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durée : 01:48:19 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Alors que la polémique Shein peine à s'essouffler, Fnac-Darty pourrait voir le chinois JD.com entrer à son capital. Le Black Friday, lui, agite les consommateurs et remet en avant les interrogations sur l'hyperconsommation. Comment le groupe français navigue-t-il dans ces courants contraires ? - réalisation : Peire Legras, Alexandra Malka - invités : Christophe Bennet Président de la FNADAC (Fédération Nationale des Associations de Directeurs des Affaires Culturelles); Enrique Martinez Directeur Général de Fnac-Darty
Premier pays européen sur la plateforme Shein, fast-food… Consommation, pouvoir d'achat : le grand paradoxe français vu par Yaël GooszLe vendredi et le samedi c'est Yaël Goosz qui décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
60 Millions de Consommateurs, magazine de référence dédié à l'information des consommateurs, dévoile une refonte complète de sa formule. Une évolution en profondeur, tant sur le fond comme que la forme, pour répondre aux nouveaux défis de la consommation.
Invité :-Vincent Caure, député Ensemble pour la République des Français établis hors de France et rapporteur de la loi visant à lutter contre le narcotrafic Débatteurs du soir :-Jules Torres, journaliste politique au JDD-Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs ActuellesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:29 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Gerald Darmanin et Laurent Nunez sont attendus à Marseille, une semaine après l'assassinat de Mehdi Kessaci. Pour amplifier la lutte contre le trafic, l'exécutif veut responsabiliser les consommateurs, de plus en plus nombreux.
Dans cette édition :Le gouvernement souhaite s'attaquer au trafic de drogue en ciblant également les consommateurs, considérés comme complices et parfois financeurs du trafic.À Marseille, les élus réclament l'instauration de l'état d'urgence face à l'explosion de la violence liée au narcotrafic.Le chef d'état-major des armées alerte les maires sur la nécessité de préparer la population à un conflit potentiel contre la Russie dans les 3-4 ans à venir.Les propriétaires sont en colère face à la hausse de la taxe foncière, liée à la mise à jour des normes de confort des logements.Le service public de l'information porte plainte contre CNews et le JDD pour dénigrement, une initiative qui n'a pas été approuvée par les tutelles.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis quelques heures, on insiste beaucoup dans cette prise de conscience sur le narco-terrorisme et sur les consommateurs. Cela suscite une certaine controverse. Éric Dupond-Moretti avait déjà commencé, mais ça s'accélère. Sur le fond, Ruth Elkrief pense que c'est tout à fait juste de mettre chaque consommateur de drogue face à la réalité du trafic et à ses conséquences. En France, on apprécie nos maires, mais ils se plaignent aujourd'hui. Ils disent : "Nous sommes à l'os.". On compte environ 35 000 maires. En moyenne, en France, on distribue 1 550 euros par an à chaque commune. C'est un luxe qui nous coûte très cher, car à chaque commune, ce sont des frais de gestion, des frais de fonctionnement et du personnel. Selon Pascal Perri, il n'y a pas tout à fait de manque dans les communes. La banque de sperme danoise "Donor Network" impose un quotient intellectuel (QI) égal ou supérieur à 85 pour les donneurs de sperme, tout en excluant également les personnes ayant un casier judiciaire. Abnousse Shalmani est d'accord et que c'est devenu un shopping génétique. "Ce qui me dérange, c'est que tout à coup, l'enfant devient une marchandise" ajouta-t-elle. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement souhaite s'attaquer au trafic de drogue en ciblant également les consommateurs, considérés comme complices et parfois financeurs du trafic.À Marseille, les élus réclament l'instauration de l'état d'urgence face à l'explosion de la violence liée au narcotrafic.Le chef d'état-major des armées alerte les maires sur la nécessité de préparer la population à un conflit potentiel contre la Russie dans les 3-4 ans à venir.Les propriétaires sont en colère face à la hausse de la taxe foncière, liée à la mise à jour des normes de confort des logements.Le service public de l'information porte plainte contre CNews et le JDD pour dénigrement, une initiative qui n'a pas été approuvée par les tutelles.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:45 - Les consommateurs de foie gras soutiennent les producteurs et les éleveurs en Dordogne après la découverte de deux foyers de grippe aviaire Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 18 novembre 2025 avec Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l'UFC-Que Choisir. Aujourd'hui, le tribunal de Nanterre doit rendre sa décision sur la possibilité pour Nestlé Waters de poursuivre la commercialisation ou non de sa marque l'appellation eau minérale. Secoué depuis deux ans par les conditions d'embouteillage de son eau Perrier sur le site de Vergèze, Nestlé pourrait vivre un véritable coup de tonnerre : le groupe pourrait être contraint de retirer ses iconiques bouteilles vertes des rayons et des cuisines des restaurants. C'est en tout cas ce que demande l'UFC-Que choisir, qui doit être fixée sur sa procédure, lancée au printemps auprès du tribunal judiciaire de Nanterre, pour retirer et rappeler provisoirement les bouteilles de la marque."Pour nous, une tromperie persiste en l'état auprès des consommateurs sur l'appellation eau minérale naturelle de Perrier", selon Gwenaëlle Le Jeune, juriste pour l'association de consommateurs. "Après le rapport parlementaire de mai dernier sur les pratiques des embouteilleurs en France, on voyait mal comment ne pas réagir", ajoute-t-elle.Ce mardi, l'UFC-Que choisir lance également son opération "La goutte de trop". Elle vise à alerter sur une dégradation de la qualité de l'eau potable en France et sur les coûts exorbitants de la dépollution. Entre 2021 et 2025, le niveau de conformité des réseaux d'eaux potables en France s'est considérablement dégradé, selon l'UFC-Que choisir. D'après cette étude menée par l'UFC-Que Choisir rendue publique aujourd'hui, seuls 85% d'entre eux seraient conformes à la réglementation en vigueur.Olivier Andrault commentera la décision du tribunal de Nanterre sur la commercialisation des eaux Perrier sous l'appellation "eau minérale naturelle". Il nous donnera aussi les résultats de l'étude de l'UFC-Que choisir sur la qualité de l'eau potable en France, et nous exposera les propositions de l'association, qui lance sa campagne "La goutte de trop".
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, a évoqué, lundi 17 novembre sur RTL, l'impact de la consommation de drogues au sein de la population. Elle réclame plus de fermeté sur "l'interdiction d'achat pour les mineurs" vis-à-vis du protoxyde d'azote.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La hausse du prix du tabac n'en finit pas ! En 2025, le prix du paquet est passé à 12€ et il devrait atteindre 13€ en 2026. Depuis 20 ans, l'augmentation du prix des paquets de tabac est constante, il a quasiment triplé. Le tabagisme concerne aujourd'hui 15 millions de Français, dont 12 millions de consommateurs quotidiens. Pourtant, le tabac a un effet désastreux sur la santé, c'est la première cause de mortalité évitable en France. Le prix dissuade-t-il les fumeurs ? Est-ce qu'il y a des milieux dans lesquels on fume plus que d'autres ? Comment se décompose le prix d'un paquet de cigarettes ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : décembre 2023 À écouter aussi : Qu'est-ce que le #MoisSansTabac ? Qu'est-ce que la cigarette Puff ? A quel âge faut-il arrêter de fumer ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hausse des prix des produits laitiers : « Un coup de massue pour les consommateurs » déplore Deepak Benydin by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:23:26 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Encens, diffuseurs, sprays... Des parfums qui contribuent à créer une atmosphère zen, cosy et bienfaisante... Le problème, c'est que certains d'entre eux empoisonnent aussi nos poumons : lesquels sont nocifs ? Avec le magazine 60 Millions de Consommateurs, nous vous aidons à faire le tri. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Deuxième volet de subventions : les consommateurs s'impatientent by TOPFM MAURITIUS
Médicaments trop chers: des patients contraints de sauter des doses, alerte l’Union des consommateurs. Entrevue avec Maxime Dorais, codirecteur général à l’Union des consommateurs. Éric Simard, docteur en biologie, chercheur en vieillissement. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tout, ou presque, s’achète en ligne. Mais pour l'épicerie, les consommateurs sont loin d'être au rendez-vous. Les grandes chaînes de supermarchés font seulement 3% de leur chiffre d’affaires sur l'Internet. Écoutez la chronique économique de Marie-Eve Fournier, vendredi, à Lagacé le matin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:03:05 - "Gibier pour tous", une nouvelle plateforme de la Fédération de la chasse en Mayenne pour informer le grand public sur les sangliers - À l'occasion de l'ouverture de la chasse en Mayenne, la fédération départementale des chasseurs vient d'adhérer à la plateforme "Gibier pour Tous". Elle met en relation des particuliers qui veulent consommer du sanglier et les chasseurs qui les prélèvent le dimanche. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le marché automobile américain vit un grand écart. D'un côté, les voitures thermiques, essence ou diesel, qui battent des records de longévité. De l'autre, les véhicules électriques, plus modernes mais renouvelés à un rythme effréné. Une dualité qui interroge sur l'avenir de la mobilité, et sur ses impacts écologiques.Selon les dernières données de S&P Global, une voiture thermique reste en moyenne 13,6 ans entre les mains de son propriétaire. Cette fidélité s'explique en partie par la crise économique de 2008 : les Américains ont appris à garder leurs véhicules plus longtemps. La robustesse des moteurs, leur fiabilité éprouvée et des coûts d'achat toujours plus élevés renforcent cette tendance. Beaucoup de foyers équipés d'une voiture électrique conservent d'ailleurs une thermique “au cas où”, notamment pour les longs trajets. Résultat : le parc thermique vieillit, porté par une forme de prudence économique qui prolonge la durée de vie des véhicules.Côté électrique, le contraste est saisissant : la durée moyenne de possession n'est que de 3,6 ans. Non pas parce que ces voitures sont moins fiables, mais parce que le marché évolue à une vitesse folle. Chaque année, de nouveaux modèles, plus performants et innovants, incitent les consommateurs à changer. Les acheteurs, souvent plus aisés, sont sensibles à cette logique de nouveauté, qui rappelle le cycle des smartphones. Tesla et consorts alimentent cette course permanente aux dernières innovations. Mais ce renouvellement rapide soulève une question de fond : que vaut un véhicule “zéro émission” si son cycle de vie reste si court ?Cette différence traduit deux rapports distincts à l'automobile. La thermique est vécue comme un bien durable, la voiture électrique comme un produit technologique en perpétuelle mise à jour. Entre 2013 et 2022, 6,6 % des voitures électriques ont déjà quitté la circulation, contre 5,2 % pour les thermiques. Un écart modeste, mais révélateur d'un marché encore instable. Avec le temps, les véhicules électriques devraient gagner en maturité et rallonger leurs cycles de possession. En attendant, le marché automobile reste le théâtre d'une étrange cohabitation : tradition et fiabilité face à modernité et renouvellement accéléré. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:36 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - En partenariat avec le magazine "60 millions de Consommateurs" qui a publié une enquête sur l'eau du robinet, Le Mag de la vie quotidienne se demande comment boire une eau de bonne qualité directement depuis notre robinet ? Comment la filtrer efficacement ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Selon une enquête de 60 Millions de consommateurs, publiée ce jeudi 11 septembre, 90 % des produits destinés aux enfants sont ultra-transformés, trop sucrés ou chargés d'additifs. Biscuits, snacks, yaourts, nuggets...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La situation en ce qui a trait à l’itinérance et la toxicomanie à Montréal fait des ravages un peu partout, mais aujourd’hui c’est le quartier de Milton Park qui fait les manchettes, alors que des citoyens prennent la parole pour dénoncer un climat social qui se détériore. Entrevue avec Andrée Deveault, porte-parole du collectif de résident de Milton Park. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au Japon, la crise du riz n'en finit plus. Tout au long de l'hiver puis du printemps, le prix de cette céréale s'était envolé, jusqu'à coûter près de deux fois plus cher que l'an dernier. En raison notamment de mauvaises récoltes dues au réchauffement climatique et du nombre sans précédent de touristes étrangers visitant l'archipel. Les restaurants ne désemplissent pas, ce qui fait autant de riz en moins dans les foyers. Après une accalmie de quelques mois, voilà que le prix de cette céréale repart de nouveau à la hausse ces dernières semaines. De quoi mécontenter les consommateurs, d'autant que les deux alternatives qu'on leur propose ne vont pas de soi. De notre correspondant à Tokyo, Le riz n'est plus 90 % plus cher que l'an dernier : désormais, la hausse est de 40 % à 60 % selon les variétés. Ce qui reste beaucoup trop pour cette Tokyoïte : « En tant que maman, je dois veiller à ce que mes deux garçons mangent à leur faim et soient en bonne santé grâce à une alimentation équilibrée mais, avec une telle inflation, cela devient vraiment un tour de force, au quotidien. » Les autorités ont réussi à atténuer l'envolée du prix du riz en mettant sur le marché des centaines de milliers de tonnes de cette céréale qui étaient stockées dans les entrepôts gouvernementaux en prévision de situations d'urgence éventuelles : une catastrophe naturelle majeure, par exemple. Mais ce riz déstocké, moins cher que le riz de marque ou primeur, a été récolté il y a plusieurs années. Il ne fait donc pas l'unanimité parmi les consommateurs : « Cela ne m'enchante pas du tout de manger du riz aussi vieux, mais je n'ai pas le choix : le riz ordinaire n'est plus à ma portée, financièrement », réagit un consommateur. Un autre ajoute : « Je mange du riz déstocké, mais, à mes enfants, je donne du riz qui vient d'être récolté. Cela me paraît plus prudent. » Pour certains consommateurs, cela leur est égal : « Moi, franchement, je m'en fiche : je ne goûte pas la différence entre le vieux riz et le riz nouveau ». Et enfin, certains s'adaptent : « Je mélange ces deux types de riz. Ce n'est pas l'idéal, pour sûr, mais, au final, c'est passable en termes de goût. Sans plus. » À lire aussiLe riz japonais flambe, une exception dans un marché mondial à la baisse Le riz importé de Taïwan, des États-Unis ou de Corée du Sud est nettement moins cher que le riz japonais. Est-il légitime d'en consommer ? Faut-il privilégier la production nationale pour ne pas risquer de fragiliser les riziculteurs nippons ? C'est me débat du moment dans l'archipel : « Nos riziculteurs redoutent que les consommateurs se détournent de leur production et optent pour du riz importé. Ils jugent qu'ils devraient pouvoir bénéficier d'une sorte de "préférence nationale'', en somme », répond un consommateur. Un autre explique : « Si des tonnes et des tonnes de riz bon marché arrivent de l'étranger, ce sera le coup de grâce pour nos cultivateurs et nos campagnes vont dépérir. C'est un risque que les consommateurs doivent garder à l'esprit. » « Je rêverais de privilégier nos riziculteurs et culpabilise donc beaucoup d'acheter du riz californien, mais je ne peux absolument pas faire autrement. Mon budget n'arrive plus du tout à suivre avec de telles hausses de prix alors que mon salaire, lui, n'augmente pas », reconnaît un troisième. L'inflation atteignant un niveau qui est sans précédent depuis trente ans et cette crise du riz s'éternisant, l'opinion manifeste son mécontentement. Pour preuve, la coalition de droite au pouvoir a été sèchement battue aux deux dernières élections nationales qui se sont tenues. Au point d'être désormais minoritaire au Parlement, du jamais vu. À lire aussiAu Japon, en pleine pénurie, on ne badine pas avec le riz
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 28 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette baie est connue pour sa pollution et son exploitation du pétrole. Mais tout au fond, il existe encore une biodiversité aussi riche que fragile. Plus de 6.000 hectares de mangroves résistent à la pollution et à la spéculation immobilière. Un reportage de Sarah Cozzolino. Depuis 12 ans, le projet «uçá», du nom d'une espèce de crabe qui se niche dans cette mangrove, implique les populations locales de pêcheurs pour collecter les déchets et reforester la zone. Les mangroves sont très importantes pour le pays, elles sont capables de capter et de stocker le carbone durablement. Elles ont un rôle de tampon face aux tempêtes ou à l'érosion, c'est la raison pour laquelle le projet se concentre sur la reforestation de la mangrove. En 13 ans, le projet «uçá» est parvenu à restaurer 18 hectares. En Haïti, la justice doit faire face à la violence des gangs Selon Rebecca Luc, magistrate en Haïti, la corruption gangrène les institutions judiciaires. Les magistrats sont confrontés à de nombreux défis, et l'accès à la justice est menacé et la puissance et montée des gangs en Haïti qui paralyse les activités judiciaires. À chaque fois, il faut par exemple déplacer les tribunaux. Pour la magistrate, des mesures urgentes sont à prendre pour renforcer l'indépendance et l'intégrité du système judiciaire. Par exemple, mieux rémunérer les magistrats pour qu'ils ne soient pas sujets à des pressions économiques extérieures. Aux États-Unis, l'issue de la rencontre entre le président ukrainien, Volodymyr Zelynsky, le président Trump et sept dirigeants européens est teintée d'incertitudes… Ce sont les journalistes du New York Times qui posent cette question : Volodymyr Zelensky peut-il vraiment faire confiance à Donald Trump ? Car oui, à ce stade, on ne peut que se baser sur les promesses qui ont été faites lundi (18 août 2025). Certes, le ton était plus amical que la dernière fois entre le président russe et son homologue américain... qui l'a d'ailleurs cette fois-ci complimenté sur sa tenue... mais rien de concret n'a été annoncé. Le New York Times rappelle les positions de Trump en constante évolution et donne quelques exemples très récents... Rappelez-vous ce qu'avait promis Donald Trump quelques heures avant sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska : le président américain avait menacé la Russie de « graves conséquences » si Vladimir Poutine n'acceptait pas un cessez-le-feu rapide... et pourtant, il n'en est rien. « Tout ça n'était que du bruit », regrette l'éditorialiste George Volonté du Washington Post, qui décrit le président américain comme « un poisson tout flasque » face à Vladimir Poutine... incapable d'honorer la moindre promesse, à la merci du président russe. En Haïti, l'instabilité règne au Conseil présidentiel de Transition... La presse haïtienne s'inquiète. Entre changements internes et nouvelles menaces, le Conseil présidentiel de Transition, le CPT, semble encore loin d'assurer une certaine stabilité dans le pays. Dans l'éditorial du Nouvelliste, Jean Pharès Jérôme évoque l'arrivée récente d'un nouveau coordinateur au CPT et, évidemment, les bouleversements qui ont suivi... « Les informations sont peu rassurantes », regrette l'éditorialiste. Ces dernières semaines, les kidnappings refont les titres de l'actualité et les forces de l'ordre sont en retrait. Pour Jean Pharès Jérôme, tous ces changements sont de faux espoirs : « Il est temps d'arrêter de perdre du temps », exhorte le journaliste. Viennent s'ajouter à cela de nouvelles menaces… Gazette Haïti fait sa Une sur un « come-back » fracassant sur la scène politique, souligne le quotidien. Il s'agit de Moïse Jean-Charles, ancien sénateur et chef du parti Pitit Dessalines, qui est réapparu devant une foule enflammée de sympathisants lundi (18 août 2025). Après des semaines de silence, il a multiplié les attaques et menaces contre le Conseil présidentiel de Transition. Le Premier ministre et le CPT seraient les cibles prioritaires de Moïse Jean-Charles. « Si les choses ne changent pas, je prendrai les armes ». Voilà « un appel à la confrontation directe », selon Gazette Haïti, dans un pays déjà miné par la prolifération des armes et la violence des gangs. Au Mexique, les mères toxicomanes sont abandonnées par l'État… L'enquête réalisée par Connectas, un consortium de journalistes sud-américains, raconte le parcours de plusieurs jeunes mamans addictes à la drogue au Mexique et montre comment elles sont devenues des cibles de choix pour la politique antidrogue de l'État. Leur santé et celle de leurs enfants ne sont pas prises en compte : ces femmes sont uniquement criminalisées et signalées au bureau du procureur, selon les journalistes. Avec la peur d'être dénoncées, ces mères accouchent donc dans l'insécurité sans que le personnel médical puisse prendre les dispositions nécessaires pour leurs bébés... L'enquête prend l'exemple d'Alejandra. On tombe sur son regard noir et vaseux en lisant l'article. Elle a été prise en photo dans un centre clandestin de réhabilitation à Cancún, le seul endroit qui a bien voulu lui apporter de l'aide. Consommateurs de méthamphétamine, Alejandra a préféré ne pas prévenir les médecins lors de sa dernière grossesse, ni faire soigner son bébé né d'un syndrome de sevrage. Journal de la 1ère Aux Antilles, la vie chère reste la préoccupation des habitants. En début d'année 2025, l'État avait indiqué une baisse des prix de 11% sur une gamme de produits, mais le ressenti des consommateurs est toujours aussi difficile.
Il y a trois ans, la Thaïlande était le premier pays d'Asie à retirer le cannabis de la liste des stupéfiants. Mais depuis le 1er juillet, le royaume a fait marche arrière. Fini, l'usage récréatif, retour à une consommation strictement médicale. Un coup dur pour une industrie qui a généré 1 milliard de dollars l'an dernier. Entre flou administratif et inquiétude, les producteurs, les vendeurs et les consommateurs tentent de s'adapter. Reportage Juliette Chaignon à Chiang Mai et Bangkok. Il y a trois ans, Aeon était comptable dans le nord de la Thaïlande et n'avait jamais consommé de cannabis. Mais la légalisation et un marché en plein essor l'ont séduite. Aeon a investi alors 150 000 euros dans une plantation et six magasins : « Au début, j'ai pensé pouvoir gagner de l'argent. J'ai fait des prêts à la banque. » Jusqu'ici, les règles étaient simples pour les plus de 10 000 magasins sous licence : des fleurs de cannabis en vente libre, sauf pour les étudiants, les moins de 20 ans et les femmes enceintes, interdiction de fumer dans les lieux publics et tenue d'un registre des achats et ventes du mois. Mais depuis le 1er juillet 2025, un nouveau décret inquiète les vendeurs : les clients doivent présenter une ordonnance médicale pour acheter. « Je suis inquiète, car j'ai déjà trop investi et la vente sera plus difficile. Les clients ont peur d'acheter maintenant, ils ont peur de la police. Et j'ai peur de devoir licencier mes employés », raconte Aeon. Depuis l'entrée en vigueur des nouvelles règles, quelques dizaines de magasins ont été sanctionnés. Certaines boutiques, elles, n'ont rien changé. Elles misent sur le flou des autorités, qui n'ont pas encore détaillé comment concrètement appliquer la loi. À lire aussiThaïlande: intervention de la police lors d'une grande «soirée drogue» Dans ce magasin de Chiang Mai, Jackson et Rayan, deux touristes, viennent d'acheter un sachet d'herbe. Ils roulent leur joint sur la terrasse. « Je n'ai pas eu besoin de prescription pour acheter. C'est un peu confus. Tu viens d'acheter ça... C'était combien ? », demande l'un. « Six euros pour 3 grammes », répond l'autre. « C'est aussi simple que d'acheter de la bière », s'amuse le premier. Dans une autre boutique, Travis, un gérant californien installé en Thaïlande, a lui choisi de s'adapter : « J'ai des contacts de médecins, ce qui permettra aux clients d'avoir une ordonnance et de continuer à profiter du cannabis. » Pour lui, une régulation plus stricte en Thaïlande était nécessaire : « C'est un peu le Far West jusqu'ici. Et la surproduction entraîne une baisse de la qualité. » Officiellement, la Thaïlande a restreint l'accès au cannabis pour protéger la santé des plus jeunes et pour éviter le trafic. L'an dernier, plus de 800 voyageurs ont été arrêtés et accusés de transporter de l'herbe. Des justifications opportunistes d'après Chokwan Kitty Chopaka, militante pro-cannabis : « Ce sont des manœuvres politiques. Tant que nous n'aurons pas une loi spécifique sur le cannabis, n'importe quel gouvernement pourra imposer ce qu'il veut. » Le gouvernement dit aussi vouloir re-criminaliser le cannabis. Une mauvaise solution, d'après Kitty : « En Thaïlande, il y a toujours moyen de contourner la loi. Sinon, notre industrie du sexe n'existerait pas. Est-ce une bonne chose ? Pas vraiment, car le cannabis risque de se retrouver dans une zone grise. » Face à l'incertitude et une forte concurrence, Kitty a déjà fermé son magasin. Elle craint de voir des centaines de vendeurs de cannabis faire de même en Thaïlande. À lire aussiThaïlande: la légalisation du cannabis, une manière de renouer avec la culture locale
Invités : - Nathan Devers, écrivain et philosophe - Vincent Roy, essayiste et journaliste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Nardin Rozenn revient sur les leviers existants pour pousser la transition alimentaire côté consommation, en temps de fatigue écologique. Retrouvez aussi l'épisode en entier : #Palmarès 2025 - Comment continuer à faire avancer la transition alimentaire en temps de crise ? Avec Ève Fouilleux, Boris Tavernier, Rozenn Nardin & Frédéric Revol À l'occasion de la deuxième édition du Palmarès Écotable, Fanny Giansetto et 4 invités ont ouvert l'évènement avec un podcast enregistré en live. Cette journée a été l'occasion de reconnaître le travail de personnes qui s'engagent toute l'année pour une restauration et des systèmes alimentaires plus durables, mais aussi un moment d'échange d'idées, d'inspiration, pour continuer à y croire dans l'instabilité qui caractérise la période que nous vivons aujourd'hui. Alors face aux grands renoncements écologiques de la part des politiques nationales, face aux crises géopolitiques multiples, face à l'inflation et la crise économique, comment rester engagé et continuer à croire et oeuvrer pour une transition généralisée de notre système alimentaire ?Quatre intervenants se sont emparés du micro pour en discuter : Ève Fouilleux, directrice de recherche en sciences politiques au CNRS à MontpellierRozenn Nardin, directrice innovation et anticipation chez Citéo, entreprise en charge d'aider tous les acteurs de la filière à mieux réduire, réemployer et recycler les emballages de la restauration.Boris Tavernier, fondateur de l'association VRAC, député de la 2e circonscription du Rhône et porteur d'un projet de sécurité sociale de l'alimentation à l'assemblée nationale. Frédéric Revol, agriculteur et agronome, fondateur du Domaine des Hautes Glaces, en Isère. Retrouvez les Hautes Glaces ici.
Elisabeth Assayag reçoit Nicolas Chabanne (« C'est qui le patron ? ») et Christophe Audouin (Bio & Lo). Ensemble, ils montrent comment les consommateurs reprennent le pouvoir pour mieux rémunérer les producteurs et réinventer l'agroalimentaire. Une révolution citoyenne à écouter sans modération !
Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 18 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:41 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - "La mode est un droit, pas un privilège" ou "Pourquoi le mode ne serait réservée qu'au riche". C'est avec ces slogans que la marque chinoise Shein a lancé une nouvelle campagne de publicité, en amont de la loi anti fast fashion débattue au Sénat jusqu'au mardi 3 juin.
Avec : Alexandre Ouizille, sénateur PS de l'Oise. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 24 avril 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent du sujet du jour : Drogue, saisir le téléphone des consommateurs... efficace ?
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:35:18 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Comment le capitalisme a-t-il transformé la société dans les pays développés après la Révolution industrielle ? En entrant ainsi dans la sphère privée, façonnant les comportements et les désirs des individus… - invités : Dominique MEDA - Dominique Méda : Professeure de sociologie à Paris-Dauphine - réalisé par : Jérôme BOULET
Révélation du classement annuel des enseignes préférées des clients. • Encore une, fois Action domine ce classement, et c'est donc le triomphe des prix bas... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 03 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 14 mars, le nouveau mode de calcul du Nutri-Score, plus sévère à l'égard de certains produits transformés, a été validé par le gouvernement après quatorze mois de flottement et plusieurs semaines de blocage.Ce système d'information sur les qualités nutritives des aliments a été lancé en 2018. Non obligatoire, il est basé sur le volontariat des entreprises de l'agro-alimentaire qui choisissent d'indiquer ou non une classification qui va du « A » vert au « E » orange foncé, en fonction de la teneur en sel, en sucre et en gras de leurs produits. Les industriels ont deux ans pour répercuter le nouveau mode calcul sur les emballages, et certains ont déjà annoncé qu'ils ne l'afficheront plus.Code source fait le point sur le Nutri-Score avec Gwenael Bourdon, journaliste au service économie du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Theo Albaric - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 24. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 19 mars 2025 - La méthode de Trump à l'épreuve de... PoutineÀ l'issue de plus de deux heures d'entretien avec Donald Trump, Vladimir Poutine ne s'est finalement dit prêt qu'à une trêve partielle sur les installations énergétiques, dont les contours demeurent flous, et a accepté la poursuite des négociations. Russes et Américains doivent se retrouver dimanche en Arabie saoudite. Très optimiste, le locataire de la maison Blanche a indiqué sur son réseau Truth Social s'être entendu avec son homologue russe sur le fait d'arriver rapidement à un "cessez-le-feu total et, au bout du compte, à la FIN de cette guerre vraiment horrible". Mais si des promesses sur les infrastructures énergétiques ont été formulées par Moscou, le maître du Kremlin a également posé ses conditions pour la suite, notamment la fin de l'aide occidentale à l'Ukraine, renseignements compris. Ensemble à Berlin, Emmanuel Macron et le chancelier allemand sortant Olaf Scholz ont immédiatement affirmé qu'ils continueraient à aider Kiev. Le président de la République a également exigé que le cessez-le-feu soit "vérifiable" sur le terrain et que l'Ukraine soit invitée à la table des négociations. De son côté, le président ukrainien a estimé que les conditions posées par son homologue russe visent à "affaiblir" l'Ukraine et montrent qu'il n'est pas prêt "à mettre fin" à la guerre. Volodymyr Zelensky doit s'entretenir ce mercredi après-midi avec Donald Trump. Alors que se sont dit Vladimir Poutine et Donald Trump lors de leur appel ? Jusqu'où le président américain est-il prêt à céder pour obtenir un succès diplomatique ? Donald Trump veut à tout prix et rapidement un accord de cessez-le-feu en Ukraine pour redorer son bilan, au moment où aux Etats-Unis sa politique suscite des doutes et inquiétudes notamment sur le "front" économique. Consommateurs, investisseurs et marchés financiers baignent dans l'incertitude depuis son retour à la Maison Blanche avec le lancement d'une guerre commerciale et monétaire qui ravive le spectre d'une récession. La banque JPMorgan, qui estimait cette probabilité à 30 % début janvier, l'a désormais portée à 40 %. Donald Trump lui-même a reconnu il y a quelques jours qu'il n'excluait pas ce risque. Mais à défaut d'une récession, beaucoup d'économistes s'attendent à un ralentissement de la croissance et à une accélération de l'inflation. Thème qui était au coeur de la campagne de Donald Trump. Critiqué sur sa politique économique, le président des Etats-Unis vient également d'être rappeler à l'ordre par le président de la Cour suprême américaine, après que ce dernier a appelé à "destituer" un juge ayant ordonné la suspension d'opérations d'expulsion massives de migrants. "Depuis plus de deux siècles, il est établi que la destitution n'est pas une réponse appropriée à un désaccord concernant une décision judiciaire", a déclaré John Roberts dans un communiqué. L'attaque de Donald Trump visait un juge fédéral de Washington qui avait ordonné samedi la suspension pendant 14 jours de toute expulsion de migrants, et en particulier exigé d'interrompre une opération particulièrement spectaculaire vers le Salvador, concernant quelque 200 membres suspectés d'appartenir à un gang vénézuélien.Pendant ce temps, face à la menace russe et au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. En Allemagne ces dernières heures les députés ont dit oui à une petite révolution, le "bazooka" budgétaire du futur chancelier allemand. Il s'agit d'un plan d'investissements géants de Friedrich Merz pour moderniser le pays mais aussi augmenter considérablement les dépenses militaires allemandes. Et ce mercredi à Bruxelles, c'est le Livre blanc sur l'avenir de la défense européenne qui est présenté par la Commission. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé il y a deux semaines par Ursula von der Leyen avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour mettre l'Europe de la défense en ordre de marche. Un montant ambitieux, mais dont la mise en œuvre dépend surtout de la bonne volonté des Etats membres de l'UE, soulignent des diplomates à Bruxelles. Pour les y aider, la Commission européenne veut notamment permettre aux États membres de consacrer jusqu'à 1,5 % de leur Produit intérieur brut (PIB) pendant quatre ans à des dépenses militaires, sans crainte d'enfreindre les règles budgétaires qui encadrent les déficits publics. L'idée étant d'acheter "davantage européen", au moment où la très grande majorité des investissements en matière de défense se fait en dehors de l'Union européenne.Les experts :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur de "La guerre des mondes" aux éditions Alpha- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Lucie ROBEQUAIN - Directrice des rédactions de La Tribune et la Tribune dimanche, ancienne correspondante aux Etats-Unis- Philippe DESSERTINE - Professeur à l'Université IAE Paris panthéon sorbonne, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement", publié chez Robert Laffont
durée : 00:58:49 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Début mars, Pékin a annoncé vouloir miser sur la consommation pour soutenir la croissance. Pourtant, celle-ci est largement en berne comme en atteste la baisse des prix de 0,7% observée en février. Dans un contexte de tension sur les exportations, le consommateur doivent-il sauver la croissance ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Jean-Louis Rocca Professeur à Sciences Po et chercheur au CERI; David Baverez Investisseur, installé depuis 2012 à Hong Kong
Nous sommes aujourd'hui avec Nicolas Chabanne, le fondateur de la marque C'est qui le Patron. En 10 ans, cette initiative engagée et solidaire a complètement cassé les codes bien établis de la grande distribution et elle a redonné de l'espoir au monde agricole. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samuel Nahon, le co-fondateur de Terroirs d'Avenir.Dans ce 3ème chapitre, nous évoquons les grands développements ces dernières années de la marque C'est qui le Patron. Puis, Nicolas partage avec nous les performances affolantes de la marque qui connait l'une des plus fortes croissances du secteur agroalimentaire en grande distribution ! Ensemble, on décortique les raisons de ce succès hors du commun. On cherche notamment à comprendre comment Nicolas et ses équipes ont réussi à imposer cette marque partout, avec très peu de moyens marketing et commerciaux. C'est un cas unique en son genre ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec Nicolas Chabanne, le fondateur de la marque C'est qui le Patron. En 10 ans, cette initiative engagée et solidaire a complètement cassé les codes bien établis de la grande distribution et elle a redonné de l'espoir au monde agricole. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samuel Nahon, le co-fondateur de Terroirs d'Avenir.Dans ce 2ème chapitre, on évoque la genèse de la marque C'est qui le Patron en 2014 alors que Nicolas est interpelé par la détresse des éleveurs en pleine crise du lait. L'initiative est originale. Sa mission est noble et fédère rapidement et naturellement un très large public. Nicolas nous raconte les coulisses de cette aventure hors du commun, et il nous explique en détail la démarche, les valeurs et le fonctionnement de la 1ère marque de consommateurs en France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.