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Dans cette édition :La France termine l'année sans budget, le gouvernement doit présenter une loi spéciale pour assurer la continuité de l'État en attendant un véritable budget.Emmanuel Macron a annoncé le lancement du chantier d'un nouveau porte-avions nucléaire, un projet évalué entre 10 et 15 milliards d'euros visant à renforcer la capacité militaire de la France.La mobilisation des agriculteurs contre le protocole d'abattage systématique des troupeaux se poursuit, avec des barrages toujours en place, notamment sur l'autoroute A64 entre Toulouse et Bayonne.Des agriculteurs français et belges ont également bloqué l'A2 à la frontière franco-belge pour dénoncer le projet d'accord de libre-échange avec les pays du Mercosur.Le projet de loi visant à élargir les compétences de la police municipale, notamment l'utilisation de drones et la possibilité de mener certaines enquêtes, séduit de nombreux maires de petites communes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invité :François Walraet, secrétaire général de la Coordination ruraleChroniqueurs :Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du FigaroGeorges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ces dernières années, beaucoup de procédures ont été engagées contre des entreprises étrangères en Afrique et leurs pratiques de corruption. Des cas emblématiques ont été jugés, comme celui de Glencore. Il est cependant difficile de voir l'argent restitué. Un mouvement de réflexion est engagé sur le continent, auquel contribue particulièrement le collectif Restitution pour l'Afrique emmené par Jean-Jacques Lumumba, qui a déposé une plainte au mois de mars. Cette plainte déposée auprès Parquet national financier de Paris a fait du bruit car elle est inédite : elle concerne plusieurs membres de Bolloré pour « recel » et « blanchiment ». « Souvent, quand on dénonce la corruption, on s'attaque aux corrompus, mais on fait très peu allusion aux corrupteurs. Et l'objectif que nous menons, c'est de pouvoir s'attaquer aux corrupteurs et de pouvoir s'attaquer aux fruits et aux bénéfices de la corruption », détaille Jean-Jacques Lumumba, qui est à la tête du collectif. Et de poursuivre son analyse : « Ces produits de la corruption produisent des bénéfices et des flux financiers qui arrivent dans des pays. Il faudrait que ces pays-là, cette captation de ressources, soient aussi considérés comme des biens mal acquis. C'est ça tout le concept de biens mal acquis inversés. » Un système de corruption favorisé par le cadre bilatéral – entre les multinationales et les États – des négociations et du traitement des contentieux. L'ONU appelle pour contrer cela à la mise en place d'une convention fiscale. « Si on a un cadre global, on peut avoir une mesure de la redevabilité qui soit beaucoup plus utile. À l'intérieur de cadres bilatéraux de négociations, il y a un problème de transparence. Il y a une asymétrie d'information, il y a une asymétrie de capacité. Et si ces asymétries-là sont localisées à un niveau bilatéral, il est très difficile de les changer. Par contre, si on les situe dans un cadre global, par exemple le cadre des Nations Unies malgré la faiblesse actuelle de l'ONU, on peut ouvrir ces boîtes d'asymétrie pour qu'il y ait plus d'informations disséminées et qu'il y ait plus de transparence », précise le Dr Ibrahim Assane Mayaki, ancien Premier ministre du Niger, coprésident du groupe de haut niveau qui travaille sur ces questions à l'ONU. Repenser l'utilisation des fonds saisis Quand les entreprises sont appelées à payer, il est là encore difficile d'y voir clair. Le cas de Glencore au Cameroun est emblématique. L'entreprise est accusée d'avoir payé des pots de vin pour assurer son approvisionnement en pétrole. La société écope d'une amende de plus d'un milliard de dollars aux États-Unis. « Les pays victimes n'ont pas un radis en compensation. Largent est parti aux États-Unis et en Angleterre », dénonce Akere Muna, un avocat spécialiste de la lutte contre la corruption et le fondateur de Transparency International Cameroun. « Dans le cas de ces sociétés corrupteurs, il faudrait absolument que les fonds soient restitués de façon très transparente à ces pays-là. Parce que le danger – comme dans le cas d'Obyang en France – c'est quand on condamne de renvoyer [l'argent] dans un pays et que ce sont les mêmes [personnes] qui sont en place, ça pose un problème », souligne-t-il. Chaque année, le continent perdrait ainsi 25% de son PIB à cause de la corruption. Un « fléau » qui freine les investissements et accroît les inégalités, dénonce la Banque africaine de développement. À lire aussiTchad: l'Agence de lutte contre la corruption dénonce une situation « alarmante »
Nuisances sonores à Trianon : riverains à bout, importante mobilisation policière pour mettre fin à un tuning show by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:04:15 - La mobilisation des vétérinaire pour la vaccination contre le dermatose nodulaire Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:33 - Dermatose Nodulaire : la mobilisation contre les abattages de troupeaux Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Haute-Garonne, Landes, Bouches-du-Rhône… Les agriculteurs se mobilisent partout en France à l'appel de la Confédération paysanne pour dénoncer la politique d'abattage des troupeaux affectés par la dermatose nodulaire bovine. En particulier dans le Sud-Ouest, où des foyers de la maladie ont été détectés. Comment se déroule la mobilisation des agriculteurs sur l'A69? On pose la question à Lola Baille, journaliste à BFMTV.
durée : 00:14:38 - Journal de 8 h - Dans un rapport publié ce jeudi, l'Union nationale des familles de féminicides et la Fondation des Femmes dénoncent la "démobilisation" des pouvoirs publics en matière de lutte contre les violences faites aux femmes.
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Aujourd’hui dans l’apérophonie, on accueille 3 travailleurs sociaux et une personne en situation de handicap. Ils nous parlent de la mobilisation nationale pour le travail social le 16, 17 et 18 décembre. Retrouvez toutes les informations sur cette mobilisation sur... Continue Reading →
durée : 00:01:54 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:44 - Mobilisation des agriculteurs de la région face à la dermatose nodulaire - La première journée de siège en Ariège, aux Bordes-sur-Arize, devant la ferme du Gaec de Mouriscou des frères Vergé où un foyer de dermatose nodulaire a été détecté, a été très longue, entre 200 et 300 manifestants et une quarantaine de tracteurs ont bloqué les accès routiers à l'exploitation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au programme : Veut-on la disparition des agriculteurs ? // Bannir les moins de 16 ans des réseaux sociaux, est-ce un échec collectif ?
durée : 00:09:29 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Le ministre du Travail, Jean-Pierre Farandou, en appelle à une "mobilisation générale" pour l'adoption du budget de la Sécurité sociale, un moyen d'avoir de la "stabilité pour travailler". - invités : Jean-Pierre Farandou - Jean-Pierre Farandou : Président directeur général de la SNCF Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Dans cet épisode de Culture Média, Thomas Isle reçoit Arnaud Chautard, coproducteur de la série Loup-Garou, qui revient sur Canal+ pour une deuxième saison et séduit à l'international. L'émission évoque aussi l'élection de Miss France 2026, diffusée sur TF1, avec les confidences de la Miss France 2025. Europe 1 se mobilise pour le Téléthon, porté par Sophie Davant, et un point est fait sur les audiences TV, avec de bonnes performances pour France 3 et France 2.À retenir :Retour de la série Loup-Garou sur Canal+ (saison 2).Élection de Miss France 2026 en direct sur TF1.Mobilisation pour le Téléthon et bilan des audiences TV.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Culture Média, Thomas Isle reçoit Arnaud Chautard, coproducteur de la série Loup-Garou, qui revient sur Canal+ pour une deuxième saison et séduit à l'international. L'émission évoque aussi l'élection de Miss France 2026, diffusée sur TF1, avec les confidences de la Miss France 2025. Europe 1 se mobilise pour le Téléthon, porté par Sophie Davant, et un point est fait sur les audiences TV, avec de bonnes performances pour France 3 et France 2.À retenir :Retour de la série Loup-Garou sur Canal+ (saison 2).Élection de Miss France 2026 en direct sur TF1.Mobilisation pour le Téléthon et bilan des audiences TV.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:36 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Le frère du journaliste Christophe Gleizes est notre invité, alors que ce dernier vient d'être condamné à nouveau en appel à sept ans de prison en Algérie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:06:08 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - La CGT, la FSU et Solidaires appellent à une journée nationale de grève et de manifestations le mardi 2 décembre 2025 contre l'austérité et pour les salaires, en plein examen du budget 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invitée :Valérie Hayer, députée européenne, présidente du groupe Renew Europe et secrétaire générale déléguée de RenaissanceHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée :Valérie Hayer, députée européenne, présidente du groupe Renew Europe et secrétaire générale déléguée de RenaissanceHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 23 novembre 2025, une frappe israélienne menée dans la banlieue sud de Beyrouth a provoqué une onde de choc dans tout le pays. Cette frappe a coûté la vie à Haitham Ali Tabatabaï, considéré comme l'un des responsables militaires les plus importants du Hezbollah encore en fonction depuis la guerre de 2024. L'opération a été présentée par Israël comme un coup porté au cœur de l'appareil militaire du mouvement. Cette lecture reste pourtant débattue, car chaque élimination ciblée relance le même questionnement. La neutralisation d'un chef permet-elle réellement de fragiliser une organisation aussi implantée dans la société libanaise, ou s'agit-il surtout d'un message politique adressé à Beyrouth et à Téhéran dans un contexte de pressions internationales grandissantes ? Ce moment intervient alors que les États-Unis et Israël demandent désormais ouvertement un désarmement du Hezbollah et conditionnent une partie de leurs engagements diplomatiques et économiques à des avancées dans cette direction. Le gouvernement libanais se retrouve donc face à un objectif présenté comme prioritaire par ses partenaires, mais souvent jugé irréaliste par les spécialistes du pays. Le Hezbollah reste un acteur profondément enraciné dans le tissu social et politique, un acteur qui dépasse largement la seule dimension militaire, dans un pays où l'État peine à exercer pleinement son autorité et où plusieurs communautés continuent de conserver leurs propres capacités armées. Avec : - Aurélie Daher, enseignante, chercheuse à l'Université Paris Dauphine, spécialiste du Liban. Autrice de l'ouvrage, Le Hezbollah. Mobilisation et pouvoir (Presses universitaires de France).
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la mobilisation de soutien à un professeur qui a été menacé à Rennes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:04 - Journal de 7 h - La lutte contre le narcotrafic a pris un nouveau tournant, depuis quelques mois, alors que se multiplient les assassinats commandités par le grand banditisme. Le militant écologiste Amine Kessaci, qui a enterré son petit frère Mehdi, tué par balles à Marseille, appelle à la mobilisation.
durée : 00:15:04 - Journal de 7 h - La lutte contre le narcotrafic a pris un nouveau tournant, depuis quelques mois, alors que se multiplient les assassinats commandités par le grand banditisme. Le militant écologiste Amine Kessaci, qui a enterré son petit frère Mehdi, tué par balles à Marseille, appelle à la mobilisation.
Au début de l'année 1944, les Alliés gagnent du terrain et préparent les débarquements qui vont changer la donne stratégique en Europe. Le corps politique helvétique concède quelques avancées sociales et on arrive à se mettre d'accord au Conseil fédéral, comme jamais depuis 1918. Cela commence avec le discours du Nouvel an, prononcé par le conseiller fédéral Walther Stampfli. Avec Pierre Eichenberger, historien et auteur de Mainmise sur l'État social, Mobilisation patronale et caisses de compensation en Suisse (1908-1960) aux Editions Alphil. Dominique Dirlewanger, historien, spécialiste de l'histoire de la vieillesse et du récit national suisse. Il est l'auteur de 6 juillet 1947, La Suisse dans le monde d'après-guerre (EPFL Press).
In this episode of the Western Front Association's Mentioned in Dispatches, Dr Richard Batten, Honorary Research Fellow in History at the University of Exeter, discusses his new book For King and Country: The Role of Patriotism in Mobilisation in the First World War, published by Pen & Sword in 2025. Focusing on Devon but addressing wider national and European themes, the book explores how local elites encouraged men to enlist, enforced wartime discipline and sought to define patriotism, while also showing how ordinary people – especially women and working-class communities – responded to or challenged these ideals.
durée : 00:52:34 - LSD, la série documentaire - par : Michel Pomarède - Retour sur la longue nuit du 13 novembre 2015 avec l'identité judiciaire, lorsque Paris et la Seine-Saint-Denis sont frappés par une série d'attentats. - réalisation : François Teste
durée : 00:02:15 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Une nouvelle manifestation a eu lieu en Vendée où les travaux d'un futur surf park pourraient commencer ce lundi à Talmont-Saint-Hilaire. La mobilisation ne faiblit pas contre ce projet, qui s'inscrit dans une tendance mondiale de développement des structures de vagues artificielles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode, Boris Callen : délégué général de Monalisa France nous parle d'un enjeu humain, sanitaire et sociétal majeur : l'isolement social des personnes âgées.Boris Callen revient sur la genèse et la philosophie du dispositif Monalisa — Mobilisation Nationale contre l'Isolement Social des Âgés — né d'une prise de conscience collective après la canicule de 2003.Cette crise a révélé la solitude absolue dans laquelle vivaient de nombreuses personnes âgées.Mais au-delà des politiques publiques, Monalisa incarne surtout une réponse citoyenne : la conviction que la lutte contre l'isolement est l'affaire de tous.
La mobilisation pour aller combattre les Romains 04 by XamSaDine
Un rassemblement d'une ampleur sans précédent a rendu hommage samedi aux 16 victimes de la catastrophe de la gare de Novi Sad, survenue il y a un an. La mobilisation contre la corruption continue, et la détermination des manifestants à obtenir la convocation d'élections anticipées reste intacte. Mobilisation en Serbie Dimanche (2 novembre 2025), la mère d'une des victimes de l'effondrement du toit en béton de la gare de Novi Sad a entamé une grève de la faim pour que justice soit rendue, alors que plus de 100.000 personnes s'étaient rassemblées dans le calme samedi pour rendre hommage aux 16 personnes mortes dans la catastrophe, il y a un an. C'est le plus imposant rassemblement jamais organisé sur place depuis lors et cette mobilisation massive montre à quel point la détermination de l'opposition au régime d'Aleksandar Vucic reste intacte. À la pointe du mouvement, les étudiants sont déterminés à obtenir la chute du président serbe et de son parti, le SNS, considéré comme responsable d'une corruption qui ronge la société. À Novi Sad, le reportage de Louis Seiller. En Italie, les juges dans le viseur du pouvoir Le Parlement italien a approuvé en fin de semaine dernière la réforme du système judiciaire, projet phare du gouvernement Meloni, et des conservateurs depuis de très nombreuses années. C'était la quatrième fois que le Sénat examinait le texte, qui doit encore être soumis à référendum dans quelques mois avant adoption définitive. Les explications de Cécile Debarge. En Turquie, des fonctionnaires toujours à la peine avec la justice Après le putsch manqué de l'été 2016, le pouvoir avait limogé plus de 125.000 personnes au sein de la Fonction publique. Parmi elles, de nombreux opposants, accusés de soutenir les putschistes ou le terrorisme. Du jour au lendemain, ces fonctionnaires se sont retrouvés, sans revenus, sans droits sociaux et même sans passeport. Neuf ans plus tard, certains sont toujours dans l'impasse et même les plus mobilisés d'entre eux ont du mal à garder espoir. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. Michel Hazanavicius : l'Ukraine au plus près Depuis la publication de ses Carnets d'Ukraine (Allary éd.), récit d'une semaine passée sur le front avec les combattants, le réalisateur Michel Hazanavicius poursuit sans relâche son engagement en faveur des Ukrainiens en guerre, Il est notamment ambassadeur en France du fonds de soutien gouvernemental United 24, auquel il reverse les bénéfice de son livre. Le réalisateur de The Artist, et de La plus précieuse des marchandises était récemment au festival War on screen où Olivier Favier l'a rencontré.
Un rassemblement d'une ampleur sans précédent a rendu hommage samedi aux 16 victimes de la catastrophe de la gare de Novi Sad, survenue il y a un an. La mobilisation contre la corruption continue, et la détermination des manifestants à obtenir la convocation d'élections anticipées reste intacte. Mobilisation en Serbie Dimanche (2 novembre 2025), la mère d'une des victimes de l'effondrement du toit en béton de la gare de Novi Sad a entamé une grève de la faim pour que justice soit rendue, alors que plus de 100.000 personnes s'étaient rassemblées dans le calme samedi pour rendre hommage aux 16 personnes mortes dans la catastrophe, il y a un an. C'est le plus imposant rassemblement jamais organisé sur place depuis lors et cette mobilisation massive montre à quel point la détermination de l'opposition au régime d'Aleksandar Vucic reste intacte. À la pointe du mouvement, les étudiants sont déterminés à obtenir la chute du président serbe et de son parti, le SNS, considéré comme responsable d'une corruption qui ronge la société. À Novi Sad, le reportage de Louis Seiller. En Italie, les juges dans le viseur du pouvoir Le Parlement italien a approuvé en fin de semaine dernière la réforme du système judiciaire, projet phare du gouvernement Meloni, et des conservateurs depuis de très nombreuses années. C'était la quatrième fois que le Sénat examinait le texte, qui doit encore être soumis à référendum dans quelques mois avant adoption définitive. Les explications de Cécile Debarge. En Turquie, des fonctionnaires toujours à la peine avec la justice Après le putsch manqué de l'été 2016, le pouvoir avait limogé plus de 125.000 personnes au sein de la Fonction publique. Parmi elles, de nombreux opposants, accusés de soutenir les putschistes ou le terrorisme. Du jour au lendemain, ces fonctionnaires se sont retrouvés, sans revenus, sans droits sociaux et même sans passeport. Neuf ans plus tard, certains sont toujours dans l'impasse et même les plus mobilisés d'entre eux ont du mal à garder espoir. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. Michel Hazanavicius : l'Ukraine au plus près Depuis la publication de ses Carnets d'Ukraine (Allary éd.), récit d'une semaine passée sur le front avec les combattants, le réalisateur Michel Hazanavicius poursuit sans relâche son engagement en faveur des Ukrainiens en guerre, Il est notamment ambassadeur en France du fonds de soutien gouvernemental United 24, auquel il reverse les bénéfice de son livre. Le réalisateur de The Artist, et de La plus précieuse des marchandises était récemment au festival War on screen où Olivier Favier l'a rencontré.
051-La mobilisation pour aller combattre les Romains 03 by XamSaDine
L'Allemagne constate une forte augmentation des arrivées de jeunes Ukrainiens sur son territoire et cela commence à faire grincer des dents. Le chef du Parti conservateur bavarois appelle l'Union européenne à faire pression pour que Kiev interdise aux jeunes hommes de quitter l'Ukraine. Faisant valoir le rôle de l'Allemagne comme premier fournisseur européen d'aide militaire, Markus Söder martèle que l'Ukraine a besoin de « soldats ukrainiens pour défendre leur propre pays ». En août dernier, les autorités ukrainiennes ont assoupli la loi martiale, en permettant aux hommes de 18 à 22 ans de franchir la frontière, ce qui a entraîné une vague de départs. En Ukraine, la mesure ne fait pas consensus. De nos envoyés spéciaux à Kiev, Un terrain d'entraînement à une quinzaine de kilomètres du front dans le Donbass. À l'abri d'un sous-bois, de jeunes soldats s'entraînent au pilotage de drones. Lorsqu'on lui demande quels sont les défis les plus importants que son équipe doit relever, Vova répond sans détours : « Ce qui manque le plus ce sont les gens, on manque de personnes normales, équilibrées, qui veulent faire quelque chose et qui prennent leur activité au sérieux. Il y a très peu de gens. » Une réglementation qui fait débat Pour faire face au manque d'hommes dans l'armée, plusieurs partenaires occidentaux de l'Ukraine, les États-Unis en tête, ont longtemps plaidé pour un abaissement de l'âge de la mobilisation, aujourd'hui fixé à 25 ans. Mais les autorités ukrainiennes s'y sont toujours refusées. À l'inverse, elles ont décidé d'assouplir la loi martiale, en autorisant les 18-22 ans à franchir la frontière. Une mauvaise décision, selon l'opérateur de drones Mikhailo, alias « Mamba » : « Ceux qui partiront ne reviendront pas. Personnellement, je n'aurais pas adopté une telle loi. Parce que le résultat, c'est que tous ceux qui auraient pu venir nous prêter main-forte vont partir. Or, si on unissait nos forces, on pourrait sans doute stopper les Russes. » La nouvelle loi vise notamment à endiguer les départs de jeunes garçons de 17 ans. Ils étaient nombreux à quitter l'Ukraine avant d'avoir terminé le lycée pour ne pas se retrouver coincés dans le pays à leur majorité. Mais des observateurs redoutent que cette réglementation ne provoque un exode massif de jeunes hommes. Maksim, étudiant en médecine de 21 ans, a déjà vu plusieurs jeunes de son entourage partir à l'étranger après l'adoption de cette loi, dont son meilleur ami : « Il est parti à l'étranger en disant qu'il ne reviendrait que lorsque la guerre serait terminée. Il dit que tant qu'il y a la guerre, il ne veut pas prendre de risque. Il me semble que ça n'est pas bien, parce qu'on va finir par ne plus avoir d'armée. » Une mobilisation en question Cette loi aura-t-elle des conséquences militaires ? Aura-t-elle une influence sur la capacité de l'armée ukrainienne à mobiliser dans les années qui viennent ? Le député d'opposition Oleksiy Honcharenko ne le pense pas : « Tous ceux qui voulaient quitter l'Ukraine, l'ont déjà fait de toute façon, par des moyens illégaux. Cette loi s'applique aux jeunes jusqu'à 22 ans. Or, en Ukraine, la mobilisation, c'est à partir de 25 ans. Il n'y a donc aucune influence directe sur la mobilisation, pas même en théorie. Il y a en revanche un point avec lequel je suis d'accord avec nos militaires : nous avons un très mauvais processus de mobilisation. Malheureusement, rien n'est fait pour inciter les gens à s'engager dans l'armée. » Pour tenter d'attirer des recrues motivées, l'armée ukrainienne a mis en place en février dernier un contrat assorti d'incitations financières pour les jeunes de 18 à 24 ans, sur la base du volontariat. Mais le succès escompté n'est pas au rendez-vous. Sur le front, les soldats attendent toujours la relève.
La mobilisation pour aller combattre les Romains 02 by XamSaDine
L'élection en Côte d'Ivoire se tient ce samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont le président sortant, Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. Son parti, le RHDP, espère l'emporter par un « coup KO ». Mais comme tous les autres partis, le RHDP se confronte à une donnée : la question de la mobilisation. Le ministre Amadou Coulibaly, par ailleurs Directeur régional adjoint de campagne du Poro, répond aux questions de Bineta Diagne. RFI : La campagne bat son plein, mais il y a aussi quelques mouvements de protestations sporadiques qu'on a pu voir dans le pays. Comment peut-on garantir que l'élection sera calme et apaisée ce samedi ? Amadou Coulibaly : J'ai lu avec beaucoup d'intérêt le bilan de l'appel à manifester qui a été fait par un des auteurs de cet appel. Mais il y a à peine six localités qui ont été concernées sur les 111 départements et 201 communes que la Côte d'Ivoire compte. Donc, ça reste très marginal et l'ordre est rétabli de façon quasi systématique par les forces de l'ordre qui interviennent de façon conventionnelle. Plutôt que d'interdire, est-ce que ce n'était pas plus simple d'encadrer et de protéger les manifestants, comme le suggère l'ONG Amnesty International ? En toute chose, il faut que force reste à la loi. À partir du moment où c'est une décision qui a été arrêtée par le Conseil constitutionnel, le gouvernement a estimé que les manifestations visant à dénoncer cette décision n'étaient pas autorisées. Jusqu'à aujourd'hui, les principaux partis de l'opposition réclament encore le dialogue. Qu'est-ce qui bloque ? On se pose des questions. L'élection aura lieu le 25. Quel serait le but d'un dialogue au moment où le processus électoral est lancé ? Mais avez-vous pensé à la suite ? Après les élections, comment comptez-vous apaiser les esprits au sein de l'opposition ? Parce que ça crée des frustrations… Les frustrations, vous les connaissez, elles sont venues du fait que certains candidats de l'opposition qui n'étaient pas éligibles ont posé leur candidature. Le Conseil constitutionnel a fait son travail. Je reste persuadé que, pour les élections à venir, avec tous les cadres qui existent dans les différents partis qui ont envie de compétir, tous ceux qui, parmi eux sont éligibles, poseront leur candidature. Le débat ne se posera plus de la même façon. Sur le terrain, quasiment tous les cadres du RHDP insistent pour que les militants aillent voter ce samedi. Est-ce que vous avez un doute aujourd'hui sur la mobilisation des électeurs ? Nous n'avons pas de doute. La loi électorale permet de retirer sa carte d'électeur le jour même de l'élection. Ce que nous faisons au RHDP et c'est de demander aux électeurs de retirer leur carte dès à présent afin de savoir dans quel bureau de vote ils sont affectés, ça rend le vote plus efficace. Mais nous sommes persuadés que, pour ce qui nous concerne en tout cas, nous aurons une bonne mobilisation de nos électeurs. Vous n'avez pas une crainte que les électeurs, en tout cas vos électeurs, se disent que tout est plié d'avance, inutile de se déplacer samedi ? Non du tout, puisque nous avons un challenge. C'est nous qui avons demandé au président Ouattara d'être candidat et c'est à nous de démontrer au président Ouattara que nous voulions vraiment qu'il soit candidat. Et cela passe par le plébiscite que nous devons lui offrir. Un des arguments présentés par le président au moment de l'annonce de sa candidature, c'est de maintenir la stabilité dans le pays. Beaucoup de choses ont été faites sur le plan de la sécurité. Qu'est-ce que vous comptez faire de mieux ou de plus ? Nous allons continuer à intensifier les actions qui vont créer ce sentiment de sécurité, ou plutôt renforcer ce sentiment de sécurité qu'ont les Ivoiriens. La Côte d'Ivoire est entourée de pays qui sont eux-mêmes débordés par les questions de terrorisme. Il n'y a plus forcément de coopération aujourd'hui avec le voisin burkinabè. Comment comptez-vous faire pour rétablir le dialogue et donc aussi la coopération ? Le dialogue, quoi qu'on dise, n'a jamais été formellement rompu. Nos voisins ont toujours des représentations diplomatiques en Côte d'Ivoire. Ça permet de montrer que, au moins de façon diplomatique, le dialogue est maintenu. Maintenant, pour ce qui concerne notre pays, évidemment, nous renforçons la sécurité à nos frontières pour éviter que nous puissions avoir des infiltrations. Mais sans patrouilles mixtes, ça reste quand même un frein dans votre dispositif ? Nous avons eu à mener ensemble beaucoup d'opérations conjointes. C'est vrai que cela rendait plus efficace la sécurisation de nos frontières respectives. Mais aujourd'hui, en attendant que les choses se stabilisent et que nous reprenions donc cette coopération efficiente et efficace en termes de sécurité, nous avons le devoir de protéger le territoire ivoirien. Et c'est ce à quoi le chef de l'État s'attelle. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: quel bilan politique pour Alassane Ouattara?
049-La mobilisation pour aller combattre les Romains by XamSaDine
Ancien ambassadeur de France aux États-Unis et en Israël, Gérard Araud vient de publier "Leçons de diplomatie : la France face au monde qui vient" chez Tallandier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:08 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Presque un an après la chute de l'auvent de la gare de Novi Sad en Serbie, le mouvement de contestation qui secoue le pays ne faiblit pas. Malgré une répression croissante, les militants continuent de battre le pavé et de convaincre autour d'eux pour que leurs revendications soient acceptées. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Vladimir Vasak Journaliste pour Arte Reportage
Deuxième journée de mobilisation, ce jeudi en France, à l'appel de l'intersyndicale pour s'opposer à l'austérité budgétaire Les autorités s'attendent à une participation en baisse de 30% par rapport à la journée du 18 septembre.