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Le 26 juin 2025, l'agence des Nations unies chargée de la lutte contre la drogue et la criminalité (ONUDC) publiera son rapport annuel sur les drogues dans le monde. Toute la semaine, nous vous proposons une série de reportages en France où, comme partout, la consommation de stupéfiants est en hausse constante. Aujourd'hui, nous abordons le volet santé. Injecter, fumer, sniffer, inhaler ou ingérer sont autant de manières de consommer les drogues avec des risques graves pour la santé : maladies respiratoires et cardiaques, risques neurologiques, transmission de virus, overdose. Contrairement aux idées reçues, arrêter une drogue n'est pas une question de volonté. Assis sur un banc, Olivier rejette la fumée d'une cigarette, il consomme de la cocaïne et revient sur les effets de cette drogue psycho active. « Vous avez une montée. Et en cinq minutes, vous avez la descente. Après, le cerveau réclame », témoigne-t-il. Alors pourquoi le cerveau réclame ? « Il y a des régions cérébrales qui vont être sollicitées quand il y a un stimulus positif. Il y a un circuit de la récompense qui va s'exprimer au niveau du cerveau par une libération excessive de dopamine qui va entretenir cette sensation de plaisir, qui va faire qu'on va y retourner. », détaille le docteur Élisabeth Avril, qui soigne les toxicomanes depuis 30 ans. Toutes les drogues sont addictives avec des effets très graves sur la santé. Mais en cas de manque, les symptômes ne sont pas les mêmes selon les produits. L'héroïne, par exemple, fait partie de la famille des opiacées et ses symptômes sont très douloureux pour le consommateur en sevrage. « Quand on a une dépendance, il va y avoir un manque et ce manque va se manifester par des symptômes physiques très violents. Il y a une recherche vitale en fait pour la personne de calmer ses douleurs, ses diarrhées. C'est très bruyant en fait comme manque. » « Notre vie ne tient plus qu'à un gramme d'héroïne. On se met à contrôler toutes nos prises, à regarder l'heure parce que sinon je n'en aurai pas le lendemain », abonde Dylan, 29 ans, rencontré dans un centre d'aide aux toxicomanes. Il n'existe pas de produits de substitution à la cocaïne, mais la méthadone est proposée pour le sevrage à l'héroïne. « C'est un médicament qui est un opiacé également et que l'on va pouvoir proposer à des gens qui sont dépendants aux opiacés, pas aux autres drogues », explique le docteur Avril. On entend souvent des riverains en colère qui ne supportent plus la présence dans leur quartier des usagers de crack, ce dérivé fumable de la cocaïne qui fait des ravages. Ils demandent à ce que l'on enferme les gens pour un sevrage forcé, une aberration pour le docteur Avril. « On sait que les pays qui pratiquent le sevrage forcé, que ce soit le Vietnam, la Russie, l'Iran, n'ont pas de meilleurs résultats que nous », argumente-t-elle. Se défaire d'une addiction est très difficile et ce n'est pas une question de volonté, mais certains y arrivent. « Il y a des gens, malgré tout, qui arrivent à arrêter complètement. J'ai des patients maintenant, cela fait 30 ans qu'ils ont pu arrêter, pendant dix ans. Et puis à l'occasion de tel événement, ils ont repris. Et après, ils ont arrêté de nouveau. Vous voyez, la vie n'est linéaire pour personne », raconte Élisabeth Avril. Faute de pouvoir arrêter complètement, l'essentiel pour le docteur est que les toxicomanes soient exposés au moindre risque. À lire aussiEn France, l'explosion de la consommation de stupéfiants touche toutes les catégories de population
Elisabeth Assayag reçoit Nicolas Chabanne (« C'est qui le patron ? ») et Christophe Audouin (Bio & Lo). Ensemble, ils montrent comment les consommateurs reprennent le pouvoir pour mieux rémunérer les producteurs et réinventer l'agroalimentaire. Une révolution citoyenne à écouter sans modération !
Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 18 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bruxelles persiste et signe : dans le monde des smartphones, les règles européennes s'affirment comme un levier majeur pour prolonger la durée de vie de nos appareils. Après avoir imposé le port USB-C à Apple, l'Union européenne passe à la vitesse supérieure avec de nouvelles mesures qui entreront en vigueur ce vendredi 20 juin. Derrière le nom un peu technique du règlement 2023/1670, se cache une série de dispositions qui visent un objectif clair : rendre nos smartphones plus durables. Et cela commence par un composant clé : la batterie. Désormais, elle devra supporter au moins 800 cycles de charge tout en conservant 80 % de sa capacité. En parallèle, une étiquette énergétique, semblable à celles que l'on retrouve sur nos frigos ou lave-linge, devra figurer sur les smartphones et tablettes, indiquant leur efficacité de A à G.Mais ce n'est pas tout. Pour tous ceux qui préfèrent réparer plutôt que jeter, les fabricants seront obligés de fournir des pièces détachées essentielles pendant sept ans après la fin de la commercialisation d'un modèle. Mieux encore : ces pièces devront être disponibles en cinq jours ouvrés pendant les cinq premières années, puis en dix jours jusqu'à la septième. Et pour que nos téléphones ne deviennent pas obsolètes trop vite côté logiciel, les mises à jour de sécurité et de fonctionnalités devront être garanties pendant au moins cinq ans. Une révolution discrète mais décisive, qui pourrait bien changer notre rapport aux smartphones. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent Sophie Coisne, Rédactrice en chef des hors séries de 60 millions de Consommateurs pour l'émission du 10 juin 2025
durée : 00:05:41 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - "La mode est un droit, pas un privilège" ou "Pourquoi le mode ne serait réservée qu'au riche". C'est avec ces slogans que la marque chinoise Shein a lancé une nouvelle campagne de publicité, en amont de la loi anti fast fashion débattue au Sénat jusqu'au mardi 3 juin.
Le Cabinet a donné son aval à l'introduction d'un mécanisme de plafonnement des marges bénéficiaires sur plusieurs produits alimentaires essentiels. Cette décision vise à soulager les consommateurs face à la flambée des prix observée ces derniers mois. Parmi les produits concernés figurent la margarine, le beurre, les saucisses en conserve, la volaille en conserve (notamment le luncheon meat), le thon en conserve, les crevettes en conserve, tous les types de pâtes, ainsi que les légumes frais. Le sel, quant à lui, sera désormais soumis à un prix maximum fixé. Réagissant à cette annonce, Jayen Chellum, secrétaire général de l'Association des Consommateurs de l'île Maurice (ACIM), a salué cette décision et s'est dit satisfait que le gouvernement ait « enfin pris conscience » d'un problème pour lequel son organisation milite depuis des années. Cependant, il appelle à la prudence. Selon lui, il est crucial de veiller à ce qu'aucun importateur ne profite du système pour manipuler les prix.
Avec : Alexandre Ouizille, sénateur PS de l'Oise. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse à l'exigence de virement instantané de la part de ma banque. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Flambée des prix des médicaments : la promesse de l'Alliance du Changement tarde à se concrétiser – les consommateurs réclament des actions rapides by TOPFM MAURITIUS
Les hausses de prix se concrétisent pour les véhicules, tant aux États-Unis qu’au Canada. Face à la dilapidation des fonds publics, François Legault trouve que les Québécois « manquent de respect ». Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Éthiopie, les chiffres de l'export de café battent des records grâce notamment à l'explosion du cours mondial de l'arabica. Des résultats dont se félicitent les autorités, mais qui mettent à rude épreuve les gérants de « coffee shop », dans un pays où le café est une institution. De notre correspondante à Addis-Abeba, Il est 10h et comme tous les matins, Meskil, tablier mauve autour de la taille, ouvre les portes de son local et allume la radio. Le café est prêt à accueillir les clients. « Mon café s'appelle Nabek coffee shop. Cela fait un peu plus de deux mois maintenant que je l'ai ouvert »,explique-t-elle.Dans son nouveau métier, cette ex-hôtesse d'accueil doit constamment s'adapter à la fluctuation des prix du café, qu'elle se procure dans la région de Jimma, et dans un marché d'Addis-Abeba. « Depuis cette année, les prix du café grimpent et descendent tout le temps. Mais il y a deux ou trois mois, ils ont vraiment beaucoup augmenté. À Jimma, le kilo coûte 650 birrs (4,30 euros). À Addis-Abeba, au Shola Market, c'est entre 900 et 1 000 birrs (environ 7 euros). Avant, cela coûtait entre 600 et 700 birrs à Addis. Et à Jimma 450 birrs (2,50 euros). »Sécheresse et dévaluation du birrLa hausse des prix de l'arabica, variété reine en Éthiopie, explique en partie cette augmentation. Le 25 novembre 2024, son prix de référence est monté à plus de 6,5 dollars le kilo, son plus haut niveau depuis 1997.Kiroubel Siyoum, chef des opérations au sein de la marque emblématique de café Tomoca, lie cette hausse à une pénurie globale de café : « Il y a des problèmes de production interne, et à l'échelle mondiale aussi ». À cause des sécheresses qui ont touché le Brésil et le Vietnam, premiers producteurs mondiaux, la demande a dépassé l'offre.En Éthiopie, la dévaluation du birr appliquée fin juillet 2024 pour répondre aux exigences du FMI a également fait grimper les prix. Cette situation affecte autant les petits commerçants, comme Meskil, que les gros revendeurs comme Tomoca. « Cette année, c'est du jamais-vu dans notre histoire, assure Kiroubel Siyoum, c'est très difficile. Le kilo était de 300 jusqu'à 500 birrs (3,27 euros), maintenant ça a triplé ».Consommateurs mécontentsPour encaisser les chocs, l'entreprise n'a pas d'autre choix que d'augmenter le prix de la tasse. « On a essayé d'absorber ces coûts. Mais on était forcé de réviser. Au début de l'année, c'était à 85 birrs (56 centimes d'euros), actuellement, c'est à 125 (80 centimes d'euros) », explique Tomoca, le revendeur.Au Nabek Coffee Shop aussi, le prix de la tasse a augmenté, comme le détaille Zola, client quotidien de Meskil : « Aujourd'hui, c'est devenu très cher. La tasse est à 30 birrs (20 centimes d'euros) en Éthiopie, c'est un problème parce que je suis accro au café et à la cérémonie du café. C'est un pan important de la culture, et de la vie sociale ».L'augmentation des prix du café est très mal accueillie en Éthiopie. Dans ce pays, le café fait partie intégrante du quotidien. L'Éthiopie est le premier producteur de café en Afrique, et la moitié de ses récoltes est consommée localement. À lire aussiLe café, un produit bientôt indisponible ?
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
La Réserve fédérale américaine va-t-elle résister au Président américain? Donald Trump a menacé de virer son patron, Jerome Powell, avant de revenir à de meilleurs sentiments, mais il exige toujours que l'institution baisse ses taux d'intérêts directeurs afin de stimuler la croissance. La Fed reste prudente. La confiance des consommateurs s'érode aux États-Unis. Le Président américain a laissé de côté la classe moyenne qu'il avait promis d'aider. Si l'emploi résiste, le PIB recule sur les trois premiers mois de l'année. Quelles sont les intentions de Donald Trump dans les prochaines semaines? Le Président américain a convaincu l'Ukraine de signer un accord pour l'accès à ses sols et ses minerais, sans garantie de sécurité. Pour commenter ces actualités, l'invité du Brief est Grégory Daco, chef économiste à Ernst & Young LLP à New York. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
On la consomme à l'apéritif, dans des pâtisseries, les barres énergétiques et en cuisine, la pistache a de plus en plus la côte dans le monde. Ses prix ont augmenté de plus de 25% en un an et comme souvent, c'est un déséquilibre entre l'offre et la demande qui a poussé les prix vers le haut. Premier facteur de hausse des prix, une offre plus limitée pour cette saison commerciale chez le premier fournisseur mondial de pistaches, les États-Unis. La culture de la pistache, comme tant d'autres, donne une bonne récolte une année sur deux. Et 2024 correspondait précisément à une année creuse pour les arbres américains qui ont vu leur production baisser d'un quart – soit 503 000 tonnes en 2024 –, explique Jose Gutierrez, analyste de marché chez S&P Global.En face, l'appétit pour le petit fruit sec à coque n'a pas ralenti, au contraire. Depuis plusieurs années, on grignote plus d'en cas, de pâte à tartiner et de confiseries à base de pistaches. L'engouement pour le chocolat Dubaï, une tablette fourrée à la pâte de pistache, qui a enflammé TikTok est l'illustration même de cette passion grandissante pour le fruit sec à la couleur verte si caractéristique.Demande en hausse en Asie et au Moyen-Orient. La consommation augmente en particulier en Asie, grâce à un pouvoir d'achat de la classe moyenne en hausse, notamment en Inde, en Chine, et en Thaïlande. Au Moyen-Orient, la pistache est depuis longtemps utilisée par l'industrie et la pâtisserie traditionnelle, mais la demande continue de grimper, c'est le cas en Turquie et aux Émirats arabes unis pour ne citer que ces deux marchés.Pour cette campagne, qui a débuté en octobre dernier et qui doit prendre fin en septembre, la demande devrait augmenter de 6% cette année, selon les chiffres du ministère américain de l'Agriculture (USDA). Mais elle est toujours fortement liée à l'appétit de la Chine, le premier acheteur.La Turquie, un producteur qui monteCes dernières années, la récolte de pistache n'a pas cessé de grandir en Turquie. Le pays s'impose peu à peu le deuxième producteur mondial, place qui était occupée par l'Iran jusque-là, explique l'analyste de S&P Global. La spécificité, c'est que la production turque a toujours été majoritairement consacrée au marché local. Avec la hausse des prix, les producteurs turcs pourraient être tentés d'exporter plus, notamment sur le marché chinois. Mais ce scénario dépendra de l'évolution des prix, qui est elle-même très liée au maintien ou non des tarifs douaniers de rétorsion, imposés par Pékin sur les produits américains. D'autant que les États-Unis devraient voir leur production remonter cette année : l'Association américaine des producteurs de pistache prévoit une récolte d'environ 700 000 à 750 000 tonnes. Si la guerre commerciale persiste entre Pékin et Washington la pistache pourrait coûter plus cher en Chine à court terme, en raison des taxes. À plus long terme, les stocks pourraient augmenter aux États-Unis, ce qui sera là un facteur de baisse.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 24 avril 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent du sujet du jour : Drogue, saisir le téléphone des consommateurs... efficace ?
durée : 00:24:49 - 8h30 franceinfo - Gérald Darmanin, le ministre de la justice était l'invité du "8h30 franceinfo" jeudi 24 avril. Il répondait aux questions d'Agathe Lambret et Hadrien Bect.
Avec : Jérôme Bourrier, procureur de la République de Bayonne. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphanie de Muru, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:35:18 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Comment le capitalisme a-t-il transformé la société dans les pays développés après la Révolution industrielle ? En entrant ainsi dans la sphère privée, façonnant les comportements et les désirs des individus… - invités : Dominique MEDA - Dominique Méda : Professeure de sociologie à Paris-Dauphine - réalisé par : Jérôme BOULET
Roland Pérez explique la nouvelle réglementation sur les tickets de caisse. Depuis le 1er avril 2025, les commerces ne sont plus obligés d'imprimer systématiquement un ticket. Les consommateurs peuvent toujours demander un ticket imprimé, surtout pour les biens durables. Pérez souligne les enjeux environnementaux et de santé publique de cette mesure anti-gaspillage. Cet épisode aide à comprendre les droits des consommateurs et les impacts écologiques de cette évolutionNotre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Révélation du classement annuel des enseignes préférées des clients. • Encore une, fois Action domine ce classement, et c'est donc le triomphe des prix bas... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 03 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 3 avril 2024, Olivier Dauver nous révèle le classement des Enseignes préférées des Français de l'année 2025, réalisé par EY-Parthenon ! Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
Le 14 mars, le nouveau mode de calcul du Nutri-Score, plus sévère à l'égard de certains produits transformés, a été validé par le gouvernement après quatorze mois de flottement et plusieurs semaines de blocage.Ce système d'information sur les qualités nutritives des aliments a été lancé en 2018. Non obligatoire, il est basé sur le volontariat des entreprises de l'agro-alimentaire qui choisissent d'indiquer ou non une classification qui va du « A » vert au « E » orange foncé, en fonction de la teneur en sel, en sucre et en gras de leurs produits. Les industriels ont deux ans pour répercuter le nouveau mode calcul sur les emballages, et certains ont déjà annoncé qu'ils ne l'afficheront plus.Code source fait le point sur le Nutri-Score avec Gwenael Bourdon, journaliste au service économie du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Theo Albaric - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 24. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Sébastien Brocandel, Directeur associé en charge de la création au sein de l'agence Dekuple explore les opportunités et les limites de la personnalisation dans la publicité. Il nous partage également son expertise sur l'évolution de la personnalisation, l'importance de la data et de l'intelligence artificielle, ainsi que les défis éthiques et pratiques auxquels les marques sont confrontées.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 19 mars 2025 - La méthode de Trump à l'épreuve de... PoutineÀ l'issue de plus de deux heures d'entretien avec Donald Trump, Vladimir Poutine ne s'est finalement dit prêt qu'à une trêve partielle sur les installations énergétiques, dont les contours demeurent flous, et a accepté la poursuite des négociations. Russes et Américains doivent se retrouver dimanche en Arabie saoudite. Très optimiste, le locataire de la maison Blanche a indiqué sur son réseau Truth Social s'être entendu avec son homologue russe sur le fait d'arriver rapidement à un "cessez-le-feu total et, au bout du compte, à la FIN de cette guerre vraiment horrible". Mais si des promesses sur les infrastructures énergétiques ont été formulées par Moscou, le maître du Kremlin a également posé ses conditions pour la suite, notamment la fin de l'aide occidentale à l'Ukraine, renseignements compris. Ensemble à Berlin, Emmanuel Macron et le chancelier allemand sortant Olaf Scholz ont immédiatement affirmé qu'ils continueraient à aider Kiev. Le président de la République a également exigé que le cessez-le-feu soit "vérifiable" sur le terrain et que l'Ukraine soit invitée à la table des négociations. De son côté, le président ukrainien a estimé que les conditions posées par son homologue russe visent à "affaiblir" l'Ukraine et montrent qu'il n'est pas prêt "à mettre fin" à la guerre. Volodymyr Zelensky doit s'entretenir ce mercredi après-midi avec Donald Trump. Alors que se sont dit Vladimir Poutine et Donald Trump lors de leur appel ? Jusqu'où le président américain est-il prêt à céder pour obtenir un succès diplomatique ? Donald Trump veut à tout prix et rapidement un accord de cessez-le-feu en Ukraine pour redorer son bilan, au moment où aux Etats-Unis sa politique suscite des doutes et inquiétudes notamment sur le "front" économique. Consommateurs, investisseurs et marchés financiers baignent dans l'incertitude depuis son retour à la Maison Blanche avec le lancement d'une guerre commerciale et monétaire qui ravive le spectre d'une récession. La banque JPMorgan, qui estimait cette probabilité à 30 % début janvier, l'a désormais portée à 40 %. Donald Trump lui-même a reconnu il y a quelques jours qu'il n'excluait pas ce risque. Mais à défaut d'une récession, beaucoup d'économistes s'attendent à un ralentissement de la croissance et à une accélération de l'inflation. Thème qui était au coeur de la campagne de Donald Trump. Critiqué sur sa politique économique, le président des Etats-Unis vient également d'être rappeler à l'ordre par le président de la Cour suprême américaine, après que ce dernier a appelé à "destituer" un juge ayant ordonné la suspension d'opérations d'expulsion massives de migrants. "Depuis plus de deux siècles, il est établi que la destitution n'est pas une réponse appropriée à un désaccord concernant une décision judiciaire", a déclaré John Roberts dans un communiqué. L'attaque de Donald Trump visait un juge fédéral de Washington qui avait ordonné samedi la suspension pendant 14 jours de toute expulsion de migrants, et en particulier exigé d'interrompre une opération particulièrement spectaculaire vers le Salvador, concernant quelque 200 membres suspectés d'appartenir à un gang vénézuélien.Pendant ce temps, face à la menace russe et au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. En Allemagne ces dernières heures les députés ont dit oui à une petite révolution, le "bazooka" budgétaire du futur chancelier allemand. Il s'agit d'un plan d'investissements géants de Friedrich Merz pour moderniser le pays mais aussi augmenter considérablement les dépenses militaires allemandes. Et ce mercredi à Bruxelles, c'est le Livre blanc sur l'avenir de la défense européenne qui est présenté par la Commission. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé il y a deux semaines par Ursula von der Leyen avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour mettre l'Europe de la défense en ordre de marche. Un montant ambitieux, mais dont la mise en œuvre dépend surtout de la bonne volonté des Etats membres de l'UE, soulignent des diplomates à Bruxelles. Pour les y aider, la Commission européenne veut notamment permettre aux États membres de consacrer jusqu'à 1,5 % de leur Produit intérieur brut (PIB) pendant quatre ans à des dépenses militaires, sans crainte d'enfreindre les règles budgétaires qui encadrent les déficits publics. L'idée étant d'acheter "davantage européen", au moment où la très grande majorité des investissements en matière de défense se fait en dehors de l'Union européenne.Les experts :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur de "La guerre des mondes" aux éditions Alpha- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Lucie ROBEQUAIN - Directrice des rédactions de La Tribune et la Tribune dimanche, ancienne correspondante aux Etats-Unis- Philippe DESSERTINE - Professeur à l'Université IAE Paris panthéon sorbonne, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement", publié chez Robert Laffont
durée : 00:58:49 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Début mars, Pékin a annoncé vouloir miser sur la consommation pour soutenir la croissance. Pourtant, celle-ci est largement en berne comme en atteste la baisse des prix de 0,7% observée en février. Dans un contexte de tension sur les exportations, le consommateur doivent-il sauver la croissance ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Jean-Louis Rocca Professeur à Sciences Po et chercheur au CERI; David Baverez Investisseur, installé depuis 2012 à Hong Kong
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la réponse de Cyril Hanouna à Bruno Guillon qui a déclaré ne pas vouloir apparaître en photo à ses côtés, l'avenir du magazine "60 millions de consommateurs", les téléspectateurs de France 2 ne verront ni Envoyé spécial ni complément d'enquête ce jeudi et TF1 a annoncé la date de retour de sa série à succès HPI.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la réponse de Cyril Hanouna à Bruno Guillon qui a déclaré ne pas vouloir apparaître en photo à ses côtés, l'avenir du magazine "60 millions de consommateurs", les téléspectateurs de France 2 ne verront ni Envoyé spécial ni complément d'enquête ce jeudi et TF1 a annoncé la date de retour de sa série à succès HPI.
durée : 00:09:28 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'animatrice télé Karine Le Marchand et le directeur général du groupe Casino Philippe Palazzi étaient sur France Inter ce jeudi pour évoquer l'aide à apporter aux agriculteurs. L'animatrice a également indiqué qu'elle ne ferait plus obstacle à l'arrivée de Cyril Hanouna dans le groupe M6.
durée : 00:09:28 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'animatrice télé Karine Le Marchand et le directeur général du groupe Casino Philippe Palazzi étaient sur France Inter ce jeudi pour évoquer l'aide à apporter aux agriculteurs. L'animatrice a également indiqué qu'elle ne ferait plus obstacle à l'arrivée de Cyril Hanouna dans le groupe M6.
Nous sommes aujourd'hui avec Nicolas Chabanne, le fondateur de la marque C'est qui le Patron. En 10 ans, cette initiative engagée et solidaire a complètement cassé les codes bien établis de la grande distribution et elle a redonné de l'espoir au monde agricole. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samuel Nahon, le co-fondateur de Terroirs d'Avenir.Dans ce 3ème chapitre, nous évoquons les grands développements ces dernières années de la marque C'est qui le Patron. Puis, Nicolas partage avec nous les performances affolantes de la marque qui connait l'une des plus fortes croissances du secteur agroalimentaire en grande distribution ! Ensemble, on décortique les raisons de ce succès hors du commun. On cherche notamment à comprendre comment Nicolas et ses équipes ont réussi à imposer cette marque partout, avec très peu de moyens marketing et commerciaux. C'est un cas unique en son genre ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec Nicolas Chabanne, le fondateur de la marque C'est qui le Patron. En 10 ans, cette initiative engagée et solidaire a complètement cassé les codes bien établis de la grande distribution et elle a redonné de l'espoir au monde agricole. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samuel Nahon, le co-fondateur de Terroirs d'Avenir.Dans ce 2ème chapitre, on évoque la genèse de la marque C'est qui le Patron en 2014 alors que Nicolas est interpelé par la détresse des éleveurs en pleine crise du lait. L'initiative est originale. Sa mission est noble et fédère rapidement et naturellement un très large public. Nicolas nous raconte les coulisses de cette aventure hors du commun, et il nous explique en détail la démarche, les valeurs et le fonctionnement de la 1ère marque de consommateurs en France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Aujourd'hui Bruno Retailleau présente son projet de loi contre la narcotrafic
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Etienne Liebig et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
C dans l'air l'invitée du 17 janvier avec Clotilde Champeyrache, économiste, criminologue, professeure au Cnam et autrice de "Géopolitique des mafias", aux éditions Le Cavalier bleu.La consommation de cocaïne n'a jamais été aussi forte en France : 1,1 million de personnes en ont consommé au moins une fois dans l'année en 2023 en France, selon la dernière étude de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), publiée cette semaine. C'est presque deux fois plus que lors du précédent rapport, qui dénombrait 600.000 usagers dans l'année 2022.Plusieurs facteurs expliquent cette hausse. La production mondiale n'a jamais été aussi élevée, avec 2.700 tonnes de cocaïne en 2022 contre 1.134 tonnes en 2010, selon l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Autre facteur : "l'évolution des conditions de travail, avec des actifs qui l'utilisent pour 'tenir au travail', soit pour supporter des cadences intensives (restauration), soit pour faire face à la pénibilité des conditions de travail (marins pêcheurs)", a souligné Ivana Obradovic, directrice adjointe de l'OFDT, interrogée par l'AFP. Il y a enfin la "diversification des formes de consommation, avec la diffusion de la cocaïne base (crack) et la banalisation de l'image de la cocaïne", selon Mme Obradovic. Les chiffres restent relativement stables sur le cannabis, drogue la plus consommée en France, avec 5 millions d'usagers dans l'année en 2023, et 900.000 consommateurs quotidiens. L'usage de MDMA/ecstasy a lui bondi, passant de 400.000 à 750.000 personnes entre 2019 et 2023. Clotilde Champeyrache, économiste, criminologue, et professeure au Cnam, est notre invitée. Elle décryptera avec nous la hausse de la consommation de drogues, et ses raisons. Elle nous expliquera aussi qui sont les nouveaux consommateurs de drogues et pourquoi la France est désormais classée 7e en Europe en terme de consommation de cocaïne.
Le e-commerce continue de battre tous les records. Si le bilan 2024 n'est pas encore officiel, les Français auront acheté pour plus de 170 milliards d'euros sur Internet. En 2023, c'était un peu moins de 160 milliards. Un secteur florissant qui ne connaît pas la crise. Mais qui sont ces cyber-acheteurs ?
Le e-commerce continue de battre tous les records. Si le bilan 2024 n'est pas encore officiel, les Français auront acheté pour plus de 170 milliards d'euros sur Internet. En 2023, c'était un peu moins de 160 milliards. Un secteur florissant qui ne connaît pas la crise. Mais qui sont ces cyber-acheteurs ?
La hausse du prix du tabac n'en finit pas ! Mardi 28 novembre 2023, le ministre de la Santé a annoncé l'augmentation du prix des cigarettes, le paquet passera à 12 euros en 2025. Il devrait atteindre 13 euros en 2026. Depuis 20 ans, l'augmentation du prix des paquets de tabac est constante, il a quasiment triplé. Le tabagisme concerne aujourd'hui 15 millions de Français, dont 12 millions de consommateurs quotidiens. Pourtant, le tabac a un effet désastreux sur la santé, c'est la première cause de mortalité évitable en France. Le prix dissuade-t-il les fumeurs ? Est-ce qu'il y a des milieux dans lesquels on fume plus que d'autres ? Comment se décompose le prix d'un paquet de cigarettes ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : 1 décembre 2023. À écouter aussi : Qu'est-ce que le #MoisSansTabac ? Qu'est-ce que la cigarette Puff ? A quel âge faut-il arrêter de fumer ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'association de défense des consommateurs épingle plusieurs grandes entreprises, aujourd'hui dans son classement des mauvais comportements avec les clients. Pour en parler, Lionel Maugain, chef de rubrique à "60 millions de Consommateurs".
durée : 00:04:12 - Le Zoom de France Inter - Les règlements de compte sur fond de trafic de drogue se sont multipliés ces derniers mois. Des morts et des blessés souvent par balles lorsque se disputent les points de deal. Les autorités veulent pénaliser davantage les consommateurs. Mais ont-ils un cas de conscience face à aux trafics ?