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À l'occasion de la Journée internationale des Casques bleus, l'adjudant-chef Bogdan, témoigne sur son quotidien en tant que chef de l'équipe de déminage au sein de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), où il est déployé depuis deux mois et demi.Toujours prêt à intervenir jour et nuit, son équipe veille à la sécurité en entretenant rigoureusement le matériel le moindre défaut pouvant mettre en danger leur sécurité. Elle œuvre également à la sensibilisation des soldats aux dangers des explosifs.L'adjudant-chef Bogdan explique que le maintien de la condition physique et mentale est indispensable, tout comme les contacts quotidiens avec les proches pour garder le moral.Fort d'une expérience en opérations extérieures avec le 2e régiment, il incarne la devise des démineurs « compos sui », la maîtrise de soi.Le plus difficile dans le déminage, signale-t-il, c'est lorsqu'il y a une absence d'informations techniques sur la menace, car ces informations sont essentielles pour déterminer la méthode de neutralisation la plus adaptée.Pour l'adjudant-chef, servir en tant que Casque bleu dans une mission de paix internationale est une fierté qu'il recommande vivement à ceux qui souhaitent s'engager. (Interview : Adjudant-chef Bogdan, chef d'équipe EOD au sein de la force commande réserve de la FINUL; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La radio, outil ludique et pédagogique d'éducation aux médias et à l'information. C'est ce que propose depuis une dizaine d'années le réseau social éducatif European School Radio, installé dans les locaux de l'université internationale de Thessalonique en Grèce. Cette structure éducative vient d'organiser mi-avril un festival radiophonique destiné aux enfants et aux adolescents grecs, avec des jeunes venus de France, d'Allemagne ou encore de Chypre. Comment s'informent-ils ? Comment abordent-ils les fausses informations ? De notre envoyé spécial à Neos Marmaras,L'événement de cette mi-avril, c'est la soirée d'ouverture d'un festival radiophonique destiné aux jeunes qui regroupe près d'un millier de participants en Grèce. Jeunes Français, Allemands ou Grecs sont venus réaliser un podcast pour documenter, comme des apprentis journalistes, leur passage au festival, un projet baptisé Kids radio Europe. Casque sur les oreilles et enregistreur à la main, Jade, 16 ans, profite d'une excursion dans la forêt pour se fondre dans le rôle de reporter et capturer l'atmosphère sonore. Face à la multitude d'informations qui circulent sur les réseaux sociaux, l'adolescente se dit méfiante. « Quand j'entends ma sœur parler de ce qui a eu lieu, de ce qui s'est passé sur TikTok, j'ai tendance à aller sur Internet voir si c'est réel ou pas. C'est plus simple quand ça vient de médias officiels pour moi parce qu'il y a des gens derrière qui ont revérifié l'info », estime la jeune fille.Ses jeunes collègues grecs, Johanna, 16 ans, et Anna, 15 ans, affirment également la culture du doute. « Pour l'actualité, je m'informe bien sûr un peu via la télévision, mais surtout via Internet. Je consulte plusieurs sites pour être sûr que les informations soient fiables. Quand les journalistes grecs exagèrent, lorsqu'ils en font des tonnes, je ne leur fais pas confiance », raconte Johanna. « C'est principalement la télé que je suis les informations. Ici, à la télévision, je trouve que les journalistes exagèrent beaucoup. Ils rendent les sujets beaucoup trop dramatiques. Cela peut pousser les gens à croire ne sont pas vraies. Je pense que ça va être encore pire dans le futur avec l'intelligence artificielle. Nous, les jeunes, on l'utilise, mais elle peut aussi contenir de fausses informations », selon Anna.D'où l'intérêt pour leurs encadrants d'initier enfants et adolescents à l'univers de l'information. Myrto Stamelaki dirige ce projet européen d'éducation aux médias au sein de l'association les Francas. Elle en résume la mission éducative. « Comprendre comment fonctionne le monde des médias, comment on peut aller chercher une information, vérifier une source. Notre objectif principal, c'est développer l'esprit critique », explique-t-elle. L'initiation aux médias et à l'outil radio passe aussi par la dimension ludique. Laura, 12 ans, informe ses auditeurs des péripéties du séjour, via un carnet de voyage. Documenter le monde tel qu'il est et non tel qu'on voudrait qu'il soit. Voilà peut-être pour ces collégiens et lycéens européens l'une des leçons de ce festival radiophonique.À écouter aussiAppels sur l'actualité: semaine de la presse et des médias à l'école
La radio, outil ludique et pédagogique d'éducation aux médias et à l'information. C'est ce que propose depuis une dizaine d'années le réseau social éducatif European School Radio, installé dans les locaux de l'université internationale de Thessalonique en Grèce. Cette structure éducative vient d'organiser mi-avril un festival radiophonique destiné aux enfants et aux adolescents grecs, avec des jeunes venus de France, d'Allemagne ou encore de Chypre. Comment s'informent-ils ? Comment abordent-ils les fausses informations ? De notre envoyé spécial à Neos Marmaras,L'événement de cette mi-avril, c'est la soirée d'ouverture d'un festival radiophonique destiné aux jeunes qui regroupe près d'un millier de participants en Grèce. Jeunes Français, Allemands ou Grecs sont venus réaliser un podcast pour documenter, comme des apprentis journalistes, leur passage au festival, un projet baptisé Kids radio Europe. Casque sur les oreilles et enregistreur à la main, Jade, 16 ans, profite d'une excursion dans la forêt pour se fondre dans le rôle de reporter et capturer l'atmosphère sonore. Face à la multitude d'informations qui circulent sur les réseaux sociaux, l'adolescente se dit méfiante. « Quand j'entends ma sœur parler de ce qui a eu lieu, de ce qui s'est passé sur TikTok, j'ai tendance à aller sur Internet voir si c'est réel ou pas. C'est plus simple quand ça vient de médias officiels pour moi parce qu'il y a des gens derrière qui ont revérifié l'info », estime la jeune fille.Ses jeunes collègues grecs, Johanna, 16 ans, et Anna, 15 ans, affirment également la culture du doute. « Pour l'actualité, je m'informe bien sûr un peu via la télévision, mais surtout via Internet. Je consulte plusieurs sites pour être sûr que les informations soient fiables. Quand les journalistes grecs exagèrent, lorsqu'ils en font des tonnes, je ne leur fais pas confiance », raconte Johanna. « C'est principalement la télé que je suis les informations. Ici, à la télévision, je trouve que les journalistes exagèrent beaucoup. Ils rendent les sujets beaucoup trop dramatiques. Cela peut pousser les gens à croire ne sont pas vraies. Je pense que ça va être encore pire dans le futur avec l'intelligence artificielle. Nous, les jeunes, on l'utilise, mais elle peut aussi contenir de fausses informations », selon Anna.D'où l'intérêt pour leurs encadrants d'initier enfants et adolescents à l'univers de l'information. Myrto Stamelaki dirige ce projet européen d'éducation aux médias au sein de l'association les Francas. Elle en résume la mission éducative. « Comprendre comment fonctionne le monde des médias, comment on peut aller chercher une information, vérifier une source. Notre objectif principal, c'est développer l'esprit critique », explique-t-elle. L'initiation aux médias et à l'outil radio passe aussi par la dimension ludique. Laura, 12 ans, informe ses auditeurs des péripéties du séjour, via un carnet de voyage. Documenter le monde tel qu'il est et non tel qu'on voudrait qu'il soit. Voilà peut-être pour ces collégiens et lycéens européens l'une des leçons de ce festival radiophonique.À écouter aussiAppels sur l'actualité: semaine de la presse et des médias à l'école
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 228 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.Le Vision Pro 2 ou un Vision Air, le 9 juin à la WWDC25 ?Enregistré mardi 15 avril 2025 à 17h45, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Fabrice Neuman, consultant auprès des petites entreprises et contributeur sur "Comment ça marche", Gilles Dounès, ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de "iPod Backstage" et Baptiste Dajon, chef de compte Apple et évangéliste Technologie chez Décathlon.Au sommaire de cet épisode 228 : le retour des rumeurs autour des projets d'Apple en ce qui concerne les masques qui vont succéder au Vision Pro, 1ère génération : le Vision Pro 2 et un Vision Air pourraient être présentés à la WWDC 2025, le 9 juin. Quelles seraient les caractéristiques et leur prix ? Comment se distingueraient-ils du masque XR que s'apprêtent à sortir Samsung et Google ?Notre "retour sur", cette semaine, est consacrée à l'exemption (provisoire) de droits de douane dont profitent finalement les smartphones (dont l'iPhone), les ordinateurs (dont les Mac), le semiconducteurs et autres produits électroniques. Apple s'en sort bien mais ce répit n'est pas définitif. Alors, que réserve l'avenir au-delà de ces 90 jours ?Et puis, quel printemps et quelle suite d'année pour Apple TV+ après le coup de boost apporté par Severance depuis la fin janvier ? Quelle sont les séries et les films prévus par Apple pour maintenir l'intérêt pour sa plateforme de streaming pour la suite de 2025 ? Ne manquez pas l'extrait de notre autre podcast, "Les Voix de la Tech", dans lequel Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes, raconte la venue de Tim Cook à Cannes en 2023.Exceptionnellement, pas de bonus exclusif Patreon. Veuillez nous en excuser. Nous espérons reprendre avec l'épisode 229 ! Merci de votre fidélité et de votre compréhension.À mardi prochain, 15 avril 2025, pour l'épisode 228 dont l'enregistrement sera à suivre en direct à partir de 17h30 sur sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:46 - Dans la tête qui est sous le casque qui brille - Réécoutez le si j'osais de ce jeudi où il est question des pompiers, de leurs beaux casques qui brillent et de ce qu'ils ont dans la tête.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Étienne Liebig et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bienvenue dans À Casque Ouvert, l'émission de Podcasque !
Le Dr Philippe Charbonneau décrit en détails l'anévrisme de l'aorte; Evelyne Charuest fait un survol des casques offerts pour la pratique de certains sports; l'ingénieure en aérospatiale Farah Alibay explique comment on mesure la vitesse d'un objet dans l'espace; et la journaliste Fanny Tan observe les débats idéologiques en cours sur Wikipedia.
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Tous les jours à 5h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Charles Matin, sur RMC.
Pour écouter mon épisode Pourquoi une affiche représentant Cyril Hanouna est-elle jugée antisémite ? :Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-une-affiche-représentant-cyril-hanouna-est/id1408994486?i=1000699157434Spotify:https://open.spotify.com/episode/7jKTToxmmpxtqYMIljyUIr?si=e65099f171d14fc6-------------------------Astérix, le célèbre héros gaulois de la bande dessinée créée par René Goscinny et Albert Uderzo, est toujours représenté avec un casque orné de deux ailes blanches. Ce détail iconique n'est pas anodin et est avant tout une mauvaise reconstituion historique.1. Une référence aux Gaulois et à leurs casquesDans l'imaginaire collectif, les Gaulois sont souvent représentés avec des casques ornés, bien que cette vision soit en partie une invention moderne. Les véritables casques gaulois retrouvés par les archéologues comportaient parfois des décorations, mais rarement des ailes. Certains modèles étaient surmontés de cornes (comme le casque d'Amfreville) ou d'autres ornements en métal. Les ailes du casque d'Astérix sont donc une interprétation fantaisiste plutôt qu'un reflet strict de la réalité historique.2. Une inspiration mythologique nordiqueLe casque ailé d'Astérix évoque également la mythologie nordique, notamment les représentations populaires des dieux et guerriers scandinaves comme Odin ou les Valkyries. Ces figures sont souvent illustrées avec des casques ailés, bien que cela soit aussi un mythe propagé par l'opéra et l'iconographie du XIXe siècle. Cette inspiration donne au personnage une dimension héroïque et épique.3. Un élément graphique fort et distinctifD'un point de vue artistique, les ailes du casque d'Astérix remplissent un rôle essentiel : elles accentuent le dynamisme du personnage. Elles bougent souvent en fonction de son état d'esprit ou de ses actions, ajoutant une touche d'expressivité et de mouvement. Cet élément distinctif permet également aux lecteurs de reconnaître instantanément Astérix parmi d'autres personnages.4. Un symbole de vitesse et de maliceLes ailes sont traditionnellement associées à la vitesse et à l'agilité, à l'image du dieu Mercure (Hermès chez les Grecs), messager des dieux romains. Astérix, petit mais rusé et rapide, partage ces qualités : il est souvent plus malin que ses adversaires et sait se faufiler habilement dans les situations les plus complexes. Son casque ailé devient ainsi le symbole de son intelligence et de son esprit vif.En conclusion, le casque ailé d'Astérix est un mélange d'inspirations historiques, mythologiques et artistiques. Il contribue à l'identité visuelle du personnage tout en reflétant ses traits de caractère essentiels : la ruse, la rapidité et l'héroïsme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:35 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Un reportage du quotidien britannique The Guardian fait état du recours à des casques de réalité virtuelle (VR) dans les prisons californiennes, une manière de mieux appréhender le retour à la vie hors des murs.
Shortly before his passing, JM decided he wanted to start a new podcast. He recorded his first episode, but passed away before he could complete any others.Very few people have heard it, so we decided it might be a nice idea to release his raw audio for all of you to hear. please not this audio is four years old, so a lot of the information is out of date.You'll see what I mean. Enjoy.
Dans cet épisode, GabrielleThéorêt, physiothérapeute chez Physiovélo, discute avec sa collègue Christina Tremblay, de l'équipement le plus important à posséder pour réaliser un triathlon. Bonne écoute
SOLENOÏDE, émission de 'musiques imaginogènes' diffusée sur 30 radios dans le monde
Solénoïde (10.02.2025) - Préparez-vous à un voyage immersif au cœur des musiques atmosphériques avec Solénosphère 32 ! Ce nouvel épisode de Solénoïde vous convie à une exploration sonore entre contemplation cosmique et rêverie écologique. Au programme : six compositeurs venus des quatre coins du globe, véritables architectes du son, sculptant textures et espaces à travers l'ambient, l'électronica et les musiques expérimentales. De la Slovénie aux États-Unis, en passant par l'Angleterre, la Pologne et l'Australie, leurs œuvres mêlent field recordings, néo-classique, influences traditionnelles et sound design futuriste. Vous entendrez notamment PureH, Ümlaut, Memotone, Olga Anna Markowska, Forrest Fang et Lawrence English, chacun livrant une vision singulière du paysage sonore, entre ambient onirique, expérimentations organiques et hybridations culturelles. Casque sur les oreilles, laissez-vous porter par cette traversée hypnotique où chaque note invite à la découverte et à l'introspection. Bienvenue dans la Solénosphère !
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 16 janvier 2025.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 16 janvier 2025.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 16 janvier 2025.
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
durée : 00:03:37 - À trottinette ou à vélo, beaucoup de collégiens de Sens roulent sans casque ni gilet réfléchissant malgré la nuit tombée
Stéphane Berthomet discute des mises en demeure en podcasting, souvent liées à des atteintes à l'image ou des droits. Il conseille de réagir calmement, documenter et consulter un avocat si nécessaire. Il présente aussi le casque audio québécois SG Session de Sounds Good, offrant réduction de bruit, autonomie de 60 heures et qualité sonore remarquable, le tout pour moins de 100 $, parfait pour Noël.
Bienvenue dans À Casque Ouvert, la nouvelle émission de Podcasque !
Les guerres commencent et s'achèvent. Entre temps, on prépare la paix, on évalue les manières de faire des belligérants. On s'indigne, on déplore, on condamne. La guerre a ses lois élaborées tout au long de son histoire. Quand on voit un Casque bleu, c'est que quelque chose se passe. Ces soldats de l'ONU sont l'expression sur les territoires en guerre de la présence de l'ONU et de sa vocation : le maintien de la paix. Lorsqu'on voit un Casque bleu, c'est aussi le signe que la communauté internationale veille à ce que cela se passe dans les règles. Leur invention au XXème siècle s'est faite entre la Deuxième Guerre mondiale et les décolonisations, en passant par la Guerre froide et les guerres civiles qui éclatent après la chute du Mur de Berlin. Ronald Hatto est professeur à l'Institut d'Études Politiques de Paris. Il a lui-même été Casque bleu dans le contingent canadien. Il est l'auteur d'un livre de synthèse sur le maintien de la paix, c'est-à-dire sur l'histoire de la mission des casques bleus.
Tous les jours à 5h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Charles Matin, sur RMC.
(Premier épisode) Le mercredi 21 octobre 1981, Pierre Michel, 38 ans, juge d'instruction au tribunal de grande instance de Marseille, quitte le palais de justice en moto, à quelques pas du Vieux-Port. Il doit retrouver chez lui sa femme Jacqueline, et leurs deux filles, Béatrice 8 ans et Emmanuelle, 6 ans, qui l'attendent pour déjeuner. Casque blanc vissé sur la tête, Pierre Michel enfourche sa petite moto, une Honda 125 Twin bleue nuit, et s'enfonce des les rues de Marseille. Quelques minutes plus tard, le juge ralentit à une intersection de la contre-allée du boulevard Michelet. C'est là que trois coups de feu retentissent. Une des balles atteint l'épaule du juge, une autre lui perfore le thorax et une troisième lui touche le cou. Il est 12h49, le juge Michel est mort. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) Le mercredi 21 octobre 1981, Pierre Michel, 38 ans, juge d'instruction au tribunal de grande instance de Marseille, quitte le palais de justice en moto, à quelques pas du Vieux-Port. Il doit retrouver chez lui sa femme Jacqueline, et leurs deux filles, Béatrice 8 ans et Emmanuelle, 6 ans, qui l'attendent pour déjeuner. Casque blanc vissé sur la tête, Pierre Michel enfourche sa petite moto, une Honda 125 Twin bleue nuit, et s'enfonce des les rues de Marseille. Quelques minutes plus tard, le juge ralentit à une intersection de la contre-allée du boulevard Michelet. C'est là que trois coups de feu retentissent. Une des balles atteint l'épaule du juge, une autre lui perfore le thorax et une troisième lui touche le cou. Il est 12h49, le juge Michel est mort. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:10 - Catherine Simonpietri, cheffe de choeur (1/5) - par : Laurent Vilarem - Passionnée par la création artistique contemporaine, Catherine Simonpietri crée en 1998 l'ensemble vocal professionnel Sequenza 9.3 avec lequel elle développe une politique musicale exigeante et ouverte sur les différentes esthétiques du XXe et XXIe siècles. Portrait en 5 épisodes ! - réalisé par : Françoise Cordey
Martin commence la semaine avec un petit problème technologique : il a acheté une casque bluetooth pour écouter de la musique, mais il n'a pas compris que pour que ça fonctionne, il fallait connecter ses écouteurs avec un autre appareil, genre un téléphone.Il appelle donc le magasin pour se plaindre, et là, c'est le drame.
[Rediffusion] Le Youtubeur "TheiCollection" a testé pendant 15 jours le nouveau masque Vision Pro d'Apple. Il nous livre ses impressions."Il y a encore plein de défauts, mais c'est déjà plein de promesses", estime Jean-Baptise Nicolet, habitué des produits high-tech en tout genre qu'il présente sur sa chaine YouTube TheiCollection. Etant parmi l'un des premiers Français à avoir acheté le produit d'Apple, dès sa sortie aux Etats-Unis, il nous raconte son expérience après 15 jours, d'utilisation. Il détaille les innovations techniques et les usages possibles de ce nouvel accessoire, comme l'aspect intuitif du Vision Pro et les possibilités qu'il offre pour la virtualisation de l'environnement de travail et de divertissement. Il évoque aussi les limites et les imperfections de l'appareil, telles que le poids, le prix et l'ergonomie. Comme d'autres, il estime que cette première version est encore imparfaite mais ouvre néanmoins la voie à une nouvelle forme d'informatique pleine de promesses qui devrait se concrétiser avec les versions futures.-----------♥️ Soutenez Monde Numérique : https://donorbox.org/monde-numerique
Welcome to You Haven't Blanked That! It's Roger Corman month. This week we watched the Pit and the Pendulum. We talk about the Spanish Inquisition, reading the original, how great it looks, Feng Shui, Vincent Price, Casque of Amontillado, Richard Matheson, sharing horror with Jimmy's dad, The Thing, The Bat, House On Haunted Hill, Other Roger Corman movies, Evil Dead 2, Corey Feldman, The Raven (2012). What We Are Blanking - Just Shoot Me!, The Boys, The Acolyte, Beverly Hills Cop: Axel F, the Academy Museum, Opening theme by the Assassins Closing theme by Lucas Perea For more info, click the link bio or below. https://linktr.ee/yhblankthat Email: Yhblankthat@gmail.com
durée : 01:21:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Serge Reggiani raconte son enfance italienne, l'exil en France à partir de 1930, son adolescence, ses débuts de comédien, son meilleur film "Casque d'or", sa carrière de chanteur, mais aussi sa famille et la politique. Cet entretien réalisé en 1990 pour "Opus" est illustré de plusieurs chansons. - invités : Serge Reggiani Chanteur, comédien, écrivain
Alors que la guerre à Gaza fait toujours rage, l'autre front à la frontière entre le Liban et Israël menace de faire éclater une guerre régionale. Depuis le lendemain du 7 octobre 2023, des affrontements quotidiens ont lieu entre le mouvement libanais Hezbollah, allié de l'Iran, et Israël autour de la frontière. Matérialisée par une ligne bleue, cette frontière a été tracée par les Nations unies, qui assure une mission de maintien de la paix forte de plus de 10 000 casques bleus du monde entier. Si leur mandat ne leur permet pas d'intervenir, mais seulement de surveiller, ils se retrouvent pris en étau entre les feux croisés. RFI a pu suivre le contingent espagnol de cette Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), qui compte 670 soldats, lors d'une patrouille le long de cette frontière ultra-sensible. De notre envoyée spéciale Kfar Kila,La zone de surveillance de la Force intérimaire des Nations unies au Liban commence au sud du fleuve Litani. Nous embarquons à bord d'une patrouille dirigée par le lieutenant-colonel espagnol José Irisarri : « On va à Kfar Kila » indique-t-il. Direction : la ligne bleue, la frontière entre le Liban et Israël, au cœur des affrontements entre les combattants du Hezbollah et l'État hébreu. « Les patrouilles sont la seule manière d'empêcher une armée irrégulière de s'établir ouvertement dans la région, ce qui augmenterait le risque d'une guerre ouverte. »Un paysage dévasté par les bombardementsPar la fenêtre, nous apercevons une colonne de fumée provenant d'un bombardement israélien. « Ça, c'est la partie sud de Khiam, explique encore le lieutenant-colonel. Le risque principal, c'est qu'une bombe tombe à proximité de la patrouille en cas d'attaque. »Les Casques bleus nous emmènent plus loin le long de la frontière, à Kfar Kila. Les immeubles en ruines défilent. José Irisarri révèle que « ce village a été le plus attaqué par les Israéliens. Il n'y a plus personne ici ».À lire aussiÀ la frontière entre Israël et le Liban, la guerre qui s'annonce angoisse les habitantsSoudain, le premier véhicule blindé de la patrouille fait demi-tour : un ordre vient d'arriver, il faut se réfugier immédiatement dans la base la plus proche. Le lieutenant-colonel répond au talkie-walkie : « Mince, bien reçu. Niveau d'alerte 2. »Que se passe-t-il ? « En général, c'est à la demande de l'armée israélienne », nous informe le Casque bleu. Quelques minutes après notre départ, Kfar Kila sera de nouveau bombardée par l'armée israélienne, Tsahal.« Nous devons essayer d'éviter la guerre, mais on ne peut pas imposer la paix »De retour en lieux sûr, le chef de la base, le capitaine Alfonso Albar nous guide vers un point de surveillance : « Il y a de tout, des attaques aériennes, des attaques d'artillerie, des mortiers, le feu des mitrailleuses, il y a de tout. » Les Casques bleus sont les observateurs impuissants de cette guerre qui ne dit pas son nom. « Qu'est-ce qu'on peut faire ? demande le lieutenant-colonel Irisarri. Nous devons essayer d'éviter la guerre, mais on ne peut pas imposer la paix. »Malgré la présence de 10 000 casques bleus, cette zone frontalière est aujourd'hui une poudrière qui pourrait enflammer le Moyen-Orient.À lire aussi40 ans de présence onusienne au Sud Liban
Deux anciens présidents du Bénin étaient en mission de bons offices au Niger mardi 25 juin. Au coeur des tensions entre les deux pays : la frontière, rouverte en février par Cotonou, mais que Niamey maintient fermée. Une situation qui dure depuis près de 11 mois et qui pèse très fortement sur la ville frontalière béninoise de Malanville. Et plus particulièrement sur son marché international. Par notre envoyée spéciale à Malanville,Casque sur la tête, Jean-Marie s'apprête à remonter sur sa moto après avoir fait péniblement quelques achats au marché. « D'habitude avec 1 000 francs CFA, je pouvais préparer la sauce. Mais aujourd'hui, avec 1 000 francs, je ne peux rien faire », déplore cet enseignant, qui deux jours plus tôt n'a pas pu trouver de tomate. « Le piment que j'achetais à 50 francs, aujourd'hui, je l'ai acheté à 100 francs. Les tomates que j'ai achetées, ça ne pourrait même pas faire une marmite de sauce. Tout est vraiment cher au marché. Ce que les gens disent, c'est que la cherté est due à la fermeture de la frontière. »Chercher des oignons jusqu'à SegbanaLes produits du Niger, qu'il faut désormais acheminer par le Nigeria, arrivent plus difficilement. Et c'est aussi le cas des oignons. « Avant, l'oignon était partout et les clients étaient nombreux », se souvient un revendeur. « Mais aujourd'hui, on a perdu 50 % de nos clients. L'oignon qu'on appelle Galmi vient du Niger, mais il faut aller jusqu'à Segbana [à la frontière du Nigeria, NDLR] pour aller le chercher. Avant, avec notre frontière ouverte, ça pouvait arriver en une journée, mais maintenant par Segbana, il faut trois jours de trajet. »Le marché international de Malanville, qui regroupe 4 000 usagers, est le deuxième marché du Bénin. Ces dernières années, les Nigériens en étaient les principaux clients. Mais avec la frontière fermée, ils ne viennent plus. « Il n'y a que quelques clients locaux qui viennent au marché et qui paient un peu », témoigne Mohamed Ali, dans sa boutique de bazin. Membre de l'association de développement du marché de Malanville, il n'avait jamais vécu une telle situation en 30 ans d'activité. « Actuellement, beaucoup de boutiques sont fermées. Nous sommes en arriérés pour les impôts, pour les taxes du marché. Actuellement, aucun produit n'est épargné par cette crise. Si du côté des vivres ça ne marche pas, ça veut dire que le marché est carrément à terre. Ça ne va pas du tout. »Choc pour Malanville et ses environsPlus grande fierté de la commune, selon son maire Gado Guidami, le marché international de Malanville subit un choc qui se répercute, observe-t-il, sur toute sa ville. Et, par ricochet, sur l'ensemble des communes environnantes.
Le meilleur de l'actu tech de la semaine : ChatGPT en panne, Gemini en Europe, Adobe et le droit d'auteur, Pasqal, IBM, Facebook, HomeDesign369, Nothing, Sonos, etc. Un numéro spécial 3 ans !
Après un scrutin présidentiel dont l'issue n'a jamais fait de doute, Vladimir Poutine va être officiellement investi pour un cinquième mandat ce mardi 7 mai. Chef de l'État russe et chef de guerre, il aura notamment sur sa table le dossier des régions frontalières visées par des frappes de drones et missiles ukrainiens, ainsi que des incursions armées. Exemple à Belgorod, où les civils vivent dans une peur qui s'est installée dans chaque instant de leur vie quotidienne. De notre envoyée spéciale à Belgorod, 10h30 à Belgorod, encore une alarme anti-aérienne. Les voitures pilent, leurs portes claquent. Passager ou conducteur, chacun pique un sprint vers l'abri le plus proche. Des mois qu'ici on connaît la consigne par cœur : après les premières sirènes, chacun ne dispose que de 30 secondes maximum pour rejoindre un de ces nombreux espaces en béton blanc de quelques mètres carrés qui ont poussé comme des champignons partout dans la ville. Trente secondes, soit le délai avant l'impact potentiel d'un missile ou d'un drone qui ne pourrait pas être abattu par la défense anti-aérienne.Dans Belgorod, le maillage d'abris est dense, jusqu'à tous les dix mètres dans les zones les plus fréquentées. Pendant que les sirènes continuent à hurler, on se presse et on se pousse dans un de ces espaces bétonnés de protection : « Laissez passer ma petite fille, laissez-la passer tout au fond », dit un père de famille. Juste à côté, une grand-mère peste : « Mais plus vite enfin... Et regardez-moi celui-là, là-bas, qui arrive sans se presser ».La ville est visée depuis un an, mais il y a dans Belgorod un avant et un après 30 décembre 2023, le jour où une frappe, attribuée immédiatement par la Russie à l'Ukraine, a causé la mort de 25 personnes, adultes et enfants, et blessé plus d'une centaine d'autres. Ce bilan très lourd est aujourd'hui dans toutes les têtes.Des alertes anti-aériennes jour et nuitDevant l'entrée d'un centre commercial protégé par des blocs de béton, une grand-mère raconte : « Le 30 décembre, je m'apprêtais à partir avec mes petits-enfants admirer l'arbre de Noël qu'ils n'avaient pas encore vu sur la Grand-Place et faire du patin à glace. Dieu merci, on était en retard et nous n'étions pas dehors quand les tirs ont commencé. On a entendu l'alerte, on n'est allés nulle part. »À cette évocation, les larmes lui montent immédiatement aux yeux, peut-être aussi parce que comme beaucoup dans la ville, elle est à fleur de peau : « Il peut y avoir quelques jours consécutifs de calme, mais ensuite, ça finit toujours par reprendre : des alertes anti-aériennes qui résonnent en moyenne trois fois par jour, la nuit, au petit matin, n'importe quand. C'est terrifiant. On dort très mal. C'est un stress immense de se réveiller la nuit parce que ça bombarde. Nous, nous habitons dans une maison et nous avons notre propre abri, un endroit où nous protéger à n'importe quel moment. Mais pour ceux qui habitent dans des étages élevés dans des immeubles, il faut courir dans les escaliers pour rejoindre la cave et pendant ce temps-là, on peut se retrouver à tout moment sous le feu. »Casque et gilet pare-balles pour les livreursPendant plus d'une semaine après le 30 décembre, le gouverneur de la région, toujours en première ligne, communiquant chaque jour avec sa population, a ordonné la fermeture de tous les lieux de rassemblement, même les centres commerciaux. La chaîne d'hypermarchés Lenta a, elle, maintenu les livraisons, contrairement à son concurrent Yandex. Mais depuis, elle a équipé ses livreurs - qui ne sont pas du personnel maison, mais des auto-entrepreneurs - de casques et gilets pare-balles.Igor a 26 ans, il est livreur depuis six mois pour Lenta, et porte pendant la totalité de ses heures de travail un gilet pare-balles d'une quinzaine de kilos : « c'est très lourd et ce n'est franchement pas confortable à avoir sur les épaules toute la journée, mais on ne peut pas l'enfiler très rapidement en cas de danger, alors je le porte systématiquement. En revanche, le casque est lui sur le siège passager de la voiture, et je le mets dès qu'il y a une alerte au missile. »Au siège de l'hypermarché, dès qu'une alerte retentit, on est rôdé : les clients descendent à l'abri de ce magasin équipé de vitres avec un filtre anti-éclats. La superviseuse des livraisons, Diana vérifie où se trouvent les livreurs et s'ils sont bien protégés, puis qu'ils ne repartent que lorsque les autorités ont signalé que tout danger est écarté. « Dans ce climat, les clients savent bien que leurs commandes peuvent être retardées, et ils ne se plaignent pas », assure Igor. « Au contraire, ils sont très reconnaissants que nous leur amenions leurs marchandises. »Ciel bleu azur sans nuages, soleil éclatant, partout en ce début mai en Russie, on sort fêter le début des beaux jours avec les premiers pique-niques, les week-ends à la datcha, affichant insouciance et indifférence à ce troisième printemps depuis que Vladimir Poutine a envoyé ses soldats en Ukraine. Seules les régions frontalières vivent ce mois comme le début d'une nouvelle saison de guerre.Une ville fantômeÀ Belgorod, aucun enfant ne joue dans les nombreux espaces verts, personne ne semble sortir sans avoir un but ou une tâche à accomplir. La ville a pris des allures de ville fantôme. Difficile de savoir combien ils sont, tout simplement claquemurés chez eux, combien ont quitté la ville et son agglomération, mais les signes d'un ralentissement économique sont là. Les hôtels sont quasi vides, les prix des réservations ont chuté, et Galina, la directrice de l'hypermarché Lenta, a bien noté un recul du nombre des clients : « nous avons dû réduire nos horaires d'ouverture, pour que les gens ne soient dehors que lorsqu'il fait jour. Nous sommes passés d'une ouverture de 7h à 23h, à 9h-17h en hiver, et en ce moment de 8h à 21h. Evidemment, cela aussi a affecté le nombre de clients venant en magasin, moins 30% depuis le début de l'année ».Dans cette ville aux arrêts de bus équipés de piles de sacs de sable, où les codes d'entrée des immeubles se désactivent en cas d'alerte bombardement pour que les passants les plus proches puissent entrer se réfugier au sous-sol, l'atmosphère s'est faite pesante, le regard posé sur chaque passant visiblement étranger aux lieux est lourd d'inquiétude et de méfiance.Peur de mourir Il reste aussi peu d'activistes ou d'opposants, et encore plus rares sont ceux qui, comme Ilya Kostyukov, militant du parti Iabloko (d'opposition mais encore toléré), s'expriment : « Le sourire joyeux a disparu des visages de la majorité des habitants, dit-il, sans doute parce qu'avant, ils ne réalisaient pas vraiment que c'était la guerre, mais depuis ce terrible bombardement du 30 décembre, ils ont vu le sang et réalisé que désormais, ils peuvent être touchés directement et mourir à tout moment. Beaucoup de ceux qui se disent patriotes vous diront qu'ils n'ont pas peur, que nous allons tous nous en sortir. Mais en réalité, chacun tremble quand il reçoit sur son téléphone la notification des autorités qu'un missile se dirige sur la ville et qu'il faut immédiatement interrompre toute activité pour aller se cacher. Les bombardements, tout comme la perspective qu'ils puissent survenir à chaque moment, ont un impact psychologique très fort sur la plupart des gens ».Qui est rendu responsable ? pour Ilya kostyukov, la peur a radicalisé les uns comme les autres, « ceux qui étaient pour la guerre le sont encore plus et ceux qui étaient contre, le sont encore plus ». Mais, dit-il aussi, « dans la partie de la population qui s'affichait neutre ou indifférente, beaucoup sont depuis passés dans le camp des soutiens du pouvoir ».Pour l'élu local légitimiste Vadim Radchenko, « des gens ont quitté la ville sous l'influence de l'émotion, ils ont eu peur pour leurs enfants. Mais ensuite, ils les ont laissés à l'abri quelque part puis sont revenus, parce qu'ici ils ont tout, à commencer par leur travail. Les autorités ont donné des consignes, comme de ne pas sortir sauf nécessité, ne pas garer sa voiture à l'extérieur mais dans des parkings souterrains, et les gens s'adaptent. La peur, tout le monde la ressent, particulièrement quand la mort peut frapper de manière indiscriminée, n'importe quand. On traverse la rue, on ne fait rien de mal et on meurt. C'est terrifiant. Mais la question est : en quoi cette peur se canalise-t-elle ? Pour moi, cette peur s'est transformée en désir d'en finir, et vite, avec ce qu'il se passe. Le désir est de repousser la menace le plus loin possible ».Après avoir promis à la population que la guerre qu'il a lancée ne changerait rien à la vie quotidienne, le pouvoir désormais parle de « vengeance ». Les habitants de Belgorod, eux, continuent à se terrer. Ils sont aujourd'hui plus de 300 000 abonnés à la chaîne Telegram de la ville qui signale chaque alerte aérienne.À lire aussiAlexandre Demidenko, russe qui aidait les réfugiés ukrainiens, mort en prison
Le casque de vélo "Remarquable", de la start-up française Gamel Helmets, dispose de clignotants qui se commandent d'un simple hochement de tête (extrait de L'Hebdo du 9/3/24).L'innovation, ça passe aussi par le vélo et ses accessoires. Récemment, j'ai eu l'occasion de tester un casque de vélo insolite de la start-up française Gamel Helmets. Baptisé "Remarquable", ce casque se distingue par un éclairage avant et arrière et, surtout, par des clignotants intégrés que l'on actionne par de simples mouvements de tête. Ce principe astucieux le rend très pratique et facile à utiliser, sans application ni télécommande. Il est également équipé d'un détecteur de freinage qui active un feu stop rouge à l'arrière du casque lorsque l'on ralentit, similaire à une voiture ou une moto.
Director Jacques Becker's belle epoque period drama about gangsters sets their lives on such a delicate balance between honor death that the eponymous pretty blonde is all it takes to bring it crashing down. Would you say a "love quadrangle" or a "love square"? Join our Patreon and support the podcast! Join the Random Acts of Cinema Discord server here! *Come support the podcast and get yourself or someone you love a random gift at our merch store. T-shirts, hoodies, mugs, stickers, and more! If you'd like to watch ahead for next week's film, we will be discussing and reviewing Brett Morgen's Moonage Daydream (2020).
Mardi 20 février, François Sorel a reçu Frédéric Bianchi, journaliste BFM Business ; Hugo Weber, directeur des affaires publiques de Mirakl ; Bruno Guglielminetti, journaliste et animateur de « Mon Carnet de l'actualité numérique » et Victoire Rivaton, directrice des affaires corporatives et impact chez Malt. Ils se sont penchés sur] [SUJET] dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Indie director Melvin van Peebles' one film for Columbia Pictures pointedly slams against the dictates and standards of studio filmmaking with his Godfrey Cambridge-starring vehicle about a white bigot who wakes up black and finds himself in a world that no longer tolerates his existence. Join our Patreon and support the podcast! Join the Random Acts of Cinema Discord server here! *Come support the podcast and get yourself or someone you love a random gift at our merch store. T-shirts, hoodies, mugs, stickers, and more! If you'd like to watch ahead for next week's film, we will be discussing and reviewing Jacques Becker's Casque d'Or (1952).
durée : 00:03:28 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Aux États-Unis, le géant Apple a commercialisé, vendredi 2 février, son premier casque de réalité virtuelle : une innovation qui suscite de nombreuses réactions.
Mardi 6 février, François Sorel a reçu Nicolas Lellouche, journaliste chez Numerama ; Didier Sanz, journaliste Tech, et Julien Villeret, directeur de l'innovation chez EDF. Ils ont présenté les coulisses de la sortie du Vision Pro, le test en direct de l'ordinateur spatial d'Apple, les premiers avis contrastés, la stratégie d'Apple, et la comparaison avec les autres casques, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce soir, "Jour J" plonge en immersion dans les UMD, les unités pour malades difficiles. Découvrez dès à présent un extrait de l'émission et rendez-vous ce soir à 20h sur RTL pour écouter la suite de ce nouveau numéro de "Jour J". "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité. Chaque jour, Flavie Flament explore les coulisses et les détails de l'info d'hier et d'aujourd'hui avec un témoin-expert. Une heure d'analyse et d'archives pour comprendre l'actualité.
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A l'occasion de la Coupe du monde de Rugby en France, retour sur la carrière fulgurante d'un joueur surnommé « Casque d'or » par Roger Couderc : Jean-Pierre Rives. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.