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C à vous
Alexandre Jacquier plus bel homme de l'univers ?

C à vous

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 5:25


Alexandre Jacquier, Candidat pour la France au titre de Mister UniverseTous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

C à vous
L'intégrale de C à Vous, la suite - 05/11/25  

C à vous

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 60:41


Nos invités de la deuxième partie de C à Vous du mercredi 5 novembre 2025:

Nord Politiques
Nord Politiques du jeudi 6 novembre – Matthieu Valet, candidat RN à Lille en 2026

Nord Politiques

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 26:14


Chaque semaine, une femme ou un homme politique la métropole lilloise est l'invité spécial de BFM Lille pour répondre aux questions d'Adrien Lanoy /de Marie Dufour.

Presa internaţională
Daniel Băluță, candidat PSD la Primăria Capitalei, despre alegerile din București

Presa internaţională

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 30:55


Bucureștiul arată rău, e ca o casă cu infrastructura într-o suferință majoră, declară într-un interviu la RFI candidatul PSD la Primăria Capitalei, Daniel Băluță. Actualul primar al Sectorului 4 vorbește despre problema traficului, a trotinetelor electrice și despre implicarea președintelui Nicușor Dan în alegeri, de partea candidatului USR, Cătălin Drulă. Daniel Băluță, despre alegerile pentru Primăria Bucureștiului: ”Arată rău Capitala României. Sunt mai multe paliere. Imaginați-vă că este o casă a cărei infrastructură, rețeaua de apă, rețeaua de gaz, rețeaua de canalizare, toate acestea se găsesc într-o suferință majoră, ele sunt foarte vechi și trebuiesc înlocuite, pentru că nu mai sunt de mult, cel puțin o parte dintre ele, funcționale”. Despre Nicușor Dan: ”Să știți că și eu mă simt la fel de susținut de președintele Nicușor Dan, cum sunt convins că toți ceilalți candidați se simt și ei susținuți de președintele Nicușor Dan (...). De ce mă simt susținut? Pentru că de-a lungul timpului, relația pe care am avut-o cu PMB, când domnul Nicușor Dan era primarul Capitalei, a avut drept efect această colaborare obținerea unor rezultate notabile”. Despre Cristian Popescu Piedone: ”Domnul Cristian Popescu Piedone, ca oricare alt cetățean al României, are drept de vot, își poate exprima opțiunea de vot în modul în care își dorește. Ca atare, a afirmat public că mă votează”. Despre problema traficului: ”Unele măsuri sunt rapide, măsurile de interzicere sau de reducere a tonajului sunt unele dintre acestea, dar mai importantă este finalizarea șoselei de centură, a inelului median, a radialelor, ne interesează să schimbăm cât mai repede liniile de tramvai, ne interesează să generăm și să finalizăm cât mai repede proiectele de extindere a rețelei de metrou”. Despre trotinetele electrice: ”Aș întreba oamenii, așa cum am întrebat oamenii dacă sunt de acord sau nu să decidă în privința autorizațiilor de construire, în privința bugetelor, la fel, pe mai multe tipuri de probleme care generează aceste tipuri de dezbatere, aș genera un referendum pentru așa ceva local, este un lucru legitim și am putea să reglementăm rapid această problemă, pentru că în cele din urmă, această comunitate trebuie guvernată de oameni și trebuie să luăm deciziile pe care oamenii și le doresc”.

Revue de presse Afrique
À la Une: le général Mamadi Doumbouya candidat à la présidentielle en Guinée

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 4:29


« Ce devait être un acte somme toute ordinaire, relate Ledjely à Conakry, mais qui aura pris les allures d'un événement d'envergure nationale. Hier lundi, dernier jour de dépôt des dossiers de candidature à la présidentielle, la Cour suprême de Conakry a été le théâtre d'une mise en scène soigneusement orchestrée autour du dépôt du dossier du général Mamadi Doumbouya, président de la Transition. » Après des heures d'attente aux alentours de la haute juridiction, la foule de ses partisans a été enfin comblée. Ledjely nous décrit la scène : « vêtu d'un boubou blanc orné des motifs des quatre régions naturelles et coiffé d'un bonnet assorti, le général Doumbouya est descendu de son véhicule pour saluer brièvement la foule, avant de s'engouffrer dans l'enceinte de la Cour suprême. Dix minutes plus tard, il en ressortait, le visage impassible, adressant un dernier salut depuis le toit ouvrant de sa voiture. Un geste bref, maîtrisé, mais hautement symbolique. En l'espace d'une dizaine de minutes, Conakry a vécu l'acte final d'un suspense savamment entretenu, pointe le site guinéen, où la mise en scène a rivalisé avec la solennité. La capitale s'est figée, suspendue à un seul geste : celui du président de la Transition officialisant ce que tout le monde savait déjà. » « Parjure et trahison » De son côté, l'opposition, rassemblée sous la bannière des Forces vives de Guinée, rejette la candidature de Mamadi Doumbouya. C'est ce que pointe notamment le site Guinée 7 : « les Forces vives de Guinée qualifient cette candidature de parjure et de trahison envers la Charte de la Transition et le peuple de Guinée. Elles appellent à une mobilisation nationale pour défendre la démocratie, la liberté et l'honneur du pays. » Mamadi Doumbouya est sûr de gagner cette présidentielle du 28 décembre, « tant il a dégagé la voie pour se faire élire », relève Le Monde Afrique. Ce dépôt de candidature savamment orchestré était « une façon de donner un vernis de légitimité à son pouvoir pour les sept prochaines années, durée de son probable futur mandat, renouvelable une fois. Cette prolongation annoncée inquiète ses opposants, poursuit le journal. Pour la plupart résignés ou exilés, ils dénoncent la chape de plomb qu'il a, selon eux, fait tomber sur la Guinée. Pendant la transition, plusieurs voix dissidentes ont été réduites au silence et des radios ou télévisions privées ont été fermées. Des militants civils, ainsi qu'un journaliste et des militaires, ont disparu sans laisser de trace. Leurs proches et des organisations de défense des droits humains pointent la responsabilité de la junte dans ces affaires, laquelle s'en est toujours défendue. » La proximité avec la France Et Le Monde Afrique de relever que « ces accusations n'empêchent pas la France de coopérer avec Mamadi Doumbouya. Contrairement à ses homologues sahéliens, en rupture de ban avec Paris, l'imposant putschiste guinéen a toujours été jugé fréquentable par les autorités françaises. » Côté guinéen, le pouvoir militaire se veut pragmatique, n'écartant aucun partenaire. Côté français, on plaide, relève le journal, pour « une realpolitik sans états d'âme. Aux yeux de Paris, mieux vaut coopérer avec cette junte imparfaite plutôt que de la voir se rapprocher de l'Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger), soutenue par Moscou – et offrir à ces pays une stratégique ouverture maritime. » Ce qui intéresse Paris est « la bauxite et le diamant » Une attitude conciliante qui provoque la colère de l'écrivain guinéen Tierno Monénembo, l'une des rares personnalités à encore oser critiquer publiquement la junte. Dans les colonnes du Point Afrique, le prix Renaudot 2008, ne mâche pas ses mots : « la France a pour le tyran de Conakry les yeux de Chimène. Rien de trop pour son petit protégé ! C'est vers Conakry dorénavant, constate Tierno Monénembo, et non vers Dakar ou Ndjamena que vont les chèques les plus gros et le matériel militaire de dernier cri. Habituellement, en cas de coup d'État, la France suspend sa coopération militaire avec le pays concerné. Avec Mamadi Doumbouya, non seulement celle-ci n'a jamais été interrompue, mais elle s'est intensifiée. (…) Emmanuel Macron ne semble pas beaucoup s'émouvoir des dérives dictatoriales de son poulain de Conakry, fustige encore Tierno Monénembo. Pendant que celui-ci tord le cou à la charte de la Transition, pendant que se multiplient les morts mystérieuses et les disparitions forcées, il fait semblant de regarder ailleurs. (…) Ce qui l'intéresse, conclut l'écrivain, c'est la bauxite et le diamant, certainement pas le sort de Sadou Nimaga, de Maraouane Camara, de Foninké Mengué et de Billo Bah, disparus depuis plus d'un an et dont on ne sait toujours rien. »

Revue de presse Afrique
À la Une: le général Mamadi Doumbouya candidat à la présidentielle en Guinée

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 4:29


« Ce devait être un acte somme toute ordinaire, relate Ledjely à Conakry, mais qui aura pris les allures d'un événement d'envergure nationale. Hier lundi, dernier jour de dépôt des dossiers de candidature à la présidentielle, la Cour suprême de Conakry a été le théâtre d'une mise en scène soigneusement orchestrée autour du dépôt du dossier du général Mamadi Doumbouya, président de la Transition. » Après des heures d'attente aux alentours de la haute juridiction, la foule de ses partisans a été enfin comblée. Ledjely nous décrit la scène : « vêtu d'un boubou blanc orné des motifs des quatre régions naturelles et coiffé d'un bonnet assorti, le général Doumbouya est descendu de son véhicule pour saluer brièvement la foule, avant de s'engouffrer dans l'enceinte de la Cour suprême. Dix minutes plus tard, il en ressortait, le visage impassible, adressant un dernier salut depuis le toit ouvrant de sa voiture. Un geste bref, maîtrisé, mais hautement symbolique. En l'espace d'une dizaine de minutes, Conakry a vécu l'acte final d'un suspense savamment entretenu, pointe le site guinéen, où la mise en scène a rivalisé avec la solennité. La capitale s'est figée, suspendue à un seul geste : celui du président de la Transition officialisant ce que tout le monde savait déjà. » « Parjure et trahison » De son côté, l'opposition, rassemblée sous la bannière des Forces vives de Guinée, rejette la candidature de Mamadi Doumbouya. C'est ce que pointe notamment le site Guinée 7 : « les Forces vives de Guinée qualifient cette candidature de parjure et de trahison envers la Charte de la Transition et le peuple de Guinée. Elles appellent à une mobilisation nationale pour défendre la démocratie, la liberté et l'honneur du pays. » Mamadi Doumbouya est sûr de gagner cette présidentielle du 28 décembre, « tant il a dégagé la voie pour se faire élire », relève Le Monde Afrique. Ce dépôt de candidature savamment orchestré était « une façon de donner un vernis de légitimité à son pouvoir pour les sept prochaines années, durée de son probable futur mandat, renouvelable une fois. Cette prolongation annoncée inquiète ses opposants, poursuit le journal. Pour la plupart résignés ou exilés, ils dénoncent la chape de plomb qu'il a, selon eux, fait tomber sur la Guinée. Pendant la transition, plusieurs voix dissidentes ont été réduites au silence et des radios ou télévisions privées ont été fermées. Des militants civils, ainsi qu'un journaliste et des militaires, ont disparu sans laisser de trace. Leurs proches et des organisations de défense des droits humains pointent la responsabilité de la junte dans ces affaires, laquelle s'en est toujours défendue. » La proximité avec la France Et Le Monde Afrique de relever que « ces accusations n'empêchent pas la France de coopérer avec Mamadi Doumbouya. Contrairement à ses homologues sahéliens, en rupture de ban avec Paris, l'imposant putschiste guinéen a toujours été jugé fréquentable par les autorités françaises. » Côté guinéen, le pouvoir militaire se veut pragmatique, n'écartant aucun partenaire. Côté français, on plaide, relève le journal, pour « une realpolitik sans états d'âme. Aux yeux de Paris, mieux vaut coopérer avec cette junte imparfaite plutôt que de la voir se rapprocher de l'Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger), soutenue par Moscou – et offrir à ces pays une stratégique ouverture maritime. » Ce qui intéresse Paris est « la bauxite et le diamant » Une attitude conciliante qui provoque la colère de l'écrivain guinéen Tierno Monénembo, l'une des rares personnalités à encore oser critiquer publiquement la junte. Dans les colonnes du Point Afrique, le prix Renaudot 2008, ne mâche pas ses mots : « la France a pour le tyran de Conakry les yeux de Chimène. Rien de trop pour son petit protégé ! C'est vers Conakry dorénavant, constate Tierno Monénembo, et non vers Dakar ou Ndjamena que vont les chèques les plus gros et le matériel militaire de dernier cri. Habituellement, en cas de coup d'État, la France suspend sa coopération militaire avec le pays concerné. Avec Mamadi Doumbouya, non seulement celle-ci n'a jamais été interrompue, mais elle s'est intensifiée. (…) Emmanuel Macron ne semble pas beaucoup s'émouvoir des dérives dictatoriales de son poulain de Conakry, fustige encore Tierno Monénembo. Pendant que celui-ci tord le cou à la charte de la Transition, pendant que se multiplient les morts mystérieuses et les disparitions forcées, il fait semblant de regarder ailleurs. (…) Ce qui l'intéresse, conclut l'écrivain, c'est la bauxite et le diamant, certainement pas le sort de Sadou Nimaga, de Maraouane Camara, de Foninké Mengué et de Billo Bah, disparus depuis plus d'un an et dont on ne sait toujours rien. »

ACTUALITES - AZUR FM
Thomas Estève, candidat de la « relève »

ACTUALITES - AZUR FM

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 5:47


Pour la première fois, le Rassemblement National sera également représenté à Sélestat lors de ces élections municipales avec la candidature de Thomas Estève. Âgé de 24 ans, cet agent administratif effectue ici sa quatrième campagne politique. « On a bien prouvé qu'aujourd'hui le Rassemblement National avait sa place dans les différentes élections, au niveau local », souligne Thomas Estève. Souhaitant incarner « la relève sélestadienne », 80 propositions seront présentées par le candidat. L'écoute, la transparence, la proximité, mais encore la sécurité et le cadre de vie seront particulièrement mis en avant. Dans cette nouvelle campagne, Thomas Estève dit s'engager « à côté d'hommes et de femmes de tous horizons, de toutes catégories socio-professionnelles ». Son objectif « n'est pas d'être un candidat supplémentaire, mais d'être le candidat qu'il faut pour la relève ».Le lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/municipales-2026-a-selestat-le-paysage-electoral-se-dessine-2537Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Actualités
Entrevue avec Michel Dorais | Candidat District 6 | Acton Vale

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 6:32


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat du district 6 aux élections d'Acton Vale, Michel Dorais. See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualités
Entrevue avec Yves Arcouette | Candidat district 1 | Acton Vale

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 5:12


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat du district 1 aux élection d'Acton Vale, Yves Arcouette.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualités
Entrevue avec Patrice Dumont | Candidat district 5 | Acton Vale

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 8:24


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat du district 5 aux élection d'Acton Vale, Patrice Dumont.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualités
Entrevue avec Jean Duranleau | Candidat District 6 | Acton Vale

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 7:41


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat du district 6 aux élections d'Acton Vale, Jean Duranleau. See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualités
Entrevue avec Bruno Lavallée | Candidat district 5 | Acton Vale

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 11:32


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat au district 5 aux élections d'Acton Vale, Bruno Lavallée. See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualités
Entrevue Alexandre Houle | Candidat St-Nazaire-d'Acton | Poste 3

Actualités

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 5:20


Entrevue de Guillaume Lemieux-Noël avec le candidat du poste 3 aux élections à St-Nazaire-d'Acton, Alexandre Houle. See omnystudio.com/listener for privacy information.

Les Grandes Gueules
L'humiliation du jour - Alain Marschall : "Est-ce que vous graciez Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy ?" "Je ne suis pas candidat à l'élection, je ne vous répondrai pas" - 30/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 1:04


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'analyse du jour - Emmanuel de Villiers : "L'union à droite est cruciale. Sinon, c'est l'autre candidat qui sera élu... probablement Jordan Bardella mais il est considéré comme inexpérimenté et trop jeune pour la présidenc

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 2:16


Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Invité Afrique
Bénin: «Une présidentielle sans le candidat du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 7:45


Lundi soir, la Cour constitutionnelle de Cotonou a définitivement écarté la candidature de Renaud Agbodjo, l'avocat désigné par le parti d'opposition Les Démocrates pour se présenter à la présidentielle du 12 avril 2026. Que pense ce parti de cette décision de justice ? Y voit-il une manœuvre du pouvoir béninois ? Guy Dossou Mitokpè est le porte-parole du parti Les Démocrates. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à l'exclusion de votre candidat Me Renaud Agbodjo ? Guy Dossou Mitokpè : Bon, comme la plupart de mes compatriotes, je reçois cette information avec beaucoup de tristesse parce que, pour nous, le principal parti d'opposition aujourd'hui, c'est le parti Les Démocrates. Et donc pour la plupart des Béninois, on allait assister à une très belle fête électorale. Et donc pour nous, ce n'était pas croyable que la Cour constitutionnelle ne puisse pas nous donner raison en disant le droit. À l'origine du rejet de votre candidat, il y a le fait qu'il devait présenter 28 parrainages d'élus et que l'un de ces 28 a fait défection. Pourquoi n'avez-vous pas présenté un plus grand nombre de parrainages, 35 ou 40 par exemple, pour être certain de faire face à toutes défections et d'avoir au final vos 28 parrainages ? En fait, la loi électorale impose que les parrains soient parmi les députés en activité ou les maires en activité. Et donc, lorsque nous, on rentrait dans le Parlement, on avait 28 députés, on n'a pas été présents à l'élection des maires, donc on avait 28 députés. Mais lorsqu'on rentrait au Parlement, la loi électorale imposait d'avoir seulement 16 parrains. Et c'est au cours de notre présence au sein du Parlement, que le régime actuel a changé la loi électorale en positionnant le nombre de parrains exactement sur le nombre de parrains que nous avons, c'est-à-dire 28. Et donc c'était à dessein, parce qu'ils savaient que, à l'approche des élections, ils feraient tout pour nous déstabiliser en faisant probablement tout pour qu'un député fasse défection. Alors, justement, le député qui a fait défection, il s'appelle Michel Sodjinou. Il prétend qu'il s'est rétracté parce qu'il n'était pas d'accord avec le choix de Me Renaud Agbodjo au sein de votre parti. Qu'est-ce que vous en pensez ? Non, c'est un alibi parce que Monsieur Sodjinou a fait preuve d'ambition démesurée. Ce qu'il a avancé, ce sont des arguments qui ne tiennent pas. Et donc, s'il a fait défection, nous, nous continuons de croire qu'il est probablement en lien avec nos adversaires. Donc, vous pensez qu'il a été instrumentalisé par le pouvoir ? Je n'ai pas de preuve, mais tout laisse à croire qu'il a été instrumentalisé par nos adversaires. Parce que, en respectant les normes démocratiques en interne, cela ne peut pas expliquer le fait que quelqu'un puisse trahir tout un peuple. Oui, pour vous, le député Michel Sodjinou a trahi ? Il a trahi et c'est clair, il n'y a pas d'hésitation à ce niveau. Au total, le rejet de votre candidat, c'est la faute à pas de chance ou c'est une manœuvre du pouvoir ? C'est d'abord de la responsabilité d'un homme qui a été trop ambitieux. Monsieur Sodjinou Michel, je ne peux pas dire sans preuve que c'est la responsabilité du pouvoir. Je peux simplement dire que, voilà, nos adversaires ont tout intérêt à ce que Monsieur Michel Sodjinou puisse se comporter comme il l'a fait. « Ce qui se passe, ce n'est pas la démocratie », dit l'un des conseillers juridiques de votre parti, Me Victorien Fadé… Oui, naturellement que ce n'est pas la démocratie. C'est triste parce que vous savez, la démocratie, c'est qu'on puisse donner la chance aux électeurs de choisir celui ou celle qui leur convient. Mais ici, le choix du peuple, malheureusement, est très restreint, parce que le parti qui est aujourd'hui le parti le plus populaire dans notre pays, malheureusement, ne pourra pas présenter de candidat à la prochaine élection présidentielle. Et c'est très dommage. Vendredi dernier, il y a eu un long entretien au palais présidentiel à Cotonou entre le chef de l'État, Patrice Talon, et le président de votre parti, l'ancien chef de l'État Boni Yayi. Est-ce que vous espérez encore une solution politique ? Pour ce qui concerne l'élection présidentielle, il est dit dans notre loi fondamentale que les décisions de la Cour constitutionnelle sont sans recours. Donc, me rabattant sur cette décision, je peux dire que les chances pour que le parti Les Démocrates puisse présenter un duo de candidats à l'élection présidentielle sont quasiment nulles. Mais la bonne nouvelle, c'est que nous avons deux autres élections. Nous avons les élections communales et les élections législatives. Et à ce niveau, au niveau du parti Les Démocrates, nous avons pris toutes les dispositions afin que le peuple puisse consacrer son énergie à donner la majorité des maires et la majorité des députés au principal parti d'opposition. En 2021, beaucoup de candidats de l'opposition n'ont pas pu se présenter. Votre candidate de l'époque, Reckya Madougou, est même allée en prison. Elle y est toujours. Est-ce que vous craignez une nouvelle élection sans opposition ? Oui. L'ancienne ministre Reckya Madougou est en prison avec le professeur Joël Aïvo et bien d'autres compatriotes sont en prison ou en exil. Et je continuerai de dire que c'est l'une des raisons pour lesquelles nous sommes davantage tristes, parce que si la démocratie revenait à sa juste valeur, comprenez que nos prisonniers seraient libérés, les exilés feraient le retour. C'est la raison fondamentale de notre combat aujourd'hui. Une élection présidentielle sans les candidats du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie. À lire aussiBénin: la Cour constitutionnelle écarte la candidature des Démocrates à la présidentielle de 2026

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
«La plus grande lâcheté de ces dix dernières années, c'est d'avoir laissé tomber la justice» se révolte Jean-Michel Fauvergue, ancien chef du RAID et candidat à la présidentielle 2027

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 18:00


Invités : - Jean-Michel Fauvergue, ancien chef du RAID et auteur de «Ni capitulation ni résignation, osons le courage» aux éditions Fayard. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. - Antoine Fenech, journaliste et chroniqueur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le retour de Mario Dumont
«J'ai le droit de vous tuer»: un candidat à la mairie a tenu des propos assez choquants merci…

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 11:54


Suivi sur l’attaque de dogues argentins. Les trois autres partis politiques dans la course à Montréal. La circulation à Montréal. Loi spéciale pour les médecins. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Tam Tam : Le recrutement par celles et ceux qui le font au quotidien
#64 - Recruter ses premiers salariés, on fait comment ? - Sophie Brac et Nicolas Acerbis

Tam Tam : Le recrutement par celles et ceux qui le font au quotidien

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 59:56


“Ils font partie des murs”Oui, les premiers collaborateur·rices d'une entreprise, c'est un peu le ciment de la boîte. Parce que c'est aussi grâce à eux que l'on co-construit des valeurs et une culture d'entreprise forte. Et pour en parler, on a réuni deux pros du sujet :

Le retour de Mario Dumont
Saint-Sauveur: un candidat aurait tripoté sa collègue pendant un party de Noël

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 5:50


Un conseiller municipal de Saint-Sauveur aurait eu un comportement déplacé. Un promoteur immobilier en cavale. Du retard dans les paiements de primes. Charles III ira prier avec le Pape Léon. Un nouvel album pour Star Académie. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Chronique de Mamane
Le candidat gagnant

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 2:29


Les Gondwanais attendent les résultats de l'élection présidentielle dans la fébrilité contrairement à Président-Fondateur.

Chronique de Mamane
Le candidat gagnant

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 2:29


Les Gondwanais attendent les résultats de l'élection présidentielle dans la fébrilité contrairement à Président-Fondateur.

Mardi politique
Pierre-Yves Bournazel, secrétaire général délégué d'Horizons, candidat à la mairie de Paris

Mardi politique

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 18:00


L'invité de Mardi politique est Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris, secrétaire général délégué d'Horizons, candidat à la mairie de Paris.     Pierre-Yves Bournazel est interviewé par : - Frédéric Rivière (RFI).   Diffusions : - de 18h10 à 18h30 sur France 24. - de 21h10 à 21h30 sur RFI. Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Bénin : y aura-t-il un candidat Les Démocrates à la présidentielle ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 20:00


Coup de théâtre au sein du principal parti d'opposition béninois. Alors que les Démocrates avaient juste le nombre de parrainages pour participer à la présidentielle, un de ses députés a retiré sa signature. Le parti risque donc d'être exclu du processus électoral. Que vous inspire cette crise interne ? Quelles peuvent être les conséquences ? 

Drôles de dames
Le Côme de Fabregas et Nico Paz est déjà un candidat à la LDC pour Daniele Manusia – 20/10

Drôles de dames

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 12:46


Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.

Ràdio Arrels
Jordi Vera, candidat a les eleccions de Forques

Ràdio Arrels

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 10:16


El polític nord-català Jordi Vera serà candidat a les eleccions municipals de Forques. Ho ha anunciat a Ràdio Arrels afirmant que la seva decisió l'ha pres pensant purament en aspectes locals. Vera, que lidera el partit Oui au Pays Catalan, també ha confirmat que es presentaran a les municipals de Perpinyà i a altres municipis de Catalunya Nord.

Histoires du monde
«Porky», le candidat ultraconservateur à la présidence du Pérou

Histoires du monde

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 2:49


durée : 00:02:49 - Regarde le monde - Rafael Lopez Aliaga, maire de Lima, a annoncé sa démission afin de se présenter à l'élection présidentielle prévue en avril prochain au Pérou. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

InterNational
«Porky», le candidat ultraconservateur à la présidence du Pérou

InterNational

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 2:49


durée : 00:02:49 - Regarde le monde - Rafael Lopez Aliaga, maire de Lima, a annoncé sa démission afin de se présenter à l'élection présidentielle prévue en avril prochain au Pérou. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Jeff RadioPirate Live
JEFF FILLION REÇOIT FRANÇOIS ROY CANDIDAT MAIRIE (ST-JEAN-SUR-RICHELIEU)

Jeff RadioPirate Live

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 47:09


François Roy, natif de Saint-Jean-sur-Richelieu, est un homme d'affaire déterminé, qui ne fait pas de politique pour le plaisir du pouvoir, mais pour remettre les citoyens aux commandes. Il explique sa démarche comme candidat à la mairie dans sa ville natale avec ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Jeff⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ et ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Gerry⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠. Consultez le plateforme de François Roy ici : https://www.equipefrancoisroy.ca/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les Nuits de France Culture
Les Aventures de Harry Lime 5/5 : Le Candidat posthume (1ère diffusion : 28/11/1951 Paris Inter)

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 34:53


durée : 00:34:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - D'Orson Welles - Adaptation et traduction Maurice Bessy - Musique originale Anton Karas - Interprétation Jacques Dufilho, Elina Labourdette, Germaine Montéro, Jean Servais (Harry Lime), Jean-Marc Thibault et Anton Karas (cithare) - Réalisation Jean Chouquet - réalisation : Virginie Mourthé

Chronique de Mamane
Le meilleur candidat

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 2:34


Au Gondwana, le meilleur candidat à l'élection présidentielle est connu. « Ce qui est à César revient toujours à César »...

Chronique de Mamane
Le meilleur candidat

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 2:34


Au Gondwana, le meilleur candidat à l'élection présidentielle est connu. « Ce qui est à César revient toujours à César »...

Invité Afrique
Succession à la tête de l'Unesco: «Je suis candidat de toutes les nations», affirme le Congolais Firmin Édouard Matoko

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 11:07


« Je suis un homme du sérail, mais pas un apparatchik », affirme le Congolais de Brazzaville, Firmin Édouard Matoko, qui est haut fonctionnaire à l'Unesco depuis trente ans et qui brigue lundi prochain la succession de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'ducation, la science et la culture. RFI a également sollicité une interview auprès de l'autre candidat, l'ancien ministre égyptien de la Culture, Khaled El-Enany, qui, pour l'instant, n'a pas donné suite à notre requête. De passage à Paris, Firmin Édouard Matoko répond à Christophe Boisbouvier.  RFI : Quelle est la vision de l'Unesco que vous porterez si vous êtes élu ? Firmin Édouard Matoko : Alors, moi je pense que ce qu'il faut apporter comme réponse, c'est très vite des solutions pragmatiques à ce qui est reproché au système des Nations unies, son inefficacité, son extrême bureaucratisation et son extrême politisation. Alors, il n'y a pas assez d'opérations à vos yeux, vous voulez dire que, par exemple, l'opération de réhabilitation de Mossoul au nord de l'Irak par madame Audrey Azoulay, c'est bien, mais ce n'est pas suffisant ? Non, c'est une opération d'ailleurs qui restera, je pense, dans les annales de l'Unesco, comme on en a connu pour Abou Simbel, Tombouctou, tous les sites du patrimoine que nous avons restaurés dans le monde. Non, je pense qu'on peut faire plus, on peut faire mieux. Moi, ce que je propose, c'est une réflexion sur la mission et le mandat de l'Unesco. C'est une agence technique, intellectuelle, ce n'est pas une agence conçue pour faire de la médiation politique. C'est une agence qui doit proposer des solutions techniques à des situations extrêmement complexes du point de vue politique. On l'a vu avec la guerre en Ukraine par exemple, on le voit à Gaza, on le voit dans des conflits qu'aujourd'hui on oublie malheureusement, au Soudan, en Haïti, en Afghanistan. Vous dites que l'Unesco manque de ressources. Or, ce n'est pas de chance, mais cette année, les États-Unis ont annoncé leur retrait. Ils contribuent à 20 %. Est-ce que vous avez quelque chose à répondre à Donald Trump qui dit que l'Unesco est trop politisée ? Écoutez, c'est une organisation universelle où toutes les voix ont leur importance. Et c'est une organisation intellectuelle, donc, nous, on admet la contradiction, le débat contradictoire. Je crois que ce qui est important, c'est qu'on arrive à un consensus sur cette thématique majeure. Nous ne sommes pas là pour trancher en faveur d'un courant ou d'un autre, mais nous donnons des espaces d'expression aux États membres, à la société civile sur des sujets majeurs. Donc, cette organisation, c'est un espace de dialogue et de solidarité. Vous êtes un haut fonctionnaire de l'Unesco depuis plus de 30 ans. Que répondez-vous à ceux qui disent que vous êtes un apparatchik ? Ça existe encore ce mot « apparatchik » ? Je ne savais pas ça… Enfin… Disons que justement, du fait que je sois un homme du sérail, je préfère, qui a la connaissance de la maison, qui a été à des instances de direction au cours des quinze dernières années, je sais ce que l'on peut proposer, je sais où se trouvent les changements possibles et je sais ce qui peut se faire immédiatement. Alors votre adversaire, l'Égyptien Khaled El-Enany, il dit que lui, il vient de l'extérieur de cette organisation et qu'il a une expérience de terrain, puisqu'il a été ministre de la Culture de son pays. Est-ce que ce n'est pas une différence entre vous deux ?   Moi, j'ai été ministre des Relations extérieures, l'équivalent, je ne sais pas, de l'Unesco, pendant quinze ans, et de la priorité Afrique. J'ai visité, j'ai parcouru plus de 100 pays en apportant des solutions en temps de paix, en temps de conflit, en Irak, en Jordanie, en Syrie, en Haïti, au Cambodge, aux grands moments des conflits, en Somalie, au Soudan. Donc, je crois que je sais ce que c'est que le multilatéralisme. Nous avons proposé des solutions au Rwanda après le génocide, au Burundi, au Congo. Et donc je pense que c'est réduire mon expérience en parlant d'apparatchik. Vous n'êtes candidat que depuis six mois, alors que votre adversaire, il l'est depuis plus de deux ans et il a recueilli le soutien de nombreux pays dans le monde arabe, en Europe, etc. Est-ce que vous n'allez pas à cette bataille avec un gros handicap ? Non, moi je ne crois pas. Je peux vous dire que moi, je suis candidat depuis 30 ans, depuis le premier jour que je suis rentré à l'Unesco. J'ai eu l'ambition un jour, et je suis modestement un modèle pour beaucoup de collègues, parce qu'on peut effectivement concevoir qu'un ressortissant d'un petit pays du Sud, sans être péjoratif, formé à l'intérieur de l'Unesco, peut accéder aux instances dirigeantes. On n'a pas besoin d'avoir été ministre de son pays pour diriger cette organisation. Et je ne crois pas avoir été en retard. Certains sont trop en avance. Mais je crois en la sagesse, en la lucidité des Etats membres pour choisir le meilleur candidat pour cette organisation. Mais l'Union africaine a déjà donné sa préférence, c'est pour votre adversaire… L'Union africaine a entériné une candidature, mais selon la loi, les Etats membres, ici à l'Unesco, ne sont pas appelés à élire un candidat de l'Union africaine. L'Union africaine ne vote pas, sinon on aurait eu un candidat du Mercosur, un candidat de l'Union européenne. Et je pense que j'ai légitimement le droit de me présenter candidat. Et quand on vous dit que l'Égyptien Khaled El-Enany part favori, qu'est-ce que vous répondez ?   Ça ne me décourage pas, croyez-moi. Moi, je ne suis pas un candidat d'une région, d'un pays. Je suis candidat de toutes les nations, de tous les peuples. Et j'y vais avec la conviction parce que j'ai la passion de cette organisation et cette institution. À lire aussiSuccession à la tête de l'Unesco: «Les deux candidats rassurent par rapport à leurs capacités à diriger»

Jeff RadioPirate Live
SI VOUS ÊTES CONVERVATEUR, VOTEZ POUR LE CANDIDAT CONSERVATEUR! -JEFF FILLION

Jeff RadioPirate Live

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 34:39


Alors que les campagnes électorales au municipale sont en cours partout au Québec, Jeff Fillion, en compagnie de Gerry, suggére aux électeurs de voter selon leurs convictions et orientations politiques et d'éviter le vote stratégique qui mène finalement à rien à long terme. Enregistré à RadioPirate le 29 septembre 2025. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

L'oeil de...
"Lecornu, c'est un peu le candidat au permis de conduire qui se pointe à l'examen bourré et qui roule à 200 km sur une départementale"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 3:17


Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 29 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
"Lecornu, c'est un peu le candidat au permis de conduire qui se pointe à l'examen bourré et qui roule à 200 km sur une départementale"

RTL Matin

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 3:17


Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 29 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jeff RadioPirate Live
MAIRIE DE QUÉBEC: LE CANDIDAT QUI FAIT TREMBLER MARCHAND!

Jeff RadioPirate Live

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 30:58


Stéphane Lachance⁠⁠⁠ Chef du parti municipal ⁠⁠⁠Respect Citoyens⁠⁠⁠ discute avec ⁠⁠⁠Jeff⁠⁠⁠ et ⁠⁠⁠Gerry⁠⁠⁠ du début de la campagne électorale à Québec. https://www.respectcitoyens.org/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Municipales à Lyon : pour son premier meeting de candidat à la mairie, Jean-Michel Aulas charge les écologistes

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 1:40


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On refait le match avec Denis Balbir
L'EMISSION : l'OM candidat au titre ?

On refait le match avec Denis Balbir

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 68:46


Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Sébastien Tarrago, Baptiste Desprez et Stéphane Pauwels pour 1h30 de débat. Au sommaire ce 27 septembre 2025 : - OM : 16 ans après, le titre est il jouable ? - PSG : orage passager ou saison galère en perspective ? 4 débats flashs de 20h à 20h30 avec Dave Apadoo : - Strasbourg : les ultras ont ils raison de continuer leur grève des encouragements ? - Giroud : est il aujourd'hui, à 39 ans, le meilleur 9 évoluant en L1 ? - ⁠Dembélé : le plébiscite des votants est il la preuve que c'est un grand joueur ou qu'il joue dans une grande équipe ? - ⁠trophée des champions au Koweït : y a-t-il plus d'avantages que d'inconvénients à délocaliser ce match ? Ecoutez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 27 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - Municipales à Lyon : pour son premier meeting de candidat à la mairie, Jean-Michel Aulas charge les écologistes

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 1:40


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Le clash du jour - Marine Tondelier : "Si on ne choisit pas un seul candidat à gauche pour la présidentielle, on va laisser les fachos gagner" - 25/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 2:32


Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Invité Afrique
Présidentielle au Cameroun: «Je suis candidat pour gagner l'élection nationale», annonce Cabral Libii

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 12:51


À 45 ans, Cabral Libii est l'un des candidats les plus jeunes à la présidentielle du 12 octobre au Cameroun. Mais ce n'est pas un néophyte. Il y a sept ans, à la précédente élection, il était arrivé troisième. Et aujourd'hui, pour lutter contre la fraude électorale, il appelle tous les électeurs à surveiller leur bureau de vote le jour du scrutin, comme au Sénégal il y a 18 mois. Que pense-t-il de l'initiative en faveur d'Issa Tchiroma, désigné par certains comme le « candidat consensuel de l'opposition » ? De passage à Paris, le chef du Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Cabral Libii : Celle sans doute par laquelle je commencerai, c'est le recouvrement des 11,7 milliards que Glencore, qui a spolié le pétrole camerounais pendant dix ans, a accepté de payer. Le recouvrement est bloqué maintenant par la corruption de quelques agents publics qui empêchent le recouvrement de cet argent dont le peuple a besoin justement pour résoudre les urgences. Et ces urgences, elles sont de quatre ordres. Nous avons déjà annoncé qu'une fois élus, nous donnerions deux milliards de francs CFA à chaque commune du Cameroun pour régler les urgences, les infrastructures notamment routières, en permettant aux communes d'acquérir des engins pour le faire, les urgences hospitalières pour relever le plateau technique des hôpitaux dans les communes, les urgences numériques et scolaires, puis les urgences alimentaires. Face au président sortant Paul Biya et à la machine électorale de son parti RDPC, est-ce que vous ne partez pas battu ? Absolument pas. Cette fameuse machine n'est pas redoutable par son projet, son efficacité et ses résultats. Elle est redoutable par la fraude électorale qui s'est sophistiquée d'année en année. Il y a quelques jours, nous avons rendu publique et c'est encore visible sur notre site internet www.cabral2025.com, nous avons démontré qu'il y a une réserve de deux millions de voix qui a été fabriquée par des manipulations algorithmiques. Des voix fictives ? Des voix fictives par des manipulations numériques. Et pour contrecarrer cela, il y a une seule solution : engager la responsabilité individuelle des électeurs. Ce que le Sénégal nous a donné comme enseignement, c'est que c'est la responsabilité individuelle de l'électeur qui fait tomber de vieux régimes. Il faut que chacun fasse sa part. Faire sa part, c'est être dans le bureau de vote le jour de l'élection, voter et surtout que les uns et les autres se rendent disponibles bénévolement pour surveiller le vote. Parce que si on n'est pas dans les bureaux de vote, ils vont travestir le résultat des urnes. Samedi dernier, l'ancien ministre Issa Tchiroma Bakary a été désigné « candidat consensuel de l'opposition » par un regroupement de partis dénommé Union pour le changement. Qu'est-ce que vous pensez de cette démarche ? Rien du tout. Pour nous, c'est un non-événement. Le mot consensus est un mot français qui signifie accord de volonté. Donc, vous et moi, dans ce studio, on peut faire consensus sur ce que nous voulons, mais encore faut-il que cela ait un impact réel. Ce que moi je sais, c'est que le projet que je porte fait consensus. Voilà le type de consensus que nous avons appelé « la vague orange », que nous avons soulevé au grand meeting de Kribi et qui a déferlé. Vous savez, nous sommes douze candidats. Je fais partie des cadets et l'une des choses que nous entendons constamment, c'est que : « Oui, vous les cadets, vous devez vous aligner derrière les aînés ». Nous leur disons d'accord, que les trois septuagénaires qui viennent juste après le nonagénaire s'entendent déjà, se coalisent déjà entre eux et puis nous aviserons. Ce d'autant que deux de ces septuagénaires sont issus pratiquement du même village, tout au moins du même département, celui de la Bénoué. À écouter aussi[Vos réactions] Présidentielle au Cameroun : quelle image vous renvoie l'opposition ? Vous pensez à Tchiroma et à Bello ? Absolument. Alors justement... Ils n'ont pas que ça en partage. Alors justement, cet appel que vous avez lancé aux trois septuagénaires, c'est-à-dire à Akere Mouna, Bello Bouba et Issa Tchiroma, ça n'a pas du tout plu à Issa Tchiroma, qui y a vu une façon de votre part de vouloir le mettre à la retraite. Il vous appelle à plus de respect, à plus d'humilité... Peut-on faire montre de plus d'humilité que de solliciter des aînés ? Qu'ils s'entendent déjà. C'est du respect. Tout ce que nous leur demandons, c'est que vous avez beaucoup de choses en partage. Certains d'entre eux ont servi le régime pendant 30 ans, d'autres durant 25 ans, puis ils décident à deux mois de l'élection présidentielle de se lancer. Ce n'est pas tout le temps que l'on voit des gens qui ont aussi servilement servi un régime se décider de le faire tomber deux mois avant une élection présidentielle. Et nous leur disons qu'il n'y a pas de soucis. Le peuple vous regarde parfois avec un regard suspicieux parce que ce n'est pas la première fois que vous allez de gauche à droite et que vous justifiez à chaque fois vos allées et venues. L'électeur camerounais, nous lui faisons confiance, est très lucide sur ce point. Mais vous le savez bien que Bello et Tchiroma, leur fief, c'est le nord et que le nord, ça compte un tiers des voix. Vous allez perdre des voix nécessairement, non, par rapport à 2018 où Bello et Tchiroma n'étaient pas candidats ? Écoutez, je sors de ce nord-là. Vous avez vu les milliers et les centaines de milliers de personnes qui sont venues à ma rencontre. Ces personnes-là ne suivent pas un nordiste. Ces gens-là m'ont dit : « Monsieur Libii, vous avez toujours été à nos côtés et à nos yeux, ce n'est pas parce que vous êtes né plus loin au sud que nous ne croyons pas en vous et pour nous, vous incarnez notre espérance et notre espoir ». Moi, je ne suis pas un ancien ministre avec de l'argent gardé ici ou là. Moi, je ne suis pas du vieux système où ils achètent des consciences et des voix, où ils payent des gens pour les réunir. Je suis donc conscient qu'il y a des gens qui sont candidats pour gagner le nord, mais moi, je suis candidat pour gagner l'élection nationale. À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary

Journal de l'Afrique
Cameroun : Issa Tchiroma Bakary désigné "candidat de l'opposition"

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 14:23


Au Cameroun, Issa Tchiroma Bakary, ancien ministre de Paul Biya a été désigné par le Front du changement 2025, comme candidat "consensuel" d'une partie de l'opposition. Une désignation qui est pourtant loin de faire l'unanimité. On fait le point avec notre correspondant à Yaoundé, Marcel Amoko, et avec Hermine Patricia Tomaino Ndam Njoya, candidate à la présidentielle d'octobre.

Le surf de l'info
Teddy Riner bientôt candidat à l'Élysée ?

Le surf de l'info

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 1:35


Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 15 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
Jean-Michel Larqué : "Je veux que Zidane se déclare officiellement candidat" – 09/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 7:39


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Rothen s'enflamme
Jérôme Rothen voit en Michael Olise un potentiel candidat au Ballon d'Or un joueur – 09/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 5:11


La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des

Les Grandes Gueules
Jean-Michel Aulas candidat à Lyon, a-t-il ses chances ? - 05/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 10:24


A 10h, ce vendredi 5 septembre 2025, les GG : Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : "Jean-Michel Aulas candidat à Lyon, a-t-il ses chances ?".

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Bénin : la majorité présidentielle a trouvé son candidat

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 20:00


Au Bénin, Romuald Wadagni, l'actuel ministre des Finances, a été désigné candidat de la coalition au pouvoir à l'élection présidentielle d'avril 2026. Que vous inspire le profil du dauphin de Patrice Talon ? Face à lui, qui pour incarner l'opposition ? Nous lançons le débat.

Journal de l'Afrique
Bénin : Romuald Wadagni candidat de la majorité pour la présidentielle de 2026

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Aug 31, 2025 15:00


À neuf mois de la fin du mandat du chef de l'État au Bénin, l'héritier politique de Patrice Talon est désormais connu. Romuald Wadagni a été officiellement choisi dans la nuit de samedi à dimanche par des responsables des deux partis de la mouvance présidentielle et des personnalités influentes, selon des cadres de la coalition au pouvoir. Romuald Wadagni est ministre en charge de l'Économie et des Finances depuis l'arrivée au pouvoir de Patrice Talon en 2016.