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Aujourd'hui, on braque notre viseur sur Shotgun Copman, le tout dernier délire de DeadToast Entertainment, les créateurs du culte My Friend Pedro. Fini les bananes qui parlent. Ici, t'incarnes un flic armé jusqu'aux dents, qui traverse l'enfer une cartouche à la fois.Pas de cinématique, pas de dialogues chiants : juste toi, ton fusil, et Satan à mettre à genoux.Et spoiler : ça tabasse.
durée : 00:20:13 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 9 juin 2025 : l'auteure et dramaturge Christine Orban. Elle publie "Mademoiselle Spencer", aux éditions Albin Michel.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, la justice française est-elle laxiste ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:19 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Faut-il cultiver la nostalgie ou s'en détacher ? Entre douceur des souvenirs et risque d'immobilisme, exploration des bienfaits et des pièges du sentiment nostalgique.
Vous aimez A La folie pas du tout, le podcast courses-poursuites entre flics et voyous de Bababam ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Les Fabuleux destins le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les destins les plus surprenants et incroyables. Bonne écoute ! Découvrez l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 20 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Parti volontairement en Ukraine pour combattre la Russie, cet ancien soldat français est venu nous raconter ce qu'il a vécu là bas. Il a frôlé la mort après une blessure par balle, a été rapatrié en France et témoigne des pires choses qu'il ait vu dans les combats sur place… Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/Y5hx3MqgmUQPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:09 - Le grand format - De jeunes Français rejoignent l'Ukraine pour combattre la Russie. Ce sont d'anciens militaires ou de simples citoyens. Ils sont formés par le renseignement ukrainien près de Kiev et mèneront bientôt des opérations d'assaut sur le front.
Et si ce qu'on appelle le "manque de confiance en soi" était en réalité un symptôme d'un système ?Dans cet épisode, je reçois une femme engagée : Maryne Bruneau, fondatrice d'EGALUCE, cabinet de conseil et de formation en égalité F/H, autrice du livre Les Légitimes et inventeuse du syndrome de l'impostrice.Avec une clarté désarmante et une sincérité rare, elle nous parle d'un mal invisible qui touche 70 % des femmes.
durée : 00:46:10 - Bienvenue chez vous : les spécialistes, ici Sud Lorraine - Un Français sur dix se sent isolé, souvent après la perte d'un proche. Entre solitude subie et solitude choisie, des veufs et veuves de Lorraine partagent leurs stratégies pour vivre pleinement, s'appuyant sur l'empathie, les activités associatives et le lien social.
C'est le rapport choc dont tout le monde parle, qui était au menu du conseil de défense aujourd'hui, Comment contrer l'influence croissante des Frères Musulmans en France telle qu'elle est rapportée par les services de renseignement ? Vous allez entendre un témoignage, celui du préfet des Hauts de Seine, Alexandre Brugère qui raconte les difficultés qu'il rencontre au quotidien pour lutter contre l'islamisme, auteur de « Combattre l'islamisme sur le terrain. » publié par la Fondapol. A ses côtés le journaliste Georges Malbrunot, grand reporter au journal “Le Figaro” et spécialiste du Moyen-Orient.Pendant la durée du festival de Cannes, tous les soirs du lundi au vendredi à 19h c'est Aurélie Casse qui présente la 1ère partie de l'émission. Elle est accompagnée par toute son équipe pour accueillir celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Le 20 mai, c'est la Journée mondiale des abeilles. Le miel est un produit miraculeux, c'est une des rares denrées inaltérable. Comment est-il fabriqué par les abeilles ? Il y a 70 000 apiculteurs en France, un pays qui consomme bon an mal an 40 000 tonnes de miel, dont seulement un quart à la moitié provient de France ! Pourquoi ? Pourquoi les ruches ont-elles une mortalité de plus de 30% par an, contre 5% dans des milieux ni abîmés par l'humain ? Les abeilles domestiques ôtent-elles vraiment le nectar et le pollen de la bouche de leurs cousines sauvages ?Toutes les réponses et bien d'autres dans cette série spéciale de Combats, réalisée en partenariat avec l'UNAF, l'Union Nationale des Apiculteurs Français._______Tu es passionné.e d'abeilles ? Ne manque pas la série spéciale de Baleine sous Gravillon qui leur est consacrée.La plupart des espèces sauvages sont solitaires et vivent dans un trou du sol. Près d'1 sur 5 est une "abeille-coucou" qui parasite les nids de ses cousines. J'ai consacré une série de Mécaniques du Vivant aux abeilles sauvages._______
Send us a textNathalie est nouvelle auteure, elle a écrit un livre au auto-publication qui s'appelle: Rassemble ceux qui te ressemblent.Avant tout, on parle bien sur de son parcours sportif: ça fait plus de 30 ans qu'elle pratique la course à pied et c'est une vraie passionnée.Le tout a commencé avec un trouble alimentaire … elle se fessait vomir après avoir mangé. Sa psychologue lui a proposée de faire du sport: en plus de l'avoir aidée à passer au travers son trouble alimentaire, ça lui a redonner confiance et elle a découvert une nouvelle passion.(Elle a oubliée de mentionner que son premier marathon et 50km: elle a courue au profit de ANEB. Anorexie et boulimie Québec. Ainsi qu'un autre évènement pour profit des banques alimentaires pour Moisson Montréal.)Le projet du livre est venue suite au deuil de sa mère. Puisqu'elle a des enfants, elle s'est dit que de leur léguer un livre, ce serait vraiment quelques choses de super.Puisque pour elle, le chagrin a été relativement difficile à passer.Elle a rencontrée 30 personnes impliquées dans la course sur une période de 3 ans.Chacun des reportages figure dans son livre.Ça commençait via une sortie de course partagée, et ensuite elle les recevait chez elle pour un interview.(Personnellement, je n'ai pas eu le temps de terminer la lecture: mais l'angle est super intéressant.)Pour avoir une copie, le meilleur moyen c'est de lui écrire via facebook et messenger: elle va vous l'envoyer par la poste.Une femme super inspirante qui se lance dans sa première course en sentier à Gaspesia prochainement avec ses amies.Vraiment une belle perle de notre communauté à découvrir si vous ne la connaissez pas déjà.Bonne écoute!
Tous les coachs en développement personnel le disent : se fixer des objectifs, qui peuvent sembler parfois irréalisables, permet d'augmenter sa motivation et de les atteindre petit à petit. Si pour certains, cette méthode est quasiment automatique aujourd'hui. Pour d'autres, la tâche est beaucoup plus difficile... Entre la peur de l'échec, l'anxiété au travail ou encore le manque de confiance en soi, l'ambition est parfois impossible à débloquer. C'est pourquoi dans les années 80, l'économiste américain Georges T. Doran popularise la méthode SMART, censée faciliter l'approche de l'objectif et sa réalisation. Ça consiste en quoi exactement ? Mais c'est vraiment efficace de se fixer des objectifs ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Le ventre est-il vraiment notre “deuxième cerveau” ? Le Pass Rail pour voyager en illimité est-il vraiment une bonne affaire ? Qu'est-ce qu'un enfant velcro ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 16/05/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
(00:00:42) Mieux connaître et parfois mieux combattre les champignons microscopiques dangereux qui sont partout (00:07:32) Un groupe de réfugiés blancs fuyant l'Afrique du Sud accueilli aux Etats-Unis (00:13:00) Eurovision aura bientôt une concurrence venue de Russie: Intervision
Souffrez-vous de douleurs au cou ? Ressentez-vous des tensions dans les trapèzes ? Peut-être souffrez-vous du "tech neck" ou "cou technologique" ? Ce syndrome est d'autant plus fréquent car il vient de la sédentarité et de l'usage excessif des téléphones portables qui nous contraignent à pencher la tête en avant. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 07 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ».
Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ».
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Vous aimez La Traque , le podcast courses-poursuites entre flics et voyous de Bababam ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Les Fabuleux destins le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les destins les plus surprenants et incroyables. Bonne écoute ! Découvrez l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 20 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chef Écotable, engagé contre le gaspillage et les violences en cuisine, Eloi Spinnler revient sur son parcours, de jeune cuisinier à chef-entrepreneur, au micro de Fanny Giansetto.Dans cet extrait, Eloi raconte les violences auxquelles il a été confronté en cuisine, et comment il combat aujourd'hui ce climat de travail nocif qui gangrène une partie du secteur de la restauration. Pour en apprendre plus sur Eloi Spinnler et ses restaurants, écoutez l'épisode l'épisode [#27 - Eloi Spinnler, chef engagé, passe sur le grill d'Écotable] en entier !Retrouvez les restaurants Orgueil et Colère ici : https://bonaloi.com/fr/ Et la chaîne youtube d'Éloi Spinnler juste là : https://www.youtube.com/@EloySpinnler *** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2023, plus de 100 millions de photos et de vidéos à caractère sexuel impliquant des enfants ont été repérées en ligne depuis l'Europe. En 10 ans, leurs signalements ont augmenté de 6000 %. Des torrents d'images que les autorités ne parviennent pas à endiguer, ni à faire supprimer par les plateformes numériques. Derrière l'écran, des hommes regardent des enfants dénudés, voir agressés sexuellement. L'essor de l'intelligence artificielle qui permet de détourner ou créer des contenus pédopornographiques de toutes pièces, complexifie encore un peu plus la lutte contre la pédocriminalité en ligne. Alors que les enfants sont de plus en plus connectés, qu'ils partagent leur vie et leurs photos, sur les réseaux sociaux, que leurs parents font de même, comment mieux les protéger ? Quelles solutions pour lutter contre les pédocriminels face à l'ampleur du phénomène ? Quelles coordinations entre pays ? Avec :• Véronique Béchu, Autrice de Derrière l'écran - Combattre l'explosion de la pédocriminalité en ligne (Editions Stock, 2024). Membre expert de la CIIVISE (Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) et commandant de police au sein de l'office mineurs.• Eglantine Cami, chargée de plaidoyer au sein de l'association CAMELEON, qui lutte contre les violences sexuelles envers les enfants en France et aux Philippines Un entretien avec Nemo Lecoq Jammes, correspondante de RFI aux Philippines, épicentre mondiale de la pédocriminalité en ligne.C'est un crime peu connu et qui fait pourtant ravage dans le pays depuis la pandémie de Covid 19, le “live streaming” pédocriminel. Il consiste à vendre le corps d'enfants, parfois très jeune, sur internet, à travers un écran, à des pédocriminels étranger. Dans la plupart des cas, le crime est organisé par les membres de la famille proches des enfants. En situation financière très précaire, ils monnaient des vidéos de leurs enfants nues, et vont parfois jusqu'à les agresser sexuellement devant la caméra en échange de grosses sommes d'argent. Notre correspondante, nous explique comment de telles pratiques ont pu se développer aux Philippines, comment s'organise la lutte contres les abus sexuels sur internet et comment les victimes sont prises en charge. Elle a pu rencontrer le père Shay Cullen, un activiste irlandais, fondateur de lafondation Preda, qui oeuvre depuis les années 90 pour protéger les enfants victimes d'abus sexuels.En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam • Mawutondji Godonou alerte, depuis Cotonou, sur la montée des fake news à l'approche des élections béninoises prévues en 2026. • À N'Djaména, au Tchad, Ali Abdelkader Foulaty raconte comment un simple charbon est devenu symbole de protection face aux rumeurs. Programmation musicale :► Le Loup – Mai Lan ► Desse Barama - Al-Qasar, Alsarah
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
En 2023, plus de 100 millions de photos et de vidéos à caractère sexuel impliquant des enfants ont été repérées en ligne depuis l'Europe. En 10 ans, leurs signalements ont augmenté de 6000%. Des torrents d'images que les autorités ne parviennent pas à endiguer, ni à faire supprimer par les plateformes numériques. Derrière l'écran, des hommes regardent des enfants dénudés, voire agressés sexuellement. L'essor de l'intelligence artificielle qui permet de détourner ou créer des contenus pédopornographiques de toutes pièces, complexifie encore un peu plus la lutte contre la pédocriminalité en ligne. Alors que les enfants sont de plus en plus connectés, qu'ils partagent leur vie et leurs photos, sur les réseaux sociaux, que leurs parents font de même, comment mieux les protéger ? Quelles solutions pour lutter contre les pédocriminels face à l'ampleur du phénomène ? Quelles coordinations entre pays ? Avec :• Véronique Béchu, autrice de Derrière l'écran - Combattre l'explosion de la pédocriminalité en ligne (Éditions Stock, 2024). Membre expert de la CIIVISE (Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) et commandant de police au sein de l'Office mineurs.• Eglantine Cami, chargée de plaidoyer au sein de l'association CAMELEON, qui lutte contre les violences sexuelles envers les enfants en France et aux Philippines Un entretien avec Nemo Lecoq Jammes, correspondante de RFI aux Philippines, épicentre mondial de la pédocriminalité en ligne.C'est un crime peu connu et qui fait pourtant ravage dans le pays depuis la pandémie de Covid-19, le «live streaming» pédocriminel. Il consiste à vendre le corps d'enfants, parfois très jeunes, sur internet, à travers un écran, à des pédocriminels étrangers. Dans la plupart des cas, le crime est organisé par les membres de la famille proches des enfants. En situation financière très précaire, ils monnaient des vidéos de leurs enfants nus, et vont parfois jusqu'à les agresser sexuellement devant la caméra en échange de grosses sommes d'argent. Notre correspondante nous explique comment de telles pratiques ont pu se développer aux Philippines, comment s'organise la lutte contre les abus sexuels sur internet et comment les victimes sont prises en charge. Elle a pu rencontrer le père Shay Cullen, un activiste irlandais, fondateur de la fondation Preda, qui œuvre depuis les années 90 pour protéger les enfants victimes d'abus sexuels.En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. • Mawutondji Godonou alerte, depuis Cotonou, sur la montée des fake news à l'approche des élections béninoises prévues en 2026. • À N'Djaména, au Tchad, Ali Abdelkader Foulaty raconte comment un simple charbon est devenu symbole de protection face aux rumeurs. Programmation musicale :► Le Loup – Mai Lan ► Desse Barama - Al-Qasar, Alsarah.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Le jeu lent est-il devenu encore plus lent de nos jours ? Ou sommes-nous encore moins patient ? On s'est tous retrouvé sur un Green, derrière une partie vraiment lente... Tout comme les professionnels... Alors, doit-on combattre le jeu lent ? Ou est-ce un combat inutile ? C'est le débat du Practice RMC avec Simon Dutin, Martin Coulomb et Ramuntcho Artola.
Sarah Durieux est une femme que j'admire profondément, autant pour ses engagements que pour l'énergie douce et lumineuse qu'elle dégage.J'admire aussi son courage de prendre la parole sur des sujets complexes, comme elle le fait dans son dernier livre Militer à tout prix ?, paru il y a quelques semaines aux éditions Hors d'atteinte.Elle y explore avec lucidité la manière dont certains collectifs militants peuvent, malgré leurs intentions, reproduire les systèmes de domination qu'ils combattent. Forte de son expérience aux côtés de nombreux collectifs, Sarah partage un regard d'une rare justesse.Je vous souhaite une très belle écoute en sa compagnie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Romain Desarbres reçoit Sylvain Maillard pour discuter de la question du voile en France. Il exprime son point de vue sur la nécessité d'une laïcité stricte et sur les défis liés à la place de la religion dans la société française. Il aborde également la question de la condition des femmes et de la tendance de la société à se tourner de plus en plus vers le religieux, ce qui peut mener à une forme de séparation du reste de la société.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:13 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Dans son livre "Une enquêtrice à l'ONU", Agnès Callamard revient sur son expérience en tant que rapporteuse générale des Nations Unies, sur les exécutions extrajudiciaires, entre 2016 et 2021. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Agnès Callamard Secrétaire générale d'Amnesty International
Anne Ghesquière reçoit le Dr Frédéric Fanget, médecin psychiatre et psychothérapeute, enseignant et auteur de nombreux livres best-sellers. Angoisses, insomnies, cœur qui cogne... Autant de formes d'anxiété qui n'ont plus de secret pour le Dr Frédéric Fanget, lui qui les côtoie chaque jour dans son cabinet. Fort de son expérience et de son expertise, il a décidé de désamorcer ce sujet à travers une BD, Le club des anxieux qui se soignent, en décortiquant ses mécanismes et en proposant de nombreuses solutions. Un épisode riche et passionnant. REDIFFUSION – BEST OF – MÉTAMORPHOSE]Le podcast #401 a été diffusé, la première fois, le 26 juin 2023ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Quelques citations du podcast avec le Dr Frédéric Fanget :"Avec l'habitude, en répétant les mêmes actions, on arrive à beaucoup mieux gérer son anxiété.""Il ne faut pas lutter contre nos pensées négatives quand on est anxieux, il faut apprendre à vivre avec.""Le bon souci c'est celui qui débouche sur une action."Thèmes abordés lors du podcast avec le Dr Frédéric Fanget : 00:00 Introduction06:18 Le mécanisme de l'anxiété.10:33 Anxiété et HPI11:55 Le bon souci.14:34 Anxiété et Addiction.16:28 Troubles anxieux et COVID.17:58 Le cas de l'introversion.19:17 Comment différencier anxiété / stress22:13 Guérir de l'anxiété.25:14 Les causes de l'anxiété.29:18 Le trouble anxieux généralisé.34:30 Que faire en cas d'attaque de panique ?39:13 Les signaux corporels.42:30 Quel médicament prendre ?46:35 TCC et anxiété56:03 L'ACT pour arrêter de lutter contre les symptômes.57:54 L'EMDR pour les stress post-traumatiques.1:00:45 Les techniques de régulation émotionnelle.1:04:54 Thérapie cognitive : une solution pour l'anxiété ?Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, plongez dans le fabuleux parcours de Battling Siki, cet incroyable athlète qui battait tous les records. Premier champion du monde de boxe noir en catégorie mi-lourd, il défi les limites des règles d'un sport qui à cette époque était dominé par des athlètes blancs. Peu à peu, il gravit le sommet de la réussite, mais derrière cette gloire, il mène une vie bien plus sombre remplie d'obstacles et d'injustices. Combattre la vie Paris, septembre 1922. Sur le ring du Stade Buffalo, Battling Siki défie George Carpentier, idole de la boxe française. Le combat bascule dans la violence, la ruse et le scandale. Siki, invincible ce soir-là, devient le premier Africain champion du monde. Mais sa victoire dérange. Entre racisme, trahisons et déchéance, son destin hors norme bascule vers l'oubli… jusqu'à aujourd'hui. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] L'incroyable aventure de Junko Tabei : une femme sur l'Everest [INEDIT] L'incroyable aventure d'Emma Gatewood : il n'est jamais trop tard [INEDIT] L'incroyable aventure de Christopher McCandeless : perdu dans l'Alaska [INEDIT] L'incroyable aventure de Cheryl Strayed : un nouveau départ pour sevrage Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Après presque trois ans d'invasion à grande échelle, les forces ukrainiennes cherchent à recruter parmi les centaines de milliers d'hommes ukrainiens vivant en Europe. Ils sont près de 700 Ukrainiens vivant en Europe à s'être inscrits pour rejoindre la Légion ukrainienne, une nouvelle formation de l'armée censée être bientôt déployée contre les troupes russes sur le front. Parmi eux, Oleg, étudiant en génie mécanique à la prestigieuse Université Trinity. Le jeune homme n'a que 22 ans, est né dans l'ouest de l'Ukraine, mais il a vécu toute sa vie en Irlande. Et pourtant, il compte bien s'engager en tant que volontaire. « Tout le monde me supplie de ne pas partir. Et moi aussi, je m'inquiète pour ma sécurité. Mais je veux contribuer à la défense de l'Ukraine. Si cela implique de rejoindre l'infanterie, je le ferai, je crois que je serai plus utile si je pouvais aider du côté de la guerre technologique, dans l'utilisation de drones par exemple. Combattre dans l'infanterie, c'est terrifiant », confie-t-il.Tatouage du trident, symbolique de l'indépendance ukrainienne, sur l'avant-bras, Oleg le reconnaît : il n'a aucune expérience militaire. Pour rejoindre la Légion ukrainienne, la première question posée à tous les volontaires lors de l'inscription en ligne concerne leur expérience dans l'armée ou bien la police. Si la réponse est non, le processus est interrompu. Mais voilà, les candidats peuvent se reconnecter immédiatement et changer, tout simplement, leur réponse en oui.Mais peu importe son expérience, d'après Oleg, l'Ukraine a plus que jamais besoin de tout le soutien possible. « J'aimerais vraiment que nous puissions remporter cette guerre sans ma participation, mais je crois que si nous devions perdre cette guerre et notre État, et que je n'aie rien fait pour contribuer à l'effort, je ne sais pas si je pourrais me le pardonner, confesse le jeune homme. Je ne veux vraiment pas mourir ! Mais c'est compliqué. Je ressens cet impératif moral d'aider les miens et de faire tout ce que je peux pour que mon père rentre à la maison, sain et sauf, et pour que mes amis et proches s'en sortent. » Son père est parti se battre contre les troupes russes, en 2022. C'est l'une des raisons qui poussent Oleg à vouloir s'engager à son tour.Selon Larysa Gerasko, ambassadrice d'Ukraine en Irlande, il est impossible de savoir le nombre exact d'hommes ukrainiens en Irlande qui se sont inscrits à la légion. Mais l'ambassadrice nous le confirme, ceux qui ont fui la guerre récemment ne sont pas les seuls à s'engager. « Certains Ukrainiens qui vivaient ici depuis 20 ans, 15 ans, avant l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, ont rejoint les forces militaires et se battent aujourd'hui ! Parce qu'ils sont Ukrainiens et que notre pays, notre patrie, est attaquée. Nous serions heureux de vivre à nouveau en paix, mais nous n'abandonnerons jamais, nous ne capitulerons pas », s'exclame-t-elle. Ces derniers mois, Donald Trump a martelé pouvoir imposer une paix en Ukraine en un jour. Mais son plan consisterait à céder la Crimée et la région du Donbass à la Russie, en échange d'un cessez-le-feu entre Kiev et Moscou.À lire aussiPrisonniers de guerre ukrainiens: un retour au pays qui met en lumière l'enfer des geôles russes
À Madagascar, 73 000 personnes vivent avec le VIH-sida selon les estimations. Sur la Grande Île, l'épidémie progresse de façon très inquiétante : en l'espace de dix ans, les nouvelles infections ont été multipliées par trois. Jusqu'à un quart de la population malgache pourrait être infectée d'ici à 2033 si rien n'est fait, d'après un modèle développé par deux épidémiologistes. À Antananarivo, l'association Fifafi organise des groupes de parole autour de la séropositivité. Pour les personnes infectées, c'est un moyen de rompre l'isolement, et de devenir actrices de la prévention. De notre correspondant à Antananarivo,Les groupes de parole commencent toujours par un tour de présentation. Jeunes adultes ou cinquantenaires, hommes et femmes. Ils sont une dizaine à se retrouver chaque semaine dans les locaux de l'association Fifafi, au cœur du quartier populaire de 67 hectares, à Antananarivo. « Le groupe de parole est un espace dans lequel l'on peut s'épanouir et où l'on se sent protégé, confie Cynthia, 54 ans. Ici, il n'y a ni préjugés, ni stigmatisation. On se sent libres. Je suis travailleuse du sexe et porteuse du VIH. Dans mon milieu, j'ai rencontré d'autres personnes séropositives que j'ai encouragé à rejoindre l'association. »À travers ces rendez-vous hebdomadaires, l'association Fifafi cherche à briser le tabou qui entoure le VIH, tout en partageant informations et conseils pour aider chacun à vivre le mieux possible avec le virus. « Le principal intérêt du groupe de parole est de faire comprendre aux séropositifs qu'ils ne sont pas seuls, explique Étienne, l'un des fondateurs de l'association Fifafi. C'est l'occasion d'informer les séropositifs sur la possibilité d'enfanter, par exemple, ou de parler des bienfaits des traitements, car les malgaches ont une certaine réticence à prendre des médicaments à vie. On se donne aussi des conseils sur l'alimentation pour qu'elle soit plus saine et équilibrée, parce qu'on en a besoin pour bien vivre avec le virus. »Pour Étienne, ces discussions placent les malades en position d'acteurs dans la lutte contre le sida. « Le bénéfice quant à la prévention, c'est un changement de comportement : nous sommes conscients d'être séropositifs, donc il faut avoir les bons gestes de prévention pour ne pas transmettre aux autres et pour se protéger soi-même d'autres maladies », argumente-t-il.L'ignorance sur le VIH conduit au rejet des personnes séropositives par le reste de la société, ce qui favorise la progression du virus, estime Johnson Firinga, directeur du réseau Mad'aids qui réunit toutes les associations engagées contre le VIH à Madagascar. « Quand les populations ne se sentent pas protégées en termes de stigmatisation et de discrimination… Il y a des gens qui se cachent, qui n'osent pas parler à leurs entourages, à leurs partenaires qu'il est porteur du VIH parce que c'est honteux, c'est discriminant. La peur d'être rejeté bloque aussi les gens à se protéger entre eux », regrette-t-il.Espace d'information et de solidarité, les groupes de parole sont aussi des lieux de réflexion politique où s'expriment des revendications. Par exemple, ce jour-là, pour la prise en charge médicale des femmes enceintes séropositives.À lire aussiMadagascar: lancement d'une enquête nationale sur la prévalence du VIH chez les femmes enceintes
Pour soutenir mon travail, abonnez-vous à ma newsletter sur Substack.« Le devoir d'être convoqué par le monde », ainsi Édouard Louis décrit-il sa manière d'écrire. Lorsque son frère est décédé à 38 ans des suites d'alcoolisme, il s'est dit qu'il ne pouvait pas écrire sur autre chose, « convoqué par cette réalité de la mort », et a terminé son livre, L'effondrement, paru en octobre. Il y entrecroise les prismes sociologiques et psychologiques d'une manière inédite.Au micro de Lauren Bastide, dans cet épisode de Folie Douce que - peut-être - vous attendiez, l'auteur qui se penche sur sa famille depuis de nombreuses années raconte qu'il se libère ainsi d'une forme de honte. Édouard Louis évoque aussi son livre précédent, Monique s'évade, sa mère et son enfance. Si « le pardon n'apaise pas les blessures », et qu'écrire c'est « creuser la douleur », Édouard Louis renie le rôle cathartique de l'écriture. Il raconte enfin le rôle de l'amitié dans sa vie, et le fait de re-parenter avec ses ami·es, en faisant de l'amitié un mode de vie.➡️ Rejoignez la communauté sur Instagram.➡️ Abonnez vous à la newsletter pour recevoir des conseils de professionnels de la santé mentale, des recommandations de livres et une curation de contenus, événements et podcasts.Folie Douce est disponible gratuitement sur toutes les plateformes : Apple Podcasts, Spotify, Deezer, PodcastAddict, Amazon Music ..Si vous avez aimé cet épisode, laissez nous des étoiles ⭐ et abonnez vous pour ne rater aucun nouvel épisode.Folie Douce donne la parole à des artistes, des militant·es, penseur·euses pour explorer leur parcours de santé mentale à la lumière de leur travail artistique ou politique. Ce podcast a pour vocation de faire émerger des récits à la première personne. Les propos de ses invité·es n'ont pas valeur d'expertise. Le terme « folie » est employé ici à des fins de renversement du stigmate et de réappropriation d'une identité habituellement imposée et marginalisée. -------------------Folie Douce est une émission produite par Lauren Bastide.Générique : Lauren Bastide et Marion Emerit sur une musique composée par Irma.Montage et mixage : Marion Emerit.Programmation et coordination : Marie Laurence-Chérie assistée de Lou Ozanam-Simon.Partenariats : The Podcast Bureau / melanie@thepodcastbureau.frConsultant : Morgan Noam
Un décret de Donald Trump pour exclure les athlètes trans des équipes féminines. Entrevue avec Katia Bissonnette, coach de boxe, responsable boxe à Équipe Québec et docteure en psychologie Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pst Réjean Cloutier 13 fév 2025
Découvrez dans cette saison l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. À la vie, à la mort 1971, lors d'une opération contre un dangereux dealer, Frank Serpico est touché par balle en pleine tête. Survivant par miracle, il comprend vite que la fusillade était un piège orchestré par ses propres collègues. Mais ce qu'il s'apprête à découvrir dépasse de loin tout ce qu'il aurait pu imaginer… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : le premier crime du métro parisien (1/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : les fantômes du passé (2/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : un jeu dangereux (3/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : dans les méandres de l'oubli (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 23 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. L'omerta 1966. Après une mutation prometteuse, Frank Serpico croit enfin trouver la paix. Mais une enveloppe glissée dans son tiroir révèle une vérité glaçante : la corruption gangrène encore son nouveau district. Une chose est sûre, il ne fermera plus jamais les yeux… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : le premier crime du métro parisien (1/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : les fantômes du passé (2/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : un jeu dangereux (3/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : dans les méandres de l'oubli (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 22 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. L'ordre et la morale Frank pensait que sa soif de justice suffirait à changer les choses. Mais après des mois à arpenter les rues de New York et à se heurter à la corruption de ses collègues, il découvre une vérité encore plus sombre dans les archives de son service : son propre département protège les criminels. Face à ce système gangrené, il doit prendre une décision. Jusqu'où ira-t-il pour faire éclater la vérité ? Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : le premier crime du métro parisien (1/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : les fantômes du passé (2/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : un jeu dangereux (3/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : dans les méandres de l'oubli (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 21 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison l'incroyable parcours de Frank Serpico, un policier new-yorkais devenu symbole de l'intégrité. Dans les années 70, il a courageusement dénoncé la corruption au sein de sa propre brigade, mettant sa vie en danger pour défendre la vérité. Un récit intense qui vous plongera dans les coulisses d'une lutte acharnée contre un système corrompu, où chaque épisode révèle les enjeux d'un homme face à l'injustice. Protéger et servir Dans le New York des années 60, entre glamour et criminalité galopante, un jeune idéaliste intègre les rangs du NYPD. Mais très vite, Frank Serpico découvre une réalité troublante : corruption, pots-de-vin et silence complice gangrènent ses collègues. Jusqu'où sera-t-il prêt à aller pour défendre ses valeurs ? Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : le premier crime du métro parisien (1/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : les fantômes du passé (2/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : un jeu dangereux (3/4) [INEDIT] Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes : dans les méandres de l'oubli (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 20 novembre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit Jean-Luc Bartoli, énergéticien, magnétiseur et auteur. Qu'est-ce que l'énergie ? Comment repérer les blocages énergétiques pour retrouver vitalité et bien-être ? Bien connue dans les médecines traditionnelles asiatiques, on en parle moins en Occident. Pourtant, l'équilibre énergétique est indispensable à notre santé. Jean-Luc Bartoli nous invite à explorer les mystères de l'énergie et nous partage des outils concrets et des exercices simples pour prévenir les déséquilibres, et retrouver un bien-être durable. Il collabore étroitement avec le monde médical, met en garde contre les dérives et a co-écrit, avec le journaliste Grégoire Laville, un ouvrage intitulé Energie, bien-être et guérison et publié aux éditions Eyrolles. Épisode #559ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Quelques citations du podcast avec Jean-Luc Bartoli :"L'énergie, c'est ce souffle de vie qui anime la matière.""Si l'énergie circule moins bien, ça va automatiquement engendrer une perturbation soit sur un système, soit sur un organe.""Lorsqu'on fait une séance de rééquilibrage énergétique, on transmet à un patient de l'énergie."Thèmes abordés lors du podcast avec Jean-Luc Bartoli :00:00 Introduction05:32 Combattre la souffrance : la mission de vie de Jean-Luc Bartoli.08:15 Distinction énergéticien / magnétiseur / guérisseur.09:10 Limites et éthique de la pratique énergétique.15:39 La collaboration avec les médecins.19:54 Comment trouver un bon magnétiseur ?21:34 Qu'est-ce que l'énergie ?23:36 L'importance du ressenti dans l'orientation du malade.28:42 Est-il possible d'enseigner l'intuition ?31:38 À quoi sont dus les blocages énergétiques ?36:16 L'importance de la prévention pour l'équilibre énergétique.38:12 Les signes d'un déficit énergétique.40:08 Des outils pour se recharger en énergie.46:25 La thérapie par l'eau japonaise.47:47 L'importance de se préparer au sommeil.49:37 Se protéger des vampires énergétiques.51:30 Des outils pour faire face à des émotions négatives.01:03:13 Un conseil clef pour regonfler son corps énergétique.À réécouter : #87 Jean-Luc Bartoli : Soin énergétique à distance#89 Jean-Luc Bartoli : Le soin de l'Arche de lumièreRecevez un mercredi sur deux l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec les 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous gratuitement sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sur le front ukrainien, dans la région de Donetsk, la brigade composée de soldats formés en France souffre de désorganisation et du manque d'équipement. En cause notamment : la violence des combats et la nature même de la guerre qui est en train de changer.
Le validisme est une forme de discrimination ou de préjugé qui privilégie les personnes dites "valides", c'est-à-dire celles qui n'ont pas de handicap, au détriment des personnes handicapées. Ce concept, souvent méconnu, englobe un ensemble d'attitudes, de comportements, de politiques et de structures sociales qui perpétuent l'exclusion ou la marginalisation des personnes en situation de handicap. Une idéologie basée sur la "norme"Le validisme repose sur l'idée implicite que le corps et l'esprit "valides" constituent la norme, et que tout ce qui s'en écarte est une anomalie ou un défaut. Cette vision conduit à considérer les personnes handicapées comme "inférieures", "malheureuses" ou "incomplètes", une perception souvent renforcée par les médias, les institutions et les discours sociaux. En conséquence, les besoins et les droits des personnes handicapées sont régulièrement ignorés ou minimisés. Manifestations du validismeLe validisme peut se manifester de manière :1. Institutionnelle : par des politiques ou des infrastructures qui ne tiennent pas compte des besoins spécifiques des personnes handicapées, comme des bâtiments inaccessibles ou un manque d'accommodations en milieu scolaire ou professionnel.2. Interpersonnelle : à travers des attitudes paternalistes, des blagues dévalorisantes, ou encore des remarques basées sur des stéréotypes.3. Culturelle : en invisibilisant les personnes handicapées dans les représentations médiatiques ou en glorifiant les personnes handicapées qui "surmontent" leur handicap, comme si cela était l'unique voie vers la reconnaissance sociale. Les conséquences du validismeLe validisme crée des barrières physiques, sociales et psychologiques. Il limite l'accès des personnes handicapées à des opportunités équitables en matière d'éducation, d'emploi, de loisirs et de participation citoyenne. De plus, il peut engendrer une stigmatisation, une perte d'estime de soi, et des effets néfastes sur la santé mentale. Combattre le validismePour lutter contre cette discrimination, il est crucial d'adopter une approche inclusive et de reconnaître la diversité des expériences humaines. Cela passe par :- La sensibilisation aux réalités des personnes handicapées.- La mise en place de politiques d'accessibilité universelle.- Le respect de leur autonomie et de leur droit à participer pleinement à la société. Le validisme, en fin de compte, interroge notre capacité à bâtir une société équitable, où toutes les personnes, indépendamment de leurs capacités, sont respectées et valorisées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les services de renseignement occidentaux et sud-coréens ont commencé à signaler en octobre que la Corée du Nord prévoyait d'envoyer entre 10 000 et 12 000 soldats en Russie pour soutenir sa guerre contre l'Ukraine. Traduction:Western and South Korean intelligence services started to report in October that North Korea was planning to send between 10,000 and 12,000 troops to Russia to support its war against Ukraine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.