POPULARITY
La Corée du Nord a entamé une enquête approfondie après un accident survenu le 21 mai dernier lors du lancement d'un navire de guerre. Le bateau a partiellement coulé lors de l'inauguration à laquelle assistait Kim Jong-un. Un fiasco qui a provoqué l'arrestation de quatre personnalités de haut rang. Sur les chantiers navals de la côte orientale, ce devait être une journée glorieuse pour la marine nord-coréenne. Autour de Kim Jong-un, était réunie la fine fleur de l'état-major de l'armée populaire. Mais le lancement du destroyer, dont le nom n'a pas été communiqué ne s'est pas passé comme prévu, plusieurs hypothèses ont pu conduire à ce fiasco note Vincent Groizeleau directeur du journal Mer et Marine : « Leur système est manifestement un système de lancement par le travers, donc le bateau est parallèle au quai. Les lancements par le travers sont des lancements traditionnels, ça se fait couramment y compris aux États-Unis où ils ont lancé à peu près tous les bâtiments de la classe Freedom comme ça. Donc deux hypothèses ont pu se produire : soit quand ils ont lancé le navire, les rails qui sont tous censés glisser ensemble, n'ont pas tous glissé ensemble. Ou alors il y a pu avoir aussi un phénomène d'écrasement qui a déséquilibré le bateau et donc il est tombé et le poids a fait que les rails de la partie arrière sont quand même partis. Avec à la fin donc, l'étrave qui reste sur le quai et tout le reste qui est dans l'eau ».Les sanctions n'ont pas tardéLes sanctions n'ont pas tardé, le vice-directeur du département de l'industrie des munitions du Comité central du Parti et trois autres responsables du chantier naval ont été placés en détention. Une affaire qui fait les choux gras de la presse sud-coréenne, souligne le journaliste de RFI Stéphane Lagarde, présent en Corée du Sud,« Plus que les détails de l'incident, ce qui intéresse les médias en Corée du Sud, ce sont les conséquences politiques et sur l'appareil militaire nord-coréen. Un journal des finances ici s'attend à une purge sanglante et écrit « On arrête d'abord et on enquête ensuite ». Plusieurs procureurs et experts sont mobilisés en Corée du Nord pour comprendre ce qui s'est passé. Mais d'ores et déjà, les propos de la commission militaire centrale nord-coréenne cités par le Journal du parti du travail de Corée du Nord, sont sans appel puisqu'ils qualifient cet accident d'acte criminel. Il y a des dégâts matériels, mais c'est aussi une gifle pour le régime nord-coréen, rappelle-t-on ici en Corée du Sud, sachant que le dirigeant Kim Jong-un assistait à la scène, donc à ce lancement ».Un immense camouflet pour la Corée du NordDes analystes estiment que le navire a potentiellement été construit avec l'aide de la Russie. Allié de Moscou, le régime nord-coréen ambitionne de peser sur les mers grâce au lancement d'une flotte moderne, composée de sous-marins nucléaires et de navires de premier rang comme ce fameux destroyer. C'est donc un revers immense pour un lancement symbolique pointe Vincent Groizeleau : « Le naval, le maritime, ce sont de très gros objets, c'est des objets de prestige. Là, on est sur un objet très gros et extrêmement coûteux. C'est des objets qui sont extrêmement puissants, un bateau de guerre, c'est toujours plus puissant qu'un avion, ou qu'un char, donc évidemment c'est prestigieux. Et surtout, Kim Jong-un, il était là ! C'est un camouflet qui est terrible pour eux parce que c'est quelque chose qu'ils n'ont pas pu cacher. On ne peut pas cacher un truc comme ça, c'est trop gros ».Le leader nord-coréen a exigé que le navire soit renfloué d'ici juin, mais en chutant du quai sa coque a peut-être vrillé, auquel cas estiment les experts le bateau est bon pour la casse.À lire aussiCorée du Nord: un navire de guerre endommagé lors de sa cérémonie de lancement
Chaque année, des Nord-Coréens tentent d'échapper au régime de Pyongyang. Pour ceux qui parviennent à s'enfuir, au péril de leur vie, la Corée du Sud voisine représente une destination évidente. Plus de 34 000 transfuges nord-coréens sont ainsi entrés dans le pays depuis 1953. Mais ils continuent d'éprouver des difficultés à s'intégrer dans une nation si proche de la leur et en même temps si différente. Un reportage de Chloé Borgnon et William de Tamaris.
Au micro de Mademoiselle Jade, John Rambo explique comment fonctionne le bouclier anti-missile de Donald Trump surnommé "Golden Dome". Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:39 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - #Entretien d'embauche. #Télétravail. #Corée du Nord. #Détournement. #Millions. Voilà les mots-clés de l'histoire qui suit, sur une méthode de piratage de plus en plus difficile à contourner pour certaines grandes entreprises, notamment issue de la tech.
Leur présence n'a jamais été annoncée officiellement ni par la Russie, ni par la Corée du Nord : RTL n'oublie pas les soldats nord-coréens qui combattent contre l'Ukraine dans la région russe de Koursk. Les premiers seraient arrivés en Russie à la fin de l'année dernière. Volodymyr Zelensky évoquait leur présence début décembre. Est-ce que les soldats de PyongYang sont toujours présents en Russie ? Eclairage signé Sophie Joussellin pour RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - « Madame Choi et les monstres » de Sheree Domingo et Patrick Spät (Seuil) - « Dans les pins » d'Erik Kriek (Éditions Anspach) Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré au départ pour une reconstruction. En première partie, direction l'Italie, avec la mafia calabraise dont les activités criminelles sont souvent familiales. Comment des enfants de mafieux font-ils pour briser la chaîne du crime ? En seconde partie, direction la Corée du Sud, où des jeunes Nord-Coréens ont fait le choix de tout quitter pour se construire un avenir côté Sud. En Italie, grandir loin de la mafiaEn Italie, la mafia calabraise - la N'Drangheta - est considérée comme l'organisation criminelle la plus redoutable et la plus puissante. Ce sont les liens du sang qui constituent les clans. Les activités criminelles se transmettent de père en fils. Pour briser la chaîne du crime, le juge italien Roberto Di Bella a imaginé le programme « Liberi di scegliere ». En italien, cela veut dire : Libres de choisir : entre un destin criminel ou une nouvelle vie.Pour cela, les enfants de mafieux sont exfiltrés et envoyés loin de la Calabre, loin de leur famille et de la mafia.Comment reconstruire sa vie loin des siens ? Comment proposer une alternative aux enfants qui se sont construits avec les règles de la criminalité organisée ?Un Grand reportage de Cécile Debarge qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes Ils ont grandi dans l'un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s'enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s'adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d'origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s'en sortent mieux que leurs parents.Un Grand reportage de Célio Fioretti qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Ils ont grandi dans l'un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s'enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s'adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d'origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s'en sortent mieux que leurs parents. «Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes», un Grand reportage de Célio Fioretti.
Ce mercredi 26 février, les éventuelles raisons de la baisse des cours de l'ensemble des cryptos depuis hier, la chute du cours du bitcoin depuis l'investiture de Trump, l'avenir de la réserve stratégique aux USA, le plus gros hack de l'histoire chez la plateforme Bybit par un groupe Nord-Coréen, la réglementation des cryptos en Asie, et la tendance Memecoin chez certains présidents, ont été abordé par Nathalie Janson, économiste et professeur à Neoma Business School, et Gregory Raymond, cofondateur de The Big Whale et auteur de « Bitcoin Cryptos, l'enjeu du siècle », reçus par Sandra Gandoin dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:58:34 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En 2018, le groupe sud-coréen Red Velvet donnait un concert inédit à Pyongyang. Quatre ans plus tard, un Nord-Coréen était exécuté par le régime de Kim Jong-un pour avoir écouté de la K-pop. Tantôt outil de rapprochement, tantôt arme de propagande, la musique est au cœur du conflit coréen. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Philippe Mesmer Correspondant à Tokyo pour Le Monde et L'Express, il couvre le Japon et les deux Corées; Benjamin Joinau Docteur en anthropologie culturelle, spécialisé en études coréennes, chercheur associé au Centre d'études coréennes (CRC) à l'EHESS à Paris, et maître de conférences à l'université Hongil à Séoul; Mathieu Berbiguier Enseignant-chercheur en études coréennes à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh
Mon ami Kim Jong-un, c'est une bande dessinée sur le parcours du dictateur nord-coréen écrite par… une Sud-Coréenne. Éditée chez Futuropolis, cette BD dresse le portrait de ce que l'on sait sur l'un des plus jeunes dirigeants de la planète. Figure mystérieuse et fascinante, despote sanguinaire, simple enfant héritier d'une lourde dynastie, la dessinatrice Keum Suk Gendry-Kim livre un récit contrasté de cette figure incontournable, au cœur du conflit qui divise la péninsule coréenne depuis plus de 70 ans. À lire aussiCorée du Nord: des badges à l'effigie de Kim Jong-un, une première
Mon ami Kim Jong-un, c'est une bande dessinée sur le parcours du dictateur nord-coréen écrite par… une Sud-Coréenne. Éditée chez Futuropolis, cette BD dresse le portrait de ce que l'on sait sur l'un des plus jeunes dirigeants de la planète. Figure mystérieuse et fascinante, despote sanguinaire, simple enfant héritier d'une lourde dynastie, la dessinatrice Keum Suk Gendry-Kim livre un récit contrasté de cette figure incontournable, au cœur du conflit qui divise la péninsule coréenne depuis plus de 70 ans. À lire aussiCorée du Nord: des badges à l'effigie de Kim Jong-un, une première
Trois mois environ après les annonces de leur déploiement qui avaient fait grand bruit, les soldats nord-coréens semblent avoir disparu du front russo-ukrainien.
Quelque 300 soldats nord-coréens ont été tués et plus de 2 000 blessés sur les milliers d'hommes déployés par Pyongyang en Russie, c'est le chiffre donné en début de semaine par un député sud-coréen. Ni Moscou, ni Pyongyang ne reconnaissent la présence de troupes nord-coréennes dans la région de Koursk. En revanche, l'Ukraine, les États-Unis et la Corée du Sud accusent le régime de Kim Jong Un d'avoir envoyé plus de 10 000 soldats pour aider les forces russes dans leur invasion. Et il y a quelques jours, Kiev a diffusé le 11 janvier les images de deux prisonniers, une preuve irréfutable de cette présence Nord-Coréenne. Le NIS, le renseignement Sud-Coréen, auditionné par le Parlement à Séoul a admis avoir participé à leur interrogatoire nous dit notre confrère Stéphane Lagarde, de passage en Corée : « Les médias ici effectivement ont repris ce qui est sorti du briefing à huis clos des parlementaires sud-coréens, donc l'agence de renseignement sud-coréenne a fait une conférence à l'Assemblée nationale concernant ces soldats nord-coréens arrêtés dans la région de Koursk. Des éléments ont fuité. L'agence de renseignement sud-coréenne aurait pointé tout d'abord une préparation au terrain, ce qui expliquerait ces pertes importantes de soldats Nord-Coréens qui n'ont pas l'habitude notamment des grandes plaines : ils étaient dans des zones découvertes visiblement. « Et puis un manque de préparation aussi à la guerre moderne avec les drones. On a vu beaucoup de ces vidéos de duels quasiment au corps à corps entre soldats nord-coréens et drones. Donc ils n'étaient pas préparés à cela. Et on a vu également passer ce dessin de soldats Nord-Coréens, montrant justement qu'ils auraient peut-être servi d'appâts, puisqu'on a retrouvé sur une dépouille d'un soldat nord-coréen un dessin montrant des soldats au sol, combattants ces drones. On a vu aussi les images, évidemment, dans la presse sud-coréenne des deux soldats prisonniers. L'un avec le visage bandé, l'autre avec une bande sur le menton. Ce sont des soldats dévoués au pouvoir nord-coréen. Il y a eu des mémos qui ont été retrouvés sur les dépouilles des soldats disant qu'ils avaient reçu pour ordre de se suicider plutôt que de se laisser capturer. Puis le média de fact.kr, pointe également ces images, d'un Nord-Coréen qui dégoupille une grenade et crie : "Vive le général Kim Jong-un !" Donc voilà des ordres de ne pas se laisser prendre »À lire aussiQue cherche l'Ukraine en diffusant des images des soldats nord-coréens combattant en Russie?L'implication de la Corée du Nord constitue une escalade majeure et inquiète vivement Séoul, relève encore Stéphane Lagarde : « Il y a d'abord la crainte d'une délocalisation d'un conflit européen ici en dans le nord-est asiatique. Et puis surtout de l'échange qu'il y a dû y avoir. Pyongyang est sorti de l'isolement post-Covid-19 avec cet accord avec la Russie, avec cet envoi de soldats nord-coréens en Ukraine, forcément, il y a un deal derrière. Et donc ici, on s'inquiète de ce qui a été donné par la Russie en matière technologique, en matière de renforcement de l'arsenal nord-coréen. Et puis on s'inquiète aussi sur le plan intérieur. « La Corée du Sud est en pleine crise politique suite à la loi martiale qui avait été décrétée par le président Yoon Suk-yeol, qui aujourd'hui est en procédure de destitution. Ce président avait dégainé la loi martiale en raison soi-disant de menaces nord-coréennes. Et donc des démocrates ici demandent à ce que les agents des renseignements sud-coréens ayant participé aux interrogatoires des soldats nord-coréens aux côtés des forces ukrainiennes rentrent au pays. Cela ainsi que les conseillers militaires sud-coréens pour éviter d'alimenter tout conflit. »Contreparties dans la balance ?Qu'a bien pu promettre Moscou pour inciter Pyongyang à s'engager dans une aventure militaire sur le sol européen Beaucoup de capacitaire et une bonne dose de diplomatie, estime le chercheur en relations internationales Cyrille Bret : « Des contreparties diplomatiques, avec un soutien du veto russe au Conseil de sécurité des Nations unies et sur d'éventuelles négociations nucléaires avec l'administration Trump 2. Évidemment, des contreparties capacitaires, avec le transfert d'équipements de défense anti-aérienne russe. Une mutualisation des retours d'expérience d'aguerrissement sur le théâtre européen, et puis probablement également des échanges d'informations grâce à la couverture satellitaire que la Russie opère sur la plupart des champs connexes à son territoire national. »Un « deal », pointe Cyrille Bret, qui signe la renaissance d'une très vielle alliance née lors de la guerre de Corée : « L'alliance Russie-Corée du Nord, conçue comme une façon d'équilibrer l'expansion de la puissance chinoise en Eurasie. Ceka dit la crainte des Coréens du Nord de trop dépendre de la République populaire de Chine. Puis cela dit la crainte des stratèges russes d'être vassalisés ou relégués comme brillants seconds de la République populaire de Chine. » Pyongyang, lié à Moscou par un pacte de défense mutuel ratifié en novembre, apparaît donc comme un troisième acteur du conflit ukrainien, à même de déstabiliser les équilibres jusqu'en Asie.À lire aussiL'axe Moscou-Pyongyang: un message à l'Occident, mais aussi à la Chine – par Cyrille Bret
Depuis plusieurs semaines maintenant, il y a des soldats nord-coréens qui se battent sur le front ukrainien auprès des Russes. Et depuis le 13 janvier, une information troublante circule. Ces Nord-coréens auraient l'ordre de se suicider pour ne pas être capturés par l'ennemi.
durée : 00:07:05 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Entre 1 100 et 3 000 soldats nord-coréens engagés aux côtés de la Russie contre les forces ukrainiennes ont été tués ou blessés, ont affirmé l'état-major de l'armée sud-coréenne et le président ukrainien dans deux évaluations divergentes.
Le Journal en français facile du mercredi 18 décembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BFdg.A
L'Ukraine a adapté sa propagande en lançant un programme intitulé "I Want to Live" pour inciter les soldats nord-coréens à se rendre. Ce programme, initialement créé pour les soldats russes, inclut des tracts et des messages vidéo avec des instructions simples pour déposer les armes et se rendre. Bien que l'initiative n'ait pas beaucoup fonctionné auprès des Russes, l'Ukraine espère un meilleur impact sur les troupes nord-coréennes, en promettant des conditions humaines et des soins. Ce programme permet aussi de localiser les soldats démoralisés et de recueillir des informations stratégiques. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
L'incident du peuplier, parfois appelé « incident de l'arbre de la zone démilitarisée », est un événement tendu qui a failli déclencher une guerre entre les États-Unis et la Corée du Nord en août 1976. Cette histoire incroyable commence par un simple arbre, un peuplier, qui poussait dans la zone démilitarisée (DMZ) séparant la Corée du Nord et la Corée du Sud, l'une des frontières les plus militarisées et les plus sensibles au monde. Le 18 août 1976, des soldats américains et sud-coréens, accompagnés de travailleurs civils, se sont rendus dans la DMZ pour élaguer le peuplier, qui bloquait la vue d'un poste d'observation crucial pour surveiller les mouvements de l'armée nord-coréenne. Cependant, les Nord-Coréens, voyant ces travaux, ont réagi de manière inattendue et violente. Un groupe de soldats nord-coréens est arrivé sur les lieux et, après une altercation verbale, a brutalement attaqué le contingent américain et sud-coréen avec des haches et des barres de fer. Deux officiers américains, le capitaine Arthur Bonifas et le lieutenant Mark Barrett, ont été tués dans l'assaut. Cet incident a déclenché une crise internationale majeure. Les États-Unis, sous la présidence de Gerald Ford, ont envisagé des réponses militaires, craignant que cet acte ne soit le signe d'une escalade planifiée par la Corée du Nord. Des tensions extrêmes se sont installées, et le monde entier a suivi avec inquiétude ce qui semblait être un prélude potentiel à une nouvelle guerre en Asie. Pour montrer leur force sans déclencher de conflit direct, les États-Unis ont alors planifié l'« opération Paul Bunyan », une démonstration de puissance militaire d'une ampleur impressionnante. Trois jours après l'incident, une force massive, comprenant des soldats armés, des hélicoptères, des bombardiers et des avions de chasse, a été déployée pour sécuriser la zone et terminer l'abattage de l'arbre. La Corée du Nord, voyant ce déploiement massif, n'a pas réagi militairement, et l'incident a été désamorcé. L'incident du peuplier reste un exemple frappant de la fragilité des relations internationales, où une simple opération d'élagage a failli déclencher un conflit mondial. Il met en lumière comment une situation apparemment triviale peut dégénérer rapidement en une crise majeure lorsque des tensions géopolitiques sous-jacentes sont présentes. Depuis, cet événement est souvent cité comme un cas d'école sur l'importance de la communication et de la prudence dans les zones de conflit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'incident du peuplier, parfois appelé « incident de l'arbre de la zone démilitarisée », est un événement tendu qui a failli déclencher une guerre entre les États-Unis et la Corée du Nord en août 1976. Cette histoire incroyable commence par un simple arbre, un peuplier, qui poussait dans la zone démilitarisée (DMZ) séparant la Corée du Nord et la Corée du Sud, l'une des frontières les plus militarisées et les plus sensibles au monde. Le 18 août 1976, des soldats américains et sud-coréens, accompagnés de travailleurs civils, se sont rendus dans la DMZ pour élaguer le peuplier, qui bloquait la vue d'un poste d'observation crucial pour surveiller les mouvements de l'armée nord-coréenne. Cependant, les Nord-Coréens, voyant ces travaux, ont réagi de manière inattendue et violente. Un groupe de soldats nord-coréens est arrivé sur les lieux et, après une altercation verbale, a brutalement attaqué le contingent américain et sud-coréen avec des haches et des barres de fer. Deux officiers américains, le capitaine Arthur Bonifas et le lieutenant Mark Barrett, ont été tués dans l'assaut. Cet incident a déclenché une crise internationale majeure. Les États-Unis, sous la présidence de Gerald Ford, ont envisagé des réponses militaires, craignant que cet acte ne soit le signe d'une escalade planifiée par la Corée du Nord. Des tensions extrêmes se sont installées, et le monde entier a suivi avec inquiétude ce qui semblait être un prélude potentiel à une nouvelle guerre en Asie. Pour montrer leur force sans déclencher de conflit direct, les États-Unis ont alors planifié l'« opération Paul Bunyan », une démonstration de puissance militaire d'une ampleur impressionnante. Trois jours après l'incident, une force massive, comprenant des soldats armés, des hélicoptères, des bombardiers et des avions de chasse, a été déployée pour sécuriser la zone et terminer l'abattage de l'arbre. La Corée du Nord, voyant ce déploiement massif, n'a pas réagi militairement, et l'incident a été désamorcé. L'incident du peuplier reste un exemple frappant de la fragilité des relations internationales, où une simple opération d'élagage a failli déclencher un conflit mondial. Il met en lumière comment une situation apparemment triviale peut dégénérer rapidement en une crise majeure lorsque des tensions géopolitiques sous-jacentes sont présentes. Depuis, cet événement est souvent cité comme un cas d'école sur l'importance de la communication et de la prudence dans les zones de conflit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5 minutes pour comprendre : des soldats nord-coréens se battent aujourd'hui aux côté des Russes dans la région de KOURSK, région en partie occupée par les Ukrainiens. On en parle avec le journaliste Pierre Haski. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Après deux ans et demi de guerre en Ukraine, le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche inquiète au plus haut point les autorités ukrainiennes, qui redoutent un possible désengagement américain. Et ce au pire moment, alors que les mauvaises nouvelles s'amoncellent également sur le terrain, non seulement les troupes de Kiev sont à la peine, en recul sur le front de l'Est qui menace de tomber, et à cette mauvaise passe s'ajoute désormais l'arrivée d'au moins 10 000 soldats nord-coréens qui combattent avec les russes -près de la ligne de front dans la région de Koursk. Une escalade sans précédent du conflit, au grand dam des Occidentaux et surtout de l'Otan qui tire la sonnette d'alarme face au risque d'une mondialisation du conflit. - Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d'Europe et d'Asie au Quai d'Orsay
J-4 avant la présidentielle américaine. Le scrutin s'annonce plus serré que jamais. Donald Trump et Kamala Harris sont au coude-à-coude dans les sondages. Egalement au sommaire : en visite au Maroc, Emmanuel Macron reconnaît la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Des mots qui ont fait se lever l'ensemble des membres de la Chambre des représentants à Rabat. Enfin, la Corée du Nord promet son soutien militaire à la Russie. Des milliers de soldats nord-coréens sont actuellement déployés près du front.
Des milliers de soldats nord-coréens débarquent en Russie. Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a confirmé les faits lors d'une rencontre à Washington avec le ministre des affaires étrangères de la Corée du Sud.
L'émission 28 minutes du 31/10/2024 Soldats nord-coréens envoyés en Russie : à quoi joue Kim Jong-un ? Les États-Unis ont confirmé l'envoi par la Corée du Nord de plus de 10 000 soldats pour s'entraîner dans l'est de la Russie. Ce mardi 29 octobre, les Américains ont été encore plus précis en annonçant avoir décelé un "petit nombre" de soldats nord-coréens dans la région russe de Koursk, frontalière avec l'Ukraine. 2 000 hommes supplémentaires seraient sur le point de d'arriver dans cette zone. Selon les services de renseignements sud-coréens, Pyongyang enverra même des généraux sur la ligne de front. Bien que la Corée du Nord n'ait pas confirmé ces présences, la communauté internationale est préoccupée par les intentions de Kim Jong-un. Le pays a déjà fourni plusieurs millions d'obus à la Russie et a signé, en juin dernier, un traité sur le "partenariat stratégique global" avec Vladimir Poutine. Ce pacte vise notamment à éviter les sanctions de l'ONU, après les essais balistiques et nucléaires de la Corée du Nord, grâce au veto russe. On en débat avec Christine Dugoin-Clément, chercheuse à la Chaire Risques de l'IAE Paris-Sorbonne, Pierre Haski, chroniqueur international à France Inter et à "L'Obs" et le général Nicolas Richoux, ancien commandant de la 7ème brigade blindée. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 31 octobre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 31/10/2024 Aya de Yopougon, Akissi : Marguerite Abouet donne la parole aux jeunes Ivoiriennes L'auteure et réalisatrice franco-ivoirienne Marguerite Abouet publie “Akissi de Paris”, une BD illustrée par Mathieu Sapin. Dans ce premier volume, elle raconte l'histoire d'une jeune Ivoirienne qui vient d'arriver à Paris. Cette histoire est la sienne puisqu'elle arrive en France à l'âge de 12 ans en 1983. Son personnage doit s'adapter à un nouvel environnement, celui d'un établissement parisien, où il n'est pas simple de surmonter les préjugés et de se faire des amis. Comme l'auteure à son âge, elle apprivoise ses camarades en leur racontant des histoires de son pays d'origine. Akissi n'est pas la première protagoniste imaginée par Marguerite Abouet, qui est également connue pour sa série “Aya de Yopougon” qui compte sept tomes de BD et s'est vendue à plus de 900 000 exemplaires. Soldats nord-coréens envoyés en Russie : à quoi joue Kim Jong-un ? Les États-Unis ont confirmé l'envoi par la Corée du Nord de plus de 10 000 soldats pour s'entraîner dans l'est de la Russie. Ce mardi 29 octobre, les Américains ont été encore plus précis en annonçant avoir décelé un "petit nombre" de soldats nord-coréens dans la région russe de Koursk, frontalière avec l'Ukraine. 2 000 hommes supplémentaires seraient sur le point de d'arriver dans cette zone. Selon les services de renseignements sud-coréens, Pyongyang enverra même des généraux sur la ligne de front. Bien que la Corée du Nord n'ait pas confirmé ces présences, la communauté internationale est préoccupée par les intentions de Kim Jong-un. Le pays a déjà fourni plusieurs millions d'obus à la Russie et a signé, en juin dernier, un traité sur le "partenariat stratégique global" avec Vladimir Poutine. Ce pacte vise notamment à éviter les sanctions de l'ONU, après les essais balistiques et nucléaires de la Corée du Nord, grâce au veto russe. Enfin, Marjorie Adelson nous fait découvrir Igbo-Ora, non loin de la mégapole nigériane de Lagos, ville championne du monde de la naissance de jumeaux et Marie Bonnisseau nous raconte l'histoire d'Halloween, cette fête irlandaise riche en costumes et en empreinte carbone. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 31 octobre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Le président russe Vladimir Poutine envisage-t-il d'utiliser des soldats nord-coréens pour intensifier la guerre en Ukraine ? Le Pentagone mentionne la présence de 10 000 soldats nord-coréens venus s'entraîner dans l'est de la Russie. Plusieurs hauts responsables américains exhortent la Chine à faire pression sur la Corée du Nord pour qu'elle retire ses soldats. L'Otan, quant à elle, avertit d'une possible escalade significative.
Ecoutez Le journal RTL avec La rédaction de RTL du 25 octobre 2024.
durée : 00:19:26 - Journal de 18h - Les Occidentaux en sont désormais convaincus : la Corée du Nord a envoyé en Russie des milliers de soldats. Les deux pays ont accéléré leur coopération militaire depuis l'invasion de l'Ukraine. Reste à savoir si ces soldats seront déployés sur le front ukrainien pour soutenir l'armée russe.
durée : 00:19:26 - Journal de 18h - Les Occidentaux en sont désormais convaincus : la Corée du Nord a envoyé en Russie des milliers de soldats. Les deux pays ont accéléré leur coopération militaire depuis l'invasion de l'Ukraine. Reste à savoir si ces soldats seront déployés sur le front ukrainien pour soutenir l'armée russe.
durée : 00:06:14 - La Revue de presse internationale - La Corée du Sud s'inquiète de la présence de soldats nord-coréens en Russie. Le ministère des affaires étrangères sud-coréen a convoqué l'ambassadeur russe à Séoul, lui demandant un retrait immédiat des troupes envoyées par Pyongyang.
Au sommaire: (00:00:39) L'Italie après 2 ans de Georgia Meloni (00:08:42) Renfort nord-coréen à la Russie: qu'est-ce que ça change? (00:13:07) La neutralité de la Mongolie à l'épreuve de ses puissants voisins
durée : 00:06:12 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Un bataillon de 3 000 hommes s'entraînerait secrètement pour combattre en Ukraine aux côtés de la Russie, affirment plusieurs médias étrangers, ukrainiens notamment. Information démentie par le Kremlin. Mais l'alliance militaire croissante entre Moscou et Pyongyang inquiète l'Occident.
C'est une histoire complètement folle, digne d'un brumeux polar hollywoodien. Elle se déroule en Corée, en 1978. Le grand réalisateur Sud-Coréen Shin Sang-Ok est à la recherche de son ex-femme Choi Eun-Hee, une célèbre actrice qui a mystérieusement disparu. Il suit toutes les pistes possibles et imaginables… mais ne trouve rien. Jusqu'au jour où deux hommes lui sautent dessus, l'assomment et le fourrent dans le coffre d'une voiture. Shin se réveille alors de l'autre côté du 38ème parallèle, en Corée du Nord. Que fait-il là ? Choi a-t-elle également été enlevée par les Nord-Coréens ? Qui est Pulgasari, le dragon mangeur de métal ? Ces questions, un seul homme peut y répondre : le terrible (et cinéphile) leader suprême Kim Jong-il. Une histoire racontée au micro de Jonathan Remy par Fabien Tillon qui a scénarisé la bande-dessinée « Le dictateur et le dragon de mousse » parue aux Editions la boite à bulles (avec Fréwé aux dessins) Sujets traités : Shin Sang, cinéma, dictateur, Sud-Coréen, Corée du Nord, Kim Jong-il. dragon, mousse, socialisme Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
center> Kings Return : Sir Duke After the love has gone So amazing How deep is your love Bridge over troubled water Anthony Vincent : Bohemian Rhapsody/System of a down Smells like teen spirit/Frank Sinatra Ten seconds song : Thriller Du hast/Elvis Presley Covers : Josh Turner : Strawberry fields forever Kristan Toczko : Free bird solo Annen May Kantereit : Toxic Marcin Patzralek : Ain't no sunshine Killing in the name of : par Dub Silence - Viva Vox - Distrokid - Les Choeurs de l'Armée Nord-Coréenne Les Wackids : Killing in the name of I love rock'n'nroll Bombtrack Smells like teen spirit Sons zarbi : Musique de chantier El Patron Grayssoker Balkan Paradise Orchestra : Golden Days Flowin' Qué dolor Neue Trucs en vrac : Jordan Rudess arpegios Clean Bandit vs Earth Wind & Fire : Rather it be september Paul Gilbert shredding on an upright bassEarth Kiss & Fire : I was made for Boogie Wonderland La +BCdM : Simon & Garfunkel : Scarborough Fair/Canticle Live in Central Park par Gordon Heath & Lee Payant - Martin Carthy - Marianne Faithfull - Sergio Mendez & Brazil '66 - Nana Mouskouri - Aurora Aksnes - Naheulband - Javier Rubio Carballo - Laurent Voulzy - Arthur Garfunkel La Playlist de la +BCdM : sur le Tube à Walter sur Spotify (merci John Cytron) sur Deezer (merci MaO de Paris) sur Amazon Music (merci Hellxions) et sur Apple Music (merci Yawourt) Vote pour la Plus Belle Chanson du Monde Le son mystère (45') : Francis Blanche : entretien débraillé avec Denise Glazer Avec : Bibou Bibounette Dany Aude François TJP Je déteste les podcasts Pincho Causmic Beast Stéphane le Podthécaire Merci à : Didier Pop goes the WZA Stéphane Je déteste les podcasts Christophe Laurent Doucet Podcasts & liens cités : Un air de déjà-vu Les podcasts que je veux démonter Galaxy Pop Je déteste les podcasts Studio TJP Walter sur Mastodon Walter sur BlueSky Les 100 +BCdM Le générique de fin est signé Cousbou
Ce vendredi 6 septembre, les activités d'espionnage de la Corée du Nord sur le territoire américain par le biais d'agents secrets qui se font passer pour des travailleurs informatiques, ont été commentées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:34 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon le site Daily NK, basé à Séoul, le régime de Pyongyang n'a pas aimé la séquence du 30 juillet dernier à Paris, lors du podium olympique du double mixte en tennis de table. Les médaillés d'argent nord-coréens ont accepté de faire un selfie avec les sud-coréens. Il risquent des sanctions.
durée : 00:03:34 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon le site Daily NK, basé à Séoul, le régime de Pyongyang n'a pas aimé la séquence du 30 juillet dernier à Paris, lors du podium olympique du double mixte en tennis de table. Les médaillés d'argent nord-coréens ont accepté de faire un selfie avec les sud-coréens. Il risquent des sanctions.
durée : 00:04:23 - Le Zoom de France Inter - REDIFFUSION - Visite dans cet endroit hors du temps qu'est la DMZ, dans la Zone Démilitarisée entre les deux Corée, avec un jeune transfuge nord-coréen, passé au Sud il y a plus de 7 ans. Ayant vécu au Nord comme au Sud, le jeune homme que tente de briser les stéréotypes sur son pays d'origine.
durée : 00:02:26 - Le monde est à nous - Un homme a réussi jeudi à fuir son pays, à la nage, pour se réfugier au Sud. Les évasions ont repris à un rythme très élevé, avec trois fois plus de cas en 2023 qu'en 2022.
durée : 00:02:45 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Ils sont une poignée en 4 ans à avoir réussi à traverser la frontière avec la Corée du Sud. Depuis que la Corée du Nord s'est encore refermée avec le Covid. L'histoire rapportée par le Washington Post est donc réellement exceptionnelle.
durée : 00:02:45 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Ils sont une poignée en 4 ans à avoir réussi à traverser la frontière avec la Corée du Sud. Depuis que la Corée du Nord s'est encore refermée avec le Covid. L'histoire rapportée par le Washington Post est donc réellement exceptionnelle.
Visiter la DMZ, la zone militarisée entre les Corées, avec un Nord-Coréen ? C'est ce que propose Jun, un jeune transfuge, un ressortissant de Corée du Nord passé au Sud il y a plus de 7 ans. Depuis que Kim Jong-un a déclaré en début d'année que le voisin sud-coréen était l'ennemi numéro un du régime, la sécurité à la frontière s'est renforcée drastiquement et les Corées semblent plus éloignées que jamais. Mais ayant vécu au Nord comme au Sud, le jeune homme tente de briser les stéréotypes sur son pays d'origine. De notre envoyé spécial à Paju,La famille de Jun, guide dans la zone démilitarisée, vient du Sud de la Corée du Nord, bien loin de la frontière chinoise, principal point de contact avec l'extérieur. Le jeune homme est prudent et utilise un nom d'emprunt car son père est encore en Corée du Nord. Ainsi, il accepte d'être pris en photo si elles ne sont pas postées sur les réseaux sociaux.Pour lui, retrouver la trace de son père est une tâche presque impossible : « Je pense que si c'était possible de retrouver mon père, j'y serais en deux heures de voiture. Mais ces sept dernières années, j'ai essayé de le contacter, [sans succès] ».Combattre les stéréotypes sur la Corée du NordAvant de se rendre en bordure de son pays natal, Jun fait goûter la cuisine de son pays d'origine auprès d'une restauratrice nord-coréenne. Elle cherche à rester fidèle à la nourriture qu'elle préparait avant de faire défection : « C'est ce type de nourriture que l'on préparait avec ma mère, quand on était en Corée du Nord. Tous les plats que vous voyez, on les trouvait dans les marchés noirs chez nous. C'est très populaire parmi les Nord-Coréens. »Boudin nord-coréen, raviolis de pomme de terre et gâteaux de riz au tofu..., aujourd'hui, presque tout est végétarien, car en Corée du Nord, la viande est très rare. Jun explique que sa mère lui disait de manger autre chose : « Elle me disait tout le temps : ''Ne mange pas ça, car il n'y a pas de protéine…'' ». Arrivé avec sa mère il y a sept ans, Jun souffre toujours des clichés sur les Nord-Coréens : « Parfois, si je rencontre des personnes âgées, elles vont me dire : ''Tu es Nord-Coréen ?'' Et je leur réponds : ''Oui, faites attention !'' »Observer la Corée du Nord depuis les rives de la Corée du SudDes observatoires permettent de scruter les rives nord-coréennes et d'apercevoir des champs où travaillent des ouvriers agricoles, des villages où des messages de propagande sont visibles à travers les jumelles. Ces paysages font rejaillir des souvenirs. Jun raconte qu'il y a une tour dans chaque municipalité, école ou usine, il explique : « Parfois, on devait se lever tôt pour aller à cette tour blanche et nettoyer tout autour. » La visite se termine au pont de l'Unification, à quelques centaines de mètres de la frontière. Jun se projette : « Si j'ai la chance de rentrer chez moi un jour, je devrai utiliser ce chemin de fer et prendre ce pont, le pont de l'Unification. » Pour autant, il confie être contre, pour l'instant, l'unification des deux pays : « Car, si cela arrive, les Nord-Coréens seront transformés en des citoyens de seconde zone. »Son identité doublement coréenne, les discriminations qu'il subit au Sud, la culpabilité d'avoir abandonné les siens, son incroyable parcours vers la liberté à travers la Chine, autant d'histoires que Jun raconte avec une maturité et une honnêteté déconcertantes.À lire aussiCorée du Sud: les habitants proches de la zone démilitarisée inquiets d'une escalade avec le Nord
Des Nord-Coréens trouvent des emplois aux États-Unis pour financer leur programme d'armement. Une bonne campagne marketing peut réussir à vendre un mauvais produit, mais qu'une fois. Discussion techno avec Jordan Chénard, spécialiste en communication marketing.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:54:49 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, retour sur les aventures nord-coréennes dans l'arène la plus lumineuse et scrutée du monde : le football-spectacle. - invités : Lukas Aubin - Lukas Aubin : Docteur en études slaves et spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport - réalisé par : Charles De Cillia
durée : 00:02:42 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - La première dame de Corée du Sud n'a pas été vue en public depuis 4 mois. Une façon d'éviter la polémique alors que le pays s'apprête à voter pour les législatives et que la Corée du Nord se cesse de tirer des missiles.
durée : 00:02:42 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - La première dame de Corée du Sud n'a pas été vue en public depuis 4 mois. Une façon d'éviter la polémique alors que le pays s'apprête à voter pour les législatives et que la Corée du Nord se cesse de tirer des missiles.
Kim Jong-Un intensifie ses préparatifs de guerre. Le leader nord-coréen a annoncé vouloir couper tous les ponts avec la Corée du Sud et met fin au rêve d'une unification. Depuis quelques mois les relations entre les deux Corées se détériorent. Les deux pays ont renoncé à des accords et renforcé la sécurité à la frontière. La Corée du Nord a notamment testé un système d'armement nucléaire sous-marin. Dans le même temps, les États-Unis multiplient les exercices militaires avec la Corée du Sud.
Situées en bordure d'une frontière maritime contestée par la Corée du Nord, les habitants des îles sud-coréennes de la mer Jaune vivent dans une zone de tension historique entre les deux Corées et ressentent plus fort qu'ailleurs les secousses de l'escalade militaire entre Séoul et Pyongyang. De notre correspondant de retour de YeonpyeongÀ deux heures de bateau de la périphérie de Séoul, mais à seulement une dizaine de kilomètres de la Corée du Nord, les 2 000 habitants de Yeonpyeong sont nettement plus proches du voisin que de leur propre capitale. Cernés par les installations militaires, ils peuvent voir les îles nord-coréennes à l'œil nu. « L'atmosphère ici est très tendu en ce moment. » Kim Yeong-sik fait référence au 5 janvier dernier. Ce jour-là, après des tirs d'obus nord puis sud-coréens autour de la frontière maritime, des hauts parleurs ont ordonné à la population d'aller se réfugier dans les abris.Pour en parler, il nous emmène dans son salon où la télévision chronique les dernières sorties de Kim Jong-un, qui a déclaré illégale la frontière maritime, située moins de deux kilomètres de l'île. Un contexte pesant qui rappelle à Yeong-sik l'année 2010, lorsque sa rue fut bombardée par l'armée nord-coréenne et que deux civils sont morts. « L'atmosphère lors de l'ordre de mise à l'abri était pire qu'à l'époque, car nous étions tous inquiets d'être à nouveau bombardés par la Corée du Nord, comme nous l'avons été en 2010. On était extrêmement nerveux. À l'époque, il n'y avait pas eu beaucoup de victimes, mais maintenant l'arsenal nord-coréen est nettement plus puissant… Donc il y aura beaucoup de victimes n'est-ce pas ? J'avais peur de mourir. »À lire aussiLa Corée du Nord tire plus de 200 obus au large de sa côte ouest« C'est l'avant-poste de la Corée du Sud »Sur la place du village, rares sont ceux qui acceptent d'évoquer la tension. Assise sur son scooter pour senior, Kim Jin-hwa sirote un café devant son petit restaurant. Née en Corée du Nord, elle est arrivée sur l'île à 16 ans. Avec ses 90 printemps, elle est la mémoire vivante de Yeonpyeong. « Moi, je suis tellement habituée à vivre dans cette situation. Nous sommes tous très vieux ici, assez pour mourir, ce n'est pas très grave pour nous. Mais je m'inquiète pour mes enfants et pour leurs enfants, parce que c'était douloureux pour moi cette vie dans la guerre. C'est pour ça que cette île est soutenue financièrement par le gouvernement, car c'est l'avant-poste de la Corée du Sud. Si l'endroit n'était pas habité, les Nord-Coréens viendraient le prendre en cinq minutes. »Afin d'inciter les habitants à rester, le gouvernement leur verse entre 70 et 110 euros par mois. Une maigre compensation face au contexte économique morose et à la menace d'un affrontement qui s'intensifie. Une réalité difficile que Choi Myung-ja cherche à fuir quelques instants en partageant un verre avec des amis. « J'ai déjà subi une attaque une fois. C'était dans une situation où je n'avais aucune idée, ou je n'étais pas préparé, j'ignorais tout. Et maintenant, je suis dans une situation où j'ai déjà été attaquée une fois et je crains qu'ils me tirent dessus à nouveau. Mais au quotidien, je fais juste semblant d'ignorer tout ça. »Un mantra que les habitants appliquent désormais depuis plus de 70 ans en espérant un apaisement des relations entre les Corées.À écouter aussiCorée du Nord : une dérive inquiétante
durée : 00:06:42 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La Russie a lancé des missiles balistiques nord-coréens contre l'Ukraine et cherche à s'en procurer en Iran, affirme la Maison Blanche. Au Congrès américain, les démocrates veulent donc débloquer une nouvelle aide à l'Ukraine. Les républicains privilégient la lutte contre l'immigration clandestine.