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C'est un disque qui commence au cimetière et qui se finit en serrant son enfant dans les bras. Pour son troisième album, Lenparrot a tout changé sans rien changer. Sa chambre et son ordinateur se sont métamorphosés en bergerie dans les Corbières et en groupe de musiciens et de musiciennes. Des textes en français, quand jusqu'alors c'est l'anglais qui avait souvent les préférences du Nantais. Le troisième album de Lenparrot ce sont 11 titres de pop intime et élégante où le trentenaire évoque ses peines et ses bonheurs. Avec ses complices alchimistes, ils ont su trouver comment dissoudre les tourments dans des suites d'accords délicates à travers lesquels filtre une douce lumière méditerranéenne, ce qui ne manque pas de sel pour un petit gars de l'Ouest. Garde la joie, tiré d'une chanson de l'ami Julien Gasc, a été le fil conducteur qui a guidé l'artiste et ses acolytes tout au long de la fabrication de cet album. Il n'est pas interdit d'y entendre un écho contemporain à « fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve » de Birkin et Gainsbourg. Mais impossible de réduire Lenparrot à une seule influence, et si vous êtes des fidèles de ses Mélodies en Zig Zag qu'il présente tous les mois sur Tsugi Radio, vous voyez bien ce que je veux dire. On préfèrera avoir avec lui une Conversation : Lenparrot est aujourd'hui l'invité de Place des Fêtes. Notre chroniqueur du jour c'est Olivier Forest qui nous parle de son enthousiasme pour la série La Mesias disponible sur Arte.
Enfant, le dimanche, c'est grimpe obligatoire à Fontainebleau pour Solenne...Puis elle stoppe 10 ans... jusqu'à ce moment où tout s'aligne : le mental, l'envie, les rencontres, l'objectif. Elle a 25 ans quand elle décide de s'y remettre, de déployer son talent et d'enfin assumer son “petit bras” aux yeux du monde !Elle se lance le pari un peu fou : participer à la Coupe du monde de para-escalade de Briançon de 2018. Elle terminera sur la 2nde marche du podium. Une arrivée dans le circuit aussi inattendue que spectaculaire.Aujourd'hui quadruple championne du monde, elle reste néanmoins une femme humble, qu'il est facile de faire douter, mais compte bien rester au top longtemps !Dans cet épisode, Solenne se confit sur son enfance, son attachement à l'esprit collectif de la grimpe, ainsi que sur ses ambitions pour les années à venir. Un moment solaire, doux et plein de puissance à la fois ! Son insta : https://www.instagram.com/solennepiret/Quelques repères :00:00:00 : Intro00:03:33 : Les 3 Moments00:07:35 : Comment te définis-tu ?00:10:13 : Choix de ses parents et période adolescente00:20:54 : La psychothérapie00:25:58 : La pression du haut-niveau00:34:08 : La communauté escalade00:46:36 : Son « équipe », ses pilliers : copain, grande soeur, O. Broussouloux, amis « hors escalade » // Ses modèles01:00:10 : Vivre de l'escalade ?01:02:40 : Para-escalade aux JOP ?01:03:55 : Les spots de rêves, bloc vs voie, plaisir vs compétition01:11:51 : Les projets de contenus ?01:14:00 : Child ?01:19:36 : Vieille Solenne ? Plus grande peur ?01:23:47 : Mauvais moments01:29:29 : Petit bonheur ? Plus grande fierté ? Dernier Fou rire ? Recommandations contenusModèles :Julien Gasc, Maureen Beck, Olivier Broussouloux / La Fabrique verticale https://lafabriqueverticale.com/fr/Nina Williams & Alex PuccioSponsorsThe North Face https://www.thenorthface.comScarpa https://world.scarpa.comVuarnet https://eu.vuarnet.com/ Arkose https://arkose.com/ Petzl https://www.petzl.com/FR/fr KleanKanteen https://www.kleankanteen.com/ Corum https://www.corum.fr/ LivreÀ la verticale de soi, Stéphanie Bodet : https://www.editionspaulsen.com/guerin/107-a-la-verticale-de-soi.html FilmsNina Caprez / Cédric Lachat :« Silbergeier » (2011) https://www.youtube.com/watch?v=AN5CDewKVdk « Orbayu » (2016) https://www.youtube.com/watch?v=J7QeAx8mn9A Production : Hold Up! AgencyRéalisation : Mathilde LaisneyMusique et mixage : HomeworkstudioIllustration : Matthieu ForichonCrédit photo : Mathis Dumas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:20:47 - La nouvelle scène France Bleu Occitanie - L'artiste est de retour avec un nouvel album intense...
durée : 00:05:08 - Dans la playlist de France Inter - par : Jean-Baptiste AUDIBERT, Julien Deflisque, Muriel Perez, Thierry Dupin - Au programme du jour, un artiste de la playlist Inter Julien Gasc et son album "Re Eff", Re pour Réitération, Eff pour Effacement.
Pour son 1er podcast, elle a choisi Extraterrien, cette semaine, j'ai l'honneur d'accueillir Solenne Piret.Dans cet épisode, je vous laisse découvrir une athlète tant impressionnante, qu'époustouflante.Solenne naît avec une agénésie, qui la prive de son avant-bras droit.Voulant cacher sa différence, à l'école, elle se décrit comme une élève assez discrète, timide, toujours accompagner de son écharpe pour cacher son bras.Le sport ? Elle n'en pratique par tellement, un peu le dimanche avec ses parents, grimpeurs amateurs.Jusqu'un beau jour où le déclic parvient… Elle entame une thérapie ! Elle comprend alors qu'elle doit s'accepter, qu'elle doit enlever son écharpe, qu'elle doit s'accepter pour être accepté.
durée : 00:05:22 - Dans la playlist de France Inter - Après l'album "L'appel de la forêt" salué par le public et la critique, et son E.P. de reprises de musique brésilienne "Serpentes" sortis il y a deux ans, Julien Gasc poursuit sa carrière solo, en explorant le cut-up et le jazz.
durée : 00:04:37 - Dans la playlist de France Inter - par : Jean-Baptiste AUDIBERT, Thierry Dupin, Muriel Perez, Julien Deflisque - Après l'album "L'appel de la forêt" salué par le public et la critique, et son E.P. de reprises de musique brésilienne "Serpentes" sortis il y a deux ans, Julien Gasc poursuit sa carrière solo, en explorant le cut-up et le jazz.
durée : 00:54:17 - Et je remets le son - par : Matthieu Conquet - On se demande bien quoi écouter dans la foule des sorties avant l'été : Bad Bunny, Perez, Lous & The Yakuza, Julien Gasc ou DJ Lycox. De l'art du glissement de genre ce soir, avec aussi une histoire de Sex Pistols. Et évidemment Depeche Mode.
Concert enregistre le 22/09/21 // Production : Campus FM Toulouse : www.campusfm.net // Boost 3000 est un quintet formé par de jeunes musiciens accomplis qui fonce dans le rayon pop music les yeux grands ouverts, et même parfois dans les bacs d'une certaine variété française, au sens où les Anglo-Saxons la vénèrent. Leur album, c'est des chansons un peu prog' et aventureuses, chantées à tue-tête par une joyeuse colonie de vacances toulousaine en visite à Paisley Park avec Michel Legrand comme mono. Ou c'est la bande-son d'une balade à vélo, ou à mobylette kitée, qui file sur une départementale, avec un garçon et une fille sans casque. On croit y entendre le cliquetis des changements de vitesse, ou le bruit des pistons, et sentir le vent dans ses cheveux. L'orage menace, parfois le ciel est chargé de nuages de chats et de chiens, mais rien ne gâche le plaisir de fendre l'air. Peut-être sont-ils passés devant la camionnette Stars 80, la tournée de 20 tonnes tombée dans le fossé mais ils ne l'ont pas vue. Leurs sept vignettes pop acidulées de moins de 3 minutes pourraient rappeler (en vrac) le Katerine du début, les BO des films de Jacques Demy, Brigitte Fontaine, Elli & Jacno, les Rita Mitsouko. Et bien sûr, Aquaserge et Julien Gasc, les grands frères… Le groupe est formé par les membres d'un collectif artistique toulousain appelé Collectif Métieràtisser. Valentin Lafon (guitare solo) et Kévin Colin (chanteur/guitariste) avaient envie d'écrire des chansons pop, accrocheuses et délicates (les Beatles semblaient être un bon exemple à suivre) mais avec des accords ou des métriques étranges, comme dans la musique d'Aquaserge ou certaines chansons pop progressives (dans la lignée du label Saravah). Valentin a demandé à Marion Josserand (chanteuse/claviers) et Arnaud Sontag (batterie), qui jouaient aussi dans un ensemble de free-jazz de rejoindre le groupe. Antonin Dupety (basse) était le coloc' de Kévin. La première fois qu'ils ont joué tous ensemble dans leur sous-sol, la magie a opéré ! (source : Modulor.tv) VISITEZ NOTRE NOUVEAU SITE WEB ! https://www.radiocampus.fr
Concert enregistre le 22/09/21 // Production : Campus FM Toulouse : www.campusfm.net // Boost 3000 est un quintet formé par de jeunes musiciens accomplis qui fonce dans le rayon pop music les yeux grands ouverts, et même parfois dans les bacs d'une certaine variété française, au sens où les Anglo-Saxons la vénèrent. Leur album, c'est des chansons un peu prog' et aventureuses, chantées à tue-tête par une joyeuse colonie de vacances toulousaine en visite à Paisley Park avec Michel Legrand comme mono. Ou c'est la bande-son d'une balade à vélo, ou à mobylette kitée, qui file sur une départementale, avec un garçon et une fille sans casque. On croit y entendre le cliquetis des changements de vitesse, ou le bruit des pistons, et sentir le vent dans ses cheveux. L'orage menace, parfois le ciel est chargé de nuages de chats et de chiens, mais rien ne gâche le plaisir de fendre l'air. Peut-être sont-ils passés devant la camionnette Stars 80, la tournée de 20 tonnes tombée dans le fossé mais ils ne l'ont pas vue. Leurs sept vignettes pop acidulées de moins de 3 minutes pourraient rappeler (en vrac) le Katerine du début, les BO des films de Jacques Demy, Brigitte Fontaine, Elli & Jacno, les Rita Mitsouko. Et bien sûr, Aquaserge et Julien Gasc, les grands frères… Le groupe est formé par les membres d'un collectif artistique toulousain appelé Collectif Métieràtisser. Valentin Lafon (guitare solo) et Kévin Colin (chanteur/guitariste) avaient envie d'écrire des chansons pop, accrocheuses et délicates (les Beatles semblaient être un bon exemple à suivre) mais avec des accords ou des métriques étranges, comme dans la musique d'Aquaserge ou certaines chansons pop progressives (dans la lignée du label Saravah). Valentin a demandé à Marion Josserand (chanteuse/claviers) et Arnaud Sontag (batterie), qui jouaient aussi dans un ensemble de free-jazz de rejoindre le groupe. Antonin Dupety (basse) était le coloc' de Kévin. La première fois qu'ils ont joué tous ensemble dans leur sous-sol, la magie a opéré ! (source : Modulor.tv) VISITEZ NOTRE NOUVEAU SITE WEB ! https://www.radiocampus.fr
Lucie Antunes é o “electrão livre” da nova cena musical electroacústica francesa. Em palco, experimenta, surpreende, propõe. Baterista e percussionista de formação clássica e contemporânea, a jovem artista inspira-se nos pioneiros do minimalismo para experimentar novos horizontes sonoros. Não tem medo de ir buscar coisas à rua para as integrar nas suas composições, como “ready mades” musicais que abalam códigos e notas académicas. Lucie Antunes é um dos nomes que sobe ao palco, a 13 de Novembro, do centro cultural Cenquatre, em Paris. Mas foi horas antes de encher a sala La Cigalle, no âmbito do festival MaMA, em Outubro, que a artista falou com a RFI sobre liberdade e música. “Sempre fui um electrão livre. Estive em orquestras e podia ter tido uma carreira com mais dinheiro e mais estabilidade, mas isso é uma falta de liberdade total para mim. Adoro a orquestra, mas há forçosamente um maestro que te diz o que deves fazer. Há também condições, nem é tanto o maestro que me incomoda, são as condições porque é muito académico e eu não sei fazer isso, preciso de liberdade, sou mesmo um electrão livre. A pop é porque sempre gostei, sempre ouvi, nomeadamente a musica electrónica – que é o que mais defendo – e gosto tanto da música clássica, como da electrónica, como da contemporânea, como da erudita.” Chamemos-lhe, então, o “electrão livre” da nova cena electroacústica musical francesa. Em palco, experimenta, surpreende, propõe. Entre veludo e estridências, entre chapas de metal e sons electrónicos. Lucie Antunes tem uma forte ligação a Portugal e um apelido que herdou do pai. Compreende a língua paterna mas prefere expressar-se em francês, muito mais natural quando quer falar de algo que também faz parte do seu ADN: a música. Baterista e percussionista de formação clássica e contemporânea, Lucie Antunes inspira-se nos pioneiros do minimalismo para experimentar novos horizontes sonoros. Não tem medo de ir buscar coisas à rua para as integrar nas suas composições, como “ready mades” musicais que abalam códigos e academismos. “Tento seguir o trabalho de John Cage na exploração de sonoridades. Procuro metais que não são instrumentos, mas que vão ajudar a explorar novas reverberações nas ressonância. Há toda uma pesquisa em torno do metal, por exemplo, para saber onde colocar o microfone porque também há todo um trabalho de microfones que vão fazer soar um dado instrumento. E se eu juntar o metal num conjunto com músicas electrónicas à volta, ele vai ocupar muito espaço e assim não se pode meter um simples micro, é preciso micro-sensores que se colam directamente e que não se deixam parasitar pelos sons exteriores. Tudo isto é uma pesquisa que faço com metais, como pedaços de chapa, com tubos. Depois, como no trabalho de John Cage, há a preparação dos instrumentos, por exemplo, vou colocar objectos em cima do vibrafone para o fazer vibrar. É realmente este trabalho que gosto de fazer. Por exemplo, tenho uma versão deste álbum com três músicos mas também com sete músicos e estou a trabalhar com uma tuba, que vamos usar no segundo disco, dentro da qual vamos pôr um microfone concebido especialmente para isto e depois vamos usar um pedal de efeitos. Isto são pesquisas de materiais. O John Cage não trabalhava com pedal de efeitos, o que eu tento é trabalhar com o que a pop, o rock trouxeram, mas sempre baseando-me no que aprendi a fazer no conservatório.” Lucie Antunes sublinha que não está aqui para inventar nada, simplesmente para continuar as pesquisas iniciadas pelos pais do minimalismo. “O meu principal objectivo não é inovar, ou procurar inovar. Eu acho é que não devemos hesitar em continuar as pesquisas que foram feitas pelos nossos antecessores ou então continuar o que eles fizeram. Por exemplo, há um artista que adoro, que se chama Chassol, com quem trabalhei também, e adoro o trabalho dele. Ele não esconde que as suas pesquisas se inspiram - como eu aliás - em Steve Reich com o lado vídeo e teclados. É muito importante. Podíamos dizer ‘Ai, ele copia o Steve Reich, mas isso já foi feito'. Isso não interessa. Que óptimo que haja artistas que o imitem. Eu tenho músicas que são mesmo baseadas em Steve Reich e não tenho problema nenhum em dizê-lo. Como sou super fã do trabalho dele, digamos que o amplifico. E isso foi difícil para mim porque no Conservatório há muitos códigos e coisas que não podemos fazer. Para sair disto, é quase preciso criar novas leis.” Depois do conservatório, a jovem artista trabalhou com nomes como Moodoïd, Aquaserge, Yuksek e Susheela Raman e apesar de se ter lançado a solo, em 2019, sempre se rodeou de colaborações com músicos como Chassol, Vincent Segal, Halo Maud, Julien Gasc, François and The Atlas Mountains… O primeiro álbum, intitulado Sergeï, surge em 2019 e é um trabalho que ela descreve como cinematográfico, com camadas de sons acústicos a vibrarem com batidas electrónicas, em crescendos poéticos e ritmos orgânicos que redundam em pausas catárticas. Uma música instrumental para quebrar fronteiras e géneros. “Eu diria que é um álbum mais cinematográfico, tem imensas imagens. O segundo vai ser muito mais terra a terra. Claro que há sempre imensas imagens na minha música porque não sei compor de outra forma. Mas penso que se compreende bem a ligação entre o primeiro e o segundo disco, não há nenhuma mudança radical porque isso não sei fazer, mas o primeiro era mais cinematográfico, talvez um pouquinho mais erudito porque havia mais ritmos assimétricos. Aqui brinquei menos com isso. No primeiro, havia uma pesquisa sonora muito intensa - no segundo também mas é completamente diferente. Vai ser mais metálico, com texturas bastante diferentes.” “Vamos gravá-lo no início de Novembro. Vamos gravar as novas músicas que estão escritas e todas as maquetes estão prontas. Vamos gravar e entrar numa etapa que eu adoro que é a construção das músicas. Há uma nova que tocamos ao vivo e ao tocá-la ao vivo também experimentamos tudo o que vamos poder fazer no estúdio. O primeiro álbum é bastante diferente do espectáculo ao vivo. Foi composto com muita precisão e no palco reorquestrámo-lo completamente. Agora, gostaria que o espectáculo e o disco se parecessem mais. Vai ser mais electrónico. Mais electrónico mas não forçosamente nos sons, mais numa espécie de transe. É o que posso dizer para já.”
Lucie Antunes é o “electrão livre” da nova cena musical electroacústica francesa. Em palco, experimenta, surpreende, propõe. Baterista e percussionista de formação clássica e contemporânea, a jovem artista inspira-se nos pioneiros do minimalismo para experimentar novos horizontes sonoros. Não tem medo de ir buscar coisas à rua para as integrar nas suas composições, como “ready mades” musicais que abalam códigos e notas académicas. Lucie Antunes é um dos nomes que sobe ao palco, a 13 de Novembro, do centro cultural Cenquatre, em Paris. Mas foi horas antes de encher a sala La Cigalle, no âmbito do festival MaMA, em Outubro, que a artista falou com a RFI sobre liberdade e música. “Sempre fui um electrão livre. Estive em orquestras e podia ter tido uma carreira com mais dinheiro e mais estabilidade, mas isso é uma falta de liberdade total para mim. Adoro a orquestra, mas há forçosamente um maestro que te diz o que deves fazer. Há também condições, nem é tanto o maestro que me incomoda, são as condições porque é muito académico e eu não sei fazer isso, preciso de liberdade, sou mesmo um electrão livre. A pop é porque sempre gostei, sempre ouvi, nomeadamente a musica electrónica – que é o que mais defendo – e gosto tanto da música clássica, como da electrónica, como da contemporânea, como da erudita.” Chamemos-lhe, então, o “electrão livre” da nova cena electroacústica musical francesa. Em palco, experimenta, surpreende, propõe. Entre veludo e estridências, entre chapas de metal e sons electrónicos. Lucie Antunes tem uma forte ligação a Portugal e um apelido que herdou do pai. Compreende a língua paterna mas prefere expressar-se em francês, muito mais natural quando quer falar de algo que também faz parte do seu ADN: a música. Baterista e percussionista de formação clássica e contemporânea, Lucie Antunes inspira-se nos pioneiros do minimalismo para experimentar novos horizontes sonoros. Não tem medo de ir buscar coisas à rua para as integrar nas suas composições, como “ready mades” musicais que abalam códigos e academismos. “Tento seguir o trabalho de John Cage na exploração de sonoridades. Procuro metais que não são instrumentos, mas que vão ajudar a explorar novas reverberações nas ressonância. Há toda uma pesquisa em torno do metal, por exemplo, para saber onde colocar o microfone porque também há todo um trabalho de microfones que vão fazer soar um dado instrumento. E se eu juntar o metal num conjunto com músicas electrónicas à volta, ele vai ocupar muito espaço e assim não se pode meter um simples micro, é preciso micro-sensores que se colam directamente e que não se deixam parasitar pelos sons exteriores. Tudo isto é uma pesquisa que faço com metais, como pedaços de chapa, com tubos. Depois, como no trabalho de John Cage, há a preparação dos instrumentos, por exemplo, vou colocar objectos em cima do vibrafone para o fazer vibrar. É realmente este trabalho que gosto de fazer. Por exemplo, tenho uma versão deste álbum com três músicos mas também com sete músicos e estou a trabalhar com uma tuba, que vamos usar no segundo disco, dentro da qual vamos pôr um microfone concebido especialmente para isto e depois vamos usar um pedal de efeitos. Isto são pesquisas de materiais. O John Cage não trabalhava com pedal de efeitos, o que eu tento é trabalhar com o que a pop, o rock trouxeram, mas sempre baseando-me no que aprendi a fazer no conservatório.” Lucie Antunes sublinha que não está aqui para inventar nada, simplesmente para continuar as pesquisas iniciadas pelos pais do minimalismo. “O meu principal objectivo não é inovar, ou procurar inovar. Eu acho é que não devemos hesitar em continuar as pesquisas que foram feitas pelos nossos antecessores ou então continuar o que eles fizeram. Por exemplo, há um artista que adoro, que se chama Chassol, com quem trabalhei também, e adoro o trabalho dele. Ele não esconde que as suas pesquisas se inspiram - como eu aliás - em Steve Reich com o lado vídeo e teclados. É muito importante. Podíamos dizer ‘Ai, ele copia o Steve Reich, mas isso já foi feito'. Isso não interessa. Que óptimo que haja artistas que o imitem. Eu tenho músicas que são mesmo baseadas em Steve Reich e não tenho problema nenhum em dizê-lo. Como sou super fã do trabalho dele, digamos que o amplifico. E isso foi difícil para mim porque no Conservatório há muitos códigos e coisas que não podemos fazer. Para sair disto, é quase preciso criar novas leis.” Depois do conservatório, a jovem artista trabalhou com nomes como Moodoïd, Aquaserge, Yuksek e Susheela Raman e apesar de se ter lançado a solo, em 2019, sempre se rodeou de colaborações com músicos como Chassol, Vincent Segal, Halo Maud, Julien Gasc, François and The Atlas Mountains… O primeiro álbum, intitulado Sergeï, surge em 2019 e é um trabalho que ela descreve como cinematográfico, com camadas de sons acústicos a vibrarem com batidas electrónicas, em crescendos poéticos e ritmos orgânicos que redundam em pausas catárticas. Uma música instrumental para quebrar fronteiras e géneros. “Eu diria que é um álbum mais cinematográfico, tem imensas imagens. O segundo vai ser muito mais terra a terra. Claro que há sempre imensas imagens na minha música porque não sei compor de outra forma. Mas penso que se compreende bem a ligação entre o primeiro e o segundo disco, não há nenhuma mudança radical porque isso não sei fazer, mas o primeiro era mais cinematográfico, talvez um pouquinho mais erudito porque havia mais ritmos assimétricos. Aqui brinquei menos com isso. No primeiro, havia uma pesquisa sonora muito intensa - no segundo também mas é completamente diferente. Vai ser mais metálico, com texturas bastante diferentes.” “Vamos gravá-lo no início de Novembro. Vamos gravar as novas músicas que estão escritas e todas as maquetes estão prontas. Vamos gravar e entrar numa etapa que eu adoro que é a construção das músicas. Há uma nova que tocamos ao vivo e ao tocá-la ao vivo também experimentamos tudo o que vamos poder fazer no estúdio. O primeiro álbum é bastante diferente do espectáculo ao vivo. Foi composto com muita precisão e no palco reorquestrámo-lo completamente. Agora, gostaria que o espectáculo e o disco se parecessem mais. Vai ser mais electrónico. Mais electrónico mas não forçosamente nos sons, mais numa espécie de transe. É o que posso dizer para já.”
Transmission (9/10) : les freaks c'est chic Jean-Baptiste Guillot se fait plus souvent appeler JB "Born Bad", du nom du label indépendant qu'il a lancé voici quinze ans : Born Bad Records. Ce gaillard patibulaire en surface vibre, dès qu'on le lance sur le sujet, d'une passion dévorante pour la musique (ainsi que pour la mécanique) et il travaille d'arrache-pied pour défendre ses convictions et ses obsessions. Il cultivait son look de motard rock'n'roll bien avant que la start-up nation ne s'en empare et que les ateliers de motos customisées n'envahissent Paris. Mais JB ne se la ramène pas trop là-dessus, sans doute parce qu'il a mieux à faire que de s'énerver sur la récupération d'un état d'esprit qui est le sien depuis son adolescence. Une adolescence passée entre rock garage et garage pour deux-roues, soirées binouze dans le 78 et week-ends épiques à Londres en scooter et bateau. C'est dans sa maison-bureau de Romainville qu'il nous raconte tout ça, ainsi que ses études moyennes mais efficaces, son expérience mitigée en major, et son goût prononcé pour l'archivage, la pédagogie et les artistes ingérables. Lui qui approche aujourd'hui la cinquantaine a monté Born Bad voici quinze ans pour éditer les disques des groupes fantastiques qu'il voyait se produire sur des petites scènes parisiennes : Frustration, Magnetix, Cheveu, La Femme ou Yussuf Jerusalem. Depuis, il a sorti des albums de Villejuif Underground, Forever Pavot, Star Feminine Band, Marietta, Julien Gasc, Usé, J.C. Satan, ou du projet Wild Classical Music Ensemble, réalisé avec des handicapés mentaux. Soit des artistes pas forcément simples à vendre, des sortes de losers magnifiques, des inadaptés de génie, dont la rage et la liberté créative suffisent à le convaincre qu'il faut les soutenir et les faire connaître d'un maximum d'auditeurs. En parallèle du catalogue de nouveautés qu'il constitue, JB développe aussi une vaste entreprise d'exhumation et de rééditions de disques du patrimoine francophone, oubliés ou méconnus, sortis depuis les années 60 : les références vont du rock'n'roll primitif aux tentatives de house d'avant la French Touch, en passant par des pépites antillaises ou mauriciennes, ou par les disciples hexagonaux de Kraftwerk. On citera en vrac des anthologies de Pierre Vassiliu, Francis Bebey ou François de Roubaix, les deux volumes de Chébran, consacrés au funk et à la disco de France à l'heure du virage rap, Mobilisation générale, sur le jazz spirituel et militant post-68, Bingo, qui réunit des tentatives purement opportunistes de punk-rock, ou encore les quatre volumes de Wizzz, l'anthologie fondatrice de cette politique d'archivage, qui explore les recoins de notre pop psychédélique. JB Guillot bosse principalement tout seul, mais son travail touche beaucoup de monde. Peu de gens transmettent aussi bien la passion, l'expérience, le désir de documenter les marges et les exceptions de notre histoire musicale. Pour nous, il tend l'oreille partout, cherche et recherche, fait le tri, édite et construit. Et le résultat, c'est qu'il offre aux auditeurs d'aujourd'hui et de demain une petite encyclopédie informelle, aussi belle à regarder qu'à écouter. Et pour Transmission il offre là une leçon de vie et d'attitude, et la preuve que le succès peut aller de pair avec une exigence autant éthique qu'artistique. Etienne Menu est journaliste musical, rédacteur en chef de la revue Audimat et du site Musique Journal. Le podcast TransmissionBrigitte Fontaine, Marsu (Bérurier Noir), Patrice Leconte, Pierre Lescure, Lio… Musiciens, écrivains, producteur ou directeur de chaîne, ils ont bousculé l'écriture, dynamité le rock, émancipé la chanson ou oxygéné la télé. Seuls ou en bande, dans une galaxie alors privée d'Internet, ils ont remué la France avec des rythmes nouveaux et des styles audacieux. Leurs trajectoires illustrent le bien-fondé de la révolte et de la quête de nouveauté. Ces pionniers de la pop culture se racontent dans Transmission, nouveau podcast mensuel coproduit par ARTE Radio et La Fab. – fonds de dotation agnès b. Archives et musiques originales enrichissent ces récits à la première personne, menés par des intervieweurs complices, mais pas trop, tels que Thomas Baumgartner, Laurence Garcia ou Étienne Menu. Un tête-à-tête d'une heure avec des parcours singuliers, défricheurs et inspirants pour réconcilier boomers et millennials. Enregistrements : 2020 - Voix, entretien, montage : Étienne Menu - Réalisation & mix : Arnaud Forest - Illustrations : Hermione Volt - Production : ARTE Radio et la Fab.
Aujourd'hui dans La Potion, Julien Gasc, le retour !Hier nous découvrions, à moitié stupéfait.e.s, que Julien Gasc s'y connaît vraiment très bien rayon potions : en mode apothicaire, le musicien français nous révélait les bienfaits de l'huile d'Harlam et les secrets de la rhodiola rosea. Dans cet épisode, Julien Gasc revient sur ses dons médiumniques, apparus lors de ses 33 ans : Julien Gasc voit les morts, et il nous raconte quelle relation il entretient avec les spectres qui le visitent une fois la nuit tombée...Dans l'histoire de Julien Gasc, il y a d'abord les forêts du Tarn, un accent granitique, la Montagne Noire, ses mystères. Ensuite, plus tard, à partir de 2005, il y a le groupe Aquaserge, un laboratoire d'expérimentation à géométrie variable, une communauté poétique et politique qu'on vous joue souvent sur Nova. Le collectif, c'est très important pour Julien Gasc, c'est même politique : ce qui explique qu'on l'ait vu aux côtés de Stereolab, Philippe Katerine, April March ou encore Bertrand Burgalat ces dernières années. En solo, le musicien aménage des clairières et des grottes dans sa musique et cultive, avec plus ou moins de watts, sa sensibilité des grands espaces : c'est particulièrement le cas dans son dernier album en date, magnifique, l'Appel de la Forêt, sorti en janvier dernier chez Born Bad Records. L'Appel de la Forêt, un disque à l'humus conçu comme une métaphore forestière et filée de l'amour, croisée avec un puissant discours social en phase avec l'époque. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans l'histoire de Julien Gasc, il y a d'abord les forêts du Tarn, un accent granitique, la Montagne Noire, ses mystères. Ensuite, plus tard, à partir de 2005, il y a le groupe Aquaserge, un laboratoire d'expérimentation à géométrie variable, une communauté poétique et politique qu'on vous joue souvent sur Nova. Le collectif, c'est très important pour Julien Gasc, c'est même politique : ce qui explique qu'on l'ait vu aux côtés de Stereolab, Philippe Katerine, April March ou encore Bertrand Burgalat ces dernières années. En solo, le musicien aménage des clairières et des grottes dans sa musique et cultive, avec plus ou moins de watts, sa sensibilité des grands espaces : c'est particulièrement le cas dans son dernier album en date, magnifique, l'Appel de la Forêt, sorti en janvier dernier chez Born Bad Records. L'Appel de la Forêt, un disque à l'humus conçu comme une métaphore forestière et filée de l'amour, croisée avec un puissant discours social en phase avec l'époque. On connaissait Julien Gasc le musicien, mais l'apothicaire ça non et pourtant il en connaît un rayon ! Dans son officine aujourd'hui : l'huile d'harlam, créé par les Hollandais à la fin de la peste noire, et la rhodalia rosae, connue pour ses propriétés adaptogènes. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:49:18 - Le mag de l'été du week-end - par : Emilie Blon Metzinger - Julien Gasc sera en live dans le Mag de l'été du week end aujourd'hui avec "La Trêve Internationale" extrait de son dernier album "L'Appel de la forêt " sorti le 31 janvier dernier. Puis nous retournerons au Bataclan pour un live de Lous and the Yakuza... Excellente écoute à tous ! - invités : Lous & the Yakuza, Julien GASC - LOUS & THE YAKUZA, Julien GASC
durée : 00:54:06 - Et je remets le son - par : Matthieu Conquet - Comédien, metteur en scène et directeur du TNB à Rennes, Arthur Nauzyciel nous parle de la musique qui habite sa vie et son théâtre, des Poppys à Elli & Jacno en passant par la polyphonie du 13ème siècle. Découvrez aussi les nouveautés de la Playlist Inter: Christine & The Queens, Gregory Porter, Rosalía et Julien Gasc - invités : Arthur Nauzyciel - Arthur NAUZYCIEL
On commence en France, comme à notre habitude avec Le Noiseur, Julien Gasc et Oklou.En Belgique, c'est le producteur Le Motel qui nous emmènera en Amérique du Sud.On remonte plus au Nord en Suède avec le futur album de Sir WasOn fait une petite pause en Angleterre avec le punk rock de The Lovely Eggs et le retour aux sources de SquarePusher.On s'envolera ensuite pour les Etats-Unis avec Jany Green et Deantoni Parks.
Prins Thomas - feel the love SgId - skyway More Lotion - rojo , sangre y fuego (NEW) Larry Phania - feels like (NEW) Durga Amata - the right time (NEW) Fred Pallem Le sacre du tympan Julien Gasc - chanson de l'odyssée (NEW) The Power of Three Vanessa Freeman - the time is coming (NEW) Lamyadon - comfort (NEW) Z 99 - welcome to paradise - nightfly version Ian Ossia - someone to count on (NEW) Sandy H - up to you - Frankstar 4Q mix (NEW) Half Pint - Mr.Landlord
Expand your Mind-FM 45 live@Beisl leiwand Wien 01 Photay - Inharmonious Slog (Astro Nautico) 2017 02 Scott Diaz - Girlfriend (D-Vine Sounds) 2017 03 Tom Trago - Digital Love (dekmantel) 2017 04 Justin Carter - The Leaves Fall (Mister Saturday Night Records) 2017 05 S3A - Emotional (Eureka!) 2018 06 Vendredi - Antara (Vendredi) 2016 07 Lauer - Vizzi Vazzi (Running Back) 2017 08 Detroit Swindle - Just not Norma (Heist Recordings) 2017 09 Nick Höppner - Relate (The black Madonna Rmx) (Ostgut Ton) 2015 10 Medlar - Shake it (For Discos Only) 2017 11 Bertrand Burgalat, Chassol, Julien Gasc, Herve Bouetard, David Forgione, Jeremie Orsel, Renaud Gabriel Pion, Stephane Salvi, Suzanne Debureaux - Dragon Boule (feat. Chasssol) (tricatel) 2015 12 Nicola Cruz - Danza de Vision (Multi Culti) 2017 13 Levi&Claus - La Boum Fatale (Sinnbus) 2018 14 Intimacy - It's how i feel (Innershades Remix) 2018 15 Fort Romeau – Secrets & Lies (Live At Robert Johnson) 2016 16 Louf - Outside my House (Valby Rotary) 2017 17 Jabru Feat. Joel Culpepper - Church (!K7 Records) 2014 18 Elton John – Rocket Man (I Think It's Going To Be A Long Long Time)(DJM Records) 1972
La Souterraine #32 Avec Biche en session en studio.HALO MAUD (Paris) > Du pouvoir > EP > Du Pouvoir > Michel Records.VICTIME (Montréal, Canada) > Tout est de ma faute > EP > Mon VR de rêve > Michel Records.JESUSLESFILLES (Montréal, Canada) > Mort de fatigue > LP > Le grain d'or.MENDELSON (Paris) > La Nausée > LP > Sciences Politiques > Ici d'Ailleurs.GU'S MUSICS (Tours) > Nox > LP > Happening / Autoproduction.LES MARQUISES (Lyon) > Vallées closes > LP > A Night Full Of Collapses > Ici d'Ailleurs.LA FELINE (Paris) > La femme du kiosque sur l'eau > LP > Triomphe > Kwaidan Records.SAHARA (Paris / Bordeaux) > Délice > Compilation > La Souterraine Vol.7.DOUBLETTE (Paris) > Diapason > Single > Autoproduction.BICHE : Session en direct.LE CHOIX DE BICHE.SERGE GAINSBOURG > Aéroplanes > LP > L'Homme à la tête de chou > Philips.ALAIN SOUCHON > Jamais content > LP > Jamais Content > RCA.JULIEN GASC > Luke Howard > LP > Kiss Me You Fool > Born Bad Records.EMMANUELLE PARRENIN (Paris) > collectage > Compilation > Walden #3.FACTEURS CHEVAUX (Saint Sulpice des Rivoires) > Divin déchet > LP > La maison sous les eaux > La Grange aux Belles.THE SANDCHERRIES (Paris) > Déferlante > EP > Memorabilia.GAETAN NONCHALANT (Rouen) > Billie Joe > Démo > Aventures Américaines > Autoproduction.Bonne écoute !
La Souterraine #32 Avec Biche en session en studio. HALO MAUD (Paris) > Du pouvoir > EP > Du Pouvoir > Michel Records. VICTIME (Montréal, Canada) > Tout est de ma faute > EP > Mon VR de rêve > Michel Records. JESUSLESFILLES (Montréal, Canada) > Mort de fatigue > LP > Le grain d’or. MENDELSON (Paris) > La Nausée > LP > Sciences Politiques > Ici d’Ailleurs. GU’S MUSICS (Tours) > Nox > LP > Happening / Autoproduction. LES MARQUISES (Lyon) > Vallées closes > LP > A Night Full Of Collapses > Ici d’Ailleurs. LA FELINE (Paris) > La femme du kiosque sur l’eau > LP > Triomphe > Kwaidan Records. SAHARA (Paris / Bordeaux) > Délice > Compilation > La Souterraine Vol.7. DOUBLETTE (Paris) > Diapason > Single > Autoproduction. BICHE : Session en direct. LE CHOIX DE BICHE. SERGE GAINSBOURG > Aéroplanes > LP > L’Homme à la tête de chou > Philips. ALAIN SOUCHON > Jamais content > LP > Jamais Content > RCA. JULIEN GASC > Luke Howard > LP > Kiss Me You Fool > Born Bad Records. EMMANUELLE PARRENIN (Paris) > collectage > Compilation > Walden #3. FACTEURS CHEVAUX (Saint Sulpice des Rivoires) > Divin déchet > LP > La maison sous les eaux > La Grange aux Belles. THE SANDCHERRIES (Paris) > Déferlante > EP > Memorabilia. GAETAN NONCHALANT (Rouen) > Billie Joe > Démo > Aventures Américaines > Autoproduction. Bonne écoute !
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