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Mobilisation d'Ingrid Betancourt et Didier Barbelivien
Mobilisation d'Ingrid Betancourt et Didier Barbelivien
L'Allemagne constate une forte augmentation des arrivées de jeunes Ukrainiens sur son territoire et cela commence à faire grincer des dents. Le chef du Parti conservateur bavarois appelle l'Union européenne à faire pression pour que Kiev interdise aux jeunes hommes de quitter l'Ukraine. Faisant valoir le rôle de l'Allemagne comme premier fournisseur européen d'aide militaire, Markus Söder martèle que l'Ukraine a besoin de « soldats ukrainiens pour défendre leur propre pays ». En août dernier, les autorités ukrainiennes ont assoupli la loi martiale, en permettant aux hommes de 18 à 22 ans de franchir la frontière, ce qui a entraîné une vague de départs. En Ukraine, la mesure ne fait pas consensus. De nos envoyés spéciaux à Kiev, Un terrain d'entraînement à une quinzaine de kilomètres du front dans le Donbass. À l'abri d'un sous-bois, de jeunes soldats s'entraînent au pilotage de drones. Lorsqu'on lui demande quels sont les défis les plus importants que son équipe doit relever, Vova répond sans détours : « Ce qui manque le plus ce sont les gens, on manque de personnes normales, équilibrées, qui veulent faire quelque chose et qui prennent leur activité au sérieux. Il y a très peu de gens. » Une réglementation qui fait débat Pour faire face au manque d'hommes dans l'armée, plusieurs partenaires occidentaux de l'Ukraine, les États-Unis en tête, ont longtemps plaidé pour un abaissement de l'âge de la mobilisation, aujourd'hui fixé à 25 ans. Mais les autorités ukrainiennes s'y sont toujours refusées. À l'inverse, elles ont décidé d'assouplir la loi martiale, en autorisant les 18-22 ans à franchir la frontière. Une mauvaise décision, selon l'opérateur de drones Mikhailo, alias « Mamba » : « Ceux qui partiront ne reviendront pas. Personnellement, je n'aurais pas adopté une telle loi. Parce que le résultat, c'est que tous ceux qui auraient pu venir nous prêter main-forte vont partir. Or, si on unissait nos forces, on pourrait sans doute stopper les Russes. » La nouvelle loi vise notamment à endiguer les départs de jeunes garçons de 17 ans. Ils étaient nombreux à quitter l'Ukraine avant d'avoir terminé le lycée pour ne pas se retrouver coincés dans le pays à leur majorité. Mais des observateurs redoutent que cette réglementation ne provoque un exode massif de jeunes hommes. Maksim, étudiant en médecine de 21 ans, a déjà vu plusieurs jeunes de son entourage partir à l'étranger après l'adoption de cette loi, dont son meilleur ami : « Il est parti à l'étranger en disant qu'il ne reviendrait que lorsque la guerre serait terminée. Il dit que tant qu'il y a la guerre, il ne veut pas prendre de risque. Il me semble que ça n'est pas bien, parce qu'on va finir par ne plus avoir d'armée. » Une mobilisation en question Cette loi aura-t-elle des conséquences militaires ? Aura-t-elle une influence sur la capacité de l'armée ukrainienne à mobiliser dans les années qui viennent ? Le député d'opposition Oleksiy Honcharenko ne le pense pas : « Tous ceux qui voulaient quitter l'Ukraine, l'ont déjà fait de toute façon, par des moyens illégaux. Cette loi s'applique aux jeunes jusqu'à 22 ans. Or, en Ukraine, la mobilisation, c'est à partir de 25 ans. Il n'y a donc aucune influence directe sur la mobilisation, pas même en théorie. Il y a en revanche un point avec lequel je suis d'accord avec nos militaires : nous avons un très mauvais processus de mobilisation. Malheureusement, rien n'est fait pour inciter les gens à s'engager dans l'armée. » Pour tenter d'attirer des recrues motivées, l'armée ukrainienne a mis en place en février dernier un contrat assorti d'incitations financières pour les jeunes de 18 à 24 ans, sur la base du volontariat. Mais le succès escompté n'est pas au rendez-vous. Sur le front, les soldats attendent toujours la relève.
L'Allemagne constate une forte augmentation des arrivées de jeunes Ukrainiens sur son territoire et cela commence à faire grincer des dents. Le chef du Parti conservateur bavarois appelle l'Union européenne à faire pression pour que Kiev interdise aux jeunes hommes de quitter l'Ukraine. Faisant valoir le rôle de l'Allemagne comme premier fournisseur européen d'aide militaire, Markus Söder martèle que l'Ukraine a besoin de « soldats ukrainiens pour défendre leur propre pays ». En août dernier, les autorités ukrainiennes ont assoupli la loi martiale, en permettant aux hommes de 18 à 22 ans de franchir la frontière, ce qui a entraîné une vague de départs. En Ukraine, la mesure ne fait pas consensus. De nos envoyés spéciaux à Kiev, Un terrain d'entraînement à une quinzaine de kilomètres du front dans le Donbass. À l'abri d'un sous-bois, de jeunes soldats s'entraînent au pilotage de drones. Lorsqu'on lui demande quels sont les défis les plus importants que son équipe doit relever, Vova répond sans détours : « Ce qui manque le plus ce sont les gens, on manque de personnes normales, équilibrées, qui veulent faire quelque chose et qui prennent leur activité au sérieux. Il y a très peu de gens. » Une réglementation qui fait débat Pour faire face au manque d'hommes dans l'armée, plusieurs partenaires occidentaux de l'Ukraine, les États-Unis en tête, ont longtemps plaidé pour un abaissement de l'âge de la mobilisation, aujourd'hui fixé à 25 ans. Mais les autorités ukrainiennes s'y sont toujours refusées. À l'inverse, elles ont décidé d'assouplir la loi martiale, en autorisant les 18-22 ans à franchir la frontière. Une mauvaise décision, selon l'opérateur de drones Mikhailo, alias « Mamba » : « Ceux qui partiront ne reviendront pas. Personnellement, je n'aurais pas adopté une telle loi. Parce que le résultat, c'est que tous ceux qui auraient pu venir nous prêter main-forte vont partir. Or, si on unissait nos forces, on pourrait sans doute stopper les Russes. » La nouvelle loi vise notamment à endiguer les départs de jeunes garçons de 17 ans. Ils étaient nombreux à quitter l'Ukraine avant d'avoir terminé le lycée pour ne pas se retrouver coincés dans le pays à leur majorité. Mais des observateurs redoutent que cette réglementation ne provoque un exode massif de jeunes hommes. Maksim, étudiant en médecine de 21 ans, a déjà vu plusieurs jeunes de son entourage partir à l'étranger après l'adoption de cette loi, dont son meilleur ami : « Il est parti à l'étranger en disant qu'il ne reviendrait que lorsque la guerre serait terminée. Il dit que tant qu'il y a la guerre, il ne veut pas prendre de risque. Il me semble que ça n'est pas bien, parce qu'on va finir par ne plus avoir d'armée. » Une mobilisation en question Cette loi aura-t-elle des conséquences militaires ? Aura-t-elle une influence sur la capacité de l'armée ukrainienne à mobiliser dans les années qui viennent ? Le député d'opposition Oleksiy Honcharenko ne le pense pas : « Tous ceux qui voulaient quitter l'Ukraine, l'ont déjà fait de toute façon, par des moyens illégaux. Cette loi s'applique aux jeunes jusqu'à 22 ans. Or, en Ukraine, la mobilisation, c'est à partir de 25 ans. Il n'y a donc aucune influence directe sur la mobilisation, pas même en théorie. Il y a en revanche un point avec lequel je suis d'accord avec nos militaires : nous avons un très mauvais processus de mobilisation. Malheureusement, rien n'est fait pour inciter les gens à s'engager dans l'armée. » Pour tenter d'attirer des recrues motivées, l'armée ukrainienne a mis en place en février dernier un contrat assorti d'incitations financières pour les jeunes de 18 à 24 ans, sur la base du volontariat. Mais le succès escompté n'est pas au rendez-vous. Sur le front, les soldats attendent toujours la relève.
La mobilisation pour aller combattre les Romains 02 by XamSaDine
L'élection en Côte d'Ivoire se tient ce samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont le président sortant, Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. Son parti, le RHDP, espère l'emporter par un « coup KO ». Mais comme tous les autres partis, le RHDP se confronte à une donnée : la question de la mobilisation. Le ministre Amadou Coulibaly, par ailleurs Directeur régional adjoint de campagne du Poro, répond aux questions de Bineta Diagne. RFI : La campagne bat son plein, mais il y a aussi quelques mouvements de protestations sporadiques qu'on a pu voir dans le pays. Comment peut-on garantir que l'élection sera calme et apaisée ce samedi ? Amadou Coulibaly : J'ai lu avec beaucoup d'intérêt le bilan de l'appel à manifester qui a été fait par un des auteurs de cet appel. Mais il y a à peine six localités qui ont été concernées sur les 111 départements et 201 communes que la Côte d'Ivoire compte. Donc, ça reste très marginal et l'ordre est rétabli de façon quasi systématique par les forces de l'ordre qui interviennent de façon conventionnelle. Plutôt que d'interdire, est-ce que ce n'était pas plus simple d'encadrer et de protéger les manifestants, comme le suggère l'ONG Amnesty International ? En toute chose, il faut que force reste à la loi. À partir du moment où c'est une décision qui a été arrêtée par le Conseil constitutionnel, le gouvernement a estimé que les manifestations visant à dénoncer cette décision n'étaient pas autorisées. Jusqu'à aujourd'hui, les principaux partis de l'opposition réclament encore le dialogue. Qu'est-ce qui bloque ? On se pose des questions. L'élection aura lieu le 25. Quel serait le but d'un dialogue au moment où le processus électoral est lancé ? Mais avez-vous pensé à la suite ? Après les élections, comment comptez-vous apaiser les esprits au sein de l'opposition ? Parce que ça crée des frustrations… Les frustrations, vous les connaissez, elles sont venues du fait que certains candidats de l'opposition qui n'étaient pas éligibles ont posé leur candidature. Le Conseil constitutionnel a fait son travail. Je reste persuadé que, pour les élections à venir, avec tous les cadres qui existent dans les différents partis qui ont envie de compétir, tous ceux qui, parmi eux sont éligibles, poseront leur candidature. Le débat ne se posera plus de la même façon. Sur le terrain, quasiment tous les cadres du RHDP insistent pour que les militants aillent voter ce samedi. Est-ce que vous avez un doute aujourd'hui sur la mobilisation des électeurs ? Nous n'avons pas de doute. La loi électorale permet de retirer sa carte d'électeur le jour même de l'élection. Ce que nous faisons au RHDP et c'est de demander aux électeurs de retirer leur carte dès à présent afin de savoir dans quel bureau de vote ils sont affectés, ça rend le vote plus efficace. Mais nous sommes persuadés que, pour ce qui nous concerne en tout cas, nous aurons une bonne mobilisation de nos électeurs. Vous n'avez pas une crainte que les électeurs, en tout cas vos électeurs, se disent que tout est plié d'avance, inutile de se déplacer samedi ? Non du tout, puisque nous avons un challenge. C'est nous qui avons demandé au président Ouattara d'être candidat et c'est à nous de démontrer au président Ouattara que nous voulions vraiment qu'il soit candidat. Et cela passe par le plébiscite que nous devons lui offrir. Un des arguments présentés par le président au moment de l'annonce de sa candidature, c'est de maintenir la stabilité dans le pays. Beaucoup de choses ont été faites sur le plan de la sécurité. Qu'est-ce que vous comptez faire de mieux ou de plus ? Nous allons continuer à intensifier les actions qui vont créer ce sentiment de sécurité, ou plutôt renforcer ce sentiment de sécurité qu'ont les Ivoiriens. La Côte d'Ivoire est entourée de pays qui sont eux-mêmes débordés par les questions de terrorisme. Il n'y a plus forcément de coopération aujourd'hui avec le voisin burkinabè. Comment comptez-vous faire pour rétablir le dialogue et donc aussi la coopération ? Le dialogue, quoi qu'on dise, n'a jamais été formellement rompu. Nos voisins ont toujours des représentations diplomatiques en Côte d'Ivoire. Ça permet de montrer que, au moins de façon diplomatique, le dialogue est maintenu. Maintenant, pour ce qui concerne notre pays, évidemment, nous renforçons la sécurité à nos frontières pour éviter que nous puissions avoir des infiltrations. Mais sans patrouilles mixtes, ça reste quand même un frein dans votre dispositif ? Nous avons eu à mener ensemble beaucoup d'opérations conjointes. C'est vrai que cela rendait plus efficace la sécurisation de nos frontières respectives. Mais aujourd'hui, en attendant que les choses se stabilisent et que nous reprenions donc cette coopération efficiente et efficace en termes de sécurité, nous avons le devoir de protéger le territoire ivoirien. Et c'est ce à quoi le chef de l'État s'attelle. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: quel bilan politique pour Alassane Ouattara?
durée : 00:26:13 - Cancer du sein - Octobre rose - 52 % de femmes dépistées ! Un chiffre important quand on sait que 9 femmes sur 10 guérissent quand le cancer est dépisté tôt. André Maghakian, médecin et président de la Ligue contre le cancer 26, revient sur le dépistage, la prévention, les progrès médicaux, les soins de support… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Hausse des délits liés à la drogue : le MAMD tire la sonnette d'alarme et appelle à la mobilisation citoyenne by TOPFM MAURITIUS
049-La mobilisation pour aller combattre les Romains by XamSaDine
Animée par la journaliste chez 20 Minutes et autrice du livre Militants écologistes sous haute surveillance, quand l'activisme est mis en péril (Édition du Nid-de-pie, octobre 2025) Emilie Petit, lea militant·e pour Europalestine et Extinction Rebellion Cha, la médecin d'Alliance Santé planétaire Assemblée pour des Soins Antiracistes et Populaires Marie Guirguis, la journaliste spécialiste des questions policières, des armes et des droits humains chez Disclose Ariane Lavrilleux, l'infirmière militante pour les droits des palestinien·ne·s Imane Maarifi, l'activiste chez Palestine Action France Rosemonde ainsi que le militant syndical chez Sud Education 92 et du collectif des Réprimé·e·s de l'Education nationale Kaï Terada ont échangé sur leur parcour, leur vécu de la répression chez elleux et leurs proches, ainsi que les leviers d'action actuel dans le milieu militant, de l'engagement citoyen et du journalisme.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ancien ambassadeur de France aux États-Unis et en Israël, Gérard Araud vient de publier "Leçons de diplomatie : la France face au monde qui vient" chez Tallandier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La mobilisation pour aller combattre les Romains by XamSaDine
durée : 00:02:40 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Les Soulèvements de la Terre et une vingtaine d'organisations appellent à une grande mobilisation ce week-end près de Compiègne contre ce canal. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Face aux bombardements israéliens et à la situation humanitaire dramatique à Gaza, la diaspora palestinienne du Chili — la plus importante au monde en dehors du monde arabe — se mobilise. Un reportage de notre correspondante Naïla Derroisné. Dans les rues de Santiago, des descendants de migrants palestiniens manifestent régulièrement devant le palais présidentiel pour demander au gouvernement de rompre ses relations avec Israël. Mais au-delà des rassemblements, des initiatives solidaires fleurissent, comme ce dîner-spectacle organisé dans une vieille maison du centre de la capitale, auquel notre correspondante a pu participer. Les fonds récoltés lors de cette soirée seront envoyés directement à une famille vivant dans la bande de Gaza. Parmi les organisateurs, Eduardo Asfura, membre du collectif La Mesa Palestina, incarne cette solidarité héritée de l'histoire familiale. Son père, originaire de Bethléem, est arrivé au Chili en 1929. Pour Eduardo, aider Gaza est un devoir moral : il estime que seule la mobilisation de la société civile peut freiner la «machine de mort israélienne». Une autre participante au diner, Marlen, est elle aussi issue d'une famille palestinienne. Elle partage cette nostalgie mêlée de fierté. Ses liens avec la Palestine sont forts, même si elle n'y a jamais vécu. Les récits familiaux — les oliviers, la terre, la joie d'autrefois — nourrissent un sentiment d'appartenance et de tristesse face à l'impossibilité de connaître ce pays en paix. Haïti Avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse, on revient sur la tournée internationale de Laurent Saint Cyr. Le président du Conseil présidentiel de transition s'est rendu aux États-Unis, il enchainera avec le Japon. Aucune information officielle n'a été fournie sur les objectifs de ce déplacement, selon Alterpresse qui note toutefois que «ce départ intervient au lendemain d'un appel pressant des États-Unis au gouvernement haïtien pour qu'il présente sans délai un plan et un calendrier électoral». Les dernières élections se sont tenues en 2016. Selon Washington, la «prolongation du provisoire comme un facteur aggravant de la crise politique et sécuritaire, alors que le mandat du CPT s'achève le 7 février 2026». Selon des experts, «un délai d'au moins huit mois serait nécessaire pour l'organisation d'un scrutin crédible, dans un contexte où l'insécurité reste endémique», estime Alterpresse. Donald Trump met fin à ses efforts diplomatiques avec le Venezuela Selon The New York Times, cette décision «ouvre la voie à une possible escalade militaire contre les trafiquants de drogue ou contre le gouvernement de Nicolás Maduro». Jusqu'à récemment, c'est Richard Grenell — envoyé spécial du président - qui menait des discussions avec Nicolás Maduro et d'autres hauts responsables vénézuéliens. Mais, selon des sources américaines citées par le journal, lors d'une réunion avec des chefs militaires jeudi dernier, Donald Trump l'aurait appelé pour lui ordonner de mettre fin à toute initiative diplomatique, y compris ses échanges avec le président vénézuélien. D'après le journal, Washington aurait déjà élaboré plusieurs scénarios d'opérations militaires au Venezuela, dont certains viseraient à forcer le président Maduro à quitter le pouvoir. L'offensive de Donald Trump dépasse désormais le cadre diplomatique, analyse El Nacional. Washington traiterait Nicolás Maduro non plus comme un chef d'État, mais comme un criminel, à la tête d'un cartel de drogue : le fameux «Cartel de los Soles». La crise politique en France vue des Amériques Presque tous les journaux du continent en parlent. Pour Folha de São Paulo, la France est devenue «ingouvernable». Le quotidien canadien La Presse parle, lui, d'un «cauchemar dont le pays semble incapable de se réveiller». Le New York Times évoque des parallèles avec les États-Unis de 2016, quand l'épuisement du système politique a favorisé l'élection de Donald Trump. Avec une popularité en chute libre et dix-huit mois restants à l'Élysée, Emmanuel Macron se retrouve isolé — pris en étau entre une extrême droite qui réclame des élections anticipées et une gauche qui exige sa démission. Pendant ce temps, écrit le journal américain, «la France danse sur les ruines de ses institutions». Journal de la 1ère Un conseiller municipal guyanais accusé de viol et d'agression sexuelle.
Au mois de novembre se tiendra la COP de Belém, dix ans après l'accord de Paris. Dans un contexte porté par le climato-scepticisme, des acteurs importants de la finance se sont retirés des grandes alliances Net Zero, engagées dans la lutte contre le changement climatique. Difficile dans ces conditions de tenir les ambitions : lever 100 milliards de dollars chaque année pour faire face aux défis du changement climatique. Dans cette équation, le secteur privé a son rôle à jouer. Devant un parterre de banquiers, le Kényan, James Mwangi n'hésite pas à décrire les impacts du changement climatique dans son village. Des abeilles et des animaux qui ont disparu ou encore des cours d'eau à sec. « Le secteur privé doit mener cette guerre contre le changement climatique. En tant que banque, nous nous efforçons de donner au secteur privé les moyens de prendre les commandes », assure-t-il. Les entrepreneurs pointent régulièrement les lenteurs des mécanismes et le manque de souplesse. James Mwangi le directeur d'Equity Bank, l'un des grands groupes bancaires d'Afrique de l'Est, l'assure : il aspire à faire bouger les choses. « Ce que nous avons fait, c'est développer des solutions innovantes qui permettent en particulier aux micro-entreprises et les aux agriculteurs à s'adapter au changement climatique et d'en atténuer les effets », plaide-t-il. « L'année dernière, nous avons été désignés par la SFI comme la banque ayant accordé le plus grand nombre de prêts d'atténuation et d'adaptation dans le monde », met en avant le banquier. Pour développer l'investissement privé dans le domaine, Marissa Drew, responsable du développement durable de la Standard Chartered, estime que les États doivent être moteurs : « Si vous définissez une ambition pour un pays, les acteurs en dessous suivront. Par exemple, nous avons travaillé avec la Côte d'Ivoire. Nous les avons aidés à élaborer leur cadre de développement durable. Ensuite, nous les avons aidés à lever l'équivalent de plus de 400 millions de dollars d'instruments financiers liés à ces questions. Il s'agissait d'objectifs très spécifiques qu'ils s'étaient eux-mêmes fixés. » Dérisquer et créer des dynamiques vertueuses Afin de créer des synergies dans ce domaine, Proparco filiale de l'Agence française de développement, spécialisée dans le financement du secteur privé– a récemment rassemblé une centaine d'établissements bancaires ou gestionnaires de fonds. Parmi les stratégies engagées : dérisquer les investissements, et créer une dynamique vertueuse. « On peut le faire soit en dédiant des lignes de crédit ou de financements dédiés avec une composante climat. On peut le faire aussi avec un objectif, on va dire plus transformationnels », explique Françoise Lombard, la directrice générale de Proparco. C'est ce qu'a fait l'institution en 2023 en créant une coalition d'acteurs financiers pour 200 millions de dollars, le Sustainability Link Loan d'Ecobank. Un acteur panafricain qui est présent dans plus d'une trentaine de pays africains. « Ça marche de manière assez simple, précise Françoise Lombard. Si Ecobank sur sa feuille de route climat atteint les objectifs que, conjointement, nous avons convenus, les conditions du prêt seront plus intéressantes. Et ça, c'est extrêmement intéressant comme outil parce que ça veut dire qu'on va appuyer Ecobank dans sa démarche pour intégrer le climat non pas comme un objet de financement, mais comme une problématique qui irrigue toute l'organisation, la gouvernance, les décisions de crédit. Et on va aussi faire en sorte que Ecobank soit prêt à s'engager sur des réductions d'émissions du portefeuille de la banque et rendre publiques ces cibles. Donc, c'est extrêmement incitatif. » Lors de la dernière COP à Bakou, les besoins de financements ont encore été revus à la hausse. Objectif : mobiliser 1 300 milliards de dollars de financement public et privé d'ici à 2035.
durée : 00:19:08 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Presque un an après la chute de l'auvent de la gare de Novi Sad en Serbie, le mouvement de contestation qui secoue le pays ne faiblit pas. Malgré une répression croissante, les militants continuent de battre le pavé et de convaincre autour d'eux pour que leurs revendications soient acceptées. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Vladimir Vasak Journaliste pour Arte Reportage
Deuxième journée de mobilisation, ce jeudi en France, à l'appel de l'intersyndicale pour s'opposer à l'austérité budgétaire Les autorités s'attendent à une participation en baisse de 30% par rapport à la journée du 18 septembre.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Deuxième journée de mobilisation, vers un flop ? Un bateau fantôme russe au large de Saint-Nazaire ! Estrosi veut remplacer les contrôleurs aériens par l'armée
durée : 00:20:20 - Journal de 12h30 - Près de 250 cortèges sont prévus dans tout le pays lors de cette deuxième journée convoquée par l'intersyndicale (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires).
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Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Le psychanalyste star G. Miller en garde à vue pour viols ! Mobilisation du 2 octobre, gros flop en vue ?
Chaque jour, retrouvez le journal de 10h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:59:18 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - L'intersyndicale des gérants d'auto-écoles et le syndicat principal des inspecteurs du permis de conduire s'allient pour tirer la sonnette d'alarme face à la « crise » du secteur, marquée notamment par l'allongement des délais et la hausse du coût du permis. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:16:43 - L'invité du 13/14 - Mobilisation nationale face à la pénurie des places d'examen au permis de conduire Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Donald Trump et Benjamin Netanyahou négocient un plan de cessez-le-feu en 21 points pour mettre fin au conflit à Gaza.Recrudescence des agressions antisémites en France, notamment l'agression d'un homme portant une kippa en Essonne.Suppression des lignes de trains de nuit Paris-Berlin et Paris-Vienne faute de subventions de l'État.Mobilisation des auto-écoles et inspecteurs du permis de conduire pour réclamer plus de places d'examen face à l'allongement des délais.Un gagnant du loto allemand de 15 millions d'euros retrouve son ticket oublié dans une veste.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 11h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Donald Trump et Benjamin Netanyahou négocient un plan de cessez-le-feu en 21 points pour mettre fin au conflit à Gaza.Recrudescence des agressions antisémites en France, notamment l'agression d'un homme portant une kippa en Essonne.Suppression des lignes de trains de nuit Paris-Berlin et Paris-Vienne faute de subventions de l'État.Mobilisation des auto-écoles et inspecteurs du permis de conduire pour réclamer plus de places d'examen face à l'allongement des délais.Un gagnant du loto allemand de 15 millions d'euros retrouve son ticket oublié dans une veste.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cette édition :Réactions politiques suite à la condamnation de l'ancien président Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison ferme, avec exécution provisoire de la peine.Arrestation d'un homme de 34 ans soupçonné d'avoir enlevé une adolescente de 12 ans dans l'Orne, qui a été retrouvée saine et sauve.Mobilisation des agriculteurs, notamment des betteraviers, contre l'accord commercial UE-Mercosur et les difficultés rencontrées au quotidien.Témoignages de consommateurs dénonçant les problèmes récurrents d'électronique dans les voitures et les coûts de réparation élevés.Point sur la situation météorologique avec des températures fraîches et de la pluie sur une grande partie du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 24 septembre 2025 avec Virginie Calmels, cheffe d'entreprise et présidente du réseau d'entrepreneurs Croissance Plus.Le Medef prépare un « énorme meeting » du patronat « dans quelques jours », face à ce qu'il qualifie de « théories dangereuses », faisant notamment allusion à la proposition de taxe Zucman sur les hauts patrimoines. « On voudrait signifier que les entreprises ne sont que des actionnaires assoiffés de dividendes et indifférents à l'intérêt général », a relevé Patrick Martin lors de l'évènement BIG organisé par la banque publique d'investissement Bpifrance. Le thème de la taxation des plus riches est au cœur des débats entre le Premier ministre Sébastien Lecornu et le Parti socialiste, qui peut lui éviter une censure sur ce texte. Dans son interview au Parisien le 13 septembre dernier, Patrick Martin jugeait la taxe Zucman comme « un frein terrible à l'investissement et à la prise de risque pour les entreprises ». De son côté, le PDG de LVMH, Bernard Arnault, a déclaré samedi dans le Sunday Times que la taxe Zucman relevait "d'une volonté clairement formulée de mettre à terre l'économie française".Virginie Calmels, cheffe d'entreprise, et présidente du réseau d'entrepreneurs Croissance Plus est notre invitée. Elle nous donnera son avis sur la volonté de mobilisation des patrons, et sur la taxation des plus riches. Elle nous donnera aussi son sentiment sur le climat politique actuel, alors que Sébastien Lecornu, nommé depuis quinze jours, n'a toujours pas constitué son gouvernement, et qu'une nouvelle journée de mobilisation a été annoncée pour le 2 octobre prochain.
durée : 00:53:39 - Les informés de franceinfo - Du lundi au jeudi, les informés de franceinfo débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 23 septembre 2025 : "Mobilisation des agriculteurs vendredi, ça va frapper fort ?" avec Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Joëlle Dago-Serry et Yves Camdeborde débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la deuxième heure des GG du vendredi 19 septembre 2025 : Mobilisation contre l'austérité, stop ou encore ? ; Scandale des notes de frais, Hidalgo, rends l'argent ? ; Médicaments, un gaspillage qui nous coûte cher ! Avec Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique.
A 10h, ce vendredi 19 septembre 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de : Mobilisation contre l'austérité, stop ou encore ?
La santé est un bien universel… mais aussi une question de gros moyens. Depuis plusieurs années, le financement des systèmes de santé en Afrique se fragilise : baisse des financements publics, crises budgétaires, conséquences durables du Covid-19. Début 2025, le retour au pouvoir de Donald Trump a marqué un tournant brutal avec une réduction des subventions américaines notamment à travers l'USAID. Un coup dur pour de nombreux pays dans leur lutte contre le VIH, le paludisme ou encore financer le planning familial. Mais face à ce contexte défavorable, d'autres acteurs notamment privés inventent de nouveaux leviers de financement. Nos invités Erick Maville – président de Santé en Entreprise, président de la Commission Santé du CIAN (conseil français des investisseurs en Afrique) Amina Abou Khalil – administratrice générale de la Fondation Orange Guinée Ingrid Etoke – experte en financement de la santé, actuellement employée par la fondation Bill & Melinda Gates Ali Attié – directeur général du groupe de courtage en assurances santé GGA Groupe en Côte d'Ivoire. Thématiques de l'émission 1. L'impact des coupes budgétaires Retrait partiel de l'USAID et diminution de l'aide européenne. Conséquences directes sur la lutte contre le VIH, le paludisme et le système hospitalier. 2. Nouvelles sources de financement Partage des financements entre public et privé. Rôle croissant des assurances, partenariats public-privé et mécanismes communautaires. Mobilisation de la diaspora et fiscalité locale. 3. Accès aux soins et inégalités Quels modèles de couverture universelle en Afrique ? Développement des assurances santé en Côte d'Ivoire. Projet Caravane Santé 3è âge de la Fondation Orange en Guinée : dépistage et prévention du diabète et de l'hypertension. Reportage signé du correspondant de RFI Tangi Bihan : 4. Investissements stratégiques Recherche médicale et production locale de médicaments (réduction des importations). Formation et maintien du personnel de santé pour limiter l'exode des cerveaux médicaux. Place de la digitalisation : télémédecine, e-santé, optimisation des coûts. 5. Vers une souveraineté sanitaire africaine ? Moins de dépendance à l'aide extérieure ? Nécessité d'un équilibre entre financements publics, privés et philanthropiques. Défis d'équité sociale face à la privatisation progressive du secteur.
Invités : - Naima M'faddel, essayiste, chargée de mission politique de la ville. - Olivier Benkemoun, journaliste politique. - Jacques Serais, journaliste politique. - François Cocq, analyste politique. - Véronique Jacquier, journaliste. - Axel Ronde, porte-parole CFTC POLICE. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:42 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Après la mobilisation importante du 18 septembre, une situation inédite et une suite incertaine.
durée : 00:17:49 - Journal de 7 h - Mobilisation réussie selon les organisateurs.
Pete and Gary are returning to their roots in this special series ahead of the release of Season 8. The South Notts Hussars were a WW2 artillery unit, and Pete interviewed dozens of veterans from this unit during his time at the Imperial War Museum. This is their story.Pete's new book on Egypt and the Sudan, Chain of Fire, is available now. Get an autographed copy at https://peter-hart.sumupstore.com/Presenters: Peter Hart and Gary BainPublisher: Mat McLachlanProducer: Jess StebnickiVisit Gallipoli with Pete and Gary! Go to https://phbt.uk/ for more information!Become a member to listen ad-free and receive special bonus content for only £2 per month: https://plus.acast.com/s/pete-and-garys-military-historySupport the show with a one-off contribution: https://buymeacoffee.com/pgmhFind out everything Pete and Gary are doing at https://linktr.ee/pgmh Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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Ils s'appellent les «Gilets jaunes», les «Indignés», les «Nuit Debout», ou plus récemment les «Bloquons Tout». En France, ces dernières années, les mouvements sociaux ont souvent été incarnés par des organisations apparues spontanément au gré des sujets de crispation. Question : ces mouvements ont-ils volé la vedette aux organisations syndicales, celles qui étaient traditionnellement à l'origine des mobilisations, au fond, les syndicats sont-ils dépassés lorsqu'il s'agit de mobiliser ? Pour en débattre - Baptiste Talbot, secrétaire confédéral à la CGT - Yves Sintomer, politologue, professeur de Science politique à l'Université Paris 8 - Sylvain Boulouque, historien, spécialiste des mouvements sociaux, auteur du livre La grange aux belles. Quand les communistes flinguaient les anarchistes, éditions du Cerf.
durée : 00:51:35 - Les informés de franceinfo - Du lundi au jeudi, les informés de franceinfo débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:22:28 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Avec Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de L'Express, chroniqueuse sur France Inter. David Djaiz, essayiste et directeur général d'Ascend Partners. Et Alexandre Devecchio, rédacteur en chef des pages Débat et Idée du Figaro. - invités : Anne Rosencher, David Djaïz, Alexandre Devecchio - Anne Rosencher : Journaliste et écrivaine française, David Djaïz : Essayiste et enseignant à Sciences Po, Alexandre Devecchio : Rédacteur en chef du service débats du Figaro et du Figaro Magazine Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 04:01:59 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin sur France Inter, à 8h20 un plateau à la veille de mobilisation du 18 septembre. À 9h20 Pierre Richard. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:26:52 - Mobilisation du 18 septembre : à quoi s'attendre ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Louis de Raguennel, journaliste - Gauthier le Bret, journaliste politique - Sophie de Menthon, présidente du mouvement ETHIC - Laetitia Guinaud, journaliste politique - Rachel Khan, essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 15 septembre, le rassemblement anti-immigration qui s'est tenu à Londres samedi dernier et les objectifs de cette manifestation ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En France, le mouvement « Bloquons tout » a lancé une série d'actions hier pour protester contre la politique du président Emmanuel Macron et la situation socio-économique du pays.