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Invités : - Jean-Michel Fauvergue, ancien chef du RAID et auteur de «Ni capitulation ni résignation, osons le courage» aux éditions Fayard. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. - Antoine Fenech, journaliste et chroniqueur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suivi sur l’attaque de dogues argentins. Les trois autres partis politiques dans la course à Montréal. La circulation à Montréal. Loi spéciale pour les médecins. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un conseiller municipal de Saint-Sauveur aurait eu un comportement déplacé. Un promoteur immobilier en cavale. Du retard dans les paiements de primes. Charles III ira prier avec le Pape Léon. Un nouvel album pour Star Académie. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les Gondwanais attendent les résultats de l'élection présidentielle dans la fébrilité contrairement à Président-Fondateur.
L'invité de Mardi politique est Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris, secrétaire général délégué d'Horizons, candidat à la mairie de Paris. Pierre-Yves Bournazel est interviewé par : - Frédéric Rivière (RFI). Diffusions : - de 18h10 à 18h30 sur France 24. - de 21h10 à 21h30 sur RFI. Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
Coup de théâtre au sein du principal parti d'opposition béninois. Alors que les Démocrates avaient juste le nombre de parrainages pour participer à la présidentielle, un de ses députés a retiré sa signature. Le parti risque donc d'être exclu du processus électoral. Que vous inspire cette crise interne ? Quelles peuvent être les conséquences ?
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
El polític nord-català Jordi Vera serà candidat a les eleccions municipals de Forques. Ho ha anunciat a Ràdio Arrels afirmant que la seva decisió l'ha pres pensant purament en aspectes locals. Vera, que lidera el partit Oui au Pays Catalan, també ha confirmat que es presentaran a les municipals de Perpinyà i a altres municipis de Catalunya Nord.
durée : 00:02:49 - Regarde le monde - Rafael Lopez Aliaga, maire de Lima, a annoncé sa démission afin de se présenter à l'élection présidentielle prévue en avril prochain au Pérou. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Andrew Lutfy, homme d’affaires et président du Groupe Dynamite, appuie financièrement le Parti libéral du Québec. La députée solidaire Alejandra Zaga Mendez raconte avoir bénéficié de l’aide sociale à son arrivée au Québec, pour illustrer l’importance du filet social dans l’intégration des immigrants. À Québec, la campagne municipale est marquée par l’échec d’une alliance entre Leadership Québec et Respect Citoyens, alors que leurs chefs se disputent la candidature à la mairie. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'invité de Mardi politique est Ian Brossat, sénateur PCF de Paris, candidat aux élections municipales. Ian Brossat est interviewé par : - Frédéric Rivière (RFI). - Roselyne Febvre (France 24). Diffusions : - de 18h10 à 18h30 sur France 24. - de 21h10 à 21h30 sur RFI. Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
durée : 00:34:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - D'Orson Welles - Adaptation et traduction Maurice Bessy - Musique originale Anton Karas - Interprétation Jacques Dufilho, Elina Labourdette, Germaine Montéro, Jean Servais (Harry Lime), Jean-Marc Thibault et Anton Karas (cithare) - Réalisation Jean Chouquet - réalisation : Virginie Mourthé
Un autre sympathisant des Hells Angels se présente comme candidat aux élections municipales. Arrestations pour le meurtre survenu dans un parc à Terrebonne. Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au Gondwana, le meilleur candidat à l'élection présidentielle est connu. « Ce qui est à César revient toujours à César »...
Au Gondwana, le meilleur candidat à l'élection présidentielle est connu. « Ce qui est à César revient toujours à César »...
Est-ce qu’un motard criminel vous empêche d’être candidat à l’élection? Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Candidat déclaré à l'élection présidentielle 2027, Édouard Philippe a appelé sur RTL Emmanuel Macron à "nommer un Premier ministre avec pour fonction d'exécuter les affaires courantes et de construire un budget. Et dès lors que ce budget est adopté, il annonce qu'il organise une élection présidentielle anticipée", et donc "qu'il part immédiatement après que le budget a été adopté". Écoutez l'analyse de Jean Philippe Derosier, professeur de droit public à l'université de Lille, spécialiste de la constitution.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Retour sur la législative partielle de Montauban - Avec l'invalidation des comptes de campagne 2024 de Brigitte Barèges, les électeurs de la première circonscription du Tarn-et-Garonne doivent désigner un nouveau député. Au premier tour le 5 octobre, c'est son dauphin qui est arrivé en tête. La gauche PS-PRG se retrouve au second tour. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Je suis un homme du sérail, mais pas un apparatchik », affirme le Congolais de Brazzaville, Firmin Édouard Matoko, qui est haut fonctionnaire à l'Unesco depuis trente ans et qui brigue lundi prochain la succession de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'ducation, la science et la culture. RFI a également sollicité une interview auprès de l'autre candidat, l'ancien ministre égyptien de la Culture, Khaled El-Enany, qui, pour l'instant, n'a pas donné suite à notre requête. De passage à Paris, Firmin Édouard Matoko répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Quelle est la vision de l'Unesco que vous porterez si vous êtes élu ? Firmin Édouard Matoko : Alors, moi je pense que ce qu'il faut apporter comme réponse, c'est très vite des solutions pragmatiques à ce qui est reproché au système des Nations unies, son inefficacité, son extrême bureaucratisation et son extrême politisation. Alors, il n'y a pas assez d'opérations à vos yeux, vous voulez dire que, par exemple, l'opération de réhabilitation de Mossoul au nord de l'Irak par madame Audrey Azoulay, c'est bien, mais ce n'est pas suffisant ? Non, c'est une opération d'ailleurs qui restera, je pense, dans les annales de l'Unesco, comme on en a connu pour Abou Simbel, Tombouctou, tous les sites du patrimoine que nous avons restaurés dans le monde. Non, je pense qu'on peut faire plus, on peut faire mieux. Moi, ce que je propose, c'est une réflexion sur la mission et le mandat de l'Unesco. C'est une agence technique, intellectuelle, ce n'est pas une agence conçue pour faire de la médiation politique. C'est une agence qui doit proposer des solutions techniques à des situations extrêmement complexes du point de vue politique. On l'a vu avec la guerre en Ukraine par exemple, on le voit à Gaza, on le voit dans des conflits qu'aujourd'hui on oublie malheureusement, au Soudan, en Haïti, en Afghanistan. Vous dites que l'Unesco manque de ressources. Or, ce n'est pas de chance, mais cette année, les États-Unis ont annoncé leur retrait. Ils contribuent à 20 %. Est-ce que vous avez quelque chose à répondre à Donald Trump qui dit que l'Unesco est trop politisée ? Écoutez, c'est une organisation universelle où toutes les voix ont leur importance. Et c'est une organisation intellectuelle, donc, nous, on admet la contradiction, le débat contradictoire. Je crois que ce qui est important, c'est qu'on arrive à un consensus sur cette thématique majeure. Nous ne sommes pas là pour trancher en faveur d'un courant ou d'un autre, mais nous donnons des espaces d'expression aux États membres, à la société civile sur des sujets majeurs. Donc, cette organisation, c'est un espace de dialogue et de solidarité. Vous êtes un haut fonctionnaire de l'Unesco depuis plus de 30 ans. Que répondez-vous à ceux qui disent que vous êtes un apparatchik ? Ça existe encore ce mot « apparatchik » ? Je ne savais pas ça… Enfin… Disons que justement, du fait que je sois un homme du sérail, je préfère, qui a la connaissance de la maison, qui a été à des instances de direction au cours des quinze dernières années, je sais ce que l'on peut proposer, je sais où se trouvent les changements possibles et je sais ce qui peut se faire immédiatement. Alors votre adversaire, l'Égyptien Khaled El-Enany, il dit que lui, il vient de l'extérieur de cette organisation et qu'il a une expérience de terrain, puisqu'il a été ministre de la Culture de son pays. Est-ce que ce n'est pas une différence entre vous deux ? Moi, j'ai été ministre des Relations extérieures, l'équivalent, je ne sais pas, de l'Unesco, pendant quinze ans, et de la priorité Afrique. J'ai visité, j'ai parcouru plus de 100 pays en apportant des solutions en temps de paix, en temps de conflit, en Irak, en Jordanie, en Syrie, en Haïti, au Cambodge, aux grands moments des conflits, en Somalie, au Soudan. Donc, je crois que je sais ce que c'est que le multilatéralisme. Nous avons proposé des solutions au Rwanda après le génocide, au Burundi, au Congo. Et donc je pense que c'est réduire mon expérience en parlant d'apparatchik. Vous n'êtes candidat que depuis six mois, alors que votre adversaire, il l'est depuis plus de deux ans et il a recueilli le soutien de nombreux pays dans le monde arabe, en Europe, etc. Est-ce que vous n'allez pas à cette bataille avec un gros handicap ? Non, moi je ne crois pas. Je peux vous dire que moi, je suis candidat depuis 30 ans, depuis le premier jour que je suis rentré à l'Unesco. J'ai eu l'ambition un jour, et je suis modestement un modèle pour beaucoup de collègues, parce qu'on peut effectivement concevoir qu'un ressortissant d'un petit pays du Sud, sans être péjoratif, formé à l'intérieur de l'Unesco, peut accéder aux instances dirigeantes. On n'a pas besoin d'avoir été ministre de son pays pour diriger cette organisation. Et je ne crois pas avoir été en retard. Certains sont trop en avance. Mais je crois en la sagesse, en la lucidité des Etats membres pour choisir le meilleur candidat pour cette organisation. Mais l'Union africaine a déjà donné sa préférence, c'est pour votre adversaire… L'Union africaine a entériné une candidature, mais selon la loi, les Etats membres, ici à l'Unesco, ne sont pas appelés à élire un candidat de l'Union africaine. L'Union africaine ne vote pas, sinon on aurait eu un candidat du Mercosur, un candidat de l'Union européenne. Et je pense que j'ai légitimement le droit de me présenter candidat. Et quand on vous dit que l'Égyptien Khaled El-Enany part favori, qu'est-ce que vous répondez ? Ça ne me décourage pas, croyez-moi. Moi, je ne suis pas un candidat d'une région, d'un pays. Je suis candidat de toutes les nations, de tous les peuples. Et j'y vais avec la conviction parce que j'ai la passion de cette organisation et cette institution. À lire aussiSuccession à la tête de l'Unesco: «Les deux candidats rassurent par rapport à leurs capacités à diriger»
Alors que les campagnes électorales au municipale sont en cours partout au Québec, Jeff Fillion, en compagnie de Gerry, suggére aux électeurs de voter selon leurs convictions et orientations politiques et d'éviter le vote stratégique qui mène finalement à rien à long terme. Enregistré à RadioPirate le 29 septembre 2025. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 29 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Stéphane Lachance Chef du parti municipal Respect Citoyens discute avec Jeff et Gerry du début de la campagne électorale à Québec. https://www.respectcitoyens.org/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:01 - Dur d'être candidat - Dans le Si j'osais ce lundi matin il est question de candidat(s), de la gauche paloise, et de dialogue. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Professionnel libéral du secteur médical, Michael Gonzalez se présente sans étiquette politique, revendiquant cette position comme un atout pour "représenter l'étiquette colmarienne". Né à Colmar et ayant grandi dans plusieurs quartiers de la ville, il mise sur sa connaissance du terrain et son attachement à la ville. "J'aime ma ville, j'aime tous ces quartiers, je suis de ce quartier comme de l'autre", explique-t-il. Sa candidature s'articule autour du "vivre ensemble" et de la restauration de la confiance. L'un de ses projets concrets porte sur la revalorisation du quartier Saint-Joseph, qu'il considère comme "ayant une valeur patrimoniale symbolique très importante". Il propose notamment la création d'un marché de Noël autour du presbytère pour "reconnecter" cette zone avec le centre-ville et mieux gérer les flux touristiques. Il se dit ouvert au dialogue avec tous les partis politiques, tout en précisant qu'un rattachement partisan "irait à l'encontre de ma démarche d'unité". Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Le maire sortant, Eric Straumann, a confirmé sa candidature à sa réelection. Il revendique une candidature "logique, utile et de continuité pour que cette ville reste sereine et prospère". Fort d'un riche parcours politique (ancien maire de Houssen, ex-conseiller général, ancien député de la première circonscription du Haut-Rhin, ex-président du conseil départemental du Haut-Rhin et actuel président de Colmar Agglomération), il mise sur l'expérience et la continuité après un premier mandat marqué par la crise sanitaire. "Un mandat c'est très court, une commune comme Colmar c'est un paquebot qui prend du temps à être manoeuvré", justifie-t-il. Ses priorités pour un second mandat s'articulent autour du développement de l'attractivité territoriale, avec notamment le rachat par l'agglomération de la gare de marchandises pour créer de l'attractivité économique et de l'économie sociale et solidaire. Il souhaite poursuivre la régulation des flux touristiques, après avoir notamment mis en place une règlementation sur les meublés de tourisme qui a permis de "gagner 500 habitants au centre-ville depuis 5-6 ans". Parmi ses autres projets figurent l'aménagement de l'entrée de Colmar via la route de Neuf-Brisach en "très mauvais état", la révision intégrale de l'avenue Clémenceau, la poursuite du développement des pistes cyclables ou encore l'aménagement de l'entrée nord. Le maire sortant met également l'accent sur la création d'une société publique locale pour gérer le Parc des Expositions, dont la délégation de service public arrive à échéance. Eric Straumann cite comme réussite majeure de son mandat la piétonnisation de la Place de la Cathédrale. "C'était une décision compliquée à prendre que de piétonniser le centre-ville. Aujourd'hui, plus personne ne conteste cet aménagement qui a apaisé le centre-ville", explique-t-il. Lien vers l'article complet :Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Avocat colmarien depuis une vingtaine d'années, Christophe Roussel porte les couleurs du Parti socialiste après avoir été suppléant d'Aïcha Fritsch aux dernières élections législatives. "J'ai été désigné par la fédération du parti socialiste, comme étant la personne qui peut représenter la gauche socialiste, le socialisme démocratique à Colmar", explique ce dernier. Ses priorités incluent l'accélération de la rénovation des logements sociaux, qu'il considère comme un "challenge qui mérite d'être poursuivi". Il souhaite développer massivement la participation citoyenne aux décisions municipales, notamment par la mise en place d'un budget participatif. Il veut également développer des actions de sensibilisation dans les écoles, bibliothèques et centres de loisirs sur les violences intrafamiliales et le harcèlement scolaire. Il projette en plus des actions municipales de lutte contre les discriminations. Au sujet de la sécurité, il propose de créer des liens entre la police municipale et "des personnes qui seraient en quelque sorte le relais dans les cités", s'inspirant des briagdes de tranquilité citoyenne dans certaines autres villes. Concernant l'écologie, il propose d'associer davantage les citoyens aux projets d'espaces verts par des "jardins et chantiers participatifs". Sa candidature a pour objectif un "rassemblement républicain démocratique ayant comme but principal la justice, à la fois par rapport aux populations, l'intégration, la dignité des personnes et la justice entre tous les habitants colmariens". Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 29 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Sébastien Tarrago, Baptiste Desprez et Stéphane Pauwels pour 1h30 de débat. Au sommaire ce 27 septembre 2025 : - OM : 16 ans après, le titre est il jouable ? - PSG : orage passager ou saison galère en perspective ? 4 débats flashs de 20h à 20h30 avec Dave Apadoo : - Strasbourg : les ultras ont ils raison de continuer leur grève des encouragements ? - Giroud : est il aujourd'hui, à 39 ans, le meilleur 9 évoluant en L1 ? - Dembélé : le plébiscite des votants est il la preuve que c'est un grand joueur ou qu'il joue dans une grande équipe ? - trophée des champions au Koweït : y a-t-il plus d'avantages que d'inconvénients à délocaliser ce match ? Ecoutez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 27 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À 45 ans, Cabral Libii est l'un des candidats les plus jeunes à la présidentielle du 12 octobre au Cameroun. Mais ce n'est pas un néophyte. Il y a sept ans, à la précédente élection, il était arrivé troisième. Et aujourd'hui, pour lutter contre la fraude électorale, il appelle tous les électeurs à surveiller leur bureau de vote le jour du scrutin, comme au Sénégal il y a 18 mois. Que pense-t-il de l'initiative en faveur d'Issa Tchiroma, désigné par certains comme le « candidat consensuel de l'opposition » ? De passage à Paris, le chef du Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Cabral Libii : Celle sans doute par laquelle je commencerai, c'est le recouvrement des 11,7 milliards que Glencore, qui a spolié le pétrole camerounais pendant dix ans, a accepté de payer. Le recouvrement est bloqué maintenant par la corruption de quelques agents publics qui empêchent le recouvrement de cet argent dont le peuple a besoin justement pour résoudre les urgences. Et ces urgences, elles sont de quatre ordres. Nous avons déjà annoncé qu'une fois élus, nous donnerions deux milliards de francs CFA à chaque commune du Cameroun pour régler les urgences, les infrastructures notamment routières, en permettant aux communes d'acquérir des engins pour le faire, les urgences hospitalières pour relever le plateau technique des hôpitaux dans les communes, les urgences numériques et scolaires, puis les urgences alimentaires. Face au président sortant Paul Biya et à la machine électorale de son parti RDPC, est-ce que vous ne partez pas battu ? Absolument pas. Cette fameuse machine n'est pas redoutable par son projet, son efficacité et ses résultats. Elle est redoutable par la fraude électorale qui s'est sophistiquée d'année en année. Il y a quelques jours, nous avons rendu publique et c'est encore visible sur notre site internet www.cabral2025.com, nous avons démontré qu'il y a une réserve de deux millions de voix qui a été fabriquée par des manipulations algorithmiques. Des voix fictives ? Des voix fictives par des manipulations numériques. Et pour contrecarrer cela, il y a une seule solution : engager la responsabilité individuelle des électeurs. Ce que le Sénégal nous a donné comme enseignement, c'est que c'est la responsabilité individuelle de l'électeur qui fait tomber de vieux régimes. Il faut que chacun fasse sa part. Faire sa part, c'est être dans le bureau de vote le jour de l'élection, voter et surtout que les uns et les autres se rendent disponibles bénévolement pour surveiller le vote. Parce que si on n'est pas dans les bureaux de vote, ils vont travestir le résultat des urnes. Samedi dernier, l'ancien ministre Issa Tchiroma Bakary a été désigné « candidat consensuel de l'opposition » par un regroupement de partis dénommé Union pour le changement. Qu'est-ce que vous pensez de cette démarche ? Rien du tout. Pour nous, c'est un non-événement. Le mot consensus est un mot français qui signifie accord de volonté. Donc, vous et moi, dans ce studio, on peut faire consensus sur ce que nous voulons, mais encore faut-il que cela ait un impact réel. Ce que moi je sais, c'est que le projet que je porte fait consensus. Voilà le type de consensus que nous avons appelé « la vague orange », que nous avons soulevé au grand meeting de Kribi et qui a déferlé. Vous savez, nous sommes douze candidats. Je fais partie des cadets et l'une des choses que nous entendons constamment, c'est que : « Oui, vous les cadets, vous devez vous aligner derrière les aînés ». Nous leur disons d'accord, que les trois septuagénaires qui viennent juste après le nonagénaire s'entendent déjà, se coalisent déjà entre eux et puis nous aviserons. Ce d'autant que deux de ces septuagénaires sont issus pratiquement du même village, tout au moins du même département, celui de la Bénoué. À écouter aussi[Vos réactions] Présidentielle au Cameroun : quelle image vous renvoie l'opposition ? Vous pensez à Tchiroma et à Bello ? Absolument. Alors justement... Ils n'ont pas que ça en partage. Alors justement, cet appel que vous avez lancé aux trois septuagénaires, c'est-à-dire à Akere Mouna, Bello Bouba et Issa Tchiroma, ça n'a pas du tout plu à Issa Tchiroma, qui y a vu une façon de votre part de vouloir le mettre à la retraite. Il vous appelle à plus de respect, à plus d'humilité... Peut-on faire montre de plus d'humilité que de solliciter des aînés ? Qu'ils s'entendent déjà. C'est du respect. Tout ce que nous leur demandons, c'est que vous avez beaucoup de choses en partage. Certains d'entre eux ont servi le régime pendant 30 ans, d'autres durant 25 ans, puis ils décident à deux mois de l'élection présidentielle de se lancer. Ce n'est pas tout le temps que l'on voit des gens qui ont aussi servilement servi un régime se décider de le faire tomber deux mois avant une élection présidentielle. Et nous leur disons qu'il n'y a pas de soucis. Le peuple vous regarde parfois avec un regard suspicieux parce que ce n'est pas la première fois que vous allez de gauche à droite et que vous justifiez à chaque fois vos allées et venues. L'électeur camerounais, nous lui faisons confiance, est très lucide sur ce point. Mais vous le savez bien que Bello et Tchiroma, leur fief, c'est le nord et que le nord, ça compte un tiers des voix. Vous allez perdre des voix nécessairement, non, par rapport à 2018 où Bello et Tchiroma n'étaient pas candidats ? Écoutez, je sors de ce nord-là. Vous avez vu les milliers et les centaines de milliers de personnes qui sont venues à ma rencontre. Ces personnes-là ne suivent pas un nordiste. Ces gens-là m'ont dit : « Monsieur Libii, vous avez toujours été à nos côtés et à nos yeux, ce n'est pas parce que vous êtes né plus loin au sud que nous ne croyons pas en vous et pour nous, vous incarnez notre espérance et notre espoir ». Moi, je ne suis pas un ancien ministre avec de l'argent gardé ici ou là. Moi, je ne suis pas du vieux système où ils achètent des consciences et des voix, où ils payent des gens pour les réunir. Je suis donc conscient qu'il y a des gens qui sont candidats pour gagner le nord, mais moi, je suis candidat pour gagner l'élection nationale. À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary
Au Cameroun, Issa Tchiroma Bakary, ancien ministre de Paul Biya a été désigné par le Front du changement 2025, comme candidat "consensuel" d'une partie de l'opposition. Une désignation qui est pourtant loin de faire l'unanimité. On fait le point avec notre correspondant à Yaoundé, Marcel Amoko, et avec Hermine Patricia Tomaino Ndam Njoya, candidate à la présidentielle d'octobre.
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 15 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Paul Amar, journaliste - Jean-Pierre Cloez, Porte-parole pour la région Nord pour le syndicat Alliance Police - Dominique Rizet Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
A 10h, ce vendredi 5 septembre 2025, les GG : Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : "Jean-Michel Aulas candidat à Lyon, a-t-il ses chances ?".
Alexandre Stachtchenko, conférencier et expert du Bitcoin, s'est récemment présenté aux élections législatives partielles dans la 2ᵉ circonscription de Paris.Dans cette interview, il revient sur sa démarche, ses motivations et ses projets, en expliquant comment Bitcoin pourrait constituer un atout pour les Français.Rediffusion de l'émission du 2 septembre 2025.
Au Bénin, Romuald Wadagni, l'actuel ministre des Finances, a été désigné candidat de la coalition au pouvoir à l'élection présidentielle d'avril 2026. Que vous inspire le profil du dauphin de Patrice Talon ? Face à lui, qui pour incarner l'opposition ? Nous lançons le débat.
À neuf mois de la fin du mandat du chef de l'État au Bénin, l'héritier politique de Patrice Talon est désormais connu. Romuald Wadagni a été officiellement choisi dans la nuit de samedi à dimanche par des responsables des deux partis de la mouvance présidentielle et des personnalités influentes, selon des cadres de la coalition au pouvoir. Romuald Wadagni est ministre en charge de l'Économie et des Finances depuis l'arrivée au pouvoir de Patrice Talon en 2016.
durée : 00:03:12 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Eric Ciotti, candidat à la mairie de Nice ? Voilà une nouvelle qui ravit Daniel Morin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:12 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Eric Ciotti, candidat à la mairie de Nice ? Voilà une nouvelle qui ravit Daniel Morin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo affiche sa détermination. L'ancien président veut être candidat à la prochaine présidentielle malgré son absence de la liste électorale et une condamnation judiciaire. En attendant une éventuelle amnistie, il poursuit sa mobilisation sur le terrain. Son parti, le PPA-CI, vient d'achever une tournée entamée en janvier dans le district d'Abidjan.
Au Gondwana, la candidature d'Opposant Historique n'est pas facile à l'élection présidentielle. Elle est une chose trop sérieuse pour la laisser entre les mains de n'importe qui. Rediffusion du 24 mars 2025
Au Gondwana il y a un candidat plus important que tous les autres. Rediffusion du 21 janvier 2025
Ahoua Don Mello, un des vice-présidents du PPA-CI (le parti de Laurent Gbagbo), se lance dans la course à la présidentielle ivoirienne. "Une candidature de précaution", a t-il expliqué, puisque son président demeure inéligible. Mais en indépendant, puisque son parti ne le soutient pas.