Podcasts about petri sarvamaa

Fort d'une majorité absolue au Parlement hongrois, Viktor Orban entretient des relations tumultueuses avec Bruxelles, qui continue de bloquer quelque 20 milliards d'euros de fonds, en raison des atteintes répétées à l'État de droit. En croisade contre les valeurs libérales de l'UE, le dirigeant hongrois entend bien changer l'Union de l'intérieur. Son parti mène la course en tête pour les élections européennes du 9 juin. Le Fidesz, qui avait obtenu 12 sièges sur 21 lors du scrutin précédent, espère en emporter autant. Après avoir quitté le Parti populaire européen en 2021, ses élus pourraient rejoindre l'un des grands groupes de l'extrême-droite au Parlement de Strasbourg. De nos envoyés spéciaux,« Il faut renverser toute la clique, en commençant par Ursula ! Qu'est-ce qu'elle a trafiqué avec ces histoires de vaccins ? À Bruxelles, ils travaillent contre la Hongrie et ils bloquent les fonds qui nous reviennent », maugrée Zsuzsanna, une retraitée, arrivée avec quelques minutes de retard à un rassemblement électoral organisé par le Fidesz, dans un quartier résidentiel du sud-est de Budapest.Si cette fidèle électrice du Fidesz, qui a noué un ruban aux couleurs du drapeau hongrois sur son sac à main, évoque spontanément la présidente de la Commission européenne, c'est peut-être parce que son image est partout, dans les rues, au bord des routes, sur les abribus. Les affiches électorales du Fidesz mettent en scène Ursula von der Leyen, assise dans un fauteuil rouge, entourée de ses « fidèles serviteurs », des figures de l'opposition, déguisés en majordomes, l'ex-Premier ministre Ferenc Gyurcsany, son épouse Klara Dobrev, tête de liste de l'alliance de gauche aux élections européennes, Gergely Karacsony, le maire écologiste de Budapest, et la nouvelle figure de l'opposition, Peter Magyar. Ils portent sur des plateaux en argent les mots « guerre », « immigration » et « genre », trois thèmes qui mobilisent l'électorat Fidesz.« C'est horrible qu'à Bruxelles, ils soient favorables à la guerre en Ukraine. Comment des personnes normales peuvent-elles vouloir la guerre ? J'attends que Trump revienne au pouvoir et arrête la guerre en un jour, parce que si les États-Unis n'envoient plus d'armes, alors ce sera fini », confie Zsuzsanna, avant de rejoindre le reste de l'assistance. Un public d'âge mur, venu écouter les candidats du parti de Viktor Orban, à la mairie du XVIIIème, qui comptent bien reconquérir cet arrondissement perdu lors du scrutin de 2019.Les orateurs dénoncent les projets immobiliers de l'équipe en place, les accusent de corruption, mais n'oublient pas aussi d'évoquer les sujets au cœur de la campagne européenne du Fidesz. « Je n'ai pas une bonne impression de Bruxelles, car il y a des procédures en cours contre la Hongrie, qui, de mon point de vue, ne sont pas correctes et là, je le dis très poliment. La Hongrie est particulièrement attaquée sur la question migratoire », souligne Attila Szarvas, directeur d'une école catholique et ancien maire adjoint du XVIIIème arrondissement de la capitale.Ancien footballeur professionnel, László Dajka, 65 ans, est sur la même ligne : « Jusqu'à ce que la droite arrive au pouvoir, la gauche disait oui à tout le monde. Je suis très fier qu'on dise enfin non ! Les Hongrois disent non à l'immigration, les Hongrois disent non à tout ce qui n'est pas bon pour eux. Il y a enfin parmi les Hongrois quelqu'un qui ose tenir tête à Bruxelles ! », s'enthousiasme l'ancien milieu de terrain qui a joué à l'Unión Deportiva Las Palmas en Espagne et Yverdon en Suisse.Immigration, genre, guerreSur la place des Héros à Budapest, des groupes de touristes chinois se prennent en photo. C'est ici qu'en juin 1989, un jeune homme aux cheveux longs prononce un discours qui marque. Viktor Orban, 26 ans, s'élève alors contre la dictature communiste. 35 ans plus tard, le libéral s'est transformé en « illibéral » assumé en conflit régulier avec l'Union européenne, qu'il compare à une « mauvaise parodie contemporaine » de l'Union soviétique.Ancien conseiller en politique étrangère du Fidesz, numéro 10 sur la liste européenne du parti, Andras Laszlo appelle de ses vœux un « changement à Bruxelles », reprochant à la Commission et à sa présidente « la trahison des valeurs conservatrices », une politique environnementale « trop à gauche », « l'idéologie du genre » et un mauvais Pacte sur la migration et l'asile. « Les sanctions contre la Russie sont un échec énorme qui pèse sur l'économie européenne », regrette le candidat, estimant que « dans chaque crise sa Commission a pris une mauvaise direction ».Régulièrement rappelée à l'ordre pour ses atteintes à l'État de droit, la Hongrie de Viktor Orban a fait de Bruxelles son principal cheval de bataille. « Lorsqu'une Commission est si hostile à un État membre, il n'est pas surprenant que ce pays critique également beaucoup la Commission. La question de l'État de droit relève davantage d'un débat idéologique et d'un outil dont dispose la Commission européenne pour influencer et modifier le comportement d'un État membre », estime le politologue Agoston Mraz de l'Institut Nézöpont, un cercle de réflexion conservateur.« Tous les gouvernements conservateurs en Europe, qu'il s'agisse de l'ancien gouvernement polonais ou de l'actuel gouvernement hongrois, sont soumis au chantage politique et financier de Bruxelles parce qu'ils sont conservateurs, et non pour d'autres raisons », avance, pour sa part, Matyas Kohan, éditorialiste pour l'hebdomadaire Mandiner, proche du pouvoir.Cap à droiteSur les 21 sièges d'eurodéputés hongrois, le Fidesz a de bonnes chances d'en décrocher plus de la moitié à l'issue des élections du 9 juin. Courtisé par les grands partis de l'extrême-droite européenne, qui ont le vent en poupe, comme celui de l'Italienne Giorgia Meloni, il pourrait rejoindre l'un des grands groupes nationalistes au Parlement européen. Une perspective qui n'a pas de quoi réjouir Gergely Toth, qui a décidé de se lancer en politique, lassé de l'omnipotence du Fidesz dans sa ville, au bord du lac Balaton. Candidat de l'opposition à la mairie de Keszthely, 20 000 habitants, il est venu écouter le discours de Peter Magyar, le nouvel opposant numéro un à Viktor Orban, avec lequel il espère pouvoir nouer des alliances dans l'avenir.« J'ai toujours été très fier d'être Hongrois, mais maintenant, chaque fois que je vais à l'étranger, je dois expliquer que je ne suis pas favorable à notre gouvernement. J'ai honte que nous allions à l'encontre des valeurs européennes et je dis cela bien que ces valeurs de la famille, de l'église, soient aussi très importantes pour moi », explique Gergely Toth, alors que l'étoile montante de la politique hongroise, ancien cadre du Fidesz, signe des autographes, se fait prendre en photo à l'issue de son discours de plus d'une heure, prononcé sans notes.Peter Magyar, dont le parti Tisza (Respect et liberté) est crédité de plus de 20% d'intentions de vote auprès des électeurs, devrait décrocher plusieurs mandats au Parlement européen, plaide pour une relation « critique mais constructive » avec l'UE. « Nous serions membres à part entière du club, nous rejoindrions immédiatement le parquet européen et notre parti serait membre du PPE. On aurait une relation assez différente de celle qu'entretient le gouvernement Orban », précise-t-il brièvement à RFI, avant de s'engouffrer dans le véhicule qui l'emmène vers la prochaine étape de sa tournée électorale marathon.Venu assister à la prestation de Peter Magyar, Lajos Heder, compte voter pour Tisza, le 9 juin. Cet ancien membre du Fidesz, qui a rompu il y a longtemps avec le parti du pouvoir sans lui trouver d'alternative crédible, se dit « fâché contre Emmanuel Macron et contre l'UE », dont il regrette qu'ils ne soient pas « plus sévères avec Viktor Orban » qu'ils le « laissent cultiver son amitié avec la Russie. L'UE devrait appliquer des sanctions plus drastiques envers la Hongrie ».L'UE trop conciliante ?Les dirigeants européens ont-ils été trop conciliants avec Viktor Orban ? Pour Gwendoline Delbos-Corfield, eurodéputée verte et rapporteuse au Parlement européen sur l'État de droit en Hongrie, la réponse est sans équivoque. « Ils auraient pu actionner l'article 7 du Traité de l'Union européenne pour suspendre les droits de vote de Viktor Orban au sein du Conseil européen, mais ils ont manqué de courage, c'est aussi simple que cela ». Et d'évoquer un précédent en matière, celui de Jörg Haïder le dirigeant autrichien d'extrême-droite arrivé au pouvoir en 2000.« La réaction a été immédiate, instinctive, rappelle l'eurodéputée : tout le monde refuse alors ce qui est considéré comme un dangereux retour en arrière. Aussitôt, les autres dirigeants suspendent les droits de vote de l'Autriche, durant quelques mois, en attendant que la situation se stabilise et que Jörg Haider quitte le pouvoir. Aujourd'hui, on n'a plus cet instinct-là. Nous nous sommes habitués à avoir des gens qui vont vers l'autocratie et qui tiennent des discours de plus en plus d'extrême-droite. Parce que Viktor Orban dit des choses assez terrifiantes sur les droits humains, sur la différence de race ou sur la chrétienté. Et pourtant, il n'est jamais sanctionné ».Autre voix critique à l'encontre de Viktor Orban au sein du Parlement européen, celle du Finlandais Petri Sarvamaa. Ancien journaliste, élu au Parlement européen depuis 2012, Petri Sarvamaa a une relation particulière avec le Fidesz, car il a siégé pendant des années avec les eurodéputés du parti hongrois, au sein du Parti Populaire Européen, le groupe de centre-droit. Le Fidesz en a fait partie jusqu'à la rupture consommée en 2021.« Je ne cessais de dire au sein du groupe qu'il y avait un problème avec eux, que le parti ne répondait plus à nos valeurs, en particulier sur le respect de l'État de droit, se souvient l'eurodéputé. À l'époque, quand les choses ont commencé à empirer, j'ai dit à M. Orban durant une réunion de groupe : « si vous ne changez pas, si vous ne revenez pas à nos valeurs, votre place n'est plus parmi nous ».Entre 2012 et la rupture avec le PPE, Petri Savarmaa observe la dérive progressive des élus du Fidesz vers un discours populiste et hostile à l'Union européenne. « J'ai vraiment eu l'impression à un moment de les voir s'éloigner de nous, avec leurs déclarations nationalistes et tout ce qu'ils disaient sur le fait que la Hongrie n'était pas respectée. Personne ne comprenait ce qu'ils disaient parce que la Hongrie n'était pas certainement pas maltraitée. Au contraire, elle recevait énormément d'argent du contribuable européen ! »Les partis membres du PPE sont d'autant plus lents à réagir à cette évolution que Viktor Orban a longtemps été perçu comme un démocrate pro-européen. « Il était du bon côté de l'histoire au moment où l'URSS s'est effondrée, rappelle Petri Sarvamaa. Orban au début c'était un héros pour nous, quelqu'un qui s'est battu pour la démocratie ! Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je crois que c'est un politicien très malin qui voulait être sûr de rester au pouvoir. Et sa stratégie a été de faire croire aux Hongrois qu'il fallait les protéger de l'Europe et de son influence néfaste : il a construit méticuleusement un récit et une propagande dont il est devenu le maître absolu. »DIAPORAMA« Ils ont peur de Viktor Orban »Cette stratégie pour conserver à tout prix le pouvoir serait donc à l'origine de la posture hostile à l'UE adoptée depuis des années par Viktor Orban. Mais, les eurodéputés hongrois élus sous la bannière du Fidesz avancent une autre explication : le dirigeant hongrois se bat pour des valeurs traditionnelles et conservatrices qui ont été trahies par l'UE. « Les bureaucrates et les gauchistes de Bruxelles ont peur de Viktor Orban et de sa vision de l'Europe des nations », s'indigne Balazs Hidveghi, députés Fidesz au Parlement européen. « Notre vision, c'est la vision que la majorité des Hongrois soutiennent, et nous pensons que toutes ces attaques ont en fait comme racine une différence d'opinion politique et idéologique ».Interrogé sur le projet européen de Viktor Orban, l'eurodéputé hongrois assure que celui-ci veut rester au sein de l'UE. « Nous sommes européens et nous sommes fiers de l'être. Mais voilà, nous voulons changer Bruxelles. Nous voulons changer la majorité actuelle au Parlement européen pour élargir la représentation des peuples qui représentent ces valeurs ». Pas de dérive autoritaire en Hongrie aux yeux de Balasz Hidveghi, qui trouve parfaitement justifiée la loi sur la souveraineté nationale adoptée en décembre 2023. « C'est tout à fait le même type de protection légale qu'on voit aux États-Unis, par exemple. Et c'est tout à fait normal. Il faut protéger notre pays contre l'influence politique, idéologique qui vient de l'étranger. »Protéger la Hongrie de l'influence de l'étranger, l'un des maîtres-mots de Viktor Orban, n'a rien de rassurant pour les ONG et les médias indépendants, confrontés à cette nouvelle loi, qui fait l'objet d'une procédure d'infraction de la part de la Commission européenne et d'une résolution adoptée lors de la dernière session du Parlement européen en avril. Ces initiatives sont saluées par Márta Pardavi, la co-présidente du Comité Helsinki à Budapest : « Il est très important de montrer aux Hongrois et aux autres Européens que ce type de législation n'a pas sa place en Europe, qu'il va à l'encontre des valeurs fondamentales de l'Union et de son système juridique. La Hongrie est une démocratie malade au sein de l'Union européenne et cette maladie a de nombreuses répercussions non seulement pour les Hongrois, pour notre société, mais c'est aussi un problème qui touche assez directement tous les Européens et il est donc juste que l'Europe cherche également des réponses pour résoudre ce problème. »À Budapest, Direkt 36, un média d'investigation en ligne, a multiplié les révélations dérangeantes sur l'enrichissement des proches du Premier ministre ou sur ses relations avec la Chine ou la Russie. Régulièrement sous pression, la rédaction n'attend rien de bon de cette nouvelle loi. András Pethö, l'un des fondateurs et directeur général de Direkt 36, la voit comme « une nouvelle tentative d'intimidation des organisations de la société civile ou des médias, car, avec sa formulation très vague, elle cible de manière très large toute personne qui accepte des dons, un soutien de l'extérieur de la Hongrie ou qui travaille avec des partenaires étrangers ».Le journaliste s'inquiète aussi de la nouvelle autorité chargée d'appliquer cette loi, l'Office de protection de la souveraineté, qui « peut travailler en étroite collaboration avec les services secrets et d'autres agences étatiques. Elle a le pouvoir de mener des enquêtes sur des organisations ou des individus. » Et de conclure : « Ce n'est qu'un chapitre de plus des efforts du gouvernement pour réprimer les voix indépendantes mais cela ne rendra certainement pas les choses plus faciles pour nous. »La vidéo

Pääministeri Petteri Orpon esiintyminen Euroopan parlamentin Tämä on Eurooppa -keskustelussa äityi tuliseksi sananvaihdoksi. Erityisen kovaa kritiikkiä Orpo sai hallitusyhteistyöstä parlamentissa äärioikeistoksi niputetun perussuomalaisten kanssa. Onko Orpon hallitus joutunut huonoon valoon EU:ssa? Johtaako energiatehokkuudirektiivi pientalojen pakkoremontteihin? Strasbourgissa Euroopan parlamentin radiostudiossa keskustelevat europarlamentaarikot Petri Sarvamaa (epp / kok.), Heidi Hautala (greens / vihr.) ja Miapetra Kumpula-Natri (s&d / sd.). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Unkarin pääministeri Viktor Orbán esti joulukuussa EU-maiden 50 miljardin euron tuen Ukrainalle. Tämän seurauksena Euroopan parlamentti vaatii päätöslauselmassaan Unkarin äänivallan väliaikaista epäämistä EU:ssa. Voidaanko Unkarilta evätä äänivalta EU:ssa? Strasbourgissa Euroopan parlamentin radiostudiossa Unkarin tilannetta arvioivat europarlamentaarikot Ville Niinistö (vihr. / greens), Petri Sarvamaa (kok. / epp) ja Nils Torvalds (r. / re). Petri Sarvamaan mukaan Euroopan parlamentin päätöslauselma luo painetta EU-komissolle, mutta peräänkuuluttaa jäsenvaltioilta vastuuta Unkarin laittamiseksi kuriin. Sarvamaan mukaan Unkari ei ole enää toimiva demokratia ja vie EU:ta kuin litran mittaa. ”Siellä on yksipuoluejärjestelmä”, sanoo Sarvamaa Politiikkaradiossa. Nils Torvalds on samoilla linjoilla. Torvaldsin mukaan nyt ”pitää tapella koko EU-järjestelmän uskottavuudesta”. Myös Ville Niinistö arvostelee jäsenmaita Unkari-asian hoidosta. Niinistön mukaan koko ongelman alkusyy on jäsenmaissa. ”Jos kaikki 26 muuta maata ei päätöksiin kykene, niin Unkari pyörittää show:ta”, sanoo Niinistö. Toimittajana on Tapio Pajunen.

Hamasin isku Israelia vastaan ja sairaalaräjähdys Gazan kaupungin keskustassa on tuomittu laajasti Euroopassa. Muuttaako sairaalaisku Euroopan suhtautumista Israelin ja Hamasin väliseen sotaan Gazassa? Onko vaatimus tulitauosta mahdollinen kun vastakkain ovat terrorijärjestö ja Israelin valtio? Voidaanko Venäjältä jäädytetyt varat käyttää Ukrainan jälleenrakentamisen rahoittamiseen? Onko Suomen vastustama suvereniteettirahasto heräämässä henkiin strategisten teknologioiden kehysvälineen STEP:in myötä? Euroopan parlamentin radiostudiossa Strasbourgissa vieraina ovat europarlamentaarikot Nils Torvalds (re / r.), Alviina Alametsä (greens / vihr.) ja Petri Sarvamaa (epp / kok.). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Minkälainen on taloustilanne EU:ssa ja miten sota Ukrainassa siihen vaikuttaa? Minkälaisia paineita on mahdollisesti EU:n maatalouspolitiikan muuttamiseen? Miksi EU on ollut viime aikoina niin kiinnostunut metsäpolitiikasta? Mikä on ollut Suomen suurin epäonnistuminen EU-vaikuttamisessa? Ja miten kallista on yrittää päästä europarlamentin jäseneksi? Haastateltavana on kokoomuksen europarlamentaarikko Petri Sarvamaa. Ohjelman toimittaa Maija Elonheimo.

Euroopan parlamentti hyväksyi tekoälysääntelyn periaatteet. Tekoälysääntelyllä yritetään hallita tekoälyn riskejä kieltämällä biometrinen etätunnistaminen, tunteiden tunnistaminen tai rikoksia ennustava lainvalvonta ja rikostutkinta. Myös sisältöä luovien järjestelmien, kuten ChatGPT:n, on kerrottava, milloin sisältö on tekoälyn tuottamaa. Kykeneekö EU suitsimaan tekoälydystopiaa? Euroopan parlamentin ympäristövaliokunta äänesti kiistellystä luonnon ennallistamisasetuksesta. Täpärässä äänetyksessä ympäristövaliokunta ei hyväksynyt parlamentin suurimman ryhmän EPP:n tekemää esitystä ennallistamisasetuksen hylkäämiseksi kokonaan, mutta valiokunnan lopullinen kanta asiaan ei vielä ole tiedossa. Miksi luonnon ennallistamisesta on noussut elämää suurempi poliittinen kiista? Euroopan parlamentin radiostudiossa Strasbourgissa ovat europarlamentaarikot Eero Heinäluoma (s&d), Heidi Hautala (greens) ja Petri Sarvamaa (epp). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Minkälainen suhde EU:lla ja Unkarilla on? Millä keinoilla EU voi puuttua tilanteeseen, jos jäsenmaa ei noudata EU:n pelisääntöjä? Mihin suuntaan EU:n monivuotinen rahoitus ja budjetti ovat kehittymässä? Mitä yhteisvelan lisääntyminen tarkoittaa Suomelle ja mistä tulevassa suveriniteettirahastossa on kyse? Studiossa Euroopan parlementin jäsen, kokoomusta ja EPP:tä edustava Petri Sarvamaa. Jakso on nauhoitettu 18.5.2023. ⌚ AIKALEIMAT (0:00) Media ja EU (2:33) Päätöksenteko EU:ssa (4:36) Oikeusvaltioperiaate (14:01) Unkari (16:13) Rahojen jäädytys (19:52) Yhteisvelka (26:42) Kannustinongelmat (32:11) Orbánin hallinto (39:48) EU:n vaikutus (43:47) Geopolitiikka (49:43) Kansalaisiin vaikuttaminen (54:21) Fidesz-puolue (56:59) Suveriniteettirahasto (1:01:06) Yhdysvallat (1:03:58) EU:n budjetti (1:15:15) Hallitusneuvottelut (1:16:36) Komission valta (1:24:09) Petteri Orpo (1:26:33) Missä on valta? (1:28:13) Kokoaan suurempi Suomi

Kymmeniä siviiliuhreja vaatinut Venäjän ohjusisku asuinkerrostaloon Dniprossa puhuttaa Euroopan parlamentissa. "Faktisesti sanoisin, että kyse on terroristivaltiosta", sanoo europarlamentaarikko Heidi Hautala Politiikkaradiossa, viitaten Venäjän ohjusiskuun Dniprossa. Europarlamentaarikot Eero Heinäluoma (s&d) ja Petri Sarvamaa (epp) rinnastavat myös Dnipron ohjusiskun terrorismiin. Euroopan parlamentti äänestää päätöslauselmasta tuomioistuimen perustamiseksi Ukrainaan kohdistuneen hyökkäysrikoksen tutkimiseksi. Mitkä ovat EU:n mahdollisuudet perustaa tuomioistuin tutkimaan Ukrainaan kohdistunutta hyökkäysrikosta? Onko Venäjä terrorismia tukeva valtio, joka "käyttää terrorismin keinoja"? Euroopan parlamentin Strasbourgin radiostudiossa vieraina ovat europarlamentaarikot Eero Heinäluoma (s&d), Petri Sarvamaa (epp) sekä Heidi Hautala (greens). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Ukrainan sota ja Venäjän tilanne. Ukraina sanoo tarvitsevansa lisää raskaita aseita, Venäjällä puolestaan puhuttaa maan sisäinen tilanne. Puhelu Kiovaan, toimittaja Maxim Fedorov. Studiossa apulaisprofessori Katri Pynnönniemi, MPKK ja Helsingin yliopisto. EU:n huippukokous. Aiheina Ukraina, energia, ruokaturva ja puolustus. Toimittaja Janne Toivonen, Bryssel. EU:n huippukokouksella painava asialista. Keskustelemassa euro-edustajat Petri Sarvamaa, kok., Ville Niinistö, vihr. ja Elsi Katainen, kesk. Jääkiekon MM-kisat päättyivät. Tunnelmista toimittaja Petra Ketonen Tampereelta. Juontajana Aki Laine, toimittajina Mikko Haapanen ja Tarja Oinonen. Tuottaja Marja Ala-Kokko.

Miten Euroopan turvallisuusratkaisu muuttuu Venäjän aloittaman hyökkäyssodan myötä? Miten Suomen ulko- ja turvallisuuspolitiikkaa pitäisi muuttaa vastaamaan Venäjän aiheuttamaan uhkaan? Keskustelemassa ovat europarlamentaarikot Eero Heinäluoma (s&d), Petri Sarvamaa (epp) sekä Heidi Hautala (greens). Toimittajana on Tapio Pajunen. Muuta Ukrainaan tai Venäjään liittyvää kuunneltavaa löydät kootusti Yle Radion 1:n Areena-sivuilta.

The Europolitistin päätösjaksossa pohditaan, kuinka EU voisi ottaa näkyvämmin johtajuutta eurooppalaisten arvojen ja perusoikeuksien puolustamisessa. Yhteistyössä The Ulkopolitistin ja Euroopan parlamentin Suomen-toimiston kanssa tuotettu The Europolitist -podcast nostaa esiin neljä polttavinta kysymystä Euroopan unionin tulevaisuudesta. Ohjelman viimeisessä jaksossa paneudumme eurooppalaisen identiteetin murrokseen ja unionin yhteisöllisyyttä haastaviin ajankohtaisiin tapahtumiin. Kysymme, miltä haluamme eurooppalaisuuden tulevaisuudessa näyttävän ja kuinka puolustamme meille tärkeitä periaatteita, kuten oikeusvaltiota. Vieraina Euroopan parlamentin jäsen Petri Sarvamaa ja akatemiatutkija Timo Miettinen, jonka uusi kirja ‘Eurooppa - poliittisen yhteisön historia' on julkaistu kuluvan syksyn aikana. Parhaillaan käynnissä oleva Euroopan tulevaisuuskonferenssi hahmottelee suuntaviivoja EU:n tulevaisuudelle. Samoja tulevaisuuskonferenssin aiheita käsitellään The Europolitist -podcast-sarjassa. Jakson juontavat Annastina Haapasaari ja Tuomas Lähteenmäki.

EU:n metsästrategia ja Suomi. Puhelu maa- ja metsätalousministeri Jari Lepälle, kesk. Keskustelemassa euroedustajat Ville Niinistö, vihr. ja Petri Sarvamaa, kok. Suomalaiselokuvat Cannesin elokuvajuhlilla. Toimittaja Janne Sundqvist. Aurinkoenergia valtaa alaa ja sitä kehitetään pohjoisiin tarpeisiin. Aalto-yliopiston mikro- ja nanoteknologian professori Hele Savin ja tuoteasiantuntija Linda Kangasmaa, Helen. Blogi. Jenny Matikainen: Täti Boomeri ja teini lähtivät kissankäpäläjahtiin – kesäläksy sai miettimään sukupuuttoaaltoa. Juontajana Mira Stenström, toimittajina Atte Uusinoka ja  Matti Konttinen. Tuottaja Tarja Oinonen.

Perustuslakivaliokunta päätti yhden äänen enemmistöllä, että Euroopan unionin elpymisrahoituksen hyväksyminen edellyttää eduskunnassa kahden kolmasosan määräenemmistöä. Mitkä ovat seuraukset, jos koko EU-budjetti ja siihen liittyvä omien varojen päätös, eli niin sanottu elpymispaketti, kaadetaan Suomen eduskunnassa? Pelataanko Suomessa poliittista uhkapeliä EU:n elpymisrahoituksella? Onko perustuslakivaliokunnan vaatimus määräenemmistöpäätöksestä politiikkaa vai juridiikkaa? Harhaileeko perustuslakivaliokunnan elpymispakettilausunto EU-oikeuden vesillä? Keskustelemassa ovat europarlamentaarikot Petri Sarvamaa (epp), Ville Niinistö (greens) sekä Elsi Katainen (re). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Valta vaihtui USA:ssa ja Venäjä vangitsi oppositiojohtajan. Miten EU reagoi? Vieraina europarlamentaarikot Elsi Katainen (kesk.), Alviina Alametsä (vihr.) ja Petri Sarvamaa (kok.). Joe Bidenista tuli Yhdysvaltain presidentti virallisesti eilen. Alkaako tästä autuuden aika USA:n ja EU:n suhteissa, vai onko jotain haasteitakin luvassa? Biden lupaa tuoda Yhdysvallat takaisin Pariisin ilmastosopimukseeen ja Maailman terveysjärjestööön sekä neuvottella Iranin kanssa paluusta ydinsopimukseen. Kuitenkin Bidenin arvioidaan jatkavan jossain määrin protektionistisella linjalla. Katainen varoittaa liian optimistisista odotuksista Bidenin johtamaan Yhdysvaltoihin. Entä miten EU:n tulisi reagoida, jos Venäjä ei vaatimuksista huolimatta vapauta vangittua oppositiojohtaja Aleksei Navalnya? Sarvamaan mielestä EU:n pitäisi perua Venäjältä Saksaan rakenteilla oleva, loppusuoralla oleva Nord Stream -kaasuputki. Katainen ei ole samaa mieltä. Alametsä ehdottaa presidentti Vladimir Putinin lähipiirille tiukkoja pakotteita. Miltä näyttää EU:n yhteinen koronastrategia? Voisiko Suomi saada rokotteita nopeamminkin? Toimittajana on Linda Pelkonen.

EUROOPAN SUUNTA EXTRA Puola ja Unkari vetivät tukensa pois EU:n budjetilta oikeusvaltioperiaatteen vuoksi. Euroopan parlamentin pääneuvottelijana oikeusvaltiomekanismista toiminut europarlamentaarikko Petri Sarvamaa kommentoi tilannetta erikoishaastattelussa. Jakson juontaa Aku Aarva.

EUROOPAN SUUNTA EXTRA Puola ja Unkari vetivät tukensa pois EU:n budjetilta oikeusvaltioperiaatteen vuoksi. Euroopan parlamentin pääneuvottelijana oikeusvaltiomekanismista toiminut europarlamentaarikko Petri Sarvamaa kommentoi tilannetta erikoishaastattelussa. Jakson juontaa Aku Aarva.

EU:ssa on kiistelty oikeusvaltioperiaatteesta. Itäisen Euroopan politiikkaan ja historiaan erikoistunut yliopistonlehtori Katalin Miklóssy Aleksanteri-instituutista ja kokoomuksen europarlamentaarikko Petri Sarvamaa selventävät asiaa. Professori Lauri Paltemaa päivittää Hongkongin tilannetta. Venäjällä koronaepidemia yltyy varsinkin isoissa kaupungeissa. Missä jamassa on maan terveydenhuolto? Ulkopoliittisen instituutin vanhempi tutkija Jussi Lassila ja Ylen kirjeenvaihtaja Erkka Mikkonen pohtivat. Hallituksen suunnitelma sosiaali- ja terveyspalvelujen uudistamiseksi on saanut viime päivinä kovaa arvostelua. Kuntaministeri, sote-ministerityöryhmään kuuluva Sirpa Paatero vastaa hallituksen puolesta. Arvostelijoita edustaa aluekehittämiseen erikoistuneen konsulttitoimisto MDI:n johtava asiantuntija Timo Aro. Kati Kelola puhuu kolumnissaan ruuan hinnasta ja maailman nälästä. Päivi Neitiniemi juontaa.

EU-jäsenmaita edustava Euroopan unionin neuvosto, EU-komissio ja Euroopan parlamentti neuvottelevat oikeusvaltioperiaatteen kytkemisestä EU:n budjettiin. Parlamentti on ajanut neuvotteluihin tiukkaa linjaa: oikeuslaitoksen riippumattomuuden vaarantavalta jäsenmaalta voitaisiin jäädyttää EU-maksut. Onko EU-rahoihin tulossa vedenpitävä oikeusvaltioehto, vai jonkinlainen petostentorjuntajärjestelmä? Vesittyykö tiukka linja jäsenmaiden neuvoston vastustukseen? Mitä eurooppalainen metsästrategia tarkoittaa Suomen kannalta? Alkaako Iso-Britannian ja EU:n välillä oikeudenkäyntien kierre brexit-sopimuksesta? Politiikkaradion vieraina ovat europarlamentaarikot Petri Sarvamaa (epp), Alviina Alametsä (greens) ja Elsi Katainen (re). Tapio Pajunen haastattelee.

Liikkumista Schengen-alueella on rajoitettu voimakkaasti koronaepidemian takia. EU suosittaa Schengenin ulkopuolelta matkustamisen rajoittamista ainakin 15. kesäkuuta saakka. Schengenin sisällä komissio suosittaa matkustusrajoitusten purkamista ensin niiltä alueilta, joilla tautitilanne olisi todistettavasti parantumassa. Minkälaisia epidemiariskejä matkustusrajoitusten purkamiseen liittyy? Pitääkö purkamispäätöksiä tehdä epidemiatilanteen vai taloustilanteen ehdoilla? Entä pakottaako koronapandemia leikkamaan maataloustukia? Vai johtaako kriisi lisääntyviin paineisiin tukea lisää maataloutta, esimerkiksi huoltovarmuuden takia? Ovatko Suomen kansalliset 141-tuet turvattu vai vaaka-laudalla? Vieraina ovat europarlamentaarikot Elsi Katainen (re), Petri Sarvamaa (epp) ja Teuvo Hakkarainen (id). Toimittajana on Tapio Pajunen.

„Nagyon butácska, szenzációhajhász kérdés”   – mondta Deutsch Tamás az Azonnali podcastjában, a Helyzetben, amikor arról kérdeztük az Európai Parlamentben, hogy mennyit ér a Fidesznek a néppárti tagság. Szerinte mivel a magyar kormánypárt európai szinten is kiemelkedő eredményeket elérő polgári irányultságú párt, természetes, hogy az EPP-hez tartozik. Bár azt sajnálja, hogy pártcsaládjuk „egyre inkább egy centrista irányultságú párttá válik”.   Szerencsétlenkedés   Pedig a kérdés jogosan fogalmazódik meg azok után, hogy február elején a Néppárt a Fidesz tagságának határozatlan idejű meghosszabbításáról döntött, a hetes cikkely szerinti eljárásról szóló ismételt, lényegi kötőerővel amúgy nem bíró januári szavazáson számos EPP-s képviselő is a magyar kormánypártra nézve kedvezőtlenül szavazott, Petri Sarvamaa finn néppárti politikus a Politicón Orbán Viktor kiebrudalása mellett érvelt, valamint a pártcsalád elnöke, Donald Tusk is azt mondta, hogy „amíg én vagyok a Néppárt elnöke és amíg Budapesten minden változatlan, nincs visszaút a Fidesznek”.   „Finoman szólva is egy szerencsétlenkedő párt benyomását keltő döntés: egy határozatlan idejű felfüggesztést hosszabbítanak meg”   – mondta erre Deutsch. A fideszes EP-képviselő úgy látja, nincs olyan jellegű gond sem a magyar, sem a lengyel jogállamisággal, ami a 7-es cikkely szerinti eljárást indokolná. Petri Sarvamaa szerinte pedig azokhoz a skandináv és benelux országbeli tagpárti képviselőkhöz tartozik, akik a Néppárt liberális szárnyát jelenítik meg, súlyuk pedig elhanyagolható. Donald Tuskról úgy fogalmazott: szerinte a lengyel belpolitikai csatározásokat emeli EU-s szintre, amivel hibát követ el. Deutsch Tamás azt mondta: vita indult el a Néppártban a pártcsalád jövőjéről. Ennek örül, és szerinte a felfüggesztés nem akadályozza meg őket abban, hogy részt vegyenek az új irányok kijelölésében.   Ha a Néppárt ballib elhajló, miért drukkol Orbán a szocdem szlovák miniszterelnöknek? „Reméljük, Pellegrini miniszterelnök is sikerre vezeti csapatait a soron következő választáson” – ezt Orbán Viktor mondta tavaly ősszel. Így állt ki nyíltan a baloldali szlovák kormánypárt, a Smer mellett. Deutsch Tamás azonban „ostoba csúsztatásnak” tartotta a kérdésünket, ami arra vonatkozott, mennyire tekinthető konzekvensnek így a Fidesz harcos jobboldalisága a Néppárton belül, valamint a határon túli magyar pártok melletti kiállása. Szerinte mindössze annyiról van szó, hogy a V4-es együttműködést is figyelembe kell venni, és a miniszterelnök szavainak ellentmondva úgy fogalmazott: „szó sincs a Smer melletti nyílt kiállásról”.   Az először tavaly márciusban Orbán Viktor által elmondott panelt idézve Deutsch azt mondta, időt adtak pártcsaládjuknak. Úgy fogalmazott: „nagyvonalú tavaly márciusi döntésünkkel, a felfüggesztéssel lehetőséget adtunk a Néppártnak, hogy eldöntse, hányadán áll önmagával”. A fideszes delegációvezető szerint   az utóbbi egy évben a pártcsalád arra jött rá, hogy „nem a Fidesszel, hanem önmagával van baja.”   Nincs is jelentés, se vizsgáztatás!   A fideszes EP-képviselő a három bölcsről azt mondta: ők gyakoroltak kegyet a Néppárt felé a Fidesszel kapcsolatos feladatok elvállalásakor. Az pedig, hogy, mint mondta, végül nem született írásos jelentés, csak a szerencsétlenkedő Néppárt képét erősíti meg. Hermann Van Rompuyékat szerinte lóvá tette az EPP, és nem is először.   „Nincs vizsgáztatás”   – mondta, amikor arról érdeklődtünk, vannak-e meghatározott feltételek, amiknek teljesülése esetén megszűnne a Fidesz felfüggesztése vagy éppen biztosan kizárnák őket a Néppártból. Sőt, azonnal ki is kérnék maguknak, ha ilyesmi felmerülne, tette hozzá.   Habony és Mészáros bizniszei magáncégek, az Azonnali riportere standupos   Végül Habony Árpád és Mészáros Lőrinc balkáni médiaüzletei kerültek szóba. Február 11-én a 24.hu írta meg a szlovén sajtóra hivatkozva, hogy a két Fidesz-közeli vállalkozó szlovén és észak-macedón sajtótermékeknek juttatott négymillió eurót 2018 óta, azt megelőzően pedig további 2,4 milliót. Ezek a pénzek végül a szlovén Janez Jansához és az északmacedón Nikola Gruevszkihez, vagyis Orbán Viktor politikai szövetségeseihez közel álló médiumoknál kötöttek ki.   „Ezek magáncégek” – hangzott a válasz. Deutsch Tamás szerint Mészáros Lőrincet és Habony Árpádot kellene megkérdezni, miért épp ezekbe a vállalkozásokba fektettek be.   Majd a podcast záró részében az interjú inkább vitává változott a magyar médiahelyzetről. Mikor Deutsch Tamásnak azt az érvet hoztuk fel, hogy az ellenzékinek elkönyvelt, kormánytól független médiumok az ellenzékkel szemben is kritikusak, csak annyit válaszolt:   „önnek stand up-komédiásnak kellene elmennie. Gondolkodás nélkül tud olyan vicceket mondani, hogy ha ez nem egy izgalmas podcast-interjú lenne, akkor még fel is kacagnék.”   Hallgasd végig a teljes podcastot, ha pedig az előző részt is visszahallgatnád, ide kattins!  

EU-komission esittelemä Green Deal ulottuu jokaiselle yhteiskunnan sektorille läpi Euroopan: teollisuuteen, ruoantuotantoon, energiasektorille, liikenteeseen, koulutukseen, rakentamiseen. Tavoitteena on Euroopan laajuinen ilmastolaki, joka tekisi Euroopasta maailman ensimmäisen hiilineutraalin maanosan. Komission puheenjohtaja Ursula von der Leyen rinnastaa Euroopan Green Dealin merkityksen ihmisen ensimmäiseen kuukävelyyn. Von der Layenin mukaan ohjelma vaatii suuria panostuksia, mutta vakuuttaa, että on kalliimpaa jättää muutokset tekemättä. Kuinka suuresta askeleesta Euroopan Green Dealissä on kyse? Mistä Green Dealiin laitetut miljardit eurot tulevat: veronmaksajilta vai yksityiseltä sektorilta? Onko vihreän talouden kasvumalleista fossiilitalouden kasvumallien korvaajiksi? Kuinka Euroopan talouden ja teollisuuden kilpailukyky turvataan, jos Kiina, Yhdysvallat ja muu maailma eivät siirry samalla tahdilla irti fossiilisista polttoaineista? Euroopan parlamentin studiossa Strasbourgissa keskustelevat europarlamentaarikot Eero Heinäluoma (s&d), Petri Sarvamaa (epp) ja Ville Niinistö (greens/efa). Toimittajana on Tapio Pajunen.

Suomi jätti EU:n monivuotisesta budjetista kompromissiesityksen joulukuun alussa. Toimittaja Laura Myllymäen vieraina studiossa aiheesta keskustelevat EPP:n europarlamentaarikko Petri Sarvamaa (kok.) ja Ulkopoliittisen instituutin EU-tutkija Tuomas Iso-Markku.

Horjuuko EU oikeusvaltioperiaatteistaan Suomen puheenjohtajakaudella, vieraana kokoomuksen eruoparlamentaarikko Petri Sarvamaa. Suomi luovuttaa Yhdysvaltoihin mm intiaanien pääkalloja 1200-luvulta, miksi ne ovat intiaanien jälkeläisille pyhiä, Suomen Kansallismuseon ylijohtaja Elina Anttila. Kaupungit kasvavat, maaseutu näivettyy, miten Helsingin ja Oulun kaupungeissa reagoidaan muutokseen ja kuinka yksituumaisesti kaupunkeja kehitetään? Oulun kaupunginjohtaja Päivi Laajala ja Helsingin pormestari Jan Vapaavuori. Postin näkymät, kariutuuko pörssihaaveet ja omistajapolitiikan tempoilu, Kauppalehden päätoimittaja Arno Ahosniemi ja Maaseudun Tulevaisuuden päätoimittaja Jouni Kemppainen. Riku Siivosen blogi: kapitalismin ja markkinoiden logiikka on muuttunut. Toimittajat Hannele Muilu, Atte Uusinoka ja Silja Raunio, juontaja Päivi Neitiniemi ja tuottaja Marja Ala-Kokko.

Kreikan vaalit, toimittaja Sara Saure, Ateena. EU-parlamentin aloitus, mepit Laura Huhtasalo, ps., Heidi Hautala, vihr. ja Petri Sarvamaa, kok. Tekstiilialan kestävät ratkaisut, vaatesuunnittelija, kestävän suunnittelun professori Timo Rissanen, Parsonsin designkoulu, New York. Tour de France ja suuret rahat, Ismo Nykänen, Etelä-Ranska. Blogi, Sanna Ukkola: Mitään ei saa enää sanoa -hokema ärsyttää, mutta onko siinä perääkin? Juontaja Päivi Neitiniemi, toimittaja Atte Uusinoka, tuottaja Tarja Oinonen.

EU-parlamentissa tärkeään valta-asemaan nousseet vihreiden Heidi Hautala ja kokoomuksen Petri Sarvamaa kertovat Into piukeena eurovaaleista -podcastissa, miten perinteiset puolueet rakentavat vastavoimaa äärioikeiston mahdolliselle vaalivoitolle sunnuntain eurovaaleissa.

Iso-Britannian parlamentti äänesti kahdeksasta eri vaihtoehdosta pääministeri Theresa Mayn brexit-sopimukselle. Yksikään ehdotus ei saanut tarvittavaa enemmistöä. Lähimmäksi hyväksymistä pääsi ehdotus, jossa Britannia neuvottelisi pysyvästä tulliunionista EU:n kanssa. Löytyykö parlamentin äänestystuloksista evästystä brexit-pattitilanteen purkamiseksi? Valmistaudutaanko EU-parlamentissa pitkän lisäajan myöntämiseen brexit-prosessissa? Euroopan parlamentti hyväksyi poikkeuksellisen some-kiistelyn kohteena olleen tekijänoikeusdirektiivin. Mitä tekijänoikeusdirektiivi merkitsee? Saako linkittää, pitääkö meemeistä maksaa, saako uutisia jakaa, iskeekö nettisensuuri? Tuoko direktiivi sisällöntekijöille lisää oikeuksia ja korvauksia verkon eri alustapalveluissa leviävistä linkeistä, videoista, musiikista? Euroopan parlamentin studiossa Strasbourgissa aiheesta keskustelevat europarlamentaarikot Petri Sarvamaa (kok.) Anneli Jäätteenmäki (kesk.) Liisa Jaakonsaari (sd.). Politiikkaradion Tapio Pajunen haastattelee.

S3E4 | Eurooppalaisen Suomen puheenjohtaja Jouni Ovaska keskustelee MEP Petri Sarvamaan (EPP) kanssa EU:n taloudesta ja Euroopan tulevaisuudesta.

Europarlamentti ja jäsenmaat ovat erimielisiä EU:n yhteisen budjetin suuruudesta. Minkälaista keskustelua asian ympärillä käydään ja miten EU ja EU-aate tunteuvat kestävän näinä monin tavoin kuohuvina aikoina.Siitä puhuu europarlamentaarikko Petri Sarvamaa.Toimittajana Maija Elonheimo.