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durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
durée : 00:47:04 - Les informés de franceinfo - Tous les dimanches, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet sur franceinfo.
Il est le troisième homme dans la course à la présidentielle polonaise, mais le premier chez les jeunes électeurs. Le candidat du parti d'extrême droite Konfederacja Sławomir Mentzen combine une vision sociétale très conservatrice à un programme économique très libéral. Sa vision devrait attirer près d'un jeune électeur sur trois ce dimanche 18 mai. De notre correspondant à Varsovie,Il fait partie de ces hommes politiques qui savent soigner leurs apparitions. Émergeant d'un nuage de fumée rouge et blanche, Slawomir Mentzen salue les centaines de Varsoviens massés sur la place de la Cour suprême polonaise. Au milieu de la foule, Krystian est déjà conquis par le candidat : « En tant que citoyen, je veux pouvoir rouler dans la voiture que je veux, je veux pouvoir porter une arme à ma ceinture, et je ne veux pas qu'un quelconque politique essaie de m'en empêcher. »C'est avant tout le côté libertarien du candidat qui a su convaincre le jeune étudiant en marketing. Agata, elle, ne sait pas encore pour qui elle va voter, mais elle est déjà convaincue par le personnage : « C'est le candidat le plus puissant en termes de caractère, il est sûr de lui et de ce qu'il dit, et si les jeunes veulent quelque chose de nouveau, ils vont vouloir quelqu'un qui a un fort caractère et qui n'a pas peur de s'affirmer. »La jeune indécise serait presque prête à sauter le pas, quitte à fermer les yeux sur la vision très conservatrice et nationaliste de Mentzen sur les questions sociétales : « Ce n'est pas le candidat dont je me sens le plus proche en termes de questions sociétales, mais son discours sur les questions économiques et financières me parlent davantage. Et je pense que c'est important, car les jeunes veulent pouvoir monter des entreprises et gagner de l'argent. »À lire aussiPologne: dernier débat très vif avant la présidentielle du 18 maiDésillusion des jeunes À 18 ans, Weronika s'apprête à voter pour la première fois, et pourrait se laisser tenter par lassitude, alors qu'elle s'oppose frontalement à certaines de ses promesses : « Je ne soutiens pas tous les points du programme de Mentzen. Par exemple, le fait qu'il veuille rendre les études payantes. Mais je veux aussi qu'il y ait d'autres alternatives qu'un gouvernement PO ou PiS, et que quelqu'un de nouveau puisse entrer dans la course. »Un sentiment de désillusion partagé par la plupart des Polonais d'une vingtaine d'années qui n'ont connu toute leur vie que l'alternance entre les gouvernements de Tusk et de Kaczynski. Alors chez Konfederacja, on a fait place nette à l'approche des élections, en prenant ses distances avec son fondateur. Il était notamment connu pour avoir déclaré que les femmes faisaient partie du patrimoine de leur mari, ou encore qu'il faudrait leur retirer le droit de vote. À 17 ans, Oliwia assure n'avoir rejoint les jeunesses du parti qu'après son éviction : « Je ne suis pas d'accord avec la majorité de ce qu'il a pu dire. Et en venant ici, je me suis rendu compte que la majorité des politiciens avec lesquels je parlais, n'ont absolument pas la même opinion. Maintenant, on a des députées et des eurodéputées chez Konfederacja. »Au mois d'avril, la moitié des jeunes électeurs comptait donner leur voix à Mentzen. Une proportion aujourd'hui divisée par deux, depuis que le candidat a qualifié le viol de simple « désagrément ».À écouter aussiLa sécurité en toile de fond de l'élection présidentielle en Pologne
Il est le troisième homme dans la course à la présidentielle polonaise, mais le premier chez les jeunes électeurs. Le candidat du parti d'extrême droite Konfederacja Sławomir Mentzen combine une vision sociétale très conservatrice à un programme économique très libéral. Sa vision devrait attirer près d'un jeune électeur sur trois ce dimanche 18 mai. De notre correspondant à Varsovie,Il fait partie de ces hommes politiques qui savent soigner leurs apparitions. Émergeant d'un nuage de fumée rouge et blanche, Slawomir Mentzen salue les centaines de Varsoviens massés sur la place de la Cour suprême polonaise. Au milieu de la foule, Krystian est déjà conquis par le candidat : « En tant que citoyen, je veux pouvoir rouler dans la voiture que je veux, je veux pouvoir porter une arme à ma ceinture, et je ne veux pas qu'un quelconque politique essaie de m'en empêcher. »C'est avant tout le côté libertarien du candidat qui a su convaincre le jeune étudiant en marketing. Agata, elle, ne sait pas encore pour qui elle va voter, mais elle est déjà convaincue par le personnage : « C'est le candidat le plus puissant en termes de caractère, il est sûr de lui et de ce qu'il dit, et si les jeunes veulent quelque chose de nouveau, ils vont vouloir quelqu'un qui a un fort caractère et qui n'a pas peur de s'affirmer. »La jeune indécise serait presque prête à sauter le pas, quitte à fermer les yeux sur la vision très conservatrice et nationaliste de Mentzen sur les questions sociétales : « Ce n'est pas le candidat dont je me sens le plus proche en termes de questions sociétales, mais son discours sur les questions économiques et financières me parlent davantage. Et je pense que c'est important, car les jeunes veulent pouvoir monter des entreprises et gagner de l'argent. »À lire aussiPologne: dernier débat très vif avant la présidentielle du 18 maiDésillusion des jeunes À 18 ans, Weronika s'apprête à voter pour la première fois, et pourrait se laisser tenter par lassitude, alors qu'elle s'oppose frontalement à certaines de ses promesses : « Je ne soutiens pas tous les points du programme de Mentzen. Par exemple, le fait qu'il veuille rendre les études payantes. Mais je veux aussi qu'il y ait d'autres alternatives qu'un gouvernement PO ou PiS, et que quelqu'un de nouveau puisse entrer dans la course. »Un sentiment de désillusion partagé par la plupart des Polonais d'une vingtaine d'années qui n'ont connu toute leur vie que l'alternance entre les gouvernements de Tusk et de Kaczynski. Alors chez Konfederacja, on a fait place nette à l'approche des élections, en prenant ses distances avec son fondateur. Il était notamment connu pour avoir déclaré que les femmes faisaient partie du patrimoine de leur mari, ou encore qu'il faudrait leur retirer le droit de vote. À 17 ans, Oliwia assure n'avoir rejoint les jeunesses du parti qu'après son éviction : « Je ne suis pas d'accord avec la majorité de ce qu'il a pu dire. Et en venant ici, je me suis rendu compte que la majorité des politiciens avec lesquels je parlais, n'ont absolument pas la même opinion. Maintenant, on a des députées et des eurodéputées chez Konfederacja. »Au mois d'avril, la moitié des jeunes électeurs comptait donner leur voix à Mentzen. Une proportion aujourd'hui divisée par deux, depuis que le candidat a qualifié le viol de simple « désagrément ».À écouter aussiLa sécurité en toile de fond de l'élection présidentielle en Pologne
Oui ou non ? À vous de voter ! Donnez votre avis et découvrez celui des autres internautes en répondant à la question du jour. Les résultats sont publiés sur la première page de notre quotidien Le Figaro. Vous retrouverez également sur cette page les autres questions posées par la rédaction numérique du Figaro pour débattre de l'actualité avec les lecteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans le podcast, on commente et analyse la candidature d'Alex Boissonneault, ancien journaliste de Radio-Canada, récemment choisi par le Parti Québécois pour l'élection partielle dans Arthabaska. On examine son parcours, y compris un épisode judiciaire datant de 2001 lié à son implication dans le groupe Germinal, et on revient en détail sur le jugement rendu à l'époque. On discute également de la réaction de Paul Saint-Pierre Plamondon aux informations partagées par Éric Duhaime à ce sujet.Dans la partie Patreon, on poursuit la lecture du document judiciaire lié à l'affaire Germinal, incluant le verdict du juge concernant les activités du groupe auquel Alex Boissonneault a été associé. On écoute aussi un extrait de l'entrevue d'Éric Duhaime avec Mario Dumont, diffusée ce matin, à propos de cette affaire. Enfin, on échange sur la position actuelle du Parti Québécois, la couverture médiatique entourant ce dossier, et on conclut avec le montage final de Joey sur l'intervention de Philippe Marcoux, du Conseil de presse, dans le podcast de Jerr Alain, What's Up Podcast.0:00 Intro1:08 Candidat du PQ au sombre passé11:00 Réaction de PSPP21:45 Nos commanditaires (Annonce de Joey)23:50 Document de 57 pages sur l'affaire Germinal33:52 À venir dans le Patreon
Partielles dans Arthabaska : l’animateur de Radio-Canada, Alex Boissonneault, se présente pour le Parti québécois. Éric Duhaime ne se réjouit pas du passé criminel du candidat péquiste ! Entrevue avec Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec et candidat pour l’élection partielle dans Arthabaska. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Juan Branco, Avocat et docteur en droit. Candidat à la présidentielle 2027.
Aujourd'hui, c'est au tour de Louis Sarkozy, auteur de "Napoléon Bonaparte : L'Empire des Livres" (Éd. Passés Composés), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
durée : 00:41:47 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - L'essai "Présidentiable ?" du politologue Christian Le Bart interroge, un demi-siècle après l'élection de François Mitterrand et à l'ère du populisme mondial, les critères de légitimité qui font d'une personnalité politique un potentiel président de la République. - réalisation : Luc-Jean Reynaud, Fanny Constans - invités : Christian Le Bart Politologue, professeur des universités en science politique; Blanche Leridon Essayiste, directrice éditoriale à l'Institut Montaigne.
C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.
Michel Kubler, prêtre assomptionniste et observateur avisé de la vie ecclésiale était l'invité de Valérie Dupont dans Matin Première. À l'ouverture du conclave, il évoque les défis majeurs auxquels l'Église catholique est confrontée. Face aux tensions internes et aux crispations identitaires, il plaide pour une Église fidèle à l'esprit du concile Vatican II, ouverte, synodale et à l'écoute des périphéries. Kubler souligne que le choix du prochain pape sera crucial : il devra poursuivre l'élan de réforme initié par François, sans céder aux forces de repli. Pour lui, l'avenir du catholicisme dépendra de sa capacité à conjuguer tradition et audace évangélique. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 03/05/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Martial Ze Belinga, économiste et sociologue ; Britta Sandberg, correspondante de “Der Spiegel” à Paris ; Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24 et le dessinateur de presse Nicolas Vadot. Le blocus de Gaza devant la justice internationale : un coup d'épée dans l'eau ?Cette semaine, la Cour internationale de justice s'est réunie à la demande d'une quarantaine d'États et d'organisations internationales, afin de statuer sur le blocus humanitaire imposé par le gouvernement israélien dans la bande de Gaza. Depuis le 2 mars, aucune aide n'est acheminée dans ce territoire où vivent plus de deux millions de Palestiniens. L'État hébreu se justifie en expliquant que l'aide humanitaire est détournée par le Hamas et certains ministres assument que cette stratégie est un moyen pour faire plier l'organisation terroriste palestinienne. Pourtant, le droit humanitaire international, qui régule les effets des conflits armés, l'interdit. Israël n'a pas participé aux audiences de la CIJ dénonçant une “persécution systématique” de sa part. Si les décisions de cette Cour sont juridiquement contraignantes, elle ne dispose pas de moyens pour les faire appliquer. Les Français sont-ils obsédés par leurs jours fériés ?Comme chaque 1er mai, les boulangeries étaient fermées en France mais, cette année, une proposition de loi s'est invitée dans le débat. Des sénateurs proposent que désormais, les boulangers aient le droit de vendre du pain en ce jour national de fête du travail. Les syndicats s'opposent à une telle mesure qui viendrait porter atteinte à une conquête sociale. Cette passe d'armes reflète l'importance des jours fériés en France, dont le maintien ou non revient régulièrement dans le débat public, notamment ceux du mois de mai qui sont nombreux. Certains estiment qu'ils sont une entrave à l'activité au moment où la France a besoin de recettes. D'autres considèrent que ces acquis ne doivent pas être remis en cause, qu'ils soient religieux ou républicains. Nous recevons Katia Boudoyan, directrice de l'Institut du monde arabe de Tourcoing où se tient l'exposition “Ya Rayi ! Une histoire de la musique Raï”, jusqu'au 27 juillet. La musique raï est longtemps restée cantonnée à son berceau, Oran et sa région, en Algérie. Mais, au début des années 1980, cette musique de révolte et de liberté franchit les frontières grâce aux enfants de l'immigration maghrébine et s'installe au sommet du Top 50 en France. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins allemands et leur gestion des déserts médicaux. Cette semaine, certains médecins français ont fait grève pour dénoncer une proposition de loi qui vise à réguler leur installation dans l'objectif de lutter contre les déserts médicaux. En Allemagne, cette régulation est en place depuis le début des années 1990 avec des résultats satisfaisants. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Mark Carney, le nouveau Premier ministre canadien. Candidat du Parti libéral, le même que son prédécesseur, il a remporté l'élection lundi 28 avril face au conservateur Pierre Poilievre, longtemps donné gagnant et associé à Donald Trump. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision italienne qui commémore les 80 ans de l'exécution du Duce, Benito Mussolini. Sa mémoire continue d'être honorée, entre vrais nostalgiques du fascisme et amateurs de gadgets plus ou moins décérébrés. Paola Puerari se demande pourquoi nous attendons de trouver l'âme sœur pour avoir des enfants ? Elle s'intéresse à la coparentalité, une nouvelle façon de faire famille. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi utilise-t-on encore de vieilles bandes magnétiques ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 03 mai 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Si Bâle accueille lʹEurovision cette année, la ville abrite également un fameux groupe de pop qui y a participé. En 2009, les Lovebugs avaient en effet surpris leur monde en défendant les couleurs de la Suisse à lʹEurovision en Russie. Ils y présentaient un titre de leur cru intitulé " The Highest Heights ", un morceau dans la veine de cette power pop basée sur des mélodies efficaces et des guitares saturées que le groupe pratique depuis ses débuts en 1994. Adrian Sieber est au micro dʹOlivier Horner.
Les électeurs roumains retournent dans les bureaux de vote ce dimanche 4 mai, cinq mois après l'annulation de l'élection présidentielle pour des soupçons d'ingérence étrangère. Călin Georgescu arrivé en tête du premier tour en novembre dernier, étant exclu du scrutin, c'est George Simion qui reprend le flambeau de l'extrême-droite roumaine. Cet ancien hooligan reconverti dans la politique bénéficie du soutien de l'administration Trump et ne cache pas son admiration pour le président américain. C'est sur les gradins des stades de football que George Simion se fait d'abord connaître et constitue les premiers réseaux qui l'amèneront à diriger l'extrême-droite roumaine. Car, avant de fonder le parti Alliance pour l'Unité Roumaine (AUR, ce qui signifie « or » en roumain), il dirige le groupe de supporter « ultra » de l'équipe nationale et se distingue par son goût de la provocation et des affrontements violents. « Il s'oriente ensuite vers la contestation du néo-communisme de l'ancien président Ion Iliescu et de ses conseillers, qu'il accuse d'avoir trahi la révolution roumaine de 1989, raconte Sergiu Miscoiu, professeur en Sciences politiques à l'Université de Kluj. Puis il fait de l'agitation pour l'union de la Moldavie avec la Roumanie, ce qui lui vaudra d'ailleurs d'être persona non grata en Moldavie. » Dernière étape de son avènement politique, décisif celui-là, la pandémie de Covid qui lui permet de fédérer toute une myriade de groupes anti-vaccination et anti-confinement. Aux élections de 2020, à la surprise générale, l'AUR remporte 9 % des voix. George Simion s'impose comme la figure montante d'une extrême-droite roumaine qui surfe sur le rejet des élites et des figures traditionnelles de la classe politique, dominée par les libéraux et les socialistes. Seconde chance Pour l'échéance électorale de 2024, George Simion choisit d'adopter une stratégie bien connue au sein de l'extrême-droite européenne : celle de la dédiabolisation. « Il polit son discours, adopte un profil plus présidentiable et noue des contacts à l'international, décrypte Sergiu Miscoiu. Il choisit de bannir du parti les éléments les plus radicaux, dont Călin Georgescu. » La stratégie ne réussit pas à George Simion, puisqu'il est distancé dans les urnes par l'homme qu'il a justement banni de son parti. Le candidat de l'AUR n'arrive qu'en quatrième position avec 13 % des suffrages tandis que son ancien allié, boosté par une campagne Tik-Tok aussi virale que virulente, arrive en première position avec 22 % des voix. La suite de l'histoire est connue : en raison de soupçons d'ingérence étrangère, l'élection est annulée. Călin Georgescu sera ensuite inculpé d'incitation à troubler l'ordre constitutionnel et de fausses déclarations sur ses comptes de campagne – et disqualifié pour le nouveau scrutin. Paradoxalement, ce que l'extrême-droite roumaine qualifie aussitôt de « coup d'État » va offrir une seconde chance à George Simion, qui reprend le flambeau et se présente une nouvelle fois au nom de ses électeurs, et de ceux de Georgescu.Un candidat « MAGA »Avec cette fois un nouvel élément qui pèse lourdement sur la campagne électorale : le retour à la Maison Blanche de Donald Trump. Car la nouvelle administration américaine, en particulier le vice-président J.D. Vance, prend fait et cause pour l'extrême-droite roumaine en dénonçant l'annulation de l'élection de novembre et la disqualification de Călin Georgescu. Un soutien retentissant qui ravit George Simion, malgré les débuts pour le moins erratiques de l'administration Trump. « Le fait que ces débuts soient chaotiques, aux yeux de George Simion, montre précisément que le milliardaire américain essaie de s'attaquer à des forces plus grandes et donc cela n'affaiblit pas le rattachement à Trump, pointe Florent Parmentier, secrétaire général du Cevipof, à Sciences-Po. George Simion ne voit d'ailleurs aucun inconvénient à voir le président américain « lâcher » l'Ukraine face à la Russie de Vladimir Poutine, lui-même s'étant élevé à plusieurs reprises contre l'aide militaire à Kiev. « Les valeurs conservatrices véhiculées par le mouvement MAGA (Make America Great Again) vont également dans le bon sens à ses yeux, décrypte Florent Parmentier. Car George Simion se pose lui aussi en pourfendeur du "wokisme" et de tout ce qui lui semble véhiculé et imposé par les élites européennes. »S'il accédait à la présidence à l'issue du second tour prévu le 18 mai prochain, George Simion pourrait ainsi adopter une politique similaire à celle d'un Viktor Orban, le très eurosceptique Premier ministre hongrois. Dans la limite, toutefois, des pouvoirs limités qu'offre à la présidence la Constitution roumaine. « Sans sortir de l'Union européenne, il pourrait contribuer à semer la "zizanie" à Bruxelles, estime le politologue Sergiu Miscoiu. Et tenter de nouer des contacts directs avec les États-Unis bien sûr, mais aussi avec la Turquie ou la Chine – grosso modo avec des pays qui sont hostiles à l'UE et plus largement à la démocratie libérale. » Pour l'heure, George Simion est annoncé largement vainqueur du premier tour qui aura lieu ce dimanche 4 mai, puisqu'il est crédité de 30 à 35 % des voix. Mais, au second tour, les choses s'annoncent nettement plus compliquées : le champion de l'extrême-droite roumaine sera vraisemblablement opposé au candidat unique du camp pro-européen, qu'il s'agisse du maire de Bucarest, Nicusor Dan, ou de l'ancien président du Sénat Crin Antonescu. À lire aussiPrésidentielle en Roumanie: «L'inquiétude» est le mot marquant de cette élection, dit Claudiu Năsui À lire aussiRevue de presse des Balkans: À la Une, la Roumanie rejoue sa présidentielle ce week-end
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
A 10h, ce mercredi 30 avril 2025, les GG : Fatima Aït-Bounoua, professeur de français, Antoine Diers, consultant, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent de : "Pas candidat en 2027", Hanouna s'est-il dégonflé ?
Cyril Hanouna fait taire les rumeurs sur une candidature
durée : 00:55:25 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi 29 avril autour d'Aurélie Herbemont et de Jean-Rémi Baudot.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 29 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : "Hanouna candidat en 2027 : vous y croyez ?".
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Olivier Truchot : Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de si oui ou non l'animateur Cyril Hanouna, sera candidat à la présidentielle en 2027 ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de si oui ou non l'animateur Cyril Hanouna, sera candidat à la présidentielle en 2027 ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la une du prochain numéro de Valeurs actuelles qui paraitra demain. Et cette question principale : Cyril Hanouna sera-t-il candidat à la prochaine présidentielle en 2027 ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 29/04/2025, il revient sur la une du prochain numéro de Valeurs actuelles. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Tugdual Denis, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Christophe Barbier et Anne de Guigné commentent la soirée des Molières, les suites du meurtre d'un fidèle dans une mosquée, le conclave qui désignera le prochain pape et la Une de Valeurs actuelles avec l'animateur Cyril Hanouna Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Daniel Riolo, journaliste RMC. Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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«Je n’avais jamais reçu de messages de haine avant d’annoncer mon passage en politique», confie Jeff Boudreault, comédien, campeur à l’émission “Sortez-moi d’ici” et candidat pour le Bloc québécois dans la circonscription de Brome-Missisquoi. Entrevue. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Quoi qu'on fasse, l'alpha et l'oméga de la vie politique au Gondwana, c'est l'élection présidentielle.
Quoi qu'on fasse, l'alpha et l'oméga de la vie politique au Gondwana, c'est l'élection présidentielle.
Elena Lasconi declară într-un interviu la RFI că nu se va retrage din alegerile prezidențiale. ”Ce fac eu este perfect logic”, spune candidata, care amintește că a scos ”din groapă” USR-ul, după alegerile locale și europarlamentare. Partidul i-a retras sprijinul la alegerile prezidențiale și a decis să-l susțină pe Nicușor Dan. Elena Lasconi, despre scandalul din USR: ”Trădarea nu este ușoară, credeți-mă. Nu știu dacă ați avut trădări în viața dvs., dar cred că orice om care a fost trădat măcar o singură dată în viața asta înțelege că nu e ușor, mai ales că sunt într-o luptă extrem de grea și eu m-am aruncat în foc pentru USR. Acum, ei mă împing pe mine”.Despre decizia ei de a rămâne în cursa electorală pentru alegerile prezidențiale din luna mai: ”Ce fac eu este perfect logic (...). Am reușit o performanță. Când erau în groapă, la 8%, atenție, în alianță, nu singuri, eu am reușit, cu toată nebunia și cu tot linșajul care a fost făcut în acele zile, după primul tur al prezidențialelor, să îi aduc la 12%. Sunt singurul candidat din zona asta proeuropeană care a reușit să scoată PSD și PNL la prezidențiale din cursă. Plus că am făcut un rezultat istoric pentru USR”.Despre colegii din USR, care i-au retras sprijinul: ”Ei sunt obișnuiți cu minciuna. Eu nu mint. Cuvântul meu este contract. Eu voi continua lupta”.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des propos du député LR, Laurent Wauquiez qui estime qu'il faut «enfermer les étranger dangereux sous OQTF» à Saint-Pierre-et-Miquelon.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:58 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Alors que Marine Le Pen a écopé d'une peine de quatre ans de prison (dont deux ferme), 100.000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire, l'avenir politique du parti d'extrême droite semble suspendu à la personne de Jordan Bardella. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Luc Rouban Directeur de recherche au CNRS à Sciences Po Paris; Pierre-Stéphane Fort Journaliste et réalisateur
durée : 02:29:13 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Olivier Guillard Chercheur-associé à l'Institut d'études de géopolitique appliquée, directeur de l'information chez Crisis24 et chargé de cours à l'EDHEC; Isabelle Méjean Economiste spécialiste du commerce international, professeure à Sciences Po et membre du Conseil d'analyse économique ; Luc Rouban Directeur de recherche au CNRS à Sciences Po Paris; Pierre-Stéphane Fort Journaliste et réalisateur
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'avenir du Rassemblement national.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Gondwana, la candidature d'Opposant Historique n'est pas facile à l'élection présidentielle. Elle est une chose trop sérieuse pour la laisser entre les mains de n'importe qui.