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Donald Trump va-t-il taxer les bateaux sous pavillon chinois ou construits en Chine ? La sanction est à l'étude. Rien n'a été décidé, mais la nouvelle fait déjà frémir les marchés. La simple perspective de voir des taxes massives imposées à tout navire chinois ou battant pavillon chinois qui ferait escale aux États-Unis, se fait déjà sentir : dans le secteur du charbon par exemple, il règne une certaine confusion à en croire la lettre envoyée au bureau du représentant américain au commerce (USTR). Cette lettre fait état d'opérations minières perturbées et de négociations sur des exportations retardées par peur de voir le charbon américain ne plus être compétitif. Or, sur certains types de charbon, le calendrier d'expédition est important pour éviter une exposition trop longue du minerai à l'air libre.Dans cette lettre des responsables du secteur rappellent « qu'un cinquième des 400 000 emplois miniers directs et indirects du pays sont directement liés à l'extraction, au traitement et au transport du charbon destiné à l'exportation » et qu'il est important d'en tenir compte lors de l'examen approfondi des effets relatifs aux éventuelles nouvelles taxes.À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?Exportations américaines à risqueLe charbon, mais aussi les céréales, le pétrole, le gaz naturel liquéfié ou les carburants raffinés, la liste des exportations américaines à risque est longue. Un puissant groupe de pression de l'industrie pétrolière -l'American Petroleum Institute- a fait part de ses craintes ces derniers jours. Idem pour les groupements d'agriculteurs qui demandent une exemption pour les exportations agricoles. En cas de taxation sur les navires chinois, les exportations de céréales et oléagineux qui se font par des navires appelés vraquiers, pourraient subir des coûts de transport annuels supplémentaires allant jusqu'à 930 millions de dollars, selon l'American Farm Bureau Federation.Pour éviter une multiplication des taxes, les navires pourraient décider de limiter les escales dans les ports américains. Les exportateurs devraient alors se battre pour trouver une place à bord et exporter des matières premières américaines coûterait forcément plus cher.À lire aussiLa Chine réplique à Trump en imposant une taxation de 15% sur les importations agricoles américainesLa flotte américaine ne suffira pasLes responsables de la filière charbon le disent clairement, « il est probablement impossible pour les entreprises exportatrices de charbon de se procurer un nombre suffisant de navires de conception et de taille appropriées pour éviter les frais portuaires proposés ». Rien d'étonnant quand on sait que les navires construits aux États-Unis ont représenté seulement 0,1 % du tonnage commercial mondial l'an dernier contre 53 % pour les bateaux chinois selon Clarksons Research cité par le Wall Street Journal. La tendance s'amplifie : plus de 60 % des navires commandés aujourd'hui seront fabriqués par des chantiers navals chinois. Le Southern Group (CSSC) en Chine reste de loin le plus grand groupe de chantiers navals.L'entrée en vigueur de taxes américaines, ne porterait pas un coup immédiat à la Chine, puisque aujourd'hui les commandes passées concernent des navires qui seront livrés en 2027, explique un expert du secteur, mais la mesure pourrait profiter à moyen terme au Japon et à la Corée du Sud, qui ont perdu des parts de marché ces dernières années dans le secteur du transport maritime.À lire aussiÉtats-Unis: les armateurs américains se mobilisent contre la taxations des navires chinois
Alors que le Canada se tourne vers l'Europe pour tenter de faire front à Donald Trump, qui multiplie les déclarations hostiles à Ottawa, des photos discréditant le nouveau Premier ministre libéral, Mark Carney, ont fait leur apparition sur les réseaux sociaux. Ces images trompeuses, fabriquées de toutes pièces, font suite à une campagne de désinformation visant le nouveau chef du gouvernement, à quelques semaines d'élections fédérales anticipées qui devraient être annoncées officiellement ce dimanche 23 mars. La formule de désinformation la plus courante consiste à faire apparaître le candidat libéral devenu Premier ministre du Canada, le 14 mars 2025, en compagnie de personnalités sulfureuses, comme l'explique l'AFP. Une photo a particulièrement retenu notre attention. Elle fait penser à une photo de vacances, mais on y verrait Mark Carney assis sur une chaise de plage aux côtés de l'acteur américain Tom Hanks et de Ghislaine Maxwell, la petite amie de Jeffrey Epstein.Jeffrey Epstein est un tristement célèbre homme d'affaires et criminel sexuel accusé d'avoir réduit en esclavage des dizaines de jeunes filles au profit de la haute société américaine. Ce prédateur a été retrouvé mort dans sa cellule en 2019, alors qu'il attendait d'être jugé pour trafic de mineurs. Mais son image toxique est régulièrement employée sur les réseaux pour discréditer tous ceux qui sont prétendument apparus à ses côtés. Idem pour l'image de son ex-compagne Ghislaine Maxwell, considérée comme la co-organisatrice du trafic et condamnée à 20 ans de prison en 2022, avant de faire appel.Une campagne lancée début 2025Fin janvier déjà, était apparue une photo trompeuse, censée montrer Mark Carney aux côtés de Jeffrey Epstein dans la piscine de la propriété du milliardaire. Cette image, non datée, avait été relayée par plusieurs comptes de la sphère pro-Trump.On estime qu'elle a été vue plus de 200 000 fois, rien que sur X. La photo est apparue pour la première fois en ligne en janvier, lorsque l'ancien Premier ministre Justin Trudeau a annoncé sa démission et lancé la course à la direction du Parti libéral. Elle est devenue virale peu après la victoire de Mark Carney à la tête du parti, le 9 mars. La plateforme Disinfowatch pointe pour sa part la responsabilité de la propagande russe. Une image générée par IAL'image en question est plutôt bien faite. Ses auteurs en ont volontairement dégradé la qualité afin de brouiller les pistes. Toutefois, si on s'attarde sur l'arrière-plan, on distingue plusieurs incohérences. Les filles en maillot de bain ont le visage déformé et l'avant-bras de l'une des baigneuses (sur la gauche de l'image) a une forme en « S » qui ne correspond à la réalité. De plus, même en prenant en compte le phénomène de réfraction de la lumière dans l'eau de la piscine, le bras de Mark Carney apparaît surdimensionné à l'image. Il s'agit d'une infox, comme le détaillent les équipes du collectif Newsguard.Constat similaire sur la photo avec Tom Hanks et Ghislaine Maxwell. Là encore, les doigts sont déformés, et une partie du siège est manquant sous la cuisse droite de Mark Carney. Enfin, si on effectue une recherche par image inversée, on s'aperçoit aussi que cette image a déjà été partagée en ligne, qu'elle porte en bas à droite la mention « Grok ». C'est la signature de l'intelligence artificielle générative d'Elon Musk.Une part d'ambiguïtéEn effectuant des recherches, on retrouve une photo a priori authentique de Mark Carney, à deux pas de Ghislaine Maxwell. Cette photo a refait surface sur les réseaux en janvier 2025, mais elle date de 2013. Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d'Angleterre, avait été photographié lors d'un festival avec sa femme Diana Fox et d'autres personnalités de la société mondaine britannique, dont Ghislaine Maxwell. Lors de la republication, l'équipe de campagne de Carney a démenti tout lien affirmant que Carney et Maxwel « ne sont pas amis ».À lire aussiCanada: le Premier ministre Mark Carney va annoncer des législatives anticipées pour le 28 avril
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Hosťom nového dielu Mimózy bol producent Dano Dangl. Rozprával o tom, prečo sa nepovažuje za herca, scenáristu či režiséra. Vysvetľoval tiež, čo je potrebné zmeniť v slovenskom filmovom priemysle, a prečo si pri tvorbe vyberá vždy ťažšiu cestu. Na záver zhodnotil aj situáciu v kultúre: „Divadiel je málo, literatúry je málo, hudby máme málo. Kultúry na Slovensku potrebujeme viac.“V Mimóze sa (ne)dozviete:01:50 – čo ho momentálne teší;05:17 – či by sa chcel vrátiť k herectvu;06:50 – čo ho viedlo k tomu, čo robí teraz;08:45 – či sa považuje skôr za scenáristu alebo producenta; 11:25 – aké projekty ho bavia najviac; 15:23 – ako vznikla myšlienka filmového festivalu; 18:05 – či sa mu nejaký projekt nepodaril; 21:17 – aký vzťah má k čítaniu a k hudbe;25:20 – či má nejaký pracovný sen; 29:21 – ako sa dá zmeniť vnímanie kultúry na Slovensku; 31:15 – aký odkaz má pre spoločnosť.
Le championnat est toujours autant serré, depuis leur première rencontres, AJ Auxerre, qui affronte l'Olympique de Marseille, va tenter de renouveler son exploit du match aller. Idem dans la seconde partie, où le FC Nantes, en grande crise, va tenter de renverser une équipe Lensoise, qui doit se relancer si elle veut viser l'Europe. Podcast produit par Sport Content.AJ Auxerre vs Olympique de Marseille : 11mFC Nantes vs RC Lens : 40m30sTour des stades : 1h02m
À y regarder d'un peu plus près, la filmographie de Jamel Debbouze est un parcours cabossé. Voire un malentendu depuis le début. Portée globalement par un caractère de zébulon comique pour ses succès, elle a régulièrement été traversée d'écarts plus portés vers le drame que soient par des incursions chez les Jaoui-Bacri, voire, plus étonnamment, chez Luc Besson. Mercato confirme plus pleinement cette envie non seulement en revendiquant d'être un film "sérieux" mais surtout en laissant transparaitre en filigrane un probable inattendu autoportrait. Allez savoir, c'est peut-être la crise de la cinquantaine approchant, Debbouze devenant quinquagénaire cette année, qui a poussé ce polar dans le monde du football en bilan existentiel introspectif. Son personnage s'appelle Driss, mais c'est Jamel que l'on croit percevoir sous les traits d'un type qui vit de son art de la tchatche. Après tout, ce rôle d'agent de joueurs est sans doute assez proche de celui qu'il tient auprès de certaines recrues du Jamel Comedy Club. Idem pour l'univers des coulisses du sport, entre coups de canif ou d'esbroufe probablement peu éloigné de celles du vedettariat. Plus qu'un scénario ou une mise en scène sous influence du Meurtre d'un bookmaker chinois de Cassavetes ou plus récemment du Uncut Gems des frères Safdie, c'est cet axe d'un miroir non déformant, et l'implication évidente d'un Debbouze à l'origine même du projet qui rend Mercato intrigant.Brian Jones et les Rolling Stones propose lui aussi d'aller voir derrière les apparences. Le documentaire de Nick Broomfield rappelle que Jones fut le fondateur du groupe. La façade d'un musicien extravagant qui aura péri de ses excès s'estompe pour faire place au portrait d'un jeune homme brillant, mais tourmenté, marginalisé à la fois par Mick Jagger et Keith Richards, plus enclins à un tempérament de rock stars, et par des parents effarés que leur fils mène une vie de saltimbanque. Brian Jones et les Rolling Stones s'essaie à faire office de réparation, en rappelant qu'il a tenu la même place qu'un George Harrison chez les Beatles, souvent en retrait derrière le binôme McCartney-Lennon. Jagger et Richards sont les grands absents des interviews de ce documentaire. Que cela soit volontaire de la part de Broomfield ou parce qu'ils n'ont pas voulu y participer, cette évocation, qui n'occulte pas les démons de Jones, y gagne en volonté de faire amende honorable, et décrasse l'histoire officielle de la pop culture de sa sainte trinité sexe, drogues et rock'n'roll, pour creuser plus profond, et avec une certaine mélancolie, sur l'origine de ses âmes brulées.Mercato, Brian Jones et les Rolling Stones. En salles le 19 février.
Comment la radio parle-t-elle du changement climatique mais comment s'active-t-elle, aussi, au quotidien pour changer les choses ? C'est le thème de cette Journée Mondiale de la Radio 2025 !Chez Nostalgie, au-delà des contenus de sensibilisation tels que Y'a de l'idée et 17 Chansons pour changer le monde, en coulisses, on s'active aussi pour respecter la planète et les humains qui y vivent. Plus qu'un pouvoir, les médias ont une responsabilité.Vous saviez par exemple que tous nos studios étaient alimentés à l'énergie solaire ? Qu'un responsable commercial veille à ce qu'un maximum de cadeaux qu'on vous offre aient du sens et un minimum d'impact sur l'environnement ? Idem pour les goodies qu'on vous offre lors des événements comme des tote bags, des drapeaux, des mugs...Vous saviez que toute la déco des labyrinthes d'Halloween était chinée, issue de la seconde main ? Que tout le chocolat offert lors des chasses aux œufs était issu du commerce équitable, encore une fois dans une volonté de respecter les producteurs de cacao (et leurs conditions de travail) et la planète ? Au-delà de ça, chaque année, les radios de NGroup offrent 100 minutes de pub gratuites à des associations qui, sans cette opération, n'auraient pas l'occasion de le faire (ça représente tout de même plus d'un million d'euros en valeur financière dont NGroup se passe pour ouvrir la voie (et la voix) à des associations qui veulent changer le monde !Profitons-en aussi pour remercier nos auditeurs et nos auditrices pour leur générosité à l'occasion de grandes opérations telles que le Nostalgie Magic tour ou la Mission Recyclage qui visent, non seulement, à donner une seconde vie à des jouets et des électroménagers mais aussi à réduire les inégalités en aidant des personnes dans le besoin.Psssst : Chaque année, Nostalgie et ses petites sœurs (Nostalgie+, NRJ, NRJ+, Chérie) sortent leur rapport d'impact. Celui de 2024 est en cours de finalisation, encore un peu de patience ;-)Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Ci sono attori ed attrici che nonostante carriere luminose non hanno mai portato a casa l'ambita statuetta: da Demi Moore a Tom Cruise, passando per Johnny Depp e Amy Adams, ma anche Matt Damon, che ha vinto sì un Oscar, ma come sceneggiatore e mai per il suo lavoro di attore. Idem per alcuni miti del passato come Cary Grant, Richard Burton o Greta Garbo. Tra i registi poi, stessa sorte per Stanley Kubrick, Ridley Scott, il gigante Alfred Hitchcock, ma anche Quentin Tarantino, premiato come miglior sceneggiatore, ma non per la regia. A proposito di serie tv, invece, si parla di "Morgane Detective Geniale", "High Potential", "Squid Game 2" e tante altre…See omnystudio.com/listener for privacy information.
Vysávač, prachovka, metla, handra, ocot, patria k Vianociach rovnako ako ihličie, sviečky a imelo. Vy si možno myslíte, že ak si neupracete, alebo ak to odfláknete, tak Vianoce prídu aj tak. NO NIE! My to chceme hrotiť! A šup do pratacieho rapľu.
Time si inchina a Trump, Bezos idem
Si vous manquez d'idées pour Noël ou pour un cadeau d'anniversaire, mais que vous aimeriez offrir un cadeau en lien avec vos valeurs comme un jouet Montessori pour un enfant de votre entourage, cette liste est pour vous ! Idem si vous cherchez des idées à suggérer à votre famille pour vos propres enfants…Vous retrouverez l'ensemble des liens dans l'article de blog "Les meilleurs jouets Montessori pour les enfants" si une idée vous plaît.---Catalogue des formations des MontessouricettesLe site des MontessouricettesLien pour me laisser un petit message audio avec votre question ou votre suggestion de thème (j'inclurai votre message dans un prochain épisode !)Notre communauté gratuiteVous pouvez nous envoyer vos retours, suggestions et commentaires ici : Accompagnement à la parentalité et l'IEF Montessori
Moçambique vive uma crise que se intensificou desde as eleições gerais de outubro. Esse país lusófono da costa leste do continente africano enfrenta tensões políticas e ideológicas complexas, permeadas por elementos históricos que dividem a nação desde a sua independência, em 1975. Flávio Aguiar, analista políticoEm 9 de outubro realizaram-se eleições gerais em Moçambique, para a presidência da República, a Assembleia Nacional e as dez assembleias provinciais. O Conselho Nacional de Eleições proclamou vencedor o candidato Daniel Chapo, da Frente de Libertação de Moçambique (FRELIMO) e do atual presidente, Felipe Nyusi. A FRELIMO é usualmente apontada como um partido de orientação marxista-leninista. Como já de costume, o principal candidato de oposição, Venâncio Mondlane, do Partido Otimista pelo Desenvolvimento de Moçambique (PODEMOS) e pela Aliança Democrática, considerado um político pró-Ocidente, não aceitou o resultado e denunciou a ocorrência de fraudes na votação e na apuração. Na sequência, chamou manifestações contra o governo, que vêm ocorrendo desde então, sobretudo na capital, Maputo. Registram-se cotidianamente choques entre a polícia e unidades militares pró-governo e os manifestantes oposicionistas. O número de mortos nestas manifestações sobe a dezenas, bem como o de detidos pela polícia.Os policiais e as unidades militares envolvidas na repressão aos manifestantes são acusados de usarem violência excessiva. Em contrapartida, alegam que, frequentemente, as manifestações degeneram em atos de vandalismo e depredação.A FRELIMO, fundada em 1962 e líder da campanha e da guerra contra o colonialismo português, está no poder desde a independência, em 1975. Contra ela há acusações de autoritarismo crescente, manipulações eleitorais, e de corrupção, provocada por uma aliança de exercício do poder por oligarquias, inclusive familiares, negócios escusos, e tráfico de influência. Dentre os mais de 200 representantes de organizações internacionais, os da União Europeia apoiaram, ainda que de modo moderado, as denúncias de Mondlane, também apoiadas por outros partidos de oposição.Por sua vez, Mondlane é uma personalidade política bastante controversa. Pastor evangélico, recebeu no passado o apoio de remanescentes da RENAMO, Resistência Nacional Moçambicana, fundada em 1977 por apoiadores do colonialismo europeu na África e defensora do apartheid na África do Sul.Todas as suas ligações internacionais são com partidos e políticos de extrema-direita. Elogia Donald Trump e, no Brasil, se diz aliado do ex-presidente Jair Bolsonaro e do deputado federal Nikolas Ferreira, do Partido Liberal (PL), de extrema-direita. Em Portugal apoia e tem o apoio do partido CHEGA, fundado em 2019 por André Ventura, também de extrema-direita. Simpatizantes desta tendência afirmam que os problemas de Moçambique decorrem de uma processo de independência mal conduzido pelo “abrileiros” (sic), uma referência à Revolução dos Cravos que em 25 de abril de 1974 derrubou a ditadura salazarista, e sua proximidade em relação à FRELIMO marxista.As manifestações contra o governo e a favor de Mondlane têm tido apoio entre jovens, parcela em que a taxa de desemprego é muito alta, sobretudo nas cidades. A FRELIMO conta com um apoio mais firme em regiões rurais e entre veteranos que viveram o estertor do colonialismo português na África.O escritor angolano José Eduardo Agualusa publicou um artigo com críticas veementes a Mondlane. O escritor moçambicano Mia Couto divulgou uma carta aberta pedindo moderação a todas as partes no tratamento da crise moçambicana, recebendo críticas de oposicionistas que a consideraram omissa em relação às denúncias de violência por parte do governo. Os países africanos vizinhos acompanham atentamente a situação, inclusive a África do Sul, porque Maputo tornou-se um porto importante para o escoamento de seus produtos. Idem a União Europeia, cujos países têm muitos investimentos na região. De toda esta crise, duas conclusões prévias se impõem. A primeira é a de que, como o Brasil, Moçambique não é para principiantes. A segunda é a de que, se a FRELIMO pode ter-se tornado um problema, Mondlane, com suas ligações autoritárias, parece longe de ser uma solução.
Ep 248Apple Pay stigao u Erste Bank Srbija.Big Bang kupio BC Group FU: Mac mini na putu za Istru, Anker 240W na putu ka Mikiju4D saga4D SAS ima novog vlasnikaKako je počeloPrvo smo 28.11.2024. dobili email u kojem smo obavešteni da je 4D prodat, iako je većina nas to već pretpostavljala posle linka na forumu koji je pokazivao na promene u farncuskoj verziji APR-a.Dan kasnije stiže drugi mail koji nas obaveštava o promenama u EULA.Onda stiže informacija i o novim cenovnicima. Ovo je nemački (praktično je isti u celoj Evropi). 4D Server poskupeo sa 1300 evra na 1959, dodatni 4D Client sa 350 evra na 659, Web licenca za 4D server sa 1130 na 3990.Diskusija na 4D Forumu.###Ko je u problemuOni koji imaju standalone aplikacije, oni koji imaju mnogo 4D Clienata u klijent server okruženju.###Šta je rešenjeOvi sa standalone aplikacijama traže alternative.Favorit za prelazak: Xojo (formerly known as Realbasic).U opticaju su Xamarin (očajnici), Lazarus, Flutter, QT, ###Šta će Mikijevi poslodavci da radeIdemo dalje, s tim da ćemo tokom 2025 da ubrzamo proces da naša Web verzija dostigne funkcionalnost u klijent server okruženju.Šta će Miki da radiMiki se odlučio za Swift za svoj jedini standalone projekat za malu grupu klijenata.The Browser company ima framework za Windows.Alex Ziskind: M4 Mac Mini CLUSTER
On a raconté beaucoup de choses sur Michael Jackson et en même temps toujours les mêmes choses, chaque chroniqueur se contentant de creuser le même sillon. Au point de départ, cette année 1984, il y a tout juste 40 ans. Je vous le demande, il avait beau avoir fait partie des fameux Jacksons, ex-Jackson Five, qui connaissait vraiment Michael Jackson à la sortie de son album solo Thriller? C'est le deuxième déjà, le premier Off the Wall était sorti deux bonnes années auparavant mais il s'était vendu à un public jeune, branché musique noire. Aussi incroyable que cela puisse paraître, aussi bien aux Etats-Unis qu'en Europe, si pas plus, le marché du disque est divisé selon votre couleur de peau. Idem pour les médias. Et puis arrive ce bolide improbable avec un single, Billie Jean, puis un autre Beat it, puis Thriller. 25 millions d'albums vendus en 18 mois, 7 singles sur un même 33 Tours, plus personne n'ignore le nom de Michael Jackson et tout le monde l'aime, à tout le moins a une très bonne opinion de lui. Mais bien sûr, un tel chiffre, alors que le marché s'effondrait, engendre une multitude de phénomènes. Le premier, c'est la surexposition médiatique. En clair, une fois qu'on sort des colonnes musicales pour entrer dans la presse dite généraliste, celle-ci ne parle que de deux choses : argent et célébrité. Le début de la fin ? Le rachat du fameux catalogue d'édition des Beatles. Jusque-là, qui en avait entendu parler ? Leur premier éditeur qui en 1969 le revend à un producteur de télé britannique qui, lui-même, le revend à un Australien. Les prix montent, McCartney qui à l'époque fréquente Jackson lui en parle, surtout de la qualité du retour d'investissement. Et quand Michael touche son premier chèque, plus de cinquante millions de dollars (soit 150 d'aujourd'hui), il met la main sur le catalogue. Et ça, je vous prie de croire que ça ne passe pas, pour certains : tout d'abord les gros financiers qu'il a battus après huit mois de négociation dont des patrons de presse. Ensuite c'est un jeune noir de 27 ans qui possède à présent un trésor des années 50 et 60, un pan de cette toute jeune pop culture. Alors on commence à voir sortir des articles désobligeants sur le bizarre Michael Jackson et sa ménagerie, son caisson à oxygène (un canular de Michael et son manager, au départ) et puis le ranch qu'il finit par acheter avec les bénéfices de sa tournée : Michael Jackson est un excentrique qui préfère la solitude, les animaux aux gens. Il est pas comme nous !Tout ce battage fait finalement passer au second plan l'album Bad qui sort cinq ans après Thriller et qui souffre évidemment du pire des handicaps : être l'album d'après. Personne pour remarquer que Michael en compose presque tous les titres à la différence de Thriller et qu'il est l'essence même de ces années 80 qui basculent dans l'électronique et les synthés. Et tout ça au prix d'un travail gigantesque dont on va mettre des années avant entendre tout ce qui est resté dans les armoires, comme cette chanson, absolument superbe. Je vous le demande : qui a autant de titres aussi incroyablement aboutis dans ses réserves ?
V najnovšej epizóde zmUPované Sima privítala Michala Nemtudu, ktorý sa s nami podelil o svoje nezabudnuteľné zážitky z ciest. Rozprávali sa o jeho pracovnej ceste v Thajsku, niekoľkých návštevách tejto krajiny, dobrodružstvách v Nigérii, ale aj o skúsenostiach z Ria de Janeiro. A to nie je všetko! Zisti, kam sa ešte chystá, v novej epizóde zmUPované. Reláciu o cestovaní vám prináša nový Nissan Qashqai
In deze aflevering (poging 2 daartoe) frissen we even ieders geheugen op over de inhoud van Stoïcisme; de vorm en inhoud van onze podcast - en wat het verschil nu eigenlijk is tussen een praktische filosofie en een zelfhulpboek. Maar die twee mogen misschien best een beetje overlappen.Nieuwe luisteraar? Dan kun je prima bij deze aflevering beginnen.Veteraan? Idem dito.Tot de volgende keer!
On en aura décidément jamais fini avec les biopics de chanteurs. La liste de films revisitant en long, en large et en travers les parcours de stars iconiques ne cesse de s'allonger, souvent pour aligner les mêmes ficelles scénaristiques. Piece By Piece se distingue du lot. Sans doute parce que son sujet est, lui aussi, un cas singulier dans le monde de la musique : Pharrell Williams. Et plus encore par sa forme, puisque réalisé... en figurine Lego. Où en assumant d'être un documentaire, entre entretien central avec Williams et témoignages de ses proches. Le recours à l'animation essayant de traduire l'univers mental et philosophique de la star, tout en amenant une inattendue distance dans un registre souvent hagiographique. Pour autant, Piece By Piece passe souvent d'un rigolo trip Lego à un égotrip, quand il reste essentiellement à la gloire d'un artiste qui se considère comme un éternel outsider. Dès lors, les passages les plus intéressants mettent en parallèle des tubes aux mélodies et titres galvanisants, "de Get Lucky" à "Happy", et phases, à l'inverse quasi dépressives d'un Williams enchaînant les crises existentielles. Idem pour la peinture d'un music-business bouffi par l'argent et le cynisme, n'attendant des artistes que la répétition de recettes lucratives. Et même si à la longue, Piece By Piece se laisse gagner par une certaine monotonie - qu'il tente pourtant d'endiguer par un discours meta - ce drôle de biopic n'a de cesse, par son originalité formelle d'assumer son sujet profond, à savoir la préservation de la créativité dans un milieu qui ne jure que par le formatage.Autre personnalité atypique sur les écrans cette semaine : Béatrice Dalle. En surface, La Passion selon Béatrice l'emmène en périple mémoriel en Italie sur les traces d'une de ses idoles, Pier Paolo Pasolini. Le beau documentaire de Fabrice Du Welz prend rapidement un autre chemin : plus les rencontres avec de multiples intervenants esquissent un Pasolini comme le premier marxiste punk, plus la personnalité quasi jumelle de Dalle s'y superpose, plus c'est elle qui raconte sa philosophie de vie. Elle se propage autant dans la parole d'une femme à part que dans d'incroyables séquences sans mots, comme celle où Du Welz filme le visage de Dalle, lors d'une projection privée de L'Évangile selon Saint-Matthieu, où elle entre en état de quasi-fusion avec le film de Pasolini, le vivant littéralement dans sa chair, ses larmes. La Passion selon Béatrice est empli de ces moments à fleur de peau, observant Dalle dans une quête de soi sans concessions, mais allant à confession à cœur ouvert sur son parcours personnel. Le nôtre se serre définitivement dans une scène clôturant ce chassé-croisés entre deux âmes qui avaient tout pour être sœurs, où l'actrice en rencontre une autre, Rossano di Rocco, qui tenait le rôle d'un ange dans L'Évangile selon Saint-Matthieu. Leur étreinte, signe de reconnaissance mutuelle, d'une infinie tendresse, est une bouleversante épiphanie de cinéma.Piece By Piece / La Passion selon Béatrice. En salles le 20 novembre
On a raconté beaucoup de choses sur Michael Jackson et en même temps toujours les mêmes choses, chaque chroniqueur se contentant de creuser le même sillon. Au point de départ, cette année 1984, il y a tout juste 40 ans. Je vous le demande, il avait beau avoir fait partie des fameux Jacksons, ex-Jackson Five, qui connaissait vraiment Michael Jackson à la sortie de son album solo Thriller? C'est le deuxième déjà, le premier Off the Wall était sorti deux bonnes années auparavant mais il s'était vendu à un public jeune, branché musique noire. Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître, aussi bien aux Etats-Unis qu'en Europe, si pas plus, le marché du disque est divisé selon votre couleur de peau. Idem pour les médias. Et puis arrive ce bolide improbable avec un single, Billie Jean, puis un autre Beat it, puis Thriller. 25 millions d'albums vendus en 18 mois, 7 singles sur un même 33 Tours, plus personne n'ignore le nom de Michael Jackson et tout le monde l'aime, à tout le moins a une très bonne opinion de lui. Mais bien sûr, un tel chiffre, alors que le marché s'effondrait, engendre une multitude de phénomènes. Le premier, c'est la surexposition médiatique. En clair, une fois qu'on sort des colonnes musicales pour entrer dans la presse dite généraliste, celle-ci ne parle que de deux choses : recette et célébrité. Le début de la fin ? Le rachat du fameux catalogue d'édition des Beatles. Jusque-là, qui en avait entendu parler ? Leur premier éditeur qui en 1969 le revend à un producteur de télé britannique qui, lui-même, le revend à un Australien. Les prix montent, McCartney qui à l'époque fréquente Jackson lui en parle, surtout de la qualité du retour d'investissement. Et quand Michael touche son premier chèque, plus de cinquante millions de dollars (soit 150 d'aujourd'hui), il met la main sur le catalogue. Et ça, je vous prie de croire que ça ne passe pas, pour certains : tout d'abord les gros financiers qu'il a battus après huit mois de négociation dont des patrons de presse. Ensuite c'est un jeune noir de 27 ans qui possède à présent un trésor des années 50 et 60, un pan de cette toute jeune pop culture. Alors on commence à voir sortir des articles désobligeants sur le bizarre Michael Jackson et sa ménagerie, son caisson à oxygène (un canular de Michael et son manager, au départ) et puis le ranch qu'il finit par acheter avec les bénéfices de sa tournée : Michael Jackson est un excentrique qui préfère la solitude, les animaux aux gens. Il est pas comme nous !Tout ce battage fait finalement passer au second plan l'album Bad qui sort cinq ans après Thriller et qui souffre évidemment du pire des handicaps : être l'album d'après. Personne pour remarquer que Michael en compose presque tous les titres à la différence de Thriller et qu'il est l'essence même de ces années 80 qui basculent dans l'électronique et les synthés. Et tout ça au prix d'un travail gigantesque dont on va mettre des années avant entendre tout ce qui est resté dans les armoires, comme cette chanson, absolument superbe. Je vous le demande : qui a autant de titres aussi incroyablement aboutis dans ses réserves ?
"Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre." Dans ce vocal, je te partage ce que je pense de cette citation de Nelson Mandela.
Arrancou esta segunda-feira, 11 de Novembro, a Conferência das Nações Unidas para as Alterações Climáticas. A COP 29 decorre este ano em Baku, Azerbaijão. Carlos Lopes, professor na Universidade do Cabo, sublinha a necessidade de se repensar o financiamento climático e defende que os países africanos não deveriam ter de pedir dinheiro emprestado para resolver os problemas climáticos que não causaram. Arrancou esta segunda-feira, 11 de Novembro, a Conferência das Nações Unidas para as Alterações Climáticas. A COP 29 decorre este ano em Baku, Azerbaijão. Já conhecida como a conferência dos financiamentos, em Baku, espera-se que as partes - mais de 200 países divididos em grupos - acordem um novo montante para ajudar os países em desenvolvimento a se adaptarem e a atenuarem os efeitos das mudanças climáticas. A cimeira inicia-se duas semanas após a publicação de um relatório da Organização Meteorológica Mundial, que indica que os níveis dos três principais gases com efeito de estufa (GEE) que contribuem para o aquecimento global do planeta - dióxido de carbono, metano e óxido nitroso - voltaram a aumentar em 2023.África é responsável por apenas 4% das emissões globais de gases de efeito estufa, mas grande parte do financiamento que recebe para transição energética, adaptação e mitigação acontece sob a forma de empréstimos, agravando a dívida dos países. Carlos Lopes, economista, professor na Universidade do Cabo, África do Sul, sublinha a necessidade de se repensar o financiamento climático e defende que os países africanos não deveriam ter de pedir dinheiro emprestado para resolver os problemas climáticos que não causaram.O actual momento político de “grandes convulsões”, aliado a um anfitrião da COP29 - Azerbaijão - apenas preocupado em assegurar o bom funcionamento logístico do encontro, faz prever o ‘chutar a bola' para a COP 30. A verificar-se uma não conclusão deste imbróglio do financiamento climático, Carlos Lopes, que preside o Conselho da Fundação Africana para o Clima, alerta que no próximo ano, no Brasil “a situação vai ser ainda mais complicada”.RFI: O que é que a África pode esperar desta COP 29? Carlos Lopes: Temos grandes esperanças de que os posicionamentos da África possam demonstrar que temos uma crise de financiamento climático que precisa de ser resolvida a um outro nível que as promessas que são feitas COP após COP. Na realidade, depois da COP 28 [Dezembro 2023] há um determinado número de promessas que foram feitas pelos Emirados Árabes Unidos e por outros países intermédios, que não tinham obrigações no Acordo de Paris de contribuir para essas soluções climáticas nos países menos desenvolvidos, que foram cumpridas. Mas, as promessas feitas pelos países que tinham essas obrigações, os países desenvolvidos, nomeadamente membros da OCDE, não se cumpriram e continua a ser um acumular de déficits vários de promessas não cumpridas. Isto leva a que exista, neste momento, uma situação de tal desconfiança em relação ao sistema multilateral, que seguramente não vai poder ser resolvida em Baku, até porque o Azerbaijão decidiu posicionar-se mais como um hóspede da COP do que um actor para tentar levar a uma conclusão deste imbróglio do financiamento climático. Em relação ao financiamento, levantam-se várias questões: que tipo de financiamento? Empréstimos? Doações? Investimentos privados? Há falta de clareza. Além da vontade da redefinição dos países doadores e dos beneficiários, os países ditos desenvolvidos querem vincular novos poluidores, como a China, a Rússia, Arábia Saudita ou a Índia, entre outros. E esses países, apesar de já contribuírem, não querem essa vinculação.O Acordo de Paris é bastante claro nestas matérias, mas tem havido tentativas de reinterpretação do Acordo de Paris que são rechaçadas pelos países em desenvolvimento. Por exemplo, no que diz respeito às promessas de financiamento e os tais 100 bilhões de dólares de contribuições anuais para a questão climática, segundo a OCDE, teriam já sido atingidos a partir do ano passado, depois de vários anos de déficit em relação a essa promessa. Acontece que esses 100 bilhões têm que ser contabilizados como ajuda ao desenvolvimento. Quando incluem na estatística os empréstimos em taxas comerciais para vários países, como fazendo parte dos 100 bilhões, estamos a confundir ‘alhos com bugalhos' e, portanto, estamos muito longe dos 100 bilhões em termos de ajuda ao desenvolvimento. O que existe são 100 bilhões, segundo as estatísticas que nos foram apresentadas, de contribuições para as questões climáticas. Mas é muito diferente do que diz o Acordo de Paris. Idem em relação às responsabilidades de emissões, porque existem as responsabilidades de emissões históricas - que têm a ver com o acumular que levou à crise que vivemos. Confundir isso com o estado de desenvolvimento de certos países que começaram a emitir há muito pouco tempo a taxas elevadas, não é a mesma coisa que o princípio estabelecido, mesmo antes da Conferência de Paris, de responsabilidades partilhadas, mas diferentes. Diferentes, porque se aceita que existe uma responsabilidade histórica que não é a mesma para todos os países. Se queremos agora actualizar essa interpretação, temos que fazê-lo também em termos políticos. O mundo não mudou só em matéria climática e de emissões, mudou em todos os sentidos e, se continua a haver por parte das Nações Unidas no Conselho de Segurança, por parte das instituições de Bretton Woods, o sistema de votação, um sistema de poder que não condiz com a realidade actual, não é só em matéria de emissões que se deve fazer a actualização. Portanto, é isto que dizem os países em desenvolvimento: ou se faz uma reviravolta completa na forma como nós concedemos a assimetria de poder dentro do sistema multilateral ou não se pode estar a actualizar só em relação às emissões, porque não se quer pagar o custo das promessas que foram feitas em Paris. A questão do financiamento foi precisamente o que fez com que a COP 16 da biodiversidade terminasse sem acordo. As baterias viram-se agora para a Baku, provavelmente vai sair-se da COP 29 também sem acordo, precisamente por causa da falta de consensos no financiamento entre Norte e Sul. Sim, porque estamos num momento geopolítico de grandes convulsões. Se olharmos, por exemplo, para o grupo do G7: as posições de um país com a importância dos Estados Unidos; se olharmos para a França, está com um Governo que está ainda para ser confirmado pelo Congresso; o Japão está numa situação idêntica à da França; a Alemanha está no seu pior momento económico e com grandes repercussões na sua indústria automobilística, que é a que emprega mais gente por causa, justamente, da reconversão energética que implica a mobilidade verde. Temos aqui um conjunto de países do G7 e podemos até incluir os outros que não mencionei, que estão numa situação um pouco melhor do ponto de vista político, mas também difícil do ponto de vista económico, que não é muito convidativa para fazer grandes saltos em matéria de clima. Por isso é que vemos que a União Europeia está a reduzir um pouco a sua ambição, o plano verde da Grã-Bretanha também diminuiu consideravelmente a ambição com este novo governo e por aí vamos… Portanto, não se pode exigir que, no momento em que há uma retracção dos países mais ricos, que sejam os países mais pobres a fazer mais esforço. Quer dizer, se eles cumprissem o que já prometeram, seria mais fácil exigir também um maior nível de ambição por parte dos países mais vulneráveis, mas não é isso que está a acontecer. Nem há perspectivas, do ponto de vista multilateral, que isso venha a acontecer. E, portanto, nós estamos numa COP que está um pouco refém desta situação e que está com um hóspede, neste caso o Azerbaijão, que tem uma atitude muito diferente dos Emirados Árabes Unidos do ano passado. Os Emirados, no conjunto, puseram 23 bilhões de dólares, de dinheiro próprio, para tentar salvar um pouco a imagem da COP 28 e lançar uma série de iniciativas que eles mesmos financiaram. O Azerbaijão até tem essa capacidade do ponto de vista económico, mas não está de maneira nenhuma interessado nessa atitude e, portanto, vai-se comportar um pouco como o que se ocupa da logística. Portanto, se os países não estiverem de acordo, não vão assumir a responsabilidade. Acontece que toda a gente vai depois ‘chutar a bola' para a COP 30 e para o Brasil e, aí, a situação vai ser ainda mais complicada, porque nós vamos ter esta crise de confiança multiplicada com a impossibilidade, em 2025, de poder alterar significativamente a rota de colisão que se vai estabelecer por razões várias entre os países mais poderosos do planeta.O problema das alterações climáticas continua a ser empurrado, mas as consequências não são empurradas e existem. O ano passado foi o ano mais quente desde que há registo. Este ano vamos pelo mesmo caminho. Os efeitos agressivos das alterações climáticas sentem-se a cada dia. África é o primeiro continente a senti-lo. Mas também é quem menos contribui para o aquecimento global do planeta. Portanto, a África vai ter que tomar aqui uma posição nesta COP provavelmente mais forte para tentar inverter os papéis. Esta questão da justiça climática é uma questão que preocupa muitos africanos, que estão no centro do furacão, já com consequências drásticas. As pessoas todas viram imagens do que se passou em Valência, Espanha, mas viram muito poucas imagens das 5 milhões de pessoas que foram deslocadas por causa de cheias, só na Nigéria. Temos essa situação praticamente em todo o Sahel e é apenas uma manifestação das várias que o continente tem vindo a registar, que são dramáticas e que levam a essa situação de grande desespero. Acho que os negociadores africanos têm sido bastante vocais. Mas é evidente que há uma assimetria de poder e eles não conseguem nada destas COP's e já começa a haver uma certa descrença de que as coisas vão acontecer. Os combustíveis fósseis são os responsáveis pelas emissões de gases com efeito de estufa e automaticamente são os responsáveis pelo aquecimento global do planeta. De que forma é que os africanos devem olhar para os seus próprios combustíveis fósseis? Da seguinte maneira: nós somos os que emitimos menos e mesmo que se explore todos os recursos de combustíveis fósseis, com excepção do carvão - que é, de facto, um combustível fóssil com grande perigo por ser o mais poluente, mas também por ter uma matriz industrial poderosa, com efeitos colaterais no sítio onde é explorado e sobretudo, olhando para o gás, explorando todos esses recursos novos que estão sendo descobertos - a África aumentaria marginalmente a sua contribuição para o problema. Marginalmente. A nível mundial, somos responsáveis por cerca de 3,8% das emissões. Passaríamos, talvez, para 4% e, portanto, isto não é nada. Acontece que a maior parte dos grandes investimentos em combustíveis fósseis continuam a ser feitos pelos países ricos e mesmo os combustíveis fósseis que estão a ser explorados em África são, em grande parte, para exportação, não são para a industrialização do continente africano. Portanto, estar a exigir a África fazer mitigação, que é, no fundo, o que a sua pergunta implica, é hipócrita da parte daqueles que o pedem, porque a África tem sim necessidades de adaptação e para isso precisa de financiamentos. Se os financiamentos não vêm, é obrigada a recorrer aos recursos que lhe podem dar algum sustento.Sem acesso a liquidez, que a África está impedida de obter, sem que as promessas de ajuda ao desenvolvimento se materializem, não há outra hipótese para os africanos se não tentar rentabilizar qualquer recurso que tenham à mão, porque eles não podem ser responsáveis pelos problemas que os outros criaram e que os outros não querem resolver. Mas devem ou não os africanos esperar por financiamento externo para promoverem a sua transição energética? Ou, pelo contrário, devem ser eles próprios a taxar mais as empresas estrangeiras que estão a explorar os combustíveis fósseis em África, de forma a que consigam, pelo menos, financiar a parte da transição energética. É um pouco mais complexo. Quer dizer, nós temos uma situação em que as empresas que estão presentes em África, são empresas que têm um regime de actuação e um sistema de financiamento na cadeia de valor, que os países africanos são demasiado vulneráveis para poder contornar completamente. Podem até, de uma certa forma, aumentar a sua eficiência fiscal, podem exigir algumas coisas laterais, mas não o fundamental do negócio, que é, de facto, dominado por empresas cujo montante em capital é superior ao PIB dos países. Não estamos aqui perante uma relação equitativa. Acontece que os países que têm a possibilidade de regular esse mercado não o querem fazer porque essas empresas são suas e querem protegê-las. Portanto, temos aqui um segundo problema. Mas, posto de outra forma, é simples dizer que os africanos devem, sem nenhuma dúvida, optar pelas energias renováveis. Só que para o fazerem precisam de financiamento. Não é uma questão de ambição, é uma questão de ter pragmatismo. Portanto, se houver financiamento para as energias renováveis, passa a ser a única opção.Tem que se olhar para onde o financiamento vai. Infelizmente, o financiamento continua a ir, em grande parte, para os combustíveis fósseis. Os mercados de carbono devem voltar a ser debatidos na COP29. Há aqui uma série de dúvidas que se levantam. A disparidade dos preços dos créditos de carbono, que é desfavorável ao continente africano. Por exemplo, uma tonelada de carbono, que equivale a um crédito de carbono, tem como preço médio 10 dólares em África, 90 na Europa e 140 nos Estados Unidos. Além disso, há a falta de transparência. Depois, a perda de soberania dos Estados, que podem ceder grandes parcelas de território a empresas privadas para reabilitação de florestas e captura de carbono. Por fim, a questão essencial: os créditos de carbono servem, neste momento, para os poluidores continuarem a poluir e não para resolverem o problema das emissões. Infelizmente, essa análise é correctíssima. Nós estamos perante uma situação em que o mercado de carbono - que tem um grande potencial se for utilizado com uma approach [abordagem] universal e ética - passa a ser apenas uma desculpa e um argumento para os grandes poluidores continuarem a poluir e para os intermediários beneficiarem, como sempre fizeram, com as várias formas de extracção da África, sendo que o mercado de carbono passa a ser um pouco mais do mesmo, ou seja, são os intermediários que beneficiam e não necessariamente aqueles que podem ter o crédito inicial. Portanto, nós temos aqui uma situação que pode ser definida da seguinte forma: há países que beneficiaram do desenvolvimento económico que tivemos ao longo destes séculos, que não é de negligenciar e que permitiu a acumulação de riqueza, mas também permitiu uma grande diminuição da pobreza no mundo, etc. Mas, essa utilização dos recursos, da forma como foi feita, contraiu um enorme custo em termos de regeneração ambiental e, portanto, esse custo significa, em termos práticos, que os países que mais beneficiaram têm uma dívida de carbono e os países que não contribuíram para o problema, mas que foram extraídos de uma grande riqueza natural, têm um crédito de carbono. Como é que balançamos esta dívida em relação a este crédito? Deveria ser através de financiamento climático, através de uma resposta comum, que são as tais responsabilidades diferenciadas com objectivo comum. Se isso não for feito, vamos ter no mercado de carbono, como noutras frentes, a mesma demonstração de desigualdade. Portanto, estamos perante um dilema em que até aqui falamos de desenvolvimento e nos últimos 20, 30 anos começamos a falar de clima, como se fossem duas coisas diferentes: financiamento para o desenvolvimento e financiamento para o clima. Acontece que não existe nenhum financiamento para o clima, do ponto de vista dos países em desenvolvimento, que não seja também financiamento para o desenvolvimento, ou seja, o envelope é o mesmo. Nós estamos a mudar um pouco a linguagem. E será que esse envelope está a aumentar? Não, está a diminuir, no seu conjunto está a diminuir. Portanto, existe um discurso que é de emergência planetária e existe um comportamento que é o de passar um pouco para um 'status quo' ou até uma retracção em relação às promessas que foram feitas anteriormente.
Le 31 octobre 2014, au Burkina Faso, une insurrection populaire contraignait à la démission le président. Cela fait donc dix ans que « le peuple burkinabè s'est dressé héroïquement contre le pouvoir autocratique que Blaise Compaoré a instauré au lendemain de l'assassinat de son frère d'arme le capitaine Thomas Sankara », écrit Le Faso. Le journal se rappelle d'une mobilisation « monstrueuse et historique », avec « plus d'un million de personnes dans les rues de Ouaga », criant des slogans comme « Blaise Ebola! » ou « Blaise dégage! ».L'insurrection du 31 octobre 2014 est aussi en Une du journal Aujourd'hui au Faso, avec cette question : « Pourquoi transition sur transition au Burkina? » Pour son éditorialiste, « l'opposant en démocratie se fie aux urnes pour arriver au pouvoir, ici, il s'appuie sur l'armée. [...] Le peuple endosse donc l'habit d'arbitre majeur et s'impose ». Pour Aujourd'hui au Faso, « la refondation de l'État est une œuvre longue » et, pour ce faire, « il faut la participation de tous les Burkinabè. Et la volonté de quitter l'éternel recommencement ».En RDC, les rebelles du M23 progressent dans l'EstJeune Afrique raconte que « les combats se sont intensifiés ces dix derniers jours après plusieurs semaines d'accalmie ». Les rebelles s'approchent de Pinga, « un verrou sur la route de l'ouest, au cœur d'une zone minière riche », décrit le mensuel sur son site, avant de décrire l'impuissance de l'Angola, médiateur dans ce conflit.« Les réponses internationales restent incohérentes pour stopper l'escalade du conflit », écrivent un chercheur et un universitaire dans une tribune publiée dans Le Monde Afrique. Ils regrettent qu'il y ait « peu de pression exercée sur Kinshasa au sujet de la collaboration de l'armée congolaise avec des groupes armés non étatiques. Idem pour l'implication militaire des groupes voisins ». La tribune dénonce enfin une « hypocrisie des intervenants étrangers » et des réponses qui « s'inspirent de lectures simplistes sur les causes de la guerre ».Au Nigeria, un long retour à la normale après une panne de courant géanteDix-sept États, sur les 36 que compte le pays, ont été touchés par une importante panne. En cause : une attaque d'un groupe armé sur des lignes à haute tension, qui a privé d'électricité des millions de personnes dans le Nord. Le Nigérian The Guardian affirme que « l'électricité a été rétablie dans quatre États », mercredi soir, « provoquant la liesse dans les zones touchées ». Au Burkina, Wakat Sera remarque que ces pannes sont « plus qu'un épiphénomène » : « c'est la triste réalité que subissent beaucoup de pays africains ». Le journal analyse les causes : en plus des actes malveillants, il y a « le fossé de la demande et de l'offre [qui] devient abyssal », « les installations faites pour la plupart depuis Mathusalem ne répondent plus aux besoins des nombreux consommateurs ». Wakat Sera se demande alors « comment avec autant de soleil, une richesse naturelle que leur envient les autres continents, les Africains ne peuvent-ils pas se mettre ensemble pour construire de grandes centrales solaires ? » et appelle à prendre le Maroc comme exemple, car le pays a entrepris des projets en ce sens.
Le 31 octobre 2014, au Burkina Faso, une insurrection populaire contraignait à la démission le président. Cela fait donc dix ans que « le peuple burkinabè s'est dressé héroïquement contre le pouvoir autocratique que Blaise Compaoré a instauré au lendemain de l'assassinat de son frère d'arme le capitaine Thomas Sankara », écrit Le Faso. Le journal se rappelle d'une mobilisation « monstrueuse et historique », avec « plus d'un million de personnes dans les rues de Ouaga », criant des slogans comme « Blaise Ebola! » ou « Blaise dégage! ».L'insurrection du 31 octobre 2014 est aussi en Une du journal Aujourd'hui au Faso, avec cette question : « Pourquoi transition sur transition au Burkina? » Pour son éditorialiste, « l'opposant en démocratie se fie aux urnes pour arriver au pouvoir, ici, il s'appuie sur l'armée. [...] Le peuple endosse donc l'habit d'arbitre majeur et s'impose ». Pour Aujourd'hui au Faso, « la refondation de l'État est une œuvre longue » et, pour ce faire, « il faut la participation de tous les Burkinabè. Et la volonté de quitter l'éternel recommencement ».En RDC, les rebelles du M23 progressent dans l'EstJeune Afrique raconte que « les combats se sont intensifiés ces dix derniers jours après plusieurs semaines d'accalmie ». Les rebelles s'approchent de Pinga, « un verrou sur la route de l'ouest, au cœur d'une zone minière riche », décrit le mensuel sur son site, avant de décrire l'impuissance de l'Angola, médiateur dans ce conflit.« Les réponses internationales restent incohérentes pour stopper l'escalade du conflit », écrivent un chercheur et un universitaire dans une tribune publiée dans Le Monde Afrique. Ils regrettent qu'il y ait « peu de pression exercée sur Kinshasa au sujet de la collaboration de l'armée congolaise avec des groupes armés non étatiques. Idem pour l'implication militaire des groupes voisins ». La tribune dénonce enfin une « hypocrisie des intervenants étrangers » et des réponses qui « s'inspirent de lectures simplistes sur les causes de la guerre ».Au Nigeria, un long retour à la normale après une panne de courant géanteDix-sept États, sur les 36 que compte le pays, ont été touchés par une importante panne. En cause : une attaque d'un groupe armé sur des lignes à haute tension, qui a privé d'électricité des millions de personnes dans le Nord. Le Nigérian The Guardian affirme que « l'électricité a été rétablie dans quatre États », mercredi soir, « provoquant la liesse dans les zones touchées ». Au Burkina, Wakat Sera remarque que ces pannes sont « plus qu'un épiphénomène » : « c'est la triste réalité que subissent beaucoup de pays africains ». Le journal analyse les causes : en plus des actes malveillants, il y a « le fossé de la demande et de l'offre [qui] devient abyssal », « les installations faites pour la plupart depuis Mathusalem ne répondent plus aux besoins des nombreux consommateurs ». Wakat Sera se demande alors « comment avec autant de soleil, une richesse naturelle que leur envient les autres continents, les Africains ne peuvent-ils pas se mettre ensemble pour construire de grandes centrales solaires ? » et appelle à prendre le Maroc comme exemple, car le pays a entrepris des projets en ce sens.
La comédienne, réalisatrice et artiste-plasticienne, âgée de 38 ans, nous reçoit chez Idem, un atelier de lithographie situé à Paris dans le 14e arrondissement, à l'occasion de la sortie en salle du film « Niki », signé Céline Sallette, dans lequel elle incarne Niki de Saint Phalle. Charlotte Le Bon évoque son enfance à Montréal, au Canada, auprès d'une mère et d'un beau-père comédiens. Elle évoque le décès de son père alors qu'elle avait 10 ans et sa passion précoce pour le dessin et le plongeon. Elle commence à la fin de l'adolescence une carrière de mannequin dont elle garde un souvenir assez sombre puis pendant une année joue les Miss Météo sur Canal +, une expérience libératrice qui la mènera ensuite à faire du cinéma. C'est aujourd'hui dans la réalisation qu'elle s'épanouit le plus, regrettant la passivité attendue souvent des comédiens. Charlotte Le Bon aborde également son travail de plasticienne, son attrait pour les aspérités et son admiration pour le travail de Stanley Donwood, Carl Gustav Jung, David Lynch, Claire Tabouret ou Christo et Jeanne-Claude. Elle revient longuement sur son admiration pour le travail de Jane Campion : « J'ai découvert récemment ses deux premiers films, “Sweetie” et “Un ange à ma table”. Ce sont de grands films. C'est tellement risqué, tellement audacieux. Et puis il y a un truc qui est génial aussi avec Jane Campion, c'est qu'on ne s'ennuie jamais. Je sens vraiment ce désir chez elle. C'est tout sauf prétentieux. »Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Juliette SavardRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Today's episode is about the European Day of Languages. In the Slovak lesson, you will learn some classroom phrases for students. You will also learn how to ask “Could you explain that again?” in Slovak. At the end of this episode is my dialogue about celebrating European Day of Languages.Episode notesIn today's episode, I'm talking about the European Day of languages. In the Slovak lesson, you will learn some classroom phrases for students. You will also learn how to ask “Could you explain that again?” in Slovak. At the end of this episode, you can find my dialogue about celebrating European Day of languages.Slovak lesson1. Prepáčte. (I'm sorry. / Sorry.)2. Ospravedlňujem sa. (I apologize.)3. Prepáčte, že meškám. (Sorry I'm late.)4. Nerozumiem. (I don't understand.)5. Prepáčte, nepočul som dobre. (Sorry, I didn't hear well.)6. Prosím, hovorte pomalšie. (Please speak more slowly.)7. Môžete to zopakovať? (Can you repeat that?)8. Prepáčte, nie som si istý. (Sorry, I'm not sure.)9. Môžem ísť na toaletu / záchod? (Can I / May I go to the bathroom?)10. Necítim sa dobre. (I don't feel well.)11. Môžem otvoriť/zatvoriť okno? (May / Can I open/close the window?)12. Na akej stránke sme? (What page are we on?)13. Aká je domáca úloha? (What is the homework?)14. Zabudol / Zabudla som domácu úlohu doma. (I forgot my homework at home.)15. Mohli by ste to ešte raz vysvetliť? (Could you explain that again?)DialogueAnna: Tak teda, šťastný Európsky deň cudzích jazykov, všetci! Koľko jazykov si myslíte, že budeme hovoriť do konca dnešného dňa?Luca: Toľko koľko potrebujeme na objednanie pizze v každej krajine!Sophie: Luca, myslím, že ty už dávno vieš, ako sa povie "pizza" v každom jazyku.David: Viete, mali by sme Lucu otestovať. Ako sa po slovensky povie „pizza“, Luca?L: Uh... "Pizza"?D: To je pravda! Už si to zvládol.A: Dobre, dosť o pizzi. Urobme si jazykovú výzvu. Každý povieme frázu vo svojom rodnom jazyku a ostatní musia uhádnuť, čo to znamená.S: Skvelý nápad! Idem prvá. "Je ne sais pas pourquoi je suis toujours fatiguée."L: Hmm... nechaj ma hádať. "Neviem, prečo som taká unavená."S: Hej, uhádol si!D: Sophie, nebolo to také ťažké. Hovoríš to každý deň!A: Dobre, som na rade! "Mam ochotę na coś słodkiego."L: Myslím, že to znamená: "Chcem niečo sladké!" správne?A: Áno! Si si istý, že nevieš po poľsky?L: Nie, ale viem, že máš rada sladkosti.D: Dobre, teraz ja. "Neviem, prečo mám rád bryndzové halušky."S: To je príliš dlhé! neviem!A: Myslím, že to znamená: "Neviem, prečo mám rád bryndzové halušky." je to tak?D: Správne! A mám ich rád, lebo sú chutné.L: Čo sú to tie bryndzové halušky?D: Je to slovenské jedlo, ako zemiakové halušky s bryndzou.L: To musím vyskúšať!S: Luca, myslíš niekedy na niečo iné ako na jedlo?L: Len niekedy. Ale jedlo je najlepší spôsob, ako porozumieť jazyku!A: Je to jeden zo spôsobov, ako sa ho naučiť!D: Pravda, jedlo a jazyk idú ruka v ruke.L: Na jazyky, jedlo a priateľstvo!Timestamps02:32 Intro02:27 About the Day of languages03:23 Fun fact 105:05 Fun fact 207:29 Slovak lesson16:42 Dialogue20:33 Dialogue with the English translation25:55 Final thoughtsIf you have any questions, send it to my email hello@bozenasslovak.com. Check my Instagram https://www.instagram.com/bozenasslovak/ where I am posting the pictures of what I am talking about on my podcast. Also, check my website https://www.bozenasslovak.com © All copywrites reserved to Bozena O Hilko LLC
Le nouveau gouvernement wallon, le MR et Les Engagés, est doublement fier ces jours-ci. D'abord parce qu'il a été constitué plus rapidement que le gouvernement régional flamand. Et ensuite, parce qu'il a promis des baisses d'impôts et qu'il vient d'annoncer qu'il allait concrétiser ces baisses avec un timing relativement précis. Reste évidemment, à voir si on ne confond pas vitesse et précipitation. La première baisse d'impôts, les droits d'enregistrement qui vont être baissés de 12,5% à 3% à partir du 1er janvier 2025. Alors l'idée, c'est de rendre les citoyens wallons plus rapidement propriétaires de leurs biens immobiliers, pour la simple raison qu'à cause de la hausse des prix, l'âge moyen pour le devenir est aujourd'hui passé à 35 ans contre 25 auparavant. Le coût de cette baisse des droits d'enregistrement, il est évalué à 470 millions d'euros. Et donc il n'y a pas de recette miracle. Cette largesse fiscale sera compensée par la suppression d'autres avantages, par exemple le chèque habitat, l'abattement primo acquérant ou encore le taux réduit pour habitation modeste. Mais malgré ces suppressions, l'équilibre financier ne se fera que dans les cinq ans. Et donc, entre-temps, le gouvernement actuel devra trouver ailleurs 245 millions d'euros pour financer cette réforme. Premier malaise. Je n'aime pas trop les réformes dont les coûts sont certains, mais où les recettes sont hypothétiques. Idem pour la diminution prévue des taux de droits de succession et de donation prévue pour l'année 2028. Le nouveau gouvernement parle d'une révolution fiscale et donc d'un bol d'oxygène pour la classe moyenne, mais les droits de succession ont deux composantes le taux d'imposition et les tranches d'imposition. Réduire les taux par deux, c'est très bien. Mais ce gouvernement ne modifie pas les tranches d'imposition. Or, ces dernières n'ont jamais été indexées… Mots-Clés : histoire, effets retours, volonté, chemin, classe moyenne, protéger, d'imposition, élevés, patient, esprit, coûter, argent, euros, manque à gagner, Région wallonne, financer, râpe à fromage, Belgique, fonctionner, série, aides à l'emploi, investissement, vases communicants, Bruxelles, finances communales, rouge, étude, banque Belfius, démontrer, question, niveau, régional, impact, direct, indirect, finances communales, commune, compenser, augmentant, taxes, impôts locaux, élections communales. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 197 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.iPhone 16 et Apple Watch X : dernières infos et rumeurs avant la keynoteEnregistré le mardi 3 septembre 2024 à 17h30 : enregistrement à suivre en direct sur X, Facebook, YouTube, Twitch tous les mardis..Présentation : Benjamin Vincent, avec la participation de Fabrice Neuman (mentor en technologie), Fabrice Neuman (mentor en technologie), Elie Abitbol (co-fondateur des Apple Premium Resellers MCS à Nice, Cannes et Aix-en-Provence et président des APR en France) et François Le Truedic (enseignant et formateur).Au sommaire de cet épisode 197 : C'est une spéciale iPhone 16 et Apple Watch X avec toutes les infos, toutes les dernières rumeurs sur la prochaine gamme qui sera donc dévoilée lundi prochain 9 septembre avec une keynote à suivre avec nous au cours d'un iWeek LIVE spécial sur iweek.news dès 18h30. Design, boutons, diagonales d'écran, processeur, RAM, stockage, couleurs sans oublier le point d'interrogation autour d'Apple Intelligence notamment en Europe : nous passons en revue tous les aspects des prochains iPhone. Idem pour l'Apple Watch X qui pourrait marquer le 10è anniversaire de la montre connectée d'Apple.Et puis, le bonus exclusif qui vous est réservé, chers soutiens : cette semaine, le loupé des étuis Finewoven !Rendez-vous lundi prochain, 9 septembre, pour la keynote "It-s Glowing time" dès 18h30 sur iweek.news (début de la keynote à 19h) ! Et dès le lendemain, mardi 10 septembre, pour un prochain épisode d'iWeek (la semaine Apple) à suivre en streaming avec vos questions dans le chat ou à écouter en podcast !Rejoignez notre communauté sur Patreon, une seule adresse : patreon.com/iweekMerci de votre fidélité et bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Durante la Guerra Civil Española, casi 35.000 niños fueron evacuados a distintos países: Francia, Bélgica, Gran Bretaña, la Unión Soviética y México. Lo que comenzó como un breve periodo lejos del conflicto, terminó siendo, para muchos, el inicio de una nueva vida lejos de sus familias. “La Generación del Guernica” revive los momentos más duros y emocionantes vividos por algunos de los protagonistas: su experiencia durante los bombardeos, la despedida de sus familiares; su vida cotidiana en los países de destino, el amargo retorno de los que regresaron; las impresiones y sentimientos de algunos de estos niños ya ancianos. Un documental dirigido por Steve Bowles, producido por Idem 4, con la coproducción de ETB y Discovery Channel y la Ayuda del Gobierno Vasco.
The Indiana Climate Action Plan, developed by the Indiana Department of Environmental Management (IDEM), is a strategic initiative to reduce greenhouse gas emissions across the state, particularly in low-income and disadvantaged communities. Join host Erika Schiller and Jessica Murray, Environmental Manager & Project Manager at IDEM, to discuss Indiana's strategic approach to addressing greenhouse gas emissions, the challenges of engaging diverse communities under tight deadlines, and delivering tangible co-benefits like improved air quality, public health, and job creation. ClimeCo is proud to be a trusted partner to help deliver this Priority Climate Action Plan for Indiana. Tune in to learn more about Indiana's first Climate Action Plan! Subscribe to the ESG Decoded Podcast on your favorite streaming platforms and social media to be notified of new episodes. Enjoy tuning in! Episode Resources: Indiana Priority Climate Action Plan: https://www.in.gov/idem/airquality/files/cprg_20240301_final_pcap.pdf IDEM's Air Quality - Climate Pollution Reduction Grant (CPRG) Program: https://www.in.gov/idem/airquality/climate-pollution-reduction-grant-cprg-program/
L'entreprise tunisienne Archidoc fait partie des histoires à succès locales malgré la crise économique qui ralentit les investissements. Créée en 1997, elle se spécialise dans l'archivage physique et numérique. Partie de très peu dans un pays où la culture de l'archive était peu répandue, l'entreprise a vu son chiffre d'affaires multiplier par 30 et elle ne cesse de croître. Dans les locaux d'Archidoc au sein d'une zone industrielle de Tunis, Nabil Ezzine, le fondateur, supervise la livraison des archives d'une entreprise. Avant l'archivage, tout commence par un travail minutieux de traçabilité pour le stockage. « Toutes les données qui sont relatives aux caisses et à leur localisation géographique sont immédiatement enregistrées donc en cas de demandes d'un client, ça devient un jeu d'enfants », explique-t-il.Sécurité et traçabilitéIci sont stockées les archives de 400 clients ce qui représente des milliers de mètres carrés. « La technologie s'est bien implantée dans ces processus pour garantir la sécurité et la traçabilité de toutes les opérations que nous traitons et nos clients sont aujourd'hui très exigeants et très regardants par rapport à ces aspects, poursuit Nabil Ezzine, effectivement ça reste de l'archivage physique, mais derrière, le processus a énormément évolué si on revoit le mode opératoire sur ces vingt dernières années »Si les choses ont changé en deux décennies, c'est aussi grâce à l'évolution des mentalités. Lorsqu'il s'est lancé en Tunisie, Nabil Ezzine avait du mal à convaincre les entreprises d'externaliser leurs archives. « Les gens nous regardaient avec énormément de méfiance donc on était les pionniers dans cette activité. Aujourd'hui, le fait de leur offrir la garantie de pouvoir accéder à l'image ou au document physique dans des délais très courts, c'est devenu quelque chose de très appréciable pour valoriser le business de nos clients. On n'est plus du tout dans l'image d'un archivage mort, de dossiers qui sont stockés dans de vieux entrepôts auxquels on accède de manière très épisodique. »Digitalisation par scannerArchidoc mise sur une industrialisation du processus de l'archivage moins coûteuse pour l'entreprise que si elle devait le développer en interne. Des scanners de pointe lui permettent de tout digitaliser et l'intelligence artificielle a mis à jour les techniques d'indexation et d'automatisation. « Il faut qu'on puisse retracer d'un simple clic la vie de chaque composant pour s'assurer de sa conformité etc. et là on est sous le feu des projecteurs, que ce soit du client en lui-même et même, des États. Ça peut être l'administration de l'avion civile, des autorités de contrôle au niveau international » Idem pour aider un médecin à accéder à l'historique médical complet d'un patient, car comme Nabil Ezzine aime le répéter, « archiver peut sauver des vies ».
Mes chers camarades, bien le bonjour !Ah, qu'est-ce qu'on aimerait pouvoir résumer un empire à une seule personne ! Comme si Genghis Khan ou Alexandre le Grand avaient tout fait tout seul ! Mais non, la preuve : Jules César n'était pas un empereur romain, ce sont ses successeurs qui ont pris le titre ! Idem pour Muhammad, qui a initié les conquêtes d'un futur empire, le Califat Islamique, mais n'a jamais été Calife ! Quand on dit “empire”, on pense à un bloc unifié. Mais au final, ce mot cache plein de factions, de dirigeants successifs, voire de fractures très complexes… Et les conquêtes islamiques, c'est vraiment un super exemple pour comprendre ça !Bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/notabenemovies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Regard sur les élections européennes de dimanche dernier (9 juin 2024) au cours desquelles les Européens ont élu 720 députés européens pour les cinq prochaines années. Les grands équilibres politiques sont préservés. Le Parti Populaire européen qui regroupe la famille du centre droit reste en tête, suivi des sociaux-démocrates. La troisième place revient aux libéraux centristes. L'extrême droite progresse, mais pas au point de rebattre les cartes. La poussée à droite a été contenue au niveau européen. Elle ne constitue pas un raz-de-marée. Sauf en France. À l'échelle du continent, la France est l'un des pays où les extrêmes droites réalisent leur meilleur score, après la Hongrie et la Pologne et, comme en 2014 et en 2019, le centre de gravité du futur Parlement européen s'est un peu plus déplacé à droite. Une période d'incertitude s'est ouverte en France avec la dissolution de l'Assemblée Nationale. Incertitude sur le rôle que la France pourra jouer en Europe. Idem en Allemagne avec le score médiocre du chancelier Scholz. Beaucoup de chefs d'État ont été distancés à l'occasion de ces élections à l'exception de Giorgia Meloni en Italie. Qu'est-ce que cela signifie pour la place de l'Europe dans le monde ? Ces élections marquent-elles un recul ou une avancée pour l'Europe ?Invités : Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman, dont je signale la publication récente du « Rapport Schuman sur l'Europe. L'État de l'Union 2024 ». Christian Lequesne, professeur de Science politique à Sciences Po. Auteur de nombreux ouvrages. Le dernier « Le diplomate et les Français de l'étranger » aux Presses de Sciences Po. Pierre Haroche, maître de conférences à l'Université Queen Mary de Londres et chercheur associé à l'Institut Jacques Delors. « Dans la forge du monde. Comment le choc des puissances façonne l'Europe » éditions Fayard.
The W-C Handy Blues and Barbecue Festival gets underway in Henderson with Family Night... The City of Evansville partners with an accounting, and technology company to come up with a strategic plan for city government... IDEM declares an Air Quality Action Day for much of the Tri-state. It's unsafe outside for those with respiratory issues... See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans certains produits industriels, on retrouve des aliments n'ayant aucun rapport avec ce que nous venons d'acheter. Idem pour le Nutri-score qui affiche une note élevée alors qu'il s'agit d'un produit d'une qualité médiocre... Que dit la législation ? Quelles sont les différences entre le traçage, le Nutri-Score ou encore l'éco-score ? Réponses dans cette alerte arnaque avec Olivier Dauvers. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Lean Macfarlane wrote this exquisite eulogy to honor her husband Brian. It's a beautifully intimate portrait of the man Brian was and how he lived his life but also a look at the close and loving marriage that Leah and Brian shared. An attorney, Brian had a sharp legal mind and used words precisely. He often used the legal term "ad idem" to describe their relationship and marriage - Leah uses it here in the most poignant and lovely way.
À la veille des élections législatives en Afrique du Sud où l'ANC est donnée perdante dans les sondages, gros plan sur les faiblesses de l'économie. Trente ans après la fin de l'apartheid, la majorité noire souffre toujours d'inégalités écrasantes. Un échec largement attribué au parti au pouvoir. Cette année, l'Afrique du Sud sera la première économie du continent africain en termes de PIB d'après les dernières prévisions du FMI. C'est à peu près le seul titre dont peut s'enorgueillir le président Ramaphosa. Mais il est trompeur. Avec ses activités diversifiées, son industrie développée, l'Afrique du Sud est première du continent en volume de richesses, mais en termes de croissance, elle fait pâle figure, derrière l'Angola, la Zambie et même le Zimbabwe depuis trente ans. La comparaison avec les grands émergents comme la Chine ou l'Inde est encore plus accablante car sa croissance réelle, sans l'inflation, est faiblarde, voire négative. Son PIB culmine en 2011. Depuis, le PIB par habitant a reculé de 23 % et les inégalités ont explosé. L'Afrique du Sud est le pays le plus inégalitaire au monde selon la Banque mondiale. Et c'est la majorité noire de la population qui en souffre le plus.40 % des Noirs sans travailLe fossé entre les Noirs et les Blancs est particulièrement choquant sur le marché de l'emploi, miné par un taux de chômage supérieur à 30 %. Ce taux est de 40 % parmi les Noirs et 7 % seulement pour la minorité blanche. 60 % des terres sont encore cultivées par des fermiers blancs, 16 % seulement par des Noirs à l'issue de la réforme agraire qui devait rééquilibrer l'accès à la propriété des terres. Idem pour l'actionnariat des entreprises cotées : 70 % des sociétés appartiennent encore aux Blancs. Dans le contexte d'appauvrissement généralisé, le nombre des personnes dépendant de l'aide sociale a explosé, cela concerne le tiers de la population.À lire aussiÉlections générales en Afrique du Sud : gros plans sur trois régions clésLe fiasco du Black Economic EmpowermentLe Black Economic Empowerment, une politique de discrimination positive en faveur de la population de couleur, n'a pas fonctionné comme prévu. Certains n'hésitent pas à parler d'un échec. D'un système déformé par l'usage. Seule une minorité noire s'est considérablement enrichie. Essentiellement des membres de l'ANC invités à la table des dirigeants blancs. Ils ont obtenu des participations au capital des grandes entreprises, des postes de direction, et sont devenus alors les meilleurs alliés économiques de leurs ex-oppresseurs. Le Black Economic Empowerment a été le terreau de la corruption. Aux détriments des collectivités qui passaient des appels d'offre, mais aussi des entreprises qui ont perdu en compétitivité.Les défaillances du réseau électriqueLa corruption endémique est l'une des causes de la défaillance chronique de la compagnie nationale d'électricité. Les déboires d'Eskom, devenue incapable de fournir du courant en continu, est la plaie la plus douloureuse de l'économie sud-africaine. La situation s'est améliorée depuis quelques mois, mais il est encore trop tôt pour parler d'un retour à la normale. La croissance sud-africaine sera cette année inférieure à 1 %. Selon le FMI, elle pourrait bondir à 3 ou 5 % si le courant était rétabli de manière durable. Cette déliquescence du réseau, avec des conséquences négatives sur le transport ferroviaire, est l'un des facteurs qui poussent certains investisseurs étrangers à reporter leurs projets.À lire aussiAfrique du Sud: pourquoi les élections générales sont l'un des scrutins les plus incertains depuis 30 ans
Avec son art du stand-up et son dernier talk show humoristique nommé Y'a plus de saisons, l'humoriste Swann Périssé se saisit de la brûlante question écologique pour faire des vannes… à mourir de rire !« Je me dis que si j'atteins les gens qui sont déjà écolos – si ça les touche, si ça leur permet de rigoler, d'avoir du courage, de se serrer les coudes pour devenir de plus en plus militants – c'est super. Idem si j'arrive à toucher d'autres gens en faisant rigoler, si j'arrive à toucher des gens qui ne sont pas du tout convaincus en se disant : "cette meuf elle est marrante, je vais écouter son humour, puis ça va être une porte pour apprendre plein de choses." » Swann PérisséRessourcesPaul Watson, Lamya Essemlali, Un océan de détermination, Radio REcyclerie, 2024Alice Desbiolles, Sergio Lopez, Bandes Détournées,Éco-anxiété : Des larmes au rire, du rire aux armes, Radio REcyclerie, 2021Cyril Dion, Petit manuel de résistance contemporaine, Actes Sud, 2018Isabelle Delannoy, L'économie symbiotique, Actes Sud, 2017Enregistrement : le 20 mai 2024 à la REcyclerie / Entretien et mise en ondes : Simon Beyrand / Sound design : JFF / Illustration : Belen Fernandez – OlelalaRadio REcyclerie met en ondes les foisonnantes discussions enregistrées à la REcyclerie – un tiers-lieu engagé situé Porte de Clignancourt à Paris. Pour nous soutenir, vous pouvez partager l'émission autour de vous, l'évaluer positivement, et vous abonner au podcast.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
by Gertrude Stein
Štvorica redaktorov ŠPORT.sk opustila svoje domovy a o športový azyl požiadala v susednom Česku. Nateraz sa síce všetci usadili v Ostrave, ale dúfame, že budúci týždeň sa pozrú aj do Prahy.Na Morave mapujú nielen dianie okolo hokejového národného tímu Slovenska, ale fanúšikom ukazujú aj zákulisie svetového šampionátu, na ktorom nechýbajú ani viaceré veľké hviezdy z NHL.Aký bol včerajší hrací deň MS v hokeji 2024 sa dozviete v dnešnej epizóde nášho nepravidelného šampionátového podcastu Z tribúny.
Vieš si predstaviť umývať 900 tisíc misiek? Idem si zatrúbiť... NEXT? LATEXOVÉ SLIPKY https://open.spotify.com/episode/1cw2UPCQuQvEIrfftQtPFl?si=5c89ceb0953e401b ZLATÝ BAŽANT - hrdý partner slovenského hokeja http://www.sutaz.zlatybazant.sk Nezabudni piť s rozumom a len od 18 rokov. So špeciálnym "funpack balením" Slovakia Chips, popri sledovaní hokeja, spoločne za výhrou https://www.slovakiachipshokej.sk/ Vražedné psyché NAŽIVO, 25. mája priamo pod Chodníkom v korunách stromov s neopakovateľným výhľadom na Belianske Tatry v Bachledovej Doline! Vstupenky na https://bachledka.sk/vrazedne-psyche-nazivo-v-bachledke alebo na www.zapotour.sk Podcasty by ZAPO môžeš počúvať už aj na Youtube a nezabudni nám dať odber https://www.youtube.com/@ZAPOTV Produkcia @kurieris_podcast by ZAPO @zapoofficial
Élection présidentielle ce lundi au Tchad. « Plus de huit millions de Tchadiens sont appelés aux urnes, relève Le Monde Afrique, pour un scrutin censé mettre un terme à la transition entamée au lendemain de la mort du président Idriss Déby Itno, tué lors de combats avec des rebelles en avril 2021. L'enjeu est de taille : son fils, Mahamat Idriss Déby, hissé par un groupe d'officiers sur le fauteuil de son père, souhaite légitimer son pouvoir par les urnes ; mais son principal rival et premier ministre, Succès Masra, ne compte pas lui faciliter la tâche. »Le Monde Afrique rappelle que« Succès Masra était rentré au Tchad en novembre de l'année dernière, au terme d'un an d'exil et avait été nommé chef du gouvernement à la faveur d'un accord politique avec le pouvoir. Il s'était alors attiré les foudres de ses anciens alliés parmi l'opposition et la société civile qui désormais le considèrent comme un "candidat prétexte" servant à donner l'illusion d'un scrutin ouvert. (…) Mais les évènements ont finalement pris une tournure inattendue, pointe encore le journal, lorsque Succès Masra, galvanisé par les foules venues assister à ses meetings dans ses fiefs du sud du pays, a décidé de donner un ton plus offensif à sa campagne en multipliant les coups de griffes à l'encontre de Mahamat Idriss Déby. Et dans ce qui s'annonce comme un duel serré entre le président de la transition et son Premier ministre, un autre candidat, l'ancien Premier ministre Albert Pahimi Padacké – arrivé second à la dernière présidentielle de 2021 avec plus de 10% des voix –, apparaît désormais comme le "troisième homme" ; il pourrait être un faiseur de rois dans le cas d'un éventuel second tour ».Ange ou démon ?Alors « l'alternance est-elle possible ? », s'interroge Le Pays. Le quotidien burkinabè se garde bien de livrer un pronostic. « L'occasion est bonne, en tout cas, pour le peuple tchadien de créer une surprise à la Sénégalaise, affirme-t-il, et de prendre définitivement son destin en main après près d'une décennie d'élections truquées qui ne visaient que la confiscation du pouvoir au profit du régime d'Idriss Deby Itno. Mais encore faut-il que l'Ange, l'agence chargée des élections, joue la carte de la transparence, relève encore Le Pays. Même si elle se veut rassurante, il n'en demeure pas moins qu'elle cristallise les critiques de certaines organisations de la société civile. »En effet, renchérit L'Observateur Paalga, « une question taraude toujours les esprits. Celle de savoir si l'Ange n'est pas un démon en l'occurrence, car malgré ses assurances sur la fiabilité du fichier électoral, le fait qu'elle n'ait pas eu "le temps matériel" (selon ses dires) pour procéder à une nouvelle révision pose problème aux yeux de nombreux observateurs de la scène politique tchadienne. »La France et les États-Unis attentifsEn tout cas, cette présidentielle au Tchad présente un aspect géopolitique important. C'est ce que souligne Le Point Afrique : « Alors que la France a encore quelques milliers de soldats répartis dans trois bases au Tchad, les résultats de la présidentielle dans ce pays, qui reste jusque-là un maillon clé de la présence militaire française au Sahel, pourraient être des plus scrutés depuis Paris. Idem pour Washington qui, après un accord de retrait de ses troupes du Niger, a annoncé il y a quelques jours un "repositionnement" de ses soldats basés au Tchad. »Pas de surprise au TogoÀ la Une également, les élections législatives au Togo. On connait les résultats du scrutin d'il y a une semaine et sans surprise, le parti présidentiel l'emporte haut la main.« Unir a littéralement écrasé ses adversaires politiques », s'exclame Togo Matin. Avec 108 sièges sur 113, c'est « un ouragan électoral. (…) Cette grande victoire, poursuit le quotidien proche du pouvoir, reste également celle de la nouvelle Constitution adoptée par l'Assemblée nationale, à la veille de ce double scrutin, et dans un contexte quelque peu crispé avec plusieurs sons de cloche voire des montées d'adrénaline, entendus ci et là ».Pour le site d'information Togo Breaking News, « c'est clairement une bérézina électorale pour les grands partis de l'opposition qui avaient commencé à dénoncer depuis le jour du vote des bourrages d'urnes et autres fraudes de la part des partisans du pouvoir. Les opposants togolais n'ont pas su mobiliser leurs bases ou n'ont pas eu les moyens de mieux préparer ces élections ».
Medzi zručnosti, ktoré by dnes mali byť rozvíjané, patrí porozumenie vzťahom v spoločnosti, porozumenie tomu, na čom stojí demokracia, občianska gramotnosť, povedomie o histórii, ale aj informačná gramotnosť. Súbor týchto zručností človeka predurčuje, aby nemal pocit úzkosti či dezorientácie vo vysoko komplexnom prostredí, ktoré vytvára informačný chaos. Aký vplyv na výchovu a vzdelávanie má rýchly rozvoj digitálnych technológií? Prečo by sa mal vzťah vo vzdelávaní transformovať z jednosmerného na obojstranný a čo by mohli deti a mládež naučiť staršie generácie? Čo znamená tzv. digitálna dospelosť a čím sa u používateľov v online priestore prejavuje? Ako sociálne siete ovplyvňujú pozornosť či schopnosť orientácie u detí?Prečo sa dnes školy nedokážu adaptovať na zmeny v digitálnom prostredí? Mohli by v tomto ohľade spolupracovať s inými aktérmi, napríklad s neziskovými organizáciami? Ako je možné deti učiť správať sa v online priestore obozretne? Nakoľko môže byť pre zvýšenie pozornosti detí účinný zákaz mobilných telefónov pri výučbe?Aj o tom v novej epizóde podcastu Disinfo Report organizácie Infosecurity.sk hovorí Tonka Zsigmondová s prorektorom Vysokej školy ekonómie a manažmentu v Prahe a poradcom českého ministra školstva Mikuláše Beka Bohumilom Kartousom.Hosť je autorom kníh o budúcnosti vo vzťahu k vzdelávaniu a sebarozvoju s názvami No Future (2019) a Future ON! (2023) a a líder českého startupu Idem do seba zameraného na tému duševného zdravia.
C dans l'air du 17 avril 2024 - Carlos Tavares : le patron qui valait 36 millions ? 36,5 millions d'euros pour l'année 2023, soit pas moins de 100 000 euros par jour. Ce mardi, le conseil d'administration de Stellantis a validé à 70 % des voix la rémunération en forte hausse du directeur général Carlos Tavares. Une somme colossale jugée totalement indécente par une part importante de la classe politique, notamment à gauche mais que l'intéressé assume. "C'est une dimension contractuelle entre l'entreprise et moi. Comme pour un joueur de foot et un pilote de Formule 1, il y a un contrat", a-t-il justifié auprès de BFM Business. Le chef d'entreprise, habitué des polémiques au sujet de son salaire, s'est d'ailleurs laissé aller à une petite provocation en lançant : "si vous estimez que ce n'est pas acceptable, faites une loi". En 2022 déjà, la rémunération de Carlos Tavares avait relancé le débat sur le salaire des dirigeants du CAC 40. Conscient des risques d'explosion sociale, Emmanuel Macron avait jugé à l'époque "choquants et excessifs" les 19 millions attribués pour l'année 2021 au dirigeant du groupe automobile né de la fusion de PSA Peugeot-Citroën et FCA Fiat-Chrysler. Le chef de l'Etat s'était alors prononcé pour la mise en place d'un plafond contre les rémunérations abusives pour les patrons européens, au niveau de l'Union européenne. Le projet est jusqu'à présent resté lettre morte. Cette fois, c'est l'insoumis Matthias Tavel qui a annoncé le dépôt d'une proposition de loi "pour fixer un salaire maximum dans les entreprises, en limitant à 20 les écarts entre la plus grande rémunération et le plus petit salaire". Idem pour les socialistes qui entendre défendre un texte déposé en 2020 allant également dans ce sens. Pour le président du groupe rose à l'Assemblée Boris Vallaud, le moment est venu pour le législateur de s'emparer de la question de la répartition des richesses. Et ce alors que l'inflation impacte encore fortement le revenu des ménages et que le gouvernement va demander de nouveaux efforts aux Français pour palier au spectaculaire dérapage des comptes en 2023. Lors du Conseil des ministres ce mercredi, l'exécutif a dévoilé la nouvelle feuille de route gouvernementale pour faire revenir le déficit public sous les 3 % du PIB d'ici à 2027. Mais celle-ci est jugée manquer de "crédibilité" et de "cohérence" par le Haut Conseil des finances publiques qui appelle à renoncer aux baisses d'impôts promises pour l'an prochain. La question de la taxation des plus riches est également évoquée dans la classe politique. Dans une tribune publiée dans les colonnes du Monde, un collectif d'économistes plaide, de son côté, pour la désindexation des pensions de retraite et la suppression de l'abattement de 10 % sur leur imposition. LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des Echos - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Aurore GORIUS - journaliste indépendante, spécialiste du lobbying et de l'influence - Emmanuel DUTEIL- Directeur de la rédaction de l'Usine nouvelle
Le CETA, l'accord de libre-échange entre l'Europe et le Canada, arrive enfin devant le Sénat français pour être ratifié. Le vote ne va pas de soi, car sept ans après avoir été approuvé par les chefs d'État et le Parlement européen, cet accord demeure très polémique parmi les agriculteurs français. Le sujet a été réactivé avec la récente crise agricole. Les sénateurs, très sensibles au monde rural, pourraient voter contre. Cette option du pire bloquerait en théorie l'accord, d'où la fébrilité du gouvernement. La France n'est pas le seul pays qui se méfie du CETA. Dix autres pays européens repoussent la ratification par crainte d'essuyer un rejet. Pourtant, le CETA est déjà partiellement mis en œuvre depuis 2017 et le bilan est plutôt rassurant. En valeur, les échanges entre le Canada et l'Europe ont augmenté de 37% depuis l'application de l'accord, et la balance est toujours très favorable à l'Europe. Les gains sont significatifs pour l'industrie, les services et l'agro-alimentaire. Même tendance pour la France avec un bond d'échanges avec le Canada de 30%. Un chiffre à relativiser, car il est conforme à l'évolution globale des exportations françaises.L'agro-alimentaire, grand gagnant du CETALe quart des exportations françaises vers le Canada sont des produits agro-alimentaires. Contre toute attente, les éleveurs en profitent largement. Et contrairement à ce qu'ils redoutaient, le bœuf canadien n'a pas déferlé dans les boucheries françaises. Les 52 tonnes expédiées en 2023 dans l'Hexagone ne représentent que 0,0034 % de la consommation. De fait, les Canadiens utilisent seulement 2% du quota autorisé dans le cadre du CETA. Les vignerons français sont les grands gagnants de cet accord de libre-échange. Leurs exportations vers le Canada se sont envolées. Idem pour les producteurs de reblochon ou d'autres fromages AOC — Appellations d'origine contrôlée. Une tendance qui est valable pour toute l'Europe. Les exportations de parmesan, ricotta et autres douceurs italiennes ont bondi. Cela n'empêche pas l'Italie de la populiste Giorgia Meloni de refuser la ratification. En Italie comme en France, le CETA est devenu un objet de crispation très politique, trop politique pour être abordé sereinement à quelques mois des élections européennes.À lire aussiCETA, vrai ou faux? C'est plus compliqué...Encore des inconnues pour les écologistesY compris pour examiner les réserves sérieuses sur l'évolution future du commerce avec le Canada. Les éleveurs canadiens pourraient se réveiller, se détourner de leur marché américain pour exporter du bœuf aux hormones en Europe, car les contrôles locaux s'avèrent légers au regard des normes européennes. Autre incertitude : le fonctionnement de la cour arbitrale chargée de régler les différends entre les entreprises et les États. Sera-t-elle une voie pour contourner les législations environnementales de l'Union européenne, comme le redoutent les écologistes ? Ces doutes exigent une franche discussion avec les responsables canadiens. Les sujets pourraient être abordés le 10 avril prochain lors de la visite de Gabriel Attal à Ottawa. Le premier ministre français sera accompagné de Franck Riester, le ministre délégué au Commerce extérieur.À écouter aussiFranck Riester: «Ne faisons pas du CETA un bouc-émissaire de la crise agricole»
À quelques jours de la date anniversaire du début de l'invasion russe de l'Ukraine, le président ukrainien a procédé à un remaniement au plus haut niveau des forces armées ukrainiennes. Au général Valeri Zaloujny succède le général Oleksandr Syrsky qui, comme son prédécesseur, fait du développement des nouvelles technologies une priorité de son programme afin de sortir de l'impasse dans laquelle la guerre se trouve actuellement. Un changement d'hommes qui pourrait répondre à la nécessité de préserver un consensus national face à l'ennemi. Où en est l'unité de la nation ukrainienne et la confiance dans le pays ? Idem du côté de la Russie alors que cette guerre a des conséquences mondiales et qu'elle menace de se solder par une crise profonde de l'Union européenne. La troisième année de la guerre d'Ukraine est sur le point de commencer et la transformation du système international est en pleine accélération.Invités : Alexandra Goujon, maître de conférences à l'Université de Bourgogne. Autrice de « L'Ukraine de l'indépendance à la guerre », éditions le Cavalier Bleu Galia Ackerman, historienne, spécialiste de la Russie et d'Ukraine. Directrice de la rédaction de Desk Russie Le colonel Jacques Hogard, ancien officier parachutiste de la Légion étrangère. Auteur de « La guerre en Ukraine. Regard critique sur les causes d'une tragédie » à paraître le 28 février 2024 chez Hugo Doc.
Est-ce un coup de froid sur le marché des voitures électriques? Dans le monde entier les ventes ont reculé de 14 % entre décembre et janvier. Comment expliquer ce raté dans le moteur? C'est un sérieux coup de frein sur une tendance qui reste dynamique : selon le cabinet Rho Motion, les ventes ont tout de même progressé de 69 % en 2023. Mais les constructeurs s'attendent à un gros ralentissement en 2024. En Europe, la croissance devrait être de 5 % seulement, selon les prévisions de Bloomberg. C'est en Allemagne que le désamour pour le véhicule électrique est le plus fort. Après huit ans de croissance, les ventes devraient reculer par rapport à l'an dernier. Une panne qui pèse sur tous les constructeurs, car ce pays représente aujourd'hui la moitié du marché européen. Le marché se tasse aussi en Suède, aux Pays-Bas et en Croatie. Aux États-Unis, c'est le même scénario sensible depuis l'automne 2023.À lire aussiVoitures électriques : l'Europe peut-elle réussir son pari ?Des voitures encore trop chèresLa guerre des prix entamée il y a un an n'a pas suffi à attirer de nouveaux clients. Comparé à la voiture thermique, le véhicule 100 % électrique est encore bien trop cher. Le segment des voitures haut de gamme est saturé. Dans la catégorie intermédiaire, très peu de modèles sont compétitifs. La hausse des taux et l'inflation ont rendu les clients plus frileux. Et dans le cas de l'Allemagne, la fin des subventions annoncée en décembre a brutalement éloigné les acheteurs potentiels. En Europe comme aux États-Unis, les automobilistes sont devenus plus attentifs aux coûts secondaires : en Allemagne où l'électricité a fortement augmenté, le e-véhicule est moins attirant et comme le prix du carburant tend à baisser, la transition vers l'électrique parait moins urgente du point de vue du consommateur. La faiblesse des équipements de recharge douche aussi l'enthousiasme des automobilistes. Pour toutes ces raisons, le client sensible à son empreinte carbone se reporte volontiers sur les voitures hybrides. C'est le segment qui demeure très robuste dans les ventes de voitures électriques.Le rétropédalage de l'industrieCertains constructeurs perdent de l'argent sur les modèles tout électriques. Des usines 100 % électriques sont mises en sommeil aux États-Unis tandis que les chaînes dédiées au moteur thermique reprennent du service. Le passage au véhicule électrique sera plus lent que prévu. Il dépend aussi de l'équipement en bornes de recharges. L'Allemagne en a promis un million d'ici 2030. Pour l'instant, il n'y en a que 100 000. Le gouvernement d'Olaf Scholz, contraint de limiter ses dépenses, est à la peine pour dégager les moyens suffisants. L'objectif des 15 millions de e-véhicules sur les routes allemandes en 2030 ne sera sans doute pas atteint. Pour le moment, un million sont en circulation. Idem aux États-Unis où Joe Biden tablait sur 67 % de e-véhicule en 2030, aujourd'hui, il ne représente que 7 % du parc automobile américain.
Nouveaux appels à manifester, campus universitaires bloqués, dialogue toujours impossible… La crise politico-sociale se poursuit au Sénégal.L'opposition a prévu une marche silencieuse ce mardi 13 février à Dakar : « Dakar retient son souffle », lance WalfQuotidien en première page. « Mardi à haut risque », prévient La Dépêche Républicaine.À l'origine de ce rassemblement, « le collectif de la société civile, "Aar Sunu élection" qui invite tous les Sénégalais, précise le quotidien 24 Heures, à se mobiliser pour manifester leur opposition au report de l'élection présidentielle ».Toutefois, cette marche n'aura sans doute pas lieu. Elle a été interdite par les autorités. C'est du moins ce qu'annoncent plusieurs sites d'information sénégalais ce mardi matin. C'est le préfet de Dakar qui a pris l'arrêté d'interdiction, relève Senego, au motif que cette marche est « susceptible de perturber gravement la libre circulation des personnes et de leurs biens en raison des problèmes actuels de mobilité dans la zone ».La contestation dans les universitésDans le même temps, le président « Macky Sall est interpellé par les universitaires et la mobilisation gagne les campus sénégalais, constate Jeune Afrique. Les membres du Collectif des universitaires pour la démocratie, un groupe né au lendemain de l'annonce du report du scrutin qui compte aujourd'hui plus de 200 membres, demande le respect du calendrier républicain et le départ du président Macky Sall à la tête du pays dès le 3 avril prochain comme le prévoit la Constitution ».Et puis, pointe encore Jeune Afrique, « les enseignants de l'université publique sénégalaise se mobilisent également sur le front syndical. Le Syndicat autonome des enseignants du supérieur a lancé un appel à la grève pour "exiger la lumière" sur le décès d'un étudiant de Saint-Louis, qui fait partie des trois jeunes tués depuis vendredi dernier lors des heurts entre forces de l'ordre et manifestants ».L'appel de Diouf et WadeAutre fait marquant, cet appel au dialogue lancé par les deux anciens présidents Diouf et Wade. Un « dialogue qui réunit et qui divise », estime La Dépêche. En effet, l'initiative des deux anciens chefs d'État est diversement appréciée. Certes, relève WalfQuotidien, « Abdou Diouf et Abdoulaye Wade appellent l'opposition à participer au dialogue voulu par Macky Sall »,mais« ils se disent bizarrement favorables au report du scrutin ».De toute manière, persifle le quotidien dakarois, « Abdou Diouf ne s'est plus intéressé au Sénégal depuis qu'il a perdu le pouvoir en 2000. Il n'a pas de maison ici et ne vote pas au Sénégal. Il a brillé par son silence lors des évènements de mars 2021 et juin 2023. Idem dans la mise à mort de Khalifa Sall avant 2019. Quant à Abdoulaye Wade, il n'a qu'un seul rêve : voir son fils, Karim, être Président du Sénégal. Le reste ne l'intéresse pas ».Discussions en coulissesEn tout cas, croit savoir Le Monde Afrique, « face à une conjoncture explosive, les médiateurs issus de la société civile s'activent en coulisses pour éviter l'embrasement. Ils tentent d'arracher au pouvoir des garanties fortes pour encourager les opposants à accepter le dialogue. Certains conciliateurs mettent sur la table la libération d'Ousmane Sonko et de son candidat Bassirou Diomaye Faye, tous deux poursuivis pour, entre autres charges, atteinte à la sûreté de l'État ».Le médiateur Alioune Tine, à la tête d'Afrikajom Center prévient, toujours dans les colonnes du Monde Afrique : « Si le président Sall veut prouver son intention de réconcilier les Sénégalais à travers un dialogue inclusif comme il l'a annoncé, il doit y associer ses principaux opposants, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye. Et libérer les militants emprisonnés. C'est une question de confiance d'autant que le précédent dialogue n'a finalement servi à rien. S'il maintient cette porte fermée, on risque la confrontation. »Toutefois, pointe encore Le Monde Afrique, « cette option ne convainc pas les cadres de l'ancien parti dissous : "si nous faisons de la libération d'Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye un préalable au dialogue, nous permettrons à Macky Sall de valider son chantage politique, affirment-ils. Nous ne sommes pas prêts à négocier leur sortie et celle des militants contre sa forfaiture" ».
Il y a 253 ans jour pour jour, un roi s'apprête à marquer l'Histoire de son pays grâce à la nourriture : Adolphe-Frédéric de Suède. Comment ? Eh bien, je vais vous le dire dans ce podcast. Les Darwin Awards n'existaient pas encore à son époque mais sa mort peut figurer parmi les plus bêtes ! Adolphe-Frédéric de Suède est le premier monarque de la dynastie Holstein-Gottorp, Holstein, comme la race de vache. Son règne n'a pas laissé un souvenir impérissable dans l'Histoire du pays. Nous sommes au XVIIIe, il n'a pas de rôle politique de premier plan mais lui, sa passion, c'est la bouffe. Le roi Adolphe-Frédéric est connu pour son coup de fourchette (encore qu'à cette époque, c'était tout juste si on utilisait ce couvert) Il aime la bonne chère et il l'aime en quantité telle qu'il en mourra. Lors du repas fatal du 12 février 1771, Adolphe-Frédéric de Suède avale : homard, caviar et hareng, arrosé par du champagne. Il y a aussi de la choucroute et de la soupe au chou, un peu de légumes tout de même. Le gros plein de soupe, voici le titre qui lui manque, n'est pas en reste. C'est le moment de passer au dessert. On raconte que le roi adore la semla, une brioche à la pâte d'amande et à la crème fouettée. Il s'en ressert 14 fois. 14 FOIS ! Patraque, le roi sort en table et fait un malaise. Une indigestion peut-être ? Oui monsieur, si importante qu'il meurt d'un AVC. C'était la ripaille de trop. Et il y a eu tant de fails comme celui-ci dans l'Histoire des grands de ce monde. Quelques exemples notables. Deux siècles avant lui, Maximilien 1er, est mort après avoir mangé trop de melons. AVC direct. Idem pour le Pape Paul II. En 2002 George W.Bush fils, alors président des Etats-Unis s'étouffe avec un bretzel, il est pas passé loin de finir les pieds devant. Ridicule non ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Épisode 1090 : Debat éternel, social ou pas social ! ? Aujourd'hui on craque le cas WhastappPendant des années elle a été relégué au rang d'application gratuite de messagerie. Une app pour organiser ses vacances entre amis ou le repas de pâques avec la famille. Oui mais voilà avec 2 milliards d'utilisateurs actifs, WhatsApp attise la curiosité et l'appétit des marques. Le Groupe Meta lui même voit dans WhatsApp une opportunité pour les marques de distribuer leur messages marketing et de renforcer le lien avec leurs consos.Mais en vrai, qu'est-ce que c'est une plateforme Social Media ?Ok la définition là voici . Les médias sociaux sont définis comme tout type de service ou de site Web en ligne qui permet aux utilisateurs de créer et de partager du contenu. Les médias sociaux permettent aussi de se connecter et d'interagir avec d'autres utilisateurs dans des communautés ou des réseaux virtuels.Si on reste très scolaire. Oui, WhatsApp est une plateforme sociale.—Mais pourquoi un doute subsiste ?Whatsapp ne propose pas de pages de marque. WhatsApp ce n'est pas Instagram, ni Facebook. Il n'y a pas de page de profil. C'est une messagerie. Ce n'est pas une plateforme dans lequel mon contenu a une durée de vie. En même temps c'est le cas aussi sur X ou sur Threads.WhatsApp ne propose aucune solution de découvrabilité pour les marquesSans feed, ni algorithme, impossible pour une marque d'émerger sur WhatsApp.Idem il n'y a pas de moteur de recherche sur WhatsApp. Je ne peux pas découvrir de marques ou de comptes cool à suivre.—WhatsApp c'est bien un plateforme sociale mais ce n'est pas un réseau social.Est-ce que ça veut dire qu'il ne faut rien faire avec. Certainement pas ! Le d'opportunités sont nombreuses !—WhatsApp Business s'impose petit à petit comme un vrai outil de gestion de la relation clientWhatsApp Business est une version indépendante de la version classique de l'application WhatsApp. WhatsApp Business offre des fonctionnalités supplémentaires spécifiques aux entreprises.Avec les channels, WhatsApp devient aussi un espace de prise de parole de marqueWhatsApp Channel permet aux utilisateurs de s'abonner à des canaux de diffusion sur des sujets qui les intéressent ou alors de suivre certaines marques ou créateurs de contenus. C'est sans aucun doute ce qui est réseau social aujourd'hui chez WhatsApp.Le concept est le même que pour les canaux Instagram : les marques peuvent poster des messages, des photos, des vidéos, dans un flux à sens unique, auquel les abonnés ne peuvent réagir que par des emojis ou en répondant à des sondages.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
„Idem do toho, lebo to milujem“. Koľkí z nás majú ten luxus na takéto konštatovanie? Ak by sme však uvažovali ďalej, poctivo a sebakriticky, prišli by sme k inému konštatovaniu: že nepôjde to bez odvahy. Tento luxus si dopriala Nikola Richterová. Našla v sebe odvahu. Povedala si, že už nechce žiť v kolotoči povinností, ktoré časom prestávali dávať zmysel. Vystúpila z neho. V práci si zobrala neplatené voľno – či inak slovenskú podobu sabatikalu. A dala sa na hľadanie svojho ja, lebo ako píše: zabúdala som, kto som! A skončila – zas podľa toho, čo zaznačila na sociálne siete – spokojná, za polárnym kruhom, a to napriek tomu, že z pozície PR manažérky je z nej asistentka v reštaurácii v zasneženom Fínsku. S konštatovaním: „Som na seba fakt hrdá, že som aj napriek pochybnostiam šla podľa svojho vlastného vzorca – idem to toho, lebo to milujem.“Ako na to? V dnešnej uponáhľanej dobe, keď už zabúdame, kto vlastne sme? „Pre mňa bol sabatikal zlomový, lebo som si uvedomila, že dlhé roky som existovala bez toho, aby som si dopriala čas na zastavenie. Čas na to, aby som si uvedomila, ako sa mám, čo mám rada. Spätne som si uvedomila, že som sa vôbec nepoznala“, opisuje svoju skúsenosť s riešením vyhorenia Nikola Richterová.Podcast pripravil Jaroslav Barborák.