Organization primarily tasked with preparing for and conducting war
POPULARITY
Categories
durée : 00:55:07 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi 17 juin autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:41:31 - Iran/Israël : jusqu'où ira l'escalade militaire ?
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque mardi et mercredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rendez-vous ici pour lire ce nouveau supplément : https://defense-zone.com/blogs/pro-businessPour vous abonner : https://defense-zone.com/products/premium-pro-businessHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 7h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 7h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rising Lion, une opération digne de la bataille d'Angleterre, d'une ampleur jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale. Pour frapper l'Iran dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin, Israël a engagé plus de deux cents avions. Une opération dont le secret avait été bien gardé. Le succès d'une telle opération repose évidement sur le secret. Pour ne pas éveiller les soupçons, l'armée de l'air israélienne a mené ses activités habituelles jusqu'au bout. Rien ne laissait donc présager que 200 chasseurs, soit les deux tiers de la flotte israélienne ou presque, allaient fondre sur l'Iran. À lire aussiGuerre Israël-Iran: «l'Iran apparaît comme un moyen de faire oublier Gaza et les crimes qui ont été commis» Si Les américains avaient préalablement été informés, les européens notamment n'ont été prévenus que 24H avant l'attaque, un délai très serré. Au total, 5 vagues de bombardements ont été menées et le site nucléaire historique de Natanz a été le premier visé. Une première souligne Elie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales, l'Ifri à Paris, « On a très clairement franchi un cap à la fois par l'ampleur de l'opération et puis par la nature des cibles, puisque le programme nucléaire, spécifiquement, n'avait jamais été visé. On en a beaucoup parlé, mais au moment des échanges de salves qu'on a pu avoir au mois d'avril et au mois de septembre dernier, Israël s'était retenu de frapper les infrastructures énergétiques et les infrastructures liées au programme nucléaire, vraisemblablement à la demande des Américains, l'administration Biden encore à l'époque. Et donc là, on a bien franchi un cap avec une intention de désarmer durablement ce programme puisque l'opération est encore en cours. » La supériorité aérienne d'Israël semble acquise Israël indiquait samedi 14 juin au soir, avoir la maitrise du ciel dans tout l'ouest de l'Iran, jusqu'à Téhéran. Outre le raid aérien, il est à peu près sûr qu'Israël a également engagé des hommes au sol pour mener des actions de sabotages, en particulier avec des drones, contre les systèmes sol air iraniens. La défense sol air iranienne, composée de systèmes Russes S300 a possiblement été réduite au silence. L'armée de l'air israélienne peut donc frapper où elle veut quand elle veut, indique Elie Tenenbaum : « La défense sol/air iranienne a été rudement mise à l'épreuve au cours des deux précédentes opérations qui avaient donné lieu à des tirs de missiles balistiques et à un emploi de drones contre ces fameux S 300 produits par la Russie qui visaient à défendre le territoire et un certain nombre de sites stratégiques. Tsahal dispose aussi d'avions F 35 avec une signature électromagnétique réduite face au radar d'engagement, qui lui permet donc de rentrer dans les enveloppes de tir de ces systèmes de défense sans être vu. Y a-t-il eu également des frappes de neutralisation des défenses aériennes ennemies ou est-ce que finalement ce système de défense avait déjà été affaibli et n'avait pas pu être remis en état ? En tout cas, très clairement, ç'a permis aux Israéliens de tester le dispositif par le passé, de mieux comprendre les failles. Et cette fois-ci, d'y aller en prenant davantage de risques et en mettant en jeu une très grande quantité d'aéronefs. » À lire aussiRiposte iranienne à l'attaque d'Israël: à Tel-Aviv, le quartier du ministère de la Défense lourdement touché Vendredi et samedi, l'Iran a riposté en tirant des dizaines de missiles balistiques contre Israël, de l'efficacité de cette riposte dépend la crédibilité militaire et stratégique de Téhéran.
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Deuxième jour de guerre ouverte après l'attaque aérienne massive d'Israël, baptisée "Rising Lion", notamment contre les installations nucléaires et militaires iraniennes. - invités : Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier
Après l'offensive lancée dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin par Israël sur l'Iran, Téhéran a riposté avec des missiles balistiques sur l'État hébreu. Quelle va être la durée et la suite des événements ? Pour en parler, Joshua L. Zarka, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'État d'Israël en France, invité international de RFI. RFI : L'armée israélienne annonce dans un communiqué que ses avions de chasse vont reprendre les frappes, que les voix vers l'Iran ont été ouvertes. Concrètement, c'est une nouvelle phase de ce qu'on peut qualifier de guerre ouverte ? Joshua L. Zarka : Non, ce n'est pas une nouvelle phase. Nous avions clarifié d'une façon très claire que notre but n'était pas d'avoir une opération qui durerait un jour seulement. Nous allons nous débarrasser et débarrasser le Moyen-Orient de la capacité nucléaire militaire que l'Iran voulait développer. Et tant que cela n'est pas terminé, nous devons continuer cette opération. Nous allons continuer cette opération. Mais quand le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, déclare que « Téhéran brûlera », si l'Iran tire de nouveaux missiles sur Israël, cela va au-delà justement de cet objectif que vous évoquiez, des installations nucléaires... C'est exactement pour clarifier aux dirigeants iraniens, parce que ce n'est pas avec le peuple iranien que nous avons un problème, bien au contraire. Le peuple iranien en a assez de ses dirigeants, de ces mollahs, de ce régime qui les tue. Alors c'est pour clarifier à ce régime qu'il faudrait mieux de ne pas tirer contre nos civils. Nous n'attaquons ni Téhéran, ni les civils iraniens, bien sûr, mais seulement des militaires et des infrastructures militaires. Pour rebondir sur ce que vous dites, parmi les victimes qui ont été annoncées vendredi en Iran, une grande partie sont des civils, selon l'ambassadeur de l'Iran à l'ONU... Oui, c'est vrai, c'est selon l'ambassadeur de l'Iran, comme vous l'avez dit. Mais donc vous niez la qualité de civils de ces personnes ? Nous faisons en sorte, mais nous ciblons seulement les militaires. Si vous avez vu les frappes, certaines des frappes qui ont été faites, c'est non seulement les militaires et les personnes chargées des opérations militaires, mais c'est aussi la chambre à coucher spécifique de la personne où il dormait. C'est seulement l'appartement, par exemple, de M. Salami qui était responsable du programme nucléaire et d'autres. Ce n'est pas contre des civils. Ce qu'a fait l'Iran hier en quatre différentes occasions, c'est de tirer des missiles contre des gens, contre des civils, contre des endroits qui sont peuplés par des civils. Ils n'ont pas ciblés, par exemple, des bases militaires, ce qui serait, comme on dit, de bonne guerre. Vous dites que vous voulez débarrasser le Moyen-Orient de la menace nucléaire iranienne. Beaucoup d'experts doutent de cette faisabilité. Pensez vraiment que ce soit véritablement un objectif réaliste ? Vous utilisez le terme de ce qui est connu justement. Vous savez, dans le développement de capacités militaires, il y a énormément de choses qui ne sont pas connues par le public. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous savons qu'elle peut aboutir. À lire aussiRiposte iranienne à l'attaque d'Israël: à Tel-Aviv, le quartier du ministère de la Défense lourdement touché Vous estimez avoir les capacités militaires pour atteindre les infrastructures souterraines ? Ce qui est connu par des gens qui sont soi-disant, des experts militaires qui ne savent pas ce qu'il y a exactement, ce qui existe dans les arsenaux israéliens, ne veut rien dire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous sommes certains de pouvoir y aboutir. De pouvoir éradiquer complètement le programme nucléaire, pas juste de le retarder ? Vous savez, regardez, il y a eu deux différentes occasions. Il y a eu des événements dans lesquels Israël a débarrassé le Moyen-Orient de programmes nucléaires illicites, c'était en Irak et en Syrie. Dans les deux cas, des experts internationaux disaient que c'était impossible et que de toute façon, ça allait repousser le programme de un ou deux ans. Et dans les deux cas, depuis et jusqu'à présent, les deux dictateurs ont disparu, mais quand ils étaient encore en vie, ils n'avaient pas repris leur intention de développer une arme nucléaire. Alors les experts, souvent, sont des experts civils qui ne savent pas exactement de quoi il s'agit. Ou bien c'est des gens qui connaissaient les facteurs dans le passé, mais ils ne savent pas de quoi il s'agit aujourd'hui. Encore une fois, je le je répète d'une façon très claire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous pensons que nous savons que nous pouvons y aboutir. Monsieur l'ambassadeur, vous parlez d'opération préventive. Dans quel cadre légal notamment, se déroule cette opération ? Il n'y a pas de résolutions de l'ONU et a priori pas de concertation avec les alliés d'Israël ? Mais ce n'est pas une question seulement d'opération préventive. Vous savez, le 7-Octobre est un événement iranien. Sans l'Iran, le Hamas n'aurait pas eu d'armes, n'aurait pas eu le soutien militaire, n'aurait pas eu le soutien économique qu'il a eu. Et non seulement cela, mais en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement sur notre territoire des centaines de missiles. La première fois 350 missiles, missiles de croisière et drones, la seconde fois 180 missiles. Mais il n'y a pas eu d'armes nucléaires utilisées le 7-Octobre ? Madame, j'essaie de vous répondre. Donc, en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement des centaines de missiles contre Israël. Nous sommes déjà en guerre avec l'Iran depuis des années. Depuis très longtemps, l'Iran a tiré des missiles de croisière, des drones, contre Israël à maintes occasions. Alors dire que c'est une opération qui vient « comme ça », comme si on était en paix avec le régime iranien et que d'un seul coup on a décidé d'attaquer, c'est pas du tout le cas. L'Iran nous a attaqué, nous attaque régulièrement. L'Iran a essayé d'assassiner des gens en Israël. L'Iran arme les terroristes, les groupes terroristes qui opèrent en Israël, et l'Iran a attaqué directement le territoire israélien avec des missiles de son territoire directement. Est-ce que c'est une opération qui s'inscrit pour votre pays dans un temps long ? Non, ce n'est pas dans un temps long. Notre intention est de faire ça le plus rapidement possible. Ce n'est pas une opération de plusieurs longues semaines. Ce n'est clairement pas une opération de plusieurs mois. C'est une opération que nous essayons de faire le plus rapidement possible, de raccourcir autant qu'on peut. Le président français a défendu le droit d'Israël à se protéger tout en appelant à la négociation pour régler la question nucléaire iranienne. Est-ce que le Premier ministre Benyamin Netanyahu a parlé à Emmanuel Macron ? Oui, ils se sont parlé. Ils ont eu une très bonne discussion. Les deux dirigeants se parlent assez régulièrement et généralement ont de très bonnes discussions. Est-ce que la France participe aux opérations d'une manière ou d'une autre ? D'abord, la France n'a pas du tout participé à l'attaque. C'était une attaque, une opération qui était une opération israélo-israélienne. La question de la défense d'Israël par rapport aux attaques iraniennes est une question, je pense que le président a parlé qu'il comptait aider Israël à se défendre contre les attaques iraniennes. À lire aussiÀ la Une: l'escalade entre l'Iran et Israël La question de la légalité a été posée par un certain nombre de personnes. Vous estimez que vous étiez dans un état de légitime défense après le 7-Octobre ? C'est ça qui constitue la légalité, le cadre juridique dans lequel vous intervenez ? Ce n'est pas seulement le 7-Octobre. Vous savez, quand un pays comme l'Iran dit d'une façon très claire, et c'est le président, le dirigeant de ce pays qui déclare d'une façon très claire plus d'une fois, il le répète pratiquement chaque semaine, qu'il compte détruire l'État d'Israël, il met même une date, 2035 était la date à laquelle l'Iran devait terminer de détruire Israël. Quand ce pays arme tous les ennemis autour d'Israël, et non seulement cela, mais les encourage, les finance et en plus, quand cet ennemi développe la capacité de détruire mon État, nous sommes en toute légitimité. En plus, si vous voulez ajouter cela, l'Iran a deux fois attaqué, comme je l'ai dit auparavant. L'Iran a attaqué Israël deux fois par des centaines de missiles tirés de son territoire. Au-delà du nucléaire, l'objectif c'est la chute du régime iranien ? C'est l'anéantissement de l'Iran ? Non, clairement non. Je dis ça d'une façon catégorique. D'abord, l'anéantissement de l'Iran, pas du tout. Le peuple iranien est un peuple pacifique, un peuple qui veut et qui a vécu en paix avec nous. Nous n'avons aucune raison de ne pas vivre en paix avec eux. Nous voulons et nous pourrons et nous vivrons en paix avec le peuple palestinien. Alors clairement, ce n'est pas d'anéantir l'Iran. Mais non seulement cela, ce n'est pas non plus d'amener un changement de régime. Nous sommes un petit pays et nous nous défendons. Nous ne sommes pas un nouvel architecte du Moyen-Orient. Même si le Premier ministre Netanyahu disait vendredi dans une vidéo que « le temps est venu pour le peuple iranien de s'unir face au régime pervers et oppressif »... Est-ce que du fait de cette opération contre l'Iran, le front de Gaza devient pour votre pays un théâtre d'opération secondaire ? Je voudrais d'abord répondre à la question dont vous parlez. Le Premier ministre a dit cela en disant que c'était au peuple iranien de choisir leurs dirigeants. Ce n'est pas à Israël de le faire. Et effectivement, je peux vous dire d'une façon très claire que tant que ce régime sera en place, tant que le régime iranien sera en place, il n'y aura pas entièrement de paix au Moyen-Orient, parce que c'est un régime révolutionnaire qui veut changer la façade du Moyen-Orient, qui veut changer le Moyen-Orient en utilisant la force et la violence et le terrorisme. Et sur Gaza, est-ce que ce théâtre est devenu secondaire pour Israël ? De toutes les façons, nous arrivons à la fin de la guerre à Gaza. Le Hamas n'a plus les capacités qu'il avait. Cette guerre à Gaza se terminerait immédiatement si demain ou aujourd'hui le Hamas libérait tous nos otages. Mais ça nous l'avons dit depuis longtemps et ils n'ont qu'à nous tester, qu'ils libèrent nos otages. Cette guerre sera terminée. Nous n'avons rien à faire à Gaza. Nous ne comptons pas rester à Gaza. Nous n'avons jamais voulu annexer ou repeupler Gaza. Gaza est aux Palestiniens, appartient aux Palestiniens et restera aux Palestiniens. Ce que nous voulons, c'est nos otages et qu'ils nous laissent vivre en paix. Vous dites que la guerre arrive à sa fin à Gaza, pourtant le processus politique est un petit peu à l'arrêt. Autour de la bande de Gaza, les négociations peinent à avancer. C'est quoi l'avenir de Gaza ? D'abord, les négociations peinent à avancer. Parce que vous savez que deux fois et à deux occasions, des offres de cessez-le-feu ont été présentées par l'envoyé spécial du président des États-Unis, monsieur Steve Witkoff. Et ces deux occasions, Israël les a acceptées et elles ont été rejetées par le Hamas. Alors, vous savez, le fait que ces organisations, les dirigeants palestiniens rejettent des offres de paix qui sont faites, c'est quelque chose qui se fait régulièrement. Toutes les offres faites par le Hamas ont été rejetées par Israël. C'est le propre des négociations, c'est qu'il faut parvenir à un compromis... C'est pour ça qu'il y a l'envoyé spécial des États-Unis. Mais ce ne sont pas des offres israéliennes. Ce sont des offres américaines avec lesquelles les négociations auxquelles ont participé les Égyptiens et les Qataris. Quel est l'avenir de Gaza dans la vision israélienne ? Notre vision c'est que Gaza appartient aux Gazaouis et doit être géré éventuellement par les Gazaouis et simplement que ce soit démilitarisé, désarmé et qu'ils vivent en paix avec nous. À lire aussi«Israël peut continuer à détruire des sites en Iran mais l'expertise nucléaire va rester»
Le premier ministre canadien, Mark Carney, a annoncé un investissement majeur de 9 milliards de dollars qui doit permettre au Canada d'atteindre sa cible de consacrer 2 % de son PIB aux dépenses militaires d'ici la fin de l'année. Cette hausse vise notamment à réduire la dépendance du pays envers les États-Unis et à assurer la souveraineté du Canada. Mais comment cet investissement se traduira-t-il concrètement? Le professeur titulaire et directeur du Département de science politique à l'UQAM, Justin Massie, nous éclaire.
Nadat Oekraïne afgelopen week een verrassingsaanval uitvoerde op Rusland, sloeg het Russische leger hard terug met de grootste droneaanval in de oorlog tot nu toe en lanceerde het een nieuw offensief - Oekraïne ontkent dat. Ondertussen zegt Trump dat Oekraïne en Rusland misschien maar even een tijdje moeten doorvechten om tot een oplossing te komen.En Israël hield een schip met activisten tegen, dat op weg was naar Gaza om hulpgoederen te leveren - onder hen Greta Thunberg en een Nederlandse stuurman. Dat en meer bespreekt Jos de Groot met generaals buiten dienst Peter van Uhm en Mart de Kruif.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Face à la résistance d'une partie des Californiens aux arrestations d'immigrés clandestins par la police des frontières, Donald Trump déploie la garde nationale à Los Angeles, prenant le risque d'un embrasement, alors que le gouverneur de l'État et la maire de la ville s'y opposent. On va plus loin avec Niagalé Bagyoko et Gauthier Rybinski.
Mark Carney annonce que 9,3 milliards seront investis dans l’armée canadienne. Comment irons-nous chercher cet argent et pour plaire à qui ? Entrevue avec Éric Sauvé, ancien officier des Forces canadiennes et consultant en sécurité et défense. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode du podcast Retour sur l'investissement, Nikolaï Ray accueille Pierre Baillargeon, investisseur immobilier et ancien militaire, pour une conversation directe, humaine et pleine de sagesse terrain. Pierre partage sans filtre ses apprentissages, ses échecs et les liens qu'il fait entre sa rigueur militaire et la construction d'un portefeuille immobilier résilient.Vous découvrirez comment la discipline, l'éducation continue et la patience deviennent des leviers puissants dans un marché où trop de gens cherchent des raccourcis.
Le Journal en français facile du lundi 9 juin 2025, 18 h 00 à Pari.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BkFk.A
Troisième journée de mobilisation en Californie contre les politiques migratoires de Donald Trump : les militaires de la Garde nationale américaine ont été déployés à Los Angeles.
Cette semaine, nous avons rendez-vous avec Pierre Conesa, essayiste et ancien haut fonctionnaire que nous avons déjà eu le plaisir de recevoir dans de précédents épisodes. Cette fois, nous revenons sur la nouvelle chronique qu'il signe dans notre magazine papier, le numéro 19 encore disponible en kiosque pour quelques jours si vous écoutez cet épisode au moment de sa sortie : https://defense-zone.com/products/magazine-defense-zone-18N'oubliez pas de vous abonner au podcast ainsi qu'à notre magazine papier, afin de soutenir notre travail.Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dreigingen vanuit onder andere Rusland zijn lang niet altijd meer van militaire aard. Sterker nog: dagelijks wordt het Westen op digitale manieren aangevallen. Zo zat een Russische groep achter de hack bij de politie. En de Militaire inlichtingendienst, de MIVD, waarschuwt dat Rusland het gemunt heeft op onze vitale infrastructuur. Tegen die cyberaanvallen kan geen tank of raket op. Dus hoe moet de NAVO dit cybergevaar pareren? En is een cyberaanval net zo gevaarlijk als een fysieke aanval? Dat ga je horen in deze aflevering van De Strateeg van: - Bart Groothuis, VVD-Europarlementariër en voormalig hoofd cyberbeveiliging bij het ministerie van Defensie. - Hans Horan, strategisch analist bij het Den Haag Centrum voor Strategische Studies. Luister ook | Tuinman: 'Poetin wordt niet bang van percentages en budgetten' Over deze podcastDe Strateeg is een journalistiek onafhankelijke podcast van BNR, in samenwerking met het Den Haag Centrum voor Strategische Studies (HCSS). Abonneer je via bnr.nl/destrateeg om geen enkele aflevering te missen. Host: Paul van Liempt Redactie: Michaël Roele Tips, vragen of andere opmerkingen over De Strateeg? Stuur dan een mailtje naar roele@bnr.nl.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Bienvenue dans les Fabuleux Destins. Cette semaine, en quatre épisodes, nous allons vous raconter l'histoire d'une étrange créature qui a terrifié la France du 18ème siècle. Aussi cruel qu'insaisissable, ce monstre – qu'on croyait envoyé sur terre par le diable en personne – a laissé derrière lui de nombreux cadavres. Son nom : la Bête du Gévaudan. De ses premières victimes aux grandes chasses organisées pour la tuer, découvrez son mystérieux destin. Le mystère enfin élucidé ? Pendant 150 ans, l'affaire de la Bête du Gévaudan reste célèbre en France et marque durablement le grand public. Mais c'est surtout à partir du 20ème siècle que des théories plus poussées commencent à être élaborées sur la nature du monstre. En 1911, le docteur Paul Puech est le premier à évoquer l'implication d'un tueur humain. Il fait l'hypothèse qu'un « fou sadique », couvert d'une peau de bête, aurait assassiné femmes et enfants en toute impunité pendant 3 ans. Selon lui, l'intelligence supérieure de la créature et les cibles choisies sont des preuves évidentes. Cette idée a ensuite été reprise par de nombreux romanciers, et on a même accusé le comte de Morangiès, un seigneur local de l'époque, d'être le coupable. Militaire déchu, noble frustré et impopulaire dans la région, personnage charmant et raffiné en apparence cachant au fond de lui une violence inouïe… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire cambridge analytica [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire Médiator [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire des Pentagones Papers [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire McLibel ou le procès McDonald's Un podcast Bababam Originals Ecriture : Elie Olivennes Production : Bababam (montage Raphaël Menou) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est cette spectaculaire opération militaire de l'Ukraine contre l'aviation russe ; cela à des milliers de kms de la zone de combat. Avec des dizaines de drones, des avions ont été détruits en nombre. Il y a des bombardiers transformés en tas de ferraille. Un affront pour Moscou, une réussite pour Kiev. Toile d'Araignée, le nom de cette opération a eu comme conséquence, la nuit dernière, de nouveaux bombardements massifs en riposte. Avec Thanh Ha TRAN de la rédaction vietnamienne Judith Cheng pour la rédaction en chinoisIssouf Zerbo de la rédaction en mandenkan.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est cette spectaculaire opération militaire de l'Ukraine contre l'aviation russe ; cela à des milliers de kms de la zone de combat. Avec des dizaines de drones, des avions ont été détruits en nombre. Il y a des bombardiers transformés en tas de ferraille. Un affront pour Moscou, une réussite pour Kiev. Toile d'Araignée, le nom de cette opération a eu comme conséquence, la nuit dernière, de nouveaux bombardements massifs en riposte. Avec Thanh Ha TRAN de la rédaction vietnamienne Judith Cheng pour la rédaction en chinoisIssouf Zerbo de la rédaction en mandenkan.
Le 2e régiment de hussards, en partenariat avec la ville de Haguenau, organise une course à obstacles ouverte à tous. Trois parcours sont proposés : 1 km pour les enfants de 4 à 11 ans, 3,5 km à partir de 8 ans, et 9 km dès 12 ans. Seul, entre amis ou en famille, chacun pourra relever le défi, avec des départs en continu toute la journée. Une zone de restauration, des animations et des stands d'informations sur les métiers de l'armée seront également présents. Une partie des fonds récoltés sera reversée au profit des blessés de l'armée de Terre.Informations pratiques : Parking du Quartier Estienne67500 Oberhoffen-sur-ModerTarifs : Parcours 9 km : 12€, Parcours 3,5 km : 8€, Parcours enfant 1 km : 3€Inscription et billetterie : https://my.weezevent.com/haguenau-warriors-race-2RHLes interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Operatie Spinnenweb: schijnbaar uit het niets viel Oekraïne diep in Rusland met kleine drones militaire vliegvelden aan en vernietigde zo een deel van de Russische strategische bommenwerpers. En dat aan de vooravond van nieuwe vredesgesprekken tussen beide landen in Istanbul. En in Nederland is het kabinet gevallen, nadat PVV-leider Geert Wilders dinsdag de stekker eruit trok. Wat betekent dat voor de Defensieplannen en de opbouw van de Nederlandse krijgsmacht? Dat en meer bespreekt Jos de Groot met generaals buiten dienst Peter van Uhm en Mart de Kruif.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Des djihadistes du Gnim, liés à Al-Qaïda, affirment s'être emparés de la base militaire de Boulkessi, dans le centre du Mali. L'armée malienne a pour sa part confirmé avoir dû se replier face à l'intensité des combats. Le bilan est actuellement de plus de 30 morts.
durée : 00:13:01 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Dans ce nouvel épisode de notre série consacrée aux grands penseurs des relations internationales et de la géopolitique, nous nous penchons aujourd'hui sur l'un de leurs pionniers : Sun Tzu. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Yann Couderc Historien de l'armée de Terre, colonel
Découvrez ce nouvel opus de la collection "Les Essentiels" de Défense Zone : https://defense-zone.com/products/la-legion-etrangere-collection-dz-essentiels-fred-marieHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:00 - Journal de 18h - Une délégation ukrainienne ira bien lundi à Istanbul, pour négocier avec le camp russe, suite à la proposition de Moscou de nouveaux pourparlers, 15 jours après une première session qui n'avait rien permis d'autre qu'un vaste échange de prisonniers.
durée : 00:10:00 - Journal de 18h - Une délégation ukrainienne ira bien lundi à Istanbul, pour négocier avec le camp russe, suite à la proposition de Moscou de nouveaux pourparlers, 15 jours après une première session qui n'avait rien permis d'autre qu'un vaste échange de prisonniers.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:02 - Les Cartes en mouvement - par : Delphine Papin - Cette semaine, dans les Cartes en mouvement, Delphine Papin s'intéresse au virage militaire inédit en Allemagne qui veut se doter de « l'armée la plus puissante d'Europe ». Une rupture pour un pays encore hanté par le passé.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Oekraïne moet zich voorbereiden op een zomeroffensief, zeggen militaire experts. Want Rusland lijkt voorlopig geen interesse in vrede te hebben, blijkt ook wel uit de hevige bombardementen elke week. Dit weekend noemde Trump Poetin daarom zelfs ‘'gestoord''. Wel krijgt Oekraïne nieuwe mogelijkheden: alle beperkingen op het gebruik van westerse langeafstandswapens worden opgeheven. En dat betekent dat Oekraïne vanaf nu doelwitten nog dieper in Rusland kan raken.Dat en meer bespreekt Jos de Groot met generaals buiten dienst Peter van Uhm en Mart de KruifZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
(Premier épisode) Le jeudi 20 août 1981, Pascal Sergent, un jeune homme de 20 ans qui effectue son service militaire à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, décide de faire de l'auto-stop pour rejoindre sa famille pour le week-end. Ne le voyant pas arriver, ses parents s'inquiètent.Quatre jours plus tard, la gendarmerie leur fait savoir que leur fils est désormais considéré comme déserteur, ayant quitté l'armée sans autorisation. Sa mère ne croit pas à cette piste, sachant son fils très épanoui. Les années suivantes, sept autres hommes disparaissent dans les mêmes conditions.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, le chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA, Faites entrer l'accusé.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien et du Parisien Magazine, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que celles de Libération et de l'émission « Au bout de l'enquête » sur France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) Le jeudi 20 août 1981, Pascal Sergent, un jeune homme de 20 ans qui effectue son service militaire à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, décide de faire de l'auto-stop pour rejoindre sa famille pour le week-end. Ne le voyant pas arriver, ses parents s'inquiètent.Quatre jours plus tard, la gendarmerie leur fait savoir que leur fils est désormais considéré comme déserteur, ayant quitté l'armée sans autorisation. Sa mère ne croit pas à cette piste, sachant son fils très épanoui. Les années suivantes, sept autres hommes disparaissent dans les mêmes conditions.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, le chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA, Faites entrer l'accusé.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien et du Parisien Magazine, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que celles de Libération et de l'émission « Au bout de l'enquête » sur France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce vendredi 23 mai, le naufrage d'un navire militaire nord-coréen nouvellement lancé qui provoque la colère de Kim Jong-un, lui qui a promis de moderniser la flotte navale de son pays, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Het gaf een beetje hoop, maar de gesprekken tussen Oekraïne en Rusland van afgelopen week hebben niet geleid tot een wapenstilstand. Dat werd dit weekend ook wel duidelijk, toen Rusland de grootste droneaanval op Oekraïne uitvoerde sinds de start van de Russische invasie in 2022.Israël is een nieuw offensief in Gaza begonnen. Europese leiders zijn diep geschokt over de situatie van de Palestijnen in dat gebied en roepen Israël op om te stoppen met de nieuwe aanval. Ondertussen komt de NAVO-top eraan. De thema's: de Russische dreiging en defensiebudgetten. Want, hoeveel gaat Nederland straks uitgeven aan defensie?Jos de Groot bespreekt het met generaal buiten dienst Peter van Uhm en minister van Defensie Ruben Brekelmans.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Si la guérilla kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan, le PKK, est née en Turquie à la fin des années 1970, c'est au Kurdistan irakien voisin qu'elle a installé ses quartiers généraux. Les combats s'y sont déportés et même concentrés : depuis 2022, l'armée turque mène une opération militaire d'envergure dans la vallée d'Amedi en Irak, véritable occupation du territoire où les populations civiles sont prises au piège. L'officialisation, le 12 mai, de la dissolution du groupe insurgé kurde qui mettrait un terme à plus de 40 ans de lutte armée, suscite les espoirs d'un retour à la vie normale, même si beaucoup craignent que la présence militaire turque se prolonge. De notre envoyé spécial de retour d'Amedi,Deux jours après l'annonce par le Parti des travailleurs du Kurdistan de sa volonté à s'engager dans un processus de paix avec la Turquie, le calme règne dans le petit village de Guharzé, au Kurdistan irakien. Shayda, 19 ans, nous ouvre les portes de son jardin. Une sérénité qui contraste avec la violence de ces derniers mois : « Le 27 octobre dernier, nous étions tous en train de dîner, il n'y avait pas particulièrement de combats ce soir-là, alors, nous ne nous y attentions pas, quand soudain, il y a eu un immense fracas, nous sommes sortis précipitamment de la maison, nous ne pouvions rien voir avec la fumée et la poussière dans nos yeux. »Le père de Shayda nous emmène au fond du jardin, il désigne un cratère creusé à une dizaine de mètres de la bâtisse : « Une rocket tirée par un drone est tombée juste là. Regardez, ici, le plafond s'est effondré, les murs sont fissurés, toutes les fenêtres ont été soufflées vers l'intérieur de la maison. Nous avons vidé quatre brouettes de fragments de la bombe… »La bombe qui s'est écrasée sur le jardin de Shayda et son père a été larguée par un drone turc. Malgré la rumeur de la paix, leur ronronnement discret est incessant dans le ciel de Guharzé. Sur une pente rocailleuse à la sortie du village, nous retrouvons son chef, Ahmed, il fait paître ses 200 chèvres dans un enclos bien trop étroit : « Si l'on s'éloigne du village, on risque d'être pris pour cible. Ou les drones vont se mettre à nous tourner autour dans le ciel, ils vont nous forcer à rentrer avec nos chèvres. C'est pour ça qu'on ne quitte pas le village. On se fait tirer dessus. Avant, nous vivions plus haut dans la montagne, nous avions des vignes, des arbres fruitiers, nos fermes. Mais nous ne pouvons plus y accéder, l'armée turque occupe ces terres. »À lire aussiTurquie : le Parti des travailleurs kurdes (PKK) annonce sa dissolution après plus de 40 ans de lutte arméeDans sa lutte contre la guérilla du PKK, repliée dans un réseau de tunnels et dont les déplacements sont invisibles, depuis six ans, la Turquie a renforcé son emprise sur le territoire. Pour en prendre la mesure, nous rejoignons le village de Sergélé, situé à 20 kilomètres de la frontière. Agriculteur à la retraite, Rochavi nous invite à le suivre sur son toit : « Vous voyez, de ce côté, il y a les bases de la Turquie, toute la montagne de Matin, c'est désormais la Turquie… »À moins de cinq cents mètres, nous pouvons discerner les sacs de sables qui protègent une installation militaire posée sur un promontoire rocheux. Il y en aurait plus de 136 disséminées au Kurdistan irakien : « Nous sommes tous extrêmement soulagés que le PKK ait pris cette décision de se dissoudre, ils auraient dû la prendre il y a plus de dix ans. Si ce processus de paix est un succès et que le PKK abandonne les armes, nous pourrons retrouver nos montagnes, nos animaux, nos fermes… »Pour cela, les soldats turcs doivent quitter le Kurdistan. Les mains crispées autour de sa tasse de thé, Rochavi est habité par les doutes : « Je ne suis pas sûr que la Turquie s'en ira aussi facilement. La terre du Kurdistan, c'est de l'or. Et les Turcs ont jeté leur dévolu dessus et ont coupé tous les arbres de la région, des arbres fruitiers parfois centenaires, et ils les ont emportés en Turquie. Mais si le PKK n'existe plus, ça doit s'arrêter. »Les bruissements de la paix sont sur toutes les lèvres dans cette vallée où les civils vivent sur un fil et les bombardements ont certes diminué ces derniers jours, mais n'ont pas cessé pour autant, alors que la démobilisation du PKK est attendue ces prochains mois. À lire aussiPKK: histoire d'une lutte armée dont la fin annoncée peut recomposer le Moyen-Orient
Nous sommes le 24 mars 1976, en Argentine. Il est 3h10 lorsque les programmes de télévision et de radio s'interrompent. On peut entendre alors un speaker informer la population : « … qu'à compter de ce jour, le pays se trouve sous le commandement opérationnel de la junte militaire ». Trois ans après la fin d'une autre dictature, celle de la de la Révolution, la junte prend le pouvoir dans un contexte de grande tension entre péronistes de gauche et de droite. « Processus de réorganisation nationale », c'est le nom que se donne officiellement le régime qui va ravager le pays. Jusqu'à sa chute en 1983, on estime que 30.000 personnes vont disparaître et que 15.000 autres seront fusillées. On dénombrera 9 000 prisonniers politiques et 1,5 million d'exilés. Plusieurs centaines de bébés seront enlevés aux parents disparus. « Régime d'exception », « Etat de siège », « Etat d'urgence » : comment une société en arrive-t-elle à engendrer sa propre destruction ? De quelle manière la terreur atomise-t-elle le tissu social et culturel ? Comment évaluer le degré d'acceptation de la violence ? Quels sont les moyens ultimes qui permettent de résister au totalitaire ? En quoi la dictature argentine a-t-elle été un laboratoire ? Invitée : Alice Verstraeten, anthropologue et fondatrice des éditions des collemboles. « Face à l'abîme » éd. des collemboles. Sujets traités : Argentine, dictature, terreur, Resistance , junte, militaire, Révolution, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nederland wil zijn eigen satellieten maken en lanceren om zo Oekraïne beter te kunnen steunen. En NAVO-chef Mark Rutte waarschuwt dat Rusland overweegt om nucleaire wapens in de ruimte te gebruiken tegen die satellieten. Het is duidelijk dat de ruimte een steeds belangrijker onderdeel vormt van de militaire techniek van vandaag de dag. Want zonder de ruimte kunnen we op het land vrij weinig. Welke cruciale rol speelt de ruimte? Hoe groot is het gevaar van een oorlog daar. En hoe beschermen we onze space-infrastructuur tegen dreigingen van buitenaf? Dat ga je horen in deze aflevering van De Strateeg van: - Patrick Bolder, defensie-expert bij het Den Haag Centrum voor Strategische Studies - Kees Buijsrogge, directeur ruimtevaart bij TNO Luister ook | Zorgt Trump ervoor dat Europa militair écht gaat samenwerken? Over deze podcastDe Strateeg is een journalistiek onafhankelijke podcast van BNR, in samenwerking met het Den Haag Centrum voor Strategische Studies (HCSS). Abonneer je via bnr.nl/destrateeg om geen enkele aflevering te missen. Host: Paul van Liempt Redactie: Michaël Roele Tips, vragen of andere opmerkingen over De Strateeg? Stuur dan een mailtje naar roele@bnr.nl.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Voor het eerst in ruim drie jaar zou er vandaag direct tussen Oekraïne en Rusland worden onderhandeld. Locatie: Turkije. Grote afwezige: Poetin. Wat betekent dit voor de onderhandelingen? En een half miljoen Palestijnen dreigen te verhongeren. Het Israëlische leger blijft humanitaire hulp blokkeren. Nu al moeten 70.000 kinderen en 17.000 moeders acuut worden behandeld vanwege ondervoeding. Dat en meer bespreekt Lauren Fabels met generaals buiten dienst Peter van Uhm en Mart de Kruif. Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Episode 537 - Matthew James Jones - Poet, Novelist, Storyteller and Veteran - Author of Predators, Reapers and Deadlier CreaturesMatthew James Jones is a poet, novelist, storyteller and veteran whose novel Predators, Reapers and Deadlier Creatures is available in Canada, France, the US, the UK, and Germany. Today, Matt writes and teaches in Paris: leadership at the École Militaire and creative writing at SciencesPo. His many published works interrogate themes of dehumanization, poetics, monsters, masculinity, cross-cultural exchange, and healing. He also co-hosts the by-donation Write Time workshop, and organizes fitness enthusiasts who use trees as barbells: the Log Club.Book: Predators, Reapers and Deadlier CreaturesPredators, ReaperSupport the show___https://livingthenextchapter.com/podcast produced by: https://truemediasolutions.ca/Coffee Refills are always appreciated, refill Dave's cup here, and thanks!https://buymeacoffee.com/truemediaca
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Voedsel, water, medische hulp: In Gaza ontbreekt het aan alles. Dit weekend presenteerde Israël een plan om noodhulp te leveren, maar tegelijkertijd kondigden ze óók aan hun militair offensief uit te breiden. Redacteur Derk Walters vertelt hoe Israël voedselhulp inzet als onderdeel van zijn militaire strategie.Heb je vragen, suggesties of ideeën over onze journalistiek? Mail dan naar onze redactie via podcast@nrc.nl.Gast: Derk WaltersPresentatie: Iddo HavingaRedactie: Suzan Yücel, Niki Ipenburg, Tessa ColenMontage: JP GeersingEindredactie: Anna Korterink & Nina van HattumCoördinatie: Ignace SchootProductie: Andrea HuntjensZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 07 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des drones ont bombardé mardi une importante station électrique ainsi que l'aéroport et une base militaire de Port-Soudan, au troisième jour de frappes sur cette ville de l'est du Soudan abritant le siège provisoire du gouvernement, en guerre contre les paramilitaires.
Dans la continuité du slogan Make America Great Again, Donald Trump se place en rupture avec les grands axes de la diplomatie des États-Unis. Sa présidence est porteuse de grands défis pour le monde tant elle est pour le moins disruptive. Le président américain en déplacement au Vatican, ce samedi, pour les obsèques du pape François, termine les 100 premiers jours de son second mandat, pied au plancher mais qu'il pourrait être contraint de lever. Religion, immigration ou diplomatie, il a multiplié les déclarations chocs, les annonces fracassantes et les revirements subits. De sa volonté de prendre le contrôle de la bande de Gaza pour en faire la Riviera du Moyen-Orient, d'annexer le Groenland pour ses terres rares, du Canada pour l'intégrer comme le 51è État américain qualifiant au passage la frontière avec le voisin du Nord de « ligne artificielle », du canal de Panama… aux attaques à l'encontre du président ukrainien qualifié de « dictateur sans élection » en passant par les pourparlers avec Moscou tout en contournant les Européens et avec la volonté de renverser la table. Et parce qu'il le peut, il le fait. Depuis son retour à la Maison Blanche, le président américain peine pourtant à résoudre les deux conflits dans lesquels il s'est investi. Ukraine et Moyen-Orient et a allumé une guerre commerciale prioritairement dirigée contre la Chine.Quels contre-pouvoirs s'il y en a? L'instabilité américaine donne t elle de l'espace à l'influence chinoise ? Une désescalade est-elle en vue?Invités : Agnès Levallois, vice-présidente de l'IREMMO et chargée de cours à Sciences Po. Auteure du « Livre noir de Gaza », éditions du Seuil Paul Charon, directeur du domaine « Renseignement ; anticipation et stratégies d'influence » à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire, l'IRSEM Philip Golub, Professeur de Relations internationales à l'Université Américaine de Paris Alain Roy, écrivain, éditeur et traducteur. Directeur de la revue « L'Inconvénient ». Dernier livre : « Le cas Trump. Portrait d'un imposteur », éditions Ecosociété.