagner de l’argent avec une photo sur Instagram.Il s’installe à Paris et reçoit deux semaines plus tard un message de l’Élysée qui l’invite à venir prendre des photos pour mettre en avant le bâtiment dans le cadre des journées du patrimoine. Beaucoup ont théorisé sur la relation entre mode et l’architecture, la façade et le tissu. Étant ses passions, il s’épanouit très vite en communiquant à ces sujets.Romain prend la mesure de la croissance de son compte mais pas de son « influence », il considère que les gens suivent sciemment ses contenus partagés comme avec une bande de potes qui recevraient des conseils sur des expos ou des vêtements, il ne souhaite pousser à la consommation ou à l’achat. « Quand une marque me contacte, je leur dis immédiatement que si leur objectif est d’être en rupture de stocks, ils s’adressent à la mauvaise personne. » L’homosexualité en place publique La marque doit obligatoirement être en accord avec le fait qu’il vive avec un homme. À cette interrogation, il décrit les différents façons qu'on les marques de répondre, plus ou moins délicates… Indirecte : brutale et violenteDirecte : via un email qui se veut bienveillant mais déplacé, tel que « Nous souhaitons une personne virile avec des valeurs familiales fortes ». Il tente alors d’expliquer avec pédagogie ce pourquoi c’est blessant. Il existe selon lui 3 types de personnes homophobes : Le "petit con" : la personne qui ne savait pas mais réalise son erreur quand on la lui explique, redoublera d’attention Le "moyen con" : dubitatif mais d’accord sur le fait que ses paroles soient déplacées Le "gros con" : qui ne se remet pas en questions et ne changera pas Quels repères pour un enfant et un ado homosexuel ? Romain ne s’est jamais posé la question de son homosexualité, mais très jeune on l'a orienté vers le fait qu’il fallait qu’il aime une fille. Lui savait qu’il aimait les garçons mais ne s’octroyait pas le droit de le dire, il fallait le garder ça pour soi dans un milieu bourgeois et catholique où « On accepte tout le monde et on aime son prochain » mais pas apparemment lui. Il a donc été en couple avec des filles jusqu’à 20 ans.Socialement amoureux de filles, il commence pourtant à souffrir de l’homophobie à partir de la primaire, on le traite de « tapette » dans la cour de récré, de « pédé ».Il est avec des enfants bien éduqués sur la violence physique mais pas celle des mots. Le collège et lycée sont les points culminants de l’homophobie et de la violence. Pas de répit à l’école ou chez lui, pas de zone de repli.Il fuit à Bruxelles pour ses études et se protéger, recommencer autre part quelque chose, loin de la violence physique et morale. Sa bulle, ce sont ses études d’architecture en Belgique. Pourtant la première année il n’assume pas d’être homosexuel. Entre sa 1ère et 2ème année l’été, il bouillone. Il rencontre ce qu’il croit être une « amourette de vacances » mais elle dure. L’effet cocotte minute est sans appel : prêt à exploser, il a besoin que tout le monde le sache. Coming out Les réactions de ses proches sont diverses mais plutôt bienveillantes, persiste cependant toujours la sensation d’avoir a être « validé », « accepté ». Ces parents lui disent la même chose : « on pensait que tu avais le SIDA ».Cette phrase est terrible à entendre, il le réalise à postériori. Comme si ses parents avaient senti que d’une part quelque chose clochait, que d’autre part l’homosexualité est directement associée à la maladie, une condamnation alors que lui le vit comme une libération.Enfant Romain n’a aucun modèle de couple homosexuel femmes ou hommes. Il voit pour la première fois au lycée le film de Christophe Honoré, Les chansons d’amour, qui le chamboule, première fois où il peut s’identifier à des personnages. Le désir est là, irrépressible : sexuel, émotif, de vivre une histoire d’amour avec un garçon.Enfant il voulait jouer aux Barbies, s’habiller en princesse, cela ne posait pas trop de problème à la maison, sa condition d’homosexuel arrive en dehors de chez lui. « Je ne me sens pas homo, mais tous les jours on me rappelle » Stand out Romain prend la parole au risque de devenir une cible, parce qu’il aimé avoir ces repères, Les chansons d’amour plus que La cage aux folles. Dans la société, tout le monde doit pouvoir s’identifier. Quand on éduque ses enfants il faut s’efforcer de ne pas les orienter dans nos questions. : ne pas demander « Tu as un amoureux ou une amoureuse » mais "Tu es amoureux / se ?". Apprendre la sémantique, à ne pas dire « pédé » de façon banalisée comme on ne dirait pas « black »Lorsqu’il a commencé sa lutte sur Instagram, il a perdu 5000 followers, en postant une photo où il embrasse son copain. Idem le jour où il a posé en robe, pas pour devenir un fille mais pour apprécier l’envergure de la pièce. « Je ne sentais pas anormal, on m’a fait me sentir anormal ». À la suite de la photo de couple, la violence est trop forte : s’il se sent isolé avec une famille aimante, des amis et 126k followers, quid de ceux qui sont rejetés par leurs proches ? Il crée James Dîne avec L’association Le refuge, un dîner par mois avec des LGTB+ et des hétérosexuels, pour échanger, discuter et passer un beau moment de partage. « On doit expliquer aux gens qu’on vit des situations qu’eux ne vivront jamais. Je ne peux pas aller dans certains pays, alors que l’hétérophobie n’existe pas .» Le rapport de l’application vis à vis de son compte à changé depuis qu’il est très engagé sur la cause LGBT. S’il publie beaucoup de contenu LGBT la semaine d’après beaucoup de ses followers ne voient pas ses photos. Romain considère qu’il devrait être aidé par une application quand il ne vend rien, quand ce sont des messages bienveillants. Maintenant il a un sticker sur le visage : les commentaires méchants sont fréquents, certains sont insidieux et viennent de gens éduqués dont le discours est ahurissant, certains autres influencer se rétractent car prendre position est nécessairement clivant. Mais la lutte est là, efficace de jour en jour et proche en un sens des combats féministes. Tous différents, tous égaux. Et ensemble. Est-ce qu'on va un jour en finir avec la haine et les injures ? Est-ce que quelqu'un viendra leur dire qu'on s'aime et que c'est pas impur ? Le compte de Romain https://www.instagram.com/romaincosta_/ Le site Costa-Bonnamour https://www.costabonnamour.com/ Le compte James dîne Le compte Voyage Voyage Association du refuge Hoshi Amour Censure https://www.youtube.com/watch?v=nCKtYXIh1Ac Baiser caché Catherine Jacob Les chansons d’amour La cage aux folles - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Avant de partir, si vous appréciez le podcast, ce qui nous aide le plus pour le porter aux oreilles d'un maximum de personnes, c'est que vous preniez quelques secondes pour laisser une note étoilée sur Apple Podcast ou sur Itunes. On vous invite à :
durée : 00:01:20 - Fête des gosses FB Normandie (Rouen) - Avec les CM1/CM2 de Mélanie, Laureen et Thomas, à l'école du Fidelaire.
Pour obtenir le fichier PDF visite https://www.francaisauthentique.com/lhabit-ne-fait-pas-le-moine/
Dans ce podcast je vous explique pourquoi vous courrez à votre perte si vous négligez votre styleet surtout si vous êtes attaché au regard des autres. cliquez sur ce lien pour réserver votre coaching gratuit de relooking http://zebreetnet.fr/coaching relooking Discutez sur DISCORD en cliquant sur ce lienhttps://discord.gg/7e4CMSq * Contactez-moi email > lionel@zebreetnet.fr https://www.facebook.com/zebreetnet/ https://twitter.com/lionelestan
Catherine LEBRE et Gilles COIFFIER sont respectivement bénévole et chargé des opérations à La Cravate Solidaire Rouen, association qu'ils représentent et nous présentent. Leur mission ? Équiper les personnes pour leur entretien d'embauche. Avec Melvin nous découvrons l'aspect métier du Gaming.
Sujets traités : Un terroriste présumé de 18 ans, arrêté la semaine dernière à Strasbourg. Il a été mis en examen lundi pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Il est soupçonné d'avoir préparé un attentat, mais la cible n'a pas encore été identifiée. Le chantier du GCO peut continuer. Le tribunal administratif estime que l'arrêté préfectoral du 31 août "peut-être entaché d'un doute sur sa légalité", mais que "le suspendre constituerait une atteinte à l'intérêt général". L'habit ne fait pas le moine. Les gendarmes du Haut-Rhin mettent en garde contre une bande d'escrocs qui s'introduisent chez les personnes seules où âgées en se faisant passer pour des ouvriers, pompiers ou policiers. 7ème journée de Ligue 1 de football : OM / RCSA à 19h au stade Vélodrome. 2ème journée de Jeep Elite de basket : Le Portel / SIG à 20h45.
Le sortilège pour y conduire - 2 - L'habit fait le moine Avec la voix de : Xavier Gilbert et Jean de Papa à quoi on joue ?.
Il y a ce que l'on fait, notre métier, son intitulé (c'est à dire le titre, ou l'étiquette), mais aussi à quel point nous sommes en adéquation avec ce titre. Parfois, ce titre nous inhibe, nous retient ou nous empêche d'aller de l'avant. Parfois, il "sous exprime" notre véritable potentiel... Nous sommes plus qu'une étiquette. Il faut pouvoir la décoller facilement si besoin ! Dans ce podcast, nous allons parler des étiquettes et des titres. Durée d'écoute : 4'11 Podcasts mentionnés dans l'épisode : #6 - Apprendre à apprendre #10 - Abandonner : est-ce responsable ? Merci de vous abonner aux Podcasts. Vous pouvez nous suivre via l’app podcast de itunes, Deezer, Stitcher ou sur Soundcloud, ou encore revenir sur le site internet. Vous pouvez aussi nous suivre sur Facebook, Instagram et Twitter. Pour nous écrire, vous pouvez envoyer un mail à hello@slalompro.fr
L'habit ne fait pas le moine
Un jour, la maman de Thomas achète un bel habit de neige brun. Thomas trouve que c'est la chose la plus laide qu'il ait vue de sa vie. Jamais, jamais il ne le portera! Pourtant, l'hiver, si on veut jouer dehors, il faut porter un habit de neige. Thomas ne l'entend pas ainsi. Les enfants vont pouffer de rire en lisant cette histoire amusante pleine de rebondissements!Lu par Claude DespinsLivre publié en 2012 | Éditions Scholastic | 24 pages | Illustrations : Michael Martchenko | | Pour les 3 à 8 ans
Bernadette a un autre prénom : Léa. Elle est costumière, mais elle est aussi peintre. Qu'importe, elle a toujours cherché à être elle-même. Elle parle ici des costumes qu'elle créé pour les comédiens, au cinéma et au théâtre. Ils sont la peau de leurs personnages. Et, comme disait Paul Valéry: "Il n'y a rien de plus profond que la peau."
Podcast et Gomme Balloune: Bande Dessinée | Cinéma | Animation
L'habit de Jean-François ne fait pas le moine, On attrape 2 Sacha avec une seule pierre et chaque Sébastien trouve sa guenille! On parle d'Ant-Man cette semaine! Visitez nous a http://podcastetgommeballoune.com
L’exposition Les Tudors démontre à quel point le costume est un élément de représentation et de pouvoir. Quelques habits ou pièces conservés dans les collections muséales permettent aujourd’hui d’appréhender les matériaux et les lignes de ces vêtements historiques. Mais quand il s’agit de le reconstituer pour le spectacle ou le cinéma, d’autres approches et contraintes entrent en scène… Avec Delphine Pinasa, directrice du Centre National du Costume de Scène (Moulins) et Muriel Barbier, conservateur au Musée national de la Renaissance (Ecouen)